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Le solstice d’été nous amène les énergies du Cancer qui par essence sont celles de la forme où l’Esprit s’exprime au plan de la Matière. Quelle belle occasion pour parler d’une forme qui nous est chère : notre corps ! Belle occasion aussi, d’en rap- peler l’équilibre entre Esprit et Matière, entre corps de vitalité et partie tangible faite de matière orga- nique, de liquides et de gaz. Presque tous les articles de ce numéro 2 s’appuient peu ou prou sur cette vision des choses. Chaque forme exprime à sa façon le bien, le beau et le vrai chers à Platon. A propos du corps humain, nous serions tentés de privilégier la Beauté (expres- sion du 2 e aspect divin). N’est-ce pas cette beauté, célébrée dans toutes les cultures, qui rend compte avec bonheur de cette rencontre entre le spirituel (Etincelle divine et Ame) et le matériel (nos envelop- pes physique, émotionnelle et intellectuelle). Cette beauté qui ne doit pas nous faire oublier le conflit majeur qu’elle voile, entre ces deux pôles opposés. H. T. Laurency disait qu’un Etre humain c’est beau comme un rocher au milieu de la mer. Nous aimons cette métaphore du rocher battu par tous les vents et qui demeure solide, inaltérable ou presque. Pour l’Etre humain nous savons bien que les vents sont non seulement physiques mais aussi intérieurs et ces derniers ne sont pas les moins dangereux. A propos du corps humain, dans notre évolution psychologique et spirituelle, trois étapes peuvent être distinguées. Notre conscience commence par s’identifier avec la partie la plus tangible de notre corps. Notre époque est particulièrement caractérisée par cette attitude. Recherche de la beauté physique, culte du sport, souci de se préserver du vieillissement cellulaire, en sont quelques exemples. Nous ne portons aucun jugement d’ordre moral. C’est une étape inéluctable et d’autant plus prégnante que notre époque est de plus en plus sous l’influence du Rayon 7 (morphoge- nèse, rythme). L’énergie d’un rayon, et a fortiori le rayon du monde physique, se manifeste d’abord de la façon la plus involutive, la plus matérielle. Puis tout doucement, au milieu de beaucoup de difficultés, nous prenons conscience qu’il y a en nous autre chose, qu’il y a, pour reprendre l’expression récente d’un religieux, « en l’Homme quelque chose de plus grand que l’Homme ». Il s’agit bien sûr de cette âme spirituelle que nous évoquons à longueur de page dans notre revue. Nous sommes deux. Il y a le Soi (notre âme spirituelle) et le Non-Soi (notre per- sonnalité avec son corps physique). Et nous disons à ce moment là : je ne suis pas mon corps, il est seule- ment le véhicule de quelque chose de plus essentiel. Nous éprouvons ainsi la dualité des choses. Du coup nous prenons l’attitude de l’observateur. Nous regardons ce corps physique de plus près. Nous nous posons des questions. Comment se fait-il que ce corps physique exprime tant de choses : de la vitalité à revendre, des émotions se manifestant par émissions de liquides, des souffrances diverses, des fatigues dépressives, etc.. Peu à peu s’installe en nous l’idée que la partie tangible n’est que le récep- teur passif d’une réalité énergétique prodigieuse : notre corps de vitalité. Notre corps physique est donc une résultante de deux éléments. La partie tangible d’un côté, le corps de vitalité de l’autre. C’est ce corps de vitalité qui représente le spirituel dans la partie la plus matérielle de notre Etre. Il est une émanation de notre âme spirituelle. Quand cette dualité est vécue en toute conscience dans cette fusion, on est en contact avec l’énergie pleinement épanouie du Rayon 7. Nos interrogations ne s’arrêtent pas là. Quel est le sens de l’imprégnation des matières solide, liquide, gazeuse de notre corps par cette extension de notre âme spirituelle ? N’y a-t-il pas là, l’occasion, pour ces matières, d’accroître leur vibration magnétique et d’entrer ainsi dans un processus évolutif rédemp- teur ? Après s’être séparé de notre corps physique pour mieux le comprendre, nous ne pouvons que nous fondre spirituellement en lui et l’aimer. Encore une chose à vous dire. Vous avez sans doute déjà vu sur la page de couverture, que ce numéro du « son Bleu » est un numéro double (juin 2007 – septembre 2007). Le thème du corps humain, comme vous pourrez le constater, nous a particuliè- rement inspirés. Plusieurs solutions se présentaient à nous. Le publier tel quel en juin, était financièrement parlant lourd. Le fractionner en deux numéros était préjudiciable à l’unité et à la complémentarité des dif- férentes facettes de ce riche thème. La solution choi- sie n’est pas sans inconvénient : elle vous laisse sans nouvelles pendant six mois. Pour pallier ce manque, vous recevrez début octobre une lettre d’informations qui fera le point sur nos activités. Le numéro de décembre portera sur « Religion et Spiritualité ». Le numéro sur « la synthèse » sortira en mars 2008. Bonne lecture et Bonnes vacances à tous. LE SON BLEU N°2 ET 3 [JUIN/SEPTEMBRE 2007] 1 LE CORPS HUMAIN > EDITORIAL LE CORPS HUMAIN [ROGER DURAND]

LE CORPS HUMAIN - institut-alcor.orginstitut-alcor.org/data/documents/rev2-3.pdf · LE CORPS HUMAIN 1ÈRE PARTIE: LE CORPS, TEMPLE DE LA VIE La constitution trinitaire de l’homme

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mat

érie

llede

son

Etre

pour

donn

erle

corp

sde

vita

lité.

Leco

rps

hum

ain

est

laré

sulta

nte

duco

rps

devi

talit

éép

ousa

ntla

part

ieta

ngib

le(s

olid

e-

liqui

de-

gaze

use)

.Co

mm

ents

aisi

rla

rela

tion

entr

ece

corp

set

laVI

E-U

NE

àl’o

rigi

nede

sch

oses

?

Ière

PARTIE

[RO

GE

RD

UR

AN

D]

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Laco

nst

itu

tio

ntr

init

aire

de

l’h

om

me

L’Et

rehu

mai

nes

tune

étin

celle

divi

ne,u

neâm

esp

iritu

elle

etun

epe

rson

nalit

é(le

pôle

MAT

IER

Ede

notr

esc

hém

ain

itial

).Ce

ttepe

rson

nalit

ées

tqua

dru-

ple

(voi

rla

figur

e2)

:int

elle

ct,é

mot

ionn

el,c

orps

devi

talit

éou

corp

sét

hériq

ue,c

orps

phys

ique

tang

ible

.C’

estl

’inte

rpén

étra

tion

entr

ele

corp

sde

vita

lité

etla

part

ieph

ysiq

ueta

ngib

lequ

ico

nstit

uele

corp

shu

mai

n.To

ute

lady

nam

ique

éner

gétiq

uedu

corp

shu

mai

npr

ovie

ntdu

corp

sde

vita

lité,

lapa

rtie

tang

i-bl

en’

estq

u’un

réce

pteu

rpa

ssif

dece

quis

epa

sse

dans

cede

rnie

r.Le

ssy

stèm

essa

ngui

n,ne

rveu

x,en

docr

inie

n,im

mun

itaire

joue

ntun

rôle

esse

ntie

lda

nsle

tran

sfer

tde

lavi

talit

éau

corp

sor

gani

que.

C’es

tnot

reét

ince

lledi

vine

quii

nsuf

flela

«vie

»da

nsno

tre

corp

s.Ce

tran

sfer

tse

fait

par

unfil

dem

atiè

resu

btile

,le

filde

vie

ousu

trat

ma,

quiv

ient

s’an

crer

dans

lece

ntre

éner

gétiq

uedu

cœur

situ

éen

tre

les

omop

late

sda

nsla

mat

ière

éthé

rique

.Un

deux

ièm

efil

,le

filde

cons

cien

ce,p

artd

el’â

me

spiri

-tu

elle

etse

fixe

dans

lece

ntre

dela

tête

.Le

corp

sde

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lité

aun

stat

utà

part

lors

dela

genè

sede

lape

r-so

nnal

itéà

chaq

uein

carn

atio

n.Il

résu

lteen

effe

td’

une

exte

nsio

nde

l’âm

esp

iritu

elle

dans

lam

atiè

re

phys

ique

dela

pers

onna

lité.

Iles

tdon

clit

téra

lem

ent

l’âm

edu

corp

sph

ysiq

ue.N

ous

verr

ons

ulté

rieur

e-m

entq

uece

corp

sde

vita

lité

estl

eré

cept

eurd

eto

ute

une

série

d’in

fluen

ces.

Ilpo

rte,

entr

eau

tres

prop

rié-

tés,

l’inf

orm

atio

nqu

i«tie

nt»

l’êtr

eob

ject

if.A

lam

ort

del’ê

tre

hum

ain,

les

fils

devi

eet

deco

nsci

ence

sont

coup

és,l

apa

rtie

obje

ctiv

en’

estp

lus

tenu

eet

sedé

s-ag

rège

.En

rem

onta

ntpl

uspr

ofon

dém

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ans

l’int

ério

-rit

éde

notr

eTe

rre,

onpe

utse

dem

ande

ràqu

oico

r-re

spon

dent

ces

étin

celle

sdi

vine

shu

mai

nes.

Ceso

ntto

utsi

mpl

emen

tde

sfr

agm

ents

appa

rten

ant

auco

rps

devi

talit

éde

lagr

ande

Entit

ésp

iritu

elle

inca

r-né

esu

rno

tre

Terr

e:

notr

eLo

gos

plan

étai

re.

Son

corp

sde

vita

lité

n’ét

antq

u’un

epa

rtie

duco

rps

devi

talit

éde

notr

eLo

gos

sola

ire.D

ela

mêm

efa

çon

que

notr

eco

rps

devi

talit

é«

tient

»l’E

tre

hum

ain

obje

c-tif

,le

corp

sde

vita

lité

dece

sgr

ande

sen

tités

«tie

nt»

les

mon

des

obje

ctifs

port

eurs

dem

oult

form

esqu

’elle

son

tédi

fiées

sur

lapl

anèt

eTe

rre

etda

nsle

syst

ème

sola

ire.O

nvo

itdo

ncqu

’en

parla

ntde

la«

vie

»de

notr

eco

rps

hum

ain,

nous

fais

ons

appe

làla

«Vi

deno

sD

ieux

créa

teur

sen

quin

ous

avon

spr

écis

émen

t«la

vie,

lem

ouve

men

tetl

’êtr

e».

ES

PR

ITE

XIS

TE

NC

EP

UR

EV

IE-U

NE

AM

EM

ATIÈ

RE

+

+–

II

III

I Figu

re1

-Les

troi

sde

grés

dela

vie

I-La

VIE

UNE,

L’EX

ISTE

NCE

PURE

,so

uver

aine

,do

ntno

usne

savo

nsrie

net

que

rien

nepe

utal

tére

r.II

-La

VIE

trip

lede

chaq

uefo

rme

etde

laso

mm

ede

tout

esle

sfo

rmes

III-L

’app

aren

cem

atér

ielle

dech

aque

form

equ

eno

usap

pelo

ns“v

ie”.

Lech

emin

emen

tspi

ritue

lrep

rése

nte

lepa

ssag

equ

iva

dela

“vie

ӈ

l’ide

ntifi

cati

onav

ecle

frag

men

tde

VIE

UNE

pré-

sent

ench

aque

form

eou

ESPR

IT.

inte

llect

émot

ionn

el éthe

rique

solid

e,liq

uide

,gaz

eux

fildevie

ousutratma

filde

conscience

Etince

lledivi

ne

Amespir

ituell

e

Per

sonnalité

{{

{

corps de

vitalité

Cen

tre

dela

tête

Cen

tre

ducœ

urcor

pshuma

in

Figu

re2

-La

cons

titu

tion

trin

itai

rede

l’êtr

ehu

mai

n

Leco

rps

hum

ain

résu

lte

del’i

nter

acti

onen

tre

leco

rps

devi

talit

éou

corp

sét

heriq

ueet

lapa

rtie

dens

equ

iest

unré

cept

eurp

assi

fdes

éner

gies

vita

les

4[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Leco

rps

de

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lité

est

un

inte

rméd

iair

eco

smiq

ue

L’in

terf

ace

entr

ela

petit

eun

itéde

vie

que

nous

som

mes

etle

Tout

,est

leco

rps

devi

talit

é.C’

estl

ara

ison

dece

ttedé

nom

inat

ion

:l’in

term

édia

ireco

s-m

ique

(voi

rla

figur

e3)

.

Que

lque

sbr

efs

com

men

taire

ssu

rcha

cun

dece

sef

fect

eurs

:

Les

7ra

yons

ouqu

alit

ésdi

vine

s

Chac

une

deno

sen

velo

ppes

(phy

siqu

e,ém

otio

n-ne

lle,i

ntel

lect

uelle

)es

tcol

orée

par

unra

yon

séle

c-tio

nné

par

l’âm

esp

iritu

elle

aum

omen

tde

l’inc

arna

-tio

net

enfo

nctio

nde

son

dess

ein.

Elle

este

lle-m

ême

colo

rée

parl

’un

des

7ra

yons

.Ce

choi

xes

tcom

plét

épa

rles

cond

ition

sas

tron

omiq

ues

deno

tre

nais

sanc

e(le

spl

anèt

eset

les

cons

tella

tions

sont

des

vect

eurs

dera

yons

).Se

lon

les

mom

ents

deno

tre

vie

oula

pola

risat

ion

deno

tre

cons

cien

ce,c

esra

yons

vont

sem

anife

ster

dans

leco

rps

devi

talit

épa

rle

biai

sde

sH

iéra

rchi

escr

éatr

ices

(Dév

asde

tous

ordr

es)

qui

mod

èlen

t,y

com

pris

phys

ique

men

tta

ngib

le,

leco

rps

hum

ain

(voi

rl’e

nsei

gnem

ent

laps

ycho

-m

orph

olog

ieén

ergé

tique

duco

rps

hum

ain

àl’I

nstit

utAl

cor)

.Ces

Hié

rarc

hies

créa

tric

esso

ntle

sag

ents

actif

set

invi

sibl

esde

sra

yons

.

Lato

tali

téde

sêt

res

man

ifes

tés

Tout

efo

rme

poss

ède

unco

rps

éthé

rique

.Ily

aun

cont

inuu

mde

rela

tions

éthé

rique

sen

tre

tout

esle

sfo

rmes

etdo

ntno

usne

som

mes

pas

cons

cien

tsle

plus

souv

ent.

Les

œuv

res

d’ar

t,le

sco

nstr

uctio

nsré

sulta

ntde

late

chno

logi

ehu

mai

ne,o

ntun

corp

sét

hériq

ue.L

abe

auté

irrad

iepa

rle

corp

sde

vita

lité.

Les

plan

spl

anét

aire

set

sola

ires

Not

reco

rps

devi

talit

ées

ttou

tpar

ticul

ière

men

ten

rela

tion

avec

l’éth

ériq

uepl

anét

aire

.Il

ya

une

osm

ose

entr

eno

sco

mpo

rtem

ents

pers

onne

lset

l’é-

thér

ique

plan

étai

re.L

espr

oblè

mes

depo

llutio

nso

nten

gran

depa

rtie

laré

sulta

nte

dece

tteos

mos

e.Le

spe

rtur

batio

nsde

notr

eém

otio

nnel

nepe

uven

t-el

les

pas

entr

aîne

rdes

déso

rdre

sde

l’ém

otio

nnel

etde

l’é-

thér

ique

plan

étai

res

etpa

rvo

iede

cons

éque

nce

expl

ique

rles

pollu

tions

del’e

au?

Laré

cept

ion

duPr

ana

C’es

tune

fonc

tion

esse

ntie

lledu

corp

sde

vita

-lit

é.L’

info

rmat

ion

àl’o

rigin

ed’

une

form

evi

entd

espl

ans

spiri

tuel

sm

ais

estr

elay

éepa

rle

corp

sde

vita

-lit

é.To

ute

form

ecr

éée

phys

ique

men

tdi

spos

een

outr

ed’

une

éner

gie

deba

se,p

orté

epa

rle

cent

reba

sal(

chez

l’hom

me

lece

ntre

àla

base

dela

colo

nne

vert

ébra

le).

Lavi

talit

éde

tout

efo

rme

vadé

pend

rede

saca

paci

téà

fusi

onne

rso

nén

ergi

eba

sale

avec

lePr

ana,

l’éne

rgie

vita

leve

nant

duso

leil

etqu

ient

re-

tient

lavi

eou

ladé

trui

t,qu

and

lem

omen

test

venu

.

Les

véhi

cule

spé

riod

ique

s

Iln’

ya

d’ét

erne

letd

epo

rteu

rde

«vi

éter

nelle

que

nos

étin

celle

sdi

vine

s.Le

své

hicu

les

éphé

mèr

es(p

erso

nnal

ité,â

me

spiri

tuel

le,t

riade

spiri

tuel

le)

neso

ntqu

ede

sre

lais

tem

pora

ires

pour

qu’u

njo

urno

tre

étin

celle

divi

nepu

isse

sem

anife

ster

plei

ne-

men

tdan

sun

corp

sph

ysiq

ue.N

otre

étin

celle

divi

neet

nos

7ce

ntre

sén

ergé

tique

sre

prés

ente

nt«

leco

rps

inco

rrup

tible

»de

St-P

aul.

Les

cond

itio

nsam

bian

tes

Der

rière

ces

mot

sse

prof

ilent

tout

esle

sco

ndi-

tions

visi

bles

ouin

visi

bles

d’un

mom

entd

el’h

isto

ire.

Cequ

eno

usap

pelo

nsso

uven

tle

hasa

rd,l

aco

ntin

-ge

nce.

Un

exem

ple

clas

siqu

een

biol

ogie

:la

fam

euse

séle

ctio

nna

ture

lle.

N’e

st-e

llepa

sin

finim

ent

plus

déte

rmin

éequ

eno

usle

pens

ons?

Ne

corr

espo

nd-

elle

pas

àde

sch

ange

men

tsde

rayo

nqu

ipeu

vent

agir

surl

eco

rps

devi

talit

éde

cert

aine

sfo

rmes

natu

-re

lles

etm

odifi

er,t

rans

form

erun

ees

pèce

enun

ees

pèce

nouv

elle

?O

uen

core

être

laca

use

des

gran

dssa

uts

qual

ifica

tifs

cons

taté

sda

nsl’é

volu

tion.

Les

corp

ssu

btil

s

Leco

rps

devi

talit

ées

ttou

tpar

ticul

ière

men

ten

réso

nanc

eav

ecle

corp

sém

otio

nnel

.Les

pert

urba

-tio

nsde

cede

r nie

ren

traî

nent

bon

nom

bre

dem

al-

adie

s,pa

rle

biai

sdu

corp

sét

hériq

ue.E

nre

vanc

he,

unco

rps

émot

ionn

elst

abili

sépa

rl’â

me

spiri

tuel

leet

lepl

andu

cœur

(lepl

anbu

dhiq

ue)

vaap

port

erun

efo

rme

d’ha

rmon

ieda

nsle

corp

sph

ysiq

ue.

Les

état

sde

cons

cien

ce

Leco

rps

devi

talit

ées

tle

gran

dre

lais

dela

créa

-tiv

itéhu

mai

ne.L

eco

ntac

tde

plus

enpl

usco

nsci

ent

avec

lepl

andu

cœur

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desc

endr

eda

nsle

mon

deph

ysiq

ue«

levr

ai,l

ebe

auet

lebi

en».

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Du

corp

sh

um

ain

àla

Vie

-Un

eN

ous

nefe

rons

que

repr

odui

reun

anci

enco

m-

men

taire

2qu

irés

ume

tout

.Les

mot

sde

Père

,Mèr

e,Fi

lsse

rapp

orte

ntà

l’étin

celle

divi

ne,à

lape

rson

na-

lité

etto

utpa

rtic

uliè

rem

entà

notr

eco

rps

età

l’âm

esp

iritu

elle

ouSo

i.O

npe

utré

sum

erla

séqu

ence

des

évén

emen

tsde

lafa

çon

suiv

ante

:le

Père

ouEs

prit

sem

anife

ste,

crée

enad

ombr

antl

aM

ère.

Lasu

bsta

nce

mat

erne

llein

telli

gent

efo

urni

tle

corp

squ

ienf

ante

duFi

ls.L

eFi

lsré

vèle

etre

liel’a

spec

tsup

érie

urà

l’asp

ect

infé

rieur

.Not

reco

rps

estu

nfr

agm

entd

ela

Mèr

edu

Mon

de.

«Je

pren

dsun

corp

s.Ce

corp

ses

tvi

vant

.Je

conn

ais

savi

e.Pa

rcon

séqu

ent,

jeco

nnai

sm

am

ère.

J’ut

ilise

unco

rps:

leco

rps

n’es

tpas

moi

.Je

sers

legr

oupe

,etd

ans

cette

vie

dese

rvic

e,je

suis

àl’i

n-té

rieur

dece

corp

s,dé

tach

é,un

fils

deD

ieu.

Jeco

nnai

sm

onSo

i.

J’in

fuse

unco

rps.

Jesu

issa

vie

etda

nsce

ttevi

eje

verr

aila

vie.

Cette

vie

estc

onnu

eco

mm

eam

our.

Jesu

isl’a

mou

rde

Die

u.Je

conn

ais

lePè

reet

jesa

isqu

eSa

vie

esta

mou

r.

Jesu

isle

corp

set

savi

eai

man

te.J

esu

isle

Soi

dont

laqu

alité

esta

mou

r.Je

suis

lavi

ede

Die

ulu

i-m

ême.

Jesu

isM

ère,

Fils

,Pèr

e.

Der

rière

ces

troi

sse

tient

leD

ieu

inco

nnu.

Jesu

isce

Die

u.»

LeD

ieu

inco

nnu

c’es

tce

que

nous

appe

lons

laVI

E-U

NE.

1)A.

A.BA

ILEY

,Psy

chol

ogie

ésot

ériq

ue,é

ditio

nan

glai

se,v

olum

eI,

page

34.

2)A.

A.BA

ILEY

,Psy

chol

ogie

ésot

ériq

ue,é

ditio

nan

glai

se,v

olum

eI,

page

35.

Les

7R

ayon

s

Lato

talit

éde

sêt

res

man

ifest

es

Les

plan

sét

heriq

ue,

émot

ionn

el,m

enta

lde

late

rre

etdu

syst

ème

sola

ire

Réc

eptio

ndu

Pra

na

Les

véhi

cule

spé

riodi

ques

(per

sonn

alité

,âm

esp

iritu

elle

,Tr

iade

Spi

ritue

lle)

Les

cond

ition

sam

bian

tes

Cor

pssu

btils

Les

état

sde

cons

cien

ce

San

g

Sys

tèm

een

docr

inie

n

Sys

tèm

eim

mun

itaire

Sys

tèm

ene

reve

ux

Les

réce

pteu

rsph

ysio

logi

ques

esse

ntie

ls

{

Figu

re3

-Le

corp

sde

vita

lité

estu

nin

term

édia

ireco

smiq

ue

Adr

oite

les

effe

cteu

rspr

inci

paux

agis

sant

surl

eco

rps

devi

talit

éhu

mai

n.A

gauc

hele

sré

cept

eurs

phys

iolo

giqu

esso

usle

cont

rôle

des

cent

res

éner

géti

ques

(ou

chak

ras)

.

6[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Leco

rps

sym

bo

led

ute

mp

led

ivin

Leco

rps

est

l’ins

trum

ent

deno

tre

âme

etle

Tem

ple

deno

tre

Espr

it.La

Paro

leD

ivin

ees

ten

effe

tau

cent

rede

notr

eco

rps.

Leco

rps,

enta

ntqu

eliv

rede

chai

r,no

usof

fre

unen

seig

nem

entd

’une

très

gran

deric

hess

e.En

effe

t,le

lang

age

anat

omiq

uere

lève

d’un

esc

ienc

ese

crèt

een

cese

nsqu

’iles

tré

véla

teur

des

secr

ets

dela

vie

occu

ltés.

Ils’

agit

dere

trou

ver

cette

Paro

lesa

crée

enfe

rmée

aupl

uspr

ofon

dde

nous

-mêm

epa

rl’in

ter-

méd

iaire

des

sym

bole

san

atom

ique

s.La

seul

efin

a-lit

éde

notr

evi

eét

ant

l’acc

ompl

isse

men

tdu

Soi.

Not

rech

aird

evie

ntal

ors

parla

nte.

An

ato

mie

sym

bo

liq

ue

Ily

aura

itbe

auco

upà

dire

surl

esdi

ffére

nts

orga

-ne

sco

mpo

sant

notr

eco

rps

ains

ique

surl

esor

gane

sde

sse

nsm

ais

ilfa

utbi

enpo

seru

nca

dre.

Jem

elim

i-te

raid

onc

àun

eét

ude

succ

inct

ede

sdi

ffére

ntes

par-

ties

deno

tre

anat

omie

sque

letti

que.

Les

pied

s

Nos

pied

sre

prés

ente

nt:

-nos

raci

nes

perm

etta

ntno

tre

enra

cine

men

t.M

ais

sur

quoi

nous

enra

cino

ns-n

ous

?Su

rqu

elle

terr

eno

usap

puyo

ns-n

ous?

Ne

parle

-t-

onpa

sde

lapl

ante

des

pied

s?

-le

lien

égal

emen

tav

ecno

tre

pass

éà

trav

ers

l’arb

refa

mili

al.

-enf

in,

nos

pied

spo

rten

tla

mar

que

deno

tre

dém

arch

equ

’elle

soit

phys

ique

,psy

chiq

ueou

spiri

tuel

le.

Lach

evil

le

L’ét

ymol

ogie

dece

mot

est

latin

e:ca

vicu

lade

clav

icul

asi

gnifi

ant«

petit

ecl

é».

Ort

oute

clef

aun

edo

uble

fonc

tion

:cel

led’

ouvr

iret

defe

rmer

.Mai

sde

quel

leou

vert

ure

s’ag

it-il?

Ne

parle

-t-o

npa

ség

ale-

men

tde

clef

devo

ûte?

N’y

aura

it-il

pas

làun

para

l-lè

leà

faire

avec

lavo

ûte

plan

taire

etso

npa

rallè

leop

posé

lavo

ûte

crân

ienn

e?N

ous

voyo

nsqu

ela

che-

ville

,de

mêm

equ

ele

pied

fait

part

iede

scl

efs

del’a

-na

tom

iehu

mai

ne.C

omm

ele

ditJ

ean-

Yves

Lelo

up,

nous

som

mes

tous

des

pèle

rins

enm

arch

esu

rle

chem

inde

lavi

e,en

mar

che

vers

l’éve

il.L’

hom

me

est

unpe

utET

RE

s’il

leve

utbi

en.

Laja

mbe

Lam

orta

ise

tibio

-pér

oniè

re–

ouco

upde

pied

–s’

artic

ule

avec

l’ast

raga

le,o

sdu

tars

equ

ifor

me

leta

lon.

Lem

otas

trag

ale

vien

tdu

latin

astr

agal

usm

ais

auss

ide

aste

rqui

sign

ifie

«ét

oile

».Le

term

astr

a-ga

le»

esta

ussi

utili

séen

arch

itect

ure

pour

dési

gner

lam

oulu

resé

para

ntle

fûtd

’une

colo

nne

deso

nch

a-pi

teau

.

Letib

ia,o

sde

laja

mbe

,agi

tcom

me

unpi

lier.

Iltr

ansm

etau

pied

les

cont

rain

tes

prov

enan

tde

notr

eve

rtic

alité

.

Lepé

roné

–du

grec

pero

nêou

fibul

aen

latin

,qu

antà

lui,

expr

ime

lano

tion

delie

n,d’

agra

fe.I

lser

ten

quel

que

sort

ed’

atte

lleau

tibia

.Le

péro

népe

rmet

égal

emen

tle

reto

urne

men

tet,

enta

ntqu

ecl

efdu

mem

bre

infé

rieur

,ilo

uvre

lase

rrur

edu

pied

pour

une

mar

che

conn

aiss

ante

.

LEC

OR

PSA

RC

HIT

ECTU

RE

DU

TEM

PLE

DIV

INLe

sM

ystè

res

ont

pour

seul

efo

nctio

nd’

amen

erto

utch

erch

eur

deVé

rité

àré

véle

rle

sse

cret

squ

’ils

cont

ienn

ent.

Déc

ider

depe

rcer

lese

nssa

cré

duco

rps

hum

ain

–gr

and

livre

dela

Vie

–re

vien

tàpe

rcer

laPo

rte

des

Mys

tère

s,au

trem

entd

ità

dévo

iler

lese

nsca

ché

deno

tre

être

etpa

rco

nséq

uent

safin

alité

.O

r,po

urou

vrir

cette

port

e,il

nous

faut

plon

ger

aupl

usin

time

deno

us-m

ême

àla

renc

ontr

ede

Celu

ien

qui

nous

avon

sl’ê

tre,

lem

ouve

men

tet

lavi

e.N

ous

déco

uvro

nsl’œ

uvre

pote

ntie

llem

ent

divi

nedu

Gra

ndO

rgan

isat

eur

–R

ayon

7-

etla

révé

ler

cons

iste

àen

leve

rle

voile

.

[PA

TR

ICIA

VE

RH

AE

GH

E]

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

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07] 7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Lege

nou

Aun

autr

eni

veau

dele

ctur

e,il

estl

’art

icul

atio

nen

tre

le«

je»

etle

«no

us»

ains

ique

l’exp

ress

ion

deno

tre

vie

inté

rieur

elo

rsqu

jeno

ue».

Lem

érid

ien

del’E

stom

acpa

sse

auni

veau

duge

nou

etce

dern

ier

expr

imer

ato

utce

quin

ous

rest

esu

rl’e

stom

ac.

Lege

nou

esté

gale

men

tle

sym

bole

d’hu

mili

téfa

ceà

cequ

inou

ses

tsu

périe

urau

trem

ent

dit

audi

vin

etau

xlo

isde

lavi

e.Ce

mêm

esy

mbo

lism

eco

ncer

neég

alem

entl

era

chis

.

Les

hanc

hes

Les

hanc

hes

sont

com

posé

esde

latê

tefé

mor

ale

quis

’art

icul

eav

ecl’a

ileili

aque

.Les

aile

sili

aque

sso

ntra

ttach

ées

àl’a

rriè

reà

l’os

sacr

éfo

rman

tain

sile

bass

in.L

esai

les

iliaq

ues

nese

raie

nt-e

lles

pas

les

aile

spe

rmet

tant

àla

fonc

tion

sacr

éede

pren

dre

son

envo

lgrâ

ceau

xle

çons

tirée

sde

nos

expé

rienc

eset

àl’e

xplo

ratio

nde

ste

rres

exté

rieur

espa

rl’e

ntre

mis

ede

sm

embr

esin

férie

urs?

Lesa

crum

Tout

ela

colo

nne

vert

ébra

les’

appu

iesu

rle

sacr

um.I

lest

l’os

deno

tre

fond

atio

n,de

notr

efo

n-de

men

t.Le

mot

«sa

crum

»ou

«os

sacr

alis

»en

latin

sign

ifie

«ce

quie

stsa

cré

».D

’aill

eurs

,en

anat

omie

,le

sbo

rds

laté

raux

dusa

crum

s’ap

pelle

ntai

lero

nssa

crés

.Au

nive

auar

chite

ctur

al,

ilre

ssem

ble

àla

pier

rean

gula

ired’

une

clef

devo

ûte

mai

sau

ssià

une

coup

epu

isqu

ela

fonc

tion

prem

ière

duba

ssin

dela

fem

me

estd

’acc

ueill

irle

frui

tde

ses

entr

aille

s:l’e

n-fa

nt.C

’est

àce

nive

auqu

eso

ntco

mm

andé

esle

sfo

nctio

nsse

xuel

les

etgé

nita

les.

Lare

latio

nse

xuel

lere

prés

ente

lare

ncon

tre

avec

l’aut

redi

ffére

ncié

.Cet

teun

ion

sym

bolis

esu

run

autr

epl

anla

rech

erch

ede

notr

eun

itéà

trav

ers

une

com

mun

e-un

ion,

tém

oi-

gnan

tde

l’uni

onen

tre

l’esp

ritet

lam

atiè

re.

Autr

emen

tdit,

lase

xual

itées

tune

fonc

tion

sacr

éeca

relle

repr

ésen

tela

renc

ontr

ede

soi-m

ême

avec

leTo

utAu

tre

c’es

t-à-

dire

notr

epa

rcel

ledi

vine

enno

us.

Lesa

crum

s’ar

ticle

avec

l’os

iliaq

uepa

rune

sur-

face

auric

ulai

re,

dula

tin«

auric

ula

»si

gnifi

ant

«pe

tite

orei

lle».

Lafo

nctio

ndu

sacr

umse

rait-

elle

d’éc

oute

rle

sacr

éen

nous

ains

ique

les

info

rmat

ions

perç

ues

dela

terr

epa

rl’e

ntre

mis

ede

sja

mbe

s?

EnM

édec

ine

Ayur

védi

que,

les

hind

oux

dise

ntqu

ele

feu

serp

ento

uku

ndal

inie

sten

roul

éau

nive

audu

sacr

umet

qu’il

s’ag

itde

notr

eno

yau

d’im

mor

ta-

lité.

Lors

que

laku

ndal

inis

’éve

ille,

elle

fait

vibr

eret

s’en

vole

rle

sacr

umve

rsle

haut

,en

fait

lecr

âne,

der-

nièr

eve

rtèb

recr

euse

souv

ent

décr

iteen

tant

que

coup

ey

com

pris

dans

nos

expr

essi

ons

popu

laire

slo

rsqu

eno

usdi

sons

que

laco

upe

estp

lein

e.M

ais

ici

lecr

âne

este

nvis

agé

com

me

laco

upe

duG

raal

.

Laco

lonn

eve

rtéb

rale

Laco

lonn

eve

rtéb

rale

,en

tant

qu’A

rbre

deVi

e,re

prés

ente

l’axi

sm

undi

,l’a

xede

laco

nstr

uctio

ndu

tem

ple

char

nel.

Aun

autr

eni

veau

,elle

repr

ésen

tele

mât

duba

teau

dont

laco

que

estl

eba

ssin

etle

svo

i-le

sle

sm

uscl

es.

Not

reco

lonn

eve

rtéb

rale

peut

enco

reêt

reco

mpa

rée

àun

eéc

helle

que

nous

som

-m

esin

vité

grav

ir.L’

éche

lleét

antr

epré

sent

ativ

eic

ide

sdi

ffére

nts

nive

aux

deco

nsci

ence

.

Laco

lonn

ere

liele

haut

etle

bas,

autr

emen

tdit

l’hum

ain

etle

divi

n.To

utco

mm

eun

arbr

es’

érig

eve

rsla

lum

ière

,la

final

itéde

l’êtr

ehu

mai

nes

téga

le-

men

tde

s’él

ever

vers

lalu

miè

re.L

este

rmes

anat

o-m

ique

sso

nttr

èsél

oque

nts:

ony

parle

d’ar

bre

pul-

mon

aire

,de

tron

c,de

plan

tes

des

pied

s,de

raci

nes

nerv

euse

s.L’

hom

me

estc

ompa

rabl

unar

bre,

àun

epl

ante

.Von

tdon

cs’

insc

rire

auni

veau

deno

tre

rach

is,t

ous

nos

refu

sd’

évol

utio

n,de

man

quem

ent

aux

lois

onto

logi

ques

del’E

tre,

delâ

cher

pris

eso

usfo

rme

dete

nsio

nsm

uscu

laire

s.

Leco

ues

tcom

posé

de7

vert

èbre

sce

rvic

ales

.C’

estl

apa

rtie

lapl

usm

obile

dela

colo

nne

vert

ébra

le.

Ilpe

rmet

l’orie

ntat

ion

dans

l’esp

ace

deno

sor

gane

sde

sse

ns.L

eco

ure

prés

ente

lajo

nctio

nsy

mbo

lique

entr

ela

tête

–le

ciel

–et

leco

rps

–la

terr

eet

lapa

role

estl

etr

aitd

’uni

onen

tre

les

deux

.Lor

sde

ladé

capi

-ta

tion,

onco

upai

tsy

mbo

lique

men

tce

ttejo

nctio

nvi

tale

. Lade

uxiè

me

cerv

ical

ees

tnom

mée

«ax

is»

car

elle

estl

ase

ule

àpo

sséd

erun

ede

ntpi

votp

our

lapr

emiè

rece

rvic

ale.

Elle

estl

api

erre

d’an

gle

del’é

di-

fice

crân

e–

colo

nne.

Cette

dent

axia

lees

torie

ntée

vers

leha

utté

moi

gnan

tde

l’abo

utis

sem

entd

el’é

-ch

elle

àre

mon

ter

pour

atte

indr

ele

ciel

.Un

jeu

très

popu

laire

–le

jeu

dela

mar

elle

–sy

mbo

lise

très

bien

ceci

.L’é

chel

leve

rtéb

rale

sym

bolis

el’a

scen

sion

spiri

-tu

elle

jusq

u’au

ciel

.Ce

cons

tatn

ous

invi

teà

obse

rver

l’axe

surl

eque

lnou

sav

ons

fond

éno

tre

vie:

-sur

l’avo

ir,le

valo

iret

lepo

uvoi

r?-o

usu

rle

sacr

é,le

réel

,l’ê

tre

etla

vérit

é?

Qua

ntà

lapr

emiè

reve

rtèb

rece

rvic

ale,

tout

ela

base

crân

ienn

ere

pose

sur

elle

.Son

nom

fait

réfé

-re

nce

augé

antA

tlas

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myt

holo

gie

grec

que.

Iles

tre

prés

enté

gém

issa

ntet

supp

orta

ntla

sphè

recé

lest

e

8[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

L’ap

pend

ice

Lapo

inte

del’é

pée

Lacr

oix

Lepo

mm

eau

del’é

pée

Cla

vicu

les

Lem

anub

rium

Leco

rps

dust

ernu

mLa

lam

e

surs

anu

que

etse

sép

aule

s.El

lere

prés

ente

l’ulti

me

étap

eav

antl

afin

alité

:le

crân

eou

Gol

goth

a.

Lepo

ids

écra

sant

dum

onde

,rep

rése

nté

par

lasp

hère

terr

estr

e,es

tle

sym

bole

dufa

rdea

ude

lavi

epo

urto

utêt

rehu

mai

nqu

is’e

stél

oign

éde

slo

ison

to-

logi

ques

.Les

épre

uves

dela

vie

n’on

td’a

utre

fonc

-tio

nqu

ede

perm

ettr

l’hom

me

dere

trou

vers

afil

ia-

tion

natu

relle

.Ain

sito

utêt

rehu

mai

nqu

ivit

sans

réfé

renc

eau

divi

nes

t-il

cond

amné

àsu

bir

son

des-

tinka

rmiq

ue.P

oson

s-no

usla

ques

tion

sur

lese

nsvé

ritab

ledu

mal

dedo

ssi

cour

antà

notr

eép

oque

!

Lest

ernu

met

laca

geth

orac

ique

C’es

tsur

ceto

spl

atde

lafa

cean

térie

ure

duth

o-ra

xqu

es’

artic

ulen

tle

scô

tes

etle

scl

avic

ules

.Et

ymol

ogiq

uem

ent,

ilpr

ovie

ntdu

latin

méd

iéva

ster

num

»et

dugr

ec«

ster

non

».En

alle

man

d,le

mot

«st

ern

»si

gnifi

étoi

le»,

ila

parc

onsé

quen

tla

mêm

era

cine

que

«st

ella

ire».

D’a

illeu

rs,à

prox

i-m

itédu

ster

num

,se

trou

vent

lega

nglio

nce

rvic

alin

férie

uren

core

appe

léga

nglio

nst

ella

ire.

Lest

ernu

mes

tcom

posé

detr

ois

part

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-la

part

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périe

ure:

lem

anub

rium

enfo

rme

depo

igne

t-l

apa

rtie

moy

enne

:le

corp

sdu

ster

num

-la

part

iein

férie

ure

:l’a

ppen

dice

xiph

oïde

enfo

rme

depo

inte

d’ép

ée.

Nou

sre

trou

vons

l’épé

eda

nsla

Bibl

e,en

tant

que

sym

bole

dela

paro

ledi

vine

.De

plus

,les

orga

nes

dela

phon

atio

nso

ntsi

tués

dire

ctem

enta

u-de

ssus

dum

anub

rium

.Par

ler

envé

rité

revi

entà

man

ier

l’épé

ede

lapa

role

grâc

eau

souf

fledi

vin.

Ster

num

etcô

tes

com

pose

ntla

cage

thor

aciq

uedo

ntla

fonc

tion

estd

epr

otég

erle

cœur

etle

spo

u-m

ons.

Lecœ

ur,d

ans

tout

esle

str

aditi

ons

estr

elié

auso

leil,

àla

lum

ière

sola

ire.L

est

ernu

men

tant

qu’o

sst

ella

ire,q

uant

àlu

i,ra

yonn

ela

lum

ière

qu’il

reço

it.

Les

côte

sso

ntau

nom

bre

dedo

uze.

Lem

ot«

côte

»vi

ent

dula

tin«

cost

etde

l’héb

reu

«ts

ela

»qu

isig

nifie

lecô

téou

lacô

te.L

’Hom

me

doit

déco

uvrir

son

autr

ecô

té,s

onfé

min

inen

lui,

afin

que

puis

sent

seré

alis

erle

sép

ousa

illes

inté

rieur

esc’

est-

à-di

reré

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erso

nun

itéin

térie

ure,

icôn

ede

l’acc

om-

plis

sem

entd

ivin

.L’ê

tre

hum

ain

étan

tide

ntifi

éà

cequ

’ilcr

oitê

tre

etqu

’iln’

estp

as,i

lest

inco

nsci

entd

esa

dual

ité.A

ussi

est-

ilte

mps

pour

lui,

depa

rtir

àla

rech

erch

ede

son

iden

tité

vérit

able

,en

culti

vant

ses

terr

esin

térie

ures

–ai

nsiq

uel’e

xprim

esi

bien

Anni

ckde

Souz

enel

le–

afin

dedé

couv

rirso

nas

pect

inac

-co

mpl

ien

lui.

Les

côte

sre

prés

ente

nt,p

arco

nsé-

quen

t,no

tre

côté

inco

nsci

ent.

Sché

ma

tiré

duliv

rede

Jean

-Pie

rre

Guili

aniT

2p.

47

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 9

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Les

omop

late

s

Les

omop

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sso

ntsy

nony

mes

d’en

vol.

Ne

reve

ndiq

ue-t

-on

pas

dans

lasa

gess

epo

pula

irele

droi

tde

«vo

lerd

ese

spr

opre

sai

les

»?

Les

omop

la-

tes

sont

vérit

able

men

tle

sai

les

del’ê

tre

hum

ain.

Elle

sso

ntà

met

tre

enpa

rallè

leav

ecle

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les

iliaq

ues

duba

ssin

ains

iqu’

avec

les

aile

rons

dusa

crum

.Elle

sin

vite

ntl’ê

tre

hum

ain

àpr

endr

eso

nen

vols

pirit

uel.

Les

clav

icul

es

Ains

ique

nous

l’avo

nsdé

jàév

oqué

avec

lach

e-vi

lle,l

em

ot«

clav

icul

sign

ifie

«pe

tite

clef

».La

clav

icul

ees

tun

osen

form

ede

«S

»al

long

é,qu

is’

artic

ule

avec

lest

ernu

met

l’om

opla

te.E

llere

liesy

mbo

lique

men

tl’é

pée

àl’a

ile.L

’épé

ere

prés

enta

ntla

Paro

ledi

vine

enno

uset

les

aile

s–

del’a

nge

que

nous

pour

rions

deve

nir

sino

usdé

cido

nsde

les

dépl

oyer

–la

conn

aiss

ance

intu

itive

etun

iver

selle

.

Aun

autr

eni

veau

,la

clav

icul

eas

sure

lelie

nen

tre

latê

tequ

ipen

seet

lam

ise

enm

ouve

men

tdu

mem

-br

esu

périe

urqu

iva

conc

rétis

erle

frui

tde

notr

epe

n-sé

e.N

ous

pouv

ons

enco

redi

requ

ela

clav

icul

eou

vre

oufe

rme

lase

rrur

ede

l’épa

ule

afin

delib

érer

laco

nnai

ssan

cepa

rles

mai

nsag

issa

ntes

.

Les

épau

les

Elle

sco

rres

pond

ent

àla

part

iesu

périe

ure

dubr

as,à

l’end

roit

oùil

s’at

tach

eau

tron

c,si

tué

depa

rtet

d’au

tre

duco

u.Le

mot

«épa

ule

»vi

entd

ula

tin«

spat

hula

»si

gnifi

ant«

spat

ule

–om

opla

te»,

trad

uit

pare

xten

sion

par«

épau

le».

«Sp

athu

la»

ado

nné

ledi

min

utif

de«

spat

ha»

quir

epré

sent

l’épé

delu

miè

reau

trem

entd

it«

lala

me

brill

ante

del’é

pée

».Le

roip

osai

tl’é

pée

sur

l’épa

ule

dufu

tur

chev

alie

rlo

rsqu

’ill’a

doub

ait.

N’é

taie

ntco

nsac

rés

chev

alie

rsqu

ece

uxqu

iava

ient

fait

preu

vede

brav

oure

.Dan

sla

trad

ition

indi

enne

,Shi

vapo

ssèd

eun

em

ultit

ude

debr

assy

mbo

les

depo

uvoi

rs.

C’es

tsur

les

épau

les

que

repo

sent

les

fard

eaux

etle

sre

spon

sabi

lités

dela

vie.

Les

épau

les

sont

donc

sym

bole

depu

issa

nce

etde

forc

ede

réal

isat

ion.

Les

bras

etav

ant-

bras

Sur

lepl

anan

atom

ique

,l’é

paul

ees

tcon

stitu

éede

troi

sos

:

-l’o

mop

late

ouai

le-l

acl

avic

ule

oupe

tite

clef

-l’h

umér

usdo

ntla

raci

neét

ymol

ogiq

uees

relie

rau

mot

«hu

mai

n»,

«hu

mus

».

L’hu

mér

uses

tl’o

sun

ique

dubr

as,s

’art

icul

ante

nha

utav

ecl’o

mop

late

eten

bas,

avec

lera

dius

etle

cubi

tus.

Latr

aduc

tion

dum

ot«

radi

us»

estr

ayon

.L’

épau

lees

ten

effe

tla

seul

ear

ticul

atio

nca

pabl

ede

sem

ouvo

irda

nsto

usle

spl

ans

del’e

spac

e.El

lepa

r-co

urt

une

cour

sede

360

degr

ésau

tour

ducœ

urem

pere

urte

lqu

ele

dési

gnen

tle

sCh

inoi

s.N

’oub

lions

pas

que

lecœ

ures

tsym

boliq

uem

entr

elié

auso

leil

enas

trol

ogie

méd

ical

e.Le

sco

udes

repr

ésen

tent

lece

ntre

deno

sai

les.

Les

bras

etle

sav

ant-

bras

sont

cons

idér

ésco

mm

ele

prol

onge

men

tde

l’esp

rit.

Les

po

ign

ets

etle

sm

ain

sLa

mai

nes

tl’o

util

dela

conn

aiss

ance

.La

mai

nse

dit«

chiro

»en

grec

et«

yâd

»en

hébr

eu.«

Kaph

»si

gnifi

antl

apa

ume.

Lem

ot«

man

ifest

atio

sign

i-fie

«fa

çonn

erde

ses

mai

ns».

Lam

ain

ayan

tdév

elop

péle

sens

dela

palp

atio

nes

tdev

enue

conn

aiss

ante

mai

sil

afa

lluau

para

vant

selib

érer

dum

enta

l.La

mai

n,or

gane

duto

uche

r,pe

utde

veni

ror

gane

duto

uche

rsp

iritu

elqu

iper

met

d’ou

vrir

lavo

iede

laCo

nnai

ssan

ce-C

on-n

aiss

ance

.Q

uelq

ues

mot

sco

ncer

nant

les

doig

ts:

-le

pouc

evi

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um

otla

tin«

polle

:ile

stl’o

p-po

sant

aux

autr

esdo

igts

.-l

’inde

xm

ontr

ela

dire

ctio

n.-l

em

ajeu

rre

prés

ente

l’axe

dela

mai

n.Il

estl

edo

igtl

epl

uslo

ng.

-L’a

nnul

aire

repr

ésen

tele

sign

eex

térie

urde

l’al-

lianc

e.-L

’aur

icul

aire

vien

tdu

latin

«au

ricul

quis

igni

-fie

«pe

tite

orei

lle».

Iles

tle

doig

tdu

secr

etqu

el’o

nre

trou

veda

nsl’e

xpre

ssio

npo

pula

ire«

mon

petit

doig

tme

l’adi

t».R

appe

lons

-nou

ség

ale-

men

tque

lecœ

urpo

ssèd

ede

sor

eille

ttes.

Or

nous

ente

ndon

sav

ecle

sor

eille

sm

ais

nous

écou

tons

avec

lecœ

ur.I

ls’a

gitd

’une

écou

teso

mm

eto

ute

inté

rieur

epe

rmet

tant

d’en

tend

rela

voix

intu

itive

deno

tre

maî

tre

inté

rieur

.

Lecr

âne

Labo

îtecr

ânie

nne,

perç

ueco

mm

eun

eve

rtèb

recr

euse

,con

tient

l’enc

épha

leet

lepr

otèg

l’im

age

d’un

coffr

e-fo

rt.E

tym

olog

ique

men

t,le

mot

«tê

te»

vien

tdu

latin

«te

sta

»qu

isig

nifie

«co

quill

et«

amph

ore

».D

ans

latr

aditi

onbo

uddh

iste

,au

som

-m

etdu

crân

ede

l’hom

me

évei

llé,s

’épa

noui

tle

lotu

s

10[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

aux

mill

epé

tale

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ec,e

nso

nce

ntre

,le

joya

udi

vin

enco

reap

pelé

«œ

ilde

l’âm

e».

L’ho

mm

eév

eillé

inca

rne

celu

iqui

estr

e-né

d’en

haut

autr

emen

tdit

celu

iqui

conn

aîtl

’épa

noui

ssem

ents

pirit

uel.

Lem

otcr

âne

prov

ient

dula

tinm

édié

val«

cra-

nium

»et

dugr

ec«

kran

ion

».En

Héb

reu,

ilse

dit

«G

olgo

tha

».Le

crân

e,ha

utlie

ufin

alde

notr

eéc

helle

,per

met

notr

eac

cess

ion

auD

ivin

.Ile

stqu

es-

tion

devo

ûte

crân

ienn

l’im

age

d’un

eca

théd

rale

ouen

core

dela

voût

ecé

lest

e.Ce

lle-c

iest

àm

ettr

een

para

llèle

avec

son

oppo

sé,l

avo

ûte

plan

taire

.Nou

sre

trou

vons

lam

ême

sym

boliq

ueau

nive

aude

lavo

ûte

dupa

lais

.La

boîte

crân

ienn

ea

une

form

ed’

œuf

.L’

œuf

évoq

ueun

eno

uvel

lena

issa

nce,

aprè

squ

el’h

omm

eai

tété

féco

ndé

parl

’esp

rit,a

utre

men

tdit

parl

eD

ivin

.Au

nive

audu

fron

tals

etr

ouve

lasu

ture

coro

nale

.Ce

lle-c

iest

àm

ettr

een

rela

tion

avec

leco

uron

ne-

men

tde

l’hom

me

quia

atte

ints

onpl

ein

épan

ouis

se-

men

t. Un

des

oscr

ânie

nspo

rte

leno

md’

ossp

héno

ïdal

.Le

sphé

noïd

ere

ssem

ble

mor

phol

ogiq

uem

entà

unpa

pillo

n.Il

poss

ède

des

petit

eset

des

gran

des

aile

sdé

ploy

ées

inci

tant

àl’e

nvol

.Le

papi

llon

estl

efr

uitd

ela

mét

amor

phos

ede

lach

enill

e,au

trem

entd

it,il

est

sym

bole

d’un

em

utat

ion

inté

rieur

e.La

voca

tion

final

ede

l’êtr

ehu

mai

nn’

est-

elle

pas

d’op

érer

une

mét

amor

phos

e?

Les

circ

onvo

lutio

nsdu

cerv

eau

évoq

uent

unla

byrin

the.

Nou

sre

trou

vons

lasy

mbo

lique

dula

by-

rinth

eda

nsno

mbr

ede

cath

édra

les.

Ilen

exis

teun

très

bel

exem

ple

àCh

artr

es.

Dan

sun

tout

autr

eco

ntex

te,l

espy

ram

ides

d’Eg

ypte

com

port

aien

tplu

-

sieu

rsch

ambr

espr

éser

vant

lere

pos

duph

arao

nda

nsla

cham

bre

secr

ète:

les

déda

les

laby

rinth

ique

sse

rvan

tàég

arer

lech

erch

eur

mal

inte

ntio

nné.

Ces

diffé

rent

esch

ambr

esso

ntle

sym

bole

d’un

epr

o-gr

essi

onve

rsun

divi

nde

plus

enpl

usin

tério

risé,

àl’i

mag

ed’

une

mar

che

spiri

tuel

lequ

iam

ène

lepè

lerin

duPa

rvis

duTe

mpl

eau

Tabe

rnac

leoù

rési

dele

Div

in.

