Le P'tit Journal de Malartic du 25 mai 2016

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Convention Poste-publications #41303015 / No d’enregistrement 7239447 / Retourner toute correspondance ne pouvant être livrée au Canada à : Le P’tit Journal de Malartic, 550 4e Avenue, bureau 207 Malartic QC J0Y 1Z0

Vol. 11 Nº1 1,25 $ TPS et TVQ incluses Le mercredi 25 mai 2016

nouve

au!

1320 blvd St-paulsud, Riviere-heva

pour prendre un rendez-vous: 819 355-1904

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mecanique generale:-Freins-Changement d’huile-Pneus-Etc.

Jeremy cyr, prop.

Vox pop sur la présentation du

Guide de cohabitation

page 4

Votre P'tit Journal a 10 ans!

Lettre ouverte de Guy Morrissette

page 2

2 · Le P’tit JournaL de MaLartic · Le 25 Mai 2016

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Rayonner, respecter, ras-sembler, unifier, motiver et pardonner, voilà des mots qui décrivent à merveille no-tre ami Pierre Goudreault. Parents venus de loin et nombreux amis étaient ras-semblés, le samedi 14 mai dernier, pour célébrer le 25e anniversaire sacerdotal de notre ami Pierre. C’est avec enthousiasme que nous avons répondu à l’invitation de participer aux festivités liées à cet évènement gran-diose de ce prêtre qui a su unir Malartic, Dubuisson, Rivière-Héva et Cadillac sous un même vocable soit, l’Unité pastorale Notre-Da-me-de-l’Entente. Les mem-bres de ces quatre paroisses ont pu pendant 11 ans béné-ficier des talents de ce prê-tre innovateur, modérateur. Inutile de mentionner que son départ a créé un grand vide dans le cœur de plu-sieurs.Les dons de l’Esprit étaient quasi palpables à la ca-thédrale de la paroisse Ste- Trinité et par la suite, à l’intérieur de la salle de réception. Bref, l’Esprit d’amour était au cœur de ce rassemblement.

La célébration eucharisti-que, présidée par notre évê-que Mgr Dorylas Moreau, était empreinte d’intério-rité. L’animation musicale sous la direction de l’ensem-ble vocal « Florilège»a été un ajout à l’atmosphère de cette assemblée. Pierre fait partie de ce groupe classi-que et ce fut avec une joie immense que notre jubi-

laire a accueilli cette belle présence surprise.Une explosion d’amour et de joie flottait dans l’air tout au long de la soirée. Les hommages se sont succédé. Son père, M. Denis Gou-dreault, a rappelé que la foi de son fils se laisse guider par l’Esprit. Pierre, suite au témoignage de son frère René, a mentionné que tou-te sa vie familiale a contri-bué à susciter son entrée au Grand Séminaire d’Ottawa.Un hommage de Mgr Hame-lin qui l’a ordonné il y a 25 ans a été présenté par un confrère de Pierre suivi de celui que lui a rendu Mgr Moreau. Son mentor, le Père Normand Provencher a fait un éloge bien senti à son étudiant qui, au fil des ans n’a su que le ravir par son exemplaire implication au niveau local, régional, provincial et même interna-tional. Il faisait bon baigner dans un tel bassin d’amour et y participer a été un immense bonheur.Pierre, nous nous efforce-rons pour «ENSEMBLE RAYONNER ET PORTER DU FRUIT» tel que le pro-pose le thème de la célé-bration eucharistique souli-gnant tes 25 ans de prêtrise.

Un voisin qui dérange. (Ce texte n’engage que moi)

J’ai le goût de partager ma réflexion sur un de mes voisins : la minière Canadian Malartic qui exploite la plus grande mine à ciel ouvert au Canada et ce, dans une ville, dans ma ville.Ce citoyen corporatif remplit très bien son mandat social. Il possède une certaine richesse qu’il partage en subventionnant les organismes qui en font la demande. Ex. depuis 2010, l’école secondaire le Tremplin de Malartic a reçu près de 500 000 dollars de la minière Canadian Malartic ou de son Fonds Essor. (Source : Ici.radio-canada.ca\2016\04\23). Je pourrais vous faire connaître la liste des organismes ayant reçu du soutien financier à Malartic et partout en région.La minière a ainsi trouvé, à mon avis, un de ses plus gros filons : la commandite à l’effet bâillon. En effet, qui oserait critiquer, questionner ou remettre en question publiquement ceux qui donnent si généreusement? L’objectif, non avoué, visé par la minière serait-il de forcer l’acceptabilité sociale?Ce voisin qui s’est imposé dans mon quartier fait subir aux citoyens beaucoup de nuisan-ces: poussière, bruit, vibrations. Ces inconvénients ont aussi des impacts sur leur santé tant physique que psychologique. La Santé Publique de l’A.-T. a forcé la minière à rache-ter la résidence qui accueillait des personnes âgées.L’arrivée de ce voisin a créé une fracture sociale dans la communauté malarticoise. Cet état de fait est une source d’inquiétude pour la Santé Publique en A.-T., l’Institut National de la Santé Publique du Québec et l’UQAT (par l’entremise de sa chaire des petites com-munautés). À Malartic, le sujet est tabou. Le conseil de ville est muet sur la question.Je m’attendais à plus de respect de la part d’un nouveau voisin. Il ne semble pas connaître les règles qui régissent le bon voisinage.Il veut me compenser pour les inconvénients qu’il me fait vivre. Contre un montant d’ar-gent, y aura-t-il moins de poussière ou la poussière sera-t-elle moins nocive? Est-ce que je vais vivre moins de stress avec plus d’argent dans mes poches?Un constat : mon voisin veut-il me bâillonner en me compensant ou veut-il acquérir le droit de polluer?En conclusion, je ne suis pas contre l’exploitation de la mine, mais j’aspire à une meilleure qualité de vie. Je vis depuis 60 ans dans la région de Malartic et ma demande est simple : je ne veux plus subir ce stress et ces inconvénients, JE VEUX ÊTRE RACHETÉ, mais pas à n’importe quel prix.

Lettre ouverte/ Courrier du lecteur

Le Conseil d'administration du P'tit Journal de Malartic a adopté à sa dernière réunion, une réso-lution visant la publication de lettres ouvertes dans le journal. Le but est de permettre l'expression d'un plus grand nombre de personnes d'une manière démocratique et civilisée. Les opinions émises dans les lettres ouvertes n'engagent que l'auteur. Le journal demeure donc neutre dans tous débats publics. Le journal communautaire est un lieu d'apprentissage et de formation; c'est un médium ouvert aux apports de la collectivité.

La politique de publication des lettres ouvertes devra être adoptée par un amendement lors de l'assemblée générale annuelle, du 6 juin prochain, qui se tiendra au centre Michel-Brière à 18h.Les lettres ouvertes doivent être signées, l'adresse et le numéro de téléphone sont requis pour les dossiers du journal seulement. Le journal se réserve le droit de publier ou de ne pas publier une lettre ouverte. Il se réserve également le droit de corriger, d'abréger les textes trop longs et de couper les passages portant atteinte aux droits et libertés des individus et des collectivités. Si la lettre est publiée dans la version papier du journal, elle pourrait également se retrouver sur le site: journalmalartic.com

Par ailleurs, par le seul fait de soumettre une lettre au journal, vous lui accordez une licence non exclusive, sans compensation aucune, d'utiliser, d'éditer, de modifier, de supprimer, de reproduire, de publier, de diffuser lesdits articles; à cet effet, vous renoncez à vous prévaloir de tous droits que vous détenez ou détiendrez à l'égard de l'oeuvre pour le respect du droit à l'intégrité de celle-ci.Les textes doivent contenir moins de 600 mots et être envoyés à [email protected]

Pauline

gUy morrissette, Citoyen de maLartiC et très imPLiqUé dans sa CommUnaUté 25 ans de prêtrise pour Pierre goudreaultPaULine ChamPagne

niCoLe arseneaULt


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miCheL germain

Depuis 2013, j’agis à ti-tre de président du jour-nal communautaire de Malartic. Pour une pe-tite communauté de 3300 âmes, avoir un journal hebdomadaire relève de la volonté et des efforts quotidiens.

