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Hoang-Sang NGUYEN
École doctorale
Affiliation
Collaboration
Financement
The Transmission of Business Cycles: Lessons From the 2004 Enlargement and the Euro Adoption
Visuel 1 Visuel 2Prénom NOM
Financements
Collaborations
Affi liation
UMR INRA / Agrocampus Ouest
Science et technologie du lait et de l’œuf
École doctorale
Vie-Agro-Santé
Maîtrise du séchage de produits laitiers infantiles par une méthode de désoption
QUESTION
Approfondir les connaissances sur les outi ls d’explorati on de la biodiversité et
de l’expression des micro-organismes aux niveaux génomique, protéomique et
phénotypique.
MÉTHODE
Étude en parallèle de 2 niveaux complémentaires :
• niveau génomique et protéomique : extracti on d’ARN des matrices alimentaires, PCR en temps réel, TTGE, PFGE, électrophorèse 2D
• niveau phénotypique : caractérisati on des lipases, estérases et protéases, des composants de surface en lien avec les propriétés probioti ques et robot de
criblage phénotypique à haut débit.
CONTEXTE
• L’explorati on multi -échelles de la microstructure des aliments (gel, caillé, mousse, grain de poudre) est rendue possible par la combinaison de divers outi ls
(spectrométrie de masse, Biacore, microscopie à force atomique, calorimétrie à
ti trati on isotherme, calorimétrie diff érenti elle à balayage, granulomètrie laser,
spectroscopie infrarouge… ). Elle permet la caractérisati on des lipases, estérases et
protéases, composants de surface en lien avec les propriétés probioti ques.
• En revanche, les outi ls d’explorati on de la biodiversité et de l’expression des micro-organismes sont moins étudiés :
• au niveau génomique et protéomique : extracti on d’ARN des matrices alimentaires, PCR en temps réel, TTGE, PFGE, électrophorèse 2D
• au niveau phénotypique : caractérisati on des lipases, estérases et protéases, des composants de surface en lien avec les propriétés probioti ques et robot
de criblage phénotypique à haut débit.
RÉSULTATS
L’explorati on multi -échelles des molécules, de leurs interacti ons, de la micro-structure
des aliments (gel, caillé, mousse, grain de poudre) permet la combinaison de divers
outi ls : spectrométrie de masse, Biacore, microscopie à force atomique, calorimétrie
à ti trati on isotherme, calorimétrie diff érenti elle à balayage, granulomètrie laser,
spectroscopie infrarouge qui complètent les outi ls pré-existants.
Module de formation doctorale • Politiques européennesUE-Pol • 8 - 12 juillet 2019
Bourse de thèse CIFRE2018 - 2021
Photo d’identité
QUESTION
How do trade effects on business cycle synchronization within
common currency area differ from those between different currency
areas?
MÉTHODE
• Near-VAR model estimated by the SUR method
• Capturing both direct and indirect effects of trade
• Sample: seven Central and Eastern European countries (CEECs),
twelve founding members of the euro area (EA-12), 1996 - 2015
• Data sources: OECD, DataStream, World Bank
CONTEXTE
• Business cycle of an economy is defined as the rises and falls in
gross domestic product around its long-term trend.
• Cross-border transmission of business cycles is a key issue
specifically in the context of monetary integration. Countries with a
high degree of business cycle synchronization may benefit from
adoption of a common currency (Mudell, 1961)
• Bilateral trade affects positively business cycle synchronization.
• Common currency increases trade ex-post and so, the
synchronization of business cycle between members (Frankel and
Rose, 1998).
RÉSULTATS
• CEECs business cycle are more affected by EA-12 shocks after the
enlargement in 2004 than before (3.3 times larger on average).
• Germany, France and Italy explain a large part (89%, 71% and 69%,
respectively) of economic disturbances in the CEECs resulting from
the EA-12.
• After the enlargement in 2004, the degree of economic integration
increased more for CEECs that have adopted the euro than the other
CEECs: the Euro contributes positively to business cycle
synchronization.
• Trade effects are positive and inportant inside the same currency area
but less important for the CEECs without the euro.
Références:• Mundell, R. A., 1961. A theory of optimum currency area. American Economic Review, 51, 657–665.
• Frankel, J. A. and Rose, A. K., 1998. The Endogeneity of the Optimum Currency Area Criteria. Economic
Journal, Royal Economic Society, vol. 108(449), pages 1009-25, July.