Co

ncl

usi

on

Not

reci

vilis

atio

nes

tauj

ourd

’hui

mal

ade

d’el

le-

mêm

e.Ce

cies

tlié

aufa

itqu

ele

sêt

res

hum

ains

vive

ntsa

nsre

cher

che

duse

nspr

ofon

d,ce

qui

génè

rean

gois

seet

ques

tionn

emen

t.D

em

ême,

iles

tdo

mm

age

que

lam

édec

ine

clas

siqu

ene

retie

nne

que

laco

nnai

ssan

ceob

ject

ive

des

fonc

tions

alor

squ

eno

usav

ons

lapo

ssib

ilité

detr

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rd’a

utre

scl

efs

endé

velo

ppan

tles

notio

nsde

cons

cien

cefo

nctio

nnel

le.

Cette

étud

e,tr

opsu

ccin

cte,

apo

urbu

td’a

ppor

ter,

ento

ute

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ilité

,un

autr

ere

gard

surn

ous-

mêm

eet

laco

hére

nce

dum

ystè

redu

corp

shu

mai

n.Ce

ciaf

ind’

évei

ller

ench

acun

ledé

sir

depe

rcer

les

mys

tère

sde

lach

airp

oten

tielle

men

tdiv

ine.

bib

lio

gra

ph

ie•A

nnic

kD

ESO

UZE

NEL

LE,L

esy

mbo

lism

edu

corp

shu

mai

n(E

ditio

nD

angl

es19

84),

Lale

ttre

chem

inde

vie

(Alb

inM

iche

l199

3),

Lapa

role

aucœ

urdu

corp

s(A

lbin

Mic

hel

1993

).

•Jea

n-Yv

esLE

LOU

P,L’

enra

cine

men

tetl

’ou-

vert

ure

(Alb

inM

iche

l19

89),

Qui

aim

equ

and

jet’a

ime

?(C

oécr

itav

ecCa

ther

ine

Bens

aïd

aux

EdAl

bin

Mic

hel2

005)

.

•R.A

SCH

WAL

LER

DE

LUBI

CZ, L

eTe

mpl

ede

l’Hom

me

T1T2

T3(E

ditio

nsD

ervy

1993

).

•Geo

rges

LAH

Y(V

irya

),La

voix

duco

rps

(Edi

tions

Lahy

2002

).

•Jea

n-Pi

erre

GU

ILIA

NI,

L’Al

phab

etdu

corp

shu

mai

nT1

etT2

(Edi

tions

Arkh

ana

vox

1999

).

Sphé

noïd

e:v

uepo

stér

ieur

etr

èssc

hém

atiq

ue

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 1

1

LEC

OR

PS

HU

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PAR

TIE

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CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Lasc

ienc

ea

avan

céà

gran

dpa

sda

nsla

com

pré-

hens

ion

des

méc

anis

mes

bioc

him

ique

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vie.

Labi

olog

iem

oléc

ulai

rea

révé

léun

jeu

com

plex

ed’

ex-

pres

sion

del’i

nfor

mat

ion

insc

rite

aucœ

urde

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oléc

ule

d’AD

N.D

epui

sla

déco

uver

tede

last

ruc-

ture

dece

ttem

oléc

ule,

en19

53,n

ous

savo

nsdé

co-

derl

’info

rmat

ion

qu’e

llere

nfer

me

ence

quic

once

rne

l’édi

ficat

ion

des

prot

éine

sde

notr

eco

rps,

ceci

enfo

nctio

nde

lasu

cces

sion

des

4ba

ses

del’A

DN

ounu

cléo

tides

:l’a

déni

ne,l

aty

rosi

ne,l

agu

anin

eet

lacy

tosi

ne.L

esin

itial

esde

ces

quat

reba

ses,

A,T,

G,C

,re

prés

ente

ntle

s4

lettr

esde

l’alp

habe

tmol

écul

aire

.Au

sein

dece

ttem

oléc

ule,

l’AD

N,l

’org

anis

atio

nde

l’inf

orm

atio

nse

fait

par

troi

s:un

trip

letd

etr

ois

let-

tres

corr

espo

nden

effe

tàun

mot

,ou

codo

nda

nsle

lang

age

dela

biol

ogie

mol

écul

aire

.

Com

me

ilex

iste

une

affin

itéch

imiq

uesp

écifi

que

entr

ele

sco

dons

(ily

ena

64au

tota

l)et

les

20ac

i-de

sam

inés

cons

titua

ntno

spr

otéi

nes,

c’es

tàpa

rtir

dece

tteco

rres

pond

ance

bioc

him

ique

1qu

ela

cons

-tr

uctio

npr

otéi

que

deno

tre

corp

sph

ysiq

uepe

utse

faire

.Rem

arqu

ons

qu’il

ya

plus

deco

dons

(64)

que

d’ac

ides

amin

és(2

0).U

nac

ide

amin

épo

urra

avoi

rpl

usie

urs

codo

nsco

rres

pond

ants

.Les

scie

ntifi

ques

parle

ntal

ors

dedé

géné

resc

ence

dula

ngag

egé

né-

tique

com

me

si,a

vec

lete

mps

,ily

avai

tdes

béga

ie-

men

tsda

nsle

méc

anis

me

des

corr

espo

ndan

ces.

Nou

sve

rron

spl

uslo

inde

quoi

ils’

agit

enfa

it.

Enco

re98

,5%

d’i

nco

nn

uSi

les

espr

itssc

ient

ifiqu

esét

aien

topt

imis

tes

audé

but

del’a

vent

ure

dela

biol

ogie

mol

écul

aire

,et

pens

aien

tpou

voir

trou

vert

ous

les

ress

orts

dela

vie,

l’eup

horie

des

débu

tses

tpa

ssée

depu

is,

etce

cim

ême

aujo

urd’

huia

près

ledé

coda

gedu

géno

me

hum

ain

oùl’o

nsa

itqu

el’h

omm

e,av

ecse

s25

000

gène

s,a

àpe

ine

plus

degè

nes

que

Cean

orha

bditi

sel

egan

s ,un

petit

ver

tran

spar

entd

ontl

eco

rps

n’es

tco

mpo

séqu

ede

100

0ce

llule

set

poss

ède

tout

dem

ême

2000

0gè

nes.

Leco

rps,

bien

sûr,

n’es

tpas

fait

que

depr

otéi

-ne

s.M

ais

surt

out,

seul

emen

t1.5

%de

l’AD

Nhu

mai

nco

depo

urla

cons

truc

tion

prot

éiqu

ede

notr

eco

rps.

Lere

ste,

soit

98,5

%,a

ppel

éAD

Npo

ubel

lepa

rle

ssc

ient

ifiqu

es,e

stsu

ppos

éne

serv

irà

rien,

etn’

être

qu’u

neac

cum

ulat

ion

deré

pétit

ions

succ

essi

ves

des

base

s2(A

,T,G

,C)s

ans

sens

nisi

gnifi

catio

n.

Lafi

nd

uto

ut

gén

étiq

ue

Déc

oder

l’AD

Nd’

une

cellu

lene

suffi

tpas

àen

com

pren

dre

les

méc

anis

mes

intim

es.N

ous

enso

m-

mes

enco

rebi

enlo

in.S

ila

biol

ogie

mol

écul

aire

,qui

enét

udie

lefo

nctio

nnem

ent,

ape

rmis

une

avan

cée

cons

idér

able

surl

am

aîtr

ise

duvi

vant

avec

les

inév

i-

L’A

DN

,LES

GÈN

ES,L

EC

OR

PS,

ETLA

VIE

Not

reco

rps

biol

ogiq

uese

déve

lopp

egr

âce

aux

info

rmat

ions

insc

rite

sau

sein

deno

tre

ADN

.Te

llees

tla

visi

oncl

assi

que

dela

scie

nce.

Cert

ains

scie

ntifi

ques

prop

osen

tdes

théo

ries

rem

et-

tant

enca

use

cette

visi

onsi

mpl

iste

.L’

envi

ronn

emen

tglo

bald

el’A

DN

doit

être

pris

enco

mpt

e.Ai

nsi,

l’AD

Nne

sera

itpa

l’ori

gine

des

form

esbi

olog

ique

sni

dela

vie,

ilne

sera

itqu

’un

rela

isd’

info

rmat

ions

vena

ntde

spl

ans

éthé

riqu

es.

1.Ce

tteaf

finité

chim

ique

sefa

itsu

iteà

une

étap

ein

term

édia

irefa

isan

tint

erve

nir

des

ARN

mes

sage

rsle

sque

lsfo

ntpa

sser

l’inf

orm

atio

nde

l’AD

lam

achi

nerie

cellu

laire

.2.

On

parle

deba

ses

enop

posi

tion

aux

acid

es.

[LA

UR

EN

TD

AP

OIG

NY

]d

ap

i@g

mx.fr

12[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

tabl

esO

GM

,cel

ane

sign

ifie

pas

que

tout

soit

dévo

ilé.

L’AD

Nn’

expl

ique

pas

àlu

iseu

l,et

delo

in,t

out

lefo

nctio

nnem

entd

uvi

vant

.Ile

xist

ed’

autr

esin

form

a-tio

nsin

disp

ensa

bles

audé

term

inis

me

del’o

rga-

nism

epu

isqu

el’é

tat

dela

cellu

lelu

i-mêm

ea

une

actio

nsu

rl’e

xpre

ssio

net

lefo

nctio

nnem

entd

el’A

DN

ains

ique

surl

afo

rme

des

prot

éine

s.C’

estc

equ

el’o

nap

pelle

l’ épi

géné

tique

.Com

me

l’épi

debl

équ

iest

au-

dess

usde

lapl

ante

,l’é

pigé

nétiq

uees

tau-

dess

usde

lagé

nétiq

ue.C

esin

form

atio

nsso

nta

prio

rida

nsla

cellu

leet

sont

d’un

eau

tre

natu

requ

egé

nétiq

ue.

Elle

spe

uven

têtr

ede

natu

repr

otéi

que

oubi

enm

ême

desi

mpl

ena

ture

chim

ique

com

me

lam

éthy

latio

nde

l’AD

N(l’

atta

chem

entd

’un

carb

one

etde

troi

shy

dro-

gène

:CH

3),s

ans

qu’a

ucun

em

odifi

catio

ndu

code

géné

tique

,la

succ

essi

onde

sba

ses

A,T,

G,C

,n’in

-te

rvie

nne.

Ces

info

rmat

ions

vont

agir

dire

ctem

ent

sur

l’exp

ress

ion

oula

non

expr

essi

onde

sgè

nes,

etdo

ncsu

rl’h

isto

irede

lace

llule

oude

l’org

anis

me.

Etde

uxor

gani

smes

ayan

tla

mêm

esé

quen

cegé

nétiq

uen’

évol

uent

pas

dela

mêm

efa

çon

depa

rtce

ttem

émoi

rece

llula

ire.

Unch

erch

eurf

ranç

ais

aux

mar

ges

dela

com

mu-

naut

ésc

ient

ifiqu

e,Et

ienn

eGu

illé,

aém

isl’h

ypot

hèse

ily

apr

èsde

ving

t-cin

qan

s3qu

el’A

DNpo

ubel

lese

r-va

ità

quel

que

chos

e4et

qu’il

étai

tle

rela

isde

sén

er-

gies

vibr

atoi

res

vena

ntde

spl

ans

subt

ils,p

lans

que

l’éso

téris

teco

nnaî

tbi

enm

ais

que

lasc

ienc

ene

reco

nnaî

tpas

enco

re.I

lpro

pose

desé

pare

rl’A

DNen

trois

parti

esch

acun

een

rela

tion

avec

leCo

rps,

l’Âm

eet

l’Esp

rit.L

apa

rtie

del’A

DN

que

nos

scie

ntifi

ques

conn

aiss

ent

bien

,so

it1,

5%

chez

l’hom

me,

cor-

resp

ond

au«

Corp

s».

Etc’

este

nm

anip

ulan

tcel

le-c

iqu

’ils

crée

ntle

sor

gani

smes

géné

tique

men

tmod

ifiés

(OG

M).

Les

deux

autr

espa

rtie

s,Âm

eet

Espr

it,le

s98

,5%

rest

ant,

nese

rven

tàrie

npo

urle

ssc

ient

i-fiq

ues

puis

qu’il

sne

reco

nnai

ssen

tnil

’Âm

eni

l’Esp

rit.

Etie

nne

Gui

lléa

ains

itr

ouvé

par

ses

prop

res

rech

erch

essu

rles

éner

gies

vibr

atoi

res5

latri

parti

tion

Corp

s–

Âme

-Esp

ritpr

ésen

tée

parl

estra

ditio

nsés

o-té

rique

set

spiri

tuel

les.

Pour

lui,

sil’A

DNes

tune

cen-

tral

ed’

info

rmat

ion,

c’es

tpar

cequ

’elle

estu

nece

n-tra

leré

cept

rice

etém

ettri

ce.E

llere

çoit

l’inf

orm

atio

nqu

idon

nela

vie

àpa

rtir

des

plan

ssu

btils

.La

Vie

a

ains

iso

nor

igin

eai

lleur

squ

eda

nsno

tre

plan

dem

anife

stat

ion.

Etce

str

ois

part

ies

del’A

DN

sont

d’ai

lleur

sen

rela

tion

avec

troi

sm

onde

s:le

Corp

sav

ecle

mon

dem

anife

sté6 ,l

’Âm

eav

ecle

mon

deno

nm

anife

sté

etl’E

sprit

avec

lem

onde

tran

scen

dant

.L’

orig

ine

dela

vie

està

rech

erch

erda

nsle

spl

ans

les

plus

haut

sen

vibr

atio

n,l’i

nfor

mat

ion

desc

enda

ntde

spl

ans

les

plus

subt

ilsau

xpl

ans

les

plus

gros

sier

s.

Aujo

urd’

hui,

plus

de50

ans

aprè

sla

déco

uver

tede

l’AD

N,l

essc

ient

ifiqu

esne

save

ntto

ujou

rspa

sd’

oùvi

entl

avi

eet

ilsne

save

ntto

ujou

rspa

scr

éerd

ela

vie.

Les

scie

ntifi

ques

nepe

uven

tque

reco

nnaî

tre

àju

ste

titre

leur

care

nce7

:ils

nesa

vent

que

décr

irele

spr

oces

sus

bioc

him

ique

sau

sein

des

orga

nism

es.

Cert

ains

essa

yent

pour

tant

des’

enso

rtir

endi

sant

«on

sait

cequ

’est

lavi

e,c’

estu

npr

oces

sus8

»,m

ais

cela

nefa

itpa

sav

ance

rno

tre

conn

aiss

ance

sur

son

orig

ine

prem

ière

.

Esth

étiq

ue

etA

DN

D’a

utre

sdé

couv

erte

spl

usfa

cile

men

tdém

ontr

a-bl

esqu

ele

sre

cher

ches

d’Et

ienn

eG

uillé

prés

ente

ntde

sfa

itsét

onna

nts

ence

quic

once

rnen

tla

stru

ctur

ede

l’AD

N.A

insi

,Jea

n-Cl

aude

Pere

z9a

déco

uver

tque

laré

part

ition

des

base

sA-

T-G

-Cn’

estp

asfa

iteau

hasa

rdet

que

lera

ppor

tdu

nom

bre

deba

ses

(A-T

/G

-C)

tend

vers

leno

mbr

ed’

or.L

ela

ngag

em

oléc

u-la

iren’

estd

onc

pas

dégé

néré

com

me

ledi

sent

les

scie

ntifi

ques

mai

spe

rmet

,par

cette

mul

tiple

cor-

resp

onda

nce

entr

eco

dons

etac

ides

amin

és,

dem

odifi

erle

rapp

orte

ntre

les

base

set

depo

uvoi

rain

sisu

ivre

cette

loih

arm

oniq

uedu

nom

bre

d’or

.

Rap

pelo

nsbr

iève

men

tqu

ece

nom

bre

(1,6

180…

)es

tcon

nupo

urav

oir

été

utili

sépa

rle

sar

tiste

sde

l’Ant

iqui

téet

dela

Ren

aiss

ance

pour

cons

trui

rede

spr

opor

tions

esth

étiq

ues

dans

leur

uvre

s,qu

ece

soit

enpe

intu

re,s

culp

ture

ouar

chi-

tect

ure.

Les

anci

ens

Egyp

tiens

l’ont

utili

sépo

urdé

term

iner

les

prop

ortio

nsde

laG

rand

ePy

ram

ide

dem

ême

que

les

Aztè

ques

pour

laco

nstr

uctio

nde

laPy

ram

ide

duSo

leil

àTe

otih

uaca

n.Si

leno

mbr

ed’

orré

gitl

eslo

isde

l’est

hétiq

ueau

nive

aude

sco

nstr

uc-

tions

hum

aine

s,on

lere

trou

veau

sein

defo

rmes

3.Et

ienn

eG

uillé

,L’A

lchi

mie

dela

Vie,

EdLe

Roc

her;

1983

.4.

Cen’

este

nef

fetp

aspa

rce

que

l’on

nesa

itpa

quoi

çase

rt,q

uece

lane

sert

àrie

n…;u

nau

tre

dem

espr

ofes

seur

sde

lafa

culté

d’O

rsay

,Pie

rre-

Hen

riG

ouyo

ndi

sait

«ce

n’es

tpas

parc

equ

’ily

aqu

elqu

ech

ose

que

cela

sert

àqu

elqu

ech

ose…

5.Le

lang

age

vibr

atoi

r ede

lavi

e,l’a

lchi

mie

dela

vie.

EdLe

Roc

her ;

1989

6.Le

mon

dem

anife

sté

quie

stlu

i-mêm

eco

mpo

séde

str

ois

mon

des

que

l’hom

me

doit

appr

endr

maî

tris

er:p

hysi

que,

astr

alet

men

tal.

7.G

érar

dN

issi

mAm

zala

g,L’

Hom

me

Végé

tal,

Albi

nM

iche

l;20

03;D

enis

Nob

le,L

am

usiq

uede

lavi

e,Ed

LeSe

uil;

2007

.8.

Mic

helM

oran

ge, L

avi

eex

pliq

uée?

50an

sap

rès

lado

uble

hélic

e ,Ed

Odi

leJa

cob

;200

3.9.

Jean

-Cla

ude

Pere

z,Pl

anèt

eTr

ansg

éniq

ue.L

’Esp

ace

Bleu

;199

7.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

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BR

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07] 1

3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

natu

relle

squ

’elle

sso

ient

min

éral

es,c

him

ique

sou

biol

ogiq

ues.

Par

exem

ple:

l’enr

oule

men

tdes

com

-pa

rtim

ents

duna

utilu

sou

des

grai

nes

duto

urne

sol,

lapr

opor

tion

entr

ele

sph

alan

ges

succ

essi

ves

d’un

doig

tetd

el’e

mpl

acem

entd

uno

mbr

ilde

l’hom

me

par

rapp

ortà

l’ens

embl

edu

corp

s10.A

uni

veau

duvé

géta

l,la

répa

rtiti

ongé

omét

rique

des

feui

lles

auto

urde

stig

essu

itla

suite

deFi

bona

cciq

ui,e

lleau

ssi,

este

nre

latio

nav

ecle

nom

bre

d’or

.Ce

nom

-br

e,φ,

solu

tion

del’é

quat

ion

(x2+

1=

x)es

tun

chif-

fre

tran

scen

dant

com

me

leno

mbr

eπ,

c'es

t-à-

dire

infin

i,et

onle

retr

ouve

auss

ibie

nda

nsle

sco

nstr

uc-

tions

hum

aine

squ

’au

cœur

mêm

edu

viva

ntco

mm

ele

mon

tren

tles

déco

uver

tes

deJe

an-C

laud

ePe

rez.

Lera

ppor

tA-T

/G-C

ause

inde

l’AD

Nto

tals

era

ppro

-ch

ed’

auta

ntpl

usdu

nom

bre

d’or

que

legé

nom

e11de

l’esp

èce

étud

iée

esta

ncie

n.Il

sem

ble

ains

i,qu

’ave

cle

tem

ps,

unéq

uilib

reha

rmon

ique

ause

inde

lam

oléc

ule

d’AD

Ns’

étab

lisse

trad

uisa

ntl’é

quili

bre

entr

el’e

spèc

eet

son

envi

ronn

emen

t.Ce

téqu

ilibr

ese

rait

perm

ispa

run

écha

nge

d’in

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atio

nen

tre

l’AD

Net

l’env

ironn

emen

t.

L’A

DN

,an

ten

ne

réce

ptr

ice

d’é

ner

gie

éth

ériq

ue

ause

ind

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cell

ule

?

L’AD

Nes

tbie

nun

em

oléc

ule

émet

trice

.Cel

aa

été

dém

ontr

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mol

écul

ed’

ADN

émet

des

rayo

nsél

ectro

mag

nétiq

ues

cohé

rent

squ

ine

sont

pas

dus

auha

sard

.Plu

squ

’un

rôle

bioc

him

ique

que

l’AD

Nn’

apa

spu

isqu

’elle

est

une

mol

écul

ech

imiq

uem

ent

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te,e

llea

unrô

lebi

ophy

siqu

eco

mm

ele

stra

vaux

duD

rFr

itzA.

Popp

lem

ontre

nt12.S

esex

périm

enta

-tio

nsvo

ntai

nsid

ans

lese

nsde

l’hyp

othè

sepr

opos

éepa

rEt

ienn

eG

uillé

:que

l’AD

Nso

itun

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isd’

info

r-m

atio

nsen

trele

spl

ans

subt

ilset

leur

conc

rétis

atio

nau

sein

dela

mat

ière

deno

sco

rps.

Dan

sla

trad

ition

chin

oise

,le

drag

onre

prés

ente

sym

boliq

uem

ent

les

éner

gies

éthé

rique

sci

rcul

ant

dans

les

prof

onde

urs

dela

terr

e.En

Euro

pe,c

ette

éner

gie

circ

ulan

tplu

sen

surf

ace,

just

eso

usle

sol,

aét

ére

prés

enté

epa

rla

voui

vre.

Enco

mm

unic

anta

vec

lana

ture

aum

oyen

dedr

ogue

s,le

sch

aman

sen

tren

ten

com

mun

icat

ion

avec

lese

rpen

t.Lu

iaus

si,e

stle

sym

bole

,ent

reau

tres

,de

cette

éner

gie

subt

ilequ

el’o

nap

pelle

l’éne

rgie

éthé

rique

.Le

serp

ent

est

d’ai

lleur

sut

ilisé

defa

çon

abon

dant

eda

nsla

sym

bo-

lique

deto

utes

les

Trad

ition

s:

leca

ducé

e,l’O

urob

ouro

s,Ap

isch

ezle

sEg

yptie

ns…

Cet

éthe

res

t,co

mm

ele

préc

ise

l’art

icle

deCh

ristia

nPo

st,l

em

oule

dela

form

e,la

subs

tanc

ein

visi

ble

àl’o

rigin

ede

sfo

rmes

13.E

nta

ntqu

ete

lle,

elle

esti

nfor

mat

ion.

Etc’

este

nen

tran

ten

com

mun

i-ca

tion

avec

lese

rpen

t,ce

ttem

atiè

reét

hériq

ueso

urce

d’in

form

atio

n,re

lais

entr

eto

usle

srè

gnes

etto

ute

lana

ture

que

les

cham

ans

ontp

uco

nnaî

tre

les

prop

riété

sde

spl

ante

squ

iles

ento

urai

ent.

Ains

i,ce

nese

rait

pas

par

une

conn

aiss

ance

empi

rique

que

les

guér

isse

urs

des

peup

les

indi

gène

ssa

vent

dose

rle

spl

ante

sm

édic

inal

esqu

i,ut

ilisé

esà

une

autr

eco

ncen

trat

ion

devi

enne

ntun

pois

onm

orte

l,m

ais

par

une

conn

aiss

ance

dire

cte

com

me

eux-

mêm

esl’a

ffir-

men

t,ve

nant

d’un

écha

nge

d’in

form

atio

nsau

nive

aude

spl

ans

subt

ilsde

lana

ture

.C’e

sten

tout

cas

latr

èssé

rieus

ehy

poth

èse,

mêm

esi

celle

-cin

epa

rlepa

sd’

éner

gie

éthé

rique

,que

prop

ose

l’ant

hrop

olo-

gue

Jere

my

Nar

by14.

L’AD

Nse

mbl

eêt

re,a

use

inde

lace

llule

,le

réce

p-ta

cle

priv

ilégi

éde

cette

info

rmat

ion

quip

eutc

ircul

eren

tre

les

diffé

rent

spl

ans

dem

atiè

res

visi

bles

etin

vi-

sibl

es,d

em

ême

qu’e

ntre

les

diffé

rent

srè

gnes

dela

natu

re,e

ntre

les

indi

vidu

set

entr

ele

sce

llule

s.

Cette

circ

ulat

ion

d’in

form

atio

nau

nive

aude

spl

ans

subt

ilses

taus

sià

mêm

ed’

expl

ique

rles

exem

-pl

esde

co-é

volu

tion

ause

inde

lana

ture

:cer

tain

eses

pèce

sde

fleur

s,en

part

icul

ier

des

orch

idée

sne

peuv

ents

urvi

vre

sans

l’uni

que

espè

ced’

inse

cte

qui

les

polli

nise

,la

fleur

étan

ten

parf

aitm

imét

ism

eav

ec

10.A

vérif

ier

par

vous

-mêm

e(H

aute

urdu

nom

bril

=ha

uteu

rdu

corp

sdi

visé

epa

r1,

618)

,soi

t:

Hau

teur

duco

rps

(m)

1,85

1.80

1.75

1.70

1.65

1.60

Hau

teur

duno

mbr

il(m

)1,

141,

111,

081.

051.

020.

99

11.L

egé

nom

ees

tl’e

nsem

ble

dela

mol

écul

ed’

ADN

d’un

ece

llule

,leq

uele

stré

part

iche

zl’h

omm

e,en

23ch

rom

osom

espr

ésen

tsen

deux

exem

plai

res

(l’un

vena

ntdu

père

,l’a

utre

dela

mèr

e).L

egé

nom

edé

term

ine

les

cara

ctér

istiq

ues

glob

ales

del’e

spèc

e.12

.Dr

Fritz

A.Po

pp, B

iolo

gie

dela

Lum

ière

,bas

essc

ient

ifiqu

esdu

rayo

nnem

entc

ellu

laire

ultr

a-fa

ible

;mar

copi

ette

urEd

iteur

.13

.Sav

ez-v

ous

d’ai

lleur

squ

em

ême

aujo

urd’

hui,

nous

neco

nnai

sson

spa

sle

méc

anis

me

d’él

abor

atio

nde

sfo

rmes

chez

les

prot

éine

s?N

ous

savo

nsbi

ensû

r,co

mm

ente

lles

sont

cons

trui

tes

àpa

rtir

des

gène

sm

ais

pas

com

men

telle

spr

enne

ntle

urfo

rme

trid

imen

sion

nelle

dans

l’esp

ace.

14.J

erem

yN

arby

, le

serp

entc

osm

ique

,l’A

DN

etle

sor

igin

esdu

savo

ir.G

eorg

Edite

ur,1

995.

14[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

lafe

mel

lein

sect

e.Co

mm

entd

ete

lles

sim

ilitu

des

defo

rmes

peuv

ent-

elle

sap

para

ître

entr

edi

ffére

nts

règn

esde

lana

ture

?La

circ

ulat

ion

del’i

nfor

mat

ion,

plus

qu’u

nm

écan

ism

ed’

évol

utio

nda

rwin

ien

qui

supp

ose

des

mut

atio

nsha

sard

euse

sex

trao

rdin

ai-

res,

expl

ique

faci

lem

ent

dete

lsph

énom

ènes

.L’

adap

tatio

net

laco

-évo

lutio

nso

ntai

nsip

erm

ises

paru

nein

tera

ctio

ndi

rect

een

tre

corp

set

envi

ronn

e-m

ento

ùl’i

nfor

mat

ion

circ

ule

àto

usle

sni

veau

xet

entr

eto

usle

sni

veau

x.Ce

pend

ant,

tant

que

l’éth

é-riq

uene

sera

pas

prou

vé,l

essc

ient

ifiqu

esre

ster

ont

herm

étiq

ues

àde

telle

sex

plic

atio

ns.C

eux

quir

egar

-de

ntle

mon

dede

lafa

çon

lapl

usla

rge

peuv

entp

oser

l’hyp

othè

sequ

ela

Vie

nous

est

tran

smis

epa

rle

spl

ans

éthé

rique

set

que,

ause

inde

lace

llule

,l’A

DN

soit

une

cent

rale

réce

ptric

eet

émet

tric

ede

cette

éner

gie-

info

rmat

ion.

Dan

sed

ela

vie,

dan

sed

el’

AD

N.

Lavi

sion

duto

utgé

nétiq

uedi

spar

aîtp

our

s’ou

-vr

irà

celle

d’un

evi

sion

faite

d’in

tera

ctio

nco

nsta

nte

entr

el’A

DN

etso

nen

viro

nnem

entc

ellu

laire

,voi

rem

ême

extr

acel

lula

ire.L

esex

périm

enta

tions

mon

t-re

ntqu

el’A

DN

reço

itet

émet

des

infr

arou

ges

etde

sul

trav

iole

tslu

iper

met

tant

d’êt

reen

rela

tion

avec

son

envi

ronn

emen

t.L’

info

rmat

ion

circ

ule

ains

id’u

nece

l-lu

leà

l’aut

regr

âce

aux

onde

sin

frar

ouge

sém

ises

par

l’AD

N,e

tde

sce

llule

sn’

ayan

tau

cun

cont

act

phy-

siqu

epe

uven

têtr

een

cont

act«

radi

o».

Ces

déco

u-ve

r tes

lais

sent

entr

evoi

rde

sno

uvel

les

pers

pect

ives

dere

cher

ches

ains

ique

,san

sdo

ute,

unbo

ulev

erse

-m

entd

eno

tre

visi

onde

l’AD

N,d

eso

nrô

leet

desa

fonc

tion

ause

inde

lace

llule

.L’A

DN

aura

it-il

une

fonc

tion

ondu

lato

ireet

une

fonc

tion

dere

lais

des

plan

ssu

btils

?Si

legè

nese

trou

veda

nsun

endr

oit

loca

lisé

ause

inde

l’AD

Npe

ut-il

être

enre

latio

nav

ecun

envi

ronn

emen

tbea

ucou

ppl

usla

rge

qu’o

nne

lepe

nse

actu

elle

men

t?U

nen

viro

nnem

entn

onse

ule-

men

tcel

lula

ire,m

ais

incl

uant

auss

il’o

rgan

ism

e,l’é

-co

syst

ème,

laTe

rre

etm

ême

l’Uni

vers

?Ce

sid

ées

sont

com

mun

espo

urle

phys

icie

nen

méc

aniq

uequ

antiq

ue:l

apa

rtic

ule

este

nre

latio

nav

ecl’u

nive

rsto

uten

tier.

Cequ

is’a

ppliq

ueau

fond

emen

tmêm

ede

lam

atiè

rese

mbl

es’

appl

ique

rau

phén

omèn

edu

viva

nt,c

equ

ine

sera

itpa

ssu

rpre

nant

.On

envi

entà

l’idé

equ

e,po

ures

sent

ielle

qu’e

lleso

it,l’i

nfor

mat

ion

del’A

DN

n’es

tpas

tout

.Pou

rra

ison

ner

levi

vant

,il

faut

pens

ergl

obal

emen

tave

cle

tout

:l’A

DN

etso

nen

viro

nnem

ent,

l’AD

Nda

nsso

néc

osys

tèm

ece

llu-

laire

.Les

méc

anis

mes

fins

deré

gula

tion

dela

vie,

dem

ême

que

ceux

del’é

volu

tion

biol

ogiq

ue,p

rovi

en-

nent

del’i

nter

actio

nco

mpl

exe

dece

tens

embl

e.

Les

gène

set

l’AD

Nso

ntà

lafo

isba

sede

donn

ées

etpr

ogra

mm

es,

stab

les

etpo

urta

ntm

ouva

nts,

néce

ssita

ntpo

urle

urut

ilisa

tion

non

seul

emen

tune

info

rmat

ion

cons

titué

ede

lasu

itede

sba

ses

(A,T

,G,

C)du

gène

lui-m

ême,

mai

sau

ssid

esin

form

atio

nsbi

ochi

miq

ues

dela

cellu

le,

indé

pend

ante

sde

lasé

quen

cegé

nétiq

ue,e

tpeu

t-êt

rem

ême

ondu

lato

ires

prov

enan

td’u

nen

viro

nnem

ente

xtra

-cel

lula

irepl

usla

rge

incl

uant

les

plan

ssu

btils

del’ê

tre

etdu

mon

de.

Mo

rph

og

enès

eet

cham

ps

Pour

l’éso

tériq

ue,

ces

forc

esét

hériq

ues

sont

déte

rmin

ante

sda

nsl’é

labo

ratio

nde

sfo

rmes

.Au

nive

aude

labi

olog

iede

sor

gani

smes

,des

diffé

ren-

ces

rem

arqu

able

sso

ntob

serv

ées

quan

tau

pouv

oir

deré

géné

ratio

nde

sfo

rmes

.Les

cellu

les

végé

tale

spe

uven

tdo

nner

des

feui

lles

oude

sra

cine

sas

sez

faci

lem

ent.

Lebo

utur

age

des

végé

taux

utili

sece

tteap

titud

e.Ch

ezle

sre

ptile

s,le

slé

zard

son

tla

poss

ibi-

lité

deré

géné

rerl

eurq

ueue

aprè

sse

ctio

nou

pert

ede

celle

-cis

uite

àl’a

ttaqu

ed’

unpr

édat

eur.

Sino

us,

hum

ains

,avi

ons

lam

ême

capa

cité

cellu

laire

,iln

’yau

rait

plus

decu

l-de-

jatte

nide

man

chot

.Une

flexi

-bi

lité

cellu

laire

diffé

rent

ees

tdon

l’œuv

rese

lon

les

espè

ces,

les

cellu

les

végé

tale

sét

antl

esch

ampi

on-

nes

dans

cedo

mai

ne.E

lles

sont

dite

sto

tipot

ente

sca

rel

les

sont

ouve

rtes

aux

pote

ntia

lités

duto

utco

nten

uda

nsle

géno

me.

Elle

spe

uven

tain

sijo

uer

n’im

port

equ

elle

part

ition

ause

indu

géno

me.

Cert

aine

sth

éorie

sbi

olog

ique

sn’

hési

tent

pas

àut

ilise

rdes

conc

epts

vena

ntde

laph

ysiq

uepo

urpr

o-po

seru

nevi

sion

cohé

rent

ede

sph

énom

ènes

.Quo

ide

plus

natu

reld

’aill

eurs

puis

que

laph

ysiq

uees

tàla

base

dela

chim

ieet

dela

biol

ogie

?C’

estl

eca

sde

lath

éorie

des

cham

psm

orph

ogén

étiq

ues

prop

osée

par

Rup

ertS

held

rake

15qu

iutil

ise

lano

tion

dech

amp

àpr

opos

des

parti

cule

s:ch

aque

parti

cule

esta

ssoc

iée

àun

cham

pim

mat

érie

lsan

sm

atiè

reni

éner

gie

etpo

urta

ntso

urce

d’én

ergi

e,de

mat

ière

etd’

info

rma-

tion.

Elar

gie

àla

vie,

cette

théo

riem

ontre

que

chaq

ueor

gani

sme

sera

itas

soci

éà

unch

amp

spéc

ifiqu

son

espè

ce.

Cech

amp

imm

atér

iel

etin

tem

pore

l

15.R

uper

tShe

ldra

ke,U

neno

uvel

lesc

ienc

ede

lavi

e;Ed

ition

Du

Roc

her,

1985

.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 1

5

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

cond

ition

nera

ital

ors

ledé

velo

ppem

entd

esor

gani

s-m

esle

sdi

rigea

ntau

cour

sde

leur

onto

genè

se.L

esin

divi

dus

mod

ifien

tle

cham

ppa

run

phén

omèn

ede

rétr

oact

ion

enfo

nctio

nde

leur

sac

quis

etex

périe

n-ce

s.Bi

enqu

’inte

mpo

rels

,ces

cham

pssu

biss

ente

nap

pare

nce

lalo

iuni

vers

elle

del’é

volu

tion

para

dditi

onde

sno

uvel

les

expé

rienc

esde

sor

gani

smes

liés

auch

amp.

Ils’

agit

enfa

itd’

effe

tscu

mul

atifs

.La

répé

ti-tio

nd’

unm

ême

phén

omèn

ein

fluen

cele

cham

pm

orph

ogén

étiq

uequ

ilui

esta

ssoc

iéen

augm

enta

ntso

nac

tion

sur

les

mêm

esph

énom

ènes

quia

uron

tlie

uda

nsle

futu

r.La

prob

abili

téde

ceté

véne

men

ts’

entro

uver

aal

ors

renf

orcé

e.Le

cham

pm

orph

ogé-

nétiq

uees

tun

cham

por

gani

sate

urde

lam

atiè

rede

lam

ême

faço

nqu

ele

cham

pm

agné

tique

d’un

aim

ant

plac

éso

usun

efe

uille

stru

ctur

ela

limai

llede

ferp

la-

cée

sur

lafe

uille

,au-

dess

usde

l’aim

ant.

Ici,

nous

voyo

nscl

aire

men

tl’e

ffetd

esfo

rces

éthé

rique

sen

actio

nsu

rla

form

equ

epr

end

lam

atiè

re.

Nou

sn’

allo

nspa

sdé

velo

pper

plus

loin

cette

nou-

velle

biol

ogie

.Not

ons

sim

plem

entq

ueno

usav

ons

làun

eth

éorie

ambi

tieus

equ

ia

des

prol

onge

men

tsda

nsto

usle

sdo

mai

nes,

des

réac

tions

chim

ique

celu

ide

l’app

rent

issa

gehu

mai

nou

anim

al,e

tde

laph

ysiq

ueà

l’ast

rono

mie

.Elle

estp

rom

ette

use

eta

l’ava

ntag

ed’

être

test

able

parl

’exp

érie

nce

etla

répé

-tit

ion

puis

qu’e

llein

terv

ient

dire

ctem

ents

urle

sph

é-no

mèn

es.L

’exe

mpl

ede

sra

tsqu

iexp

lore

ntun

nou-

veau

laby

rinth

ees

tle

cas

lepl

usci

té.A

forc

ede

l’exp

lore

rau

sein

d’un

labo

rato

iredo

nné,

mêm

ele

sra

tssi

tués

àl’a

utre

bout

dela

plan

ète

etne

l’aya

ntja

mai

ste

sté

ont

une

plus

gran

defa

cilit

épo

uren

trou

ver

laso

rtie

.Ile

nes

tde

mêm

epo

urla

cris

talli

-sa

tion

deno

uvea

uxm

atér

iaux

.Pen

dant

plus

ieur

san

nées

,diff

éren

tsla

bora

toire

trav

ers

lem

onde

essa

yent

d’in

vent

erun

nouv

eau

type

dem

atér

iaux

sans

succ

èsm

ais,

dès

lors

qu’u

nla

bora

toire

réus

sit,

plus

ieur

sau

tres

situ

ésau

xqu

atre

coin

sdu

glob

ey

arriv

ents

ouda

inem

ent.

Lath

éorie

des

cham

psm

orph

ogén

étiq

ues

fait

appe

làde

sno

tions

nouv

elle

spo

urde

sbi

olog

iste

squ

in’a

imen

tpas

man

ipul

erl’i

mm

atér

ielb

ien

que

les

fond

emen

tsde

notr

em

onde

setr

ouve

ntda

nsce

sch

amps

imm

atér

iels

.Ilf

audr

ace

pend

antd

éfin

irla

natu

reex

acte

dece

sch

amps

ains

ique

leur

sm

odal

i-té

sd’

actio

nsu

rle

sor

gani

smes

.Par

quel

sm

oyen

sso

mm

esno

uslié

ceux

-ci?

Entr

eau

tres

parn

otre

ADN

etso

nas

pect

ondu

lato

ire.A

ffaire

àsu

ivre

Qu

’en

est-

ild

el’

ori

gin

e?

Sila

cellu

lees

tind

ispe

nsab

leau

fonc

tionn

emen

tde

l’ADN

,l’A

DNes

tind

ispe

nsab

leau

fonc

tionn

emen

tde

lace

llule

.L’u

nne

vapa

ssa

nsl’a

utre

.On

envi

entà

l’inc

onto

urna

ble

ques

tion

des

orig

ines

del’œ

ufou

dela

poul

eav

ecic

i,qu

ide

l’AD

Nou

dela

cellu

le?

Sil’A

DNne

peut

surv

ivre

sans

lace

llule

quil

uise

rtd’

ha-

bita

cle

etla

cellu

lesa

nssa

cent

rale

d’in

form

atio

nqu

’est

l’AD

N,

cert

ains

orga

nism

esda

nsle

viva

nt(c

omm

ele

sré

trovi

rus)

peuv

entn

epa

sav

oir

d’AD

N.Ils

sont

pour

vus

d’AR

N,m

oléc

ule

nucl

éidi

que

por-

teus

ed’

info

rmat

ion

com

me

l’AD

N.C

ela

nefa

itqu

ere

pous

serl

aqu

estio

nde

sor

igin

es,c

arco

mm

enti

ma-

gine

rde

l’ARN

porte

urd’

info

rmat

ion

sans

cellu

leou

une

cellu

lesa

nsAR

N?

Alor

s?M

onde

prim

ordi

alà

ARN

oum

onde

prim

ordi

alà

ADN

?Le

urco

nditi

onde

synt

hèse

estt

elle

men

tdiff

icile

àim

agin

ersa

nsl’a

ttira

ilce

llula

irequ

ece

rtain

ssc

ient

ifiqu

eson

taba

ndon

nél’i

-dé

ed’

imag

iner

unm

onde

prim

ordi

alà

ARN

ouAD

N.Ils

prop

osen

talo

rsun

mon

depr

ébio

tique

pept

idiq

ue.

Les

acid

esam

inés

selie

ntfa

cile

men

tpou

rdon

nerd

espe

ptid

esda

nsun

mili

eufa

itpa

rl’a

ltern

ance

des

pha-

ses

hum

ides

etsè

ches

des

mar

ées

prim

itive

s.

Cequ

iest

cert

ain,

c’es

tque

les

orga

nism

esbi

o-lo

giqu

esso

ntin

sépa

rabl

esde

l’AD

Nou

del’A

RN

.Ce

sm

oléc

ules

rége

nten

tla

cons

truc

tion

del’o

rga-

nism

eai

nsiq

uesa

dupl

icat

ion.

Lavi

ebi

olog

ique

est

unsy

stèm

eco

mpl

exe

etau

to-o

rgan

isé

(une

stru

c-tu

redi

ssip

ativ

e)ay

antl

apo

ssib

ilité

dese

dupl

ique

r.D

ans

l’éta

tact

ueld

ela

scie

nce,

l’orig

ine

dece

pou-

voir

orga

nisa

teur

rest

eho

rsde

notr

eco

mpr

éhen

-si

on.O

nne

peut

que

leco

nsta

ter

mai

spa

sl’e

xpli-

quer

.Ete

ncor

em

oins

crée

rdes

orga

nism

esvi

vant

part

ird’

élém

ents

chim

ique

s.N

otre

savo

irsu

rle

viva

ntre

ste

limité

etla

biol

ogie

abe

soin

d’un

nou-

veau

conc

eptp

oure

xpliq

uerp

lein

emen

tla

vie

etso

nor

igin

e16,m

ais

d’un

conc

eptg

loba

len

rela

tion

dire

cte

avec

laph

ysiq

ueet

lach

imie

car,

com

me

onle

voit

Tout

setie

ntet

Tout

estl

ié.

Ento

usca

s,po

urno

tre

orig

ine,

l’orig

ine

biol

o-gi

que

deno

tre

être

aco

mm

encé

par

lafu

sion

dede

uxce

llule

s,l’o

vule

deno

tre

mèr

eet

lesp

erm

ato-

zoïd

ede

notr

epè

re.A

près

une

redi

strib

utio

ngé

né-

tique

,etn

otre

fond

emen

tgén

étiq

ueét

abli,

l’ave

ntur

ede

notr

eno

uvel

être

aco

ntin

uépo

urdo

nner

ceco

rps

avec

lequ

elvo

uslis

ezce

slig

nes.

Vous

êtes

issu

,

16.A

ntoi

neBé

cham

p(1

819-

1908

)et

Wilh

elm

Rei

ch(1

897-

1957

)on

tréu

ssià

crée

rde

sor

gani

smes

àpa

rtir

dem

ilieu

xas

eptiq

ues.

Lepr

emie

rle

sa

appe

lés

mic

rozy

mas

etle

seco

ndde

sbi

ons.

Faite

sil

ya

plus

de10

0an

set

50an

s,ce

sex

périe

nces

dem

ande

ntà

être

refa

ites

avec

late

chno

logi

ed’

aujo

urd’

hui.

16[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

dans

unpr

emie

rte

mps

,de

lare

com

bina

ison

géné

-tiq

uede

s25

000

gène

sd’

une

part

devo

tre

mèr

e,pu

is,d

’aut

repa

rt,d

es25

000

gène

sde

votr

epè

re,

soit

une

dive

rsité

de25

0002

com

bina

ison

sde

gène

spo

ssib

les

pour

chac

unpu

isqu

el’o

na

deux

exem

-pl

aire

sde

chro

mos

omes

dans

chac

une

deno

sce

llu-

les

(hor

mis

les

cellu

les

sexu

elle

squ

in’e

non

tqu’

un).

Puis

dans

unde

uxiè

me

tem

ps,

dela

fusi

onde

sga

mèt

esm

âles

etfe

mel

les

devo

spa

rent

s.Au

final

,ce

laco

rres

pond

àun

tirag

eal

éato

irepa

rmi2

500

04

com

bina

ison

sgé

nétiq

ues

poss

ible

s,so

itun

eco

mbi

-na

ison

parm

iun

mill

iard

dem

illia

rds

depo

ssib

ilité

s.Au

tant

dire

que

lave

nue

dech

acun

deno

usav

ecno

spr

opre

sca

ract

éris

tique

sgé

nétiq

ues

étai

tnon

seul

e-m

enti

mpr

obab

lem

ais

égal

emen

tim

poss

ible

,tou

tdu

moi

nspo

urle

rais

onne

men

tsta

tistiq

uecl

assi

que

des

scie

ntifi

ques

.

Part

id’u

nece

llule

,vou

svo

icip

rése

ntau

jour

d’hu

iav

ecpr

èsde

5000

0m

illia

rds

dece

llule

sag

encé

esen

tissu

s,or

gane

s,gl

ande

s,sy

stèm

es.L

esin

terr

ela-

tions

sont

mul

tiple

set

com

plex

es.O

ndi

stin

gue

lesy

stèm

ere

spira

toire

,ner

veux

,end

ocrin

ien,

card

io-

vasc

ulai

re,

leto

uts’

agen

çant

sur

une

stru

ctur

eso

lide,

lesq

uele

tte.U

nco

urs

d’an

atom

iehu

mai

nene

sera

pas

néce

ssai

repo

urvo

usfa

iresa

isir

laco

m-

plex

itéde

l’org

anis

atio

ndu

corp

shu

mai

nqu

ifon

c-tio

nne

com

me

unto

ut,e

tnon

com

me

unag

ence

-m

entd

epi

èces

déta

chée

sco

mm

ese

mbl

epa

rfoi

sle

croi

reno

tre

méd

ecin

eoc

cide

ntal

e.To

utle

plan

d’or

-ga

nisa

tion

perm

etta

ntl’a

genc

emen

tdes

cellu

les

etde

stis

sus

entr

eeu

xai

nsiq

uele

urs

fonc

tionn

emen

tsse

trou

vepr

ésen

tau

cœur

dech

acun

ede

nos

cellu

-le

s,et

l’AD

Nes

tl’u

nde

spr

inci

paux

réci

pien

daire

s.L’

ADN

,ses

cara

ctér

istiq

ues

bioc

him

ique

s,ai

nsiq

uece

lles

deno

sce

llule

s,fo

ntno

tre

iden

tité

biol

ogiq

ue,

ilsn’

expl

ique

ntpa

sce

pend

antà

cejo

urco

mm

entl

avi

epe

utex

iste

r.Pa

rco

ntre

,sio

nl’a

ssoc

ieà

l’éth

é-riq

ueto

uts’

orga

nise

,tou

ts’é

clai

reto

uts’

illum

ine.

Vie

etco

smo

sLa

com

plex

itédu

corp

shu

mai

ndé

pass

ece

lled’

unso

leil.

Celle

d’un

ece

llule

mêm

ela

surp

asse

.La

dém

esur

ede

ceté

cart

n’a

deco

mpa

rais

onqu

’ave

cla

dém

esur

ede

leur

dim

ensi

onre

spec

tive,

1,4

mill

ions

dekm

dedi

amèt

repo

urle

Sole

il(1

,4*1

06m

)et

del’o

rdre

d’1

µm(1

0-6m

)pou

rune

cellu

lehu

mai

ne.L

eSo

leil

aai

nsiu

ndi

amèt

red’

unm

illie

rde

mill

iard

sde

fois

plus

gran

dqu

’une

deno

sce

llule

s.

Chac

une

deno

sce

llule

sre

nfer

me

2m

ètre

sde

mol

écul

esd’

ADN

etno

usav

ons

5000

0m

illia

rds

dece

llule

s.M

isbo

utà

bout

,la

long

ueur

tota

lede

notre

ADN

corp

orel

aun

elo

ngue

urde

mill

em

illio

nsde

kilo

-m

ètre

s,so

itpr

èsde

700

fois

ladi

stan

ceTe

rre

–So

leil

et7

fois

ledi

amèt

rede

notre

syst

ème

sola

ire.E

tsic

’é-

tait

lesi

gne

que

lavi

eav

aitu

nedi

men

sion

cosm

ique

?

Pour

com

pren

dre

lavi

e,il

faut

l’ins

érer

dans

son

mili

eu,l

aTe

rre

quib

aign

eda

nsle

cosm

os.L

aTe

rre

reço

iten

perm

anen

ceun

equ

antit

éph

énom

énal

ed’

onde

set

depa

rtic

ules

prov

enan

tde

tout

esle

sdi

rect

ions

del’e

spac

eet

lavi

ees

tiné

vita

blem

ente

nre

latio

nav

ecce

sra

yons

cosm

ique

s.Vo

tre

corp

ses

tac

tuel

lem

entb

omba

rdé

par

des

mill

iard

sde

neut

ri-no

s.N

osor

gani

smes

sont

tran

sper

cés

deto

ute

part

par

des

flux

dera

yonn

emen

tset

depa

rtic

ules

.Ils

leur

sont

mêm

ein

disp

ensa

bles

.Des

expé

rimen

ta-

tions

ontm

ontr

équ

ele

sor

gani

smes

,iso

lés

dece

sra

diat

ions

,ne

pouv

aien

tsur

vivr

e.U

nla

pin

mis

dans

une

cage

de7

mèt

res

d’ép

aiss

eur

enpl

omb,

cequ

il’i

sole

des

rayo

nnem

ents

cosm

ique

s,m

eurt

aubo

utde

quel

ques

jour

sbi

enqu

’ilai

tsu

ffisa

mm

ent

deno

urrit

ure.

Qu’

est-

cequ

idon

nela

vie

sile

sno

urrit

u-re

ste

rres

tres

neso

ntpl

ussu

ffisa

ntes

?N

ous

lesa

vons

,l’é

nerg

ieét

hériq

ue,l

aque

llen’

est,

elle

auss

i,qu

’un

r ela

ispo

urde

sén

ergi

espl

usgr

ande

s.In

dépe

ndam

men

tde

son

hist

oire

,le

cosm

osa

une

actio

ndi

rect

esu

rvos

cellu

les

aum

omen

tmêm

eoù

vous

lisez

ces

ligne

s.La

Vie,

quis

eba

sesu

rle

pass

édu

cosm

os,l

uies

tauj

ourd

’hui

mêm

ein

diss

ocia

ble

puis

qu’il

cont

inue

delu

ido

nner

vie

d’in

stan

ten

inst

ant.

Une

dim

ensi

onno

uvel

lepo

urla

vie,

etdo

ncpo

urno

tre

vie

d’ho

mm

e,ap

para

ît,le

sque

lles

vies

nepe

uven

tpl

usêt

repe

nsée

sin

dépe

ndam

men

tdu

mili

euco

smiq

uedo

ntel

les

seno

urris

sent

ence

mom

entm

ême.

Puis

sion

s-no

usen

pren

dre

cons

-ci

ence

etag

iren

nous

insé

rant

lepl

usha

rmon

ieus

e-m

entp

ossi

ble

dans

cepl

usgr

and

tout

.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 1

7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Aude

làdu

corp

sét

hériq

ue,l

ece

ntre

créa

teur

1de

l’êtr

ehu

mai

n,ar

rivé

enqu

elqu

eso

rte

aute

rme

deso

ntr

ajet

,de

son

chem

in,d

ese

sdi

ffére

ntes

man

i-fe

stat

ions

,s’e

xtér

ioris

esu

rle

plan

mat

érie

lden

se,

créa

ntal

ors

son

réce

pteu

r,le

corp

sph

ysiq

uede

nse

ouco

rps

hum

ain.

Leco

rps

phys

ique

-réc

epte

urva

seco

nstit

uer,

orga

nise

rse

sél

émen

tset

sedé

velo

pper

avec

unm

axim

umd’

effic

acité

fonc

tionn

elle

,tan

tpou

rla

vie

dans

lam

atiè

requ

epo

urle

serv

ice

duce

ntre

créa

teur

.Su

rce

plan

,le

cent

recr

éate

urco

ntin

uebi

ensû

exer

cers

ady

nam

ique

d’ex

tério

risat

ion.

