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SYNDICAT D'EQUIPEMENT ET D AMENAGEMENTDE LA PLAINE DE FRANCE ET DE L AULNOY
S O D E D A TSeine -Saint-Denis
RECHERCHE PAR FORAGE D UN GÎTE GEOTHERMIQUEA BASSE TEMPERATURE
DANS L AQUIFERE DU DOGGER
VTPROJET DE TREMBLAY - LES-GONESSE
(Seine-Saint-Denis)
ETUDE D'IMPACTpar
Ch. FREY et X. RICH
avec la collaboration de P. CQURTOT ( Etude acoustique )
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALB.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: {38} 63.80.01
Service géologique régional ILE D E F R A N C E
65, rue du Général Leclerc - B.P. 34 - 77170 Brie-Comte-Robert
Tél.: (6)405.27.07
RAPPORT B.R.G.M.
82SGN771 IDF rie-Comte-Robert, septembre 1982\
IHK 'tin
SOMMAIRE
INTRODUCTION
I. - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE 1
1.1 Situation géographique du projet 1
1.2 Cadre naturel 1
1.2.1. Environnement 1
1.2.2. Géologie 4
1.2.3. Hydrogéologie 41.2.4. Climatologie 131.2.5. Bruits 131.2.6. Vibrations 161.2.7. Qualité de l'air, dégagement gazeux 16
1.3 Eléments humains 171.3.1. Habitat 171.3.2. Infrastructure 171.3.3. Socio-économie 19
II. - ANALYSE DES EFFETS SUR L'ENVIRONNEMENT 20
2.1 Définition du projet - conception d'ensemble 20
2.2 Chantier provisoire pour la réalisation des forages 222.2.1. Description des travaux à réaliser et du matériel
utilisé 22
2.2.2. Installations définitives 29
2.3 Evaluation de l'impact dû au chantier 30
2.3.1. Impact sur le milieu naturel 302.3.2. Impact sur le voisinage 302.3.3. Impact sur les infrastructures 322.3.4. Impact sur l'occupation des sols 33
2.4 Evaluation de l'impact de l'installation 34
2.4.1. Impact sur le sous-sol 342.4.2. Impact sur le site - Impact socio-économique 35
SOMMAIRE
INTRODUCTION
I. - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE 1
1.1 Situation géographique du projet 1
1.2 Cadre naturel 1
1.2.1. Environnement 1
1.2.2. Géologie 4
1.2.3. Hydrogéologie 41.2.4. Climatologie 131.2.5. Bruits 131.2.6. Vibrations 161.2.7. Qualité de l'air, dégagement gazeux 16
1.3 Eléments humains 171.3.1. Habitat 171.3.2. Infrastructure 171.3.3. Socio-économie 19
II. - ANALYSE DES EFFETS SUR L'ENVIRONNEMENT 20
2.1 Définition du projet - conception d'ensemble 20
2.2 Chantier provisoire pour la réalisation des forages 222.2.1. Description des travaux à réaliser et du matériel
utilisé 22
2.2.2. Installations définitives 29
2.3 Evaluation de l'impact dû au chantier 30
2.3.1. Impact sur le milieu naturel 302.3.2. Impact sur le voisinage 302.3.3. Impact sur les infrastructures 322.3.4. Impact sur l'occupation des sols 33
2.4 Evaluation de l'impact de l'installation 34
2.4.1. Impact sur le sous-sol 342.4.2. Impact sur le site - Impact socio-économique 35
III. - RAISONS POUR LESQUELLES LE PROJET A ETE RETENU 36
3.1 Raisons géologiques et hydrogéologiques 363.2 Raisons techniques et socio-économiques 363.3. Choix du type d'exploitation 36
IV. - MESURES ENVISAGEES POUR PREVENIR, SUPPRIMER ET REDUIRE LES
IMPACTS NEGATIFS
4.1 Mesures contre les effets sur le milieu naturel 374.2 Mesures contre les effets sur le voisinage 38
4.2.1. Bruits - Vibrations 384.2.2. Circulation routière 394.2.3. Dégagement gazeux - Odeurs 394.2.4. Eclairage du chantier 39
4.3 Mesures contre les effets sur les infrastructures 404.4 Mesures diverses 414.5 Mesures contre les perturbations socio-économiques 41
V. - REMISE EN ETAT DES LIEUX 42
5.1 Phase immédiate . 425.2 Phase à long terme 42
VI . - TABLEAU RESUME 45
LISTE DES PRINCIPALES ADRESSES UTILES 44
ANNEXES
A.l Implantation du projet géothermique. InfrastructuresA. 2 Rapport géologique concernant le forage n° 4
III. - RAISONS POUR LESQUELLES LE PROJET A ETE RETENU 36
3.1 Raisons géologiques et hydrogéologiques 363.2 Raisons techniques et socio-économiques 363.3. Choix du type d'exploitation 36
IV. - MESURES ENVISAGEES POUR PREVENIR, SUPPRIMER ET REDUIRE LES
IMPACTS NEGATIFS
4.1 Mesures contre les effets sur le milieu naturel 374.2 Mesures contre les effets sur le voisinage 38
4.2.1. Bruits - Vibrations 384.2.2. Circulation routière 394.2.3. Dégagement gazeux - Odeurs 394.2.4. Eclairage du chantier 39
4.3 Mesures contre les effets sur les infrastructures 404.4 Mesures diverses 414.5 Mesures contre les perturbations socio-économiques 41
V. - REMISE EN ETAT DES LIEUX 42
5.1 Phase immédiate . 425.2 Phase à long terme 42
VI . - TABLEAU RESUME 45
LISTE DES PRINCIPALES ADRESSES UTILES 44
ANNEXES
A.l Implantation du projet géothermique. InfrastructuresA. 2 Rapport géologique concernant le forage n° 4
FIGURES DANS LE TEXTE
Fig. 1 Carte de situation du forage de Tremblay-les-Gonesse etdes forages géothermiques proches
Fig. 1 B Principaux captages d'eau autour du projet
Fig. 2 Coupe prévisionnelle des terrains du Tertiaire
Fig. 3 Coupe géologique du forage de la S F D E (184.1.166)
Fig. 4 Coupe géologique prévisionnelle de Tremblay-les-Gonesse
Fig. 5 Rose des Vents annuelle Le Bourget
Fig. 6 Enregistrement dans la nuit du 23 au 24.9.1982
Fig. 7 Schéma d'un appareil de forage Rotary
PLANCHES DANS LE TEXTE
Pl . 1 Vue panoramique du projet d'emplacement de la plate-formede forageCliché de la végétation recouvrant le site
Pl . 2 Implantation du projet géothermique à 1/5000
Pl . 3 Coupe géologique et technique résumée
Pl. 4 Réseau géothermal - Réseau géothermiqueStation géothermale et sous-stations.
FIGURES DANS LE TEXTE
Fig. 1 Carte de situation du forage de Tremblay-les-Gonesse etdes forages géothermiques proches
Fig. 1 B Principaux captages d'eau autour du projet
Fig. 2 Coupe prévisionnelle des terrains du Tertiaire
Fig. 3 Coupe géologique du forage de la S F D E (184.1.166)
Fig. 4 Coupe géologique prévisionnelle de Tremblay-les-Gonesse
Fig. 5 Rose des Vents annuelle Le Bourget
Fig. 6 Enregistrement dans la nuit du 23 au 24.9.1982
Fig. 7 Schéma d'un appareil de forage Rotary
PLANCHES DANS LE TEXTE
Pl . 1 Vue panoramique du projet d'emplacement de la plate-formede forageCliché de la végétation recouvrant le site
Pl . 2 Implantation du projet géothermique à 1/5000
Pl . 3 Coupe géologique et technique résumée
Pl. 4 Réseau géothermal - Réseau géothermiqueStation géothermale et sous-stations.
ItlTRODHCTION
Le Syndicat d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France et
de l'Aulnoy (S. E. A. P. F. A.) a sollicité une autorisation pour la réalisa¬tion d'un projet de chauffage à base de géothermie à basse température, depuis
l'aquifère du Dogger, pour la Z. A. C. du Vert Galant à Tremblay-lès-Gonesse.
Le Syndicat d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France
et de l'Aulnoy a délégué la maîtrise d'ouvrage à la Société d'Economie Mixte
d'Equipement et d'Aménagement de Territoire du département de la Seine-Saint-
Denis (SODEDAT 93) pour les travaux de forage.
Le Bureau de Recherches Géologiques et Minières, maître d'oeuvre
pour les travaux de sous-sol, fera effectuer deux forages à la nappe du Dogger
à partir de la même plate-forme. Un forage de production alimentera le réseau
géothermal. L'eau sera recueillie dans le forage d'injection après avoir cédé
ses calories.
Ces deux forages seront déviés et atteindront une profondeur
d'environ 1.840 mètres.
Des essais de mise en production succéderont aux travaux de
forage de chacun des deux puits afin de déterminer les caractéristiques phy¬
sicochimiques de l'aquifère geothermal. Ces travaux de recherche estimés à
20 000 000 francs environ, sont soumis à la procédure de l'étude d'impactprévue par le décret n° 77.1141 du 12 octobre 1977, relatif à la protectionde la nature.
Cette étude est établie conformément à l'article 7 du décret
n° 78.498 du 28 mars 1978, relatif aux titres de recherches et d'exploitation
ItlTRODHCTION
Le Syndicat d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France et
de l'Aulnoy (S. E. A. P. F. A.) a sollicité une autorisation pour la réalisa¬tion d'un projet de chauffage à base de géothermie à basse température, depuis
l'aquifère du Dogger, pour la Z. A. C. du Vert Galant à Tremblay-lès-Gonesse.
Le Syndicat d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France
et de l'Aulnoy a délégué la maîtrise d'ouvrage à la Société d'Economie Mixte
d'Equipement et d'Aménagement de Territoire du département de la Seine-Saint-
Denis (SODEDAT 93) pour les travaux de forage.
Le Bureau de Recherches Géologiques et Minières, maître d'oeuvre
pour les travaux de sous-sol, fera effectuer deux forages à la nappe du Dogger
à partir de la même plate-forme. Un forage de production alimentera le réseau
géothermal. L'eau sera recueillie dans le forage d'injection après avoir cédé
ses calories.
Ces deux forages seront déviés et atteindront une profondeur
d'environ 1.840 mètres.
Des essais de mise en production succéderont aux travaux de
forage de chacun des deux puits afin de déterminer les caractéristiques phy¬
sicochimiques de l'aquifère geothermal. Ces travaux de recherche estimés à
20 000 000 francs environ, sont soumis à la procédure de l'étude d'impactprévue par le décret n° 77.1141 du 12 octobre 1977, relatif à la protectionde la nature.
Cette étude est établie conformément à l'article 7 du décret
n° 78.498 du 28 mars 1978, relatif aux titres de recherches et d'exploitation
de la géothermie.
Elle accompagne l'autorisation de recherches de gîtes géothermiques
à basse température dans l'aquifère du Dogger, présentée par le Syndicat
d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France et de l'Aulnoy.Elle comporte successivement, comme le prévoit l'article 2 du
décret n° 77.1141 du 12 octobre 1977 :
- une analyse de l'état initial du site et de l'environnement,
- une analyse de l'effet des travaux sur l'environnement,- les raisons pour lesquelles le projet a été retenu,
- les mesures envisagées pour prévenir, supprimer, réduire et si
possible compenser les conséquences dommageables,
- la remise en état deé lieux.
de la géothermie.
Elle accompagne l'autorisation de recherches de gîtes géothermiques
à basse température dans l'aquifère du Dogger, présentée par le Syndicat
d'Equipement et d'Aménagement de la Plaine de France et de l'Aulnoy.Elle comporte successivement, comme le prévoit l'article 2 du
décret n° 77.1141 du 12 octobre 1977 :
- une analyse de l'état initial du site et de l'environnement,
- une analyse de l'effet des travaux sur l'environnement,- les raisons pour lesquelles le projet a été retenu,
- les mesures envisagées pour prévenir, supprimer, réduire et si
possible compenser les conséquences dommageables,
- la remise en état deé lieux.
Carte de situation du forage de T r e m b l a y - l e s - G o n e s s e et des forages géothermiques prochesFig. 1
Forage géothermiqued'AULNAY-sous-Bois
Forage géothermique projetéde TREMBLAY-Les-Gonesse
Forages géothermiques^ . -"̂ #Tt.'•>""%' Forage géothermique41 de LA COURTE UVE Sud-Nord de S E V R A N
föPVForage géothermiqueg gde CLICHY-sous-Bois
^ L . Í X >
EcheLLe 1/100 000
Fig. Ibis
Principaux captages d'eau autour du projet
Projet géothermique
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S?".rvEch. 1/25 000
18A _ 1 _ 60 Captage d'eau
Coordonnées prévues des forages de productionet d'injection au toit du Dogger
- 1
i- - AMALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
7./. SITUATION GEOGRAPHIQUE VU PROJET [Tig. J, 1bl¿)
La commune de Tremblay-lès-Gonesse est située â environ 18 km
de Paris Notre-Dame, en bordure Nord de la banlieue Nord-Est, dans le dépar¬
tement de Seine-Saint-Denis.
Le projet géothermique intéresse la Z.A.C. du Vert Galant, zone
urbanisée moderne en pleine expansion, comportant outre plus de 3.000 loge¬
ments, de nombreux groupes scolaires et des bâtiments administratifs (Hôtel
de Ville). La Z. A. C. constitue la moitié Ouest du centre de la commune de
Tremblay-lès-Gonesse.
Les coordonnées approximatives du centre de la plate-forme sontX = 617,540 ; y = 138,560 ; z = 62 - 1 m.
D'après le cadastre et le plan d'occupation des sols, l'implan¬tation de la plate-forme se trouve sur la parcelle AS 171 appartenant actuelle¬ment à la SCIC (Société Civile Immobilière de Construction) qui a aménagé laZAC du Vert-Galant. Cette parcelle est classée en "zone à urbanisation future"
(NA), bordée à l'Est par une parcelle AS 167 appartenant à la commune classée
en "espace boisé classé", prévue pour la création d'un mail piétonnier. La déli¬
mitation de ces différentes parcelles est représentée en annexe n° 1.
1.2, CAPRE NATUREL
1.2.1. Environnement (Planches 1 et 2)
Le terrain retenu par le projet est situé au Sud de la Z. A. C,
à l'Est de la région de la gare du Vert Galant, «ntre la bordure Nord de laligne S. N. C. F. Paris-Mitry, longeant le Canal de l'Ourcq et l'avenue du
Commerce, nouvellement baptisée avenue Berger.
- 1
i- - AMALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
7./. SITUATION GEOGRAPHIQUE VU PROJET [Tig. J, 1bl¿)
La commune de Tremblay-lès-Gonesse est située â environ 18 km
de Paris Notre-Dame, en bordure Nord de la banlieue Nord-Est, dans le dépar¬
tement de Seine-Saint-Denis.
Le projet géothermique intéresse la Z.A.C. du Vert Galant, zone
urbanisée moderne en pleine expansion, comportant outre plus de 3.000 loge¬
ments, de nombreux groupes scolaires et des bâtiments administratifs (Hôtel
de Ville). La Z. A. C. constitue la moitié Ouest du centre de la commune de
Tremblay-lès-Gonesse.
Les coordonnées approximatives du centre de la plate-forme sontX = 617,540 ; y = 138,560 ; z = 62 - 1 m.
D'après le cadastre et le plan d'occupation des sols, l'implan¬tation de la plate-forme se trouve sur la parcelle AS 171 appartenant actuelle¬ment à la SCIC (Société Civile Immobilière de Construction) qui a aménagé laZAC du Vert-Galant. Cette parcelle est classée en "zone à urbanisation future"
(NA), bordée à l'Est par une parcelle AS 167 appartenant à la commune classée
en "espace boisé classé", prévue pour la création d'un mail piétonnier. La déli¬
mitation de ces différentes parcelles est représentée en annexe n° 1.
1.2, CAPRE NATUREL
1.2.1. Environnement (Planches 1 et 2)
Le terrain retenu par le projet est situé au Sud de la Z. A. C,
à l'Est de la région de la gare du Vert Galant, «ntre la bordure Nord de laligne S. N. C. F. Paris-Mitry, longeant le Canal de l'Ourcq et l'avenue du
Commerce, nouvellement baptisée avenue Berger.
Centre Commercial
TREM BLAY- LES -GON ESSE -CENTRE
Avenue Berger(ancienne avenue du Commerce)
Emprise de La plateforme
Ligne S N C F deParis à Mitry
\
Vue panoramique du projet d 'emplacement de La plateforme de forage- Vue prise vers L'Est
Chaufferie
Cliché de la végétationrecouvrant le site
Groupe
Scolaire
R Desnos
0 50 100
Bâtiment d'habitation permanente ™ \ ™ * r i = « —
Descartes
COSFt
Projet d'impLarUation de la plateforme
PL 2
TREMBLAY - les - GONESSE
Implantation du projet géothermique
Dressé par Les services du Bureau de M. TAILLEZ,Géomètre Expert a AuLnay-sous -Bois .
Captage d'eau
Point de mesures de bruit ponctuelles
Point démesure de bruit permanente
Point de prise de vue photos panoramiques{ cf. pLanche 1 )
200 300 ¿00
ECHELLE: i/o 000
4 -
L'ensemble du secteur est recouvert d'un bois de hêtres espacés de 3 â
5 m, avec quelques bouleaux et quelques chênes. Ces arbres sont jeunes.
Ils atteignent une quinzaine de mètres de hauteur, au maximum, le diamètre
de leur tronc est d'environ 15 cm.
Un réseau de tranchées drainantes de 0,50 à 1 mètre de profondeur,
à l'abandon, parcourt le bois.
1.2.2. Géologie
D'après la carte géologique de Lagny, au 1/50 000, le site étudié
se trouve sur des alluvions anciennes basse terrasse, reposant sur les marnes
infragypseuses du Ludien.
La coupe prévisionnelle des terrains de surface est résumée en
Fig. 2. Elle a été réalisée d'après les coupes des sondages et forages situés
à proximité du site, et archivés à la banque des données du sous-sol du
B. R. G. M.
Le récent forage de la S. F. D. E. (184-1-166) situé à 400 m
à l'Est du projet nous donne également une coupe détaillée des terrains jus¬
qu'au Sparnacien, représentée en Fig. 3.
Du gypse est à signaler dans les marnes infragypseuses du Ludien
et le Calcaire de Saint-Ouen (sondage 184-1-60, 121) et dans les Marnes et
Caillasses (sondages n° 184-1-6, 161).
Le réservoir à capter est celui du Bathonien qui se trouve à
environ 1.692 m - 10 m de profondeur par rapport au sol.
La coupe prévisionnelle des terrains du Secondaire intéressant leprojet, est résumée en Fig. 4.
1.2.3. Hy^rogéol^ogie
Plusieurs aquifères se superposent au droit du projet. On distingue
les aquifères superficiels des terrains tertiaires, et les aquifères profonds
du Secondaire.
4 -
L'ensemble du secteur est recouvert d'un bois de hêtres espacés de 3 â
5 m, avec quelques bouleaux et quelques chênes. Ces arbres sont jeunes.
Ils atteignent une quinzaine de mètres de hauteur, au maximum, le diamètre
de leur tronc est d'environ 15 cm.
Un réseau de tranchées drainantes de 0,50 à 1 mètre de profondeur,
à l'abandon, parcourt le bois.
1.2.2. Géologie
D'après la carte géologique de Lagny, au 1/50 000, le site étudié
se trouve sur des alluvions anciennes basse terrasse, reposant sur les marnes
infragypseuses du Ludien.
La coupe prévisionnelle des terrains de surface est résumée en
Fig. 2. Elle a été réalisée d'après les coupes des sondages et forages situés
à proximité du site, et archivés à la banque des données du sous-sol du
B. R. G. M.
Le récent forage de la S. F. D. E. (184-1-166) situé à 400 m
à l'Est du projet nous donne également une coupe détaillée des terrains jus¬
qu'au Sparnacien, représentée en Fig. 3.
Du gypse est à signaler dans les marnes infragypseuses du Ludien
et le Calcaire de Saint-Ouen (sondage 184-1-60, 121) et dans les Marnes et
Caillasses (sondages n° 184-1-6, 161).
Le réservoir à capter est celui du Bathonien qui se trouve à
environ 1.692 m - 10 m de profondeur par rapport au sol.
La coupe prévisionnelle des terrains du Secondaire intéressant leprojet, est résumée en Fig. 4.
1.2.3. Hy^rogéol^ogie
Plusieurs aquifères se superposent au droit du projet. On distingue
les aquifères superficiels des terrains tertiaires, et les aquifères profonds
du Secondaire.
Coupe géologique du forage de la S.F.D.E. (18A_1_166)
Coupe du Forage
Tile Exécution à y/¿¿a f> f'n ¿a. . /Is . .5 'JStnn ) .._.Client S.ñ'JD.E. - /ÍÍ/-/J j^acA,.,,- ¿li) . .
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Natur« del terrotnt troveriti
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TREMBLAY- LES- GONESSE
COUPE GEOlOGIOüE PREVISIONNELLE
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TREMBLAY- LES- GONESSE
COUPE GEOlOGIOüE PREVISIONNELLE
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21
300
4.00-
500-
S3: : S
600-
Í7SSS
700-
732 1 10
7«7S 10
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1,30 : 10
125
75
35
100
55
90
35
110
130
105
100
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55
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- 7
1.2.3.1. : j^qjJ.i j[èr^e^ ¿^Ë^H'^UÇlel.s (Fig. 1 bis)
Le tableau n° 1 consigne l'ensemble des ouvrages avoisinant leprojet s 'adressant aux aquifères superficiels. Les caractéristiques chimiques
des eaux exploitées sont répertoriées par ouvrage dans le tableau n° 2.
Les formations du Tertiaire révèlent trois nappes.
On rencontre successivement à partir de la surface :
- la nappe de l'Eocène supérieur contenue dans le Calcaire de
Saint-Ouen et les Sables de Beauchamp. le niveau statique de la nappe se situe
à 3 ou 4 mètres sous le sol. Deux ouvrages captent cette nappe à environ2 kilomètres du lieu du projet.
- la nappe de l'Eocène moyen contenue dans le calcaire grossier
du Lutétien. Aucun des captages situés à proximité du site, ne s'adresse à
cette nappe.
- la nappe de l'Eocène inférieur, dont le réservoir est constitué
par les sables grossiers de l'Yprésien. Son niveau statique se trouve à 13 mètres
sous le sol. Quatre des forages d'eau répertoriés exploitent cet aquifére. Le plus
proche du projet, appartient à la S. F. D. E. et est utilisé pour l'alimentation
en eau potable. Il se situe à 400 ma l'ûjest du projet d'implantation de la
plate-forme. Son périmètre de protection rapprochée, d'un rayon de 500 m,
fait l'objet d'un rapport de fin de forage établi par Monsieur Francis GAUTIER,
Géologue Officiel, précisant les modalités de travaux du sol et du sous-sol
en vigueur dans ce périmètre (cf. annexe n° 2).
1.2.3.2. jAqj¿i£è re¿ £i^£f£n^?
- SABLES DE L'ALBIEN : L'aquifère de l'Albien est constitué par
trois niveaux sableux : Les Sables de Frécambault, les Sables des Drillons
et les Sables Verts. Le forage le plus proche s 'adressant à ce réservoirest situé à 6 km à l'Ouest du projet, sur la commune d'Aulnay-sous-Bois.
Il est exploité par la Compagnie Générale des Eaux, et alimente le Syndicat
des Communes de Banlieue, après mélange avec l'eau de l'Yprésien. L'eau de
cette nappe est peu minéralisée et son exploitation est rigoureusement contrôlée.
Au droit du projet, le toit de l'aquifère est à 770 m de profondeur et le
niveau statique de la nappe s'établit à la cote + 45.
- 7
1.2.3.1. : j^qjJ.i j[èr^e^ ¿^Ë^H'^UÇlel.s (Fig. 1 bis)
Le tableau n° 1 consigne l'ensemble des ouvrages avoisinant leprojet s 'adressant aux aquifères superficiels. Les caractéristiques chimiques
des eaux exploitées sont répertoriées par ouvrage dans le tableau n° 2.
Les formations du Tertiaire révèlent trois nappes.
On rencontre successivement à partir de la surface :
- la nappe de l'Eocène supérieur contenue dans le Calcaire de
Saint-Ouen et les Sables de Beauchamp. le niveau statique de la nappe se situe
à 3 ou 4 mètres sous le sol. Deux ouvrages captent cette nappe à environ2 kilomètres du lieu du projet.
- la nappe de l'Eocène moyen contenue dans le calcaire grossier
du Lutétien. Aucun des captages situés à proximité du site, ne s'adresse à
cette nappe.
- la nappe de l'Eocène inférieur, dont le réservoir est constitué
par les sables grossiers de l'Yprésien. Son niveau statique se trouve à 13 mètres
sous le sol. Quatre des forages d'eau répertoriés exploitent cet aquifére. Le plus
proche du projet, appartient à la S. F. D. E. et est utilisé pour l'alimentation
en eau potable. Il se situe à 400 ma l'ûjest du projet d'implantation de la
plate-forme. Son périmètre de protection rapprochée, d'un rayon de 500 m,
fait l'objet d'un rapport de fin de forage établi par Monsieur Francis GAUTIER,
Géologue Officiel, précisant les modalités de travaux du sol et du sous-sol
en vigueur dans ce périmètre (cf. annexe n° 2).
1.2.3.2. jAqj¿i£è re¿ £i^£f£n^?
- SABLES DE L'ALBIEN : L'aquifère de l'Albien est constitué par
trois niveaux sableux : Les Sables de Frécambault, les Sables des Drillons
et les Sables Verts. Le forage le plus proche s 'adressant à ce réservoirest situé à 6 km à l'Ouest du projet, sur la commune d'Aulnay-sous-Bois.
Il est exploité par la Compagnie Générale des Eaux, et alimente le Syndicat
des Communes de Banlieue, après mélange avec l'eau de l'Yprésien. L'eau de
cette nappe est peu minéralisée et son exploitation est rigoureusement contrôlée.
Au droit du projet, le toit de l'aquifère est à 770 m de profondeur et le
niveau statique de la nappe s'établit à la cote + 45.
TABLEAU n° 1
TABLEAU DES CAPTAGES D'EAU DES AQUIFERES SUPERFICIELS
T" -y r ' ' I 1 1 1
! Captage ! Utilisation ! Nappe captée ¡Niveau statique! Date de ¡Profondeur 1
! ! ! ! NGF ! réalisation ¡ totale !
i 184. IX. 6 i AEP ! Yprésien Í + 48,10 i 1937 i 169 m !
¡ ¡ ¡ ! (en 1962) ¡ ¡ !
¡ 184. IX. 13 ¡Eau pour parti-¡-Calcaire de StOuen! + 53,50 ¡nov. 1963 ¡ 28 m ¡
¡ ¡culier ¡-Sables de ! (en 1964) ¡ ¡ ¡
¡ ¡ ! Beauchamp ¡ ! ¡ ¡
184. IX. 18 i AEP 1 Yprésien ¡ + 48,5 | 1959 | 129 m |
¡ i ¡ i (1959) ¡ ¡ i
i 184. IX. 60 ¡Utilisation Í-Cal caire de StOuen i + 58,10 Ímarsl960 i 42 m !
1 ¡industrielle ¡-Sables de ! (en 1960) ! ¡ ¡
! ¡ ¡ Beauchamp i ! ! ¡
i 184.1X.12l|utilisation | Ludien \ + 62,10 ; 1969 | 13,50 m|; ¡industrielle ¡ ¡ (1970) ¡ ¡ ¡
j 184. IX. 159 -Util isation j - j - ¡ - | 63 m |
¡ [industrielle ¡ iiii
; 184.1X.16l|Eau | Yprésien | 21,29 m/solj - ,' - |
¡ 184.1X.166¡ AEP ! Yprésien ! 13,50 m/sol! 1981 ! 120,60m!¡ ! ! ! (1981) 1 ! ¡
TABLEAU n° 1
TABLEAU DES CAPTAGES D'EAU DES AQUIFERES SUPERFICIELS
T" -y r ' ' I 1 1 1
! Captage ! Utilisation ! Nappe captée ¡Niveau statique! Date de ¡Profondeur 1
! ! ! ! NGF ! réalisation ¡ totale !
i 184. IX. 6 i AEP ! Yprésien Í + 48,10 i 1937 i 169 m !
¡ ¡ ¡ ! (en 1962) ¡ ¡ !
¡ 184. IX. 13 ¡Eau pour parti-¡-Calcaire de StOuen! + 53,50 ¡nov. 1963 ¡ 28 m ¡
¡ ¡culier ¡-Sables de ! (en 1964) ¡ ¡ ¡
¡ ¡ ! Beauchamp ¡ ! ¡ ¡
184. IX. 18 i AEP 1 Yprésien ¡ + 48,5 | 1959 | 129 m |
¡ i ¡ i (1959) ¡ ¡ i
i 184. IX. 60 ¡Utilisation Í-Cal caire de StOuen i + 58,10 Ímarsl960 i 42 m !
1 ¡industrielle ¡-Sables de ! (en 1960) ! ¡ ¡
! ¡ ¡ Beauchamp i ! ! ¡
i 184.1X.12l|utilisation | Ludien \ + 62,10 ; 1969 | 13,50 m|; ¡industrielle ¡ ¡ (1970) ¡ ¡ ¡
j 184. IX. 159 -Util isation j - j - ¡ - | 63 m |
¡ [industrielle ¡ iiii
; 184.1X.16l|Eau | Yprésien | 21,29 m/solj - ,' - |
¡ 184.1X.166¡ AEP ! Yprésien ! 13,50 m/sol! 1981 ! 120,60m!¡ ! ! ! (1981) 1 ! ¡
- 9
TABLEAU n° 2
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES CHIMIQUES DE L'EAU EXPLOITEE
1 1
i i 184. IX. 6! ¡ (1961)
i Ph i
¡ p à 20°enS^m ¡
i TH en ° F i
i TAC en ° l
! Chlorure(mg/l )
! Sulfates(mg/1)
! Ammonium (mg/l )
! Nitrites(mg/1 )
¡ Nitrates(mg/1 )
! Fer (mg/l) !
-
-
35,5
-
-
-
-
-
-
-
184. IX. 18(1972)
7,5
1753
37
32,5
12,5
34
0,25
0
0
-
184. IX. 60(1966)
7,3
-
172
27
4,2
-
-
-
-
Traces
184. IX. 121
6,95
420
178
34,1
42
1020
-
0,03
39,2
Traces
181. IX. 161
7,6
1190
54°5
32,1
18
169
0
0
7
< 0,05
184.1X.0166Í(14.10.81) !
7,2 i
1685 i
37° 75 i
31,8 i
8 !
57 i
< 0,10 i
0 !
< 0,05 ¡
0,20 !
- 9
TABLEAU n° 2
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES CHIMIQUES DE L'EAU EXPLOITEE
1 1
i i 184. IX. 6! ¡ (1961)
i Ph i
¡ p à 20°enS^m ¡
i TH en ° F i
i TAC en ° l
! Chlorure(mg/l )
! Sulfates(mg/1)
! Ammonium (mg/l )
! Nitrites(mg/1 )
¡ Nitrates(mg/1 )
! Fer (mg/l) !
-
-
35,5
-
-
-
-
-
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184. IX. 18(1972)
7,5
1753
37
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12,5
34
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0
0
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184. IX. 60(1966)
7,3
-
172
27
4,2
-
-
-
-
Traces
184. IX. 121
6,95
420
178
34,1
42
1020
-
0,03
39,2
Traces
181. IX. 161
7,6
1190
54°5
32,1
18
169
0
0
7
< 0,05
184.1X.0166Í(14.10.81) !
7,2 i
1685 i
37° 75 i
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FIGURE n° 2
GOLPE PRP/ISiaifiEüE DES lEPPM^'S W. TEPTIAIE - Tlï7r>!/Y4fS-f5^ESSE
T 'I'll ' ' 1 "1 r¡ Profondeur \ Cote NGF¡Epaisseur¡ Description lithologique ¡Statigraphie ¡ Observations ]
¡ [ du toit ¡ ; ¡ ¡ ¡
1 0,00 - 0,40/0,50 m ,¡ +62 ¡ = 0,50 ¡Terre végétale, argile limoneuse + sableuse¡ ¡ ¡
¡0,40/0,5 - 3,5/4.0 m ! ! ¡Argile grisâtre à gris verdâtre, sableuse ! . . 1 1
! ! ! ¡avec petits graviers, sable + grossier, ar-! uaternaire , i
! ! ! ¡gileux pouvant exister à la ïïase ! ! !
! 3,5/4,0 m - 14/15 m ! +58 llO,5-ll,5!Argi le verdâtre au sommet (épaisseur 2n) ! 1 Marnes souvent 1
! ! ! Illarne crème à jaunâtre, marbrée de brun ¡Marnes infra- ¡ nunseuses '! ! ¡ ¡avec passées d'argiles feuilletées verte ¡gypseuses ¡ '-^ ¡
¡ ! ! ¡à brunâtre ¡ 1 ¡
I ¡ ' ¡ ¡Argile verdâtre sableuse (Sable de Mpnceau)¡ ¡ ¡
! 15,00 - 16,00 m ¡ + 47 ! 1 ¡Marne grise, dure vert-pâle ! ¡ - aquifére !
¡ 16,00 - 17,00 m ¡ + 46 ¡ 1 ¡Calcaire sublithographique crème â silexite'. Calcaire ¡ -Silexite-Calcaire¡i i i ¡brun ¡ , ¡ .,.._., :
¡ 17,00 - 18.00 ra ¡ + 45 ¡ 1 ¡Marne brun â silexite ¡ °^ ¡ sincme .
i 18,00 - 24/25 m ¡ + 44 ! 6 - 7 m!Al ternance de calcaire dur à silicificatiem¡ Saint-Ouen , ,
! ¡ ! ¡stratifome et de irarno-calcaire beige rosé¡ ! !
! ¡ ¡ ¡à débit lité ! ¡ !! ¡ ¡ ¡(Présence éventuelle de gypse compact (2a3p)¡ !- Perte totale pos-!1 ¡ ¡ ! ! ¡ sible ¡
1 i partir de 25-26 m ¡ + 37 ¡ ¡Grès gris verdâtre â passées d'argile fine-!Sable de !- aquifére !
! jusqu'à 44 m ! ! ¡ment sableuse ¡Beauchamp ¡ ¡
! 44,00 - 59.00 ra ! + 18 ! 15 m ¡Calcaire blanchâtre dur et crevassé, marne ¡Lutétien ¡ ¡
1 ! ! ¡gris-blanchâtre ¡.Marnes et !- N.S 6 m sous !
! ¡ ! ! aquifére ¡Caillasses ! le sol ¡
! 59,00 - 83,00 m ! + 3 ¡ 24 m ¡Calcaire gris â gris-verdâtre compact, glauiCalcaires ¡- aquifére !
! ! ! ¡conieux, avec passages marneux gris-vert ¡grossiers du ! 1
! ! ! !- aquifére - ¡Lutétien ! !
! ! ! ¡ l(êpa1s. 39 m) ¡ ¡
! 83,00 - 90,00 m ¡ - 21 ¡ 7 m ¡Argile grise, gris-noirâtre, gris-brunâtr» !) ¡ !
! ¡ ¡ ¡ligniteuse ¡) ! !
¡ 90,00 - 98,00 m ¡ - 28 ¡ 8 m ¡Argile grise â brunâtre légèrement sableuse¡;. . . ¡- aquifére ¡
¡ 98,00 -109,00 m ¡ - 36 ¡ 11 m ¡Sable quartzeux grossier + ligniteux avec ]l ¡-Sables ypresiens ¡
: ¡ ¡ ¡alternance d'argile ligniteuse -aquifére- ¡(Sparnacien ¡ N.S. 13 m sous ¡
'___,__ . ._.._.._._..... _- . . -' 1a cnl¡ 109,00 -119,00 m i - 47 ¡ 10 m ¡Argile noirâtre, ligniteuse et sableuse ¡(épaisseur ¡ ¡
¡ 119 - 125 nH-f 5 m ¡ - 57 ! 52 m ¡Sable quartzeux fin, brun, légèrement ar9Í-!)88 m + 5 m ! !
¡ ¡ ¡ ¡Ieux !\ ¡ !
¡ 125 + 5 m - 157 + 5 ¡ ¡ ¡Argile compacte, panachée rouge à grise, avM ¡ ¡
¡ ¡ ¡ ¡passage ligniteux ¡i ¡ ¡
! 157 + 5 m - 171 + 5 ! ! ¡Argile plastique jaune à débris de craie 4 ¡) ¡ ¡
! ~ ~ ! ! ¡la base ¡) ¡ ¡
¡ â 171 m + 5 m ¡ -109 ¡ ¡Craie blanche à silex ¡Sénonien ¡ ¡
! ~ ¡ ¡ ¡ ! ¡ ¡
Niveau d'eau entre 3 et 4 m sous le sol.Références des ouvrages consultés : 184. IX. OOOl
184. IX. 0008
184. IX. 0009
X = 617,03y = 138,33z = + 61
X = 616,34y = 137,74z = + 63,75
X = 616,50y = 137,44z = + 65
184. IX. 0024 X = 617,04y = 138,33z = + 61,10
184. IX, 0002, 0003, 0004, 0005 x = 616,95y = 138,20z = + 61
184. IX. 0115, 184. IX. 0136 x = 616,96y = 138,53z = + 61,10
FIGURE n° 2
GOLPE PRP/ISiaifiEüE DES lEPPM^'S W. TEPTIAIE - Tlï7r>!/Y4fS-f5^ESSE
T 'I'll ' ' 1 "1 r¡ Profondeur \ Cote NGF¡Epaisseur¡ Description lithologique ¡Statigraphie ¡ Observations ]
¡ [ du toit ¡ ; ¡ ¡ ¡
1 0,00 - 0,40/0,50 m ,¡ +62 ¡ = 0,50 ¡Terre végétale, argile limoneuse + sableuse¡ ¡ ¡
¡0,40/0,5 - 3,5/4.0 m ! ! ¡Argile grisâtre à gris verdâtre, sableuse ! . . 1 1
! ! ! ¡avec petits graviers, sable + grossier, ar-! uaternaire , i
! ! ! ¡gileux pouvant exister à la ïïase ! ! !
! 3,5/4,0 m - 14/15 m ! +58 llO,5-ll,5!Argi le verdâtre au sommet (épaisseur 2n) ! 1 Marnes souvent 1
! ! ! Illarne crème à jaunâtre, marbrée de brun ¡Marnes infra- ¡ nunseuses '! ! ¡ ¡avec passées d'argiles feuilletées verte ¡gypseuses ¡ '-^ ¡
¡ ! ! ¡à brunâtre ¡ 1 ¡
I ¡ ' ¡ ¡Argile verdâtre sableuse (Sable de Mpnceau)¡ ¡ ¡
! 15,00 - 16,00 m ¡ + 47 ! 1 ¡Marne grise, dure vert-pâle ! ¡ - aquifére !
¡ 16,00 - 17,00 m ¡ + 46 ¡ 1 ¡Calcaire sublithographique crème â silexite'. Calcaire ¡ -Silexite-Calcaire¡i i i ¡brun ¡ , ¡ .,.._., :
¡ 17,00 - 18.00 ra ¡ + 45 ¡ 1 ¡Marne brun â silexite ¡ °^ ¡ sincme .
i 18,00 - 24/25 m ¡ + 44 ! 6 - 7 m!Al ternance de calcaire dur à silicificatiem¡ Saint-Ouen , ,
! ¡ ! ¡stratifome et de irarno-calcaire beige rosé¡ ! !
! ¡ ¡ ¡à débit lité ! ¡ !! ¡ ¡ ¡(Présence éventuelle de gypse compact (2a3p)¡ !- Perte totale pos-!1 ¡ ¡ ! ! ¡ sible ¡
1 i partir de 25-26 m ¡ + 37 ¡ ¡Grès gris verdâtre â passées d'argile fine-!Sable de !- aquifére !
! jusqu'à 44 m ! ! ¡ment sableuse ¡Beauchamp ¡ ¡
! 44,00 - 59.00 ra ! + 18 ! 15 m ¡Calcaire blanchâtre dur et crevassé, marne ¡Lutétien ¡ ¡
1 ! ! ¡gris-blanchâtre ¡.Marnes et !- N.S 6 m sous !
! ¡ ! ! aquifére ¡Caillasses ! le sol ¡
! 59,00 - 83,00 m ! + 3 ¡ 24 m ¡Calcaire gris â gris-verdâtre compact, glauiCalcaires ¡- aquifére !
! ! ! ¡conieux, avec passages marneux gris-vert ¡grossiers du ! 1
! ! ! !- aquifére - ¡Lutétien ! !
! ! ! ¡ l(êpa1s. 39 m) ¡ ¡
! 83,00 - 90,00 m ¡ - 21 ¡ 7 m ¡Argile grise, gris-noirâtre, gris-brunâtr» !) ¡ !
! ¡ ¡ ¡ligniteuse ¡) ! !
¡ 90,00 - 98,00 m ¡ - 28 ¡ 8 m ¡Argile grise â brunâtre légèrement sableuse¡;. . . ¡- aquifére ¡
¡ 98,00 -109,00 m ¡ - 36 ¡ 11 m ¡Sable quartzeux grossier + ligniteux avec ]l ¡-Sables ypresiens ¡
: ¡ ¡ ¡alternance d'argile ligniteuse -aquifére- ¡(Sparnacien ¡ N.S. 13 m sous ¡
'___,__ . ._.._.._._..... _- . . -' 1a cnl¡ 109,00 -119,00 m i - 47 ¡ 10 m ¡Argile noirâtre, ligniteuse et sableuse ¡(épaisseur ¡ ¡
¡ 119 - 125 nH-f 5 m ¡ - 57 ! 52 m ¡Sable quartzeux fin, brun, légèrement ar9Í-!)88 m + 5 m ! !
¡ ¡ ¡ ¡Ieux !\ ¡ !
¡ 125 + 5 m - 157 + 5 ¡ ¡ ¡Argile compacte, panachée rouge à grise, avM ¡ ¡
¡ ¡ ¡ ¡passage ligniteux ¡i ¡ ¡
! 157 + 5 m - 171 + 5 ! ! ¡Argile plastique jaune à débris de craie 4 ¡) ¡ ¡
! ~ ~ ! ! ¡la base ¡) ¡ ¡
¡ â 171 m + 5 m ¡ -109 ¡ ¡Craie blanche à silex ¡Sénonien ¡ ¡
! ~ ¡ ¡ ¡ ! ¡ ¡
Niveau d'eau entre 3 et 4 m sous le sol.Références des ouvrages consultés : 184. IX. OOOl
184. IX. 0008
184. IX. 0009
X = 617,03y = 138,33z = + 61
X = 616,34y = 137,74z = + 63,75
X = 616,50y = 137,44z = + 65
184. IX. 0024 X = 617,04y = 138,33z = + 61,10
184. IX, 0002, 0003, 0004, 0005 x = 616,95y = 138,20z = + 61
184. IX. 0115, 184. IX. 0136 x = 616,96y = 138,53z = + 61,10
11 -
- CRETACE INFERIEUR : Les sables et grès du. Barrémien inférieur et
du Néocomien constituent un aquifére à 900 m de profondeur.
- JURASSIQUE SUPERIEUR : Cet aquifére est constitué des calcaires
oolithiques et graveleux de l'Argonien, Rauracien et Séquanien dont le toit
est situé vers 1.300 m de profondeur.
- DOGGER (Jurassique moyen) : L'aquifère du Dogger présente dans la
région étudiée, de bonnes caractéristiques pour une exploitation géothermique.
Ce réservoir a été retenu pour la recherche géothermique. Ses caractéristiques
sont les suivantes :
§TByÇiyBL5y_BESERV0iR
- Cote du toit (NGF) : 1630 ¿ 10
- Profondeur du toit : 1692 + 10
Hauteur totale â traverser
Hauteur utile potentielle
Hauteur productrice
150 m ¿ 10 m
80 m ¿ 10 m
25 m + 5m
ÇARAÇTERISTIQyES_Dy_RESERyOIR
- Porosité : 15 % j^ 2 %
- Transmissivité : 30 Darcy-mètre +_ 5
- Pression de gisement : 7 kg/cm2 j^ 2 au sol(condition d'exploitation)
- Cote du niveau piézométrique : 132 +^ 20 m NGF
ÇARAÇTERISTIQyES_Dy_FLyiDE
- Température : 71° +_ 2° au sommet de l'aquifère- Salinité : 25 g/1 +_ 5
- O^b^ejrva^tj^ojis : Présence probable de SHp.
Les forages géothermiques les plus proches exploitant le même
réservoir, sont ceux de :
- Aulnay-sous-Bois (Réalisation : 1981)
- Sevran (Real isation: 1981-82)
- Clichy-sous-Bois (Réalisation : 1981).
Ces trois doublets ont donné de bons résultats.
11 -
- CRETACE INFERIEUR : Les sables et grès du. Barrémien inférieur et
du Néocomien constituent un aquifére à 900 m de profondeur.
- JURASSIQUE SUPERIEUR : Cet aquifére est constitué des calcaires
oolithiques et graveleux de l'Argonien, Rauracien et Séquanien dont le toit
est situé vers 1.300 m de profondeur.
- DOGGER (Jurassique moyen) : L'aquifère du Dogger présente dans la
région étudiée, de bonnes caractéristiques pour une exploitation géothermique.
Ce réservoir a été retenu pour la recherche géothermique. Ses caractéristiques
sont les suivantes :
§TByÇiyBL5y_BESERV0iR
- Cote du toit (NGF) : 1630 ¿ 10
- Profondeur du toit : 1692 + 10
Hauteur totale â traverser
Hauteur utile potentielle
Hauteur productrice
150 m ¿ 10 m
80 m ¿ 10 m
25 m + 5m
ÇARAÇTERISTIQyES_Dy_RESERyOIR
- Porosité : 15 % j^ 2 %
- Transmissivité : 30 Darcy-mètre +_ 5
- Pression de gisement : 7 kg/cm2 j^ 2 au sol(condition d'exploitation)
- Cote du niveau piézométrique : 132 +^ 20 m NGF
ÇARAÇTERISTIQyES_Dy_FLyiDE
- Température : 71° +_ 2° au sommet de l'aquifère- Salinité : 25 g/1 +_ 5
- O^b^ejrva^tj^ojis : Présence probable de SHp.
Les forages géothermiques les plus proches exploitant le même
réservoir, sont ceux de :
- Aulnay-sous-Bois (Réalisation : 1981)
- Sevran (Real isation: 1981-82)
- Clichy-sous-Bois (Réalisation : 1981).
Ces trois doublets ont donné de bons résultats.
