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OCTOBRE 2009, VOLUME 3, NUMÉRO 4 Monde Scotia MAGAZINE ACTUALITÉ • EXPÉRIENCE • SUCCÈS Une équipe… un même objectif : un engagement qui rallie les employés de la Banque Scotia dans le monde entier Tous ensemble Aidez-nous à réduire la quantité de déchets. Partagez cet exemplaire du Magazine Monde Scotia avec vos collègues.

Monde Scotia - scotiabank.com · et de crédit à comprendre et appliquer les règles de la Banque en ... veille à ce qu’ils ... À l’extérieur du Canada? Accédez à la version

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OCTOBRE 2009, VOLUME 3, NUMÉRO 4

Monde ScotiaM A G A Z I N E

ACTUALITÉ • EXPÉRIENCE • SUCCÈS

Une équipe… un même objectif : un engagement qui rallie

les employés de la Banque Scotia dans le monde entier

Tous ensemble

Aidez-nous à réduire la quantité de déchets.Partagez cet exemplaire du Magazine

Monde Scotia avec vos collègues.

RSE

En couverture…(De gauche à droite) Karl Rubach, Financesd’entreprise, rentabilité des entreprises, aide àla décision – Opérations internationales, ElsaMercado, directrice principale, Affairespubliques internationales et Gabriela Polanco-Sorto, directrice principale, Responsabilité so-ciale unissent leurs forces pour la BanqueScotia.

En créant un nouveau poste de premier directeur, Affairesenvironnementales, la Banque Scotia a souligné une fois de plus

son engagement envers la responsabilité sociale des entreprises (RSE)et l’intégration des principes de la RSE et des impératifs de la protection del’environnement dans les activités courantes de la Banque.

Le mandat du titulaire de ce poste sera d’évaluer les risques environnementauxliés aux activités de prêt et d’aider les membres du personnel des services bancaireset de crédit à comprendre et appliquer les règles de la Banque en matière de risqueenvironnemental et social, avec une documentation nouvelle et des mesures deformation sur l’évolution des lois canadiennes et américaines touchant leschangements climatiques.

À titre de première directrice, Kim Brand soutient les efforts des secteursd’activité dans l’application des Principes de l’Équateur, ensemble de normessociales et environnementales mondialement reconnues s’appliquant au secteurbancaire et concernant les projets internationaux d’une valeur dépassant 10 millionsde dollars US. La Banque Scotia a, depuis 2006, appliqué ces principes à l’évaluationde 26 projets en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et aux Antilles.

Bien que les Affaires environnementales fassent partie du service de la RSE de laBanque Scotia, le poste de premier directeur relève aussi des dirigeants de la Gestion durisque global, de Scotia Capitaux et des Services commerciaux et aux grandes entreprises,Opérations internationales. Mme Brand collabore donc avec chacun de ces groupes etveille à ce qu’ils tiennent compte de diverses considérations environnementales pourrépondre aux besoins de la clientèle et aux impératifs de l’entreprise.

Du nouveau à la RSE? • La page de la RSE, à www.banquescotia.com/environnement, a été mise à jour.

Elle présente maintenant un aperçu détaillé des questions d’environnement quitouchent la Banque Scotia, au Canada et ailleurs.

• Le Rapport RSE 2008 est maintenant disponible en espagnol. Tous lesétablissements hispanophones à l’étranger en recevront des exemplaires parl’entremise des responsables de la RSE de leur pays.

• Plus tard cette année, la Banque Scotia lancera un site Web vert, accessible parl’intermédiaire de Passeport RH au Canada; les établissements étrangerspourront également y accéder sur demande. On y trouvera des conseils pourménager le papier ainsi que des outils et des concours créés en collaborationavec le Fonds mondial pour la nature. w

La RSE

s’affirmeObjectifs pour 2009 – Notre tableau de bord

équilibré

Données financières

• Rendement des capitaux propres compris

entre 16 et 20 %

• Croissance du bénéfice dilué par action

comprise entre 7 % et 12 %

• Valeur à long terme pour les actionnaires

par des hausses des dividendes et une

appréciation du cours de l’action

Personnel

• Niveau élevé de satisfaction et

d’engagement des employés

• Diversité accrue de l’effectif

• Engagement envers la responsabilité

sociale et la participation dans

la collectivité

Clientèle

• Niveau élevé de satisfaction et de

fidélité de la clientèle

• Relations plus étroites avec nos

clients existants

• Recrutement de nouveaux clients

Exploitation

• Ratio de productivité inférieur à 58 %

• Bonnes cotes de crédit

• Meilleures pratiques en matière de

gouvernance d’entreprise et de conformité

• Excellents coefficients de capital

PACTE

Fourchette des cours de l’action ordinaire

de la Banque Scotia au mois de août 2009 :

43,16 $ à 48,11 $

Cours de clôture moyen en août 2009 :

45,86 $

Au Canada? Accédez à la version en ligne dans Passeport RH sousMes communautés; dans IntraCom > Salle des nouvelles > Réseau Ac-tualités Scotia; ou dans Scotia Navigator sous le lien Employee Informa-tion de la page d’accueil.

À l’extérieur du Canada? Accédez à la version en ligne dans Passe-port RH (s’il est accessible) ou sur le site IMAC > Corporate & ContactInformation > Public, Corporate & Government Affairs > Public & Corporate Affairs > Scotia World Magazine.

Pour en savoir plus sur certains articles de ce numéro, rendez-vous sur le site

Web du Magazine Monde Scotia

Actualités Scotia

10

Savoir c’est pouvoirProtégez-vous contre la grippe saisonnière

Ensemble pour la santéFeuillet à détacher contenant desconseils pour éviter la grippe

Point de vueUn plan d’action pour Point de vue

Succès en têteProfil de Gillian Riley

Mieux-être ScotiaPleins feux sur la santé des hommes

Article de fondDes employés de la Banque Scotia s’unissent au profit de Centraide

CollectivitéLa sécurité d’abord!

Collectivité Construire des maisons pour apporter de l’espoir

Santé À vélo pour une bonne cause

1 0

1 1

Expérience Scotia Engagement Scotia

18

1 3

1 4

1 6

2

4

6

8

EntretienChris Hodgson

Antilles anglaises etAmérique centraleTraverser la tempêteéconomique

Région de l’AtlantiqueNi essor, ni récession

Opérations européennesSes racines, son dynamisme etson réseau mondial favorisentla croissance de la Banque Sco-tia en Europe

1 8

1 9

2 0

2 1

Correspondantes :Jennifer Corbett, Menka Walia, Chris McAuliffe

Coordination :Jennifer Corbett

Directrice artistique :Nancy Howard

Conception : Jim Kapsalis, Vincenza Thorburn, Luis Tudon

Production :Kelly McCraw, Kirstin Thomas

Le Magazine Monde Scotia est publié cinq fois l’an en anglais, enfrançais et en espagnol par Affaires de la société et distribué àtous les employés du Groupe Banque Scotia à travers le monde.

Le Magazine Monde Scotia est mis en ligne dans Passeport RHsous Mes communautés, dans IntraCom sous Réseau ActualitésScotia, et dans Scotia Navigator sous le lien Employee Informationde la page d’accueil. Il est aussi sur le site IMAC (s'il est accessible).

Les lecteurs sont invités à envoyer des articles ou des suggestions.Les photos numériques doivent être de haute résolution (300 ppipour 5 po x 7 po).

Vous pouvez nous joindre par courriel, à[email protected], ou par la poste, à Magazine MondeScotia, Scotia Plaza, 40, rue King Ouest, Toronto (Ontario) M5H 1H1;code service 37622.

Communiquez tout changement d’adresse ou de distribution par téléphone, au 416-866-3925, ou par télécopieur, au 416-933-7385.

Rédactrice en chef :Paula CufreTéléphone : 416-866-4833

Comité de rédaction :Toni Spooner, Gail Lambie, Chris McAuliffe

Table des

matières

Monde Scotia Octobre 20092

DG Chris, le groupe que vous dirigezcompte plus de 21 000 employés, répartispartout au Canada. Pourriez-vous nousdonner un aperçu de vos principalesresponsabilités en tant que chef, GroupeRéseau canadien?

CH Mes deux fonctions les plusimportantes sont sans aucun doute dedéfinir, en collaboration avec la hautedirection, les orientations stratégiques duRéseau canadien et de mettrecontinuellement à profit la remarquableculture d’entreprise que nous avons ici à laBanque Scotia. Il est très clair, à mon avis,que les valeurs et l’intégrité de notrepersonnel nous ont énormément aidés àtraverser avec succès une périodeparticulièrement difficile pour le secteurbancaire. En tant que chefs, nous ne devonsrien négliger pour renforcer la cohésion ausein de nos équipes, promouvoirl’innovation et faire le lien entre lesperspectives de nos différentes divisions, etce, afin de nous permettre d’atteindre lesobjectifs stratégiques communs.

DG Vous dites que l’année a été difficilepour les banques. En effet, lesconsommateurs ont perdu confiance. Ilsse méfient des entreprises, même des plushautement considérées, comme laBanque Scotia. D’après ce que vous disentnos clients, que pouvons-nous faire pourranimer leur confiance?

CH Oui, nous avons, en effet, traversédes moments très difficiles, partout dansle monde. Mais à la lumière d’un certainnombre d’études externes, je crois qu’onpeut affirmer que la tenue du systèmebancaire canadien a été vraimentexceptionnelle. Notre système s’estclassé au premier rang mondial et,comme vous le savez, l’équipe de laBanque Scotia a brillamment réagi pourrassurer nos clients.

Il est important d’entretenir et deresserrer nos liens avec la clientèle, de luioffrir des renseignements, des services etdes produits pour aider chacun àaméliorer sa situation financière en tenantcompte de ses besoins particuliers. C’estce genre d’aide personnalisée que lesclients recherchent aujourd’hui, et nul nepeut mieux répondre à leurs attentes quenotre personnel.

DG J’en suis bien convaincue moi-même.Le soutien que nos employés ont apporté ànos clients, et à la Banque elle-même, a étéphénoménal. En fait, les résultats atteints,en dépit des difficultés du marché, par leRéseau canadien pour le premier semestrede 2009 sont remarquables. À quoiattribuez-vous ce succès?