Cette

dyna

miq

uere

stan

tper

man

ente

,elle

sou-

met

lam

atiè

reà

une

pres

sion

cons

tant

equ

ila

met

enm

ouve

men

t.Et

ladi

fficu

lté,p

ourl

eré

cept

eur,

estd

ede

voir

gére

rd’

une

part

une

pres

sion

cons

tant

eet

d’au

tre

part

une

mat

ière

qui,

ens’

accu

mul

ants

ans

cess

e,de

vien

tde

moi

nsen

moi

nsso

uple

,de

moi

nsen

moi

nsm

allé

able

,de

moi

nsen

moi

nsad

apta

ble.

L’an

atom

ie,l

aco

nstit

utio

n,l’o

rgan

isat

ion

etle

sm

ouve

men

tsdu

corp

shu

mai

nso

ntre

prés

enta

tifs

dece

ttege

stio

net

sign

entl

apr

ésen

cepe

rman

ente

d’un

cent

recr

éate

urau

sein

deso

nré

cept

eur.

Co

nst

itu

tio

n,

org

anis

atio

nd

uco

rps

hu

mai

nLe

corp

shu

mai

nes

tcon

stitu

éde

gran

dssy

stè-

mes

defo

nctio

nnem

ent.

Un

syst

ème

defo

nctio

nne-

men

tes

tun

ense

mbl

ed’

élém

ents

anat

omiq

ues

regr

oupé

sau

serv

ice

d’un

em

ême

fonc

tion

phys

iolo

-gi

que,

c’es

t-à-

dire

d’un

eac

tivité

part

icip

antà

lavi

edu

corp

s.

On

dist

ingu

ede

ssy

stèm

esde

fonc

tionn

emen

tin

tern

es,c

onte

nus,

logé

s,pr

otég

éspa

run

syst

ème

exte

rne.

Les

syst

èmes

inte

rnes

Lesy

stèm

ene

rveu

x.

Ense

mbl

edu

cerv

eau,

moe

lleép

iniè

re,

nerf

spé

riphé

rique

sm

oteu

rset

sens

itifs

.Les

élém

ents

qui

leco

nstit

uent

véhi

cule

ntde

l’éle

ctric

itéet

sont

orga

-ni

sés

pour

assu

rer

lefo

nctio

nnem

enté

lect

rique

duco

rps

(ils

assu

rent

lavi

eet

lam

ort,

cara

ujou

rd’h

ui,

aucu

ndi

spos

itif

tech

niqu

ene

peut

les

supp

léer

,co

ntra

irem

enta

uxau

tres

syst

èmes

inte

rnes

).

Lesy

stèm

ere

spir

atoi

re.

Ense

mbl

ede

spo

umon

s,de

latr

aché

eet

des

voie

saé

rienn

essu

périe

ures

.Le

sél

émen

tsqu

ile

cons

titue

ntvé

hicu

lent

des

gaz

etso

ntor

gani

sés

pour

assu

rerd

eséc

hang

esga

zeux

dans

leco

rps.

Lesy

stèm

eci

rcul

atoi

re.

Ense

mbl

edu

cœur

,des

vais

seau

xpé

riphé

rique

s(a

rtèr

eset

vein

es),

mai

sau

ssid

esca

naux

lym

pha-

tique

s,la

crym

aux,

saliv

aire

set

c..L

esél

émen

tsqu

ile

cons

titue

ntvé

hicu

lent

des

liqui

des

etso

ntor

gani

sés

pour

assu

rerd

esfo

nctio

nsde

tran

spor

tetd

edi

stri-

butio

n(n

utrim

ents

,hor

mon

eset

c.).

DY

NA

MIQ

UE

D’E

XTÉ

RIO

RIS

ATI

ON

DE

L’ÉN

ERG

IEÉT

HÉR

IQU

ED

AN

SLE

CO

RPS

DEN

SEIn

vers

ion

,du

pli

cati

on

,exp

ansi

on

Der

rièr

eun

eap

pare

nte

com

plex

ité,l

eco

rps

hum

ain

mon

tre

àto

usle

sni

veau

x,un

eun

itéet

une

dyna

miq

ueré

véla

tric

esde

lapr

ésen

cepe

rman

ente

d’un

cent

recr

éate

uret

inté

grat

eur.

L’ex

téri

oris

atio

nde

cece

ntre

créa

teur

invi

sibl

efa

itap

para

ître

labe

auté

dela

créa

tion

duco

rps

hum

ain

avec

ses

proc

essu

sd’

inve

rsio

n,de

dupl

icat

ion

etd’

expa

nsio

n.

1Le

cent

recr

éate

urou

inté

grat

eur

estc

equ

eno

usap

pelo

nsha

bitu

elle

men

t«âm

[CO

RIN

EB

ELT

OIS

E]

Kin

ésithéra

peute

,fa

scia

théra

peute

18[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IELE

CO

RP

SH

UM

AIN

1ÈR

EPA

RT

IE:L

EC

OR

PS

,TE

MP

LED

ELA

VIE

Lesy

stèm

ene

rveu

xes

tron

d(c

erve

au)

etlo

ng(m

oelle

épin

ière

etne

rfs

péri

phér

ique

s)

Lesy

stèm

ere

spir

atoi

rees

tron

d(p

oum

ons)

etlo

ng(t

rach

ée)

Lesy

stèm

eci

rcul

atoi

rees

tron

d(c

œur

)et

long

(vai

ssea

uxsa

ngui

ns),

tout

com

me

lesy

stèm

edi

gest

ifes

tron

d(i

ntes

tins)

etlo

ng(œ

soph

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Lesy

stèm

eos

téo-

mus

cula

ire

estr

ond

(têt

eet

bass

in)

etlo

ng(c

olon

neve

rtéb

rale

)

Sché

ma

1:E

xpan

sion

s.De

str

aits

dede

ssin

sro

nds

etlo

ngs,

plus

oum

oins

défo

rmés

.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 1

9

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Lesy

stèm

evi

scér

al

Lesy

stèm

edi

gest

if(œ

soph

age,

esto

mac

,int

es-

tins

etle

urs

anne

xes,

foie

,rat

e,pa

ncré

as,v

ésic

ule

bilia

ire),

les

glan

des

endo

crin

es,l

esy

stèm

eré

nal,

lesy

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ere

prod

ucte

ur.L

esél

émen

tsqu

ile

cons

ti-tu

entv

éhic

ulen

tdes

mat

ière

sin

term

édia

ires.

Ilsso

ntor

gani

sés

pour

assu

rer

lefo

nctio

nnem

enta

limen

-ta

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aré

gula

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des

para

mèt

res

phys

iolo

giqu

es,

des

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tant

esbi

olog

ique

set

lare

prod

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nph

y-si

que

duco

rps.

Lesy

stèm

eex

tern

e

Lesy

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equ

ilo

geet

prot

ège

les

syst

èmes

inte

rnes

estl

esy

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eos

téo-

mus

cula

ire.O

s,m

us-

cles

,art

icul

atio

ns,a

poné

vros

es,t

endo

ns,l

igam

ents

etc.

. Les

élém

ents

quil

eco

nstit

uent

sont

des

solid

es.

Ilsso

ntor

gani

sés

pour

assu

rer

les

mou

vem

ents

duco

rps.

Iloc

cupe

une

plac

epa

rtic

uliè

reda

nsle

corp

s:co

ntra

irem

enta

uxau

tres

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èmes

,iln

evé

hicu

le«r

ien»

(sau

fdes

mou

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ents

).Po

urle

sau

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sys-

tèm

es,i

lest

unca

dre

prot

ecte

ur,j

ouan

tle

rôle

de«r

écep

teur

»de

leur

sac

tivité

s.En

fin,i

lest

lese

ulsy

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equ

irép

onde

spon

tané

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notr

eco

m-

man

devo

lont

aire

.

Enfa

it,le

corp

shu

mai

nes

tto

utsi

mpl

emen

tco

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uéd’

élec

tric

ité,d

ega

z,de

liqui

des,

etde

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des.

Alor

s,no

uspo

uvon

sau

ssid

éfin

irse

sgr

ands

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èmes

defo

nctio

nnem

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néce

ssai

res

àse

sfo

nctio

nsvi

tale

s,co

mm

ede

sen

sem

bles

d’él

émen

tsan

atom

ique

sre

grou

pés

enfo

nctio

nde

l’éne

rgie

qu’il

své

hicu

lent

.

On

dist

ingu

eal

ors

defa

çon

très

résu

mée

,des

syst

èmes

subt

ils,d

essy

stèm

esin

term

édia

ires,

etun

syst

ème

dens

e.

Les

syst

èmes

subt

ils:

Ceso

ntle

syst

ème

nerv

eux

etle

syst

ème

resp

i-ra

toire

.Les

éner

gies

qu’il

své

hicu

lent

neno

usso

ntac

cess

ible

squ

ede

faço

nto

utà

fait

indi

rect

e,pa

rl’in

-te

rméd

iaire

dem

esur

es(e

xem

ple,

mes

ure

del’a

cti-

vité

duce

rvea

uou

élec

tro-

encé

phal

ogra

mm

e).E

tpo

urno

us,d

ans

l’util

isat

ion

prat

ique

,quo

tidie

nne

etsp

onta

née

deno

tre

corp

s,ils

sont

subt

ilsau

ssid

ans

lese

nsoù

nous

n’y

pens

ons

mêm

epa

s:c’

estu

neco

mm

ande

réfle

xequ

irèg

lele

urfo

nctio

nnem

ent.

Les

syst

èmes

inte

rméd

iair

es:

Ceso

ntle

syst

ème

circ

ulat

oire

etle

syst

ème

vis-

céra

l .Le

sliq

uide

set

mat

ière

sin

term

édia

ires

qu’il

své

hicu

lent

nous

sont

parf

ois

acce

ssib

les

(exe

mpl

e,

saig

nem

ents

,la

rmes

…).

Pour

nous

,ce

sont

des

syst

èmes

que

nous

conn

aiss

ons

unpe

u,pa

rl’in

ter-

méd

iaire

dele

urac

tivité

,mai

squ

ifon

ctio

nnen

teux

auss

ide

faço

nau

tono

me

etré

flexe

.

Etun

syst

ème

dens

e:

C’es

tle

syst

ème

osté

o-m

uscu

laire

.Le

fait

qu’il

soit

cons

titué

deso

lides

lere

nddi

rect

emen

tacc

es-

sibl

lavu

e,au

touc

her.

Mai

sce

quil

uiva

utsû

re-

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td’ê

tre

lepl

usco

nnu

estq

u’il

répo

nd,p

arse

sm

ouve

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ts,à

notr

eco

mm

ande

volo

ntai

re.

Loin

deto

ute

leur

com

plex

itébi

olog

ique

,phy

sio-

logi

que,

dele

urm

yria

des

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rmes

etde

déta

ils,c

equ

iso

us-t

end

laco

nstit

utio

n,l’o

rgan

isat

ion

des

gran

dssy

stèm

esdu

corp

s,ce

sont

des

varia

tions

desu

btili

téou

dede

nsité

des

éner

gies

qu’il

své

hicu

lent

.Ce

sva

riatio

nsse

man

ifest

entd

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lam

atiè

rede

nse

pard

esm

ouve

men

tsqu

ivon

tacc

ompa

gner

ledé

ve-

lopp

emen

tdu

corp

s.

Dév

elo

pp

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td

uco

rps

hu

mai

n:

les

mo

uve

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tsd

ela

mat

ière

L’ex

iste

nce

d’un

cent

recr

éate

uret

d’un

edy

na-

miq

ued’

exté

rioris

atio

nim

prim

entà

unpl

anun

mou

-ve

men

tde

varia

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vers

plus

dede

nsité

.Ces

varia

-tio

nsde

dens

itéfo

ntle

sdi

ffére

nces

d’én

ergi

eset

dele

urs

man

ifest

atio

nsen

tre

unpl

anet

unau

tre.

Apa

rtir

dupl

anle

plus

dens

edu

corp

sét

hériq

ue,

lady

nam

ique

d’ex

tério

risat

ion

fait

basc

uler

une

mêm

eén

ergi

ede

son

aspe

ctét

hériq

ueve

rsso

nas

pect

mat

ière

.Cet

teva

riatio

nfa

itla

diffé

renc

een

tre

plan

éthé

rique

etpl

antis

sula

ireou

aspe

ctm

atiè

re.

Conc

rète

men

t,le

4eet

dern

iers

ous-

plan

dupl

anét

hériq

uese

dens

ifie

en1er

plan

tissu

laire

(en

l’oc-

curr

ence

,en

tissu

nerv

eux

dont

nous

savo

nsqu

ele

sél

émen

tsvé

hicu

lent

del’é

lect

ricité

).Le

tissu

nerv

eux

estd

onc

lepr

emie

rtis

sudu

corp

s,sa

tram

ede

base

.

Autr

emen

tdit,

sous

l’effe

tde

lady

nam

ique

d’ex

-té

rioris

atio

n,le

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lepl

usde

nse

duco

rps

éthé

rique

enge

ndre

letis

sule

plus

subt

ildu

corp

sph

ysiq

uede

nse. Le

déve

lopp

emen

tdes

tissu

sdu

corp

shu

mai

n,pu

isle

uror

gani

satio

nen

syst

èmes

,va

suiv

rele

mêm

epr

oces

sus

:une

pous

sée

quii

mpr

ime

àun

tissu

unm

ouve

men

tde

varia

tion

vers

une

plus

fort

ede

nsité

entr

aîna

ntun

em

odifi

catio

nde

saco

nsis

-ta

nce.

Cequ

iabo

utit,

pour

letis

su,à

une

orga

nisa

-

20[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Sché

ma

2:D

uplic

atio

ns.D

esti

ssus

cour

bés

sous

leur

poid

sau

poin

tde

s'in

vers

er.

Ici,

inve

rsio

nde

tous

les

syst

èmes

parr

appo

rtau

syst

ème

nerv

eux.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 2

1

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Sché

ma

3:D

uplic

atio

ns.D

esti

ssus

alou

rdis

,de

nsifi

és,é

tiré

s,cr

eusé

s,dé

chiré

s.

Sché

ma

4:S

ystè

me

osté

o-m

uscu

laire

.Rés

ulta

tde

lapr

essi

onsu

rla

mat

ière

dens

e

22[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

tion

enun

syst

ème

diffé

rent

,déf

inis

sant

une

fonc

-tio

nbi

olog

ique

diffé

rent

e.Co

ncrè

tem

ent,

sous

l’effe

td’u

nepr

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onco

ns-

tant

e,un

tissu

deba

ses’

expa

nse

ense

gonf

lant

puis

ens’

allo

ngea

nt,d

even

antu

nefo

rme,

aude

ssin

rond

etlo

ng.

Aubo

utde

sca

paci

tés

d’ex

pans

ion,

c’es

t-à-

dire

aum

axim

umde

son

gonf

lem

ente

tde

son

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nge-

men

t,la

pres

sion

impr

ime

àce

ttefo

rme

une

sort

ede

dupl

icat

ion

pour

pouv

oir

assu

rer

l’acc

umul

atio

nco

nsta

nte

dem

atiè

re.U

nau

tre

plan

tissu

laire

,don

cun

autr

esy

stèm

e,ap

para

ît,po

rteu

rde

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ame

dupr

écéd

entd

onti

lest

issu

.Ta

ndis

que

lepr

emie

rsy

stèm

epo

ursu

itso

ndé

velo

ppem

ent

etac

quie

rtse

spr

opre

sfo

nctio

nsph

ysio

logi

ques

,le

seco

ndsy

stèm

eré

pond

,de

son

côté

lapr

essi

on.

Ilse

gonf

le,

s’al

long

e,et

sedu

pliq

ue,a

bout

issa

ntlà

auss

iàun

autr

epl

antis

su-

laire

,àun

autr

esy

stèm

e,po

rteu

rde

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ame

des

préc

éden

tsdo

ntil

esti

ssu.

Etai

nsid

esu

ite.

Ledé

velo

ppem

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essy

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esde

fonc

tionn

e-m

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uco

rps

sefa

itpa

rdes

mou

vem

ents

d’ex

pan-

sion

etde

dupl

icat

ion

àpa

rtir

dutis

suou

tram

ede

base

d’un

syst

ème

initi

al.

Lesy

stèm

ein

itial

estl

ogiq

uem

entc

elui

dont

les

trai

tsde

dess

inse

ront

les

moi

nsdé

form

és(c

arpe

uex

pans

és);

celu

idon

tles

tissu

sse

ront

les

plus

fins,

les

plus

subt

ils(c

arpa

sen

core

dupl

iqué

s).C

’est

lesy

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ene

rveu

x.D

ece

sm

ouve

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tsd’

expa

nsio

n,ap

para

îtron

tun

esu

cces

sion

d’au

tres

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èmes

prés

enta

ntto

usle

mêm

ede

ssin

que

lui,

rond

etlo

ng:

lesy

stèm

ere

spira

toire

,enc

ore

subt

il.Le

ssy

stè-

mes

inte

rméd

iaire

s,ci

rcul

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reet

visc

éral

.Etl

esy

s-tè

me

osté

o-m

uscu

laire

dens

e.(S

chém

a1)

De

ces

mou

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ents

dedu

plic

atio

n,ap

para

îtron

tda

nsle

ssy

stèm

essu

cces

sive

men

teng

endr

és,d

estis

sus

prog

ress

ivem

enta

lour

dis,

dens

ifiés

,cou

rbés

sous

leur

poid

sau

poin

tde

prés

ente

rde

sm

ouve

-m

ents

d’in

vers

ion

les

uns

par

rapp

ort

aux

autr

es(S

chém

a2)

.Ou

enco

rede

stis

sus

étiré

s,cr

eusé

s,dé

chiré

s,di

ssoc

iés

parl

eurr

ésis

tanc

lapr

essi

on.

(Sch

éma

3)D

ans

leco

rps,

l’im

age

lapl

usbe

lleet

lapl

uspa

r-la

nte

dece

déro

ulem

ente

stce

lledu

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ème

osté

o-m

uscu

laire

dans

lequ

ella

mat

ière

osse

use

estt

elle

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ent

dens

equ

’elle

expl

ose

litté

rale

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tso

usla

pres

sion

:c’e

stai

nsiq

u’ap

para

isse

ntpa

rex

empl

e,le

ssu

ture

s,sy

mph

yses

etau

tres

artic

ulat

ions

,vér

i-ta

bles

déch

irure

sde

mat

ière

qui

perm

ette

nt,

enqu

elqu

eso

rte,

delib

érer

lapr

essi

on.(

Sché

ma

4)

Co

ncl

usi

on

Des

élém

ents

anat

omiq

ues,

des

syst

èmes

defo

nctio

nnem

ent,

peuv

entê

tre

décr

itsda

nsle

butd

eco

nnaî

tre

leur

rôle

dans

lavi

edu

corp

s.C’

estu

nede

scrip

tion

quii

nsis

tesu

rleu

rsdi

ffére

nces

.M

ais

ilspe

uven

taus

siêt

redé

crits

dans

lebu

tde

faire

appa

raîtr

ele

urs

ress

embl

ance

s.C’

estu

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s-cr

iptio

nqu

is’a

ttach

eau

xde

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squ

’ils

réal

isen

tetà

laqu

alité

des

tissu

sdo

ntils

sont

cons

titué

s.Pa

rle

biai

sde

cette

autr

eap

proc

he,d

erriè

reun

eap

pare

nte

com

plex

ité,

leco

rps

hum

ain

mon

tre

àto

usle

sni

veau

x,un

eun

itéet

une

dyna

miq

ue:

unité

:mêm

ede

ssin

rond

etlo

ng,p

lus

oum

oins

défo

rmé

d’ex

pans

ions

succ

essi

ves.

mêm

etis

su,o

utr

ame

deba

se,p

lus

oum

oins

dens

ifié

dedu

plic

atio

nssu

cces

si-

ves.

dyna

miq

ue:l

em

ouve

men

test

part

outd

ans

leco

rps

hum

ain

:D

esm

ouve

men

tsde

tissu

squ

imod

ifien

tleu

rsco

nsis

tanc

es,l

eurs

text

ures

,leu

rasp

ect.

Des

mou

vem

ents

desy

stèm

esqu

im

odifi

ent

leur

sfo

rmes

,leu

rspo

sitio

nsle

sun

spa

rrap

port

aux

autr

esai

nsiq

uele

urrô

leph

ysio

logi

que.

Jusq

u’au

xm

ouve

men

tsbi

enco

nnus

dusy

stèm

eos

téo-

mus

cula

irequ

iapp

artie

nnen

ttou

taut

antq

uele

sau

tres

àce

ttedy

nam

ique

.Le

corp

shu

mai

nn’

estp

asse

ulem

entl

aré

ussi

te«t

echn

ique

»la

plus

poin

tue

dum

onde

anim

alet

viva

nt.S

onun

itéet

sady

nam

ique

mon

tren

tqu’

iles

tau

ssil

’out

illu

min

eux

«d’u

nce

ntre

créa

teur

quis

ouf-

fleso

nén

ergi

elà

oùil

veut

faire

appa

raîtr

esa

man

i-fe

stat

ion»

.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 2

3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Un

evi

sio

net

un

evo

lon

té,o

u:a

van

tle

corp

sPa

rton

sde

cequ

eno

usco

nnai

sson

set

pouv

ons

appr

éhen

der.

Obs

ervo

nsl’h

isto

ired’

une

créa

tion

àpa

rtir

d’un

eim

puls

ion

créa

tric

eda

nsla

vie

d’un

arch

itect

e,d’

unin

géni

eur

cher

cheu

rou

d’un

artis

te.

Al’o

rigin

e,à

lara

cine

del’œ

uvre

,nou

sim

agin

ons

volo

ntie

rsco

mm

em

oteu

rspr

emie

rs,u

nevi

sion

etun

evo

lont

é.Ce

sont

des

réal

ités

impa

lpab

les

etdi

f-fic

ilem

entm

esur

able

sta

ntqu

’elle

sn’

ontp

asat

tein

tle

urbu

t,et

pour

tant

ilno

uspa

raît

diffi

cile

defa

irel’é

-co

nom

iede

l’hyp

othè

sequ

’elle

sso

ient

effe

ctiv

emen

l’orig

ine

del’œ

uvre

dans

laco

nsci

ence

duco

ns-

truc

teur

.A

part

irde

là,h

asar

dons

-nou

pens

erqu

’au

dépa

rtde

tout

em

anife

stat

ion

pour

raie

ntau

ssis

etr

ouve

run

evi

sion

etun

evo

lont

é,et

peut

-êtr

eun

evo

lont

éde

Bien

.Enh

ardi

sson

s-no

usju

squ’

àpe

nser

que

cette

volo

nté

puis

seêt

reid

entif

iée

com

me

très

vois

ine

dece

que

nous

appe

lons

une

éner

gie.

Nou

sap

puya

ntsu

rla

scie

nce,

nous

serio

nspe

ut-ê

tre

auto

risés

àqu

alifi

erce

tteén

ergi

d’él

ectr

omag

né-

tique

»;u

nete

lleén

ergi

ese

renc

ontr

erai

ten

tout

em

anife

stat

ion.

Rem

arqu

ons

aupa

ssag

el’é

tran

geet

puis

sant

eaf

finité

entr

ece

ttevo

lont

é/vi

sion

etce

que

nous

nom

mon

sha

bitu

elle

men

tle

men

tal,

lepl

usbe

lou

tildo

ntdi

spos

eto

utêt

rehu

mai

n.

L’o

ffra

nd

e,o

u:l

esa

crif

ice

de

lam

atiè

re.

Apa

rtir

dece

poin

tsui

vons

laflè

che

dire

ctio

n-ne

lle.L

esdi

ffére

nts

créa

teur

ssu

sin

voqu

ésda

nsno

tre

rais

onne

men

tvo

nt,

chac

unà

sam

aniè

re,

conc

evoi

rla

réal

isat

ion

dele

urpr

ojet

àpa

rtir

dem

atér

iaux

que

nous

dési

gner

ons

com

me

mat

éria

uxpr

imai

res

oude

base

.Ils

auro

ntes

timé,

chac

unen

son

dom

aine

,que

ces

élém

ents

conv

iend

raie

ntbi

enpo

urin

carn

erle

urid

ée.I

ls’a

gitl

à,à

l’évi

denc

ed’

unch

oix

inte

llige

ntet

d’un

ené

cess

itéin

cont

ourn

able

.Ap

pliq

uons

les

élém

ents

dece

ttede

uxiè

me

étap

notr

eén

ergi

eél

ectr

omag

nétiq

uede

tout

àl’h

eure

.La

voilà

quis

ela

nce

enav

antp

arsa

natu

reél

ectr

ique

etce

tteén

ergi

eva

tour

ner

sur

son

axe

grâc

son

mag

nétis

me

adop

tant

spon

tané

men

tl’a

llure

d’un

mou

vem

ente

nav

ante

ten

spira

le.N

’ass

isto

ns-n

ous

pas

làà

cequ

ece

rtai

nspe

nseu

rsdé

criv

entc

omm

ela

nais

sanc

ede

l’ato

me,

briq

uede

base

deto

ute

mat

ière

?Le

sdi

ffére

nts

com

posa

nts

dece

ttebr

ique

,né

ede

lapr

écip

itatio

nou

dela

com

pres

sion

dece

ttevo

lont

éin

itial

e,se

met

tent

mut

uelle

men

ten

rela

tion

mag

nétiq

ued’

attr

actio

n/ré

puls

ion

etle

mou

vem

ent

estl

à.To

usce

sat

omes

,obé

issa

ntà

ces

mêm

eslo

isvo

nts’

asso

cier

dem

ille

etun

em

aniè

res

pour

met

tre

aum

onde

cequ

eno

usap

pelo

nsla

mat

ière

.Une

idée

s’es

tinc

arné

eda

nsce

ttem

atiè

re,u

nefo

rme

estn

ée.

Rem

arqu

ons

que

tout

efo

rme,

conç

ueou

non

paru

nce

rvea

uhu

mai

n,se

mon

tre

très

bava

rde

etne

sait

pas

teni

rsa

lang

ue,r

évél

antà

quiv

eutl

’ent

endr

el’i

n-te

ntio

nde

celu

iqui

l’acr

éée.

Soit

dite

npa

ssan

t,he

u-re

usem

ent

que

tout

efo

rme

naît

pour

déliv

rer

unm

essa

geet

disp

araî

tre

sino

nle

disc

ours

rest

erai

tto

ujou

rsle

mêm

e!(m

ais

c’es

tun

aspe

ctsu

rle

quel

nous

allo

nsre

veni

run

peu

plus

loin

).

LEC

OR

PS:

MA

CH

INE

AR

EMO

NTE

RLE

TEM

PSEs

sayo

nsda

nsun

exer

cice

detr

açab

ilité

,de

leve

run

peu

levo

ilepo

urél

ucid

erce

que

nous

dit

leco

rps,

lam

atiè

rem

ise

enfo

rme,

lafo

rme

mis

een

mou

vem

ent.

Nou

sso

mm

esbe

auco

uptr

opha

bitu

ésà

vivr

eda

nsun

corp

set

nous

payo

nstr

èsch

erle

fait

deno

usid

entif

ierà

lui.

L’hi

stoi

red’

unco

rps,

form

evi

vant

e,qu

iun

jour

estn

épu

isa

gran

di,

afa

itsa

vie

etun

jour

estm

ort,

nere

prés

ente

qu’u

nein

fime

part

d’un

tout

etne

nous

rens

eign

epa

ssu

rl’e

ssen

tiel

sino

usne

rega

rdon

squ

elu

i.N

ous

allo

nste

nter

depa

llier

ceti

ncon

véni

ente

nsu

ivan

tde

notr

em

ieux

lepa

rcou

rs:a

vant

-pen

dant

-apr

èsle

corp

s.

[PIE

RR

ELA

MO

LE

]

24[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN1È

RE

PAR

TIE

:LE

CO

RP

S,T

EM

PLE

DE

LAV

IE

Pen

dan

tq

ue

lafo

rme

s’an

ime

etvi

tsa

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!R

even

ons

enco

reun

efo

isà

nos

ingé

nieu

rset

artis

tes

cons

truc

teur

s.M

aint

enan

tqu’

ilsdi

spos

ent

des

mat

éria

uxso

uhai

tés,

leur

volo

nté/

visi

onva

cont

inue

sedi

riger

vers

laré

alis

atio

nde

l’œuv

redé

jàen

mar

che

et,c

omm

eon

dit:

lach

ose

pren

dfo

rme

etla

form

eco

mm

ence

àpa

rler,

lalu

miè

rese

fait

surl

aqu

estio

n,ou

enco

reon

com

men

ceà

voir

!N

ese

rait-

cepa

sle

mom

entd

eso

ulig

ner

que,

d’un

em

aniè

regé

néra

le,n

ous

neve

rrio

nspa

sla

lum

ière

s’il

n’y

avai

tpas

lam

atiè

repo

urla

révé

ler

àno

sye

ux?

Sice

lan’

avai

tpas

été

ains

i,no

usn’

aurio

nsja

mai

spu

écla

irer

notr

em

enta

lgr

âce

aux

trai

tsde

géni

ein

scrit

sda

nsle

uvre

sde

nos

cons

truc

teur

s.Ce

petit

rais

onne

men

t,pe

ut-ê

tre

unta

ntin

etsi

mpl

iste

àvo

sye

ux,e

ssai

ede

men

erno

tre

réfle

xion

méd

itativ

eve

rsce

ttevé

rité

fond

amen

tale

que

rien

nese

rait

inte

lligi

ble

sans

lese

cour

sde

lam

atiè

re.D

epl

usno

usco

nsta

tons

que

c’es

tsa

mis

een

form

equ

inou

sin

stru

itsu

rles

inte

ntio

nsde

sco

nstr

ucte

urs.

Nou

sve

nons

donc

dere

gard

erle

phén

omèn

troi

sm

omen

tsde

son

déro

ulem

ent.

Volo

nté/

visi

onde

Bien

audé

part

,pui

sce

tteén

ergi

eél

ectr

omag

né-

tique

prim

aire

sede

nsifi

eet

crée

l’ato

me,

enfin

les

atom

esqu

ien

s’as

soci

ant

font

lam

atiè

re.

Nou

spo

urrio

nsdi

requ

ela

volo

nté

sedo

nne

les

moy

ens

des’

expr

imer

conc

rète

men

t.Po

ussa

ntpl

uslo

insa

traj

ecto

ireel

lecr

éele

sfo

rmes

àpa

rtir

dece

ttem

atiè

revi

erge

dete

lleso

rte

que

lavi

sion

initi

ale

devi

enne

évid

ente

.Pa

run

rais

onne

men

tpar

allè

leà

celu

ique

tena

itAr

chim

ède

enso

nte

mps

,ne

pour

rait-

onpa

sdi

requ

ele

corp

shu

mai

nse

rait

lepo

intd

’app

uido

ntil

avai

tbe

soin

pour

soul

ever

lalu

ne?

Œuv

retit

a-ne

sque

àra

ppro

cher

dela

diffi

culté

deva

ntla

quel

lese

trou

vel’ê

tre

hum

ain

lors

qu’il

envi

entà

sede

man

-de

rqui

iles

tetc

equ

’ilfa

itlà

?Et

c’es

tdon

cle

corp

squ

iva

luid

onne

rla

répo

nse!

Avoi

rde

sen

fant

squ

iau

ront

eux

auss

ides

enfa

nts,

lesq

uels

àle

urto

urpa

sser

ontl

epl

uscl

aird

ele

urvi

élev

erde

sen

fant

set

cela

àl’i

nfin

i,es

t-ce

suffi

sant

pour

tout

just

ifier

?Ce

rtai

nem

entp

as,à

notr

eav

isdu

moi

ns!

Lepo

int

d’ap

puis

olid

epo

urle

ver

l’obs

tacl

ees

tdon

cce

ttefo

rme

viva

nte,

écla

tant

ede

beau

té,p

ure

mer

veill

e,

quip

arle

àno

tre

men

tale

tnou

sex

pliq

ueun

ece

r-ta

ine

volo

nté/

visi

onqu

inou

sdo

nne

une

aptit

ude

àl’é

volu

tion,

aupr

ogrè

s,un

eco

-nat

ural

itéav

ecto

utce

quin

ous

ento

ure,

une

capa

cité

àim

agin

erun

gran

dto

utvi

vant

,ain

siqu

ele

corp

sl’e

stlu

i-mêm

epa

rrap

port

àto

utce

quiv

iten

luid

em

aniè

rein

telli

-ge

nte

etor

gani

sée.

C’es

tun

mili

euvi

vant

dans

lequ

elpe

utfle

urir

àla

perf

ectio

nun

ein

tent

ion

devi

eha

r-m

onie

use,

une

incr

oyab

leap

titud

eau

serv

ice,

audo

nde

soie

tàl’a

mou

r,à

l’acc

epta

tion

dede

voir

faire

savi

eco

mm

eun

chef

-d'œ

uvre

…M

ême

sice

lade

man

deun

em

ultit

ude

d’es

sais

quin

eso

ntqu

ede

sap

proc

hes,

nous

cons

tato

nspa

rl’e

xpér

ienc

equ

el’a

ptitu

dees

tbel

etbi

enlà

Bie

nh

eure

use

frag

ilit

éd

ela

form

e!o

u:a

prè

sla

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e!

Lem

essa

gedu

Boud

dha

àpr

opos

dela

souf

-fr

ance

hum

aine

surl

aTe

rre,

com

plèt

mer

veill

ece

qu’il

faut

savo

irsu

rle

rôle

duco

rps

hum

ain.

Nou

sso

uffr

ons

parc

equ

eno

usno

usid

entif

ions

,en

nous

mut

ilant

,àla

part

iem

orte

llede

notr

eêt

re.T

outc

equ

eno

usve

nons

d’es

saye

rde

dém

ontr

erno

usin

vite

àco

mpr

endr

equ

ele

corp

ses

tl’a

bout

isse

men

t,l’o

u-til

,d’u

neén

ergi

equ

is’e

xprim

eet

nous

mon

tre

que

nous

neso

mm

espa

sse

ulem

entc

eco

rps

mai

sau

ssi

cette

volo

nté/

visi

onde

Bien

.De

plus

nous

disp

oson

sd’

une

cons

cien

cepo

urno

usen

aper

cevo

ir.Le

poin

td’

appu

ipou

rrés

oudr

el’é

nigm

edu

sens

dela

vie

nedé

voile

pas

lavé

rité

d’un

seul

coup

.La

cons

cien

cehu

mai

ne,é

troi

teau

dépa

rt,n

es’

élar

gite

tne

com

p-re

nd,q

u’un

petit

peu

àla

fois

,sel

onle

spr

ogrè

sde

lare

cher

che

etle

sap

plic

atio

nsqu

’en

font

les

civi

lisa-

tions

succ

essi

ves.

Tout

efo

rme,

aprè

sav

oirr

empl

isa

mis

sion

doit

disp

araî

tre

etse

rasu

ivie

par

une

autr

equ

idél

ivre

rala

suite

dum

essa

ge.A

insi

prog

ress

ela

com

préh

ensi

ondu

sens

cach

é.Al

ors

ench

œur

avec

Sain

tFra

nçoi

sd’

Assi

seda

nsle

Cant

ique

duSo

leil

nous

chan

tero

nsle

sm

érite

sde

notr

esœ

urla

mor

tco

rpor

elle

.Grâ

ceà

labi

enhe

ureu

sem

ort

des

for-

mes

,une

prof

onde

sage

sse,

une

inal

téra

ble

séré

nité

s’in

stal

lent

dans

laco

nsci

ence

hum

aine

etpe

rson

nene

pour

rale

slu

irav

ir…Te

llees

tla

solu

tion

àla

souf

-fr

ance

dum

onde

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

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07] 2

5

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OR

PS

HU

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CO

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UM

AIN

LAT

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OR

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HER

IQU

EET

SES

REL

ATIO

NS

AV

ECLE

CO

RPS

PHYS

IQU

ED

ENSE

Leco

rps

phys

ique

nous

estp

artic

uliè

rem

entf

amili

erpa

rce

qu’il

estm

algr

éto

utno

tre

véhi

cule

d’in

carn

atio

n ,ce

ttefo

rme

viva

nte

etan

imée

quin

ous

perm

etde

déco

uvrir

etde

parc

ourir

lem

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dela

Mat

ière

.Pa

rcon

tre

une

appr

oche

glob

ale

dece

mon

deph

ysiq

uene

peut

igno

rerl

’asp

ecté

nerg

étiq

ueou

vita

lets

aco

mpo

sant

epr

inci

pale

leco

rps

éthé

riqu

e.Ce

sde

uxfa

cette

s:ph

ysiq

uede

nse

etét

hériq

ue,c

onst

ituen

tce

que

nous

appe

lons

lePl

anph

ysiq

ue.

Cepl

anph

ysiq

uen’

estq

uel’u

nde

sSE

PTpl

ans

dela

cons

titu -

tion

glob

ale

d’un

Syst

ème

alla

ntdu

plus

dens

eau

plus

subt

il.Le

plan

phys

ique

,com

me

lem

ontr

ele

tabl

eau,

estd

ivis

éen

7so

us-p

lans

grou

pés

ende

uxpa

rtie

s:La

part

iede

nse

com

pren

ant

3so

us-p

lans

:sol

ide,

liqui

deet

gaze

ux.C

hez

l’êtr

ehu

mai

n,ce

str

ois

sous

-pla

nsco

nstit

uent

son

corp

sph

ysiq

uede

nse.

Lapa

rtie

éner

gétiq

ueco

mpr

enan

t4so

us-p

lans

desu

bsta

nces

éthé

rique

sco

nstit

uant

les

4ét

hers

duco

rps

éthé

rique

.

Lesen

seig

nem

ents

dela

Sage

sse

parle

ntd’

unco

rps

imm

atér

iel,

en-

deçà

duco

rps

dens

e,ve

cteu

rde

séc

hang

esén

ergé

tique

svi

taux

non

seul

emen

tent

rele

mon

deex

térie

uret

les

mon

-de

sin

térie

urs,

psyc

hiqu

eet

spiri

tuel

,mai

sau

ssià

l’éch

el-

leco

smiq

ueen

trem

icro

cosm

eet

mac

roco

sme.

1La

philo

so-

phie

chin

oise

parle

deCH

I2 ,co

ncep

tfon

dam

enta

lde

lacu

l-tu

retra

ditio

nnel

leas

iatiq

ue.

Pouv

ons-

nous

faire

l’hyp

othè

-se

que

c’es

taus

sice

nive

aude

«co

nsci

ence

éthé

rique

»qu

eco

ntac

tent

les

spor

tifs

del’e

xtrê

me

quan

dils

tém

oi-

gnen

tde

leur

expé

rienc

ede

sese

ntir

exis

tere

nta

ntqu

’indi

vi-

duét

roite

men

trel

iéau

xau

t-re

s,à

lana

ture

qu’il

sar

pen-

tent

età

des

mon

des

beau

-co

uppl

usgr

ands

qu’e

ux?3

Par

aille

urs,

l’obs

erva

tion

deno

sco

mpo

rtem

ents

révè

lequ

eno

sco

rps

phys

ique

sso

ntan

imés

pard

esén

ergi

esbi

endi

ffére

n-te

s!4

Leco

rps

éthé

rique

etse

sre

latio

nsav

ecle

corp

sph

ysiq

uede

nse

»pa

rCh

ristia

nPO

ST2

«En

ergi

evi

tale

etar

tsm

artia

uxch

inoi

par

Jean

-Pie

rre

DU

FAU

RE

les

spor

tifs

del’e

xtrê

me

»pa

rAn

nie

GAI

DIE

R4

«R

3et

R7

mon

tent

enba

teau

…»

par

Del

phin

eBO

NN

ISSO

L

>LE

CO

RP

SH

UM

AIN

RE

VE

LATE

UR

DE

SM

ON

DE

SIN

TER

IEU

RS

Leco

rps

hum

ain

nese

limite

pas

àun

corp

sm

atér

iel.

Sapa

rtie

esse

ntie

llees

tim

mat

érie

lle:

c’es

tce

que

nous

appe

lons

leco

rps

éthé

riqu

eou

corp

sde

vita

lité.

C’es

tce

dern

ier

qui

perm

etto

usle

séc

hang

esén

ergé

tique

squ

ica

ract

éris

entl

avi

e:é

chan

ges

entr

ele

mon

dein

téri

eure

tle

corp

sde

nse,

écha

nges

entr

el’i

nfin

imen

tgra

ndet

l’in-

finim

entp

etit,

entr

el’ê

tre

hum

ain

etle

cosm

os.

2ème

PARTIE

[CH

RIS

TIA

NP

OST]

26[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Mai

sq

u’e

stce

qu

ele

Co

rps

Eth

ériq

ue

?To

utes

les

form

esm

anife

stée

squ

iexi

sten

tdan

sl’U

nive

rs,d

esga

laxi

es,d

esso

leils

,des

plan

ètes

,des

règn

esde

lana

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jusq

u’au

plus

petit

atom

e,on

tun

efo

rme

éner

gétiq

uesu

btile

àl’i

ntér

ieur

d’un

Cerc

leIn

fran

chis

sabl

eet

qui

cons

titue

leCo

rps

Ethé

rique

.Ce

que

l’on

appe

lle«

cerc

lein

fran

chis

sa-

ble

»es

tla

limite

,la

fron

tière

entr

el’é

nerg

iepr

opre

àun

eun

itéde

vie

etl’é

nerg

iedu

mili

euda

nsla

quel

leel

levi

t.Ce

tteno

tion

dem

embr

ane

oude

barr

ière

est

impo

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te.A

insi

chaq

uefo

rme

phys

ique

-éth

ériq

uea

saVi

e,so

nM

ouve

men

tets

onEt

reda

nsun

efo

rme

éthé

rique

plus

gran

deda

nsla

quel

leel

lepu

ise

ses

beso

ins

éner

gétiq

ues.

Exem

ple:

leco

rps

éthé

rique

del’ê

tre

hum

ain

puis

een

part

iesa

vita

lité

dans

leco

rps

éthé

riqu

epl

anét

aire

etdi

strib

uece

ttevi

talit

éà

chac

une

des

petit

esun

ités

devi

equ

icom

pose

ntso

nor

gani

sme.

On

peut

s’im

agin

erle

sin

nom

brab

les

rela

tions

etéc

hang

esén

ergé

tique

sde

l’inf

inim

entp

etit

àl’i

nfin

i-m

ent

gran

dqu

ipar

cour

ent

les

form

eset

l’esp

ace

entr

ele

sfo

rmes

.Ain

sise

lon

cequ

iaét

éan

nonc

épl

usha

ut,l

’esp

ace

exté

rieu

rd’

une

unité

devi

eES

Tl’e

spac

ein

téri

eurd

el’u

nité

devi

epl

usgr

ande

quil

aco

ntie

nt.N

ous

pouv

ons

enco

nclu

requ

el’e

spac

en’

estp

asvi

dem

ais

plei

d’én

ergi

evi

tale

»et

com

-pr

endr

ela

phra

sed’

A.A.

Baile

y:«

l’esp

ace

estu

neen

tité

».Ce

séc

hang

esén

ergé

tique

sin

visi

bles

àno

sye

uxph

ysiq

ues

par c

oure

ntl’e

spac

ede

tout

esce

sU

nité

sde

Vie

enco

uran

tsm

ultic

olor

es,o

ndes

lum

i-ne

uses

,pul

satio

nsvi

vant

esre

liant

ains

itou

tes

les

form

es.A

insi

nous

pouv

ons

affir

mer

que

rien

dece

quie

xist

en’

ests

épar

é,to

utes

tlié

par

ces

rése

aux

subt

ils.

Aprè

sav

oir

voya

géda

nsce

slo

inta

ins

horiz

ons

cosm

ique

sau

xét

oile

sar

c-en

-cie

letg

alax

ies

spira

-lé

es,r

even

ons

àl’ê

tre

hum

ain,

cepe

titho

mm

esu

rce

ttepe

tite

Terr

e.Ca

rc’

està

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irde

laco

nnai

s-sa

nce

etde

l’exp

érie

nce

deno

tre

prop

reco

rps

éthé

-riq

uequ

eno

usau

rons

une

base

solid

epo

urla

com

-pr

éhen

sion

cosm

ique

suiv

ant

lepr

inci

pede

frac

talit

é.R

even

ons

donc

aura

ppor

tent

rele

corp

sph

y-si

que

dens

eet

leco

rps

éthé

rique

.Le

corp

sét

hériq

uees

tcon

stitu

éde

lasu

bsta

nce

des

quat

reét

hers

,des

quat

repr

emie

rsso

us-p

lans

dupl

anph

ysiq

ue.I

lest

stru

ctur

é.L’

éner

gie

circ

ule

form

ant

des

cana

uxqu

’on

appe

llede

sN

adis

.La

fonc

tion

prin

cipa

lede

ceré

seau

deN

adis

estd

evi

talis

erle

corp

sde

nse,

deca

pter

etdi

strib

uerl

ePr

ana

prin

cipa

lem

entd

’orig

ine

sola

ire.L

esy

stèm

ene

rveu

xes

tla

cont

repa

rtie

phy-

siqu

edu

rése

aude

sna

dis.

Ceré

seau

deN

adis

est

stru

ctur

éen

cent

res

defo

rce

maj

eurs

ouch

akra

squ

ison

tau

nom

bre

de7,

etde

cent

res

min

eurs

.Le

syst

ème

endo

crin

ien

estl

aco

ntre

part

ieph

ysiq

uedu

syst

ème

des

chak

ras.

Leco

rps

éthé

rique

estr

espo

nsab

lede

laco

hé-

sion

duco

rps

phys

ique

dens

e.C’

est

pour

quoi

,le

proc

essu

sde

lam

orte

stun

des

effe

tsde

son

retr

ait.

Lors

que

«l’h

eure

estv

enue

»le

corp

sét

hériq

uese

déta

che

duco

rps

dens

e,le

filde

vie

ancr

éda

nsle

cœur

estr

ompu

.Ain

sico

mm

ence

ladé

sint

égra

tion

des

atom

esph

ysiq

ues,

ladé

cons

truc

tion

duco

rps

phys

ique

dens

e.Pa

rco

ntre

,au

mom

entd

ela

nais

-sa

nce,

lors

qu’il

selib

ère

duco

rps

éthé

rique

dela

mèr

e,le

corp

sét

hériq

uedu

nouv

eau-

népr

end

plei

-ne

men

tpos

sess

ion

deso

nno

uvea

uco

rps

d’in

carn

a-tio

n. Ains

iCor

psph

ysiq

uede

nse

etCo

rps

éthé

rique

sont

intim

emen

tlié

s,as

sura

ntl’e

xist

ence

d’un

efo

rme

viva

nte

dans

lem

onde

exté

rieur

.Par

cont

re,l

eco

rps

éthé

rique

estl

avé

ritab

lefo

rme.

Ilag

itte

lun

mou

leou

unm

odèl

esu

rleq

uels

eco

nstr

uitl

eco

rps

dens

e. Cette

conn

aiss

ance

duco

rps

éthé

rique

esta

ssez

nouv

elle

etpe

uét

udié

eda

nsno

tre

mon

deoc

cide

ntal

mat

érie

l.Po

urta

ntle

Tibé

tain

insi

ste

àpl

usie

urs

repr

ises

sur

l’im

port

ance

d’en

pren

dre

cons

cien

ce,

surl

ané

cess

itéde

son

étud

e,de

son

impa

ctda

nsla

conn

aiss

ance

des

proc

essu

sde

guér

ison

,aut

antd

epr

ocha

ins

pas

àfr

anch

irpa

rl’h

uman

ité.C

ette

avan

-cé

ede

vrai

tper

met

tre

ledé

velo

ppem

entd

ela

visi

onét

hériq

uech

ezde

plus

enpl

usd’

être

shu

mai

ns.C

eci

fait

part

iedu

plan

deno

tre

hum

anité

.

11er

éthe

r2

2eét

her

33e

éthe

r4

4eét

her

5ga

zeux

6liq

uide

7so

lide

CO

RP

SE

TH

ER

IQU

E

CO

RP

SP

HY

SIQ

UE

DE

NS

E

Les

7so

us-p

lans

duco

rps

phys

ique

hum

ain

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 2

7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Dans

lem

onde

asia

tique

etpl

uspa

rticu

lière

men

tl’E

xtrê

me

Orie

nt,t

oute

lape

nsée

estd

omin

éepa

rla

notio

nde

Chi,

C’hi

,Qi,

Ki,q

ueno

ustr

adui

sons

dem

aniè

reap

prox

imat

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parE

nerg

ie.A

insi

enes

t-ild

ans

les

Arts

thér

apeu

tique

s,la

Calli

grap

hie,

l’Art

duth

é,l’A

rtde

sbo

uque

ts…

etbi

enen

tend

ule

sAr

tsm

artia

ux.

Auss

ipeu

t-on

parle

rd’

Arts

éner

gétiq

ues

engé

néra

l,av

ecde

mul

tiple

sfa

cette

s.Ce

tteno

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deCh

ipar

aît

supe

rpos

able

àno

tre

conc

ept

occi

dent

ald’

Ener

gie

vita

le,à

ladi

ffére

nce

près

que

chez

les

Asia

tique

sil

aun

eac

cept

atio

ngé

néra

le,q

ueno

usso

mm

eslo

inde

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aître

enOc

cide

ntpo

url’E

nerg

ievi

tale

.

Nou

sno

usen

teno

nsic

iàla

Chin

em

ais

tout

cequ

ies

tdi

tes

tla

rgem

ent

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spos

able

àto

utl’E

xtrê

me

Orie

nt.A

utre

limita

tion,

nous

nous

cons

a-cr

ons

surt

outa

uxAr

tsm

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uxav

ecqu

elqu

esré

fé-

renc

esau

xAr

tsth

érap

eutiq

ues

tant

iles

tvra

iqu’

ilsso

nttr

èslié

sco

mm

ece

sera

repr

ispl

uslo

in.

Arts

mar

tiaux

etAr

tsth

érap

eutiq

ues

seré

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ntà

laco

ncep

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del’H

omm

eet

del’U

nive

rsse

lon

laph

iloso

phie

chin

oise

etsu

rtou

tle

Taoï

sme.

Auss

ide

vons

-nou

sno

usen

gage

rqu

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epe

uda

nsce

ttevo

ie. Le

poin

tde

dépa

rtde

lacr

éatio

n,la

Sour

ceO

rigi

nelle

,c’

estW

uCh

i,le

Vide

Ori

gine

l ,re

pré-

sent

éda

nsla

trad

ition

par

une

sphè

re,v

ide

parc

equ

’on

nepe

utle

décr

ire.U

npr

emie

rm

ouve

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tse

rait

appa

rusé

para

ntle

mon

dem

atér

ield

um

onde

imm

atér

iel.

Wu

Chi

est

lem

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des

Ener

gies

Uni

vers

elle

sdo

ntle

spr

emiè

res

varia

tions

ontc

réé

leYi

net

leYa

ng,d

eux

qual

ités

oppo

sées

mai

sco

mpl

é-

men

taire

sd’

une

mêm

eén

ergi

e,do

ncin

sépa

rabl

es.

Les

coup

les

Yin-

Yang

sont

dans

tout

esle

sén

ergi

es,

dans

tout

esle

sm

anife

stat

ions

.Pou

rles

Taoï

stes

,les

mou

vem

ents

del’E

nerg

ieso

ntau

nom

bre

deci

nq(c

equ

el’o

nap

pelle

impr

opre

men

tle

sci

nqél

é-m

ents

):l’é

nerg

ieas

cend

ante

(Feu

),de

scen

dant

e(E

au),

enex

pans

ion

(Boi

s),e

nco

ntra

ctio

n(M

étal

)et

enfin

l’éne

rgie

stab

le,e

néq

uilib

re(T

erre

).Ce

sm

ou-

vem

ents

del’E

nerg

ieca

ract

éris

entl

aph

ysio

logi

e(e

tpe

uven

tind

uire

lapa

thol

ogie

)de

sci

nqpr

inci

paux

orga

nes

selo

nle

spr

inci

pes

dela

Méd

ecin

eTr

aditi

onne

lleCh

inoi

se.

Une

autr

eno

tion

impo

rtan

tede

lape

nsée

chi-

nois

eco

ncer

nele

sTr

ois

Trés

ors.

L’ho

mm

ees

tfai

tde

mat

ière

(os,

mus

cles

,tis

sus

etor

gane

s,liq

uide

sor

gani

ques

)qu

ipr

end

une

form

edé

finie

.Ce

ttepa

rtie

mat

érie

lleco

nstit

uele

Tsin

g.S’

yaj

oute

une

part

iesu

btile

avec

troi

sco

nsti-

tuan

ts(S

anBa

o):

leJi

ngou

Esse

nce,

leCh

iou

Ener

gie,

leSh

enou

Espr

it,co

ncep

tsas

sezd

iffic

iles

àco

ncev

oird

ans

lacu

lture

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dent

ale.

LeSh

enes

tla

cons

cien

ceor

gani

satr

ice,

d’or

igin

ecé

lest

e,il

conc

erne

l’ens

embl

ede

sfo

nctio

nsps

ychi

ques

etsp

iritu

elle

sde

l’ind

ivid

u.Le

Jing

c’es

tla

tram

ede

lavi

e,l’e

ssen

cevi

tale

,ce

quia

udé

part

est

cont

enu

dans

lagr

aine

,l’œ

uffé

cond

é.O

ndi

stin

gue

leJi

ngin

né,c

elui

quip

rovi

entd

espa

rent

s(il

pour

rait

cor-

resp

ondr

eau

prog

ram

me

géné

tique

)et

leJi

ngac

quis

prod

uitt

outa

ulo

ngde

lavi

epa

rles

tran

sfor

-m

atio

nsm

étab

oliq

ues

quid

épen

dent

duCh

i.Le

Jing

acqu

isvi

ent

renf

orce

rle

Jing

inné

mai

sce

ttees

senc

ees

tcon

som

mée

enpe

rman

ence

etsa

disp

a-

ENER

GIE

VIT

ALE

ETA

RTS

MA

RTI

AU

XC

HIN

OIS

(TA

ÏCH

ICH

UA

N)

Les

Wus

huco

nstit

uent

unva

ste

ense

mbl

ed’

Arts

mar

tiaux

chin

ois

d’or

igin

etr

èsan

cien

ne.

Ilsre

pose

nt,s

urla

notio

nde

Chiq

uico

rres

pond

,àpr

emiè

revu

e,à

notr

eco

ncep

tion

d’En

ergi

evi

ta-

le.

Enan

alys

antl

epl

usco

nnu

enO

ccid

ent,

leTa

ïChi

Chua

nou

Boxe

supr

ême,

onpe

utm

ettr

een

évid

ence

quel

ques

conc

epts

fond

amen

taux

.U

nete

lleac

tivité

agit

sur

plus

ieur

spl

ans:

1)ph

ysiq

ue,

par

l’int

erm

édia

ire

dusq

uele

tteet

dela

mus

cula

ture

,2)

éner

gétiq

uegr

âce

àun

ere

spir

atio

npr

ofon

deà

com

posa

nte

abdo

min

ale,

3)m

enta

lets

piri

tuel

par

untr

avai

lsur

atte

n-tio

net

conc

entr

atio

nqu

ien

font

une

méd

itatio

n.Le

déro

ulem

entd

ela

séqu

ence

dem

ouve

men

tssu

itle

prin

cipe

univ

erse

ldu

Yin/

Yang

.Le

sm

ouve

men

tseu

x-m

êmes

font

appe

une

form

eom

nipr

ésen

teda

nsla

Nat

ure,

celle

dela

spir

ale.

Enfin

tout

el’e

ffica

cité

des

tech

niqu

esau

ssi

bien

mar

tiale

squ

eth

érap

eutiq

ues

repo

sesu

run

elo

ise

lon

laqu

elle

l’Ene

rgie

suit

lape

nsée

.U

nedi

scus

sion

final

ein

trod

uit

lano

tion

deM

ouve

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tvi

tal,

peut

-êtr

epl

usla

rge

que

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d’En

ergi

evi

tale

.

[JE

AN-P

IER

RE

DU

FA

UR

E]

jean-p

ierr

e.d

ufa

ure

@w

anad

oo

.fr

28[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

ritio

nco

ndui

tàla

mor

t.En

finle

Chic

once

rne

tout

esle

sén

ergi

espr

ésen

tes

dans

lana

ture

etda

nsl’h

omm

e.Ce

sera

itl’E

nerg

ievi

tale

univ

erse

lle.L

eCh

icirc

ule

part

outd

ans

l’Uni

vers

etda

nsl’H

omm

eco

nçu

com

me

unm

icro

cosm

e.Il

circ

ule

part

out

dans

leco

rps

enpa

rtic

ulie

r,m

ais

pas

excl

usiv

emen

t,da

nsle

sm

érid

iens

décr

itspa

rles

acup

unct

eurs

.

Une

gran

depr

atiq

ueta

oïst

e,ce

llede

l’Alc

him

iein

tern

em

ise

enœ

uvre

,ent

reau

tres

par

leco

ntrô

lede

lare

spira

tion

etpa

rla

méd

itatio

n,co

nsis

teà

nour

rirle

Jing

,àtr

ansf

orm

erle

Jing

enCh

ietà

utili

-se

rle

Chip

ourn

ourr

irle

Shen

quil

ui-m

ême

cont

rôle

ces

chan

gem

ents

.Le

Shen

,enf

in,p

erm

etla

tran

s-fo

rmat

ion

del’i

ndiv

idu

etle

reto

urau

Tao.

C’es

tce

que

peuv

entp

ropo

serl

esAr

tsén

ergé

tique

s,à

cond

i-tio

nto

utef

ois

d’êt

rebi

enco

ndui

ts.

Lede

rnie

rél

émen

tàin

trod

uire

pour

essa

yer

dem

ieux

cern

erle

sco

ncep

tsch

inoi

sco

ncer

nele

Yi.L

eYi

c’es

tla

pens

éem

ais

surt

outl

’inte

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n.Et

lepo

intf

onda

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tal,

c’es

tqu’

iles

tdit

que

leCh

iva

oùle

guid

ela

pens

ée,l

’inte

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n:l

eCh

isui

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Yi.

Cette

rela

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estm

ise

enpr

atiq

ueen

perm

anen

cepa

rle

sm

édita

nts

quit

rava

illen

tàfa

ireci

rcul

erle

urpr

opre

éner

gie,

parl

esth

érap

eute

s,et

bien

ente

ndu

parl

esar

tiste

sm

artia

ux.

Les

Arts

mar

tiaux

chin

ois

sont

très

anci

ens

etse

sont

déve

lopp

ésen

des

cent

aine

sde

syst

èmes

.Ce

sont

d’un

em

aniè

regé

néra

lede

sKu

ngFu

(Gun

gFu

ouCo

ng-F

ou),

Unte

rme

quiv

eutd

ire«

éner

gie

ette

mps

»et

,par

làm

ême,

dési

gne

tout

epr

atiq

uedo

ntl’é

tude

,l’a

p-pr

entis

sage

néce

ssite

beau

coup

dete

mps

etd’

éner

-gi

e,al

ors

que

souv

entc

ete

rme

estu

tilis

éde

man

ière

très

rest

rictiv

epo

urdé

sign

erun

artm

artia

lchi

nois

part

icul

ier.

Enfa

it,to

utes

les

prat

ique

sch

inoi

ses

répo

ndan

tàce

scr

itère

sde

tem

pset

d’én

ergi

eet

pas

seul

emen

tles

Arts

mar

tiaux

,son

tdes

Kung

Fu.

Iles

thab

ituel

decl

asse

rce

spr

atiq

ues

ende

uxca

tégo

ries

dist

inct

es:

les

styl

esex

tern

esou

Arts

mar

tiaux

«du

rs»

ayan

tpou

rso

urce

leTe

mpl

ede

Shao

linet

les

styl

esin

tern

esou

Arts

mar

tiaux

«do

ux»

quie

nré

alité

sont

plut

ôtre

dout

able

sca

rils

peuv

entp

rovo

quer

des

dest

ruct

ions

enpr

ofon

deur

.Pa

rexe

mpl

eda

nsle

styl

ede

Shao

linon

vach

erch

erà

maî

tris

eret

àca

sser

des

artic

ulat

ions

,dan

sun

styl

ein

tern

e,on

appl

ique

des

frap

pes

surd

espo

ints

part

icul

iers

,en

géné

rald

espo

ints

d’ac

upun

ctur

e,po

urdé

sorg

anis

erle

syst

ème

éner

gétiq

uede

l’ad-

vers

aire

entr

aîna

ntun

epe

rte

subi

ted’

éner

gie

quis

etr

adui

tpar

une

inte

nse

fatig

uem

ais

peut

alle

rau

ssi

jusq

u’à

lasy

ncop

eet

àla

mor

t.C’

estu

nex

empl

ede

l’int

ricat

ion

très

étro

iteen

tre

les

Arts

mar

tiaux

etle

s

Arts

thér

apeu

tique

s.Ce

sont

évid

emm

entl

esAr

tsin

tern

esqu

ino

usin

tére

ssen

tca

rils

met

tent

enœ

uvre

dire

ctem

entl

eCh

idu

prat

iqua

ntpo

urat

tein

-dr

ele

Chid

el’a

dver

saire

.

De

cefa

it,le

sAr

tsm

artia

uxin

tern

esso

ntde

sCh

iKon

g,Ch

iKun

g,Q

iGon

g,c’

est-à

-dir

eun

trav

ail

del’E

nerg

ie,d

uCh

inéc

essi

tant

beau

coup

dete

mps

etd’

effo

rts

ains

ique

l’ind

ique

lara

cine

«Ku

ng»

vena

ntdu

term

eKu

ngFu

cité

plus

haut

.Les

obje

ctifs

géné

raux

des

ChiK

ung

sont

bien

ente

ndu

l’effi

caci

tém

artia

lem

ais

auss

ile

mai

ntie

nde

lasa

nté,

lagu

éri-

son

des

mal

adie

s,la

long

évité

etl’é

léva

tion

spiri

-tu

elle

.Ils

peuv

entm

ême

être

spéc

ialis

éset

onpa

rlede

ChiK

ung

mar

tiaux

(par

exem

ple

leTa

ïChi

Chua

n),

deCh

iKun

gth

érap

eutiq

ues,

deCh

iKun

gSp

iritu

els,

etc.

Les

ChiK

ung

thér

apeu

tique

sfo

ntpa

rtie

dela

Méd

ecin

eTr

aditi

onne

lleCh

inoi

seau

mêm

etit

requ

el’a

cupu

nctu

re,l

aph

arm

acop

ée,l

esm

assa

ges.

Ains

ipa

rallè

lem

enta

uxAr

tsm

artia

ux,s

eso

ntdé

velo

p-pé

esde

puis

des

mill

iers

d’an

nées

des

gest

uelle

sco

rres

pond

anto

uno

unge

ste

mar

tiale

tdon

tle

bute

std’

ampl

ifier

laci

rcul

atio

nde

l’éne

rgie

vita

le.

On

parle

deCh

iKun

gm

ais

lete

rme

lui-m

ême

est

réce

nt,i

laét

éin

trod

uite

n19

56pa

run

méd

ecin

chi-

nois

leD

rLiu

Gui

Zhen

quia

créé

lepr

emie

rser

vice

hosp

italie

rde

ChiK

ung

thér

apeu

tique

.Ava

ntd’

utili

-se

rce

mot

,on

parla

itde

Tao

Yin,

TuN

a,et

c…

Ila

été

ques

tion

plus

haut

d’él

évat

ion

spiri

tuel

le.

Rev

enon

ssu

rce

poin

tfo

ndam

enta

l.Po

urle

sAs

iatiq

ues,

leCo

rps

etl’E

sprit

(ce

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ein

clua

ntto

usle

sph

énom

ènes

psyc

hiqu

eset

spiri

tuel

s)so

ntin

diss

olub

lem

ent

liés,

alor

squ

’en

Occ

iden

tce

conc

eptp

énèt

rele

ntem

ente

tse

trou

velo

ind’

être

acce

pté

dans

tous

les

mili

eux:

onva

chez

leki

nési

-th

érap

eute

pour

trav

aille

rsu

rso

nco

rps

etch

ezle

psyc

holo

gue

oule

psyc

hiat

repo

urtr

avai

llers

urso

nes

prit.

Impe

nsab

lepo

urun

méd

ecin

chin

ois

trad

i-tio

nnel

!Po

urta

ntle

sch

oses

ontb

ougé

,en

part

icu-

lier

depu

isl’o

uver

ture

àla

cultu

reja

pona

ise

prob

a-bl

emen

tpl

usan

cien

nem

ent

etla

rgem

ent

diffu

sée

que

lacu

lture

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oise

,en

gran

depa

rtie

grâc

eau

xAr

tsm

artia

ux.O

npe

utà

cepr

opos

cons

eille

rde

lire

oude

relir

LeZe

nda

nsl’A

rtch

eval

eres

que

dutir

àl’a

rc»,

cepe

titch

ef-d

'œuv

redû

àH

errig

el.

Parm

iles

Arts

mar

tiaux

inte

rnes

,tro

isso

ntpl

uspa

rticu

lière

men

tpra

tiqué

sen

Occi

dent

,don

tle

plus

conn

ues

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TaïC

hiCh

uan

ouTa

iJiQ

uan ,

les

deux

autre

sét

antl

ePa

kua

ouBa

gwaz

hang

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H’Si

n-I(

Xin

YiQ

uan)

tous

regr

oupé

sso

usle

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egé

néra

lde

Wus

hu.C

’est

enta

ntqu

epr

atiq

uant

eten

seig

nant

deTa

ïChi

Chua

nqu

ej’i

nter

vien

sic

ietn

ous

allo

nsm

ain-

tena

ntal

leru

npe

upl

usav

antd

ans

cette

prat

ique

.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

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07] 2

9

LEC

OR

PS

HU

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ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Chua

ndé

sign

ele

poin

g,Ta

ïChi

c’es

tle

supr

ême,

l’ulti

me

etle

TaïC

hiCh

uan

est

ains

iapp

elé

Boxe

supr

ême

indi

quan

tpar

làqu

’ils’

agit

del’A

rtm

artia

lle

plus

élab

oré

etle

plus

effic

ace.

Las!

ila

beau

coup

dégé

néré

.J’y

revi

endr

ai.O

nat

trib

ueso

nor

igin

eau

moi

neta

oïst

eCh

ang

San-

Feng

quiv

ivai

taut

our

des

anné

es13

00.O

nl’a

ppel

aita

lors

Hao

Qua

nou

Boxe

soup

le.

Puis

l’app

ort

deCh

ang

San-

Feng

aét

équ

elqu

epe

uou

blié

etre

déco

uver

tau

débu

tdu

XIXe

sièc

lepa

run

cert

ain

Yang

Lu-C

han

dont

letr

avai

les

tàl’o

rigin

ede

tous

les

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esYa

ng.I

lfau

tdire

que

dans

leTa

ïChi

Chua

n,co

mm

eda

nsto

utce

quit

ou-

che

àla

Chin

e,to

utes

tun

peu

com

pliq

uéet

parf

ois

embr

ouill

éà

souh

ait.

On

déno

mbr

epl

usie

urs

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esc’

est-

à-di

repl

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faço

nsd’

exéc

uter

etd’

ench

aî-

nerl

’ens

embl

ede

sm

ouve

men

tspr

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ués

dans

une

écol

e:le

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eCh

en,l

est

yle

Yang

,le

plus

conn

u,le

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eW

uet

deux

autr

esm

oins

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us.M

ais

veno

nsm

aint

enan

tàl’e

ssen

tiel.

Sil’o

npr

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uele

sAr

tsm

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uxde

nos

jour

s,ce

n’es

tpas

pour

sepr

épar

erau

com

bat c

aril

ya

des

moy

ens

bien

plus

perf

orm

ants

.Eve

ntue

llem

ent,

cepo

urra

itav

oir

une

effic

acité

cert

aine

dans

une

atta

que

deru

e,à

cond

ition

d’av

oirs

uivi

unen

traî

ne-

men

tper

met

tant

dedé

velo

pper

des

réfle

xes

appr

o-pr

iés.

Ces

prat

ique

sso

ntpl

utôt

utili

sées

com

me

des

tech

niqu

esdi

tes

de«

déve

lopp

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tper

sonn

el»,

etsu

rtou

tcom

me

des

tech

niqu

espo

urle

mai

ntie

net

l’am

élio

ratio

nde

lasa

nté.

Bien

sûr,

ily

aau

ssiu

nedi

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sion

spiri

tuel

lesu

rlaq

uelle

onre

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dra.

LeTa

ïChi

Chua

nap

para

îtav

antt

outc

omm

eun

ege

stue

lleda

nsla

quel

leto

usle

sm

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tset

tout

esle

spo

stur

eson

tune

sign

ifica

tion

mar

tiale

.Ils

sont

ench

aîné

sda

nsun

ordr

equ

iest

touj

ours

lem

ême

etl’e

nsem

ble

cons

titue

cequ

el’o

nap

pelle

une

«fo

rme

»,de

long

ueur

varia

ble

suiv

antl

esst

yles

etle

séc

oles

,po

uvan

talle

rde

12à

plus

de10

0m

ouve

men

ts.C

ette

form

em

ime

unco

mba

tfic

tifqu

ele

prat

iqua

ntré

alis

ese

ulco

ntre

unad

vers

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imag

inai

re.M

ais

ily

aau

ssi

des

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esde

com

batà

deux

part

enai

res,

utili

sées

com

me

des

éduc

atifs

etno

n,en

core

une

fois

,pou

rse

prép

arer

àla

lutte

.On

exéc

ute

fond

amen

tale

men

tdeu

xty

pes

dege

stes

,ceu

xde

défe

nse

(par

er,b

loqu

er,é

car-

ter)

etce

uxd’

atta

que

(ave

cle

poin

g,le

sdo

igts

,le

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gnet

,le

coud

e,l’é

paul

e,le

geno

u,le

pied

).Ce

sm

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ents

d’at

taqu

eet

dedé

fens

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tern

entr

égul

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tsu

ivan

tles

prin

cipe

sdu

Yin

etdu

Yang

.Dan

sle

sfo

r-m

esan

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nes

deTa

ïChi

,la

pure

tédu

gest

ea

été

cons

ervé

ere

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mou

vem

entd

’une

gran

deef

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cité

.Dan

sle

sfo

rmes

réce

ntes

,ces

gest

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tété

sty-

lisés

etce

qu’il

spe

uven

tavo

irga

gné

enfa

cilit

éd’

exé-

cutio

n,vo

irem

ême

enbe

auté

,l’a

été

audé

trim

entd

ele

uref

ficac

ité,m

artia

lece

rtes

mai

spa

rfois

auss

iéne

r-

gétiq

ue,c

equi

estb

eauc

oup

plus

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ccup

ant.

LesC

hiKu

ngno

nm

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uxse

prés

ente

nteu

xau

ssic

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ede

sen

chaî

nem

ents

dege

stes

mai

ssa

nsra

ppor

tave

cun

eid

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com

bat.

LeTa

ïChi

agit

surp

lusi

eurs

plan

s.

Ento

utpr

emie

rlie

usu

rle

phys

ique

.Ave

cse

sm

ises

enm

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t,il

opèr

lafo

issu

rle

sque

-le

tteet

sur

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uscu

latu

re.I

lper

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oupl

isse

-m

entd

esar

ticul

atio

ns,l

ere

nfor

cem

entd

este

ndon

set

des

ligam

ents

,l’é

tirem

ent

des

mus

cles

etde

sch

aîne

sm

uscu

laire

s.L’

effe

tle

plus

spec

tacu

laire

est

auni

veau

dela

colo

nne

vert

ébra

leet

plus

part

icul

iè-

rem

entd

ela

zone

lom

baire

dont

onco

nnaî

tla

vuln

é-ra

bilit

é.Le

sré

perc

ussi

ons

surl

asa

nté

etle

bien

-êtr

eso

ntév

iden

tes.

Mai

sau

ssic

etr

avai

lpré

pare

àun

em

eille

ure

circ

ulat

ion

duCh

ipui

sque

l’on

sait

que

tout

bloc

age

artic

ulai

re,

tout

eco

ntra

ctio

nm

uscu

laire

,fr

eine

oust

oppe

dans

lazo

neco

ncer

née

lalib

reci

r-cu

latio

ndu

Chi.

L’ac

tion

prob

able

men

tla

plus

impo

rtan

tese

situ

esu

rle

plan

éner

gétiq

ue.L

’acc

rois

sem

entd

uCh

iest

esse

ntie

llem

ento

bten

upa

rla

resp

iratio

n.Il

ya

deno

mbr

eux

mod

esre

spira

toire

s(le

Pran

ayam

ain

dien

atr

èsla

rgem

entd

ével

oppé

ceta

spec

t).D

ans

les

prat

ique

sm

artia

les

etce

lles

deCh

iKun

gpo

urla

sant

é,on

utili

sesu

rtou

tla

resp

iratio

nab

dom

inal

e,ab

dom

inal

eno

rmal

e(p

ouss

erle

vent

reà

l’ins

pira

-tio

n),p

lutô

trel

axan

teou

lare

spira

tion

abdo

min

ale

inve

rsée

(ren

trer

leve

ntre

àl’i

nspi

ratio

n)bi

enpl

usén

ergé

tique

.Ce

trav

ailm

eten

actio

nle

Tan

tien

infé

-rie

ur(z

one

situ

éeen

tre

leno

mbr

ilet

lepu

bis)

cons

i-dé

rée

com

me

unvé

ritab

lech

audr

on,a

vec

une

réfé

-re

nce

alch

imiq

uecl

aire

.On

ditq

uece

chau

dron

est

rem

plid

’Eau

etle

Feu

qu’a

llum

ele

prat

iqua

ntva

po-

rise

l’Eau

quim

onte

enva

peur

,c’e

stle

Chi.

L’én

ergi

eai

nsia

ctiv

éeda

nsle

Tan

tien

estm

ise

enro

ute

grâc

eau

xpo

stur

eset

aux

mou

vem

ents

.De

plus

cetr

avai

lsu

rle

vent

reré

alis

eun

mas

sage

prof

ond

des

orga

-ne

sin

tern

esde

l’abd

omen

dont

les

effe

tsbé

néfiq

ues

surl

asa

nté

sont

reco

nnus

.Cet

exer

cice

dela

resp

i-ra

tion

vato

utà

fait

enpr

ofon

deur

enTa

ïChi

depa

rsa

coor

dina

tion

avec

les

mou

vem

ents

.Nou

sav

ons

vuqu

ela

«for

me

»es

tune

suite

régu

lière

dem

ouve

-m

ents

d’at

taqu

ede

natu

reYa

nget

dem

ouve

men

tsde

défe

nse

dena

ture

Yin.

Un

mou

vem

entd

edé

fens

ese

fait

enam

enan

tle

corp

sen

arriè

resu

rune

insp

i-ra

tion

etun

mou

vem

entd

’atta

que,

enpr

ojet

ants

onco

rps

enav

anta

insi

que

lapa

rtie

duco

rps

quip

orte

leco

up(m

ain,

poin

g,pi

ed,e

tc.)

sur

une

expi

ratio

n.Po

urpo

rter

une

atta

que

viol

ente

,on

com

men

cepa

rau

gmen

terl

eni

veau

del’é

nerg

ieen

appr

ofon

diss

ant

l’ins

pira

tion,

puis

une

expi

ratio

nex

plos

ive

libèr

eun

egr

ande

quan

tité

d’én

ergi

e.La

form

edo

nnée

auco

rps

30[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

accr

oîte

ncor

el’e

ffica

cité

dela

resp

iratio

n.Pa

rexe

m-

ple,

enar

rond

issa

ntle

sbr

asen

form

ede

O,o

nau

g-m

ente

lapé

nétr

atio

nde

l’air

dans

les

poum

ons,

enpr

ojet

antl

esbr

assu

ivan

tla

form

ed’

unA,

onfa

cilit

el’e

xpul

sion

del’a

ir.To

utce

cifa

itqu

ele

TaïC

hies

tco

nsid

éré

com

me

une

des

tech

niqu

esle

spl

uspu

is-

sant

espo

urac

croî

tre

l’Ene

rgie

vita

le.

Auni

veau

suiv

ant,

leTa

ïChi

agit

surl

em

enta

l.Ch

acun

sait

que

lasu

prém

atie

dum

enta

l,so

nag

ita-

tion

perm

anen

tees

tun

des

gran

dsob

stac

les

àla

réal

isat

ion

deno

tre

Etre

supé

rieur

.Le

trav

aild

ela

«fo

rme

»du

TaïC

hi,l

’exé

cutio

nde

cette

suite

dem

ouve

men

tsco

mpl

exes

récl

ame

une

atte

ntio

nso

u-te

nue

deto

usle

sin

stan

ts.

Cet

ench

aîne

men

tes

tco

nçu

dete

lleso

rte

que,

mêm

epo

urun

prat

iqua

ntch

evro

nné,

relâ

cher

son

atte

ntio

npe

ndan

tque

lque

sdi

zain

esde

seco

ndes

leco

ndui

tine

xora

blem

entà

setr

ompe

r.C’

estc

equ

iafa

itdi

requ

ele

TaïC

hies

tun

em

édita

tion

enm

ouve

men

t.

Plus

curie

uxen

core

,on

peut

,se

lon

cert

ains

Maî

tres

,fav

oris

erte

lou

teln

ivea

uen

joua

ntsu

rla

vite

sse

d’ex

écut

ion

:une

«fo

rme

»pr

atiq

uée

rela

ti-ve

men

tvite

agit

surt

outs

urle

plan

phys

ique

,plu

sle

ntem

ent,

elle

perm

ettr

ait

detr

avai

ller

lem

enta

l,en

finex

écut

éetr

èsle

ntem

ent,

elle

pour

rait

cond

uire

àun

eex

périe

nce

spiri

tuel

le.

On

aco

mpr

isqu

ele

TaïC

hipe

rmet

tait

d’ac

cu-

mul

erde

l’éne

rgie

,de

lafa

ire

circ

uler

.Aun

nive

ausu

périe

urde

prat

ique

,ilp

erm

eten

outr

ede

cond

uire

l’éne

rgie

oùon

ledé

sire

,grâ

ceà

l’util

isat

ion

duYi

,de

l’int

entio

n,do

ntno

usav

ons

parlé

plus

haut

.Cet

tegr

ande

règl

e,qu

iveu

tqu

ele

Chia

ille

oùva

leYi

,re

çoit

des

appl

icat

ions

aum

oins

dans

les

Arts

mar

-tia

uxet

les

Arts

thér

apeu

tique

s.U

nco

uppo

rté

àun

adve

rsai

rese

rad’

auta

ntpl

usef

ficac

equ

el’o

nau

rach

erch

éà

conc

entr

erso

nin

tent

ion

surl

epo

ing

oule

pied

quid

oitp

orte

rce

coup

.Un

acup

unct

eurm

ettr

aso

nin

tent

ion

àl’e

xtré

mité

del’a

igui

llequ

and

ilar

rive

auni

veau

dupo

intà

trai

ter.

Mie

uxm

ême,

pour

cer-

tain

sac

upun

cteu

rsil

suffi

tde

seco

ncen

trer

fort

e-m

ents

urle

poin

tàtr

aite

rpou

rque

l’effe

tsoi

tobt

enu,

sans

l’int

erm

édia

ired’

une

aigu

ille.

Par

lem

ême

méc

anis

me,

cert

ains

thér

apeu

tes

save

ntfa

ireso

rtir

l’éne

rgie

dele

urco

rps,

engé

néra

lau

nive

aude

sm

ains

,la

proj

eter

suru

npa

tient

,ce

que

l’on

appe

lleun

FaJi

nget

ains

ile

trai

ter

àdi

stan

ce.C

esph

éno-

mèn

eson

tété

obse

rvés

dans

tout

esle

scu

lture

s,le

sCh

inoi

sle

son

tpar

ticul

ière

men

tétu

diés

.

Ende

rniè

rean

alys

e,je

vais

essa

yerd

em

ontre

rco

mm

entl

eTa

ïChi

sefo

ndda

nsle

gran

dm

ouve

-m

entd

ela

Vie

parl

em

oyen

del’u

nede

sfo

rmes

les

plus

fond

amen

tale

sde

laN

atur

equ

iest

lasp

irale

.De

puis

les

gala

xies

,etb

ien

ente

ndu

les

gala

xies

spi-

rale

s,ju

squ’

àla

form

ede

lam

oléc

ule

d’AD

N,la

spi-

rale

estp

arto

utoù

degr

ande

squ

antit

ésd’

éner

gie

sont

enje

u.A

notr

eéc

helle

dum

onde

des

être

svi

vant

s,la

spira

lese

retr

ouve

àdi

ffére

nts

nive

aux

d’or

gani

satio

nda

nsle

mon

devé

géta

let

dans

lem

onde

anim

alet

hum

ain.

Pour

nous

ente

nir

àun

exem

ple

quin

eno

usél

oign

epa

stro

pdu

suje

t,je

tons

unco

upd’

œil

àun

sque

lette

etre

gard

ons

lafo

rme

des

os,s

urto

utle

sos

long

sde

sbr

aset

des

jam

bes.

Ilsne

sont

pas

rect

ilign

esm

ais

ilspa

rais

sent

s’en

-ro

uler

suiv

antu

nesp

irale

très

lâch

e.Re

gard

ons

com

-m

ents

onta

genc

ésle

radi

uset

lecu

bitu

sde

l’ava

nt-

bras

:ils

pivo

tent

l’un

auto

urde

l’aut

resu

ivan

tune

spira

lece

quip

erm

etle

sde

uxge

stes

oppo

sés

depr

o-na

tion

etde

supi

natio

n.Le

cara

ctèr

egé

nial

des

fon-

date

urs

duTa

ïChi

estd

’avo

irco

mpr

isqu

el’o

npo

u-va

item

mag

asin

eret

libér

erde

gran

des

quan

tités

d’én

ergi

esi

l’on

fais

aitt

rava

iller

leco

rps

suiv

antu

nesp

irale

,acc

entu

antl

esen

roul

emen

tsna

ture

ls.T

oute

actio

nen

TaïC

hise

cons

truit

dela

man

ière

suiv

ante

parti

rd’u

neas

sise

auso

ltrè

sfe

rme,

onpo

usse

soit

sur

leta

lon,

soit

sur

l’ava

ntdu

pied

,cet

tepo

ussé

em

onte

lelo

ngde

sm

embr

esin

férie

urs

ensu

ivan

tune

légè

resp

irale

,ce

quie

ngen

dre

unm

ouve

men

tdu

bass

in–

ondi

tun

mou

vem

entd

uCe

ntre

,pui

sque

cette

régi

onco

ntie

ntle

Tan

tien

-en

avan

tou

enar

rière

mai

ssu

rtout

àdr

oite

ouà

gauc

he:c

’est

alor

squ

ese

crée

une

forc

ece

ntrif

uge

cons

idér

able

.La

pro-

paga

tion

cont

inue

lelo

ngde

laco

lonn

eve

rtébr

ale

qui

doit

être

suffi

sam

men

trec

tilig

nem

ais

auss

isou

ple

etto

niqu

epo

urqu

’ily

aitu

netra

nsm

issi

onve

rsle

haut

sans

dépe

rditi

ond’

éner

gie,

etle

mou

vem

enta

rriv

eda

nsle

sbr

asoù

ils’

ampl

ifie

grâc

lasp

irale

natu

-re

llequ

epe

utré

alis

erl’a

vant

-bra

s.C’

est

tout

leco

ntra

ired’

une

actio

nen

forc

em

ais

cela

impl

ique

une

très

gran

deco

ordi

natio

net

unre

lâch

emen

tpro

-fo

nd. Po

ursi

mpl

ifier

,on

a,en

débu

tant

,ass

imilé

leCh

l’Ene

rgie

vita

lem

ais

c’ét

aitp

eut-

être

alle

run

peu

vite

.Par

delà

leco

rps

mat

érie

l,le

Tsin

g,il

yau

rait,

d’ap

rès

les

Taoï

stes

,non

pas

une

mai

str

ois

forc

essu

btile

s,le

Jing

,le

Chie

tle

Shen

,en

inte

rdép

en-

danc

e,en

inte

ract

ion,

entr

ansf

orm

atio

nl’u

neda

nsl’a

utre

.Alo

rsqu

efa

ut-il

nom

mer

Ener

gie

vita

le?

On

fait

parf

ois

état

d’un

«M

ouve

men

tvita

l»se

trad

ui-

sant

par

des

tran

sfor

mat

ions

d’én

ergi

esen

d’au

tres

éner

gies

:le

sén

ergi

esun

iver

selle

sde

Wu

Chis

etr

ansf

orm

ente

nén

ergi

esde

base

,par

exem

ple

leJi

ngqu

ise

tran

sfor

me

enso

uffle

vita

l ,le

Chia

vec

lequ

eltr

avai

llent

les

thér

apeu

tes

etle

sar

tiste

sm

ar-

tiaux

etle

Chis

etr

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orm

een

Shen

quip

erm

etle

reto

urau

TAO

.Cet

teno

tion

deM

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tvita

lme

para

îtfé

cond

e.

LES

ON

BLE

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Der

rière

lere

gard

obje

ctif

dupl

anph

ysiq

ue,i

lya

cette

part

ieét

hériq

uedo

ntno

usn’

avon

spa

sid

éem

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quis

ous-

tend

tout

esle

sfo

rmes

.1

Leco

rps

éthé

rique

estu

neén

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em

agné

tique

:il

fonc

tionn

eco

mm

eun

aim

ant

quic

herc

hera

ità

faire

l’uni

téen

tre

deux

pola

rités

oppo

sées

etsé

pa-

rées

:le

feu

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pers

onna

lité

etle

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del’e

sprit

.

Leco

rps

éthé

rique

deto

utes

les

form

esét

ant

inte

r-re

lié,l

essp

ortif

sdo

ntno

usal

lons

parle

rso

nten

com

mun

icat

ion

avec

tous

les

élém

ents

dela

natu

re.L

’inte

nsité

dece

cont

actl

esam

ène

àra

ffine

rle

urs

cinq

sens

età

dyna

mis

erle

urvi

talit

é,ce

qui

perm

etla

renc

ontr

een

tre

les

deux

feux

.On

cons

tate

alor

squ

ece

ssp

ortif

sde

l’ext

rêm

ede

vien

nent

plus

réce

pteu

rset

plus

impl

iqué

s:ils

neso

ntpl

usda

nsun

eco

mpr

éhen

sion

anal

ytiq

uede

leur

actio

nm

ais

dans

une

appr

oche

intu

itive

.

L’év

olut

ion

sefa

iten

deux

tem

ps:

-Il

ya

tout

d’ab

ord

lare

conn

aiss

ance

d’un

efa

çon

d’êt

reno

uvel

lequ

iles

éloi

gne

dele

urs

repè

res

habi

tuel

s.

-Pui

squ

elqu

ech

ose

depl

uss’

inst

alle

,que

lque

chos

ede

nouv

eau,

une

inte

r–ac

tion

cons

cien

teav

ecun

cham

ppl

usva

ste

dans

lequ

ella

cons

-ci

ence

peut

s’ét

endr

e

C’es

tdan

sce

tem

pspl

usm

agné

tique

oùla

cons

-ci

ence

sere

cent

reet

met

enor

dre

son

atte

ntio

n,qu

ele

corp

sét

hériq

uedu

spor

tifs’

élar

gits

ans

dout

eet

com

men

ceà

perc

evoi

rau

-del

àde

l’app

aren

ce.

Ilen

tre

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sda

nsun

mon

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uvea

uda

nsle

quel

les

repè

res

anci

ens

s’él

imin

enta

upr

ofit

d’un

eév

iden

cequ

ile

rass

ure

etlu

iévi

ted’

être

dést

abili

sé.

Ila

chan

géde

nive

aude

cons

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ceet

vibr

prés

entd

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leno

uvel

univ

ers

des

lois

delib

erté

etd’

unité

,dan

sun

eco

mpr

éhen

sion

plus

vast

ede

cequ

ipou

rrai

têtr

ela

divi

nité

pote

ntie

lle.

Do

nn

on

sla

par

ole

àq

uel

qu

es-u

ns

de

ces

spo

rtif

s2:

Jéré

mie

:A

cour

ule

mar

atho

nde

ssa

bles

«Il

ya

20an

s,je

neco

urai

spa

s.Et

puis

,un

jour

,j’a

ire

ncon

tré

une

band

ede

copa

ins

qui

m’o

ntac

cuei

lliet

m’o

ntpr

opos

éde

cour

irav

eceu

x.Pr

emiè

reex

périe

nce

guèr

eco

nvai

ncan

te!A

près

200

mèt

res,

jecr

ache

mes

poum

ons,

j’aim

alau

xpi

eds,

tous

mes

mus

cles

sont

doul

oure

uxau

poin

tqu

eje

suis

inca

pabl

ede

mon

ter

oude

desc

endr

ele

moi

ndre

esca

lier!

Pour

tant

,je

rem

ets

çàet

lors

que

j’arr

ive

enfin

àbo

ucle

rmon

prem

iert

our,

jesu

isra

vi:

envi

ron

2km

enpl

usde

20m

n…U

nepr

oues

se!

Biza

rrem

ent,

loin

d’êt

rera

ssas

ié,j

edé

couv

requ

ej’y

aipr

isgo

ût,l

evi

rus

este

nm

oiet

jedé

cide

dem

ela

ncer

undé

fi:c

ourir

sur1

00km

!Apr

èsm

’avo

irpr

ispo

urun

fou,

onm

’aid

e.Je

vais

m’e

ntra

îner

enm

onta

gne:

laré

gion

est

mag

nifiq

ue,l

espa

ysag

esso

nten

chan

teur

s,l’e

aupu

reet

cris

talli

nede

sla

csde

mon

tagn

em

’ent

hou-

sias

me,

les

habi

tant

sso

ntac

cuei

llant

s,l’o

rgan

isa-

tion

«au

top

».Pr

emiè

reré

ussi

te:l

es10

0km

sont

aval

és…

Qu’

alla

is-je

bien

pouv

oir

inve

nter

pour

me

mot

i-ve

rde

nouv

eau

?

LES

SPO

RTI

FSD

EL’

EXTR

EME

Cert

aine

sex

péri

ence

sde

vie

sont

parf

ois

lem

oyen

d’ou

vrir

une

port

esu

rdes

mon

des

inco

nnus

etpe

uven

tam

ener

des

tran

sfor

mat

ions

prof

onde

sch

ezle

sin

divi

dus.

Parf

ois,

c’es

tle

corp

squ

ies

tl’o

util

dudé

pass

emen

t:vo

iciq

uelq

ues-

unes

dece

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péri

ence

své

cues

par

des

spor

tifs

del’e

xtrê

me

qui,

au-d

elà

del’e

xplo

it,dé

couv

rent

unno

uvel

artd

evi

vre.

1Vo

irda

nsce

num

éro,

l’art

icle

deCh

ristia

nPo

st:«

Leco

rps

éthé

rique

etse

sre

latio

nsav

ecle

corp

sph

ysiq

uede

nse

»2

Par

souc

ide

conf

iden

tialit

é,no

usav

ons

bien

sûr

chan

géto

usle

sno

ms

des

spor

tifs

quio

ntté

moi

gné.

[AN

NIE

GA

IDIE

R]

32[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Lem

arat

hon

des

sabl

es!2

40km

enpl

ein

dése

rten

auto

nom

ieal

imen

taire

eten

six

étap

es.I

lfau

tdire

qu’a

uprè

sde

mes

amis

spor

tifs

etde

mes

collè

gues

detr

avai

l,je

pass

ais

pour

unfo

u:p

ourq

uois

ela

ncer

dans

pare

ille

aven

ture

?Le

squ

estio

nspo

sées

par

mes

proc

hes

me

trot

tent

dans

latê

te…

Peu

àpe

uje

me

forg

eun

eph

iloso

phie

etje

com

-m

ence

àco

mpr

endr

equ

ej’a

ienv

iede

dém

ontr

erqu

em

ême

sion

n’es

tpas

unAp

ollo

ngr

ec,m

ême

sion

n’es

tpa

sun

dieu

dust

ade

niun

athl

ète

sort

idu

mou

lem

ais

qu’a

uco

ntra

ire,

ones

tpl

utôt

ron-

doui

llard

,pet

itet

pas

duto

utta

illé

pour

laco

urse

,av

ecun

min

imum

dedi

scip

line,

d’or

gani

satio

n,de

resp

ectd

eso

nco

rps,

ona

lapo

ssib

ilité

defa

irepa

r-tie

dece

sat

hlèt

es.

C’es

talo

rsqu

ej’a

iren

cont

réun

eba

nde

deje

u-ne

sde

banl

ieue

quim

’ont

enco

urag

éav

ecqu

elqu

eiro

nie:

onne

me

pren

aitp

lus

pour

unfo

um

ais

pour

un«

croi

sé»

!Q

uelle

pres

sion

sur

mes

épau

les!

Jen’

avai

sau

cun

droi

l’éch

ec.C

en’

étai

tpl

uspo

urm

oi-m

ême

que

jem

ede

vais

d’ar

river

aubo

utde

cepé

riple

mar

ocai

n,m

ais

pour

eux,

pour

leur

prou

ver,

àce

sje

unot

s,qu

ele

sm

ots

alla

ient

setr

ansf

orm

eren

acte

! Sabl

e,ve

nt,

sole

ilbr

ûlan

t,dé

shyd

rata

tion

qui

guet

te,i

sole

men

t,pr

omis

cuité

,nui

tsà

ladu

re,f

ati-

gue

qui

s’ac

cum

ule,

mus

cles

endo

loris

…Su

rhum

ain

!

Pour

tant

,jam

ais

l’idé

ed’

aban

donn

erne

m’a

tra-

vers

él’e

sprit

.Ach

aque

diffi

culté

,je

pens

ais

àm

esje

unes

rest

ésau

pays

,je

rédi

geai

sda

nsm

atê

tele

com

pte–

rend

uqu

ele

soir,

àl’a

rriv

ée,j

ele

urtr

ans-

met

trai

s,et

jere

part

ais

depl

usbe

lle.J

’ava

isl’i

m-

pres

sion

dem

arch

ersu

rdes

héris

sons

mai

sje

cont

i-nu

ais

d’av

ance

r:au

tant

depa

sga

gnés

qui

me

rapp

roch

aien

tde

mes

gam

ins.

Bien

souv

ent,

lalig

ned’

arriv

éede

l’éta

peà

pein

efr

anch

ie,j

epr

enai

pein

ele

tem

psde

me

repo

ser

etd’

ôter

mon

équi

pem

ent,

etje

fonç

ais

dire

ctem

ent

àla

tent

epo

urré

dige

rm

esm

ails

:c’é

tait

unbe

soin

auss

ivita

letc

apita

lque

dem

’hyd

rate

r.

Lade

rniè

reét

ape,

jel’a

ieffe

ctué

eav

ecto

ute

une

trou

pede

garç

ons

etde

fille

svi

rtue

llem

entà

mes

côté

s.Po

rté

par

une

forc

eno

uvel

le,j

ete

rmin

ece

tteép

reuv

em

ain

dans

lam

ain

avec

eux:

j’ysu

isar

rivé!

Lech

rono

ape

rdu

tout

eim

port

ance

.J’

aiva

incu

Pier

re:5

0an

s.A

trav

ersé

l’Aus

tral

ie,l

’Am

ériq

uedu

Sud

etl’A

friq

ue

Ila

prof

itéd’

une

pério

dede

chôm

age

pour

part

i-ci

per

àla

trav

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ede

sEt

ats–

Uni

s,pu

isto

uts’

est

ench

aîné

.Ila

prés

enté

son

proj

etde

cour

iren

soli-

taire

àso

nen

trep

rise,

lepr

ojet

apl

u,et

depu

is,i

lest

déta

ché

àte

mps

plei

n:s

onrô

lees

td’o

rgan

iser

les

trav

ersé

es,d

ele

sré

alis

erpu

isd’

anim

erda

nsto

ute

laFr

ance

une

série

deco

nfér

ence

s.

Pour

lui,

l’ave

ntur

ees

tun

mot

eur,

chaq

uete

nta-

tive

dere

cord

n’es

tqu’

unpr

étex

teau

dépa

rt:«

jen’

écha

nger

ais

jam

ais

une

aven

ture

cont

reun

reco

rd!»

Pour

Pier

re,c

omm

epo

urto

usle

sau

tres

spor

tifs

del’e

xtrê

me,

cequ

icom

pte,

c’es

tcet

teco

nsci

ence

part

icul

ière

jesu

isun

cour

eur

qui

sort

dela

mas

se,j

ene

suis

pas

mei

lleur

qu’u

nau

tre,

mai

sj’y

suis

arriv

é.Ce

que

jefa

ises

tàla

port

éede

tous

.Il

faut

lutte

r,s’

accr

oche

son

rêve

qui

devi

endr

aré

alité

sion

ledé

sire

vrai

men

t.N

epl

uspo

uvoi

rcou

-rir

sera

itun

efo

rme

dem

ort.

»

Un

grou

pede

cour

eurs

:24

heur

essu

run

circ

uitf

erm

é

Ilsto

urne

ntco

mm

eau

rale

ntis

urun

parc

ours

de1

kmdo

ntun

tron

çon

sesi

tue

sous

les

arbr

eset

empe

ste

les

eaux

usée

s.Le

fait

lepl

usét

onna

ntse

trou

veda

nsce

tteab

senc

eto

tale

dedr

amat

isat

ion,

dans

laba

nalis

atio

nm

ême

del’e

xplo

it.

Ala

ques

tion

«Po

urqu

oi?

»,ce

uxqu

ison

tétr

an-

gers

àce

ttepa

ssio

nne

peuv

ent

répo

ndre

.D

épas

sem

entd

eso

i,co

mpé

titio

nav

ecso

i-mêm

e,re

cher

che

d’un

ryth

me

inté

rieur

inéd

it,m

ettr

eso

nco

rps

àl’é

preu

ve,t

itille

rles

limite

s?…

Cequ

isau

teau

xye

uxce

pend

ant,

c’es

tque

ces

gens

cour

ent

les

uns

avec

les

autr

es,p

asle

sun

sco

ntre

les

autr

es:d

esgr

oupe

sde

troi

sou

quat

rein

divi

dus

avan

cent

ense

mbl

e,se

font

,se

défo

nt…

Ilsto

urne

ntin

lass

able

men

t.Ce

qu’il

sch

erch

ent

avec

une

déte

rmin

atio

nin

tens

e,c’

estp

long

erlo

inda

nsla

nuit,

dans

l’ano

nym

at,p

oury

trou

veru

nbo

utd’

eux-

mêm

es,

unpe

titbo

utrie

nqu

’àeu

xqu

’ils

sero

ntle

sse

uls

àsa

voir

reco

nnaî

tre.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 3

3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Pasc

ale

:3m

ois

seul

eda

nsl’A

ntar

ctiq

uepo

urat

tein

dre

lepô

le

«Il

me

faut

gagn

erle

droi

td’a

ccéd

erà

ladi

men

-si

onré

elle

dem

onav

entu

re.J

edo

isdé

couv

rirle

scl

ésqu

im’o

uvrir

ontl

ech

emin

dece

mon

de.

Petit

àpe

tit,j

’ent

reda

nsun

eso

rte

dero

utin

equ

im

efa

itvi

vre

l’ext

rêm

eco

mm

eno

rmal

…J’

aim

erai

sré

ussi

rpou

rmoi

,mai

sau

ssip

ourp

erm

ettr

d’au

-tr

esd’

alle

rpl

uslo

in…

Grâ

ceau

xre

latio

nsra

dio,

jedé

couv

requ

ele

séc

hang

esav

ecle

sau

tres

décu

plen

tm

esfo

rces

…Je

pens

mes

fille

s,et

jem

ese

nsco

upab

lede

pren

dre

auta

ntde

risqu

es.

Mai

sj’a

iap

pris

àm

eco

ntrô

ler

età

chas

ser

dem

ones

prit

tout

epe

nsée

néga

tive…

On

me

dem

ande

souv

ent

«Po

urqu

oitu

fais

çà?

».Ce

ttequ

estio

nm

’éne

rve

aupl

usha

utpo

int:

est-

cequ

’on

dem

ande

àun

oise

aupo

urqu

oiil

épro

uve

lebe

soin

devo

ler?

Com

me

tout

lem

onde

j’aid

eux

bras

,deu

xja

mbe

s,de

sm

uscl

es,e

tje

nesu

ispa

ste

llem

ent

plus

fort

equ

ele

sau

tres

.En

reva

nche

,j’a

iapp

risà

com

pren

dre

les

élém

ents

.Ce

tteco

mpr

éhen

sion

m’a

touj

ours

aidé

e,et

parf

ois

sauv

ée.Q

uand

leve

ntn’

étai

tpas

bon,

lete

rrai

nét

ait

bon.

Qua

ndle

terr

ain

étai

ttru

fféd’

obst

acle

s,le

vent

me

port

ait.

Lefa

itde

touj

ours

voir

etd’

utili

serl

ecô

tépo

sitif

des

situ

atio

nsm

’ape

rmis

d’al

ler

plus

loin

etpl

usvi

te.

Tous

les

jour

s,je

me

répé

tais

Fais

conf

ianc

e,çà

vam

arch

er.F

ais

conf

ianc

eju

squ’

aubo

ut.T

un’

aspa

sle

droi

tde

tela

isse

ralle

Conf

ront

éeà

laso

litud

e,je

déco

uvre

qu’u

nepa

r-tie

dem

oide

vien

tina

cces

sibl

tout

ein

trus

ion

dum

onde

exté

rieur

:en

effe

t,si

jesu

isfo

rte

sur

lete

r-ra

in,j

em

edé

couv

refr

agile

dans

mes

rela

tions

avec

autr

ui.

Laso

litud

eet

les

diffi

culté

ssa

nsno

mbr

em

em

ette

ntda

nsun

ebu

llequ

im’is

ole

enco

repl

us:j

ede

vine

que

tout

cequ

ej’a

iapp

risse

ule

dans

ces

espa

ces

glac

ésva

s’in

tégr

erà

quel

que

chos

equ

ine

m’a

ppar

tient

plus

,don

tl’e

nver

gure

me

dépa

sse

etm

efa

scin

e.C’

estc

eve

rsqu

oije

tend

sdé

sorm

ais.

Al’i

ssue

dece

tteex

périe

nce,

jepe

uxdi

requ

eje

nesu

ispa

sve

nue

enAn

tarc

tique

pour

une

perf

or-

man

cesp

ortiv

e,m

ais

pour

réal

iser

lerê

ved’

expl

orer

l’ina

cces

sibl

e.

L’hi

stoi

rees

tach

evée

,je

m’é

loig

nede

lagl

ace,

duve

nt,

dufr

oid

quim

’ont

acco

mpa

gnée

dura

nttr

ois

moi

spo

uren

tam

erun

voya

gein

térie

ur.C

omm

eje

n’ai

plus

àm

eba

ttre,

jem

ela

isse

enva

hirp

arde

sse

nsat

ions

,de

sém

otio

ns,

des

sent

imen

ts.

Le

voya

geét

aitu

nequ

ête

quim

’aap

port

éla

séré

nité

àla

quel

lej’a

spira

is»

Dav

id:

30an

s.A

cour

ula

Wes

tern

Stat

esEn

dura

nce

Run

Cour

sede

100

mile

sex

trêm

emen

tdur

edo

ntle

parc

ours

entr

efo

rête

tmon

tagn

es’

effe

ctue

sur

undé

nive

léd’

envi

ron

500

0m

avec

une

tem

péra

ture

qui

varie

de30

°au

froi

dde

sco

lsen

neig

és.

Audé

part

dela

cour

se,d

onti

lest

com

mun

émen

tad

mis

qu’e

llere

quie

rtun

eex

périe

nce

devi

eux

sage

,D

avid

estd

etr

èslo

inle

plus

jeun

e(la

plup

artd

esco

ureu

rson

tent

re10

et15

ans

depl

usqu

elu

i).A

l’arr

ivée

17he

ures

plus

tard

,ile

ntre

seul

dans

lest

ade,

ayan

t,à

lasu

rpris

egé

néra

le,m

ené

laco

urse

debo

uten

bout

,une

cour

seto

ute

d’un

eco

ncen

tra-

tion

etd’

une

déte

rmin

atio

nun

anim

emen

tadm

irées

Nil

avi

ctoi

reni

laso

uffr

ance

neso

ntpo

urm

oide

sob

ject

ifsou

des

final

ités.

Ladé

couv

erte

,l’a

ccès

àm

onâm

eet

àm

ones

prit

sont

mes

buts

prin

cipa

ux.

Lavi

ctoi

rees

tun

bonu

ssu

pplé

men

taire

»

Dep

uis,

Dav

idam

élio

rech

aque

anné

esa

perf

or-

man

ce.I

lest

très

àl’é

cout

ede

son

corp

s:re

pos

etré

cupé

ratio

nda

nsle

sto

rren

ts,a

limen

tatio

nvé

géta

-lie

nne

dont

ila

puco

nsta

terl

’impa

ctsu

rson

corp

set

sasa

nté.

«D

esch

ange

men

tson

tét

épr

ofon

dset

subt

ilssu

rcha

que

aspe

ctde

ma

vie

».Tr

èsse

nsib

leau

sort

dela

Terr

e,il

vits

impl

emen

t.

Qua

ndon

luid

eman

dequ

iile

st:«

Jesu

isun

être

hum

ain

quic

herc

heco

nsta

mm

entà

appr

endr

eet

àdé

couv

rirco

mm

ent

vivr

een

harm

onie

avec

son

envi

ronn

emen

tetà

expl

orer

quii

lest

.Etj

etr

ouve

undé

butd

eré

pons

een

cour

antd

es«

ultr

as»

:dan

sce

genr

ede

cour

se,

quan

dla

doul

eur

phys

ique

etm

oral

eat

teig

nent

une

inte

nsité

pres

que

insu

ppor

ta-

ble,

çàfo

rce

àal

lerp

ioch

erau

fond

deso

i.C’

estu

neba

rriè

requ

isau

teet

quim

’app

orte

une

expé

rienc

ein

desc

riptib

leoù

soud

ain

jem

ese

nsno

nse

ulem

ent

impo

ssib

leà

arrê

term

ais

réel

lem

enti

llim

ité.

Cour

irde

vien

tpou

rmoi

lem

oyen

d’at

tein

dre

ces

état

squ

eje

n’ai

puap

proc

her

d’au

cune

autr

em

aniè

re.J

’en

vien

voir

ces

cour

ses

com

me

unvo

yage

spiri

tuel

.Les

dém

ons

devo

tre

prop

rees

prit

sort

entp

ourv

ous

tour

men

ter,

vous

forç

antà

rega

r-de

ren

face

quiv

ous

êtes

aufo

ndde

vous

»

Cequ

iint

erpe

lleda

nsce

sté

moi

gnag

es,c

’est

une

com

mun

auté

d’es

prit.

Chac

unin

sist

esu

rle

fait

qu’il

estu

nin

divi

duco

mm

eto

usle

sau

tres

etqu

ese

ule

la

34[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

déte

rmin

atio

na

perm

isl’e

xplo

it.Le

lien

avec

les

aut-

res,

lelie

nav

ecso

i-mêm

ees

tun

autr

ede

sfa

cteu

rsco

mm

uns.