Fig.5
Rose des vents annuelle _ Le Bourget
(D'après des documents de la Meteorologie Nationale)
Fréquences en %> des directions du vent , calculées avecLes observations trihoraires des années 1955 à 1969
36
28
22
Vitesses : Echelle:
de 2 a U m / s
de 5 à 9 m / s
> 1 O m / s
Icm = 1°/«
V
2 à Um / s
5 à 9m/s
>10m/s
36
3,2
2,5
0,1
02
3,9
3,5
0,16
Où
2,7
2,1
0,11
06
2,3
1,5
0J
08
3,3
0,9
0
10
2,2
0,5
0
12
1,5
0,3
0
U
1,5
Q,ù
0
16
2,2
1
0
18
2,1
2,2
0,13
20
1/
3 /
0,6
22
1,3
3,9
0,9
24
2,3
3,7
0,6
26
3,8
3,7
0,3
28
2,5
2,3
0,2
30
1,8
1,5
0,12
32
î,7
1,1
0,1
34
1,9
1,3
0,1
Vitesse < 2 m / s = 18,57o
13
1.2.4. Çl_imatologie
La hauteur moyenne annuelle des précipitations relevées à l'aéro¬
port du Bourget, pour la période de 1946 à 1980, est de 584 mm.
La Figure 5 précise lesfréquences des directions et les vitesses
des vents, relevées à l'aéroport du Bourget. Il y a dominance des vents Sud-
Ouest.
1.2.5. Bruits
1.2.5.1. ¿a£P£l_d£ l3_sitü^l"'£"j9¿"i,''¿^£
Le site prévu pour le forage géothermique est situé à l'Est de la
Gare du Vert Galant, près de la chaufferie située au bord de l'Avenue du Com¬
merce.
Au Nord, le site est bordé par l'Avenue du Commerce oû celle-ciamorce un changement de direction vers le Nord. Des immeubles d'habitation sont
situés au delà de cette avenue. A l'Est du site, un terrain boisé dans la
partie Nord-Est duquel se trouve le collège Descartes.
Au Sud, un espace boisé traversé par la voie ferrée Paris-Soissons,est limité par le Canal de l'Ourcq.
A l'Ouest, les terrains boisés, situés entre l'Avenue du Commerce
et le Canal de l'Ourcq bordent la chaufferie qui limite le site.
Les bâtiments les plus proches du forage prévu, se trouvent êtreles immeubles situés au Nord de l'Avenue du Commerce. Le collège Descartes
est également un point sensible, situé à proximité du forage.
1.2.5.2. As£e£t_q U!aJ_ijtaJti£ ^u_b£Uj[t_i n^ijti^l
Le bruit de la zone étudiée provient essentiellement de deux sources
13
1.2.4. Çl_imatologie
La hauteur moyenne annuelle des précipitations relevées à l'aéro¬
port du Bourget, pour la période de 1946 à 1980, est de 584 mm.
La Figure 5 précise lesfréquences des directions et les vitesses
des vents, relevées à l'aéroport du Bourget. Il y a dominance des vents Sud-
Ouest.
1.2.5. Bruits
1.2.5.1. ¿a£P£l_d£ l3_sitü^l"'£"j9¿"i,''¿^£
Le site prévu pour le forage géothermique est situé à l'Est de la
Gare du Vert Galant, près de la chaufferie située au bord de l'Avenue du Com¬
merce.
Au Nord, le site est bordé par l'Avenue du Commerce oû celle-ciamorce un changement de direction vers le Nord. Des immeubles d'habitation sont
situés au delà de cette avenue. A l'Est du site, un terrain boisé dans la
partie Nord-Est duquel se trouve le collège Descartes.
Au Sud, un espace boisé traversé par la voie ferrée Paris-Soissons,est limité par le Canal de l'Ourcq.
A l'Ouest, les terrains boisés, situés entre l'Avenue du Commerce
et le Canal de l'Ourcq bordent la chaufferie qui limite le site.
Les bâtiments les plus proches du forage prévu, se trouvent êtreles immeubles situés au Nord de l'Avenue du Commerce. Le collège Descartes
est également un point sensible, situé à proximité du forage.
1.2.5.2. As£e£t_q U!aJ_ijtaJti£ ^u_b£Uj[t_i n^ijti^l
Le bruit de la zone étudiée provient essentiellement de deux sources
- 14 -
- la circulation le long de l'Avenue du Commerce. Celle-ci est renforcée par
les camions venant approvisionner le centre commercial situé à l'Ouest des
i mmeubles décrits.
- le passage des trains sur la voie ferrée située au Sud du site, qui desservent
Paris-Soissons.
1.2.5.3. Nle^uj^e^s^
. Points de mesures (cf. Planche 2)
IJés mesures ponctuelles ont été réalisées devant l'immeuble 68,
à 220 mètres du forage prévu environ (point A). Il n'a pas été possible
de réaliser un enregistrement continu dans l'immeuble, le régisseur de
l'immeuble ayant refusé l'accès du bâtiment.
Un enregistrement continu a été réalisé dans le collège Descartes,
au premier étage du bâtiment, volets clos et fenêtres ouvertes (point B).
. Appareillage et type de mesures
Les mesures ponctuelles ont été réalisées avec un sonomètre Brüel
et Kjaer 2218, équipé d'un micro demi-pouce 4615. Les mesures sont des niveaux
équivalents (Leq) mesurés sur 10 minutes.
Les mesures continues sont réalisées avec un sonomètre 2226 et un
enregistreur 2306, tous deux de la marque BrUel et Kjaer. Des Leq étaient cal¬
culés sur une minute, toutes les minutes, avec un défilement de 0,01 mm/sec
(3,5 cm/heure).
. Résultats des mesures
MESURES POI^CTUELLES
Elles ont été réalisées dans la nuit du 2 au 3 septembre 1982.
Vatz HzxjJLZ ValzuA zn dBA
2/9 18 H 10 62,6
2/9 21 H 10 57,8
3/9 2 H 41,4
3/9 6 H 50 67,7.
- 14 -
- la circulation le long de l'Avenue du Commerce. Celle-ci est renforcée par
les camions venant approvisionner le centre commercial situé à l'Ouest des
i mmeubles décrits.
- le passage des trains sur la voie ferrée située au Sud du site, qui desservent
Paris-Soissons.
1.2.5.3. Nle^uj^e^s^
. Points de mesures (cf. Planche 2)
IJés mesures ponctuelles ont été réalisées devant l'immeuble 68,
à 220 mètres du forage prévu environ (point A). Il n'a pas été possible
de réaliser un enregistrement continu dans l'immeuble, le régisseur de
l'immeuble ayant refusé l'accès du bâtiment.
Un enregistrement continu a été réalisé dans le collège Descartes,
au premier étage du bâtiment, volets clos et fenêtres ouvertes (point B).
. Appareillage et type de mesures
Les mesures ponctuelles ont été réalisées avec un sonomètre Brüel
et Kjaer 2218, équipé d'un micro demi-pouce 4615. Les mesures sont des niveaux
équivalents (Leq) mesurés sur 10 minutes.
Les mesures continues sont réalisées avec un sonomètre 2226 et un
enregistreur 2306, tous deux de la marque BrUel et Kjaer. Des Leq étaient cal¬
culés sur une minute, toutes les minutes, avec un défilement de 0,01 mm/sec
(3,5 cm/heure).
. Résultats des mesures
MESURES POI^CTUELLES
Elles ont été réalisées dans la nuit du 2 au 3 septembre 1982.
Vatz HzxjJLZ ValzuA zn dBA
2/9 18 H 10 62,6
2/9 21 H 10 57,8
3/9 2 H 41,4
3/9 6 H 50 67,7.
Enreqistrement dans la nuit du 23 au 24/9/82, volets clos,fenêtres ouvertes dans le Collège Descartes (pt.B)
70 dBA.
60 dBAJ
50 dBA:
40 dBA
30 dBAh..^,.^,_jj|...^.,..j^. r::-!;^::-::r:::::.:¡;;i-::r».j.-i,.......i_J J |-.iiil_u UJ iu ...u... ..j.....i,...i,.. . ,4 im 1... -;4 il J V . tl-.. l-i J kl L.k- j:...i.-)| iJ L,i..i.4 j_ 1 i .ill. . . .iJ (.. ^ . ...-Í-..L.J . . . .aZ. .
20 d B A H4^Httit'r4ÎMyJ^-l'M4^fift4^WtfW-r-K#ite^ H l' |. i'"iil ijl thml H I M ^tei»^ ftt?W llhiY!)tff'!i'..'itr.'i'i»H h 1 ti > ¿!l:!'.;p!' ,Mii-lt"''^lu^'l-Ml'\u .^u -.-.u ^. u QP^«
ililiiiiiiiS^I18*^ 19 h_ 20b
70 dBA r_
60 dBA
50 dBA-
40 dBA:
30 dBAZfUiZ^^.
Í
^^aJ ;ll;;p.|ili^.b Î^:
l'J_^. .....1-. -
S
20 dBA
ïîzfinjïhîJ^ -^MííGÍS
1:
2h 3h
»»M-tr f'<»'Hr»««Nl!J k^*f.l^U.i'it.JJ.ilJl4 «tjÜ" UL i^ J JWÏlL'a BJiï.(M 1 -;iJ-^i.J_iJ_4Í.-.l4kU_i. IIJ..J li, 1 a(..,-u.i. i 1., i i'. I i- I i ,11
4h GP 0102 5h 6h 7h 8h
Enreqistrement dans la nuit du 23 au 24/9/82, volets clos,fenêtres ouvertes dans le Collège Descartes (pt.B)
70 dBA.
60 dBAJ
50 dBA:
40 dBA
30 dBAh..^,.^,_jj|...^.,..j^. r::-!;^::-::r:::::.:¡;;i-::r».j.-i,.......i_J J |-.iiil_u UJ iu ...u... ..j.....i,...i,.. . ,4 im 1... -;4 il J V . tl-.. l-i J kl L.k- j:...i.-)| iJ L,i..i.4 j_ 1 i .ill. . . .iJ (.. ^ . ...-Í-..L.J . . . .aZ. .
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S
20 dBA
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1:
2h 3h
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4h GP 0102 5h 6h 7h 8h
16
MESURES COf^TJÑÜES ÜiguAZ 6)
Elles ont été réalisées dans la nuit du 23 au 24 septembre 1982,
de 17 H 10 à 8 H 45.
Les mesures varient de 22 à 26 dbA environ de 24 h à 6 h, et
de 26 à 34 dbA entre 6 h et 8 h. Après l'ouverture de l'école, leur niveau monte
à 50 même à 60 dbA. Entre 18 h et 19 h, les mesures donnent environ 35 dbA.
NDtons à toute heure de la nuit, des passages de trains, qui
entrainent des pics compris entre 40 et 45 dBA (en Leq sur une minute).
Même en comptant une atténuation comprise entre 10 et 15 décibels du
fait que les mesures dans le collège sont réalisées en intérieur avec volets
clos, on s'aperçoit que le collège est situé dans une zone plus calme que les
immeubles situés face au forage.
1.2.6. Vibrations
Les principales sources de vibrations que l'on peut répertoriersur le site, sont la circulation importante de voitures et de poids lourds dans
l'avenue Berger, et le passage des trains sur la ligne Paris-Mitry.
1.2.7. 9ual^ité_de_Vaxri_dégagement_gazeux
La pollution de l'air provient essentiellement des gaz d'échap¬
pement des véhicules circulant sur l'avenue Berger.
16
MESURES COf^TJÑÜES ÜiguAZ 6)
Elles ont été réalisées dans la nuit du 23 au 24 septembre 1982,
de 17 H 10 à 8 H 45.
Les mesures varient de 22 à 26 dbA environ de 24 h à 6 h, et
de 26 à 34 dbA entre 6 h et 8 h. Après l'ouverture de l'école, leur niveau monte
à 50 même à 60 dbA. Entre 18 h et 19 h, les mesures donnent environ 35 dbA.
NDtons à toute heure de la nuit, des passages de trains, qui
entrainent des pics compris entre 40 et 45 dBA (en Leq sur une minute).
Même en comptant une atténuation comprise entre 10 et 15 décibels du
fait que les mesures dans le collège sont réalisées en intérieur avec volets
clos, on s'aperçoit que le collège est situé dans une zone plus calme que les
immeubles situés face au forage.
1.2.6. Vibrations
Les principales sources de vibrations que l'on peut répertoriersur le site, sont la circulation importante de voitures et de poids lourds dans
l'avenue Berger, et le passage des trains sur la ligne Paris-Mitry.
1.2.7. 9ual^ité_de_Vaxri_dégagement_gazeux
La pollution de l'air provient essentiellement des gaz d'échap¬
pement des véhicules circulant sur l'avenue Berger.
17
1.3. ELEMENTS HUMAIMS
1.3.1. HabUat
L'habitat environnant le site choisi pour le projet géothermique
est de deux types.
Au Nord et au Nord-Ouest, séparés du site par l'Avenue Berger,
plusieurs groupements de tours d'une douzaine d'étages, englobant trois en¬
sembles scolaires, un centre commercial et plus au Nord, l'Hôtel de Ville,
constituent un habitat relativement aéré, entrecoupé de nombreux espaces verts.
La première tour est distante de 120 mètres de la limite d'emprise approxi¬
mative de la plate-forme.
Au Nord-Est, le C. E. S. Descartes et le C. E. T. H. Boucher,
groupement scolaire et sportif, est implanté sur le site à 100 mètres de l'en¬
droit choisi pour la plate-forme. Le bâtiment au Nord-Ouest du C. E. S. sert
d'habitation permanente pour du personnel.
Le bâtiment le plus proche du projet est une des chaufferies de
la Z. A. C. (chaufferie n° 3), fonctionnant au gaz. Deux personnes assurent
la permanence et l'entretien pendant la journée. La chaufferie se situe à une
trentaine de mètres de l'enceinte approximative, prévue pour la plate-forme.
Au Sud, les premières habitations se trouvent à 200 m, séparées
du site par le canal de l'Ourcq et la ligne de chemin de fer de la Plaine
Saint-Denis. Des ensembles pavillonnaires forment l'essentiel de l'habitatdans cette partie de la ville.
1.3.2. Infrastructure
Une enquête a été menée auprès des services suivants :
- Services Techniques de la Ville de Tremblay-lès-Gonesse,
- Gaz de France,
- Electricité de France,
- Société Française de Distribution des Eaux
- Postes et Télécommunications,
17
1.3. ELEMENTS HUMAIMS
1.3.1. HabUat
L'habitat environnant le site choisi pour le projet géothermique
est de deux types.
Au Nord et au Nord-Ouest, séparés du site par l'Avenue Berger,
plusieurs groupements de tours d'une douzaine d'étages, englobant trois en¬
sembles scolaires, un centre commercial et plus au Nord, l'Hôtel de Ville,
constituent un habitat relativement aéré, entrecoupé de nombreux espaces verts.
La première tour est distante de 120 mètres de la limite d'emprise approxi¬
mative de la plate-forme.
Au Nord-Est, le C. E. S. Descartes et le C. E. T. H. Boucher,
groupement scolaire et sportif, est implanté sur le site à 100 mètres de l'en¬
droit choisi pour la plate-forme. Le bâtiment au Nord-Ouest du C. E. S. sert
d'habitation permanente pour du personnel.
Le bâtiment le plus proche du projet est une des chaufferies de
la Z. A. C. (chaufferie n° 3), fonctionnant au gaz. Deux personnes assurent
la permanence et l'entretien pendant la journée. La chaufferie se situe à une
trentaine de mètres de l'enceinte approximative, prévue pour la plate-forme.
Au Sud, les premières habitations se trouvent à 200 m, séparées
du site par le canal de l'Ourcq et la ligne de chemin de fer de la Plaine
Saint-Denis. Des ensembles pavillonnaires forment l'essentiel de l'habitatdans cette partie de la ville.
1.3.2. Infrastructure
Une enquête a été menée auprès des services suivants :
- Services Techniques de la Ville de Tremblay-lès-Gonesse,
- Gaz de France,
- Electricité de France,
- Société Française de Distribution des Eaux
- Postes et Télécommunications,
18 -
pour répertorier les infrastructures passant à proximité et au
droit du site étudié. Celles-ci sont reportées en annexe 1. Aucun réseau
souterrain ne traverse l'emprise retenue pour la plate-forme de forage.
VOIRIE : le site étudié est longé au Nord par l'avenue Berger,
anciennement baptisée avenue du Commerce. Cette avenue à 2x2 voies, avec terre-
plein central, est un axe communal important.
Sur le site, l'accès de la chaufferie n° 3, est une
route goudronnée de 4 à 5 mètres de large, faisant un coude à angle droit.
ADDUCTION D'EAU : Une conduite d'eau potable, en diamètre 200,
passe sous l'avenue Berger et dessert successivement, côté site, la chaufferie,
en diamètre 100, et le C. E. S. Descartes, en diamètre 150,
RESEAU D'ASSAINISSEMENT : On distingue le réseau d'assainissementdes eaux pluviales et celui des eaux usées :
- le réseau d'assainissement des eaux pluviales : à proximité du
projet, une conduite passe sous l'avenue Berger en diamètre 500 puis 600.
Après décantation et désablage, le réseau d'eau pluviale se jette dans laReneuse pour rejoindre le Canal de l'Ourcq.
-le réseau d'assainissement des eaux usées : le réseau le plus
proche descend l'extrémité Ouest de l'avenue Berger. Le départ de la conduite
se situe à 350 m du projet de la limite d'emprise approximative de la plate¬
forme. La conduite-esJLen diamètre 200. Le réseau d'eaux usées aboutit à lastation d'épuration d'Achères.
CONDUITES DE GAZ : Une conduite de gaz moyenne pression, en dia¬
mètre 200, borde l'avenue Berger, côté site, sous le trottoir à une distancede 1,80 m du bord de la route.
Une seconde conduite en diamètre 300 haute pression, longe lesite par le Sud, entre la voie ferrée et le canal.
RESEAU ELECTRIQUE : Le réseau basse tension le plus proche ali¬
mente l'éclairage public situé sur le trottoir Sud de l'avenue Berger.
La chaufferie est alimentée en 380 volts - 250 A, soit une
puissance de 950 KW par un câble longeant le chemin d'accès du bâtiment et
18 -
pour répertorier les infrastructures passant à proximité et au
droit du site étudié. Celles-ci sont reportées en annexe 1. Aucun réseau
souterrain ne traverse l'emprise retenue pour la plate-forme de forage.
VOIRIE : le site étudié est longé au Nord par l'avenue Berger,
anciennement baptisée avenue du Commerce. Cette avenue à 2x2 voies, avec terre-
plein central, est un axe communal important.
Sur le site, l'accès de la chaufferie n° 3, est une
route goudronnée de 4 à 5 mètres de large, faisant un coude à angle droit.
ADDUCTION D'EAU : Une conduite d'eau potable, en diamètre 200,
passe sous l'avenue Berger et dessert successivement, côté site, la chaufferie,
en diamètre 100, et le C. E. S. Descartes, en diamètre 150,
RESEAU D'ASSAINISSEMENT : On distingue le réseau d'assainissementdes eaux pluviales et celui des eaux usées :
- le réseau d'assainissement des eaux pluviales : à proximité du
projet, une conduite passe sous l'avenue Berger en diamètre 500 puis 600.
Après décantation et désablage, le réseau d'eau pluviale se jette dans laReneuse pour rejoindre le Canal de l'Ourcq.
-le réseau d'assainissement des eaux usées : le réseau le plus
proche descend l'extrémité Ouest de l'avenue Berger. Le départ de la conduite
se situe à 350 m du projet de la limite d'emprise approximative de la plate¬
forme. La conduite-esJLen diamètre 200. Le réseau d'eaux usées aboutit à lastation d'épuration d'Achères.
CONDUITES DE GAZ : Une conduite de gaz moyenne pression, en dia¬
mètre 200, borde l'avenue Berger, côté site, sous le trottoir à une distancede 1,80 m du bord de la route.
Une seconde conduite en diamètre 300 haute pression, longe lesite par le Sud, entre la voie ferrée et le canal.
RESEAU ELECTRIQUE : Le réseau basse tension le plus proche ali¬
mente l'éclairage public situé sur le trottoir Sud de l'avenue Berger.
La chaufferie est alimentée en 380 volts - 250 A, soit une
puissance de 950 KW par un câble longeant le chemin d'accès du bâtiment et
19
provenant du "poste Cendre" situé au centre du groupe de tours d'habitation le plus
proche du projet.
Un double réseau "moyenne tension" longe l'avenue Berger, sous letrottoir Sud, en bordure du site.
Enfin, le seul réseau aérien proche du secteur est celui de la
ligne de chemin de fer longeant le secteur au Sud.
RESEAU TELEPHONIQUE :
Aucun réseau téléphonique ne passe sur le secteur, en dehors des
lignes de la chaufferie et du C.E.S. Descartes.
1.3.3. Socio-éconoiTiie
le projet géothermique de Tremblay-les-Gonesse se trouve en limite Sud
d'une zone d'habitats collectifs sous forme de plusieurs groupements de tours.
Cet ensemble renferme deux centres commerciaux, dont le plus important se
trouve en bordure de l'avenue Berger, des locaux administratifs (l'Hôtel de
Ville et un centre social), et six groupements scolaires : Paul Langevin,
Jeanne Labourbe, Eugénie Cotton, Eisa Triolet, Vert Galant 5 et le C. E. S.
Descartes.
Sur le site même du projet, la limite Ouest et Nord-Ouest de lafuture plate-forme sera aménagée en mail piétonnier. Sur la partie Nord et
Est, seront aménagées des installations sportives.
En limite Sud du secteur, se trouve la ligne de chemin de fer
de la Plaine Saint-Denis.
19
provenant du "poste Cendre" situé au centre du groupe de tours d'habitation le plus
proche du projet.
Un double réseau "moyenne tension" longe l'avenue Berger, sous letrottoir Sud, en bordure du site.
Enfin, le seul réseau aérien proche du secteur est celui de la
ligne de chemin de fer longeant le secteur au Sud.
RESEAU TELEPHONIQUE :
Aucun réseau téléphonique ne passe sur le secteur, en dehors des
lignes de la chaufferie et du C.E.S. Descartes.
1.3.3. Socio-éconoiTiie
le projet géothermique de Tremblay-les-Gonesse se trouve en limite Sud
d'une zone d'habitats collectifs sous forme de plusieurs groupements de tours.
Cet ensemble renferme deux centres commerciaux, dont le plus important se
trouve en bordure de l'avenue Berger, des locaux administratifs (l'Hôtel de
Ville et un centre social), et six groupements scolaires : Paul Langevin,
Jeanne Labourbe, Eugénie Cotton, Eisa Triolet, Vert Galant 5 et le C. E. S.
Descartes.
Sur le site même du projet, la limite Ouest et Nord-Ouest de lafuture plate-forme sera aménagée en mail piétonnier. Sur la partie Nord et
Est, seront aménagées des installations sportives.
En limite Sud du secteur, se trouve la ligne de chemin de fer
de la Plaine Saint-Denis.
20
2 - mtW DES EFFETS SUR l.'B^/IROrifBeff
2.7. - VErjNlTJON VU PROJET - COI^CEPTJÛM V'ENSEmLE
La cible géothermique choisie pour ce projet est l'aquifère du
Dogger, dont le toit se situe à 1692 - 10 m de profondeur. Les principales
caractéristiques de ce réservoir ont été données en 1.2.3.2. Le débit artésien
attendu est de l'ordre de 80 à 90 m3/h pour une température en tête de puits
de 69°C, le débit maximal devrait être de 250 à 300 mVh avec pompage.
L'exploitation de l'énergie géothermique se fera à partir de deux
forages (doublet), l'un destiné à la production d'eau chaude, l'autre destinéà la réinjection, dans le même aquifére, de l'eau qui a cédé une grande partie
de ses calories. Cette eau sera réinjectée à 35°C, selon les prévisions.
C&ns ce projet, les deux forages sont déviés et sont effectuésà partir de la même plate-forme. Les têtes de puits seront distantes de 10 m,
et les fonds de forage éloignés de 1400 m.
Le circuit d'eau géothermale (circuit primaire), salée, est réduità la liaison forage de production -échangeur primaire à plaques de titane
dans la station géothermale- forage d'injection. Cette liaison se fera par une
canalisation prévue pour assurer la circulation du fluide géothermal corrosif.
