3
TELEX SB PAGE 18 Dossier spécial Les centres d’information et d’orientation près de chez vous : CIO de Forbach : 5 rue du Tribunal - Forbach Téléphone : 03 87 87 69 27 Fax : 03 87 84 18 01 Email : [email protected] CIO de Sarrebourg : 7 rue du Château d'eau - Sarrebourg Télé- phone : 03 87 23 74 33 Fax : 03 87 03 28 60 Email : ce.cio57-sarrebourg@ac-nancy- metz.fr CIO de Sarreguemines : 21 rue de la Paix - Sarreguemines Téléphone : 03 87 98 20 81 Fax : 03 87 98 17 25 Email:ce.cio57-sarreguemines@ac-nancy- metz CIO de Valmont : Rue du Général de Gaulle - Valmont Télé- phone : 03 87 92 00 24 Fax : 03 87 29 87 32 Email : ce.cio57-saintavold@ac-nancy- metz.fr Malgré la crise et plu- sieurs millions de chômeurs, de nom- breux postes sont à pourvoir en France et des métiers man- quent de main-d’œu- vre. Le point sur les secteurs qui recru- tent. On estime à 1,6 million le nombre d’emplois à pourvoir cette année et le départ à la retraite des géné- rations du baby-boom devrait confirmer les besoins de main- d’œuvre d’ici 2015. Malgré la crise, les employeurs éprouvent des dif- ficultés de recrutement dans cer- tains secteurs. Selon Pôle Emploi, les métiers les plus recherchés réclament pour la plupart un faible niveau de qualification, no- tamment dans le cadre des services à la personne et de la res- tauration : aide à domicile, agent d’entretien, garde d’enfants, animateur socioculturel, aide-soignant, serveur, apprenti de cui- sine. Cela dit, à peine la moitié des postes proposés sont des em- plois durables, d’autant qu’ils sont marqués par une forte saisonnalité comme c’est aussi le cas pour les besoins de main- d’œuvre dans la viticulture et l’arboriculture. Les difficultés de re- L’auto-entreprenariat a relancé la création d’entreprises en France mais n’a pas pour autant rempli ses objectifs. Alors qu’une réforme est annon- cée pour 2014, quelle réalité recouvre ce régime ? En vigueur depuis le 1er janvier 2009, le régime de l’auto-entrepreneur permet à chacun de créer facilement son activité, en la cumulant éventuellement à une autre rémunération. Ouvert aux demandeurs d’emploi, aux étudiants, salariés, fonctionnaires, professions libérales et aux retraités, il est basé sur une déclara- tion d’activité, une immatriculation et une comptabilité simplifiées. Le paiement des cotisations, contributions sociales et de l’impôt sur le revenu s’effectue par un prélèvement proportionnel au chiffre d’affaires réalisé. Mais qui sont donc les auto-entrepreneurs ? Un panorama réalisé par la caisse nationale du réseau des Urssaf en recense 914 000 à fin août 2013. Plus d’un tiers des auto-entrepreneurs exercent leur activité dans le commerce, la réparation auto-moto et dans le bâtiment. Ce sont en majorité des hommes (62 %) et leur moyenne d’âge se situe autour de 40 ans. Cependant, tous ne sont pas économiquement actifs. Au deuxième trimestre 2013, seuls 53 % d’entre eux ont déclaré un chiffre d’affaires. Globalement, celui-ci reste assez faible puisque sa moyenne trimestrielle s’élève à 3 480 € depuis la création du dispositif. DISPOSITIF AUX METIERS PAR L'ALTERNANCE DIMA AU LYCEE AGRICOLE DE CHATEAU-SALINS Condition d'admission: Sortir de 4ème ou 3ème, Contact: [email protected] 03 87 05 12 39 les services aux personnes, l'agriculture, les métiers du cheval, l'aménagement.