Enfin

,pou

rtou

s,le

corp

sph

ysiq

uea

été

unou

tilpr

écie

uxm

ais

obéi

ssan

tàqu

elqu

ech

ose

desu

périe

ur.

Ces

hom

mes

etce

sfe

mm

esde

l’exp

loit

tran

s-ce

nden

tleu

rét

atde

cons

cien

ceha

bitu

elpo

urac

cé-

derà

une

dim

ensi

onin

térie

ure

impr

évis

ible

.Le

chal

-le

nge

initi

alse

tran

sfor

me

enun

voya

gein

itiat

ique

quie

ntra

îne

l’aba

ndon

deto

ute

idée

d’ex

ploi

tou

deco

mpé

titio

net

perm

etl’a

ccès

àun

espa

cede

plus

gran

deco

nsci

ence

.C’e

stpe

ut-ê

tre

lale

çon

que

nous

pouv

ons

rete

nird

eto

utes

ces

aven

ture

set

leca

deau

que

nous

font

ceux

quil

eson

tvéc

ues:

leco

rps

phy-

siqu

e,au

serv

ice

d’un

eén

ergi

equ

ile

dépa

sse,

peut

être

unex

celle

ntm

oyen

d’en

trer

enco

ntac

t,au

-del

àde

lafo

rme,

avec

lavé

ritab

ledi

men

sion

del’ê

tre

hum

ain.

R3

ETR

7M

ON

TEN

TEN

BA

TEA

U…

…PE

TIT

CO

NTE

MO

RA

LO

uco

mm

entl

esm

êmes

acte

sde

lavi

equ

otid

ienn

epe

uven

tse

man

ifest

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ière

radi

ca-

lem

entd

iffér

ente

etce

quip

araî

tàl’u

nin

cohé

rent

,in

supp

orta

ble,

extr

avag

ant,

peut

sem

bler

àl’a

utre

natu

rel,

évid

ent,

just

ifié…

Vous

souv

enez

-vou

sde

cette

com

ptin

e:

«Pi

ncem

ietP

ince

moi

mon

tent

enba

teau

…Pi

ncem

itom

beà

l’eau

…Q

uire

ste-

t-il

dans

leba

teau

Elle

me

valu

tun

crue

lpin

cem

ent

etl’u

nede

sve

xatio

nsde

mon

enfa

nce.

Ces

deux

pers

onna

ges,

sem

blab

les

etdi

ffére

nts,

com

me

l’ave

rset

lere

vers

d’un

em

ême

méd

aille

,ont

ress

urgi

dem

am

émoi

relo

rsqu

el’i

dée

estv

enue

defa

ir evi

vre,

dem

aniè

resy

mbo

lique

,deu

xpe

rson

na-

ges,

port

eurs

sur

lepl

anph

ysiq

ued’

éner

gies

telle

-m

entd

isse

mbl

able

squ

’elle

sle

sre

nvoi

ents

ouve

ntdo

dos

dans

les

acte

sle

spl

ussi

mpl

esde

lavi

equ

otid

ienn

e.

Lors

qu’il

s’ag

itd’

emba

rque

rdan

sle

bate

aude

lavi

e,no

tre

Ame

vase

scul

pter

unco

rps

doté

d’un

eén

ergi

epa

rtic

uliè

re,d

ontn

ous

auro

nsà

expé

rimen

-te

rla

coul

eur

tout

aulo

ngde

notr

ein

carn

atio

n.L’

orga

nism

ebi

olog

ique

dens

ese

raai

nsir

évél

ateu

rde

laqu

alité

del’é

nerg

iequ

icon

stitu

ele

corp

sét

hé-

rique

etco

ntrib

uera

àm

anife

ster

aum

ieux

surl

epl

anph

ysiq

uele

proj

etde

l’Am

eLe

Ray

on3

(Int

ellig

ence

activ

eet

Adap

tabi

lité)

etle

Ray

on7

(Ord

recé

rém

onie

letM

agie

)qu

eno

usal

lons

rega

rder

,une

fois

n’es

tpas

cout

ume,

par

lepe

titbo

utde

lalo

rgne

tte,s

ontl

esra

yons

quic

olo-

rent

lepl

usfr

éque

mm

entc

eco

rps

phys

ique

1et

qui

génè

rent

dans

les

acte

sle

spl

usél

émen

taire

sde

lavi

equ

otid

ienn

e,de

sco

mpo

rtem

ents

,des

attit

udes

,un

ege

stue

llem

ême

suffi

sam

men

tcon

tras

tés

pour

1.Vo

iren

cadr

és1,

2et

3.

[DE

LP

HIN

EB

ON

NIS

SO

L]

delp

heb

onnis

so

l@fr

ee.fr

Liv

res

LECO

RPS

ÉNER

GÉT

IQU

ED

EL’

HO

MM

E

Anne

BERC

OT

-AIE

V

Editi

onOP

ERA

Prix

8€

+4

€de

frais

depo

rt.Di

spon

ible

àl’I

nstit

utAL

COR

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 3

5

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

que

chac

un,a

udé

tour

,d’u

npa

ragr

aphe

,s’

yre

conn

aiss

e.O

rdon

c,Pi

ncem

ietP

ince

moi

,alia

sR

3et

R7,

mon

tent

enba

teau

…en

TGV,

enav

ion,

enau

to,à

dos

dech

amea

u…br

ef,R

3et

R7

part

ente

nvo

yage

.

R7

est

sur

lequ

aici

nqm

inut

esav

antl

’heu

re,c

alm

e,se

rein

,im

pecc

a-bl

emen

tvêt

ud’

une

man

ière

adap

tée

àla

sais

on,

lech

eveu

lissé

,la

chau

ssur

eci

rée. Pa

isib

lepa

rce

qu’il

est

part

l’heu

re(«

il»

pour

rait

être

«el

le»

indi

f-fé

rem

men

t,no

usne

les

codi

fions

que

pour

les

beso

ins

duco

nte)

Pais

ible

,pa

rce

qu’il

apr

évu

les

impo

ndér

able

sdu

traj

et(il

est

évid

em-

men

tun

adep

tedu

GPS

),qu

ese

sba

gage

sso

ntpr

êts

depu

isla

veill

e,qu

’ila

rete

nule

sch

ambr

esd’

hôte

l,pr

épar

éle

sen

-cas

pour

levo

yage

,ach

eté

les

mag

a-zi

nes

quim

eubl

eron

tle

tem

ps.

Pais

ible

enfin

parc

equ

ele

prog

ram

me

duvo

yage

aét

éét

abli

selo

nun

elo

giqu

equ

iévi

tera

tout

epe

rte

dete

mps

,tou

tefa

tigue

inut

ile,t

oute

sce

sre

cher

ches

dede

rnie

rm

omen

tqu’

ildé

test

epa

rce

qu’il

sait

que

rien

n’es

tplu

sdé

stab

ilisa

ntqu

el’à

peu-

près

dans

l’org

anis

atio

n.Sa

seul

ein

quié

tude

estd

esa

voir

siR

3se

raau

dépa

rt!

R7,

enef

fet,

conn

aîts

onR

3qu

’ilpr

atiq

uede

puis

long

tem

ps…

Ilco

nnaî

tsa

capa

cité

àpr

ogra

mm

erl’h

eure

duré

veil

età

oubl

ier

d’ac

tiver

laso

nner

ie.I

lcon

naît

sapr

open

sion

àpa

sser

des

heur

esà

faire

ses

baga

ges

–au

dern

ier

mom

ent,

elle

ata

ntà

faire

!-pa

rce

qu’e

llere

tour

nese

sar

moi

res

pour

trou

ver

son

mai

llot,

qu’e

ntre

deux

pile

sde

tee-

shirt

sel

lea

récu

-pé

réce

ttefa

ctur

eur

gent

equ

’elle

cher

che

depu

istr

ois

sem

aine

s,qu

’elle

sedé

pêch

ede

laré

gler

,l’a

-ba

ndon

nesu

rso

nbu

reau

ench

erch

antu

neen

ve-

lopp

e,ré

pond

auté

léph

one

enou

blia

ntet

lafa

ctur

eet

l’env

elop

pe,p

uis

voya

ntl’h

eure

tour

ner,

reno

nce

aum

aillo

t…El

leen

trou

vera

bien

unsu

rpla

ceou

seba

igne

rato

utha

billé

eou

tout

enu

e,c’

ests

elon

,on

verr

abi

en!

Illa

sait

capa

ble

dech

erch

erse

scl

ésde

voitu

re,

ouce

lles

deso

ndo

mic

ileou

ses

chau

ssur

es,l

apo

rte

del’a

scen

seur

coin

cée

par

lapo

ubel

lequ

’elle

aou

blié

ela

veill

esu

rle

palie

r.

R7

sero

nge

les

poin

gs,l

apa

sser

elle

vaêt

rere

ti-ré

e…O

uf!l

avo

ilàqu

iarr

ive

enco

uran

t,éc

heve

lée,

ses

troi

sté

léph

ones

enba

ndou

lière

,cro

ulan

tsou

sun

amon

celle

men

tdis

para

tede

sacs

bour

rés

àla

der-

nièr

ese

cond

ede

son

indi

spen

sabl

eor

dina

teur

etde

ses

chau

ssur

esde

mon

tagn

eau

cas

où…

des

fois

qu’o

ns’

ennu

ieà

lam

er…

onpo

urra

itch

ange

rde

plan

et…

Ah!n

on!C

ette

fois

-ci,

ilne

sela

isse

rapa

sen

traî

ner

dans

ses

fam

eux

plan

s,to

ujou

rsgé

niau

x,sa

nsce

sse

mou

vant

s,et

quio

ntla

part

icul

arité

delu

ipa

raîtr

e,à

lui,

plus

fum

eux

les

uns

que

les

autr

es!

Ill’e

ntra

îne

vers

laca

bine

enso

ngea

ntà

sava

lise

bien

rang

ée,à

l’afte

r-sh

ave

età

labr

osse

àde

nts

ali-

gnés

sur

lata

blet

tedu

lava

bo,a

uxpi

les

bien

nette

sde

sre

vues

surl

ech

evet

.Ils

oupi

re,R

7,en

imag

inan

tce

quiv

aar

river

dans

quel

ques

inst

ants

,lor

sque

R3

aura

enva

hil’e

spac

e,dé

vers

ant

n’im

port

eoù

ses

inno

mbr

able

spa

quet

s.Et

enco

re!I

lade

lach

ance

:el

len’

apa

s,co

mm

ela

dern

ière

fois

,lai

ssé

son

bille

tda

nsun

sac

chan

géau

dern

ierm

omen

t…Et

s’il

dési

res’

allo

nger

unin

stan

tsu

rsa

cou-

chet

teen

vahi

e,pa

sde

prob

lèm

e,sa

nsre

chig

ner

lem

oins

dum

onde

,elle

tran

sfér

era

leto

utda

nsle

bac

àdo

uche

!

1/Le

Ray

on

du

Co

rps

ph

ysiq

ue

est

enre

lati

on

avec

l’im

pu

lsio

mat

éria

lise

r:il

per

met

l’in

carn

atio

nd

ud

esse

ind

esco

rps

sub

tils

surl

ep

lan

ph

ysiq

ue.

Ilim

prè

-gn

ele

sat

om

esd

eno

tre

cerv

eau

etp

erm

etd

onc

de

rece

-vo

ird

ans

no

tre

con

scie

nce

céré

bra

lel’

éner

gie

de

l’A

me

:le

cerv

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est

enef

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l’u

niq

ue

inst

rum

ent

par

leq

uel

l’éta

tde

cons

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ced

el’A

me

peu

ts’in

carn

er.

Ilco

lore

notr

efa

çon

d’in

tégr

er,d

eco

ord

onn

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’org

a-ni

ser.

On

lere

conn

aîtd

ans

lam

aniè

red

ont

nou

sjo

uo

nsav

ecn

otr

eco

rps,

dan

sn

os

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tud

es,

no

svi

olo

ns

d’In

gres

,no

tre

rap

po

rtau

spo

rtet

àl’a

ctiv

ité

ph

ysiq

ue.

Sila

per

son

nal

ité

n’e

stp

asin

tég

rée,

ilin

flu

ence

lech

oix

de

no

tre

pro

fess

ion

.

36[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

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ME

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TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

Illa

rega

rde

évol

uer

dans

cete

spac

ere

stre

int:

elle

s’es

tdéj

àco

gnée

quat

refo

isco

ntre

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uche

ttesu

périe

ure,

abo

uscu

léla

chai

se,e

stre

ntré

eda

nsle

cham

bran

lede

lapo

rte

duco

into

ilette

.C’e

stvr

aiqu

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plac

ees

tcom

ptée

mai

sto

utde

mêm

e!Lu

i,en

arriv

ant,

aob

serv

éle

slie

ux,i

len

apr

isla

mes

ure

etil

écon

omis

ese

sge

stes

:po

urqu

oise

leve

rpou

rpre

ndre

unjo

urna

lsur

lata

ble,

sera

sseo

irpo

urle

feui

llete

rrap

idem

ent,

sere

leve

rpou

rle

repo

-se

ral

ors

qu’il

suffi

tde

tend

rele

bras

pour

l’atte

in-

dre?

Mai

sR

3a

beso

inde

rem

uer.

Pend

antl

ongt

emps

,il

luia

repr

oché

d’av

oirl

abo

ugeo

tte:e

llelu

idon

nait

leto

urni

vire

volte

rda

nsl’e

spac

e,à

arpe

nter

les

pièc

espe

ndan

tqu’

elle

télé

phon

aito

udi

scut

ait.

«-M

ais

rest

edo

ncun

peu

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uille

!lui

disa

it-il!

-Mai

sje

suis

tran

quill

eré

torq

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,éto

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desa

rem

arqu

e.Je

réflé

chis

…»

Etil

aco

mpr

isun

jour

que

làoù

ilca

lcul

aits

esge

stes

etse

spa

role

spo

urn’

enliv

rer

que

laju

ste

mes

ure

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sm

ûre

réfle

xion

,elle

étai

t,el

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ans

leja

illis

sem

ents

pont

ané

del’a

cte

etde

lape

nsée

,san

sré

flexi

onpr

éala

ble,

etqu

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sid

ées

seco

nstr

ui-

saie

ntco

mm

ele

spe

rles

d’un

colli

er,l

’une

entr

aîna

ntl’a

utre

dans

unen

chaî

nem

entq

uis’

élab

orai

tun

peu

àla

man

ière

d’un

laby

rinth

e,m

ais

dont

ilav

aitt

ou-

jour

sla

surp

rise

devo

irqu

’ilfin

issa

itpa

rla

faire

reto

mbe

rsur

ses

pied

s.D

eso

npo

intd

evu

e,qu

elle

pert

ede

tem

pset

d’é-

nerg

ie!

Mai

sil

falla

itlu

irec

onna

ître

cela

,que

del’é

ner-

gie,

elle

enav

aità

reve

ndre

:un

vrai

bulld

ozer

!

Ilse

rapp

elai

tce

jour

oùil

étai

tallé

l’aid

erà

entr

e-te

nir

son

jard

inda

nsle

quel

les

haie

sav

aien

tplu

ste

ndan

ceà

débo

rder

deto

uscô

tés

qu’à

être

tirée

sau

cord

eau.

Pend

antq

u’il

réflé

chis

sait

àla

man

ière

lapl

usra

tionn

elle

depr

océd

eret

qu’il

plan

ifiai

tle

trav

aila

find’

évite

retu

nepe

rte

dete

mps

etun

gasp

illag

ein

utile

des

forc

es,i

ll’a

vait

vue,

des

heur

esdu

rant

,man

ierl

api

oche

sous

unso

leil

depl

omb,

sans

faire

lam

oin-

dre

paus

e,ou

blia

ntm

ême

leve

rre

d’ea

uqu

esa

fille

,ob

ligea

mm

ent,

vena

itdé

pose

ràse

scô

tés

àin

terv

al-

les

régu

liers

.Ah

!Co

mm

eil

laco

mpr

enai

tcet

tefil

leR

7qu

i,ap

rès

quel

ques

heur

esde

désh

erba

ge,r

appe

lée

àl’o

rdre

par

lané

cess

itéde

gére

rso

nca

pita

léne

rgé-

tique

,éta

itve

nue

d’un

evo

ixm

oura

nte

récl

amer

Qua

ndes

t-ce

qu’o

nm

ange

De

fait,

ilét

aitd

éjà

pres

que

15he

ures

etrie

nne

sem

blai

tpré

sage

rqu

eR

3av

aite

nvis

agé

une

paus

ere

pas!

L’es

tom

acda

nsle

sta

lons

,pro

ches

del’i

nani

tion,

R7

etR

7av

aien

tfou

illé

dans

lefr

igo

:«il

ya

des

truc

s,vo

yez

cequ

evo

uspo

uvez

faire

»av

aitl

ancé

R3

enre

pren

ants

api

oche

Jong

lant

allé

grem

ent

avec

les

règl

esde

ladi

étét

ique

qu’il

sco

nnai

s-se

ntpa

rcœ

ur,i

lsav

aien

tcon

coct

éle

repa

sle

plus

susc

eptib

lede

reco

nsti-

tuer

les

forc

espe

rdue

s.Ils

avai

ent

ensu

itedr

essé

lata

ble

avec

soin

,co

nvai

ncus

que

lere

gard

nour

ritle

sce

llule

sau

moi

nsau

tant

que

l’est

omac

,et

que

repa

sch

ampê

tre

n’es

tpas

for-

cém

ents

ynon

yme

dela

isse

r-al

ler!

Puis

,le

rosé

mis

àra

fraî

chir

dans

unse

auà

glac

e,m

afo

i,ils

avai

entc

omm

encé

sans

elle

qui,

sour

deà

leur

sap

pels

,vo

ulai

tpr

endr

ele

tem

psde

finir

sapl

ate-

band

e.Et

avec

elle

,le

tem

ps…

Enfin

,lor

squ’

elle

s’ét

aita

vach

iesu

rsa

chai

se(o

nav

ait

touj

ours

l’im

pres

sion

qu’e

lleét

ait

enca

out-

chou

c)et

que,

com

me

d’ha

bitu

de,e

lleto

urna

itet

reto

urna

itun

ebo

îteda

nsle

vain

espo

irde

l’ouv

rir,i

lla

luia

vait

enle

vée

des

mai

nspo

uren

faire

saut

erle

couv

ercl

ed’

unsi

mpl

eco

upde

pouc

edo

nné

aubo

nen

droi

t:«

-Alo

rs,t

ul’a

sfin

ieta

plat

e-ba

nde?

2/La

rép

arti

tio

nd

esR

ayo

ns

lap

lus

cou

ran

teen

tre

les

dif

fére

nts

corp

sd

ela

per

son

nal

ité

est

lasu

ivan

te.C

en

’est

cep

end

antp

asu

ne

règl

eab

solu

eet

elle

peu

tdif

fé-

rer,

enp

arti

culi

erp

ou

rles

être

sav

ancé

ssu

rle

sen

tier

de

l’évo

luti

on

,en

fon

ctio

nd

’un

pro

jetp

arti

culi

erd

el’A

me.

Corp

sM

enta

l1

45

Corp

sEm

oti

on

nel

26

Corp

sPh

ysiq

ue

37

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 3

7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

-Oui

,c’e

stpa

sm

al.M

ais

jem

ede

man

desi

fina-

lem

ent,

elle

nese

rait

pas

mie

uxde

l’aut

recô

té.J

eva

isvo

ir…»

R7

etR

7ét

aien

tres

tés

mue

ts…

Ilson

ttel

lem

entl

’hab

itude

devo

irle

sm

eubl

esva

lser

dans

lam

aiso

n!

Qua

ndils

vont

cher

cher

unve

rre,

ilsse

retr

o-uv

entd

evan

tl’a

rmoi

reà

linge

etqu

and

ila

beso

ind’

unto

urne

vis,

c’es

tun

tube

decr

ème

que

luio

ffre

àpr

ésen

tle

tiroi

ràou

tils.

Dep

uis

qu’e

llea

fait

dégr

in-

gole

rle

plaf

ond

pour

réam

énag

erla

cuis

ine,

parc

equ

eta

ntqu

’on

yét

ait…

,ils

’atte

ndà

voir

les

fenê

tres

chan

gerd

epl

ace.

Alor

s,un

epl

ate-

band

e,c’

estv

rai-

men

tmoi

ndre

mal

pour

ceR

3qu

ifou

rmill

ed’

idée

set

depl

ans

sans

cess

een

mut

atio

nqu

ires

tent

lepl

usso

uven

t–D

ieu

mer

ci!-

àl’é

tatd

’éba

uche

dans

son

cerv

eau

enéb

ullit

ion.

Jam

ais

R7

nepo

urra

com

pren

dre

unte

lfon

c-tio

nnem

ent!

L’ad

met

tre,

oui,

parc

equ

’ilap

préc

ieau

ssis

esqu

alité

s,m

ais

com

pren

dre?

Pour

lui,

enef

fet,

l’ord

rees

tune

seco

nde

natu

re.

S’il

estt

oujo

urs

tiré

àqu

atre

épin

gles

,c’e

stqu

ese

sco

stum

esso

ntsu

spen

dus

àde

sci

ntre

s,se

sch

e-m

ises

soig

neus

emen

trep

assé

es,r

angé

espa

rco

u-le

urs

asso

rtie

lacr

avat

e,se

sch

auss

ures

ciré

esda

nsde

sbo

îtes

étiq

ueté

es:

plus

sim

ple

tout

dem

ême

que

dele

sou

vrir

tout

esav

antd

etr

ouve

rla

paire

dont

ona

beso

in,n

on?

Tant

pis

sice

lafa

itrir

eR

3!

tout

estp

révu

pour

évite

rce

ttepa

gaill

ein

sup-

port

able

qu’e

llesè

me

sur

saro

ute

avec

une

tota

lein

cons

cien

ce.I

ln’a

rriv

epa

com

pren

dre

pare

xem

-pl

eco

mm

ent

elle

sedé

brou

ille

pour

perd

resa

nsce

sse

ses

trou

ssea

uxde

clés

:ceu

xde

lam

aiso

n,ce

uxdu

bure

au,c

eux

dela

voitu

re,c

eux

dese

cour

sau

ssi,

qu’e

llea

pour

tant

enpl

usie

urs

exem

plai

res.

Lui,

son

prem

ier

gest

een

entr

ant

chez

luie

std’

accr

oche

rses

clés

àle

urcl

ou:i

lest

sûra

insi

dele

sre

trou

ver.

Ilfa

utdi

requ

epo

urR

7,«

une

plac

epo

urch

aque

chos

e,ch

aque

chos

sapl

ace

»es

tun

adag

esa

cré.

Ilfa

itai

nsid

eso

nqu

otid

ien

unvé

rita-

ble

ritue

lda

nsle

quel

les

gest

esré

pété

son

tun

eva

leur

pres

que

mag

ique

.C’e

stpo

urqu

oiil

aim

ele

sgr

ands

mou

vem

ents

defo

ule

ryth

miq

uem

ento

rdon

-né

s(A

h!

lerit

uel

des

Jeux

Oly

mpi

ques

!ou

les

mag

nifiq

ues

alig

nem

ents

des

trou

pes

quid

éfile

ntsu

rles

cham

psEl

ysée

s!)o

ule

sfu

gues

deJ.

S.Ba

chpl

utôt

que

les

opér

asw

agné

riens

.C’

est

pour

quoi

,ég

alem

ent,

iln’

est

pas

ques

tion

dedi

spos

erau

trem

entl

esqu

elqu

esbe

aux

obje

tsqu

’ilpo

ssèd

e,so

i-gn

euse

men

tch

oisi

set

mis

enva

leur

,pu

isqu

’ain

si,i

lsco

ntrib

uent

àl’é

quili

bre

dela

pièc

e.L’

équi

libre

!Ah

!vo

ilàun

des

mot

sfa

voris

deR

7.Eq

uilib

reda

nsto

usle

sdo

mai

nes

etpa

rtic

uliè

rem

ent

ence

qui

conc

erne

son

phys

ique

.Sp

ort,

régi

mes

,co

mpl

émen

tsal

i-m

enta

ires,

jogg

ing,

cent

res

dere

mis

een

form

e,rie

nn’

estn

églig

éaf

inde

faire

deso

nco

rps

unéc

rindi

gne

dece

nom

Ila

d’ai

lleur

sbi

enl’i

nten

tion

depr

ofi-

terd

ese

sva

canc

espo

urré

cupé

rer.

Pend

antq

ueR

3pa

sser

aun

epa

rtie

dela

nuit

àsu

rfer

sur

lew

ebà

l’affû

tde

sno

uvel

les

dum

onde

,lui

irase

couc

her

tôt:

s’il

n’a

pas

ses

huit

heur

esde

som

-m

eil,

iln’

est

plus

bon

àrie

n.M

ange

rré

guliè

rem

ent,

dorm

irju

ste

cequ

ico

nvie

nt,n

epa

sfa

ired’

excè

sin

cons

idér

és

3/Q

uelq

ues

cara

ctér

isti

que

ses

sent

iell

esd

esRa

yons

3et

7:(

A.A

Bail

ey:T

rait

ésu

rles

7Ra

yons

tom

eI)

Ray

on

3:

«So

ntr

avai

les

tp

lus

étro

item

ent

lié

àla

mat

ière

…Il

est

l’im

pu

lsio

nm

oti

van

ted

ans

letr

avai

lin

itia

lde

créa

tion

»p

.46

«Le

rayo

nd

el’a

ctiv

ité

inte

llig

ente

,qua

lité

inhé

rent

lam

atiè

reel

le-m

ême,

pré

dis

po

seto

ute

créa

tio

un

eap

pré

ciat

ion

inte

llig

ente

du

vrai

bu

td

ud

ésir

età

un

emp

loii

nte

llig

ent

de

late

chn

iqu

ed

eco

nst

ruct

ion

des

form

es,e

nvu

ed

eré

véle

rle

des

sein

div

in»

p.6

8

Ray

on

7:«

Ilco

nst

ruit

par

lep

ou

voir

de

lap

ensé

e…et

agit

surl

ePl

anp

hysi

que

»p

.106

«Il

cons

titu

ele

fact

eurd

eco

ord

inat

ion

qui

unit

laq

uali

téin

téri

eure

àla

form

eta

ngib

leex

téri

eure

ouap

par

ence

.Ce

trav

aila

lieu

surl

esni

veau

xét

héri

que

set

néce

ssit

el’é

ner-

gie

phy

siq

ue.C

’est

levé

rita

ble

trav

ailm

agiq

ue…

Lasp

iri-

tual

isat

ion

des

form

esp

eutê

tre

cons

idér

éeco

mm

ele

tra-

vail

pri

ncip

ald

use

pti

ème

Rayo

p.7

3

C’es

tle

Rayo

nqu

ipou

sse

àun

eex

pres

sion

età

une

orga

ni-

sati

onpa

rfai

tes

dela

loie

tde

l’ord

resu

rle

plan

phys

ique

.

LEC

OR

PS

HU

MA

IN2È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SH

UM

AIN

LAT

EU

RD

ES

MO

ND

ES

INT

ÉR

IEU

RS

sont

les

élém

ents

gara

nts

desa

bonn

esa

nté.

Illu

iar

rive

d’en

vier

les

rése

rves

éner

gétiq

ues

appa

rem

-m

ents

ans

limite

sde

saco

mpa

gne

quis

aute

allé

gre-

men

tdes

repa

set

dort

quan

del

len’

apa

sau

tre

chos

faire

…et

elle

ato

ujou

rsqu

elqu

ech

ose

àfa

ire…

D’a

illeu

rs,a

ufa

it,où

est-

elle

pass

ée?

Pend

ant

qu’il

rêva

ssai

t,el

lea

disp

aru,

happ

éepa

rune

idée

qui

l’apr

opul

sée

hors

dela

cabi

ne.C

omm

eil

estl

’heu

redu

repa

s,il

ain

térê

tàla

récu

pére

r,ce

ttere

ine

del’i

mpr

ovis

atio

n,s’

ilve

utav

oir

une

chan

cede

dîne

rav

ecel

le.I

lfau

tdire

qu’a

vec

elle

,les

repa

sne

man

-qu

entp

asde

…se

l!Q

uitta

ntla

tabl

epo

ural

lerc

her-

cher

lefr

omag

e,el

lees

ttou

tàfa

itca

pabl

ede

dériv

erve

rsla

mac

hine

àla

ver,

dera

nger

lepl

acar

dde

spr

o-du

itsd’

entr

etie

nqu

ilui

sont

tom

bés

surl

atê

telo

rs-

qu’e

llea

voul

upr

endr

ela

less

ive,

deco

nsta

terq

u’el

len’

enav

aitp

lus,

deco

mm

ence

rl’u

nede

sse

mpi

ter-

nelle

slis

tes

deco

urse

squ

’elle

oubl

ieré

guliè

rem

ent,

d’al

lere

xplo

rerl

aca

vepo

urco

mpl

éter

salis

te,d

e…ju

squ’

aum

omen

toù,

àbo

utde

patie

nce,

ilse

lève

pour

récu

pére

rle

fam

eux

from

age

qu’e

llea

entr

ete

mps

com

plèt

emen

toub

lié!

De

tout

esfa

çons

,les

cour

ses,

c’es

tlui

quis

’en

char

gede

puis

qu’il

l’avu

ere

veni

rave

cun

plei

nca

d-di

een

oubl

iant

exac

tem

ent

les

allu

met

tes

qu’e

lleét

aita

llée

ache

ter.

Iles

tinf

inim

entp

lus

effic

ace.

Lalis

te,l

ui,i

lla

fait

enpa

ssan

tsys

tém

atiq

uem

ente

nre

vue

tous

les

post

esde

lam

aiso

n,to

ujou

rsda

nsle

mêm

eor

dre,

etla

rang

eda

nsso

npo

rte-

feui

lles.

Ausu

per-

mar

ché,

pas

ques

tion

des’

atta

rder

plus

qu’il

nefa

ut:i

lpla

nifie

donc

son

parc

ours

enco

mm

en-

çant

d’un

côté

eten

term

inan

tde

l’aut

re.A

laca

isse

,il

dépo

sele

sde

nrée

sda

nsl’o

rdre

,de

faço

cequ

ele

rang

emen

tdan

sle

ssa

cspr

éfig

ure

lera

ngem

ent

dans

les

plac

ards

.C’e

stpo

urta

ntsi

mpl

e?Eh

bien

non,

R3

cont

inue

dena

vigu

erle

nez

auve

ntda

nsle

str

avée

sdu

mag

asin

,gra

ppill

anta

upe

titbo

nheu

rune

chos

equ

ila

fait

pens

erà

une

autr

e,pu

isà

une

autr

eju

squ’

àre

veni

rave

cto

utsa

ufl’i

ndis

pens

able

.

Bon.

Elle

esta

insi

faite

.Ile

stai

nsif

ait.

Ilsne

chan

gero

ntni

l’un

nil’a

utre

.

Curie

usem

ent

–cl

ind’

œil

duG

rand

Cons

truc

teur

?-

ilsso

ntso

uven

tapp

arié

sda

nsla

vie,

ces

deux

-là!O

npe

utse

dem

ande

rcom

men

tils

s’en

sort

ent!

Ehbi

ento

utdé

pend

.

De

l’exa

spér

atio

nab

solu

eav

ecco

ups

etbl

essu

-re

sau

sour

ireto

léra

ntet

blas

é,le

chem

inne

sefa

itpa

ssa

nsm

alet

ily

faud

radu

tem

ps.

Arriv

eron

t-ils

àse

com

pren

dre

vrai

men

t,ce

sde

uxirr

éduc

tible

s?

On

peut

endo

uter

Mai

ss’

accu

eilli

rtel

squ

’ils

sont

,se

rega

rder

vivr

eaf

inde

tent

erd’

appr

endr

eun

peu

aum

oins

cequ

el’u

nig

nore

alor

squ

el’a

utre

l’acc

ompl

iten

sejo

uant

,ce

peut

être

unbi

enin

tére

ssan

tcha

lleng

e!

Un

exce

llent

moy

enen

tout

cas

d’ac

quér

ir,po

urto

usle

sde

ux,l

ese

nsde

l’hum

our!

Gro

up

ed

eR

ech

erch

eLE

F(L

iber

té–

Egal

ité

–Fr

ater

nit

é)R

eche

rcho

nspe

rson

nes

debo

nne

volo

nté

sou-

haita

ntse

join

dre

àno

tre

grou

pede

rech

erch

esu

rla

devi

seLi

bert

éEg

alité

Frat

erni

té.

Les

pers

onne

sde

vron

tdé

jàav

oir

étud

iéle

sen

seig

nem

ents

duTi

béta

in,c

equ

ifac

ilite

rale

trav

ail

degr

oupe

.Le

grou

pede

rech

erch

ees

tbas

ésu

rPar

is,n

ous

nous

réun

isso

nsun

efo

ispa

rtr

imes

tre.

Nou

sno

usin

spiro

nsde

diffé

rent

sau

teur

ste

lsqu

ele

Tibé

tain

,l’A

gniY

oga

deM

orya

ouTe

ilhar

dde

Char

din.

Sivo

usêt

esin

tére

ssés

etpo

urde

plus

ampl

esre

nsei

gnem

ents

,co

ntac

tez-

nous

par

mai

:gr

oupe

.lef@

free

.frLe

sm

embr

esdu

grou

peLE

F

Gro

up

ed

eR

ech

erch

een

Ast

rolo

gie

de

l’A

me

Lém

aniq

ue

:GR

AA

LLe

GR

AAL

seré

unira

àG

enèv

epo

urla

find’

an-

née

2007

aux

date

ssu

ivan

tes

:24

sept

embr

e,22

octo

bre,

26no

vem

bre,

17dé

cem

bre

2007

de18

H30

à21

Hen

viro

n.D

èsse

ptem

bre

nous

abor

dero

nsle

Chap

itre

IIIdu

livre

«L’

Astr

olog

ieEs

otér

ique

»-

LaSc

ienc

ede

sTr

iang

les.

Cegr

oupe

réun

itdé

jà10

pers

onne

str

èsas

si-

dues

,ilr

este

cepe

ndan

ttou

jour

sou

vert

àde

nou-

velle

sén

ergi

es.P

our

tout

ein

form

atio

n,co

ntac

ter

Chry

stèl

eR

anda

gau

0041

(0)7

934

243

06.

Groupes de recherche

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 3

9

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

BIO

ETH

IQU

E

Nou

sne

pouv

ons

évoq

uerc

esqu

estio

nsde

bioé

thiq

uesa

nsra

p-pe

lerq

uelq

ues

prin

cipe

sfo

ndam

enta

ux.

L’ho

mm

een

inca

rnat

ion

estd

oubl

eda

nssa

natu

re:u

nEt

resp

i-rit

uel(

Etin

celle

divi

ne–

Ame)

etun

epe

rson

nalit

éfa

itede

ses

enve

-lo

ppes

mat

érie

lles

(phy

siqu

e,ém

otio

nnel

le,i

ntel

lect

uelle

).L’

osm

ose

entr

ele

spiri

tuel

etle

mat

érie

lest

prof

onde

,l’â

me

sepr

ojet

antd

ans

lapa

rtie

lapl

usph

ysiq

uede

lape

rson

nalit

épo

uréd

ifier

leco

rps

devi

talit

éou

corp

sét

hériq

ue.

Not

reâm

esp

iritu

elle

,pou

rré

pond

reau

dess

ein

deno

tre

étin

-ce

lledi

vine

,s’in

carn

eda

nsde

spe

rson

nalit

éssu

cces

sive

sen

tena

ntco

mpt

ed’

unka

rma

(pos

itife

tnég

atif)

quis

eré

vèle

par

les

qual

ités

etdé

faut

sde

nos

enve

lopp

esm

atér

ielle

set

l’env

ironn

emen

t,le

sci

r-co

nsta

nces

deno

sex

iste

nces

.La

bioé

thiq

uees

tune

form

ede

mor

ale

quif

aitr

éfér

ence

àno

tre

visi

ondu

mon

de.E

ntre

une

pers

onna

lité

cons

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tede

son

âme

etun

epe

rson

nalit

éda

nsl’i

gnor

ance

dece

tteâm

e,il

yau

rade

uxfa

çons

depa

rlerd

ebi

oéth

ique

, l’u

nem

etta

ntl’a

ccen

tsur

lepr

ojet

del’â

me,

l’aut

resu

rles

dési

rsde

bonh

eurd

ela

pers

onna

lité.

Lesex

traor

dina

ires

avan

-cé

esde

labi

olog

ieet

dela

méd

ecin

eon

tlar

ge-

men

trep

ouss

éle

slim

ites

duco

rps

hum

ain,

pour

rési

ster

aux

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adie

set

àla

mor

tet

auss

ipou

rdon

nerl

avi

e.M

ais

des

ques

tions

éthi

ques

sepo

sent

cari

lya

risqu

ed’

eu-

géni

sme.

Bien

plus

,dan

sun

epe

rspe

ctiv

esp

iritu

elle

,la

mor

tau

tant

que

lana

issa

nce

sont

des

déci

sion

sde

l’âm

esp

iri-

tuel

leet

elle

sso

ntco

nditi

on-

nées

parl

alo

ikar

miq

ue.

Com

men

tréf

léch

irà

labi

o-ét

hiqu

ed’

unpo

intd

evu

esp

i-rit

uel?

1

Avec

les

tech

niqu

esde

Proc

réat

ion

Méd

ical

emen

tAs

sist

ée,j

usqu

’où

peut

-on

faire

«le

forc

ing

»po

urat

tirer

une

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enin

carn

atio

n?Es

t-ce

que

les

coup

les

enga

gés

dans

ces

prot

ocol

eséc

happ

ent

autra

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d’év

olut

ion

deco

ns-

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cepr

opos

épa

rleu

râm

e?2

Bioé

thiq

ue»

par

Rog

erD

UR

AND

Réf

lexi

ons

d’un

eps

ycho

thér

apeu

te…

»pa

rM

arie

-Agn

èsFR

EMO

NT

>Q

UE

STI

ON

SD

EB

IOÉ

THIQ

UE

Labi

oéth

ique

esta

ppar

ueau

débu

tdes

anné

es19

70av

ecle

sdé

couv

erte

set

les

tech

nolo

gies

nouv

elle

sde

labi

olo-

gie

etde

lam

édec

ine,

surt

out

dans

ledo

mai

nede

lafé

cond

atio

nin

vitr

o.Au

jour

d’hu

ila

poss

ibili

téde

déte

c-tio

nde

sgè

nes

mut

éssu

rl’e

mbr

yon

préc

oce

etdo

ncde

sgr

aves

mal

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squ

ileu

rco

rres

pond

ent,

ladé

tect

ion

des

hand

icap

sdu

fœtu

sto

utau

long

dela

gest

atio

n,fo

ntcr

ain-

dre

unre

tour

del’e

ugén

ism

equ

ivis

amél

iore

rl’h

uma-

nité

parl

bas

»,pa

rla

form

e,l’a

ppar

ence

.Par

aille

urs

des

prob

lèm

esét

hiqu

esse

pose

ntà

prop

osde

l’util

isat

ion

des

cellu

les

souc

hes

quil

aiss

ente

ntre

voir

des

poss

ibili

-té

sde

guér

ison

tota

lem

entn

ouve

lles.

Tout

esce

sdi

fficu

l-té

sdo

iven

têtr

een

visa

gées

dans

lape

rspe

ctiv

ed’

une

âme

spir

ituel

les’

inca

rnan

tda

nsun

epe

rson

nalit

éen

fonc

tion

d’un

dess

ein.

L’am

élio

ratio

nde

l’hum

anité

pass

epa

rle

«ha

ut»,

leco

ntac

tave

cl’â

me

spir

ituel

le.

3ème

PARTIE

[RO

GE

RD

UR

AN

D]

40[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

Nou

ses

saie

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defa

ireen

tend

rele

sde

uxvo

ix,

sans

port

erde

juge

men

td’o

rdre

mor

al.N

ous

som

-m

esda

nsun

eci

vilis

atio

noù

laco

nsci

ence

indi

vi-

duel

les’

affir

me

par

l’int

elle

ct,l

elib

re-a

rbitr

e,da

nsl’i

gnor

ance

del’â

me

lepl

usso

uven

t.Ce

tteaf

firm

a-tio

nes

tune

néce

ssité

qu’il

faut

resp

ecte

r.En

tout

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deca

use,

chaq

uedé

cisi

onre

vien

tàce

tteco

ns-

cien

cein

divi

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le.

L’O

RIG

INE

DU

MO

BIO

ETH

IQU

C’es

taux

Etat

s-U

nis,

en19

70,q

uele

mot

appa

-ra

îtda

nsle

ste

xtes

dede

uxch

erch

eurs

quin

ese

conn

aiss

entp

as:u

nbi

olog

iste

spéc

ialis

ted’

onco

lo-

gie

(labi

olog

iedu

canc

er)

dans

leW

isco

nsin

etun

gyné

colo

gue

new

-yor

kais

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ateu

rdu

«Ke

nned

yIn

stitu

teof

Ethi

cs».

Ils’

agis

sait

deré

soud

rele

sin

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itude

set

les

tens

ions

résu

ltant

del’a

pplic

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n,à

l’êtr

ehu

mai

net

àso

nen

viro

nnem

ent,

dete

ch-

niqu

esdé

rivée

sde

conn

aiss

ance

sno

uvel

les

enbi

o-lo

gie

eten

méd

ecin

e.Tr

èsvi

te,a

uxEt

ats-

Uni

s,le

sju

riste

ss’

enm

êlen

t.Pr

iorit

édo

itêt

redo

nnée

aux

droi

tsdu

patie

nt.O

npa

rled’

auto

déte

rmin

atio

ndu

patie

nt,d

eco

nsen

tem

enté

clai

ré,d

edr

oita

bsol

lavé

rité.

Curie

usem

entl

em

otde

«di

gnité

»es

trej

eté

enra

ison

desa

conn

otat

ion

relig

ieus

e.En

Fran

cele

ste

chni

ques

liées

àla

proc

réat

ion

méd

ical

eas

sist

ée(A

man

dine

,le

prem

ier

bébé

épro

uvet

te,a

mai

nten

ant2

5an

s)vo

ntpo

pula

riser

lem

otde

«bi

oéth

ique

».Av

ecde

uxca

ract

éris

tique

s,to

utd’

abor

dun

souc

ide

légi

fére

r(le

rayo

nd’

inte

lli-

genc

eac

tive,

rayo

nde

lape

rson

nalit

éde

laFr

ance

,ob

lige)

etla

créa

tion

en19

83du

prem

ier

Com

itéco

nsul

tatif

natio

nald

’éth

ique

(CCN

E).C

ede

rnie

rva

insp

irer

plus

ieur

slo

is,c

itons

les

plus

réce

ntes

:loi

du4

mar

s20

02su

rle

sdr

oits

des

patie

nts

–lo

idu

11fé

vrie

r200

5po

urun

epl

usgr

ande

plac

efa

iteda

nsno

tre

soci

été

aux

hand

icap

ésta

ntph

ysiq

ues

que

psyc

hiqu

es–

loid

u22

déce

mbr

e20

06po

urun

enca

-dr

emen

tjur

idiq

uetr

èsst

rictd

utr

ides

embr

yons

.La

Fran

ceva

s’ap

puye

rsur

cette

notio

nde

«di

gnité

Ȉ

prop

osde

laqu

elle

ilco

nvie

ntde

s’ar

rête

r.El

leac

com

pagn

eto

ute

l’his

toire

dela

philo

soph

ie.

Aris

tote

met

enra

ppor

tla

dign

itéhu

mai

neav

ecl’o

rdre

natu

relc

osm

ique

.Seu

lest

vrai

men

tmor

alla

repr

oduc

tion,

tout

lere

ste

esti

mm

oral

.Au

Moy

en

Age,

Thom

asd’

Aqui

nin

sist

esu

rle

fait

que

lana

ture

estu

necr

éatio

ndi

vine

.La

dign

itéhu

mai

nere

lève

dece

ttedi

vini

té.K

ant(

1724

-180

4)se

rale

gran

dph

ilo-

soph

ede

ladi

gnité

hum

aine

ause

nsm

oder

nedu

term

e.N

ous

som

mes

ausi

ècle

des

Lum

ière

s,l’E

tre

hum

ain

doit

s’op

pose

lana

ture

hors

delu

iete

nlu

i.Il

insi

ste

surl

ere

spec

tde

soie

tfai

tde

l’ind

ivid

uet

del’h

uman

itéle

fond

emen

tde

saph

iloso

phie

«Ag

isde

faço

nte

llequ

etu

trai

tes

l’hum

anité

,aus

sibi

enda

nsta

pers

onne

,que

dans

lape

rson

nede

tout

autr

e,to

ujou

rsen

mêm

ete

mps

com

me

fin,j

amai

ssi

mpl

emen

tcom

me

moy

en1 .»

Lano

tion

dedi

gnité

pren

dch

ezKa

ntun

cara

ctèr

lafo

issa

cré

etla

ïc.

Pour

lapr

emiè

refo

isda

nsno

tre

cultu

re,l

’indi

vidu

etl’h

uman

itéda

nsso

nen

sem

ble

sont

conç

usco

mm

eun

Etre

colle

ctif.

AuXI

Xesi

ècle

,Stu

artM

illre

fuse

que

notr

eco

rps

pers

onne

lapp

artie

nne

enpr

opre

àun

eau

tre

inst

ance

que

nous

-mêm

e.Il

fond

ele

libér

a-lis

me

mor

alch

erà

notr

eci

vilis

atio

net

àl’a

ffirm

atio

nde

laco

nsci

ence

indi

vidu

elle

.

Aujo

urd’

huil

abi

oéth

ique

dési

gne

les

droi

tset

les

devo

irsqu

idiri

gent

laco

ndui

tede

spr

atic

iens

desa

nté

mai

sco

uvre

depl

usen

plus

les

prob

lèm

esde

rela

tion

duvi

vant

avec

son

envi

ronn

emen

t.D

esm

ots

laco

ncer

nant

vien

nent

cont

inue

llem

ent

sous

lapl

ume

des

com

men

tate

urs:

liber

téin

divi

duel

le,f

inde

l’act

ion,

dign

ité,r

elat

ions

aux

autr

es,v

aleu

rs.

QU

ELQ

UES

ELEM

ENTS

DE

BIO

LOG

IEH

UM

AIN

EN

otre

patr

imoi

negé

néti

que

Nou

sso

mm

eses

sent

ielle

men

tco

nstit

ués

depr

otéi

nes

(mus

cles

,che

veux

,enz

ymes

,etc

)etd

’eau

.Le

urs

inte

ract

ions

,con

trôl

ées

parl

’info

rmat

ion

por-

tée

parn

otre

corp

sde

vita

lité,

rend

entc

ompt

ede

lafo

rme

deno

tre

corp

s,de

notr

eph

ysio

logi

e,de

nos

activ

ités

sens

orie

lles.

L’in

form

atio

nqu

ivei

llesc

ru-

pule

usem

ent

sur

lasy

nthè

sede

ces

prot

éine

sse

trou

veda

nsl’A

DN

deno

sce

llule

s(u

ngè

nepo

urun

eou

plus

ieur

spr

otéi

nes)

.Le

géno

me

hum

ain

repr

é-se

nte

2500

0gè

nes

envi

ron.

Dan

sch

acun

ede

nos

cellu

les

dite

sso

mat

ique

s(t

oute

sle

sce

llule

ssa

ufle

sce

llule

sse

xuel

les)

ily

ala

tota

lité

deno

sgè

nes.

Mai

sda

nsch

aque

orga

ne,

1.Em

man

uelK

ant–

Fond

emen

tsde

lam

étap

hysi

que

des

urs

–2e

sect

ion.

2.Le

sdo

ssie

rsde

laR

eche

rche

,Sci

ence

risqu

es–

févr

ier-

avril

2007

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 4

1

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

seul

eun

epa

rtie

spéc

ifiqu

ede

ces

gène

sva

s’ex

pri-

mer

.Les

gène

sdu

foie

dans

les

cellu

les

dufo

ie,l

esgè

nes

duce

rvea

uda

nsle

sce

llule

sdu

cerv

eau,

etc.

C’es

tce

qu’o

nap

pelle

ladi

ffére

ncia

tion

cellu

laire

.Ch

ezl’h

omm

eet

lafe

mm

e,ce

sgè

nes

sont

posi

tion-

nés

sur

23pa

ires

dech

rom

osom

es,c

haqu

epa

ireay

antu

nél

émen

tpro

vena

ntdu

père

etun

élém

ent

prov

enan

tde

lam

ère.

Ces

élém

ents

sont

hom

olo-

gues

etne

diffè

rent

que

par

des

mod

ifica

tions

dest

ruct

ure,

des

mut

atio

ns.

Dan

sle

sce

llule

sse

xuel

les

(ovu

leet

sper

mat

o-zo

ïde)

leno

mbr

ed’

élém

ents

chro

mos

omiq

ues

est

divi

sépa

rde

ux.L

ors

dela

féco

ndat

ion,

onre

tro-

uver

aai

nsi

46él

émen

tsch

rom

osom

ique

sda

nsch

aque

cellu

lede

l’em

bryo

n.Ce

spr

oces

sus

entr

aî-

nent

unte

lbra

ssag

egé

nétiq

uequ

elo

rsde

lafé

con-

datio

n,le

nom

bre

depo

ssib

ilité

sgé

nétiq

ues

pour

l’em

bryo

nes

tde

l’ord

rede

2500

0m

illia

rds.

D’o

ùun

eim

men

sebi

odiv

ersi

té.

Ceso

ntle

sm

utat

ions

port

ées

par

ces

cellu

les

sexu

elle

squ

ient

raîn

eron

td’

une

géné

ratio

l’aut

re,l

atr

ansm

issi

onde

sm

al-

adie

sgé

nétiq

ues.

Lafé

cond

atio

nin

vitr

oet

ledi

agno

stic

pré

impl

anta

toir

e(f

igur

e1)

Une

féco

ndat

ion

invi

tro

(FIV

)est

une

entr

epris

ein

cert

aine

(20

%de

succ

ès),

oùle

choi

xde

sov

ocy-

tes

enfo

nctio

nde

leur

mat

urat

ion

(éta

pe3)

,où

lech

oix

des

embr

yons

enfo

nctio

nde

leur

déve

lopp

e-m

enti

nvi

tro

(éta

pe6)

,son

taut

antd

’éta

pes

cruc

ia-

les.

Lafé

cond

atio

nes

teffe

ctué

epa

rinj

ectio

ndi

rect

e

dusp

erm

eda

nsl’o

vocy

teen

perç

antl

am

embr

ane

cyto

plas

miq

ue(m

étho

deut

ilisé

epo

urpa

llier

last

éri-

lité

des

hom

mes

mis

eau

poin

tpar

Jacq

ues

Test

art

enFr

ance

).O

npe

utév

iter

cette

tech

niqu

equ

and

lesp

erm

ees

tsai

n.M

ais

alor

sde

ssp

erm

atoz

oïde

sre

s-te

ntfix

éssu

rl’o

vocy

teet

peuv

ent

faus

ser

ledi

a-gn

ostic

pré

impl

anta

toire

.Le

diag

nost

icpr

éim

plan

tato

ire(D

PI)

perm

etde

déce

ler

tout

em

utat

ion

caus

ede

mal

adie

grav

eet

d’él

imin

erle

sem

bryo

nsat

tein

ts,

aupr

ofit

des

embr

yons

sain

s(é

tape

s7,

8,9)

.

Les

cell

ules

souc

hes

etle

clon

age

thé-

rape

utiq

ue

En20

02,

Fran

çois

Jaco

b(P

rixN

obel

deM

édec

ine)

adé

clar

équ

ela

biol

ogie

sort

dede

uxsi

è-cl

esd’

anal

yse

etde

rédu

ctio

nnis

me

etqu

ela

déco

u-ve

rte

des

cellu

les

souc

hes

ouvr

el’è

rede

lare

cons

-tr

uctio

ndu

viva

nt.C

ette

décl

arat

ion

fais

aits

uite

àla

prem

ière

guér

ison

d’un

mal

ade

dePa

rkin

son

aux

Etat

s-U

nis.

On

avai

tpr

élev

éde

sce

llule

sso

uche

sda

nsle

syst

ème

nerv

eux

cent

rald

upa

tient

eton

les

avai

ttra

nspl

anté

esda

nsla

régi

oncé

rébr

ale

conn

ue

pour

être

dire

ctem

enti

mpl

iqué

eda

nsla

phys

iopa

-th

olog

iede

lam

alad

iede

Park

inso

n.D

ans

ces

cond

i-tio

ns,

ilne

peut

yav

oir

dere

jet

imm

unol

ogiq

uepu

isqu

ele

patie

ntes

tsoi

gné

avec

ses

prop

res

cellu

-le

sso

uche

s.Q

ueso

ntce

sce

llule

s?

Dan

sch

acun

deno

sor

gane

s,no

usav

ons

des

cellu

les

diffé

renc

iées

(ily

ena

envi

ron

200

type

sda

nsle

corp

shu

mai

n).D

ans

ces

cellu

les,

seul

ss’

ex-

Figu

re1

-Féc

onda

tion

invi

tro

etdi

agno

stic

pré-

impl

anto

ire.

Lafé

cond

atio

nin

vitr

ono

rmal

ere

quie

rtle

sét

apes

1-2-

3-4-

5-6

et10

.Qua

ndil

s’ag

itd’

élim

iner

les

embr

yons

port

eurs

dem

alad

ies

géné

tiqu

esgr

aves

,s’a

jout

entl

esét

apes

7-8

et9.

