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J.-C. BARON
NOTE SUI! LE SANG DE QUELQES POISSONS MARINS
DE COTE D’IVOIRE 8
Scomber Japonicus, Coryphaena Hippurus Acanthocybium Solandri, Euthpnus Alleteratus,
Tetrapturus SP.
Document scientifique provisoire No 023 - Mai 1968
t REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIPJ3 I'IINISTjlRl3 DE LA PRODUCTION A N I W
I
,- I
,
OWICE DE LA RECIIE.RC€D SCIENTIFIQUE Be TECHiYIQUE OUTmJm
CENTRE DE RECHERC~S OCWOGF~~HIQUES B.P. V 1 8 - A B I D J A N
NOTE SUR LE SANG DE QUELQUES POISSONS JWDS DE COTE D' IVOIRB
I
i Soomber japonicus, Coq-phaena, kipp&, Acanthocybium solandxi,
Euthymnu alleteratus, Tetrap'nuus spa
Je-C. BARON
Docwnen-t Scientifique Provisoire NE 023 - IW 1968
Les réactions d'agglutinations entre l e s globules rouges de divers
poissons e t des s6rms de poissons e t de m d f è r e s indiquent que les sangs de
ces poissons contiennent des hémagglutinines naturelles suceptibles d 'être
uti l isées pour 1'Qtude sérologique des races e t que l e s é m humain peut y jouer un rale intéressant LI étude Qlectroyhorétique des hémoglobines e t des sérum nous renseigne sur l e s diverses fractions proteiques qu'ils oc, ntiennent o
Agglutination reactionsbetween erythrocytes from some fishes and
serum samples f rom fishes and mammals indicate that the blood of these fishes
contains natural agglnt5ni.m which are potential serological reagents f o r racial
studies. The human serum may be very useful i n studies of fishes'erythrocyte .
antigens
The different components of haemoglobin and serum are revealed by electrophoresis i n agarose gel.
- 2 -
Cinq espèces de poisans sont Qtudiées t
c Scomber japonicus (Houttup) ..I maquereau - Coryphaena hippurus (Linné) - Coqyphène.
- Acanthocybium solandri (Cuvier) - "Wahoo" - Euthynnus alleteratus (€Minesque) - Bonite
- Tetrapturus (Lacépède) sp i - marlin;
I
I1 nous avait paru intéressant de prélever l e sang de ces poissons
pour Qtud-ier ultérieurement les globules rouges de sa,rdinelles . La l i t t e ra ture
ne snentionxmxt aucun t ravai l sérologique sur ces espèces nous avons effectué
cette pet i te étude préliminaire,
2A.1 i ... Ey&Xenent du s q - Les poissons ont é té pgchés au large de l a Côte
dtIvoire sauf les maquereaux capturés au large du Ghana: Le sang a 6té prélevé
so i t par ponction cardiaque s t é r i l e sur l e poisson vivant à l 'aide du système
vacutainer Becton Dickinson (corps de seringue indépendant avec aiguille s t é r i l e
pour chaque prélèvement e t tube s t é r i l e avec vide par t ie l aspirant directement
l e sang) so i t non stérilement pmsec:tion du; bulbe (mtqucmu)-- ou seringue or-
ai.ll$jre t ( ~ b - i ~ q - t u r u s ) A .
?
Le sang a éte' conservé en glacière de 1 2 4 jours avant d 'être centri- fugé:
2Z!: -Erse- t Les Qchantillons p r i s sans anticoagulant ont k t 6 mis au repos pour permettre au cai l lot de se former. Le sang de bonite ne donne
ES dUL$&$-ec-xJ.~ et reste fluide, celui diAcanthocybiium e t de maquereau
ne donne qugunpseudocaillot alors que chez l a coryphhne e t l e Tetrapturus l e
cai l lot est solide, e t bien formé,
Le sQrum est prelevé en d-eux f o i s : directement 3, l a pipette après
exudation e t il est généralement exempt d'hémoglobine, puis après centrifuga-
tion B. av5ron 1000 t o w s / m ce qui parfois provoque l'hémolyse des globules
e t - te in te l e sérum en rouge. Le sérum est consemé congelé, sans antiseptique,
à - 20° jusqu'au moment d'$tre uti l isé.
I
I
i
- 3 - 2A3b - €'&$&?gent des RlobuleE -
Le sang p r i s SUT ci t ra te de sGude 'a 348$ es t centrifugé. Le plasma
et l e c i t ra te sont éliminés puis l e culot globulaire es t lavé 4 f o i s avec une
solution d'eau physiologique 8. 9 go pa r l i t r e de Na ClA Certains globules ont
dU. etre prélevés SUT du sang non c i t ra te par agitation du pseudocaillot dans de l'eauphysiologique. Les globules sont ut i l isés immédiatement
tration de @A une concen-
2: 4: *1 O J $ * m - $ k d d - Les globules rouges lavés 8. l 'eau physiologique sont centrifugés e t
un culot globulaire de 1 volwe est lysé par 5 volmes d*eau disti l lée. Après
15 minutes de centrifugation 8. environ 3000 t /nn ( m a x i " de notre machine) l a solution d'hémoglobine es t prélevée e t ut i l isée %lunédiatement Nous avons cons-
ta té que cette solution é t a i t encore uti l isable aprgs 37 jours 'a + 4 O (Coryphène).
2A5: - , % e m d'extraits végétaux - Daas l e but de rechercher des phytoh6mggIutirLnes dans certaines
graines e t certains fruits nous avons préparé l e s e x h a i t s suivants:
265:l; -- : Un volume de graines e s t m i s B. tremper 48 heures
dans de l'eau physiologique (9 $0). Après broyage dans un mortier 8. main (1 vo- lme de graines I- l volume d'eau de trempage) e t incubation Fendant -1 heure 'a 3 7 O l a préparation e s t centrifugée à 3000 t/m pendant 20 ma Le surnageant e s t
prélevé pour constituer l e -er extrait F 5 qui sera u t i l i sé t e l quelc
Une partie de cet extrait est purifiée en ajoutant 1 volume d'alcool
dthylique (95O)& 3 volumes d'extrait. Par centrifugation on obtient x - un précipité qui es t repris 8. L'eau physiologique à 3 7 O e t centrifuge
8. nouveau pour donner l e surnageante24
r> w1 surmageant que l 'on précipite par 2 volumes d'acétone e t qu'on agite en presence de chloroforme; Après centrifugation on obtient
alors un précipité qui e s t repris B. l 'eau physiologique pour d-onner l 'extrai t fa 3;
Cette extraction a porté sur des Gaines de flamboyant (Delonix regiap
Caesdpwacées) dont l e s cotylédons e t l e s tlenve~.oppes9* des grz5nes ont été
traites séparénent après macération de 48 heures dans l 'eau physiologique, e t
0i.l 4 - des graines entières dsAcacia (Cassia siamea, Caesalpinf.Bn6si) b
Nous avons obtenu t o u s les extraits 5.1 i les extraits f : 2 pour les graines drAcacia entières et les colylédons de flamboyant;
245?2: -&&ts : Ita pulpe des fruits est broyée, mise 'z macérer dans 1 volume d'eau physiologique B 37O puis centrifr?g6e4 Le surnageant est utilisé tel quel: L'extraction a porté SUT
la pulpe et l'amande de mangus) la pulpe de banane et l'arachide fraiche,
L'étude est effectuée par la méthode dtagglutination en tubes (tubes 8.
hémolyse) 4 Les globules rouges, lavés quatre fois avec w?i? solution pliysiologique et centrifuge's chaque fois durant trois minutes B envhon 1000 touys mimte7 sont mis en suspension à 3$ en eau pWsio1ogique. es sérums sont centrifugés cinq minutes et u-kilise's pms. Une goutte de se'mun B Qtudier (ou d'extrait v6gBtal) est déposée au fond des tubes et une goutte de suspension de globules rouges est . ajoutée i
.
Une première lecture d'agglutination est faite à l'aide d'un miroir concave après avoir secoué et centrifuge' les tubes! p~~dmit 45 secon6-eso Une deu- xième lecke est faite après avoir laissé les tubes une nuit à -I- 408 Seuls les r6sul.+ats de la première lecture sont conservés car nous avons constaté parfo is
l'hémolyse des globules agglutine's après une nuit à + 4.O; Néamoins la dwxS.ème
lecture donne très souvent confirmation de la première;
La force de l'agglutination constatée est évaluge de la façon suivante t - un tirait (négatif) : aucune agglutination - une croix (X ) : agglutination totale cres'd-dire que les glcbdes ne foment qu'un seul agglutinat;
- Les chiffres 4 et 3 indiquent uneagglutination incor-testzble en plusieur agglutinats.
- Les chiffres 2 et 1 indiquent une agg1.utination très faible ou douteusei
Nous avons arbitrairement considérés c o m négatifs dais les interpr6- tations les agglutinations
,
I. 5 z-
La lsttre H indique que L'Qchantillon est liémolysé,
Une case hachurée indique, enfin, qu? l e t e s t n * a pas é té effectué, s o i t
par manque de sérupl s o i t du f a i t du groupement en un seul tableau de t e s t s effec-
tués 2. des moments Ef féren ts avec des globules d-ifférents:
342411, - Ma&é&$ : Nous avons u t i l i s é 2 sortes d'dgarose : Agarose
Fluka e t Agarose I. B. F. (Industrie Biologique française) ce dernier donnant
l i e u B -un phénomène dfélectro-osmose plus importank que l e premier, Le gel e s t
coulé sur une plaque de verre de 15 cm X 21 cm à uneconcentration de 195&
Le tampon es t celui de Hirschfcld, de -1;yye discoatbu,
Véronal 3432 g
Tampon"pour l e gel Vérondl sodé 21;02 g
Lactate de Ca 7907 g
Eau d i s t i l l ée 3 l i t r e s
Véronal 6;9 g Verona1 sodé 43;8 g
Lactate de Ca li92 g i Eau d i s t i l l ée 5 l i t res .
Tampon pour l e s bacs
Les contacts sont assurés pa r du papier 'whatman n03i La tension am
bornes e s t constante e t contralée par un redresseur pour électrophorhse (type ST
de chez U E W )
3B
Les protéines sont fixées dans un bain dfacide acétique B 5$, Le gel
e s t desséché à une température de 750 dans une étuve B dessication e t coloré
puis décoloré dans l e s bains suivant.s.
B a i n colorant
B a h décolorant
Noi r amido 12 BN I g Acide Acétique N 450 ml
Acétate de )Ta 0,1 M 450 ml
Glycérol 100 ml
Acide acétique glacial LOO ml Glycérol 500 g
Eau d i s t i l l ée qbpif b 5 l i t r e s
- 6 -
Les enregistrements photométriques sont effectuées par un photomètre JOUAIT:
Les photographies des proteinogramues sou% fa i tes sur pellicule Ilodachrome
avec éclairage la té ra l au flash Qlectronique e-t objectif de 100 am,
312A2: - !3?cechniaug. Le gel es t coulé mrune plaque de verre de 15 cm x 21 cm
e t les réservoirs sont pratiqués k l'aide d'emporte pièces
Apelab de 9,lO ou 12 mm de long sur 1,2 ou 3 inm de large.
Les dchantillons à étudier (sérum ou solution drh&noglobine) sont mélangés en parties égales avec de 1'Agarose non tsmponné puis inclus dans les réservoirs
que l'on recoune pa r une goutte d'Agarose & 1,5$ tanpond:
b s contacts en papier sont déposés p a ~ dessus l e gel e t l e tout es t
recouvert d'une feui l le plastique souple. Une diffe'reme de potentiel de 150 &
200 volts au redresseur es t appliquée donnant une tendon de 3 selon les cas;
4,3 volts / cm
Après l'électrophorèse l a plaque es t f ixéej séchée e t colorée. Les
s c h h s sont relevés sur du papier transparant, la plaque étant Qclairée par dessous;
4 . . " : Le sang de Vingt six maquereaux de 15 à 20 cm a été pr i s par i i..
section du bulbe le 16 janvier 1968 à 18 miles au large du Cap des Trois Pointes.
Quatorze ponctions individuelles ont donné 14 sérums e t 14 pseudocaillots d'o3 l*on a extrai t 14 l o t s de globules rouges (de 1 B 14): H u i t ponctions individuel-
les ont semi uniquement à donner des globules rouges (de 15 à 22). Enfin 4 ponctions ont été mélangées pour donner un sérum mélangé (pool).
Le tableau I résume les différents tesks effectués.
1 A? A - Isoaslutiniges- : Le peu de sérum recuei l l i n'a pas permis une 6-tud-e com-
plète e t SCIAS l es 10 premiers globules (souvent moins) ont été testés. Les réactions croisées n' ont décelé aucune a . ~ l ~ ~ i ~ ~ ~ i . o ~ ~ ~ - ~ = - i ~ o ~ ~ i - ~ ~ , ~ ~
1 A24 - &t$,lutjx&nes : (Tableau I) Les sérums hwnain e t bovin (vache 7 J) agglu-binent tous les globules testés. Le sérum de lapin (N05) agglutine aussi
les globules m a i s moins fortement pour 4 d'entre eux ( 2) e t pas d-u tout pour
l e globule 7: Le sérum de Tetrapturus n'a agglutiné que l e s cinq premiers GR sur
l e s 10 testés; Le pool de sérums de Sardinella aurita (poisson clupe/idé), très hémolysé ne donne pas de résultats interprétables i Les sérums d*AcanYnocybium
permettent une différenciation plus nette des globules: Nous avons arbitraire-
ment considéré come négatif s l e s tes t s << 2 A
CI Globules agglutinés p a r l e s 6 m d'Acanthocybim no 10
a) - sérums 5* 8 e t 9 faibles ou négatifs ::!....I..4... groupe I
b) - un seul sérum posit if , l e s 2 autres négatifs A.. . . groupe II
II1 - sérum 8 positif 112
*I3
- sérum 5 positif
- sérum 9 posit if
c) - sérum 5 e t 8 ou 9 posit ifs ~Ò..;~:;;;:......:....~~ group III
JP Globules non agglutinés par l e s s8ms d'Acanthocybium i , . . . e o Groupe IV
Y H
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V l Z r I 1 I I YZAT
i I
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- 9 - . . . . i , . C L -
B g m q p % % Les globules 3 , 7, 15, 18, e t 19 sont remquables v i s 'a vis du sérum
de lapin (Tableau I)
Le tableau II donne l a répartition des différents globules en raison
de ces critères. - C.IU.-P.--P------------II- _I-_-----wI_-------________I_____
! ! r- 1 ! ! ! Nature des globules ! I ! II ! III ! IV I r !-- ! I 2 3 1 1 1
I Numéro des globules !1-2-7-10 !5,6i9 13.141 3Al.J. ! 4, 8, 18 ! 22 ! 1- U.-*.- -L_yIyv- -r- ! 16 - 19 1 17! -15 ! l~m-.~w I 2Q- 21 - ! . ! ! f 1 I ! I I Totcil ! 6 ! 10 I 5 ! I i-=---- --r- i- ! _ _ _ 1 -*
-- L-YYL *--æ.---.r e--
! t ! ! t !
I t ...nz- ---
IIABLZAU II 1436 - ,Conc&qsion : Il es t possible
géniques SUT les globules rouges de maquereaux à llakh? de sérum de lapin e t de poissons A Les sérums de poissons (Acanthocybium) possèdent des hétéroagglutinines
plus adaptées semble tail B différencier l e s globules rouges que les hét6roaggl.u-
tinines de mammifères e t devraient ê t re t rès ut i les da is l a recherche des groupes
de mettre en évidence des différences anti-
éxy-bhrocytaires du maquereaux.
26 - -)ir--& ETUDE DE L~-@EEQGLOBINE :
LE 6lectrophorèse en gel d'Agarose des hémoglobines de 17 maquereaux
révèle deux fractions de mobilités relatives positives; Aucune d i f fhnce indivi-
duelle nsa ét6 notée (PLAIVXE I)
'Cette étude por te SUT 15 Coryphènes toutes p8chées au large de l a C$te
dirvoire. Tro is furent capturées le 1 6 décenibre 1967 (CI ; C2, CS), t r o i s autres
le 16 janvier 1968 (c4, C5, C6) e t neuf l e 11 avr i l 1968 (C7 'a C15). Le sang a
été p&levé stérilement par ponction cardiaque s o i t s m c i t ra te s o i t nature; dans ce cas il donne a lo r s un c-aillot solideJJga,n,ogni e t un sérum ambré- laissant
paxfois un léger dép8t blanc&â>xe après centrifugation; Les globules rouges se
conservent bien e t n'hémolysent pas,
- LO - =i ."I * - I . . _ & A a L L . U N - RECHERCHES DI IS0 gT D 1 F 5 T E R O H I N I I T @ _L NAJU&F@&X,~
1 A 1 A C. &qa&utinines (Tableau I) . Nous avons m i s en évidence la prés-ence,
Y--* d'une &% isoagglll 27 Y dans l e se&un 9 v i s B. vis des globules rouges 7 e t 14.
I 12L - $I6$&9-ag&lut&&gs (Tableau II)
Le sbrum humain possède des h6téroagglutinines capables d'agglutiner
L*_L-.^-sD certainsA1obules L! .-Y--- de cor.yphèws. Les sérums de vache e t de lapin agglutinent lehi 3 globules testés. Les s6rums de 'Petraptmus e t de boni te sont capables
de biff6rciicier l e s globules de coryphène; Le sérm du thonidé Auxis tb-5ard
poss'eck de fortes agglutinines ainsi qu' Acanthocybiwn solcmdri . Les globules
rouges des 12 dernières coryphènes peuvent e t re grou-pés de l a façon suivante :
- globules rouges a&glutinés par1s:sémxn humain (O, A, B ou A B) :
No 4, 5, 6, 7:
- globules rouges non agglutinés par l e sQmm humain :
A non agglutinés par Acanthocybium 8 ou 12 : No 12, 13, 14, 15.
. agglutinés par Acanthocybium 8 ou 72 : No 8, 9, 10, 11;
L__ Rema-qqe, g Les globules 1, 2, 3, agglutinés par Tetrapturus différeiit des globu-
l e s 41 5, 6, qui ne l e sont pas.
Les sérums de coryphènes possèdent des l ~ ~ ~ é r q - h é ~ ~ ~ ~ l u t i - ~ n e s natur-er caBables de déceler des différences antigéniqux sur les globules rouges de bonite
(4 e t C 3 agglutinant l e s globules de El e t C2 agglutine les globules de E4) e t SUT les globules rouges de Sardinella aur i ta (C5 agglutine les globules 8 e t 9 de Smdktiella aurita) . 1L4A -mat-iL..es : Les divers extraits ui;ilisés provenaient de graines
de "E1LamboyLmt9f e t dr"A.cacia", d'arachide, de mangue e% de banas. Aucw n'a re-
velé de phytoagglutinines pis & v i s des globules rouges de Coryphène.
1 A5A C* &o~c-..usio~~: I1 existe des is0 e t des hét6roh6magglutinines naturelles
chez l e s coryphènes e t l e groupage drythrocytaire e s t possible par des hét6roag.-
glutinines d'homme e t de poissons.
- I 1 -
W-@AU 1 - R6actions croisées d.*agglutination des globules
rouges de Cory-phène (isoagglutinines)
.. 12 II
-WLE3!. II - Réactions d'agglutination des globules rouges de coq-gh&eg (hétéroagglutinines)
- 13 -
Les 12 échadixillons étudiés' donnent iylvaxiablement 3 fractions tr& L bien - - Y - U _ e s distinctes 'Le- de mobilit6s relatives nettement différentes : positive pour
la pralllière fraction, légèrement négative pour l a seconde e t négative pour
La troisième (en Agarose li B. F, ). La migration conjointe de sérum humain
permet de repérer ces fractions p m rapport aux bêta e t aux gamma globulines
humaines; (PLANCHE 11)
3: - _J$"E-DU * _ Y I I - * SE= (PLAXCHE III) L'électrophorèse en gel d'agarose r6vbY-e au moins 10 fractions. Les
plus importantes sont l'Albumine (l), t r o i s fractions de Luobilité alpha (4,p 2
et 3) e% une fraction de mobilité bêta (7). Deux autres fractions sont bien
visibles aussi (5 e t 6).
La, fraction 9, bien nette quoique t rès fnibleya une mobilité identique,
& l a fraction 3 de l'hémoglobine, On remarque en outre 'me fraction de mobilité
relative fortment négative (10) e t difficilement observable ( e l l e semble plus
net'ce chez les 2 mâles Qtudi6s).
Il. es t d i f f ic i le de constater une variation individuelle sur les
échnt i l lons présents étant donné l a différence de c h p électrique constatée
dhm bord de l a plaque à l 'autre e t se traduisent par une différence de migra- -Lion de cm entre l e s Qchantillons extrêmes L5 e% '7:
@z
R
E BE 1
- 14 * 8 '-
4; 31 - A ~ % . J ! J " . ~ ~
Treize ponctions individuelles de sang ont 666 effectuées sur des Acan-
thocybim pris au large de l a C8te d'Ivoire (11 du 15 au 18 janvier e t 2 l e 11
avri l 1968): Pour chaque individu on a prélevé stérilement 5 à 10 cm3 de sang
biut e t 5 cm3 de sang sur citrate. Les globules rouges se sont t rès bien conservés.
Les séms exudes des "Pseudocaillotslt liquides nte'taient pas hémolysés ( N O 3? 4, 5, 6 j 84 9; 10; 11) 12, $t 13) ou t rès peu (no 1 e t '7): Le sérum n02 n'a pu être ré- cupére': Une Qvaluation de l a teneur en proteines du s e " a ét6 effectuée par l a
méthode de Kjeldhal qui donne si-gresm
IA =~-3C%@j3--~-Em $!$SO ET D'HETEZ?-&ZJJ@I;L$+S, t
1 41 A .* Isoagglutinines (Tableau I) . LE présence dtisoagglutinines a été découverte
dane l e sérm de 3 individus (no 4, 6 e t 8). &'i.so~agd.-@Whn~u sérum n04 es t par-
t i c ~ i ~ e m e n t f o r t e . Les s&u" 6 e t 8 semblent avoir l a mgme isoagglutinine, plus
faible que celle de 4;
-- -1
1 A24 - J i i$&rAopg~lu t~es (Tableau II) Les sQrums de lapin, de vache e t d'homme
agglutinent l e s globules rouges d'Acanthocybim du mois de janvier e t non ceux
du mois dtavril:
Les globules 12 e t 13 sont donc différsnts des 10 autres e t agglutiné8
par l e s s6ms 6 e t 8 dtAcanthocybim. Le sérum de Tetmpturus possède une hété-
roagglutinine contre l e globule no 5. Les coryphèsee ne possèdent pas d'hétéroag-
glutinine pour les globules testés.
On remarque donc 3 sortes de globules rouges :
agglutinés par l e sérum humain :
L agglutinés p a le s6rum de 'Petrapturms : No 5
non agglutinés pax l e s é m de Tetrapturus x no 1 ;. 3, 4, 6, '7; 8, 9$ e t 11.
- non agglutinés par l e sérm hmain : no 12 e t 134 ,r..
1 L3A c. &Lu&l&nneagérum d.cag-
Les s6rurns d' Acanthocibium possèdent des hétkroagglutinines contre l e s
globules rouges de Sardinella aurita, Sardinella eba; corJTphènefbonites e t maquereaux,
qui. pennettent de différencier chacun des s6rums (7 hétéroagglutinines contre
SA ami ta e t 5 contre les maquereaux)L
- 15 i?,
144: - F’Po$&$utifines : Les essais identiques & ceux effectués sur l e s globules
de coxyphb3 donnent des résultats négatifs.
1 A5A (r* &og.&.u-si-on : Il existe dans l e sérum dlA.cmi;hocybium des isoagglutinines natwell-es e t des hétéroagglutinines vis 8. vis d’autres yoissons. Les globules
rouges poss8dent des sites mtigéniques décelables yGv les s6ms de mammifères e t de Tetrapturus.
!L!ABWU I - Réactions croisées d’agglutination des globules rouges d Acanthocybium, (Isoa&u~inines )
.
cjpABL;EAU II; - Réaction dfagglutination des globules rouges
d*Aoan'cacybim (hét8roagglutinines)
- 17 -
L'Qlectrophorèse en gel d'Agarose des hémoglobines de 6 Acmthocybium
révèle deux fractions de mobilités relatives positives chez les 6- individus Q'cudiés ainsi qu'une troisième fr-a-ction de . ~ o ~ ~ ~ l ~ ~ é " . = r ~ l ~ ~ ~ ~ e - ~ ~ ~ ~ a ~ i ~ e che5 . le
gOP, A I1 y aurait donc une possibilité de variation individuelle des diverses
fractions de 1 'hémoglobine. Des composés sériques mal élimines sont présents
S'UT 1 ' dlectrophorégrarmne . (PLANCHE)lX) S i - g?..dE*$c-S$! ( PLANCHE V )
L'électrophorkse révèle au moins 10 fractions dont les 4 premières
sont les plus importantes. La fraction 9 de faible inport-mce est t rès bien
indLvidualisée. La fraction LO de t rès faible importance n'est décelable que
sur l'échantillon 12, I1 es t enfin remarquable de constater que les fractions
9 e t 10 de même caractère chez l a cornhène ont des mobilités relatives néga-
tives camparables. Il serai t intéressant de pouvoir ilaentifier ces fractions
8. des gama proteïnes.
R
I I
R o
5 6
I I
o 13
I
18-1-68
PLANCHE P
4s 4; - Bo" L
El-udle portant sur 6 bonites prises au l a g e de la Cbte d'Ivoire : 4 l e 16 décembre 1967 (E1 à Ea) e t 2 l e 1 6 j m i e r 1968:
Le sang de bonite offre des particularités : sa couleur es t rouge t rès foncé presque noir e t les prises brutes bien que s tér i les , ne ,&onnent pas
-.A= l i e u -.A..G..c&....LT-4z. 'a l a formation- (meme après 3 j o u r s de repos à -I- 4 O ) . De ce f a i t
l'extraction du sérum est mal aisée e t celui-ci e s t souvent hénolysé. Il présente
parfois un dip& blanchâtre à l a centrifugation:
Le sang E2 nla pu etre uti l isé .
1 !I A - gr&&a&gl&l- La présence d'isoagglutinines n'a pas é té décelée sur l e trop pet i t
nombre d'individus étudi&.
1 42: - ,HLte/roa@utinines (Tableau I) Les sérums de niamaifères testés ainsi que ceux de Tetrapturus e t de
Thazsard possèdent de lfortes h~t~~glll&.nes,. Acmthocybium e t cory-phbrrea'. ont
des hétéroagglutinines capables de déceler des diff érsnces antigéniques sur les globules rouges de bonite. Les 3 premières bonites peunrent être séparées en deux
groupes El - E4 e t E3 selon que leurs globules sont agglutinés ou non par l e s 6 m de G2A Le sérum de C 3 es t en outre capable de différencier E1 de d'A.caiddiocybium différencie l e s globules 5 e t 6,:
Le sérum
&e sérum de E6 contient ~~été[email protected]~ v i s 2 vis des globules
C4, C5 e% c6 alors que E4 n'en possède pas: En outre El J, E3 e t E4 n'agglutinent
pas Cl, @ e t C3:
IA44 - ,GO&WS :
Le sang d'kthynnus alleteratus ne fome pas de caillot. I1 contient
au moins une hétéroagglutinine vis à vis des
peuvent donner l i eu à un groupage sanguin.
coryphènes testés e t ses globules
1 Acanthocybium
- 19 -
(CABLjUU -1-A - Réactions dfagglutination .BP
des globules Pm@%%@e -3&i&%e (h8%6&&gglutinines)
Les hénoglobines de 6 bonites ont donné l i e u a une analyse
Qlectrophor&i.que, malgré l a présence de consituants du sérum e t l a for te
concentration des Qchantillons on reconnait deux fractions de mobilités rela-
tives posi tives (PLANCHE IV)
4. 5. - gg@yi??m - 20 -
Ce poisson communément nomé "marlin" a été pêché B l a ligne l e
16 décembre 1967 B environ 10 milles au large d'Abidjan: Ses mensurations ont é té effech6es sous l a direction de E, G. PU&CHI;I;: Poids : 42 kg. Longueur
totale : 219 cme Rayons des nageoires Dl = 3 + 38, D2 = 7, A1 = 2 + 9 e t AZ = 7,
Le sang a été pr i s non stérilement, & l 'aide c ? h " séringue, par ponction cardiaque e t a t rès bien coagulé en 5 5, 6 heures. Le serum emdé en grande
quantité e s t m n s _ a l 3 s a c e .d'héEoJjzs il laisse un important dQp&
Y- blancldtre LL L.. Y_"..* - après centrifugation. Aucune prise sur mticoagulant n* a é té effectuée.
Le s&um de marlin possède des hétéroagglutinines puissantes, qui
permettcid de différencier l e s divers globules rouges de nombreux poissons. I1
agglutine 5 globules rouges de maquereaux sur 10 4xw-Gs; 11 globules de cory-phène
sur 15, 31 globules de S. a w i t a SUT 42, 35 glo3ules de SA eba sur 67, 1 globule
dfAcanthocybim SUT 11, tous l e s globules dfEuthynuus alletoratus.
... ETUDE DV_.-QRJJ ---.I
Lt étude électrophorétique du sérum rév& 5 fractions importantes dont
l e s deux premières mal séparées représenteraient l*albumine, Aucune fraction n'a éte' décelée du côté cathodique (PLANCE3 V).
- 21 L..
5L - =-RCI.j@lN-T :
Nous tenons 'a remercier i c i la Direction des Pêches de Côte d'Ivoire
pour l e laboratoire e t l es faci l i tés m i s à notre disposition ainsi que l e
Docteur Sy Baba, Directeur du Centre de Transfusion smguine qui nous a fourni
le sérum humain.
- 22 - B I B L 1 O G RA-PHAE-
La bibliographie sur ce sudet e s t t rès importaite. Etant donne l e carac-
tère provi:::oire de cet te publication il n'a pas ét6 possible de l a c i t e r en entier.
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