Sb formation

Embed Size (px)

DESCRIPTION

sarrebourg - formation

Citation preview

Page 1: Sb formation

TELEX SB PAGE 18

Dossier spécial

Les centres d’informationet d’orientation prèsde chez vous :

CIO de Forbach :

5 rue du Tribunal - ForbachTéléphone : 03 87 87 69 27Fax : 03 87 84 18 01Email : [email protected]

CIO de Sarrebourg :

7 rue du Château d'eau - Sarrebourg Télé-phone : 03 87 23 74 33Fax : 03 87 03 28 60Email : [email protected]

CIO de Sarreguemines :

21 rue de la Paix - SarregueminesTéléphone : 03 87 98 20 81Fax : 03 87 98 17 25Email:ce.cio57-sarreguemines@ac-nancy-metz

CIO de Valmont :

Rue du Général de Gaulle - Valmont Télé-phone : 03 87 92 00 24Fax : 03 87 29 87 32Email : [email protected]

Malgré la crise et plu-sieurs millions dechômeurs, de nom-breux postes sont àpourvoir en France etdes métiers man-quent de main-d’œu-vre. Le point sur lessecteurs qui recru-tent.

On estime à 1,6 million le nombred’emplois à pourvoir cette annéeet le départ à la retraite des géné-rations du baby-boom devraitconfirmer les besoins de main-d’œuvre d’ici 2015. Malgré la crise,les employeurs éprouvent des dif-ficultés de recrutement dans cer-

tains secteurs. Selon Pôle Emploi, les métiers les plus recherchésréclament pour la plupart un faible niveau de qualification, no-tamment dans le cadre des services à la personne et de la res-tauration : aide à domicile, agent d’entretien, garde d’enfants,animateur socioculturel, aide-soignant, serveur, apprenti de cui-sine. Cela dit, à peine la moitié des postes proposés sont des em-plois durables, d’autant qu’ils sont marqués par une fortesaisonnalité comme c’est aussi le cas pour les besoins de main-d’œuvre dans la viticulture et l’arboriculture. Les difficultés de re-

L’auto-entreprenariat a relancé la création d’entreprises en France maisn’a pas pour autant rempli ses objectifs. Alors qu’une réforme est annon-cée pour 2014, quelle réalité recouvre ce régime ?

En vigueur depuis le 1er janvier 2009, le régime de l’auto-entrepreneur permet àchacun de créer facilement son activité, en la cumulant éventuellement à uneautre rémunération. Ouvert aux demandeurs d’emploi, aux étudiants, salariés,fonctionnaires, professions libérales et aux retraités, il est basé sur une déclara-tion d’activité, une immatriculation et une comptabilité simplifiées. Le paiementdes cotisations, contributions sociales et de l’impôt sur le revenu s’effectue par unprélèvement proportionnel au chiffre d’affaires réalisé. Mais qui sont donc lesauto-entrepreneurs ? Un panorama réalisé par la caisse nationale du réseau desUrssaf en recense 914 000 à fin août 2013. Plus d’un tiers des auto-entrepreneurs

exercent leur activité dans le commerce, la réparation auto-moto et dans le bâtiment. Ce sont en majorité des hommes(62 %) et leur moyenne d’âge se situe autour de 40 ans. Cependant, tous ne sont pas économiquement actifs. Audeuxième trimestre 2013, seuls 53 % d’entre eux ont déclaré un chiffre d’affaires. Globalement, celui-ci reste assez faiblepuisque sa moyenne trimestrielle s’élève à 3 480 € depuis la création du dispositif.

DISPOSITIF AUX METIERS PAR L'ALTERNANCE DIMA

AU LYCEE AGRICOLE DE CHATEAU-SALINSCondition d'admission:

Sortir de 4ème ou 3ème,Contact:

[email protected]

03 87 05 12 39

les services aux personnes, l'agriculture,

les métiers du cheval, l'aménagement.

Page 2: Sb formation

TELEX SB PAGE 19

crutement concernent particulièrement les travailleurs ma-nuels, les chauffeurs routiers, les techniciens, les agents ad-ministratifs, les commerciaux, les comptables et lespersonnels de l’hôtellerie-restauration. Dans tous les do-maines, les ingénieurs sont très recherchés, en particulierdans l’informatique, l’industrie et l’énergie.

Dans ce secteur, il y a beaucoup de postes à pourvoir et pasassez de candidats, notamment en raison d’une mauvaiseimage liée aux horaires difficiles. Avec 14 % du total des in-tentions d’embauche, c’est le premier pôle de recrutementnational et la diversité des métiers qu’il recouvre offre denombreux débouchés. Certaines spécialités et catégoriesd’établissement (restauration gastronomique, hôtels deluxe, etc.) exigent un bon niveau de formation mais d’au-tres sont accessibles aux débutants qui ont toute leur placeau sein de la cuisine, du service de restauration grand pu-blic ou du personnel polyvalent.

