Revue de presse S43 - franckcamuset.files.wordpress.com · REVUE DE PRESSE S43 Du 22.10 au 28.10.2012 Page 2 : Cristal Union : en pôle position sur les bioénergies Page 4 : Sucre

Revue de presse S43 : www.sada.co 1

REVUE DE PRESSE S43 www.sada.co

Du 22.10 au 28.10.2012

Page 2 : Cristal Union : en pôle position sur les bioénergies

Page 4 : Sucre : Les rendements de la betterave européenne revus la baisse

Page 5 : La planète croule sous le sucre

Page 7 : Les agriculteurs bénéficieront de 140 millions de remboursements sur l'essence

Page 8 : Implantation régionale : une troisième sucrerie pour Terra en Afrique

Page 10 : Maroc, le sucre : L’or blanc

Page 13 : Suisse – La campagne de transformation

Page 14 : Suisse : Week-end portes ouvertes à la sucrerie d'Aarberg

Revue de presse S43 : www.sada.co

2

Cristal Union : en pôle position sur les bioénergies (Publié le 22.10.2012 – www.journaldesgrandesecoles.com) Groupe coopératif agro-industriel, Cristal Union a deux métiers historiques : • Le sucre, à destination de l’industrie et de la bouche, • l’alcool et l’éthanol, à destination de l’industrie agro-alimentaire, des grands groupes pharmaceutiques et de la carburation, en plus desquels se sont développées de nouvelles activités liées aux énergies nouvelles. Maurice Lombard, (ENSA Rennes 74), Directeur Industriel de Cristal Union, rappelle les atouts du deuxième sucrier français et cinquième au niveau européen.

Maurice Lombard, (ENSA Rennes 74) Directeur Industriel de Cristal Union. Comment fonctionne le Groupe coopératif Cristal Union ? Cristal Union est une société à capitaux agricoles détenus par les agriculteurs coopérateurs y adhérant. Chaque agriculteur détient du capital en fonction de ses productions et investit dans un outil industriel, l’usine qui est située généralement à proximité de son exploitation. La matière première travaillée dans les sucreries et les distilleries est, à 80 % la betterave qui n’est pas stockable et doit être transformée dans les trois mois. La maîtrise de l’outil industriel donne donc une plus grande sécurité à l’agriculteur. Quels sont vos axes de développement en matière de Biocarburants et de développement durable ? En 2005, nous avons investi, en partenariat avec Blétanol qui regroupe une trentaine de coopératives céréalières, près de 270 millions d’euros dans une unité parmi les plus importantes en Europe de production d’éthanol : Cristanol qui se situe à Bazancourt dans la Marne. Nous fabriquons de l’éthanol à partir de la betterave et du blé. Nous sommes en phase d’amortissement de l’outil qui est aujourd’hui rentable et compétitif. Il s’agit d’un socle fondamental pour la production de nouvelles molécules à renouvelables. Nous avons à notre actif 40 % du marché français en matière de biocarburant. Enfin, nous travaillons sans cesse dans nos usines sur la réduction de la facture énergétique pour améliorer notre rentabilité et diminuer nos émissions de gaz à effet de serre. Notre objectif : faire baisser les


consommations d’énergie de 15 % dans les dix ans à venir. Ainsi, là où les autres sites industriels sont généralement alimentés en gaz naturel, nous produisons de la vapeur pour les process (extraction du sucre, distillation) et notre propre électricité. Enfin, nous optimisons au maximum l’énergie que nous achetons pour en tirer le meilleur profit. En quoi consistent vos missions ? Depuis cinq ans, j’ai la responsabilité opérationnelle des 16 sites de production et de tous les directeurs qui me sont rattachés. Je gère aussi l’évolution de carrière des cadres de production, ainsi que les budgets d’investissements, de maintenance et le suivi de production. Cela suppose de la rigueur et une forte écoute du client. Je privilégie un management participatif, plutôt que directif. Quels sont les métiers ouverts aux jeunes diplômés ? Au niveau industriel, nous proposons des postes d’ingénieur de production, et de maintenance des outils industriels. Nous recherchons une double compétence : technique et agro énergétique. Notre phase « pépinière », qui dure de deux à trois ans, permet aux jeunes embauchés d’apprendre le métier sur le tas. S’ils en ont les capacités, ils peuvent accéder à de hautes responsabilités et encadrer des équipes. Pour intégrer le Groupe, il faut aimer le terrain, le management des hommes et s’impliquer totalement dans la partie opérationnelle de l’entreprise. Le statut coopératif, c’est un état d’esprit différent d’une entreprise privée. Ici, la relation au monde agricole est très forte. Il y a autant de savoir chez les opérateurs que chez les ingénieurs.