L'eau géothermale cède ses calories à l'eau géothermique (circuit secondaire),
par passage dans 1 'échangeur primaire. L'eau géothermique est distribuée par
un réseau de chauffage de type "classique". Une pompe d'exhaure sera mise en
place dans le puits de production. La réinjection s'effectuera également à
1 'aide d'une pompe.
20
2 - mtW DES EFFETS SUR l.'B^/IROrifBeff
2.7. - VErjNlTJON VU PROJET - COI^CEPTJÛM V'ENSEmLE
La cible géothermique choisie pour ce projet est l'aquifère du
Dogger, dont le toit se situe à 1692 - 10 m de profondeur. Les principales
caractéristiques de ce réservoir ont été données en 1.2.3.2. Le débit artésien
attendu est de l'ordre de 80 à 90 m3/h pour une température en tête de puits
de 69°C, le débit maximal devrait être de 250 à 300 mVh avec pompage.
L'exploitation de l'énergie géothermique se fera à partir de deux
forages (doublet), l'un destiné à la production d'eau chaude, l'autre destinéà la réinjection, dans le même aquifére, de l'eau qui a cédé une grande partie
de ses calories. Cette eau sera réinjectée à 35°C, selon les prévisions.
C&ns ce projet, les deux forages sont déviés et sont effectuésà partir de la même plate-forme. Les têtes de puits seront distantes de 10 m,
et les fonds de forage éloignés de 1400 m.
Le circuit d'eau géothermale (circuit primaire), salée, est réduità la liaison forage de production -échangeur primaire à plaques de titane
dans la station géothermale- forage d'injection. Cette liaison se fera par une
canalisation prévue pour assurer la circulation du fluide géothermal corrosif.
L'eau géothermale cède ses calories à l'eau géothermique (circuit secondaire),
par passage dans 1 'échangeur primaire. L'eau géothermique est distribuée par
un réseau de chauffage de type "classique". Une pompe d'exhaure sera mise en
place dans le puits de production. La réinjection s'effectuera également à
1 'aide d'une pompe.
Fig.7
SCHEMA D'UN APPAREIL DE FORAGE ROTARY
n
?) Treuil de forage
Structures : mât • support du plancher
P o m p e à boue
© Entrainement de la table de rotation
Moteurs d'entraînement du treuil et de La table
Tête d'injection
7) Tige carrée d'entraînement
Obturateur
Bassins à boue
Moufle mobile
@ Tige d'entraînement
@ Raccord de tige d'entrainement
@ Tige *
@ Masse - t ige
© Outil
© Tubage
22
l.î - CHAhíTJER PROVISOIRE POUR LA REALISATION VES FORAGES
2.2.1. Descrigtion des_trayaux_à_réaliser_et_du_matérie1^_utilisé
A) ^ojist^rjjct^i^n__d£ J_a_p2a^e2f£rme
La plate-forme est une aire rectangulaire de 100 x 100 environ,
présentant une légère déclivité pour l'écoulement des eaux pluviales. Sur cette
plate-forme, une dalle bétonnée sera coulée pour recevoir les équipements de
forage. Le reste de la plate-forme sera traité en chemin de roulement et sera
destiné à recevoir les installations annexes, les stocks de matériel et les
véhicules lourds qui circulent pendant toute la durée du chantier.
Des bassins de décantation ou "bourbiers" seront creusés pour
recevoir les boues de forages, les déblais provenant du forage et les eaux
des essais de mise en production.
Une voie d'accès sera aménagée dans le prolongement de celle
de la chaufferie depuis l'avenue Berger.
L'ensemble de la plate-forme sera clôturé et l'accès interditau public.
B) Jejchjni^u^ de_for£ge
B.l Gén^raj^ité^s s^ur laj;^réa^li^ation_des ouvr^ges^
Le forage sera effectué avec le procédé "rotary" à l'aide
d'une machine semblable à celles utilisées généralement en recherche
pétrolière (Cf fig. n° 7). Dans le cas présent, la machine utilisée
pourrait être du type IDECO 900 E. Mais, les résultats de l'appel
d'offre (machine de forage) ne seront connus qu'au mois de novembre.
22
l.î - CHAhíTJER PROVISOIRE POUR LA REALISATION VES FORAGES
2.2.1. Descrigtion des_trayaux_à_réaliser_et_du_matérie1^_utilisé
A) ^ojist^rjjct^i^n__d£ J_a_p2a^e2f£rme
La plate-forme est une aire rectangulaire de 100 x 100 environ,
présentant une légère déclivité pour l'écoulement des eaux pluviales. Sur cette
plate-forme, une dalle bétonnée sera coulée pour recevoir les équipements de
forage. Le reste de la plate-forme sera traité en chemin de roulement et sera
destiné à recevoir les installations annexes, les stocks de matériel et les
véhicules lourds qui circulent pendant toute la durée du chantier.
Des bassins de décantation ou "bourbiers" seront creusés pour
recevoir les boues de forages, les déblais provenant du forage et les eaux
des essais de mise en production.
Une voie d'accès sera aménagée dans le prolongement de celle
de la chaufferie depuis l'avenue Berger.
L'ensemble de la plate-forme sera clôturé et l'accès interditau public.
B) Jejchjni^u^ de_for£ge
B.l Gén^raj^ité^s s^ur laj;^réa^li^ation_des ouvr^ges^
Le forage sera effectué avec le procédé "rotary" à l'aide
d'une machine semblable à celles utilisées généralement en recherche
pétrolière (Cf fig. n° 7). Dans le cas présent, la machine utilisée
pourrait être du type IDECO 900 E. Mais, les résultats de l'appel
d'offre (machine de forage) ne seront connus qu'au mois de novembre.
23 -
Cet atelier de forage se compose :
d'un mât de levage de plusieurs dizaine de mètres de hauteur
{- 50 m/sol) dont la puissance de levage est estimée à 200 T
d'une batterie de moteurs,
de tamis vibrant pour séparer la boue des parties solides
provenant du forage,
de pompes pour injecter les boues à l'intérieur des tiges,
de râteliers pour stocker horizontalement les tiges de forages,
d'installations de chantier abritant les ateliers mécaniques,
groupes électrogènes, bureau...
d'une aire de stockage des tubages.
Tn.avaux dz {¡onjagz
Le creusement d'un forage est effectué par un tricône fixé au
bout d'un train de tiges de forages, qui, par rotation, réduit la roche
en débris de dimensions millimétriques(cuttings) .
Simultanément, des pompes injectent, par l'intérieur des tiges,une boue de composition adéquate : boue à la bentonite, aux polymères avec
adjonction de lignosulfonate, de CMC (carboxylméthylcellulose, cellulose
collo'idale). Elle lubrifie et refroidit le tricône, remonte en surface par
l'espace annulaire entre les tiges et les parois du trou en empêchant les
éboulements et en prévenant tout envahissement intempestif du forage par leseaux des aquifères rencontrés. Cette boue est recyclée après élimination de
toutes les particules de roches. Pour réaliser la boue, la consonmation en
eau varie de 100 m3/j à 100 m3/h, en cas de perte totale.
Un programme de forage, établi préalablement, prévoit un certainnombre de changements dans le diamètre du trou qui décroît à partir de lasurface. En particulier, un tubage sera cimenté au toit de l'Yprésien qui sera
ainsi isolé des nappes supérieures. Après les phases de forage, le trou sera
tube et cimenté jusqu'au toit du réservoir. La zone aquifére sera laissée libre
(aquifére calcaire).
Au fur et à mesure de l'avancement, la nature des terrains tra-
23 -
Cet atelier de forage se compose :
d'un mât de levage de plusieurs dizaine de mètres de hauteur
{- 50 m/sol) dont la puissance de levage est estimée à 200 T
d'une batterie de moteurs,
de tamis vibrant pour séparer la boue des parties solides
provenant du forage,
de pompes pour injecter les boues à l'intérieur des tiges,
de râteliers pour stocker horizontalement les tiges de forages,
d'installations de chantier abritant les ateliers mécaniques,
groupes électrogènes, bureau...
d'une aire de stockage des tubages.
Tn.avaux dz {¡onjagz
Le creusement d'un forage est effectué par un tricône fixé au
bout d'un train de tiges de forages, qui, par rotation, réduit la roche
en débris de dimensions millimétriques(cuttings) .
Simultanément, des pompes injectent, par l'intérieur des tiges,une boue de composition adéquate : boue à la bentonite, aux polymères avec
adjonction de lignosulfonate, de CMC (carboxylméthylcellulose, cellulose
collo'idale). Elle lubrifie et refroidit le tricône, remonte en surface par
l'espace annulaire entre les tiges et les parois du trou en empêchant les
éboulements et en prévenant tout envahissement intempestif du forage par leseaux des aquifères rencontrés. Cette boue est recyclée après élimination de
toutes les particules de roches. Pour réaliser la boue, la consonmation en
eau varie de 100 m3/j à 100 m3/h, en cas de perte totale.
Un programme de forage, établi préalablement, prévoit un certainnombre de changements dans le diamètre du trou qui décroît à partir de lasurface. En particulier, un tubage sera cimenté au toit de l'Yprésien qui sera
ainsi isolé des nappes supérieures. Après les phases de forage, le trou sera
tube et cimenté jusqu'au toit du réservoir. La zone aquifére sera laissée libre
(aquifére calcaire).
Au fur et à mesure de l'avancement, la nature des terrains tra-
- 24
versés, ainsi que les tubages et cimentations sont contrôlés par des méthodes
d'exploration géophysique (diagraphies). Ces mesures permettent :
- de bien situer les niveaux géologiques et d'en connaître leur caractéris¬
tiques (teneur en argile, porosité, densité...),- de contrôler les tubages et les cimentations.
HÍ6Z zn pn.odaction
Le réservoir est soumis à un certain nombre d'opérations et de
mesures : dégorgement, nettoyage par air-lift, acidification, développement,
mesures de pression, de température, de débit, de rabattement du niveau d'eau,
prélèvements pour analyses d'eau. Le volume d'eau ainsi extrait sera de l'ordre
de 4000 m3/puits.
Ces opérations permettent de connaître les caractéristiques de
l'ouvrage et celles du réservoir capté, ainsi que la qualité physicochimique
de l'eau géothermale.
B . 2 . - Jecji n i j^u e_de_f0£a g£ ejii v i¿ag£e
Les deux forages, de production et d'injection, seront déviés
et réalisés à partir de la même plate-forme. Les têtes de puits seront dis¬
tantes d'une dizaine de mètres.
L'orientation des puits de production est Sud 14° Ouest et l'o¬
rientation du puits d'injection est Nord 14° Est (fig. 1 bis).
Les différentes opérations citées ci-après sont susceptiblesd'être modifiées lors d'études ultérieures (avant-projet détaillé) ou lorsdes opérations de forage selon les conditions spécifiques que l'on rencon¬
trera.
COUPES TECHNIQUES DES FORAGES
Elles figurent sur la planche n' 3.
- 24
versés, ainsi que les tubages et cimentations sont contrôlés par des méthodes
d'exploration géophysique (diagraphies). Ces mesures permettent :
- de bien situer les niveaux géologiques et d'en connaître leur caractéris¬
tiques (teneur en argile, porosité, densité...),- de contrôler les tubages et les cimentations.
HÍ6Z zn pn.odaction
Le réservoir est soumis à un certain nombre d'opérations et de
mesures : dégorgement, nettoyage par air-lift, acidification, développement,
mesures de pression, de température, de débit, de rabattement du niveau d'eau,
prélèvements pour analyses d'eau. Le volume d'eau ainsi extrait sera de l'ordre
de 4000 m3/puits.
Ces opérations permettent de connaître les caractéristiques de
l'ouvrage et celles du réservoir capté, ainsi que la qualité physicochimique
de l'eau géothermale.
B . 2 . - Jecji n i j^u e_de_f0£a g£ ejii v i¿ag£e
Les deux forages, de production et d'injection, seront déviés
et réalisés à partir de la même plate-forme. Les têtes de puits seront dis¬
tantes d'une dizaine de mètres.
L'orientation des puits de production est Sud 14° Ouest et l'o¬
rientation du puits d'injection est Nord 14° Est (fig. 1 bis).
Les différentes opérations citées ci-après sont susceptiblesd'être modifiées lors d'études ultérieures (avant-projet détaillé) ou lorsdes opérations de forage selon les conditions spécifiques que l'on rencon¬
trera.
COUPES TECHNIQUES DES FORAGES
Elles figurent sur la planche n' 3.
PL. 3
Tremblay-les- Gonesse
Coupe géologique et technique résumée
Prof J STRATTCFJiJ'HIEd/eoI + 132.0 ?IGT
LÎTîiCLOGIîj 3 icreyt - rubef
Jl
Q Fcraîe
, I ?ui tI productiritil
-begr
s d'ir. iection
lo:
20D
300 J
400
500.
600
700
800
900
rznriAirs
1000
noo.
1200.
1300-
1400,
1500
SîKOKIIK
TUROKIEK
CENO.IAKIXK
SO
172
Cile^ires, marnes,argilej Jdtleu.ce,
¿.¿Lies , ¿r^ilei
Creie blaache ï
l£"5-£
12*-3/fa
552.Crtie prii-blaa-chlcre * co=p*cte
675-
/I.BIEK-APTIEK
KïOCO.^nZi; ETWEALDlEK
. xnTTürrrTry1012.1047
POP.TLANDIEKni57.
OKMEiaDCIEK
SEQ3AKI^128':
EAÜEACIEK
AKCOVIEK
160Ch
1700
isoa
orroFuizK (s.s.)rtTTOTTry
DOCCER
732.Cclc. glauc.-niarae
Arpiie Erit-aoir
3f-7V»-r petyëef ¿'eycile
Argilt sebleuse«Iterxuiocc de sableet argile
^b").. ri.>1 î .-V . h ^T ^ "Í
Calcaire nameux
Alternance de carnescire feuilletëe etlEamo- cal caire
?92-Calcaire e-Èileux
1492Calcaire graveleux
tianec noirec et537,^ cri «es eilteuseï
Calcaires et carnea.rs'TPt ,642
ça-) vil, fsrrug *r~""'tAltemeace -de cale.oolitbique, gra-ve-
R¿ri leur et cieriticue
frofoDoeur finale
forage 8" 1/2
forage 6*
(x) Forages dCviés
. pradiect 1*30/10 e
. dSviatioa finale3ô eavirsn
. dëplacesesî finalI 400 c esriron
PL. 3
Tremblay-les- Gonesse
Coupe géologique et technique résumée
Prof J STRATTCFJiJ'HIEd/eoI + 132.0 ?IGT
LÎTîiCLOGIîj 3 icreyt - rubef
Jl
Q Fcraîe
, I ?ui tI productiritil
-begr
s d'ir. iection
lo:
20D
300 J
400
500.
600
700
800
900
rznriAirs
1000
noo.
1200.
1300-
1400,
1500
SîKOKIIK
TUROKIEK
CENO.IAKIXK
SO
172
Cile^ires, marnes,argilej Jdtleu.ce,
¿.¿Lies , ¿r^ilei
Creie blaache ï
l£"5-£
12*-3/fa
552.Crtie prii-blaa-chlcre * co=p*cte
675-
/I.BIEK-APTIEK
KïOCO.^nZi; ETWEALDlEK
. xnTTürrrTry1012.1047
POP.TLANDIEKni57.
OKMEiaDCIEK
SEQ3AKI^128':
EAÜEACIEK
AKCOVIEK
160Ch
1700
isoa
orroFuizK (s.s.)rtTTOTTry
DOCCER
732.Cclc. glauc.-niarae
Arpiie Erit-aoir
3f-7V»-r petyëef ¿'eycile
Argilt sebleuse«Iterxuiocc de sableet argile
^b").. ri.>1 î .-V . h ^T ^ "Í
Calcaire nameux
Alternance de carnescire feuilletëe etlEamo- cal caire
?92-Calcaire e-Èileux
1492Calcaire graveleux
tianec noirec et537,^ cri «es eilteuseï
Calcaires et carnea.rs'TPt ,642
ça-) vil, fsrrug *r~""'tAltemeace -de cale.oolitbique, gra-ve-
R¿ri leur et cieriticue
frofoDoeur finale
forage 8" 1/2
forage 6*
(x) Forages dCviés
. pradiect 1*30/10 e
. dSviatioa finale3ô eavirsn
. dëplacesesî finalI 400 c esriron
- 26 -
CONDITIONS DE REALISATION DES FORAGES
. Si l'étude géotechnique en montre la nécessité, on procédera
avant l'arrivée de la machine, â la mise en place d'un tube-guide 26" jusqu'àenviron 20 m.
- Forage en 17"l/2, élargissage en 24" jusqu'au toit des sables del'Yprésien, soit environ 80 m puis tubage à cette cote en 18"5/8 et cimentation.
- Forage en 17"l/2 jusqu'à une profondeur de 580 m environ. Posed'un tubage 13"3/8 à cette cote et cimentation. Si des pertes sont observéeslors de la traversée de l'Yprésien, on posera un bouchon de ciment sur la hauteurde 1 'aquifére.
- Forage vertical en 12"l/4 jusqu'à 600 m environ. A cette cote
amorce de la déviation avec un gradient de 1°30/10 m jusqu'àune déviation de 36° environ.
- Forage en déviation stabilisé jusqu'à 20 m environ dans le
Purbeckien soit 1030 m environ (profondeur verticale). Pose d'un liner 9"5/8à cette cote pour le puits de production et cimentation ; pose
d'un tubage 9"5/8 pour le puits d'injection et cimentation, jusqu'au jour.
- Reprise du forage en 8" 1/2 jusqu'au Dogger soit environ 1692 m
(profondeur verticale). Pose d'un tubage 7" et cimentation jusqu'en surface
sur le puits d'injection. Sur le puits de production, la cimentation du 7"
sera arrêtée vers 400 m, de façon à aménager une chambre de pompage 13 "3/8.
Pour ce faire, on coupera le 7" après le forage du réservoir.
- Forage du réservoir en 6".
- Essais à r air-lift et stimulation éventuelle.
Cette solution technique offre plusieurs avantages :
- Les angles de déviation qui ne sont pas trop importants (36°).Ceci limite les risques d'instrumentations (coincements... collages, etc.).
- D'autre part, la zone de l'est parisien étant maintenant assez
bien reconnue (La Courneuve - Aulnay - Clichy - Sevran), il semble raisonnable
de pouvoir commencer l'opération de TREMBLAY par un puits dévié.
- Enfin, la distance peut être éventuellement modifiée au vu des
- 26 -
CONDITIONS DE REALISATION DES FORAGES
. Si l'étude géotechnique en montre la nécessité, on procédera
avant l'arrivée de la machine, â la mise en place d'un tube-guide 26" jusqu'àenviron 20 m.
- Forage en 17"l/2, élargissage en 24" jusqu'au toit des sables del'Yprésien, soit environ 80 m puis tubage à cette cote en 18"5/8 et cimentation.
- Forage en 17"l/2 jusqu'à une profondeur de 580 m environ. Posed'un tubage 13"3/8 à cette cote et cimentation. Si des pertes sont observéeslors de la traversée de l'Yprésien, on posera un bouchon de ciment sur la hauteurde 1 'aquifére.
- Forage vertical en 12"l/4 jusqu'à 600 m environ. A cette cote
amorce de la déviation avec un gradient de 1°30/10 m jusqu'àune déviation de 36° environ.
- Forage en déviation stabilisé jusqu'à 20 m environ dans le
Purbeckien soit 1030 m environ (profondeur verticale). Pose d'un liner 9"5/8à cette cote pour le puits de production et cimentation ; pose
d'un tubage 9"5/8 pour le puits d'injection et cimentation, jusqu'au jour.
- Reprise du forage en 8" 1/2 jusqu'au Dogger soit environ 1692 m
(profondeur verticale). Pose d'un tubage 7" et cimentation jusqu'en surface
sur le puits d'injection. Sur le puits de production, la cimentation du 7"
sera arrêtée vers 400 m, de façon à aménager une chambre de pompage 13 "3/8.
Pour ce faire, on coupera le 7" après le forage du réservoir.
- Forage du réservoir en 6".
- Essais à r air-lift et stimulation éventuelle.
Cette solution technique offre plusieurs avantages :
- Les angles de déviation qui ne sont pas trop importants (36°).Ceci limite les risques d'instrumentations (coincements... collages, etc.).
- D'autre part, la zone de l'est parisien étant maintenant assez
bien reconnue (La Courneuve - Aulnay - Clichy - Sevran), il semble raisonnable
de pouvoir commencer l'opération de TREMBLAY par un puits dévié.
- Enfin, la distance peut être éventuellement modifiée au vu des
- 27
résultats (caractéristiques du réservoir) du premier forage, si les carac¬
téristiques d'exploitation le nécessitent.
Pn.qQnammz_dz bquz
- Phase 17"l/2 : forage à l'eau claire, bentonite, injections de
bouchons visqueux aux ajouts de tige.
- Phase 12"l/4-8"l/2 : boue aux polymères lubrifiés.
- Phase 6" : boues aux biopolymëres lubrifiés.
Pn.0Qna.mmz_dz_ dMiQnaphiz
- Avant-tubage 9"5/8 : contrôle de la déviation (CDR) - diamétreur
CAC et gamma-ray (GR).
- Avant-tubage 7". Sonic compensé pour effets de trou (BHC), gamma-ray
(GR) et contrôle déviation (CDR), diamétreur (CAL)
- Après cimentation du tubage 1" : contrôle de la cimentation (CBL-Vd),
- Sur le réservoir : Gamma-ray (GR) ; densité des formations (FDC)
Le programme de diagraphie est identique pour les deux puits.
Pn.qgn.ammz_dz i]}i¿z_zn pn.oductiqn
Il comprend une phase de stimulation et de développement englobant
plusieurs opérations successives :
- un nettoyage par dégorgement artésien, par injection d'eau claireou par le procédé d'air-lift,
- une acidification,
- un nouveau dégorgement.
La seconde étape des essais est une étape destinée à définir les
paramètres physiques de l'aquifère exploité. Elle comporte des opérations de
mise en production, de remontée de pression par fermeture du puits à la fin
du forage de chaque puits. Un essai d'injection s'ajoute à ce programme pour
le puits d'injection. En fin d'essai, un test d'interférence mesure les effetsde puits à puits.
Ces essais comportent des enregistrements de diagraphies au niveau
du réservoir :
- un flowmètre ou débitmètre,
- 27
résultats (caractéristiques du réservoir) du premier forage, si les carac¬
téristiques d'exploitation le nécessitent.
Pn.qQnammz_dz bquz
- Phase 17"l/2 : forage à l'eau claire, bentonite, injections de
bouchons visqueux aux ajouts de tige.
- Phase 12"l/4-8"l/2 : boue aux polymères lubrifiés.
- Phase 6" : boues aux biopolymëres lubrifiés.
Pn.0Qna.mmz_dz_ dMiQnaphiz
- Avant-tubage 9"5/8 : contrôle de la déviation (CDR) - diamétreur
CAC et gamma-ray (GR).
- Avant-tubage 7". Sonic compensé pour effets de trou (BHC), gamma-ray
(GR) et contrôle déviation (CDR), diamétreur (CAL)
- Après cimentation du tubage 1" : contrôle de la cimentation (CBL-Vd),
- Sur le réservoir : Gamma-ray (GR) ; densité des formations (FDC)
Le programme de diagraphie est identique pour les deux puits.
Pn.qgn.ammz_dz i]}i¿z_zn pn.oductiqn
Il comprend une phase de stimulation et de développement englobant
plusieurs opérations successives :
- un nettoyage par dégorgement artésien, par injection d'eau claireou par le procédé d'air-lift,
- une acidification,
- un nouveau dégorgement.