Dans un premier temps, j’aimerais profiter de l’occasion pour souligner le professionnalisme de l’équipe en place qui abat un boulot incroyable pour une si petite équipe!

L'équipe ne compte pas ses heures et s'assure de livrer la marchandise se-maine après semaine.

Notre journal est remar-qué à travers le Québec et voyage à travers le monde. Ce n’est pas rien! Tous ceux qui m’en parlent n’ont que des éloges à son sujet.

J’aimerais également re-mercier tous les collabora-teurs. Un journal commu-nautaire vit par et pour ses citoyens. Votre impli-

cation est cruciale et pour notre quotidien avoir plus de 279 collaborateurs : ce qui équivaut à 10% de notre population, c’est ex-ceptionnel.

J’aimerais remercier tous les commerçants, les en-trepreneurs et les orga-nismes qui se réfèrent au journal pour publiciser leurs événements. Produi-re un journal a un coût.

Les frais d’impression sont de plus en plus éle-vés. Quand vous annoncez dans votre journal com-

munautaire, vous faites un acte politique démo-cratique et vous assurez la vitalité de votre jour-nal fait par et pour vous.

Le P'tit Journal entre-prend une vaste campa-gne de financement. Vo-tre participation sera requise afin d'assurer une vitalité et le renouveau du journal. SVP, répondez présents!

Je voudrais aussi vous in-viter à notre gala de pres-se du 6 juin prochain. Lors de cet événement, nous

honorerons nos collabora-teurs et nous annoncerons le renouveau du journal.

En effet, nous vous réser-vons une surprise pour souligner notre 10e anni-versaire et pour s’assurer d’un bon positionnement dans le futur. Notre jour-nal communautaire, une valeur sûre et inestima-ble!

Bon 10e à vous tous!

mot du président du P'tit Journal

LoUise LeboeUf

La réception du guide de cohabitation visant l'atté-nuation et la compensation des impacts et l'acquisition de propriétés à Malartic est mitigée.Le Comité de résidents du quartier sud de la voie fer-rée accuse une fin de non- recevoir du guide de cohabi-tation de la mine Canadian Malartic. Les coûts du pro-jet sont évalués à 50M$. Mi-ning Watch, évalue que la mine devrait plutôt investir 200M$ pour indemniser les citoyens.

Guy Morrissette, résident, a calculé: « Avec 50M$, la mine Canadian Malartic va-pouvoir acquérir environ 65 résidences alors que dans le quartier sud on en compte 356 maisons et au total 718 portes (incluant les immeu-bles à logements) Pour at-teindre 200M$, la mine de-vrait donc ajouter 150M$ ce qui lui permettrait d'offrir l'acquisition à l'ensemble des citoyens impactés et évi-

ter la fracture sociale que cette démarche va causer. Ce montant semble énorme, mais ne représente que 15$ par once d'or.»Louis Trottier porte-parole du comité mentionne: « C'est innaceptable. Les ci-toyens sont mobilisés plus que jamais et sont déjà en-gagés à financer un fonds commun à hauteur de plu-sieurs milliers de dollars.» Selon nos sources, ce fonds servirait à déposer une in-jonction. Les propriétaires d'immeubles à logements se sont sentis laissés pour compte. À la présentation publique de dimanche der-nier, ils ont mentionné que leurs locataires espèrent être relocalisés et ils ne croient pas que la petite compensation saura les mo-tiver à demeurer et à subir encore les inconvénients de vivre à proximité de la mine.« On veut un protocole sem-blable à celui de Niobec», ajoute Louis Trottier.Que contient donc cette en-tente conclue au Saguenay entre la minière Niobec et

des citoyens ?NiobecNiobec qui souhaitait aug-menter sa production de niobium avait entrepris un projet d'expansion. Pour le réaliser, Niobec devait ac-quérir des propriétés. La mine a mis en place un processus d'acquisition et d'indemnisation. Dans son document, la mine parle de démarches entreprises dans le plus grand respect des in-dividus touchés. Pour le bon déroulement, Niobec a mis sur pied un Comité du milieu composé de six représen-tants du voisinage de Nio-bec, d'un évaluateur agréé et de trois représentants de Niobec. Le premier des six principes du Comité est de favoriser les ententes de gré à gré et viser à ce que les proprié-taires soient satisfaits du règlement. « Il est question de démarche conjointe et respectueuse, d'équité et de favoriser la négociation et la médiation. » peut-on tou-jours lire dans ce document.Il est mentionné également

que l'expropriation est un mode de dernier recours. Niobec offre la valeur mar-chande de la propriété et non la valeur de l'évaluation agréée.

C'est là où le bât blesse les citoyens de la zone sud de la voie ferrée de Malartic. « La valeur marchande permet de se relocaliser sans devoir s'endetter», explique Louis Trottier.

Chez Niobec, on a égale-ment ajouté les frais et les dommages encourus ainsi que les reconnaissances de dérangement, de perte d'avantages personnels, de perte de quiétude et de per-te d'avantages économiques. Réactions de la minière et du Comité de SuiviSerge Blais, directeur de Canadian Malartic et mem-bre du comité tripartite du Guide du bon voisinage a mentionné qu'il s'agit d'une version encore modifiable du guide et que cette pré-sentation servait à prendre

le pouls de la population.« Toutes les questions ont été notées et nous retournons à nos devoirs », exprime-t-il.Vincent Rousson, copré-sident du Comité de Suivi Canadian Malartic croit que plusieurs points ont été soulevés et demandent à être réfléchis. Sa devise, tout le monde doit mettre de l'eau dans son vin pour arriver à un consensus. À la question, pourquoi ne pas envisager une zone tampon? Jacques Saucier et Vincent Rousson, les coprésidents du Comité de suivi répon-dent: « Demander une zone tampon relève d'une déci-sion gouvernementale. C'est une question de temps et de loi. Tandis qu'avec le guide, nous sommes arrivés à tous s'asseoir à une même table pour négocier. »Les citoyens demandent que l'acquisition et la relo-calisation soient offertes à l'ensemble de la zone sud et que les modalités prévues dans des ententes du type de celle de la mine Niobec, au Saguenay, s'appliquent.

suite à la présentation du guide de cohabitation et du protocole d'acquisitionréactions, demandes et questionnements



Diane Fréchette, résidente de la zone sud

« Ça été pensé, mais il manque plusieurs éléments qui vont nous permettre d’être satisfaits de ce qu’on pourrait avoir et qui n’ait pas été nommés comme le point de vue psychologique, le point de vue physique et la poussière sur les poumons. Je trouve qu’ils ont à retravailler leur protocole ».

Comment trouvez-vous le guide de cohabi-tation dans sa version actuelle?

Vox PoP

Helen Mazur Daigle, résidente et membre du Comité de ci-toyens de la zone sud

« Je n’ai rien compris ».

Ugo Lapointe, coordonnateur canadien de MiningWatch Ca-nada et co-porte-parole de la Coalition Pour que le Québec ait meilleure mine

« C’est nettement insuffisant. L’enveloppe budgétaire de-vrait être de quatre fois plus. C’est un petit pas de fait par la minière aujourd’hui, mais c’est insuffisant si on veut ré-gler, une fois pour toute, les

problèmes de bon voisinage à Malartic ».