4

Sucre : Les rendements de la betterave européenne revus la baisse (Publié le 24.10.2012 – www.zonebourse.com) La Commission européenne a revu en légère baisse, le 22 octobre, ses prévisions de rendements pour la betterave dans les pays membres, à 68,65 tonnes par hectare contre 69,25 tonnes le mois dernier. Ils seraient en repli de 3,3% par rapport à la récolte exceptionnelle de l’année dernière, mais encore supérieurs de 1,3% à la moyenne des cinq dernières années. Parmi les grands pays producteurs, l’Allemagne bénéficierait de bien meilleurs rendements que l’année dernière (+5%), à l’inverse de la France (-5%), à respectivement 66,02 et 86,65 tonnes par hectare, et ils sont en très léger repli en Pologne (54,89 t/ha) et au Royaume-Uni (64,42 t/ha). L’Espagne passe devant la France pour les meilleurs rendements, à 89,18 tonnes par hectares, soit 11,1% de plus que la moyenne des cinq dernières années.


La planète croule sous le sucre (Publié le 26.10.2012 – www.rfi.fr) Autant les céréales sont rares cette année et voient leur prix grimper, autant le sucre est abondant, ce qui pèse sur les cours depuis l'été dernier.

Champ de canne à sucre dans une ferme de Piracicaba, au Brésil. Paulo Fridman/Bloomberg/Getty Les prix du sucre fondent et leur chute s'est même accentuée ce mois-ci, pour la bonne raison que l'on entre-aperçoit à nouveau une production pléthorique au Brésil au printemps prochain. Dans les champs de canne du premier producteur et exportateur mondial, les très belles récoltes se succèdent depuis 2010-2011. De son côté, l'Australie a cette année augmenté sa production, l'Inde, pourtant premier consommateur mondial de sucre, se demande si elle ne sera pas exportatrice nette, cette année. L'Europe et la Russie voient aussi progresser leurs tonnages de sucre, de betterave cette fois. Alors, depuis l'an dernier, après quatre années de déficit, la planète produit plus de sucre qu'elle n'en consomme, d'autant que la crise a bien freiné la demande. La Chine a aussi une belle production nationale avec les importations massives réalisées jusqu'à l'été. Le deuxième consommateur mondial de sucre a des stocks à ras bord, au point que les cargos sucriers seraient en ce moment détournés des côtes chinoises vers d'autres destinations, l'Inde, l'Indonésie et la Malaisie. Les pays du Moyen-Orient, gros acheteurs de sucre, feraient aussi la fine bouche actuellement dans l'attente d'une baisse supplémentaire des prix. Des prix qui se tassent donc, mais qui restent tout de même, dans ce contexte de surabondance sucrière, à un niveau très élevé : un peu moins de 20 cents la livre de sucre roux, 545 dollars la tonne de sucre blanc, c'est à peu près le niveau d'août 2009, et à l'époque, on était encore en situation de pénurie !


6

On est donc loin de l'effondrement des cours et pas près de retrouver les prix cassés d'avant 2006. D'autant que le Brésil, avec son surplus de canne à sucre, pourrait combler opportunément la soif d'éthanol aux États-Unis, où le maïs, dévasté, lui, par la sécheresse, va cruellement manquer aux fabricants de biocarburants, intégré en quantité croissante dans les réservoirs des véhicules américains. Écrit par Claire FAGES.


Les agriculteurs bénéficieront de 140 millions de remboursements sur l'essence

(Publié le 24.10.2012 – www.lesechos.fr) Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a annoncé hier le remboursement partiel aux agriculteurs de la taxe intérieure de consommation (TIC) sur certains carburants payés en 2012. Ces remboursements, qui seront soumis par voie d'amendement au collectif budgétaire, concerneront les livraisons de fuel domestique, de gazole non routier, de fuel lourd et de gaz naturel. Les niveaux de remboursement seront notamment de 5 euros par hectolitre pour le fuel domestique et le gazole non routier; et de 1,665 euro par 100 kilos net pour le fuel lourd. Le coût est évalué à 140 millions d'euros. Les agriculteurs contestent des mesures prises dans le budget 2013, rabotant notamment les allégements de charges sur les saisonniers. Ils demandent aussi de récupérer le produit de la taxe sur les boissons sucrées, qui devait initialement financer d'autres allégements de charges, retoqués depuis par Bruxelles. Écrit par Etienne LEFEBVRE.


8

Implantation régionale : une troisième sucrerie pour Terra en Afrique

(Publié le 24.10.2012 – www.lexpress.mu) Le succès rencontré en Afrique aiguise son appétit. Terra, ex-Harel Frères Ltd, compte implanter une troisième sucrerie sur le continent noir. «Nous avons commencé le processus, mais cela va prendre du temps. »

Diverses études sont en cours Il y a plusieurs étapes à franchir», déclare Sébastien Mamet, Development Executive à Terra. Le groupe a identifié quatre pays d’Afrique de l’Est et d’Afrique centrale, dont le Mozambique, la Tanzanie et le Kenya, pour y installer sa sucrerie. Le choix sera finalisé au cours du premier trimestre de l’année prochaine, très probablement en février. «Le choix du pays dépendra de plusieurs facteurs, notamment la stabilité politique, la politique du prix du sucre dans ce pays, les infrastructures, la disponibilité de l’eau pour l’irrigation, la qualité du sol et les conditions climatiques», ajoute Sébastien Mamet. Le factory area de cette troisième sucrerie couvrirait une superficie allant de 7000 à 10 000 hectares. Le coût du projet devrait avoisiner les Rs 6 milliards. Il devrait être réalisé avec des partenaires en Afrique, dont des banques. Terra a déjà investi dans deux sucreries en Côte d’Ivoire. Elles sont gérées par Sucrivoire Ltd, dont Terra détient 25,5 % des actions. La production de ces usines est estimée à 95 000 tonnes de sucre cette année, contre 87 000 tonnes en 2010-11. Un programme d’investissement pour une période de trois à cinq ans a été mis en place pour la réhabilitation et la modernisation des deux sucreries. Malgré le retard dans l’application de ce programme, attribué en grande partie à la crise sociopolitique ivoirienne, le financement a été obtenu auprès d’institutions financières internationales et de banques. De son côté, le groupe Omnicane se propose d’investir, conjointement avec des partenaires locaux, dans une sucrerie au Kenya. Le complexe sucrier comprendra une distillerie et une centrale électrique.


Une mission d’Omnicane, dirigée par Gérard Château de Balyon, Project Leader, est au Kenya pour discuter des modalités de la réalisation de ce projet. Quant à Altéo, né d’une fusion de Deep River Beau Champ et de Flacq United Estates Ltd, son avenir passe forcément par des opportunités en dehors de l’île Maurice. Tant au niveau des opérations existantes, tel TPC Ltd en Tanzanie, qu’au niveau des nouveaux projets à élaborer en Afrique. Le groupe veut atteindre une production de 100 000 tonnes de sucre en Tanzanie, contre 90 000 tonnes produites par son usine TPC Ltd. Cet objectif ne devrait pas nécessiter de très gros investissements, outre ceux contenus dans le plan normal de son budget de développement. Altéo vise à terme une production de 400 000 tonnes de sucre dans la région. Écrit par Alain BARBÉ.


10

Maroc, le sucre : L’or blanc (Publié le 22.10.2012 – www.lematin.ma) On ne peut pas imaginer notre vie sans sucre. Il est présent dans tous nos repas à tout moment de la journée, dans le café qu’on prend le matin, dans le ketchup de notre hamburger ou dans les viennoiseries mielleuses qu’on déguste avec un verre de thé. Mais quelle est l’histoire de cette substance blanche qui pèse des milliards dans l’économie mondiale, quelles sont ses variétés, ses bienfaits…et ses méfaits. Car, si le sucre est bon pour nos papilles, il ne l’est pas toujours pour notre santé.

Cultures et conquêtes Les premiers Hindous l’appelaient Sakar. La canne à sucre se consomme alors sous forme de tiges, par les populations originaires d’Asie du sud-est et du Pacifique. Selon les archéologues, l'antique civilisation de la vallée de l'Indus, qui s'étendait sur toute la région du sous-continent indien, cultivaient déjà la canne cinq millénaires ans avant notre ère. La canne à sucre franchit la frontière de l'Inde pour s'implanter en Iran suite à l'expédition du roi perse Darius 1er dans les vallées de l'Indus près de 600 ans avant J.C. C'est ainsi que les Perses développèrent des techniques de culture et de transformation du précieux végétal. Principales variétés de sucres Le sucre cristallisé C’est le sucre domestique par excellence. On le trouve forcément dans toutes cuisines. Une fois tamisé, il permet d’obtenir le sucre en poudre ou les sucre semoule. La vergeoise Blonde ou brune mais toujours issue de la betterave sucrière, la vergeoise, colorée et aromatisée, séduit tout à la fois par sa consistance moelleuse et par sa saveur prononcée qui sied parfaitement aux spécialités pâtissières du nord de la France où elle est très appréciée (tarte au sucre, flan à la flamande, crêpes, gaufres). Sucre candi Son appellation a pour origine le mot arabe «quandi» qui signifie «sucre de canne» (bien qu’il vienne aussi bien de la canne que de la betterave). Autrefois réputé pour certaines


vertus thérapeutiques (pour le soin des maux de gorge notamment), ce sucre entre souvent dans la préparation des fruits à l’eau-de-vie, des liqueurs et des apéritifs maisons. Les plus célèbres plantes sucrières La canne à sucre Elle fait partie des graminées au même titre que le blé, le maïs, le seigle... Elle n'est pas cultivée pour ses graines mais pour ses tiges et atteint jusqu'à 5 mètres de hauteur. Composée à 70 % d'eau et de 30 % de matière sèche contenant 1 % de fibre, 14% de saccharose et 3 % de fructose et glucose, elle est la première source de production mondiale de sucre (65 à 70 %) avec un volume annuel de production dépassant les 1,7 milliard de tonnes. La betterave sucrière De couleur blanche et poussant en terre, le sucre est extrait à partir des racines de la betterave. Nombreux sont les critères qui en font de nos jours une des ressources principales utilisées dans la production massive du sucre : sa résistance aux maladies et aux caprices du climat, son rendement mais aussi la pureté de son jus. La découverte des apports en sucre de la betterave sucrière date de la révolution française. En 1789, l'Europe est en conflit. Le commerce du sucre, issu de la canne, est paralysé. Benjamin Delessert, chimiste français, reprend les études de l'allemand Andreas Sigismund Marggraf qui avait, 42 ans plus tôt, réussit à obtenir du sucre à partir de la betterave. Il parviendra à produire du sucre de betterave en si grande quantité que Napoléon encouragera à grande échelle la culture et la production massive de la betterave à sucre. La stévia rebaudiana Plus communément appelée chanvre d’eau, cette plante atteint 60 cm voire parfois 1  m de hauteur. Utilisée depuis des siècles par les Indiens de Guarani (Amérique du Sud) pour adoucir les infusions à base de plantes, guérir divers maux, ou encore pour relever le goût des aliments, son apport en glucosides est 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre avec un autre avantage de taille : l'absence de calories. Ces vertus suscitent de plus en plus l’intérêt de la communauté internationale : La stévia est aujourd'hui cultivée dans plusieurs pays du Brésil au Japon, en passant par le Canada, l'Ukraine l'Angleterre ou encore la Thaïlande... Un carburant qui peut se révéler dangereux Nos cellules ont besoin de glucose : c'est le « carburant » qui leur permet de fournir en énergie les muscles et les organes. Mais le glucose n'est pas du sucre. Il provient des glucides que nous consommons à travers divers aliments : Légumes, fruits, céréales.... L'organisme humain puise le glucose dont il a besoin, à travers une alimentation saine et naturelle, sans avoir recours au sucre. Pourquoi tant d'abus ? Est-il possible d'éviter l'abus sucre ? Une alternative sérieuse : Le xylitol Le xylitol est un substitut du sucre très utilisé dans les pays du nord de l'Europe. Extrait à partir de l'écorce de bouleau, ce produit propose un pouvoir sucrant et une saveur identiques à la saccharose, mais surtout offre un apport calorifique inférieur et contribuerait à la prévention des caries ou encore des otites. Ces avantages en font une alternative aux problèmes de santé publique liés à la surconsommation de sucre.


