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Page 2 : La Formation Syndicale communique.
Pages 3. 4 : Retour sur le 31 mars 2016.
Page 5 : Communiqué commun CGT/FO/FSU/Solidaires/UNEF/UNL/FIDL
Page 6 : CESER Auvergne Rhône-Alpes : conseillers CGT dans les commissions.
Page 7 : IN journal d’Indecosa-CGT abonnez-vous !
Page 8 : MACIF
N° 765 du 5 avril 2016
9 mars, 24 mars, 31 mars, 5 avril, 9 avril : les initiatives contre la loi travail se multiplient. 70 % des personnes interrogées, selon la formule consacrée, soutiennent ces mobilisations. Ce texte ne peut pas être négocié, c’est toute sa philosophie qui est mauvaise. Il doit être retiré.
Prenons à titre d’exemple, l’inversion de la hiérarchie des normes. L’accord d‘entreprise pourra déroger à l’accord de branche ou au Code du Travail. Pour ce gouvernement et le Medef, la négociation au plus près des salariés vise simplement à s’affranchir du principe de faveur (qui consiste à ce que l’accord d’entreprise soit plus favorable que l’accord de branche, lui-même plus favorable que le Code du Travail).
Un autre objectif de ce projet de loi est de contourner les syndicats par le biais du référendum. Certains diront : quoi de mieux que la démocratie directe ? Surtout lorsque les enjeux enferment les salariés dans des dilemmes cornéliens : perdre son emploi ou accepter des baisses de salaire et une augmentation du temps de travail…
Les médias à la botte du pouvoir ont lancé une véritable propagande pour expliquer que cette loi va créer de l’emploi. Qui peut croire qu’en donnant un pouvoir accru pour licencier, qu’en réduisant les majorations des heures supplémentaires et en modulant le temps de travail sur 3 ans, cette loi va permettre la création d’emplois ?
Ce dont les salariés ont besoin, c’est d’un Code du Travail protecteur, un véritable statut du travail salarié et une véritable sécurité sociale professionnelle comme le revendique la CGT avec des droits attachés à la personne, progressifs, cumulables, transférables et opposables à tout employeur.
Eric FOGNINI, membre du bureau de l’UD.
« La vraie richesse de l’homme se cache dans ses ressources » - Voltaire La formation syndicale, Pourquoi ? Pour être efficace, tout simplement… La formation syndicale est un droit pour tous les syndiqués, les militants, les dirigeants. C'est un droit qui doit pouvoir s’exercer dès l’adhésion et tout au long de la vie syndicale.
Pourquoi se former ? Parce que le champ du syndicalisme s’est élargi, qu’ il y a des choses à savoir, à comprendre (comment fonctionne l’entreprise, la société en général, la nature et le sens des décisions ou propositions patronales
ou des pouvoirs publics, le rôle des syndicats, la nature et le sens de leurs propositions, le rôle des élus, les droits des salariés…) et aussi des choses à savoir faire, surtout si on exerce une responsabilité particulière.
A
Pour rappel, ci-dessous les stages et/ou journées d’études organisés par l’Union Départementale en mai et juin 2016 : ▪ Négocier le protocole d’accord préélectoral : le jeudi 12 mai 2016 de 08h45 à 17h00, ▪ Présentation de la CGT (FANS) : le mardi 24 mai 2016 de 08h45 à 12h00 (1/2 journée destinée aux nouveaux syndiqués), ▪ Négocier efficacement : du jeudi 09 au vendredi 10 juin 2016(délégués syndicaux et tous les élus des entreprises), ▪ CHSCT (5 jours) : du 13 au 17 juin 2016 (élus titulaires des CHSCT), Pour de plus amples renseignements je vous invite à prendre connaissance de notre plan de formation disponible sur le site de l’UD (http://www.cgtain.org/) onglet : formation syndicale.
Inscrivez-vous et parlez-en autour de vous !!!
Contact : Marie Curt – Secrétaire à la formation
Union Départementale CGT de l'Ain - 3, impasse Alfred Chanut – CS 60092 - 01003 Bourg en Bresse Tel : 04 74 22 16 48 - Mail : [email protected] – Site : www.cgtain.org
STAGES UD MAI ET JUIN 2016
A
A VOS AGENDAS !
Retour sur la journée de mobilisation du 31 mars dernier.
600 personnes à Belley plus de 3000 à Bourg en Bresse. Les appels à la grève et à la manifestation se sont multipliés dans les entreprises et établissements du département. Pour se faire une idée, voici le recensement par UL des entreprises où la CGT appelait à la grève (questionnaires renvoyés à l’UD) :
- Pour l’UL d’Ambérieu : les Territoriaux, Pôle emploi, Siegfried (BASF), les Cheminots. - UL de Bellegarde : appel chez les cheminots et chez Aerocan - Concernant l’UL de Bourg, les appels étaient nombreux : Facil, Renault Trucks, Mairie de Bourg,
Bressor, Centre Hospitalier de Fleyriat, Vehixel, Arcelor Mittal, Nexans, RDTA, Les cheminots, Prado, Arno, Ugitech…
- En ce qui concerne l’UL de Lagnieu : Hayward Pool Europe, CNPE Bugey, Carrefour Supply Chain, Verallia et Vente privée.com
- Pour l’UL de la Cotière, Arkema et Toray. - En ce qui concerne l’UL de Belley, les entreprises Delachaux, Maroquinerie de Belley et la CIAT
appelaient aussi à la grève - UL d’Hauteville : Le CHPH. - En ce qui concerne l’UL d’Oyonnax, l’entreprise Billon, le Centre Hospitalier. - UL Trévoux : Danfoss, Eurocast.
Les syndicats départementaux et nationaux appelaient aussi à la grève : FAPT, Conseil Départemental, CPAM, Finances Publiques, Dynacité, Education Nationale, Direccte,
Quelques photos de la manifestation de Belley où 600 personnes sont venues dire non au projet de loi El Khomri.
Les jeunes en tête de manifestation à Belley
Un joli rassemblement à Belley
Quelques photos de la manifestation de Bourg en Bresse
Le chapiteau de la CGT très fréquenté à l’heure du casse-croûte
La banderole de tête.
La CGT bien visible en tête du cortège
Les salariés de Bresse Bleu.
Les Lycéens en tête de cortège.
Notre camarade Patricia met l’ambiance !
Les lycéens avec la CGT.
Une marée rouge devant la préfecture !
Communiqué commun CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL
Jeudi 31 mars 2016 La puissante journée de grève et manifestations rassemblant plus d’un million de personnes dans 260 villes a démontré la détermination sans faille des étudiantes, lycéennes, salariées, privées d’emploi et retraitées à obtenir Ie retrait du projet de loi travail et à conquérir de nouveaux droits sociaux.
Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL réaffirment que dans un contexte de hausse du chômage, d’explosion de la précarité et de la pauvreté, ce texte va organiser une régression généralisée des droits, créer un dumping social entre les entreprises d’un même territoire et d’une même branche et aggraver les inégalités entre les salariées.
Contrairement à ce qu’affirme le gouvernement, ce projet de loi travail ne créerait en aucun cas les emplois pérennes nécessaires à la relance et à l’investissement.
Le gouvernement doit entendre les milliers d’étudiantes, de lycéennes, de salariées, de privées d’emploi et de retraitées mobilisés massivement aujourd’hui dans la rue et dans les entreprises avec de nombreux appels à la grève. II doit entendre tous les citoyennes qui s’expriment, 70% de la population estime en effet, qu’il faut retirer le texte, qu’il n’est pas amendable, sa philosophie globale restant inchangée.
Les organisations syndicales signataires affirment une nouvelle fois que les pouvoirs publics doivent garantir le droit à manifester, à se réunir, à s’organiser, tout en assurant la sécurité des manifestantes.
Elles confirment leur disponibilité pour rencontrer le gouvernement et faire des propositions de droits nouveaux en termes d’emploi, de salaires et pensions, de temps de travail, de protection sociale, de garanties collectives, de conditions de travail, de formation et de droits et libertés syndicales. Des propositions porteuses de progrès social et correspondant à la réalité du travail d’aujourd’hui et de demain.
D’ores et déjà, de nouvelles journées de mobilisation avec grèves et manifestations sont prévues et ce dès le 5 avril à l’initiative des organisations de jeunesse. Les salariées se mobiliseront sous diverses formes, notamment avec l’interpellation des parlementaires.
Le 9 avril, elles appellent à la réussite d’une nouvelle grande journée d’action de grèves et de manifestations.
Si le gouvernement ne répond pas, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL resteront déterminées à poursuivre et amplifier la mobilisation pour obtenir Ie retrait du projet de loi travail et à conquérir de nouveaux droits sociaux y compris par les manifestations et la grève interprofessionnelle. Elles décident de se revoir le 6 avril.
Montreuil, le 31 mars 2016
Sébastien Léonard : syndicat de Solvay, FD de la chimie, UD du Rhône
J. Raymond Murcia : retraité, président de la commission inclu-sion du CESER, FD cheminots, UD du Rhône
Agnès Naton : comi-té régional Rhône Alpes, FD de la FAPT, UD de Haute Savoie,
Claude Prat : secré-taire général du syn-dicat des cheminots du Cantal, FD chemi-nots, UD du Cantal
Vincent Rodriguez, : CH du Puy en Velay, FD santé, UD de Hau-te Loire
Stéphane Tour-neux : syndicat de Bayer, FD chimie, UD du Rhône
Rosemonde Wojciechowski : re-traitée, FERC, UD du Puy de Dôme
Béatrice Arsac : tré-sorière du syndicat national de l’AFPA, FERC, UD de Haute Loire
Daniel Barbier : se-crétaire général de l’Ul de Bourgoin Jal-lieu, FD de la santé, UD de l’Isère
Michel Beaune : re-traité, co-animateur du groupe Cgt, mem-bre du bureau du CE-SER, FD de la chimie, UD de l’Allier
Catherine Beraud : FD de la FAPT, UD du Rhône
Daniel Blanc Brude : retraité, FD textile, UD du Rhône
Elena Blond : secré-taire générale de l’UL de Montluçon, FERC, UD de l’Allier
Lise Bouveret : re-traitée, FD services publics, UD du Rhône
Bruno Bouvier : se-crétaire général du comité régional Rhô-ne Alpes, FD organis-mes sociaux, UD de l’Isère
Serge Brugière : re-traité, FNME, UD du Puy de Dôme
Christine Canale : secrétaire du comité régional Rhône Al-pes, FD FNAF, UD du Rhône
Rosa Da Costa : se-crétaire générale du comité régional Au-vergne, FD du com-merce, UD du Puy de Dome
Philippe Faure : UL d’Issoire, FD bureau d’étude UD Puy de Dôme
Jean Michel Gelati : retraité, FD de la Chi-mie, UD Haute Savoie
Karine Guichard : co-animatrice du grou-pe Cgt du CESER, VP en charge des terri-toires, FD services publics, UD de la Drôme
Eric Hours : coordi-nateur régional des services publics, FD des services publics, UD de l’Isère
Présentation de la délégation CGT au CESER Auvergne Rhône Alpes
GROUPE CGT
LETTRE n°1 DU CESER AUVERGNE RHÔNE ALPES
Janvier 2016
Plénière 19 janvier 2016 Election
Présidente du Ceser Président délégué 3 VP délégués 3 VP en charge des collèges 5 VP en charge des territoires 12 VP présidents de commissions Membres du bureau
Vote du règlement inté-rieur
la macif vous assure, le saviez-vous ?Adhérez, militez : vous êtes protégés !
Être syndicaliste, aujourd’hui plus que jamais, c’est un engagement de tous les instants. C’est pourquoi, quand vous choisissez de défendre les intérêts des salariés, nous sommes à vos côtés pour soutenir et sécuriser votre action militante.
Les Organisations syndicales font confiance à la Macif depuis près de 30 ans pour assurer l’activité syndicale de leurs adhérents et militants. Pourquoi pas vous ?
Cré
dit P
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Document non contractuel. Garanties proposées sous réserve des exclusions mentionnées aux contrats. MUTUELLE ASSURANCE DES COMMERÇANTS ET INDUSTRIELS DE FRANCE ET DES CADRES ET SALARIÉS DE L’INDUSTRIE ET DU COMMERCE. Société d’assurance mutuelle à cotisations variables. Entreprise régie par le Code des assurances. Siège social : 2 et 4, rue de Pied de Fond 79000 Niort.
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