Joël Charland, p rop r iét a i re d’un immeuble à logements dans la zone sud« Ce n’est pas clair, clair, clair. Surtout pour les pro-

priétaires qui ne restent pas dans l’immeuble. Il y a bien des questions là-dessus ».

Martine Lafleur, copropriétai-re d'un immeuble à logements dans la zone sud« Je suis contente, car c’est un premier pas vers une en-tente avec la mine. Ça fait longtemps que c’était attendu. Ma préoccupation, c’est que les délais sont de plus en plus

rapprochés. On dirait que nous sommes pressés pour que tout soit mis en œuvre le plus vite possible. J’aimerais, mainte-nant que tout est entamé, qu’on prenne un peu plus de temps pour que tout soit bien fait pour tout le monde ».

Me Nicole Kirouac

« C’est vraiment inacceptable. Ce qu’on a mis au cœur de ce guide, c’est le budget que la mine voulait bien mettre, point à la ligne. On n’a pas considé-ré les impacts qu’elle devait compenser. C’est un enjeu de justice sociale pour des gens impactés qui ont le droit d’être compensés pour ce qu’ils subis-sent. On est dans deux optiques différentes ».

Lancement d'entrepriseJérémy Cyr démarre

Tout comme Obélix qui a été plongé dans la potion magique, Jé-rémy Cyr, lui, est pratiquement né avec des outils dans les mains. À 19 ans, il fait le grand saut dans l'entreprenariat en démarrant son garage en mécanique générale.

Autodidacte, Jérémy du haut de ses 19 ans, sait où il s'en va. Tout jeune avant même de s'asseoir sur les bancs d'école,il savait dé-monter des moteurs. Chez les Cyr, cette débrouillardise se trans-met de père en fils. Le coeur de la famille Cyr de Cadillac bat au ronronnement des moteurs. Jérémy était à un carrefour de sa vie. Chauffeur de camion lourd, il était à la recherche d'emploi. La mécanique faisait toujours partie de sa vie. Il a saisi l'occasion et en deux temps trois mouve-ments, il ouvre son garage . Si Jérémy a hérité de la débrouillardi-se de son père, il a hérité du sens de l'entrepreneuriat de sa mère Mélanie Grégoire, directrice de l'Aile Brisée. Mélanie sou-tient son fils dans ses démar-ches et investit dans son projet. Une fierté l'envahit. Son jeune fils devient un entrepreneur avec tout ce que ça demande! «Le voir aussi heureux et en-couragé , c'est très motivant pour une mère. En plus, je suis tellement confiante en ses compétences. Il a la mécanique dans le sang!», ajoute-telle.Bien installé sur la route 117 à seulement 4 km de Malartic, Jérémy a déjà des clients. Son entreprise roule déjà au son des moteurs 4 temps!

LoUise LeboeUf

Pas de changement de date pour le baPeLe 19 mai dernier, le comité de résidents du quartier sud de la voie ferrée a envoyé une lettre signée par plus de 150 personnes au ministre de l'Environnement, M. Heurtel, l'exhortant à repor-ter les consultations publiques à l'automne. Ces citoyens ajoutent leurs voix à celles de plusieurs autres intervenants qui font la même demande localement et en région, de même que nationale-ment. C’est le cas notamment du Comité de citoyens de la zone sud de la voie ferrée de Malartic, du Regroupement vigilance sur les mines en Abitibi-Témiscamingue (REVIMAT), de la Coalition pour que le Québec ait meilleure mine et de MiningWatch Canada. Le coprésident du Comité de suivi de la mine Canadian Malartic s’est également exprimé en faveur de ce report le 15 mai dernier lors d’une assemblée publique à Malartic. Le P'tit Journal a rejoint le bureau du minsitre Heurtel et voici la réponse:«La première partie de l’audience publique, c’est-à-dire celle qui permet à la population de s’infor-mer et de poser des questions sur le projet, se tiendra en juin. La deuxième partie de l’audience publique, c’est-à-dire celle lors de laquelle la commission d’enquête du BAPE recueille l’opinion et les suggestions de la population, se tiendra au minimum 21 jours après la fin des séances publi-ques de première partie, selon les Règles de procédures du BAPE, soit en juillet. Évidemment, la commission informera à l’avance les groupes et personnes intéressés pour leur signifier la date à laquelle ils pourront présenter leur mémoire.»

Suite à la rencontre publique pour la présentation du Guide de cohabitation qui s'est tenue le 15 mai dernier au Théâtre Meglab, le journaliste du P'tit Journal a pris les commentai-res à chaud de certains partici-pants.



Chronique Voyage

merci mgr atangarobert Charron

Oui, ce vendredi matin 19 janvier, c’est le temps de quitter Bertoua et de re-mercier Mgr Joseph Atanga pour son accueil et son hos-pitalité fraternelle et cha-leureuse. Ce fut vraiment agréable. J’étais conscient de ma chance et, reconnais-sant : voiture et chauffeur disponibles, logé confor-tablement, bonne table et échanges fraternels entre confrères en toute amitié et simplicité. Ma reconnais-sance est grande aussi pour Sr Apolline qui m’a accom-pagné et qui a fait sentir sa présence discrète et cha-leureuse. Au moment des adieux, Monseigneur m’a remercié de m’être déplacé de si loin et d’être venu le

visiter dans un coin de pays plus isolé et moins connu. Il m’invite chaleureusement à revenir, ne serait-ce, dit-il, que pour voir le nouvel évêché. Son invitation pres-sante m’a ému.Le retour vers Yaoundé se fait assez tôt le matin de manière à arriver chez les Pères Scheutistes à temps pour le repas du midi. Le trajet était moins à la décou-verte, parce que déjà par-couru, mais propice à la ré-flexion: revoir en pensée les moments marquants de mon séjour à Bertoua et commen-cer à planifier le séjour à Yaoundé où je dois organi-ser mon emploi du temps et mes déplacements.En traversant un petit vil-lage avec des boutiques de chaque côté de la route, j’ai

remarqué une douzaine de gros «camions à trois ar-bres». Cet arrêt de camion-neurs m’illustre le fait que nous sommes bien dans un pays forestier. Cela me rappelle tous ces camions pleins d’arbres coupés que nous croisons sur nos rou-tes abitibiennes. Mais là, devant mes yeux, chaque camion n’a que trois gros arbres comme chargement : deux en bas et un, par-des-sus, au centre. Le tout bien attaché. J’ai l’habitude d’en voir, mais jamais autant en même temps. À chaque fois, il me monte un sentiment curieux. Je revis les problè-mes de nos forêts où les gros arbres ont été coupés il y a longtemps et dont la régéné-ration prendra des siècles. Ces gros arbres ne seront

sans doute pas remplacés de sitôt et il y a des chances que les forêts ressemblent un jour aux nôtres. Sans doute on dira que c’est bon pour l’économie! Ma proté-gée Nicole m’a déjà fait une réaction d’hostilité face aux riches exploitants forestiers «qui ne pensent qu’à eux»! Je n’ai aucune information de l’usage que l’on en fait à savoir s’il y a transforma-tion et plus value ajoutée localement ou si c’est pour l’expédition à l’étranger.L’entrée à Yaoundé est lente en pleine heure de pointe du midi; il est bon d’être patient! Une certaine fé-brilité m’anime au moment d’arriver au centre CICM où je m’apprête à passer trois nuitées. Nous découvrons à l’arrivée que la salle à

manger est pleine, car les prêtres de la communauté ont une réception. Notre re-pas est reporté d’une heure. Après un bon moment à de-mander la responsable des admissions, on me donne ma chambre mais en m’in-diquant que, malheureuse-ment, je ne peux demeurer ici qu’une journée, car les Pères ont besoin de toutes les chambres pour la fin de semaine. Cela me contrarie profondément! Sr Apolline me rassure en me disant qu’il y a d’autres communau-tés autour et que je trouve-rai sans difficulté à me loger, ainsi que Nicole qui doit me rejoindre en cours de jour-née.

