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Uimaoch« lï* M u II' LEUTTORAL Foiai^t ItUllALllY, F.naaUu UtlUASl- iJt.i STATIOSS UIVEHSALI} JOURNAL LITTERAIRE ET MONDAIN DE CANNES ET DE L'ARRONDISSEMENT DE GRASSE •/'.j/,/,.- ^, l>.-,.,.,..-, ;i;./i,Mi,f^i ri Ugal'.. Ir, lu, Jr, l„but,auj Jr rummrnr Acie, de ii,nV//. IVM,. J, f„r.J. J , . „.„„.rfrr, rir , .^ A B O N N E M E N T S : Cannes, I>*i«irU-lm-nl» ^'* " »'•••••; j limitJt)phM lî(r « f r i j Union l'o.taJe » . 13 .: JEclio» (I" pa«ei 12 (r î :Chmni<]iii' lie la Mode * • ; :.>.,.. I - t-i lUgiontla. •! ^ELECTRIFICATION DES CAMPAGNES C'est un progrès indispensable. Notre activité en dépend. - Notre région est privilégiée. Quelques avantages parmi tant d'autres. Un effort personnel. ECHOS MONDAINS Dans Ja Itevu^ (itnvrale r/*- l'ElecIrieSU (n* du 18 novembre W i9'2-i) un arlicle tràs docunicnlä , signalait les tlirncuités lies ins- tallnlions ätcclri(|ues dans cer- taines cîrconscriptiun-s rurales l'Or suite de tarifs proliibilils qui sajiaiont les ineilluurtni inlen- tiuiis. [/autour de tell» étude, M. Watlelel, faisait ressortir, avant d'ex|M,vr >i-^ |.rviiv(;.s. tous les biCDfuiN (|u fiiL-' li'li-iait ï'(:im-)i\(i (U-« liii;i. I ' Il • |)ttsition lies 1.1.1- , , Il,,' , et iU-ltait. iwa: i,n^..n, .1 I'll.' il.; ^ la Rnirf' diias la iniii^tMi. IL-S avantages qui pouvaient icsulter i nu puiuLilu-Jiit du Confort et du travail. Toutefois, dans notre di^parte- oicnt des Al pes-Mari times, et f'pius partit'uliî-rcnient encore 'oans notre arromli.'iscNicnt, dts efforts ont i été t>iiln-|ir;s pour mettre à la \itnUv des usurers ruraux un bienfait dunt on petit constater lYvidcnee dans d'au- tres contrées. Sans parler ici des communes de la Savoie, de l'isi^re ou d'au- tres dt^partcmcnls qui ont eu l'a- vantage, par une fortune inhé- rente ù leur situation g(!'üt(raphi- , que, do bénéticier depui.s lon^j- temps des bienfoiLs de Irlectn- citi', nous devons rccomialtre que certaines contrées de la Fronce, sous ta pnuss^l'^e d'une volonté qui traduisait IV-tat d'a- près guerre, ont réussi à former /^^ réseau rural et ont adopté avec enthousiasme les avantages nombreux qui résultaient de cet- te innovatinri bicnbcureusc. Il faut avoir vu cl constaté la solidarité rurale pour connaître et comprenilre le désir, fait d'é- mulation, qui anime à l'heure actuelle ces populations labo- rieuses et les pousse vers un pro- grès utile. Si lonirs les conunu- nes (le Ft-anrp imt fionné h la Patrie IIIH' I ilr i milribution de vif' lni[ii,iinr> |.iirii-uses, il faut ndni.iur i|<ir u.w. res points géot:ruplii'|iics ont vu heureuse- ment revenir quelques survivants et que coux-lù, persuadés do leur rôle, »»urieux de leurs de- * voirs et attachés à leur coin de I terre, ont eu l'iiléc bien nrrèti'e de mettre en valeur, par un paci- fique labeur, les trésors d'un pro- gr&s dont ils avaient mesuré les avantages. Holgré cela, malgré cette for- me tenace dei'arlivité humaine dans le pays de Francf, nous sommes en droit de déploror dans notre région unn certaine lenteur, un semblant d'apathie qni ne serait explicable qu'en face de difficultés matérielles insurmontables. Ces difficultés existent-elles ? A priori, nous répomlrons : jion. Parce que notre contrée a •^'avantage d'un réseau électri- que qui n fait ses preuves et qui s'étend de plus en plus. U Société d'Energie Electri- que du IJttnral Méditerranéen. pour une existence de vingt an- nées, a'conquis en quelque sorte tout le coin de terre qui s'étend des Rouches-du-Rhône aux Al- pes-Maritimes cl a résolu. Ä elle seule, de nombreu.ses difficultés. Avec une marche prudente mais sflrc, cette Société est panenue ^ développer son réseau sur une importante partie de notre dé- p. jiarlement et A créer ainsi à la portée de tous uiio yjuri_(* bien- faisante. 11 ne faot pas se faire d'illu- sions. Dans notre siècle, la ri- chesse locale ne veut plus se contenter d'énergies humaines par le seul fuit que cette force, si admirable qu'elle soit, se voit distancée par la concurren- ce mécanique. Si nous devions envisager la création d'un réseau électrique puissanuncnt onéreux, nous au- rions l'excuse d'une honnête pauvreté, mais nous sommes, fort heureusement, dotiis aussi bien sinon mieux que certaines autres provinces. Il nous reste à faire fructifier pour nos besoins personneiji une installation qui, tous les joui-s, s'étend. Sans aiitiine cmitt-slatioii [los- i,..t i|iii ..inini' ilr >a giiicl.;' Ir-^ liiM'i. roiii. ilu pays. Mais Ii\ n r-.t [l.L^ I. si-ul avantage de cet- ti- . U-i II jinaliim, A mieux dirû, clic auiait 1111 but trop platoni- que si elle devait se borner à ré- pandre quelques rayons sur la place de l'église ou devant la nmirie. Il faut, à côté de cela, une es- pèce do discipline économique. C'est la maison qui prendra une allure plus joviale avec cette fée qu'un simple signe fait apparaî- tre ; c'est encore la maison qui verra apparaître sous une forme prodigieuse, mille détails de con- fort jusque inconnus ou réser- vés aux citadins ; c'est surtout les travaux agricoles qui seront simplifiés et permettront un meil- leur rendement. Faut-il éfiuniéicr iri tous les avanlat,T-- t|iii rcsulii-iaient^ en sm•pllI.^ il. -• iii^i.ill.iiiniis de lu- mitTo ilr,.i ^1 i'i. I iiii-rs, par la faciliti- ill' l'iir riiijiliij Ol par les dangers qu'elles suppriment ? Per.sonne n'ignore, depuis que l'Etat a voulu s'intéresser ä l'é- loctrificalion des campagnes, les iMJnéfices du développement ma- tériel qui est son corollaire : bat- tage, triage des grains, machi- nes afToctécs à la nourriture des bestiaux, installations industriel- les de la [ernic parmi lesquelles nous ne citerons que les forces, les frigorigeries, etc., etc. Dans un numéro de la Journée Indiixlrielle, qui traitait en dé- tail cette grave question, nous li- sions que •' la production, le « transport et la distribution de I " l'énergie électrique jouent un I " rôle essentiel dans la vie na- I " tionale. » I Kn effet, nous le disons plus i haut, tout le problème est lA. S'il fallait, au coût de la vie ac- tuelle, établir ces moyens de pro- grès, on y renoncerait ; toutefois, il serait grave de penser que munis de ces bienfaits, nous au- rions pu hésiter A les employer. L'électriflcalion dans les cam- pagnes est une nécessité entre- vue avant guerre et devenue im- périeuse depuis 1918. 1^ gou- vernement en a vu la réalisation, mais ce n'est pas au gouveme- menl que nous devons demander en ce moment l'ofTort .soutenu et nércssairc. Nous avons nos pro- pres moyens. Nous avons surtout, pour aider ces moyens, le béné- fice d ' u n réseau qui est prêt A seconder noire effort industrieux et notre désir de mieux vivre. .M- il M llari>ar..u. uf(lci«r 'It.' ta U-gion dhonnüur, dirvt- U»ur dos tJuiiftä IxjmLino-Dietrich -kint nus liùtes pour un mois ut •Mjnt doacenduii un leur huile vil- la Wildornu«, A la Crou-don- liantes. M. Louis U'marcband, le pr'>- <lucer rovuiste parisien, a quitté Cannes, par ta roule, après deux umt.s de villégiatura sur la cote. ^ Sont descendus : A rtiôtol Gunnot : Miss Xenia Johnston, Lady Wächter, M. Maurice Urockwell, M. Léon Bi- derman. M. André Marx, Dr L. Szente, M. Alphonse Marx, M. A Mlle Pierre Liloyo. M. et Mme R. Patooka, M.elMmeE. Furcb, M. J. Poloeka. Mrs CK. Wright, M. et Mme 0. Carrére, Miss A. Hüsiler. M. A. Channing et fa- mille. A l'hôtel Majestic : M. et Mme Abrahams. Mr et Mrs R. Alford, comte et comtesse de Beaurepai- re, Mr Bird. M. et Mme Came- ron. Mr et Mrs J. Douglas Oil- .roy. M. el Mme Davis, M. !.. Dreyfus, M. et Mme J. Duclos, M. P. Gannon, Mr et Mrs Gid- rlins Wilson, Mr et Mrs Hori- nmns, Mme Kerera, Mr et Mrs n. Kuhn. Mrs Lnnia, M. et Mme Noslrand, Mrsot Mrss Perkins, M. Pussot, M. et Mme Andrew Pizzini, M. et Mme W. Roberta, M. et Mme Urquijo Gaudarias, Mr et Mrs Vince, M. van Rei- gesberg. Pour la Saison dTté L'Association Beethoven, dont l'activité est inlassable, n'a pas voulu rester sur le très beau suc- cès obtenu par le Festival du Centenaire. Elle nous offrira donc, aujourd'hui, en matiné>;. h 15 heures An, dans la salle de théûtre du Casino Municipal d'été {Cercle Nautique), un nou- veau concert au profit des oeu- vres municipales de Cannes. Dien que la date du 15 mai puisse paraître tardive à certai- nes personnfs. il est hors de doute qii" l""l cMTTim.' au Cen- tenairi', la -.i!'- -• '- inip petite. L'As-i- ..I' l: 'Il •'.'•n veut ainsi c iiin.r, p..m -.i part, h animer ht pvruph- transitoire entre les saisons d'été-ei ^'hi- ver. Nous Ji.i program;' A propos du Casino d'Eté tentian bien arrêtée de mo fairw un<' opinion exacle aur le Casinu d'Ël^ do la Cruisette, sur ses avantages et ses inconvénients, je nie rendis chez un défenseur fl chi*t un ennemi du projet et if les écoutais tour A tour avec une respectueuse attention. Mais après m'étre livré à ces démarche« honnêtes, je rencon- tra un hivernant prolongé, au- quel je confiais ma scrupuleuse conduite et qui me répondit : E/i bien f vous n aurez pas de Casino d'Eté cl les Ctmnois ne pourront s'en prendre qu'à cuz- mêmes de cet échec d'un projet qui aurait pu, dans sa réalisa- tion, apporter à Cannes, de sé- rieux avantages. Comme j'insistais pour que mon interlocuteur m'expliquAt les causes de son pessimisme, il reprit avec fougue : le , CoDCOort poar TOctroi L n concours pour le recrute- ment de préposés d'octroi aura lieu A l'Hôtel de Ville, le 20 mai, A 8 h. 45. Les candidats doivent être Agés de 21 ans au moins et de 35 ans ' au plus, au 1" janvier do ta pré- sente année. La limite d'&ge, pour les candidats mobilisés, est augmentée du temps passé sous les drapeaux. Les pièces suivantes doivent être adressées au maire de Can- nes, le 19 mai. au plus Oird : une demande sur papier libre, /un certificat de bonne via et /imoeurs, un bulletin de naissance. Pour tous renseignements complémentaires s'adresser au préposé en chef de l'octroi. A l'Hôtel de Ville. Syndicat de défense du commerce de luxe Dans sa réimion du 10 mai, lu Con.^eil d'admini.itration, défé- rant A une demande des commer- çants syndiqués et non syndi- qués, ayant signé une pétition contre lo projet du Casino h la Pointe do la Croisetto. Déclare : qu'il serait préjudi- ciable au commerce de ta ville que le Casino soit édifié en de- hors de l'agglomération. Décide : d'intervenir ou point de vue commercial; c'est-A-dire que le Syndicat demandera au Conseil municipal d'inscrire dans le_ cahier des charges l'in- terdiction directe ou indirecte de tout commerce autre que celui d'un Casino avec restaurant, spectacles et jeux. p-urent • • .i |...[!!•.• fnrtune d'y Mili-ii'lrr m promii> re audition, une oeuvre du criti- que cannois bien connu : M. Florent Odero. M. Pnyan. de l'Opéra, qui a hien voulu.prêter son précieux runruiirs, rehaussera de tout l'éclat de,sa splendide voix ce concert de bienfaisance. Voici le programme du con- cert : 1. Ouverture de Phèdre : Masse- net. 2. Deuxième Symphonie: Haydn. 3. Petite suite Alpestre pour ins- truments A cordes, deux cors et flûte solo (l" audi- tioni : Fl. Odero. \. Légende de la Sauge : Masse- net ; Air de la Calomnie (du Barbier de'Séville) Ros- sini, par M. Payan, de l'Opéra, n. Psyché et les Dieux : Godort. Cl. Marche Hongroise de la Dam- nation de Faust : H. Berlioz. La direction de l'orchestro, confiée A M. Hidalgo Migliar, compositeur, est un sûr garant d'une t>onne exécution. t*C3 personnes désireuses d'en- tendre ce concert seront bien ins- pirées en retenant A l'avance Iturs plaças : Maison Touche, 0, rue Mai^hal-Foch, où la loca- tion est ouvorto. C'est avec plaisir que nous re- levons, parmi les candidotes rc- sériO). le nom de M"^ Mathilde Colonna, élève do l'écolo primai- re supérieure do Cannes. flUoda M. Colonna, facteur-chef des Postes dons notre ville. 1^3 élèves do la villa Nôrôe se sont particulièrement distin- guées. Nous relevons également lo nom de M"** Marcelle Glovis, reçue en 3* série- M candidats et candidates se trouvaient en présence. Il n'y a eu que 13 odmissions : huit jeu- nes filles en 3* série et quatre garrons. Seule, M"* Jeanne Clo- vis. de notre école, a été admi.<w en \' série potir tout te départa- mont. : pas i voulez et constance {voyez que je n'exagè- re pas f) donné l'impression très nette de l'irréflexion, et de Cétourderie. C'est certainement un diagnostic qui a sa gravité. Il y a une raison qui prime les ,/r fn. sino d'été aurait pu être livré à une exploitation un peu trop fan- taisiste, vous avez réussi à inté- resser, miraculeux bonheur, des hommes comme MM. Henry liu/d et André et vous ne vous reposez pas dans la plus douce quiétude en attendant la pro- chaîne réalisation de vos rêves. Ah ! zut ! qu'est-ce. qu'il VOUS faut ? La lune ? C'est bien simple. Si vous esti- mez avoir quelques années à per- dre, faites l'expérience. Offrez- vous chaque année le projet d'un nouvel cmplacinwnt pour le Casino d'Eté et, chaque année, le projet nouveau sera suivi d'u- ne pétition prolcslatnirc. Cr!a vous éclairera sur /'•^• di/férenf-: s'/stèmes de mécoiUrritrfnenl. El jntis, lâchez donc dr rm/-; reji'iei- gne-. op I I.U.Z-CUU, coi d . i^'urdc jjü.-..^rr pour des étourncaux et de décou- rager les plus solides influences. .le m'étais fait enguirlander et je ne pouvais pourtant pas don- [ort à mon interlocuteur car Idiis Ir-s arguments lancés contre le Casino d'Eté se résument A quelques intérêts privés et, A force de discuter, nous éloigne- rons les mieux intentionnés. Mais comme nous avons des conseillers municipaux influents et qui.d l'unanimité, ont voté, en séance plénxkre pour le Casi- no à la Croisette, nous allons tout simplement leur confier' le soin de persuader aux pétition- naires que les embûches semées seraient nuisibles A toute la ville et h eux-mêmes. Pourvu qu'il n'y en ait pas quelques-uns qui se récusent. On ne peut jamais savoir, ils sont tellement malins 1 Le Comité ^8_Fêlei d'Eté Le Comité des Fêtes, dans sa dernière réunion, a procédé au ronou vet lernen t do son bureau pour la sdson d'été 1027 et pour la saison d'hiver_1027-lö28. Ont été nommés : ~ Président : M. A. Capron. moire de Cannes. Vice-présldcni : M- lo baron de Merronnet de Sain^Marc. Directeur : M^W^- Secrétaire génâf^': M . R ^ buffcl. . ^ »'^ ' -' Secfélalre-gônôral adjoint : M. Mmwiur-Jaequ în. k Trésorier : M. Cais. Tfésorier-adjoint : M. Cam- GomgiisMire général : M. No- tQomn^nftifes gânénox ad- iO^tsfMH. â n g u 4 él^B^vpiondi. £ar Comité ôi tfmÂlie pass« & reonnoa de son è r ^ mi ipiit-, qid compartait nmômieat le programme des fAles d*e|4 et l'avant-programme des ffites de la saison d'hiver. Dans une très proebaine röp- idoD> ces programma Mnmt ÉP- i4tte4lflnfttvsmepL Le Raid sur l'Atlantique .Si w.trt i/iuiUl, tU lTut„;aii nuui u fait prendre fMirt a t'hno- ttan qui a rutci le raut de V.Mioji- lique, fioui acoiu peut-être cun- lat, au Littoral, une déeeptujii l^lui grande encore. Car c'est dans tes bureaux de Vimprhnerie Hobauäy que nuirr dincleur, W. Emile Uaussy, r.- cueillait, lundi apri^s-midi. Ut nouvelle gm annoiiçail la r/mw/. des amateurs, eu prén-nce de V Barbarou, ingénieur, dtret.t- ur des usines Lorraine-Dietrich et rrêatettr du moteur puissant 'i<n devait vaincre te grand espw > entre Paris et New-ïork. .1 l'enthousiasme qui était par- ti de chei nous et vite avait (ja- gné la Ville, devaient succéder les horribles transes d'iate inquii'- tmle poignante. Ce que nous pouvom dire, c'est que tous les essais du moteur avaient été faits avec une cons- cience profonde et que rien n'é- tait livré au hasard. Malgré cela, une cause inconnue a transformé ce succès possible en une dou- loureuse angoisse. Mais si ces journées du diman- che 8 et du lundi 9 mai marquent une date précise dans les Anna- les du courage français, il con- vient de déplorer ici le trop grand nombre de fausses jwuvelles qui sont parvenues jusqu'à notre terre de France et ont permis un luttant Ü f.'.j.nl natinnal de ^•- :,.run,r d. jn.^.u Ir., ,nj,hale. n inni .,u.:,_ J,nr^ .. /nurnal, <l>" "--"^ '"">••' 'dn- tes mau- r.ii i>rnih. tj,:, , ,,-• nient. Rien n'a '" rlfier des vies «près un siît l'offre insistante et bénévole des aviateurs que tout n été mis en oeuvre pour fa- ciliter cette tâche difficile. i-i'uh,,!-- i><f~ >i,ij>-»ird'btn aban- CANNES f>nl /. hnll nqes: Le Monument aux Morts qui f;ii.-;;iit atiiMi.-ln •inps, un seni- :i<in réveillait -j: membre? dn Chargé par M. Cheuret, archi- tecte du monument, de son ddifl- cation, M. Petras a déjà pris li- vraison des premiers blocs de pierre deComblancbien, et les a fait transporter autour de la dal- le octogonale. Peu A peu, le pié- destal s'élèvera avec ses garni- tures de bronze, puis un beau jour le monument lui-même viendra prendre sa place. Pour donner A ce monument tout le dégagement nécessité par sa hauteur, il faudra faire dis- paraître deux ou trois des pla- tanes qui l'entourent. M. Patras nous avait dit que, recevant leg matériaux A raison de 20 tonnes environ par se- maine et le poids total s'élevant h 80 tonnes, il espérait avoir ter- miné le piédestal vers le milieu de juin, ce qui permeltroit de placer le monument aussitôt el faisait envisager l'inauguration pour le U juillet. Mais on nous a dit, A la Mai- rie, que ce délai paraissait bien court et quo cotte inauguration serait probablement reportée A la fin de l'été. Il est vrai qu'on a déjA telle- ment attendu le mnnnment aux Morts, qu'on n'en tst plus a quelques mois prte. Cependant, si PiaD avait pu, la Fètc Natio- nale aa|«iNt6 une dote bien in- dïqUjâe pour cél(U)rer les vertus nos disparus. G« numéro dn UTTORAL, été eavoy* * 4300 Iccteun, par IM Cumniricaat« de CuUM« dool AUX DAMES DE FRANCE AUX GALERIES delà CROISETTE. A LA MENAGERE. BONNIARD & C". Etablissem" Maxime FIOUPOU. Grands Magasins BOKA. HOTELS CARLTON, MAIESTIC, PROVENCE. Direction Générais: H. RUHL. Maison ROUFF. CANNES ARTISTIQUE A la dernière réunion le bu- reau a ^ composé coai|ne suit : Präsident : M. E. frfioot ; Tioo- pr^dent : H. GarbiQr ; titeorier, M< P. AiiUuniier ; secrélaire : H . B. DÎcanis ; blbllothöcoin : M . M. Ded&fy ; réiglsseur : M . L. Cönlorier ; dEreeUoa artistique et mise en scène : MM. M. Chabot, H. MilJet e t 0 . Roux. Pour toute adbétion ou rensei- gnements, s'adresser au siège social, 1)7, rue d'AntOws, W^ho- ne 6 4 4 , c b u M . Aolegnler. La Semaine Cannoise La hMe de l;i Süt'itic Suisse de Secoars C'est dimanche, dans le ravis- sant parc du Golf-Club de Man- delieu que s'est déroulée la fête annuelle de la Société Suisse do Secours. Un piqu»-nlque lui-<:j n'wu pu orgai cullai>ural*ui p.r^^ ives ont remar- quait : M. Bommelli. président do la Société Suisse de Secours ; MM. Ellmer et Pally, vice-prési- donls ; M. Aider, trésorier ; M. Centuricr, secrétaire ; M. Lenoir, président des fêtes ; MM. Stofer, Girardet, Cottier, Chantre, Stei- ner, Baudret, Jacquenoud, Ho- ertsch, do Michelis père et flis, membres du Comité des fêtes ; M. Manz, président de la Société Helvétique de Nice ; M. Auer, président du « GruUi », 3e Nice ; .M. Hammer, de Beaulieu ; M . Host et M. Stras, de Nice ; M. Lnudoz, de Nico ; M. Aeschli- nian, M. Buhler. M, Hayoz, M. Mauderet, M. et Mme Hcenig- l'iTg, M. Datzviler, etc., etc... .\u champagne , M. Bommelli prit la parole en ces termes : o Mesdames, Messieurs, « Messieurs les invités. - Chers compatriotes et •1 11 m''incombe le privilège de vous souhaiter A tous la plus cor- diale bienvenue. Au nom de la -Miiété Suisse 'de Secours de ' innés, j'adresse mes meilleurs inerciements A ceux qui eontri- ; i.jront A la réussite do notre fé- lo d'aujourd'hui el qui nous pro- curent la joie de cette rencontre autour de notre drapeau. •t M a i s que serait une jour- née comme celle-ci sans le con- cours des dames et de toute une jeunesse féminine pour égayer la paisible compagne do Monde- lieu ? Votre présence. Mesdames, et votre gracieux sourire nous font plaisir. n Nous regrettons infiniment d'être privés du plaisir d'avoir avec nous M. Capron. maire de Cannes, et M. Gandolphe, maire de Mandelieu, tous les deux re- tenus par d'autres impérieuses ftccupalions. Par contre, nous avons le plaisir de compter par- mi nous les membres de la pres- se qui ne manquent jamais de parler aimablement do notre co- lonie. Nous sommes particuliè- rement heureux do constater la présence de nos amis de Nice. Noua les saluons fraternellement. f spérant qu'ils se rendront comp- te de la fidèle affection de notre rolnnie pour le? sociétéa soeurs du littoral. lieu de la joie que nous 1 de celte rencontre en ous avons A cccur do dlrf nu?et crimhien notre colonîo ?Ail apprécier avec rcconnais- Koncc et graliUide rhospilalité du pays qui nous procure le pain quotidien. - Si, d'une part, la Société poursuit une t&chc essenticllc- mont philanthropique, d'autre part, nous cbercbons A grouper T*o9 c o m p a t r i o l i » de Cannes et des environs par des réunions, des soirées et notamment par le pique-nique traditionnel de cna- que année, afin do dooner-aux uns et aux aulns l'occasion de mféux se opnoaltre et do mainte- nir le» senùroenl» d'arrcctlon qui nonsvliflliaent %is à notre chère patrie. « Le Comité profite de ce ren- dez-vous pour adresser un appel chaleureux A tous eaux de nos compiUriotes qui pourraient nous lémolgoer leur syropAthie d'une maidin ou d'une autre. de- •.. 11. I • .)-Jll 1,:.|;> l.i \..ui^.J.4 p&B ...l.,„r •,^ -.• :.. ^^ i-n-ux el Jt-t .1 n; ' ;• iJ.j «.ouinie Irs uoirv prùaidi-ut dcb fêtr.». t • dépciué sans cuinptur, bien condé par M. Cvnlurier, ii".:^ avcréloirv. - Murci au Cumilé dot fetos. t merci aux donateurs. - lùn U^TUiiüonl, Je vuudrais quo k' meilleur de .. i d'ofTc-ctiun el de n uillu ä te drajic&u. i [. notre cliénj pairie, il > . i i r , oe qui nuus a luu« recuLilIm. \ i vo lo SuùkSQ I Vive la Krance : • éprouv Syndicat d'Initiative IA- (.Ki/M il il udiiiiiiuilraUMn b.e>i réuni Iv vcridri'di t) courant, scus la présidence do M. lAoour. Sont présent« : MM. F. An- ,. drau, tiret, Cantelaube, Ch. Cresp, J. Cresp, Escarras. Gr- so, Lacour, Lepinuy, Mathih Monnol, Porréord et Sicard Excusés : MM. le docteur bif noir, FtorineUi et Laureni>Neuil- Icy. 1^ président signale qu'au cours de la précédente réunion do la Chombrc de Commpr. un voeu 0 été émis pour dcnj!>' der qu'en raison des ressouriv^ fournies ou Trésor par ta Cùu- d'Azur, un pourconlàge soit ré- servé pour l'amélioration des routes do celte région, do façon A favoriser l'essor du tourisiix source de profits. Au sujet du projet de cm. truction d'un établiss^ement d h . droUiérapio, M. LA^ur indi<.jii> qu'un ingénieur d'une flrmi américaine est venu prendre d.' renseignements sur le projcl i sur tes modalités do coostn. lion. *. Il ajoute que la direction >: Casino Municipol. très Intérts-' i par cette heureuse innovalicn. > promis une subvention imf>' r taqte pour l'exploitation de r<i établissement. -— Le voeu suivant a été trui. mis A l'assemblée générale di !> Fédération des Sj-ndicata d IIÜ tiative de lo Côte d'Azur, qui s'est tenue A Saint-llaphaél : . Le Syndical d'Initiative do Cannes invite' la Fédération A souscrire un abonnement A r Argus de la Preî^so >•, afin d'être renseigné sur tous les or- ticles ayont trait A la Riviera. Cet abonnement permettra do se rendre compte des originss de la contre-réclame qui sévit en début de choque saison cl qni cette Année, a eu un caroctér'' f violence tout particulier. - En pf'SSORsiion dfp articles •>• nigrant noire région, il appar tiendra A la Fédération d'exami- ner la possibilité de lutter con- tre les délractationa et denviRO- ger les moyens légoux A em- ployer. M. Lacour indique qu'il a fait part & lo .Société - Supf-r Cannes - de la décision, pris" '< cours de la précédente réuni qui consistait A faire établir i. carte A grande échelle d e s p r r mcnades A faJrc dons lo massif de la Colifornie, pour être placée dans la vitrine du poste de po- lice de la Californie. M. I^ocour ojoulfl que cette Société, en- thousiasmée p a r CO projcl. étu- die réventualité de foire établir un diorama. Le président fait part '!< réclamation qu'il a adressé* ministre des P.T.T, pour mander la réouverture do la r le du Bureau des Postes donn . rue Nolr*;-I>amc. Celle m^KJiflralion a été ei.w- sogéc en vue do faciliter l'eoote de l'HMol des Postes et la cir- culotion dons les rues adjacentes. L'osserabléo générale semes- trielle du Svndicat aura lieu au début du mois de juin. M. F, Andrau, secrétaire général, rend compte de la r. nion des délégués du Synd qui a eu lieu le 3 mai. Il ajoute qu'il a reçu de ni:: breuses viriles ot quo des dispo- sitions ont été prises en vue (tola propagande dans les stations •«- Uvales. Vo Comité d'organisation du CongrAs International d'Hjdio- logie, de Climalologie et de Oéo- logie médicales a fait parvenir les formules d'admission A l'Bx- portion des Stations Thermales, Climatiques et Marin dicat d'Initlalivo parÜci potion. Lo Syn- .-isape

