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- ÉLODIE LESOURD LAMBDA PICTORIS 19 JANVIER / 05 MAI 2019 DOSSIER DE PRESSE

ÉLODIE LESOURD - Culture

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ÉLODIE LESOURDLAMBDA PICTORIS

19 JANVIER / 05 MAI 2019

DOSSIER DE PRESSE

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SOMMAIRECommuniqué de presse......................................................p.3

Approche du travail artistique............................................p.5

Regard sur quelques oeuvres.............................................p.7

Biographie d’Elodie Lesourd..............................................p.10

Visuels disponibles pour la presse......................................p.12

Autour de l’exposition........................................................p.14

Présentation du Frac Normandie Rouen.............................p.18

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ÉLODIE LESOURDLAMBDA PICTORIS

DU 19 JANVIER AU 05 MAI 2019Visite presse : vendredi 18 janvier à 14h30

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Élodie Lesourd, Nature Coming Full Circle, 2015, (courtesy AkillsB), acrylique sur MDF, 72,6 x 97,1 cm. Courtesy de l’artiste

Après plusieurs expositions monographiques consacrées à des photographes, le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen donne cette année carte blanche à une artiste peintre, Élodie Lesourd. Ce projet rétrospectif intitulé Lambda Pictoris mêle, au sein d’une vaste installation in-situ, travaux récents et peintures plus anciennes. Il permet de découvrir une œuvre trans-picturale nourrie autant par l’art conceptuel que par l’abstraction géométrique et trouvant sa source dans la musique.

Artiste française (née en 1978) formée aux Beaux-arts de Lyon puis de Nantes, Élodie Lesourd se réfère autant à l’histoire de l’art qu’à la musique (jusque dans ses courants les plus extrêmes comme le Black Metal) pour éprouver les limites de la représentation et de la signification au sein de sa peinture. Deux orientations formellement distinctes tendent à guider sa pratique. Un premier corpus d’œuvres, dites « hyperrockalistes », se caractérise par la réappropriation dans un style hyperréaliste de vues d’installations d’artistes contemporains se référant à ces mêmes courants musicaux.

Par la définition de cette méthode rigoureuse, Élodie Lesourd sonde la capacité de la peinture à faire advenir un surplus de réel. En effet, sélectionnant des photographies à la forte densité chromatique, entre aplats colorés et monochromes, elle met en avant la dimension perceptible et presque abstraite de ces œuvres malgré une fidélité de la représentation. Une autre partie de son travail, usant de l’abstraction et du télescopage, s’intéresse à isoler les différents éléments des supports de communication en provenance de ces champs musicaux, de la pochette de disque au sticker, pour les repenser dans des compositions originales où le référent n’est plus identifiable que dans le titre. Bien plus qu’un simple jeu formel, cette déconstruction de l’image lui permet d’amorcer une réflexion sur la nature de ces signes.

Au Frac, pour son exposition Lambda Pictoris, ces deux typologies d’œuvres sont représentées dans un parcours à la chronologie éclatée où une vision d’ensemble est préférée à la linéarité. Si la figuration méticuleusement réaliste des peintures hyperrockalistes contraste avec l’abstraction et la fragmentation des œuvres inscrites dans un axe sémiologique, cette césure formelle s’estompe dans le contexte d’exposition. Sous la forme d’une étoile morcelée, une grande peinture murale immersive se fait ici le cadre de ces œuvres duelles. Cet usage immersif du all-over, dans le rapport qu’il instaure avec les oeuvres, évoque la saturation du son dans une tentative de synesthésie. L’ensemble, conçu telle une partition, produit une vaste sonorité à laquelle chaque œuvre participe dans une réflexion plus globale sur le temps, du fini à la finitude. L’exposition devient alors pour Élodie Lesourd la possibilité de réaliser une œuvre proche d’un art total, révélant dans toute son ampleur la dimension installative et synesthésique de son travail.