Suite de la chronique la semai-ne prochaine.

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Horizontale

1. Le mot de la semaine

a n n i v e r s a i r e

PropriétaireJOURNAL COMMUNAUTAIRE DE MALARTIC

Directrice générale et JournalisteLOUISE LEBOEUFCollaborationRobert Charron/Alexandre Millier-BoucherPauline Champagne/Nicole ArseneaultGuy Morrissette

CorrectionLISE ROUSSON/LOUISE DUMAS

InfographieLOUISE LEBOEUF

AdministrationRENÉE MANTHA

Le P’tit Journal est publié chaque mercrediAbonnement : 52,50 $ tx incluses / anImpression : Hebdo LithoDépôt légal Issn 1718-9829

550, 4e Avenue, bureau 207 Malartic (Québec) J0Y 1Z0Tél. : 819 757-2929 Téléc. : 819 757-2930 [email protected]

Tirage certifié AMECQ 1 000 copiesImpression: Hebdo-Litho

CommunicationsPubli-services inc.

Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement de Canada par l’entremise du Fonds du Canada pour les périodiques (FCP) pour nos activités d’édition.

Félicitations à camille V. leFebVre, Finissante à la maîtrise en sciences géographiques de l'uniVersité laVal.

Les bons coups de nos jeunesChapeau !

toutes nos Félicitations à stéphanie lam-bert pour l'obtention de son diplôme en droit ciVil de l'uniVersité d'ottawa

toutes nos Félicitations à mathieu lecomte qui a reçu une bourse honor-iFique pour poursuiVre ses études au centre proFessionnel de Val-d'or dans le programme de Ventes et conseils.

mathieu est l'exemple parFait que la dé-termination, les bons choix et le dépasse-ment de soi mênent à la réussite!

une image Vaut mille mots! dans le cadre de la semaine québécoise de la déFicience intellectuelle, le centre de Formation générale des adultes, horizon, a lancé le projet d'intégration sociale aVec les élèVes-Vedettes. il s'agit d'aFFiches de grand Format, mettant en Ve-dette les élèVes des groupes d'intégration sociale. sur chaque aFFiche un message diFFérent. « nos amis sont des anges qui nous soulèVent quand nos ailes n'arriVent plus à se rappeler comment Voler.»



Oui…Oui…Eh bien ça va

vous faire 140$. Attendez que je

calcule…c’est bien ça. Je le sais

qu’on a de bons prix!

Voyons! Soda de

soda, que je bégueye

donc ben avec mon

clavier!!!

Bon...enfin!!! Y est

envoyé...Y était

temps...C’est long!!!

Est-ce que ça prend une

lettre majuscule, un D à la

fin du mot? ? ?

Oui, pour

la majuscule et

pour le D on vérifie. Deux

fois plutôt qu’une!!!

Ah ouin!! J’en ap-

prends à toutes les

fois...

Ben non! J’aime me salir

les doigts et sentir l’odeur

du journal fraîchement

imprimé!!!!

Ça salit les mains!!!

J’vous jure, si j’étampe

mes doigts sur les murs,

on va me suivre à trace.

Est-c’qu’on a des bon-

bons???!!! Attention, à

l’attaque!!!!

Entendez-vous???? Les

camelots s’en viennent!!!

Vite, y faut trouver des

bonbons!!!!

Eh oui...C’est moi, Rodo

qui livre les journaux dans

les dépanneurs!!!!

Au P’tit JournAl, les JournAlistes font des rePortAges à lA semAine longue. ils Peuvent être surPris de voir à quel Point l’événement Peut Prendre des tournures inAttendues. entre les rePortAges, les emPloyés reçoivent beAucouP d’APPels: Annonces à fAire PArAître, des Publicités. lA conseillère Aux ventes doit souvent cAlculer et discuter Avec l’entrePrise en question.

Il arrive souvent que les journalistes ont des rédactions de dernière minute.

lorsque lA mAquette est finie d’être montée, on l’imPrime Pour lA soumettre Aux correctrices bénévoles qui viennent tous les lundis mAtin. une fois que les correctrices remettent les PAges à corriger, l’infogrAPhiste corrige à son tour dAns lA mAquette et Ainsi de suite à quelques rePrises. une fois lA mAquette corrigée, elle est Prête à être envoyée à l’imPrimerie viA un serveur internet. notre imPrimerie est située à sAint-léonArd. il doit être envoyé à midi tAPAnt. le lendemAin de l’envoi de lA mAquette, on les reçoit Pour que l’on Puisse coller les étiquettes Pour les Abonnés qui le reçoivent PAr lA Poste. APrès Avoir étiqueté les JournAux, il est temPs de PréPArer les sAcs de cAmelots. une fois que tout est fAit, on fAit livrer le JournAl PAr livrAison rodo, qui le déPose dAns les éPiceries et les déPAnneurs de mAlArtic et ses environs, de vAl-d’or à cAdillAc.

Le montage du P‘tit Journal en bande dessinée

Rodo est bien l’homme à la barbe

et non le bonhomme sourire!!!!



Nos artistes en herbe

C’est sous le thème de l’ima-ginaire que les 125 danseurs et danseuses, répartis en 12 groupes, de l’école de danse Spect-O-Art ont présenté, les 13 et 14 mai derniers, leur spectacle annuel. Vingt-six numéros de danse ont été présentés devant un public fidèle..

De Marchand de sable au Reality Show, en passant par les 101 Dalmatiens, le prince charmant, les pou-pées et la Guerre des Tuques, les jeunes ont dansé à tra-vers toutes les imaginations qu’une personne – jeune et moins jeune – peut avoir au courant d’une vie.

En attendant que les specta-teurs entrent dans la salle, une exposition de photos de groupes les faisait patienter. Ces photos ont été prises par la photographe Vicky Neveu, quelques jours auparavant.

Pour l’animation, il y avait une voix hors-champ qui annonçait chaque présen-tation par: Imaginez… Les numéros étaient alors affi-chés sur des écrans de cha-que côté de la scène. Pour ce qui est du spectacle en tant que tel, il serait difficile de parler d’un numéro en par-ticulier tellement ils étaient bien présentés par les grou-pes. Cependant, notons le numéro saillant de la soirée

qui s’intitulait Imaginez un père. Dans ce numéro, des pères étaient sur scène. Un moment fort émouvant a suivi : une élève a perdu son père dernièrement. Le nu-méro, c’était pour lui rendre hommage. Les spectateurs en avaient les larmes aux yeux.

30 ans d’implication pour Chantal Bourgeois

Fait important à souligner : l’année 2016 marque le 30e anniversaire d’implication de Chantal Bourgeois dans la vie culturelle de Malartic. C’est en 1986 qu’elle a fondé sa première école de danse, le Studio de danse Chantal, qu’elle a tenu pendant 14 ans.

Par la suite, depuis 2000, elle fait partie de l’organisa-

tion de l’école Spect-O-Art. Comment elle a fait pour garder le feu de la passion depuis toutes ces années? «C’est toute mon équipe, dé-

clare simplement Chantal. La majorité des professeu-res d’aujourd’hui, je les ai eues comme élèves ».

école de danse spect-o-artimaginez...

aLexandre miLLier-boUCher

Un moment fort émoUvant dU spectacle: Jolyanne plamondon chante la pièce Je vole, accompagné dU langage des signes.

les qUatre récipiendaires de la BoUrse distinction, remis aUx élèves qUi se sont distingUés par leUr assidUité, leUr motivation et leUr persévérance. sUr la photo de gaUche à droite: loïc rivest, mathieU rioUx, et émile roUthier. aBsent sUr la photo: anthony Bélanger. lyne carpentier leUr remet leUr certificat cadeaU

le 1er mai dernier, le centre musical jean-charles-loiselle présentait son spectacle annuel au théâtre meglab. on Voit ici le jeune guitariste, derek goudreau.