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Uimaoch« lï* M u II'

LEUTTORAL F o i a i ^ t I tUl lALl lY, F . n a a U u UtlUASl- iJt.i STATIOSS UIVEHSALI}

JOURNAL LITTERAIRE ET MONDAIN DE CANNES ET DE L'ARRONDISSEMENT DE GRASSE • / ' . j / , / , . - ^ , l>.-,.,.,..-, ;i;./i,Mi,f^i ri Ugal'.. Ir, l u , Jr, l„but,auj Jr rummrnr Acie, de i i , n V / / . I V M , . J , f „ r . J . J , . „ . „„ . r f r r , r i r , . ^

A B O N N E M E N T S :

• Cannes, I>*i«irU-lm-nl» ^'* " » ' • • • • • ; j l imitJt)phM l î ( r « f r i

j Union l'o.taJe » . 13 . :

JEclio» ( I " pa«ei 12 (r î :Chmni<]iii ' lie la Mode * • ; : . > . , . . I - t-i l U g i o n t l a . • • !

^ELECTRIFICATION DES CAMPAGNES C ' e s t u n p r o g r è s i n d i s p e n s a b l e . N o t r e a c t i v i t é

e n d é p e n d . - N o t r e r é g i o n e s t p r i v i l é g i é e . Q u e l q u e s a v a n t a g e s p a r m i t a n t d ' a u t r e s . —

U n e f fo r t p e r s o n n e l .

ECHOS MONDAINS

Dans Ja Itevu^ (itnvrale r/*-l'ElecIrieSU (n* du 18 novembre

W i9'2-i) un ar l ic le t ràs docunicnlä , s igna la i t les tl irncuités lies ins-

tal lnl ions ätcclri( |ues d a n s cer­ta ines cîrconscriptiun-s ru ra les l'Or sui te de tar i fs proli ibil i ls qui sajiaiont les ineilluurtni inlen-tiuiis. [ / au tour de t e l l» é tude , M. Watlelel , faisait ressor t i r , avan t d 'ex |M,vr >i-^ |.rviiv(;.s.

t o u s l e s b i C D f u i N ( |u f i i L - ' l i ' l i - i a i t

ï'(:im-)i\(i (U-« l i i i ; i . I ' Il •

|)ttsition lies 1.1.1- , , Il,,' , e t i U - l t a i t . iwa: i , n ^ . . n , .1 I ' l l . ' i l . ; ^

la Rnirf ' di ias la iniii^tMi. IL-S a v a n t a g e s qui pouvaient icsul ter i nu puiuLilu-Ji i t du Confort et du t rava i l .

Toutefois , d a n s notre di^parte-oicnt de s Al pes-Mari t imes, et

f 'pius partit 'uliî-rcnient encore ' o a n s notre arromli.'iscNicnt, d t s

efforts ont i été t>iiln-|ir;s pour m e t t r e à la \itnUv des usure rs r u r a u x un bienfait dunt on petit cons ta t e r lYvidcnee d a n s d ' au ­t r e s contrées .

S a n s par le r ici des communes de la Savoie, de l'isi^re ou d 'au­t res dt^partcmcnls qui ont eu l 'a­van tage , p a r une fortune inhé­ren te ù leur s i tuat ion g(!'üt(raphi- , que , do bénéticier depui.s lon^j-t e m p s des bienfoiLs de I r l e c t n -citi ' , nous devons rccomial t re que cer ta ines contrées de la Fronce , sous ta pnuss^l'̂ e d ' une volonté qui t raduisa i t IV-tat d ' a ­près guer re , ont réussi à former

/ ^ ^ réseau rura l et ont adop té avec en thous iasme les avan tages nombreux qui résultaient de cet­te innovatinri bicnbcureusc.

Il faut avoir vu cl consta té la sol idar i té rura le pour connaî t re et compreni l re le désir , fait d 'é ­mula t ion , qui an ime à l 'heure actuel le ces popula t ions labo­r ieuses et les pousse vers un pro­grès utile. Si lon i r s les conunu-nes (le Ft-anrp imt fionné h la

Pa t r i e IIIH' I ilr i milribution d e vif ' lni[ii,iinr> | . i i r i i -uses, il faut n d n i . i u r i|<ir u.w. r e s points géot:ruplii ' | iics ont vu heureuse­ment revenir quelques survivants et que coux-lù, pe r suadés do leur rôle, »»urieux de leurs de-

* voirs et a t t achés à leur coin de I te r re , on t eu l'iiléc bien nrrèt i 'e

de met t re en valeur, p a r un paci­fique labeur, les t résors d 'un pro-gr&s dont i ls avaient mesuré les avan t ages .

Holgré cela , malgré cette for­me tenace d e i ' a r l i v i t é humaine d a n s le pays de Francf, nous sommes en droi t de déploror d a n s notre région unn cer ta ine lenteur , un semblant d ' apa th i e qni ne sera i t expl icable qu 'en face de difficultés matér ie l les insurmontab les .

Ces difficultés existent-elles ? A pr ior i , nous répomlrons :

j i o n . Parce que notre contrée a • ^ ' a v a n t a g e d ' un réseau électri­

q u e qui n fait ses preuves et qui s 'é tend de p lus en plus .

U Société d 'Energie Electri­q u e d u I J t tn ra l Médi terranéen. p o u r une existence de vingt an­nées , a ' c o n q u i s en quelque sorte tout le coin de terre qui s 'étend des Rouches-du-Rhône aux Al­pes-Mari t imes cl a résolu. Ä elle seule, de nombreu.ses difficultés. Avec une marche prudente mais sflrc, cet te Société est p a n e n u e ^ développer son réseau su r une impor tan te pa r t i e de notre dé-

p . j i a r l ement et A créer ainsi à la

portée de tous uiio yjuri_(* bien­fa isante .

11 ne faot p a s se faire d ' i l lu­s ions . Dans not re siècle, la ri­chesse locale ne veut plus se contenter d 'énergies humaines p a r le seul fuit que cet te force, si admirab le qu 'e l le soit, se voit d is tancée p a r la concurren­ce mécanique .

Si nous devions envisager la créat ion d ' un réseau électr ique puissanuncnt onéreux, nous au­rions l 'excuse d 'une honnête pauvre té , mais nous sommes, fort heureusement , dotiis aussi bien sinon mieux que cer ta ines au t re s provinces. Il nous res te à faire fructifier pour nos besoins personneiji une instal la t ion qu i , tous les joui-s, s ' é tend .

Sans aii t i ine cmitt-slatioii [los-

i , . . t i | i i i . . i n i n i ' i l r > a g i i i c l . ; ' Ir-^

l i iM'i. ro i i i . ilu pays . Mais Ii\ n r-.t [l.L^ I. si-ul avantage de cet-ti- . U-i II j inal i im, A mieux dirû, clic au ia i t 1111 but t rop pla toni­que si elle devait se borner à ré­pandre quelques rayons su r la place de l 'église ou devant la nmir ie .

Il faut , à côté de cela, une es­pèce do discipline économique. C'est la maison qui p r e n d r a une al lure plus joviale avec cette fée qu 'un simple signe fait appa ra î ­tre ; c 'es t encore la maison qui verra a p p a r a î t r e sous une forme prodigieuse, mille détai ls de con­fort jusque \ä inconnus ou réser­vés aux ci tadins ; c 'est sur tou t les t ravaux agricoles qui seront simplifiés et permet t ront un meil­leur rendement .

Faut-il éfiuniéicr iri tous les avanlat,T-- t|iii rcsulii-iaient^ en sm•pllI.^ il. -• iii^i.ill.iiiniis de lu-mitTo ilr,.i 1̂ i'i. I i i i i - rs , p a r la faciliti- ill' l ' i ir riiijiliij Ol par les dangers qu'el les suppr iment ?

Per.sonne n ' ignore , depuis que l 'E ta t a voulu s ' intéresser ä l 'é-loctrificalion des campagnes , les iMJnéfices du développement ma­tériel qui est son corollaire : bat­tage, t r iage des g ra ins , machi­nes afToctécs à la nourr i ture des bes t iaux , ins ta l la t ions industr iel­les de la [ernic parmi lesquelles nous ne ci terons que les forces, les frigorigeries, e tc . , e tc .

Dans un numéro de la Journée Indiixlrielle, qui t ra i ta i t en dé­tail cette grave question, nous li­sions que •' la product ion, le « t ranspor t et la distr ibution de

I " l 'énergie électr ique jouent un I " rôle essentiel d a n s la vie na-I " t ionale. »

I Kn effet, nous le disons plus i haut , tout le problème est lA.

S'il fallait , au coût de la vie ac­tuelle, é tabl ir ces moyens de pro­grès , on y renoncerai t ; toutefois, il sera i t grave de penser que munis de ces bienfaits , nous au­rions pu hésiter A les employer .

L'électriflcalion dans les cam­pagnes est une nécessité entre­vue avan t guer re e t devenue im­périeuse depuis 1918. 1^ gou­vernement en a vu la réal isat ion, mais ce n 'es t pas au gouveme-menl que nous devons demander en ce moment l'ofTort .soutenu et nércssa i rc . Nous avons nos pro­pres moyens. Nous avons sur tout , pour a ider ces moyens, le béné­fice d ' un réseau qui est prê t A seconder noire effort industr ieux et notre désir de mieux vivre.

.M- i l M llari>ar..u. uf(lci«r 'It.' ta U-gion d h o n n ü u r , dirvt-U»ur dos tJuiiftä IxjmLino-Dietrich -kint nus liùtes pour un mois ut •Mjnt doacenduii un leur huile vil­la W i l d o r n u « , A la Crou-don-l ian tes .

M. Louis U ' m a r c b a n d , le pr'>-<lucer rovuiste par is ien, a qu i t t é Cannes , pa r ta roule, ap rès deux umt.s de vil légiatura su r la cote.

^ Sont descendus : A rt iôtol Gunnot : Miss Xenia

Johns ton , Lady Wäch te r , M. Maurice Urockwell , M. Léon Bi-d e r m a n . M. André Marx , Dr L. Szente, M. Alphonse Marx , M. A Mlle P ier re Liloyo. M. et Mme R. Patooka, M . e l M m e E . F u r c b , M. J . Poloeka. Mrs C K . W r i g h t , M. et M m e 0 . Carrére , Miss A. Hüsiler. M. A. Chann ing et fa­mille.

A l 'hôtel Majestic : M. et M m e A b r a h a m s . M r et Mrs R. Alford, comte et comtesse de Beaurepai-re, Mr Bi rd . M. et Mme Came­ron. M r et Mrs J. Douglas Oil-

.roy. M. el Mme Davis, M. !. . Dreyfus, M. et Mme J. Duclos, M. P . Gannon, Mr et Mrs Gid-rlins Wilson, Mr et Mrs Hori-nmns , Mme Kerera , Mr et Mrs n . Kuhn . Mrs Lnnia, M. et Mme Noslrand, M r s o t Mrss Perk ins , M. Pussot , M. et Mme Andrew Pizzini, M. et M m e W . Roberta, M. et Mme Urqui jo Gaudar ias , Mr et Mrs Vince, M. van Rei-gesberg.

Pour la Saison dTté

L'Association Beethoven, don t l 'activité est inlassable, n ' a p a s voulu rester su r le très beau suc­cès obtenu p a r le Festival du Centenaire . Elle nous offrira donc, a u j o u r d ' h u i , en matiné>;. h 15 heures An, dans la salle de théûtre du Casino Munic ipal d 'é té {Cercle Naut ique) , un nou­veau concert au profit des œu­vres munic ipa les de Cannes.

Dien que la date du 15 mai puisse para î t re tardive à certai­nes personnfs . il est hors de doute qii" l""l cMTTim.' au Cen-tenairi ' , la -.i!'- -• '- • in ip peti te .

L 'As-i- ..I' l: 'Il •'.'•n veut ainsi c ii in.r , p..m -.i par t , h a n i m e r ht pvruph- t ransi toire entre les saisons d ' é t é -e i ^ ' h i ­ver.

Nous Ji.i p rogram; '

A propos du Casino d 'E té

tent ian bien arrê tée de mo fairw un<' opinion exacle a u r le Casinu d 'Ël^ do la Cruisette, su r ses avantages e t ses inconvénients , je nie rendis chez un défenseur fl chi*t un ennemi du projet et if les écoutais tour A tour avec une respectueuse a t tent ion.

Mais après m 'é t re livré à ces démarche« honnêtes , je rencon­tra un h ivernan t prolongé, au­quel je confiais ma scrupuleuse condui te et qui me répond i t :

E/i bien f vous n aurez pas de Casino d'Eté cl les Ctmnois ne pourront s'en prendre qu'à cuz-mêmes de cet échec d'un projet qui aurait pu, dans sa réalisa­tion, apporter à Cannes, de sé­rieux avantages.

Comme j ' i ns i s t a i s p o u r que mon inter locuteur m'expliquAt les causes de son pessimisme, il repr i t avec fougue :

le ,

CoDCOort poar TOctroi

L n concours p o u r le recrute­m e n t de préposés d 'octroi a u r a lieu A l 'Hôtel de Ville, le 20 mai , A 8 h. 45.

Les cand ida t s doivent être Agés de 21 ans au moins et de 35 ans

' au plus , au 1" janv ie r do ta pré­sente année . La l imite d'&ge, p o u r les cand ida t s mobilisés, est a u g m e n t é e du temps passé sous les d r a p e a u x .

Les pièces su ivantes doivent ê t re adressées au mai re de Can­nes, le 19 ma i . au plus Oird : u n e d e m a n d e su r pap ie r l ibre ,

/ u n certificat de bonne via et / i m œ u r s , un bul le t in de naissance.

P o u r tous r ense ignements complémen ta i r e s s ' adresser au préposé en chef de l 'octroi . A l 'Hôtel de Ville.

S y n d i c a t d e d é f e n s e d u

c o m m e r c e d e l u x e

Dans sa réimion du 10 mai , lu Con.^eil d 'admini . i t ra t ion, défé­r a n t A une d e m a n d e des commer­çan t s syndiqués et non syndi­qués , ayan t s igné une pétition contre lo projet du Casino h la Pointe do la Croisetto.

Déclare : qu ' i l sera i t pré judi ­ciable au commerce de ta ville que le Casino soit édifié en de­hors de l ' agg loméra t ion .

Décide : d ' in t e rven i r ou point de vue commerc ia l ; c'est-A-dire que le Syndica t d e m a n d e r a au Conseil munic ipa l d ' inscr i re dans le_ cahier des charges l ' in­terdict ion directe ou indirecte de tout commerce au t re que celui d ' u n Casino avec res tauran t , spectacles et jeux .

p-urent • • • .i |...[!!•.• fnrtune d'y Mili-ii'lrr m promii> re audi t ion, une œuvre du criti­que cannois bien connu : M. Florent Odero.

M. Pnyan. de l 'Opéra, qui a hien vou lu .p rê t e r son précieux runrui i rs , rehaussera de tout l 'éclat d e , s a sp lendide voix ce concert de bienfaisance.

Voici le p r o g r a m m e du con­cert :

1. Ouver ture de Phèdre : Masse-net.

2. Deuxième Symphon ie : Haydn . 3. Peti te sui te Alpestre pour ins­

t rumen t s A cordes, deux cors et flûte solo ( l " audi -tioni : F l . Odero.

\. Légende de la Sauge : Masse-net ; Air de la Calomnie (du Barbier de'Séville) Ros­sini , p a r M. Payan , de l 'Opéra ,

n. Psyché et les Dieux : Godort . Cl. Marche Hongroise de la Dam­

nation de Faus t : H. Berlioz. La direct ion de l 'orchestro,

confiée A M. Hidalgo Migl iar , composi teur , est un s û r garan t d ' u n e t>onne exécution.

t*C3 personnes désireuses d 'en­tendre ce concert seront bien ins­pirées en re tenan t A l 'avance I t u r s plaças : Maison Touche , 0, rue M a i ^ h a l - F o c h , où la loca­tion est ouvorto.

C'est avec plais i r q u e nous re­levons, pa rmi les candidotes rc-

sériO). le nom de M"^ Mathi lde Colonna, élève do l'écolo p r i m a i ­re supér ieure do Cannes . flUoda M. Colonna, facteur-chef de s Postes dons notre ville.

1^3 élèves do la villa Nôrôe se sont par t icu l iè rement dis t in­guées. Nous relevons également lo nom de M"** Marcelle Glovis, reçue en 3* série-

M candida t s et candida tes se t rouvaient en présence. Il n 'y a eu que 13 odmissions : hu i t jeu­nes filles en 3* série et qua t re ga r rons . Seule, M"* Jeanne Clo-vis. de notre école, a été admi.<w en \' série pot ir tout te dépar ta-mont .

: pas i voulez et constance {voyez que je n'exagè­re pas f) donné l'impression très nette de l'irréflexion, et de Cétourderie. C'est certainement un diagnostic qui a sa gravité.

Il y a une raison qui prime

les ,/r fn.

sino d'été aurait pu être livré à une exploitation un peu trop fan­taisiste, vous avez réussi à inté­resser, miraculeux bonheur, des hommes comme MM. Henry liu/d et André et vous ne vous reposez pas dans la plus douce quiétude en attendant la pro-chaîne réalisation de vos rêves. Ah ! zut ! qu'est-ce. qu'il VOUS faut ? La lune ?

C'est bien simple. Si vous esti­mez avoir quelques années à per­dre, faites l'expérience. Offrez-vous chaque année le projet d'un nouvel cmplacinwnt pour le Casino d'Eté et, chaque année, le projet nouveau sera suivi d'u­ne pétition prolcslatnirc. Cr!a vous éclairera sur /'•^• di/férenf-: s'/stèmes de mécoiUrritrfnenl. El jntis, lâchez donc dr rm/-; reji'iei-

gne-. op I

I.U.Z-CUU, coi d . i^'urdc jjü.-..^rr

pour des étourncaux et de décou­rager les plus solides influences.