La pénurie de personnel médical est importante. Les be-soins d’effectif d’infirmiers et de puéricultrices sont évaluésà plus de 21 000 postes en 2013 et à près du double pourles aides-soignants et personnels médico-psychologiques,en particulier dans les établissements d’hébergement pourles personnes âgées dépendantes. Les projets de recrute-ment sont également nombreux pour les professionnelsparamédicaux, dont les kinésithérapeutes, les pharma-ciens, psychologues, etc.

Certes, les fermetures d’usine se sont multipliées ces der-nières années mais l’industrie continue pourtant de recruterpour répondre aux nouveaux besoins du marché et à l’évo-lution des compétences. 100 000 postes seraient ainsi àpourvoir chaque année dans la métallurgie, dont la moitiépour les entreprises de mécanique, notamment dans les fi-lières chaudronnerie, tuyauterie et maintenance industrielle.Les soudeurs, chaudronniers, techniciens de méthode, élec-troniciens, opérateurs, hydrauliciens et ingénieurs sont très

demandés. Dans l’aéronautique, les carnets de commandesont pleins aussi bien pour les grands groupes qu’en sous-traitance. Tous les niveaux de qualification, dès le CAP, sontconcernés par les recrutements.

Le métier de commercial n’est plus attractif, souvent jugécomme mal payé, soumis à la pression du chiffre et en défi-cit d’éthique. En période de crise, il devient pourtant plusstratégique car les pratiques évoluent vers plus d’innovationset de compétences dans la connaissance du marché, la rela-tion client, l’utilisation des réseaux sociaux, etc. La fonctioncommerciale et marketing s’exerce dans de nombreux sec-teurs qui prévoient 50 000 embauches en 2014. La banque,les assurances, l’audit-conseil, l’e-commerce, l’immobilier,l’agroalimentaire en sont très friands mais les recruteurs sontexigeants en termes de profil, de motivation, de mobilité et

de flexibilité, visant en priorité les jeunes diplômés.

APEI-Actualités

Acquérir de nouvelles compétences,se perfectionner, obtenir une quali-fication plus élevée, trouver un nou-vel emploi : la formationprofessionnelle est un droit dont ilfaut profiter.

La formation professionnelle est un droit auquel on peutprétendre, quels que soient son âge et son statut : salariés,indépendants, chefs d’entreprise, demandeurs d’emploi,etc. Des salons thématiques ouverts à tous y sont réguliè-rement consacrés dans les régions qui animent de nom-breux dispositifs d’aide et d’accompagnement à l’attentiondes particuliers, des entreprises, des collectivités locales et

des associations. Si vous avez un projet, sans savoir précisé-ment où vous adresser pour le développer, n’hésitez pas àvous informer auprès des services de votre conseil régional.Certaines régions mettent à disposition un numéro vert(appel gratuit) à cet effet. Dans la fonction publique d’Etat,territoriale et hospitalière, il existe des plans pluriannuels de

formation des agents pour le perfectionnement des services,le développement des qualifications individuelles, la prépa-ration aux concours internes.Dans le privé, les employeurs n’ont pas l’obligation de mettreen place un plan de formation de l’entreprise. Néanmoins,les salariés en CDI ou en CDD (à l’exception des contrats d’ap-prentissage ou de professionnalisation) peuvent bénéficierdu droit individuel à la formation (DIF). La nature des forma-tions entrant dans ce cadre est variée mais l’objectif fixé estd’acquérir une qualification plus élevée, d’entretenir ou deperfectionner ses connaissances. Il peut par exemple s’agirde cours de langues étrangères.

Avec le DIF, les salariés justifiant d’un minimum d’anciennetédans l’entreprise (un an en CDI ou 4 mois travaillés sur les 12derniers en CDD) peuvent se constituer un crédit de 20heures de formation par an qu’ils peuvent cumuler sur 6 ans,soit un total de 120 heures. Ils sont libres de les utiliser ounon, sans compensation possible dans le second cas. Ceuxqui décident d’en profiter doivent en formuler la demandeauprès de l’employeur, celui-ci étant obligé d’y répondredans un délai d’un mois. Son accord sur le choix de la for-mation est requis pour la mise en œuvre du DIF. Si la forma-tion a lieu sur le temps de travail, la rémunération ne changepas. Si elle se déroule hors temps de travail, le salarié perçoitune allocation, en plus de son salaire. C’est l’employeur quiassure les frais de formation. Le congé individuel de forma-tion (CIF) va plus loin en prévoyant une absence d’un an oude 1 200 heures pour suivre une formation à temps plein.

