Pb : Quelles structures de l’œil nous permettent de capturer des

images nettes du monde qui nous entoure ?

TP1 – les structures de l’œil indispensables

à la formation d’images nettes

Capacités

Attitudes

Réaliser une

dissection

Compléter un

schéma

Savoir prélever

l’information

Activité 1 : Anatomie de l’œil.

Matériel : œil de veau / maquette d’un œil / 3 verres de montre / eau distillée /

pinces /ciseaux forts / scalpel / schémas 1a et 1b joint/ logiciel « œil » page 1.

1- Réaliser la dissection de l’œil de veau en suivant le protocole fourni.

2- Quelle(s) caractéristique(s) doivent avoir les milieux traversés par la

lumière ?

Activité 2 : Un constituant indispensable de l’œil pour voir net, le cristallin

Matériel : p 304-305 Logiciel « œil » P2 / Microscope

1- Déposer le cristallin sur un texte (par exemple sur la feuille de protocole de

dissection).

2- Quelles caractéristiques ont les cellules du cristallin lui permettant

d’assurer sa fonction ?

3- Expliquer comment le cristallin peut être impliqué dans certaines

anomalies de la vision : la cataracte et la presbytie.

Activité 3 : Organisation de la rétine Matériel : Logiciel « œil » p3 / Lame de rétine / microscope

1- Observer au microscope une coupe transversale de rétine.

Orienter la coupe de rétine comme sur le document 1.

le professeur pour vérification

2- Légender le schéma du document ci-dessous à partir du texte descriptif ci-

dessous. Vérifier avec le logiciel « œil p. 3.

3- Tracer sur le schéma une flèche verte représentant le trajet de la lumière

dans la rétine et Tracer une flèche bleue représentant le trajet du message

nerveux

4- Quel type de tissus constitue la rétine ?

L’œil est un instrument d’optique naturel qui permet la réception

d’une image et qui transmet ensuite un message nerveux au cerveau.

Capacités

Attitudes

Utiliser le

microscope

Suivre un

protocole

expérimental

Document 1 : Schéma d’interprétation d’une coupe de rétine observée au MO (x700)

Texte descriptif : On observe extérieurement la choroïde. Plus intérieurement on remarque la présence d’un épithélium pigmentaire (il apparaît en partie noire à cause de la mélanine). La rétine proprement dite est subdivisée en trois couches cellulaires : face à l’épithélium pigmentaire se trouve la couche des photorécepteurs. Ils sont connectés aux neurones bipolaires de la seconde couche. Ces derniers eux-mêmes connectés à aux neurones ganglionnaires de la couche la plus interne, contre l’humeur vitrée. Les fibres nerveuses des neurones ganglionnaires convergent toutes vers le même point pour former le nerf optique

Activité 4 : Deux types de cellules photoréceptrices :

1- document 2 p 307 : identifier les deux types de photorécepteurs de la rétine

2- Réaliser l’expérience de Mariotte avec le protocole fourni dans le livre p 323.

Quelle conclusion en tirez-vous quant à la répartition des cellules photoréceptrices ?

3- document 1 p 308 : compléter votre description de la répartition des

photorécepteurs dans la rétine. Les cônes et les bâtonnets sont-ils répartis de façon

homogène ?

Prélever des

informations

Communiquer

Activité 5 : Fonctions des photorécepteurs.

1- Utiliser le logiciel « champ visuel des couleurs » pour déterminer votre champ visuel

des couleurs.

2- Emettre une hypothèse qui expliquerait la réception des couleurs à partir de la

répartition des photorécepteurs dans la rétine et des résultats de cette expérience.

3- Après avoir lu l’interview de K. Knoblauch, chercheur spécialiste de la vision des

couleurs, dire quels sont les récepteurs sensibles à la vision nocturne ?

« La vision n’est pas la même selon que la lumière est reçue par la région centrale (fovéa) ou périphérique de la rétine. Dans de bonnes conditions de luminosité, un individu voit mieux en vision centrale, en fixant l’objet observé. Il distingue nettement mieux les couleurs et les détails que du coin de l’œil, c'est-à-dire en vision périphérique. Lorsque la luminosité est plus faible, on perçoit mal les détails et on distingue bien moins les couleurs. En outre, la nuit, on détecte plus facilement une étoile peu lumineuse lorsqu’on ne la fixe pas directement : la vision centrale baisse au profit de la vision périphérique. » K. Knoblauch