Une sUrprise attendait la présidente sortante dU conseil d'administration, esther caron. en effet, les élèves sont montés sUr scène poUr la remercier de son implication. crédit photos: JUlie giroUx.

Le concert du Centre musical Jean-Charles-Loiselle



Depuis les 10 dernières années, le P’tit Journal accorde une grande importance à la pro-motion de la culture et de la langue française. Dans le journal, on a couvert des événe-ments culturels, fait part des bons coups de nos artistes, rédigé des chroniques abordant la langue française, etc. Voici les quelques réalisations en cette matière.

Les événements culturels et les bons coup de nos artistes

Déjà, dans la première parution du 23 mai 2006, la Une a été consacrée à un événement culturel. En effet, Myriam Bolduc, âgée de 9 ans, de Malartic, avait participé au tour-nage d’un court métrage pour la prévention du suicide, intitulé Plein l’dos. Nous avons couvert plusieurs spectacles annuels ou printanniers, notamment ceux du Centre mu-sical Jean-Charles-Loiselle, des Compagnons du Nord, de l’école de danse Spect-O-Art, des écoles et quelques spectacles professionnels qui se sont tenus au Théâtre Meglab depuis son ouverture, en 2010. De plus, nous avons couvert des vernissages au Musée minéralogique et à la Bibliothèque municipale de Malartic.

Nous avons eu maintes fois l’occasion de souligner les bons coups de nos artistes :Mau-rice Bélanger (littérature jeunesse), Alexandre Faucher (publication d’une thèse sur l’histoire de l’ancien village minier de Roc-d’Or), Danielle Boutin-Turgeon (artiste pein-tre ), Diane Dubeau, écrivaine, Arlènes Fieldes( peintre), l'Atelier des 3D, Vicky Neveu, Daniel Rompré (photographes), Catherine Dumas et Isaac Bélanger-Leboeuf (comé-diens), Gilles Plante (peintre) et plusieurs autres.

Au P’tit Journal, nous en avons organisé des activités culturelles. En décembre 2009, pour souligner la fin des activités à l’auditorium de l’école Renaud, nous avons réuni sur scène, pour la dernière fois, plus de 80 artistes (professionnels et amateurs) qui ont présenté plus d’une dizaine de numéros. Plus de 300 spectateurs ont répondu à l’invitation.

En 2013, à l’occasion des Journées de la Culture, le P’tit Journal a organisé une activité intitulée Journée portes ouvertes, le début d’une nouvelle aventure. Toute la popula-tion ainsi que les écoles primaire et secondaire ont rencontré les artisans de la presse communautaire. Cette activité a été sélectionnée parmi les 100 meilleures activités familiales au Québec.

Chronique sur la langue française

Depuis quelques années, le P’tit Journal publie une chronique intitulée En français d’abord, rédigée par madame Géraldine Bédard. Il s’agit d’une chronique dans laquelle la rédactrice, une passionnée de la langue française, élargit les connaissances en voca-bulaire en insérant les définitions qui vont avec les mots et en faisant des jeux de mots. Par ailleurs, la promotion de la langue française fait partie du Plan triennal 2013-2016 du Journal communautaire. Fait intéressant : la chronique est rédigée par un membre de la communauté.

Bonne fête au P'tit Journal!

Chronique 10 ans du P'tit JournalLa culture et la langue française


Chronique alimentationPerte de poids et bikini: attention aux produits miracles...

roxanne bertrand, diététiste-nUtrionnisteEn mai, il y a une petite brise chaude qui nous réchauffe le cœur, le soleil qui chasse la grisaille et l’envie d’y aller un petit peu plus léger sur le vêtement. Mais avec le prin-temps, vient aussi souvent le stress (non fondé et surtout irrationnel!) de vouloir être « cute » dans son bikini.

On s’engage alors dans la recherche d’une méthode simple, facile, sans effort et qui ne nécessite surtout pas d’enfiler ses espadrilles… La beauté de la vie, c’est qu’on va la trou-ver la méthode miracle : elle sera en boîte de comprimés à la pharmacie, en smoothies hyperprotéinés, en jus verts, en plan de 21 jours détoxifiants…

Malheureusement, ces méthodes ne seront jamais effica-ces à moyen-long terme. Elles entraînent seulement une perte de liquide (eau) par un sympathique effet laxatif; rien à voir avec le corps de plage rêvé!

De moi à vous, le corps de plage idéal, c’est dans la tête que ça se passe. À la plage, apportons donc nos fesses, notre pe-tit bourrelet de bedaine et notre confiance. On va rayonner encore plus que le soleil.

Chambre de Commerce et d’industrie de malartic

Un marché public pour juillet prochainaLexandre miLLier-boUCher

Le 19 mai dernier, la Cham-bre de Commerce et d’Indus-trie de Malartic annonçait la construction prochaine du Marché public, et ce, dès juin prochain.

Le projet consiste en la construction d’un pavillon principal, qui sera situé en face du terrain de balle molle du Parc du Belvédère ainsi que dix petits kiosques adjacents. Coût total : 100 000 $ qui sera financé par des organismes notamment la mine Canadian Malartic (commanditaire majeur), le Fonds Essor Canadian Ma-lartic et le Pacte rural de la MRC Vallée-de-l’Or. Il est important de mentionner que la Ville de Malartic a fourni le terrain gratuite-ment. Un plan de finance-ment sera disponible pro-

chainement pour inviter les entreprises à investir dans ce projet.

L’an dernier, le comité or-ganisateur a reçu beaucoup d’appels de producteurs ma-raîchers et espère pouvoir conclure des ententes avec eux. La location d’un kios-que ne coûtera rien aux ex-posants, mais à la condition d’être membre de la Cham-bre de Commerce. D’autres partenariats pour pouvoir utiliser les kiosques sont en voie de se conclure avec notamment le Festival Wes-tern et le super Cross.

Le Marché public de Ma-lartic se tiendra tous les sa-medis à partir du 23 juillet prochain et pour le reste de l’été.



Chronique 10 ans du P'tit JournalLa culture et la langue française

refuge JeunesseProjet Renouvellement. Beaucoup de nos abonnés doivent maintenant renouveler leurs por te-clés boo-merang. C'est encore au coût de 5$ pour 2 ans. Si vous n'avez pas encore le vôtre, nos jeunes en vendent aussi présentement pour leur voyage à Toronto. Vous pouvez nous appeler au Refuge pour savoir si le vôtre est encore bon ou passez nous voir pour renouveler! Pour in-formations : 819 757-4133Assemblée générale annuelle de Refuge Jeunesse Malartic Inc. : Refuge Jeunesse Malar tic Inc., t iendra son assemblée générale annuelle, le lundi 30 mai 2016, à 19h, dans ses locaux situés au 530, rue Lévis, à Malar tic. Lors de cette assemblée, nous présen-terons nos activités, nos f inan-ces, les conditions du voyage estival pour les jeunes et l’élec-tion du nouveau conseil d’admi-nistration. Toute la population est invitée.

maison de la famille

Pas à pas avec bébéLes papas et mamans qui dési-rent recevoir de l’information sur différents sujets concernant leur bébé et aussi faire connais-sance avec d’autres parents peuvent par ticiper aux ateliers «Pas à pas avec bébé» les lundis après-midi, de 13h00 à 15h00. Différentes thématiques abor-dées.

service de relevaillesUne assistante périnatale peut se rendre à votre domicile pendant la grossesse et après l’accouche-ment, pendant la première an-née de vie de votre nouveau-né. L’objectif premier du service est de vous permettre de vous repo-ser en toute tranquillité d’esprit. Pour recevoir le service ou pour informations, contactez le 819 757-6755.

dernier bistro: un petit souper au resto!Vendredi le 27 mai de 17h30 à 20h30. La période estivale est déjà à nos por tes...pour souli-gner la f in de nos rencontres de

parents, nous irons souper au resto. Un beau petit moment en perspective qui nous permettra d'échanger sur nos projets pour l'été et nos vacances. Halte-gar-derie offer te gratuitement pour les enfants de moins de 12 ans. Réservation requise avant le jeudi 19 mai à 16h.Le Coin des amis - halte-répitLe Coin des Amis est un service de garde occasionnel offer t à raison d’un bloc de quatre heu-res par semaine, les vendredis en avant-midi, de 9h00 à 13h00. Le parent doit inscrire son (ses) enfant(s) au préalable et ensuite, réserver 24 heures à l’avance, 2$ par enfant.Cuisines collectivesPréparation en groupe, de repas sains et économiques pour rap-porter à la maison. Le prochain atelier aura lieu samedi le 28 mai de 9h à 15h, à la Maison de la Famille de Malar tic. Un ser-vice de halte-garderie est offer t gratuitement pour les moins de 12 ans et vous devez réserver la veille au plus tard. Conf irmez votre présence et vos besoins pour la halte.friperieVente de pyjamas 0-24 mois et de camisoles (cache-couche)Les parents de bébés et de jeu-nes enfants t rouveront assu-rément de petits vêtements à leur goût et pourront bénéf icier d'un rabais de 50% durant tout le mois de mai. Les vêtements d'été sont maintenant disponi-bles.Bienvenue à tous!

Nos services sont offer ts aux papas, mamans, grands-pa-rents, oncles, tantes ou toutes personnes signif icatives dans la vie d’un enfant. Pour par ti-ciper, vous devez être membres au coût de 7$ annuellement par famille.

Pour plus d’infos sur toutes ces activités et services : 819-757-6755, visitez notre site www.mf-malar tic.com et suivez-nous sur notre page Facebook.

table de concertation des per-sonnes aînées de l'abitibi-té-miscamingueLa Table régionale de concer tation des personnes aînées de l’Abiti-

bi-Témiscamingue organise un concours de photographies amateur et invite la population à soumettre ses plus belles photos de person-nes aînées sous le thème « Mon-trez-nous comment les personnes aînées font par tie de votre vie ». Le concours débute le 4 avril prochain et se terminera le 15 juin 2016, à 16 h 30. Pour information: (ht tp://www.ainesat.org/index.html).Air d'été au SamaritainLes vêtements d'été qui font rêver au solei l!Notre comptoir a fait peau neu-ve! Venez nous rencontrer tous les lundis et vendredis de 10h à 16h, les vêtements d'été vous feront rêver à un air printanier bien mérité. Venez découvrir nos nouveautés. Vos achats offrent un soutien f inancier aux moins for tunés. Merci de nous aider.ValpabemAvis de convocation - Valpa-bem inc.Vous êtes cordialement invités à l’assemblée générale annuelle et à la séance publique d’infor-mation de Valpabem inc. qui se tiendra lundi le 30 mai 2016, à 18h30, au local de Valpabem 375, avenue Centrale, Val-d’Or. Merci de conf irmer votre pré-sence au 819 874-0257.En effectuant votre épicerie au IGA, centre-ville ou Carrefour du Nord-Ouest, mentionnez Valpabem ou 816 à la caissière et une somme de vos achats aidera directement notre orga-nisme. Merci de penser à nous!Si vous avez un membre de vo-tre famille at teint d’une maladie mentale, VALPABEM vous of-fre soutien et écoute.819 874-0257Société d'Horticulture et d'écologie de MalarticL'assemblée générale annuelle se tiendra sous peu, mais vous êtes invités à contacter la pré-sidente, Aline Lamarche, au 819 757-3165. Il est temps de re-nouveler votre car te de membre 2016.HorticultureJardin communautaire et beau tempsC’est votre tour de vous faire voir et entendre. Depuis peu, on parle de climatisation; d’espaces verts. Nous, nous faisons partie de cela. Nous avons un pied à terre et les mains dans la terre.Un jardin où nous pouvons se-mer, cultiver, regarder, admirer

nos plants pousser et devenir de la nourriture de bonnes et saines habitudes de vie. Nous sommes situées, rue du Golf, à droite juste avant l’Argousier! Vous pouvez vous renseigner auprès d’Aline Lamarche, présidente.Murielle Poisson, secrétaire et Gislaine Cardinale, trésorière.818 757-3165, 819 757-2864 et 819 757-4695Vitesse, chemin du lac!Population locale, at tention: La limite de vitesse suggé-rée dans ce secteur est de 70 ou 50km/h. Le dépassement est interdit. Automobilistes et conducteurs de «pick-up», nous comptons sur vous pour la sécurité des gens circulant sur cette route de campa-gne, route dite ver te. À noter qu'une surveillance accrue est prévue. La municipalité doit nous présenter son plan. Patience. D'ici là, la pruden-ce est de mise. La ligne jaune continue, direction Malar tic, à par tir de la rue des Pion-niers est également attendue.Club de Motoneige de Ma-lartic - AGAL’AGA du club de motoneige de Malartic se tiendra le 26 mai 2016, à 19h, à la salle des Cheva-liers de Colomb de Malartic.Gala de presse du P'tit JournalPour souligner et honorer l'apport de tous nos collaborateurs, nous vous convoquons à un Gala de presse, le 6 juin prochain, à 19h, au Centre Michel-Brière. Com-muniquez avec Renée pour plus d'informations au 819 757-2929Harmonie du TremplinL'Harmonie Le Tremplin conclut son année avec son concert de fin d'année. De Beethoven à Bruno Mars, venez entendre une jour-née "Full Ado".Vendredi le 3 juin, 19h30 à la salle Meglab, Malartic. Billet au coût de 5$, gratuit pour les 12 ans et moins. Travail de milieuTu es âgé entre 12 et 25 ans? Tu as un projet en tête, tu vis une problématique ou tu as besoin d'accompagnement, n'hésite pas à m'appeler ou à m'écrire, il me

fera plaisir de te rencontrer: Fa-cebook Naïka TM-Malartic ou 819 860-8319

CENTRE DE PRÉVENTION DU SUICIDE DE MALARTICAssemblée générale annuelle

Toute la population de Malartic, de Rivière-Héva et du TNO, est invitée à l’assemblée générale annuelle du Centre de prévention du suicide de Malartic, qui aura lieu le mercredi, 8 juin 2016, à 19 heures au 550, 4e Avenue, bureau 205. Au plaisir de vous y rencon-trer!

COMITÉ PISTE 4 SAISONS DE MALARTICAssemblée générale annuelleSaviez-vous qu’un grand pro-jet pour les 2 municipalités de Malartic et Rivière-Héva est en cours présentement? Ce projet consiste en une piste multifonc-tionnelle de 7 km en forêt, paral-lèle à la route 117. Elle se situera entre Malartic et le chemin du Lac Malartic. Elle sera accessi-ble à tous hiver comme été.

Vous êtes cordialement invi-tés à l’AGA du comité qui aura lieu le 7 juin, à 19h, à la salle de conférences du Centre culturel et récréatif au 550, 4e Avenue à Ma-lartic. Il nous fera plaisir de vous présenter le projet et de répondre à vos questions.

Au plaisir de vous rencontrer.

CENTRE MUSICAL JEAN-CHARLES-LOISELLEAssemblée générale annuelleVous êtes cordialement invités à l’assemblée générale annuelle qui aura lieu le mercredi, 8 juin 2016, à 19 heures. Elle se tiendra au Centre culturel et récréatif Le Tremplin, au 550, 4e Avenue, lo-cal 133 à Malartic.

Les membres du C.A. seront pré-sents entre 18 h 30 et 19 h pour les personnes qui voudront pro-fiter de la période de préinscrip-tion pour la session automne-hi-ver 2016-2017.


le plus grand des petits journauxwww.journalmalartic.com

16e gala sportif du tremplinaLexandre miLLier-boUCher

Le 10 mai dernier, l’école se-condaire Le Tremplin tenait son 16e Gala sportif au Théâ-tre Meglab de Malartic. Ce gala souligne les performances des athlètes, mais aussi l’excel-lence et les efforts des élèves qui font preuve d’esprit sportif et de persévérance.

Au travers les remises de prix, des numéros de variétés soit de chants, d’humour et de cheer-leading ont été présentés aux parents et amis des athlètes en nomination dans les cinq caté-gories. Le basketball, le cheer-leading, le soccer, le badmin-ton, le volleyball, le golf et le hockey sont les sports qui ont composé le Sport-étudiant et le programme de Sport-études.

Dans la catégorie Esprit spor-tif, les récipiendaires ont été Allison Provost, Tommy Hamil-ton, Mickaël Cartier-Therrien, Kimberly Massé, Félix Bélan-ger, Gabriel Cabot, Camilia Ste-Croix, Laurence Ratté, Ja-mie Morrison et Emile Lauzon.

Les lauréats de la catégorie du joueur ou de la joueuse s’étant le plus amélioré ont été Anna-Aude Vanier, Zack Rémillard, Emma Lemay, Mathis Lange-vin, Cédrick Belley, Anthony Lacoursière, Arianne Beaulé, Tamara Dessureault, Edward Turgeon et Mathieu Gélineau. Pour la catégorie du joueur ou de la joueuse la plus utile, les gagnants ont été Angélique Bélanger, Charles Ferron, Ga-briel Chartrand, Gabrielle Roy, Loïk Danis, Bryan Gagnon, Megan Grondin et William Provost.

Conciliation sport et études

Pour cette catégorie, il s’agis-sait de nommer un athlète fé-minin et masculin des deux cycles ayant réussi à concilier les études avec le sport. Pour le premier cycle, ces prix ont été attribués à Léanne Blain (en plus d’avoir été lauréate d’un prix comme joueuse la plus utile en badminton) et Pier-Alexandre Roy. Pour le 2e cycle, les lauréats ont été Sa-rah Langevin et Derek Belley (en plus d’avoir reçu un prix du

joueur s’étant le plus amélioré en basketball).

Grands prix

C’est vers la fin du gala que les grands prix ont été remis. Pour le sport-études, l’athlète honoré est Victor Brouillette. Les athlètes par excellence au niveau scolaire ont été Alice Blain (en plus d’avoir été lau-réate d’un prix de la joueuse la plus utile en badminton) et Gabriel Chartrand. Le prix d’athlète par excellence sco-laire 2015-2016 a été décerné à Jonathan Vermette, lui qui a aussi reçu le prix du joueur le plus utile en golf.

Pour la deuxième année consé-cutive, le prix Personnalité sportive de l’année a été remis à l’athlète ayant eu une bonne attitude autant avec ses pairs qu’avec le public qui venait as-sister aux parties. Cette année, le prix a été remis à Caroline Samson. Un peu plus tôt dans la soirée, elle avait aussi reçu le prix de la joueuse la plus utile en volleyball.

plus d'une quarantaine de prix ont été remis lors du 16e gala sportiF du tremplin, le 10 mai dernier. sur la photo, edward turgeon, récipiendaire du prix du joueur s'étant le plus amélioré en golF. ce prix a été remis par denis juteau, directeur-adjoint du tremplin.

en plus de receVoir le prix de la joueuse la plus utile en Volleyball, caroline samson a été sacrée Personnalité sPortive de l'année 2015-2016. le prestigieux prix lui a été remis par éric Vallière, directeur du tremplin. crédit photos: alexandre millier-boucher

Nécrologie

m. patrick coulombe

1972-2016

MALARTIC: Est décédé au CISSS de Val-d'Or le 4 mai 2016, à l’âge de 43 ans, M. Patrick Coulombe, domicilié à Malartic. M. Patrick Coulombe laisse dans

le deuil son père Marcel Pelletier; sa mère Marlène Coulombe; ses enfants : Keven, Amy-Lee, Kaleb et Kaylan; la mère de ses enfants : Johanne Degran-

dpré; sa sœur et ses frères : Caroline Pelletier, Martin Pelletier et Dominic Pelletier; sa filleule Karine Bouffard, sa grand-mère Madeleine Gagné; ses

cousins et cousines ainsi que de nombreux parents et amis (es). Un don à la Prévention du suicide de Malartic serait apprécié. Une dernière prière a eu

lieu le lundi 9 mai 2016 à 16h30, au Salon de la Résidence funéraire de Malartic. L’inhumation aura lieu au cimetière de Malartic.

MALARTIC: Est décédée au CISSS-AT Pavillon de Val d'Or le 10 mai 2016, à l’âge de 67 ans, Mme Denise Gagnon, domiciliée à Malartic, fille de feu Jean-

Noël Gagnon et de feu Agnès Quesnel. Mme Denise Gagnon laisse dans le deuil son époux : André Beauvais; ses enfants : Patrick, Brigitte, Dany, Cindy

(Serge Tousignant) et Annick (Steve Grandbois); elle était également la mère de feu Steve; ses petits-enfants : Brandon, Samuel, Maxime, Audrey-Anne,

Derick et Deven; ses frères : Richard et Yvon; ses beaux-frères et belles-sœurs; ses neveux et nièces ainsi que de nombreux parents et amis (es). Selon

les dernières volontés de Mme Gagnon, il n’y aura aucune exposition ni funérailles.

MALARTIC: Est décédé le 14 mai 2016, à la Maison du Bouleau Blanc d’Amos, à l'âge de 57 ans, monsieur Michel Turpin, fils de feu Gérard Turpin et

de feu Germaine Lachance. Monsieur Michel Turpin était domicilié à Malartic. Le défunt laisse dans le deuil, son frère : Yvon (Francine Cloutier) ; sa

nièce : Cindy-Kim (Carl Gilbert) ; ses petits-neveux : Laurent, Louis et Ludger ; ses oncles et tantes, ses cousins et cousines, ses confrères de travail ainsi

que de nombreux parents et amis. Selon les volontés du défunt, il n’y aura aucune exposition. La famille sera présente dès 15h30 à l'église pour vous

accueillir. Les funérailles ont eu lieu le mercredi 18 mai 2016 à 16h, en l’église St-Martin-de-Tours de Malartic. L’inhumation aura lieu au cimetière de

Malartic. Vos marques de sympathies peuvent se traduire par un don à la Maison du Bouleau Blanc d’Amos.

mme denise gagnon-beauVais

1949-2016

m. michel turpin

1959-2016



après 15 ans dans l’escadron 884 de malartic

michel germain tire sa révérence

Il a été, pendant 15 ans, com-mandant de l’unité de Cadets, l’Escadron 884 de Malartic et il s'est très impliqué à Malar-tic. Entrevue avec Michel Ger-main, qui tirera sa révérence, le 30 juin prochain.

Ses débuts dans le mouvement des CadetsSon entrée dans le mouvement remonte à 1995, alors qu’il est devenu officier. C’est au Corps de Cadets 2788 de La Sarre qu’il a commencé comme ins-tructeur de tir. « Ça, c’est ma passion et je suis formé pour donner des cours de tirs et j’ai toujours fait de la compétition de tir depuis l’âge de 5 ans », déclare Michel Germain en en-trevue téléphonique.