42[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

prim

entl

esgè

nes

spéc

ifiqu

esdu

tissu

cons

idér

é.A

côté

dece

sce

llule

s,il

ya

des

cellu

les

quio

ntga

rdé

lato

talit

éde

leur

pote

ntie

lgén

omiq

ue,c

eso

ntle

sce

llule

sso

uche

s.Aj

outé

esà

untis

supa

rtie

llem

ent

détr

uit,

elle

sle

régé

nère

nt.T

rois

grou

pes

dece

llule

sso

uche

son

tain

siét

éid

entif

iés

(fig

ure

2):

a)Le

sce

llule

sto

tipot

ente

sEl

les

appa

rtie

nnen

taux

stad

es2,

4et

8ce

llu-

les

del’e

mbr

yon.

Pris

essé

paré

men

t,el

les

redo

nnen

tun

fœtu

sen

tier.

b)Le

sce

llule

spl

urip

oten

tes,

ouce

llule

sso

uche

sem

bryo

nnai

res

prov

enan

tdes

blas

tocy

stes

.El

les

sedi

ffére

ncie

nten

diffé

rent

sor

gane

s.El

les

sont

très

régé

néra

tric

es.

c)Le

sce

llule

sm

ultip

oten

tes

dufœ

tus

etde

l’a-

dulte

.Le

cord

onom

bilic

aldu

fœtu

ses

tric

hede

ces

cellu

les

quis

ontc

apab

les

deré

géné

rer

non

seul

emen

tle

sang

mai

sau

ssid

’aut

res

tis-

sus.

Ily

ade

uxvo

ies

pour

obte

nir

des

cellu

les

sou-

ches

embr

yonn

aire

s(le

spl

uspr

omet

teus

es):

1)la

féco

ndat

ion

invi

tro

quil

aiss

eun

surp

lus

d’em

bryo

nsdi

spon

ible

s

2)Le

clon

age

thér

apeu

tique

.On

prél

ève

leno

yau

d’un

ece

llule

som

atiq

uede

l’ind

ivid

uet

onle

tran

sfèr

eda

nsun

ovoc

yte

dont

ona

élim

iné

leno

yau.

On

obtie

ntun

embr

yon

quip

ourr

ait

redo

nner

unin

divi

duid

entiq

uesi

l’em

bryo

nét

aitt

rans

plan

téda

nsun

utér

us:c

’est

ducl

o-na

gere

prod

uctif

,int

erdi

t,à

just

era

ison

,«un

crim

eco

ntre

l’hum

anité

»di

tla

loif

ranç

aise

.Si

l’em

bryo

nse

rtà

prép

arer

des

cellu

les

sou-

ches

embr

yonn

aire

s,c’

estd

ucl

onag

eth

éra-

peut

ique

quip

erm

ettr

ade

régé

nére

rles

orga

-ne

sm

alad

esde

l’ind

ivid

u.C’

esta

utor

isé

enG

rand

eBr

etag

ne,p

asen

core

enFr

ance

.

Ledi

agno

stic

des

hand

icap

set

mal

-ad

ies

surl

efœ

tus

auco

urs

desa

gest

a-ti

on Dès

laqu

inzi

ème

sem

aine

dege

stat

ion

l’éch

o-gr

aphi

epe

rmet

dere

pére

rl’a

bsen

cede

cerv

eau,

les

anom

alie

sca

rdia

ques

.A

18se

mai

nes,

onpe

utvi

sual

iser

les

mal

form

atio

nsde

sm

embr

eset

les

défa

uts

dusy

stèm

ene

rveu

x.Ap

rès

20se

mai

nes,

les

mal

form

atio

nsde

sre

ins.

Aujo

urd’

huil

aqu

asi-t

ota-

lité

des

gros

sess

esso

ntai

nsic

ontr

ôlée

s.

Les

exam

ens

bioc

him

ique

ssu

rdes

cellu

les

fœta

-le

sso

ntpr

atiq

ués

pour

les

coup

les

géné

tique

men

tàris

ques

,pou

rle

sfe

mm

esde

plus

de38

ans

oùle

sca

sde

tris

omie

sont

fréq

uent

s.A

l’heu

reac

tuel

lepl

usd’

une

cent

aine

dem

alad

ies

géné

tique

spe

uven

têt

redé

tect

ées

(nou

sse

rions

touc

hés

par

envi

ron

300

0m

alad

ies

géné

tique

s).

ETH

IQU

EET

REP

RO

DU

CTI

ON

Leco

ntrô

lede

lafé

cond

ité

Emm

anue

lKan

t,et

unsi

ècle

etde

mip

lus

tôt

Fran

cis

Baco

n,te

naie

ntà

peu

près

lem

ême

lang

age:

l’hom

me

doit

selib

érer

dela

natu

re,l

ado

min

erpo

urem

ploy

erla

célè

bre

phra

sede

cede

rnie

r.Ch

acun

sait

lale

ctur

equ

’en

afa

itel’é

cono

mie

nais

sant

eet

les

tri-

stes

cons

éque

nces

pour

notr

epl

anèt

e.Ce

sau

teur

svo

ulai

entd

ireau

tre

chos

e:l’h

omm

ene

doit-

ilpa

s

Figu

re2

-Les

diff

éren

tes

form

esde

cellu

les

souc

hes.

Leur

obte

ntio

npa

sse

parl

afé

cond

atio

nin

vitr

o(v

oie

1)ou

lecl

onag

eth

érap

euti

que

(voi

e2)

obte

nupa

rfus

ion

duno

yau

d’un

ece

llule

som

atiq

ueav

ecun

ovoc

yte

enuc

léé.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 4

3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

conn

aîtr

ele

slo

isde

lana

ture

,les

maî

tris

eret

les

adap

ter

pour

lebi

ende

son

évol

utio

n?

C’es

tdan

sce

ttepe

rspe

ctiv

equ

es’

insc

ritle

cont

rôle

dela

féco

n-di

té. Il

faut

atte

ndre

ledé

butd

esan

nées

1960

pour

que

cette

entr

epris

epr

enne

corp

s.Tr

ois

étap

espe

u-ve

ntêt

redi

stin

guée

s:

a)Le

ste

chni

ques

cont

race

ptiv

esqu

ivon

tent

raî-

ner

une

liber

tése

xuel

lesa

luta

ireap

rès

des

sièc

les

dere

foul

emen

t(m

ais

auss

iune

aug-

men

tatio

nde

sm

alad

ies

sexu

elle

men

ttra

ns-

mis

sibl

es,p

arfo

isso

urce

dest

érili

té).

b)La

loid

edé

péna

lisat

ion

del’a

vort

emen

t

c)La

féco

ndat

ion

invi

tro

pour

trai

terd

espr

oblè

-m

esde

stér

ilité

etré

pond

reau

dési

rlé

gitim

ede

tout

efe

mm

ed’

enfa

nter

.

Pars

esav

ancé

esm

enta

les,

parl

espr

ogrè

sde

labi

olog

ieet

dela

méd

ecin

e,l’h

omm

ees

ten

mes

ure

d’in

terv

enir

dans

son

évol

utio

n.To

ute

laqu

estio

nes

tde

savo

irs’

ille

fait

enac

cord

avec

l’Am

esp

iritu

elle

hum

aine

oupo

urle

ssa

tisfa

ctio

nsde

cequ

eno

usav

ons

appe

léla

pers

onna

lité

igno

rant

e.La

ligne

desé

para

tion

estt

énue

.Nou

spe

nson

squ

e,fo

ndam

en-

tale

men

t,de

rriè

rece

cont

rôle

dela

féco

ndité

(don

cde

lana

issa

nce)

ily

al’â

me.

Nou

sse

rions

tent

ésde

pens

erde

lam

ême

faço

nqu

ede

rriè

rele

sap

pels

àpo

uvoi

rco

ntrô

ler,

dans

cert

aine

sci

rcon

stan

ces,

sam

ort,

ily

al’â

me.

C’es

tl’â

me

quid

écid

ede

lana

is-

sanc

e,c’

estl

’âm

equ

idéc

ide

dela

mor

t.N

’ass

iste

-t-

onpa

untr

ansf

ertd

ere

spon

sabi

lité

del’â

me

vers

lape

rson

nalit

éhu

mai

neco

mpt

ete

nude

l’ava

nce-

men

tsp

iritu

elde

cette

dern

ière

?M

ais

que

deris

ques

,de

dériv

espo

ssib

les!

Lafé

cond

atio

nin

vitr

o

Un

coup

lesu

rdix

ests

téril

e.60

000

coup

les

sont

touc

hés

chaq

uean

née

enFr

ance

.La

stér

ilité

conc

erne

les

deux

sexe

s,le

sho

mm

espa

rpe

rte

devi

abili

téet

dem

obili

téde

ssp

erm

atoz

oïde

s.C’

est

beau

coup

plus

com

plex

ech

ezla

fem

me.

Les

caus

espe

uven

ten

être

undé

règl

emen

thor

mon

al,u

ndy

s-fo

nctio

nnem

ento

varie

n,un

em

alfo

rmat

ion

utér

ine,

une

lési

onde

str

ompe

s.D

ans

beau

coup

deca

s,ce

ttest

érili

téfé

min

ine

dem

eure

inex

pliq

uée.

Iles

tévi

dent

que

tout

l’env

ironn

emen

tch

imiq

uequ

el’h

omm

es’

est

créé

artif

icie

llem

ent

est

impl

iqué

dans

cette

inhi

bitio

n.Su

run

plan

plus

inté

rieur

,en

tena

ntco

mpt

ede

spr

oces

sus

liés

audé

velo

ppem

ent

duco

rps

devi

talit

é(é

chan

ges

entr

ele

cent

resa

cré

etle

cent

rede

lago

rge)

,le

déve

lopp

emen

tdu

men

tal-

inte

llect

cara

ctér

istiq

uede

notr

eci

vilis

atio

npe

utin

duire

des

inhi

bitio

nsau

nive

audu

cent

resa

cré

qui

cont

rôle

lare

prod

uctio

n.

Ilfa

utbe

auco

upde

cour

age

etun

dési

rd’e

nfan

-te

rfor

tàun

efe

mm

epo

uraf

fron

teru

neFI

V.C’

estu

neép

reuv

eoù

laré

ussi

tees

talé

atoi

re.E

llené

cess

iteso

uven

tun

don

d’ov

ocyt

espa

rune

autr

efe

mm

equ

ido

itêt

reop

érée

enpa

rallè

leà

lafé

cond

atio

nin

vitr

oet

autr

ansf

erti

nut

ero.

Parf

ois

letr

ansf

ertn

éces

site

une

mèr

ede

subs

titut

ion.

Ains

isur

giss

entd

espr

o-bl

èmes

jurid

ique

sép

ineu

x.Q

uies

tla

vrai

em

ère?

Lebo

nse

nsré

pond

:cel

lequ

iva

élev

erl’e

nfan

tetl

uipr

odig

uer

son

amou

r.Le

sju

riste

sso

ntpa

rfoi

spl

usci

rcon

spec

ts:l

am

ère

géné

tique

n’es

t-el

lepa

sce

llequ

iado

nné

l’ovo

cyte

?

Non

obst

antc

esca

sex

trêm

es,l

afé

cond

atio

nin

vitr

oet

nota

mm

entl

orsq

u’el

lees

tacc

ompa

gnée

dudi

agno

stic

pré-

impl

anta

toire

perm

età

des

coup

les

ayan

tdé

jàun

enfa

ntpo

rteu

rd’

une

grav

em

alad

ie(c

asde

lam

ucov

isci

dose

par

exem

ple)

d’av

oir

unen

fant

sain

résu

ltant

dutr

ides

embr

yons

.(En

2004

,34

enfa

nts

sont

nés

dece

ttefa

çon.

).U

nde

uxiè

me

enfa

ntdé

siré

,apu

,non

seul

emen

tfai

rela

joie

dese

spa

rent

s,m

ais

auss

ifac

ilite

rla

guér

ison

d’un

esœ

uraî

née

âgée

de6

ans

etat

tein

ted’

une

grav

eaf

fect

ion

sang

uine

,l’a

ném

iede

Fanc

oni;

elle

aét

égu

érie

enpr

élev

antd

esce

llule

sso

uche

sda

nsle

cord

onom

bi-

lical

deso

nje

une

frèr

e,un

bébé

-sau

veur

.Une

âme

venu

een

inca

rnat

ion

pour

enai

deru

neau

tre.

Ces

tech

niqu

essu

scite

nten

core

beau

coup

d’op

-po

sitio

n.L’

Eglis

eca

thol

ique

estc

ontr

eca

rel

lene

peut

acce

pter

letr

ides

embr

yons

.Elle

yvo

itun

eno

uvel

lefo

rme

d’eu

géni

sme

(nou

sre

parle

rons

dece

thèm

e).E

nFr

ance

,le

risqu

ees

tfai

ble,

com

pte

tenu

del’e

ncad

rem

entj

urid

ique

mis

enpl

ace.

Cen’

estp

asle

cas

part

out.

L’op

inio

npu

bliq

uefa

itpr

essi

onpo

urav

oir

(par

lebi

ais

dutr

ides

embr

yons

)de

sen

fant

ssa

ins,

beau

x,ro

bust

essi

poss

ible

des

petit

sEi

nste

in. L

ape

rson

nalit

éig

nora

nte

esta

ttach

éeà

lafo

rme.

Leris

que

d’un

nouv

eleu

géni

sme

est

inco

ntes

tabl

e.

Les

test

ssu

rle

fœtu

set

les

hand

icap

sde

l’enf

ant

Lana

ture

n’y

vapa

sde

mai

nm

orte

avec

lafé

con-

dité

hum

aine

:une

féco

ndat

ion

sur

troi

sse

trad

uit

parl

’exp

ulsi

onde

l’em

bryo

n.Il

sem

bler

aitq

uece

neso

itpa

sle

cas

des

autr

esm

amm

ifère

ssu

périe

urs.

44[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

Cinq

enfa

nts

sur

cent

nais

sent

hand

icap

és.L

esca

uses

enso

ntm

ultip

les:

déso

rdre

sde

l’em

bryo

ge-

nèse

liés

àun

ein

fect

ion

vira

le(r

ubéo

le,t

oxop

las-

mos

e),a

bsor

ptio

nde

taba

c,d’

alco

ol,d

edr

ogue

s,de

méd

icam

ents

,acc

iden

tslié

lana

issa

nce.

Mai

ssu

rtou

ton

obse

rve

depl

usen

plus

d’an

omal

ies

chro

mos

omiq

ues

(nom

bre

dech

rom

osom

esm

odi-

fiés,

stru

ctur

espe

rtur

bées

,mut

atio

nsdi

vers

es).

Les

exam

ens

écho

grap

hiqu

esso

ntà

l’heu

reac

tuel

lepr

esqu

esy

stém

atiq

ues.

Les

anal

yses

géné

-tiq

ues

sur

des

cellu

les

fœta

les

sem

ultip

lient

.Dan

sle

urpr

esqu

eto

talit

é,le

sco

uple

sco

ncer

nés

par

des

résu

ltats

néga

tifs

dem

ande

ntla

supp

ress

ion

dufœ

tus

pour

les

rais

ons

déjà

évoq

uées

:av

oir

unen

fant

sain

,etc

.Dan

sle

sm

ilieu

xd’

orig

ine

pays

anne

(com

me

enAu

verg

nepa

rex

empl

e)la

supp

ress

ion

dufœ

tus

estm

oins

dem

andé

equ

eda

nsle

sgr

ande

sci

tés. N

efa

ut-il

pas

met

tre

une

limite

quel

que

part

?Et

quid

oitl

am

ettr

e?U

ndo

igts

urnu

mér

aire

déte

cté

par

écho

grap

hie

doit-

ilen

traî

ner

lade

stru

ctio

ndu

fœtu

s?Ce

sex

amen

sso

ntpa

rfoi

ssa

luta

ires:

une

anom

alie

card

iaqu

epe

rmet

depr

évoi

ràla

nais

sanc

eun

ein

terv

entio

nch

irurg

ical

equ

isau

vel’e

nfan

t.Le

dépi

stag

ede

sm

alad

ies

géné

tique

spo

selu

iaus

side

redo

utab

les

ques

tions

.

Pren

ons

leca

sde

lam

ucov

isci

dose

.Pou

rque

lam

alad

iese

décl

are

ilfa

utqu

ele

père

etla

mèr

eap

port

ent

legè

nem

uté

sur

lam

ême

paire

dech

rom

osom

es.U

nepe

rson

nesu

r20

ale

gène

mut

é.Si

onla

isse

faire

leha

sard

,un

enfa

ntsu

r160

0au

rala

mal

adie

.Doi

t-on

crée

run

eca

rte

d’id

entit

égé

né-

tique

pour

qu’u

nho

mm

eet

une

fem

me,

port

eurs

dela

mut

atio

n,ne

s’un

isse

ntpa

s?

ACh

ypre

sévi

ssai

tune

affe

ctio

nsé

vère

,la

tha-

lass

émie

3qu

ient

raîn

ela

mor

tava

ntl’a

dole

scen

ce.

Une

pers

onne

sur

7po

rte

legè

nem

uté.

Un

cons

eil

géné

tique

aét

ém

isen

plac

equ

idis

suad

ele

sco

uple

sco

ncer

nés

dese

mar

ier.

Lam

alad

iea

pres

que

disp

aru.

A-t-

onle

droi

td’ig

nore

rle

sm

utat

ions

dont

ones

tpor

teur

?

Des

path

olog

ies

com

me

laCh

orée

deH

untin

gton

4ou

laPo

lyky

stos

eré

nale

5qu

in’a

ppar

ais-

sent

qu’à

laqu

aran

tain

eet

dont

l’iss

uees

ttrè

svi

tefa

tale

,do

iven

t-el

les

entr

aîne

rla

supp

ress

ion

dufœ

tus?

Enqu

aran

tean

sM

ozar

tou

Schu

bert

ontp

ro-

duit

des

chef

sd’

œuv

re.

Sile

syst

ème

actu

elav

ait

exis

té,

lePr

ésid

ent

Linc

oln

ouM

ende

lsso

hnqu

isou

ffrai

entd

ela

mal

-ad

iede

Mar

fan6

n’au

raie

ntpa

své

cu.Q

uant

àM

ozar

tqu

isou

ffrai

tde

lam

alad

iede

Gill

esde

laTo

uret

te7 ,

son

sort

n’eu

tété

guèr

een

viab

leau

jour

d’hu

i.Pa

spl

usqu

ece

luid

upi

anis

tePe

truc

iani

atte

int

d’un

egr

ave

mal

adie

osse

use.

EtEi

nste

in,a

vec

son

cerv

eau

hype

rtro

phié

àga

uche

,aur

ait-

ilsu

rvéc

u?

Ne

supp

ri-m

ons-

nous

pas

defu

turs

Eins

tein

?

N’y

a-t-

ilpa

slà

enco

reun

efo

rme

d’eu

géni

sme

etun

reje

tin

cons

cien

tdu

dess

ein

del’â

me

etde

sre

spon

sabi

lités

karm

ique

squ

ech

acun

doit

assu

-m

er?

Ces

com

port

emen

tsso

ntd’

auta

ntpl

usdi

scu-

tabl

esqu

’iln’

ya

pas

undé

term

inis

me

stric

tent

rem

utat

ion

etap

parit

ion

dela

mal

adie

.Tou

tdép

end

dela

«pé

nétr

atio

d’un

gène

mut

é.Ce

rtai

nes

path

o-lo

gies

(not

amm

entl

asc

hizo

phré

nie)

sont

laré

sul-

tant

ede

mut

atio

nsgé

nétiq

ues

mai

sau

ssid

ela

ren-

cont

reav

ecl’e

nviro

nnem

ent.

Cette

notio

nd’

envi

ronn

emen

tdoi

têtr

een

tend

ueau

sens

larg

e,à

lafo

isph

ysiq

ueet

subt

il.N

ous

nous

souv

enon

sd’

une

fam

ille

oùla

mèr

eét

aitp

orte

use

d’un

em

uta-

tion

impo

rtan

teda

nsso

nAD

Nm

itoch

ondr

iale

tqui

n’au

rait

pas

dûvi

vre.

Elle

sepo

rtai

tbie

n.El

lea

cinq

enfa

nts.

Com

me

l’AD

Nm

itoch

ondr

iale

sttr

ansm

ispa

rla

mèr

e,to

usle

sci

nqso

ntpo

rteu

rsde

lam

uta-

tion.

Deu

xde

sen

fant

svo

ntm

ourir

jeun

es,l

estr

ois

autr

esse

port

entb

ien.

Que

s’es

t-il

pass

é?L’

âme

spi-

ritue

llepe

ut-e

lle,e

nra

ison

deso

nde

ssei

n,oc

culte

rl’e

ffetd

ece

rtai

nes

mut

atio

ns?

C’es

tune

hypo

thès

e.

L’eu

géni

sme

C’es

tFr

anci

sG

alto

n(1

822-

1911

),co

usin

deCh

arle

sD

arw

inet

spéc

ialis

tede

biom

étrie

,qui

crée

en18

83«

Eugé

nics

»ou

scie

nce

del’a

mél

iora

tion

del’h

omm

e.Po

urqu

oi,

disa

it-il,

nepa

sap

pliq

uer

àl’h

omm

ele

sm

étho

des

des

élev

eurs

quir

epèr

entl

essu

jets

quip

rése

nten

tles

mei

lleur

es«

qual

ités

»et

les

3.M

alad

iequ

iaffe

cte

les

glob

ules

roug

eset

donc

les

proc

essu

sre

spira

toire

s4.

Chor

éeve

utdi

reda

nse.

Lam

alad

iese

cara

ctér

ise

par

des

mou

vem

ents

déso

rdon

nés

des

mem

bres

donn

antl

’impr

essi

ond’

une

dans

e5.

Mal

adie

cara

ctér

isée

par

ledé

velo

ppem

entd

eky

stes

quid

étru

isen

tpro

gres

sive

men

tles

rein

s6.

Les

pers

onne

sat

tein

tes

sont

gran

des,

mai

gres

etso

uffr

entd

efa

ible

sse

mus

cula

ire.

7.M

alad

ieca

ract

éris

éepa

rde

str

oubl

esde

lapa

role

,des

tics.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 4

5

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

font

sere

prod

uire

.Il

faut

,aj

outa

it-il,

donn

erau

xra

ces

les

plus

doué

esle

sch

ance

sle

sm

eille

ures

desu

ppla

nter

les

autr

es.I

lpro

pose

uncl

asse

men

tdes

race

s:le

snè

gres

sesi

tuen

tdeu

xde

grés

ende

ssou

sde

sbl

ancs

.Fr.

Gal

ton

voya

itl’é

mer

genc

ed’

une

reli-

gion

scie

ntifi

que

quip

rend

rait

lepo

uvoi

retm

aîtr

ise-

rait

l’évo

lutio

nde

l’hum

anité

parl

’eug

énis

me.

Audé

but

duXX

esi

ècle

leco

uran

teu

géni

que

pren

dde

l’am

pleu

r.Fi

sher

,fon

date

urde

lagé

nétiq

uede

spo

pula

tions

,mili

tepo

urde

slo

issu

rla

stér

ilité

des

inap

tes.

Shok

ley,

prix

Nob

elde

phys

ique

,pos

era

laqu

estio

n:n

efa

ut-il

pas

stér

ilise

rle

sfa

ible

sQ

.I.?

Autr

equ

estio

npo

sée

par

Mc

Brid

een

1936

dans

lare

vue

«N

atur

:ne

faut

-ilpa

sst

érili

ser…

les

chô-

meu

rs?

Ces

idée

svo

ntfa

irele

urch

emin

.Env

iron

7000

0pe

rson

nes

vont

être

stér

ilisé

esau

xEt

ats-

Uni

sde

1899

à19

35(m

alad

esm

enta

ux,a

lcoo

lique

s,ha

n-di

capé

s).L

esna

zis

vont

syst

émat

iser

cesi

nist

repr

o-gr

amm

e.Ils

prat

ique

ntl’e

ugén

ism

epo

sitif

qui

cons

iste

àfa

irese

repr

odui

reen

tre

eux

les

indi

vidu

sle

spl

usfo

rts,

les

plus

sain

s.M

ais

auss

il’e

ugén

ism

ené

gatif

quic

onsi

ste

àél

imin

erle

race

sin

férie

u-re

(juifs

,tzi

gane

s,et

c..).

L’am

élio

ratio

nde

lara

cehu

mai

nees

tun

obje

ctif

tout

àfa

itlo

uabl

e.M

ais

que

prop

ose

leco

uran

teug

é-ni

que?

Une

amél

iora

tion

parl

bas

»qu

ivis

per-

fect

ionn

erla

form

eex

térie

ure,

l’app

aren

ce.

Pour

nous

,la

vérit

able

amél

iora

tion

estc

elle

quis

efa

itpa

rle

«ha

ut»,

parl

eco

ntac

tave

cl’â

me

spiri

tuel

le.

ETH

IQU

EET

CEL

LULE

SSO

UC

HES

Un

pot

enti

elex

cep

tion

nel

pou

rla

méd

ecin

e

Lath

érap

iece

llula

ire(u

tilis

atio

nde

sce

llule

sso

uche

sfœ

tale

sou

adul

tes)

com

men

ceà

donn

eren

Fran

ceet

dans

dive

rspa

ysde

sré

sulta

tspo

sitif

s,no

tam

men

tda

nsle

trai

tem

ent

dem

alad

ies

auss

igr

aves

que

lam

alad

iede

Park

inso

n,la

Chor

éede

Hun

tingt

on,l

’infa

rctu

sdu

myo

card

e,le

slé

sion

sde

lape

au.«

Lagu

éris

ones

tam

our»

disa

itPa

race

lse,

lech

amp

des

poss

ibili

tés

ouve

rtes

parl

esce

llule

sso

u-ch

eses

tim

men

se.

Suru

npl

anst

ricte

men

tsci

entif

ique

detr

èsno

m-

breu

ses

ques

tions

sepo

sent

.Des

rech

erch

esdo

i-ve

ntêt

reef

fect

uées

surl

esce

llule

sso

uche

sad

ulte

s.Co

mm

ents

efa

it-il

par

exem

ple,

qu’u

nece

llule

sou-

che

isol

éeda

nsun

orga

ne,d

onc

capa

ble

deré

géné

-re

rce

torg

ane,

soit

auss

icap

able

deré

géné

rer

unau

tre

tissu

.La

régé

néra

tion

nous

inté

ress

ed’

auta

ntpl

us,a

use

indu

grou

peAl

cor,

qu’il

s’ag

itd’

une

pro-

prié

tées

sent

ielle

duco

rps

devi

talit

é.Le

sce

llule

sso

uche

sse

raie

nt-e

lles

dire

ctem

entc

ontr

ôlée

spa

rce

dern

ier,

etpl

uspr

écis

émen

tpar

lece

ntre

basa

lqui

,ra

ppel

ons-

le,e

stle

cent

rede

lavo

lont

éde

vivr

e?

Pour

l’heu

re,l

esre

cher

ches

sefo

calis

ents

urle

sce

llule

sso

uche

sem

bryo

nnai

res

(pré

levé

essu

rl’e

m-

bryo

nau

stad

ebl

asto

cyst

e,d’

envi

ron

100

cellu

les)

.Le

urso

urce

estd

oubl

e:le

sem

bryo

nssu

rnum

érai

-re

sob

tenu

slo

rsde

sfé

cond

atio

nsin

vitr

o(la

loid

u6

août

2004

auto

rise

enFr

ance

dete

lles

rech

erch

es)

etle

clon

age

thér

apeu

tique

quin

éces

site

d’av

oird

esov

ocyt

es,c

equ

in’e

stpa

sun

em

ince

affa

ireco

mm

eno

usle

verr

ons.

Tout

esce

spe

rspe

ctiv

essu

scite

ntde

fort

esop

posi

tions

.

Latr

ansi

tion

cell

ule

biol

ogiq

uehu

mai

ne–

Etre

hum

ain

Aqu

elm

omen

tl’o

vocy

tefé

cond

épa

run

sper

-m

atoz

oïde

devi

ent-

ilun

petit

Etre

hum

ain

(Etin

celle

divi

ne–

Ame

–co

rps

biol

ogiq

ue)?

Ace

ttequ

estio

nle

sré

pons

esso

ntdi

vers

es.

Dep

uis

les

prem

ière

ste

ntat

ives

defé

cond

atio

nin

vitr

o,l’E

glis

eca

thol

ique

am

anife

sté

son

oppo

sitio

n:

ces

tech

niqu

esex

igen

tune

récu

péra

tion

des

cellu

les

sexu

elle

set

pour

l’hom

me

cela

pass

epa

rla

mas

tur-

batio

nqu

’elle

cond

amne

.Pou

rce

tteEg

lise,

l’em

-br

yon

hum

ain

estu

nepe

rson

nedè

sla

féco

ndat

ion,

que

cette

féco

ndat

ion

résu

ltede

lafu

sion

dede

uxga

mèt

esou

ducl

onag

e.Le

com

man

dem

ente

ssen

-tie

l«tu

netu

eras

poin

t»(E

xode

20,1

-17)

s’ap

pliq

ueau

ssià

l’em

bryo

n.Il

ya

unco

ntin

uum

dela

vie,

dela

féco

ndat

ion

àla

nais

sanc

e.

Pour

leju

daïs

me,

ily

aun

elim

itete

mpo

relle

qui

cond

ition

nel’h

uman

itéde

l’em

bryo

n.Il

sera

it«

anim

é»

dela

vie

par

Die

uau

bout

dequ

aran

tejo

urs. Ch

ezle

sm

usul

man

s,la

vie

del’e

mbr

yon

anim

éepa

rDie

u,se

situ

erai

tent

re30

et12

0jo

urs

selo

nle

séc

oles

depe

nsée

.

8.Le

Mon

dedu

23oc

tobr

e20

06

46[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

Pour

les

scie

ntifi

ques

etm

édec

ins,

les

attit

udes

sont

plus

mes

urée

s,m

ême

lors

qu’il

sso

ntca

tho-

lique

spr

atiq

uant

s.Cl

aude

Sure

au,

mem

bre

duCo

mité

cons

ulta

tifna

tiona

ld’é

thiq

ue8

décl

are

«le

sre

cher

ches

sur

les

cellu

les

souc

hes

nous

ram

ènen

tsu

rle

conc

eptd

el’â

me

».Pe

terL

achm

ann,

prés

iden

tde

l’Aca

dém

iebr

itann

ique

des

scie

nces

méd

ical

es9

décl

arai

t:«

l’œuf

,le

zygo

tehu

mai

nn’

estp

asun

ech

ose.

Ace

titre

,on

luid

oitu

nefo

rme

dere

spec

t,m

ais

cere

spec

test

diffé

rent

dece

luid

ûà

unêt

rehu

mai

n».

Ilpr

opos

ede

situ

erla

tran

sitio

nau

20e

jour

dela

gest

atio

nco

rres

pond

ant

aux

prem

ière

séb

auch

esde

sst

ruct

ures

nerv

euse

squ

iper

met

tent

les

sens

atio

ns.

Pour

nous

,ils

embl

equ

ela

pério

deoù

appa

rais

-se

ntle

spr

emie

rsm

ouve

men

tsau

4em

ois

dela

gros

-se

sse

(10

sem

aine

s)co

rres

pond

à«

l’ani

mat

ion

»du

supp

ortb

iolo

giqu

e.C’

estl

apé

riode

qu’a

choi

sie

lelé

gisl

ateu

ren

Fran

cepo

urle

sin

terr

uptio

nsde

gros

-se

sse. Le

déba

test

très

vifc

omm

el’a

mon

tré

lapé

riode

dedé

butd

écem

bre

2006

préc

éden

tle

Télé

thon

qui

finan

ceen

part

iele

sre

cher

ches

surl

esce

llule

sso

u-ch

es.L

ahi

érar

chie

cath

oliq

uefr

ança

ise

avi

vem

ent

prot

esté

,san

sgr

and

succ

ès(7

8%

des

fran

çais

sont

pour

lare

cher

che

sur

les

cellu

les

souc

hes)

.C’e

stai

nsiq

uele

Card

inal

Barb

arin

décl

arai

t«Po

urno

us,

l’em

bryo

nhu

mai

nn’

estp

asun

ech

ose.

Un

embr

yon,

onne

peut

pas

lepr

odui

re,o

nne

peut

pas

ledé

trui

re,

onne

peut

pas

l’util

iser

,on

nepe

utpa

sle

trie

r,no

n,no

n,no

n».

10

L’in

stru

men

tali

sati

onde

sfe

mm

es

Lafé

cond

atio

nin

vitr

o(p

our

des

mèr

esqu

ine

peuv

entd

onne

rle

urs

prop

res

ovoc

ytes

),le

clon

age

thér

apeu

tique

quir

equi

ertd

esov

ocyt

es,n

éces

site

ntde

sdo

nsd’

ovoc

ytes

depl

usen

plus

nom

breu

x.Ce

cies

td’a

utan

tplu

spr

essa

ntqu

ele

taux

deré

ussi

tede

tout

esce

ste

chni

ques

estf

aibl

e.D

onne

rse

sov

ocy-

tes

n’es

tpas

une

inte

rven

tion

béni

gne.

Ily

alà

une

cont

rain

teét

hiqu

equ

’ilfa

utm

ettr

een

avan

t.

Ledo

nde

prod

uits

deso

nco

rps

estu

nac

tegr

a-tu

iten

Fran

cede

puis

lalo

ide

bioé

thiq

uede

1994

.Le

risqu

ede

mar

chan

disa

tion

esté

vide

nt.

L’in

stru

men

talis

atio

nn’

estp

asun

eno

tion

quan

-tit

ativ

em

ais

qual

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e.To

ute

fem

me

susc

eptib

led’

être

donn

euse

pour

rait

être

expo

sée

àde

spr

es-

sion

sps

ycho

logi

ques

inco

ntrô

labl

es,s

etr

adui

sant

paru

nse

ntim

entd

ecu

lpab

ilité

enge

ndra

ntun

eob

li-ga

tion

dedo

n.N

’ya-

t-il

pas

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risqu

equ

ipriv

erai

tle

sfe

mm

esde

leur

libre

-arb

itre

etde

leur

auto

no-

mie

? Pour

palli

erce

sdi

fficu

ltés,

ilco

nvie

ndra

itde

déve

lopp

erle

sre

cher

ches

conc

erna

ntla

cong

élat

ion

des

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ytes

(on

peut

cong

eler

les

embr

yons

mai

spa

sle

sov

ocyt

es).

Rec

herc

hes

auss

icon

cern

antl

adi

ffére

ncia

tion

dece

llule

sso

uche

sem

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res

perm

etta

ntd’

obte

nird

esce

llule

sse

xuel

les

etdo

ncla

facu

ltéde

prod

uire

ains

ides

ovoc

ytes

engr

and

nom

-br

e.

Lam

arch

andi

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ondu

viva

nt

C’es

tun

vast

epr

oblè

me

quin

eco

ncer

nepa

squ

ele

sce

llule

sso

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s.Ju

squ’

àun

eép

oque

réce

nte,

endr

oit

inte

rnat

iona

l,to

ute

amél

iora

tion

tech

niqu

eda

nsle

trav

ail

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ctué

sur

dela

mat

ière

viva

nte

(mic

ro-o

rgan

ism

es,p

lant

es,a

nim

aux,

cellu

les

sou-

ches

,etc

..)po

uvai

tfai

rel’o

bjet

d’un

brev

et.D

epui

sun

equ

inza

ine

d’an

nées

,une

dériv

e,pa

rtie

des

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s-U

nis,

s’es

ttou

tdou

cem

enti

mpo

sée:

onpr

end

des

brev

ets

surd

esdé

couv

erte

sfa

ites

ause

inde

sce

llu-

les.

C’es

tain

siqu

el’o

npr

end

des

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ets

sur

des

séqu

ence

sde

nucl

éotid

es(A

DN

)ap

part

enan

tàde

sgè

nes.

Ces

gène

sde

vien

nent

ains

ila

prop

riété

del’e

ntre

pris

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iafa

itle

trav

aild

esé

quen

çage

.C’e

stco

mm

esi

lepr

emie

rho

mm

equ

ia

déco

uver

tla

pom

me

dete

rre

avai

tpris

unbr

evet

surl

apo

mm

ede

terr

e. EnG

rand

e-Br

etag

ne,l

esov

ocyt

esfo

ntdé

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mai

spa

rtie

duné

goce

.Cha

que

fem

me

quid

onne

rase

sov

ocyt

esre

cevr

a37

0€

.Ilm

anqu

e,no

usl’a

vons

déjà

dit,

des

ovoc

ytes

.D

esfe

mm

esde

l’Uni

onEu

ropé

enne

sedé

plac

ente

nEs

pagn

eou

enBe

lgiq

ueoù

les

fem

mes

donn

euse

sd’

ovoc

ytes

sont

rém

uné-

rées

àha

uteu

rde

900

€.I

lexi

ste

àCh

ypre

,dan

sle

spa

ysde

l’Est

,aux

Etat

s-U

nis,

des

entr

epris

esfa

isan

tco

mm

erce

des

ovoc

ytes

.

Un

autr

eco

mm

erce

sem

eten

plac

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ncer

nant

lepr

élèv

emen

tde

sang

ombi

lical

àla

nais

sanc

ed’

unen

fant

,ce

qui

perm

etde

trai

ter

unje

une

enfa

ntat

tein

td’u

nece

rtai

nefo

rme

dele

ucém

ie.L

egr

oupe

Virg

ina

ains

icré

éun

eba

nque

desa

ngom

bilic

al.I

len

coût

e22

70€

.par

enfa

nt.L

aco

mpé

titio

nau

tour

des

cellu

les

souc

hes

estt

rès

vive

,not

amm

entp

our

9.le

Mon

dedu

11av

ril20

0210

.Le

Mon

dedu

7dé

cem

bre

2006

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 4

7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

pren

dre

des

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ets

surd

este

chni

ques

d’ob

tent

ion.

ACT

(Adv

ance

dCe

llTe

chno

logy

aux

Etat

s-U

nis)

qui

prét

enda

itfin

2006

avoi

robt

enu

des

résu

ltats

exce

p-tio

nnel

s(c

equ

is’e

stav

éré

faux

)a

vule

prix

dese

sac

tions

mul

tiplié

par

unfa

cteu

r4

dujo

urau

lend

e-m

ain. La

mar

chan

disa

tion

duvi

vant

esth

élas

enm

ar-

che.

Tout

elib

erté

estl

aiss

éeau

xm

arch

ands

.Com

me

pour

tant

d’au

tres

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lèm

esà

l’éch

elle

plan

étai

re(d

ésor

dres

clim

atiq

ues

etéc

olog

ique

s,pa

rtag

ede

l’eau

…).

tant

qu’il

n’y

aura

pas

une

régu

latio

npo

li-tiq

ueet

jurid

ique

mon

dial

e,no

usn’

ypo

urro

nsrie

n.Ce

lane

vapa

l’enc

ontr

ede

l’act

ivité

des

entr

epri-

ses

très

com

péte

ntes

dans

tous

ces

dom

aine

sm

ais

vise

sim

plem

entà

enca

drer

,àin

tégr

erle

urac

tion

dans

une

visi

onco

hére

nte

ause

rvic

ede

l’hum

anité

.

Rés

um

é–

Co

ncl

usi

on

sD

erriè

rece

tteno

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debi

oéth

ique

sepr

ofile

ntde

sm

ots

esse

ntie

ls:l

iber

téin

divi

duel

le,f

inde

l’ac-

tion,

dign

ité,r

elat

ions

aux

autr

es,v

aleu

rs.

L’év

olut

ion

psyc

holo

giqu

eet

spiri

tuel

lede

l’hu-

man

itées

tte

llequ

’elle

puis

seco

ntrô

ler

enco

ns-

cien

ceto

ute

nais

sanc

e.Se

ra-t

-elle

enm

esur

ede

cont

rôle

r,da

nsce

rtai

nes

circ

onst

ance

s,sa

mor

t?C’

estp

roba

ble.

Les

test

ssu

rle

fœtu

set

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ise

enév

iden

cede

sha

ndic

aps

del’e

nfan

tpos

entu

nré

elpr

oblè

me.

Ilsco

ndui

sent

souv

entà

l’élim

inat

ion

dufo

etus

.Cel

ape

utse

com

pren

dre

dans

des

cas

très

grav

es.N

’ya-

t-il

pas

làun

eat

titud

een

cont

radi

ctio

nav

ecle

des-

sein

del’â

me,

auss

ibie

nav

ecce

luid

el’â

me

des

pare

nts,

que

del’â

me

del’e

nfan

trej

eté?

Cela

cond

uit

àun

em

ise

enpr

atiq

uede

l’eug

énis

me.

Cen’

estp

aspa

rle

«ba

que

lara

cehu

mai

nese

raam

élio

rée

mai

spa

rle

«ha

ut»,

parl

eco

ntac

tave

cl’â

me

spiri

-tu

elle

.Le

sce

llule

sso

uche

s,ca

pabl

esde

régé

nére

run

tissu

mal

ade,

prés

ente

ntun

pote

ntie

lde

guér

ison

exce

ptio

nnel

.Ne

sont

-elle

spa

sl’e

xpre

ssio

nd’

une

prop

riété

duco

rps

devi

talit

é,la

régé

néra

tion

?Le

prob

lèm

eét

hiqu

em

ajeu

rde

l’util

isat

ion

des

cellu

les

souc

hes

estc

elui

dela

tran

sact

ion

:cel

lule

biol

ogiq

uehu

mai

ne.–

Etre

hum

ain.

Aqu

elm

omen

tl’â

me

spiri

tuel

le«

anim

e-t-

elle

»l’ê

tre

biol

ogiq

ue?

Lapé

riode

de10

sem

aine

soù

les

batte

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tsca

r-di

aque

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les

mou

vem

ents

appa

rais

sent

,n’e

st-e

llepa

sle

sign

eév

iden

tde

cette

anim

atio

n?

Al’é

chel

lede

laso

ciét

é,de

uxph

énom

ènes

appa

-ra

isse

nt.L

esbe

soin

sen

ovoc

ytes

vont

deve

nir

depl

usen

plus

pres

sant

s.N

’ya-

t-il

pas

làun

risqu

ede

cont

rain

teex

ercé

evi

s-à-

vis

des

fem

mes

?Et

deux

ièm

eph

énom

ène,

neris

que-

t-on

pas

d’am

plifi

erla

mar

chan

disa

tion

duvi

vant

quit

end

às’

inst

alle

réc

onom

ique

men

tpar

lant

?

ou

vrag

esco

nsu

ltés

L’ét

hiq

ue

etla

vie

Fran

ceQ

uér

é–

Od

ile

Jaco

b,1

991

Qu

esti

on

sd

’éth

iqu

eco

nte

mp

ora

ine,

Lud

ivin

eTh

iaw

-Po

-Un

e,St

ock

,200

6

Cell

ule

sso

uch

eset

cho

ixét

hiq

ues

,rap

-p

ort

auPr

emie

rMin

istr

eLa

Do

cum

enta

tio

nFr

ança

ise,

2006

De

l’em

bry

on

àla

per

son

ne

Mau

rice

Au

rou

x,El

lip

ses,

2006

Levé

lo,l

em

ure

tle

cito

yen

Jacq

ues

Test

artB

elin

,200

6

Livr

es

L’H

OM

ME

RÉU

NIF

Luc

BIG

É

Editi

ons

deJa

nus

www.

janu

s.fr

234

page

s

Prix

22€

+fra

isde

port.

PETI

TD

ICTI

ON

NAI

REEN

LAN

GU

ED

ESO

ISEA

UX

Luc

BIG

É

Editi

ons

deJa

nus

www.

janu

s.fr

250

page

s

Prix

22€

+fra

isde

port.

48[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

Ains

ique

lera

ppel

leR

oger

Dur

and

dans

son

arti-

cle

surl

abi

oéth

ique

,les

prog

rès

dela

biol

ogie

etde

lam

édec

ine

sont

tels

que

l’êtr

ehu

mai

na

larg

emen

tre

pous

séle

slim

ites

duco

rps

orga

niqu

epo

urré

sis-

ter

àla

mor

teta

ussi

,par

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tech

niqu

esde

PMA,

pour

donn

erla

vie.

Des

caus

esde

stér

ilité

,tan

tmas

-cu

lines

que

fém

inin

es,a

utre

fois

sans

appe

l,ré

ussi

s-se

ntà

être

dépa

ssée

set

mêm

el’h

orlo

gebi

olog

ique

natu

relle

dela

fem

me

peut

être

tran

scen

dée

puis

que

des

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mes

mén

opau

sées

ontp

um

ener

àbi

enun

egr

osse

sse!

Ces

indé

niab

les

prog

rès

dela

scie

nce

nepe

uven

tqu

’inte

rpel

ler

les

pers

onne

orie

ntat

ion

spiri

tuel

lepo

urqu

i,la

nais

sanc

eau

tant

que

lam

ort

est

une

déci

sion

del’â

me,

etpo

urqu

iles

rapp

orts

entr

el’â

me

etle

corp

s,so

nvé

hicu

le,s

ontr

égul

éspa

rla

loi

karm

ique

.En

cons

éque

nce,

des

ques

tions

s’im

po-

sent

: >Ju

squ’

oùl’ê

tre

hum

ain

peut

-ilfa

ire«

lefo

r-ci

ng»

pour

attir

erun

eâm

een

inca

rnat

ion

?>

Qua

ndla

stér

ilité

affli

gel’u

neou

l’aut

repe

r-so

nne

d’un

coup

le,

elle

oblig

déve

lopp

erbe

auco

upd’

amou

r,d’

hum

ilité

,de

com

mun

ica-

tion,

d’éc

oute

mut

uelle

,fau

tede

quoi

,le

coup

lene

rési

ste

pas

àl’é

preu

ve.C

’est

deto

ute

évi-

denc

eun

poid

ska

rmiq

ueco

mm

un,o

blig

eant

àin

terr

oger

lana

ture

prof

onde

dudé

sird

’enf

ant.

Que

llequ

’en

soit

l’iss

ue,

c’es

tun

egr

ande

oppo

rtun

itéd’

expa

nsio

nde

cons

cien

ce.D

ans

ceco

ntex

te,q

uand

lasc

ienc

efa

itm

iroite

rla

poss

ibili

téd’

enfa

nter

quan

d-m

ême,

n’es

t-ce

pas

une

écha

ppat

oire

aude

ssei

nde

l’âm

eet

audu

rtra

vail

dedé

tach

emen

tetd

etr

ansm

utat

ion

dedé

sir

quip

onct

uel’é

volu

tion

dela

cons

-ci

ence

?Po

urm

apa

rt,q

uand

les

prot

ocol

esde

PMA

ont

com

men

céà

être

prop

osés

par

lam

édec

ine,

j’éta

istr

èssc

eptiq

uequ

anta

ubi

en-f

ondé

dece

«fo

rcin

pour

répo

ndre

audé

sir

d’en

fant

er«

àto

utpr

ix».

Mai

sau

jour

d’hu

i,à

lalu

miè

rede

ma

prat

ique

deps

ycho

thér

apeu

te,m

apo

sitio

nes

tbea

ucou

ppl

usnu

ancé

e.J’

aiac

com

pagn

éun

cert

ain

nom

bre

defo

is,l

epl

usso

uven

tdes

fem

mes

,eng

agée

sda

nsun

proc

essu

sde

PMA

etqu

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aien

ten

psyc

hoth

érap

ieca

rel

les

étai

ente

npl

ein

désa

rroi

.Ils

’avè

reen

effe

tqu

esi

l’inf

ertil

itées

tun

edi

ffici

leép

reuv

epo

urle

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le,l

apr

ise

ench

arge

méd

ical

equ

iapo

urbu

td’y

rem

édie

ren

este

lle-m

ême

une

form

esu

pplé

men

-ta

ire.L

eco

uple

quis

edi

tsou

vent

«pr

êtà

tout

»po

urav

oir

unen

fant

biol

ogiq

ues’

enga

geen

fait

dans

unvé

ritab

lepa

rcou

rsdu

com

batta

ntau

cour

sdu

quel

ilse

trou

vedu

rem

enté

prou

véda

nsse

slim

ites

biol

o-gi

ques

,psy

chol

ogiq

ues,

hum

aine

s.A

lalu

miè

rede

sac

com

pagn

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tsqu

ej’a

ipu

faire

,ilm

ese

mbl

equ

ele

spe

rson

nes

enga

gées

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lepr

oces

sus

sont

som

mée

sde

réal

iser

unén

orm

etr

avai

lint

érie

urin

di-

vidu

elle

men

tetd

ans

leur

rela

tion

mut

uelle

.

Mal

gré

l’ap

po

rtd

ela

scie

nce

,le

dét

ach

emen

tes

tto

ujo

urs

aure

nd

ez-

vou

sPo

urle

coup

lein

fert

ile,l

apr

opos

ition

dePM

Adé

clen

che

unes

poir

inou

ï:il

estp

ossi

ble

d’éc

happ

erau

verd

ictd

est

érili

té!

Mai

sla

pers

onne

stér

ilene

peut

pas

tota

lem

enté

vite

rla

bles

sure

narc

issi

que

liée

àsa

dif fi

culté

depr

ocré

atio

nca

rla

tech

niqu

em

édic

ale

àla

quel

leel

ledo

itse

soum

ettr

eré

activ

een

fait

laco

nsci

ence

desa

limita

tion.

Etsu

rtou

t,au

deui

lnéc

essa

irede

lafe

rtili

té,s

’a-

jout

eun

deux

ièm

edé

tach

emen

tqui

devr

alu

iaus

siêt

refa

it,ce

luid

ufo

lesp

oirp

lacé

dans

lam

agie

répa

-ra

tric

ede

lasc

ienc

e.En

effe

t,le

pour

cent

age

deré

ussi

tees

ttrè

sfa

ible

.Sou

vent

leco

uple

s’en

gage

APR

OPO

SD

ELA

PMA

(PR

OC

RÉA

TIO

NM

ÉDIC

ALE

MEN

TA

SSIS

TÉE)

REF

LEX

ION

SD

’UN

EPS

YCH

OTH

ERA

PEU

TE

D’u

npo

intd

evu

esp

iritu

el,

jusq

u’où

peut

-on

fair

ele

forc

ing

pour

attir

erun

eâm

een

inca

rna-

tion

?Le

sex

trao

rdin

aire

spo

ssib

ilité

sof

fert

espa

rla

Proc

réat

ion

Méd

ical

emen

tAss

isté

epo

ur-

raie

nt-e

lles

déto

urne

rle

sco

uple

sde

leur

proc

essu

sd’

évol

utio

nde

cons

cien

ce?

[MA

RIE

-AG

SFR

EM

ON

T]

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 4

9

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

dans

lepr

otoc

ole

sans

trop

d’ap

préh

ensi

on,c

onfia

ntda

nsl’a

ppui

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scie

nce,

sûrd

’yar

river

…m

ais

l’é-

chec

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prem

ière

puis

dela

seco

nde

FIV

sèm

ele

dout

e…de

tent

ativ

een

tent

ativ

e,l’e

spoi

rfo

use

reto

urne

faci

lem

ente

ndé

sesp

oir.

Etm

ême

sigr

âce

aux

prou

esse

sré

alis

ées

parl

asc

ienc

e,la

dém

arch

ees

tcou

ronn

éede

succ

ès,c

eux

quis

’eng

agen

tdan

sun

prot

ocol

ede

PMA

nepe

uven

tfai

rel’é

cono

mie

dese

conf

ront

erdu

rem

ent

àle

urs

limite

sta

ntph

y-si

ques

que

psyc

hiqu

es.

Lare

lati

on

de

cou

ple

est

fort

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tm

ise

àl’

épre

uve

L’ac

tede

féco

ndat

ion

méd

ical

isé

etm

achi

nisé

réal

isé

parl

ebi

ais

dela

tech

niqu

em

édic

ale

estb

ien

loin

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proc

réat

ion

natu

relle

etsa

nslie

npo

ssib

leav

ecl’i

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d’am

our

etde

plén

itude

mut

uelle

rêvé

spo

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conc

eptio

nde

l’enf

antd

ésiré

.Pro

créa

tion

etse

xual

itéso

ntsé

paré

es.L

’aut

ren’

estp

lus

leco

njoi

ntm

ais

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édec

in.L

’hom

me

peut

sese

ntir

excl

u,pa

s-si

fetd

eso

ncô

té,l

afe

mm

ees

tcon

fron

tée

àsa

soli-

tude

,loi

nde

son

mar

i,dé

calé

eda

nsun

prot

ocol

em

édic

alqu

iles

mai

ntie

ntà

dist

ance

car

chac

unes

tpo

nctio

nné

dans

des

lieux

diffé

rent

s.So

nin

timité

est

bafo

uée,

elle

sepl

aint

souv

entd

epe

rdre

l’int

égrit

éde

son

corp

sdé

voilé

,reg

ardé

,piq

ué,m

anip

ulé

par

late

chni

que

méd

ical

e.Ce

ttepe

rte

depo

ints

dere

père

sfr

agili

sele

coup

leet

chac

unin

divi

duel

lem

ent.