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FRAC NORMANDIE ROUEN3 place des Martyrs-de-la-Résistance76300 Sotteville-lès-RouenT. 02 35 72 27 51 / 07 72 03 61 36contact presse : Chloé [email protected]

Le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen est une association culturelle destinée à soutenir et à diffuser l’art contemporain en région. Il est subventionné par le ministère de la Culture / Drac de Normandie et la région Normandie.

Élodie Lesourd, And I Knew The Silence Of The World, 2014, (courtesy M.Benson), acrylique sur MDF, 69,1x 89,5 cm. Courtesy de l’artiste et Lily Robert.Collection Carline et Olivier Bourdelas

Élodie Lesourd, Inner (Black Metal), 2008.Peinture PU sur acier, 175 x 100 cm.Courtesy de l’artiste

Le titre de l’exposition, Lambda Pictoris, du nom d’une étoile de la constellation du peintre, renvoie ainsi tout à la fois à la peinture murale et à la nature cosmologique de l’œuvre d’Élodie Lesourd, parcourue de références, de ramifications entre les arts visuels.

Pour donner un écho musical à ce parcours pictural, Élodie Lesourd est invitée par le 106 – scène de musiques actuelles de Rouen - à concevoir un festival d’une journée autour des mouvements musicaux qui traversent son œuvre.

LES ÉVÉNEMENTS

Élodie Lesourd invite : le groupe Pest Modern(Joël Hubaut et Emmanuel Hubaut)pour un concert au FracJeudi 31 janvier à 18h30

Pascal Rousseau, historien de l’artpour une conférence au FracJeudi 28 février à 18h30

Le 106 donne carte blanche à Élodie Lesourdavec « QuasaRites Day » - Samedi 09 mars Au programme : conférence, projections vidéos, et plusieurs concerts avec en tête d’affiche le groupe de métal américain Sunn O))).

Élodie Lesourd investi également le hall du 106 avec une oeuvre crée in situ.Visible du 09 mars au 06 avril 2019

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APPROCHE DU TRAVAIL ARTISTIQUE

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L'EXPOSITION PENSÉE COMME UNE OEUVRE

Sensible à l’impact du lieu, Élodie Lesourd conçoit chaque exposition comme une véritable création installative, une oeuvre à part entière. Pour son exposition au Frac, elle a ainsi imaginé une vaste et imposante peinture murale, se déployant sur les deux niveaux du bâtiment.

Intitulée « Pentagrama (Lambda Pictoris) », cette peinture représente les cinq branches d’une étoile étirées à l’extrême. Leurs couleurs résultent des cinq couleurs moyennes de toutes les peintures « hyperrockalistes » exposées. Son signe renvoie aussi bien au pentagrame (symbole ésotérique majeur), à la partition (pentagrama en espagnol) qui écrit et fige le temps, qu’au symbole musical du crescendo et descrescendo. La peinture murale est à la fois support, cadre - l’artiste plaçant ses œuvres telles des notes de musique sur une partition mais aussi ressort – confrontant ses peintures figuratives à l’abstraction géométrique. Ce décor offre un nouveau regard sur ses œuvres et sur l’espace d’exposition.

« L'HYPERROCKALISME »

Crée en 2004 par Élodie Lesourd, « l’Hyperrockalisme » est un néologisme construit à partir de deux termes : l’hyperréalisme – qui définit une partie de sa peinture - et le rock – son principal sujet d’inspiration.

Ce concept consiste en la transposition en peintures de vues d’installations d’autres artistes marquées par la musique et le rock en particulier. Ces peintures sont réalisées d’après des photographies que l’artiste glane au cours de longues recherches et sur lesquelles elle n’apporte aucune modification. L’hyperrockalisme suit depuis le même protocole en trois étape distinctes : le choix crucial de l’image qui révèlera son potentiel pictural, la demande d’autorisation auprès des artistes concernés intervient comme deuxième moment clé de l’élaboration du travail, puis vient l’étape de la restitution du sujet à l’échelle 1, à main levée, sans aide mécanique ni vidéo projection. Mais ce concept se définit également par une volonté marquée de se dégager de toute subjectivité vers une limitation maximale des décisions personnelles. Il est un moyen de peindre contre la peinture.

Élodie Lesourd, Pentagrama (Lambda Pictoris), 2019 (détail).Wall painting, in situ, acryliqueCourtesy de l’artiste

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REGARD SUR QUELQUES OEUVRES

Élodie Lesourd, The Grail, 2007. (courtesy J.Armleder) Acrylique sur MDFDiptyque, 198 x 130 cm. Courtesy de l’artiste, Acquisition ville de Vincennes - 2008.

Parmi les œuvres hyperrockalistes, le référent est ici explicite. Il s’agit d’une vue complète de l’installation du célèbre artiste suisse John Armleder constituée d’une guitare réelle et d’un tableau accroché au mur. Reproduits sur panneau à l’échelle 1, Élodie Lesourd confère une planéité à ces objets traités en volume chez Armleder. La forme diptyque, à la fois, dissocie les éléments et affirme la bidimentionnalité de l’œuvre ainsi peinte en rompant, par le trait, l’effet possible de trompe l’oeil. Ici, la retranscription se fait à plusieurs niveau : volume vs plan, œuvre vs image, réalisme vs abstraction... Le motif à rayure de la guitare, attribué au musicien Zakk Wylde auquel l’œuvre originelle se réfère, répond à la géométrie hypnotique du tableau. Dans sa peinture, l’artiste rejoue, avec jubilation, ces effets optiques quasiment sonores, évoquant l’abstraction de l’art cinétique apparut dans les années 60.

Élodie Lesourd, And I Knew The Silence of The World, 2014.(courtesy M.Benson)Acrylique sur MDF, 69,1x 89,5 cmCourtesy de l’artiste et Lily Robert.Collection Carline et Olivier Bourdelas

Pour cette peinture hyperrockaliste, Élodie Lesourd utilise une photographie qui pousse à l’extrême la confusion et le décalage entre œuvre originale et sa reproduction photographique, rendant l’œuvre de départ quasi incompréhensible. Dans sa transposition picturale, Élodie Lesourd exploite cet écart, voire cette perte en jouant avec les tonalités presque chatoyantes et les effets de miroitements des surfaces réfléchissantes. A cela s’ajoute la rencontre incongrue entre serviettes éponges et batterie qui, si elle confère à cette peinture une certaine poésie, dialogue avec le titre extrait des paroles d’une chanson des Smashing Pumpkins évoquant l’étouffement de l’instrument par les textiles.

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Pour cette oeuvre, Elodie Lesourd a superposé les logos des quatre principaux groupe de la scène Black Metal norvégienne originelle (Burzum, Emperor, Darkthrone, Mayhem). Elle a alors pris soin d’effacer les parties non communes ou débordant de cette superposition. Par ce procédé, l’artiste cherche à découvrir ce qui rapproche et lie ces groupes dans le chaos. Une tentative, pour l’artiste, de déchiffrer des logos à l’écriture insaisissable ; une manière, également, de réduire le mouvement, souvent connu pour les frasques de ces groupes, à une étrange tâche qui n’est pas sans rappeler les tests de Rorschach, et dont l’aspect informe devient, ici, le réceptacle de toutes les interprétations.Si le medium utilisé, le polyuréthane sur acier issu des techniques de carrosserie, évoque un univers aussi masculin que le Black Metal, l’œuvre se présente aux yeux de l’artiste comme une sorte de nouveau logo, à la fois absolu et dissolu ; une forme qui serait, selon l’artiste, à percevoir aussi bien comme un squelette maléfique que comme une sorte de coquille vide, à remplir de nouveaux idéaux ou de fantasmes.

Fidèle aux codes de l’hyperrockalisme, cette peinture reprend scrupuleusement le sujet de l’image source. Comme pour les autres peintures, rien ne laisse présager qu’il s’agit de la transposition picturale de la vue d’une installation prééxistante. Or, en observant de plus près l’instrument posé au sol, celui-ci révèle une facture grossière, plate et sans détail. Le doute s’installe alors, la peinture a-t-elle manqué de précision ou le sujet lui-même a-t-il ce caractère sommaire ? La clé de lecture se situe dans l’absence de détail, puisque l’œuvre reproduit un instrument factice conçu par l’artiste Sue de Beer pour son installation. Élodie Lesourd joue ici avec le caractère captieux de l’hyperrockalisme qui, en s’attachant à figurer, avec un réalisme froid, une réalité factice, tente de séduire le spectateur pour l’amener ensuite vers une réflexion ontologique sur l’essence même de l’oeuvre.

Élodie Lesourd, Venus In Fear, 2009(courtesy S.deBeer)Acrylique sur MDF, 115 x 107,5 cmCourtesy de l’artiste

Élodie Lesourd, Inner (Black Metal), 2008.Peinture PU sur acier, 175 x 100 cm.Courtesy de l’artiste

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Cette œuvre appartient à la série « Synopsie » comportant une dizaine d’images. Il s’agit de photographies abstraites prises par l’artiste lors de concerts (dont certaines au 106 !). De par leur apparence abstraite et leur sujet, ces images rejouent l’idée même de la synopsie : un phénomène qui associe son et couleur, établit des correspondances entre le visuel et le sonore. Placées, non plus contre les cimaises, mais au dessus de nos têtes et à l’horizontal, ces photos sont le prétexte à un jeu avec la lumière, en écho au sujet même des images. Le caractère quasi monochrome de ces paysages abstraits tentent de révéler la dimension cosmique qui les sous tend.Élodie Lesourd, Synopsie (Coelestis), 2019.

Tirage argentique lambda sur papier transparent Fuji Clear, verre acrylique. 92,9 x 140 cm. Courtesy de l’artiste

Le titre de cette série fait directement référence à l’écrivain, sociologue et poète Roger Caillois qui, dans les années 60, invita à reconsidérer les sciences en prônant une approche « diagonale » entre les domaines. Dans cet esprit et par le biais du collage, Élodie Lesourd convoque art, science du vivant et musique. Elle prend pour base des dessins de facture naturaliste réalisés par l’artiste vingt ans auparavant, une photographie de fleurs sous la neige, des autocollants et des stickers affichant des noms de groupes. L’assemblage de ces éléments composites produit des ensembles au fort pouvoir discursif qui amènent à reconsidérer ces images issus de catégories (label promotionnels, illustrations naturalistes etc..). Malgré l’incongruité des rencontres, ces classements par couleur et par formes sont une tentative pour mieux saisir le monde à travers une esthétique de la catégorisation, de l’ordre.

Élodie Lesourd, Diagonal Science Series (CST081-2 / WAP375CD), 2016,impression pigmentaire sur papier Hahnemühle, stickers, 50 x 75 cm, tirage unique. Courtesy de l’artiste

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BIOGRAPHIEÉLODIE LESOURD

Artiste française, née en 1978. Vit et travaille à Paris.Elle est diplômée de l’Ecole nationale Supérieure des beaux-arts de Lyon (Ensba).

EXPOSITIONS PERSONNELLES

2018 - EremitA, Printemps de septembre, Lieu-Commun, Toulouse

2017 - Disperari, galerie L&V, Dijon

2016- Aniline Black, Centre d’art contemporain, Passages, Troyes - Lazarus, Zombie, Elvis, Galerie Lily Robert, Paris

2015- The Oracular Illusion, Casino Luxembourg, Forum d’art contemporain

2014- Eleventh Walk, Le Quartier, Quimper- Comfort in Being Sad, Standard Deluxe, Lausanne, Suisse- Epiphyte, Vitrine, Frac Ile-de-France/ Le Plateau, Paris

2013Musical Perforation, Galerie Olivier Robert, Paris

2011- Modern Escapism, Galerie Olivier Robert, Paris- Elodie Lesourd, Farah Atassi, Les Eglises, centre d’art contemporain, Chelles, France

2009- Bend Sinister, Galerie Olivier Robert, Paris

2007- Obituary, MAC/VAL, Vitry sur Seine, France - POGO, Galerie Alain le Gaillard-Olivier Robert, Paris

EXPOSITIONS COLLECTIVES

2018 - A Beautiful Elsewhere/Draw me a Flag, projet spécifique avec la Fondation Cartier pour l’art contemporain, Power Station of Art, Shangai, Chine- Le rouge et le noir (Feros #3), Galerie Hypercorps, Bruxelles, Belgique- The Sun Ain’t Gonna Shine Anymore, Le Commun - BAC, Genève, Suisse- L, Frac Ile-de-France, Château de Rentilly, Bussy-Saint-Martin

2017- Peindre, dit-elle (chap. 2), Musée des Beaux-Arts, Dole - Lucifer Rising, Monument Historique Hôtel de Vogüé, Dijon- Summershow#2, Galerie Lily Robert, Paris- Friends & Family, Galerie Eva Hober, Paris- Playlist, Erratum Galerie, Berlin- Variations [sur un même thème], Le Parvis, Scène Nationale Tarbes Pyrénées

2016- Freux Follets, BBB centre d’art contemporain, Toulouse -curating-Julian Dashper & Friends, Ps projectspace, Amsterdam, Netherlands- Lucite, Musée départemental d’art contemporain, Rochechouart

2015- (Un mural, des tableaux), Frac Ile-de-France/Le Plateau, Paris- La vie de château, Musée départemental d’art contemporain, Rochechouart- Il faut maintenant construire le monde, Frac Poitou-Charentes, Angoulême- Furiosité, Galerie Frédéric Lacroix, Paris- Autofiction d’une collection, Galerie Polaris, Paris- Inauguration of The Pleasure Dome, Galerie Olivier Robert, Paris- Peindre, dit-elle, Musée départemental d’art contemporain, Rochechouart

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2014- Des choses en moins, des choses en plus, Palais de Tokyo, Paris- Avec et sans peinture, MAC/VAL, Vitry-sur-Seine- Symphonie Plastique, Le Carré, Vincennes- Mythomania, Le 106, Scène de musiques actuelles, Rouen

2013- Altars of Madness, Casino Luxembourg, Luxembourg- The Wall, Galerie Olivier Robert, Paris- Fans Attitudes - Images de l’adoration, Le 106, Scène de musiques actuelles, Rouen- Friends & Family, Galerie Eva Hober, Paris- The year of the Snake, Galerie Olivier Robert, Paris- Altars of Madness, Le Confort Moderne, Poitiers

2012- Les bruits du dehors, Biennale d’art contemporain Musée Maritime et Portuaire, Le Havre- Beautiful Painting is Behind Us, Umetnostna galerija, Maribor, Slovenia- Donatello parmi les fauves, Galerie Olivier Robert, Paris- Death can Dance, Townhouse, Zurich, Suisse- Black Thorns in the White Cube, Western Exhibition, Chicago, USA- La belle peinture est derrière nous, Le Lieu Unique, Nantes, France- Black Thorns in the White Cube, Paragraph Gallery, Kansas City, USA

2011- Genealogie, Galerie Olivier Robert, Paris- Beautiful Painting is Behind Us, CER Modern, Ankara, Turquie- After, Zerofold, Cologne, Allemagne- N. Darrot, A. Duchene, E.Lesourd, A.Pahlavi, Y. Vey, Galerie Eva Hober, Paris- Do you think that would have made it magic?, Gisèle Vienne & Elodie Lesourd, Galerie Olivier Robert, Paris -curating-

2010- Beautiful Painting is Behind Us, Institut Français, Antrepo n°5, Istanbul, Turquie- It is life, Minus Space, New York, USA - Black Mirror, Arsenic, Center for Contemporary Art, Lausanne, Suisse- Rock, Bonnat Museum, Bayonne, France- Collection 3, Fondation Claudine et Jean Marc Salomon, Alex, France- Rock, Sala de Armas, La Ciudadela, Pamplona, Espagne- Fake!, Stedelijk Museum, Aalst, Belgique

CATALOGUES MONOGRAPHIQUES

- Gracula Religiosa, Diedrich Diederichsen, Santiago Espinosa, Seldon Hunt, Kevin Muhlen, Casino Luxembourg ed., 2016.

- Werther Effect, Marco Costantini, Hunter Hunt-Hendrix, Thibaut de Ruyter, Dilecta ed., 2012.

- Obituary, Frank Lamy, Julien Blanpied, Mac/Val ed., 2007.

COLLECTIONS

- FNAC, Paris- Frac Ile-de-France/Le Plateau, Paris- Frac Poitou-Charentes, Angoulême- FMAC, Vincennes- MAC/VAL, Vitry-sur-Seine- Musée départemental d’art contemporain, Rochechouart- Fondation Claudine et Jean-Marc Salomon, Annecy- Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris

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VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE

Élodie Lesourd, Synopsie, 2015-2019.Photographie. Courtesy de l’artiste

Élodie Lesourd, Nature Coming Full Circle, 2015, (courtesy AkillsB), acrylique sur MDF, 72,6 x 97,1 cm. Courtesy de l’artiste

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Élodie Lesourd, Inner (Black Metal), 2008.Peinture PU sur acier, 175 x 100 cm.Courtesy de l’artiste

Élodie Lesourd, Sunbather, 2013, (courtesy AkillsB),acrylique sur MDF, 235 x 351 cm, quadriptyque,courtesy de l’artiste, collection MAC/VAL - Musée d’art contemporain du Val-de-Marne

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AUTOUR DE L'EXPOSITION

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LES ÉVÉNEMENTS

Ce cycle de conférences, organisé par l’association RROUEN, donne la parole aux artistes qui font l’actualité. Destiné aux étudiants de l’ESADHaR, il est ouvert à tous ! Le Frac propose à Élodie Lesourd de revenir sur sa démarche singulière de peintre et son approche de l’exposition, dispositif lui permettant de questionner et redéfinir ce médium.

« ÉCOUTE L'ARTISTE » ÉLODIE LESOURDJEUDI 31 JANVIER - 10H30/12HMUSÉE DES BEAUX-ARTS ROUEN

CONCERT DE PEST MODERNJEUDI 31 JANVIER À 18H30 - AU FRAC

Intéressée par les rencontres entre peinture et musique, Élodie Lesourd invite Pest Modern un groupe détonant crée par un père et son fils. Le père, Joël Hubaut, plasticien touche à tout, est connu pour ses performances loufoques et ses poésies sonores. Le fils, Emmanuel Hubaut, chanteur et musicien, a plus d’une dizaine d’albums à son actif avec des groupes comme Les Tétines Noires. Ils se produiront pour la première fois en concert au Frac !

DISCUSSION ENTRE PASCAL ROUSSEAU ET ÉLODIE LESOURD JEUDI 28 FÉVRIER À 18H30 - AU FRAC

Pascal Rousseau est professeur d’histoire de l’art contemporain à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste des avant-gardes historiques et des débuts de l’abstraction, des liens imaginaires, sciences et technologies dans la culture contemporaine du 20 e et 21 e siècles. Ses recherches sur la couleur ou encore la synesthésie apporteront un éclairage inédit sur le travail d’ Élodie Lesourd. La notion d’occultisme constituera également un angle de lecture.

Pest Modern. Photo Amélie Hubaut.

Élodie Lesourd, Synopsie, 2015-2019.Photographie. Courtesy de l’artiste

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QUASARITES DAY

LE 106 INVITE ÉLODIE LESOURD

SAMEDI 09 MARS 2019 DE 15H À 19H30

En prolongement de son exposition au Frac, Le 106 offre une carte blanche à Élodie Lesourd. En plus d’une installation crée in situ, l’artiste conçoit une journée spéciale dédiée aux musiques qui influencent son oeuvre.

Le 106 – scènes de musiques actuelles Métropole Rouen NormandieQuai Jean de Béthencourt76100 RouenT. 02 32 10 88 60www.106.com

Ouvert du lundi au vendredi de 13h à 19h les jours de concert de 13h à 18h.

CONFÉRENCE 15h « Épreuve et initiation : les concerts de drone » Par Catherine Guesde, doctorante en esthétique, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Immersifs, les concerts de drone impliquent non seulement l’oreille mais également le corps dans une expérience totale. Lorsque le haut volume sonore s’en mêle, comme dans le cas paradigmatique des concerts de Sunn O))), l’expérience peut s’apparenter à une épreuve convoquant différentes formes de résistance (imaginaire, physique) à ce son omniprésent.

VIDÉOS 16h : « Origin of the Alimonies » Projection inédite de l’opéra-vidéo de Hunter Hunt-Hendrix (Liturgy)La pièce qui fusionne le métal et la musique classique est une méditation sur l’origine de toutes choses.

18h30 : « QuasaRama » Sélection de vidéo-clips réalisés par des artistes contemporains : Gast Bouschet & Nadine Hilbert, Elise Gagnebin-de Bons, Seldon Hunt, Julien Langendorff, Rachel Maclean, Andrew McLeod, Gisèle Vienne.

CONCERTS17h : Shipwreck/Lighthouse (post drone-noise) - live du projet musical de Catherine Guesde 17h45 : Sordide (Black Metal)

Le programme en après-midi (14h30-19h30) est accessible gratuitement.

20h : Lingua Ignota - projet solo expérimental de l’artiste pluridisciplinaire Kristin Hayter Sunn O))) – groupe de métal américain (première tournée en France !)(concerts payant – contacter la billetterie du 106)

INSTALLATION ARTISTIQUEÉlodie Lesourd a crée une œuvre in situ dans le hall du 106.Visible du 09 mars au 06 avril 2019

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LES RENDEZ-VOUS RÉGULIERS

« RENCONTRE AVEC ÉLODIE LESOURD »SAMEDI 19 JANVIER À 14H30Rencontre et visite de l’exposition avec l’artiste.

« RENDEZ-VOUS ENSEIGNANTS »MERCREDI 23 JANVIER À 14HPrésentation de l’exposition aux enseignants et éducateurs par le service des publicset le service éducatif. Un dossier pédagogique complet leur est alors remis et ceuxqui le souhaitent peuvent inscrire leurs classes aux visites et ateliers.

« LES 1ERS DIMANCHES DU MOIS »3 FÉVRIER, 3 MARS, 7 AVRIL, 5 MAI À 15H30Visite commentée de l’exposition.

« VISITE LSF »DIMANCHE 4 FÉVRIER À 15H30Visite commentée de l’exposition pour tous en lecture labiale et traduite en langue des signes.

« VISITES DU MIDI »MERCREDI 13 FÉVRIER, JEUDI 21 MARS, MARDI 23 AVRIL À 12H30Visite de l’exposition avec Véronique Souben, directrice du Frac.

« UNE OEUVRE, UNE HEURE »JEUDI 21 MARS À 14H30Ce rendez-vous ouvert à tous, est adapté au public déficient visuel et propose une description et une découverte approfondies d’une œuvre de l’exposition d’Élodie Lesourd.SUR RÉSERVATION

« ATELIER EN FAMILLE »MERCREDI 10 AVRIL - 14H À 16HVisite et atelier destinés aussi bien aux parents qu’aux enfants de 5 à 12 ans.Ce moment convivial de partage entre parents et enfants se conclu par un goûter.SUR RÉSERVATION

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PRÉSENTATION DUFRAC NORMANDIE ROUEN

Crée en 1982, le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen est une association culturelle destinée à soutenir et diffuser l’art contemporain grâce à un fonds d’oeuvres regroupant des artistes phares et signifiants de la création contemporaine.

Implanté à Sotteville-lès-Rouen (face au Jardin des Plantes de Rouen), le Frac dispose d’un lieu d’exposition pour présenter régulièrement et selon différentes approches une partie de ce fonds ainsi que des expositions consacrées à des artistes émergents ou confirmés de la scène artistique. Il bénéficie également d’un espace pédagogique spécifique pour accueillir tout au long de l’année les publics les plus divers autour d’ateliers, de rencontres, de stages, d’événements, de conférences et de visites. Outre son programme dans les murs, le Frac conçoit également un programme hors les murs afin de diffuser largement sa collection par le biais d’expositions et de prêts dans des lieux les plus divers de la région (musées, centres d’art, établissements scolaires, universités, médiathèques, hôpitaux…). Enfin, sa mission consiste aussi à enrichir sa collection par l’acquisition régulière d’oeuvres d’art contemporaines. A ce jour, le Frac Normandie Rouen possède une importante collection riche de plus de 2300 oeuvres reflet de la diversité et de l’originalité des pratiques et des esthétiques les plus contemporaines (peintures, photos, vidéos, installations, oeuvres en volumes, dessins, livres d’artistes etc.).

Depuis 1999, le Frac Normandie Rouen a présenté des expositions monographiques d’artistes français tels que Bertholin, Jérôme Boutterin, Damien Cabanes, Claude Closky, Philippe Cognée, Didier Courbot, Sophie Dubosc, Thomas Fougeirol, franckDavid, Marc Hammandjian, Jugnet+Clairet, Andrea Keen, Patrick Lebret, Guy Lemonnier, Isabelle Le Minh, Claude Lévêque, Marylène Negro, Antoinette Ohanessian, Dominique Petitgand, Bernard Piffaretti, Bernard Plossu, David Saltiel, Gilles Saussier, mais aussi d’artistes étrangers comme Darren Almond, Silvia Bächli, Marian Breedveld, Elina Brotherus, Geneviève Cadieux, Helmut Dorner, Michel François, Geert Goiris, Bill Jacobson, Chris Johanson, Javier Pérez, Michael Sailstorfer, Nancy Spero, Richard Tuttle et Marthe Wéry. Il a également organisé de nombreuses expositions thématiques relatives aux approches contemporaines du corps, à l’identité, au paysage, au territoire et à l‘espace urbain.

Depuis 2011, le Frac propose une approche plus historique et scientifique de la collection. Ainsi le cycle de L’inventaire propose de découvrir les oeuvres du Frac en fonction de leur année d’acquisition tandis que les expositions dédiées à la pratique s’intéressent quant à elles à un médium spécifique. Parmi les médiums qui caractérisent la collection, ont été mis à l’honneur : la photographie en 2012 avec l’exposition Learning Photography, les livres et éditions d’artistes en 2014 avec l’exposition Bibliologie ou encore le dessin en 2015 avec Fabriquer le dessin en dialogue avec les collections du MuMa et du musée des beaux-arts de Rouen. A cela s’ajoutent des monographies dédiées à des photographes (Gilles Saussier, Geert Goiris...) ou encore des sculpteurs (Michael Sailstorfer, Sophie Dubosc...).

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LES EXPOSITIONSAU FRAC EN 2019

L'INVENTAIRE, VOL.9Acquisitions de 2003 à 2004DU 25 MAI AU 25 AOÛT 2016

REMAKEQuand la vidéo rejoue le cinémaDU 14 SEPTEMBRE 2019 AU 05 JANVIER 2020

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RENSEIGNEMENTS PRATIQUES

FRAC NORMANDIE ROUEN3 place des Martyrs-de-la-Résistance76300 Sotteville-lès-RouenT. 02 35 72 27 51 www.fracnormandierouen.fr

Suivez-nous sur

HORAIRESDu mercredi au dimancheDe 13h30 à 18h30Entrée libre et gratuiteAccès handicapés

CONTACT PRESSEChloé Palau - Chargée de [email protected]

LE FRAC NORMANDIE ROUENbénéficie du soutien du Ministère de la Culture / DRAC de Normandie, de la Région Normandie et de la Ville de Sotteville-lès-Rouen.

Le Frac Normandie Rouen est membre de PLATFORM, Regroupement des Fonds régionaux d’art contemporain et de RROUEN, réseau des lieux d’art contemporain de la métropole rouennaise et de RN13bis - art contemporain en Normandie.