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1res Rencontres de l’Économie Circulaire
Op2misons nos ressources Jeudi 29 octobre 2015
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15
29/10/15
1/ La filière santal sur la province des îles Loyauté -‐ SEREI NO NENGONE/TAKONE
2/ Quand un déchet devient une ressource : l’exemple de l’u2lisa2on du verre – RECYVERRE/MIVI/COLAS
3/ Quand les huiles alimentaires usagées et le soleil produisent de l’énergie -‐ ALIZES ENERGIE
4/ Les déchets verts u2lisés sous forme de compost dans la revégétalisa2on minière -‐ PACIFIQUE ENVIRONNEMENT
5/ L’énergie une ressource à maitriser pour la compé22vité des entreprises -‐ La Périgourdine
6/ Programme de rénova2on urbaine de Saint-‐Quen2n : l’économie circulaire en pra2que -‐ SIC 7/ Pyrolyse de la biomasse, cycle du carbone : de la recherche/innova2on à la diffusion – C la Vie 8/ Économie circulaire : une réponse des entreprises & territoires aux enjeux de Paris Climat 2015 qui génère performance économique, sociale et écologique – Green Cross
Mise en œuvre de l’économie circulaire en Nouvelle-‐Calédonie
1res Rencontres de l’Économie Circulaire
Quand un déchet devient une ressource : l’exemple de l’u2lisa2on du verre
sociétés RECYVERRE / MIVI / COLAS
Jeudi 29 octobre 2015
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15
Présentation et enjeux
• La société RECY’VERRE a fait du verre sa spécialisation en valorisant les sous-produits issus du broyage des bouteilles vides, flacons, pots, bocaux, mais aussi chutes de miroirs et de vitres.
• RECY’VERRE collecte le verre depuis 2014, puis le broie afin de le transformer en un matériau valorisable ayant une deuxième vie au lieu de partir à la poubelle puis à l’enfouissement.
• Notre société est : – en phase de développement et d’extension pour lui permettre de gérer la montée en régime
des tonnages de verre collectés, – en recherche d’exutoires pérennes afin d’assurer la viabilité économique du projet.
• L’activité de valorisation locale du verre devrait permettre une économie de vide de fouille au niveau de l’ISDND de Gadji mais surtout permet de diminuer l’empreinte écologique en substitution d’un sable ou d’un gravier calibré le plus souvent importé, par un matériau minéral réutilisable en BTP, filtration des eaux, décoration, aménagements paysagers…
Bilan et avenir de l’activité
En 2020, ce se
ra près
de 35% du gise
ment
de verre creux
qui
sera valorisé
En 2015 -‐ de 3% du gisement de verre creux sera collecté (150 T / 5 500 T).
LES DÉBOUCHÉS Constats et Quelques données douanières
Un Verre Valorisé localement compéEEf !
Filtration des eaux
BTP (Graves, bétons, ciment, enrobés)
Equipements sportifs
Chemins forestiers
UTILISATIONS POSSIBLES
2012 2013 2014Bonbonnes,bouteilles,flacons...en verre,bocaux a conserves en verre
1 866 1 288 1 153
Estimation des Bouteilles vins, alcools, eau 3 750 3 600 3 800 Sous-‐Total 5 616 4 888 4 953
Plaques et feuilles non armées 185 210 426 Autre glace non armée 654 515 260 Verres formés de feuilles contre-‐collées de dimension et formats permettant leur emploi dans les voitures
82 81 66
Verres formés de feuilles contre-‐collées : autres 696 775 445 Vitrages isolants à parois multiples 68 91 50 Autres miroirs en verre 154 147 115 Sous-‐Total 1 839 1 818 1 362
TOTAL VERRE IMPORTE (en tonnes) 7 455 6 707 6 315
verre creux
verre plat
Années
Sablage sur verre
Décoration int/ext
LE FUTUR
• Dimensionnement – Estimation de l’évolution du gisement sur les 10 ans à venir
– L’estimation reste inférieure aux objectifs de la Province Sud (REP) (2 029 T en 2020 pour un gisement estimé de 5 800 T pour le verre creux)
– La capacité du broyeur qui a été choisi est par contre suffisante pour pouvoir traiter les objectifs de la Province Sud
• Échéances – Fin 2015 – début 2016 : Mise en route de la collecte en PAV du verre par la Ville de
Nouméa – Filière REP sur le verre en Province Sud
2015 2016 2020 2025Bouteille vrac 100 780 1800 2800
vitrerie 40 50 160 260Isolateur transfo 6 6 10 10flacon brun CDE 7 7 10 10
153 843 1980 3080
Tonnage
Années
LES PARTENAIRES • Partenaires pour la mise à disposition du foncier
– Province Sud (DFA) pour terrain sur la zone VI de Ducos – Cette zone présente l’avantage d’être centrale par rapport aux gisements (agglo du grand Nouméa) et aux collecteurs et que le PUD autorise les activités de valorisation de déchets.