De

plus

,non

seul

emen

tle

poid

sde

lare

spon

sa-

bilit

éde

last

érili

tées

tréa

ctiv

épo

urce

luiq

uien

est

affe

cté

mai

sau

ssii

lpeu

tse

dépl

acer

surl

’aut

repa

r-te

naire

;par

exem

ple

dans

leca

sd’

undo

nde

gam

è-te

spo

urpa

r er

àl’i

nféc

ondi

tédu

mar

i,si

aprè

sim

plan

tatio

nde

sem

bryo

ns,

laFI

Vn’

abou

titpa

s,c’

esta

lors

lafe

mm

equ

ise

sent

resp

onsa

ble

del’é

-ch

ec.L

adé

cept

ion

pous

sefa

cile

men

tàac

cuse

rl’a

u-tr

eet

quan

dch

acun

esta

insi

touc

héda

nssa

chai

r,la

susc

eptib

ilité

est

àvi

fet

les

réac

tions

arch

aïqu

espu

rem

enté

goïs

tes

pren

nent

faci

lem

entl

ede

vant

dela

scèn

e.La

tens

ion

estt

elle

qu’il

arriv

equ

ele

cou-

ple

écla

te,s

esé

pare

.Le

dépa

ssem

entd

ece

sép

reu-

ves

impl

ique

que

chac

unsa

che

reco

nnaî

tre

ses

pro-

pres

réac

tions

indi

vidu

alis

tes,

sesu

rpas

seda

nsun

ere

latio

nau

then

tique

etdé

velo

ppe

l’am

oure

tl’o

uver

-tu

reré

elle

àl’a

utre

quis

euls

pour

ront

mai

nten

irla

cohé

sion

.

Leco

up

lees

tam

ené

àq

ues

tio

nn

erl’

imp

or-

tan

cere

spec

tive

du

bio

log

iqu

eet

du

sub

-je

ctif

LaPM

Apo

usse

faci

lem

entc

eux

quis

’yen

gage

ntà

s’id

entif

ierà

leur

corp

sau

détr

imen

tde

l’êtr

ein

té-

rieur

quil

’ani

me.

Enef

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late

chni

que

méd

ical

es’

a-dr

esse

auco

rps:

pour

plus

derig

ueur

scie

ntifi

que

etpl

usd’

effic

acité

,ce

qui

est

d’or

dre

subj

ectif

est

excl

u.En

tour

age

etm

édec

inco

nsei

llent

souv

entd

em

aint

enir

leco

rps

etle

psyc

hism

dist

ance

:«Po

urqu

eça

mar

che,

ilne

faut

surt

outp

aspe

nser

!».

Leco

uple

estt

raum

atis

épa

rl’a

ttent

eet

lapu

issa

nce

deso

ndé

sir

tout

enes

saya

ntde

sepe

rsua

der

qu’il

nefa

utsu

rtou

trie

nat

tend

re,r

ien

dési

rer!

Sil’o

nn’

ypr

end

gard

e,le

corp

spe

utse

trou

ver

faci

lem

ent

rédu

ità

une

mac

hine

àre

prod

uire

!La

fem

me

vita

ury

thm

ede

str

aite

men

tset

des

inte

rven

tions

méd

ica-

les.

Elle

nevi

tplu

squ

’au

ryth

me

deso

nco

rps

auqu

elel

les’

iden

tifie

,épi

antt

oute

man

ifest

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npo

sitiv

eou

néga

tive

Dan

sle

sca

sd’

IAD

(Ins

émin

atio

nav

ecdo

nneu

r)la

part

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réal

itébi

olog

ique

este

ncor

epl

usau

pre-

mie

rpl

an.U

nequ

estio

nes

tlan

cina

nte

eta

souv

ent

dum

alà

être

form

ulée

:«qu

iest

lavr

aie

mèr

e?»

(qua

ndil

ya

eure

cour

sau

don

d’ov

ocyt

es)

etsu

r-to

ut«

quie

stle

vrai

père

(qua

ndil

ya

eure

cour

sau

don

dega

mèt

es).

Qui

estl

evr

aipè

re?

Ledo

nneu

rou

celu

iqui

vivr

ala

gros

sess

ede

safe

mm

e,ce

luiq

uidé

sire

l’enf

ant,

l’acc

ueill

era,

luip

arle

ra,l

uiap

pren

dra

cequ

’ilco

nnaî

t?M

ais

ilne

s’ag

itpa

sno

npl

usde

tom

berd

ans

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nide

laré

alité

biol

ogiq

ueca

rile

stdi

ffici

lepo

url’h

omm

ein

fert

iled’

inve

stir

safo

nctio

nde

père

quan

dil

n’a

pas

réel

lem

entr

éuss

iàre

nonc

erà

sapa

tern

itébi

olog

ique

.

Tout

ceci

oblig

edo

ncle

spr

otag

onis

tes

àpr

endr

eco

nsci

ence

des

inte

ract

ions

entr

ele

biol

ogiq

ueet

lesu

bjec

tif,e

nfa

isan

tla

part

del’u

net

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utre

.Ils

vont

être

amen

ésà

déco

uvrir

que

nier

l’im

port

ance

duco

rps

dem

atiè

rees

ttou

taus

siné

fast

equ

ede

s’y

iden

tifie

ret

que

seul

lere

cent

rage

dans

l’êtr

ein

té-

rieur

perm

etd’

appo

rter

duse

nset

dela

paix

àce

qui

este

ntr

ain

dese

vivr

e.

50[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN3È

ME

PAR

TIE

:QU

ES

TIO

NS

DE

BIO

ET

HIQ

UE

Chac

un

esta

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éà

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rro

gerc

eq

uim

oti

vep

rofo

nd

émen

tso

nd

ésir

d’a

voir

un

enfa

nt

Dan

sce

tét

atde

tens

ion

psyc

hiqu

e,le

dout

equ

anta

ubi

enfo

ndé

del’a

ctio

nen

PMA

enga

gée,

l’in-

cert

itude

quan

tau

résu

ltat,

l’inc

ompr

éhen

sion

des

réac

tions

del’a

utre

etau

ssid

ela

prim

arité

dese

spr

opre

sré

actio

ns,t

outc

ela

pous

seà

une

inte

rrog

a-tio

nin

divi

duel

leet

deco

uple

àpr

opos

dece

qui

fond

ece

dési

rd’e

nfan

t:Es

t-ce

lasa

tisfa

ctio

npe

rson

nelle

del’u

nou

del’a

utre

?Es

t-ce

une

rém

inis

cenc

ed’

unvi

eux

rêve

d’en

fant

idéa

l?Es

t-ce

unfa

ire-v

aloi

rau

près

dese

spr

opre

spa

rent

sou

aupr

èsde

laso

ciét

é?Es

t-ce

une

faço

nde

sera

ssur

ersu

rsa

capa

cité

àêt

reun

hom

me

ouun

efe

mm

bien

»?

Lere

cour

laPM

Aes

t-il

mot

ivé

par

lebe

soin

deni

erla

bles

sure

dela

stér

ilité

?Es

t-ce

lebe

soin

impé

rieux

d’av

oiru

nede

s-ce

ndan

cebi

olog

ique

,un

enfa

ntbi

enà

soie

tde

soi,

auris

que

dese

l’app

ropr

ier?

Est-

cele

dési

rde

nepa

spr

iver

l’aut

rede

mat

erni

téou

depa

tern

ité?

Est-

cevé

ritab

lem

ent

une

aspi

ratio

deux

parc

equ

ele

uram

ourl

esre

ndsu

ffisa

mm

ents

olid

espo

urof

frir

unfo

yer

àun

eâm

equ

iche

rche

às’

inca

rner

,par

cequ

’ils

sere

conn

aiss

ent

mut

uelle

men

tla

capa

cité

d’as

sum

erla

resp

onsa

bilit

éd’

être

pare

nts,

etqu

’ils

sont

prêt

enga

ger

une

part

iede

leur

vie

etto

ute

leur

atte

ntio

npo

url’é

duca

tion

d’un

être

àpa

rten

tière

?C’

est

l’occ

asio

nde

déco

uvrir

que

derr

ière

les

mot

ifs«

hono

rabl

es»

seca

chen

tdes

mot

ifsm

oins

nobl

esca

rils

élim

inen

taut

antl

’aut

repa

rten

aire

que

l’int

érêt

réel

del’e

nfan

tdés

iré.L

adi

ffére

ncia

tion

pro-

gres

sive

des

nive

aux

dedé

sirv

ape

rmet

tre

dere

con-

naîtr

ele

sm

otiv

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nspu

rem

ent

égoï

stes

pour

essa

yerd

ele

str

ansm

uter

.

CO

NC

LUSI

ON

Enfa

it,da

nsle

sdé

mar

ches

que

j’aie

ul’o

ccas

ion

d’ac

com

pagn

er,p

our

cert

ains

les

FIV

ont

écho

ué(m

algr

éle

«fo

rcin

g»,

aucu

neâm

en’

aré

pond

l’app

el),

pour

d’au

tres

l’enf

antt

anta

ttend

ues

tarr

ivé,

mai

sda

nsto

usle

sca

sj’a

iété

tém

oin

d’un

ebe

lleav

ancé

eda

nsle

déta

chem

ente

tl’o

uver

ture

réel

leà

l’aut

re.

Forc

ees

tde

reco

nnaî

tre,

que

loin

d’év

iter

les

inte

rrog

atio

nsdo

ulou

reus

esqu

ipré

side

ntau

déta

-ch

emen

teta

uxex

pans

ions

deco

nsci

ence

,les

per-

sonn

esen

gagé

esda

nsun

prot

ocol

ede

PMA

sont

auco

ntra

irepo

ussé

esda

nsun

evo

iequ

iles

conf

ront

edu

rem

enta

utr

avai

lint

érie

urà

réal

iser

;elle

sso

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mm

ées

degé

nére

ren

core

plus

d’am

our

etde

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préh

ensi

onda

nsle

urre

latio

nde

coup

le,d

edi

s-ce

rner

entr

ele

sm

otifs

quic

ause

ntle

urdé

sir

d’en

-fa

nt,d

’acc

epte

rmal

gré

tout

les

limite

sde

leur

corp

sor

gani

que

etde

sedé

tach

erd’

une

iden

tific

atio

nau

tout

biol

ogiq

uepo

urse

retr

ouve

rda

nsle

urid

entit

éin

térie

ure

subj

ectiv

e.D

’aill

eurs

,ce

chem

ines

ttel

le-

men

tépr

ouva

ntps

ychi

quem

entq

u’il

n’es

tpas

rare

devo

irle

sco

uple

sab

ando

nner

enco

urs

depr

oto-

cole

,ava

ntd’

avoi

rép

uisé

tout

esle

ste

ntat

ives

pré-

vues

initi

alem

ente

toffe

rtes

parl

am

édec

ine…

Pour

ceux

dont

ladé

mar

che

aét

éco

uron

née

desu

ccès

,iln

em

’app

araî

tpas

que

les

prou

esse

sde

lasc

ienc

ele

sai

entd

étou

rnés

duse

ntie

rd’é

volu

tion

dele

urco

nsci

ence

(du

moi

nsce

que

j’en

cru

enco

m-

pren

dre!

).Le

trav

ailp

ropo

sépa

rl’â

me

atr

ouvé

unau

tre

supp

orte

td’a

utre

sci

rcon

stan

ces

pour

seré

ali-

ser,

mai

sde

mon

poin

tde

vue,

l’enj

euin

térie

urse

m-

ble

être

rest

éle

mêm

e.

N’o

ub

liez

pas

de

con

sult

ern

otr

esi

tew

ww

.inst

itut-

alco

r.org

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

1

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

QU

’HER

ITO

NS-

NO

US

DE

NO

SPA

REN

TS?

Lepr

opos

n’es

tpas

icid

es’

inte

rrog

ersu

rl’h

érita

gem

atér

iele

tim

mat

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lque

nous

lais

sent

nos

pare

nts

àle

urm

ort,

mai

sau

cont

raire

d’es

saye

rde

préc

iser

cequ

’ils

nous

lègu

enta

um

omen

tde

notr

ena

issa

nce.

Un

prem

ieré

lém

entd

eré

pons

es’

impo

se:«

notr

eco

rps

bien

sûr!

»Il

est

enef

fet

cout

umie

rde

cons

tate

rqu

eno

uste

nons

d’eu

xla

form

ede

notr

eco

rps

etle

str

aits

deno

tre

visa

ge;«

unte

lres

sem

ble

àso

npè

reet

tela

utre

àsa

mèr

e…»

Lasc

ienc

ea

égal

emen

tdé

mon

tré

que

nous

teno

nsd’

eux

unca

pita

lgén

étiq

ue,c

equ

iexp

lique

pour

-qu

oino

tre

méd

ecin

s’in

tére

sse

aux

mal

adie

sde

nos

pare

nts

pour

conn

aîtr

eno

spr

opre

ste

ndan

ces;

«c’

estd

efa

mill

!Mai

sau

ssis

urle

plan

psyc

hiqu

e,un

cons

ensu

sse

mbl

es’

acco

rder

pour

dire

que

nous

hérit

ons

dece

r-ta

ins

dele

urs

trai

tsde

cara

ctèr

e,qu

alité

oudé

faut

;«El

lees

tint

ellig

ente

,elle

tient

çade

sam

ère

»!

Enm

ême

tem

ps,d

’un

tout

autr

epo

intd

evu

e,si

nous

nous

réfé

rons

àla

réin

carn

atio

n,no

usco

nven

ons

que

chaq

ueêt

rees

tun

een

tité

quis

’inca

rne

cycl

ique

men

tda

nsun

corp

spo

urpo

ursu

ivre

dans

chaq

uein

carn

atio

nco

nfor

mém

entà

lalo

ikar

miq

ueet

aude

ssei

nde

son

âme,

lepr

oces

sus

d’ex

pans

ion

deco

nsci

ence

,là

oùqu

alita

ti-ve

men

till

’ava

itla

issé

dans

l’inc

arna

tion

préc

éden

te.C

epo

stul

atim

pliq

uedo

ncqu

eps

ychi

quem

ente

tspi

ritue

lle-

men

t,no

usso

mm

esun

être

sing

ulie

ret

que

nous

héri-

tons

deno

us-m

êmes

enta

ntqu

’âm

e!N

ous

som

mes

alor

sde

vant

des

para

doxe

s:q

uand

nous

arriv

ons

enin

carn

atio

n,qu

’hér

itons

-nou

sde

nous

-m

êmes

etde

nos

expé

rienc

espa

ssée

set

par

aille

urs,

qu’h

érito

ns-n

ous

deno

spa

rent

s?

D’o

ùno

usvi

ent

ceco

rps

quiv

ase

rvir

devé

hicu

leà

notr

eâm

epo

urce

ttein

carn

atio

n?

C’es

tce

que

nous

allo

nsqu

estio

nner

en

Avec

les

avan

cées

dela

géné

tique

,le

conc

eptd

’hér

édité

s’es

tim

posé

dans

notre

cultu

reoc

cide

ntal

e.Le

corp

squ

eno

uslè

guen

tnos

pare

nts

est

porte

urde

l’hér

édité

fam

ilial

eet

donc

depr

édis

posi

tions

aux

mal

adie

s.No

usét

endo

nsas

sez

com

mun

émen

tce

conc

eptd

’hér

édité

phys

ique

àl’h

éréd

itéps

ychi

que

puis

que

l’évi

denc

em

ontre

que

nous

avon

sde

stra

itsde

cara

ctèr

een

com

mun

avec

nos

pare

nts.

Com

men

tco

ncili

erce

poin

tde

vue

géné

tique

avec

l’idé

ede

réin

carn

atio

nqu

ipos

tule

que

nous

pour

suiv

ons

notre

évol

utio

nde

vie

envi

e,se

lon

les

prin

cipe

sde

lalo

ikar

-m

ique

,ce

quii

mpl

ique

rait

que

nous

hérit

ons

deno

us-m

êmes

?1

Dans

lem

ême

tem

ps,d

este

chni

ques

actu

elle

sde

psyc

hoth

érap

ieda

nsle

cham

pde

laps

ycho

géné

alog

ietie

nnen

tco

mpt

ed’

une

«hé

rédi

téps

ychi

que

»m

ais

sous

une

form

eto

utà

fait

parti

cu-

lière

puis

que

nous

pour

rions

par«

loya

u-té

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ilial

e»,

endo

sser

etre

prod

uire

àno

trein

su,l

eco

mpo

rtem

entd

’un

pers

on-

nage

des

géné

ratio

nspr

écéd

ente

s.2

Desu

rcro

ît,da

nsso

nen

seig

nem

ents

urla

guér

ison

,le

Tibé

tain

affir

me

que

leco

rps

hum

ain

esti

mpr

égné

deso

uillu

res

hérit

ées

dupa

ssé

del’h

uman

itéet

enfo

uies

dans

leso

lde

laTe

rre.

L’ho

méo

path

ieda

nssa

rech

erch

ede

sca

uses

des

mal

adie

sch

roni

ques

aét

ése

nsib

leà

l’exi

sten

cede

ces

soui

llure

set

les

aap

pelé

es«

mia

smes

».Ce

sm

al-

adie

sch

roni

ques

colle

ctiv

esse

raie

nt-

elle

sno

treco

ntrib

utio

l’épu

ratio

ndu

karm

apl

anét

aire

?C’

esta

ussi

met

trel’a

ccen

tsur

lané

cess

itéde

prév

entio

npo

urgu

érir

leco

rps

deno

trepl

anèt

e.3

1.«

Qu’

hérit

ons-

nous

deno

spa

rent

s?

»pa

rM

arie

-Ag

nès

FREM

ON

T2.

«Le

corp

sph

ysiq

ue,m

essa

ger

deno

sém

otio

ns»

par

Eve

CON

DAM

INE

Leco

rps

mal

ade

»pa

rCa

rolin

eLO

UVE

L

>LE

CO

RP

SE

NH

ÉR

ITA

GE

Nou

sde

scen

dons

deno

spa

rent

s.N

ous

avon

sav

eceu

xde

spo

ints

dere

ssem

blan

cein

déni

a-bl

esau

tant

phys

ique

squ

eps

ychi

ques

.Po

urta

nten

vert

ude

lalo

ide

réin

carn

atio

net

dela

loi

karm

ique

,no

usso

mm

esun

être

spir

ituel

qui

pour

suit

son

évol

utio

nde

vie

envi

e.Al

ors,

qu’h

érito

ns-n

ous

deno

spa

rent

sau

mom

entd

eno

tre

nais

sanc

e?

4ème

PARTIE

[MA

RIE

-AG

SFR

EM

ON

T]

52[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

nous

appu

yant

surl

esen

seig

nem

ents

dela

Sage

sse

imm

émor

iale

etpa

rtic

uliè

rem

ent

sur

les

écrit

sd’

Alic

eBa

iley.

Un

eâm

eva

seré

inca

rner

…To

utd’

abor

d,qu

’en

est-

ilde

l’êtr

een

tre

deux

inca

rnat

ions

?En

cont

acta

vec

l’âm

e,il

s’im

prèg

nede

son

dess

ein.

Les

diffé

rent

esen

velo

ppes

desa

dern

ière

inca

rnat

ion

(cor

psde

nse,

corp

sét

hériq

ue,

corp

sém

otio

nnel

,cor

psm

enta

l)on

tété

élim

inée

set

seul

rest

ele

corp

sca

usal

(cor

psde

l’âm

e).C

’est

cede

rnie

rqui

vape

rmet

tre

laco

ntin

uité

del’e

xpér

ienc

ed’

une

inca

rnat

ion

àl’a

utre

car

ilco

ntie

ntle

sfo

rces

vita

les

del’ê

tre

etle

sfa

cteu

rsco

nditi

onna

nts

pour

sapr

ocha

ine

inca

rnat

ion

:tro

isat

omes

perm

anen

tset

troi

sge

rmes

dufu

tur.

Troi

sat

omes

perm

anen

ts

Alor

squ

’iln’

exis

teau

cune

perm

anen

cede

sco

rps

quis

ontc

onst

ruits

tem

pora

irem

entp

uis

diss

ous

par

l’âm

e,le

sat

omes

perm

anen

tsso

ntde

sun

ités

d’é-

nerg

ie,d

espe

tits

cent

res

defo

rce

quir

asse

mbl

ente

neu

x-m

êmes

les

qual

ités

acqu

ises

etle

sco

nser

vent

selo

nla

loik

arm

ique

,afin

qu’e

lles

puis

sent

agir

etse

man

ifest

eren

tant

qu’im

puls

ion

dupl

ande

l’âm

chaq

ueno

uvel

lein

carn

atio

n.Ce

sont

donc

des

«ce

l-lu

les

mém

oris

ante

dépo

sita

ires

del’e

xpér

ienc

edu

pass

é,de

squ

alité

sac

quis

eset

dela

note

parti

culiè

redu

corp

s(é

thér

ique

,ast

ral,

men

tal)

dont

ilsso

ntle

sno

yaux

.C’e

stau

tour

dech

acun

d’eu

xqu

ese

cons

-tru

iront

les

nouv

eaux

corp

s.En

d’au

tres

term

es,d

’in-

carn

atio

nen

inca

rnat

ion,

ilsco

nser

vent

l’hér

édité

phys

ique

etps

ychi

que

del’ê

tre.

Troi

sge

rmes

dufu

tur

Ceso

ntce

str

ois

germ

esdu

futu

r1qu

iass

uren

tdi

rect

emen

tla

cont

inui

téd’

une

inca

rnat

ion

àl’a

utre

.Ils

sont

déte

rmin

ésim

méd

iate

men

tapr

èsla

mor

t.Au

cont

actd

irect

deso

nâm

e,l’ê

tre

aper

çoit

tout

esle

sex

périe

nces

deso

nin

carn

atio

npa

ssée

.Ili

sole

trois

d’en

tre

elle

squ

iont

été

les

fact

eurs

cond

ition

nant

sm

ajeu

rsda

nsla

vie

quis

’est

écou

lée

etqu

idét

ienn

ent

les

clés

desa

proc

hain

ein

carn

atio

n.To

utle

rest

ees

tou

blié

ets’

effa

cede

sam

émoi

rene

lais

sant

dans

saco

nsci

ence

que

ces

«tr

ois

grai

nes

ouge

rmes

dufu

tur

»re

liés

dire

ctem

enta

uxat

omes

perm

anen

ts

phys

ique

etas

tral.

Lepr

emie

rser

adé

term

inan

tpou

rtro

uver

l’ent

oura

geph

ysiq

ueda

nsle

quel

iltro

uver

asa

plac

son

reto

ur.L

ese

cond

germ

edé

term

iner

ala

qual

itédu

futu

rco

rps

éthé

rique

etpl

uspa

rticu

liè-

rem

entl

ece

ntre

quis

era

lepl

usac

tifda

nsl’i

ncar

na-

tion

àve

nir.

Letro

isiè

me

détie

ntla

clé

dufu

turc

orps

émot

ionn

el.C

’est

luiq

uim

ettra

deno

uvea

ul’ê

treen

rela

tion

avec

ceux

qu’il

aai

més

préc

édem

men

tou

avec

quii

laeu

des

cont

acts

étro

its.

Sché

ma

1:Co

rps

caus

alen

tre

deux

inca

rnat

ions

L’âm

eco

nstr

uits

esen

velo

ppes

Qua

ndle

mom

ent

est

venu

dese

réin

carn

er,

l’âm

eva

reco

nstr

uire

ses

diffé

rent

sco

rps

enfo

nc-

tion

deso

nde

ssei

npo

url’i

ncar

natio

nqu

ise

prép

are.

Chaq

ueco

rps

aura

les

cara

ctér

istiq

ues

vibr

atoi

res

néce

ssai

res

pour

perm

ettr

el’a

vanc

éeda

nsla

nou-

velle

expé

rienc

e,m

ais

dans

les

limite

spo

sées

parl

esco

ntra

inte

ska

rmiq

ues.

Qua

ndl’â

me

émet

son

dess

ein

etfa

itre

tent

irsa

note

,cha

que

atom

epe

rman

entr

éagi

tvib

rato

irem

ent

eta

lepo

uvoi

rde

reco

nstr

uire

lafo

rme

appr

oprié

e.C’

estd

’abo

rdla

cons

truc

tion

duco

rps

men

talà

par-

tirde

l’ato

me

men

talp

erm

anen

t,pu

isle

corp

sém

o-tio

nnel

àpa

rtir

del’a

tom

eas

tral

perm

anen

tlu

i-m

ême

spéc

ifié

parl

etr

oisi

ème

germ

edu

futu

r,pu

isle

corp

sét

hériq

ueco

nstr

uitl

uiau

ssià

part

irde

l’a-

tom

eét

hériq

uepe

rman

ente

tdu

germ

edu

futu

rqu

ile

cond

ition

ne.E

nou

tre,

com

pte

tenu

dela

gran

deur

dude

ssei

nde

l’âm

equ

icou

vre

tout

uncy

cle

d’in

car-

natio

ns,

chaq

ueex

périe

nce

terr

estr

en’

est

qu’u

npe

titpa

sda

nsle

dépl

oiem

ent

dela

cons

cien

ceet

l’âm

ea

donc

pour

chaq

uein

carn

atio

nun

dess

ein

spéc

ifiqu

elim

itéà

unax

equ

alita

tifpa

rtic

ulie

r.C’

est

pour

quoi

alor

squ

ele

rayo

nde

l’âm

ees

tper

man

ent

pour

ungr

and

cycl

ed’

inca

rnat

ions

,les

rayo

nsde

lape

rson

nalit

éet

des

diffé

rent

sco

rps

sont

chan

gean

tsd’

une

inca

rnat

ion

surl

’aut

re.D

ece

ttefa

çon,

ench

oi-

siss

antl

esra

yons

desa

form

e,l’â

me

déte

rmin

el’e

s-se

nce

qual

itativ

ede

lafu

ture

expé

rienc

eet

enac

cord

Les

troi

sat

omes

perm

anen

ts(é

thé-

rique

,as

tral

,m

enta

l)ga

rden

tl’e

s-se

nce

des

corp

s.Ce

sont

les

noya

uxqu

iper

met

tron

tla

reco

nstr

uctio

nde

nouv

eaux

corp

s.

Les

troi

sge

rmes

dufu

tur

gard

entl

am

émoi

rede

troi

sfa

cteu

rsco

nditi

on-

nant

sm

ajeu

rsde

l’inc

arna

tion

pas-

sée.

Ces

fact

eurs

sero

ntac

tifs

dans

lapr

ocha

ine

inca

rnat

ion.

1BA

ILEY

A.G

uéris

onEs

otér

ique

,Edi

tions

Luci

sTr

ust,

p.fr

ança

ise

385-

386.

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

3

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

avec

lalo

ikar

miq

uedo

teso

nvé

hicu

lede

sca

paci

tés

etde

slim

itatio

nsné

cess

aire

spo

urqu

epu

isse

s’ac

-co

mpl

irso

nde

ssei

nsp

écifi

que

etqu

ele

sré

ajus

te-

men

tska

rmiq

ues

puis

sent

opér

er.I

len

résu

ltera

les

vale

urs,

les

tend

ance

s,le

str

aits

deca

ract

ère,

les

préd

ispo

sitio

nspo

sitiv

eset

néga

tives

del’ê

tre

enin

carn

atio

n.Su

rle

sché

ma

2,no

usav

ons

repr

ésen

tépa

rdes

petit

ssi

gnes

les

préd

ispo

sitio

nspo

sitiv

eset

néga

tives

quiv

ontê

tre

activ

esda

nsla

futu

rein

car-

natio

net

déte

rmin

ente

nfa

itle

sgr

ands

axes

detr

a-va

ilai

nsiq

uele

sop

port

unité

sd’

avan

cée.

Ace

stad

e,su

rles

plan

ssu

btils

tout

estd

éjà

làet

nous

pouv

ons

dire

que

lefu

turê

tre

hum

ain

ahé

rité

delu

i-mêm

een

tant

qu’ê

tre

spiri

tuel

!Po

url’i

nsta

nt,

iln’

exis

teen

core

aucu

neco

ntre

part

ieda

nsla

mat

ière

dens

e,et

pour

caus

e,la

conc

eptio

nn’

apa

sen

core

eulie

u!

Pour

selo

calis

erda

nsun

efo

rme

dens

e,l’ê

tre

qui

s’in

carn

ea

beso

inde

laco

ntrib

utio

nd’

autr

esêt

res

déjà

inca

rnés

pour

luif

ourn

irun

corp

sph

ysiq

uede

nse,

form

est

ricte

men

tmat

érie

llequ

idoi

têtr

eel

leau

ssi,

lapl

usad

apté

epo

ssib

lepo

urqu

ele

dess

ein

del’â

me

puis

sese

réal

iser

.

L’êt

rein

téri

eur

selo

cali

sed

ans

lem

on

de

exté

rieu

rCe

ttelo

calis

atio

nda

nsle

mon

deex

térie

urva

sefa

iregr

âce

àl’â

me,

enve

rtu

dela

loid

’attr

actio

nqu

iva

gara

ntir

lané

cess

aire

cohé

renc

een

tre

lem

onde

inté

rieur

etle

mon

deda

nsle

quel

l’êtr

eva

évol

uer

tout

aulo

ngde

son

inca

rnat

ion.

Pour

l’êtr

equ

is’in

-

carn

e,ce

sont

tout

esle

sca

ract

éris

tique

sdé

jàin

scri-

tes

dans

ses

diffé

rent

sco

rps

quiv

onte

ntre

ren

réso

-na

nce

avec

lem

onde

dela

form

e,le

slie

uxet

les

être

squ

iyso

ntin

carn

és.I

lva

sepr

odui

reun

eat

trac

-tio

nm

utue

llequ

iva

perm

ettr

eau

nouv

eau

venu

defa

irel’u

ltim

ede

scen

tesu

rle

spl

ans

dens

eset

ains

ide

trou

vers

apl

ace

enin

carn

atio

n.

Que

lsse

ront

ses

pare

nts

?

Cech

oix

estp

orte

urd’

unen

jeu

deta

ille

cari

lva

fixer

l’env

ironn

emen

tm

enta

let

émot

ionn

elda

nsle

quel

l’enf

antv

aêt

reac

cuei

lliet

auss

ila

qual

itédu

corp

sde

nse

quiv

alu

iéch

oir.

L’at

trac

tion

mut

uelle

entr

el’ê

tre

quis

eré

inca

rne

etse

sfu

turs

pare

nts

vaop

érer

àpa

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des

ligne

sd’

éner

gie

activ

ées

dans

ses

diffé

rent

sco

rps,

com

me

nous

l’avo

nsvu

préc

édem

-m

ent,

etau

ssip

arle

sge

rmes

dufu

turq

uipa

rmit

ous

les

pare

nts

poss

ible

svo

ntle

ram

ener

vers

des

être

squ

’ila

déjà

conn

us.

Surl

epl

aném

otio

nnel

etm

enta

l,il

retr

ouve

rale

spa

rent

sle

spl

usap

prop

riés

pour

luid

onne

rl’e

nvi-

ronn

emen

tpsy

chiq

uené

cess

aire

quiv

aau

ssir

aviv

erla

mém

oire

dese

slim

itatio

nska

rmiq

ues

etdo

ncl’e

njoi

ndre

dele

str

ansf

orm

er.A

vec

eux,

ilva

avoi

rl’o

ppor

tuni

téde

parf

aire

ses

rela

tions

indi

vidu

elle

-m

ente

ten

grou

pe2 .C

eso

ntce

sm

êmes

pare

nts

qui

vont

luif

ourn

irun

corp

sde

nse.

Laco

nstr

ucti

ondu

corp

sph

ysiq

ueLà

enco

rel’â

me

vach

oisi

rle

corp

sle

plus

appr

o-pr

iépo

urlu

iper

met

tre

d’ap

pren

dre

cert

aine

sle

çons

.O

utre

lefa

cteu

res

thét

ique

,opé

rate

urno

nné

glig

ea-

CORP

SCA

USAL

AVEC

ATOM

ESPE

RMAN

ENTS

ETGE

RMES

DUFU

TUR

CORP

SSU

BTIL

SDE

L'ET

REQU

ISE

REIN

CARN

E

Corp

sm

enta

lave

cse

spr

édis

posi

tions

Corp

sém

otio

nnel

avec

ses

préd

ispo

sitio

ns

Corp

sét

heriq

ueav

ecse

spr

édis

posi

tions

Sché

ma

2-C

onst

ruct

ion

des

corp

ssu

btils

àpa

rtir

des

atom

espe

rma-

nent

set

des

germ

esdu

futu

reta

vec

les

préd

ispo

siti

ons

posi

tive

set

néga

tive

ssp

écifi

quem

enta

ctiv

espo

urla

futu

rein

carn

atio

n

2.Vo

irl’a

rtic

lede

Eve

Cond

amin

eda

nsce

mêm

enu

mér

o.

54[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

ble

sur

lepl

anka

rmiq

ue,

les

cara

ctér

istiq

ues

duco

rps

phys

ique

sont

déte

rmin

ante

spo

urla

sant

éfu

ture

del’ê

tre

quis

’inca

rne.

Not

reco

rps

phys

ique

est

doub

le,é

thér

ique

etde

nse,

mai

sse

ulle

corp

sét

hériq

uees

tla

créa

tion

del’â

me.

Ila

été

reco

nstr

uità

part

irde

l’ato

me

éthé

-riq

uepe

rman

ent

spéc

ifié

par

lese

cond

germ

edu

futu

r.Q

uand

lano

tede

l’âm

es’

estr

éper

cuté

esu

rle

plan

phys

ique

,elle

apr

odui

tl’in

carn

atio

nph

ysiq

ueet

l’app

ariti

onde

sse

ptce

ntre

sm

ajeu

rssu

rle

plan

éthé

rique

.En

effe

t,l’ê

tre

hum

ain

este

ssen

tielle

men

tun

être

éthé

rique

.Le

corp

sde

nse,

lui,

n’es

tpas

unpr

inci

pe,i

lest

sous

lese

uild

uch

amp

d’ac

tion

del’â

me.

Iles

tco

mpo

séd’

atom

esqu

iso

ntso

usle

cont

rôle

del’é

lém

enta

lde

notr

epl

anèt

e,l’E

sprit

dela

Terr

e,vi

equ

ipou

rsui

tso

npr

opre

prog

rès

sur

laco

urbe

invo

lutio

nnai

rede

lam

anife

stat

ion.

C’es

tpo

urqu

oila

mal

adie

esti

nhér

ente

àla

natu

rem

ême

des

form

esca

relle

met

enje

ule

sim

perf

ectio

nsdo

ntso

uffr

el’E

sprit

dela

Terr

e.Ai

nsil

afo

rme

dens

ecr

éée

esti

névi

tabl

emen

tim

prég

née

des

soui

llure

sin

hé-

rent

esà

l’élé

men

talp

lané

taire

3 .Nou

svo

yons

auss

iqu

el’e

xpér

ienc

ehu

mai

neda

nsun

corp

sde

nse

fait

part

iedu

gran

dpr

oces

sus

évol

utif

plan

étai

reca

rc’

estu

neop

port

unité

deco

ntrib

uer

àl’é

pura

tion

dece

sso

uillu

res.

Lam

alad

iees

tdo

ncin

hére

nte

àl’e

xpér

ienc

ehu

mai

ne,m

ais

bien

plus

qu’u

neép

reuv

e,el

lees

tun

proc

essu

sde

régu

latio

nab

solu

men

tnéc

essa

ire.E

nef

fet,

quan

dun

fact

eur

inté

rieur

indé

sira

ble

nepa

r-vi

entp

asà

être

régu

lésu

rle

plan

psyc

hiqu

e,la

mal

-ad

iees

tfré

quem

men

tun

mod

ede

liqui

datio

ndo

ntle

sef

fets

ulté

rieur

sso

ntbé

néfiq

ues.

De

plus

,qua

ndla

caus

ein

térie

ure

este

xpos

ée,i

ldev

ient

poss

ible

dela

com

pren

dre.

L’âm

edo

itdo

ncch

oisi

rpo

urs’

inca

rner

une

fam

ille

quil

ado

tera

d’un

corp

sde

nse

ayan

tune

pré-

disp

ositi

ongé

nétiq

uena

ture

lleà

cont

ract

erle

sm

al-

adie

sen

réso

nanc

eav

ecce

quid

oitê

tre

trav

aillé

sur

les

plan

sin

térie

urs.

C’es

tle

corp

sét

hériq

uequ

iest

l’out

ilde

l’âm

epo

urré

alis

erce

taju

stem

ent;

méd

ia-

teur

entr

ele

spl

ans

inté

rieur

set

lafo

rme

dens

e,il

est

réce

pteu

rde

sin

form

atio

nsém

anan

tdes

diffé

rent

sco

rps

subt

ilset

ille

str

ansf

orm

een

form

esm

oléc

u-la

ires

dens

es.C

’est

ains

iqu’

àch

aque

inst

anti

lexi

ste

une

cohé

renc

een

tre

l’êtr

ein

térie

uret

son

corp

sde

nse.

Enco

nséq

uenc

e,le

sfu

turs

pare

nts

avec

qui

l’êtr

ees

tent

réen

réso

nanc

esu

rle

plan

psyc

hiqu

e

sont

auss

iceu

xqu

ivon

tlui

donn

erle

corp

sde

nse

adéq

uatc

arle

urpr

opre

corp

sde

nse

este

nco

hé-

renc

eav

ecle

urs

prop

res

cara

ctér

istiq

ues

psy-

chiq

ues.

C’es

tce

que

nous

essa

yons

dere

prés

ente

rda

nsle

sché

ma

3.

Qu

elq

ues

réfl

exio

ns

s’im

po

sen

t…1

-L’ê

tre

quis

’inca

rne

ress

embl

eph

ysiq

uem

ent

àse

spa

rent

sm

ais

iln’

enes

tpas

moi

nsun

être

tota

-le

men

tsin

gulie

r.So

nco

rps

ress

embl

celu

ide

ses

pare

nts

dela

mêm

efa

çon

qu’u

nob

jetd

’art

enbo

isau

rait

des

trai

tsco

mm

uns

avec

unau

tre

obje

tiss

udu

mêm

ear

bre.

Iln’

ende

meu

repa

sm

oins

que

c’es

tl’a

rtis

tecr

éate

urqu

idon

nel’â

me

àsa

créa

tion.

Attrac

tion

Attrac

tion

INCARNATION

PA

RE

NT

1P

AR

EN

T2

EN

FA

NT

Sché

ma

3:C

hacu

nde

spa

rent

sa

unco

rps

dens

epo

rteu

rde

préd

ispo

siti

ons

géné

tiqu

esen

réso

nanc

eav

ecse

sca

ract

é-ris

tiqu

essu

btile

s.La

loid

’att

ract

ion

met

l’êtr

equ

is’in

carn

een

rela

tion

avec

les

être

sin

carn

ésqu

iré

sonn

ent

avec

ses

prop

res

capa

cité

set

limit

atio

nssu

btile

s.En

cons

éque

nce,

ces

mêm

esêt

res

pour

ront

lui

four

nir

leco

rps

port

eur

des

préd

ispo

siti

ons

géné

tiqu

esqu

ilui

sont

néce

ssai

res.

3Vo

irl’a

rtic

lede

Caro

line

Louv

elda

nsce

mêm

enu

mér

o

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

5

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

2-E

nna

issa

nt,l

’enf

anth

érite

d’un

capi

talg

éné-

tique

issu

dese

sde

uxpa

rent

s.En

vert

ude

ceca

pi-

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énét

ique

iles

taffl

igé

depr

édis

posi

tions

àla

mal

-ad

iem

ais

ilne

ladé

clar

era

pas

pour

auta

nt.E

nef

fet,

tout

em

alad

ieré

sulte

dede

uxca

uses

,une

inté

rieur

e(la

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eps

ycho

logi

que)

l’aut

reex

térie

ure

(laca

use

héré

dita

ire),

mai

sc’

estl

asi

tuat

ion

subj

ectiv

equ

iest

laca

use

initi

ale.

Enco

nséq

uenc

e,la

mal

adie

nese

radé

clar

éequ

esi

laca

use

subj

ectiv

evi

enta

ctiv

erla

préd

ispo

sitio

nhé

rédi

taire

.A

l’inv

erse

,pa

rso

nex

pans

ion

deco

nsci

ence

,l’ê

tre

pour

raré

ussi

mod

ifier

cert

aine

sca

ract

éris

tique

sgé

nétiq

ues

etil

sera

alor

sen

mes

ure

detr

ansm

ettr

ses

prop

res

enfa

nts

unco

rps

plus

affin

é.

3-S

urle

plan

psyc

hiqu

e,l’ê

tre

prés

ente

effe

cti-

vem

entd

esat

trib

uts

com

mun

sav

ecl’u

nou

l’aut

rede

ses

pare

nts.

Mai

sce

n’es

tpa

sun

hérit

age.

Pare

nts

eten

fant

ontd

estr

aits

deca

ract

ère

enco

m-

mun

car

sur

lepl

anin

térie

urils

trav

aille

ntsu

rde

spr

oblé

mat

ique

sid

entiq

ues

ouco

mpl

émen

taire

s.La

loid

’attr

actio

net

lalo

ikar

miq

uele

uron

tper

mis

dese

retr

ouve

r.Le

mili

eufa

mili

alne

man

quer

apa

sd’

activ

er(p

our

lem

eille

uret

pour

lepi

re!)

lase

nsi-

bilit

éde

sun

set

des

autr

es.C

ese

rapo

urch

acun

une

gran

deop

port

unité

deré

gula

tion.

CO

NC

LUSI

ON

Qua

ndl’â

me

réac

tive

lepr

oces

sus

d’in

carn

atio

n,el

lepr

ovoq

uela

cons

truc

tion

d’un

corp

s,m

erve

ille

d’éq

uilib

re,a

ppro

prié

àso

nde

ssei

n.Ce

proc

essu

squ

in’e

stqu

’en

balb

utie

men

tqua

ndl’â

me

estj

eune

,ac

quie

rtto

ute

sapu

issa

nce

dans

une

âme

adul

tequ

ipr

end

peu

àpe

ula

maî

tris

ede

lape

rson

nalit

é.En

tant

qu’ê

tre

spiri

tuel

occu

pant

une

form

ede

nse,

nous

nepo

uvon

squ

’avo

irde

lagr

atitu

depo

urce

corp

sav

ecso

nin

géni

euse

adap

tabi

lité

etsa

nsle

quel

aucu

neex

périe

nce

nese

rait

poss

ible

.Mai

sil

ests

tu-

péfia

ntde

réal

iser

com

bien

dans

cem

onde

exté

rieur

,no

uspo

uvon

sfa

cile

men

tnou

sla

isse

rav

eugl

erpa

rla

form

een

conf

onda

ntle

sef

fets

etle

sca

uses

.Ce

rtes

,nou

sde

vons

énor

mém

enta

uxpa

rent

squ

ino

uson

tacc

ueill

iset

nous

ontp

erm

isde

vivr

ece

tteex

périe

nce

terr

estr

e.L’

appa

renc

epo

urra

itno

usfa

irecr

oire

qu’il

sno

uson

tlég

uéau

tant

leur

spa

rtic

ular

i-té

sps

ychi

ques

que

phys

ique

s,m

ais

iln’

enes

trie

n!

De

mêm

e,il

estu

rgen

td’a

rrêt

erde

leur

attr

ibue

rnos

défa

uts

etno

slim

itatio

ns(c

omm

eno

usle

fais

ons

enco

retr

opso

uven

t),c

arto

utce

la,n

ous

l’hér

itons

deno

us-m

êmes

etno

usso

mm

esau

ssil

esse

uls

àpo

uvoi

rle

tran

sfor

mer

!

DES

ÉCH

OS…

DES

ÉCH

OS…

Edou

ard

Zari

fian

:un

gran

dps

ychi

atre

d’or

ient

atio

nhu

man

iste

en19

41,E

doua

rdZa

rifia

nes

tmor

ten

févr

ier

der-

nier

àl’â

gede

66an

s.U

nede

ses

amie

s,la

psyc

hana

lyst

eEl

izab

eth

Rou

dine

sco

luia

écrit

dans

lem

onde

du24

févr

ier

2007

,un

vibr

anth

omm

age

dont

nous

rapp

orto

nsqu

elqu

eslig

nes. Ap

rès

ses

étud

esde

méd

ecin

e,il

com

men

çapa

rs’

o-rie

nter

vers

leco

uran

tde

psyc

hiat

riebi

olog

ique

.Ilp

ensa

ital

ors

sinc

èrem

entq

uele

spr

ogrè

sde

sne

uros

cien

ces

etde

l’im

ager

iecé

rébr

ale

appo

rter

aien

tune

solu

tion

quas

idéf

i-ni

tive

autr

aite

men

tde

lam

alad

iem

enta

le.A

ussi

devi

nt-il

unex

celle

ntsp

écia

liste

debi

ochi

mie

etde

phar

mac

olog

ie.

Ensu

ite,i

lcom

prit

qu’il

avai

tfai

tfau

sse

rout

eet

que

l’o-

rient

atio

npu

rem

entb

iolo

giqu

eet

com

port

emen

tale

pris

epa

rla

psyc

hiat

riem

ondi

ale

étai

tune

cata

stro

phe

pour

laps

ychi

atrie

elle

-mêm

epu

isqu

’elle

élim

inai

tl’é

cout

ede

laso

uffr

ance

dusu

jetp

our

nes’

inté

ress

erqu

’àla

chim

iedu

corp

s.

Titu

laire

dela

chai

rede

psyc

hiat

rieà

l’uni

vers

itéde

Caen

àpa

rtir

de19

84,i

locc

upa

donc

une

plac

ece

ntra

leda

nsle

sdé

bats

quio

ppos

aien

tles

part

isan

sde

l’app

roch

eps

ychi

que

àce

uxde

l’app

roch

ecé

rébr

ale

(chi

mie

duce

r-ve

au).

Ilso

utin

tque

lacr

oyan

ceen

unps

ychi

sme

sans

cer-

veau

étai

taus

sier

roné

equ

ela

conc

eptio

nsc

ient

iste

d’un

cerv

eau

sans

psyc

hé.D

ans

cette

optiq

ue,i

lse

rapp

roch

ade

laps

ycha

naly

sepo

urso

néc

oute

dela

psyc

héhu

mai

neet

sare

conn

aiss

ance

dela

sing

ular

itéde

l’êtr

eto

tale

men

tirr

éduc

tible

àun

enfe

rmem

entd

ans

les

méc

anis

mes

bio-

chim

ique

sde

son

corp

sph

ysiq

ue.A

vec

Pier

reFé

dida

etR

olan

dG

orii

lfor

ma

une

solid

eéq

uipe

univ

ersi

taire

atta

-ch

éeau

tant

aux

vert

usde

lavr

aie

scie

nce

biol

ogiq

uequ

’àun

evi

sion

subj

ectiv

ede

l’êtr

ehu

mai

n.

Ilfu

tl’a

uteu

rde

plus

de45

0pu

blic

atio

nset

d’un

edi

zain

ed’

ouvr

ages

,tou

sde

sbe

st-s

elle

rste

lsqu

e:«

Les

jard

inie

rsde

lafo

lie»,

«D

espa

radi

spl

ein

latê

te»,

«La

forc

ede

guér

ir».

En19

96,u

nau

tre

dese

sou

vrag

esfit

gran

dbr

uit,

luiv

alan

tun

eop

posi

tion

tena

cedu

mili

eum

édic

al:«

LePr

ixdu

bien

-êtr

e,Ps

ycho

trop

eset

soci

été

».Il

ydé

mon

trai

t,pr

euve

l’app

ui,l

’inef

ficac

itéde

lapl

upar

tde

str

aite

men

tsch

imiq

ues

quan

dils

étai

ent

déliv

rés

dem

aniè

reab

usiv

eet

àla

plac

ed’

autr

esap

proc

hes

telle

squ

ela

psyc

hana

lyse

etla

psyc

hoth

érap

ie.

Jusq

u’au

bout

,iln

’eut

dece

sse

dem

ilite

rpo

urun

eap

proc

hehu

man

iste

etpl

urie

llede

laso

uffr

ance

psyc

hiqu

e.

56[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

Al’é

poqu

ede

mes

étud

esà

laFa

culté

dem

éde-

cine

àPa

ris,j

en’

aigu

ère

ente

ndu

parle

rde

«mal

adie

psyc

hoso

mat

ique

»,ex

pres

sion

dans

notr

eco

rps

phys

ique

dece

que

nous

vivo

nsém

otio

nnel

lem

ent.

Seul

unps

ychi

atre

,qui

pass

aitr

égul

ière

men

tdan

sle

serv

ice

dem

édec

ine

géné

rale

oùj’é

tais

inte

rne,

m’a

-va

itdi

tcom

me

une

évid

ence

que

dans

une

situ

atio

nps

ycho

logi

quem

enti

next

ricab

le,u

npa

tient

ase

ule-

men

ttro

ispo

ssib

ilité

s,to

utes

dram

atiq

ues:

soit

ilse

suic

ide,

soit

ilm

eurt

rapi

dem

ent(

d’un

acci

dent

oud’

une

mal

adie

foud

roya

nte)

,soi

til

devi

ent

fou.

Ilm

’ava

itpa

rléde

plus

ieur

sca

squ

im’o

ntfo

rtem

ent

impr

essi

onné

e.En

part

icul

ier,

ilac

com

pagn

ait

unje

une

hom

me

quia

vait

une

form

ede

canc

erde

sos

,et

dont

lese

ul«t

raite

men

t»co

nsis

tait

ende

sam

pu-

tatio

nssu

cces

sive

sau

fure

tàm

esur

ede

l’évo

lutio

nde

lam

alad

iele

long

dese

sm

embr

esin

férie

urs.

Etau

mom

ento

ùsu

rven

aitu

neat

tein

tede

sos

duba

s-si

n,un

epe

rson

nede

safa

mill

ees

tdéc

édée

,etl

atu

meu

rs’e

stm

ise

àré

gres

ser(

heur

euse

men

t,ca

ron

nepo

uvai

tl’a

mpu

terd

el’o

sili

aque

).Et

selo

nl’i

nter

-pr

état

ion

dups

ychi

atre

,c’e

stpa

rce

que

lape

rson

ne«m

ortif

ère»

dusy

stèm

efa

mili

alét

ait

mai

nten

ant

défu

nte

que

leje

une

hom

me

avai

tpu

guér

ir.Au

cune

autr

era

ison

,plu

s«s

cien

tifiq

ue»,

c’es

t-à-

dire

adm

ise

par

leco

rps

méd

ical

,n’a

puex

pliq

uer

cette

rém

is-

sion

,tra

itée

dès

lors

de«s

pont

anée

»,la

rela

tion

deca

use

àef

fetp

sych

osom

atiq

uen’

étan

tpas

reco

n-nu

e. J’ai

mer

ais

part

ager

avec

vous

des

exem

ples

mar

quan

ts,i

ssus

dem

apr

atiq

uem

édic

ale,

quio

ntor

ient

ém

avi

epr

ofes

sion

nelle

dem

édec

inos

téop

a-th

eve

rsl’e

xerc

ice

dela

psyc

hoth

érap

ie.

Dan

sce

mêm

ehô

pita

lde

banl

ieue

,j’a

iren

cont

réun

hom

me

dont

ledi

abèt

ein

sulin

o-dé

pend

ants

’éta

itdé

clen

ché

aum

omen

toù

ilav

aité

télic

enci

é(le

chô-

mag

en’

étai

tpa

sen

core

auss

ifré

quen

t),e

tun

anpl

usta

rd,

quan

dil

are

trou

védu

trav

ail

(et

sadi

gnité

),no

usav

ons

assi

sté

avec

surp

rise

àla

res-

taur

atio

nde

l’int

égra

lité

des

fonc

tions

endo

crin

esde

son

panc

réas

.

Lors

dure

mpl

acem

entd

’un

méd

ecin

géné

ralis

te,

jesu

isal

lée

envi

site

chez

une

patie

nte

quis

ouffr

ait

d’un

esc

iatiq

uequ

ine

céda

itpa

sau

trai

tem

enta

ntal

-gi

que

etan

ti-in

flam

mat

oire

inst

auré

par

lem

édec

inqu

elqu

esjo

urs

aupa

rava

nt.U

nebr

ève

séan

ced’

os-

téop

athi

ecr

ânie

nne

ane

ttem

ent

amél

ioré

lape

r-so

nne,

quim

’ara

ppel

éetr

ois

jour

spl

usta

rdca

rla

doul

eur

étai

tred

even

uein

supp

orta

ble,

àla

suite

dum

ouve

men

tqu

’elle

avai

tfa

itpo

urre

cevo

irla

der-

nièr

ein

ject

ion

dans

lafe

sse!

Une

para

lysi

edu

gros

orte

ils’

étai

tajo

utée

auta

blea

ucl

iniq

ue(c

equ

iaur

ait

dûm

eco

ndui

reà

hosp

italis

erce

ttepe

rson

neen

neur

olog

ie,e

nur

genc

e!)

etce

ttefo

is-là

,l’o

stéo

n’a

pas

appo

rté

deso

ulag

emen

t.Pr

ise

d’un

ein

spira

tion

soud

aine

,j’a

idit

àla

dam

equ

’elle

avai

tpe

ut-ê

tre

d’au

tres

rais

ons

d’en

avoi

rple

inle

dos.

Elle

m’a

alor

spa

rléun

ehe

ure

dura

ntde

saco

lère

cont

reso

nex

-m

ari,

chez

quil

esen

fant

sét

aien

ten

vaca

nces

pour

lapr

emiè

refo

isde

puis

que

lapr

océd

ure

dedi

vorc

eét

aite

nco

urs,

etde

satr

iste

sse

d’en

être

arriv

éelà

.Pu

is,p

our

me

dire

aure

voir,

elle

s’es

tle

vée

d’un

bond

deso

nlit

,etj

’aié

téte

llem

ents

urpr

ise

que

jelu

iai

ditd

efa

ireat

tent

ion,

ceà

quoi

elle

m’a

répo

ndu

enria

nt:«

nevo

usfa

ites

pas

deso

uci,

doct

eur,

jeva

isbi

enm

aint

enan

t»!!