APEI-Actualités

La pratique des langues étrangèresn’est pas le point fort des Français. Lemanque de motivation, un blocageculturel, la méthode d’enseignement

C’EST L’HEURE DES INSCRIPTIONS :des formations autour du service à la personne et la restauration

Lycée Ste Thérèse4 rue des Alliés • 67970 OERMINGEN • Inscriptions - Rens. • 03 88 00 82 66

Les inscriptions pour la rentrée scolaire de septembre 2014 ont commencé le 6 janvier 2014.Les places étant limitées, il est nécessaire de prendre rendez-vous rapidement auprès du chef d’établissement.

Le lycée professionnel Sainte-Thérèse cumule un taux de réussite aux examens pour la session 2013 de 96,7 %.

L’ éventail des formations proposées par le lycée professionnel privé Sainte-Thérèse comprend :

• Le Baccalauréat Professionnel ASSP (Accompagnement Soinset Services à la Personne) option en structure. Se préparant en troisans, avec 22 semaines en milieu professionnel, il est accessible à l’issuedes classes de 3e générale ou technologique. Le titulaire du Bac proASSP exerce auprès des publics (enfants, personnes âgées, personneshandicapées…) des soins d’hygiène et de confort, des activités d’aideaux actes de la vie quotidienne et de maintien de la vie sociale. Lespoursuites d’études dans le domaine sanitaire et sociales (BTS , DEUST,concours et insertion professionnelle)

• Le CAP APR (Agent Polyvalent de Restauration) destiné à uneinsertion professionnelle immédiate dans les services de restaurationcollective. Le titulaire du CAP APR est quali�é pour préparer, distribuer,vendre des produits alimentaires.

• Le CAP ATMFC (Assistant Technique en Milieu Familial et Collectif) prépare les élèves à des activités de maintien en état ducadre de vie des personnes : entretien du linge, des locaux, préparationet service des repas.

• Le CAP Petite Enfance se prépare en un an. L’élève doit être titulaired’un diplôme de niveau V minimum (CAP, BEP, BAC). Trois unités com-posent cette formation : la prise en charge de l’enfant à domicile, l’ac-compagnement éducatif de l’enfant, les techniques de services à al’usager.

• La FCIL prépare à l’écrit et à l’oral des concours du domaine sanitaireet social, notamment aide soignant et auxiliaire de puériculture.

• La MCAD (Mention Complémentaire Aide à Domicile) en forma-tion initiale et en formation continue pour les adultes. Ce diplômeéquivalent au DEAVS forme des professionnels exerçant leurs fonctionsauprès de familles, de personnes âgées, handicapées vivant en loge-ment privé, individuel ou collectif.

• Le DIMA (Dispositif d’Initiation aux Métiers par Alternance)accueille 15 élèves sortant de 4e et ayant 15 ans au plus tard le 31 dé-cembre de l’année civile d’entrée en DIMA. L’objectif de cette année estde permettre à chaque élève de découvrir les métiers grâce aux 16 se-maines de stage prévues et ainsi de mûrir son orientation et trouver unapprentissage.

Renseignements : Mme Buring chef d’établissement au : 03 88 00 82 66

Contactez-nous, nous sommes à votre écoute !

Centre de Formation I.P.S.Spécialisé dans le domaine de la soudure

☎ 03 87 84 22 86e-mail : [email protected]

Z.I. Carrefour de l'Europe - Rue Jean Prouvé - FORBACHSite Internet : www.ips-forbach.fr

Vous êtes intérimaire,ancien intérimaire, ou salarié en C.D.I. ou C.D.D.

Nous sommes spécialisés dans la formationet le perfectionnement en soudure

(licences aux normes européennes).Ensemble définissons vos projetsd’évolution ou de réorientation.

Prenez votre avenir en main !

Page 3: Sb formation

TELEX SB PAGE 20

Dossier spécial

sont montrés du doigt. Mais il ya des solutions !