La seconde étape des essais est une étape destinée à définir les
paramètres physiques de l'aquifère exploité. Elle comporte des opérations de
mise en production, de remontée de pression par fermeture du puits à la fin
du forage de chaque puits. Un essai d'injection s'ajoute à ce programme pour
le puits d'injection. En fin d'essai, un test d'interférence mesure les effetsde puits à puits.
Ces essais comportent des enregistrements de diagraphies au niveau
du réservoir :
- un flowmètre ou débitmètre,
M
2 1259 LOGEMENTS
1 705 LOGEMENTS Eau chaude - Sanitaire
Panneaux de solRadiateurs
J A¿ ft*
STATION"!; 700 Logements etéquipements sociaux
Eau chaude-Sanitaire
Mixte: R.deS. et Rad.
u 7 * W -
SOUS STATION
3 1T74-LOGEMENTS
Efeu chaude-Sanitaire
Radiateurs."
EAU GEOTHERMIQUERESEAU GEOTHERMAL
STATION GEOTHERMALE
TREMBLAY - les - GONESSEZONE URBANISEE-LE VERT GALANT
Réseau géothermal
Réseau géothermique
Station géothermale et sous stations
50 100 200 300 400 m
=1
ECHELLE: i/o OOO
- 29 -
- une thermomètrie,
- une mesure de pression de fond (sonde HP)
- un échanti Honneur.
Le volume total des eaux d'essai sera environ de 4000 m3 par
puits. Ces eaux seront évacuées suivant les possibilités du contexte local
en fonction de leurs caractéristiques chimiques et de leur volume. Si
nécessaire, on pratique des chasses d'eau douce pour diluer le fluide géo¬
thermal qui, avant rejet, sera refroidi par passage dans un bourbier.
C) £emj[se_en_éta^t
En fin de travaux, le site est remis en état. Les boues sont :
- soit mises en décharge autorisée à recevoir de tels déchets,
- soit traitées sur place par un procédé de floculation permettant
l'obtention d'un résidu solide et inerte qui pourra être mélangé à la terredes bourbiers au moment du régalage.
2.2.2. Instal^l^ations_défi^nitives
Seules subsisteront, à la fin des travaux, les deux têtes de
puits, qui pourront être enterrées.
Le puits de production sera doté d'une pompe immergée installée
dans la chambre de pompage. Cette pompe pourra être relevée pour l'entretien.L'installation fonctionnera en circuit fermé. Les eaux pompées
seront acheminées à travers 1 'échangeur primaire oû elles céderont une grande
part de leurs calories, puis réinjectées dans la nappe d'où elles sont ex¬
traites.
Le réseau géothermique partira de 1 'échangeur primaire et viendra
desservir les sous-stations situées aux abords des ensembles à chauffer.L'eau géothermique circulera également en circuit fermé (cf. planche n°4).
- 29 -
- une thermomètrie,
- une mesure de pression de fond (sonde HP)
- un échanti Honneur.
Le volume total des eaux d'essai sera environ de 4000 m3 par
puits. Ces eaux seront évacuées suivant les possibilités du contexte local
en fonction de leurs caractéristiques chimiques et de leur volume. Si
nécessaire, on pratique des chasses d'eau douce pour diluer le fluide géo¬
thermal qui, avant rejet, sera refroidi par passage dans un bourbier.
C) £emj[se_en_éta^t
En fin de travaux, le site est remis en état. Les boues sont :
- soit mises en décharge autorisée à recevoir de tels déchets,
- soit traitées sur place par un procédé de floculation permettant
l'obtention d'un résidu solide et inerte qui pourra être mélangé à la terredes bourbiers au moment du régalage.
2.2.2. Instal^l^ations_défi^nitives
Seules subsisteront, à la fin des travaux, les deux têtes de
puits, qui pourront être enterrées.
Le puits de production sera doté d'une pompe immergée installée
dans la chambre de pompage. Cette pompe pourra être relevée pour l'entretien.L'installation fonctionnera en circuit fermé. Les eaux pompées
seront acheminées à travers 1 'échangeur primaire oû elles céderont une grande
part de leurs calories, puis réinjectées dans la nappe d'où elles sont ex¬
traites.
Le réseau géothermique partira de 1 'échangeur primaire et viendra
desservir les sous-stations situées aux abords des ensembles à chauffer.L'eau géothermique circulera également en circuit fermé (cf. planche n°4).
30 -
2.3. - EVALUATION VE L'IMPACT VU AU CHANTJER
Le milieu existant, décrit au chapitre 1 ci-avant, sera, du faitdu déroulement du chantier, exposé à un certain nombre de nuisances. L'objet
du présent chapitre est de décrire les risques contre lesquels il faut se
prémunir, soit pour limiter, soit pour supprimer les effets du chantier sur
l'environnement. On trouvera au chapitre 4, ci-après, la description des dis¬
positions retenues dans le cadre du projet de la Z. A. C. du Vert Galant à
Tremblay-lès-Gonesse.
2.3.1. 10]paÇt_sur_le_mil ieu_naturel
L'emprise de la plate-forme et du chemin d'accès sera déboisée.
Les risques présentés par une telle opération ont trait en majeure
partie, aux problèmes hydrauliques. Il faut, en effet, prendre en compte les
dispositions permettant de faire face à des circulations anormales de fluides,
notamment :
- les mélanges d'eaux entre les différentes nappes souterraines
traversées, résultant de la mise en communication de ces nappes par le forage.
Rappelons que le chantier se situe à l'intérieur du périmètre de protection
éloigné d'un forage d'alimentation en eau potable (cf. chapitre 1.2.3.1.)appartenant à la S. F. D. E.
- les épandages d'eaux de ruissellement, de boue, d'huile, de
gaz-oil, les déversements accidentels d'acides ou des eaux des essais, qui,
par infiltration ou écoulement de surface, seraient susceptibles de polluer
le sous-sol.
2.3.2 Il!)Baçt_sur_le_voisinage
¿me£gej2ce_soj20rje du^e ¿ux_t rivaux die forage
L'immeuble le plus proche du forage est l'immeuble 65 situé à
environ 180 m du forage.
On peut considérer que les niveaux sonores initiaux sont lesmêmes que ceux mesurés devant l'immeuble 68, hormis aux heures d'approvision¬
nement du centre commercial (vers 7 h du matin) où le niveau devant l'immeuble
est plus élevé.
30 -
2.3. - EVALUATION VE L'IMPACT VU AU CHANTJER
Le milieu existant, décrit au chapitre 1 ci-avant, sera, du faitdu déroulement du chantier, exposé à un certain nombre de nuisances. L'objet
du présent chapitre est de décrire les risques contre lesquels il faut se
prémunir, soit pour limiter, soit pour supprimer les effets du chantier sur
l'environnement. On trouvera au chapitre 4, ci-après, la description des dis¬
positions retenues dans le cadre du projet de la Z. A. C. du Vert Galant à
Tremblay-lès-Gonesse.
2.3.1. 10]paÇt_sur_le_mil ieu_naturel
L'emprise de la plate-forme et du chemin d'accès sera déboisée.
Les risques présentés par une telle opération ont trait en majeure
partie, aux problèmes hydrauliques. Il faut, en effet, prendre en compte les
dispositions permettant de faire face à des circulations anormales de fluides,
notamment :
- les mélanges d'eaux entre les différentes nappes souterraines
traversées, résultant de la mise en communication de ces nappes par le forage.
Rappelons que le chantier se situe à l'intérieur du périmètre de protection
éloigné d'un forage d'alimentation en eau potable (cf. chapitre 1.2.3.1.)appartenant à la S. F. D. E.
- les épandages d'eaux de ruissellement, de boue, d'huile, de
gaz-oil, les déversements accidentels d'acides ou des eaux des essais, qui,
par infiltration ou écoulement de surface, seraient susceptibles de polluer
le sous-sol.
2.3.2 Il!)Baçt_sur_le_voisinage
¿me£gej2ce_soj20rje du^e ¿ux_t rivaux die forage
L'immeuble le plus proche du forage est l'immeuble 65 situé à
environ 180 m du forage.
On peut considérer que les niveaux sonores initiaux sont lesmêmes que ceux mesurés devant l'immeuble 68, hormis aux heures d'approvision¬
nement du centre commercial (vers 7 h du matin) où le niveau devant l'immeuble
est plus élevé.
- 31
Par ailleurs, on tiendra compte d'un logement habité à l'intérieur
de la cour du CES. Les bâtiments du CES se trouvent à près de 200 m du
forage prévu.
La machine de forage devant effectuer ce chantier n'étant pas
encore choisie, nous considérons différents types de machines. A une
distance de 180 à 200 m pour une machine non capotee, les niveaux sonores
peuvent être compris entre 55 et 65 dbA.
Pour une machine capotee, ces niveaux sont inférieurs à 50 dbA
(compris entre 45 et 50 environ).
Les mesures montrent qu'au niveau des habitations, le forage sera
émergent dans tous les cas, au milieu de la nuit (vers 2 h du matin), de
15 à 25 dbA pour une machine non capotee, de 5 à 10 dbA pour une machine
capotee.
Au niveau du CES, pour une machine capotee, le bruit sera émergent
d'environ 10 à 15 dbA la nuit et au maximum de 5 dbA le jour, par rapport au
niveau sonore initial (de 17 h à 19 h). Si l'on admet que pendant les heures
de fonctionnement scolaire, les niveaux sonores initiaux sont supérieurs
d'environ 5 dbA, le bruit dû au forage ne sera plus émergent. Il faut ajouter
10 dbA environ à ces émergences si la machine n'est pas capotee.
V^ibr^atj^on^
Comme tout chantier, la plate-forme de forage sera source de
vibrations, essentiellement lors du forage du terrain de surface
(durant deux jours environ). Il n'existe pas de données sur les vi¬brations transmises par un engin de forage type pétrolier, ces vibra¬
tions étant, bien entendu, fonction des terrains de surface et du type
de machine employée. Cependant, ces vibrations restent très faibles.
nr£ula^tion
Une circulation de camions lourds et volumineux, ainsi que de
- 31
Par ailleurs, on tiendra compte d'un logement habité à l'intérieur
de la cour du CES. Les bâtiments du CES se trouvent à près de 200 m du
forage prévu.
La machine de forage devant effectuer ce chantier n'étant pas
encore choisie, nous considérons différents types de machines. A une
distance de 180 à 200 m pour une machine non capotee, les niveaux sonores
peuvent être compris entre 55 et 65 dbA.
Pour une machine capotee, ces niveaux sont inférieurs à 50 dbA
(compris entre 45 et 50 environ).
Les mesures montrent qu'au niveau des habitations, le forage sera
émergent dans tous les cas, au milieu de la nuit (vers 2 h du matin), de
15 à 25 dbA pour une machine non capotee, de 5 à 10 dbA pour une machine
capotee.
Au niveau du CES, pour une machine capotee, le bruit sera émergent
d'environ 10 à 15 dbA la nuit et au maximum de 5 dbA le jour, par rapport au
niveau sonore initial (de 17 h à 19 h). Si l'on admet que pendant les heures
de fonctionnement scolaire, les niveaux sonores initiaux sont supérieurs
d'environ 5 dbA, le bruit dû au forage ne sera plus émergent. Il faut ajouter
10 dbA environ à ces émergences si la machine n'est pas capotee.
V^ibr^atj^on^
Comme tout chantier, la plate-forme de forage sera source de
vibrations, essentiellement lors du forage du terrain de surface
(durant deux jours environ). Il n'existe pas de données sur les vi¬brations transmises par un engin de forage type pétrolier, ces vibra¬
tions étant, bien entendu, fonction des terrains de surface et du type
de machine employée. Cependant, ces vibrations restent très faibles.
nr£ula^tion
Une circulation de camions lourds et volumineux, ainsi que de
32 -
voitures, se fera vers le chantier.
Les véhicules sortant du chantier peuvent entraîner de la boue,
qui rendra les chaussées glissantes, par temps humide, ou poussiéreuses,par temps sec.
_QuaJ_it^ d£ ^_Lai_r -_Dé£age^mej2ts_ga£eux^
Le chantier donnera lieu à des émissions de gaz d'échappement
(batterie de moteurs, camions...). Il arrive, en outre, que les nappes aqui¬
fères, profondes, contiennent des gaz d'hydrocarbures et de l'hydrogène sul¬
furé qui se gégagent dans l'atmosphère en quantité très faible lors des
essais. L'hydrogène sulfuré est perceptible à des doses très faibles, à partir-fl
de 10 g/1 (odeur caractéristique d'oeuf pourri), mais n'est toxique qu'à
des concentrations élevées.
JEcUi r¿ge_du_ch_antj_er
Les impératifs techniques, tels que la bonne tenue du trou en
cours de foration, contraignent l'entreprise de forage à un travail continu
de 24 heures, et donc à prévoir un éclairage puissant de toute la plate¬
forme de forage.
2.3.3. I[DEaÇt_sur_T^es_infrastructures
^oi^rie^s et j_igj}e àe £heniin_de_fer
Les voitures et les camions qui sortent du chantier risquent de
répandre de la boue sur l'avenue Berger.
Le mât de forage se trouvera entre 70 et 80 mètres, de l'avenue
Berger.
En ce qui concerne la ligne S. N. C. F., le mât de la machine devra
se trouver à une distance égale à une fois sa longueur, plus dix mètres, du
grillage délimitant les abords de la voie ferrée.
32 -
voitures, se fera vers le chantier.
Les véhicules sortant du chantier peuvent entraîner de la boue,
qui rendra les chaussées glissantes, par temps humide, ou poussiéreuses,par temps sec.
_QuaJ_it^ d£ ^_Lai_r -_Dé£age^mej2ts_ga£eux^
Le chantier donnera lieu à des émissions de gaz d'échappement
(batterie de moteurs, camions...). Il arrive, en outre, que les nappes aqui¬
fères, profondes, contiennent des gaz d'hydrocarbures et de l'hydrogène sul¬
furé qui se gégagent dans l'atmosphère en quantité très faible lors des
essais. L'hydrogène sulfuré est perceptible à des doses très faibles, à partir-fl
de 10 g/1 (odeur caractéristique d'oeuf pourri), mais n'est toxique qu'à
des concentrations élevées.
JEcUi r¿ge_du_ch_antj_er
Les impératifs techniques, tels que la bonne tenue du trou en
cours de foration, contraignent l'entreprise de forage à un travail continu
de 24 heures, et donc à prévoir un éclairage puissant de toute la plate¬
forme de forage.
2.3.3. I[DEaÇt_sur_T^es_infrastructures
^oi^rie^s et j_igj}e àe £heniin_de_fer
Les voitures et les camions qui sortent du chantier risquent de
répandre de la boue sur l'avenue Berger.
Le mât de forage se trouvera entre 70 et 80 mètres, de l'avenue
Berger.
En ce qui concerne la ligne S. N. C. F., le mât de la machine devra
se trouver à une distance égale à une fois sa longueur, plus dix mètres, du
grillage délimitant les abords de la voie ferrée.
33
_Ré s£au_d ' ¿d du^ctJ_on_d '£au
Le réseau d'adduction d'eau le plus proche est celui de la chauf¬
ferie en diamètre 100. Il pourra alimenter le chantier (de 100 m3/jour à
100 m3/heure).
^é S£a u_d ' a_s s^i nj_s s^meji t
Le réseau des eaux pluviales ne peut servir à l'évacuation des
eaux des essais de production car il aboutit au canal de l'Ourcq.
Le tout-â-1 'égout décrit au chapitre 1.3.2., pourrait servir à
évacuer ces eaux, après autorisation de la station d'épuration d'Achères.
_Ré sepL u_é 1 ect ri que
La ligne électrique alimentant la chaufferie, pourrait être uti¬lisée pour l'alimentation du chantier. La ligne électrique desservant l'éclai'rage public passe le long du trottoir Sud de l'Avenue Berger.
_Ré seau_tê]ê pjio nj^q U£
Les deux lignes téléphoniques nécessaires au chantier pourront
être reliées à la ligne téléphoniquedesservant la chaufferie.
2.3.4. l!Ii9açt_sur_]_^occugati^on_des_sol s
La plate-forme de forage se situe sur une zone à urbanisation
future, prévue pour des installations sportives.
L'accès de la plate-forme recoupe la parcelle IS 167 classée en
espace boisé classé, oû sera tracé un mail piétonnier servant d'accès â une
future passerelle traversant la voie ferrée.
Les surfaces nécessaires à la plate-forme de forage et au chemin
d'accès seront déboisées.
33
_Ré s£au_d ' ¿d du^ctJ_on_d '£au
Le réseau d'adduction d'eau le plus proche est celui de la chauf¬
ferie en diamètre 100. Il pourra alimenter le chantier (de 100 m3/jour à
100 m3/heure).
^é S£a u_d ' a_s s^i nj_s s^meji t
Le réseau des eaux pluviales ne peut servir à l'évacuation des
eaux des essais de production car il aboutit au canal de l'Ourcq.
Le tout-â-1 'égout décrit au chapitre 1.3.2., pourrait servir à
évacuer ces eaux, après autorisation de la station d'épuration d'Achères.
_Ré sepL u_é 1 ect ri que
La ligne électrique alimentant la chaufferie, pourrait être uti¬lisée pour l'alimentation du chantier. La ligne électrique desservant l'éclai'rage public passe le long du trottoir Sud de l'Avenue Berger.
_Ré seau_tê]ê pjio nj^q U£
Les deux lignes téléphoniques nécessaires au chantier pourront
être reliées à la ligne téléphoniquedesservant la chaufferie.
2.3.4. l!Ii9açt_sur_]_^occugati^on_des_sol s
La plate-forme de forage se situe sur une zone à urbanisation
future, prévue pour des installations sportives.
L'accès de la plate-forme recoupe la parcelle IS 167 classée en
espace boisé classé, oû sera tracé un mail piétonnier servant d'accès â une
future passerelle traversant la voie ferrée.
Les surfaces nécessaires à la plate-forme de forage et au chemin
d'accès seront déboisées.
34 -
2.4. - EVALUATION VE' L'n]r/\CT VE L'INSTALLATION
2.4.1. IO?BËÇt_sur_l^e_sous-sol
L'exploitation de la ressource géothermique se fera par un doublet:
un forage de production et un forage d'injection. L'eau étant réinjectée dans
le même réservoir, après avoir cédé ses calories.
La durée de fonctionnement du forage est fixée à 30 ans, sur la
base de critères économiques.
n faut donc définir, au niveau du réservoir, la distance entre
le puits de production et le puits d'injection, pour assurer cette durée de
vie sans baisse de température.
Les études menées à l'heure actuelle, prévoient les coordonnées
suivantes (cf. fig. n° 1 bis) :
Coordonnées des puits en surface :
x = 617,54
y = 138,56
z = 62 m.
Coordonnées du forage de production au toit de l'aquifère :
X = 617,37
y = 137,88
z = - 1630 NGF.
Coordonnées du forage de production au toit de l'aquifère :
X = 617,71
y = 139,24
z = - 1630 NGF.
Les bases des deux forages seront éloignées de 1400 m.
Le débit annuel moyen d'exploitation prévu est de 175 m3/h et latempérature de réinjection de 35°C.
34 -
2.4. - EVALUATION VE' L'n]r/\CT VE L'INSTALLATION
2.4.1. IO?BËÇt_sur_l^e_sous-sol
L'exploitation de la ressource géothermique se fera par un doublet:
un forage de production et un forage d'injection. L'eau étant réinjectée dans
le même réservoir, après avoir cédé ses calories.
La durée de fonctionnement du forage est fixée à 30 ans, sur la
base de critères économiques.
n faut donc définir, au niveau du réservoir, la distance entre
le puits de production et le puits d'injection, pour assurer cette durée de
vie sans baisse de température.
Les études menées à l'heure actuelle, prévoient les coordonnées
suivantes (cf. fig. n° 1 bis) :
Coordonnées des puits en surface :
x = 617,54
y = 138,56
z = 62 m.
Coordonnées du forage de production au toit de l'aquifère :
X = 617,37
y = 137,88
z = - 1630 NGF.
Coordonnées du forage de production au toit de l'aquifère :
X = 617,71
y = 139,24
z = - 1630 NGF.
Les bases des deux forages seront éloignées de 1400 m.
Le débit annuel moyen d'exploitation prévu est de 175 m3/h et latempérature de réinjection de 35°C.
- 35
Le volume d'exploitation est défini dans le demande de recherche
qui accompagne la présente étude.
2.4.2. IjDOÊSÎ.âuu-lÊ-ËiÎÊ.I-IlEÊ^Î.IQ^i^lâi^Q^uliQy?
L'eau géothermale produite sera conduite vers la station géother¬
male qui sera annexée à la chaufferie n° 3 déjà existante et située â une
centaine de mètres des têtes de puits. Le réseau géothermal aura donc une très
faible amplitude.
Autour de la tête de puits, une zone de sécurité et de servicing
sera délimitée ainsi qu'un accès depuis l'avenue Berger.
L'impact positif sera l'utilisation d'une énergie douce entrainant
une diminution de la consommation de gaz et d'électricité.
Le projet est conçu sur la possibilité de chauffer 3338 logements,
dont 200 sont encore à bâtir, et des équipements administratifs et sociaux,
équivalents à 400 logements- sur l'hypothèse d'une production géothermale,
annuelle, moyenne de 175 m3/h à 71 - 2°C, en tête de puits. L'économie réa¬
lisée est fondée sur la substitution d'une consommation de gaz et d'électricité
de 4351 TEP par l'énergie géothermale.
- 35
Le volume d'exploitation est défini dans le demande de recherche
qui accompagne la présente étude.
2.4.2. IjDOÊSÎ.âuu-lÊ-ËiÎÊ.I-IlEÊ^Î.IQ^i^lâi^Q^uliQy?
L'eau géothermale produite sera conduite vers la station géother¬
male qui sera annexée à la chaufferie n° 3 déjà existante et située â une
centaine de mètres des têtes de puits. Le réseau géothermal aura donc une très
faible amplitude.
Autour de la tête de puits, une zone de sécurité et de servicing
sera délimitée ainsi qu'un accès depuis l'avenue Berger.
L'impact positif sera l'utilisation d'une énergie douce entrainant
une diminution de la consommation de gaz et d'électricité.
Le projet est conçu sur la possibilité de chauffer 3338 logements,
dont 200 sont encore à bâtir, et des équipements administratifs et sociaux,
équivalents à 400 logements- sur l'hypothèse d'une production géothermale,
annuelle, moyenne de 175 m3/h à 71 - 2°C, en tête de puits. L'économie réa¬
lisée est fondée sur la substitution d'une consommation de gaz et d'électricité
de 4351 TEP par l'énergie géothermale.
- 36
3- - RAISOflS POUR LESQÜElüíS LE PROJET /^, ETE PETEMI
3.7. - RAISONS GEOLOGIQUES ET HVVROGEO LOGIQUES
Au vu des opérations géothermiques voisines -Aulnay-sous-Bois,
Clichy-sous-Bois, Sevran- il apparait que les calcaires du Dogger forment un
réservoir intéressant pour l'exploitation de la géothermie dans la région de
Tremblay-lès-Gonesse. Au droit du projet, on peut prévoir une température
de 71° - 2°C, au toit de l'aquifère, compte-tenu d'un gradient géothermique
de 3°6 pour 100 m, et un débit artésien de l'ordre de 80 à 90 m3/h.
Les conditions d'exploitation prévoient un débit de 175 m3/h avec
pompe immergée et une température en tête de puits de 69°C.
3.2. - RAISONS TECHNIQUES ET SOCIO- ECONOMIQUES
Le terrain sur lequel est implanté le projet, se trouve en dehors
de la Z. A. C. du Vert Galant, mais il reste à faible distance de celle-ci
(80 mètres des habitations les plus proches).