Dep

uis,

lam

édec

ine

clas

siqu

efa

itfa

cile

men

tla

rela

tion

entr

ele

sin

farc

tus

dum

yoca

rde

des

chef

sd’

entr

epris

eet

leur

spr

édis

posi

tions

phys

ique

s(t

abag

ism

e,hy

perli

pidé

mie

,sur

char

gepo

ndér

ale…

)as

soci

ées

aux

fact

eurs

psyc

hiqu

es,c

omm

ele

stre

sspr

ofes

sion

nel.

De

mêm

e,il

estc

onnu

qu’u

nin

farc

tus

ouun

canc

erpe

uven

tsur

veni

ràla

suite

dudé

cès

duco

njoi

nt,e

tque

cert

ains

canc

ers

duse

inse

décl

aren

lasu

ited'

une

sépa

ratio

ndu

coup

le,n

onso

uhai

tée

parl

afe

mm

e.

LEC

OR

PSPH

YSIQ

UE,

MES

SAG

ERD

EN

OS

ÉMO

TIO

NS

Nos

émot

ions

prés

ente

set

pass

ées

s’ex

prim

ent

dans

notr

eco

rps

par

des

sym

ptôm

esou

des

mal

adie

s.Vo

ici

quel

ques

illus

trat

ions

del’u

tilis

atio

nde

cette

qual

itéde

mes

sage

rdu

corp

sph

ysiq

ueda

nsla

pass

ionn

ante

prat

ique

des

Cons

tella

tions

Fam

ilial

esqu

iper

met

tent

d’ét

ablir

deju

stes

rela

tions

par

laco

mpr

éhen

sion

etl’i

nclu

sivi

téde

l’Am

our.

[DR

EV

EC

ON

DA

MIN

E]

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

7

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

Leco

rps

éthé

rique

estl

’inte

rfac

een

tre

leco

rps

émot

ionn

elet

leco

rps

phys

ique

dens

e.D

ans

cede

r-ni

er,l

’info

rmat

ion

circ

ule

ensu

itegr

âce

aux

horm

o-ne

squ

iont

lerô

lede

neur

otra

nsm

ette

urs.

Par

exem

ple,

nous

savo

nsqu

esi

jevi

sun

egr

ande

colè

re,l

’adr

énal

ine

sécr

étée

enré

pons

cet

état

dest

ress

vaen

traî

ner

une

accé

léra

tion

dury

thm

eca

rdia

que,

une

augm

enta

tion

dela

forc

ede

sco

ntra

ctio

nsdu

cœur

etun

eha

usse

dela

pres

sion

arté

rielle

.Ce

laré

pond

àun

beso

ind’

éner

gie,

lam

obili

satio

nde

sm

uscl

esde

l’app

arei

lloc

omot

eur

perm

etta

ntde

faire

face

au«d

ange

r»,r

éelo

uim

agi-

naire

(qua

ndj’a

ile

trac

,je

nesu

ispa

sen

dang

erpo

urm

avi

eph

ysiq

ue).

Les

méd

ecin

spr

enne

nten

com

pte

l’hér

édité

,qui

nous

four

nitu

n«t

erra

in»

phys

ique

préd

ispo

séà

cer-

tain

esm

alad

ies,

etde

man

dent

lors

del’i

nter

roga

-to

iredu

patie

nts’

ila

des

«ant

écéd

ents

fam

iliau

x»,

c’es

t-à-

dire

siqu

elqu

’un

desa

fam

ille

adé

jàeu

telle

oute

llem

alad

ie.D

em

ême,

lech

amp

deco

hére

nce

dela

psyc

hogé

néal

ogie

tient

com

pte

d’un

eso

rte

d’hé

rédi

téps

ychi

que.

Cet

arrié

réd’

émot

ions

non

«dig

érée

s»da

nsno

tre

fam

ille

àun

ece

rtai

neép

oque

,se

tran

smet

degé

néra

tion

engé

néra

tion

etin

fluen

ceno

tre

capa

cité

àvi

vre

notr

evi

epl

eine

men

t,m

aint

e-na

nt.U

nelo

yaut

éfa

mili

ale

invi

sibl

eno

uspo

usse

àad

opte

rin

cons

ciem

men

tde

sco

mpo

rtem

ents

qui

mon

tren

tnot

reap

part

enan

ceau

clan

.En

endo

ssan

tle

cost

ume

d’un

pers

onna

geay

antv

écu

avan

tnou

s,no

usré

péto

ns«p

aram

our»

son

dest

indi

ffici

le,p

our

que

sam

émoi

rene

soit

pas

excl

ue.C

ette

«int

rica-

tion»

limite

notr

elib

erté

d’ac

tion

dans

nos

rela

tions

,et

com

me

cert

ains

secr

ets

defa

mill

e,el

lepe

uts’

ex-

prim

erin

dire

ctem

ent,

sous

form

ede

sym

ptôm

esph

ysiq

ues.

Actu

elle

men

t,j’e

xerc

eco

mm

eps

ycho

thér

a-pe

ute,

etde

puis

plus

ieur

san

nées

j’ani

me

avec

joie

etém

erve

illem

ent

des

Cons

tella

tions

Fam

ilial

es.

Enre

ndan

chac

unsa

just

epl

ace

dans

lesy

stèm

e,ce

ttere

stru

ctur

atio

ndu

syst

ème

fam

ilial

nous

per-

met

detr

ouve

rnot

repl

ace

dans

lavi

e.N

ous

pouv

ons

vivr

een

dire

ct,

avec

l’aid

ede

spa

rtic

ipan

tsdu

grou

pe,l

’exp

érie

nce

del’u

nité

etde

l’app

arte

nanc

unsy

stèm

e,ce

quin

ous

offr

eai

nsiu

neop

port

unité

deré

solu

tion

etde

chan

gem

ent.

Prat

ique

men

t,ch

oisi

r(p

arm

iles

part

icip

ants

)de

sre

prés

enta

nts

deno

tre

fam

ille,

etle

spl

acer

dans

lapi

èce

fait

émer

ger

notr

eim

age

inté

rieur

ede

lafa

mill

e.Le

sdi

stan

ces,

les

angl

es,l

esra

ppor

tssp

a-tia

uxen

tre

les

repr

ésen

tant

sdo

nnen

tde

préc

ieus

esin

dica

tions

sur

les

rapp

orts

,les

rela

tions

entr

ele

s

mem

bres

dela

fam

ille.

Cequ

iéta

itni

é,pa

rce

que

sour

cede

trop

deso

uffr

ance

,peu

talo

rsêt

reré

vélé

,m

isen

lum

ière

.Pui

spa

rle

repo

sitio

nnem

ent,

les

pers

onne

squ

iava

ient

été

«exc

lues

»re

trou

vent

lare

spon

sabi

lité

dele

urde

stin

,le

urdi

gnité

,et

leur

plac

eau

sein

dugr

oupe

.

Pend

antu

neco

nste

llatio

n,co

mm

ede

san

tenn

esre

liées

auco

rps

émot

ionn

elde

lafa

mill

e,le

sre

pré-

sent

ants

ont

accè

sau

xin

form

atio

nsdu

syst

ème.

Cela

estv

raim

entd

iffér

entd

ups

ycho

dram

eet

des

jeux

derô

les,

carl

’his

toire

n’es

tpas

raco

ntée

dans

legr

oupe

,etp

erso

nne

ne«j

oue»

unrô

le.L

esre

pré-

sent

ants

form

ulen

tave

cpr

écis

ion

cequ

’ils

ress

en-

tent

dufa

itd’

être

plac

ésda

nsce

ttepo

sitio

net

ilsno

usdo

nnen

tde

sin

form

atio

nspr

écie

uses

sur

lafa

mill

e.Pa

rexe

mpl

e,un

hom

me

(deb

out)

quir

epré

-se

ntai

tle

père

dela

clie

nte

adi

t«je

vais

bien

,sau

fqu

eje

nem

’app

uie

que

sur

laja

mbe

droi

te».

Lacl

ient

e,st

upéf

aite

,nou

sa

préc

isé

que

son

père

avai

teu

lapo

lio,e

t,à

caus

ede

ssu

ites

del’a

trop

hie

des

mus

cles

ducô

téga

uche

,iln

ese

tena

itqu

esu

rsa

jam

bedr

oite

.Q

uand

ensu

itele

repr

ésen

tant

ano

mm

éle

sém

otio

nsqu

’ilre

ssen

tait,

lacl

ient

ea

été

bien

plus

encl

ine

àcr

oire

enla

réal

itéde

late

ndre

sse

que

ceth

omm

edé

criv

ait,

alor

squ

’elle

n’av

aitj

amai

svu

ouen

tend

uso

npè

reex

prim

erl’a

mou

rqu

iles

relia

it. Lebu

tde

tout

cetr

avai

ln’e

stpa

sde

sepl

onge

rda

nsle

pass

éet

d’y

séjo

urne

rave

cco

mpl

aisa

nce,

lebu

test

dere

gard

erav

ecre

spec

teta

mou

rles

dest

ins

diffi

cile

sde

nos

ancê

tres

,ext

rêm

emen

tdou

lour

eux

dufa

itde

sru

ptur

esbr

utal

eset

dela

souf

fran

cequ

ile

sa

acco

mpa

gnés

.Al’é

poqu

e,il

n’a

peut

-êtr

epa

sét

épo

ssib

led’

expr

imer

ces

émot

ions

:ce

ttetr

i-st

esse

,cet

teco

lère

,cet

tedé

tres

se,c

ette

solit

ude…

Bouc

ler

les

cycl

esde

com

mun

icat

ion

aujo

urd’

hui

perm

età

l’am

our

deci

rcul

erà

nouv

eau

dem

aniè

reflu

ide

entr

ele

sm

embr

esde

lafa

mill

e.Et

les

pers

on-

nes

actu

elle

sde

vien

nent

enfin

disp

onib

les

pour

les

viva

nts

d’au

jour

d’hu

i.

Lors

d’un

eso

irée

part

icul

ière

men

tspe

ctac

ulai

re,

deux

repr

ésen

tant

son

tvéc

ude

ssi

gnes

resp

irato

ires

réel

lem

enti

nqui

étan

ts,a

vec

suffo

catio

net

ango

isse

,as

soci

ésà

une

extr

ême

acui

téde

cons

cien

ce.

Lagr

ande

souf

fran

ced’

être

impu

issa

ntà

sauv

erl’a

utre

(car

leco

rps

phys

ique

deve

nuat

one

neré

pond

plus

)re

ndai

tla

situ

atio

nex

trêm

emen

tdra

mat

ique

.Nou

sav

ions

deva

ntle

sye

uxle

ssy

mpt

ômes

d’as

phyx

iepa

rle

gaz

carb

oniq

uedo

ntét

aien

tdéc

édés

l’onc

leet

leje

une

dem

i-frè

rede

lacl

ient

e,da

nsun

esa

llede

bain

non

aéré

e.Im

pres

sion

nant

!

58[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

Une

autr

efo

is,u

nefe

mm

ese

bala

nçai

td’a

vant

enar

rière

surs

esja

mbe

set

disa

itqu

’elle

avai

tla

sen-

satio

nde

voir

d’en

haut

lepè

rede

lacl

ient

e,al

ors

qu’il

étai

tdeb

outj

uste

enfa

ced’

elle

.Je

l’ava

ispl

acée

dans

laco

nste

llatio

npo

urre

prés

ente

rce

quim

an-

quai

tau

père

pour

qu’il

puis

seêt

redi

spon

ible

pour

son

enfa

nt,c

equ

ise

man

ifest

era

dans

une

cons

tel-

latio

n(e

tdan

sla

vie

réel

leau

ssid

’aill

eurs

!)pa

rle

fait

qu’il

pour

rase

tour

nerv

ers

son

enfa

ntet

lare

gard

er.

Puis

que

lacl

ient

esa

vait

que

sata

nte

s’ét

aitp

endu

e,ce

lano

usa

donn

él’i

nfor

mat

ion

que

son

père

pour

-ra

itêt

redi

spon

ible

pour

elle

seul

emen

tqu

and

ilau

rait

fait

lede

uild

esa

sœur

défu

nte.

Cequ

in’a

vait

pas

été

poss

ible

dans

laré

alité

apu

être

sym

boli-

quem

enta

ccom

plil

ors

dece

tteso

irée:

lepè

rea

pupr

endr

een

core

une

fois

sach

ère

sœur

dans

ses

bras

etlu

idire

aure

voir,

sans

juge

rsa

déci

sion

dem

ettr

efin

àse

sjo

urs.

Ensu

itele

flux

del’a

mou

ra

pus’

é-co

uler

libre

men

nouv

eau,

etto

uson

tpu

enfin

repo

sere

npa

ix.

Lors

d’un

stag

ede

trois

jour

sde

cons

tella

tions

,j’a

isur

pris

unde

spa

rtici

pant

s,qu

isou

haita

itco

ns-

truire

une

nouv

elle

rela

tion

deco

uple

,en

luip

ropo

-sa

ntde

rega

rder

sare

latio

nav

ecun

efe

mm

edo

ntil

m’a

vait

parlé

,etq

uida

tait

depl

usde

20an

s.A

l’ins

-ta

ntoù

luie

tmoi

nous

nous

som

mes

levé

spo

urco

m-

men

cerl

aco

nste

llatio

n,to

utes

les

pers

onne

spr

ésen

-te

son

tété

sais

ies

par

legr

and

froi

dqu

iest

appa

rud’

unco

upda

nsto

ute

lasa

lle.L

efro

idde

lam

ort.

Enef

fet,

lede

stin

dece

tteje

une

fem

me

avai

tété

tra-

giqu

e:el

leét

aitd

écéd

éeda

nsun

acci

dent

devo

iture

,en

tant

que

pass

agèr

e,qu

elqu

esse

mai

nes

aprè

squ

ece

thom

me

luia

vait

anno

ncé

sadé

cisi

onde

rom

pre,

puis

qu’il

vena

itde

réal

iser

que,

mal

gré

labe

llere

la-

tion

qu’e

llevi

vait

avec

lui,

jam

ais

elle

nequ

itter

aits

onm

ari.

Ceth

omm

eet

cette

fem

me

étai

entt

oujo

urs

liés,

etpa

rl’a

mou

rqu’

ilsav

aien

tvéc

uen

sem

ble,

etpa

rla

culp

abili

téqu

’ilre

ssen

tait,

com

me

s’il

étai

tres

pons

a-bl

ede

sam

ort,

alor

squ

’ilét

aitl

oin

dulie

ude

l’acc

i-de

nt.C

onsc

iem

men

t,il

nese

sent

aitp

asco

upab

le,e

ten

mêm

ete

mps

,la

libér

atio

nqu

’ila

vécu

elo

rsde

cem

omen

ttrè

sém

ouva

nta

été

nette

men

tvis

ible

sur

son

visa

gequ

is’e

stdé

tend

u,s’

esta

douc

ieta

pais

é,vr

aim

ente

tdur

able

men

t.

Enfa

it,il

estp

ossi

ble

dere

posi

tionn

ern’

impo

rte

quoi

avec

lequ

elje

suis

enre

latio

n:m

onsy

stèm

efa

mili

ald’

orig

ine

(lafa

mill

edo

ntje

suis

issu

),m

afa

mill

enu

cléa

ire(c

elle

ouce

lles

que

j’aif

ondé

e(s

)),

une

situ

atio

npr

ofes

sion

nelle

,un

proj

etfu

tur…

Etje

peux

auss

irep

ositi

onne

rmoi

-mêm

eet

unsy

mpt

ôme

que

j’ai,

unsy

mpt

ôme

dont

lese

nsn’

apa

spu

être

décr

ypté

para

illeu

rs.

Dan

sun

ede

spr

emiè

res

cons

tella

tions

dece

type

àla

quel

lej’a

iass

isté

,ils

’agi

ssai

td’u

neje

une

clie

nte

etde

son

trou

ble

duco

mpo

rtem

enta

limen

-ta

ire.

Iles

tap

paru

que

cetr

oubl

epe

rmet

tait

àla

clie

nte

dete

nird

ebou

t.C’

étai

tce

que

nous

voyi

ons,

puis

que

lape

rson

nequ

irep

rése

ntai

tle

trou

ble

duco

mpo

rtem

enta

limen

taire

sout

enai

tphy

siqu

emen

tla

repr

ésen

tant

ede

lacl

ient

e.Il

n’ét

aitd

onc

pas

pos-

sibl

equ

ela

clie

nte

se«d

ébar

rass

e»de

son

sym

p-tô

me,

tant

qu’e

llen’

avai

tpas

déco

déce

qu’il

sign

i-fia

it.Pa

sla

pein

ede

cont

inue

seba

ttre

cont

rece

prob

lèm

e,il

vala

itm

ieux

trou

verc

equ

ialla

itlu

iper

-m

ettr

ede

teni

rde

bout

tout

ese

ule.

Dan

sla

cons

tel-

latio

n,il

étai

tvis

ible

que

lech

emin

pass

aitp

arun

eré

conc

iliat

ion

avec

sam

ère.

Bien

sûr,

cen’

estp

asun

diag

nost

icor

igin

al,q

u’un

ere

latio

nbl

essé

een

tre

lam

ère

etla

fille

entr

aîne

untr

oubl

edu

com

port

emen

tal

imen

taire

.L’in

térê

trés

ide

àm

onav

isda

nsde

uxch

oses

prim

ordi

ales

:pr

emiè

rem

ent,

etc’

est

lagr

ande

beau

téde

sco

nste

llatio

ns:p

erso

nne

n’a

rien

dità

lacl

ient

e,el

lel’a

«vu»

tout

ese

ule,

etde

vant

ungr

oupe

deté

moi

ns(il

n’es

tpl

uspo

ssib

lede

faire

«com

me

sije

nel’a

vais

pas

vu»)

;deu

xièm

emen

t,c’

estl

’illu

stra

tion

dela

loié

nerg

étiq

uedo

ntje

parla

ispl

usha

ut:

plut

ôtqu

ese

battr

eco

ntre

ledé

faut

,m

ieux

vaut

acco

mpa

gner

l’ém

erge

nce

dela

qual

ité.

Lao

Tseu

l’ava

itfo

rmul

éai

nsi:

«m

ieux

vaut

allu

mer

une

petit

ech

ande

llequ

em

audi

rel’o

bscu

rité

».

Parf

ois

unsy

mpt

ôme

phys

ique

estd

irect

emen

ten

rapp

orta

vec

ma

vie

prés

ente

,par

exem

ple,

une

doul

eurd

el’é

paul

esi

gnal

une

fille

les

pério

des

oùel

lees

saie

enco

rede

«sau

ver»

sam

ère,

etat

tirer

asa

vigi

lanc

elà

-des

sus,

pour

cons

ciem

men

tmet

tre

son

éner

gie

àfa

ireau

tre

chos

eda

nssa

vie!

Etpa

rfoi

sun

sym

ptôm

em

ere

liepa

rlo

yaut

éà

une

pers

onne

dem

afa

mill

equ

iaso

uffe

rtde

lam

ême

chos

eou

d’un

em

alad

iesi

mila

ire.M

’en

rend

reco

mpt

epe

rmet

d’é-

larg

irm

onch

amp

deco

nsci

ence

,de

sort

irde

l’éta

tde

vict

ime,

enen

traî

nant

une

libér

atio

nde

sin

tric

a-tio

ns,t

oute

nre

stan

trel

iés

par

unam

our

luci

deet

incl

usif.

Par

aille

urs,

pour

ma

part

,je

netr

ouve

pas

évi-

dent

d’at

trib

uert

oujo

urs

lam

ême

sign

ifica

tion

àun

e«m

ême»

mal

adie

.En

effe

t,m

onex

périe

nce

m’a

mon

tré

pare

xem

ple

que

pour

une

pers

onne

,la

poly

-ar

thrit

erh

umat

oïde

repr

ésen

tait

salo

yaut

éen

vers

lede

stin

deso

nar

rière

gran

d-m

ère,

quia

vait

perd

u10

enfa

nts

enba

sâg

e,av

ant

qu’u

nfil

svi

veen

fin(e

tce

lui-l

à,aî

néde

sci

nqen

fant

svi

vant

ses

tdev

enu

legr

and-

père

dela

clie

nte)

.Pou

run

eau

tre,

c’ét

aits

afid

élité

àsa

bles

sure

d’av

oiré

téab

usée

sexu

elle

men

tqu

and

elle

étai

tune

petit

efil

le.P

eut-

être

,ill

uies

t

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 5

9

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

plus

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lede

souf

frir

derh

umat

ism

equ

ede

sent

irla

détr

esse

etle

chag

rin.P

arfo

isun

trou

ble

duso

mm

eil

expr

ime

que

jene

peux

pas

ferm

erle

sye

uxca

rmon

abus

eur

risqu

ed’

enpr

ofite

r,un

eau

tre

fois

,cel

adi

tqu

ec’

estc

equ

’un

dem

esan

cêtr

esa

vuqu

iest

trop

terr

ible

,com

me

l’éte

ndue

d’un

cham

pde

bata

ille,

les

horr

eurs

dela

guer

re…

Jevo

udra

isau

ssiv

ous

raco

nter

l’his

toire

dece

ten

fant

cher

àm

oncœ

ur.

Ilav

ait

sept

ans

àce

mom

ent-

là,e

tils

ouffr

aitd

’un

hand

icap

mot

eur

qui

luir

enda

itla

mar

che

impo

ssib

le.S

am

ère

avai

tdéj

àen

trep

risbe

auco

upde

chos

espo

urel

leet

pour

lui,

dans

une

bonn

esy

nerg

iede

thér

apie

sph

ysiq

ues,

éner

gétiq

ues

etps

ycho

logi

ques

.Pen

dant

unst

age,

une

très

belle

cons

tella

tion

aeu

lieu

pour

lam

ère:

elle

apu

revi

vre

lem

omen

tdu

décè

sde

son

père

quan

del

leét

aite

nfan

t.Il

aét

épo

ssib

lede

«boi

reso

npè

redu

rega

rd»,

d’al

ler

une

dern

ière

fois

dans

ses

bras

,de

luid

ireau

revo

ir,et

depl

eure

rson

imm

ense

chag

rin,e

nét

ante

ntou

rée,

ento

urée

d’ho

mm

eset

defe

mm

es,q

uieu

xau

ssip

leur

aien

tdes

être

sch

ers.

Enfin

,ila

été

poss

ible

àce

ttepe

rson

nede

sete

nir

debo

ut,t

riste

etvi

vant

e,d’

être

une

fem

me

debo

utau

mili

eude

sau

tres

,de

tous

les

autr

esqu

iéta

ient

là.

Que

lque

ste

mps

plus

tard

,lor

sd’

unat

elie

ren

soiré

e,ce

ttefe

mm

eno

usa

anno

ncé

que

son

fils

sete

nait

debo

ut,m

arch

aits

eule

tava

itpu

joue

rau

bal-

lon.

Dep

uis,

jel’a

ivu

cour

iret

jel’a

itro

uvé

mag

ni-

fique

!J’a

ibea

ucou

pde

resp

ectp

ourc

ette

fem

me

etce

tenf

ant,

pour

leur

man

ière

sobr

ede

vivr

ele

urde

s-tin

avec

cour

age,

patie

nce

etpe

rsév

éran

ce.C

omm

epo

urch

acun

d’en

tre

nous

,la

dign

itéré

side

dans

lefa

itde

port

erso

npr

opre

dest

in,e

tde

s’y

acco

rder

vrai

men

t,co

mm

eno

usle

sugg

ère

feu

Chris

tiane

Sing

er,p

ourv

ivre

savi

epl

eine

men

t.

Etpo

urco

nclu

re,

jedi

rai

que

final

emen

t,je

trou

vece

latr

èsch

ouet

ted’

avoi

run

corp

sph

ysiq

uepo

urvi

vre

ici-b

as,p

our

expé

rimen

ter

conc

rète

men

tda

nsla

mat

ière

!D

em

onpo

intd

evu

ede

méd

ecin

psyc

hoth

érap

eute

,je

trou

vece

corp

str

èsim

port

ant

pour

accé

derà

laco

mpr

éhen

sion

età

l’inc

lusi

vité

qui

me

perm

ette

ntde

soig

ner,

c’es

t-à-

dire

d’ac

com

pa-

gner

sur

lech

emin

dere

tour

vers

lasa

nté

phys

ique

etps

ychi

que

unin

divi

duou

unsy

stèm

efa

mili

al.

Leco

rps

phys

ique

est

inté

ress

ant

enta

ntqu

eré

véla

teur

dupl

ande

l’âm

e,de

l’ent

itésp

iritu

elle

quil

ech

oisi

tpo

urs’

expr

imer

dans

lepl

anph

y-si

que. Der

rière

leco

rps

phys

ique

seca

chen

tles

corp

spl

ussu

btils

men

tal,

astr

al,o

uco

rps

des

dési

rs,e

tle

corp

sph

ysiq

ueét

hériq

uequ

iap

port

evi

talit

éau

corp

sph

ysiq

uede

nse

etqu

il’in

tègr

eda

nsle

sys-

tèm

eén

ergé

tique

dela

Terr

eet

dusy

stèm

eso

laire

(de

cefa

itau

cune

vie

n’ex

iste

sous

form

esé

paré

e).

Leco

rps

phys

ique

dens

en’

estp

asun

prin

cipe

1 ,il

esta

utom

atiq

ue,m

isen

mou

vem

entp

arle

sén

er-

gies

plus

subt

iles

auxq

uelle

sil

répo

nd.I

lest

l’out

ilde

l’Etr

esp

iritu

elin

carn

é,le

véhi

cule

dela

cons

cien

cesu

rle

plan

phys

ique

,etr

eçoi

tles

effe

ts;

-De

ses

troi

sco

rps

subt

ils:f

orce

s(c

orps

éthé

-riq

ue),

sent

imen

ts(c

orps

astr

al)

etpr

oces

sus

men

taux

(cor

psm

enta

l).Q

uatr

e-vi

ngtd

ixpo

urce

ntde

sca

uses

des

mal

adie

sph

ysiq

ues

sont

issu

esde

sco

rps

éthé

rique

etas

tral

.

LEC

OR

PSM

ALA

DE

LES

MIA

SMES

PLA

NÉT

AIR

ESET

L’H

OM

ÉOPA

THIE

L’un

des

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des

tem

psno

uvea

uxse

ra«

d’éc

lair

erl’o

mbr

eda

nsla

quel

leun

epa

rtie

del’h

u-m

anité

avan

ceet

d’en

fair

eso

rtir

les

hom

mes

vers

l’apt

itude

àla

vrai

esa

nté

»

[CA

RO

LIN

ELO

UV

EL]

Méd

ecin

ho

méo

path

eet

osté

op

ath

e

1U

npr

inci

pees

tun

germ

ede

cons

cien

cepo

rtan

ten

luil

epo

tent

ield

’une

plei

neco

nsci

ence

.

60[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

-De

l’éta

tde

l’hum

anité

:les

cond

ition

squ

iexi

s-te

ntda

nsle

«To

ut»

sere

flète

ntda

nsl’i

ndiv

idu.

-Du

corp

sph

ysiq

uede

lavi

epl

anét

aire

avec

lequ

elil

este

nra

ppor

t.

L’Et

re,p

our

son

proj

etd’

inca

rnat

ion,

rass

embl

ese

sdi

ffére

nts

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sau

tour

des

atom

espe

rman

ents

dech

aque

plan

(éth

ériq

ue,a

stra

l,m

enta

l):c

esat

o-m

esso

ntco

mpo

sés

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mat

ière

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aque

plan

,et

serv

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eno

yau

pour

dist

ribue

rla

forc

e,as

sim

iler

l’exp

érie

nce,

cons

erve

rle

sfa

culté

set

lam

émoi

re(c

erta

ines

mal

adie

squ

iapp

arai

ssen

tdan

sun

ein

car-

natio

ndo

nnée

ontu

neor

igin

ean

cien

nedo

ntl’i

nfor

-m

atio

nes

tre

stée

asso

upie

dans

l’ato

me

perm

a-ne

nt). Qua

ntà

lasu

bsta

nce

duco

rps

phys

ique

dens

e,l’E

tre

choi

sitd

élib

érém

ents

espa

rent

spo

urla

cont

ri-bu

tion

qu’il

sap

port

enta

finqu

ece

corp

spr

ésen

tele

squ

alité

s(o

ulim

ites)

,les

préd

ispo

sitio

nsre

quis

es,e

nco

rres

pond

ance

avec

lepr

ojet

devi

e.

Cette

subs

tanc

eph

ysiq

uees

tco

nstr

uite

enm

atér

iaux

très

anci

ens,

elle

est

cond

ition

née

par

l’his

toire

dupa

ssé.

Telu

nhu

mus

,les

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sde

sm

yria

des

dege

nsqu

iont

vécu

surT

erre

etac

cum

ulé

des

expé

rienc

es,

onté

téab

sorb

ésda

nsla

pous

sièr

ede

laTe

rre.

Ilson

tap

port

éle

urco

ntrib

utio

nd’

expé

rienc

ega

gnée

auco

urs

dela

vie

quia

été

inco

rpor

éeau

sold

ela

pla-

nète

etai

nsi,

d’un

ece

rtai

nefa

çon,

les

atom

eset

cel-

lule

sdu

corp

sph

ysiq

ueon

tété

mod

ifiés

.

Ains

i,l’h

omm

een

inca

rnat

ion

vien

tpou

rvu

depr

édis

posi

tions

àla

mal

adie

,en

prov

enan

ce

-De

son

prop

repa

ssé.

-De

l’hér

itage

géné

rald

el’h

uman

ité.

-Des

cond

ition

sde

lavi

epl

anét

aire

elle

-mêm

e.

Troi

sm

alad

ies

maj

eure

sso

nthé

ritée

sdu

pass

é,no

nsp

écifi

ques

àl’h

omm

em

ais

inhé

rent

esà

lapl

a-nè

tem

ême

etto

ucha

ntto

usle

srè

gnes

(min

éral

,vé

géta

l,an

imal

,hum

ain)

.

-Les

mal

adie

své

nérie

nnes

etsy

phili

tique

s,sé

quel

les

del’é

poqu

elé

mur

ienn

e,ép

oque

oùl’h

uman

ité,i

lya

plus

de15

mill

ions

d’an

nées

,s’

effo

rçai

tde

maî

tris

erl’u

sage

duco

rps

phy-

siqu

e,de

leco

ntrô

ler,

dele

déve

lopp

er.A

insi

com

men

cère

ntle

str

oubl

esre

latif

sau

xab

usse

xuel

set

les

soui

llure

sco

rres

pond

ante

s.Le

uror

igin

ees

ttel

lem

enta

ncie

nne

que

leso

lmêm

ede

laTe

rre

est

impr

égné

des

germ

esde

ces

mal

adie

s(t

antd

eca

davr

eson

tété

enfo

uis

dans

late

rre!

Lere

cour

lacr

émat

ion,

purif

icat

ion

parl

efe

u,ef

face

rapr

ogre

ssiv

emen

tles

soui

llu-

res

duso

l).

-La

tube

rcul

ose

est

unhé

ritag

ede

l’épo

que

atla

nte.

Leco

ntrô

ledu

corp

sph

ysiq

uede

vint

subc

onsc

ient

etle

corp

sph

ysiq

ue,a

utom

ate,

futa

ssuj

etti

auco

rps

des

dési

rs(q

uise

déve

-lo

ppa

àce

tteép

oque

)àte

lpoi

ntm

ême

que

les

hom

mes

onts

uffo

qué

àca

use

dele

urdé

sird

ebi

ens

mat

érie

lset

dele

urdé

sir

d’im

mor

talit

é.Ai

nsil

am

alad

iepr

itna

issa

nce

dans

l’org

ane

par

lequ

elle

sho

mm

esre

spire

ntet

vive

nt:l

espo

umon

s.

-Le

canc

eres

tune

mal

adie

résu

ltant

des

mau

xde

l’épo

que

lém

urie

nne.

Pour

lapr

éser

vatio

nde

soi,

l’hom

me

are

foul

ése

sdé

sirs

(liés

àla

vie

sexu

elle

dans

unpr

emie

rte

mps

).M

ais

leca

ncer

cara

ctér

ise

part

icul

ière

men

tnot

reci

vili-

satio

nac

tuel

le,l

aci

vilis

atio

nca

ucas

ienn

equ

idé

velo

ppe

son

corp

sm

enta

l.Il

résu

ltede

l’act

i-vi

tédu

men

tali

nfér

ieur

surl

eco

rps

émot

ionn

elqu

istim

ule

alor

sle

corp

sét

hériq

ue.O

r,su

ppri-

mer

les

impu

lsio

nsdu

dési

rpa

rla

forc

ede

lavo

lont

én’

estp

asun

just

eco

ntrô

leém

otio

nnel

.Le

sge

rmes

dece

ttem

alad

iese

trou

vent

dans

leso

lsur

lequ

elno

usvi

vons

etin

fect

enta

ussi

bien

les

végé

taux

,les

anim

aux,

que

lafa

mill

ehu

mai

ne.

Han

nem

ann,

fond

ateu

rde

l’hom

éopa

thie

,àla

rech

erch

ede

sca

uses

des

mal

adie

sch

roni

ques

,aca

pté

l’idé

ede

l’exi

sten

cede

soui

llure

set

les

aap

pe-

lées

mia

smes

.(H

ippo

crat

edé

jàen

seig

nait

que

les

mal

adie

sét

aien

tdue

une

préd

ispo

sitio

nin

hére

nte

àla

cons

titut

ion

natu

relle

).

Par

lete

rme

mia

sme,

ilex

prim

aitl

espe

rtur

ba-

tions

cons

titut

ionn

elle

spr

ovoq

uées

par

les

infe

c-tio

ns,l

esgr

ande

sm

alad

ies

etép

idém

ies

auco

urs

des

mill

énai

res

pass

ésdo

ntle

sef

fets

setr

ansm

et-

trai

entd

egé

néra

tion

engé

néra

tion

etqu

iont

lais

séde

str

aces

prof

onde

set

des

mém

oire

sda

nsle

sor

ga-

nism

es.

Ilid

entif

iatr

ois

mia

smes

fond

amen

taux

-La

psor

e(is

sue

des

mal

adie

sde

lape

au,s

péci

-fiq

uem

entl

aga

le.

-La

syco

se(is

sue

des

mal

adie

své

nérie

nnes

).-L

alu

èse

(issu

ede

lasy

phili

s).

Plus

tard

ivem

enti

ldéc

rivit

-La

tube

rcul

ose

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

LES

ON

BLE

UN°2

ET

3[J

UIN

/SE

PT

EM

BR

E20

07] 6

1

LEC

OR

PS

HU

MA

IN4È

ME

PAR

TIE

:LE

CO

RP

SE

NH

ER

ITA

GE

Depu

isd’

autre

sch

erch

eurs

ontm

isen

évid

ence

leca

ncér

inis

me

etém

isl’h

ypot

hèse

deno

uvea

uxm

ias-

mes

dus

aust

ress

dela

vie

mod

erne

,au

SIDA

etc…

Aute

rme

dem

iasm

e,ob

solè

teet

cont

rove

rsé

par

nom

bre

d’ho

méo

path

eses

tpré

féré

em

aint

enan

tla

notio

nde

diat

hèse

.La

diat

hèse

décr

itun

com

port

emen

tgén

éral

del’i

ndiv

idu,

unen

sem

ble

dete

ndan

ces

quie

xist

ech

ezle

suje

tsai

n.El

lees

ten

lien

avec

laco

nstit

utio

net

son

tem

péra

men

t.C’

estu

nefa

çon

deré

agir.

Elle

perm

etd’

abor

der

l’ind

ivid

upa

rso

nas

pect

qual

itatif

:sai

nou

mal

ade

l’hom

me

obéi

taux

mêm

eslo

isfo

ndam

enta

les:

-La

psor

e.M

otcl

é:sy

ndro

me

delu

tte.L

eco

m-

port

emen

test

dom

iné

par

lara

ison

avec

une

gran

deré

sist

ance

àla

mal

adie

,l’a

ltern

ance

etla

pério

dici

téde

sép

isod

esm

orbi

des.

Amél

iora

tion

parl

esél

imin

atio

ns.

Elle

este

nlie

nav

ecla

cons

titut

ion

carb

oniq

ue.

Nou

sy

trou

vons

cert

aine

sca

ract

éris

tique

sde

notr

eci

vilis

atio

nca

ucas

ienn

e-L

etu

berc

ulin

ism

e.M

otcl

é:sy

ndro

me

d’ép

uise

men

t.Le

com

porte

men

test

dom

iné

parl

ese

ntim

ent.

Ily

ava

riabi

lité

etim

préc

isio

nde

ssy

mpt

ômes

,at

tein

tede

sfo

nctio

nsre

spira

toire

s,dé

min

éral

i-sa

tion.

Elle

este

nlie

nav

ecla

cons

titut

ion

phos

phor

ique

.N

ous

yre

trou

vons

l’hér

itage

dela

civi

lisat

ion

atla

nte.

-La

luès

e.M

otcl

é:sy

ndro

me

d’in

stab

ilité

.Le

com

port

emen

tes

tdo

min

épa

rl’i

nstin

ct.

L’év

olut

ion

esti

mpr

évis

ible

,ave

cte

ndan

ceau

xul

céra

tions

etag

grav

atio

nno

ctur

ne.

Elle

este

nlie

nav

ecla

cons

titut

ion

fluor

ique

.N

ous

yre

trou

vons

l’hér

itage

dela

civi

lisat

ion

lém

urie

nne.

-La

syco

se.M

otcl

ésy

ndro

me

d’éc

hec.

Leco

m-

port

emen

test

dom

iné

parl

apa

ssiv

ité,u

nete

n-da

nce

obse

ssio

nnel

le,l

afo

rmat

ion

detu

meu

rs,

laré

tent

ion

toxi

niqu

e.El

leim

prèg

neto

utes

les

cons

titut

ions

.-L

eca

ncér

inis

me.

Ils’

agit

d’un

edi

athè

sem

aldé

finie

,iss

ued’

une

aggr

avat

ion

des

autr

esdi

a-th

èses

etpa

rtic

uliè

rem

entd

ela

syco

se,l

iée

aux

agre

ssio

nsex

tern

eset

inte

rnes

dela

vie

mod

erne

.Plu

sré

cem

men

t,la

théo

riem

iasm

a-tiq

ueho

méo

path

ique

aém

isl’h

ypot

hèse

d’un

eor

igin

em

ycol

ogiq

uedu

canc

érin

ism

e:

lech

ampi

gnon

muc

orra

cem

osus

fres

enpr

ésen

l’éta

tlat

ente

tnon

path

ogèn

eda

nsle

sang

de

tous

les

indi

vidu

s(t

rava

uxdu

prof

esse

urEn

derle

in)

On

peut

rem

arqu

erqu

ela

psor

eex

prim

ele

sca

ract

éris

tique

sde

sra

yons

impa

irs(I

,V,

VII)

,le

tube

rcul

inis

me

celle

sde

sra

yons

pairs

(II,

IV,V

I)et

lalu

èse

celle

sdu

rayo

nIII

.La

syco

sees

tune

aggr

a-va

tion

des

diat

hèse

spr

écéd

ente

s,el

len’

estp

assp

é-ci

fique

men

tlié

unra

yon.

Lano

tion

dedi

athè

sees

telle

-mêm

ein

tégr

éeau

conc

eptd

ete

rrai

nqu

ipre

nden

com

pte

d’un

epa

rtla

préd

ispo

sitio

nde

l’ind

ivid

lam

alad

ieet

saco

nsti-

tutio

nph

ysiq

ue,e

td’a

utre

part

sare

latio

nav

ecle

mili

euex

térie

ur(s

esha

bitu

des

etm

ode

devi

e,se

scr

oyan

ces

etse

spe

nsée

s,se

sm

émoi

res

fam

ilial

es(p

sych

o-gé

néal

ogie

),sa

dyna

miq

ueén

ergé

tique

(sci

ence

des

cent

res

éner

gétiq

ues)

.Ai

nsi,

les

prin

cipe

sde

base

del’h

oméo

path

iesu

rle

sque

lss’

appu

iera

ladé

term

inat

ion

dutr

aite

men

tso

ntdo

nc:

-la

cons

titut

ion

quip

rend

enco

mpt

ela

stru

ctur

edu

corp

sph

ysiq

ue,s

esat

omes

etsa

subs

tanc

een

lien

avec

lana

ture

duso

lde

lapl

anèt

e.-L

ete

rrai

nav

ecla

cons

idér

atio

nde

sca

ract

éris

-tiq

ues

cultu

relle

s,ps

ycho

logi

ques

etde

sén

er-

gies

inté

rieur

esde

l’ind

ivid

u-L

esdi

athè

ses

quii

ntèg

rent

l’hom

me

dans

l’his

-to

irede

l’hum

anité

(mal

adie

sch

roni

ques

etco

l-le

ctiv

es).

Letr

aite

men

tco

nsis

teà

leve

rle

sm

émoi

res

mia

smat

ique

s,le

sal

téra

tions

del’i

mm

unité

,de

lafo

rce

vita

leet

dela

cons

titut

ion.

Lere

mèd

eho

méo

-pa

thiq

uedi

lué

etdy

nam

isé

neco

ntie

ntqu

epe

uou

pas

dem

atiè

rem

édic

amen

teus

e:il

agit

surl

eco

rps

ethé

rique

enta

ntqu

’info

rmat

ion.

Enan

alog

ieav

ecla

fonc

tion

duco

rps

éthé

rique

,la

méd

ecin

epr

éven

tive

prév

ient

les

man

ifest

atio

nsde

spa

thol

ogie

sph

ysiq

ues.

Les

soin

sde

l’air,

del’e

au,d

el’a

limen

tatio

net

del’h

abita

t,as

soci

ésà

unju

ste

équi

libre

écon

omiq

ue,l

ibér

eron

tdes

mal

adie

sco

llect

ives

,l’h

omm

e,le

sol

dela

plan

ète

etle

srè

gnes

dela

natu

re.P

arex

empl

e,le

sso

ins

parl

ebo

nai

r,le

sole

ilet

lano

urrit

ure,

onta

ssur

él’e

ssen

tield

ela

prév

entio

nde

latu

berc

ulos

e.Le

sole

iles

tl’h

omo-

logu

ede

lalu

miè

rede

l’âm

e(a

m-o

ur).

L’am

our

libèr

e,l’a

mou

rgué

rit.

Elim

iner

les

mia

smes

plan

étai

res

esti

mpo

rtan

t,c’

ests

egu

érir,

guér

irau

ssis

afa

mill

eet

part

icip

erà

lagu

éris

onde

l’hum

anité

.

L’As

sem

blée

géné

rale

del’I

nstit

utAl

cor

s’es

tte

nue,

com

me

d’ha

bitu

de,a

uCé

nacl

Gen

ève

leSa

med

i23

Juin

2007

.

Ala

suite

dudé

cès

deno

tre

prés

iden

tLé

onW

eber

,sur

venu

enFé

vrie

r200

7,le

sm

embr

esac

tifs

del’I

nstit

uton

tdû

proc

éder

àun

rem

anie

men

tdu

Com

itéde

Dire

ctio

n.

Lano

uvel

lepr

ésid

ente

,Mar

ie-A

gnès

Frém

ont,

ouvr

e,de

vant

une

quar

anta

ine

depe

rson

nes,

lasé

ance

paru

nvi

bran

thom

mag

notr

eco

mpa

gnon

disp

aru,

dont

les

qual

ités

decœ

ur,l

’éru

ditio

net

lavi

sion

des

just

esre

latio

nsà

l’éch

elle

plan

étai

reno

usm

anqu

eron

t.

Leno

uvea

uCo

mité

dedi

rect

ion

élu

àl’u

nani

mité

este

nsui

tepr

ésen

té:

Prés

iden

te:

Mar

ie-A

gnès

Frém

ont

Vice

-pré

side

nt:

Chris

tian

Post

Trés

oriè

re:

Corin

nePo

stSe

crét

aire

:D

elph

ine

Bonn

isso

l

Bil

and

esA

ctiv

ités

A/EN

SEIG

NEM

ENT

1.La

Scie

nce

del’A

me

•PAR

IS

Petit

grou

pede

six

pers

onne

str

èsm

otiv

ées

:ci

nqsé

min

aire

son

tdéj

àeu

lieu.

L ’en

seig

nem

ent

sepo

ursu

ivra

enSe

ptem

bre

proc

hain

d’un

em

aniè

reun

peu

diffé

rent

e.En

effe

t,le

nom

bre

rest

rein

tde

part

icip

ants

entr

aîne

undé

s-éq

uilib

refin

anci

erim

port

ant:

ila

donc

été

déci

déqu

eto

uten

cons

erva

ntle

syst

ème

d’al

tern

ance

des

ense

igna

nts

auqu

elno

usso

mm

esat

tach

éset

quia

mon

tré

son

effic

acité

,le

nom

bre

d’en

seig

nant

sse

rédu

irait

àun

seul

pars

essi

on.

Par

aille

urs,

l’offr

ede

l’une

des

part

icip

ante

sd’

accu

eilli

rle

grou

pech

ezel

le,p

erm

ettr

ade

limite

rle

sfr

ais.

•MO

RG

ES

L’en

seig

nem

entd

ede

uxan

sse

pour

suit

actu

el-

lem

enta

vec

unm

odul

ede

troi

ssé

min

aire

ssu

rla

guér

ison

dont

lepr

emie

r,su

rla

guér

ison

psyc

hiqu

e,a

été

donn

éen

juin

2007

.

Ilse

rasu

ivid

ela

guér

ison

spiri

tuel

leet

dela

gué-

rison

dela

Terr

e.

2.R

ayon

spe

rfec

tionn

emen

t

•Le

grou

pede

Paris

ate

rmin

éso

ncy

cle

de7

sém

inai

res

par

unsé

min

aire

desy

nthè

sede

stin

éà

perm

ettr

chac

unde

déte

rmin

ersa

cart

ede

Ray

ons.

Lare

cher

che

sepo

ursu

itpa

run

cycl

ede

3sé

mi-

naire

spl

ussp

écifi

quem

ento

rient

éssu

rle

cont

act

entr

el’A

me

etla

Pers

onna

lité,

avec

pour

thèm

es:

Les

mot

ifsqu

ino

usan

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t/Le

scr

ises

/N

ouve

llesy

nthè

sesu

rla

cart

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rayo

nsde

sm

emb-

res

dugr

oupe

•A

Mor

ges,

ungr

oupe

depe

rfec

tionn

emen

tsur

les

Ray

ons

débu

tera

enav

ril20

08.I

lest

ouve

rtà

tous

ceux

qui,

ayan

tdé

jàac

quis

une

cert

aine

conn

aiss

ance

sur

les

Ray

ons

dési

rent

l’app

rofo

ndir

paru

neap

proc

heex

périe

ntie

llepl

usse

nsib

leet

plus

opér

ativ

e.Po

urto

usre

nsei

gnem

ents

,co

ntac

ter

Chris

tian

Post

(04

5067

7439

).

3.Ps

ycho

-Mor

phol

ogie

-Ene

rgét

ique

Les

deux

prem

ière

san

nées

s’ac

hève

ntpa

rl’é

-tu

deps

ycho

mor

phol

ogiq

uede

sm

embr

esdu

grou

pe.

Latr

oisi

ème

anné

eve

rra

une

alte

rnan

ceen

tre

l’étu

deth

éoriq

ueet

les

port

raits

viva

nts.

B/G

ROU

PES

DE

RECH

ERCH

E

1.LE

F

Legr

oupe

paris

ien

deLi

bert

é,Eg

alité

,Fra

tern

itéa

dû,à

lasu

itedu

décè

sde

Léon

Web

erso

nfo

nda-

teur

,tro

uver

unno

uvea

uso

uffle

.Ilp

ours

uità

pré-

sent

son

trav

aild

ere

cher

che

sur

laLi

bert

ése

lon

Mor

yaet

lanc

eun

appe

làle

rejo

indr

tous

ceux

qui

sese

ntira

ient

conc

erné

s.

Pour

leco

ntac

ter:

pren

dre

cont

acta

vec

Anni

eG

AID

IER

(06

6953

6352

).

2.As

trol

ogie

ésot

ériq

ue

•Gro

upe

deN

ante

s:i

lpou

rsui

tso

ntr

avai

lde

rech

erch

eav

ecin

térê

tacc

ompa

gné

par

Pier

reLa

mol

e.

•Gro

upe

d’Am

iens

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nouv

eau

grou

pegu

idé

par

Pier

reLa

mol

es’

estm

isen

plac

Amie

nsde

puis

débu

t200

7.

LEC

OR

PS

HU

MA

IN

62[L

ES

ON

BLE

UN°2

ET

3]JU

IN/S

EP

TE

MB

RE

2007

ASS

EMB

LEE

GEN

ERA

LEd

u23

JUIN

2007

LES

ON

BLE

UN°2

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3[J

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PT

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3

LEC

OR

PS

HU

MA

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RET

ÉNER

GÉT

IQU

EFa

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isd

uX

XIe

sièc

le»

Mic

hel

BER

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Éditi

ons

OPÉ

RA

9ru

eH

élèn

eBo

uche

r-

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5H

aute

-Gou

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ePr

ix:1

8,50

€+

3,80

€de

port

Dis

poni

ble

enlib

rairi

e

«L’

EAU

ETLA

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Ro

gerD

UR

AN

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Éditi

ons

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rairi

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«U

NA

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les

mem

bre

sd

el’I

nsti

tut

Alc

or

Éditi

ons

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RA

9ru

eH

élèn

eBo

uche

r-

4411

5H

aute

-Gou

lain

ePr

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€+

3,80

€de

port

Dis

poni

ble

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nstit

utAl

cor

«LA

PIER

RE

DES

SAG

ES»

Hen

ryT.

Lau

ren

cy

Éditi

ons

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RA

9ru

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élèn

eBo

uche

r-

4411

5H

aute

-Gou

lain

ePr

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0€

+3,

80€

depo

rtU

nepr

ésen

tatio

nra

tionn

elle

dela

pens

éede

Pyth

agor

e.U

nequ

ête

del’u

nité

etde

lalib

erté

.Un

syst

ème

men

tal

conc

ret

inéb

ranl

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oùso

ntpr

é-se

ntés

dans

une

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ele

sél

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tses

sent

iels

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Sage

sse

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iale

.

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RES

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ele

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AAL

cont

inue

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cher

che

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trol

ogie

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ériq

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Bulle

tin23

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Serv

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Bulle

tin24

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,Lib

érat

ion,

Libr

e-ar

bitr

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prin

tem

ps20

07,l

apa

rutio

na

chan

géd’

appa

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nce:

notr

eBu

lletin

,pub

licat

ion

àpo

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plus

conf

i-de

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lle,

est

deve

nuR

evue

,tr

adui

sant

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sir

d’ou

vert

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sur

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onde

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irég

alem

ent

expr

imé

par

les

adhé

rent

spr

ésen

tsà

l’AG

deJu

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06. Le

Son

Bleu

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ents

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ier

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ettr

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thèm

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râce

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tant

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iteur

,Jér

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Vinc

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Gra

ndla

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.Un

accu

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hale

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xa

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fait

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couv

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reen

quad

richr

omie

.Le

prés

entn

umér

otr

aita

ntdu

Corp

sH

umai

nes

tun

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doub

lequ

iser

asu

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hive

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ion

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.

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cons

tant

rem

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men

t.N

ous

appo

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notr

eat

tent

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faire

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elin

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com

mun

icat

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par

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etqu

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requ

inou

spe

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sdu

Corp

sét

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dulie

nM

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.Le

proj

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isen

chan

tier.

Rap

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Not

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tivité

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inue

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SFr

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pour

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osch

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sso

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rl’i

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tis-

sem

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our

rend

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rnet

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or-

man

tetp

lus

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actif

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rées

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ger

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dent

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r,so

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887

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s.To

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ois,

nous

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nsêt

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nts

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ugr

âce

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dons

quin

ous

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nsle

sque

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nequ

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éral

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éeà

11he

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etsu

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Les

Ren

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fond

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urla

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que

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notr

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thiq

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desi

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me

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.

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ème

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féco

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séle

ctio

nde

sem

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lapo

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unfu

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ière

fois

onen

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Mar

ie-A

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lepl

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faire

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ence

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cana

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Fran

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ande

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30

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ence

:«Le

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que

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iate

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Chris

tian

Post

ad’

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dex

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cons

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duco

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puis

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aitc

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ruit

selo

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les

gran

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règl

esde

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aidi

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ensu

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s’es

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puyé

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périe

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cond

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spa

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del’e

x-tr

ême

»po

urm

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erqu

eda

nsce

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nes

cond

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s,l’e

ffort

phys

ique

peut

amen

erun

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slim

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duco

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dens

eet

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nive

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depe

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tion

etde

cons

cien

cequ

itém

oign

entd

espr

o-pr

iété

sdu

corp

sét

hériq

ue.

3°Co

nfér

ence

:«Qu

’hér

itons

-nou

sde

nos

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nts?

»

Mar

ie-A

gnès

Frém

ontn

ous

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traîn

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ecel

leda

nsla

réso

lutio

nd’

ungr

and

para

doxe

:si

nous

avon

sd’

indé

niab

les

poin

tsde

ress

embl

ance

phy-

siqu

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psyc

hiqu

esav

ecno

spa

rent

s,la

loid

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in-

carn

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nfa

itpo

urta

ntde

nous

unêt

resp

iritu

elqu

ipo

ursu

itso

név

olut

ion

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vie

envi

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mm

ent

conc

ilier

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deux

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age?

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d’in

tére

ssan

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hang

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ésu

ivip

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édita

tion

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rCh

ristia

nPo

st Clôt

ure

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renc

ontr

esà

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30

Al’a

nnée

proc

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e!

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ES

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BLE

UN°2

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