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Rapport de synthèse provisoire Atelier de validation De l’étude « Economie verte inclusive et transformation structurelle au Burkina Faso » Centre National des Archives, Ouagadougou, Burkina Faso 16 et 17 octobre 2014

Rapport de synthèse atelier EVI et TS au Burkina Faso...documentaire et ensuite une enquête de terrain qui a visé 35 structures et personnes physiques (ministères, ONG, etc.) choisies

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Rapport de synthèse provisoire

Atelier de validation De l’étude

« Economie verte inclusive et transformation structurelle au Burkina Faso »

Centre National des Archives, Ouagadougou, Burkina Faso 16 et 17 octobre 2014

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Sommaire 

A.  Introduction ................................................................................................................................. 3 

B.  Cérémonie d’ouverture ................................................................................................................ 3 

C.  Plénière 1 : Présentation des résultats de l’étude ........................................................................ 4 

D.  Introduction aux travaux de groupes ........................................................................................... 6 

E.  Plénière 2 : Déroulement et résultats des travaux de groupe ....................................................... 6 

F.  Prochaines étapes et fin de l’atelier ............................................................................................. 9 

ANNEXE I. Rapports des travaux de groupe ........................................................................................ 10 

ANNEXE II. Liste des participants ....................................................................................................... 26 

ANNEXE III. Rapport d’évaluation des participants ............................................................................ 30 

 

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A. Introduction

1. La réunion a examiné le projet de rapport en vue d'identifier les lacunes, fournir des contributions d'experts, proposer des modifications afin de le finaliser, et identifier les domaines d'intervention clés pour l'analyse en profondeur et le renforcement des capacités pour soutenir la formulation et la mise en œuvre de l'économie verte inclusive (EVI) dans le contexte de la transformation structurelle au Burkina Faso. Il a connu la participation de près de 60 experts et praticiens dans les domaines des outils liés à l’économie verte inclusive, la planification économique et le développement durable (la liste des participants est à l'annexe II).

2. Le présent rapport qui donne les principales conclusions de l’atelier s’articule autour des cinq (05) principaux points suivants :

(i) La cérémonie d’ouverture (ii) La présentation du rapport provisoire (iii)L’introduction aux travaux de groupe (iv) Les travaux de groupe et la discussion de leurs résultats en plénière (v) Les prochaines étapes, la fin de l’atelier et le questionnaire d’évaluation

B. Cérémonie d’ouverture

3. Elle fut marquée par les allocutions respectives de trois personnalités notamment, M. Soabou DIALLO, Directeur de la Prospective et de Planification Stratégique et Sectorielle au Ministère de l’économie et des finances (DPPSS/MEF), modérateur de l’atelier, M. Yacouba GNEGNE, représentant de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA) et M. Jean Baptiste OUEDRAOGO, Directeur général de l’économie et de la planification (DGEP/MEF), représentant Monsieur le Ministre de l’économie et des finances, patron de la cérémonie.

4. Avant ces allocutions, il faut souligner que le mot de bienvenue à l’ensemble des

participants ainsi que les différents objectifs de l’atelier ont été présentés par M. Soabou DIALLO.

5. Dans son intervention, M. Yacouba GNEGNE, au nom de la Commission

Economique pour l’Afrique (CEA), a souhaité d’abord la bienvenue à tous les participants qui ont bien voulu répondre favorablement à l’invitation des organisateurs. Ensuite, il a rappelé le contexte dans lequel est intervenu l’organisation de l’atelier, notamment la prise de conscience de la nécessité d’allier économie verte inclusive et transformation structurelle de l’économie dans le sens d’une croissance plus rapide, mieux partagé et durable. Enfin, il a ensuite présenté un bref aperçu de l’état des lieux de l’économie verte inclusive dans les pays africains et a par ailleurs insisté sur l’apport de ce concept à l’économie et son rôle central dans le développement au Burkina Faso. Il note que de manière générale, le Burkina Faso a déjà pris des mesures allant dans le sens de l’EVI, mais que ces dernières sont dispersées dans différents programmes, stratégies, mécanismes institutionnels divers.

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6. En conclusion, M. GNEGNE a exhorté l’ensemble des parties prenantes à ne ménager aucun effort pour apporter leur contribution de toute nature à l’amélioration du contenu du rapport qui, à la fin du processus, sera présenté comme un document pays.

7. A la suite de cette intervention, M. Jean Baptiste OUEDRAOGO, représentant le

ministre des finances, patron de la cérémonie a pris la parole. Il a aussi souhaité la bienvenue à tous les participants et a ensuite montré le grand intérêt pour le Burkina Faso à adopter ce concept d’économie verte inclusive au regard des impératifs de développement qui sont les siens. A la fin de son intervention, il a déclaré ouvert l’atelier sur l’économie verte inclusive et la transformation structurelle au Burkina Faso. C’est ce mot qui a mis fin à la cérémonie d’ouverture, immédiatement suivie de la présentation des résultats de l’étude.

C. Plénière 1 : Présentation des résultats de l’étude

8. Cette partie fut assurée par le Dr Damien LANKOANDE, consultant pour la réalisation de l’étude, Secrétaire exécutif du GRAAD. La présentation faite par le consultant a permis de comprendre le contexte dans lequel l’étude a été commanditée, les objectifs de l’étude, l’approche méthodologique adoptée et enfin les principaux résultats auxquels l’étude a abouti.

a) Contexte

9. Pour le Dr LANKOADE, aussi performante qu’elle soit, la croissance de l’économie burkinabè se présente comme étant faiblement, voire non, inclusive, dans la mesure où elle ne contribue que très peu à la création d’emplois et à l’amélioration générale du niveau de vie comme l’ont constaté la CEA en 2011 et la SCADD dans ses études préliminaires. Donc, il parait évident, au regard des politiques de développement mises en œuvres au Burkina Faso et de leurs résultats qu’une croissance rapide ne conduit pas automatiquement à une transformation structurelle, et à une baisse rapide de la pauvreté. D’où la nécessité de continuer la recherche de politiques et de stratégies plus appropriées pour traiter ces problèmes récurrents. Il présente dans ce contexte l’EVI alliée à la recherche active de la transformation structurelle comme une voie à suivre.

b) Objectif général

10. Au regard de la présentation faite, il apparaît que l’objectif général de l’étude était d’identifier et d’analyser la contribution et les liens entre les mesures et politiques pouvant être reliées à l’économie verte inclusive et la transformation structurelle de l’économie burkinabè. Mais, compte tenu du fait que le Burkina Faso n’a pas encore de politique formelle d’EVI, l’étude a cherché essentiellement à identifier les principes et pratiques existants et leur potentialité à transformer structurellement l’économie burkinabè.

c) Approche méthodologique

11. Cette partie a été introduite par un bref rappel des définitions de l’EVI et de la transformation structurelle. Par exemple, concernant l’EVI, il ressort que :

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12. Le PNUE définit l’économie verte comme « une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l’équité sociale tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources ».

13. Pour la CEDEAO, « l’économie verte est l’ensemble des activités conduisant à la

réduction de la pauvreté, la création d’emplois verts décents, des richesses et des revenus au profit de la population, qui assure le bien être global pour toutes les personnes tout en maintenant un environnement sain dans le respect des droits humains et de la contribution à la cohésion sociale ».