Tous nuls en langues étrangères ? Au-delà du cli-ché largement répandu, il faut bien reconnaîtreque les élèves français ne brillent pas dans ce do-maine. Publiée en 2012, une étude européennemenée auprès de 54 000 lycéens de 14 pays lesplace parmi les derniers, avec seulement 14 %ayant un bon niveau dans la première langue étu-diée, l’anglais. Les tests mesurant le niveau d’an-glais des étudiants souhaitant intégrer desétablissements d’enseignement supérieur à l’étran-ger montrent également un mauvais classementdes Français.

À l’âge adulte, deux tiers des Français ne parle-raient aucune langue étrangère couramment etseul un sur cinq maîtriserait l’anglais.

Quelles sont donc les causes de cette incompé-tence ? Un certain manque de motivation sembleêtre à l’origine du problème. Pour preuve, les Bri-tanniques arrivent derrière nous dans les classe-ments européens. Leur langue est parlée dans lemonde entier et beaucoup ne voient pas l’utilitéd’en apprendre d’autres. Dans l’Hexagone, nom-breux sont ceux qui n’ont pas besoin de parler uneautre langue au cours de leur parcours profession-nel et l’influence du français reste suffisante dansde nombreux pays pour y voyager facilement.

Autres explications : des raisons culturelles nouspoussent à freiner la diversité linguistique pourprotéger la langue française qui serait menacée parl’utilisation massive de termes anglais, ainsi qu’unapprentissage tardif avec une méthode éducativetrop académique ne laissant que peu de places àl’expression spontanée

Le congé parental n’estpas réservé aux jeunesmamans. Il concerneaussi les papas et ne si-gnifie pas forcément unarrêt complet de l’acti-vité professionnelle.

Actuellement, le congé parentald’éducation est pris à 97 % par desfemmes. Tout salarié, homme oufemme, peut pourtant en bénéficier, àcondition de justifier d’un an d’an-cienneté dans l’entreprise. Une lettrerecommandée (avec accusé de récep-tion) indiquant le début et la durée ducongé suffit à prévenir l’employeur quine peut pas refuser cette demande.Deux formules de congé parental sontpossibles : le congé total ayant poureffet de suspendre le contrat de travailet un temps de travail partiel qu’il estpossible d’assurer en parallèle ducongé parental. Le salarié a le choix dela durée de travail qu’il souhaite effec-tuer avec un minimum obligatoire de16 heures par semaine. La répartitiondes horaires est fixée en accord avecl’employeur. Les droits au rembourse-ment de soins sont conservés.

APEI-Actualités

NOS FORMATIONSpour la RENTREE 2014

Accueil élèves : BOURSIERSREGIMES : EXTERNES - 1/2 PENSIONNAIRES - INTERNES

Ligne de bus : SARREBOURG - DIEUZE

Soutien aux élèves en di�cultés par une aide aux devoirs

4ème Alternance (Remise à niveau)3ème Prépa-Pro (Préparation au BREVET et à l’orientation)

■ BAC PRO SECTEUR Hôtelier (en 3 ans BEP intégré)- Organisation et production culinaire (cuisine)Ou- Commerce et service en restauration (salle)

■ BAC PRO Esthétique (en 3 ans – CAP intégré)

■ CAP Coi�ure à Dieuze et au Lycée St-Joseph à FREYMING-MERLEBACH(tél. 03 87 04 43 87)

Ouverture du CAP COIFFURE à la rentrée de septembre 2014 dans les locaux duCollège Notre Dame de PELTRE (Informations au 03 87 86 04 86)Mentions Complémentaires : Coloriste-Permanentiste / Styliste-Visagiste

■ CAP A.P.R. Agent Polyvalent de Restauration

■ BAC PRO COMMERCE (en 3 ans – BEP M.R.C.U. intégré)

■ BAC PRO A.S.S.P (en 3 ans - BEP A.S.S.P. intégré)Accompagnement, Soins et Service à la PersonneOption « En structures »

■ CENTRE DE FORMATION sur DIEUZEBREVET PROFESSIONNEL COIFFURE

Lycée Professionnel

1 rue des Frères Mesguin – 57260 DIEUZETél : 03.87.86.04.86 – Fax 03.87.86.85.25

Secrétariat Email : [email protected]

Site internet : www.la-providence-dieuze.com