CH Surtout à nos employés, danstoutes les collectivités canadiennes oùnous exerçons nos activités. Il est clairpour moi que le mérite de ces résultatsleur revient, en raison de leur assiduitéau travail et de la fermeté de leurengagement envers l’équipe, maisl’excellence de l’ensemble de nosdirigeants – tels que vous Diane et voscollègues – y a largement contribué aussi.

DG Merci, Chris. En dépit de résultatsencourageants, la conjonctureéconomique reste très incertaine, auCanada et ailleurs dans le monde. Quel aété l’impact le plus évident de la récessionsur notre Réseau canadien?

CH En fait, à la direction, nous avonspassé en revue toutes nos ressources etavons demandé à nos employés d’en faireautant, afin de faire plus avec moins.Grâce à cette gestion serrée de nosressources, nous pouvons aujourd’huipoursuivre nos efforts en vue d’assurer lacroissance de nos activités clés par letruchement d’initiatives telles que

l’expansion de notre réseau desuccursales, l’élargissement de notreéquipe de conseillers financiers et ledéveloppement de nos plates-formes decartes de crédit et d’assurance.

DG Depuis quelques années, la BanqueScotia a spectaculairement renforcé sesactivités de parrainage. Pourquoi avons-nous adopté cette approche pouraccroître notre notoriété?

CH Dans une perspective culturelle, lerecours aux parrainages pour promouvoirnotre marque est éminemment compatibleavec le désir de la Banque Scotia departiciper à la vie des collectivités quil’accueillent. L’année dernière, la Banque adistribué plus de 43 millions de dollarspour des initiatives communautaires etnos employés ont bénévolement donnéplus de 240 000 heures.

Il y a quelques années, nous avonsprocédé à un examen détaillé dessolutions possibles pour renforcer notremarque sur le marché canadien et nousavons conclu que les parrainages et lesalliances stratégiques peuvent êtreextrêmement efficaces pour favoriser lesuccès d’une entreprise. Par exemple,notre programme SCÈNE s’avère trèsproductif. Nous sommes égalementaujourd’hui la banque officielle de laLigue nationale de hockey et cepartenariat nous introduit dans les sallesde séjour de tout le Canada à l’occasionde chaque joute du sport le plus prisé desCanadiens. Il y a aussi la Nuit Blanche dela Banque Scotia, le programmeScotiabank Caribana et Rick Hansen –Rouler vers demain. Tous cesprogrammes présentent avec efficacité lamarque de la Banque Scotia tout enenrichissant les collectivités.

Diane Giard, première vice-présidente pour la région Québec et Est de l’Ontario, s’est

récemment entretenue, au nom des lecteurs du Magazine Monde Scotia, avec Chris

Hodgson, chef du Réseau canadien. Ils ont parlé des résultats du Réseau au cours de la

dernière année et de ses priorités pour l’avenir.

Chris Hodgson

Diane Giards’entretient avec

Octobre 2009 Monde Scotia 3

Actualités Scotia

DG Chris, dans quel domaine pensez-vous que l’équipe du Réseau canadien amarqué le plus de points depuis un an?

CH D’abord, nous avons fait desprogrès énormes dans le développementde nos services de gestion de patrimoine.Nos équipes de distribution, entre autres,ont fait faire un bond en avant incroyableà nos fonds communs de placement.Depuis deux ans, nous avons aussi faitl’acquisition de E*TRADE Canada,récemment rebaptisée iTRADE Scotia.Nous avons également fait desinvestissements majeurs dans Gestion depatrimoine Dundee et CI Financial, quiont encore affermi nos assises et nouspermettront d’aller encore plus del’avant. Nous sommes bien partis pourdevenir un leader dans le secteur de lagestion de patrimoine et j’en donne toutle crédit aux équipes qui nous ont permisde réaliser cette croissance, aussi bien àl’interne qu’avec des acquisitions commecelles que je viens de mentionner.

Ensuite, les résultats du sondagePoint de vue ont récemment été publiés et,malgré les déceptions de l’année écoulée,la plupart de nos employés continuent de penser que la Banque Scotia est un employeur exceptionnel. Pour moi, ces résultats reflètent la profondedétermination de nos cadres à soutenirleurs équipes, la résilience de nosemployés et la robustesse de notre culture.

DG Vous avez parlé d’innovation et decollaboration au début de cet entretien.Ces deux éléments vont-ils continuer defigurer parmi les préoccupations centralesdu Réseau canadien?

CH L’interaction entre les services à laclientèle commerciale, les services auxpetites entreprises, les services auxparticuliers et la gestion de patrimoineconstitue un atout puissant, car ellesuscite des mises en contact et nouspermet de répondre aux besoins de nosclients. Compte tenu de la taille du

Réseau canadien, il est cruciald’entretenir une solide collaborationentre les différentes équipes. Or, nousavons, je crois, réalisé des progrèsimportants à cet égard.

Nous avons aussi lancé plusieursinnovations majeures depuis quelquesannées. Par exemple, le programmeSCÈNE, dont je viens de parler, et notrepartenariat avec Western Union. Commevous le savez, Diane, nous avons aussi étéla première institution financièrecanadienne à ouvrir une succursale dansune station de métro, à la station McGill,à Montréal.

Pour réussir vraiment, nous devonscontinuer à chercher activement denouvelles occasions d’innover et nousdevons nous montrer encore plusdéterminés à tirer parti de ces occasions,tant à l’échelle de l'entreprise que dans lecadre des fonctions de chacun. À cepropos, Diane, vous avez attiré monattention sur la belle réussite d’unesuccursale d’Ottawa, qui a attiré unvolume d’affaires important en organisantdes séances d’information au YMCA etauprès d’autres organismescommunautaires pour présenter aux néo-Canadiens les solutions que nous offronsà notre clientèle multiculturelle. C’est làun bon exemple de l’imagination et dutype d’initiatives que nous devonscultiver dans tous les domaines.

DG Une dernière question, Chris. Quandvous ne travaillez pas, à quoi occupez-vousvos loisirs?

CH Quand je ne travaille pas, j’aimebeaucoup voyager avec ma famille. Endécembre, nous irons en Tanzanie pourfaire l’ascension du Kilimandjaro. Un projetqui nous emballe! Ça me donnera l’occasionde passer du temps avec ma famille, tout enrelevant un nouveau défi et en recueillantdes fonds pour la fondation ProvidenceHealthcare. Cet organisme de Toronto faitun travail extraordinaire en contribuant àsubvenir aux besoins à long terme despersonnes âgées et des personneshandicapées. w

Une version vidéo de l’entretien de Diane avec Chris est accessible à Magazine Monde Scotia en ligne.

SCÈNE Depuis sonlancement à l’échelle du Canada, en 2007, leprogramme de primes SCÈNE adéjà attiré près de deux millions demembres et continue d’en recruter20 000 en moyenne par semaine.Plus de 700 000 de ces membressont des clients de la BanqueScotia.

Le programme SCÈNE, que laBanque Scotia a lancé encollaboration avec CineplexDivertissement, a été le premierprogramme de fidélisation lié àune carte de débit au Canada. Ilexiste aussi une carte VISA SCÈNE.Les membres accumulent despoints qu’ils peuvent échangergratuitement contre des billets decinéma et des aliments auxcomptoirs des cinémas Cineplex.Ce programme inclut égalementde la musique téléchargeable etl’accès à des manifestationsmusicales en public. L’on trouverade plus amples renseignements surle programme SCÈNE àwww.scene.ca.

traverser la tempête économique

À l’encontre de l’image qu’elle projette… un cordon d’îles paisibles caressées par de doux zéphirs… la région des Antilles anglaises et de

l’Amérique centrale a été fortement secouée par la crise économique mondiale. Mais l’enthousiasme, la créativité et l’esprit d’équipe du

personnel de la région, qui compte plus de 20 pays, ont permis à la Banque Scotia de s’affirmer comme l’institution financière la plus

importante, de surmonter les difficultés et d’en sortir plus forte aux yeux de ses clients.

«Le personnel de notre région estexceptionnellement fier de sonappartenance à la Banque et sonenthousiasme nous aide à relever lesdéfis, explique Pat Minicucci, premiervice-président, Région des Antilles. Et les obstacles à surmonter n’ont pascompris seulement les criseséconomiques, mais aussi les effets des ouragans annuels. Notre présencedans la région depuis 1889, notre rôled’employeur mondial de prédilection, nos valeurs fondamentales et la marque de la Banque Scotia définissent ce que nous sommes et ce que nous avons : Uneéquipe... un même objectif.»

Cet enthousiasme a été mis à rudeépreuve par la crise économique et lesdifficultés financières de nombreuxclients de la Banque Scotia, qui ontaggravé la proportion de comptes de prêten souffrance. Pour y faire face, la régiona mis sur pied, à la fin de 2008, unprogramme d’aide à la clientèle : dans lesdivers pays de la région, le personnel estallé au-devant des attentes des clients en les invitant à nous confier leursproblèmes financiers et, au besoin, à restructurer leurs emprunts ou à retarder des versements.

«Nous avons clairement montré quela Banque Scotia sait être compréhensiveet qu’elle est prête à aider ses clientsquand les temps sont difficiles», souligneCecil Arnold, directeur général adjoint,Antilles. Il ajoute que ces programmesd’aide à la clientèle ont surpris le publicet nos concurrents, comme l’a fait aussi notre campagne publicitaireexpliquant que la Banque Scotia a étél’une des 10 banques les plusperformantes du monde au cours decette crise du crédit.

À Scotiabank Jamaica, Wayne Powell,vice-président à la direction, Réseau desuccursales, affirme également que cettecampagne de publicité a rehaussé laréputation de la Banque et, grâce aussi autravail acharné des employés, suscité uneaugmentation des dépôts. «Nos caissierset nos équipes des centres de contact fontd’excellentes recommandations de ventepour d’autres services et notre équipe devente applique avec succès le programmed’aide à la clientèle auprès des particulierset des petites entreprises. Nous avonsaussi aidé les membres de notre clientèlecommerciale et des grandes entreprises,surtout dans le secteur de l’hôtellerie, àréaménager leurs emprunts au coursd’une période difficile.»

La créativité s’avère productive en dépit de l’économie «Dans cet environnement économiqueexplosif, il faut faire preuve de créativitépour soutenir la croissance et la santé denos portefeuilles de dépôts et de prêts»,insiste Cecil Arnold, qui souligne que laBanque a affiché des résultats de qualitédans plusieurs pays grâce à descampagnes de publipostage sur lesemprunts et les cartes de crédit, etauprès des petites entreprises.

À Scotiabank Turks & Caicos,l’équipe a même amélioré sa part dumarché de détail, ainsi que son volumede prêts et son chiffre d’affaires; dans les six derniers mois, elle a recruté 1 600 nouveaux clients.

Doug Cochrane, directeur général,Turks & Caicos, explique que le personnel

À l’occasion de la Journéeinternationale de la femme de2009, la Banque a fait un donen argent à la Belize CancerSociety pour la lutte contrele cancer du sein.

BEL IZE

Ouverture d’un centre de vente au détail de la Banque Scotia, un nouvelétablissement libre-service pour lesopérations autres qu’en argent liquide,et pour la fourniture de conseils, avecun GAB service complet.

BAHAMAS

En 2009, la Banque Scotia a acquis uneparticipation majoritaire dans FiveContinents Financial Ltd. (FCFL), uneimportante société mondiale degestion d’actifs.

ÎLES CAÏMANS

Monde Scotia Octobre 20094

Portrait

La région des Antilles anglaises et de l’Amérique centrale fait appel àla créativité pour renforcer les atouts dont elle dispose déjà et

Pays

20

Employés

6 735

Succursaleset bureaux

225

GAB

594

a apporté un soin tout particulier auservice à la clientèle, avec des appelstéléphoniques pour prendre des rendez-vous… une approche efficace dans toutesles conjonctures. Il ajoute que l’équipe alancé de nouveaux produits, ouvert uneunité de gestion de patrimoine et établi des liens avec des promoteursimmobiliers de la région pour attirer les acheteurs d’une première maison.

«Les moments difficiles apportentaussi de belles occasions; pour les saisir, il faut prendre plus d’initiatives, tout engardant une approche prudente», déclare Kevin Teslyk, directeur général,Antilles de l’Est, à la fin de la réunionquotidienne qu’il tient avec son équipe de la Barbade pour stimuler sonenthousiasme au cours de la récession.

M. Teslyk explique que son équipe aresserré ses liens avec des clients endifficulté financière et recruté denouveaux clients parmi les entreprises, ycompris plusieurs conglomérats régionaux.«Nous lançons aussi des services àl’intention des petites entreprises malgréles difficultés de la conjoncture. Enprodiguant des conseils aux entreprises eten les aidant à clarifier leurs plans pourrésister à la tourmente, nous pouvonsconquérir la fidélité de futurs clients.»

Pour sa part, Amanda St. Aubyn,directrice nationale de Scotiabank Guyana,soutient que l’attitude positive de sonéquipe, toujours prête à essayer dunouveau, aide son unité à traverser lapériode de marasme. «La demande deprêts a récemment baissé, ainsi que levolume des remises de fonds provenantde l’étranger, mais nos employésappliquent avec plus d’enthousiasmeque jamais les techniques de vente etde service. Nous avons réalisé desvolumes de prêts hypothécairesimportants dans le cadre deprogrammes gouvernementaux depromotion de l’achat de maisons.» La directrice, qui compte 25 ansd’ancienneté à la Banque Scotia, ajouteque les efforts de marketing adaptés à lapopulation locale, lancés en 2008 poursouligner le quarantième anniversaire del’implantation de la Banque au Guyana,ainsi que la campagne des 10 principalesbanques actuellement en cours, ontamélioré le profil de la Banque Scotia.

Au-delà de la crise À l’évidence, le personnel de la BanqueScotia est mieux préparé que jamais pouraider les clients en difficulté; mais qu’est-ce qui attend la Banque après l’orage?Pat Minicucci souligne l’importance de lastratégie des centres de contact, avec deséquipes en Jamaïque et à Trinité-et-Tobago qui assurent un soutien à la venteet au service ainsi que des servicespartagés à l’échelle de la région, et celledes efforts visant à resserrer les liensavec les clients existants. La régionlancera aussi, en 2010, sa stratégieScotiabank Be pour les jeunes, unecampagne de promotion de comptes àintérêts élevés et d’offres en ligne pourles clients de la génération montante.

«Il est important de prendre desinitiatives et d’éviter les solutions passe-partout, conclut Mme St. Aubyn. Mais le plusimportant est d’utiliser nos atouts les pluspuissants : des prêts de qualité, une bonneexécution et l’excellence du service à laclientèle, pour sortir indemnes de latempête et maintenir le meilleur cap.» w

Octobre 2009 Monde Scotia 5

Actualités Scotia

Lancement, en juin 2009, deservices à la petite entreprise,lancés récemment aussi à laBarbade, à Saint-Martin, àSainte-Lucie et à la Grenade.

DOMINIQUE Mobilisation réussie de33 000 $ US avec unradiothon pour la luttecontre le SIDA.

SAINT-MARTIN

Mise en oeuvre, à New Kingston, d’unprojet d’expansion quinquennal de 4,7millions de dollars jamaïcains duCentre de contact clientèle. L’effectifpassera de 165 à 250 personnes.

JAMAÏQUE

Ouverture, à Trincity Mall,d’une nouvelle succursaleouverte du lundi ausamedi, avec deux GAB.

TRINITÉ-ET-TOBAGO

La région canadienne de l’Atlantique jouit d’une réputation mondiale pour l’excellence de ses fruitsde mer, ses œuvres littéraires primées et la beauté touristique de son littoral. Mais les employés dela Banque lui connaissent aussi une autre particularité : cette région a été le berceau de la BanqueScotia.

C’est en effet à Halifax, en Nouvelle-Écosse, que La Banque de Nouvelle-Écosse (ou BanqueScotia) a été fondée en 1832 pour contribuer au financement des importants échangescommerciaux entre la Grande-Bretagne, l’Amérique du Nord et les Indes occidentales. Depuis lors,la Banque Scotia a toujours été la banque de choix pour les entreprises et les particuliers, ainsiqu’aux yeux des collectivités de la région.

La profondeur de ses racines assure à la Banque des parts de marché incontournables dans larégion : 33 % de toutes les succursales bancaires du Canada atlantique, et 38 % de ses clients.

Selon Peter Bessey, premier vice-président, Services aux particuliers et aux petitesentreprises, c’est à l’étroite collaboration entre ses différentes unités que la Banque doit son succèsremarquable dans cette région.

Par l’entremise de ses Conseils de partenariat de district et régionaux, l’équipe de l’Atlantiquea établi des liens solides et des communications efficaces qui lui permettent de maximiser, à tousles niveaux, les possibilités de recrutement de clients pour toute la gamme des services bancaires.Par exemple, un préposé aux services aux entreprises n’hésite jamais à demander à un client s’il aaussi besoin de services à titre personnel; et un employé en succursale garde toujours l’oeil etl’oreille ouverts pour déceler des possibilités de recommandation aux services de gestion depatrimoine.

«Tous les membres de notre équipe collaborent efficacement, explique M. Bessey. Nosconcurrents nous donnent l’impression de ne pas exploiter aussi bien les occasions qui s’offrentdans leurs réseaux.»

La région de l’Atlantique s’étend sur quatre provinces et compte 2,3 millions d’habitants, dont laplupart sont les descendants d’immigrants venus d’Angleterre, d’Écosse, d’Irlande et de France.

La population de la région n’a pas une variété ethnique aussi grande que les autres régions duCanada mais son économie est un modèle de diversification.

«Ici, aucun secteur ne domine l’économie ni la demande pour nos services, explique CraigThompson, vice-président de secteur, Services aux entreprises – Atlantique. C’est grâce à cela quela récession ne nous a pas beaucoup touchés.»

Le revers de la médaille de cette diversité dans une région relativement petite, c’est que les employés de la Banque doivent maîtriser les modalités d’une grande variété deservices. «Nous n’avons guère de place pour des spécialistes, commente M. Thompson. Nousdevons tous être généralistes.»

Pour ce qui est de Scotia Capitaux, la part de marché détenue est proche de 100 % pour la clientèledes grandes entreprises.

«Tout repose sur les relations personnelles, confie Randy Hartlen,directeur général, Grandes entreprises – Atlantique. Beaucoup de nosclients utilisent de nombreux services de la Banque; leur lien avecnous est tissé très serré.»

Avec sa part de marché quasi exclusive, Scotia Capitauxs’efforce de protéger sa clientèle plutôt que de l’agrandir.«Comme dans toute relation, il est important de veiller à ceque les activités se renouvellent», explique M. Hartlen.

Cette région célèbre pour ses homards et ses pommes de terre, ainsi que pour Anne… la maison aux pignons

verts, fait montre d’un calme assuré et d’une remarquable résistance aux assauts de la récession mondiale.

Monde Scotia Octobre 20096

Portrait

Région de l’Atlantique :

ni essor, ni récession

Octobre 2009 Monde Scotia 7

Actualités Scotia

Pour les rafraîchir, la Banque s’attache à rester présente dansles domaines que ses clients ont le plus à coeur. Elle renforce ainsisa réputation en offrant des bourses, des subventions auxfondations, les programmes de dons paritaires de l’Équipe Scotiaet des dons directs, mais surtout aussi grâce aux généreux effortsbénévoles de ses employés au service des communautés.

«Les employés de la Banque participent activement à la viedes collectivités, explique M. Bessey. Nous nous connaissons touset nous participons ensemble à l’enrichissement de la vie deslocalités qui nous accueillent.»

Dans une économie en quête continue d’un nouvel équilibre,il est bien naturel d’adopter des points de vue à long terme.

Dans toutes les provinces de l’Atlantique, les exportationsjouent un rôle important dans l’économie, surtout en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick. La majeure partie desexportations, y compris pour l’énergie, les produits de la forêt, lesproduits agricoles et les biens de consommation, part vers lesÉtats-Unis. Le marasme persistant dans ce pays a réduit levolume des exportations des deux provinces insulaires mais leuréconomie est, par contre, stimulée par d’importants projets deconstruction et d’infrastructure.

Selon Études économiques Scotia, la croissance a parailleurs été «torride» dans la province de Terre-Neuve-et-Labrador depuis deux ans grâce au dynamisme de ses secteursde l’énergie et des mines. La croissance ralentira sensiblementcette année mais les ventes au détail restent élevées, ce quitémoigne du ressort et de l’esprit d’entreprise de la population.

L’Île-du-Prince-Édouard, dont les terres rouges et lademeure légendaire d’Anne… la maison aux pignons vertsprésentent un attrait irrésistible pour les visiteurs, a constaté unebaisse du tourisme en provenance des États-Unis, mais ce creuxa été compensé par une augmentation correspondante desvisiteurs d’autres pays. Son secteur agricole est resté assez stableet les perspectives de production d’électricité éolienne de laprovince sont exceptionnellement favorables.

Dans une région si largement diversifiée, si stable, calme etéquilibrée, et où la Banque détient déjà une part dominante dumarché, quel défi peut-elle encore avoir à relever?

«Le principal est celui de la planification des successions»,explique M. Bessey.

MM. Hartlen et Thompson le confirment. «Le vieillissement dela population et la faiblesse de l’immigration posent un défi pour lesentreprises clientes, et pour nous aussi», ajoute M. Thompson.

L’équipe de direction se réunit régulièrement pour discuterdes perspectives offertes aux employés et elle désigne desmentors chargés d’assurer l’accompagnement et de suivre ledéveloppement et la formation des chefs de l’avenir. Elleparticipe activement aussi aux campagnes de recrutement dansles nombreuses universités de classe mondiale de la région.

«Nous avons beaucoup à offrir aux jeunes, expliqueM. Thompson. Les universités attirent de nombreux étudiantsétrangers dont beaucoup aimeraient rester au Canada ettravailler pour la Banque Scotia.»

L’équipe considère que la mobilité, la souplesse et un intérêtpour la vie des collectivités comptent parmi les principales qualitésqu’elle désire trouver chez ses nouvelles recrues. «Pour lescandidats appropriés, disposés à accepter des mutations versd’autres localités, la région offre des perspectives intéressantesd’accès rapide à des échelons élevés de la hiérarchie», souligne M.Bessey.

Connaissant les avantages naturels de cette très belle régiondu monde, l’accueil chaleureux de sa population et la placedominante occupée par la Banque Scotia sur ce marché, l’on nes’étonnera pas d’entendre M. Hartlen affirmer que «l’Atlantiqueest vraiment une région de prédilection pour travailler au servicede la Banque Scotia!» w

Provinces

4

Langues

2Population

2,3 millions d’habitants

Employés

3 427

Tous les membresde notre équipe

collaborent efficacement... nos concurrents

nous donnent l’impression de ne pas exploiter

aussi bien les occasions qui s’offrentdans leurs réseaux.

«

»– Peter Bessey, premier vice-président, Services aux particuliers et aux petites entreprises

«Avant la chute de l’économie, les marchés européens avaienttrop de banques et la concurrence était féroce, affirme RodReynolds, chef de la direction de Scotiabank Europe. Mais laBanque Scotia a fait preuve de patience et de clairvoyance et elleen recueille aujourd’hui les fruits, car les sociétés européennesse cherchent de nouveaux partenaires bancaires pourpromouvoir leurs intérêts mondiaux.»

Cristian Mandachescu, vice-président, Stratégie et gestiondes activités –Transactions bancaires mondiales (TBM), arécemment fait une tournée en Europe pour recueillir desdonnées sur des possibilités d’affaires concordant avec lastratégie de corridor commercial favorisée par son unité.

Au cours de ses déplacements, M. Mandachescu a constatéque les banques européennes éprouvent actuellement plus dedifficultés que les banques canadiennes ou américaines.«Beaucoup réduisent leur pénétration internationale poursurmonter ces obstacles et parce que les gouvernementsexercent des pressions pour qu’elles concentrent leurs énergieset leurs capitaux sur leurs marchés intérieurs. Beaucoup debanques européennes accueillent donc avec intérêt notreproposition de les aider à fournir à leurs clients les services dontils ont besoin dans les quelque 50 pays où la Banque Scotia estimplantée.»

Comme la division TBM a des bureaux de représentation enRussie et en Turquie, et envisage d’ajouter une présence àLondres pour le marché du financement des échanges afin depouvoir servir la clientèle européenne dans ses propres fuseauxhoraires, M. Mandachescu a été très bien reçu.

«J’ai partout rencontré des interlocuteurs parfaitementrenseignés sur la performance exceptionnelle du systèmebancaire canadien pendant la crise, ainsi que sur la soliditéfinancière et commerciale de la Banque Scotia, ajoute-t-il.Comme nous avons des collaborateurs dans toutes les régions dumonde, les solutions que nous pouvons proposer transcendentles barrières géographiques et commerciales et sont valorisantespour nos clients. Les équipes de la Banque Scotia peuvent êtrefières : elles sont perçues comme faisant partie du groupe sélectdes banques disposant de moyens véritablement mondiaux.»

Scotia Capitaux, qui a des établissements au Royaume-Uniet en Irlande, a aussi constaté que la crise financière lui aapporté un positionnement stratégique favorisant unepénétration accrue de la clientèle européenne et le renforcementde son empreinte dans la région.

«Dans le contexte du recul de nombreuses banqueseuropéennes, la solidité de notre bilan a fourni à Scotia Capitauxde nombreuses occasions intéressantes en Europe. Notrepénétration des marchés augmente aussi dans d’autresdomaines, notamment dans celui du financement des émissionsinternationales d’actions et d’obligations», explique Steven Lowe,directeur général et chef de ScotiaMocatta London, qui est aussichargé de coordonner les activités touchant les marchés descapitaux au bureau de Londres.

«Nous avons l’intention de renforcer nos capacitésd’intervention dans les domaines clés du pétrole et du gaz et del’exploitation minière», ajoute M. Reynolds qui, comme sescollègues de la division TBM, constate que Scotia Capitaux doiten bonne partie son succès en Europe à l’étendue du réseauinternational de la Banque.

«L’un de nos principaux avantages sur les autres estl’étendue de notre réseau mondial. Nous collaborons chaque jouravec nos collègues de toute la planète et pouvons offrir partoutaux sociétés européennes actives à l’étranger les services surplace dont elles ont besoin», explique-t-il. Ces servicescomprennent ceux de l’équipe des Opérations bancairesinternationales de gros (OBIG) de Toronto, dont les membrestravaillent en alternance pour assurerl’ouverture des bureaux aux heuresouvrables à Londres.

Nihal Olenik, directeur régionalet représentant en chef au bureaude la division TBM à Istanbul, enTurquie, confirme aussi que laréputation mondiale de laBanque Scotia et son vasteréseau facilitent ledéveloppement des

Monde Scotia Octobre 20098

Portrait

Ses racines, son dynamisme et son réseau mondial favorisent la

croissance de la Banque Scotia en Europe

Peu de régions du monde autres que l’Europe ont été aussi gravement touchées par le ralentissement des grandes économies mondiales

et par la pire, peut-être, des crises financières depuis 1929. Mais malgré ces difficultés, forte de son rayonnement mondial et de ses

assises au Canada, la Banque Scotia a bénéficié d’un positionnement assez ferme pour étendre ses activités en Europe sans porter

atteinte à la solidité de sa gestion des risques.

Octobre 2009 Monde Scotia 9

Actualités Scotia

affaires dans cette région. Depuis son ouverture, en 2008, lebureau de représentation de Turquie a largement dépassé lesvolumes d’affaires qui avaient été prévus.

«Le fait d’être la seule banque canadienne en Turquie nousconfère un avantage sur la concurrence pour recruter denouveaux clients, ajoute M. Olenik. Il y a maintenant environ 15 ans que nous sommes ici; les clients savent que nous sommestrès forts dans le crédit et ils sont renseignés sur la solidité denos résultats et sur la performance exceptionnelle du systèmebancaire canadien.»

M. Reynolds confie toutefois que, même avec des bureauxstratégiquement situés, il n’est pas toujours facile d’assurer unecouverture suffisante pour des marchés aussi divers que ceux del’Europe. «Nous couvrons, en Europe de l’Ouest et de l’Est, 28 pays et 18 langues différentes, explique-t-il. Heureusement,nous disposons d’un personnel de grande expérience etparticulièrement doué, recruté dans toute la région, pourcommuniquer avec les clients et comprendre des documentsrédigés dans des langues très diverses.»

Qu’est-ce que cette présence européenne apporte à laBanque Scotia?La Banque Scotia est installée en Europe depuis 1920 et la présencede ses équipes sur le terrain est, pour elle, un atout majeur.

«La présence de notre équipe nous permet de mieux gérernos risques et de choisir judicieusement les affaires que nousacceptons, car nous sommes bien informés de la situation danschaque pays», explique M. Mandachescu.

M. Reynolds est entièrement d’accord : «Les établissements deLondres de Scotia Capitaux travaillent avec les bureaux de TBMen Turquie et en Russie, qui peuvent ainsi proposer à leursclients des services et du crédit pour financer leurs opérations.La présence d’agents à Istanbul et à Moscou permet à la Banquede se tenir continuellement au courant de la conjoncture localesur les marchés de l’Europe de l’Est.»

La perspicacité et l’esprit de collaboration des agents de laBanque Scotia en Europe montrent que, même à travers destemps difficiles, les efforts d’une équipe unie oeuvrant à un butcommun apportent le succès. w

Scotia Capitaux comprendà Londres, depuis lesannées 1950, un Groupemaritime mondial quipropose du financement etd’autres services au secteurdu transport maritime. Sonportefeuille de financementcompte actuellement plusde 300 navires pétroliers,vraquiers et porte-conteneurs.

Nihal Olenik, directeur régionalet représentant en chef aubureau de la division TBM àIstanbul, en Turquie

«– Cristian Mandachescu, vice-président, Stratégie et gestion des activités – Transactions bancaires mondiales

Comme nous avons des collaborateurs dans toutes les régions

du monde, les solutions que nous pouvons proposer transcendentles barrières géographiques et commerciales et

sont valorisantes pour nos clients.»

Lesaviez-

vous?

À l’approche de la saison de la grippe dansl’hémisphère nord, et étant donné larésurgence possible du virus H1N1, laBanque Scotia multiplie ses efforts pourrenseigner les employés sur ce qu’ilspeuvent faire pour réduire les risques decontact avec le virus et sur ce qu’ilsdoivent faire s’ils tombent malades.

Au cours de la prochaine saisongrippale dans l’hémisphère nord, ons’attend à être en présence du virus grippalhabituel A et B, ainsi que de la souchegrippale H1N1.

Selon des sources médicales, lespremiers symptômes identifiables de la grippe et du virus H1N1 sont :

• Forte fièvre;• Congestion ou écoulement nasal;• Toux;• Mal de gorge;• Douleurs musculaires et mal de tête;

• Frissons;• Fatigue anormale (ou même extrême); et

• Nausées, maux de ventre et troubles digestifs.

La protection et la prévention sontl’affaire de tousMême si la Banque prend des mesurespour réduire les risques d’exposition à lagrippe saisonnière et au virus H1N1, ilrevient à chaque personne de faire de sonmieux pour se protéger.

Voici quelques trucs pour vous aider :

• Lavez-vous les mains souvent et utilisezdes gels antiseptiques ou des serviettesnettoyantes à base d’alcool;

• Évitez de vous toucher les yeux, le nezet la bouche, car c’est par là que lesmicrobes pénètrent habituellementdans l’organisme;

• Si vous devez éternuer ou tousser, cou-vrez-vous la bouche et le nez en util-isant un mouchoir ou votre mancheplutôt que la main;

• Si vous êtes malade, par exemple sivous toussez et éternuez beaucoup ouque vous avez une fièvre, restez à lamaison; et

• Consultez votre médecin si vous avezles symptômes suivants : forte fièvre,douleurs musculaires intenses et mauxde tête, yeux rouges ou toux sèche.

La première chose à faire pourrenforcer votre système immunitaire contrel’infection consiste à adopter de saineshabitudes de vie. Pour améliorer votrerésistance à la grippe, les professio nnels dela santé recommandent de bien manger, dedormir suffisamment, de boire beaucoup deliquides et de réduire le stress.

Ensemble pour la santéLa Banque Scotia, avec l’aide de sonconseiller médical en chef, continuera desuivre les communiqués de l’Organisationmondiale de la santé (OMS) et de SantéCanada sur la grippe saisonnière et le virusH1N1, et de transmettre aux employéstout nouveau renseignement. w

Savoir c’est pouvoirlorsque vient le temps de se protéger contre la grippe saisonnière

ExpérienceScotia

Mythes et réalités

Beaucoup de renseignements circulent ausujet de la grippe et il peut parfois être diffi-cile de faire la part des choses. Vous trou-verez ci-dessous des mythes courants ausujet de la grippe saisonnière :

Mythe no 1 – Le port d’un masqueme protégera contre la grippe.En réalité, la plupart des masques que l’onretrouve sur le marché ne vous empêcherontpas de contracter le virus de la grippe. Lespersonnes qui décident de porter un masquepeuvent en réalité augmenter les risques detomber malade en portant leurs mains à leurvisage pour ajuster le masque.

Mythe no 2 – Si j’attrape la grippe,je ne peux pas l’attraper de nouveauau cours de la même saison.Dans les faits, pendant la saison grippale, ilexiste habituellement deux types de virus : letype A et le type B. Si vous êtes infecté parun type de virus, vous n’êtes pas pour autantimmunisé contre l’autre. Le meilleur conseilconsiste à adopter des mesures préventivespendant toute la saison de la grippe.

Mythe no 3 - Le temps froidcause la grippe.En fait, bien que le temps froid ne cause pasdirectement la grippe, il incite les gens à resterou à se rassembler à l’intérieur. Ainsi, un plusgrand nombre de personnes peuvent entreren contact avec une personne infectée. Égale-ment, même si c’est l’hiver dans l’hémisphèrenord, les voyages d’affaires et d’agrémentpeuvent en tout temps propager le virus d’unpays à l’autre.

Ce numéro du Magazine MondeScotia inclut un feuillet à détachersur les mesures de prévention contrela grippe que vous pouvez afficherdans les aires communes.

Pour en savoir plus sur la grippesaisonnière ou sur le virus H1N1,consultez le site de l’Organisationmondiale de la Santé (OMS) auhttp://www.who.int/fr/index.html ou le site de Santé Canada au http://www.hc-sc.gc.ca.

Monde Scotia Octobre 200910

Préparez-vous pour la saison de lagrippe en adoptant de bonneshabitudes de vie, notamment desheures de sommeil suffisantes,une alimentation saine et del’exercice.

S'assurer de dormir au moins 8 heures parnuit. Un sommeil de qualité est essentiel àune bonne santé et au bien-être.

Boire 8 à 10 verres de liquides par jour afinde rester hydraté.

Demeurer physiquement actif afin deconserver un organisme robuste, de réduire lestress et d’améliorer votre énergie.

Manger des aliments nutritifs, variés et provenantde tous les groupes alimentaires.

Ne vous laissez pas attraperpar la grippe!

Pour en savoir plus sur la grippe saisonnière ou sur le virus H1N1, consultez le site de l’Organisation mondiale de la santé : http://www.who.int/fr ou le site de SantéCanada à http://www.hc-sc.gc.ca.

MD Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse. Groupe Banque Scotiadésigne La Banque de Nouvelle-Écosse et ses filiales au Canada et à l’étranger.

des employés ont faitconnaître leur opinion

en répondant ausondage annuel Pointde vue – une hausse de

9 % par rapport àl’année dernière.

Octobre 2009 Monde Scotia 13

ScotiaExperiencePoint de vue

Mettre en oeuvre votreplan d’action

Cette année, 91 % des employés ont fait connaître leur opinion enrépondant au sondage annuel Point de vue – une hausse de 9 %par rapport à l’année dernière. Cette augmentation indique que lesemployés jugent important d’exprimer leur opinion dans le cadredu sondage Point de vue.

Bien que le sondage permette avant tout de mesurer lasatisfaction des employés, il fournit également aux membres dupersonnel l’occasion d’indiquer ce qui est important à leurs yeuxdans leur milieu de travail. Le sondage Point de vue permet auxgestionnaires d’ouvrir les voies de communication afin dediscuter avec les membres de l’équipe des points forts, despoints faibles et des mesures à prendre. Chaque employé de laBanque Scotia a un rôle à jouer pour créer et maintenir un milieude travail positif, et concrétiser le slogan de la Banque Scotia«Une équipe… un même objectif».

Les gestionnaires devraient maintenant avoir passé en revueles résultats du sondage Point de vue avec les membres de leuréquipe et avoir mis au point des plans d’action. Que les équipesaient choisi de continuer d’améliorer les points forts ou de seconcentrer sur les points faibles, pour assurer le succès d’un pland’action, il faut maintenir le rythme tout au long de l’année et revoirle plan souvent. Le Planificateur Point de vue est un outil conçupour aider les gestionnaires à mener à bien les activités clés tout aulong de l’année.

Aider les cadres à faire le suivi du changementCette année, le Planificateur Point de vue offre une nouvellefonction à l’intention des cadres* comptant des gestionnairesparmi leurs subordonnés directs. La fonction Responsabilitépermet aux cadres de suivre en ligne l’évolution des plansd’action pour toutes les équipes relevant d’eux, de veiller à ce queles plans d’action soient pertinents, sur la bonne voie et exécutésdans des délais raisonnables. Elle permet aux cadres de :

• revoir les composantes du plan d’action de chaquegestionnaire;

• télécharger les plans de leurs gestionnaires pour endiscuter au cours de réunions et pour faire le point; et

• d’envoyer des rappels générés par le système oupersonnalisés au sujet de l’état des plans d’action.

Le sondage Point de vue est un outil essentiel pourconsolider les relations entre la Banque Scotia et ses employés.En travaillant ensemble tout au long de l’année pour améliorer lasatisfaction des employés, nous continuons de faire de la BanqueScotia un endroit de travail formidable. w

* Les gestionnaires qui n’ont pas de subordonnés directs ou dont les subordonnés

directs ne reçoivent pas le rapport Point de vue n’auront pas accès à la fonction

Responsabilité.

ExpérienceScotia

Monde Scotia Octobre 200914

MMS : Comment en êtes-vous venue à travailler à la BanqueScotia?GR : Je suis entrée à la Banque au début des années 1990 dans le cadredu programme de perfectionnement des employés du crédit commercialaprès avoir terminé mon MBA. J’ai choisi la Banque Scotia parce que j’aiété impressionnée par les gens que j’ai rencontrés et que j’avais l’occasionde travailler dans le secteur des entreprises.

MMS : Comment avez-vous fait vos choix professionnels? Aviez-vousun plan ou vous êtes-vous laissé guider par les circonstances?

GR : Je n’ai jamais été du genre à faire des plans mais j’aimerais bien êtredécrite comme telle! J’ai plutôt tendance à suivre le courant en medisant que la vie arrangera les choses. Je ne suis pas certaine que cetteattitude soit viable et je crois qu’il vaut mieux avoir un plan à plus longterme et des objectifs.

MMS : Quel a été votre choix professionnel le plus important?

GR : Il n’y a pas une décision en particulier qui ressort, mais certainsfacteurs ont joué un rôle déterminant dans mes choix professionnels,notamment garder un esprit ouvert pour envisager de nouvelles choses,être souple et de ne pas avoir peur de prendre des risques. J’ai saisi desoccasions dans des domaines qui étaient entièrement nouveaux et pourlesquels mes connaissances étaient limitées. Il existe tellement depossibilités à la Banque et je crois que si l’on peut cumuler del’expérience dans différents domaines, cela aide à consolider son réseau,à élargir ses horizons et assurément à maintenir l’enthousiasme!

MMS : Quel est l’aspect le plus stimulant de votre poste actuel?GR : Il y a deux choses qui font que j’aime mon travail – la première estla gestion de personnes. Je consacre beaucoup de temps auperfectionnement des membres de mon équipe – je fournis del’encadrement, de la rétroaction et je les aide à s’améliorer. J’ai travailléétroitement au perfectionnement de tous mes subordonnés directs et, aucours des dernières années, bon nombre d’entre eux ont relevé denouveaux défis au sein de l’organisation. Je trouve qu’il est très gratifiantde voir les gens réussir, se démarquer par leur contribution et prendreleur destin en main.

Dans cette entrevue, Gillian Riley, première vice-présidente, Dépôts

et services, Clientèle privée, Canada, nous fait part de ses réflexions

sur l’avancement professionnel et la voie du succès.

Entretienavec

Gillian

Gillian Riley

Première vice-présidente, Dépôts et

services, Clientèle privée

Riley

Mon principe directeur consiste de l’organisation, des relations

l’honnêteté et la

«Succès en tête

À titre de première vice-présidente, Dépôts et services, Clientèle privée Gillian Riley, gère les activités de dépôt de la Banque pour la clientèle privée et les petites entreprises, les

placements en CPG, les paiements de particuliers au Canada et les dépôts auprès de la Banque Dundee du Canada. Elle compte plus de 18 ans d’expérience dans le secteur et est

titulaire d’une maîtrise en administration des affaires et d’un baccalauréat en économie et en sciences politiques. Mme Riley s’investit activement dans la collectivité, notamment à titre de

membre du conseil et du bureau de la fondation de l’hôpital Women’s College.

Octobre 2009 Monde Scotia 15

ScotiaExperience

La deuxième chose qui m’inspire est cette capacité de peservraiment sur le cours de choses, que ce soit pour les actionnairesou pour les clients. Je suis une personne qui aime l’action et jepense que l’on pourrait me décrire comme un agent dechangement. Mon rôle actuel s’est élargi au cours des deuxdernières années et j’ai souvent l’occasion d’amener lechangement et d’encourager l’innovation.

MMS : Avez-vous eu un mentor ou encadrez-vous d’autrespersonnes?GR : J’ai eu de nombreux mentors informels. Au cours des années,j’ai travaillé avec d’excellents patrons et bon nombre d’entre euxsont demeurés mes mentors. Cela m’a certainement aidée dans macarrière de connaître des gens qui pouvaient m’écouter et medonner leurs commentaires et opinions.

Je suis également le mentor de plusieurs personnes à laBanque dans le cadre de programmes officiels et d’échangesinformels. J’aime beaucoup ce genre de relations et je pense queles mentorés apprécient ma franchise et mon approcherespectueuse.

MMS : Quelle est votre philosophie en matière deleadership?GR : Je crois fermement à l’obtention d’un consensus. Je pensequ’il est important d’obtenir le plus de commentaires pertinentspossible avant de passer à l’action. L’un de mes principesdirecteurs en matière de leadership consiste à veiller à ce quetoutes les personnes concernées participent à la décision. Jem’assure ainsi de couvrir tous les aspects. Le secret consiste àécouter les commentaires et à être prêt à les incorporer auprocessus décisionnel.

Mon deuxième principe directeur consiste à établir, à tousles échelons de l’organisation, des relations qui sont fondées surle respect, l’honnêteté et la confiance. Mes relations sonttoujours basées sur ces principes. Je pense qu’il est important derespecter les autres en traitant tout le monde de la même façonet en gagnant leur confiance. Je suis extrêmement transparenteet honnête avec les gens. Ce principe directeur m’a parfois aidéeà savoir ce qui se passe vraiment et à prendre les bonnesdécisions parce que je disposais des bons renseignements.

MMS : Quelles sont les leçons importantes que vous avezapprises au cours de votre cheminement professionnel?GR : Lorsque vous essayez de grimper l’échelle hiérarchique, vousêtes impatient d’apporter des changements et de faire avancer lesdossiers. Il est difficile de choisir ses batailles et de savoir quand ilvaut mieux se taire. Cela a été une grande leçon. Un patron m’adéjà dit, il faut savoir quand jouer ses cartes, quand abattre sonjeu et quand passer son tour. Ce fut un bon conseil.

J’ai également appris à prendre le temps nécessaire poursavoir comment exercer une influence stratégique. Il fautapprendre la façon d’obtenir l’adhésion de personnes qui nepensent pas de la même façon et comment travailler avecdifférents types de personne. J’ai un style énergique et passionnéqui peut parfois devenir envahissant, alors je continue d’apprendrecomment diriger, motiver et influencer en écoutant davantage.

MMS : Comment la Banque Scotia vous a-t-elle aidée àavancer?GR : J’ai été une des toutes premières personnes à participer auprogramme Avant-poste en 1997. Dans le cadre du programme,on m’a encouragée à quitter les Services aux entreprises pouroccuper des postes dans des secteurs entièrement nouveaux.J’ai commencé au Crédit aux particuliers, avant de travailler auxcentres d’appels des Services bancaires électroniques et j’aioccupé divers postes par la suite.

Dernièrement, la Banque m’a donné l’occasion de siéger àdes conseils d’administration externes ainsi qu’à des comités,notamment celui de l’Association Interac (réseau de paiementpour les cartes de débit au Canada) et de l’Association desbanquiers canadiens. La participation à ces organisationsexternes est enrichissante parce qu’elle permet d’échanger avecdes pairs de l’industrie, de prendre connaissance des enjeuxréglementaires et d’influencer des décisions stratégiques.

Je siège également à des comités internes, y compris aucomité de direction sur l’Avancement des femmes. Nous avonsmis sur pied un comité similaire à la Gestion de patrimoine pourl’Avancement des femmes et l’Avancement des personnes. Cesont là d’excellentes occasions de rencontrer des employésd’autres secteurs de la Banque Scotia et d’exercer son influencedans des domaines différents.

MMS : À votre avis, de quelle façon peut-on faire avancer sacarrière? Auriez-vous des conseils à donner?GR : Je pense qu’il faut être réaliste au sujet de sa carrière et deses objectifs. Il faut savoir ce que vous pouvez faire : savoir quelssont ses points forts et ses points faibles. Il faut bien seconnaître et ne pas avoir peur de prendre des risques lorsquel’on voit un poste qui pourrait nous convenir.

La banque est un endroit formidable; il y a près de 69 000personnes un peu partout dans le monde qui font des chosestrès différentes. Les possibilités sont pratiquement infinies et jesuggère toujours aux gens d’être à l’affût. w

Pour en savoir plus sur l’équilibre vie professionnelle et viepersonnelle de Gillian Riley, ses défis professionnels, sesobjectifs futurs et ce dont elle est le plus fière dans sa carrière,veuillez consulter le Magazine Monde Scotia en ligne.

à établir, à tous les échelons qui sont fondées sur le respect,

confiance.

«

ExpérienceScotia

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Mieux-être Scotia

Dans son numéro du mois d’août, le Magazine Monde Scotia

abordait les problèmes de santé qui touchent surtout les femmes.

Dans ce numéro, nous traiterons des aspects importants de la santé

des hommes.

Ce que tout homme doit savoir c’est que pour vivre longtemps et ensanté, l’important c’est d’adopter de bonnes habitudes de vie.

Les habitudes de vie peuvent faire toute la différence. Si l’onchoisit d’ignorer les faits, de rejeter les conseils du revers de lamain ou de refuser de voir les signes avant-coureurs, lesconséquences peuvent être désastreuses. Il est possible d’améliorerfacilement sa qualité de vie en adoptant une nouvelle approche enmatière d’exercice et d’alimentation, en réduisant sa tensionartérielle et son niveau de stress, et en ayant une attitude positive.

Pleins feux sur la santé des hommes :Réduire les risques – maximiser les récompenses – et vivre mieux!

J’essaie de courir quatre ou

cinq fois par semaine –

idéalement avant d’aller

travailler – je trouve que cela

augmente mon métabolisme et

me fournit l’énergie dont j’ai

besoin pour ma journée.

«

«

John M. MoraleDirecteur général et administrateur, chef de secteurGroupe des services financiers Scotia CapitalNew York, États-Unis

Pourquoi pas en rire

Saviez-vous que le rire peut bien être le meilleur remède?Selon plusieurs études, une bonne dose de rires chaquejour vous aide à relaxer, à renforcer votre systèmeimmunitaire et à améliorer votre capacité de lutter contrela maladie. Le rire libère des endorphines qui améliorentnaturellement votre bien-être et protègent votre coeur enaugmentant le débit sanguin et l’apport en oxygène.

Planification et prévention : les secrets pour une meilleure santéOn dit que les hommes ont tendance à attendre que les choses sebrisent pour intervenir et ne sont pas toujours enclins à prendre desmesures préventives. Cela explique peut-être pourquoi les études ontdémontré qu’un nombre moins élevé d’hommes que de femmesconsulte un médecin régulièrement ou subit un examen médicalannuel. Même si certains malaises sont inévitables, il ne faut pasattendre que les choses tournent mal avant d’agir – la prévention est lesecret d’une meilleure santé.

Tous les hommes devraient consulter un professionnel de la santérégulièrement pour faire le suivi de sa tension artérielle (afin dedétecter l’hypertension), faire mesurer son cholestérol (pour évaluer lerisque de trouble cardiaque), obtenir des conseils sur les tests dedépistage du cancer de la prostate et du cancer colorectal, et se fairevacciner, plus particulièrement ceux qui se rendent à l’étranger.

Octobre 2009 Monde Scotia 17

ScotiaExperience

Vous trouverez sur Internet de nombreux documents d’information y compris descalculateurs de risques médicaux, des tests pour vérifier vos connaissances, des recettessanté, des trucs pour perdre du poids, des liens à des groupes de soutien et d’autresrenseignements pour aider les hommes à apprendre comment vivre plus longtemps eten meilleure santé.

* source de données : www.mayoclinic.com

Les faitsQue peut-on aimer dans les «poignées d’amour»? D’un point de vuemédical, pas grand-chose. La graisse abdominale (ou obésitécentrale) s’entend de l’expansion de la partie médiane. Il s’agit d’untrouble courant, mais évitable, qui, avec l’âge, touche unpourcentage élevé d’hommes. De nos jours, on connaît davantageles risques que courent les hommes qui ont un surplus de poidsdans la région abdominale, plus particulièrement le risque élevé decrises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux En fait, leshommes (et les femmes) qui ont un fort tour de taille (plus de 40pouces pour les hommes et 35 pouces pour les femmes*) courentun risque de décès prématuré deux fois plus élevé que ceux ayantdes tours de taille plus petits.

Des études ont démontré que la graisse abdominaleexcédentaire est liée à plusieurs troubles, des migraines à un risqueaccru de troubles cardiaques, au diabète, à certains cancers et à ladémence liée à l’âge.

En vieillissant, les muscles se détériorent, plus particulièrements’ils ne sont pas sollicités activement, et cette perte musculaire peutralentir le métabolisme. Comme le corps brûle moins de calories,une prise de poids s’en suit.

Gérer votre santéLes experts médicaux conviennent que la bonne santé d’unepersonne dépend d’un meilleur accès à des services préventifs etd’une utilisation accrue de ceux-ci. Cependant, il est important dese rappeler qu’il revient à chaque personne de veiller à sa santé etque la façon la plus simple consiste à adopter une approcheraisonnable. Voici quelques conseils simples pour demeurer en santé: ne pas fumer et éviter la fumée secondaire; maintenir une massecorporelle et un poids sains; faire de l’exercice régulièrement;choisir un régime faible en gras animal et en sodium, et riche enfruits, en légumes, en grains entiers et en poissons; consommerl’alcool avec modération (pas plus de deux verres par jour pour leshommes); se brosser les dents et utiliser la soie dentairerégulièrement afin de réduire les maladies bucco-dentaires.S’investir dans la collectivité, participer à des activités sociales,rester actif et faire du bénévolat sont des façons de réduire le stress,les inquiétudes et de profiter davantage de la vie. w

ExpérienceScotia

J’aime faire une longuemarche dans le voisinage chaquesoir avec mes fils et mes chiens.Cette activité simple me permetde réduire le stress et de passerdu temps de qualité avec mesenfants; elle m’aide à me tenir ensanté tant sur le plan physiquequ’émotif.Luis Manuel PérezDirecteur de communications internesSanto Domingo, République dominicaine

«

««

«L’exercice a toujours joué un rôlecentral dans ma vie, mais après lanaissance de mon enfant, je me suisrendu compte que je devais adopter desaines habitudes alimentaireségalement. Je mange maintenant plusde poissons que de viande rouge – unpetit changement, mais je suis certainqu’il fera une différence à long terme.John Rodriguez Directeur principal, Ressources humaines, Opérations internationales, Toronto, Canada

Éviter le sel

Bien que les effets à long terme d’une consommationexcessive de sel (ou sodium) continuent de faire l’objetd’études et de débats, il est généralement convenu que lesniveaux de sodium peuvent avoir un effet sur la santé globale.Limiter l’apport en sel peut constituer tout un défi, puisqueplus de la moitié du sodium consommé chaque jour existedéjà dans les aliments que nous mangeons, notamment lesaliments transformés, comme les condiments, les platscuisinés et les céréales, mais également dans les aliments desources naturelles comme la viande et les produits laitiers.Pour éviter de consommer trop de sel, tenez-vous loin de lasalière et essayez de consommer davantage d’aliments frais età faible teneur en gras. Assaisonnez vos aliments avec desfines herbes et des épices. Si vous utilisez la salière, la plupartdes experts recommandent de limiter la consommation de selà une quantité se situant entre 1 500 et 2 300 milligrammespar jour pour les adultes en santé.

Important : Les idées et suggestions présentées dans cet article sont données à titreinformatif seulement. Elles ne visent pas à servir de conseils ou à remplacer l’avisd’un professionnel de la santé agréé. Votre santé pourrait exiger une surveillancemédicale. Il est recommandé de consulter votre médecin avant de suivre cessuggestions, particulièrement si vous pensez que vous avez un problème de santénécessitant un diagnostic ou une assistance médicale.

Consultez le Magazine Monde Scotia en ligne pour vousrenseigner sur les dix principales menaces à la santé deshommes et sur l’importance d’une bonne nuit de sommeil.

Engagement ScotiaDes collectivités dynamiques

Des employés de Toronto, en Ontario, ontconsacré du temps et des efforts et se

sont regroupés afin de soutenir Centraide. Le 18 juin dernier, 1 200 coureurs déguisés

en rat ont envahi les rues du quartier financierde Toronto lors de la neuvième course «RatRace» organisée annuellement par la BanqueScotia au profit de Centraide. Au total, lesparticipants ont recueilli plus de 420 000 $pour le fonds communautaire de United WayToronto. Les employés de la Banque Scotia dela région du Grand Toronto ont contribué àamasser plus de 95 000 $.

Des employés de la Banque Scotia ontégalement mis les mains à la terre dans le cadredu projet «Days of Caring» de Centraide, encollaboration avec FoodShare Toronto dans lebut de construire un nouveau jardin cultivé. Lesbénévoles enthousiastes ont aidé à creuser lesol, à construire la planche de jardin et à ymettre de la terre. Un groupe communautairelocal y a ensuite planté des plants de légumespour les enfants du programme parascolaire del’Association de revitalisation San Romanoway.

L’an dernier, la campagne organisée par laBanque Scotia au profit de Centraide, baptiséeScotia Hope, avait permis de recueillir 6,3 millions de dollars, y compris le doneffectué par la Banque. w

Des employés de la Banque Scotias’unissent au profit de Centraide

À Toronto, en Ontario, des employés de la Banque Scotia ont creusé et pelleté pourconstruire une planche de jardin au profit de Centraide dans le cadre du projet «Days of Caring».

Cette année, plus de 1 200 em-ployés de la Banque Scotia ont par-ticipé à la 9e édition annuelle del'épreuve Rat Race Banque Scotiaau profit de Centraide.

Monde Scotia Octobre 200918

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La sécurité

d’abord!

Collectivités

À Toronto, en Ontario, quelque 200employés de la Banque Scotia se sontréunis pour donner le coup d’envoi à un tournoi desoccer de bienfaisance organisé par le groupe desOpérations internationales. Les bénévoles enthousiastesont formé 12 équipes pour un tournoi d’une journéedans le but d’amasser des fonds pour venir en aide auxvictimes du tremblement de terre survenu à l’Aquila enItalie. Grâce aux frais d’inscription au tournoi payés parchaque participant, à la vente de produits et aux dons,un montant total de 2 000 $ a été amassé puis remis àla Société canadienne de la Croix-Rouge. w

Des employés de la Banque Scotia de Berbice, enGuyana, ont montré à quel point la sécurité était importante pour eux en collaborant avec le conseil ensécurité routière et le service du code de la route pouraméliorer la sécurité routière dans la collectivité. Lesemployés ont fait don de panneaux ARRÊT et de vestesà cinq écoles dans la région. Ils ont également donné 65heures de leur temps pour améliorer les allées piétonnesen peignant des passages piétons sur les routes. La campagne de sensibilisation à la sécurité a été lancéepour promouvoir la sécurité dans les rues pour les en-fants de Berbice dans le cadre du programme Avenirmeilleur de la Banque Scotia. w

S’amusertout en donnant

À Berbice, en Guyana, des em-ployés ont contribué à améliorer la sécurité routière ens’associant avec le conseil en sécurité routière et le service ducode de la route dans le cadred’une campagne de sensibilisationà la sécurité.

Visite amicale dans un centre

pour personnes âgéesÀ Markham, en Ontario, des employés du groupe Trans-actions bancaires mondiales ont rendu une visite amicaleaux aînés du centre pour personnes âgées de la Unionville Home Society. Ils ont aidé les employés du centre à préparer la vente-débarras annuelle en assemblant des bancs et en plaçant les fournitures et les articles à vendre. La Unionville Home Society est un organisme qui a pour but de donner des soins et des services de qualité aux personnes âgées. w

De g. à dr. : Kevin Levy, directeur général;Sharon Kuzma, directrice principale; GeorgeConstatinou, directeur principal; et LizDewan, directrice (employés de la BanqueScotia) ont joint l'utile à l'agréable au centrepour aînés de la Unionville Home Society deMarkham (Ontario).

Des employés de la Banque Scotia ont driblé etbotté le ballon avant de marquer des points aucours du tournoi de soccer de bienfaisance quiavait lieu à Toronto (Ontario) dans le but de veniren aide aux victimes du tremblement de terre survenu à l’Aquila en Italie.

Des employés de la Banque Scotia marchent pourcombattre la pauvretéPlus de 170 employés de la Banque Scotia, du Québec à la

Colombie-Britannique, ont mis leurs souliers de course pour

participer au plus grand événement annuel au Canada visant

à accroître la sensibilisation à la pauvreté et à amasser des

fonds pour la combattre. Cette année marquait le 25e

anniversaire de la Marche des Partenaires Mondiaux. Une

marche de 5 km a eu lieu à Edmonton, Kitchener, London,

Montréal, Toronto, Vancouver, Victoria, Ottawa et Calgary.

Cette année, les employés de la Banque Scotia ont amassé

plus de 200 000 $. w

De gauche à droite : Dimitra Stakos, Bal-winder Kaur, Habiba Rajan, Anna Geor-gakis, Pierre et Fabio Laniro de Montréalont contribué à sensibiliser les gens à lapauvreté dans le monde et à amasser desfonds pour la combattre.

Engagement Scotia

Monde Scotia Octobre 200920

Collectivités

Les employés de la Banque Scotia DanielBrown, stagiaire, Opérations internationales (àgauche) et Marcette Mcleggon, directrice généraleadjointe, Risque commerciale - Opérationsinternationales, donnent un coup de pinceau aumur d'une école primaire de Kingston, en Jamaïque.

Des employés de la Banque Scotia roulent pour une bonne cause

Des employés de la Banque Scotia de la côte Est du Canada ont collecté des fonds pour Rouler vers demain en participant au défi en fauteuil roulant de la Banque Scotia et à d’autres activités.

À Flower’s Cove, à Terre-Neuve, les employés de la Banque ont participé au défi en fauteuil roulant afin de recueillir des fonds pour permettre au service local d’incendie d’acheter de l’équipement pour transporter les victimes d’accident. Grâceaux dons des clients et à la contribution équivalente de la Banque, près de 2 000 $ ont été amassés.

À Halifax, en Nouvelle-Écosse, les employés de la Banque ont tenu une collecte defonds à l’extérieur de la succursale de Scotia Square Mall dans le but d’amasser des fonds pour Rouler vers demain. Ils ont également formé l’équipe «Scotia SquareOriental Express» pour participer au défi en fauteuil roulant et ont recueilli près de 900$. Du maïs soufflé a été vendu aux clients du mail afin de remettre des dons. Les employés ont fait leur part en fabriquant des affiches et des bannières afin de promouvoir l’événement. Ils ont également assuré une rotation des périodes de travailau kiosque à maïs soufflé.

Des employés de la Banque Scotia en Amérique centrale,en Amérique du Sud et dans les Antilles ont par-ticipé à la construction de maisons et à la rénovation d’écolesau sein des collectivités touchées par la crise.

Des employés de la Jamaica Scotiabank ont faitdu bénévolat dans 17 lieux partout au pays. Ils ont par-ticipé à des projets de construction de maisons et d’é-coles dans le but d’améliorer la qualité de vie desenfants défavorisés. Ils ont pris en charge sept importantsprojets nationaux dont la construction de deux maisonsaprès un sinistre survenu dans la collectivité, en plus de rénover huit écoles primaires. Plus de 600 em-ployés se sont portés volontaires pour préparer les terrains, construire les fondations, faire la plomberie,meubler les lieux, faire l’aménagement paysager et rénoverles classes, les cuisines et les salles de bain.

Depuis 2007, le groupe Clientèle grandes entreprises etServices aux entreprises, Opérations internationales, aide lescollectivités touchées par la crise en Amérique centrale et enAmérique du Sud en construisant des maisons et en rénovantdes écoles. Cette année, une équipe de plus de 15 employés de

la Banque Scotia s’est jointe aux bénévoles de la collectivité afin de rénoverune école à San José, au Costa Rica. Les fonds recueillis pour le projet,provenant de la collectivité, des employés de Clientèle grandes entreprises etServices aux entreprises, Opérations internationales, et de la Banque Scotia, ont totalisé un montant de 16 200 $ US. Cet argent a notam-ment servi à construire un endroit couvert où pourront avoir lieu les événements sociaux et les récréations de l’école. w

Construire des maisons pour apporter de l’espoir

Des employés de la Banque Scotia à Flower’s Cove, à Terre-Neuve, ont fait don de matériel au service local d’incendie grâce aux fonds amassés par l’intermédiaire de Rouler vers demain.

La campagne de Rick Hansen, Rouler vers de-main, présentée par la Banque Scotia a lieu dansles collectivités partout au Canada dans le but d’a-masser des fonds pour améliorer la qualité de viedes personnes souffrant d’une blessure à la moelle épinière. w

Des employés de la Banque Scotia partout au Canada se sontbien amusés tout en montrant leur soutien aux enfants atteints dediabète en roulant à toute vitesse sur des vélos stationnaires lors de l’événement Roulons pour la recherche sur le diabète.

À Westlock, en Alberta, des employés ont pris part à la marche de cinq kilomètres au profit de la Fondation de la recherche sur le diabètejuvénile. Ils ont amassé de l’argent au moyen de dons et de la contribution équivalente de laBanque. Au total, près de 3 000 $ ont été recueillis. w

(Photo à gauche) À Montréal, au Québec, des employés ont aussi roulé sur un grand vélo afin d’amasser des fonds pour l’Hôpital de Montréal pour enfants. (Photo à droite) Des employés de la Banque Scotia à Toronto, en Ontario, ont fait preuve d’un grand cœur en pédalant au profit de la Fondation des maladies du cœur.

Octobre 2009 Monde Scotia 21

Santé

À vélo pour une bonne cause

Des employés de la Banque Scotia se mobilisent

Pédaler pour amasser des fonds

À Ottawa, en Ontario, des employés de ScotiaMcLeod se sontmobilisés pour amasser des fonds pour la Maison de Roger aucours du deuxième barbecue annuel, accompagné d’une lutte à la corde, organisé par la fondation. L’équipe de lutte à la cordea connu un succès monstre et a recueilli plus de 5 000 $ pour lafondation. La Maison de Roger est un organisme qui fait preuved'innovation et d'initiative en matière de soins palliatifspédiatriques, au moyen d'une gamme complète de services aux familles. w

Des employés de la Banque Scotia en Ontario et au Québecont roulé en grand vélo afin d’amasser des fonds pour deux or-ganismes de bienfaisance différents.

À Toronto, en Ontario, des employés de la Gestion du risque,des Prêts aux particuliers, de Financement automobile et des Solutions intégrées pour l’entreprise ont pédalé ensembleafin de venir en aide à la Fondation des maladies du cœur. Dansle cadre de cet événement, l’équipe de 31 cyclistes a pédalé dansles principales rues de Toronto et a collecté plus de 8 000 $ pour larecherche sur les maladies du cœur.

À Montréal, au Québec, malgré les averses orageuses, uneautre équipe d’employés de la Banque Scotia s’est promenée sur grand vélo dans le but d’amasser des fonds pour l’Hôpital de Montréal pour enfants. En parcourant les rues de Montréal, sous la pluie, l’équipe a réussi à recueillir plus de 50 000 $ pour l’hôpital. w

Des employés de la Banque Scotia de partout au Canadaont pris part à l'événement Roulons pour la recherche surle diabète au profit de la Fondation de la recherche sur lediabète juvénile

Engagement Scotia

À San José, au Costa Rica, des employés de la Banque Scotia ont remonté leurs manches pourparticiper à l’«heure verte» dans le cadre de laJournée mondiale de l’environnement afin de nettoyer le parc métropolitain La Sabana. Plus de250 employés et membres de leur famille ont aidé àramasser des objets, des ordures ainsi que d’autresmatériaux disséminés un peu partout afin de les recycler et lestransformer en béton. Environ 70 autres employés et membresde leur famille ont également fait leur part en plantant des arbresdans les cours d’école partout au pays.

La Journée mondiale de l’environnement est un des principaux moyens par lequel les Nations Unies peuvent sensibiliser le monde à l’environnement. w

La Journée mondiale de l’environnement invite au nettoyage

Des employés de ScotiaM-cLeod à Ottawa, en On-tario, ont participé à unelutte à la corde dans le butd’amasser des fonds pourla fondation la Maison deRoger.

Publication imprimée sur papier RollandST30, certifié Éco-Logo,co ntenant 30 %de fibres recyclées postconsommation etfabriqué au Canada à partir d’énergiebiogaz (une source d’énergie verte quiélimine les émissions de gaz à effet deserre responsables du réchauffementclimatique).

MD Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse.Groupe Banque Scotia désigne La Banque de Nouvelle-Écosseet ses filiales au Canada et à l’étranger.

(Ci-dessous) Dans les Antilles, desemployés de la Banque Scotia ontlâché des ballons rouges dans le cielpour marquer le début de la journéede dépistage du VIH et du sida.

Santé

Des employés de la Banque Scotia s’unissent pour lutter contre le VIH et le sida

Des employés de la Banque Scotia partout au Canada ont mis leurs souliers de course pour participer à la Marcheaction sida Banque Scotia. Lors des événements qui ont eu lieu du 12 au 20 septembre, les employés de plus de 50

collectivités au pays ont amassé des fonds et ont sensibilisé la population au VIH et au sida.

En tant que commanditaire en titre de la marche, la BanqueScotia a organisé, un mois avant la marche, une campagne nationaleintitulée «Build a Red Ribbon Highway» dans de nombreusessuccursales. Les clients étaient invités à montrer leur soutien endonnant leur monnaie, qui était remise aux organismes de servicescontre le VIH et le sida dans la collectivité, en échange d’un rubanrouge muni d’une épingle.

Le 26 juillet a marqué le départ de centaines de cyclistesenthousiastes qui partaient de Toronto (Ontario) pour un voyage desix jours à destination de Montréal (Québec). Les bénévoles ontsillonné les rues jusqu’à Montréal lors d’une randonnée à bicyclette de 600 km dans le cadre du rallye à bicyclette Friends for Life auprofit de la Toronto People With AIDS Foundation. Une semaine avantl’événement, un centre du vélo pour Friends for Life s’est tenu à laScotia Plaza à Toronto. On y offrait des services de mise au point telsla vérification de la pression des pneus, le nettoyage et la lubrificationde la chaîne, de rapides ajustements et la vérification de l’aspectsécuritaire du vélo. Les dons recueillis au centre du vélo ont été remisà la Toronto People With AIDS Fondation.

Les efforts des employés de la Banque Scotia partout dans lemonde en matière de sensibilisation au VIH et au sida et de protectioncontre ces maladies ont porté fruit, particulièrement dans les Antillesoù le taux d’infection a augmenté de façon alarmante. Les 26 et 27juin, une quarantaine de succursales dans 14 pays ont participé à la

journée de dépistage, permettant ainsi aux gens de venir ensuccursale pour passer un test de dépistage du VIH et du sida. Plus de5 000 personnes ont été testées, soit plus que l’an dernier.

Au Costa Rica, la Banque s’est associée à l’athlète olympiqueNery Brenes pour remettre un don de 4 000 $ US à la fondation«Arcoiris y los niños», un organisme à but non lucratif qui vient enaide aux enfants atteints du sida ainsi qu’à leur famille.

Depuis 2007, la Banque Scotia commandite la Marche action sidaau Canada. La première marche de collecte de fonds et desensibilisation au Canada s’est tenue à Vancouver en 1986 et estdevenue la Marche action sida nationale en 1996. Depuis, l’événementa permis de recueillir près de 28 millions de dollars pour desorganismes communautaires dispensant des services aux personnesatteintes du sida en plus d’accroître la sensibilisation à ce sujet. Plusd’un demi-million de personnes y ont déjà participé. Les recherchespour trouver un remède contre le sida continuent cette année alorsque la Banque a prolongé son parrainage de l’événement jusqu’en2011.

«Encore une fois, nous sommes très fiers d’être le commanditaireen titre de la Marche action sida Banque Scotia jusqu’en 2011», adéclaré Rick Waugh, président et chef de la direction de la BanqueScotia. «Tant qu’il n’y aura pas de remède contre le VIH et le sida, noscollectivités seront confrontées chaque jour aux problèmes que posecette terrible maladie. En nous regroupant, nous pouvons contribuer àbâtir un avenir meilleur.» w

(À droite) Des employés de laBanque Scotia ont mis leurs souliersde course pour prendre part à laMarche action sida 2008.