3.3. - CtiOIX VU TYPE V EXPLOITATION
Le type d'exploitation par doublet permettra d'éviter tout rejet,
en surface, d'eau à forte salinité (25 g/1 de Na Cl) et contribuera à maintenir
la pression dans le réservoir. La technique utilisée de doublet dévié, réaliséà partir de lanême plate-forme, réduira en outre, l'emprise des terrains néces¬
saires à la réalisation de l'opération.
- 36
3- - RAISOflS POUR LESQÜElüíS LE PROJET /^, ETE PETEMI
3.7. - RAISONS GEOLOGIQUES ET HVVROGEO LOGIQUES
Au vu des opérations géothermiques voisines -Aulnay-sous-Bois,
Clichy-sous-Bois, Sevran- il apparait que les calcaires du Dogger forment un
réservoir intéressant pour l'exploitation de la géothermie dans la région de
Tremblay-lès-Gonesse. Au droit du projet, on peut prévoir une température
de 71° - 2°C, au toit de l'aquifère, compte-tenu d'un gradient géothermique
de 3°6 pour 100 m, et un débit artésien de l'ordre de 80 à 90 m3/h.
Les conditions d'exploitation prévoient un débit de 175 m3/h avec
pompe immergée et une température en tête de puits de 69°C.
3.2. - RAISONS TECHNIQUES ET SOCIO- ECONOMIQUES
Le terrain sur lequel est implanté le projet, se trouve en dehors
de la Z. A. C. du Vert Galant, mais il reste à faible distance de celle-ci
(80 mètres des habitations les plus proches).
3.3. - CtiOIX VU TYPE V EXPLOITATION
Le type d'exploitation par doublet permettra d'éviter tout rejet,
en surface, d'eau à forte salinité (25 g/1 de Na Cl) et contribuera à maintenir
la pression dans le réservoir. La technique utilisée de doublet dévié, réaliséà partir de lanême plate-forme, réduira en outre, l'emprise des terrains néces¬
saires à la réalisation de l'opération.
37 -
4 - tf SURES EWÎSAGoS POUR- PPEVD-IIR.
SUPPRIMER ET PSUIRE lis LTACTS NEGATIFS
4.1. - MESURES CONTRE LES EFFETS SUR LE MILIEU NATUREL
Compte-tenu des éléments d'impact exposés dans les chapitres pré¬
cédents, les mesures prises sont les suivantes :
- avant la construction de la plate-forme, une campagne d'essais
géotechniques et de reconnaissance de terrain définira les mesures à prendre
pour assurer la stabilité de la plate-forme et éviter tout tassement,
- étanchements des bourbiers avec des bâches résistantes aux hy¬
drocarbures,
- drainage de la dalle bétonnée principale et des dalles secondaires,
les eaux de ruissellement, huiles, etc.. s'écoulant par des caniveaux étanches
vers les déshuileurs et les bourbiers,
- caniveaux étanches entre les bacs à boues et les déshuileurs,
- déversement de tout liquide dans les bourbiers,
- ordures ménagères et déchets (bidons...) stockés en cuvetteétanche ou en benne à ordures. Les déchets accumulés et les trop-pleins des
bourbiers seront évacués vers une décharge autorisée à recevoir de telsproduits,
- les citernes à fuel, essence (à simple paroi) seront placés
dans un bac étanche dont la capacité est supérieure au volume des citernes,
- les eaux souterraines des différentes nappes traversées par lesforages seront isolées grâce à la pose de tubages et à la réalisation de ci¬mentations interannulaires qui seront contrôlées par diagraphies (CBL.Vd).
Le programme de forage tient compte, en particulier, du fait que
37 -
4 - tf SURES EWÎSAGoS POUR- PPEVD-IIR.
SUPPRIMER ET PSUIRE lis LTACTS NEGATIFS
4.1. - MESURES CONTRE LES EFFETS SUR LE MILIEU NATUREL
Compte-tenu des éléments d'impact exposés dans les chapitres pré¬
cédents, les mesures prises sont les suivantes :
- avant la construction de la plate-forme, une campagne d'essais
géotechniques et de reconnaissance de terrain définira les mesures à prendre
pour assurer la stabilité de la plate-forme et éviter tout tassement,
- étanchements des bourbiers avec des bâches résistantes aux hy¬
drocarbures,
- drainage de la dalle bétonnée principale et des dalles secondaires,
les eaux de ruissellement, huiles, etc.. s'écoulant par des caniveaux étanches
vers les déshuileurs et les bourbiers,
- caniveaux étanches entre les bacs à boues et les déshuileurs,
- déversement de tout liquide dans les bourbiers,
- ordures ménagères et déchets (bidons...) stockés en cuvetteétanche ou en benne à ordures. Les déchets accumulés et les trop-pleins des
bourbiers seront évacués vers une décharge autorisée à recevoir de telsproduits,
- les citernes à fuel, essence (à simple paroi) seront placés
dans un bac étanche dont la capacité est supérieure au volume des citernes,
- les eaux souterraines des différentes nappes traversées par lesforages seront isolées grâce à la pose de tubages et à la réalisation de ci¬mentations interannulaires qui seront contrôlées par diagraphies (CBL.Vd).
Le programme de forage tient compte, en particulier, du fait que
38
le projet soit implanté à l'intérieur du périmètre de protection d'un captage
de l'Yprésien appartenant à la S.F.D.E. Un tubage sera posé et cimenté pour
empêcher le contact entre les aquifères et pour protéger la nappe de l'Yprésien.Il sera également contrôlé par diagraphie. Il faudra l'avis du géologue officiel
ayant établi le périmètre de protection du forage SFDE concernant l'implan¬
tation du forage géothermique et sa coupe technique dans le Tertiaire.
L'autorisation de déboisement de la parcelle AS 171 oû sera construite
la plate-forme de forage a été obtenue par la S C I C, propriétaire actuel, lors
de l'aménagement de la ZAC du Vert-Galant. A la fin des travaux, la majeure partie
de la plate-forme sera reboisée. L'impact dû au déboisement de la parcelle com¬
munale AS 167, sur le passage de la voie d'accès à la plate-forme, sera très
limité.
4.2. - MESURES COhiTRE LES EFFETS SUR LE VOISINAGE
4.2.1. Bruits_-_yibrations
Au vu de ce qui a été écrit ci-dessus, il est nécessaire d'utiliser une
machine à moteurs capotes, afin d'avoir une émergence faible.
L'orientation optimale de la plate-forme est l'orientation Nord-Sud
(tête de forage au Nord, moteurs au Sud), les bruits maxima étant alors vers
l'Est et l'Ouest, où il n'y a pas d'habitations.
La terre des bourbiers pourra être utilisée pour faire des buttes
écrans entre le forage et les habitations, et situées le plus près possible
des moteurs.
Les opérations les plus bruyantes (diagraphies, cimentation) ne serontpas programmées de nuit, pour autant que les impératifs techniques le permettent.
On prendra soin de conserver le maximum d'arbres autour du forage (au
Nord du forage en particulier), ceux-ci formant un écran naturel utile, particuliè¬
rement pendant la saison d'été (feuillage).
Ces mesures devraient permettre de rendre acceptables les niveaux
sonores induits par le forage. Il serait souhaitable d'informer au préalable
les riverains, de ce forage, de sa durée, en soulignant que le maître d'ouvrage
s'efforce de réduite au mieux les inconvénients, sonores en particulier, liésà ce chantier.
38
le projet soit implanté à l'intérieur du périmètre de protection d'un captage
de l'Yprésien appartenant à la S.F.D.E. Un tubage sera posé et cimenté pour
empêcher le contact entre les aquifères et pour protéger la nappe de l'Yprésien.Il sera également contrôlé par diagraphie. Il faudra l'avis du géologue officiel
ayant établi le périmètre de protection du forage SFDE concernant l'implan¬
tation du forage géothermique et sa coupe technique dans le Tertiaire.
L'autorisation de déboisement de la parcelle AS 171 oû sera construite
la plate-forme de forage a été obtenue par la S C I C, propriétaire actuel, lors
de l'aménagement de la ZAC du Vert-Galant. A la fin des travaux, la majeure partie
de la plate-forme sera reboisée. L'impact dû au déboisement de la parcelle com¬
munale AS 167, sur le passage de la voie d'accès à la plate-forme, sera très
limité.
4.2. - MESURES COhiTRE LES EFFETS SUR LE VOISINAGE
4.2.1. Bruits_-_yibrations
Au vu de ce qui a été écrit ci-dessus, il est nécessaire d'utiliser une
machine à moteurs capotes, afin d'avoir une émergence faible.
L'orientation optimale de la plate-forme est l'orientation Nord-Sud
(tête de forage au Nord, moteurs au Sud), les bruits maxima étant alors vers
l'Est et l'Ouest, où il n'y a pas d'habitations.
La terre des bourbiers pourra être utilisée pour faire des buttes
écrans entre le forage et les habitations, et situées le plus près possible
des moteurs.
Les opérations les plus bruyantes (diagraphies, cimentation) ne serontpas programmées de nuit, pour autant que les impératifs techniques le permettent.
On prendra soin de conserver le maximum d'arbres autour du forage (au
Nord du forage en particulier), ceux-ci formant un écran naturel utile, particuliè¬
rement pendant la saison d'été (feuillage).
Ces mesures devraient permettre de rendre acceptables les niveaux
sonores induits par le forage. Il serait souhaitable d'informer au préalable
les riverains, de ce forage, de sa durée, en soulignant que le maître d'ouvrage
s'efforce de réduite au mieux les inconvénients, sonores en particulier, liésà ce chantier.
39
4.2.2. Çircul^ation_routiëre
Le projet sera fléché pour éviter les manoeuvres inutiles dues
à des erreurs de parcours. L'accès du chantier se fera par celui de la chauf¬
ferie, qui débouche sur la voie Sud de l'avenue Berger. Les véhicules desser¬
vant le chantier devront emprunter le rond-point en face de la gare du Vert
Galant. Les voies d'accès proposées sont fléchées en annexe n° 1. Des panneaux
signaleront la sortie du chantier sur l'avenue Berger. Toutes les dispositions
devront être prises pour tenir propres les chaussées desservant le chantier.Celui-ci sera clôturé et son accès sera interdit au public.
4.2.3. Dégagement gazeux - Odeurs
Au cours du forage, les émissions de gaz sont pratiquement inexis¬tantes , toutefois , le puits est équipé d'une tête comportant une vanne BOP
permettant de fermer totalement le puits lors d'une éventuelle éruption ga¬
zeuse. D'autre part, les phares et les moteurs devront être munis de dispo¬
sitifs anti-déflagrants conformes aux normes de sécurité en vigueur.
Pendant les essais, les mesures de débits s'effectuent sur plu¬
sieurs heures (10 à 15 h). Les gaz dissous dans l'eau géothermale à la
pression du gisement, se dégagent en partie à la pression atmosphérique.
Ce sont par ordre d'importance décroissante : l'azote, le méthane, legaz carbonique et l'hydrogène sulfuré (H^jS) qui a l'odeur caractéristique
d'oeufs pourris. L'hydrogène sulfuré n'est pas toxique à faible dose, etil est très vite dissipé par les courants d'air, si bien qu'il n'est essen¬
tiellement ressenti qu'à proximité des bacs et des bourbiers de la plate-forme,
4.2.4. içlairage_du_çhantier
Des projecteurs puissants éclaireront l'ensemble de la plate¬
forme. Les endroits d'activité permanente et les points d'évolution du chantierseront équipés d'un éclairage adéquat, supplémentaire.
39
4.2.2. Çircul^ation_routiëre
Le projet sera fléché pour éviter les manoeuvres inutiles dues
à des erreurs de parcours. L'accès du chantier se fera par celui de la chauf¬
ferie, qui débouche sur la voie Sud de l'avenue Berger. Les véhicules desser¬
vant le chantier devront emprunter le rond-point en face de la gare du Vert
Galant. Les voies d'accès proposées sont fléchées en annexe n° 1. Des panneaux
signaleront la sortie du chantier sur l'avenue Berger. Toutes les dispositions
devront être prises pour tenir propres les chaussées desservant le chantier.Celui-ci sera clôturé et son accès sera interdit au public.
4.2.3. Dégagement gazeux - Odeurs
Au cours du forage, les émissions de gaz sont pratiquement inexis¬tantes , toutefois , le puits est équipé d'une tête comportant une vanne BOP
permettant de fermer totalement le puits lors d'une éventuelle éruption ga¬
zeuse. D'autre part, les phares et les moteurs devront être munis de dispo¬
sitifs anti-déflagrants conformes aux normes de sécurité en vigueur.
Pendant les essais, les mesures de débits s'effectuent sur plu¬
sieurs heures (10 à 15 h). Les gaz dissous dans l'eau géothermale à la
pression du gisement, se dégagent en partie à la pression atmosphérique.
Ce sont par ordre d'importance décroissante : l'azote, le méthane, legaz carbonique et l'hydrogène sulfuré (H^jS) qui a l'odeur caractéristique
d'oeufs pourris. L'hydrogène sulfuré n'est pas toxique à faible dose, etil est très vite dissipé par les courants d'air, si bien qu'il n'est essen¬
tiellement ressenti qu'à proximité des bacs et des bourbiers de la plate-forme,
4.2.4. içlairage_du_çhantier
Des projecteurs puissants éclaireront l'ensemble de la plate¬
forme. Les endroits d'activité permanente et les points d'évolution du chantierseront équipés d'un éclairage adéquat, supplémentaire.
40
4.3. - MESURES CONTRE LES EFFETS SUR LES INFRASTRUCTURES
L'approvisionnement en eau et électricité de la plate-forme pour¬
rait se faire à partir de la chaufferie voisine qui se situe à 30 m du projet.
Cette chaufferie possède également une ligne téléphonique à laquelle
pourront être éventuellement raccordées les deux lignes nécessaires au chantier.
Les eaux des essais de production des forages pourront être rejetées
dans le réseau d'assainissement des eaux usées, situé à 350 m à l'Ouest de la
plate-forme, le long de l'avenue Berger, après décantation, dégazage et refroi¬
dissement dans un bourbier propre pour qu'elles aient les caractéristiques re¬
quises par la circulaire du 6.6.1953 relative auxrejets dans les réseaux d'as¬
sainissement.
Le raccordement du chantier au réseau d'eaux usées pourra se faire
à l'aide de pompes et d'une conduite, à travers le bois.
Ce mode d'évacuation devra faire l'objet d'une demande d'autorisation
auprès des services techniques de la ville de Tremblay-les-Gonesse et la station
d'épuration d'Achères.
Tout autre produit liquide r'boue, huile, acide, etc.. sera citerneet déversé dans une décharge contrôlée, autorisée à recevoir de tels déchets,
ou bien éventuellement traité (cas de la boue).
La sortie du chantier sur l'avenue Berger devra rester propre.
L'accès actuel de la chaufferie n° 3 qui sera utilisé pour le
chantier devra faire l'objet d'un contrôle en vue du passage d'engins lourds
(19 T/essieu) notamment au passage sur les canalisations.
Le mât de la machine de forage devra se trouver à une distance égale
à une fois sa longueur, plus dix mètres, du grillage délimitant les abords de
la voie ferrée.
40
4.3. - MESURES CONTRE LES EFFETS SUR LES INFRASTRUCTURES
L'approvisionnement en eau et électricité de la plate-forme pour¬
rait se faire à partir de la chaufferie voisine qui se situe à 30 m du projet.
Cette chaufferie possède également une ligne téléphonique à laquelle
pourront être éventuellement raccordées les deux lignes nécessaires au chantier.
Les eaux des essais de production des forages pourront être rejetées
dans le réseau d'assainissement des eaux usées, situé à 350 m à l'Ouest de la
plate-forme, le long de l'avenue Berger, après décantation, dégazage et refroi¬
dissement dans un bourbier propre pour qu'elles aient les caractéristiques re¬
quises par la circulaire du 6.6.1953 relative auxrejets dans les réseaux d'as¬
sainissement.
Le raccordement du chantier au réseau d'eaux usées pourra se faire
à l'aide de pompes et d'une conduite, à travers le bois.
Ce mode d'évacuation devra faire l'objet d'une demande d'autorisation
auprès des services techniques de la ville de Tremblay-les-Gonesse et la station
d'épuration d'Achères.
Tout autre produit liquide r'boue, huile, acide, etc.. sera citerneet déversé dans une décharge contrôlée, autorisée à recevoir de tels déchets,
ou bien éventuellement traité (cas de la boue).
La sortie du chantier sur l'avenue Berger devra rester propre.
L'accès actuel de la chaufferie n° 3 qui sera utilisé pour le
chantier devra faire l'objet d'un contrôle en vue du passage d'engins lourds
(19 T/essieu) notamment au passage sur les canalisations.
Le mât de la machine de forage devra se trouver à une distance égale
à une fois sa longueur, plus dix mètres, du grillage délimitant les abords de
la voie ferrée.
41
4.4. - MESURES VI^ERSES
L'organisation de la plate-forme tiendra compte de toutes les
normes de sécurité en vigueur sur ce type de chantier de forage. Il sera
recommandé de bien observer les consignes d'hygiène et de sécurité sur le
chantier et de prendre toutes les précautions lors des acidifications.
4.5. - MESURES CONTRE LES PERTURBATIONS SOCIO-ECONOMIQUES
Elles se borneront à une bonne information, auprès de la popu¬
lation avoisinante. Cette information devra faire état des avantages attendus
pour les collectivités du programme entrepris et préciser la durée et la nature
des travaux. Un panneau d'information du public sera érigé en bordure de l'ave¬nue Berger.
41
4.4. - MESURES VI^ERSES
L'organisation de la plate-forme tiendra compte de toutes les
normes de sécurité en vigueur sur ce type de chantier de forage. Il sera
recommandé de bien observer les consignes d'hygiène et de sécurité sur le
chantier et de prendre toutes les précautions lors des acidifications.
4.5. - MESURES CONTRE LES PERTURBATIONS SOCIO-ECONOMIQUES
Elles se borneront à une bonne information, auprès de la popu¬
lation avoisinante. Cette information devra faire état des avantages attendus
pour les collectivités du programme entrepris et préciser la durée et la nature
des travaux. Un panneau d'information du public sera érigé en bordure de l'ave¬nue Berger.
42-
5 - RFfiîSE BT ETAT DES LIBJX
La remise en état des lieux sera réalisée dès que les installations
de forages (derrick, moteurs, pompes, baraquements, etc..) seront déménagés
On peut distinguer deux phases dans la remise en état des lieux :
- une phase immédiate,
- une phase à long terme.
S.l. - PHASE IMMEDIATE
- Les têtes de puits seront fermées et protégées,
- La boue sera évacuée vers une décharge contrôlée, ou traitée sur place par
un procédé de floculation permettant l'obtention d'un résidu solide et
inerte qui sera mélangé à la terre des bourbiers au moment de leur rembl ai¬
ment,
- Tous les déchets accumulés seront emmenés vers une décharge contrôlée,- Les différentes conduites (amenée d'eau, refoulement des eaux des essais),
seront démontées,
- La ligne téléphonique sera démontée,
- Les bourbiers seront remblayés.
5.2. - PHASE A LONG TERME
Un accès au puits devra être aménagé ainsi qu'une zone de sécurité
et de Servicing can^ossable (13 T/essieu) de 20 mètres autour du puits. Le restede l'emprise de la plate-forme sera reboisé.
42-
5 - RFfiîSE BT ETAT DES LIBJX
La remise en état des lieux sera réalisée dès que les installations
de forages (derrick, moteurs, pompes, baraquements, etc..) seront déménagés
On peut distinguer deux phases dans la remise en état des lieux :
- une phase immédiate,
- une phase à long terme.
S.l. - PHASE IMMEDIATE
- Les têtes de puits seront fermées et protégées,
- La boue sera évacuée vers une décharge contrôlée, ou traitée sur place par
un procédé de floculation permettant l'obtention d'un résidu solide et
inerte qui sera mélangé à la terre des bourbiers au moment de leur rembl ai¬
ment,
- Tous les déchets accumulés seront emmenés vers une décharge contrôlée,- Les différentes conduites (amenée d'eau, refoulement des eaux des essais),
seront démontées,
- La ligne téléphonique sera démontée,
- Les bourbiers seront remblayés.
5.2. - PHASE A LONG TERME
Un accès au puits devra être aménagé ainsi qu'une zone de sécurité
et de Servicing can^ossable (13 T/essieu) de 20 mètres autour du puits. Le restede l'emprise de la plate-forme sera reboisé.
- 43 -
Les puits seront reliés aux échangeurs par des conduites traitées
anti-corrosion.
Les changements de direction ou de diamètre seront évités pour
ne pas perturber l'écoulement régulier du fluide géothermal. Ces conduites
seront enterrées et elles resteront accessibles (caniveaux recouverts de
plaques de béton). Il sera, en outre, nécessaire de contrôler le débit entre
la sortie du puits de production et le puits d'injection, pour déceler d'é¬
ventuelles fuites.
- 43 -
Les puits seront reliés aux échangeurs par des conduites traitées
anti-corrosion.
Les changements de direction ou de diamètre seront évités pour
ne pas perturber l'écoulement régulier du fluide géothermal. Ces conduites
seront enterrées et elles resteront accessibles (caniveaux recouverts de
plaques de béton). Il sera, en outre, nécessaire de contrôler le débit entre
la sortie du puits de production et le puits d'injection, pour déceler d'é¬
ventuelles fuites.
44 -
LISTE DES PRINCIPALES ADRESSES UTILES
s. E. A. P. F. A.,
8, 22 rue du Chemin Vert - 93000 BOBIGNY - Tél. : 830.35.33
SERVICES TECHNIQUES DE LA VILLE DE TREMBLAY-LES-GONESSE
Hôtel de Ville de Tremblay-lès-Gonesse -Tél. : 861.96.71
S. F. D. E. :
Avenue Berger - TREMBLAY-LES-GONESSE - Tél. : 860.60.60
Monsieur Francis GAUTIER, Géologue Officiel, Maître-Assistant au Muséum
National d'Histoire Naturelle
Tél. : 331.36.02
E. D. F. : - Moyenne tension : 2 rue des Pontons
94140 ALFORTVILLE -Tél. : 375.70.06
- Basse tension : Rue des Bleuets
93390 CLICHY-SOUS-BOIS - Tél. ; 388.96.33
G. D. F. : 5 et 7 rue Biaise Pascal
93150 LE BLANC MESNIL - Tél. : 867.42.40
P. T. T. : Agence des Télécommunications de Neuilly-sur-Marne,4 boulevard de la République
93330 NEUILLY-SUR-MARNE -Tél. : 300.96.14
C. G. I. (Société Responsable des chaufferies de la Résidence)
Tél. : 987.55.55
44 -
LISTE DES PRINCIPALES ADRESSES UTILES
s. E. A. P. F. A.,
8, 22 rue du Chemin Vert - 93000 BOBIGNY - Tél. : 830.35.33
SERVICES TECHNIQUES DE LA VILLE DE TREMBLAY-LES-GONESSE
Hôtel de Ville de Tremblay-lès-Gonesse -Tél. : 861.96.71
S. F. D. E. :
Avenue Berger - TREMBLAY-LES-GONESSE - Tél. : 860.60.60
Monsieur Francis GAUTIER, Géologue Officiel, Maître-Assistant au Muséum
National d'Histoire Naturelle
Tél. : 331.36.02
E. D. F. : - Moyenne tension : 2 rue des Pontons
94140 ALFORTVILLE -Tél. : 375.70.06
- Basse tension : Rue des Bleuets
93390 CLICHY-SOUS-BOIS - Tél. ; 388.96.33
G. D. F. : 5 et 7 rue Biaise Pascal
93150 LE BLANC MESNIL - Tél. : 867.42.40
P. T. T. : Agence des Télécommunications de Neuilly-sur-Marne,4 boulevard de la République
93330 NEUILLY-SUR-MARNE -Tél. : 300.96.14
C. G. I. (Société Responsable des chaufferies de la Résidence)
Tél. : 987.55.55
45-
6 - TA'lE'yi RESIDE
r
Secteurs d'Impact 1
II1
I
Etat initial ' Impact des travaux de !