• Partenaires financiers – ADEME et Province Sud pour les aides à l’investissement – Nouvelle-Calédonie pour la défiscalisation
• Partenaires pour les gisements – Ville de Nouméa via SIGN / CSP FIDELIO – Ville du Mont-Dore via SAEML Mont-Dore
• Partenaires pour les débouchés – Collectivités
• Obligation de réutilisation des produits finis dans le cadre des marchés publics (grave, sable, épuration et trottoir (VDN)…)
– Industriels via la mise en place de contrats d’approvisionnement annuel récurrents
Le SCINTIFLEX en NOUVELLE CALEDONIE
BENOIT LETELLIER / SOCIETE COLAS NC 29/10/15
L’enrobé Scin2flex®, outre son aspect original et esthé2que, contribue au renforcement de la sécurité rou2ère en permekant de différencier les voies de circula2on. L’enrobé Scin2flex® nécessite l’u2lisa2on de morceaux de miroir que nous intégrons dans sa fabrica2on. L’arrivée du Scin2flex® en Nouvelle-‐Calédonie est le souhait de COLAS NC d’élargir sa gamme de produits spéciaux à proposer à ses clients. Les premiers enrobés ont été réalisés avec des matériaux importés alors que RECYVERRE était capable d’en fournir localement. Une nouvelle collabora2on a commencé.
ELABORATION DU PARTENARIAT COLAS RECY-‐VERRE
BENOIT LETELLIER / SOCIETE COLAS NC 29/10/15
Rencontre de RECY-‐VERRE
Planche d’essais 1er essai dans nos locaux 2éme essai plateau de Vallée du Tir
Analyse laboratoire Granulométrie / Propreté / Forme
Proposi2on de RECY VERRE Une source de miroir Un appareillage de criblage
Importa2on de miroir calibré depuis la France Temps de livraison long Prix d’importa2on important
BESOIN COLAS NC MIROIR concassé SPECIFICATION
Prise d’échanEllons
Prise de commande
ü ü ü
UN AVENIR BRILLANT
BENOIT LETELLIER / SOCIETE COLAS NC 29/10/15
Commande • Pouvoir public
U2lisa2on • SCINTIFLEX / COLAS
Transforma2on • Recy-‐Verre
Ressources • Miroir
1res Rencontres de l’Économie Circulaire
Quand les huiles alimentaires usagées et le soleil produisent de l’énergie
Société ALIZES ENERGIE
Jeudi 29 octobre 2015
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15
Alizés Energie
LAPOUS Christophe : Alizés Energie 29/10/15
Filiale d’ENGIE en Nouvelle Calédonie, créée en 2005 Producteur d’énergie renouvelable
Chiffres clés ⇒ Producteur éolien : 13,5 MW (Prony et Plum) ⇒ Producteur photovoltaïque : 500 kW (Nouméa et Lifou) ⇒ RécupéraEon et traitement d’huile végétale usagée (HVU) : Label Assie[e Verte ⇒ ExploitaEon d’une centrale éolienne et photovoltaïque de 375 kW à Lifou : Tep Vertes (GNC) ⇒ ExploitaEon et automaEon de centrales hybrides ⇒ Exploitant de centrales thermiques de secours et de pointe pour EEC et ENERCAL ⇒ ProducEon ENR 2014 : 25 GWh (soit plus 50% des besoins du Mont Dore)
Le Label Assie[e Verte
LAPOUS Christophe : Alizés Energie 29/10/15
Regroupement créé en 2010, de restaurateurs et d’industries parOcipant au recyclage de leurs huiles végétales usagées
Chiffres clés ⇒ Près de 120 000 Litres d’huile végétale usagée traités par an ⇒ Plus de 200 partenaires
Processus ⇒ DécantaEon : séparaEon de l’eau, des boues et des maEères solides ⇒ FiltraEon : éliminaEon de l’eau restante et des parEcules ⇒ Livraison : dernier traitement dans une centrifugeuse
ProducEon d’électricité
LAPOUS Christophe : Alizés Energie 29/10/15
L’huile végétale usagée (HVU) traitée est vendue à EEC en remplacement du gasoil
5% de HVU à la centrale de LIFOU
100% HVU aux centrales de l’île Ouen Patrimoine mondial de l’UNESCO
Île Ouen : 100% ENR
LAPOUS Christophe : Alizés Energie 29/10/15
HVU + Photovoltaïque + stockage baZeries
• En journée : le PV produit l’énergie demandée, le surplus est stocké dans des ba[eries
• En période de pointe : le groupe HVU produit l’énergie demandée, le surplus est stocké dans des ba[eries
• Le reste du temps : les ba[eries resEtuent l’énergie stockée durant les phases précédentes
Historique de la centrale de Ouara
LAPOUS Christophe : Alizés Energie 29/10/15
• IniEalement, 100% de l’énergie était produite à parEr de gasoil transporté sur l’île • En 2008 : InstallaEon de 19 kWc photovoltaïque avec des onduleurs et des ba[eries • En 2010 :
⇒ Mise en place de la soluEon HVU ⇒ Ajout d’une centrale photovoltaïque connecté au réseau de 10 kWc
• En 2013 :
⇒ Ajout d’une centrale photovoltaïque connectée au réseau de 10 kWc ⇒ Mise en place d’une gesEon automaEsée AE
• En 2014 : 100% renouvelable ⇒ 60% de l’énergie provient des centrales photovoltaïques ⇒ 40% de l’énergie provient du groupe HVU
ObjecOfs 2016 : 85% PV + 15 % HVU Grace à l’opOmisaOon des flux d’énergie et à l’automaOon
1res Rencontres de l’Économie Circulaire
Les déchets verts compostés pour la revégétalisa2on minière
Pacifique Environnement et Koniambo Nickel SAS
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15 Jeudi 29 octobre 2015
La naissance du projet
• Constats 2013 : – Les entreprises minières importent du compost pour l eu r s p rog rammes de revégétalisa2on
– Des déchets verts locaux non valorisés (jusqu’à 20% du gisement de déchets)
– Une technique connue et maîtrisée
Pacifique Environnement – Arnaud BANFI 29/10/15
La naissance du projet
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI 29/10/15
• Les prérequis : – Un gisement iden2fié, stable et fiable à CTT Bourail
– Un site de compostage à ZA de Baco à Koné
– Un partenaire pour l’u2lisa2on des quan2tés de compost produites à
– Une méthodologie éprouvée à
Les objec2fs • Immédiats:
– Elaborer un cahier des charges répondant aux besoins de l’industriel ;
– Etre en mesure de fournir les quan2tés nécessaires à KNS ; – Adapter les modes opératoires connus à notre situa2on.
• A moyen terme : – Capter le gisement de déchets verts de VKP pour le composter
– Trouver de nouveaux clients et de nouvelles applica2ons pour notre compost.
– Intégrer d’autres déchets fermentescibles au processus de compostage
– Collaborer à la mise en place d’une règlementa2on provinciale pour les plateformes de compostage (ICPE)
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI 29/10/15
Caractéris2ques du produit
• Compost 100% déchets verts • Granulométries disponibles :
– Brute : u2lisa2on planta2on – 0-‐30mm : u2lisa2on pépinière et planta2on – 0-‐10mm : u2lisa2on en hydroseeding et pépinière – Refus de criblage : u2lisa2on pour paillage
• Conforme aux critères de la norme NF44-‐051 (excep2on Cr et Ni)
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI 29/10/15
Quelques chiffres
• 1er andain : – Gisement de départ : environ 500m3 – Volume de DV broyé : 140m3 – Tonnage de compost criblé fini : 18,8 tonnes
29/10/15
Broyage et mise en andain
Fin décembre 2014
7 retournements Entre mi janvier et mi
juin 2015
Mise en tas Mi août 2015
Criblage, ensachage et livraison
Fin août 2015
Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Quelques chiffres
• Capacité annuelle de produc2on: environ 70T
• Volume de DV valorisés par an : environ 1200m3 (environ 150 tonnes)
• U2lisa2on par KNS: 50 tonnes annuelles : – Soit environ 40 000 plants – Et environ 8 hectares d’hydroseeding
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Perspec2ves d’évolu2on de la filière
– Inscrip2on dans le schéma provincial de ges2on des déchets
• réduc2on des déchets fermentescibles enfouis par promo2on du compostage
– Aides de la province Nord et de l’ADEME pour l’équipement de la plateforme
– Cohérence environnementale pour les projets de revégétalisa2on minière.
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
– Règlementa2on ICPE • limita2on de l’u2lisa2on de
compost de certains déchets • mise en conformité couteuse
(augmenta2on du prix à la tonne)
– Disponibilité et qualité du gisement sur VKP
Points facilitants Points bloquants
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Broyage des déchets verts
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Broyage des déchets verts
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Mise en andain
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Suivi du compost, prise de température
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Suivi du compost, contrôle visuel
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Retournement de l’andain
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Criblage et ensachage à la plateforme de Baco
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
U2lisa2on en fond de trou (calibre 0-‐30)
Le projet en images
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
U2lisa2on en hydroseeding (calibre 0-‐10)
En quoi est ce circulaire ?
Situa2on avant :
– Revégétalisa2on
– Déchets verts
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Produc2on de compost en Europe
Transport rou2er
Transport mari2me
Transport rou2er
Nouméa-‐Koné
U2lisa2on du compost
Déchets verts Transport rou2er Enfouissement
En quoi est ce circulaire ?
Maintenant :
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
• Valorisa2on des déchets verts • Limita2on des intrants importés • Limita2on des émissions de GES
par réduc2on du transport • Développement de l’économie
locale
Déchets verts
Broyage
Transport Bourail -‐ Koné
Compostage (y compris analyse et condi2onnement)
Transport Koné – Vavouto
U2lisa2on du compost
Autres projets « économie circulaire »
29/10/15 Pacifique Environnement – Arnaud BANFI
Compostage partagé, Koné
• Commune de Koné • Co-‐financement ADEME et
province Nord • 1 quar2er test • 4 zones de compostage • Environ 35 foyers par2cipants • 350kg de compost produits
en 8 mois • Environ 6m3 de déchets de
cuisine valorisés
Collecte de vêtements pour les associaEons carritaEves
• Collecte en porte à porte • 2,5m3 collectés • Tri :
• 80% de réu2lisable • 15% de chiffons • 5% de déchets
3 projets labellisés SERD en 2014
Compostage des déchets des gros producteurs
• 11 par2cipants (hôtels, restaurants, traiteurs, restaura2on scolaire, moyenne et grande distribu2on)
• 3m3 collectés en 3 tournées
1res Rencontres de l’Économie Circulaire
L’énergie une ressource à maîtriser pour la compé22vité des entreprises
LA PÉRIGOURDINE
Jeudi 29 octobre 2015 29/10/15
Le pré-‐diagnos2c énergé2que (disposi2f CTME-‐Ademe)
• Un état des lieux à coût réduit • Une cartographie des consomma2ons et des postes
énergivores • Des préconisa2ons classées par ordre d’importance et de
faisabilité : -‐ des ac2ons immédiates / à moyen terme -‐ des simula2ons de retour sur inves2ssement
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
Le pré-‐diagnos2c énergé2que (disposi2f CTME-‐Ademe)
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
Quelques exemples d’ac2ons menées / inves2ssements réalisés dans un but d’op2misa2on énergé2que (directe ou indirecte)
• Réfec2on des joints d’étanchéité des portes frigorifiques • Remplacement des groupes froids posi2fs (pour éliminer le
fluide R22 et le remplacer par le R404) • Réfec2on du réseau d’eau : installa2on d’une double conduite
par voie aérienne avec possibilité de condamner une conduite pour travaux ou en cas de fuite.