14. En vue de la cinquième édition de son Rapport sur le développement durable en Afrique, la CEA définit la croissance verte inclusive comme une croissance économique qui est inclusive, crée des emplois, améliore le bien-être humain (y compris la réduction de la pauvreté), utilise efficacement les ressources, et améliore les actifs environnementaux.

15. Quant à la transformation structurelle, elle est perçue comme l’état d’une économie à un moment donné, résultant d’un processus au terme duquel, grâce à la croissance économique, émerge une modification de la configuration sectorielle de l’économie par rapport à une période antérieure. Elle se définit essentiellement par une réduction de la part de l’agriculture dans le PIB et l’emploi, d’une urbanisation rapide résultant de la migration des zones rurales vers les zones urbaines, d’une économie moderne basée sur l’industrie et les services et en dernier lieu, une transition démographique vers des taux de natalité et de mortalité moins élevés.

16. Selon le consultant, le déroulement de l’étude s’est d’abord fait par une analyse documentaire et ensuite une enquête de terrain qui a visé 35 structures et personnes physiques (ministères, ONG, etc.) choisies sur la base de leurs liens avec le sujet traité et de leur appartenance à une institution ayant des rapports étroits avec l’EVI et/ou la transformation structurelle.

d) Principaux résultats

17. Selon le Dr LANKOANDE, au regard de ses caractéristiques et de ses impératifs de développement et aussi de sa dépendance vis-à-vis de l’environnement et des ressources naturelles, il est opportun pour le Burkina Faso de promouvoir une économie verte inclusive. Les analyses montrent qu’elle est compatible avec la vision de transformation structurelle qui peut être visée par le Burkina Faso.

18. La transition vers une économie verte inclusive visant la transformation structurelle implique la mise en œuvre d’un ensemble de mesures nouvelles qui vont au-delà des principes actuels même s’ils peuvent être jugés pertinents.

19. Pour réussir donc dans la promotion d’une EVI, la culture de l’évaluation doit être développée et renforcée. De plus, une implication des acteurs burkinabè et de l’ensemble des partenaires est essentielle pour la transition réussie vers l’économie verte inclusive.

20. A l’issue de la présentation, outre les rectificatifs et les amendements proposés par les participants au document, on peut noter des discussions, les grands points suivants :

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21. Des explications sur certains points ont été demandées, notamment sur la baisse de la part de l’agriculture dans le PIB dans le processus de TS, sur les critères d’appréciation (faible, moyen…)

22. La prise en compte de certains domaines transversaux qui ne semblent pas effective. Il s’agit des questions du genre et de la gouvernance.

23. En rapport avec les performances macroéconomiques enregistrées, des inquiétudes

portent sur la persistance de la pauvreté.

24. Par rapport au concept même d’EVI, les participants ont demandé à avoir un rapprochement entre ce concept et celui de développement durable.

D. Introduction aux travaux de groupes

25. Cette partie a été introduite par M. Jean-Luc MASTAKI, membre de la commission économique pour l’Afrique (CEA). Il a présenté les modalités d’organisation des travaux de groupes et ce qui en était attendu.

26. Pour démarrer, les participants ont été repartis en quatre (4) groupes de dix (10) et

chaque groupe a eu pour mission d’examiner une partie donnée du rapport de l’étude.

27. Le groupe no 1 a travaillé essentiellement durant l’atelier sur les politiques d’EVI, leur rôle et importance dans la promotion de la transformation structurelle et leurs liens/cohérence avec les politiques concernant directement la transformation structurelle au Burkina Faso

28. Le travail du groupe no2 a consisté à examiner les autres mesures d’accompagnement

en place, nécessaires ou avec potentiel de faciliter la transition vers une EVI et contribuer à la transformation structurelle au Burkina Faso.

29. Le travail du groupe no3 a été de voir les outils analytiques existant pouvant être

mobilisés pour une évaluation intégrée des politiques d’EVI et les stratégies pour informer la formulation des politiques, leur mise en œuvre, leur suivi et leur évaluation.

30. Pour le groupe no4, il s’agissait de faire ressortir les bonnes pratiques, facteurs de

succès et leçons apprises dans la formulation et la mise en place des politiques EVI au Burkina Faso.

E. Plénière 2 : Déroulement et résultats des travaux de groupe

31. Dans l’ensemble, les travaux de groupe se sont déroulés dans une parfaite convivialité. Ils ont été suivis de présentations et discussions en plénière. Comme prévu, des suggestions et des informations additionnelles ont été apportées par les groupes pour

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l’amélioration du contenu du rapport final de l’étude. Le rapport provisoire de l’étude a été amendé et approuvé par l’ensemble des différents groupes.

Commentaires généraux

32. D’une manière générale, les commentaires ont porté sur les points suivants :

33. La révision de la numérotation des titres;

34. La révision du sommaire pour faire correspondre les pages indiquées dans le sommaire et le document ;

35. L’actualisation de la page des sigles ;

36. La demande de restructuration du document. Sur ce point, une explication de la vision

qui explique cette démarche a été donnée par le représentant de la CEA, Monsieur Yacouba Gnègnè.

Lacunes et erreurs factuelles

37. En ce concerne ce point, la préoccupation la plus importante concerne des fautes

d’orthographes, de grammaire et de syntaxe. Deux groupes sur les quatre ont également demandé l’actualisation de certaines données qui étaient à leur avis relativement anciennes.

38. Toutefois, au regard des rapports des travaux de groupe il n’y a pas de remise en question du contenu du document. Dans l’ensemble tous les groupes ont validé les données contenues dans le rapport lors de la présentation des résultats.

Suggestions pour enrichir le rapport

39. D’une manière générale, les suggestions des différents groupes porte sur :

40. L’analyse par secteurs ;

41. L’analyse des composantes par secteurs tout en faisant le lien avec l’EVI ;

42. La reformulation des recommandations ;

43. La précision du coût actuel de l’EVI au Burkina Faso sur la base des différents outils utilisés dans le cadre de ses principes.

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Messages clefs

44. A travers les présentations des différents groupes, on note les messages clefs suivants :

45. Les principes de l’EVI se retrouvent dans toutes les politiques et stratégies mais il n’existe pas de politique globale consacrée à l’EVI. Il nous faudrait un cadre fédérateur pour mieux harmoniser les pratiques en matière d’EVI ;

46. Elaborer et mettre en œuvre une stratégie de communication sur l’EVI ;

47. Faire connaitre l’EVI et encourager toute initiative allant dans ce sens ;

48. Insérer dans le MC5 « l’industrie extractive » ; 49. Adopter une politique d’EVI au Burkina Faso ;

50. Intégrer le principe d’EVI dans les différentes politiques mises en œuvre au Burkina

Faso ;

51. Déterminer des indicateurs liés aux différents outils classiques d’une EVI ;

52. Désigner et renforcer les capacités des structures pour le renseignement périodique de ces indicateurs dans le cadre du suivi-évaluation de l’EVI ;

53. Un environnement institutionnel et communautaire favorable : les institutions

internationales et communautaires (PNUE, BAD, CEDEAO, CEA….) sont favorables à l’EVI.

54. Adopter des mesures plus favorables aux produits écologiques.

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F. Prochaines étapes et fin de l’atelier

55. Dans le cadre d’une bonne démarche de finalisation du rapport, différentes étapes ont été définies en concert avec les participants. Au total, six (06) étapes ont été définies dans ce sens.

56. Les participants pourront envoyer des commentaires additionnels éventuels au plus tard le 24 octobre 2014 à: Yacouba GNEGNE, [email protected] avec copie à Damien Lankoandé, [email protected] ;

57. Le rapport de la réunion de validation sera préparé et finalisé au plus tard le 05

novembre 2014 ; 58. Le consultant révisera le rapport sur “les politiques d’économie verte inclusive et la

transformation structurelle au Burkina Faso” en se basant sur les commentaires et les contributions des participants et soumettra le rapport révisé au plus tard le 20 novembre;

59. Le rapport révisé de l’étude sur le Burkina Faso sera soumis pour appréciation au

ministère de l’économie et des finances et le retour du ministère sera transmis au plus tard le 30 décembre 2014 ;

60. Le rapport sera alors finalisé et publié comme une publication commune de la CEA et

du ministère de l’économie et des finances ; 61. Le rapport sera utilisé pour informer le rapport synthèse sur les politiques d’EVI et la

transformation structurelle en Afrique.

62. L’atelier a pris fin avec cette présentation et des perspectives par les représentants de la CEA. Un questionnaire d’évaluation sur l’atelier a été distribué aux participants. Le rapport y relatif est à l’annexe III.

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ANNEXE I. Rapports des travaux de groupe

RAPPORT DES TRAVAUX DU GROUPE 1

Membres du groupe

N° Nom Prénoms Structures 1 Ouédraogo Innocent CEDEAO 2 Diallo Soabou DGEP/DPPS 3 Sombougma Marie Thérèse DGESS/MPFG 4 Kinda / Kompaoré W. Arlette Claudia DGAM/MEAHA 5 Compaoré / Naré Rosalie DGEP/DPAM 6 Sawadogo Salam Abdoul Khader 7 Barro / Ki Kahiry Françoise DGESS/MME 8 Sou Sibiri 9 Daho/Ouédraogo Isabelle MEDD 10 Ouédraogo Jean Baptiste CT/DGEP 11 Zongo K. Audrey DGEP/MEF Présidente : Compaoré/Naré Rosalie Rapporteurs : Zongo K. Audrey Barro/Ki Françoise

1- Commentaires et contributions sur le segment (Page 22 à 52)

i- Commentaires généraux sur le segment Préciser les axes stratégiques de la SCADD qui prennent en compte l’EVI Insérer au niveau 3.2 l’EVI dans les politiques sectorielles : quelle place ?la Politique nationale de l’emploi adoptée en mai 2008 dont l’objectif est d’accroitre les opportunités d’emploi au profit des actifs burkinabé afin de contribuer à la lutte contre la pauvreté L’objectif stratégique n°2 « le renforcement de la dynamique de la création d’emploi » de la PNE prend en compte les emplois verts Prendre en compte la politique nationale de protection sociale Revoir la cohérence des rubriques des tableaux et leur contenu et préciser leurs sources Revoir la définition du sigle ENAM : Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature Page 28 : Revoir le bilan synthétique de l’état de mise en œuvre de la politique minière pour mieux l’étoffer. (Faire ressortir la pollution par les produits chimiques, la restauration environnementale, la gestion des produits et des résidus) Revoir le style rédactionnel qui s’apparente à l’oral.

ii- Gaps et erreurs factuelles devant être corrigés et adresses

Page 23, paragraphe 64 Préciser les problèmes de coordination et reformuler la deuxième phrase Page 23 a) domaine économique, il faut ajouter le volet commerce Page 24 paragraphe 70-74 fait l’historique de la politique agricole, il faut le supprimer pour évoquer le cas actuel. C’est-à-dire parler du PNSR (objectifs et son lien avec l’EVI)

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Page 24 paragraphe 76 troisième ligne, supprimer la précision au moins trois gros investisseurs en disant simplement des investisseurs ; dixième ligne remplacer atteinte par atteindre Page 26 tableau 4 place de l’EVI dans la politique agricole bien disposer les éléments du tableau pour permettre une bonne lecture et compréhension Page 26 paragraphe 81 préciser l’année des emplois et revoir la formulation Page 30 paragraphe 101, faire référence à la SCADD et son lien avec la POSICA en lieu et place de la ligne du paragraphe Page 30 paragraphe 106, il ne faut pas faire la comparaison entre la POSICA et la politique énergétique pour la prise en compte de l’EVI. Préciser simplement pour les deux politiques, les aspects de l’EVI qui ressortent Dans la mesure où les pôles de croissance sont précédés d’études environnementales, en quoi la création du pôle de croissance du sahel peut aggraver la situation environnementale ? Page 34 paragraphe 121 les données ne sont pas désagrégées pour prendre en compte l’éducation des filles Page 35 paragraphe 126, dire politique nationale d’enseignement et de formation technique et professionnelle adoptée le 23 juillet 2008 Page 37 paragraphe 138 à 141 reverser au volet agriculture Page 37 paragraphe 142 actualiser les attributions du ministère de l’action sociale. Au lieu de formations formelle, non formelle et informelle dire éducation formelle et non formelle Page 37 paragraphe 146 transférer au volet agriculture. Dans le domaine environnemental, il faut ressortir l’impact des aménagements hydrauliques dans l’EVI Page 38 Bilan synthétique de la mise en œuvre des politiques et stratégies, il faut compléter en disant dans les secteurs sociaux Page 39 paragraphes 149 le mot eau est répété Page 41 paragraphe 164 : le contenu n’a pas de valeur ajoutée par rapport au lien entre l’énergie et l’EVI.

iii- Information additionnelle/ données/ inputs devant être inclus dans le segment Page 25 paragraphe 77, évoquer le lien de la construction du barrage de Samandéni avec l’EVI Page 26 tableau 4 place de l’EVI dans la politique agricole bien disposer les éléments du tableau pour permettre une bonne lecture et compréhension Page 28, paragraphe 90, dire plutôt le code minier de 2003 car celui de 2013 n’est pas encore adopté Page 48 paragraphe 196 la moyenne des superficies des trois dernières années est en moyenne 550 000 ha Page 48 paragraphe 198 revoir le chiffre 2 400 000 ha car il est erroné

iv- Sources d’information/ data (personnes pouvant informer et institutions à contacter ainsi que les publications et sites web de référence) pour obtenir les informations additionnelles nécessaires sur le segment

Page 34 paragraphe 121, utiliser les données récentes (annuaire statistique du MESS 2012-2013)

i- Autres suggestions pour enrichir le rapport et renforcer son efficacité

Le document dans son ensemble est à restructurer. Faire l’analyse par secteurs, l’analyse des composantes par secteurs et faire le lien avec l’EVI

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ii- Messages clés sur le segment

Les principes de l’EVI se retrouvent dans toutes les politiques et stratégies mais il n’existe pas de politique consacrée à l’EVI. Il nous faudrait un cadre fédérateur pour mieux harmoniser les pratiques en matière d’EVI

2- Enjeux et opportunités pour l’adoption des politiques EVI pour la transformation structurelle au Burkina Faso

Voire document de la session du CONEDD de décembre 2013 pour les enjeux et opportunités. Thème : Politiques EVI, leur rôle et importance dans la promotion de la transformation structurelle et liens / Cohérence avec les politiques ciblant directement la transformation structurelle au BF

1- Quelles sont les politiques et stratégies EVI en place au Burkina Faso ? Le BF ne dispose pas de politiques et stratégies dédiées à l’économie verte. Cependant certaines politiques prennent en compte les principes et pratiques de l’économie verte et inclusive. Ce sont la SCADD, la Politique Nationale de Développement Durable, le Programme National de développement du Secteur Rural, la Politique Nationale de la Jeunesse à travers la formation à l’écocitoyenneté, la Politique Nationale de l’Emploi à travers la promotion de l’emploi vert, la Politique Nationale de Sécurité Alimentaire, la Politique Nationale Genre par la promotion de l’équité, le Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable, la Politique Sectorielle de l’Energie, la Politique Sectorielle des Mines, la Politique Sectorielle de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat. Toutes les politiques sectorielles et stratégies élaborées au BF prennent l’économie verte comme thématique transversale sauf qu’il n’existe pas de cadre formel à proprement dit.

2- Est-ce que les politiques et stratégies EVI en place renforcent la transformation structurelle au Burkina Faso ?

Les politiques et stratégies EVI en place renforcent la transformation structurelle au Burkina Faso.

• La réduction de la part de l’agriculture dans le PIB et l’emploi : la stratégie de développement rural, la promotion des pôles de croissance ; la stratégie de développement de l’entreprenariat agricole ;

• Une urbanisation rapide résultant de la migration des zones rurales vers les zones urbaines : Schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme, la stratégie nationale de migration ;

• Une économie moderne basée sur l’industrie et les services : la Politique Sectorielle de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat ;

• Une transition démographique vers des taux de natalité et de mortalité moins élevée : la politique nationale de population, la politique nationale de développement sanitaire.

3- Quels sont les aspects gagnants-gagnants et /ou les arbitrages entre les politiques /stratégies EVI et celles se rapportant à la transformation structurelle au Burkina Faso ?

Voire les conclusions de la session du CONEDD de décembre 2013 qui retracent l’état de mise en œuvre ;

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Exploiter l’étude du groupe COWI commanditée par l’ambassade royale du Danemark de 2014. 4- Quelles sont les autres stratégies et politiques d’EVI nécessaires et comment elles

peuvent renforcer la transformation structurelle au Burkina Faso ? Les politiques et stratégies existantes prennent en compte les principes d’économie verte. Cependant, dans le cadre de la révision de la SCADD en 2015, il faudrait renforcer l’aspect de l’économie verte.

RAPPORT DES TRAVAUX DU GROUPE 2 Mesures facilitatrices en place ou nécessaires avec un potentiel à faciliter la transition vers une EVI et contribuer à la transformation structurelle au BF Membres du groupe N° NOM PRENOM STRUCTURE CONTACT 1 Yaméogo Adama CES 78 98 65 30 2 Sawadogo Hadiagueta SG/MEF 78 08 99 24 3 Ouédraogo

/Sanfo Djéneba SP/CONAP

Genre/MPFG 66 59 36 36

4 Tapsoba Marak DGEP /MEF 70 99 05 01 5 Zongo K. Bienvenue MRSI 78 38 81 82 6 Ilboudo Patricia DGMG/MME 79 49 79 77 7 Ouédraogo/Derra Maïmounata DGPC/AD 70 73 83 93 8 Sou Sébou DGESS/MICA 76 44 53 28 9 Ouédraogo Antoine TAN-Aliz 70 25 39 04 10 Ouédraogo Moumini SP/CPSA 70 26 97 60 11 Seynou Oumarou UICN 70 23 56 40 12 Sawadogo Didier DGESS/MASA 70 24 28 66 Présidence : Ouédraogo /Derra Maîmounata Rapporteurs : Ouédraogo /Sanfo Djénéba Tapsoba Marak TACHES ASSIGNEES

A. L’objectif global assigné au groupe 2 se présentait comme suit :

Réviser de façon critique la partie du rapport assignée ; Donner des contributions approfondies et des commentaires pour la finalisation de

chaque partie incluant les enjeux et opportunités et les recommandations ;

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B. Les membres du groupe ont discuté de façon critique sur le rapport, ont identifié et noté les éléments suivants :

Les gaps dans l’information et les erreurs factuelles devant être adressées dans le segment ;

Les informations additionnelles /données/ contributions à incorporer dans le segment du rapport assigné ;

Les sources d’informations (les sites web et les publications de références) pour obtenir l’information nécessaire pour répondre aux gaps identifiés dans la section considérée ;

Autres suggestions devant enrichir le rapport et renforcer son efficacité ; Messages clés sur le segment couvert.

C. Les membres du groupe 2 devaient réfléchir de façon critique et spécifiquement

sur les questions suivantes : o D’autres mesures facilitatrices en place ou nécessaires avec un potentiel à faciliter la

transition vers une EVI et contribuer à la transformation structurelle au BF ? o Quelles sont les mesures facilitatrices actuellement en place ou disponibles pour

promouvoir l’EVI au Burkina Faso ? o Quelles sont les forces et les faiblesses de ces mesures ? o Quelles sont les autres mesures facilitatrices nécessaires pour faciliter l’EVI dans un

contexte de promotion de la transformation structurelle au Burkina Faso ? DEROULEMENT DES TRAVAUX

Méthodologie Les objectifs assignés au groupe 2 ont été revisités pour s’assurer que tous ont la même compréhension et d’adhérer une participation très active des membres. A tour de rôle, chaque membre a identifié une ou plusieurs observations, suggestions et contributions à l’amélioration du présent document.

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I.. Commentaires et contributions OBSERVATIONS Référence Forme Fond Informations complémentaires Intégrer un résumé exécutif au début

du document

P3 Harmoniser les caractères au niveau des sigles et abréviations

Précisez davantage les sources dans le document

Le document de politique nationale genre a été cité mais n’a pas été suffisamment exploité

P7 Elaborer un message clé qui fait ressortir les questions de genre

Prise en compte des questions de bonne gouvernance dans le document

P11 Dans le schéma 1, ajouter dans le contexte actuel de la faiblesse de développement humain et dans le contexte désiré développement humain durable (agriculture durable.)

P12 Dans le schéma 2, prendre dans la dimension sociale, au niveau des problèmes la question d’inégalité de genre et au niveau des solutions mentionner l’équité et l’égalité entre les sexes

P13 Préciser les sources des différentes définitions sur l’économie verte et mettre en exergue dans le document la note de bas de page sur la

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définition retenue pour le Burkina Faso

P14, Paragraphe 32

Remplacer le terme exhaustif par large

P14 Mettre un point C qui retrace le processus de validation du document dans la méthodologie

P18 Incohérence des données sur les indicateurs macroéconomiques ou au besoin préciser les sources des données

P24, paragraphe 70

Expliciter le service de développement des affaires(SDA)

P24 Actualiser en ajoutant certaines politiques telles que la politique nationale de la recherche scientifique et technologique et la PNDEL (programme nationale de développement de l’élevage

P24 et P48 et 49

Les paragraphes 70 à 74 de la page 24 ont été repris au niveau de la page 48 du paragraphe 200 à 205 De même, Les paragraphes 200 à 205 ne cadrent pas au titre du paragraphe

P25, paragraphe 78

Ecrire plutôt que la politique agricole repose sur une approche programme et non approche programme projet

P26 P27, paragraphe 85

Précisez secteur minier

P28 Remplacer le code de 2013 par code

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de 2003 P28, paragraphe 94

Rectificatif : le FIE couvrira toutes les régions du Burkina Faso, un pré-FIE a été mis en place et c’est elle qui couvre les 3 régions. Précisez également les 3 régions

P28, Paragraphe 28

Reformuler le paragraphe en enlevant résultat intéressant vu le résultat atteint par le nombre d’arbre vivant sur le nombre d’arbre planté par les sociétés minières.

P49 paragraphe 207

Ajouter le MRSI (Ministère de la recherche scientifique et de l’innovation, écrire Ministère de l’Agriculture et de la Sécurité Alimentaire au lieu de Ministère de l’Agriculture et de l’hydraulique

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II. Les mesures facilitatrices en place ou nécessaires avec un potentiel à

faciliter la transition vers une EVI et contribuer à la transformation structurelle au BF.

Mesures facilitatrices actuellement en place avec un potentiel à faciliter la transition vers une EVI :

• Un cadre de cohérence, des mesures et actions de développement économique et

social à travers la SCADD • Un objectif global axée sur une croissance économique forte, (…) et soucieuse

du respect des principes de développement durable. • 8 objectifs spécifiques, dont:

promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (OS4); assurer un environnement durable (OS8).

• Taxes et redevances sur la pollution et l’exploitation des ressources naturelles ; • Développement, diffusion et transfert des technologies propres ; • Prise en compte des changements climatiques dans les politiques et programmes

de développement ; • Utilisation des matériaux durables dans l’habitat ; • L’adoption de la loi sur l’interdiction et l’utilisation des sachets plastiques ; • Réalisation des études d’impact environnementales ; • Développement de la culture de la Responsabilité sociétale des entreprises ; • La prise en compte de l’environnement dans le développement minier : il est en

effet question d’une relecture du code minier pour tenir compte (…) de la nécessité de protéger l’environnement et de lutter contre la pauvreté, d’accélérer les réformes pour faire du Burkina Faso un pays ITIE (Initiative pour la transparence des industries extractives) .

• Existence d’un fond de restauration de l’environnement (au niveau des mines) • L’affirmation de deux soucis en matière de développement énergétique :

1. améliorer l’efficacité de la consommation d’énergie. 2. accorder une attention particulière au développement des énergies

renouvelables notamment l’énergie solaire. En 2009, l’électricité produite au Burkina Faso était de source thermique locale (67,2%), hydroélectrique (15,66%) et les importations (17,12%).

Faiblesse et force de ces mesures

Faiblesses Forces Faible maitrise de la technologie Volonté politique affichée pour la

ratification des conventions et protocoles en faveur de la protection de l’environnement

Non application des décisions prises Avancé de la recherche en matière de protection de l’environnement

Manque de rigueur dans l’application des décisions prises

Existence de ressources naturelles renouvelables dont le soleil

Pesanteur socio culturelle qui entraine un blocage des décisions

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19  

prises

Absence de suivi des différentes mesures prises

Les Mesures facilitatrices à mettre en place avec un potentiel à faciliter l’EVI dans un contexte de promotion de la transformation structurelle au BF.

Ces mesures sont orientées vers 3 principaux acteurs essentiels

a) ETAT o Réorienter l’investissement public (vers des domaines aptes à stimuler le

verdissement des secteurs économiques) et verdir les marchés publics ; o Définir des mesures d’accompagnement spécifiques (à l’économie verte) au

niveau de secteurs clés comme l’énergie, le transport, l’agriculture et le bâtiment ;

o Définir des indicateurs pour les paramètres de « verdissement » ; o réformer les politiques et adopter de nouvelles mesures incitatives (fiscalité,

instruments économiques) ; o adopter des mesures plus favorables aux produits écologiques.

b) SECTEUR PRIVE o Mesurer l’opportunité que représente la transition vers une économie verte

(développer une culture RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), Réaliser des audits environnementales), la certification des produits bio ;

o Se conformer aux réformes des politiques en matière de l’EVI ; c) PTF

o Renforcer et bien orienter les flux d'aide et de financement en faveur de l’EVI ;

o Encourager une coopération accrue en matière d’EVI ; o Renforcement des capacités et transfert des technologies De façon globale, il faut : o Mettre l’accent sur les secteurs grands consommateurs de ressources

extractives ou qui touchent au plus grand nombre ; o Favoriser les énergies renouvelables, le recyclage des déchets ; o Mieux planifier/revisiter les plans développement urbain, le bâtiment, le

transport, les usines ; o Mieux règlementer les importations d’équipements à moteur, l’agriculture, le

développement minier, le tourisme ; o Mieux gérer les ressources naturelles (eau, ressources halieutiques, forêts,

biodiversité…) ; o Prendre des mesures d’accompagnement adaptées ; o Communiquer sur le bien-fondé des mesures prises ; o Investir dans le renforcement des capacités, la formation et l’éducation ; o Renforcer les instances de gouvernance.

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RAPPORT DES TRAVAUX DU GROUPE 3

Membres du groupe N° Nom Prénoms Structure 1 Konaté Maximilien DPPS/DGEP 2 Yili Diane Larissa DGPER/MASA 3 MONE Brice DGEP/DPPS 4 Yaméogo Arsène Blanchard DGPER/MASA 5 Dabré Thierry SOTRACO 6 Kabré/Tapsoba Pauline DGEP/DPPS 7 Koné Bakary DGPV/MASA 8 Nombo Ibrahima DGEP/MEF 9 SOMA Diloma DGESS/MEDD Président : Koné Bakary Rapporteurs : Nombo Ibrahima Soma Diloma

Secteur de développement

Défis et perspectives

agricole Impliquer toutes les parties prenantes à l’élaboration des stratégies et politiques ;

Mettre en cohérence les interventions du développement rural entre l’Etat et la société civile ;

Mettre en place des institutions plus fortes et efficaces pour les stratégies et politiques.

Minier Vulgariser les textes de loi en vigueur des exploitations anarchique et artisanale (orpaillage) ;

Encourager en sein des entreprises les initiatives de préleveur-payeur et pollueur-payeur ;

sensibiliser davantage les industriels minières sur les questions environnementales et les possibilités de réductions de déchets, et la promotion d’instruments économiques de réductions des déchets ;

Mettre au point des outils ou des instruments efficaces de mesure des impacts environnemental et social de l'activité des entreprises minière comme la comptabilité environnementale et sociale.

Transport Mettre en place des véhicules de transport commun plus écologiques (faible émission de CO2) ;

Initier des taxes éco aux usagers routiers afin de réduire la pollution de l’air ;

Réglementer l’importation des véhicules très âgés et polluants.

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TACHES : Les outils analytiques existants qui peuvent être utilisés pour une évaluation intégrée des politiques d’EVI et les stratégies pour informer la formulation, la mise en œuvre et le suivi et l’évaluation des politiques EVI au Burkina Faso.

Quels outils analytiques ont été ou sont couramment utilisés pour une évaluation intégrée des politiques d’EVI et les stratégies pour informer la formulation, la mise en œuvre et le suivi et évaluation des politiques au Burkina Faso. Est-ce que ces outils, s’ils existent, sont les mêmes que ceux utilisés pour informer les politiques de transformation structurelle?

A part les outils utilisés/appliqués actuellement, quels sont les autres outils analytiques qui peuvent être mobilisés pour conduire une évaluation intégrée des politiques et stratégies d’EVI au Burkina Faso?

Quelles sont les mesures nécessaires pour assurer l’adoption et l’application effective des outils analytiques?

1. Commentaires et contributions sur le segment assigné:

i. Commentaires généraux sur le segment: • Tableau 10 : Il n’y a pas de description au niveau

de « Efficacité énergétique » • Tableau 10 : Les descriptions ne sont pas assez

explicites • Apporter des commentaires généraux aux

graphiques et tableau, commentaires qui pourront expliquer pourquoi de tels constats

• Graphique 6 : revoir le total de pourcentage qui ne donne pas 100%

ii. Gaps et erreurs factuelles devant être corrigés et adresses: iii. Information additionnelle/données /inputs devant être inclus dans le

segment: • Pour des outils qui ont été désignés comme

utilisés dans le cadre des principes d’EVI au Burkina les indicateurs liés devraient être correctement définis ainsi que les structures pouvant les renseigner

• Autres outils à insérer au niveau du tableau 10 Tableau des enjeux et indicateurs génériques par domaine d’intérêt Cadre d’analyse des perceptions des enjeux par les acteurs Cadre d’analyse de la durabilité environnementale des priorités du

secteur Cadre d’analyse des implications environnementales de proposition de

programmes

iv. Sources d’information/data (personnes pouvant informer et institutions à contacter ainsi que les publications et sites web de référence) pour obtenir les informations additionnelles nécessaires sur le segment:

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Evaluation environnementale BUNEE Modèle T21 DGEP Indicateurs environnementaux http://www.onedd-burkina.info/ Indicateurs liés aux politiques sectorielles

http://www.sips.gov.bf/

Guide d’intégration de l’environnement et des liens pauvreté-environnement lors de l’élaboration des politiques sectorielles

v. Autres suggestions pour enrichir le rapport et renforcer son

efficacité:

• Ajouter le questionnaire ayant servi à l’étude en annexe

• Page 66 : Reformuler « Dans le contexte (…) pauvre expansion » en « Dans le conte du Burkina (…) pratiques agricoles durables (…) pauvre expansion »

• Paragraphe 146 : La DPSA ne dépend pas de la DGPER mais de la DGESS/MASA

• Page 68 : Le point « industrie et commerce » doit être enrichi

• Apporter plus de détails au niveau du point « 6.Principales leçons et recommandations », afin de dégager d’une part les leçons et d’autre part les recommandations

• Apporter des recommandations par domaine d’intérêt

• Proposer des indicateurs clés à renseigner pour les outils indiqués comme utilisés dans le cadre des principes d’EVI au Burkina

• Le Tableau 10 doit être harmonisé en fonction du Tableau 13 et une certaine analyse plus poussée doit être faite. L’idée est de ramener le Tableau 13 au niveau du Tableau 10

• Le transport semble être un domaine d’intérêt qu’il faudra prendre en compte Commentaire : Le secteur des transports a un poids non négligeable dans les émissions de CO2. C’est un secteur à effets structurants et d’entrainement importants. Les transports publics urbains contribuent à la réduction de la pollution, offre des services accessibles aux couches pauvres de la population et participe à la création d’emplois.

• Le document devrait apporter des précisions sur le coût actuel de l’EVI au Burkina en partant des différents outils utilisés dans le cadre des principes d’EVI.

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vi. Messages clés sur le segment

2. Enjeux et opportunités pour l’adoption des politiques EVI pour la transformation structurelle au Burkina Faso:

i. Validation des enjeux et opportunités présentées dans le rapport sous examen

ii. Autres enjeux identifiés (ne figurant pas dans le rapport): La disponibilité des énergies propres : Dans le cas où les énergies sont disponibles, il se pose le problème de la production en quantité industrielle et le stockage.

iii. Autres opportunités figurant pas dans le rapport): Un environnement institutionnel et communautaire favorable : les institutions internationales et communautaires (PNUE, BAD, CEDEAO, CEA….) sont favorables à l’EVI.

3. Recommandations politiques pour améliorer la formulation et la mise en œuvre des politiques EVI au Burkina Faso

i. Validation des recommandations politiques présentées dans le rapport:

• Les recommandations (page71, au total 2 recommandations) ne sont pas pertinentes et demandent à être reformulées. Comment doit être appliqué les textes ? Existe-t-il réellement des textes liés à l’EVI ? Comment doit être redirigé la pratique du suivi-évaluation ?

• L’affirmation « au stade actuel (…) politique d’EVI » doit être justifiée

• ii. Suggestion des recommandations politiques additionnelles:

• Elaborer et mettre en œuvre une stratégie de communication sur l’EVI

• Intégrer le principe d’EVI dans les différentes politiques mises en œuvre au Burkina Faso

• Déterminer des indicateurs liés aux différents outils classiques d’une EVI

• Désigner et renforcer les capacités des structures pour le renseignement périodique de ces indicateurs dans le cadre du suivi-évaluation de l’EVI

Commentaires généraux sur le document

• Revoir les numérotations. Certaines pages ne correspondent pas aux pages désignées au Sommaire et au niveau de la Table des matières.

• Changer de police pour rendre le document plus lisible

• Revoir les sigles : certains ne sont pas définis dans la table

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RAPPORT DES TRAVAUX DU GROUPE 4 Président : Ouédraogo Windimpoui Rapporteurs : Somda N. Adolphe Yanda Ludovic

1. Commentaires et contributions sur le segment assigné : i. Commentaires généraux sur le segment Les cas de bonnes pratiques développées dans le rapport ne sont pas explicites.

Toutefois, au regard de certaines politiques et stratégies comme la SCADD par exemple qui traite de l’environnement et du développement durable, nous pouvons dire que les bonnes pratiques sont partiellement traitées dans le rapport. ii. Gaps et erreurs factuelles devant être corrigés et adresses Les observations de fond et de forme seront reversées au consultant iii. Information additionnelle/données /inputs devant être inclus dans le segment L’économie verte inclusive étant une pratique nouvelle, il est difficile d’identifié des bonnes pratiques à cet effet. Cependant, nous avons pu identifier le programme national plate-forme multifonctionnelle, le programme bio digesteur, la bonne pratique de gestion durable des terres, le mode de consommation et de production durale, la vulgarisation des foyers améliorés, la valorisation du biocarburant (BELVET), la promotion de l’énergie renouvelable par le Gouvernement, les campagnes de reboisement, l’agriculture bio etc. iv. Sources d’information/data (personnes pouvant informer et institutions à contacter ainsi que les publications et sites web de référence) pour obtenir les informations additionnelles nécessaires sur le segment Le guide d’intégration de l’environnement et des liens pauvreté-environnement lors de l’élaboration des politiques sectorielles au Burkina Faso, la loi portant réorganisation agraire et foncière, le code générale des collectivités territoriales, le schéma national d’aménagement du territoire et du développement durable du territoire, le MCA, l’ONG « TRAID AID », l’IGEDD, l’institut 2ie, le site www.actu-environnement.com, etc. v. Autres suggestions pour enrichir le rapport et renforcer son efficacité

faire une analyse approfondie de la synthèse des politiques et effets constatés en se référant notamment aux rapports de mise en œuvre des différentes politiques sectorielles ;

approfondir l’analyse de la SCADD afin de pouvoir conclure sur la mise en œuvre réussi de l’EVI au Burkina Faso ;

développer davantage le volet « inclusive de l’économie verte » dans le rapport afin de mettre en exergue les mécanismes qui le garantis et de faire le lien avec d’autres outils comme par exemple la « micro finance inclusive »;

faire une étude comparative avec un autre pays ayant des caractéristiques similaire avec le Burkina Faso et, où la politique de l’EVI est mise en œuvre ;

faire ressortir dans le rapport le lien entre le développement durable et l’EVI.

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vi. Messages clés sur le segment

• Les messages clés tels que présentés dans le rapport peuvent être validés. Cependant, ils peuvent être complétés par les messages clés suivant :

• faire connaitre l’EVI et encourager toute initiative allant dans ce sens ; • insérer dans le MC5 « l’industrie extractive » ; • adopter une politique d’EVI au Burkina Faso.

3. Enjeux et opportunités pour l` adoption des politiques EVI pour la

transformation structurelle au Burkina Faso: i. Validation des enjeux et opportunités présentées dans le rapport sous examen Les enjeux identifiés dans le rapport sont pertinents. Cependant, leurs mise œuvre effectif et efficace nécessite une préparation des acteurs à travers une campagne de sensibilisation et un plaidoyer. Par ailleurs, la réussite de l’EVI nécessite des moyens financiers et humains importants ainsi qu’une volonté politique. Enfin, il convient au niveau de « l’industrialisation » d’œuvrer à ce qu’elle soit à forte intensité de main d’œuvre et en phase avec la demande. Les opportunités identifiées dans le rapport sont pertinentes. ii. Autres enjeux identifiés (ne figurant pas dans le rapport) Comme enjeux ne figurant pas dans le rapport, nous pouvant identifier :

l’amélioration des mécanismes de redistribution des richesses ; l’accroissement du capital humain qualifié ; le changement de mentalité.

iii. Autres opportunités figurant (ne figurant pas dans le rapport) L’existence de mécanismes de protection de l’environnement (exemple la taxe carbone, le mécanisme de développement propre) 3. Recommandations politiques pour améliorer la formulation et la mise en œuvre des politiques EVI au Burkina Faso

i. Validation des recommandations politiques présentées dans le rapport La première recommandation ne peut pas être validée en l’état car on constate

une contradiction au niveau de la réceptivité du contexte burkinabé à l’EVI (paragraphe 276) ;

Reformuler la 5ème recommandation. ii. Suggestion des recommandations additionnelles : politiques En l’instar du Politique national genre, mettre en place un secrétariat permanent chargé de la mise en œuvre de l’EVI au Burkina Faso. Questions-guides Bonnes pratiques, facteurs de succès et leçons apprises dans la formulation et la mise en place des politiques d’EVI au Burkina Faso: Quelles sont les bonnes pratiques en termes de formulation(ou mise en œuvre) des politiques et stratégies d` EVI au Burkina Faso? L’existence de guides thématiques intégrant les questions transversales dans les politiques sectorielles et les plans locaux de développement.

• Pour chaque bonne pratique, quels sont les facteurs (internes et externes) qui en ont fait un succès?

• L’existence du cadre de référence unique qu’est la SCADD

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• Quelles leçons peuvent être tirées des bonnes pratiques ainsi identifiées dans la formulation et la mise en place des politiques d’EVI au Burkina Faso?

• La volonté affichée des décideurs impacte positivement la prise en compte des questions transversales dans la mise en œuvre des politiques de développement.

ANNEXE II. Liste des participants

N° Nom Prénom(s) Structure Contact Email

1 OUEDRAOGO INNOCENT CEDEAO 7025872

2 [email protected]

2 DIALLO SOABOU DGEP/DPPS 70206460 [email protected]

3 SOMBOUGMA

MARIE THERESE DGESS/MPFG 7845525

[email protected]

4 KINDA / KOMPAORE

W ARLETTE CLAUDIA

DGAH/MEAHA

76011931 [email protected]

5 COMPAORE / NARE ROSALIE DGEP/DPAM 7027022

9 [email protected]

6 SAWDOGO SALAM ABDOUL KHADER

LNSP/MS 70722213 [email protected]

7 BARRO / KI KAHIRY FRANCOISE

DGESS/MME 70578163 [email protected]

8 SOMDA N. ADOLPHE DGEP/DPAM 7183864

[email protected]

9 DAHO/OUEDRAOGO ISABELLE MEDD

………………

…..

[email protected]

10 TAPSOBA MARAK MEF 70990501

[email protected]

11 ZONGO K. AUDREY DGEP/MEF 7050368

[email protected]

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27  

N° Nom Prénom(s) Structure Contact Email

12 OUEDRAOGO/SANFO DJENEBA SP/CONAP

Genre MPFG 6659363

[email protected]

13 ILBOUDO PATRICIA MME 79497977

[email protected]

14 OUEDRAOGO MOUMINI SP/CPSA ………

………. [email protected]

15 DERA MAIMOUNATA

DGPC AD/MEF

70738393

[email protected]

16 ZONGO K. BIENVENUE

MRSI 78388182 [email protected]

17 YAMEOGO ADAMA CES ……………….. [email protected]

18 SAWADOGO DIDIER DGESS/MASA 7024286

6 [email protected]

19 YAMEOGO ARSENE DGPER 78481172

[email protected]

20 YILI DIANE LARISSA DGPER 7004859

0 [email protected]

21 KONE BAKARY DGPV/MASA 71741610 [email protected]

22 SOMA DILOMA DGESS/MEDD 70780101 [email protected]

23 NOMBO IBRAHIMA DGEP/MEF 76695129

[email protected]

24 SEYNOU OUMAROU IUCN 70235640

[email protected]

25 MONE

CALEX BRICE BERENGER

DGEP/DPPS 70325731

[email protected]

26 KONATE SOGOTRE MAXIMILIEN

DGEP/DPPS 76989898

[email protected]

27 KABRE/TAPSOBA PAULINE DPPS/DGEP 7213197

6 [email protected]

28 BAGORO ALEXIS DGEP/DPPS 70180280 [email protected]

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28  

N° Nom Prénom(s) Structure Contact Email

29 OUEDRAOGO

WINDIMPOUI CPF 7033845

4 [email protected]

30 KIBA D. INNOCENT INERA 7076274

7

31 YANDA S.W. LUDOVIC SP/CONEDD

71913210/786411

65

[email protected]

32 NONKANI WENDYAM GERARD

DSEC/DGESS/MS

70351331 [email protected]

33 KOBE GAOUSSOU DGI/MICA 7513580

[email protected]

34 SIMPORE BOUKARI SG/MEF 71263979

[email protected]

35 BA SAFYATOU ONUDI 5049061

4 [email protected]

36 OUEDRAOGO

CHRISTIAN.M.AUGUSTE

MAISON DE L'ENTREPRISE

70678805 [email protected]

37 BILLA/SOMDA RAÏSSA STN/SCADD ………

…….. [email protected]

38 SAWADOGO

HADIGUETA SG/MEF 7102926

5 [email protected]

39 OUEDRAOGO ANTOINE TAN-ALIZ 7025390

4 [email protected]

40 SOU SIEBOU DGESS/MICA 78952083 [email protected]

41 KABORE PAULINE DGEP/MEF 70370330 [email protected]

42 ZETYENGA MOUMINI SOFITEX BOBO

76092984

[email protected]

43 SOU SIBIRI SOFITEX BOBO

76643697 [email protected]

44 DABRE THIERRY SOTRACO 68237038 [email protected]

45 SAWADOGO

YOUSSOUF DGPE/MJFPE 7600638

9 [email protected]

46 OUEDRAOGO

JEAN-BAPTISTE DGEP/MEF 7027098

3 [email protected]

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29  

N° Nom Prénom(s) Structure Contact Email

47 GNEGNE YACOUBA CEA [email protected]

48 MASTAKI JEAN LUC CEA [email protected]

49 LANKOANDE

D. GOUNTIENI

GRAAD 73323120

[email protected]

50 KONKOBO BOURAHIMA GRAAD 7882657

[email protected]

51 ZOETYANDE SATURNIN GRAAD 7077771

[email protected]

52 BONOU GEORGETTE ARMELLE

GRAAD 70063446

[email protected]

53 ZIDA ALINE AIMEE GRAAD 7000847

[email protected]

55 KONATE IDRISSA SOFITEX BOBO/CHAUFFEUR

74 501 837

56 KINDA ABAS MJFPE/DGESS 78922007 [email protected]

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30  

ANNEXE III. Rapport d’évaluation des participants

Rapport d’évaluation de l’atelier

Basé sur l’analyse des réponses apportées données dans le questionnaire d’évaluation, ce document fait, du point de vue des participants, le bilan des activités de l’atelier de restitution des résultats de l’étude « Economie verte inclusive et transformation structurelle au Burkina Faso ». Il offre également une évaluation des services fournis, en vue d’une amélioration ultérieure. Avant tout, notons qu’au total, le questionnaire a été complété par 42 participants le dernier jour de la rencontre.

Tout d’abord, en termes d’objectifs et d’attentes par rapport à l’atelier, il faut noter que les participants avaient des avis partagé. En effet, la majorité des participants (82,5%) avaient pour objectifs ou attente « l’amélioration de leurs propres connaissances grâce aux discussions ». le deuxième objectif / attente des participants étaient de « Trouver des idées en matière d'économie verte inclusive » (72,5%). Pour 65% des participants, leur objectif était de « faire davantage progresser la réflexion de la thématique au Burkina Faso ». Comme fait marquant de l’atelier en ce qui concerne toujours les objectifs et attentes, il faut dire que moins de la moitié des participants (47,5%) avaient comme ambition de « comprendre et voir comment faire la promotion du contenu de l'étude ».

Concernant la satisfaction des objectifs et attentes suscités, plus de la moitié des participants interrogés (32 sur 42) déclarent trouver satisfaction de leurs attentes durant l’atelier contre 21,4% des participants qui trouvent les attentes partiellement satisfait. Cependant 2,4% des participants n’avaient aucune attente particulière.

Figure 1 : Répartition des participants en fonction du niveau de satisfaction de leur attente

Source : Auteurs, résultats d’évaluation de l’atelier

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31  

Sur le plan du déroulement, les participants sont très satisfaits de l’atelier, tant en termes de contenu (aspects techniques) que d’organisation (logistique).

En termes de contenu, tout d’abord. Interrogés sur la documentation distribuée, les participants étaient plutôt d’accord (moyenne =3,31 sur 4) quant à l’utilité de ses supports pour les informer et les orienter sur le travail à faire. En effet sur les 42 participants ayant répondu, 27 participants disent être d’accord et 14 participants sont parfaitement d’accord. De même, l’ensemble des participants étaient plutôt d’accord (moyenne =3,48 sur 4) quant à la positivité de l’atmosphère de travail. Sur les 42 participants ayant répondu, 33 disent être d’accord et 6 autres disent être parfaitement d’accord.

Même satisfaction concernant:

• les objectifs de la rencontre jugés clairs avant l’atelier, et atteints à la fin de la rencontre ;

• la compréhension parfaite des enjeux de l’étude ; • la contribution à l’avancement des connaissances sur l’EVITS ; • l’expérience et les connaissances professionnelles appropriées de l’équipe pour

ce type de manifestation.

Par ailleurs, on note un score moyen pour la qualité de la communication avant ledit atelier. Sur les 42 participants ayant répondu, 26 et 6 étaient respectivement d’accord et parfaitement d’accord que la communication était bonne avant l’atelier. Par contre 6 participants n’étaient pas d’accord et 02 autres n’étaient pas du tout d’accord. Cela s’explique sans par l’envoi un peu tardif du rapport aux participants.

Tableau 1 : Réponses recueillies pour le contenu de l’atelier

CONTENU DE L'ATELIER MOYENNE SUR 4* Les supports distribués étaient utiles pour informer et orienter sur le travail à faire 3,31

Le programme défini était cohérent 3,07 L'atmosphère de travail était positive 3,48 L'équipe avait une expérience et des connaissances professionnelles appropriées pour ce travail 3,19

Les objectifs ont été clairement définis pour cet atelier 3,14 La communication avant l'atelier a été bonne 2,90 L'atelier a été géré avec succès 3,02 Les objectifs ont été atteints pour cet atelier 3,07 Cet événement a représenté une contribution importante à l'avancement des connaissances sur la thématique au BF 3,24

J'ai compris parfaitement les enjeux de l'étude pour le BF 3,26 Source : Auteurs, résultats d’évaluation de l’atelier

* Echelle: 1= Pas du tout d'accord 2 = Pas d'accord 3 = d'accord 4 = Parfaitement d'accord En ce qui concerne l’organisation de l’atelier - aspects logistiques cette fois -, les participants la jugent plutôt très bonne (moyenne = 3,19 sur 4). Sur les 42 participants à

Page 32: Rapport de synthèse atelier EVI et TS au Burkina Faso...documentaire et ensuite une enquête de terrain qui a visé 35 structures et personnes physiques (ministères, ONG, etc.) choisies

 

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l’atelier de restitution et de validation du rapport, 30 étaient d’accord que les équipements et les locaux étaient convenables et 10 autres étaient parfaitement d’accord. Aussi, les participants s’accordent pour dire que les informations reçues des organisateurs avant l’événement étaient utiles (moyenne = 3,12).

Tableau 2 : Réponses recueillies quant à l’organisation de l’atelier et à la logistique

ORGANISATION DE L'ATELIER MOYENNE SUR 4* Les informations reçues des organisateurs avant l'événement étaient utiles 3,12 Les équipements et les locaux étaient convenables 3,19

Source : Auteur, résultats d’évaluation de l’atelier

A la question ouverte “Vos commentaires supplémentaires concernant les aspects administratifs de l’événement”, nous avons pu recenser qualitativement les observations suivantes :

• Prévoir plus de temps pour l’atelier (3 à 4 jours) dans l’optique d’approfondir les discussions ;

• Disposer du rapport au moins deux semaines avant l’atelier afin de mieux se préparer à l’avance ;

• Proposer la répartition thématique au moment même de la transmission du rapport de telle sorte que les services respectifs puissent avoir une lecture guidée du rapport et chercher en même temps les informations supplémentaires ;

• Communiquer davantage sur l’économie verte inclusive et transformation structurelle au BF (par exemple faire des émissions à ECO-Finance) ;

• Transmettre le rapport final à tous les participants pour observations.