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30 Posters / Transfusion Clinique
e mise à disposition des produits sanguins labiles (CGR et plasma). S’il appar-ient aux responsables de dépôt et de sites, aux coordonnateurs de veiller auaillage et à une organisation fonctionnelle, la mise en œuvre des recomman-
ations successives en cours doit être relayée, diffusée par les professionnelst les spécialistes, par les retours d’expérience (Retex) dans les régions. Cesléments réunis sont essentiels pour réduire la mortalité et la morbidité enjeurioritaire de santé publique.
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valuation de l’automate Sahara-III dans la décongélationu plasma thérapeutique
. Vasse ∗, S. Gaucheron , R. Tardivel , G. SémanaEFS Bretagne, Rennes, France
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (J. Vasse).e plasma utilisé en thérapeutique est un plasma humain issu d’un don volon-
aire anonyme et gratuit. Le prélèvement se fait par aphérèse plasmatique,uis est congelé pour la conservation. L’Établissement francais du sang dis-ose de plusieurs plasmas thérapeutiques, tous viro-atténués, le plasma traitéar bleu de méthylène, le plasma traité par Amotosalen et le plasma traité parolvant–détergent. Le plasma frais congelé (PFC) se conserve sur des pochese 200 mL pendant un an à une température inférieure à –25 ◦C. Le plasmahérapeutique doit être délivré décongelé en moins de 30 min pour préserver laoncentration en facteur VIII qui doit être supérieure à 0,7 UI/mL. L’objectife cette étude est d’évaluer l’automate Sahara-III, de chez Transmed, dans unetilisation en routine de décongélation de PFC, par rapport au décongélateurelmer, qui utilise un système de bain-marie à 37 ◦C avec agitation. Cet auto-ate utilise un processus de décongélation à sec (air chaud soufflé), et non l’eau
omme agent d’échange de chaleur. Nous avons étudié le temps de décongéla-ion, en fonction du nombre de plasma à décongeler et en fonction du systèmee ventilation et du mode de réchauffement, avec deux modules, le modulelateau chauffant et le module Maxitherm double plateau non chauffant. Pourontrôler la température, nous avons utilisé des thermopuces de chez Waranet.n conclusion, l’utilisation du double plateau avec réchauffement permet uneécongélation jusqu’à quatre plasmas à la fois, dans les temps autorisés par laéglementation.
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ransfusion des polytraumatisés accueillis au service desrgences de l’HIA Sainte-Anne à Toulon. Perisse a, V. Helle-Cellarier b, G. Delort a, P. Aguilon b,∗Hôpital d’instruction des armées Sainte-Anne, Toulon, FranceCTSA, Toulon, France
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (P. Aguilon).ontexte.– L’hôpital d’instruction des armées Sainte-Anne de Toulon est unôpital polyvalent, doté de lits de neurochirurgie, de grands brûlés, d’un servicee radiologie interventionnelle et équipé d’un héliport. Un site du Centre deransfusion sanguine des armées est implanté dans ses murs. De fait, son service’accueil des urgences(SAU) recoit de nombreux polytraumatisés hémorra-iques.éthode.– Nous avons analysé les transfusions de ces patients au cours de
’année 2009, avec pour objectif l’amélioration de leur prise en charge et laécurité transfusionnelle.oyens.– Nous avons utilisé un relevé prospectif des traumatisés graves, les
ases de données informatiques de l’hôpital et du site de transfusion. Outre laypologie des patients et leur devenir, sont relevés le degré d’urgence, les produits
anguins labiles délivrés (PSL), la notion de troubles de la coagulation, l’apporte médicaments dérivés du sang, les moyens d’hémostase mis en œuvre. Laonformité du dossier transfusionnel est vérifiée.ésultats.– En une année, 121 blessés graves ont été pris en charge au SAU.uarante-cinq ont été transfusés (37 %). La transfusion a été initiée aux urgences0dsts
ologique 17 (2010) 404–434
our 29 d’entre eux. Des concentrés de globules rouges (CGR) ont été prescrits2 fois en urgence vitale immédiate. La transfusion de CGR et de plasma até massive ou dans le cadre d’un choc hémorragique 16 fois. Des concentréslaquettaires ont été utilisés six fois dans ce contexte.iscussion.– Après description des modalités de la délivrance de sang enrgences vitales immédiates mises en place à l’hôpital, sont discutés les délaisvant transfusion et le respect des bonnes pratiques transfusionnelles. Les dif-cultés logistiques sont abordées au regard de la fréquence des transfusionsassives et de l’évolution récente des indications des PSL transfusés dans ce
ontexte. Les incidents de la chaîne transfusionnelles sont analysés, notammentes difficultés d’identification et de groupage, et les solutions qui peuvent êtrepportées aux interfaces Samu/SAU/délivrance sont envisagées.
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rganisation de la sécurité transfusionnelle au sein de’hôpital privé Sainte-Marie. Gaudriot ∗, F. Guinet , P. Derreveaux
Hôpital privé Sainte-Marie, Chalon-sur-Saône, France
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (J. Gaudriot).’hôpital privé Sainte-Marie est un établissement ayant une activité mixte méde-ine (64 lits dont dix de soins continus) et chirurgie (170 lits dont huit deostopératoires) avec une unité importante d’oncologie (34 lits de chimiothé-apie). Un audit d’hémovigilance a été réalisé le 28 février 2007 à la suite d’unncident transfusionnel grave. Sept remarques ont été faites et concernaient lesransports de produits sanguins labiles (PSL), la prescription des PSL, la conser-ation des poches, l’information pré et post-transfusionnelle, la connaissance derotocoles, la gestion des non-conformités, la procédure d’urgence vitale. Leseux premières étapes ont concerné la mise en place d’un comité transfusionnelt la rédaction d’un référentiel consacré à l’acte transfusionnel. Il a donc étéécidé en 2007, de se mettre en conformité avec les exigences réglementairest les bonnes pratiques. Un programme de formation concernant la réalisatione l’acte transfusionnel a été établi. Nous avons rédigé un mémento de pocheui a été remis à tous les soignants. L’ensemble du personnel, a été resensi-ilisé sur l’importance de la surveillance de la transfusion et la nécessité deéclarer tout incident observé. La Drass a réalisé plusieurs séances de forma-ion sur les sujets de pratique transfusionnelle (36 personnes), sur les groupesanguins (29 personnes) et sur les effets indésirables. Cette action est continuéear l’ARS. Un groupe de référent a été mis en place dans tous les services ayantne activité transfusionnelle. À chaque réunion de la Commission de sécuritéransfusionnelle et d’hémovigilance, ils sont présents ou représentés par un col-ègue ce qui permet une information directe du personnel. L’acte transfusionnelst enregistré sur le système Cursus qui permet une gestion immédiate de laracabilité avec un poste de saisie dans chaque service. La liaison entre notreaboratoire et l’EFS est réalisée. Les prescriptions sont faites par les médecinsirectement sur le système informatique.
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rise en charge des patients haïtiens transférés au CHU deort-de-France après le séisme du 12 janvier 2010. Kerob-Bauchet a,∗, G. Vesin a, D. Résière b, H. