Le commissionnement : de la conception à l’exploitation · Mai 2014 4 ATMO Assistance Technique à Maîtrise d'Ouvrage, SPHERES symbolisant une approche globale des études, 3famillesd’activité:

Le commissionnement : de la

conception à l’exploitation

Mai 2014

Mai 2014 2

Mai 2014 3

URBANISME ET AMENAGEMENT DURABLESchéma Directeur d’Aménagement, Etude faisabilité, Étude du Potentiel Environnemental d’un Site,Conception d’Eco-quartiers, AEU, ….Programmation Urbaine, Architecturale, Environnementale et Paysagère,Programmation Fonctionnelle et Technique, Dossier de création,Analyse des Esquisses d’Aménagement, aide à la sélection,

ASSISTANCE A MAÎTRISE D’OUVRAGEAide à la décision du programme à la sélection du Lauréat,

Aide à la conception de l’ensemble des phases de MOE,Aide à la réalisation, de la préparation à la réception

Aide à l’exploitation du lancement à 3 ans après réceptionCertification HQE®, H&E, BREEAM, Certification expérimentale,…

ASSISTANCE A MAÎTRISE D’OEUVREAssistance à la conception en concours de MOE,Conception technique de l’APS au PRO/DCE, et à l’ACT,Suivi réalisation technique (VISA, préparation, DET, AOR),Assistance durant la levée des réserves et 1ére année PA,

GARANTIE DE RESULTAT ENERGETIQUESimulation Thermique Dynamique (23 ans d’expérience, 4 millions m²)

Audit Energétique, DPE, GPEI, GRE (Garantie de résultat), Commissioning (validation de l’enveloppe et des installations),

tous calculs (FLJ, CFE, éclairage artificiel, eau, déchets, …

Sté ADDENDA

Mai 2014 4

ATMO Assistance Technique à Maîtrise d'Ouvrage,

SPHERES symbolisant une approche globale des études,

3 familles d’activité :

Des missions en amont de la maîtrise d'œuvre (faisabilités, diagnostics, RT)

Des missions de maîtrise d'œuvre (neuf et réhabilitation)

Des missions d'assistance technique à Maîtrise d'Ouvrage pour tous les

domaines du génie climatique et de l'énergie notamment dans les domaines

du conseil et du suivi d'exploitation des installations thermiques (contrats

exploitation, DSP, suivis pluriannuel d’installations collectives, …).

Sommaire

• Le constat actuel

• Ou va-t-on ?

• Le commissionnement : définition

• Le commissionnement : les missions– Phase montage de l’opération et programmation

– Phase conception

– Phase réalisation

– Phase réception

– Phase mises en service

• Le commissionnement : la garantie (GPEI/GRE)

Mai 2014 5

Le constat actuelInstallations techniques : • Des chaudières à condensation … qui ne condensent pas !

• Des installations hydrauliques non équilibrées,

• Des installations solaires qui ne fonctionnent pas,

• Des mises en service assurées par les constructeurs …. en l’absence de toute information technique !

Exploitation : • Matériel peu fiable et souvent performant … sur le papier !

• Absence totale de relai entre concepteur / installateur et exploitant,

• Exploiter sans documentation ?

• Maintenir quelle performance énergétique ?

6Mai 2014

Ou va-t-on ?

Des performances énergétiques de + en + élevées

• Dans le neuf : RT2012, HPE, THPE, BEPAS, BEPOS ….

• Dans l’existant : Réhabilitations énergétiques de + en + fréquentes et à performances de + en + élevées

induisent des solutions techniques de + en + complexes

• Productions multiples, hybrides, pilotées pour recours aux EnR,

• Distributions hydrauliques où tout varie !

• Régulation / optimisation plus fines

7Mai 2014

Le constat actuelLa cause des problèmes,• Une exigence de performance jamais connue précédemment (division par

10 des consommations en 10 - 12 ans),

• Une aubaine pour les fabricants et l’ingénierie de pouvoir répondre par lasuprématie de la technique (enveloppe et systèmes),

• Une complexification technique incontournable du produit bâtiment,

• Un temps trop court pour stabiliser et rendre « robuste » l’évolution,

• Une chaîne décisionnelle classique bousculée, et des modes opératoires àtotalement reconsidérer,

• Un besoin de vérification et de validation à chaque étape,

l’esquisse de la solution ?1. Nécessité d’une nouvelle approche de suivi de projet, à travers une mission

participant à maîtriser cette complexité :

le Commissioning ou Commissionnement !

2. Besoin de créer un cadre en garantissant le résultat (GPEI-GRE),

8Mai 2014

Le commissionnement : définition

Ensemble de tâches pour mener à terme une

installation neuve afin qu’elle atteigne le niveau des

performances contractuelles et créer les conditions

pour les maintenir ; mettre à disposition des clients

et/ou des usagers la documentation et les

instructions d’utilisation et de maintenance, incluant

l’initiation ou même la formation des intervenants.

(Source Mémento du commissionnement COSTIC –

ADEME – FFB FSE)

9Mai 2014

Déroulement classique d’une opération

10Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX

Garantie de Parfait Achèvement : 1 an

Garantie de bon fonctionnement des installations : 2 ans

Ce que l’on voit le plus souvent

EXPLOITATION - MAINTENANCE

PV

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Que se passe t'il ?

…… ou parfois …….

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Phase montage de l’opération et programmation

• Rédaction du cahier des charges fonctionnel avec le Maître d’Ouvrage,

• Définir la performance énergétique attendue traduite en critères à atteindre parrapport à la réglementation thermique (critères Bbio, Cep, consommations parusage, articles de la RT …) – Exigences Cible 4,

• Définir des obligations de confort à respecter (T°, gradient, fréquence dedépassement, limites selon période, vitesses d’air, H%,…) – Exigences Cible 8,

• Définir les principes d’entretien-maintenance à respecter pour assurer uneexploitation aisée de l’enveloppe et des installations – Exigences Cible 7

• Définir des budgets prévisionnels de coût d’exploitation (facture énergétique +coût d’entretien / maintenance + coût renouvellement matériel) = coût global

• Définir les critères d’exploitation et de maintenance (critères d’ambiance (T°, H%,P, acoustique …) mais aussi fiabilité et la durabilité des installations avec prise encompte des spécifications de maintenance)

11Mai 2014

PROG. TECH.

Phase conception de l’opération (APS, APD, PRO)

• Rappeler la performance énergétique attendue traduite en critères àatteindre par rapport à la réglementation thermique (critères Bbio, Cep,consommations par usage, articles de la RT …)

• A chaque phase du projet, quantifier les consommations et actualiserl’estimation prévisionnelle de coût d’exploitation (facture énergétique +coût d’entretien / maintenance + coût renouvellement matériel).

• Utiliser un outil dynamique (STD, voire SED) et non un calcul réglementairepour le faire, afin d’approcher la réalité des performances,

• Rappeler les critères d’exploitation, de fiabilité et durabilité desinstallations

• Contrôler les critères de maintenance (exigüité des locaux techniques,éclairement, traitements murs, sols, plafond, ventilation)

12Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

Phase conception de l’opération (PRO-DCE)

Description de :

• l’analyse fonctionnelle de l’installation, avec précision des variations enfonction des différents cas rencontrés selon la période de l’année,

• Les algorithmes de pilotages des installations complexes,

• Les études d’exécution attendues et devant figurer dans un DOE : enétablir la liste précise et exhaustive dans le CCTP travaux, avec notamment:

– Préconisations concernant le traitement d’eau (analyses d’eau impératives),

– Equipements pour protéger l’installation,

– Equipements pour réaliser des mesures et comptages,

– Equipements pour régler les distributions (vannes ou organes d’équilibrage)

– Calculs réglages organes d’équilibrage (indispensables pour mise au point !)

– Qualité de renseignement des Plans d’exécution

13Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

Phase assistance au contrôle des marchés de travaux - ACT

Respect de fourniture des matériaux et matériels attendus :

• Contrôle des dossiers marchés pour valider la qualité des réponses des entreprises

en conformité avec les demandes du DCE,

Mise au point des marchés :

• Négociation et validation des offres :

– Adaptation selon le cas avec les entreprises de la qualité des matériaux et

matériels proposés pour répondre aux attentes

• Conseils au maître d’ouvrage pour retenir les offres techniques les « mieux

disantes » (rapport qualité – prix – conformité),

14Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

Phase réalisation des installations techniques – VISA / DET

Respect théorique de la performance énergétique :

• contrôler le maintien des performances énergétiques à partir des fichestechniques matériaux et matériels proposés par les entreprises,

• contrôler la capacité des équipements à intégrer les demandes de l’analysefonctionnelle, et la possibilité de programmer les algorithmes souhaités,

Respect pratique de la performance énergétique :

• contrôler physiquement la validité des matériaux et matériels introduitssur le chantier, pour éviter les substitutions de dernière minute,

• si modification, à matériel équivalent, valider la capacité de ce nouveléquipement à intégrer les demandes de l’analyse fonctionnelle, et lapossibilité de programmation des algorithmes tel que souhaité,

15Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX

Phase réalisation des installations techniques - DET

Contrôle de vigilance :

• contrôler à l’avancement la mise en œuvre des matériel et matériaux par lesentreprises, en cohérence avec les plans, CCTP, fiches techniques et demandesconstructeurs, pour garantir la performance in fine,

• Réaliser des réunions techniques de contrôle sur chantier à des phases cléd’avancement,

Pré-Réceptions intermédiaires :

• Pré-réception à l’avancement des lots d’enveloppe :– Qualité de pose et continuité de traitement de l’ensemble des isolants (avant pare pluie

et vêture),

– Etanchéité visuelle à l’air avant pose vêture : pose pare-vapeur et pare-pluie, traitementdes liaisons (menuiseries, acrotères, sous faces, ….), …

• Pré-réception à l’avancement des lots techniques :– Qualité d’installation du traitement d’air, jonction des gaines, réseaux divers et organes

techniques avant fermeture des faux plafonds, faux planchers, gaines techniques,…

– Conformité des installations solaires et/ou PV avant fermeture des sous face de toiture,…

– …

16Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX

Phase réalisation des installations techniques – DET/AOR

Mise au point : vérifier que les équipements installés peuvent être mis en

marche

• Mise au point statique :

– Essais d’étanchéité (à l’eau ou à l’air en fonction des risques) : valeur des

réglages et des mesures à renseigner,

– Essais de pression : valeur des réglages et des mesures à renseigner,

– Rinçage et nettoyage : procédure à détailler,

– Remplissage et purge : analyses d’eau avant et après traitement, dosage des

produits etc…

17Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX MAP

Phase réalisation des installations techniques – DET/AOR

• Mise au point dynamique :– Vérifications des armoires électriques (sécurité, schémas électriques, étiquetage,

calibre disjoncteurs, tensions, reports d’alarmes, etc …)

– Mise en marche des circulateurs et ventilateurs (mesures sens de rotation entriphasé, mesures I démarrage, I abs au point nominal, mesures pressiondifférentielle à débit nul, vérification variation …)

– Mise en marche des équipements autres que générateurs (maintien de pression,soupapes, vannes arrêt, régulation …)

– Mise en marche des générateurs (réglage et mesures des débits d’air, rendement decombustion et/ou production, mesures des puissances …)

– Réglage d’équilibrage des distributions (mesures des ΔP, ΔT, débits, écarts parrapports aux calculs)

– Essais en température (relevés des valeurs obtenues),

– Réglages de la régulation (vérifications des valeurs des capteurs, des commandes,des asservissements, relevés de tous paramètres )

– Acoustique : mesures des valeurs des niveaux de bruit

18Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX MAP

Phase réception des installations techniques

• Lors de la réception :

– Test de perméabilité à l’air, pour valider la qualité de réalisation de l’enveloppe,

– Thermographie infra-rouge (selon période) pour la qualité de pose de l’isolant,

– Visite technique de l’installation réceptionnée,

– Contrôle de la présence de tous les équipements,

– Vérification si possible du fonctionnement de l’installation (sondage sur obtention des

températures d’émetteurs) sinon, réserve en attente de vérification durant la première

année d’exploitation pour les équipements ne pouvant être validés en fonctionnement

(installation non encore opérationnelle, GTB non paramétrée, systèmes dédiés au confort

d’été réceptionnés en hiver…)

– Vérification par sondage de la conformité des réglages avec les informations des études

d’exécution (ex : nombre de tours réglés sur organe d’équilibrage)

• Remise des dossiers techniques :

– DOE, DIUO, DUEM, MAP remis soit en phase réception, soit lors de la mise en service

après réception ( lors de la prise en main ou lors de la formation des utilisateurs)

19Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX MAP

Phase mises en service des installations techniques

• Parachèvement des réglages– Ajustement des courbes de régulation

– Ajustement des paramétrages des régulateurs et programmateursd’intermittence en fonction des besoins réels constatés,

• Mise en main des installations auprès des utilisateurs– Présentation des instructions utiles aux usagers (réglages simples),

conduites à tenir en cas d’insatisfaction,

– Formation du personnel compétent à l’utilisation et au suivi de la GTBet/ou des automates de pilotage. Contrôle de l’interrogation à distance,

• Instructions pour la maintenance– Fournir à l’utilisateur, à l’AMO en charge de la rédaction du contrat

d’exploitation ou directement à l’exploitant des installations techniques, leDUEM (Dossier d’Utilisation d’Exploitation et de Maintenance) regroupanttoutes les gammes de maintenance des équipements et le dossier de MAP.

20Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX MAPREUNION

PASSATION INSTALLAT°

Phase suivi d’exploitation des installations techniques

Accompagnement durant 1 à 3 ans

• Analyse à distance,– Analyse par accès à distance à la GTB, du bon fonctionnement des installations,

– Contrôle et analyse des facturations,

• Visites de contrôle trimestrielle de fonctionnement sur site ,– Mesure des principaux paramètres de confort (T°, HR, vitesse d’air, niveaux

d’éclairement, FLJ, niveau de bruits d’équipement, …),

– Mesure de l’obtention ou de la tenue des valeurs techniques initiales (mesures desΔP, ΔT, débits, rendement de combustion et/ou production, mesures despuissances,…),

– Ajustement, voire optimisation des paramétrages de réglages et validation du bonfonctionnement de l’ensemble des différents organes,

– Contrôle des algorithmes et des programmations,

• Rapports trimestriels avec justification des écarts et propositionsd’optimisations résiduelles,

21Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX MAPREUNION

PASSATION INSTALLAT°

SUIVI D'EXPLOITATION

Déroulement idéal d’une opération

22Mai 2014

ETUDES

TH. REG.

PROG. TECH.

CONCEPT°

TRAVAUX

GPA : 1 an

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MAP

GBF : 2 ans

ENTRETIEN MAINTENANCE PAR SOCIETE

D'EXPLOITATION

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SUIVI D'EXPLOITATION ENTRETIEN CONDUITE PAR L'INSTALLATEUR

GPEI : Garantie de Performance Energétique IntrinsèqueLa Garantie de Performance Energétique Intrinsèque (GPEI) se situe au stade conception et

travaux. Elle a pour objet de garantir un niveau maximal de consommations énergétiques

« conventionnelles », prédéterminées. Elle s’applique à un ou plusieurs bâtiments, qu’elle qu’en

soit la destination, en neuf ou en rénovation. Les usages visés sont les 5 usages de la

réglementation. Si des non-conformités sont constatées, le tiers spécialisé s’engage à les traiter et

à réparer au titre de sa garantie.

GRE : Garantie de Résultats EnergétiquesAu delà de la GPEI, la Garantie de Résultats Energétiques (GRE) incorpore la maintenance-

exploitation et l’usage. Elle a pour objet de garantir un niveau maximal de consommations

énergétiques effectives en énergie finale, sur un périmètre d’usages librement fixé. Elle s’applique

à un ou plusieurs bâtiments, qu’elle qu’en soit la destination, en neuf ou en rénovation, ou même

sans travaux. Si les consommations effectives sont supérieures aux consommations garanties, le

tiers spécialisé doit payer une pénalité. Dans le cas inverse, un partage des économies est

envisageable. Une GPE courte durée a été imaginée, qui prend fin un an ou deux ans après

réception.

23Mai 2014

Le commissionnement : les Garanties

Charte d’engagement relative à la Garantie de Performance Energétique Intrinsèque

Entre les 16 signataires suivants :

• BNP Paribas Real Estate représentée par Jean-Pierre Auriault, Directeur du Développement Durable ;

• Cardonnel Ingénierie, représentée par Christian Cardonnel (également CINOV);

• Cequami, représentée par Patrick Nossent, Président ;

• Cerqual, représentée par Antoine Desbarrières, Président ;

• Certivéa, représentée par Patrick Nossent, Président ;

• CINOV Construction, représenté par Gilles Charbonnel, Président ;

• La Coprec, représentée par Jacques Jessenne, Président ;

• Le CSTB, représenté par Bertrand Delcambre, Président ;

• La Fedene, représentée par Jean-Claude Boncorps, Président ;

• GDF Suez Cofely Axima, représentée par Benoît Cogné, Responsable Cellule Energétique

• GDF Suez Cofely Services, représentée par Jean Roland, Directeur Technique Innovation et Performance ;

• GRAS SAVOYE, représentée par Claude Noël, Directeur Développement Construction et Real Estate ;

• Syntec-Ingénierie, représenté par Frédéric Moreaux, Président du Bureau Bâtiment ;

• Verspieren, représentée par Claude Delahaye, Directeur du pôle Immobilier-Construction et

développement durable ;

• L’Association Apogée, représentée par Michel Zulberty, Président ;

• Le Plan Bâtiment Durable, représenté par Philippe Pelletier, Président

24Mai 2014


Les motifs et enjeux :

• Les lois Grenelle de 2009 et 2010 imposent d’améliorer la performance

énergétique des bâtiments existants : diminution des consommations d’énergie,

diminution des émissions de gaz à effet de serre, amélioration du confort

thermique.

• Le plan de rénovation énergétique, annoncé le 21 mars dernier par le Président de

la République, prévoit notamment la rénovation de 500.000 logements par an d’ici

à 2017 :

– 380.000 logements privés rénovés par an, dont 50.000 logements d’occupants en

situation de précarité,

– 120.000 logements sociaux par an à partir de 2015.

• Les travaux nécessaires sont souvent importants : par exemple de l’ordre de 15.000

à 20.000 euros par logement, voire plus (hors autres travaux de réhabilitation),

imposant de pouvoir sécuriser les investissements,

• Notion qui introduit la garantie contractuelle de performance énergétique (rapport de Caroline Costa et Michel Jouvent – avril 2012)

25Mai 2014


LA GPEI : Sur quoi porte t’elle ?

• Objet : La Garantie de Performance Energétique Intrinsèque (GPEI) a pour objet :

– garantir, de façon contractuelle et librement décidée entre les acteurs concernés, une

efficacité énergétique au stade de la conception et des travaux,

– garantir un niveau maximal de consommations énergétiques prédéterminé et convenu

entre les parties, lié à un scénario d’utilisation fixé par le maître d’ouvrage et adapté aux

besoins et à des données choisies pouvant différer des hypothèses prises dans le calcul

réglementaire (par exemple données météo),

• Consommations visées = les cinq usages de la réglementation RT 2012 (chauffage,

refroidissement, production d’eau chaude sanitaire, éclairage, auxiliaires - pompes et

ventilateurs). Les autres consommations (ventilation et éclairage des parkings, éclairage

extérieur, électro-ménager, bureautique, etc.) ne sont pas visées par la GPEI,

• Le niveau de consommations énergétiques garanti est décidé entre les parties,

• Objectif : Il peut se situer en deçà des consommations fixées par les

réglementations relatives aux bâtiments neufs et aux bâtiments existants. Il peut

se situer également au niveau réglementaire, mais avec un scénario d’utilisation,

fixé par le maître d’ouvrage, plus exigeant que celui de la réglementation,

26Mai 2014


LA GPEI : Quel niveau de risque ?

• Il s’agit de consommations calculées au moyen de logiciels, et non mesurées grâce

à des comptages,

• L’application de la garantie est réalisée en comparant aux consommations

garanties les consommations recalculées à la réception selon la méthodologie

décrite dans l’accord contractuel à l’issue de la période d’ajustement, notamment

lorsque des non-conformités ont été repérées et en tenant compte du niveau de

complexité du bâtiment. Elle donne lieu à une attestation de garantie GPEI. La

durée de la garantie est fixée entre les acteurs et dépend de la nature des

bâtiments concernés et de leur complexité.

• L’opérateur qui garantit doit déployer tous ses efforts pour respecter ses

engagements : si des non-conformités sont constatées, l’opérateur s’engage à les

traiter et à réparer au titre de la garantie. Dans le cas où le niveau de

consommation garanti ne peut être respecté in fine, des indemnités peuvent être

dues par l’opérateur, sans préjuger des conséquences en matière de non respect

de la réglementation, si cette dernière n’est pas respecté. On peut invoquer alors

la notion « d’Impropriété à destination »

27Mai 2014


LA GPEI : Qui prend le risque ?

Plusieurs cas de figure sont envisageables selon la nature de l’opération :

• cas 1 - Procédure classique maîtrise d'oeuvre : (MOE) et entreprise (ENT) séparées.

L'opérateur porteur de la garantie peut être la Maîtrise d'oeuvre ou/et l'Entreprise.

• cas 2 - Procédure concepteur-réalisation : Contrat regroupant la Maîtrise d'oeuvre

et l'entreprise. L'opérateur porteur est le groupement titulaire du marché.

• cas 3 - Procédure contrats globaux associant la conception, la réalisation des

travaux, l'exploitation et la maintenance (CREM, REM,...) : L'opérateur porteur de la

garantie est le titulaire du contrat global. Dans le cas général, un groupement sera

constitué avec maîtrise d'œuvre (concepteur), entreprise et exploitant.

• cas 4- VEFA ou marché de promotion : le vendeur ou le promoteur porte les

garanties.

D'autres cas peuvent être envisagés pour porter la garantie GPEI : entreprise générale,

société d'ingénierie, AMO, contrôleur technique dans le cadre d’une mission spécifique,

contractant général, exploitant, etc... Dans les cas 1 et 2, l'exploitant (EXP), s'il existe,

pourrait collaborer avec le ou les opérateurs.

28Mai 2014


LA GPEI : Que couvre t’elle ?

Elle ne prend pas en charge :

• Les consommations réelles mesurées par comptage,

• Les consommations liées aux usages qui sont en dehors des cinq usages visés par la

RT 2012 et la réglementation sur l’existant globale,

• Les conditions de maintenance et d’exploitation réelles, les conditions d’utilisation

réelles, les conditions climatiques particulières réelles, les effets « rebond » relatifs

au comportement des utilisateurs, etc.

Elle facilite :

• le respect de la réglementation,

• la mise en place d’une Garantie de Résultats Energétiques (GRE), sans toutefois

couvrir le même périmètre de consommations.

Elle peut être une aide à la mise en place d’une annexe environnementale.

29Mai 2014


Quel outil ? = SED (Simulation Energétique Dynamique) !! :

Cet outil doit prendre en compte :

• les objectifs de performance énergétique souhaités,

• les données climatiques,

• l’environnement du bâtiment,

• les caractéristiques énergétiques du bâtiment et de ses équipements, incluant les

équipements de gestion et régulation,

• les équipements « mobiliers » prévus pour être ajoutés après la livraison,

• les scénarios d’occupation et le comportement des occupants.

Le logiciel doit permettre de mettre à jour les données à chaque phase du projet et de

« tenir le cap » des consommations garanties au fur et à mesure de la conception, puis

de la construction du bâtiment, jusqu’à la date d’échéance de la garantie.

Le choix du logiciel de SED à utiliser est libre, mais il a été établi une grille des

caractéristiques minimales devant être respecté par les logiciels pouvant être choisis.

30Mai 2014


SED (Simulation Energétique Dynamique) :

En outre, l’outil doit être opposable contractuellement et rappeler les hypothèses de

calcul prises (les logiciels tels que TRNSYS, TAS, ENERGY+, etc. peuvent répondre à cette grille minimale).

Les énergies renouvelables (EnR) doivent être prises en compte, dans la mesure où

elles couvrent tout ou partie du champ des cinq usages couverts par la GPEI.

Les personnes chargées de la mise en œuvre de l’outil doivent avoir reçu la formation

nécessaire et l’opérateur doit avoir la qualification nécessaire (NF études thermiques,

OPQIBI, ou équivalent).

Le moteur de calcul de la Réglementation Thermique RT 2012 n’est pas un outil apte à

prendre en compte ces aspects puisque ces données ne sont pas modifiables

31Mai 2014



32Mai 2014


Fonctionnalités d'un logiciel de calcul de simulation énergétique dynamique

MODULES

GENERAUX

Thermiqueconsommation d'énergie

confort d'été

Aéraulique

Eclairage naturel

Hydrique

Apports interneschaleur

vapeur d'eau

Scénarii de présence

Comportement des

occupants

points de consigne chaud et froid

ouverture et fermeture des baies

protections mobiles des baies

éclairage

eau chaude sanitaire

débits de ventilation


33Mai 2014



Modules

systèmes

énergétiques

Chauffage

émission

distribution

génération

Refroidissement

émission

distribution

génération

ECS

émission

distribution

génération

VentilationVentilation seule

Traitement de l’air

Eclairage

Production locale

d’énergie

Photovoltaïque

Cogénération


34Mai 2014



Systèmes

de gestion

régulation

Chauffage

Emission

Température des réseaux de distribution

Commande des pompes

Intermittence

Commande des générateurs

Priorité des générateurs

Refroidissement

Emission

Température des réseaux de distribution

Commande des pompes

Intermittence

Commande des générateurs

Priorité des générateurs

Asservissement chauffage/refroidissement


35Mai 2014



Systèmes

de gestion

régulation

Eau chaude

sanitaire

Température de stockage

Commande de la pompe

Ventilation

et

climatisation

Débits d'air au niveau des pièces

Débits en centrales

Protection contre le gel

Récupération de chaleur

Refroidissement gratuit

Température air introduit

Humidification

EclairageEn fonction sur l'occupation

En fonction de la lumière naturelle

BâtiCommande des stores

Commande des baies

GPEI : Pré-programmation-programmation

36Mai 2014


N° PRE-PROGRAMMATION ET PROGRAMMATION

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1 Analyse d'opportunité et de faisabilité T O O 3

2 Décision de s'orienter vers une GPEI (plutôt que GRE, ou rien) T O O 3

3 Etablissement du pré-programme T O O 2

4Audit complet de l'existant (identité/santé/ usages/consos, etc.) avec

préconisations/prescriptionsO O O 3

5Audit complet de l'existant (identité/santé/ usages/consos, etc.) sans

préconisations/prescriptionsE O O O O 3

6 Analyse du site (parcelles, altimétrie, exposition, masques, etc.) T O O O 2

7 Rédaction du programme de l'opération T O O 3

8Définition des usages, occupation, équipements mobiliers, du mode de

gestion et pilotage des équipements , etc. du projetT O 3

MOA : Maîtrise d’Ouvrage, MOE = Maîtrise d’Oeuvre, CT: Contrôle Technique AMO: Assistance Maître d‘Ouvrage, ENT: ENtreprise de

Travaux, UTI : UTIlisateur, EXP : EXPloitation/maintenance

ETAT : N = Neuf, E = Existant, T = Tout NIVEAU : 1 = Sensible, 2 = Fort, 3 = Prépondérant

GPEI : Pré-programmation-programmation

37Mai 2014


N° PRE-PROGRAMMATION ET PROGRAMMATION

E

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M

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9

Définition des performances énergétiques attendues et des niveaux de

service et de confort à prendre en compte dans le cadre de la garantie

(consommations, émission des CO², température, ventilation, qualité de

l'air, confort, etc.)

T O O 3

10

Etablissement du protocole ou cahier des charges de la GPEI : enjeux,

performances, grandeurs à mesurer, instrumentation, méthodologie , choix

de l'outil de calcul, mesures et vérifications, finesse de modélisation,

constats, réglages, etc).

T O O 3

11Définition de l'ensemble des modalités et des paramètres qui seront pris en

compte pour le contrôle final et la mise en œuvre de la garantieT O O 3

12

Détermination des qualifications requises pour l'opérateur. Vérification de

son assurabilité en regard des caractéristiques de l'opération. Prise en

compte dans la sélection, des références, moyens et attestation des maîtres

d'ouvrage ayant recours à des garanties similaires ou des niveaux de

performance élevés.

O 3

MOA : Maîtrise d’Ouvrage, MOE = Maîtrise d’Oeuvre, CT: Contrôle Technique AMO: Assistance Maître d‘Ouvrage, ENT: ENtreprise de

Travaux, UTI : UTIlisateur, EXP : EXPloitation/maintenance

ETAT : N = Neuf, E = Existant, T = Tout NIVEAU : 1 = Sensible, 2 = Fort, 3 = Prépondérante

Impression générale….

38Mai 2014


GPEI :

• Porte sur les 5 usages thermiques réglementaires (RT 2012)

• Scénarii adaptés au donneur d’ordre,

• Consommations calculées uniquement,

• Arrêt à la livraison (voire 1 an après) pour connaître le projet final,

• Le bâtiment est remis en ordre si problème (reprise des solutions techniques déficientes)

GRE :

• Incorpore : Les usages, l’exploitation, le vieillissement,

• Prend en compte toutes les consommations (au-delà des postes RT, … informatique, process),

• Peut également utiliser un scénario adapté,

• Mesure réelle des consommations,

• Durée plus ou moins longue à définir (pour PPP = 20 à 30 ans),

• Indemnité sur la durée….

Limitation de la Garantie Décennale pour « Impropriété à Destination » pour des raisons

thermiques.

Assurance : Les assureurs sont Ok pour la GPEI, pas très chaud pour la GRE.

GRE / Evolution : les missions, les risques ….

39Mai 2014


Selon les types de contrat et les solutions retenues, il faut définir qui prend la responsabilité :

• en PPP = il est déduit une « matrice de responsabilité »

• en MOE classique, si le maître d’œuvre se dédit en cours de route, il perd une partie de sa

rémunération.

Cela induit le développement de nouvelles compétences :

• Supplémentaires :– Commissionnement,

– Mesure et vérification,

– Analyse et quantification des risques,

• Autres compétences :– Médiation,

– Communication (sociologie de l’énergie pour associer les utilisateurs),

– Gestion de l’énergie,

– Ingénierie d’exploitation et ingénierie énergétique,

– Compétence juridique (rédaction de contrat),

– Formation, et certification….

La GARANTIE DE RESULTAT entraîne deux solutions possibles :

• Soit pénalité = approche financière, voire refus de l’ouvrage !

• Soit remboursement du coût des travaux = approche réparatrice

= Assurance !

GRE / Evolution : les missions, les risques ….

40Mai 2014


Selon les types de contrat et les solutions retenues, il faut définir qui prend la responsabilité :

• en PPP = il est déduit une « matrice de responsabilité »

• en MOE classique, si le maître d’œuvre se dédit en cours de route, il perd une partie de sa

rémunération.

Cela induit le développement de nouvelles compétences :

• Supplémentaires :– Commissionnement,

– Mesure et vérification,

– Analyse et quantification des risques,

• Autres compétences :– Médiation,

– Communication (sociologie de l’énergie pour associer les utilisateurs),

– Gestion de l’énergie,

– Ingénierie d’exploitation et ingénierie énergétique,

– Compétence juridique (rédaction de contrat),

– Formation, et certification….

La GARANTIE DE RESULTAT entraîne deux solutions possibles :

• Soit pénalité = approche financière, voire refus de l’ouvrage !

• Soit remboursement du coût des travaux = approche réparatrice

Vive le B to B !

= Assurance !

GRE / Evolution : les outils ….

41Mai 2014


AUDIT : Dans l’existant, la qualité de l’audit initial est essentiel pour une juste évaluation des gains :

• La fourchette d’erreur due à la mauvaise qualité de l’audit dépasse 60% de la valeur retenue,

• Des protocoles se mettent en place pour cadrer l’audit dans sa pratique :

– Citer les sources (DOE, relevé, mesures,..)

– Associer une marge d’erreur au paramètres retenus,

– Préciser comment le modèle a été calé sur l’audit initial (ex : renouvellement d’air),

– Fournir les référence et test de validation du modèle de calcul,

– Fournir les compétences de l’opérateur (formation),

• Pour les mesures :

– Mesures préalables d’étanchéité à l’air,

– Relevé fin des masques proches et lointains,

– Thermographie infrarouge,

– Lasergramétrie (prise de points 3D ) et/ou Photogramétrie (prise de photos avec

intégration 3D), et/ou Topométrie (prise de mesure) = scanner laser 3D,

GRE / Evolution : les outils ….

42Mai 2014


AUDIT : Pourtant on recherche en parallèle une méthode rapide pour évaluer le gain par :

– une sensibilité aux paramètres, pour définir une notion d’incertitude,

– des mesures ponctuelles pour réduire l’écart supposé et donner une valeur associée à une

marge d’erreur ?!!

– une réflexion de distribution de probabilité sur les paramètres,

– un tri sur l’influence des paramètres afin de créer une distribution de probabilité par

propagation d’incertitude : méthode de « criblage de Morris »

– actuellement la formule approchée est « moyenne + 1,6 fois l’écart type » = 40% d’erreur !

Mais la démarche est intéressante !! (dixit)

– modélisation de calibrage avec logiciel RETROFIT (modélisation dynamique inversée)

Un leitmotiv : le besoin de Massification = Attention Danger !

Cela entraîne une action en décennale au-delà de la valeur de consommation

conventionnelle retenue (pondérer par exemple d’un tunnel de ± 20%).

Au-delà pénalité, en deçà partage des gains supplémentaires à 50/50 avec MOA.

GRE / Evolution : vers où allons nous ….

43Mai 2014


La conception d’outils de SED (Simulation Energétique Dynamique) pour plus de précision, mais il

s’agit finalement de la STD mais correctement réalisée !

La maquette numérique (BIM), associé au Scan 3D pour révolutionner la saisie de l’existant,

La recherche de méthodologie simplifiée ?? de sensibilité aux paramètres pour massifier les

audits énergétiques afin de répondre aux énormes besoins à venir de la rénovation de l’existant.

Le Ministère crée un Groupe Rénovation Energétique confié à …. DELTADORE et POINT P ?????

(n’est ce pas la théorie du renard libre dans le poulailler libre ?)

La montée en charge de la garantie de résultat à travers la GPEI et la GRE, car il y a un busine$$

très important pour :

• Les compagnies assurances, les organismes bancaires,

• les organismes de contrôle,

• Les organismes de formation,

• Les organismes de certification (souvent les mêmes !),

• Les très grosses structures d’exploitation qui seront capables de « massifier » les prestations,

44Mai 2014

SNCU : Syndicat National du Chauffage

Urbain et de la Climatisation Urbaine

SNEC : Syndicat National de l'Exploitation

Climatique et de la Maintenance

SVDU : Syndicat National du Traitement

et de la Valorisation des Déchets Urbains

et Assimilés

SYPIM : Syndicat du Pilotage et de la

Mesure de la performance énergétique

SYNASAV : Syndicat National de la

Maintenance et des Services en efficacité

énergétique

SYPEMI : Syndicat Professionnel des

Entreprises de Multiservice Immobilier et

de Facilities Management

Fedene rassemble 6 Syndicats

Professionnels

Les adhérents de Fedene sont les

premiers opérateurs d'énergies

renouvelables en France (géothermie,

biomasse, biogaz, éolien, ...)

Le commissionnement : les GarantiesA qui profite le crime ….

A qui profite le crime ….

45Mai 2014


SNCU : Syndicat National du Chauffage

Urbain et de la Climatisation Urbaine

SNEC : Syndicat National de l'Exploitation

Climatique et de la Maintenance

SVDU : Syndicat National du Traitement

et de la Valorisation des Déchets Urbains

et Assimilés

SYPIM : Syndicat du Pilotage et de la

Mesure de la performance énergétique

SYNASAV : Syndicat National de la

Maintenance et des Services en efficacité

énergétique

SYPEMI : Syndicat Professionnel des

Entreprises de Multiservice Immobilier et

de Facilities Management

Fedene rassemble 6 Syndicats

Professionnels

Les adhérents de Fedene sont les

premiers opérateurs d'énergies

renouvelables en France (géothermie,

biomasse, biogaz, éolien, ...)

Nous vivons une

époque moderne, le

futur ne manque pas

d’avenir !!

Sté ADDENDA RN Auch – 32300 MIRANDE - Tél : 05.62.66.92.50 – Fax : 05.62.66.92.51 - Email [email protected]

ATMOSPHERES 16, Chemin du TUCOL – 31790 SAINT JORY – Tél : 05.61.35.40.43 – Email : [email protected]

Documents

Le commissionnement : de la conception à l’exploitation · Mai 2014 4 ATMO Assistance Technique à Maîtrise d'Ouvrage, SPHERES symbolisant une approche globale des études, 3famillesd’activité: