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2013 Rapport d’activité

Rapport d’activité 2013 - Ireps Guadeloupe · Analyse et Politiques Economiques, Licence Professionnelle Ressources Documentaires et Bases de Données Janvier 2001 Guillaume Pompougnac

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2013

Rapport

d’activité

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ommaire

Présentation de l’IREPS 3

� Missions� Composition de l’équipe

Mission 1 : Accueillir et documenter le public 13

� Centre régional de documentation en éducation et promotion de la santé

� Centre d’Information et de Ressources sur les Drogues et les Dépendances

Mission 2 : Relayer les campagnes nationales 21

� Semaine européenne de la vaccination 2013

� Journée Santé et Précarité 2013

� Journée Mondiale de lutte contre le VIH/Sida

Mission 3 : Développer localement des programmes prioritaires 29

� «Les écoles carambole », déploiement régional du programme

� «Les écoles Carambole », dématérialisation

� «Les écoles Carambole », Programme expérimental Ti Karanbol

� «Jardins Familiaux » Jafa - Chlordécone

� «Pôle régional de compétences en éducation et Promotion de la santé » - PEPS

� Programme T’CAPS vs ICAPS

Mission 4 : Assurer la formation initiale et continue 49

� Formation « Education thérapeutique du patient »

� Formation « Animateurs de prévention des conduites dopantes et addictives »

� Formation « formateurs occasionnels »

� Formation « Sensibilisation au handicap psychique en entreprise »

Mission 5 : Contribuer à la concertation, à la coordination et

à la communication 59

� Matinée de Prévention : Précarité et Alimentation

Mission 6 et 7 : Fournir un conseil méthodologique - Participer à la définition

des politiques de santé 63

� Outil d’Observation et de Suivi Cartographique des Actions Régionales de Santé - O.S.C.A.R.S

� Service de Conseils et Accompagnements Méthodologiques

Lexique 69

Annexes 71

� Visuels de la Campagne Semaine européenne de la vaccination 2013

� Visuels du programme T’CAPS

� Visuels du programme «Les Ecoles Carambole»

� Etat d’avancement et visuels du programme «Jafa Guadeloupe»

� Visuels catalogie de formation 2013 de l’Ireps 2013

Revue des acquisitions 95

S

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS

résentation de

l’IREPS

P

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 55

But, valeurs et principes

Membre de la Fédération Nationale d’Éducation et de promotion de la Santé (FNES) www.fnes.fr,

l’IREPS participe depuis 2001, au réseau des Centres d’information et de ressources sur les drogues et

dépendances (CIRDD) mis en place par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie

(MILDT).

Depuis 2010, l’IREPS porte et anime le Pôle régional de compétences en Education et Promotion de la Santé

(PEPS) de la région Guadeloupe. Plateforme-ressources en EPS/PS, les pôles de compétences sont pilotés, au

niveau national, par l’INPES.

Son but est de promouvoir l’éducation et la promotion de la santé, sur l’archipel Guadeloupéen, et les

collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy.

L’IREPS s’adresse aux élus, responsables des politiques de santé, acteurs des champs sanitaire, social, éducatif,

de la formation et aux étudiants.

L’IREPS inscrit ses missions dans une démarche d’éducation et de promotion de la santé. Pour développer et

garantir l’éducation du citoyen dans le domaine de la santé, l’IREPS reconnait la diversité des approches

possibles dans le respect des principes suivants :

- une vision globale de la santé,

- un respect des équilibres individuels et sociaux,

- la démarche globale de la promotion de la santé

- une perspective de responsabilisation,

- une approche participative qui permet aux personnes d’être acteur de leur santé,

- un souci démocratique,

- un investissement pour l’ensemble de la population et une lutte contre les inégalités.

Fondant sa démarche sur les valeurs précédemment énoncées, l’IREPS cherche à mettre en œuvre

les principes de fonctionnement suivants :

- favoriser des échanges sur la base de valeurs partagées et structurer la promotion de la santé autour

de critères de qualité des pratiques,

- promouvoir l’éducation pour la santé en faveur du développement de la citoyenneté et garantir l’existence

sur tout le territoire d’un savoir-faire professionnel pour les acteurs de la promotion de la santé,

- s’inscrire dans une démarche d’amélioration permanente de l’efficacité et de la qualité des actions

d’éducation pour la santé, de leur cohérence et de leur visibilité.

Quelques définitions

L’Éducation Pour la Santé consiste à mieux écouter et informer les personnes et les groupes et à partir de

leurs besoins, de leurs connaissances, de leurs savoirs faire, à les aider à mieux gérer leur santé, à faire des

choix favorables à celle-ci et à les maintenir, grâce à des démarches éducatives, participatives et positives.

La santé est prise de façon globale, au sens de l’OMS, non comme la seule absence de maladie mais comme

une ressource pour la vie quotidienne dans ses trois dimensions : physique, mentale et sociale (Définition du

CRAES-CRIPS).

La Promotion de la Santé au sens de l’OMS est le processus qui confère aux populations individuellement et

collectivement les moyens d’assurer un plus grand contrôle sur leur propre santé et sur leurs déterminants.

La Promotion de la Santé prend en compte la dimension collective et socio-politique de la santé. Elle cherche

à jouer sur les déterminants de la santé et de la maladie, et notamment sur des inégalités en matière de santé.

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Les missions

Mission 1 : Accueillir et documenter le publicPermettre à tous les professionnels, bénévoles et étudiants du champ éducatif, social et sanitaire de la région,de bénéficier de supports d’information pour leurs publics (affiches, brochures, dépliants), d’utiliser les outilspédagogiques validés en éducation pour la santé et de consulter des ouvrages et des revues sur les thèmes dela santé.

Mission 2 : Relayer les campagnes nationales Amplifier les campagnes nationales en diffusant les documents produits dans le cadre de celles-ci. Créer descampagnes de communication et d’information locales. Mobiliser l’ensemble des partenaires par lacoordination d’appels à projets.

Mission 3 : Développer localement des programmes prioritaires Concevoir, planifier, mettre en œuvre et évaluer des programmes en réponse aux priorités de santé régionalesdu PRSP, du SREPS et du PRAPS.

Mission 4 : Assurer la formation initiale et continue Permettre à tous les professionnels et acteurs relais de la santé, de l’éducation et du social d’acquérir lesnotions de bases de l’éducation pour la santé, de développer une culture de promotion de la santé dans lespratiques professionnelles et d’être des relais des programmes de santé.

Mission 5 : Contribuer à la concertation, à la coordination et à la communicationOffrir un cadre facilitant la communication et la coordination entre les professionnels concernés par la santé.Communiquer et valoriser les actions menées, ainsi que les méthodes et les outils utilisés.

Mission 6 : Fournir un conseil méthodologique Développer la qualité des programmes et des actions d’éducation pour la santé mise en œuvre sur la région.

Mission 7 : Participer à la définition des politiques de santéOffrir aux professionnels et acteurs relais, aux institutions et aux décideurs, les informations et l’expertise enéducation pour la santé nécessaires à la mise en place d’une politique de santé adaptée aux besoins de lapopulation.Etre une ressource pour les décideurs et les institutions en matière d’éducation et de promotion de la santé.

A travers l’exécution de ces missions, les instances d’éducation et de promotion de la santé sont connues etreconnues comme centres ressources en éducation pour la santé, au service de tous les partenaires dessecteurs sanitaire, social, éducatif. La structuration et l’animation des pôles régionaux de compétences,confiées aux IREPS par l’INPES, (80% des régions), en apporte la preuve.

Les Instances d’éducation et de promotion de la santé tirent leur capacité d’expertise et leur légitimité, dansce domaine, de leur proximité avec les différents publics, de leur connaissance des besoins de santé et desdemandes, de leur connaissance des dispositifs existants, de leur présence sur le terrain, de la variété descompétences professionnelles de leurs équipes et de la diversité d’origine de leurs administrateurs, et enfinde leur participation à de nombreuses instances de santé publique à différents niveaux (conférence régionalede santé, groupe de suivi du Plan régional de santé publique, programme départemental de la MILDT,politique de la Ville…) (projet fédératif 2007-2012, FNES).

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Composition de l’équipe

�Le bureau

Présidente, Docteur Roberte HAMOUSIN-METREGISTE, Médecin Pédiatre5 Bd Félix Eboué - 97100 Basse-Terre

Vice-Président,Docteur Nicolas VAITILINGON, Chirurgien DentistePlace du marché - 97120 Saint-Claude

Vice-Président,Docteur Max THEODORE, Président de l’ORSaGDécédé en Aout 2013, et non remplacé à ce jour

Trésorière, Mme Ginette COLET,6, lot la Diotte, 97120 Saint-Claude

Trésorier Adjoint, Docteur Charles SEMIRAMOTH, Médecin57 Cité des Pointes - 97120 Saint-Claude

Secrétaire, Mme Marie-Eve ARNAUD, Assistante Sociale à la CGSSDesmarais - 97120 Saint-Claude

Secrétaire AdjointePoste vacant

�Le conseil d’administration

Membre de droit avec voix délibérativeMonsieur le Recteur de l’Académie de Guadeloupe

Membres de droit avec voix consultative Monsieur le Directeur des Actions de Solidarité Départementale (DASD) - Conseil Général de Guadeloupe

Monsieur le Directeur de l’Agence Régionale de Santé de Guadeloupe, Saint Martin et Saint Barthélémy

Monsieur le Directeur de la Caisse Générale de Sécurité Sociale (CGSS)

�La vie associative de l’IREPS

L’assemblée Générale Ordinaire de l’IREPS s’est tenue le 14 juin 2013, à la Mairie de Basse-Terre.

Le Conseil d’Administration s’est réuni les 18 avril, 29 avril, 29 juillet et 17 décembre 2013.

Le Bureau s’est réuni les 28 février, 18 avril, 07 juin, 04 juillet, 09 aout, 24 septembre, 29 septembre et 21novembre 2013

L’IREPS est soumise aux règles de contrôle de ses comptes, M. ETENNA est le commissaire aux comptes. Lacomptabilité, la gestion du volet social, notamment les salaires, est assurée par le cabinet FICAREC,FIDUCIAIRE-CARAIBES.

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�L’équipe salariée

L’équipe de l’REPS se compose au 31 décembre 2013 de 14 salariés (vs 14 au 31 décembre 2012) dont 12permanents (10 temps plein et 2 temps partiel) et 1 salarié en contrat à durée déterminée. M. Jean SABIN est en CDI depuis février 2013, et travail à 80%, passage de Didier MARIE en CDI en décembre2013

10

Nom Fonction Qualification Date d’entrée à l’IREPS

Johann AgrapartChef de projet adjointJafa

DESS gestion des systèmes agro-sylvo pastauraux en zone tropicale

Avril 2010

Patricia AmourSecrétaire administrativeet comptable

BTS Assistant Manager Novembre 2003

Line Baltyde Chargée de diffusion BTS Assistant Manager Mars 2002

Nathalie BrousseCoordinatrice du programmerégional les écoles carambole

BTS diététique Septembre 2009

Daniel CesarusChargé de projet Animateur

Diplôme d’Etat à la Fonstiond’Animateur (DEFA) Brevetd’Etat d’animateur technicien del’éducation populaire (BEATEP)

Janvier 2012

Josianne Jegu DirectriceDEA Histoire et civilisations

Février 2013

Didier Marie Animateur JafaLicence 3 AdministrationEconomique et SocialeOption Développement Local

Juin 2012

Bruno Moutoussamy Documentaliste

Diplôme Technique deDocumentalisteMaîtrise de SciencesEconomiques mentionAnalyse et PolitiquesEconomiques, Licence ProfessionnelleRessources Documentaires etBases de Données

Janvier 2001

Guillaume Pompougnac Chef de projet JafaMaster gestion et protection des eaux etdes sols

Novembre 2011

Agnes RecimerAssistante documentaliste

Licence de Lettresmodernes

Novembre 2008

Jean SabinAnimateur du pôle decompétences - PEPS

Master Managementstratégique

Septembre 2011

Angie Théodore Assistante en ingénierieNiveau DEUG - AnglaisDiplôme de photographie

Août 2013

Lydie VigoureuxChargée de projet animatrice

Diplôme d’Etat à la Fonctiond’Animateur (DEFA)«conduite de projet»

Septembre 2012

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 11

Ont quitté L’IREPS :- Pascale MELOT, Directrice depuis le 17 juillet 2006 a quitté l’Ireps le 25 février 2013, - Alexandra GOUSSON, Assistance en ingénierie depuis le 20 janvier 2011 a quitté l’Ireps le 30 avril 2013,- Françoise COGNON, Chargée d’animation nutrition depuis le 4 mai 2012, a quitté l’Ireps le 4 novembre 2013.

Mme Angie THEODORE a rejoint l’équipe en remplacement de Mme Alexandra GOUSSON

En sus de l’équipe présentée ci-dessus, l’IREPS a des contrats de collaboration avec des prestataires de serviceextérieurs : • M. Frédéric TOURNEMINE, entreprise CREANUM, pour la maintenance informatique, • Mme Stéphanie ROBERT, entreprise PINSON CREATION, pour des conseils, conceptions et réalisations en

communication, • M. Simon LOUBEYRE, entreprise PIGE INFORMATIK, pour le développement d’applications web, leur

sauvegarde et maintenance,• M. Sully GABON, ingénieur expert en agriculture.

�Formations suivies par l’équipe

Formation management par projet, organisée par l’IREPS et assurée par Mme Marie-Françoise PERNINintervenant « Cabinet Alliance Conseil » à Petit-Bourg, en novembre et décembre 2013. L’ensemble dessalariés ont participé à ces 3 jours de formation.

10ème édition de l’Université d'été francophone en santé publique qui s’est tenue à Besançon du 30 juinau 05 juillet 2013. Cette Manifestation était organisée par l’Agence régionale de santé (ARS) de Franche-Comté et la Faculté de médecine et de pharmacie de Besançon, avec le soutien de l’INPES et leurs partenaires, Didier MARIE, Françoise COGNON et Daniel CESARUS ont participé aux 5 jours de formation.

Dr HAMOUSIN-METREGISTE, Josianne JEGU et Guillaume POMPOUGNAC ont participé aux Assises de la FNES,en Mars 2013.

Josianne Jegu a participé aux conférences Santé et Territoires, REDON, en mars 2013.

Nathalie BROUSSE et Jean SABIN ont participé aux Journées de la prévention, organisée par l’INPES les 5 et6 juin 2013

Jean SABIN a suivi 2 formations :- Outil OSCARS au CRES PACA, les 26 et 27 Mai 2013- Techniques d’animation au CODES 95, les 29 et 30 Mai 2013

Guillaume POMPOUGNAC a participé au Colloque Santé environnementale organisé par la SFSP, en septembre2013

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS Guadeloupe 13

ccueillir et

documenter le public

A

Mission 1

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 15

ARS, MILDT, INPES.

Centre régional de ressources documentaires.

Guadeloupe – COM de Saint Martin et Saint Barthelemy - Le centre est basé à la rue Henri Becquerel - Imm.Futura Voie Verte -Zac de Houelbourg 3 (Jarry) - BAIE-MAHAULT avec un espace de diffusion à Basse-Terre.

Permettre à tous les professionnels et étudiants du champ éducatif, social et sanitaire de bénéficier de sup-ports d’information pour leurs publics (affiches, brochures, dépliants), d’utiliser les outils pédagogiques recon-nus et de consulter les ouvrages et revues sur les thèmes de la santé.

l’ensemble des documents produits par l’INPES ou acquis par le biais d’autres sources documentaires, locaux,personnels spécialisés (documentaliste, assistante documentaliste et chargée de diffusion/communication),fonds documentaires, moyens de communication (téléphone, fax, internet, courriers postaux), logiciel docu-mentaire PMB.

Les services proposés sont les suivants : �Consultation sur place (gratuite sur RDV) et aide individualisée à la recherche documentaire.�Réponses au téléphone.�Prêt (gratuit, avec caution demandée pour les outils pédagogiques).�Consultation Internet.�Consultation de banques de données et périodiques en ligne (BDSP, Toxibase notamment).�Animation de stands de documentation.�Veille documentaire.�Elaboration de produits documentaires (dossiers, revues de presse, bibliographies).

�500 personnes ont été accueillies au centre de documentation en 2013 (dont 44 nouveaux visiteurs). Il aété apporté une réponse à près de 812 demandes dont 288 ont été traitées sur place, 194 par courriel et 410par téléphone (diffusion et documentation).

L’usager fréquentant le centre de documentation est avant tout un travailleur social (animateur/éducateur)ou un professionnel de santé.

D’une manière générale, 33% des demandeurs relèvent du secteur associatif, 16% de l’Education Nationale et11% des Instituts et/ou des Centres de formation. En provenance pour 58% de la Grande-Terre, 39% de la Basse-Terre, et 3 % des dépendances.

�Les demandes ont concerné en grande partie des documents de type affiches, brochures, dépliants (397demandes) pour des actions de prévention, de sensibilisation et/ou d’information : 201 696 documents et 80outils pédagogiques (CD-ROM, mallettes, classeurs, coffrets … ) ont été diffusés dans l’année auprès desdifférents acteurs et professionnels.

NPES, MILDT, ARS, DATIS.

Centre régional de documentation en éducation

et promotion de la santé

Professionnels, étudiants et bénévoles des secteurs de la santé, du social, de l’éducation, et de la répres-sion, des milieux associatifs, hospitaliers, libéraux et institutionnels.

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

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�Les autres demandes ont été:- Les préservatifs (98 demandes), 38 501 préservatifs diffusés (7930 préservatifs féminins et 30 571préservatifs masculins) ont été diffusés aux autres acteurs de prévention et professionnels de santé. Lespréservatifs sont remis suite à une demande écrite précisant le projet de prévention. Il est à noter que nousavons reçu 35 000 préservatifs masculins et 15 000 préservatifs féminins de l’INPES, (commande via l’ARS).

- Des recherches documentaires : 252 actes de recherche réalisés en 2013, - Des prêts (ouvrages, livres, revues, rapports et outils pédagogiques) : 147 prêts en 2013.

�Les thématiques les plus demandées ont été : la nutrition, les drogues, le VIH/Sida, et l’éducation etl’information sexuelle...

�Les publics concernés in fine par les actions ont été, après la population générale, les adolescents et jeunesadultes, les usagers /patients et les enfants.

�Le fonds documentaire en 2013, est composé de 760 ouvrages scientifiques, 438 outils pédagogiques(cassettes audio, CD audio, CD Rom, vidéocassettes, coffrets, mallettes, jeux, expositions), 35 abonnementsdont 18 payants, 295 rapports ou documents divers, 34 dossiers thématiques.

48 ouvrages et 22 rapports/documents ont été intégrés au fonds documentaire (cf. revue des acquisitions enannexe), ainsi que 20 outils d’intervention supplémentaires.

Le nombre de notices enregistrées dans la base documentaire PMB au 31 décembre 2013 se montait à 2988notices. Elles sont référencées et accessibles en ligne sur le http://www.ireps.gp/appli/pmb/opac_css/

�Animation de stands En 2013, l’IREPS a animé un espace de documentation lors des manifestations suivantes :- 36ème journée médicale de la Société médicale des Antilles et de la Guyane française (section Guadeloupe)

, mercredi 08 mai 2013. - Village Santé organisé par le CUCS de l’agglomération pointoise, dimanche 29 septembre 2013 au CREPS

Antilles-Guyane- Journée santé et précarité coorganisée par l’IREPS et la Banque Alimentaire de Guadeloupe, jeudi 17 octo-

bre 2013 à Dupuis BAIE-MAHAULT- Salon des Métiers de la Santé et du Médico-social organisé par la Fédération Hospitalière de Guadeloupe,

vendredi 15 et samedi 16 novembre 2013, au WTC à Jarry BAIE-MAHAULT - "Forum, la rentrée des parents" organisé par le Rectorat et la circonscription de Pointe-à-Pitre au collège

Nestor de Kermadec à Pointe à Pitre, samedi 9 novembre 2013

Par ailleurs l’IREPS a apporté un soutien logistique et technique dans la mise en place de l’EPU organisé parl’Unité Neurovasculaire du CHU et de l’Association France AVC Guadeloupe en décembre 2013,

D’autre part, chaque formation animée et/ou coordonnée par l’IREPS, est un temps privilégié de présentationet de diffusion de supports documentaires et pédagogiques en éducation pour la santé.

� Les produits documentaires

Dossiers documentaires créés / actualisés en 20131 Dossier Documentaire « Journée mondiale de lutte contre le sida » actualisé, à l’occasion de du 1erdécembre 2013,

Veille documentaire

Revues de presse2013 a vue l’amorce d’un travail de réflexion autour des 2 revues de presse électroniques (Addict liens etEducation, Promotion Santé et Santé Publique) propulsées via canalblog.

- La fin de l’alimentation de la revue de presse Addict liens avec la fin de l’agrément CIRDD a été acté

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 17

aucun numéro n’est paru en 2013.

A la place, une rubrique dédiée Addictions a été faite dans la revue de presse "Education, Promotion de laSanté, Santé Publique" alimentée par la consultation de sites Internet de référence, de revues électro-niques en ligne, l’abonnement à des listes de diffusion mais aussi par l’analyse des documents papiers reçusà l’IREPS.

L’alimentation de la revue de presse via le blog a été également suspendue à partir de septembre 2013,seuls 2 envois en 2012 auprès de 820 partenaires ou contacts a été rendue possible.

Du 1er janvier au 31 décembre 2013, on a comptabilisé 80 594 visiteurs avec un total de 140446 pages vues(nombre de pages vues par viEsiteur : 1.76). En général, les pics de visites ont lieu au moment de la diffu-sion des revues de presse.

France Antilles GuadeloupeUn Panorama électronique de l’actualité sanitaire, sociale et de l’actualité des associations, parues dansle quotidien local France-Antilles Guadeloupe, est réalisé quotidiennement. De janvier à décembre 2013,ce sont environ 1011 articles de presse qui ont fait l’objet d’un signalement en ligne (thématiques, titres,n° quotidien, dates, pages). Les articles originaux sont disponibles à l’IREPS en intranet (consultation surplace).

Flashs mails diffusion En 2013, 7 flashs mails diffusion ont été envoyés pour relayer les campagnes nationales INPES : Journée dela femme- Semaine de la vaccination- journée mondiale de lavage des mains (grippe), Journée mondialesans tabac, Semaine du goût- Semaine bleue- Semaine de la sécurité des patients, Journée Mondiale delutte contre Sida.

Veille des appels à projetsUn tableau électronique (format pdf) récapitulant les appels à projets nationaux ou locaux recensés dansle cadre de la veille du service documentaire, est diffusé auprès des 820 partenaires ou contacts. 5 envoisau 31/12/2012. 15 flashs mails « alerte appels à projets » ont été envoyés.

BibliographiesL’IREPS a été amené à réaliser des listes de références bibliographiques, des bons de commande, des listesde matériels concernant les supports de prévention et les ouvrages.

Lors des journées ou semaines suivantes :- Journée mondiale de lutte contre le cancer (04/02/2013)- Journée internationale de la femme (08/03/2013), - Journée mondiale sans tabac (31/05/2013),- Semaine du goût (du 14/10 au 20/10/2012)- Semaine bleue (du 21/10 au 27/10/2012)- Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes (22/11/2013)- Journée mondiale de lutte contre le sida (1/12/2013)

En dehors des journées thématiques : - 1 Bibliographie Focus « Rentrée scolaire » à l’occasion de la rentrée scolaire (25/09/2013),- 1 Bibliographie Santé précarité alimentation à l’occasion de la matinée de prévention organisée dans lecadre du Pôle de Compétence et du CUCS de l’agglomération pointoise (17/12/2013)

Création de supports locaux- Campagne Vaccination : 500 dossiers/Kits médecins + 500 affiches- Campagne VIH/Sida : 500 dossiers/Kits médecins, 5 000 dépliants et 500 affiches « Virus du Sida, le dépistage, dès qu’il y a un doute »- Journée AVC : réactualisation de la maquette du dépliant AVC

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Site internet de l’IREPS : www.ireps.gp

9108 visites du 01 /01/ 2013 au 31/12/2013 (contre 10 828 visiteurs entre le 01/01/2012 et le 31/12/2012), 25 253 pages vues du 01 /01/ 2013 au 31/12/2013 (contre 29 160 pages vues en 2012)5620 visiteurs uniques, dont 59,11 % de nouveaux visiteurs,Le nombre moyen de pages par visiteur est de 2,77, la durée moyenne d'une visite sur le site est de 2,24 minutes

97,37 % d'entre elles proviennent de pays de langue française ou de territoires francophones

Nous avons un taux de rebond (pourcentage d’internautes entrés visitant une page et qui ont quitté le site après)important environ 58,27%

Ce qui signifie soit qu’ils sont soit insatisfaits soit qu’ils ont trouvé ce qu’ils cherchaient sans tâtonner…Les rubriques les plus visitées sont :

1. La page Ressources documentaires 2. La page Actualités3. La page Formations

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 19

Le CIRDD s’adresse à toute personne, association, organisme, intéressés par ledomaine des addictions : scolaires, étudiants, enseignants, formateurs, interve-nants spécialisés ou non, chercheurs, responsables politiques ou administratifs.

Mission Interministérielle des Drogues et des Toxicomanies (MILDT)

Centre de ressources documentaires, spécialisé addictions .

Guadeloupe – COM de Saint Martin et Saint BarthélémyLe centre est base a Basse Terre, avec une antenne a l’Espace de la Rocade, Grand Camp - Les Abymes.

Ce centre régional remplit les fonctions suivantes :- Accueillir et documenter le public sur le champ des addictions,- Accompagner et former les professionnels et intervenants relais, dans le champ de la prévention desaddictions, - Apporter un conseil méthodologique et un appui technique au chef de projet Toxicomanies.

40 836 supports drogues et dépendances (brochures, dépliants, affiches, cartes) ont été diffusés. Les demandes de supports ont principalement concerné des actions de prévention, de sensibilisation et d’in-formation, à l’occasion de tenues de stands d’information, journées thématiques et d’actions éducatives.132 demandes de supports et/ou d’information ont été traitées en 2013.

Le fonds documentaire Addictions est composé de 362 (ouvrages scientifiques, rapports/ études, outils péda-gogiques), 4 revues spécialisées (Le Courrier des addictions, Psychotropes, Swaps, Actal) et 66 outils péda-gogiques (mallettes et/ ou jeux pédagogiques, cd-rom, dvd, vidéocassettes, brochures et/ ou dépliants,exposition).

Financeur

Publics concernés

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats de la fonction documentation

Centre d’information et de Ressources sur

les Drogues et les Dépendances (CIRDD)

L’ensemble des documents produits par la MILDT, l’INPES ou acquis par le biais d’autres sources documen-taires, locaux, personnels spécialisés, fonds documentaires, moyens de communication (téléphone, fax,internet, courriers postaux), logiciel documentaire PMB.

Les services proposés dans le cadre de la fonction documentaire du CIRDD, sont les suivants : � Consultation sur place (gratuite, sur RDV) et aide individualisée à la recherche documentaire, � Réponses au téléphone,� Prêt (gratuit, avec caution demandée pour les outils pédagogiques), � Consultation Internet : fonds documentaire, banques de données et périodiques en ligne (BDSP,

Toxibase, OFDT, périodiques en ligne comme THS),� Animation de stands de documentation, � Veille documentaire, � Elaboration de produits documentaires (dossiers, revue de presse, bibliographies), � Organisation de livraisons avec point de diffusion dans locaux à Gand Camp Abymes pour la Grande

Terre et les dépendances,� Renforcement du partenariat avec les autres structures documentaires locales et nationales (Toxibase,

CIRDD Martinique, MILDT…),� Constitution d’un fonds documentaire minimum (ouvrages, outils pédagogiques,…) et nouvelles

acquisitions d’outils pédagogiques, � Création de supports locaux.

www.drogues.gouv.fr

C E N T R ED'INFORMATION

ET DE RESSOURCES

SUR LES DROGUES

ET LES DEPENDANCES

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20

� Veille documentaire Produit de la veille documentaire, la Revue de presse électronique (format html) sur les conduites àrisque, les addictions, l’actualité sur la politique publique en matière d’addictions, dénommée Addictliens, propulsée via un blog d’actualité sur Canalblog (http://addictionirepsgp.canalblog.com/) s’estarrêtée en 2013 avec la fin de l’agrément CIRDD. Aucun numéro n’est paru en 2013. Le relais en matièred’information est désormais assuré dans la revue documentaire de l’Ireps ou une rubrique addiction estprésente.Du 1er janvier au 31 décembre 2013, sur le blog Addict liens on a comptabilisé 62 453 visiteurs avec untotal 111 979 pages vues (nombre de pages vues par visiteur : 1.79).

� Autres produits documentaires 2012- 1 flash diffusion et 1 liste de sélection bibliographique: journée mondiale sans tabac le 31 mai 2013

- 1 dossier documentaire électronique "Dopage et conduites dopantes" sur clé USB (15/06/2013), dans lecadre des 3 sessions prévues (02 et 23 mars 2013, 13 avril 2013, 4 et 25 mai 2013) de la « FormationAnimateurs de prévention des conduites dopantes et addictives(FACDA) en milieu sportif en Guadeloupe »organisées en partenariat avec Direction Régionale de la Jeunesse et de la Cohésion Sociale deGuadeloupe.

� Analyse d’outils d’intervention dans le domaine des addictionsL’ancien CIRDD 971 a participé au dispositif d’analyse national pédagothèque (INPES), dans le cadre dupôle régional de compétences, au travers l’analyse de l’outil suivant :- L’outil jeu de cartes sur les conduites à risque, drogues, dépendance intitulé « Débat et dépendances »de la Compagnie Me Voici. Experts sont mobilisés. L’analyse de l’outil prévue initialement en décembre2013 a été reportée en février 2014

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS GUadeloupe 21

elayer les campagnes

nationales

R

Mission 2

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22

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Agence de Santé de Guadeloupe, Saint-Martin et de Saint-Barthélemy(ARS), URMLG.

Agence de Santé de Guadeloupe, Saint-Martin et de Saint-Barthélemy (ARS),Institut National de Prévention etd’Education pour la Santé (INPES).

Information et sensibilisation.

Archipel de la Guadeloupe, Collectivités de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy.

- Amener le grand public à penser à faire vérifier son carnet de santé ou son carnet de vaccination parson médecin, son pharmacien, sa sage-femme... et de les mettre à jour au vu du nouveau calendrier vac-cinal simplifié.- Informer les professionnels (médecins, pédiatres, Sages-femmes, PMI-CLASS …) sur le nouveau calen-drier des vaccinations et les recommandations vaccinales 2013.

Humains : 1 Chargée de diffusion et de communication, 1 infographiste, 1 documentaliste, Directrice del’IREPS, 1 secrétaire

Matériels et techniques : moyens de communication (téléphone, fax, Internet, courrier), déplacements, sup-ports (affiches, brochures, dépliants).

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectif de la campagne

Moyens

Résultats

Semaine Européenne de la vaccination 2013Vaccination: êtes vous à jour ?

g , infirmierg pp exception de la première injection)…,Dans les centres de Protection maternelle et infantile (PMI) pour les enfants de moins de 7 ans,Dans les services de médecine du travail,Dans les centres de vaccination pour les voyageurs, Dans les centres de vaccination publics.

SEMAINE EURO É

> Parlez-en à votre médecin, à votre sage-femme ou demandez conseil à votre pharmacien.

Vaccination : êtes-vous à jour ?

Les centres de vaccination gratuite habilités par l’Agence Régionale de SantéCommune

Dans les centres de Protection maternelle et infantile (PMI) pour les enfants de moins de 7 ans,Dans les services de médecine du travail,Dans les centres de vaccination pour les voyageurs, Dans les centres de vaccination publics.

e habilités par l’Agence Régionale d S té

Les centres de vaccinati t

Protégeons-nous

vacc nons-nouRougeole, oreillons

, rubéole – méningite, coqueluche, tuberculose

Parlez-en à votre médecin ou

demandez conseil à votre pharmacien.

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La population guadeloupéenne, les professionnels de santé.

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> Parlez-en à votre médecin, à votre sage-femmeou demandez cons il à

Vaccination : êtes-vous à jour ?

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Du 27 avril au 4 mai 2013, l’IREPS, à la demande de l’ARS a relayé la semaine européenne de la vaccinationen direction des professionnels (médecins de villes, pédiatres, Sages-femmes et Service PMI-CLASS de larégion et des COM des îles du Nord, avec la création et la diffusion d’un dossier spécifique (en 500 exem-plaires) comprenant :

- un calendrier vaccinal - Disque,- un calendrier simplifié des vaccinations,- une brochure « Guide calendrier des vaccinations des adolescents et des adultes »,- le BEH n°14-15 "Le Calendrier des vaccinations et les recommandations vaccinales 2013 selon l'avis duHaut Conseil de la santé publique",- une affiche "je me protège, je protège les autres, je me vaccine" reprenant le visuel de la campagne,- la liste des centres de vaccination gratuite habilités par l’Agence Régionale de Santé.

Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 25

La BAG, Acajou nouvelle Alternative, Alternative 119, Accueil de jour de B/T, la Croix-Rouge, Réseau veille sociale, Epiceries solidaires et sociales, secours catholique, fédération desCCAS, CHRS Saint-Vincent de Paul.

Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES)

Concertation et mobilisation d’acteurs - Information – Accompagnement méthodologique et technique –Rencontre interactive

Guadeloupe, Salle « An Ba Bambou La » – Dupuy Baie-Mahault

- Proposer aux acteurs un temps de regroupement, un espace d’expression, de documentation et de réflexion collective sur la précarité,

- Relayer la « Journée Mondiale du refus de la Misère » en date du 17 Octobre

Humains : 1 Chargée de diffusion et de communication, la Directrice de l’IREPS, 2 Chargés d’animation, laDirectrice et les bénévoles de la BAG,

Matériels et techniques : bureautique et informatique, moyens de communication (téléphone, fax, inter-net), matériels vidéo- location de salle – déplacement sur la région …

Dans la lignée du thème onusien, le slogan retenu au niveau local s’est articulé autour du fait d’être"Solidaire ou Solidaire". Co-organisée avec la Banque Alimentaire Guadeloupe (BAG), cette journée s’esttenue le 17 Octobre 2013, à Dupuy Baie-Mahault « Salle - An Ba Bambou La »

L'organisation s’est fait suivant les modalités suivantes:• En matinée: Table ronde thématique animée par différents spécialistes et portant sur les liens entre :

La précarité et solitude; La précarité et l'alimentation; La précarité et l'entraide;Chaque thèmes abordés ont été illustrés par une prestation réalisée par des comédiens.

Un déjeuner sur place : temps de convivialité et de prise de contact entre les participants

• L’après-midi : expression libre - stands d’information animés par différentes structures associatives,karaoké créole

Taux de participation :- Une soixantaine de personnes d’horizons divers et variés lors de la table ronde de la matinée,- Une vingtaine de personnes, lors de l’animation de l’après-midi.

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

Journée Santé et Précarité 2013« Ensemble vers un monde sans discrimination »

Les intervenants sanitaires, sociaux, de l’éducation et de l’animation, associa-tifs, bénévoles, élus, responsables locaux…Les personnes vulnérables vivant dans des conditions précaires en Guadeloupe(Rmistes, migrants, toxicomanes, sans domicile fixe…).

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe

L’ensemble des acteurs « professionnels de santé, du social, et de l’éducation »,partenaires associatifs et institutionnels de Guadeloupe souhaitant réaliser des actionsde prévention du VIH/Sida dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre le Sida.

ARS, URPS, INPES, Rectorat (service de promotion de la santé en faveur des élèves),COREVIH, CIDDIST, Liaisons dangereuses, Aides, Entraide Guadeloupe, MaternitéConsciente, ORSaG…

Agence de Santé de Guadeloupe (ARS), Saint-Martin et de Saint-Barthélemy.

Réalisation d’une campagne d’information et de sensibilisation sur le dépistage du VIH.

Archipel de la Guadeloupe, Collectivités de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy.

- Mobiliser et inciter les professionnels de santé (Médecins de ville, praticiens hospitaliers, Sages-femmes) àproposer le dépistage du VIH à tous leurs patients.- Relayer la journée mondiale de lutte contre le Sida dont le thème au niveau local était « Protégeons-nousen utilisant le préservatif, et faisons notre dépistage ».

Humains : Chargée de diffusion et de communication, infographiste, documentaliste, Directrice de l’IREPS,secrétaire

Matériels et techniques : moyens de communication (téléphone, fax, Internet, courrier), Matériel deprévention, déplacements, supports (affiches, brochures, dépliants kit/dossier), préservatifs, outilsd’intervention (DVD, CD, Jeu, Mallettes/coffrets).

Pour ce 1er décembre 2013, l’IREPS a mené 2 actions :

1. Action en direction des professionnels de santé :Création et diffusion de kits/dossiers à destination de 480 professionnels comprenant :- 10 exemplaires du dépliant « Virus du sida/Le dépistage, dès qu'il y a un doute », - Une affichette (intitulée « VIH/Sida, IST…. Faites-vous dépister ») à apposer en salle d’attente- Une synthèse de l’enquête sur les « connaissances, attitudes, croyances et comportements (KABP 2011-2012)- Une synthèse de l’enquête ANRS Vespa 2 dans les DOM sur la situation sociale et l’état de santé despersonnes vivant avec le VIH

2. Action en direction des acteurs de terrainMise à disposition de supports de prévention :- 34 234 documents diffusés (affiches, brochures, dépliants)- 26 005 préservatifs diffusés dont 21 500 préservatifs masculins et 4 505 préservatifs féminins- 32 outils pédagogiques diffusés (CD, DVD, Kit préservatif féminin

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectif

Moyens

Résultats

27

Journée Mondiale de lutte contre le VIH/Sida« Objectif zéro : Zéro nouvelle infection au VIH. Zéro discrimination.

Zéro décès dû au sida. »

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS Guadeloupe 29

évelopper localement

des programmes

prioritaires

D

Mission 3

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 31

- Elèves âgés de 6 à 11 ans (plus précisément les élèves de CM1) et leurs parents,

- Professionnels de l’enseignement (enseignants, directeurs, conseillerspédagogiques) agents territoriaux en charge de l’animation et du servicedans les établissements cibles, médecins généralistes, pédiatres,nutritionnistes, autres professionnels paramédicaux (diététiciens) sur 3circonscriptions de l’éducation nationale : Basse-Terre, Capesterre-Belle-Eau, Pointe à Pitre, ce qui représente un total de 11 communes.

ARS, Rectorat (Inspecteur d’Académie adjoint, Inspecteurs de l’éducation nationale, personnels du service depromotion de la santé), équipes municipales (CCAS et caisses des écoles), ORSAG, réseau GRANDIR, USEP,DAAF.

L’Agence Régionale de Santé (ARS) Guadeloupe, Saint Martin et Saint Barthélémy.

Promotion de la santé nutritionnelle

Finalité : Contribuer à réduire la prévalence du surpoids et de l’obésité de l’enfant en Guadeloupe. Promouvoir 3 des 9 repères du PNNS : consommation de fruits et légumes, consommation d’eau et pratiqued’activité physique auprès d’élèves du primaire, comme facteurs nutritionnels protecteurs de santé.

- Impliquer tous les acteurs concernés par l’éducation nutritionnelle : les enfants et leurs parents, lesenseignants, les personnels municipaux, les décideurs des municipalités, les médecins et infirmiers duservice de promotion de la santé en faveur des élèves, afin de :

- Garantir un socle commun de connaissances en nutrition (alimentation et activité physique) validéesscientifiquement (PNNS) chez tous les professionnels ciblés dans le programme.

- Outiller l’ensemble des professionnels pour qu’ils réalisent des actions d’éducation nutritionnelle avec lesenfants.

- Réaliser un état des lieux sur l’offre en fruits, en eau et en activité physique dans les établissements.- Optimiser l’environnement de l’enfant dans le cadre scolaire et périscolaire pour lui permettre d’augmenter

sa consommation de fruits, d’eau et sa pratique d’activité physique.

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Sites d’action

Objectifs

Les communes de Basse-Terre, Vieux Fort, Saint-Claude, Gourbeyre, Trois Rivières, Terre de Haut, Terre deBas, Capesterre-Belle-Eau, Goyave, Petit Bourg, Pointe à Pitre.

Humains : 1 coordinatrice et chargée de projet (temps plein), 2 chargées d’animation (temps partiel), 1infographiste.

Matériels et techniques : téléphone, fax, internet, courriers, questionnaires, grilles d’observation,documents d’information et outils pédagogiques, consommables (petits équipements sportifs, tubes pouraffiches) et fournitures diverses, déplacements régionaux.

Réédition de l’outil pédagogique « mallette les écoles Carambole » et des supports d’activité.

Moyens

Les Ecoles Carambole déploiement régional du programmeDeuxième phase - année 2013

Programme Régional de santé Guadeloupe 2012/2017

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Cette deuxième année de déploiement régional du programme « les écoles Carambole » est marquée par laréforme des rythmes scolaires et sa mise en place, à titre expérimental, sur 2 des 11 communes concernéespar le déploiement : Goyave et Pointe à Pitre.

1800 élèves bénéficient du programme à travers 31 établissements scolaires sur les 3 circonscriptions.

Réédition de la « mallette les écoles Carambole » : 100 mallettes pédagogiques et leurs supports d’activitéont été rééditées. 5 enseignants formés sur l’exercice 2012/2013 ont demandé les carnets élèves pourpérenniser le projet avec leurs nouveaux élèves de l’année scolaire 2013/2014.

Formation des enseignants aux repères du PNNS (alimentation et activité physique) et à l’utilisation del’outil « mallette les écoles Carambole » : 4 sessions ont permis de former un total de 60 enseignants etdirecteurs, majoritairement enseignants de CM1. Dans les points faibles, la circonscription de Pointe à Pitre,qui faisant face à des difficultés d’organisation avec la réforme, a eu du mal à mobiliser ses enseignants.Cependant les témoignages des professionnels de cette circonscription relèvent surtout une communicationentre IEN-directeurs-enseignants parfois peu efficace...La réforme des rythmes scolaires se répercute également sur le temps de présentiel en animation pédagogique(hors face à face avec les élèves) qui passe de 18 heures à 9 heures par an. Les 9 heures supprimées sont enfait reportées sur du travail en e-learning. C’est pour cette raison que l’équipe projet de l’IREPS est rentréeen contact avec certains responsables de la CREFOC (formation continue du rectorat), afin de créer un moduleen e-learning qui permettrait de valider la partie « théorie » de la formation enseignants. Secondairement,seul le temps d’appropriation de la mallette pédagogique nécessiterait des rencontres physiques, lamobilisation s’en trouverait facilitée.

Formation des agents territoriaux aux différents repères du PNNS : 7 communes sur 11 concernées ontrépondu favorablement à la proposition de l’IREPS de former leurs agents d’animation des établissementsscolaires. 15 formations ont accueillies un total de 227 agents territoriaux, agents d’animation oupolyvalents. Le quota d’agents formés sur Capesterre-Belle-Eau représente à lui seul 66%. 4 communes n’ontjamais répondu aux sollicitations : Basse-Terre, Terre de Haut, Terre de Bas et Saint Claude. 2 formationsprogrammées n’ont pu finalement être assurées, en raison de la fin de contrat à durée déterminée d’une deschargées d’animation.

Comportement des enfants dans les écoles - état des lieux :Les résultats de « l’enquête goûter » 2012, exploités par l’ORSAG, sont désormais disponibles (annexe 1). Ellefût difficile à mettre en œuvre par les enseignants pour diverses raisons et notamment car elle se voulaitcollective et réalisée par les enfants eux-mêmes. Quelques résultats confortent les témoignages desprofessionnels : plus de 9 enfants sur 10 prennent au moins un goûter à la récréation. Seuls 2 sur 10consomment fruits frais ou en compote. 75% prennent une boisson et 71% consomment de l’eau, sans que celasignifie qu’ils ne prennent que de l’eau.L’enquête a été revue. Le choix s’est porté en 2013 sur une enquête anonyme et individuelle, intitulée «enquête récré ». Elle est uniquement centrée sur les pratiques du matin et la prise d’un petit déjeuner, avantd’arriver à l’école. Les enseignants la feront passer à trois temps différents de l’année scolaire. Le partenariatest resté inchangé pour ces enquêtes (ORSAG et réseau grandir).Par manque de temps, à la fois de la part des professionnels de l’IREPS et de l’ORSAG, l’enquêteenvironnement ne verra pas le jour.

Mobilisation des parents :1800 courriers à l’attention des parents ont été distribués. La même formule a été reconduite (courrierscoupon-réponse + brochure PNNS alimentation enfant/adolescent + plaquette de présentationprogramme/IREPS). Mais les parents ont surtout été associés à un temps fort de la vie du programme : le rallyeCarambole, mis en œuvre cette année à titre expérimental, le 19 décembre 2013, en partenariat avec l’USEPet 4 enseignants de la circonscription des Abymes. 97 élèves ont pu relever des défis en équipe, autour de 10ateliers différents (5 ateliers activité physique + 5 ateliers sensoriels). La municipalité a réservé le terrain derugby de la ville pour la circonstance. Un temps de pause a permis aux participants et aux accompagnants deprendre une collation de fruits et d’eau financé par l’USEP. L’IREPS se chargeant de son côté de financer letransport des élèves sur le site et de la quasi totalité de l’ingénierie.

Les enfants ont plébiscité cette manifestation. L’évaluation réalisée au mois de janvier 2014 avec l’équipeprojet a validé son intérêt. Pour l’optimiser, il est prévu de réadapter quelques ateliers sensoriels, de réaliserun travail d’appropriation des ateliers d’activité physique avec les élèves en amont. Il faudra également

Résultats

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 33

étoffer les équipes de parents tout en prenant plus de temps pour les aguerrir à l’animation des ateliers.L’équipe projet devra aussi convier la presse, ce qui permettra de passer des messages nutritionnels à unepopulation élargie.

Enfin, un guide va être élaboré, dans l’objectif de faciliter sa mise en œuvre par d’autres équipespédagogiques. En souhaitant que de multiples rallyes puissent être réalisés à l’avenir, pourquoi pas à l’échelledu département, car ils sont l’occasion de passer des messages forts, de manière ludique et conviviale. L’IREPSs’engage quant à elle, à accompagner chaque année, au moins une circonscription.

Mobilisation des professionnels de santé des villes où se déploie le programme :Les médecins généralistes, spécialistes (pédiatres et nutritionnistes) les diététiciens ont reçu un courrier et laplaquette de présentation du programme Carambole et de l’IREPS. 106 professionnels ont été ciblés sur les 3circonscriptions.

Mobilisation des villes : Les 11 maires des communes ciblées ont reçu un courrier de présentation du programme et des formationsorganisées pour leurs agents. En dehors de la formation aux agents, aucun travail de lobbying particulier n’apu être réalisé auprès des décideurs.

Evaluation du programme :Les résultats des évaluations des formations agents et enseignants 2013 ne sont pas encore disponibles. Cetravail partenarial ORSAG/IREPS, devrait être terminé pour le mois de juin 2014. Le 23 septembre 2013, une quinzaine d’enseignants de la circonscription des Abymes (année 2012) se sontréunis une matinée, avec l’équipe projet de l’IREPS, pour un temps d’évaluation du programme. Les enseignants jugent la mallette pertinente, facile à utiliser, parfaitement adaptée au contexte et relèventque la formation sur son appropriation est satisfaisante. Ils observent aussi une modification descomportements alimentaires des enfants tout en soulignant qu’il faut encore oeuvrer sur l’environnement del’enfant aux abords immédiats des écoles, en raison de la présence de marchands ambulants. Les choixproposés étant encore principalement axés sur des boissons sucrés et des produits gras, salés, sucrés…Le carnet de l’élève est apprécié par les enfants. Parfois il sert de lien avec la famille.

Matériel sportif : Cette action du programme, qui prévoit un financement à hauteur de 500 Euros par école pour l’achat dematériel sportif, fait partie des actions phares très bien accueillies par les équipes pédagogiques palliantabsences ou insuffisances dans les établissements. Le jeu inédit « Tête à Carambole » a été choisi parquelques établissements. Un partenariat avec les services techniques municipaux doit être mis en place parl’IREPS pour sa réalisation effective.A noter que le problème des reliquats de l’année 2012 vient d’être solutionné. Tous les établissements ontmaintenant leur matériel.

Les déclinaisons du programme :Confère pages suivantes : Le site «ecole-carambole.fr» et Ti Karambol.

Conclusion :Le programme « les écoles Carambole » rentre désormais dans sa huitième année de déploiement sur la régionGuadeloupe. Il bénéficie d’une certaine aura à tel point que la Martinique, restée silencieuse après la phaseexpérimentale inter-régionale 2005/2008, a souhaité récupérer les fichiers de la mallette, dûment mis à jouret enrichis par l’équipe projet de l’IREPS Guadeloupe. Cette demande a finalement été acceptée par l’IREPSde Guadeloupe qui a apposé les logos (ARS et IREPS Martinique) et transmis les fichiers en janvier 2014.

Grâce à ce programme, ses déclinaisons (site internet et projet Ti Karambol) mais aussi grâce à d’autresprogrammes tels que le programme T’CAPS, promouvant l’activité physique chez les collégiens, l’IREPS deGuadeloupe est maintenant bien identifiée et reconnue par les professionnels de l’éducation nationale commeétant une plateforme ressource, pour la création et la mise en œuvre de projets d’éducation et de promotionde la santé auprès de leurs élèves, notamment sur la thématique nutrition (alimentation et activité physique). On ne peut que s’en féliciter, mais il ne faut pas baisser la garde car rien n’est jamais acquis.

Résultats

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34

Parmi les pistes pour lutter contre l’épidémie d’obésité chez l’enfant, qui ne semble pas encore enrayée surnotre territoire, on pourrait :- Imaginer enseigner l’éducation à la santé et à la nutrition dès le plus jeune âge, comme une véritablematière aussi incontournable que les mathématiques ou le français. La démarche employée devantrésolument s’inspirer de la démarche qualité de la promotion de la santé, c’est-à-dire prenant en compte lessavoirs et représentations des enfants et diffusant des messages positifs, mettant en valeur lescomportements favorables à la santé. - Optimiser encore et toujours l’environnement de l’enfant à l’école et aux abords des établissementsscolaires. Cela passe par un meilleur appui aux municipalités pour l’adhésion à certains dispositifs existantstels que le fruit à la récré ou la charte ville active PNNS ou l’optimisation de l’offre de la restauration scolaire(repas et accueil dans les restaurants scolaires). Mais cela passe aussi par un sujet plus sensible, celui del’offre alimentaire plus globale, qu’il s’agisse de celle proposée par l’industrie agroalimentaire ou celleofferte par les métiers de bouche de proximité (restaurateurs, marchands ambulants) qui doit être mieuxencadrée.

Page 36: Rapport d’activité 2013 - Ireps Guadeloupe · Analyse et Politiques Economiques, Licence Professionnelle Ressources Documentaires et Bases de Données Janvier 2001 Guillaume Pompougnac

Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 35

Tout public et particulièrement :- Enfants âgés de 6 à 11 ans, répartis dans les DFA et plus largement enfantsétant en mesure de se connecter sur le web et leurs parents.

- Professionnels de l’éducation, de la santé, de la restauration scolaire, de l’animation sportive.- Responsables et élus des collectivités.

DAAF et ARS de Guadeloupe, IUFM, Université Antilles Guyane, Réseau GRANDIR, parents d’élèves, IREPSMartinique, Guyane Promo Santé Conseils Généraux et Régionaux des 3 DFA, équipes municipales et CUCSvolontaires.

La DAAF de Guadeloupe.

Dématérialisation d’un programme régional de santé publique « les écoles Carambole »

Développer une application Web (outils interactifs sur internet et modules de formation en e-learning)permettant la diffusion, et la pérennisation du programme de promotion de la santé nutritionnelle « les écolesCarambole » pour les enfants de 6 à 11ans, sur les 3 départements Français d’Amérique, d’ici mars 2013.

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Sites d’action

Objectifs

Les 3 Départements Français d'Amérique - Guadeloupe - Martinique - Guyane. Les collectivités de Saint Martinet Saint Barthélémy. Puis transférabilité de la méthodologie et des outils au niveau national.

Humains : temps de travail chargée de projet nutrition, Directrice, Documentaliste et chargée dediffusion/communication IREPS, temps de travail chargés de projet nutrition à l'IREPS Martinique et à GuyanePromotion Santé, infographiste, programmeur et analyste informaticien.

Matériels et techniques : moyens de communication, téléphone, fax, internet, visioconférence, courriers,questionnaires, référentiels de formation et ensemble des outils existants dans le cadre du programme desécoles carambole, documents d’information et outils pédagogiques.

Moyens

Les Ecoles CaramboleDématérialisation

Développement et mise en ligne d'une application Web relative au programme et outils existants.

Pour les enfants : création d'outils interactifs, avec mise en ligne de l'ensemble des activités du carnet élève.Pour les enseignants: mise en ligne interactive du dossier pédagogique enseignants et des fiches d'activités (aunombre de 13) et création d'un module de formation e-learning en partenariat avec l’IUFM-Université AntillesGuyane. Cette formation portera d'une part sur les recommandations du PNNS et du GERMCN (Groupe d’Etudesdes Marchés de Restauration Collective et de Nutrition), d'autre part sur l'utilisation de différents matérielspédagogiques, dont la mallette « les écoles Carambole ».

D'autres activités proposées par les partenaires "ex : une école-un jardin" feront également l’objet de fichessupplémentaires et leur mise en ligne sur l’application web.

Pour les responsables communaux et élus :création d'un module d'information sur les ressources possibles et responsabilités des communes (Ville activePNNS, guide des élus, un fruit à la récré, banane à la classe...) en matière d'offre alimentaire de qualité.Création d'une enquête d'environnement (favorable) en ligne, à réaliser dans les écoles. Pour les agents des communes, création d'un module de formation e-learning avec le CNFPT (recommandationset rôle des agents en éducation nutritionnelle). Pour les parents, création d'un module d'information en partenariat avec le réseau GRANDIR (réseau de priseen charge de l’obésité des enfants).

Descriptif

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36

Le site internet « ecole-carambole.fr » a été mis en ligne le 1er octobre 2013 soit 6 mois après la dateprévue, ce retard étant lié à la défection du premier webmaster. Le report a été accordé par la DAAF,financeur. Parmi tous les partenaires pressentis, aucun n’a participé au projet. Le site est le fruit du travaild’une équipe resserrée, autour des deux chargées de projet/animation de l’IREPS de l’infographiste et duwebmaster.

Il permet de :- Présenter le programme « les écoles Carambole » de son origine (phase expérimentale et extension) à son

déploiement actuel sur l’ensemble du territoire Guadeloupéen, en mettant en évidence ses publics cibles,les actions mises en œuvre, les outils utilisés.

- Accompagner tout public (parents, enfants, professionnels, élus…) désireux de recueillir des informationsactualisées, validées scientifiquement et contextualisées sur la nutrition (alimentation et activité physique),

- Expliciter la démarche de la promotion de la santé.- Présenter la mallette pédagogique « les écoles Carambole » qu’il s’agisse de sa démarche pédagogique ou

des supports d’activité. Cette mallette est à l’origine une mallette destinée aux enseignants du primaire.- Proposer la mallette en téléchargement à deux différents niveaux à savoir les supports en téléchargement

libre (affiches, brochures adaptées au contexte) et les supports en téléchargement sur identification (cœurde l’outil = livret enseignant, fiches d’activités, carnet de l’élève, certaines affiches). L’identification estsimple mais elle requiert de la part de l’internaute, un engagement moral dans la démarche qualité de lapromotion de la santé bien explicitée.

- Proposer différentes recettes à partir de denrées locales, conformes aux recommandations du PNA et duPNNS pour un meilleur équilibre nutritionnel.

- Présenter l’IREPS de Guadeloupe, porteur du projet, ainsi que tous les partenaires financiers, opérationnelset techniques de la structure, dans le cadre du programme, en assurant des liens vers leurs sites quand ilsexistent.

- Lister et expliquer les différentes ressources disponibles aux élus et aux professionnels désireux d’élaborerdes projets en EPS (différents plans en vigueur PNA, PNNS, PO…).

Le site met également en valeur des actualités sur le déploiement du programme « les écoles Carambole » etd’une manière générale tous les projets actuels ou en construction sur l’alimentation et l’activité physique enGuadeloupe, portés par l’IREPS de Guadeloupe (T’caps, Ti Karambol). »

Comme tous les sites internet, il comptabilise ses visiteurs et identifie les utilisateurs de la mallettepédagogique. A l’heure actuelle, après 4 mois de mise en ligne, 12 utilisateurs de la mallette sont identifiésdont ¼ sur la zone Europe (France).

Dans les perspectives, on notera : - Le module en e-learning souhaité par l’équipe projet de l’IREPS pour la formation des enseignants, quibénéficierait d’un lien avec la plateforme nationale du rectorat.

- Les jeux interactifs à l’attention des enfants, prévus pour la fin de l’année 2014. Un financementsupplémentaire a été demandé par l’IREPS et accordé par la DAAF pour cette réalisation. Ces jeux verrontle jour grâce au travail de la même équipe. Ceci est un point faible pour la circulation des idées et larichesse des échanges mais un point fort pour le respect du calendrier.

Résultats

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 37

L’Agence Régionale de Santé (ARS) Guadeloupe, Saint Martin et Saint Barthélémy.

Nouvelle action expérimentale, déclinaison du programme primaire « les écoles Carambole »

Les établissements scolaires volontaires situés aux Abymes.

Objectifs général : contribuer à réduire, en Guadeloupe, la prévalence de l’obésité de l’enfant âgé de 4à 6 ans.

Objectif spécifique : développer des activités « les écoles Carambole, version maternelle » sur la régionGuadeloupe, en disposant d’un matériel pédagogique adapté au contexte Antilles-Guyane.

Objectifs opérationnels : - Création d’un personnage, de 3 contes et de fiches d’activités pédagogiques, adaptées au contexte local,et portant sur les 3 repères du PNNS étudiés dans la mallette carambole version élémentaire. Ces contes,fiches et personnage seront destinés, et remis, aux enseignants de maternelle.

- Animation de journées de formation en faveur des enseignants de maternelle, sur les repères nutritionnelset d’activité physique (PNNS), ainsi que les outils crées pour le développement d’activités en classe autour deces repères. Remise à chaque enseignant de ces supports. 2 journées de formation seront réalisées, d’icidécembre 2012 (Les abymes). Chaque journée sera ouverte à 15-20 enseignants.

- Animation de journées de formation en faveur des ATSEM, agents des collectivités, sur les repèresnutritionnels et d’activité physique (PNNS), les recommandations sur la collation à l’école et sur le GERMCN(Groupe d’Etudes des Marchés de Restauration Collective et de Nutrition) : 2 journées de formation serontréalisées d’ici décembre 2012 (Les abymes). Chaque journée sera ouverte à 15-20 ATSEM.

Septembre 2012

L’Instance Régionale d’Education et de Promotion de la Santé de Guadeloupe (IREPS), le réseau Grandir, leRectorat (enseignants, conseillers pédagogiques et Service de promotion de la santé en faveur des élèves), lesétablissements scolaires, l’Agence Régionale de Santé, la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports etde la cohésion Sociale, l’USEP.

- Elèves âgés de 4 à 6 ans et leurs parents, répartis dans les établissements scolaires.- Les professionnels de l’éducation, de la santé, de la restauration scolaire, de l’animation

sportive, intervenant auprès de ces élèves.

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs du programme expérimental

Date de mise en oeuvre

4 moisDurée prévue de l’action

Programme expérimental Ti KaranbolDéclinaison maternelle du programme primaire « les écoles Carambole »

Humains : temps de travail chargées de projet et d’animation, professionnels de la documentation, de l’IREPSGuadeloupe, professionnels de santé (DJSCS, Rectorat, réseaux de santé), enseignants, conteur, animateur,infographiste, imprimeur.

Matériels et techniques : centre de documentation, moyens de communication, téléphone, fax, internet,courriers, petites fournitures, référentiels de formation et ensemble des outils de l’ingénierie de formation,salles, imprimeur…

Moyens

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Processus : le projet a démarré le 22 octobre 2012 par la tenue d’un premier comité de pilotage, invitant l’ensemble despartenaires pressentis mais aussi l’IREPS de Martinique, par le biais de la vidéoconférence. Les premièresrencontres ont permis de refaire une lecture du projet initial, en préciser les priorités, axes et partenaires detravail. Un récit, mettant en scène des lutins autour du petit déjeuner, réalisé par le centre socioculturel « Lahaute savoureuse » en région Franche Comté, a été validé comme support du projet. Au total, 3 comités de pilotage et 7 comités techniques ont été nécessaires pour créer un fonds d’interventionen éducation nutritionnelle, adapté au contexte Antilles-Guyane et au public maternelle. Le dernier comités’est tenu le 3 décembre 2013.La Martinique a participé à deux comités de pilotage sur les 3 puis a cessé sa collaboration sur le projet TiKarambol Guadeloupe.

Création du fonds d’intervention Ti Karambol :Il est le fruit d’un travail partenarial étroit entre les deux chargées de projet/animation de l’IREPS Guadeloupeet les conseillers pédagogiques spécialistes (public maternelle, arts visuels, activité physique) mobilisés pourla circonstance par le Rectorat et en particulier l’IEN, chargée du public maternelle. Le fonds d’intervention expérimental est composé :

- d’un manuel enseignant de près de 30 pages, expliquant démarche pédagogique, objectifs et proposantdes outils- d’une clé USB contenant divers documents venant en appui des activités (banque d’images, lettre typed’invitation aux parents, bibliographie, gabarit de mascotte…)- Un récit « le petit déjeuner des lutins »

Démarche pédagogique du fonds :Contrairement à la mallette pédagogique primaire, axée sur 3 des 9 repères nutritionnels du PNNS (eau, fruitset légumes, activité physique), le fonds d’intervention Ti Karambol promeut le bon rythme des repas etparticulièrement le petit déjeuner et le goûter de l’après-midi. Le seul point commun entre ces deux outilspédagogiques, outre l’adaptation au contexte Antilles-Guyane, est la promotion de l’activité physique. Pourintroduire ce projet auprès de ce très jeune public, une mascotte « Ti Karambol », doit être créée par l’équipepédagogique. Elle représentera l’expert en nutrition, garant des bons choix et pourra faire un lien avec lafamille.

Démarrage de l’expérimentation de terrain :Pour des raisons pragmatiques de proximité géographique, 15 enseignants volontaires de moyenne et grandesection, des circonscriptions de Pointe à Pitre et des Abymes, ont été cooptés dans le projet. Ils vont êtreformés le 3 février prochain car ils devront mettre en œuvre et évaluer les activités proposées par le fondsavec leurs élèves jusqu’en juin 2014. L’IREPS a défini un cahier des charges précis pour ce travail.

Pérennisation du projet Ti Karambol :La pérennisation est en cours de négociation par l’IREPS avec l’agence de santé Guadeloupe, Saint-Martin,Saint-Barthélemy. A l’issue de la phase d’expérimentation par les enseignants, une version finale du fondsd’intervention sera réalisée dans le courant de l’été 2014. Il s’agirait dès la rentrée scolaire 2014/2015 dedéployer le fonds de la même façon que la mallette élémentaire. On retrouverait sensiblement les mêmesactions que celles du projet primaire à savoir, la formation des professionnels, la mobilisation des communes,des parents et l’amélioration de l’environnement de l’enfant à l’école.

Résultats

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 39

Préfecture, ARS, membres du GREPP (INRA, CIRAD, DAAF, Chambre d’Agriculture, CIRE, INSERM, DJSCS...),INPES, ANSES, élus, médecins, pharmaciens, vétérinaires, associations et organisations œuvrant dans lesdomaines de l’environnement, de la santé, de l’agriculture, du socioculturel…

Agence Régionale de Santé de Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy (ARS).

Programme de prévention et d'éducation pour la santé auprès des populations à risque, de type participatif.

La Guadeloupe, plus particulièrement la Basse-Terre, notamment le secteur s’étendant des communes dePetit-Bourg à Vieux Habitants.

Réduire l’exposition à la chlordécone des populations ayant des habitudes d’approvisionnement etd’autoconsommation de denrées animales et végétales issues de jardins familiaux.

équipe Jafa, comité de pilotage, nombreux partenaires, supports, affiches, brochures, flyers, réunions,manifestations, radio, presse écrite, audiovisuel, entretiens, enquêtes, moyens de communication (téléphone,fax, internet), déplacements, véhicule…

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

L’année 2013 a été consacrée à la poursuite du déploiement de chaque axe du programme sur le terrain.Ces différents axes sont présentés ci-dessous :

Communication régionaleCette phase a pour but :- Renforcer les connaissances de la population sur la problématique chlordécone et ses évolutions ;- Diffuser des recommandations visant à limiter l’exposition de la population à la chlordécone.

• Radio : Diffusion de communiqués annonçant les manifestations grand public « Manjé pou santé aw » sur les radiosGuadeloupe-1ère et RCI.

• Presse écrite : mention du Programme Jafa et/ou de ses activités dans :

- Le Monde, le 17 avril 2013, dans « Monstre chimique ».- Journal France-Antilles de Guadeloupe- le 13 juin 2013, dans « IREPS – Une instance connue et reconnue »,- le 13 juin 2013, dans « Manjé byen pou santé aw »,- le 24 octobre 2013, dans « Les secrets du bien vieillir »,- les 29 nov. et 3-4 déc. 2013, dans « Agenda pratique ».

- Hebdomadaire d’information Guadeloupedu 24 au 30 mai 2013, dans « Il faudra penser développement durable ».

Résultats

En Guadeloupe, les populations habitant dans les zones où le sol estpotentiellement pollué par la chlordécone (la Basse-Terre en générale etprincipalement le secteur s’étendant des communes de Petit-Bourg à VieuxHabitants) et s'alimentant régulièrement à partir de jardins familiaux ou decircuits informels de distribution (vente aux abords des routes et/ou venteinformelle et/ou producteur non professionnel).

Programme Jardins Familiaux - JafaChlordécone - Programme Régional Santé Environnement (PRSE)

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• Web :- www.jafa.gpAvec environ 22.500 connexions depuis sa création en 2009, ce site sert à diffuser des informations générales surla chlordécone, plaquettes et autres brochures Jafa, et actualités sur les différentes phases du Programme Jafa(dates et lieux de manifestations, état d’avancement du diagnostic, ...)Le travail de remise en forme et de mise à jour du site, commencé fin 2012, n’a pu se poursuivre durant l’année2013 ; il a repris fin 2013 pour une livraison prévue du site Jafa remis à jour et en forme en avril 2014.

• Supports de communication :- Elaboration d’un livret de recommandations axées sur la diversification alimentaire. débutée en novembre2012. Nous disposons actuellement du pool de recettes - avec photos associées – (depuis mai 2013) et de la quasitotalité des données de fond.Le travail de mise en forme devrait débuter au 2ème trimestre 2014.

- Réalisation et édition d’un poster de présentation du Programme Jafa pour les Assises de la FNES (mars 2013).

- Réalisation / rédaction d’un poster de présentation du Programme Jafa pour le colloque « Collectivitésterritoriales et Nutrition : échanges sur les actions mises en œuvre dans le cadre du Programme nationalnutrition santé » organisé par le ministère de la santé (novembre 2013).

- Réalisation et édition de 2 grilles de mots-croisés « grand format », ayant pour thème respectif « lachlordécone » et « le Programme Jafa », à compléter par la population lors de manifestations et autres stands(novembre 2013).

- Impression de 19.250 livrets «La Guadeloupe : une grande diversité de fruits, légumes et féculents.» etréimpression de 3 fois 2.350 brochures de recettes (Bananes, Fruit-à-pain et Pois-pays).

- Relai de diffusion du livret « Elevage et chlordécone – Préconisations / Elèvaj é Klòdékòn – Pokosyon » réalisé parla DAAF de Guadeloupe.

• Tenue de stands- Présentation du Programme Jafa et de la problématique chlordécone (avec distribution de brochures Jafa) àl’occasion d’une journée organisée par et pour la DEAL de Guadeloupe (octobre 2013).

- Présentation du Programme Jafa et de la problématique chlordécone (avec brochures Jafa et mots-croisés « grandformat ») lors de la Semaine du Développement Durable organisée à Destreland.

•Présentation orales diverses :- Présentation du Programme Jafa (notamment des phases « accompagnement » et « communica-tion ») àl’occasion de la Conférence de Territoire du Sud Basse-Terre (juillet 2013).- Présentation du Programme Jafa et de la problématique chlordécone lors de la journée du Pôle de Santé Publiquede l’ARS (décembre 2013).

•Les chroniques audio Jafa :Une campagne de communication grand public visant à :- informer sur la chlordécone (d’une manière générale, mais surtout dans le jardin),- diffuser des "recommandations pour limiter son exposition à la chlordécone tout en continuant à produire etconsommer les productions locales".

Cette campagne prendra la forme de chroniques audio qui seront :- diffusées sur des radios locales (notamment RCI et Guadeloupe Première),- compilées sur un DVD remis à toutes les radios locales, aux municipalités, à des associations, etc...- accessibles et téléchargeables sur notre site internet jafa.gp.

Au nombre d'une 30aine, durant chacune 60 secondes, elles se présenteront sous 2 formats différents :- questions de citoyens / réponses de chercheurs, en français ;- "scène de la vie quotidienne", en créole : des citoyens entre eux dans une situation de vie courante.

La rédaction de ces chroniques, en collaboration avec une agence de communication et les chercheurs etprofessionnels des domaines abordés par ces chroniques, se sera étalée de mars à novembre 2013.

Les premiers enregistrements ont eu lieu fin 2013 et se poursuivront en janvier 2014.

Le lancement de la campagne de diffusion de ces chroniques est prévu le 1er avril 2014.

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 41

Création et mise en œuvre d’animations communales grand publicAprès les 14 animations réalisées en 2011 et 2012 sur Trois-Rivières dans le cadre des « Vandrèdi Lyannaj », ila été décidé de réaliser une série de 4 manifestations sur la commune de Capesterre Belle-Eau.

Ces manifestations, intitulées « Manjé pou Santé aw », d’une durée de 2h30 environ, abordent laconsommation de produits locaux face à la problématique chlordécone ; elles ont pour objectifs de :

• Renforcer les connaissances de la population sur la problématique chlordécone,• Faire connaitre à la population les « recommandations Jafa » (notamment, celles d’ordre alimentaire).

En 2013, 3 de ces manifestations ont eu lieu (en juin, novembre et décembre) avec en moyenne 70 personnespar intervention.

A noter qu’une manifestation a été reportée au 1er trimestre 2014 pour cause d’incompatibilité de calendrierentre les activités du Programme Jafa et celles de la mairie de Capesterre Belle-Eau.Le format interactif, avec des saynètes de comédiens et quelques lots à gagner permet un réel échange avecla population et facilite l’acquisition de l’information.

Il est prévu pour 2014, d’étendre ces manifestations aux communes allant de Petit-Bourg à Vieux-Habitants.

Dispositif de diagnostic des jardins familiaux (enquêtes, prélèvements et analyses de sol)Ce dispositif aura eu pour objectif d’identifier les foyers en situation de surexposition potentielle à lachlordécone via l’autoconsommation des productions végétales issues de leur jardin.

Pour ce faire, les opérateurs sélectionnés par l’ARS, dans le cadre de deux marchés publics, étaient l’InstitutPasteur de Guadeloupe et Qualistat.

Les enquêtes de terrain ont débuté le 1er avril 2009, et se sont achevées à la fin du mois de décembre 2012.Ainsi, 19722 bâtis ont été visités par un enquêteur, soit 100% du nombre total de bâtis à visiter sur la Basse-Terre.

Parmi l’ensemble des bâtis visités, 53% sont des foyers ayant répondu au questionnaire d’enquête ; 20% de cesfoyers (soit près de 2100) ont déclaré consommer au moins en moyenne deux fois par semaine des racines outubercules issus de leur jardin.

Sur les quelques 2560 jardins dont le sol a été prélevé, près de 50% des résultats ont révélé une teneur enchlordécone inférieure à 100µg/kg de sol sec (SS) ne présentant pas de risque de surexposition potentielle àla chlordécone des populations se nourrissant à partir des productions végétales de leur jardin.Ainsi, du à leur consommation régulière de racines et tubercules provenant de leur jardin dont la teneur enchlordécone dans le sol est supérieure à 100µg/kg SS, 952 foyers sont en situation de surexposition potentielleà la chlordécone via leur jardin.

En décembre 2012, l’ARS a commandé à Qualistat un rapport final pour le traitement des données (enquêteset analyses) recueillies au cours de ces 3 années de diagnostic.

Une 1ère version de ce rapport a d’abord été envoyée à l’ARS et à l’IREPS en août 2013 pour avis et corrections.Une version définitive, ne tenant pas compte de l’ensemble des avis et demandes de corrections formulés, aensuite été adressée à l’ARS et à l’IREPS fin novembre 2013.

Les données contenues dans ce dernier rapport seront à valoriser par l’équipe Jafa en 2014.

Programme de prévention et d'éducation pour la santé auprès des populations à risqueCe programme se décline sous deux volets :

- le 1er se présente sous la forme d’un accompagnement individuel (accompagnement par l'équipe Jafades foyers présentant des situations confirmées de surexposition potentielle justifiant la mise en œuvrede mesures de prévention adaptées) ;

- le 2nd prend la forme d’actions collectives telles que les animations « Jardin Pilote Jafa ».

La phase d’accompagnement individuel des foyers en situation de surexposition potentielle à lachlordécone via la consommation des productions végétales issues de leur jardin a débuté en mars 2010 ets’est achevée en décembre 2013.

Cette phase, dite « retour-foyer », se déroulant sous la forme d’un entretien au domicile de la famille, vise à : - Présenter les résultats d’analyse de sol ;- Présenter les recommandations du Programme Jafa pour réduire son exposition à la chlordécone ;- Répondre aux questions relatives à la problématique chlordécone que se pose le foyer.

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Pour ce faire, des outils, notamment un support des recommandations du programme Jafa, ont été créés.Ainsi, au 31 décembre 2013, les 952 foyers à accompagner ont été contactés pour un accompagnement individuel :

- 866 retours-foyers ont été réalisés chez les familles concernées,- 86 foyers ont refusé, ont souhaité les informations uniquement par courrier, sont décédés ou ont déménagé.- 2514 courriers de résultats d’analyse (toutes teneurs en chlordécone confondues) ont été envoyés.

Les actions collectives : les animations « Jardin Pilote Jafa »Les animations « Jardin Pilote Jafa » ont été créées pour « prolonger » l’accompagnement individuel, plutôt théorique,par des activités de mise en pratique.

Ces animations, menées sur une matinée, sont axées sur la promotion des traditions culturales et culturelles du jardincréole en y intégrant la problématique chlordécone.Mises en œuvre avec et chez un particulier (en situation de surexposition potentielle à la chlordécone via laconsommation des productions végétales issues de son jardin) nous ouvrant les portes de son jardin pour l’occasion, cesmanifestations ont pour objectifs de :

- Diffuser auprès de la population ciblée par le Programme Jafa des recommandations permettant de réduire son exposition à la chlordécone, tout en continuant à cultiver son jardin ;- Promouvoir la diversification des cultures en revalorisant la biodiversité et la culture du jardin créole ;- Promouvoir la diversification alimentaire par la consommation des fruits, légumes et féculents locaux.

Pour ce faire, le concept de ces manifestations repose sur l’interactivité avec différents stands et animations proposantaux participants de mettre en pratique les recommandations du Programme Jafa.Depuis le lancement des « Jardin Pilote Jafa » le 6 novembre 2010, au 31 décembre 2013, 25 animations ont été réaliséessur le Sud Basse-Terre.

Sur les 10 animations programmées pour 2013, 9 ont été réalisées et 1 a été reportée au 1er trimestre de 2014.Au total, 742 personnes ont participé à l’une de ces 25 animations, soit en moyenne un peu plus de 29 personnes paranimation sur les 30 attendus au maximum.

Plus spécifiquement, 337 foyers nécessitant d’être accompagnés par le Programme Jafa, soit 566 personnes en situationde surexposition à la chlordécone via les cultures de leur jardin ont participé à ces ateliers de mise en pratique desrecommandations.

Il n’est pas prévu de renouveler ces animations en l’état, la totalité des familles accompagnées par le Programme (àl’exception de celles ayant des jardins très pollués) ayant été invitée au moins trois fois à venir participer à une de cesanimations « Jardin Pilote JAFA ». Ainsi, 2014 sera consacré à l’intensification de l’accompagnement des foyers ayant des jardins très pollués.

EvaluationEn 2013, sur demande l’ARS, une évaluation qualitative a été commandée à l’Observatoire Régionale de Santé de laGuadeloupe (ORSaG). Cette évaluation a pour objectif de :

• Mesurer les freins et les leviers à l’appropriation de la problématique chlordécone par la population et à labonne mise en pratique des recommandations Jafa,

• Identifier les facteurs favorisant la participation aux actions,• Identifier les besoins et les attentes en termes d’activités pour l’avenir.

La finalité de cette étude est de proposer des pistes de réflexions et d’actions afin d’améliorer les actions mises enplace dans le cadre du Programme Jafa.

Ainsi, en novembre 2013, 5 groupes de paroles, constitués de représentants de foyers accompagnés par le ProgrammeJafa avec des profils différents, ont été animés par la sociologue de l’ORSaG.

La synthèse des débats sera retranscrite dans un rapport d’évaluation qui sera livré en février 2014.

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 43

Le pôle régional de compétences en éducation pour la santé (EPS) etpromotion de la santé (PS) de Guadeloupe (PEPS) est une plateformeressources qui fédère les compétences et les ressources en EPS/PS présentesen Guadeloupe. Il est soutenu financièrement par l’INPES et l’Agence de santéGuadeloupe, Saint Martin et Saint Barthélémy. C’est un dispositif national.

En 2013 l’Ireps a été retenue de nouveau pour continuer son développement sur la Région. Le pôle de compétences de Guadeloupe est constitué d’un « porteur du pôle » l’Ireps qui anime le pôle etcoordonne l’activité de la plateforme ressources et d’autres membres, appelés « partenaires du pôle »(associations, mutuelles, organismes de sécurité sociale, administrations, collectivités territoriales…) quicontribuent aux missions du pôle par le développement d’activités et de prestations. Cette structuration enpôle présente l’intérêt de proposer une offre de services élargie (plus de compétences sont mises à dispositiongrâce à la mutualisation du porteur du pôle et ses partenaires), d’améliorer le potentiel de réponses (lesorganismes constitutifs du pôle sont plus nombreux pour répondre) et de garantir une réponse coordonnée etde meilleure qualité.

En tant que membre associé au pôle ils ont signé une charte ou des conventions avec lui et contribuent auxmissions du pôle en développant des activités et des prestations. Les pôles ont notamment pour objectif le développement de l’EPS/PS en Guadeloupe et l’amélioration de laqualité des programmes et des actions mises en place localement.

Le pôle est : • un centre de ressources qui détient au moins trois types de bases de données :

- une base documentaire - une base des personnes ressources en formation en EPS/PS- une base des personnes ressources en conseil de méthodologie de projets

• un lieu d’appui aux acteurs régionaux via les services qu’il propose : - le conseil en méthodologie et l’évaluation de projets- la formation en EPS/PS- l’appui documentaire- l’accompagnement à l’utilisation d’outils d’intervention en EPS/PS- l’appui à la démarche-qualité

• un espace d’échanges de pratiques qui favorise et facilite l’échange et le partage d’expériences sur lesquestions d’éducation pour la santé et promotion de la santé entre professionnels intersectoriels (santé,social, éducation, médico-social, etc.)

• un lieu d’appui à l’ARS de Guadeloupe, Saint Martin et saint Barhélémy pour l’élaboration et l’applicationdes politiques de santé régionales :

- aide pour l’élaboration du Plan stratégique régional de santé (PSRS) et du schéma régional deprévention (SRP) - fonction de plaidoyer (défense des valeurs de l'éducation pour la santé, valorisation du champ et deses acteurs), etc.

Par son efficacité, le PEPS est identifié par tous les acteurs politiques, institutionnels et associatifs ; lepilotage du Pôle auquel est associé l’ensemble des institutions est un organe essentiel qui avec lacollaboration des groupes de travail permet répondre aux attentes de partage, d’échange, decomplémentarité et d’innovations nécessaires pour l’amélioration de la santé de la populationguadeloupéenne.

PEPS

Pôle Régional de Compétences en Education et Promotion de la Santé de Guadeloupe

PEPS

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Sur un plan général

Points fortsIl y a une valorisation et une reconnaissance des compétences de l’ensemble des acteurs partenaires du Pôle. Les demandes des partenaires sont assez précises et visent à être plus efficaces dans l’utilisation des moyens pourpromouvoir l’éducation et la promotion de la santéLa demande des partenaires est forte pour la mise en place de rencontres professionnelles et l’instauration d’uneconcertation plus efficiente. 14 structures participent au comité de pilotage : 2 réunions sont organisées sur l’année

Sur l’axe formationLes partenaires sont très demandeurs de formations pratique essentiellement en conseil méthodologique afind’acquérir ou de développer des compétences et mettre à profit leur nouvelles connaissances aussi bien dans ledomaine de la méthodologie de projet que dans la démarche qualité. Les professionnels participants souhaitent queces formations soient plus accessibles aux acteurs de terrain et en région.Le contexte régional actuel favorise la formation à la santé publique en réponse aux besoins des professionnels.3 sessions de formations : 15 jours de formations : 22 participants.

Sur l’axe conseil en méthodologie de projets De nouveaux conseillers sont actuellement approchés. Le déploiement du logiciel OSCAR SANTE est un outil facilitateurpour les professionnels plus enclins à recourir aux conseils méthodologiques pour l’amélioration et la professionnali-sation de ces acteurs.4 réunions d’animation des conseillers7 CAM individuels 19 séances de travail5 CAM collectifs 5 demies journées de travail

Sur l’axe « Appui documentaire »Les acteurs ont vraiment pris conscience du potentiel important du pôle de compétence comme plateforme deressources sur le volet documentaire L’idée de mutualisation des moyens de communication et des supports outils fait son cheminement même si le partagen’est pas encore devenu un reflexe.3 réunions d’animation

Sur l’axe « Outils d’intervention en EPS »Une forte demande des professionnels pour les ateliers de présentations d’outils a été observée encore cette année.Preuve de cet intérêt, l’implication de plus en plus grande des acteurs, concepteurs de supports à participer Collectifd’Expertise de Ressources Professionnelles en Santé de Guadeloupe (CEREPS-G), dispositif qui s’inspire de lapédagothèque nationale de l’INPES et vise à :Répertorier les supports « santé » édités et utilisés en GuadeloupeIdentifier les limites et les améliorations possiblesAider les professionnels à choisir les outils pertinents pour leurs actions de promotion de la santéFavoriser les échanges de pratiques professionnelles.3 réunions et 3 outils présentés.

Sur l’axe « Communication et visibilité du pôle »Le pôle doit continuer à communiquer pour développer sa visibilité et être connu et reconnu par tous les partenaireset tous les professionnels qui œuvrent dans le domaine de l’EPS/PS.Les journées d’échanges sont l’occasion de se faire rencontrer les acteurs qui travaillent dans le domaine de l’EPS/PS.Ils sont demandeurs et perçoivent l’importance de la coordination via le Pôle. Le Pôle s’est inscrit progressivement mais durablement dans le paysage de la promotion et de l’éducation à la santé.Les partenaires s’y investissent, collaborent et se mobilisent pour que leurs actions bénéficient d’une labellisation dupôle. La plateforme devient une véritable opportunité pour les différents intervenants, institutionnels et administratifset associatifs incités à mettre en commun leurs ressources et à mieux se coordonner sur le territoire.1 site internet actualisé, 1 journée d’échanges de pratiques, 2 newsletters

Points à améliorer ou difficultés rencontréesCertaines structures partenaires perçoivent parfois difficilement la phase opérationnelle du Pôle sur les actions à courtterme. La santé publique se structure aujourd’hui en Guadeloupe mais reste encore balbutiante. Les différents acteursinstitutionnels et associatifs se concertent difficilement et multiplient parfois des actions faute de communication etd’information.

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 45

Sur l’axe formationLa difficulté rencontrée a été la présélection des participants dont les structures devaient s’inscrire dans lamise en place du maillage territorial des points relais d’information et de diffusion. Seulement 2 structures ont participées à l’élaboration des programmes. Objectifs à atteindre 4 structuresdevaient participer à l’élaboration des programmes dont la CGSS et la CAF

Sur l’axe conseil en méthodologie de projetsDans le domaine scolaire, les conseils méthodologiques sont trop rares et pas suffisamment structurants pourrefléter le travail considérable que font les infirmières scolaires et d’une manière plus large le monde del’enseignement.Si le conseil en méthodologie individuel reste plus facile à mettre en œuvre, les développements des conseilsen méthodologie collectifs multi partenariaux restent plus difficiles à construire. Les projets sont le plussouvent portés par des associations aux moyens limités, Objectifs mettre en place un guide du conseiller et une structuration du process

Sur l’axe « Appui documentaire »On note un faible retour de la part des partenaires sur leur activité propre et les productions créées. Onconstate aussi une absence de la fonction documentaire en éducation pour la santé sur le territoire.

Sur l’axe « Communication et visibilité du pôle »En Raison des difficultés rencontrées dans la gestion du site internet du pole de compétences (attaque viraleet dysfonctionnement constaté) la communication via le site est restée en deçà des potentialités et du ressortqu’il aurait pu contribuer à donner aux acteurs réunis dans l’espace AGORA.Relooking du site et fusion des informations avec les outils de l’IREPS.

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 47

INPES, DJSCS, ARS, Rectorat de Guadeloupe (CREFOC), MutualitéFrançaise de Guadeloupe, L’UNSS, Association Profession Sports etloisirs, Réseau grandir, Conseils Généraux et Régionaux, équipe dela communauté éducative.

INPES, ARS et DJSCS

Programme national pilote de promotion de l’activité physique

Sur 2 collèges de Guadeloupe : collèges de Bois Rada de Sainte-Rose et Saint John Perse des Abymes Grand-Camp.

Objectif général du programmeD’ici 5 ans, contribuer à augmenter l’activité physique chez les enfants, les adolescents âgés de 10 à 14 anset leurs parents sur la région de Guadeloupe.

Objectifs pédagogiques - Développer une offre complémentaire d’activités physiques :. Dans le cadre du périscolaire pour les enfants,. Dans le cadre du loisir pour les adultes et familles,

- Augmenter d’au moins 60 minutes/semaine le temps d’activités physiques et de loisirs, - Informer et modifier les représentations des enfants, parents, professionnels et bénévoles de l’intérêt dela pratique d’activité physique,- Former l’ensemble des professionnels et des bénévoles des structures périscolaires et les enseignants

Moyens matériels : matériels et équipements sportifs Mallette « Bouge une priorité pour ta santé », ParcoursSanté Sécurisés Sportifs, salles, bureautique, informatique et communication-téléphone - fax - Internet –ordinateurs - imprimante, référentiel de formation et ensemble des outils de l’ingénierie de formation

Moyens humains : équipe de la « commission de coordination » : chargé de prévention de mutualité Française,coordinateurs de la CREFOC et chargée de projet de l’IREPS (3 porteurs du programme), équipes éducativesdes 2 collèges (Professeurs EPS, SVT, Mathématique, infirmière scolaire, CPE, Principale…), animateurs etéducateurs sportifs diplômés de Profession Sport et Loisirs, professionnels de santé (DJSCS, Réseau GRANDIR,rectorat), élus et agents des communes.

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

1. Mai 2012, l’INPES finance un projet du type ICAPS sur la Guadeloupe L’INPES annonce, que notre projet du type ICAPS est retenu, avec 8 autres projets au niveau national, pour ledévelopper sur la Guadeloupe. L’INPES assure un accompagnement d’évaluation et un suivi des projetsnationaux en organisant 3 rencontres sur Paris. Ce suivi était l’une des conditions pour obtenir le financementà hauteur de 61 500€. A partir de la réponse favorable, un comité de pilotage se crée et se réuni dans le butde lancer « un appel à candidature » pour déterminer les 2 collèges pilotes qui favoriseront de dix-huit mois

Résultats (rapport d’évaluation en cours)

Tous les élèves de 6ème de 2 établissements scolaires (collèges) dela région, leurs parents et familles.

Programme T’CAPS vs ICAPS « Tous Centrés sur l’Activité Physique pour préserver son capital Santé »

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de phase expérimentale. Le choix des collèges est orienté par trois indicateurs précis en rapport avec une populationdéfavorisée, avec un pourcentage élevé d’élèves en surpoids ainsi que le territoire géographique d’intervention. Ontété sélectionnés le collège BOIS RADA-LA BOUCAND à Sainte Rose et le collège SAINT-JOHN PERSE aux Abymes GrandCamp. Cette phase a nécessité la constitution et le fonctionnement d’un comité de pilotage, d’un groupe projet etd’une commission de coordination T’CAPS afin de coordonner et d’assurer la mise en œuvre du programmeexpérimental.

2. Septembre 2012, expérimentation de T’CAPS au collège de Bois Rada Sainte RoseLe programme s’est mis en œuvre de septembre 2012 à juin 2013 (conception, communication, planification,animation, réajustement d’actions et évaluation). Le développement du programme a été un succès. Il a offert aux 68élèves de 6ème, adhérant aux programmes, sur 120 scolarisés ainsi qu’à leurs parents environ 30 :

• 3 activités physiques attrayantes et sécurisés hebdomadaires à la pause méridienne plus 1 activité le soir aprèsl’école,

• 3 manifestations sportives en familles à destination des enfants et de leurs parents,• L’accès à la 1ere licence UNSS ainsi que la délivrance d’un certificat médical gratuitement par le médecin

coordonnateur du réseau de santé « Réseau grandir »,• une formation sur des temps d’échange auprès des enseignants impliqués dans le projet sur un outil porté par la

Mutualité française « Bouge….Une priorité pour ta santé »,• une formation « sport santé bien être » aux agents territoriaux de la commune de Sainte Rose.

3. Janvier 2013, mise en place de T’CAPS à Saint John Perse aux Abymes En décembre 2012, le collège Abyme Bourg choisit depuis mai 2012, a dû être remplacé par le collège Saint John Persepar manque d’adhésion de la part des élèves et de leurs parents. Cependant, une difficulté se démarquait, celle de nepas obtenir l’inscription des élèves escomptée en vue d’une année scolaire bien commencée. C’est pourquoi, unedemande de report d’activité (septembre 2013 à juin 2014) auprès des financeurs, a été sollicitée et accordée. Parconséquent, le programme s’est mis en œuvre dès le second trimestre de l’année scolaire 2012/2013 en favorisant deuxétapes de la méthodologie de projet : la communication et la promotion du programme. Plusieurs supports de communication ont été réalisés et utilisés pour une diffusion large :

• Un flyers présentant le programme T’CAPS,• Une affiche 80 x 120 pour informer sur le programme T’CAPS,• Un reportage vidéo de 9 minutes qui promeut l’activité physiques

4.Septembre 2013, expérimentation de T’CAPS à Saint John Perse aux Abymes

En septembre 2013, le programme se lance et offre aux 107 élèves de 6ème, adhérents au programme, sur les 150scolarisés :

• 6 activités physiques à la pause méridienne et 2h le jeudi après-midi qui est un temps dédié à T’CAPS sur l’emploidu temps des élèves de 6ème,

• une formation sur des temps d’échange auprès des enseignants impliqués dans le projet sur un outil porté par laMutualité française « Bouge….Une priorité pour ta santé »,

• une manifestation pour réaliser les tests de la condition physique des jeunes au travers d’outils et d’exercices.

Ces actions sont en cours de réalisation et seront poursuivies jusqu’à juin 2014.

Conclusion Ce programme expérimental pour notre région arrive à sa fin. A ce jour, l’élaboration du bilan est en cours de traitement(synthèse, analyse et évaluation des données recueillis) rendant accessible les résultats de l’évaluation et permettre deformuler des propositions de reproductivité. Le soutien de nos partenaires notamment l’Agence Régional de Santé encollaboration avec le Rectorat sont convaincus des effets bénéfiques du programme pour son déploiement afin de lemodéliser et de le pérenniser sur l’ensemble des collèges publics sur l’archipel Guadeloupéen pour 3 ans. Il ’agit biende maintenir une approche socio écologique et systémique en créant des liens et des complémentarités entre les actionset les acteurs déjà existant. Adapté à notre contexte et associé à d’autres programmes nutritionnels tels que TiKarambol et « Les écoles Caramboles », T’CAPS est centré sur un objectif commun celui de promouvoir l’alimentationet l’activité physique pour acquérir une « belle » qualité de vie et une « bonne » santé. T’CAPS s’inscrit dans unedémarche de santé communautaire pour laquelle il repère et identifie les partenaires financeurs et/ou opérationnelsqui souhaitent s’investir dans une stratégie de territoire « activité physique ». Par conséquent, l’équipe projet vaélaborer un ouvrage « Guide T’CAPS » étant l’exemple des typologies d’actions de promotion de l’activité physiques’appuyant sur le modèle socio-écologique de la santé et sur une stratégie d’intervention multi-niveau.

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Rapport d’act iv ité 2012 - IREPS 49

ssurer la formation

initiale et continue

A

Mission 4

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 51

Education Thérapeutique du PatientE.T.P.

Professionnels médicaux, paramédicaux, médico-sociaux et administratifs rattachés à des structures de soins(publiques ou privées) ou en exercice Libéral.

ARS, URPS, RESEAUX de SANTE, ETABLISSEMENTS DE SANTE

Participants

Les formateurs privilégient une approche participative par des exercices pratiques collectifs, des tempsd’échanges et des apports théoriques.

L’Archipel de la Guadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy

Objectif GénéralAcquérir et/ou renforcer les compétences nécessaires à la mise en place d’actions en éducation thérapeutiquede patients, porteurs de maladies chroniques.

Moyens matériels et de communication : salle de formation, ordinateur, téléphone, vidéo projecteur,Référentiel FNES relatif à l’ETP, décret d’application, téléphone, fax, email, courrier

Moyens humains : formateur, consultant, équipe Ireps

2 sessions de formation se sont tenues :- 22, 23, 24 mai - 17, 18,19 et 20 juin 2013- 16, 17, 18 septembre - 14, 15, 16 et 17 octobre 2013 dans les locaux de l’IREPS Jarry

24 personnes ont participé à ces deux formations (infirmières libérales, psychologues, diététiciennes,manipulateur radio, Réseau Grandir, Karukera Onco, UDAF, CHBT, CHU, Clinique de Choisy, Centre HospitalierSainte Marie…)

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectif

Moyens

Résultats

L’évaluation de cette formation met en évidence un niveau de satisfaction des participants élevé,notamment en ce qui concerne la clarté du contenu, son adéquation avec les besoins de leurs activitésprofessionnelles, et leurs attentes personnelles, l’acquisition de connaissances en méthodologie, la qualité del’animation et des méthodes pédagogiques utilisées, et enfin la volonté accrue des participants de mener unprojet suite à cette formation. La qualité et richesse des échanges, ainsi que les mises en situation à partirdes projets des participants, ont souvent été soulignés comme points forts de la formation.

Evaluation

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 53

Acteurs du sport, de l’éducation (éducateurs sportifs, dirigeants, enseignants, agents de la jeunesse et sport…)et acteurs de la santé (médecins, kinésithérapeutes…) souhaitant s’impliquer dans la mise en place d’actionsde prévention des conduites dopantes et addictives en milieu sportif en Guadeloupe.

Pré requis : Les participants s’engagent à animer au moins une séance collective de prévention des conduitesdopantes et/ou addictives dans le milieu sportif dans les 6 mois suivant la formation.

DJSCS, CSAPA BT (chargés de prévention, infirmière en addiction), Association « ICAR » la prévention en scèneet Psychologue clinicienne

MILDT, DJSCS

Formation.

CREPS des Abymes

Objectif général de la formationPromouvoir une pratique d’activité physique et sportive de qualité, favorable à la santé.

Objectifs pédagogiques - Disposer d’une connaissance opérationnelle et actualisée du contexte et des enjeux relatifs aux conduitesdopantes et pratiques addictives (concepts, épidémiologie, produits et procédés dopants, cadrelégislatif…),

- Entendre et faire émerger les demandes des sportifs dans le champ des conduites dopantes et pratiquesaddictives,

- Construire et animer une action de prévention individuelle ou collective ; - Proposer une démarche de prise en charge sanitaire et psychologique des sportifs et sportives engagé(e)sdans une conduite dopante ou pratique addictive

Matériels : bureautique, informatique et de communication- Plaquette de formation - Bulletins d’inscriptionCourriers - Supports power point - Outils d’interventions – téléphone - fax - Internet – vidéo projecteur,ordinateurs - paper board, feutres.

Moyens humains : médecin conseiller de la jeunesse et des sports, Professionnels des Centres de Soinsd’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (animateur de prévention, psychologue, infirmière…), 2comédiens-formateurs de l’association « ICAR », Psychologue clinicienne CHU Abymes, 1 Chargée deprojet/formatrice, secrétaire/assistante en ingénierie et Directrice de l’IREPS.

Cette formation est la 4ème édition qui a réunis 22 participants sur cinq demi-journées de 5h soit une duréetotale de 25h les samedis de 8h30 à 13h30. A chaque édition, on observe une augmentation croissante dunombre d’inscrits. Ce phénomène s’explique par le fait qu’il existe un réel besoin sur le territoire autour de

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats (Un rapport d’évaluation détaillé est disponible à l’IREPS)

Formation animateurs de prévention des conduites dopantes et addictives

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la problématique des conduites dopantes et pratiques addictives et que l’on identifie de véritables attentesdans le champ de la prévention et d’éducation pour la santé. A ce jour, 80 animateurs de prévention sontformés. C’est pourquoi, la collaboration étroite entre la Direction de la Jeunesse des Sports et de la CohésionSociale et l’IREPS de Guadeloupe sont dans la mise en œuvre de la 5ème édition de la formation qui démarreen février 2014.

Parallèlement, pour répondre à une volonté des animateurs de prévention formés et de constituer un réseaude personnes ressources, le duo partenarial (DJSCS et IREPS) a mis place en novembre 2013 « un rendez-vousdes animateurs de prévention » dont les objectifs pédagogiques sont de recenser les actions réalisées sur leterritoire et identifier celles qui fonctionnent de celles qu’il faudrait améliorer et de celles nécessitant unaccompagnement méthodologique auprès des acteurs de terrain. L’idée étant d’apporter une cohérence dansles différentes actions d’éducation et de promotion de la santé. Ce rendez-vous s’est organisé sous la formed’un séminaire d’une journée de 7h avec la participation des comédiens et formateurs de l’association DEIXISafin d’apporter, un perfectionnement sur « les jeux de rôles ».

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 55

Professionnels médicaux, paramédicaux, médico-sociaux et administratifs rattachés à des structures de soins(publiques ou privées) ou en exercice Libéral.

AC3S

Participants

Les méthodes s’appuient sur l’analyse des pratiques, sur des travaux en sous-groupe, sur des études de cas et jeuxde rôles afin d’aboutir à une méthode constructiviste.

L’Archipel de la Guadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy

Identifier son rôle et sa fonction de formateurs, maitriser les principes fondamentaux de la pédagogie,concevoir et développer des actions de formations. Animer avec efficacité des sessions de formation.

Moyens matériels et de communication : salle de formation, ordinateur, téléphone, vidéo projecteur,téléphone, fax, email, courrier

Moyens humains : formateur.

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Formateurs occasionnels

1 session de formation s’est tenue :- 3, 4 et 5 décembre 20138 personnes ont participé à cette formation (équipe mobile de soins palliatifs du CHBT, cadre de santé ettechnicienne d'information médicale du CHBT)

Résultats (en cours)

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 57

Agents chargés d’accueil et de clientèle au sein d’une banque.

CHM de Montéran

CEPAC PACA

Conférence et débats

Pointe-à-Pitre

Objectif GénéralMieux comprendre le handicap psychique pour une meilleure gestion professionnelle des personnes souffrantde ce handicap

Moyens matériels et de communication : salle de formation, ordinateur, téléphone, vidéo projecteur,téléphone, fax, email, courrier

Moyens humains : médecin-psychiatre

1 séminaire s’est tenu le 12 novembre 2013

20 cadres du CEPAC – Guadeloupe ont participé à cette formation

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

Sensibilisation au handicap psychique en entreprise

Temps d’échange très court Les connaissances sont à approfondir avant d’envisager des positionnements plus adaptés

Evaluation

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS 59

ontribuer à la

concertation,

à la coordination et

à la communication

C

Mission 5

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 61

Matinée de prévention « Précarité & Alimentation »

Professionnels du champ sanitaire, social et médico-social travaillant en institutions ou au sein d’associations

CUCS Agglomération Pointoise, DJSCS, ORSaG, DAAF, Agence de Santé de Guadeloupe (ARS), Saint-Martin et deSaint-Barthélemy

INPES,

Journée d’échange de pratique

Archipel de la Guadeloupe, Collectivités de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy

Objectifs de la campagne- Faire connaître la dynamique territoriale existante,- Favoriser une rencontre entre professionnels concernés,- initier une réflexion pour relancer des actions de formation et d’animation en lien avec la thématique,

Humains : Chargée de diffusion et de communication, infographiste, Directrice de l’IREPS, assistanteingénierie, Documentaliste,

Matériels et techniques : Plaquettes programme – Bulletins d’inscription – courriers, supports power point,moyens de communication (téléphone, fax, Internet), déplacements, vidéo projecteurs, salle

La matinée de prévention sous le thème « Précarité et Alimentation » s’est tenue le 17 décembre à la Maisondes Adolescents à Trioncelle BAIE-MAHAULT.Initiée par l’IREPS dans le cadre du Pôle de compétences en Education et Promotion de la santé, cetterencontre a été co-organisée avec le CUCS Agglomération Pointoise.

Elle a rassemblé 50 professionnels de santé, du social, de l’éducation, associatifs et bénévoles.

La matinée a été consacrée à une présentation d’une analyse d’enquête sur « les bénéficiaires de l’aidealimentaire de Guadeloupe» réalisée par l’ORSAG, suivie d’une table Ronde autour du thème « Mieuxaccompagner les personnes en situation de précarité dans leur proximité ».La table ronde a été animée par divers professionnels : conseillère en hygiène alimentaire, responsable del’Epicerie solidaire, assistante sociale CCAS, diététicienne.

Pages suivantes les résultats de l’évaluation de cette matinée de prévention

Financeurs

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS 63

ournir un conseil

méthodologique

et Participer à la définition

des politiques de santé

F

Mission 6 et 7

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 65

Outil d’Observation et de Suivi Cartographique des ActionsRégionales de Santé - O.S.C.A.R.S

Professionnels du secteur sanitaire, social, de l’éducation, acteurs relais et décideurs concernés par desactions de prévention et d’éducation pour la santé, et le grand public.

ARS, CRES, PACA, Mutualité Française, DJSCS, CUCS, CAP Excellence, Cnseil Général, Politique de al ville deBaie-Mahault

ARS

Mise en ligne d’un logiciel

L’Archipel de la Guadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy

Développer la qualité des programmes et des actions d’éducation pour la santé mis en œuvre sur la région

Objectifs spécifiques • Identifier, connaitre et valoriser les acteurs et actions d’éducation pour la santé sur la région Guadeloupe,• Accompagner les promoteurs d’actions d’EPS de la région dans le montage, le suivi et l’évaluation deleurs projets,

• Etre une ressource pour les décideurs et les institutions en matière d’éducation et de promotion de la santé.

Moyens matériels et de communication : logiciel OSCARS, salle, ordinateur, téléphone, vidéo projecteur,téléphone, fax, email, courrier

Moyens humains : opérateurs de saisie équipe IREPS et autres institutions

Saisie des actions :La saisie dans Oscars nécessite des compétences méthodologiques en promotion et éducation pour la santé,notamment la maitrise de l’outil de catégorisation des résultats de Promotion santé Suisse. La saisie se faitprincipalement à partir des demandes de subventions (dossier COSA) qu’il est parfois nécessaire de reformuleren fonction des règles de saisie dans Oscars. Les dossiers n’étant pas dématérialisés, la saisie demande untemps supplémentaire.

La présentation de chaque action est soumise à la validation de son porteur dès sa mise en ligne. Si nécessaire(dossier incomplet), et à la demande des porteurs, des conseils et accompagnements méthodologiquespeuvent être assurés.

Des professionnels de l’IREPS et d’autres institutions ont bénéficié de formations pour recenser et valoriserles actions, les outils et les porteurs de projets.

La DJSCS a sollicité l’IREPS pour faire la saisie de ses dossiers 2013, mission d’actualisation confiée à l’un deses salariés, Madame Angie THEODORE.

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

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Dans un premier temps Lydie VIGOUREUX l’a formée à partir des dossiers de la DJSCS. OSCARS restant un outil complexe qui comporte plusieurs niveaux de visibilité liés à des validations, la formationd’Angie THEODORE est envisagée courant avril 2014 auprès des concepteurs, le CRES PACA, sur notamment les notionsde programme et de catégorisation.

Elle sera à l’issu administrateur régional sous l’égide de la Directrice de l’IREPS Guadeloupe. L’administrateur nationalest Nathalie CORNEC, CRES PACA.

OSCARS permet d'accéder rapidement à une base de données détaillée des actions contribuant à l'atteinte des objectifsdes Plans régionaux de santé publique des régions représentées, de déterminer la couverture territoriale de chacuned'entre elles, d'identifier les acteurs, les partenaires et les financeurs. Outil dynamique, OSCARS permet des recherchesmulticritères ainsi que des analyses croisées. Des recherches selon de nombreux critères sont possibles : par territoirede santé, commune, nom du porteur, type de structure, caractère de l'action (régionale, reconduite), par financeur, parpartenaire, ou encore par plan national… Une analyse statistique des résultats de chaque recherche est égalementproposée, exportable dans un tableau Excel. L'accès national permet des recherches et des analyses inter-régionales oupour l'ensemble des régions représentées.

Au 31 décembre 2013, 72 programmes/actions de santé ont été saisis et sont consultables en ligne (15 concernent desfinancements 2011, 26 des financements 2012 et 31 des financements 2013), ainsi que 30 acteurs/structures ressources.La collecte reste épisodique et les actions répertoriées sont insuffisantes.

Des demi-journées de présentation d’OSCARS ont été organisées pour d’une part, promouvoir l’outil et d’autre partpermettre le repérage d’acteurs et actions, à intégrer à la base.

L’IREPS présente l’organisation de son travail à partir de 2014 autour des trois axes deCollecte : repérage, choix à déterminer par l’institution si besoin appui possible à l’IREPS, informatisation des dos-siers indispensable, dossiers world.Validation : en interne et là encore appui possible (ex d’un multi-financement) ou arbitrage si concepteurs Oscars Coordination : une organisation du travail est suggérée afin de mettre progressivement en place des étapes de tra-vail pour en développer son efficacité , légitimer son pilotage et construire une identité régionale puis peut-êtreinter-régionale à OSCARS. Redynamisation du réseau OSCARS.

Evaluation

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 67

Service de Conseils et Accompagnements méthodologiques

Professionnels du secteur sanitaire, social, de l’éducation, et personnes relais concernéespar des actions de prévention et d’éducation pour la santé agissant sur l’archipel de laGuadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy.

Le CUCS agglomération Pointoise, la Mutualité française Guadeloupe, ARS,

INPES – ARS

Conseil Accompagnement Méthodologique et expertise

L’Archipel de la Guadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy.

Offrir et renforcer un appui méthodologique de qualité aux promoteurs de projets d’éducation et/ou depromotion de la santé, sur l’Archipel de la Guadeloupe, les collectivités de Saint Martin et Saint Barthélémy.

Moyens matériels et de communication : salle, ordinateur, téléphone, papier, feutres, vidéo projecteur,Référentiel FNES relatif à la démarche qualité, dossier documentaire INPES « Conseiller : des compétences,des méthodes et des outils », téléphone, fax, email, courrier

Moyens humains : directrice, chargés de projets, animateur du pôle, documentaliste et chargée de diffusionde l’IREPS et personnels des partenaires.

En 2013, 7 conseils méthodologiques en 19 séances ont été assurés par les conseillers méthodologiques del’IREPS aux acteurs individuels.

3 Séances et 4 réunions pour venir en soutien à l’ARS dans le cadre des Projet nutrition et Plan Chloredécone

Pour l’Education Nationale 4 Projet d’établissement scolaire au travers des CESC

Dans le cadre de soutien aux politiques locales ce sont 2 conseils qui ont été fournis

Toutes les étapes de la démarche de projet sont abordées : conception du projet, définition de la méthoded’intervention, organisation, choix des thématiques, recherche de partenaires, outils d’animation, définitionde l’évaluation de l’action…Les prises de contact se sont faites par entretien téléphonique, ou physique, de même que les conseilsMéthodologiques lors d’entretiens à l’IREPS Basse-Terre ou Grand Camp ou à domicile chez les demandeurs,ou de façon dématérialisée. En conclusion toutes ces réunions qui ont été organisées avec obligatoirement une rencontre physique avecun conseiller méthodologique. Les entretiens sont compris entre 1 et 6 rendez-vous et ont une durée moyenned’1h30 par rencontre.

Par ailleurs, 2 Réunions du COTECH CAM ont été organisées en juillet et octobre 2013

Entre 5 à 8 personnes présentes lors de ces réunions.

Financeur

Publics concernés

Partenaires

Type d’action

Site d’action

Objectifs

Moyens

Résultats

PEPS

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68

Le CAM individuel reste plus facile à mettre en œuvre. Les développements de CAM collectifs multipartenariaux restent à construire.

De nouveaux conseillers sont actuellement approchés. Leur collaboration permettra de structurerdéfinitivement le processus de CAM. La concrétisation de leur intervention se fera en 2014.

L’implication des différents acteurs résulte souvent d’une implication des décideurs. Le conseilméthodologique s’appuie sur un consensus préalable autour de chaque projet.

Le déploiement du logiciel OSCAR SANTE sera un outil facilitateur pour les professionnels plus enclins àrecourir aux conseils méthodologiques pour l’amélioration et la professionnalisation de ces acteurs.

Evaluation

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ACCORS : ACcompagnement Orientation etRéinsertion Sociale

AGIS : Association Guadeloupéenne pourl’Insertion Sociale

ADI : Agence Départementale d’Insertion

ARH : Agence Régionale de l’Hospitalisation

ARS : Agence Régionale de Santé

CAF : Caisse d’Allocations Familiales

CAREC : Caribbean Epidémiology Centre

CG : Conseil Général

CH : Centre Hospitalier

CGSS : Caisse Générale de Sécurité Sociale

CHBT : Centre Hospitalier de Basse-Terre

CHM : Centre Hospitalier de Montéran

CHRS : Centre d’Hébergement et deRéinsertion Sociale

CUCS : Contrats urbains de cohésion sociale

CHSM : Centre Hospitalier de Saint-Martin

CHU/CHRU : Centre Hospitalier RégionalUniversitaire

CIDDIST : Centre d’information, de diagnosticet de dépistage des IST (remplace les CDAG)

CIRDD : Centre d’information et de Ressourcessur les Drogues et les Dépendances

CISIH : Centre d’information et de Soins surl’ImmunodéficienceCMPES : Comité Martiniquais de Prévention etd’Education pour la Santé

CRIJ : Centre Régional Information Jeunesse

CNAMTS : Caisse Nationale d’Assurance Maladiedes Travailleurs Salariés.

CNASEA : Centre National pour l’Aménagementdes Structures des Exploitations Agricoles

COREDAF : Comité de Réflexion d’Action et deFormation en vue de la Prévention des Déviances Psycho-sociales

CR : Conseil Régional

CSAPA : Centre de Soins d’Accompagnement etde Prévention en Addictologie

DASD : Direction des Actions de SolidaritéDépartementale

DATIS : Drogues Alcool Tabac Info Service

DDJS : Direction Départementale de laJeunesse et des Sports

DDPJJ : Direction Départementale de laProtection Judiciaire de la Jeunesse

DGS : Direction Générale de la Santé

DSDS : Direction de la Santé et duDéveloppement Social

FNES : Fédération Nationale d’Education et depromotion de la Santé

GIP : Groupement d’intérêt Public

GRSP : Groupement Régional de Santé Publique

INPES : Institut National de Prévention etd’Education pour la Santé

IFSI : Institut de Formation en Soins Infirmiers

IREPS : Instance Régionale d’Education et depromotion de la Santé

Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 69

Lexique

Lexique des organismes évoluant dans le champ de la santé publique, l’éducation pour lasanté et assimilés en Guadeloupe

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IUFM : Institut Universitaire de Formation desMaîtres

MILDT : Mission Interministérielle de Luttecontre la Drogue et la Toxicomanie

ODESSA : Observatoire Départemental Social etSanitaire

OFDT : Observatoire français des drogues etdes toxicomanies

OMS : Organisation Mondiale de la santé

OSM : Observatoire de la Santé de laMartinique

ORS : Observatoire Régional de la Santé

ORSaG : Observatoire Régional de la Santé dela Guadeloupe (ex ODESSA)

OIH : Observatoire des Inadaptations et desHandicaps

PAHO : Pan American Health Organization -Organisation Pan Américaine de la Santé

PMI : Protection Maternelle et Infantile

PJJ : Protection Judiciaire de la Jeunesse

PNNS : Programme National Nutrition Santé

PRAPS : Programmes Régionaux d’Accès à laPrévention et aux Soins

PRS : Programme(s) Régional(aux) de Santé

PRSP : Plan Régional de Santé Publique

RAG : Réseau Addictions Guadeloupe

RSS : Réseau Social Santé

SCEP : Service Club et Equipe de Prévention

SREPS : Schéma Régional d’Education Pour laSanté

SROS : Schéma Régional d’OrganisationSanitaire

STOP : Soutien aux Toxicomanes et à leursProches

UAG : Université Antilles-Guyane

URML : Union Régionale des Médecins Libéraux

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Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS 71

A nnexes

• Visuels de la Campagne Semaine européenne de la

vaccination 2013

• Visuels du programme T’CAPS

• Visuels du Programme «Les Ecoles Carambole»

•Visuels des documents du programme Jafa

•Visuels catalogue de formation 2013 de l’Ireps Guadeloupe

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 73

. Visuels de la Campagne Semaine européenne de la Vaccination 2013

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. Visuels du programme T’CAPS

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 75

. Visuels du Programme «Les Ecoles Carambole»

Programme Régional

de Santé Guadeloupe

Livret enseignant - Cycle 1

Partager les plaisirs d'une vie en bonne santé avec des élèves de 3 à 6 ans en Guadeloupe

«

»

2012 / 2017

K bolT i aram

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. Visuels du Programme Jafa Guadeloupe

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. Catalogue de formation 2013 de l’Ireps Guadeloupe

Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe

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evue des acquisitionsR

Rapport d’act iv ité 2013 - IREPS 79

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 81

Population, Généralités, Inégalitéssociales de santé

1. Etat de santé en Guadeloupe, Guyane et Martinique[Etude] / PITOT Sandrine. - BASSE TERRE: Observatoire de lasanté de la Guadeloupe (ORSaG), mars 2013. - 8 p.

2. Infirmière de l'Éducation nationale [Ouvrage]/ BRISTOL-GAUZY Patricia, KERNEUR Christine.- Paris : MALOINE, 2011.- 202 p.

3. La couverture vaccinale contre la rougeole, la rubéole etles oreillons à 2 ans en Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy (2005-2010)[Etude]/ THEODORE Max, CORNELYVanessa, ORSaG. - Basse-Terre: Observatoire Régional de laSanté de Guadeloupe (ORSaG), novembre 2011. - 2p.

4. La recherche bibliographique en médecine et santépublique : guide d'accès [Ouvrage] / MOUILLET Evelyne. -2ème éd. - Paris : Editions Elsevier Masson, 2010. - 208 p.

5. Le Robert illustré & son dictionnaire internet 2014[Ouvrage]/ Paris: Le Robert, 05/2013.- 2100 p.

6. Les représentations du corps vieux [Ouvrage] / Paris :PUF, 2008. - 146p.

7. Minorités sexuelles, Internet et santé [Ouvrage] / LEVYJoseph Josy et al. - Québec : Presses de l'Université duQuébec, 2011 - xiv, 260 p. - Collection Santé et société . -Collection Santé et société.

Addictions, Comportements à risque,Prise en charge

8. Atlas des usages de substances psychoactives 2010.Analyses régionales du Baromètre santé de l'Inpes [Livre] /BECK François, GUIGNARD Romain, RICHARD Jean-Baptiste,LEON Christophe. - INPES, 2013. - 97 p. - (Etudes SantéTerritoires).

9. Centre d'expertise collective. - Editions Institut nationalde la santé et de la recherche médicale (INSERM), 2010. - 573p. - (Expertise collective).

10. Guide de l'accompagnement des personnes en difficultéavec l'alcool [Ouvrage]/ GOMEZ Henri. – 2ème éd. - Paris:Dunod, 2011.- 256 p.

11. L'envie de mourir, l'envie de vivre : un autre regard surles adolescents suicidants [Ouvrage] / ALVIN Patrick,DEBOUT Michel, HUAULT Gilbert et al. - 2e éd. - Rueil-Malmaison : Doin-Lamarre, 2011. - 256 p.

12. Les consommations de drogues en population générale :Entre représentativité des enquêtes et représentations desusages [Ouvrage] / BECK François. - [Allemagne] : EditionsUniversitaires Européennes, 2011. - 386 p.

13. Prévention des toxicomanies : Aspects théoriques etméthodologiques [Ouvrage] / BRISSON Pierre. - Les Presses del'Université de Montréal, 2010. - 301 p. - (Paramètres).

14. Rapport annuel 2013 sur l'état du phénomène de ladrogue dans l'Union européenne et en Europe [Etude /Rapport] / Observatoire Européen des Drogues et de laToxicomanie (OEDT). - Luxembourg : Office des publicationsofficielles des Communautés Européennes, 05/2013. - 74 p.

15. Réduction des risques infectieux chez les usagers dedrogues [Ouvrage] / Paris : Institut national de prévention etd’éducation pour la santé (INPES), Crips Île-de-France, 2009.-72p.

16. Tabac, alcool, drogues: la prévention au lycée [Ouvrage]/JOURDAN Didier, PIZON Franck.- Paris: L'Harmattan, 2010.-256 p.- Savoir et formation.

Nutrition, Alimentation, Activité physique17. La démarche atelier santé ville. Des jalons pour agir[Ouvrage] / MANNONI Chantal. - Paris : Profession Banlieue,2008. - 218 p.

18. Surcharge pondérale, surpoids et obésité à l’entrée aucours préparatoire (Guadeloupe et Iles du Nord) Annéescolaire 2011-2012. [Etude] / CORNELY Vanessa, THALMENSYKattia. - BASSE TERRE: Observatoire de la santé de laGuadeloupe (ORSaG), janvier 2012. - 4 p.

19. Surcharge pondérale, surpoids et obésité en Grandesection de maternelle (Guadeloupe et Iles du Nord) Annéescolaire 2011-2012 [Etude] / CORNELY Vanessa, THALMENSYKattia. - BASSE TERRE: Observatoire de la santé de laGuadeloupe (ORSaG), janvier 2012. - 4 p.

Education pour la santé, Education dupatient

20. Education thérapeutique du patient : Modèles, pratiqueset évaluation [Ouvrage] / FOUCAUD Jérôme, BURY JacquesA., BALCOU-DEBUSSCHE Maryvette, EYMARD Chantal. - Paris: INPES, 2010. - 408 p. - (La santé en action).

21. Eduquer à la santé : "Pour une école en bonne santé"[Ouvrage] / CHALON Liliane. - Lyon : Chronique Sociale,2011. - 160 p. - (Pédagogie Formation: l'essentiel)

22. A vos marques, Prêts... Bougez ! Et sportifiez-vous ! : Lasanté et le bien être par l'activité physique [Ouvrage] /BACQUAERT Patrick, MATON Frédéric. - Paris [FRANCE] : LesEditions Chiron, 2009. - 288 p: Ill. en couv, tabl. - (Sport etSanté).

23. Agir pour la promotion de la santé. Une politique ouverteà l’innovation ? [Ouvrage] / CHERUBINI Bernard.- Paris:Edition Erès, 2011.- 224 p.- Action santé.

24. Education thérapeutique : Prévention et maladieschroniques [Ouvrage] / SIMON, Dominique, et al. - 2 éd. - Issyles Moulineaux: Masson, 2009. - 307 p. - (Abrégés demédecine).

Revue des acquisitions 2013

Ouvrages, rapports

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82

Méthodes et pratiques en Educationpour la santé

25. « L'évaluation : contextes et pratiques », Actes de larecherche en sciences sociales, n°189, septembre 2011, 103p.- Paris: Seuil, 2011.

26. Bien s'entendre pour apprendre : Réduire les conflits etaccroître la coopération, du préscolaire au 3e cycle [Ouvrage]/ CANTER Lee, PETERSEN Katia. - Montréal- Québec [Canada]: Chenelière Education, 2003. - 181 p. - (Gestion de classe -Chenelière Didactique).

27. Communication et santé : enjeux contemporains [livre] /ROUTIER Cédric, D'ARRIPE Agnès. - Villeneuve d'Ascq: Pressesuniversitaires du Septentrion, 2010. - 275 p. - Santé etsciences sociales.

28. Démarche qualité pour les associations intervenants enpromotion de la santé [Ouvrage] / HAMEL Emmanuelle,BODET Emilie. - Editions INPES, 2012. - 116 p. - (La santé enaction).

29. Eduquer et Former : Connaissances et débats enEducation et Formation [Ouvrage]/ FOURNIER Martine.-Auxerre : éd. Sciences humaines, 2011.- 480p.

30. Image et santé. Matériaux, outils, usages [Ouvrage]/DOUGUET Florence, FILLAUT Thierry, SCHWEYER François-Xavier. - Rennes: Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique,2011. -Recherche - Santé - Social

31. Jeux et jeux de rôle en formation : toutes les clés pourréaliser des formations efficaces [Ouvrage] / COURAUSophie. - Issy-Les Moulineaux: ESF, 2006. - 175 p. - Entreprise.

32. L’évaluation en 9 étapes. Document pratique pourl’évaluation des actions santé et social. [Ouvrage]. - Lyon :Espace Régional de Santé Publique (ERSP), 2008. - 34 p.

33. L'écoute : Attitudes et techniques [Ouvrage] / ARTAUDJean, DE PERETTI André, et al. - 7ème éd. - Lyon : ChroniqueSociale, 2011. - 175 p. - (Savoir communiquer).Les outilsd'excellence du formateur : Tome 2: Concevoir et animer dessessions de formation [Ouvrage] / COURAU Sophie. - 9èmeédition. - Issy-les-Moulineaux cedex : ESF Editeur, 2011. - 187p. - (Collection formation permanente; n° 99).

34. Nouvelles approches de la prévention en santé publique -L'apport des sciences comportementales, cognitives et desneurosciences [Etude / Rapport] / OULLIER Olivier,SAUNERON Sarah, Centre d'analyse stratégique. - LaDocumentation Française, 2010. - 191 p. - (Rapports etdocuments; n° 25)

Population

35. Les dimensions insoupçonnées de la santé au travail[Ouvrage] / GUILLEMIN Michel.- Paris: L'Harmattan, 2011.-283p. - Questions Contemporaines.

36. Le droit à la santé des personnes handicapées mentaleset psychiques [livre] / CECCOTTO Raymond, FICHE Gisèle,MACON Hélène et al. - Rennes : ENSP, 2007. - 202 p.

37. Informer les personnes aveugles ou malvoyantes. Partaged’expériences [Ouvrage]/ ALLAIRE Cécile, Institut national deprévention et d’éducation pour la santé (INPES).- Saint-Denis: Institut national de prévention et d’éducation pour la santé(INPES), 2012.- 57 p.

38. Informer les personnes sourdes ou malentendantes.Partage d’expériences [Ouvrage]/ ALLAIRE Cécile, Institutnational de prévention et d’éducation pour la santé (INPES).-Saint-Denis : Institut national de prévention et d’éducationpour la santé (INPES), 2012.- 61 p.

Economie de la santé, Protection sociale, Lutte contre lesexclusions

39. Précis de santé publique et d'économie en santé[Ouvrage] / BRIGNON Jean, GALLOUJ Camal. - Rueil-Malmaison : Editions Lamarre, 2011. - 309 p.

40. La protection sociale en France [Ouvrage]/ deMONTALEMBERT Marc.- 6e éd. - Paris: La documentationfrançaise, DL 2013.- 1 vol.- 351 p. - (Les Notices de laDocumentation française)

41. Gouvernance de la santé, les acteurs institutionnels.[Ouvrage] / SIWEK Patricia. - Brignais : Le Coudrier, 2011. -191 p. - (Collection Synthèses et repères).

42. La protection sociale en France [Ouvrage]/ deMONTALEMBERT Marc.- 6e éd. - Paris: La documentationfrançaise, DL 2013.- 1 vol.- 351 p. - (Les Notices de laDocumentation française)

43. Journée santé précarité. Jeunes en situation devulnérabilité: accès à la prévention (dossier documentaire)[Rapport]/ Basse-Terre : IREPS Guadeloupe, octobre 2009

Politique de la santé, Planification,Santé publique

44. Evaluation du Programme national de lutte contre latuberculose 2007-2009 [Etude / Rapport] / France. HautConseil de la santé publique (HCSP). - Paris : LaDocumentation Française, 2010. - 103 p. - (Avis et rapports).

45. Plan Psychiatrie et santé mentale 2011-2015 [Etude /Rapport]. - France. Ministère de la santé, 2011. - 41 p.

46. Petit manuel d'analyse et d'intervention politique ensanté [Ouvrage] / O'NEILL Michel, ROCH Geneviève, BOYERMichel. - Québec : Les Presses de l'Université de Laval, 2011.- 275 p.

47. Santé de l'enfant : Propositions pour un meilleur suivi(Rapport)[Ouvrage]/ Paris : Les éditions INSERM, 2009.- 252p.- Expertise opérationnelle.

48. Famille et santé [Ouvrage]/CRESSON Geneviève,MEBTOUL Mohamed.- Rennes: Ecole des Hautes Etudes enSanté Publique, 2010.- 304 p.

49. Sante ́ publique : l'e ́tat des savoirs [2010]/ FASSIN Didier,HAURAY Boris.- Paris : La De ́couverte, 2010.- 536 p.

50. La santé dans l’espace public [Ouvrage]/ ROMEYERHélène.- Rennes: presse de l’EHESP, 2010.- 216 p .-Communication santé social

51. Politiques sociales et de santé : Comprendre et agir[Ouvrage] / RAYSSIGUIER Yvette, JEGU Josianne, LAFORCADEMichel. - Rennes: Presses de l'EHESP, 2008. -491p.Etablissement de santé et autres structures de soins,structures sociales

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Rappor t d ’act iv i té 2013 - IREPS Guadeloupe 83

52. La démocratie sanitaire à l'hôpital : entre utopie etréalité ? [Ouvrage]/ PELLASSY-TARBOURIECH Denise, BRUNNicolas, CARIA Aude, CHARBONNEL Aude et al. .- Paris:Lamarre, 2013.- 199 p.- (Fonction cadre de santé).

53. Maisons de santé. Une urgence citoyenne [Ouvrage]/DEPINOY Dominique.- Paris: Édition de Santé, 2011. - 216 p.

54. Monter et faire vivre une maison de santé [Ouvrage] / DEHAAS Pierre. - Brignais : Le Coudrier, 2010. - 173 p. -(Collection Partage d'expériences).

55. Maisons Régionales de la Santé : Guide à l'usage desporteurs de projet. De l'idée à la création d'une MaisonRégionale de la Santé [Ouvrage]/Comité Régional d'Educationpour la Santé Provence Alpes Côte d'Azur (CRES PACA).-Marseille: CRES PACA, 2013.- 70 p.

56. Conduire le changement à l'hôpital : de la communicationà l'hôpital apprenant [Ouvrage]/ MONCET Marie-Claude,DELANGHE Nathalie, DELANGHE Sylvain, VONEAU Anne-Marie.- Rueil-Malmaison: Lamarre, 2013.- 156 p.- (Fonctioncadre de santé).

57. Le planning à l'hôpital : entre réglementation du pouvoiret jeux de pouvoir [Ouvrage]/ BOURGEON Dominique.- Rueil-Malmaison: Lamarre, 2013. -243 p.- (Fonction cadre desanté).

Sociologie de la santé58. Care, justice et dépendance : Introduction aux théoriesdu Care [Ouvrage] / GARRAU Marie, GOFF LE Alice. - Paris :Editions Presses Universitaires de France (PUF), 2011. - 151 p.- (Philosophies; n°207).

59. Les médias et la santé : de l’émergence à l’appropriationdes normes sociales [Ouvrage] / RENAUD Lise. - Québec :Presses de l'Université du Québec, 2010. - 429 p. - (CollectionSanté et société).

60. Violences et santé en France : état des lieux [Etude /Rapport] / BECK François, CAVALIN Catherine, MAILLOCHONFlorence. - Paris: Direction de la recherche, des études, del’évaluation et des statistiques (DREES); Paris : LaDocumentation Française, 2010. - 274 p. - (Etudes etstatistiques).

61. Sociologie des risques domestiques : des accidentsinvisibles ? [Ouvrage]/ LALANNE Michelle.- Paris : Lavoisier,Tec et doc, 2010.- 200 p.

62. Philosophie pour les professionnels de santé : concepts etproblématiques [Ouvrage]/ LOMBARD Jean, VANDEWALLEBernard, MASQUELET Alain.- Paris : Seli Arslan, 2010. - 255p.

Environnement et santé63. Les 50 principales maladies professionnellesenvironnementales émergentes [Ouvrage] / DESCHAMPSFrédéric, BOULANGER-DESCHAMPS Sophie. - Paris: EllipsesEditions Marketing S.A., 2011. - 232 p.

64. Vers une action locale de promotion de la santéenvironnementale en Guadeloupe. Mémoire de Master 2[Rapport]/ GASCHET Anne-Lise.- Lille : Faculté des Scienceset Technologies, septembre 2013

Pathologie65. Le guide pratique du cancer en Guadeloupe [Ouvrage] /BENOIST Laurent, BEN-RAIS Alya; BOULANGER Jean-Marc,BELHAMOU Steve, VACQUE Daniel. - 2ème éd. - POINTE-A-PITRE : Karukéra Onco, 2012. - 87 p.

66. Comprendre le handicap psychique : Elémentsthéoriques, analyses de cas [Ouvrage] / MULLER Sébastien. -Nîmes : Champ Social Editions, 2011. - 201 p. - (Handicappsychique).

67. Complexité de la problématique, multiplicité des regardset diversité des pratiques. Intérêt des réseaux de santé enaddictologie ? Mémoire de D.U. addictologie/ COLLOMBATJulie. Université Victor Ségalen Bordeaux 2 : UFR de Sciencesmédicale, 2008. -79 p.

68. Santé Sexualité. Catalogue des outils de prévention/BAROT Cathy, CALLEJON Laurie, GUERY Stéphanie et al. IREPSPays-de-la-Loire, décembre 2012. – 215p.

Ouvrages Jeunesse1. Alex est handicapé [Ouvrage jeunesse] / DE SAINT-MARSDominique, BLOCH Serge, . - Paris : Calligram, 1998. - 45 p. -(Ainsi va la vie; 44).

2. Filles et garçons [Ouvrage jeunesse] / DOLTO Catherine,FAURE-POIREE Colline, MANSOT, Frédérick. - Paris : EditionsGallimard Jeunesse, 2007. - (Giboulées; 1).

3. Jérémy est maltraité [Ouvrage jeunesse] / DE SAINT-MARS Dominique, BLOCH Serge. – Paris : Calligram, 1997. -45 p. - (Ainsi va la vie; 36).

4. La copine de Lili a une maladie grave [Ouvrage jeunesse]/ DE SAINT-MARS Dominique, BLOCH Serge. - Paris :Calligram, 2003. - 47 p. - (Ainsi va la vie; 66).

5. Les aventures de Ti’ Moté [Bande dessinée]/. Pointe-à-Pitre: Réseau Grandir, 2013, 48 p.

6. Lili a peur de la mort [Ouvrage jeunesse] / DE SAINT-MARS Dominique, BLOCH Serge. - Paris : Calligram, 2009. -40 p. - (Ainsi va la vie; 90).Lili va chez la psy [Ouvragejeunesse] / DE SAINT-MARS Dominique, BLOCH Serge. - Paris :Calligram, 2001. - 45 p. - (Ainsi va la vie; 55).Max et

7. Lili veulent tout savoir sur les bébés [Ouvrage jeunesse]/ DE SAINT-MARS Dominique, BLOCH Serge, Illustrateur. -Paris : Calligram, 1999. - (Ainsi va la vie; 50).

8. On s'est adoptés [Ouvrage jeunesse] / DOLTO Catherine,FAURE-POIREE Colline, MANSOT, Frédérick. - Paris : EditionsGallimard Jeunesse, 2008. - (Giboulées; 13).

9. Vivre avec un handicap [Ouvrage jeunesse] / DOLTOCatherine, FAURE-POIREE Colline, MANSOT Frédérick. - Paris: Editions Gallimard Jeunesse, 2008. - (Giboulées; 57).

Outil d’intervention

1. Magnet santé : outil de sensibilisation à la santé et à laprévention des cancers à destination des publics en difficultéde compréhension de la langue française [Kit pédagogique] /CRES Provence- Alpes- Côte d'Azur. - Marseille : ComitéRégional d'Education pour la Santé Provence - Alpes - Côted'Azur (CRES PACA), 2010.

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2. Débats et dépendances. 77 questions pour débattre pourouvrir le dialogue avec les jeunes [Jeu de 80 cartes]/Compiègne: Compagnie Me Voici, 2010.

3. Plant an nou. Kaw vlé planté ? [CD-Rom]/

4. Les gestes qui sauvent : Premiers secours, Accidents de lavie courante, Risque routier, Catastrophes [DVD]/ AssureurPrévention Santé (APS).- Paris: ESV production, 2013

5. Le syndrome d'alcoolisation foetale : Education auxconduites responsables [Cassette vidéo / DVD] / BEGUINETChristian, Réseau de prévention du syndrome d'alcoolisationfœtale (REUNISAF). - Editions centre national dedocumentation pédagogique (CNDP), 2006. - 1 DVD, 115 min,coul., sonore+ 1 livret d'accompagnement 16 p. - (Ressourcesformation vidéo multimédia. Démarches et pédagogie).

6. Trainspotting [DVD]/ BOYLE Danny.- Londres: Polygram,1997.- 95 mn

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Mission interministérielle de luttecontre la drogue et la toxicomanie

www.drogues.gouv.fr

MINISTERE

DE L'ALIMENTATION

DE L'AGRICULTURE

ET DE LA PECHE

Remerciements à nos financeurs :

Instance Régionale d'Education et de Promotion de la Santé

6 Résidence casse, rue Daniel Beauperthuy, 97100 Basse-Terre

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2013