¡forage sur 1 'environne<nent !-I 1
I 1
t 1
Evaluation de l'inpact 1
. .1
: négatif! Evaluation !
y : positif! !
Mesures pour prévenir, iréduire et supprimer !
les impacts négatifs I
Sol1 I 1
ITerrain boisé avec réseau ¡Risque de déversements ac- !
Ide tranchées drainantes i icidentels d'acide, d'huile, ¡
11 'abandon !de boue, 1
¡ iDëbol sèment. 1
1
¡Moyepne
I
Bourbiers étanches
Reboisement partiel
¡Alternance des niveaux¡calcaire et marneux par-ifois sableux, niveaux de¡gypse
¡Stabilité de 1a plate-Iforme
-1-
i¡Moyenne Etude géotechnique
¡Eaux souterraine$-Nap pe de l'Eocène sup. ;
¡ ¡-Nappe de l'Eocène moyen ¡
¡ ¡-Nappe de l'Eocène inf. ¡
¡ ¡-Aquifères profonds de ¡
¡ ¡ l'Albien, Néocomien, Lu- ¡
¡ ¡ sitanien et Dogger (ObjetJ¡ ¡ de la recherche géother- ¡
¡ ¡ mlque). ;
Risque d'infiltration de ¡
boue et de produits divers¡Risque de communication ¡
entre les aquifères ¡
Projet géothermiaue implanjté dans le périr»etre de ¡
protection rapprochée d'un¡forage SFDE d'a1irnentation¡en eau potable ¡
¡Moyenne
¡Forte
¡Forte
Pourbiers étanches ¡
Pose de tubages et cimenjtations avec contrôle ¡
par diagraohies ;
Demande d'accord auprès |
du géologue officiel :
lEnvIronnefflent ¡Zone boisée en bordure de ! Chantier de travaux lI lia ZAC du Vert Galant 1 1
1 ¡(ensemble aéré de tours ! 1
I ¡d'habitations) ¡ ¡
! ¡ ¡ 1
-¡ 1 ¡ !-
IForteI
Information du voisinage!(panneau d'information \
i l'entrée du chantier) ¡
Chantier clôturé, accès i
interdit !
Voierie¡Ligne S.N.C.F.
III
Voie d'accès du chantierdonnant sur 1 'avenueBerger
Ligne SNCF Paris-Mitrypassant le long de lalimite Sud du site
Risque de chaussée glis¬sante par dépôts de boueMât de forage i proximitéde l'avenue Berger et dela vole ferrée
1 I- Nettoyage de la chaussée;¡Faible j- Hat inplante à vrc fots a 1er - ¡
. I gjeur '«10m delà limite SNCF ;
I I- Contrôle de la voie d'aciI cis actuel de la chauffe,I I rie en vue du passage ¡
I I d'engins lourds. i
*^ ¡CanalisationsbJ Iflc ID I
^ la ¡
" I
m ¡
¡Ligne télépho-
! ¡
Adduction d'eau le long ¡-Branchement pour travaux ¡
de l'avenue Berger desser! ¡
vant la chaufferie en ! ¡
0 100 t IRéseau d'assainissement ¡-Rejet des eaux d'essai ¡
des eaux usées a 350 m ! ¡
longeant l'avenue Berger I 1
'Réseau d'assainissement ! Ides eaux pluviales sous ! ¡
1 'avenue Berger ! lCortduite de gaz moyenne ! 1
pression cn 0 200, en t ¡
bordure Sud de l'avenue ¡ 1
Berger ¡ 1
A voir avec la SFDE
et U CGI
' A voir avec les services!techniques de la Ville !
de Tremblay-les-Gonesse !
et la station d'épurationd'Achères. !
Caractéristiques de l'ai !
de rejet requises par !
la circulaire du 6.6.53 ¡r
i
niqueUne ligne passe sous lavole d'accès de la chauf¬ferie voisine du projet
-Branchement de lignespour le chantier
-A voir avec les P. T. T.
¡Ligne élec-I tri queI
I
¡Bruits
¡
I.1
I
kl I
Eclairage public sur 1etrottoir sud de l'avenueBerger
-Ligne électrique alimen¬tant la chaufferie
A voir avec E.t). F.
Sources principalesCirculation routière ctferroviaire
Zone bruyante « Valeurscomprises entre 60 et70 dBA
25 dBA entre IH et 5H
tvcc pics i 50 dBA maxi.
Entre 180 «t 200 mètres :Le bruit du chantier seraémergent au Milieu de lanuit de :
15 i 25 dBA pour une ma¬chine non capotee
S Â 10 dBA pour une ma¬chine capotee
Au niveau du CES dans lajournée «-émergence de S dBA pourune machine capotee
-emergence de 10 dBA pourune machine non capotee
t
Z ¡VibrationsI
_ I
tf) ¡Circulation
-Circulation routière ctferroviaire
- 1
L'avenue Berger est unaxt comunal Important
'Vibration de la machine,surtout lors du foraoedes terrains de surface
-Sortie du chantier sur1 'avenue Berger
Faibl t1
¡DégagementsQ I gazeux
-Gaz d'échappement desmoteurs des voitures etcamions
1
1
I
¡Eclairage duchantier
T-fîaz d'échappement des Imoteurs 1
-Dégagement de gaz d' hydro- ¡
carbures et d'H2S pendant ¡
les essais ¡
I¡
,-._........-. ... r.
Moteurs de la machine |
au Sud 't
' Machine capotee, écran!anti -bruit ¡
' Coftserver le maximum ,"
d'arbres formant un ¡
écran naturel ¡
I
i
! Sortie de chantier bien ;
j signalée j
IFalble ¡ ¡! ¡ ¡
iFalble ¡- Vanne type BOP !1 ¡- Dispositifs anti- !
. I ¡ déflagrants sur les mo- 1
t ! teurs et les éclairages !
I ¡* Organisation du chantier!I 1 suivant les normes en !t I vigueur
-¡
-Eclairage de l'avenueBerger
I!
-L-
-EcUlrags de la p1at«-fomt
¡FatM*
Effats aoclo-coiwalques
Tarrain bolsi Inexploité!-«n vola d'aménagemant !
Exploitation d'un gîtagéothemiqutt intéressant
I
Installation -Fonctlonncnant
Chauffage au gaz d'unepartie des logements etbltlnents concernes parle projet
¡- Projecteurs pour l'en- ;
I semble du chentler et ;
; éclairages adéquats sur ;
les endroits d'activité ;: penaanente j
"I i1-Panncau d'Informations !
I- Inforaation du voisinage!t par la nature des tra- !
i vauK et sur les avanta- !
1 ges de la solution géo- !I thenique !
Le volune d'exploitationest défini dans le dossieide demande de rechercheaccooipagnant catte étude
Plate-forme de chantierTêtes de puits * Instal¬lations annexes (panpe)
' Echangeur
Voliaie I protéger
1
I
> A réaaiénager I' A protéger et I aménager!
pour Intégrer 1 1 'espace!vert, zone de sécurité !
tt 4» service de 20 Iauteur du puits « accès I
I cette zone I laatéria- I
User I' Mrent aa«nagés dans la I
..r I
45-
6 - TA'lE'yi RESIDE
r
Secteurs d'Impact 1
II1
I
Etat initial ' Impact des travaux de !
¡forage sur 1 'environne<nent !-I 1
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Evaluation de l'inpact 1
. .1
: négatif! Evaluation !
y : positif! !
Mesures pour prévenir, iréduire et supprimer !
les impacts négatifs I
Sol1 I 1
ITerrain boisé avec réseau ¡Risque de déversements ac- !
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11 'abandon !de boue, 1
¡ iDëbol sèment. 1
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¡Moyepne
I
Bourbiers étanches
Reboisement partiel
¡Alternance des niveaux¡calcaire et marneux par-ifois sableux, niveaux de¡gypse
¡Stabilité de 1a plate-Iforme
-1-
i¡Moyenne Etude géotechnique
¡Eaux souterraine$-Nap pe de l'Eocène sup. ;
¡ ¡-Nappe de l'Eocène moyen ¡
¡ ¡-Nappe de l'Eocène inf. ¡
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¡ ¡ l'Albien, Néocomien, Lu- ¡
¡ ¡ sitanien et Dogger (ObjetJ¡ ¡ de la recherche géother- ¡
¡ ¡ mlque). ;
Risque d'infiltration de ¡
boue et de produits divers¡Risque de communication ¡
entre les aquifères ¡
Projet géothermiaue implanjté dans le périr»etre de ¡
protection rapprochée d'un¡forage SFDE d'a1irnentation¡en eau potable ¡
¡Moyenne
¡Forte
¡Forte
Pourbiers étanches ¡
Pose de tubages et cimenjtations avec contrôle ¡
par diagraohies ;
Demande d'accord auprès |
du géologue officiel :
lEnvIronnefflent ¡Zone boisée en bordure de ! Chantier de travaux lI lia ZAC du Vert Galant 1 1
1 ¡(ensemble aéré de tours ! 1
I ¡d'habitations) ¡ ¡
! ¡ ¡ 1
-¡ 1 ¡ !-
IForteI
Information du voisinage!(panneau d'information \
i l'entrée du chantier) ¡
Chantier clôturé, accès i
interdit !
Voierie¡Ligne S.N.C.F.
III
Voie d'accès du chantierdonnant sur 1 'avenueBerger
Ligne SNCF Paris-Mitrypassant le long de lalimite Sud du site
Risque de chaussée glis¬sante par dépôts de boueMât de forage i proximitéde l'avenue Berger et dela vole ferrée
1 I- Nettoyage de la chaussée;¡Faible j- Hat inplante à vrc fots a 1er - ¡
. I gjeur '«10m delà limite SNCF ;
I I- Contrôle de la voie d'aciI cis actuel de la chauffe,I I rie en vue du passage ¡
I I d'engins lourds. i
*^ ¡CanalisationsbJ Iflc ID I
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¡Ligne télépho-
! ¡
Adduction d'eau le long ¡-Branchement pour travaux ¡
de l'avenue Berger desser! ¡
vant la chaufferie en ! ¡
0 100 t IRéseau d'assainissement ¡-Rejet des eaux d'essai ¡
des eaux usées a 350 m ! ¡
longeant l'avenue Berger I 1
'Réseau d'assainissement ! Ides eaux pluviales sous ! ¡
1 'avenue Berger ! lCortduite de gaz moyenne ! 1
pression cn 0 200, en t ¡
bordure Sud de l'avenue ¡ 1
Berger ¡ 1
A voir avec la SFDE
et U CGI
' A voir avec les services!techniques de la Ville !
de Tremblay-les-Gonesse !
et la station d'épurationd'Achères. !
Caractéristiques de l'ai !
de rejet requises par !
la circulaire du 6.6.53 ¡r
i
niqueUne ligne passe sous lavole d'accès de la chauf¬ferie voisine du projet
-Branchement de lignespour le chantier
-A voir avec les P. T. T.
¡Ligne élec-I tri queI
I
¡Bruits
¡
I.1
I
kl I
Eclairage public sur 1etrottoir sud de l'avenueBerger
-Ligne électrique alimen¬tant la chaufferie
A voir avec E.t). F.
Sources principalesCirculation routière ctferroviaire
Zone bruyante « Valeurscomprises entre 60 et70 dBA
25 dBA entre IH et 5H
tvcc pics i 50 dBA maxi.
Entre 180 «t 200 mètres :Le bruit du chantier seraémergent au Milieu de lanuit de :
15 i 25 dBA pour une ma¬chine non capotee
S Â 10 dBA pour une ma¬chine capotee
Au niveau du CES dans lajournée «-émergence de S dBA pourune machine capotee
-emergence de 10 dBA pourune machine non capotee
t
Z ¡VibrationsI
_ I
tf) ¡Circulation
-Circulation routière ctferroviaire
- 1
L'avenue Berger est unaxt comunal Important
'Vibration de la machine,surtout lors du foraoedes terrains de surface
-Sortie du chantier sur1 'avenue Berger
Faibl t1
¡DégagementsQ I gazeux
-Gaz d'échappement desmoteurs des voitures etcamions
1
1
I
¡Eclairage duchantier
T-fîaz d'échappement des Imoteurs 1
-Dégagement de gaz d' hydro- ¡
carbures et d'H2S pendant ¡
les essais ¡
I¡
,-._........-. ... r.
Moteurs de la machine |
au Sud 't
' Machine capotee, écran!anti -bruit ¡
' Coftserver le maximum ,"
d'arbres formant un ¡
écran naturel ¡
I
i
! Sortie de chantier bien ;
j signalée j
IFalble ¡ ¡! ¡ ¡
iFalble ¡- Vanne type BOP !1 ¡- Dispositifs anti- !
. I ¡ déflagrants sur les mo- 1
t ! teurs et les éclairages !
I ¡* Organisation du chantier!I 1 suivant les normes en !t I vigueur
-¡
-Eclairage de l'avenueBerger
I!
-L-
-EcUlrags de la p1at«-fomt
¡FatM*
Effats aoclo-coiwalques
Tarrain bolsi Inexploité!-«n vola d'aménagemant !
Exploitation d'un gîtagéothemiqutt intéressant
I
Installation -Fonctlonncnant
Chauffage au gaz d'unepartie des logements etbltlnents concernes parle projet
¡- Projecteurs pour l'en- ;
I semble du chentler et ;
; éclairages adéquats sur ;
les endroits d'activité ;: penaanente j
"I i1-Panncau d'Informations !
I- Inforaation du voisinage!t par la nature des tra- !
i vauK et sur les avanta- !
1 ges de la solution géo- !I thenique !
Le volune d'exploitationest défini dans le dossieide demande de rechercheaccooipagnant catte étude
Plate-forme de chantierTêtes de puits * Instal¬lations annexes (panpe)
' Echangeur
Voliaie I protéger
1
I
> A réaaiénager I' A protéger et I aménager!
pour Intégrer 1 1 'espace!vert, zone de sécurité !
tt 4» service de 20 Iauteur du puits « accès I
I cette zone I laatéria- I
User I' Mrent aa«nagés dans la I
..r I
ANNEXE 2
DEPARTEMENT DE LA SEINE-SAINT-DENIS
ARRONDISSEMENT DU RAINCY-CANTON DE TREMBLAY-LES-GONESSE
SOCIETE FRANÇAISE DE DISTRIBUTION D'EAU
GROUPE DE TREMBLAY
PROTECTION CONTRE LA POLLUTION
DU NOUVEAU FORAGE AU SPARNACIEN
(FORAGE n° 4)
RAPPORT GEOLOGIQUE
de M. Francis GAUTIER,
Géologue Officiel ,
Maître-Assistant au Muséum National d'Histoire Naturelle
PARIS, le 13 avril 1982
ANNEXE 2
DEPARTEMENT DE LA SEINE-SAINT-DENIS
ARRONDISSEMENT DU RAINCY-CANTON DE TREMBLAY-LES-GONESSE
SOCIETE FRANÇAISE DE DISTRIBUTION D'EAU
GROUPE DE TREMBLAY
PROTECTION CONTRE LA POLLUTION
DU NOUVEAU FORAGE AU SPARNACIEN
(FORAGE n° 4)
RAPPORT GEOLOGIQUE
de M. Francis GAUTIER,
Géologue Officiel ,
Maître-Assistant au Muséum National d'Histoire Naturelle
PARIS, le 13 avril 1982
f rSOCIETE FRANÇAISE DE DISTRIBUTION D'EAU
GROUPE DE TRB^BLAY
(SEINE-SAINT-DENIS)
PROTECTION CONTRE LA POLLUTION
DU NOUVEAU FORAGE AU SPARNACIEN
^ (forage ^N" 4)1
RAPPORT GEOLOGIQUE
Par lettre référencée RL/nM - 82/158 en date du 24 Mars 1982, la So¬
ciété française de Distribution d'Eau (S.F.D.E»), Exploitation Est, sous lasignature du Chef du Département Eau et Assainissement, Monsieur R. LACROIX,
a sollicité du Géologue agréé pour le Département de la SEINE-SAINT-DENIS
l'établissement du rapport officiel fixant les servitudes et périmètres propre
à assurer la protection du nouveau forage au Sparnacien qu'elle vient d'exé¬
cuter à TRB\BLAY-LES-GONESSE, Ce forage (n*» 4), dont le projet de réalisationa fait l'objet de mon rapport géologique préliminaire en date du 26 Mars 1981,
devrait être mis sans retard en exploitation pour l'alimentation en eau de la
Commune de VILLEPINTE. Le présent document, destiné à figurer au dossier de
Déclaration d'Utilité Publique de l'ouvrage, est établi en tenant compte du
contexte géologique local et des caractéristiques du forage concerné,
I - COITFEXTE GÉOLOGIQUE (Rappel).
Les installations de la S.F.D.E. à TREMBLAY-LES-GONESSE, et notamment
le nouveau forage au Sparnacien, sont implantés sur la zone axiale de la dé¬
pression de la "Plaine de SEVRAN" qui sépare le Massif de 1 'Aulnay au Sud du
plateau du Parisis au Nord. Cette dépression, ancien cours de la Beuvronne
emprunté aujourd'hui par le Canal de l'Ourcq, est emplie de dépôts alluviaux
dont l'épaisseur peut atteindre plusieurs mètres et qui masquent le passage
./
f rSOCIETE FRANÇAISE DE DISTRIBUTION D'EAU
GROUPE DE TRB^BLAY
(SEINE-SAINT-DENIS)
PROTECTION CONTRE LA POLLUTION
DU NOUVEAU FORAGE AU SPARNACIEN
^ (forage ^N" 4)1
RAPPORT GEOLOGIQUE
Par lettre référencée RL/nM - 82/158 en date du 24 Mars 1982, la So¬
ciété française de Distribution d'Eau (S.F.D.E»), Exploitation Est, sous lasignature du Chef du Département Eau et Assainissement, Monsieur R. LACROIX,
a sollicité du Géologue agréé pour le Département de la SEINE-SAINT-DENIS
l'établissement du rapport officiel fixant les servitudes et périmètres propre
à assurer la protection du nouveau forage au Sparnacien qu'elle vient d'exé¬
cuter à TRB\BLAY-LES-GONESSE, Ce forage (n*» 4), dont le projet de réalisationa fait l'objet de mon rapport géologique préliminaire en date du 26 Mars 1981,
devrait être mis sans retard en exploitation pour l'alimentation en eau de la
Commune de VILLEPINTE. Le présent document, destiné à figurer au dossier de
Déclaration d'Utilité Publique de l'ouvrage, est établi en tenant compte du
contexte géologique local et des caractéristiques du forage concerné,
I - COITFEXTE GÉOLOGIQUE (Rappel).
Les installations de la S.F.D.E. à TREMBLAY-LES-GONESSE, et notamment
le nouveau forage au Sparnacien, sont implantés sur la zone axiale de la dé¬
pression de la "Plaine de SEVRAN" qui sépare le Massif de 1 'Aulnay au Sud du
plateau du Parisis au Nord. Cette dépression, ancien cours de la Beuvronne
emprunté aujourd'hui par le Canal de l'Ourcq, est emplie de dépôts alluviaux
dont l'épaisseur peut atteindre plusieurs mètres et qui masquent le passage
./
-2 ..
tre les terrains oligocènes de 1 'Aulnay et les formations éocènes du Parisis.-dessous de cette couverture quaternaire, la succession des assises du sous-
1 est succinctement la suivante, de la surface vers la profondeur :
- un complexet ^is de plusieurs mètres, de matériaux essentiellement mar¬
neux d'origirt colluviale, formés aux dépens de la Série du Gypse et des
Marnes infragypseuses; r '
-une assise mince et irrégulière de sables argileux gris vert ("Sables de
.-.Monceau"); .. . ^w. , «.-t.. - ^...:n - o
- un horizon de calcaires marneux clairs, parfois à accidents siliceux; de -
quelques mètres de puissance maximale, ce "Calcaire de Sajnt-Ouen" est
rapporté au Bartonien moyen (Marinésien);
- une formation de sables clairs à intercalations d'argiles vertes ou bleues
ces "Sables de Beauchamp" représentent, avec leurs quelque 10 m d'épaisseur
le Bartonien inférieur (Auversien);
- un ensemble de marnes claires à passées calcaires ("Marnes et Caillasses")puis de calcaires en gros bancs à lits marneux, gréso-glauconieux à labase ("Calcaire grossier"); épais d'une quarantaine de mètres au total, il'est daté du Lutétien;
- un complexe à stratification irrégulière et capricieuse (lentilles) de
sables gris et d'argiles sombres; ces "Sables du Soissonnais", épais de
30 à 40 m, sont rapportés à l'Yprésien;Je
- une série éminemment argileuse ("Argile plastique"), de 30 m environ de
puissance et d'âge sparnacien, qui repose sur la"Craie à silex" du Crétacé
supérieur.
Du point de vue hydrogéologique, le sous-sol ci-dessus décrit recèle
plusieurs ressources aquifères superposées : \
- la première en partant de la surface mouille le Calcaire de Saint-Ouen;
mal protégée contre la pollution par les quelques mètres d'alluvions et
de colluvions, elle offre un débit modeste et variable et des eaux assez
dures;.1
- la deuxième, de débit important mais de qualité compromise par l'abondanct
de sulfates, baigne la base du Calcaire grossier;
- la troisième, la plus sOre à tous points de vue malgré une teneur souvent
. ./ ...
-2 ..
tre les terrains oligocènes de 1 'Aulnay et les formations éocènes du Parisis.-dessous de cette couverture quaternaire, la succession des assises du sous-
1 est succinctement la suivante, de la surface vers la profondeur :
- un complexet ^is de plusieurs mètres, de matériaux essentiellement mar¬
neux d'origirt colluviale, formés aux dépens de la Série du Gypse et des
Marnes infragypseuses; r '
-une assise mince et irrégulière de sables argileux gris vert ("Sables de
.-.Monceau"); .. . ^w. , «.-t.. - ^...:n - o
- un horizon de calcaires marneux clairs, parfois à accidents siliceux; de -
quelques mètres de puissance maximale, ce "Calcaire de Sajnt-Ouen" est
rapporté au Bartonien moyen (Marinésien);
- une formation de sables clairs à intercalations d'argiles vertes ou bleues
ces "Sables de Beauchamp" représentent, avec leurs quelque 10 m d'épaisseur
le Bartonien inférieur (Auversien);
- un ensemble de marnes claires à passées calcaires ("Marnes et Caillasses")puis de calcaires en gros bancs à lits marneux, gréso-glauconieux à labase ("Calcaire grossier"); épais d'une quarantaine de mètres au total, il'est daté du Lutétien;
- un complexe à stratification irrégulière et capricieuse (lentilles) de
sables gris et d'argiles sombres; ces "Sables du Soissonnais", épais de
30 à 40 m, sont rapportés à l'Yprésien;Je
- une série éminemment argileuse ("Argile plastique"), de 30 m environ de
puissance et d'âge sparnacien, qui repose sur la"Craie à silex" du Crétacé
supérieur.
Du point de vue hydrogéologique, le sous-sol ci-dessus décrit recèle
plusieurs ressources aquifères superposées : \
- la première en partant de la surface mouille le Calcaire de Saint-Ouen;
mal protégée contre la pollution par les quelques mètres d'alluvions et
de colluvions, elle offre un débit modeste et variable et des eaux assez
dures;.1
- la deuxième, de débit important mais de qualité compromise par l'abondanct
de sulfates, baigne la base du Calcaire grossier;
- la troisième, la plus sOre à tous points de vue malgré une teneur souvent
. ./ ...
- 3 -
notable en fer, circule dans les Sables du Soissonnais; elle offre de sé¬
rieuses garanties naturelles contre la pollution à condition que son ex¬
ploitation n'amène pas une mise en communication des nappes successives.
II - FORAGE REALIsé.
Le nouveau forage consider^ (Forage n° 4) est situé sur la propriété .
que possède la S.F.D.E. au n*» 86 de l'Avenue du Commerce à TRB1BLAY-LES-G0^ESE
dans la partie méridionale du territoire communal, au vrlsinage de la voie fe
rée et de la Gare du Vert-Galant. Il a été réalisé à la "suixe d'une étude "hyd
géologique préliminaire (Rapport du 26.03.81 ). Destiné à participer à l'alimetation en eau potable de la Commune de VILLEPINTE, il est plus 'précisément im
planté au pied occidental du tumulus déterminé par le "réservoir enterré", à
une dizaine de mètres du bâ^timent de la Station de traitement (soit à 20 m d
l'ancien forage n** 3, réformé; le seul ouvrage demeurant actuellement en ex-
"ploitation sur ce site s'adresse à la nappe du Calcaire de Saint-Ouen, à 29 m
de profondeur, et se trouve à quelque 46 m vers le Sud-Ouest),
Avec tous les accords indispensables, le sondage a été exécuté en 198
par la Compagnie Générale de Travaux d'Hydraulique (SADE); les essais de débi
et les premiers prélèvements d'eau pour analyses ont été effectués dès la fir
des travaux, en Octobre 1981,
Du point de vue qéoloqicfue, le forage a successivement traversé les
diverses assises mentionnées au Chapitre I pour être arrêté à une profondeur
de 120,60 m au sein de la formation sableuse de l'Yprésien. La coupe géologià la verticale du site peut être établie interprétativement à partir des obsi
vations du sondeur de la façon suivante, de la surface du sol vers le fond <
l'ouvrage :
- 1 ,25 m de terre végétale et de limons argileux gris jaune (Quaternaire)- 21 ,25 m d'alluvions et de colluvions essentiellement argileuses (Qaatanai
- 6,00 m de calcaires marneux rosés ("Calcaire de Saint-Ouen");-10,50 m de sables à passées d'argiles bleutées ("Sables de Beauchamp");
- 14,00 m de. marnes claires à passées calcaires ("Marnes et Caillasses");- 29,00 m de calcaires gris blanc en bancs ("Calcaire grossier");- 38,60 m d'argiles noires devenant de plus en plus sableuses (8,00 m) pu
de sables gris h passées argilo-^ligniteuses. au sein desquels ont été ar
rêté le creusement du forage et posé le cAne de base de la colonne.
./ « .
- 3 -
notable en fer, circule dans les Sables du Soissonnais; elle offre de sé¬
rieuses garanties naturelles contre la pollution à condition que son ex¬
ploitation n'amène pas une mise en communication des nappes successives.
II - FORAGE REALIsé.
Le nouveau forage consider^ (Forage n° 4) est situé sur la propriété .
que possède la S.F.D.E. au n*» 86 de l'Avenue du Commerce à TRB1BLAY-LES-G0^ESE
dans la partie méridionale du territoire communal, au vrlsinage de la voie fe
rée et de la Gare du Vert-Galant. Il a été réalisé à la "suixe d'une étude "hyd
géologique préliminaire (Rapport du 26.03.81 ). Destiné à participer à l'alimetation en eau potable de la Commune de VILLEPINTE, il est plus 'précisément im
planté au pied occidental du tumulus déterminé par le "réservoir enterré", à
une dizaine de mètres du bâ^timent de la Station de traitement (soit à 20 m d
l'ancien forage n** 3, réformé; le seul ouvrage demeurant actuellement en ex-
"ploitation sur ce site s'adresse à la nappe du Calcaire de Saint-Ouen, à 29 m
de profondeur, et se trouve à quelque 46 m vers le Sud-Ouest),
Avec tous les accords indispensables, le sondage a été exécuté en 198
par la Compagnie Générale de Travaux d'Hydraulique (SADE); les essais de débi
et les premiers prélèvements d'eau pour analyses ont été effectués dès la fir
des travaux, en Octobre 1981,
Du point de vue qéoloqicfue, le forage a successivement traversé les
diverses assises mentionnées au Chapitre I pour être arrêté à une profondeur
de 120,60 m au sein de la formation sableuse de l'Yprésien. La coupe géologià la verticale du site peut être établie interprétativement à partir des obsi
vations du sondeur de la façon suivante, de la surface du sol vers le fond <
l'ouvrage :
- 1 ,25 m de terre végétale et de limons argileux gris jaune (Quaternaire)- 21 ,25 m d'alluvions et de colluvions essentiellement argileuses (Qaatanai
- 6,00 m de calcaires marneux rosés ("Calcaire de Saint-Ouen");-10,50 m de sables à passées d'argiles bleutées ("Sables de Beauchamp");
- 14,00 m de. marnes claires à passées calcaires ("Marnes et Caillasses");- 29,00 m de calcaires gris blanc en bancs ("Calcaire grossier");- 38,60 m d'argiles noires devenant de plus en plus sableuses (8,00 m) pu
de sables gris h passées argilo-^ligniteuses. au sein desquels ont été ar
rêté le creusement du forage et posé le cAne de base de la colonne.
./ « .
- 4 -
Du point de vue technique, le trou, entièrement équipé d'un tube d'acie:
dont la tête dépasse la surface du sol de 0,60 m et de diamètre décroissant
(voir plan en Annexe), a fait l'objet d'une cimentation annulaire jusqu'à 86,40r
de profondeur, c'est-à-dire pratiquement jusqu'au toit du niveau aquifére ex¬
ploité ("Sables du Soissonnais").* Au-dessous, un massif de' gravier siliceuxcalibré (1,4 x 2,4) a été mis en place entre la paroi du trou et le tube, pleinsur 6 m, crépine ensuite sur 32 m et de nouveau plein sur 2,20 m (y compris lecône de base fermé). Ainsi réalisé, conformément aux prei^criptions du rapport
'' préliminaire, le foragfésfisolé des eaux superf icielle's' U- l'ûissel lement et'des diverses circulations aquifères qui existent dans les quelque 85 mètres
supérieurs, notamment de la Nappe du Calcaire de Saint-Ouen et^de celle du
Calcaire grossier; il s'adresse donc exclusivement au réservoir des Sables du
Soissonnais (Yprésien) qui est sollicité sur une épaisseur de 32 raètres7 à par¬
tir d'une profondeur de 85,80 m.
Lors des essais sur ouvrage achevé, après développement du trou, le
niveau statique s'établissait en Octobre 1981 à 14,00 m sous la surface. Le
débit maximum obtenu a été de 153 mV^ pour un rabattement de 38 ra (n.D. à
.«-32 m), avec des niveaux dynamiques mesurés successivement à 23 m pour 42 m^/H
32,50 m pour 81 mVH et 42 m pour 121 m^/W, L'eau fournie était claire et exemp
te de sable. Les analyses effectuées (Analyse n® 81.1080 en date du 24.11.81 du
Service de Contrôle des Eaux de la Ville de Paris) révèlent qu'il s'agit d'une
eau de minéralisation modérée, légèrement dure et ferrugineuse; elle présentait
alors une légère contamination fécale vraisemblablement liée à la proximité des
travaux, mais dont la disparition devrait être constatée avant la mise en ser¬
vice de l'ouvrage.
L'ensemble des données sur le nouveau forage confirme donc que les eau>
qui seront exploitées sont bien celles de la nappe des Sables du Soissonnais ;
en raison de 1' éloignement des affleurements qui constituent la zone d'alimen¬
tation de cette nappe, du long trajet corrélatif des eaux au sein d'un horizon
de sables fins à pouvoir filtrant élevé, de la profondeur du réservoir sous lesite considéré et de la nature des terrains de couverture, ces eaux ne courent
pas de risques hotables de contamination naturelle. Mais il faut avoir cons¬
cience que des dangers de pollution chimique directe.' par des substances dissou¬
tes peuvent toutefois exister, soit par le canal d'anciens sondages répertoriésou non et aujourd'hui abandonnés, soit par l'intermédiaire de nouveaux forages
qui pourraient être ouverts à proximité, soit encore à partir d'infiltration
dans l'ouvrage d'eaux de surface polluées. Certaines mesures essentielles sont
donc à prendre pour prévenir cette pollution*
- 4 -
Du point de vue technique, le trou, entièrement équipé d'un tube d'acie:
dont la tête dépasse la surface du sol de 0,60 m et de diamètre décroissant
(voir plan en Annexe), a fait l'objet d'une cimentation annulaire jusqu'à 86,40r
de profondeur, c'est-à-dire pratiquement jusqu'au toit du niveau aquifére ex¬
ploité ("Sables du Soissonnais").* Au-dessous, un massif de' gravier siliceuxcalibré (1,4 x 2,4) a été mis en place entre la paroi du trou et le tube, pleinsur 6 m, crépine ensuite sur 32 m et de nouveau plein sur 2,20 m (y compris lecône de base fermé). Ainsi réalisé, conformément aux prei^criptions du rapport
'' préliminaire, le foragfésfisolé des eaux superf icielle's' U- l'ûissel lement et'des diverses circulations aquifères qui existent dans les quelque 85 mètres
supérieurs, notamment de la Nappe du Calcaire de Saint-Ouen et^de celle du
Calcaire grossier; il s'adresse donc exclusivement au réservoir des Sables du
Soissonnais (Yprésien) qui est sollicité sur une épaisseur de 32 raètres7 à par¬
tir d'une profondeur de 85,80 m.
Lors des essais sur ouvrage achevé, après développement du trou, le
niveau statique s'établissait en Octobre 1981 à 14,00 m sous la surface. Le
débit maximum obtenu a été de 153 mV^ pour un rabattement de 38 ra (n.D. à
.«-32 m), avec des niveaux dynamiques mesurés successivement à 23 m pour 42 m^/H
32,50 m pour 81 mVH et 42 m pour 121 m^/W, L'eau fournie était claire et exemp
te de sable. Les analyses effectuées (Analyse n® 81.1080 en date du 24.11.81 du
Service de Contrôle des Eaux de la Ville de Paris) révèlent qu'il s'agit d'une
eau de minéralisation modérée, légèrement dure et ferrugineuse; elle présentait
alors une légère contamination fécale vraisemblablement liée à la proximité des
travaux, mais dont la disparition devrait être constatée avant la mise en ser¬
vice de l'ouvrage.
L'ensemble des données sur le nouveau forage confirme donc que les eau>
qui seront exploitées sont bien celles de la nappe des Sables du Soissonnais ;
en raison de 1' éloignement des affleurements qui constituent la zone d'alimen¬
tation de cette nappe, du long trajet corrélatif des eaux au sein d'un horizon
de sables fins à pouvoir filtrant élevé, de la profondeur du réservoir sous lesite considéré et de la nature des terrains de couverture, ces eaux ne courent
pas de risques hotables de contamination naturelle. Mais il faut avoir cons¬
cience que des dangers de pollution chimique directe.' par des substances dissou¬
tes peuvent toutefois exister, soit par le canal d'anciens sondages répertoriésou non et aujourd'hui abandonnés, soit par l'intermédiaire de nouveaux forages
qui pourraient être ouverts à proximité, soit encore à partir d'infiltration
dans l'ouvrage d'eaux de surface polluées. Certaines mesures essentielles sont
donc à prendre pour prévenir cette pollution*
- 5 -
III - MESURES C0^^^RE LA POLLUTION t PERB^ETRES DE PROTECTION.
Les périmètres de protection et les servitudes correspondantes propos'Ici pour le Forage n** 4 du Groupe de TRB'BLAY en tenant compte de toutes les
considérations rapportées précédemment, sont définis en application du Décret
du 15 Décembre 1967; ils devront être constitués dans les conditions indiquée
par la Circulaire interministérielle du 10 Décembre 1968 (j.O. du 22 Décembre).
Cependant, en raison du développement récent de l'urbanisation de ce secteur
des profonfis remaniementsjîorrélatifs des documents cadostraux, il s'avère im¬
possible de tracer les limites des périmètres conformément à la Circulaire du
Ministre de l'Agriculture aux Préfets DARS/sh/C.74 n" 5068 du 17 Septembre 19
c'est-à-dire en mentionnant les limites extérieures des diverses parcelles incluses dans lesdits périmètres; c'est pourquoi il sera fait mention, non,nac
ces limites, mais des voies dé circulation longeant les zones intéressées. Enfl
étant donné le caractère favorable des circonstances géologiques locales, il '
paraît suffisant de confondie les deux périmètres de protection rapprochée etéloignée.
1 ° - Périmètre de protection immédiate.
Le périmètre de protection immédiate du Forage n° A pourra être réduiiaux abords immédiats de l'ouvrage; englobant tous les points situés à moins d
10 mètres de l'axe du trou, il correspondra à \me zone, d'ores et déjà inclusí
dans le domaine privé de la S.F.D.E. et clôturé, où seront interdites toute
activité et toute circulation autres que celles nécessitées par les besoins dv
service et l'entretien des installations et par conséquent effectuées par les
personnels responsables. Il n'y sera fait apport d'aucune substance étrangère,
notamment ni d'engrais chimiques ou naturels, ni de désherbants, la croissancéventuelle de végétaux n'y étant limitée que par taille mécanique. Tout sta¬
tionnement ou parcage de véhicules, notamment diargés de produits chimiques o
d'hydrocarbures, y sera formellement proscrit. Les abords immédiats de l'ou¬vrage, enfin, seront aménagés de façon à ne pas permettre l'afflux et 1» inf iltra tion des eaux de pluie et de ruissellement.
2* - Périmètre unique de protection rapprochée et éloignée.
Ce périmètre englobera tous les points situés à quelque 500 mètres du
forage; s'étendant donc pour partie sur le tsntîtoire de la Commune de TRB'£Lfl
LES-GONESSE et pour partie sur celui de la Comnnnae de VILLEPINTE, il correspoi
dra pratiquement sur le terrain au secteur délâmité par le Canal de l'Ourcq,
/
- 5 -
III - MESURES C0^^^RE LA POLLUTION t PERB^ETRES DE PROTECTION.
Les périmètres de protection et les servitudes correspondantes propos'Ici pour le Forage n** 4 du Groupe de TRB'BLAY en tenant compte de toutes les
considérations rapportées précédemment, sont définis en application du Décret
du 15 Décembre 1967; ils devront être constitués dans les conditions indiquée
par la Circulaire interministérielle du 10 Décembre 1968 (j.O. du 22 Décembre).
Cependant, en raison du développement récent de l'urbanisation de ce secteur
des profonfis remaniementsjîorrélatifs des documents cadostraux, il s'avère im¬
possible de tracer les limites des périmètres conformément à la Circulaire du
Ministre de l'Agriculture aux Préfets DARS/sh/C.74 n" 5068 du 17 Septembre 19
c'est-à-dire en mentionnant les limites extérieures des diverses parcelles incluses dans lesdits périmètres; c'est pourquoi il sera fait mention, non,nac
ces limites, mais des voies dé circulation longeant les zones intéressées. Enfl
étant donné le caractère favorable des circonstances géologiques locales, il '
paraît suffisant de confondie les deux périmètres de protection rapprochée etéloignée.
1 ° - Périmètre de protection immédiate.
Le périmètre de protection immédiate du Forage n° A pourra être réduiiaux abords immédiats de l'ouvrage; englobant tous les points situés à moins d
10 mètres de l'axe du trou, il correspondra à \me zone, d'ores et déjà inclusí
dans le domaine privé de la S.F.D.E. et clôturé, où seront interdites toute
activité et toute circulation autres que celles nécessitées par les besoins dv
service et l'entretien des installations et par conséquent effectuées par les
personnels responsables. Il n'y sera fait apport d'aucune substance étrangère,
notamment ni d'engrais chimiques ou naturels, ni de désherbants, la croissancéventuelle de végétaux n'y étant limitée que par taille mécanique. Tout sta¬
tionnement ou parcage de véhicules, notamment diargés de produits chimiques o
d'hydrocarbures, y sera formellement proscrit. Les abords immédiats de l'ou¬vrage, enfin, seront aménagés de façon à ne pas permettre l'afflux et 1» inf iltra tion des eaux de pluie et de ruissellement.
2* - Périmètre unique de protection rapprochée et éloignée.
Ce périmètre englobera tous les points situés à quelque 500 mètres du
forage; s'étendant donc pour partie sur le tsntîtoire de la Commune de TRB'£Lfl
LES-GONESSE et pour partie sur celui de la Comnnnae de VILLEPINTE, il correspoi
dra pratiquement sur le terrain au secteur délâmité par le Canal de l'Ourcq,
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/ .. 6 -
la limite orientale du domaine du C.E.S. de TRBîBLAY, l'Avenue du Commerce (pro
parte), la rue Pierre Brossolette (pro parte), le Boulevard de l'Hôtel de Villel'Avenue de la Paix (pro parte), l'Avenue Lénine et son prologement sur le ter¬ritoire communal de VILLEPINTE jusqu'à l'Avenue du Général. Leclerc, ladite Avenue
l'Avenue de la Gare et l'Avenue du Chemin de Fer hypothétiquement prolongée jus
qu'au Canal. r . ' ...
A l'intérieur de ce périmètre, seront interdits, sauf avis favorable
,_.>,. du GéologiJe officiel obTigatoirem,'»'?t consulté : «er- - ,- -_ "
- le creusement de puits ou forages de plus de 50 m de profondeur et sus¬
ceptible de mettre la nappe exploitée en communication avec la surface ou
avec un horizon perméable profond quelconque;
- la création de réservoirs ou dépôts d'eaux non potables et de produitschimiques;
- l'installation de réservoirs enfouis d'hydrocarbures liquides; les sto¬
ckages en réservoirs enterrés pourront être tolérés s'ils sont à sécuritérenforcée, c'est-à-dire du type "en fosse" ou présentant une sécurité
équivalente (réservoirs assimilés) au sens de l'Instruction ministérielledu 17 Avril 1975 (j.O. du 19.06.75); les réservoirs aériens devront êtreéquipés d'une cuvette de rétention étanche;
- les installations classées en application de la Loi du 19 Juillet 1976 si
elles comportent un risque de pollution des eaux souterraines.
L'ancien forage au Sparnacien, aujourd'hui réformé et remplacé par leForage n°. 4, se trouvant dans les limites du périmètre ci-dessus défini et, qui,
plus est; à proximité même du périmètre de protection immédiate, il est rappelé
(voir Rapport géologique du 26.03.81) qu'il doit impérativement faire l'objetd'opérations visant à éviter qu'il puisse constituer une voie privilégiée de
pénétration d'une quelconque pollution de la nappe (remplissage de sable propre
tampon d'argile, prolongement du tubage jusqu'à 0,30 m au moins au-dessus du
niveau du sol, obturation hermétique et durable; en outre comblement de la foss
périphérique avec un matériau inerte et compacté)»
IV -CONCLUSION.It
Le nouveau forage au Sparnacien de la S.F.D.E, à TRBiBLAY-LES-QOliESSE i
(Forage n® 4) sollicite la nappe des Sables du Soissonnais entre 86 et 118 mètrei
de profondeur. Jouissant d'une bonne protection naturelle, il fournit une eau
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la limite orientale du domaine du C.E.S. de TRBîBLAY, l'Avenue du Commerce (pro
parte), la rue Pierre Brossolette (pro parte), le Boulevard de l'Hôtel de Villel'Avenue de la Paix (pro parte), l'Avenue Lénine et son prologement sur le ter¬ritoire communal de VILLEPINTE jusqu'à l'Avenue du Général. Leclerc, ladite Avenue
l'Avenue de la Gare et l'Avenue du Chemin de Fer hypothétiquement prolongée jus
qu'au Canal. r . ' ...
A l'intérieur de ce périmètre, seront interdits, sauf avis favorable
,_.>,. du GéologiJe officiel obTigatoirem,'»'?t consulté : «er- - ,- -_ "
- le creusement de puits ou forages de plus de 50 m de profondeur et sus¬
ceptible de mettre la nappe exploitée en communication avec la surface ou
avec un horizon perméable profond quelconque;
- la création de réservoirs ou dépôts d'eaux non potables et de produitschimiques;
- l'installation de réservoirs enfouis d'hydrocarbures liquides; les sto¬
ckages en réservoirs enterrés pourront être tolérés s'ils sont à sécuritérenforcée, c'est-à-dire du type "en fosse" ou présentant une sécurité
équivalente (réservoirs assimilés) au sens de l'Instruction ministérielledu 17 Avril 1975 (j.O. du 19.06.75); les réservoirs aériens devront êtreéquipés d'une cuvette de rétention étanche;
- les installations classées en application de la Loi du 19 Juillet 1976 si
elles comportent un risque de pollution des eaux souterraines.
L'ancien forage au Sparnacien, aujourd'hui réformé et remplacé par leForage n°. 4, se trouvant dans les limites du périmètre ci-dessus défini et, qui,
plus est; à proximité même du périmètre de protection immédiate, il est rappelé
(voir Rapport géologique du 26.03.81) qu'il doit impérativement faire l'objetd'opérations visant à éviter qu'il puisse constituer une voie privilégiée de
pénétration d'une quelconque pollution de la nappe (remplissage de sable propre
tampon d'argile, prolongement du tubage jusqu'à 0,30 m au moins au-dessus du
niveau du sol, obturation hermétique et durable; en outre comblement de la foss
périphérique avec un matériau inerte et compacté)»
IV -CONCLUSION.It
Le nouveau forage au Sparnacien de la S.F.D.E, à TRBiBLAY-LES-QOliESSE i
(Forage n® 4) sollicite la nappe des Sables du Soissonnais entre 86 et 118 mètrei
de profondeur. Jouissant d'une bonne protection naturelle, il fournit une eau
/
- 7 -
de qualité satisfaisante après traitement approprié; de nouvelles vérifications
devront toutefois confirmer la disparition de la légère contamination fécaleconstatée dès après la fin du sondage. La qualité de l'eau, destinée à l'ali¬
mentation de la Commune de VILLEPINTE sous la responsabilité de la S.F.D.E.,
devrait être assurée dans le temps par la constitution des périmètres de pro¬
tection définis au Chapitre III du présent document. Les respect des servitudeénoncées à cette occasion ne dispensera évidem-iient pas d'effectuer périodique¬
ment. les analyses bactériolqgiquëj^ et^îhysico-chimiques'liabi.tuelles en ce. .. _."
domaine.
Fait à PARIS} le 13 Avril 1982
F. GAUTIER
- 7 -
de qualité satisfaisante après traitement approprié; de nouvelles vérifications
devront toutefois confirmer la disparition de la légère contamination fécaleconstatée dès après la fin du sondage. La qualité de l'eau, destinée à l'ali¬
mentation de la Commune de VILLEPINTE sous la responsabilité de la S.F.D.E.,
devrait être assurée dans le temps par la constitution des périmètres de pro¬
tection définis au Chapitre III du présent document. Les respect des servitudeénoncées à cette occasion ne dispensera évidem-iient pas d'effectuer périodique¬
ment. les analyses bactériolqgiquëj^ et^îhysico-chimiques'liabi.tuelles en ce. .. _."
domaine.
Fait à PARIS} le 13 Avril 1982
F. GAUTIER
Compagme Générale de Travaux d'Hydraulique "i*= tài Scint André-iez-UlIe (Nord) NO <254?- l/7ar-*a^/X fiaur r^cA^rch^ ^'aw<y. ..
Exécution A y/¿£a f> in ¿a. . /Is . s *J>*nia )- -
Clieni -5.A'23.£. .. Petr-i.s. ¿S»cf»u^ ¿.itS.
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