12

Le sucre part à la conquête du monde avec les musulmans La maîtrise de cette douceur unique est le début d'une grande épopée. Les Arabes introduisent le sucre dans les pays méditerranéens, en s'inspirant des techniques de production indienne et perse, dans une dynamique d'amélioration des techniques d'irrigation, d'extraction et de transformation du sucre. La culture de la canne se répand ainsi avec l'expansion musulmane en Palestine, en Syrie et en Égypte dès le 8e siècle. Elle arrive au sud de l'Espagne un siècle plus tard, suivi par Malte, la Sicile et la Crète... Les Croisades aussi vont contribuer à distribuer la canne à sucre en Italie, en Grèce jusque dans le sud de la France. C'est alors un ingrédient de luxe. Il est utilisé comme monnaie d'échange, épice ou médicament jusqu'au 17e siècle. Les Portugais l'importent au Brésil, les Hollandais dans les Iles Caraïbes. C'est la naissance de l'or blanc. Écrit par Imane FALAH.


Suisse – La campagne de transformation (Publié le 22.10.2012 – www.agrihebdo.cfm) Les abondantes précipitations, l’avancement des travaux de récolte et l’approvisionnement des sucreries ont été au centre des préoccupations de la logistique des transports de betteraves. Grâce à la prévoyance des entreprises d’arrachage, les livraisons se sont déroulées, à quelques exceptions près, selon la planification établie. Ainsi, la capacité de travail des sucreries n’a dû être que légèrement réduite. Durant cette semaine, l’approvisionnement des usines sera suivi de près et le cas échéant la capacité de transformation quotidienne adaptée en conséquence. En raison des conditions météorologiques, il n’est pas étonnant de voir que le taux de sucre se soit maintenu au niveau de la semaine précédente entre 16,6 et 16,8%. Par contre, la tare terre a augmenté en dessus de 8%. Jusqu’à la fin de la semaine rapportée, 390000 tonnes de betteraves ont déjà été livrées, soit les 20% de la récolte prévue. Journée des planteurs jeudi 25 octobre Suite à l’inscription de plus de 2000 participants à la journée des planteurs organisée dans le cadre du 100e anniversaire de la sucrerie d’Aarberg, le programme a dû être légèrement modifié. – Visite de la sucrerie entre 9 h et 16 h. – Démonstration «Récolte de betteraves hier et aujourd’hui», à 9 h 30 et à 13 h 30. – Conférence «Avenir de la production de sucre en Europe», de 10 h 30 à 11 h 30. – Possibilité de se restaurer dès 11 h 30 jusqu’aux environs de 15 h. Compte tenu des limites de places et de la capacité d’accueil, les organisateurs recommandent de faire également usage des possibilités de visites durant l’après-midi.


14

Suisse : Week-end portes ouvertes à la sucrerie d'Aarberg (Publié le 25.10.2012 – www.romandie.com) La sucrerie d'Aarberg (BE) organise des journées portes ouvertes ce week-end pour marquer son 100e anniversaire. Le sucre suisse existe en effet depuis 100 ans et les sucreries d'Aarberg et de Frauenfeld (TG) couvrent presque intégralement les besoins de la Suisse. Le public pourra découvrir les coulisses d'une sucrerie en visitant des installations de production, des entrepôts, des ateliers, ainsi que les chaînes d'emballage robotisées. Après cette visite, un film permettra aux visiteurs de se familiariser avec l'histoire du sucre suisse, ont annoncé jeudi les Sucreries Aarberg et Frauenfeld SA. L'usine du Seeland tournera à plein régime samedi et dimanche. Les producteurs approvisionnent chaque année les deux sucreries avec 16 millions de tonnes de betteraves. Elles fabriquent annuellement 250'000 tonnes de sucre et génèrent un produit d'exploitation de l'ordre de 250 millions de francs. Une première fabrique de sucre existait déjà depuis 1899 à Aarberg, mais a été détruite par un incendie. En janvier 1912, une deuxième lui a succédé. C'est cette année qui a été retenue pour commémorer "les 100 ans du sucre suisse". Ce n'est qu'en 1963 que la deuxième sucrerie verra le jour à Frauenfeld.

Documents

Revue de presse S43 - franckcamuset.files.wordpress.com · REVUE DE PRESSE S43 Du 22.10 au 28.10.2012 Page 2 : Cristal Union : en pôle position sur les bioénergies Page 4 : Sucre