.le m 'é ta i s fait engu i r l ande r et je ne pouvais pou r t an t pa s don­né [ort à mon inter locuteur car Idiis Ir-s a rgumen t s lancés contre le Casino d 'Eté se r é s u m e n t A quelques intérêts pr ivés et, A force de discuter, nous éloigne­rons les mieux intent ionnés .

Mais comme nous avons des conseillers mun ic ipaux influents et qui.d l'unanimité, ont voté, en séance plénxkre pour le Casi­no à la Croisette, nous allons tout s implement leur confier' le soin de persuader aux pétit ion­naires que les embûches semées seraient nuisibles A toute la ville et h eux -mêmes .

Pourvu qu ' i l n 'y en ait pa s quelques-uns qui se récusent . On ne peut jamais savoir, ils sont tellement mal ins 1

Le Comité ^ 8 _ F ê l e i d'Eté

Le Comité des Fêtes , dans sa dernière réunion , a procédé au ronou vet lernen t do son bureau pour la s d s o n d 'été 1027 et p o u r la saison d'hiver_1027-lö28. Ont été n o m m é s : ~

Prés ident : M. A. Capron. moire de Cannes.

Vice-présldcni : M- lo baron de M e r r o n n e t de S a i n ^ M a r c .

Directeur : M ^ W ^ -Secrétaire g é n â f ^ ' : M. R ^

buffcl. . ^ »'̂ ' -' Secfélalre-gônôral adjoint : M.

M m w i u r - J a e q u în . k T ré so r i e r : M. Cais.

Tfésor ier-adjoint : M. Cam-

GomgiisMire généra l : M. No-

tQomn^nf t i fes g â n é n o x ad-i O ^ t s f M H . â n g u 4 él^B^vpiondi.

£ar Comi té ô i tfmÂlie pass« & r e o n n o a d e son è r ^ m i ipiit-, q id compar t a i t n m ô m i e a t le p r o g r a m m e des fAles d*e|4 e t l ' avan t -p rog ramme des ffites d e la saison d 'h ive r .

Dans u n e t rès p roeba ine röp-idoD> ces p r o g r a m m a M n m t ÉP-i 4 t t e 4 l f l n f t t v s m e p L

Le Raid sur l'Atlantique .Si w.trt i/iuiUl, tU lTut„;aii

nuui u fait prendre fMirt a t'hno-ttan qui a rutci le raut de V.Mioji-lique, fioui acoiu peut-être cun-lat, au Lit toral , une déeeptujii l^lui grande encore.

Car c'est dans tes bureaux de Vimprhnerie Hobauäy que nuirr dincleur, W. Emile Uaussy, r . -cueillait, lundi apri^s-midi. Ut nouvelle gm annoiiçail la r / m w / . des amateurs, eu prén-nce de V Barbarou, ingénieur, dtret.t- ur des usines Lorraine-Dietrich et rrêatettr du moteur puissant 'i<n devait vaincre te grand espw > entre Paris et New-ïork.

.1 l'enthousiasme qui était par­ti de chei nous et vite avait (ja-gné la Ville, devaient succéder les horribles transes d'iate inquii'-tmle poignante.

Ce que nous pouvom dire, c'est que tous les essais du moteur avaient été faits avec une cons­cience profonde et que rien n'é­tait livré au hasard. Malgré cela, une cause inconnue a transformé ce succès possible en une dou­loureuse angoisse.

Mais si ces journées du diman­che 8 et du lundi 9 mai marquent une date précise dans les Anna­les du courage français, il con­vient de déplorer ici le trop grand nombre de fausses jwuvelles qui sont parvenues jusqu'à notre terre de France et ont permis un

luttant Ü f.'.j.nl natinnal de

^•- :,.run,r d. jn.^.u Ir., ,nj,hale.

n inni .,u.:,_ J,nr^ .. /nurnal, <l>" "--"^ '"">••' 'dn- tes mau-

r.ii i>rnih. tj,:, , ,,-• nient. Rien n'a '" rlfier des vies

«près un siît l'offre insistante

et bénévole des aviateurs que tout n été mis en œuvre pour fa­ciliter cette tâche difficile.

i-i'uh,,!-- i><f~ >i,ij>-»ird'btn aban-

C A N N E S

• f>nl / .

hnll nqes:

Le Monumen t aux Morts

q u i f;ii.-;;iit a t i iMi . - ln

•inps, un seni-:i<in réveillait -j: membre? dn

Chargé par M. Cheuret , archi­tecte du monumen t , de son ddifl-cation, M. Pe t ras a déjà pr is li­vraison des p remie r s blocs de pierre d e C o m b l a n c b i e n , et les a fait t ranspor te r au tour de la dal­le octogonale. Peu A peu, le pié­destal s 'élèvera avec ses garn i ­tures de bronze, puis un beau jour le m o n u m e n t lu i -même viendra p rendre sa place.

Pour donner A ce m o n u m e n t tout le dégagement nécessité p a r sa hauteur , il faudra faire dis­para î t re deux ou trois des pla­tanes qui l ' entourent .

M. Pa t ras nous avai t di t que, recevant leg matér iaux A raison de 20 tonnes environ p a r se­maine et le poids total s 'élevant h 80 tonnes, il espérai t avoir ter­miné le piédestal vers le milieu de j u i n , ce qui permel t ro i t de placer le m o n u m e n t aussitôt el faisait envisager l ' inaugura t ion pour le U juil let .

Mais on nous a dit , A la Mai­rie, que ce délai paraissai t bien court et quo cotte inaugura t ion serait p robablement reportée A la fin de l 'été.

Il est vrai qu 'on a déjA telle­men t a t tendu le mnnnment aux Morts , qu ' on n 'en t s t plus a que lques mois p r t e . Cependant , si PiaD ava i t p u , la Fètc Natio­na le a a | « i N t 6 une dote bien in-dïqUjâe p o u r cél(U)rer les ver tus d é n o s d i spa rus .

G« numéro dn UTTORAL, •

été eavoy* * 4300 Icc teun , pa r

I M Cumnir icaat« de CuUM« dool

AUX DAMES DE FRANCE

AUX GALERIES delà CROISETTE.

A LA MENAGERE.

BONNIARD & C".

Etablissem" Maxime FIOUPOU.

Grands Magasins BOKA.

HOTELS CARLTON, MAIESTIC,

PROVENCE. Direction Générais:

H. RUHL.

Maison ROUFF.

CANNES ARTISTIQUE

A la dern iè re réunion le bu­reau a ^ composé coa i |ne su i t :

P r ä s i d e n t : M . E . frfioot ; Tioo-p r ^ d e n t : H . GarbiQr ; t i t eo r i e r , M< P . AiiUuniier ; secréla i re : H . B . DÎcan i s ; b lb l lo thöco in : M. M . Ded&fy ; réiglsseur : M . L. Cönlor ier ; dEreeUoa a r t i s t ique e t mise en scène : M M . M . Chabot , H . MilJet e t 0 . R o u x .

P o u r toute a d b é t i o n ou rensei­gnemen t s , s ' adresser au siège social, 1)7, r u e d 'AntOws, W ^ h o -n e 6 4 4 , c b u M . Aolegnle r .

La Semaine Cannoise

La hMe

de l;i Süt'itic Suisse

de Secoars

C'est d imanche , dans le ravis­sant parc du Golf-Club de Man-delieu que s 'est déroulée la fête annuel le de la Société Suisse do Secours.

• Un piqu»-nlque lui-<:j n 'wu p u orgai cullai>ural*ui p . r ^ ^

ives ont remar­quai t : M. Bommel l i . prés ident do la Société Suisse de Secours ; MM. El lmer et Pal ly, vice-prési-donls ; M. Aider, t résorier ; M. Centur icr , secrétaire ; M. Lenoir, prés ident des fêtes ; MM. Stofer, Girardet , Cottier, Chant re , Stei­ner, Baudret , Jacquenoud, Ho-ertsch, do Michelis père et flis, membres du Comité des fêtes ; M. Manz, prés ident de la Société Helvétique de Nice ; M. Auer, prés ident du « GruUi », 3e Nice ; .M. H a m m e r , de Beaulieu ; M. Host et M. S t ras , de Nice ; M. Lnudoz, de Nico ; M. Aeschli-nian, M. Buhler . M, Hayoz, M. Mauderet, M. et Mme Hcenig-l'iTg, M. Datzviler, etc., etc. . .

. \u champagne , M. Bommelli pr i t la parole en ces termes :

o Mesdames, Messieurs, « Messieurs les invités. - Chers compatr iotes et

•1 11 m' ' incombe le privilège de vous souhai ter A tous la p lus cor­diale bienvenue. Au nom de la -Miiété Suisse 'de Secours de ' innés, j ' ad resse mes meil leurs

inerciements A ceux qui eontri-; i.jront A la réussite do notre fé-lo d ' a u j o u r d ' h u i el qui nous pro­curent la joie de cette rencontre au tour de notre d rapeau .

•t Mais que serai t une jour­née comme celle-ci sans le con­cours des dames et de toute une jeunesse féminine pour égayer la paisible compagne do Monde-lieu ? Votre présence. Mesdames, et votre gracieux sourire nous font plaisir .

n Nous regret tons infiniment d 'ê t re pr ivés du plaisir d 'avoir avec nous M. Capron. maire de Cannes , et M. Gandolphe, mai re de Mandel ieu , tous les deux re­tenus p a r d ' au t res impérieuses ftccupalions. Pa r contre, nous avons le plais i r de compter par­mi nous les membres de la pres­se qui ne manquen t jamais de parler a imab lemen t do notre co­lonie. Nous sommes part iculiè­rement heureux do constater la présence de nos amis de Nice. Noua les sa luons fraternel lement . f spérant qu ' i l s se r end ron t comp­te de la fidèle affection de notre rolnnie pour le? sociétéa sœurs du l i t toral .

lieu de la joie que nous 1 de celte rencontre en ous avons A cccur do

dlrf nu?et crimhien notre colonîo ?Ail apprécier avec rcconnais-Koncc et graliUide rhosp i l a l i t é du pays qui nous procure le pain quot id ien .

- Si, d ' une pa r t , la Société poursui t une t&chc essenticllc-mont ph i l an th rop ique , d ' au t r e pa r t , nous cbercbons A g r o u p e r T*o9 compat r io l i» d e Cannes e t des env i rons p a r de s réun ions , de s soirées e t n o t a m m e n t p a r le pique-nique t radi t ionnel de cna-q u e a n n é e , afin d o d o o n e r - a u x u n s e t a u x a u l n s l 'occasion de m f é u x s e opnoal t re e t do main te ­n i r l e» senùroenl» d'arrcctlon qui nonsvliflliaent % i s à not re chère p a t r i e .

« Le Comité profite de ce ren­dez-vous p o u r adresser u n appel cha leureux A tous eaux de nos compiUriotes qui pou r r a i en t nous l émolgoer leur syropAthie d ' u n e m a i d i n ou d ' u n e au t re .

de-

•.. 11. I • . ) - J l l 1,:.|;> l.i \ . . u i ^ . J . 4 p&B

. . . l . , „ r • , ^ -.• : . . ^^ i - n - u x e l Jt-t

• .1 n ; ' ;• iJ.j • «.ouinie Irs

uoirv prùaidi-ut dcb fêtr.». t • dépc iué sans cuinptur, bien condé p a r M. Cvnlurier, ii".:^ avcréloirv.

- Murci au Cumilé do t fetos. t merci aux dona teurs .

- lùn U^TUiiüonl, Je vuudrais quo k' mei l leur de .. i d'ofTc-ctiun el de n • uillu ä te drajic&u. i [. notre cliénj pa i r ie , i l > . i i r , oe qui nuus a luu« recuLilIm. \ i vo lo SuùkSQ I Vive la Krance : •

éprouv

Syndicat d'Initiative

IA- (.Ki/M il il udiiiiiiuilraUMn b.e>i réuni Iv vcridri'di t) couran t , scus la présidence do M. lAoour .

Sont présent« : MM. F . An- , . d rau , t iret , Cante laube, Ch. Cresp, J . Cresp, Escarras . G r -so, Lacour, Lepinuy, Mathih Monnol, Porréord et Sicard

Excusés : MM. le docteur b i f noir, FtorineUi et Laureni>Neuil-Icy.

1^ prés ident s ignale q u ' a u cours de la précédente réunion do la Chombrc de Commpr. • un vœu 0 été émis pour dcnj!>' der qu ' en raison des ressouriv^ fournies ou Trésor pa r ta Cùu-d 'Azur , un pourconlàge soit ré­servé pour l 'améliorat ion des routes do celte région, do façon A favoriser l 'essor du tourisiix source de profits.

— Au sujet d u proje t de cm. truction d ' un établiss^ement d h . droUiérapio, M. L A ^ u r indi<.jii> q u ' u n ingénieur d ' une flrmi américaine est venu prendre d . ' renseignements su r le projcl • i su r tes modali tés do coostn . lion. *.

Il ajoute que la direction >: Casino Municipol . très Intér ts- ' i par cette heureuse innoval icn. > promis une subvention imf>' r taqte pour l 'exploitation de r<i établ issement.

-— Le vœu suivant a été trui. mis A l 'assemblée générale di !> Fédérat ion des Sj-ndicata d IIÜ tiative de lo Côte d 'Azur , qui s'est tenue A Saint- l laphaél :

. Le Syndical d ' Ini t iat ive do Cannes invite' la Fédérat ion A souscrire un • abonnement A r • Argus de la Preî^so >•, afin d 'ê t re renseigné sur tous les or-ticles ayont trai t A la Riviera .

— Cet abonnement pe rmet t ra do se rendre compte des or iginss de la contre-réclame qui sévit en début de choque saison cl qni cette Année, a eu un caroctér' ' f violence tout par t icul ier .

- En pf'SSORsiion dfp articles •>• nigrant noire région, il appa r t iendra A la Fédérat ion d 'exami­ner la possibili té de lut ter con­tre les délractat iona et denviRO-ger les moyens légoux A em­ployer. •

— M. Lacour indique qu ' i l a fait p a r t & lo .Société - Supf-r Cannes - de la décision, p r i s" '< cours de la précédente réuni qui consistait A faire établ ir i. carte A g rande échelle des p r r mcnades A faJrc dons lo massif de la Colifornie, pour être placée dans la vitr ine du poste de po­lice de la Californie. M. I^ocour ojoulfl que cette Société, en­thousiasmée p a r CO projcl . étu­die réven tua l i t é de foire établ ir un d io rama .

— Le prés ident fait pa r t '!< réclamation qu ' i l a adressé* minis t re des P .T .T , pour m a n d e r la réouver ture do la r le du Bureau des Postes donn . rue Nolr*;-I>amc.

Celle m^KJiflralion a été ei.w-sogéc en vue do faciliter l 'eoote de l'HMol des Postes et la cir-culotion dons les rues adjacentes .

— L'osserabléo générale semes­trielle du Svndicat a u r a lieu a u débu t du mois de ju in .

— M. F, A n d r a u , secrétaire généra l , rend compte de la r. nion des délégués du Synd qui a eu lieu le 3 mai .

Il a joute qu ' i l a reçu de n i : : b reuses vir i les ot quo des dispo­s i t ions o n t été prises en vue ( t o l a p r o p a g a n d e dans les stat ions •«-Uvales.

— Vo Comité d 'o rganisa t ion d u CongrAs Internat ional d ' H j d i o -logie, de Climalologie e t d e Oéo-logie médicales a fait p a r v e n i r les formules d 'admiss ion A l 'Bx-p o r t i o n des Stat ions The rma les ,

Climatiques et Marin dicat d ' Ini t la l ivo parÜci potion.

Lo Syn-.-isape