Son passage à l’Escadron 884 de MalarticEn 1997, alors qu’il faisait un remplacement à Val-d’Or, un ami qu’il avait connu à La Sarre, s’occupait de l’Escadron 884 de Malartic. Lui aussi avait besoin d’un instructeur de tir. « Durant la semaine, j’étais à Val-d’Or. Un soir par semaine, j’allais donner des leçons de tir aux jeunes de Malartic. Le ven-dredi, je partais très tôt pour La Sarre et j’allais former les Cadets », raconte Michel.

Il a été nommé commandant de l’Escadron 884 en 2001, suc-cédant à Éric Bordeleau. Sa principale fierté – bien qu’il en aie plusieurs, notamment le nombre de membres qui est de 10 en 2001 et qui se maintient entre 30 et 35 depuis quelques années – c’est l’implication des jeunes de Malartic dans l’Esca-dron. « On est dans une petite ville et on est une des plus gros-ses unités en Abitibi et nous sommes la plus petite ville à avoir une unité de Cadets en région ».

C’est pendant son commande-

ment à Malartic, en 2007, qu’il a reçu la Médaille canadienne pour souligner ses 12 ans de services comme officier. De-puis son entrée en poste, l’Es-cadron a introduit plusieurs concepts, il s’agit de défis – no-tamment la survie d’été – de plus en plus importants au fur et à mesure que le jeune évo-lue dans le mouvement. C’est ce qui motive les jeunes et c’est un peu à cause de ça qu’ils restent plus nombreux dans le mouvement ».

Son successeur comme com-mandant de l’Escadron sera le Lieutenant Pascal Baribeault, qui occupait le poste d’instruc-teur civil et qui s’est enrôlé comme officier il y a plus de deux ans. Il est important de souligner que ses deux filles faisaient parties du mouve-ment des Cadets depuis les cinq dernières années.

Ses projets pour l’avenir

Ce n’est pas parce qu’il ne sera plus commandant pour l’Esca-dron 884 de Malartic qu'il va cesser de s’impliquer dans le mouvement. Bien au contraire: il restera notamment respon-sable de tir au niveau régional c’est-à-dire directeur de la zone 18 qui est l’Abitibi. « Je veux continuer à m’impliquer dans le mouvement et je vais aller là où on aura besoin de moi », de conclure Michel Germain.


au théâtre meglab les 27 et 28 mai prochainLes Compagnons du nord en concertaLexandre miLLier-boUCher

Les 27 et 28 mai prochains, le groupe vocal Les Compagnons du Nord présentera son specta-cle annuel sous le thème Signé Musique, au Théâtre Meglab de Malartic.

Dix-sept pièces seront au pro-gramme. Ces chants provien-nent du répertoire moderne québécois. Des chanteurs no-tamment Céline Dion, Michel Sardou, Jacques Brel et des groupes tels qu’Harmonium et les Colocs seront aussi à l'hon-neur. Quelques-unes de ces pièces seront accompagnées de chorégraphies, une marque de commerce du groupe.

Bilan de l'année 2015-2016

Aux dires du président des Compagnons du Nord, Jean Turgeon: « Il ne s’agit pas

d’une chorale, parce que ça chantait des chants d’égli-ses. On devrait appeler ça un groupe vocal parce qu’on chante des chants populai-res ».

Préparer un spectacle an-nuel prend une année com-plète de septembre à mai à raison d’une répétition par semaine, qui se tient au Centre de la formation gé-nérale des adultes Le Trait d’Union depuis cinq ans. À chaque début d’année, les membres du comité de ré-pertoire suggèrent des piè-ces pour le printemps sui-vant. Cette année, le groupe vocal comptait 35 membres provenant notamment de Malartic, de Rouyn-Noran-da et de Rivière-Héva.

Le groupe comprend quel-ques comités: support tech-

nique, mise en scène, costu-mes et autres. Tout au cours de l’année qui tire à sa fin, quelques réalisations du groupe méritent d’être sou-lignées. Aux dernières Fê-tes, les membres ont donné un concert de Noël devant les résidents de la Villa Saint-Martin puis, accom-pagnés de l’Orchestre sym-phonique régional, à l’église St-Martin-de-Tours. Au cou-rant de l’hiver, un souper spaghetti a été organisé au profit de l’organisme.

C’est un rendez-vous à ne pas manquer, les 27 et 28 mai prochains au Théâtre Meglab. Les billets sont en vente auprès des choristes et dans les commerces sui-vants : Chaussures Leclerc et Pharmacie Jean Coutu de Malartic.

Une finissante en arts visuels de l’UqÀm à malarticPrésente en continu sur le belvédère de la Canadian malartic

Du 26 au 30 mai prochain, Marie-Claude Gendron, finissante à la maîtrise en arts visuels et média-tiques de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), investira le bel-védère surplombant la mine Canadian Malartic.

C’est dans le cadre du projet, intitulé Nos ter-res louables, que Marie-Claude Gendron fera son intervention performa-tive qui consistera à res-ter immobile sur un socle, face à une caméra. Son image en temps réel et en continu sera transmise en direct à la Galerie de l’UQAM.

L’artiste souhaite, par cette démarche, mettre en évidence la mobilisa-tion des mouvements de résistance citoyens par opposition à l’immobilis-me. Cet acte fait suite à une série d’interventions amorcée en 2013.

Par ce projet, l’artiste s’intéresse au comporte-ment social en tant qu’es-pace de transgression de codes aux délimitations fluctuantes. C’est pour répondre à un besoin de questionnements à pro-pos des apparentes véri-tés collectives que Marie-Claude Gendron fait des interventions performati-ves.

L’artiste Marie-Claude Gendron

Marie-Claude Gendron est née à Québec. Elle a participé à plusieurs expositions et résiden-ces au Québec et un peu partout dans le monde : au Mexique, au Brésil et en France. Elle a été ré-cipiendaire de plusieurs prix et bourses de créa-tion notamment Premiè-re ovation (à deux repri-ses), FARE (2014) et du Conseil des arts et des lettres du Québec (à trois reprises). Elle est déten-trice d’un baccalauréat en arts visuels et média-tiques de l’Université Laval et termine présen-tement sa maîtrise dans le même domaine, mais à l’UQAM.


Malartic

Spectacle bénéfice pour notre SUPER ZACK Le groupe NODE et des invités surprises 11 juin à 20h Théâtre Meglab de Malartic 20$ /billet, en vente: eventbrite.ca Suivez l’événement sur Facebook: Show bénéfice pour Super Zack

présentateur officiel

Les Compagnons du Nord de Malartic

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www.compagnonsdunord.com

Billets en venteChez Jean Coutu de Malartic, Chaussures Leclerc et auprès des choristes.

Théâtre MeglabVENDREDI27 mai, 20 h

SAMEDI28 mai, 20 h

présente

CONCERT ANNUEL 2016

10$

14 ans et moins

20$

nt

Votez allyson Fortin nous Vous inVitons à Visionner les cinq Vidéos produites sur des chansons des cowboys Fringants sur leur page facebook.

on peut également suiVre ce lien pour regarder le Vidéo-clip de léquipe d'allyson Fortin, de riVière-héVa, étu-

diante au programme arts, lettres et communication, proFil cinéma du cégep de rouyn-noranda.https://www.youtube.com/watch?V=lqxgybutbqc&Feature=youtu.be

on Vote pour une petite Fille de chez-nous! Vous allez reconnaî-tre sa maman, chantal landry , serVeuse au restaurant idéal, sa tante, manon, secrétaire à la Ville et certainement d'autres amis, Figu-rants dans ce Vidéoclip.

Documents

Le P'tit Journal de Malartic du 25 mai 2016