• Mise à disposi2on d’une nouvelle cuve de stockage de gazoil • Redéfini2on des zones de stockage • Acquisi2on d’un compresseur d’air alimentaire avec
récupéra2on des condensats : premier modèle de ce type installé en Nouvelle-‐Calédonie
• Réfec2on par2elle des calorifugeages du réseau vapeur / air comprimé
• Remplacement des autoclaves avec système de réu2lisa2on de l’eau en cycle fermé
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
Zoom : Un surcoût d’inves2ssement pour un engagement durable : le système de récupéra2on de l’eau de process.
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
NB : Machines reliées au réseau + prise de main à distance pour assistance technique depuis l’Australie
Surcoût = 13MF. TRI = 8 ans (sur la base d’un coût de l’eau iden2que) Baisse constatée = 23% des consomma2ons d’eau
GAZOIL – Surconsomma2on de fuel
CHAUDIERE 1 = produc2on de vapeur : Rendement de 75%. Remplacement en 2015.
CHAUDIERE 2 : produc2on d’eau chaude : Rendement de 70%. Transi2on par l’eau de process. Nouveau système en 2015 :
Chaudière à tubes de fumée avec bâche alimentaire
calorifugée, économiseur, traitement d’eau et groupe de gavage. SurinvesGssement de
8MF VS devis iniGal.
Sta2ons d’eau chaude instantanée à T° fixe.
Couplage eau et vapeur = op2misa2on nouvelle chaudière. Solu2on
économique mais limita2ve.
Etudes de faisabilité CTME-‐
Ademe
Réseau Etanchéité et isola2on
29/10/15 Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique
Un environnement qui se veut de plus en plus règlementé et structuré
ENTREPRISE : faire des choix en adéqua2on avec notre environnement
règlementaire
ICPE – code de l’environnement -‐
DIMENC
CondiEons de travail et de sécurité – EVRP -‐Code du travail -‐ DTE
HACCP – règles de sécurité alimentaire -‐
SIVAP
Régimes douaniers – COMEX -‐ DAE
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
Etre responsable et « durable » en tous points
Le cluster Cap Agro
• S’iden2fier et apprendre à se connaître • Synergie • Mutualisa2on – transversalité • Sou2en et structura2on des filières • Complémentarité – partenariats • Créa2vité (brainstormings) • Force d’ac2on et de proposi2on
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
Infrastructure de l’entreprise Ges2on des Ressources Humaines
Développement technologique, R&D Approvisionnements
Logis2que interne
Produc2on
Logis2que externe
Marke2ng et ventes
Services
LOGISTIQUE
Réflexions sur l’AgroAlimentaire
?
?
? RENFORCEMENT DES SYNERGIES AVEC LE SECTEUR
PRIMAIRE
PARTICIPATION A LA CFC
PLANNING DE SAISONALITE DES PRODUITS LOCAUX
RENFORCEMENT DES LIENS AVEC
CARREAU DES PRODUCTEURS
HYGIENE
ETTIQUETAGE
CHAMBRE D’AGRICULTURE
COMMUNICATION
NEWS LETTER VOUS ?
Financeurs :
CAP AGRO NC : Développer la produc2on calédonienne, innover et sa2sfaire les consommateurs en unissant les acteurs des filières agroalimentaires.
?
R&D : VEILLE, DEFINITION DE NOUVEAUX PRODUITS
ACHATS
ANALYSE FINANCIERE
Comment Mutualiser des
ac2ons concrètes ?
Comment faire
l’Interface avec nos
ins2tu2ons ?
Comment Sécuriser nos
approvisionnements ?
?
CREATION DU MARCHE DES LEGUMES VIVIRIERS
SURGELES
LA LONGE DE PORC EN COLLECTIVITE
COLLABORATION AVEC Comment Augmenter les
parts de marché de nos
produits locaux ?
Comment intégrer d’autres
Membres ?
Réflexions ?
?
? DEVELOPPEMENT D’UNE OFFRE DE SERVICES
BILAN DES FORMATIONS ET DES BESOINS
Comment autofinancer
notre cluster ? Comment
Développer nos compétences ?
Engagement
Ancrage local
Réseau
Synergie
Transparence
Durable
Les Membres
CAP AGRO NC :
Entreprise Alimentaire
Chaine
de valeur
Maëva GASTINEL – Conserverie Périgourdine du Pacifique 29/10/15
1res Rencontres de l’Économie Circulaire
La rénova2on urbaine de Saint-‐Quen2n, laboratoire de l’économie circulaire pour la SIC
Jeudi 29 octobre 2015
Mar2n-‐Cocher Loïc -‐ SIC 29/10/15
La rénova2on urbaine de Saint-‐Quen2n, laboratoire de l’économie circulaire pour la SIC
• Historique du quar2er de Saint-‐Quen2n • Le projet de rénova2on urbaine • L’applica2on de la démarche sur Saint-‐Quen2n
– Les ac2ons réalisées ou en réalisa2on • Le groupe électrogène • Tri sélec2f et valorisa2on • Récupéra2on de menuiseries • Bornes autonomes de sécurité
– Les ac2ons en projet • Récupéra2on des roches • Compostage de quar2er et culture • Sculpture sur tronc • Réu2lisa2on des bétons
Mar2n-‐Cocher Loïc -‐ SIC 29/10/15
Historique du quar2er de Saint-‐Quen2n
• Les faits: – 580 logements pour répondre au boom du nickel – Construc2on dans les années 70 – Premiers « grake-‐ciel » de NC – Quar2er en2èrement SIC (SICNC)
• Les problèmes – Livraison après le boom – Habitat pas adapté au mode de vie Calédonien – Pas de mixité sociale ni fonc2onnelle – Dégrada2on du cadre de vie et des condi2ons d’habitats – Localisa2on du quar2er : excentré des pôles d’ac2vités
Mar2n-‐Cocher Loïc -‐ SIC 29/10/15
Le projet de rénova2on urbaine
• D’une volonté d’améliorer le cadre du logement à une démarche globale d’améliora2on du quar2er
• La volonté du projet: – Inser2on sociale et économique – Démarche par2cipa2ve – Accompagnement des locataires
• Programme ANRU avec démoli2ons, réhabilita2ons et reconstruc2ons de logements
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15
Nom intervenant et organisa2on 29/10/15
533 logements démolis 750 logements neufs 50 logements réhabilités 50 cabanes supprimées 4300 m² de service 45 logements transformés en bureau
Un projet au cœur des trois communes
Les ac2ons réalisées • La valorisa2on des matériaux de déconstruc2on
• Plan de ges2on des déchets fournies par les entreprises
29/10/15
Matériaux Tonnages
Aluminium 22,6
Carton / papier 1,1
Végétaux 22,5
Amiante 109,8
Les ac2ons réalisées
• La mise à disposi2on de 50 menuiseries – Démontage et stockage par l’entreprise de déconstruc2on
– Don à l’associa2on des locataires – Clause de non-‐u2lisa2on pour l’habitat précaire et spontané
– Problème: vol des menuiseries le jour de la distribu2on
29/10/15
Les ac2ons réalisées
L’approche globale pour le remplacement du système de signalisa2on d’urgence – Enlèvement du groupe électrogène d’urgence
Pour les 3 dernières tours, changement du système
29/10/15
Après PAM, volonté d’envoyer le groupe électrogène au Vanuatu
Les ac2ons en projet • Récupéra2on des roches issues du terrassement
de la Roche Grise comme borne an2-‐sta2onnement
29/10/15
• Concassage des têtes de pieux pour une u2lisa2on en béton recyclé (approx. 400m³)
Les ac2ons en projet
• En partenariat avec la Maison Municipale du quar2er: – Mise en place d’un composteur évolu2f – U2lisa2on des zones en friches pour la culture vivrière et botanique
– Récupéra2on des troncs d’arbres abakus pour ini2er à la sculpture
– U2lisa2on des zones en friches pour lancer de la culture vivrière et botanique
29/10/15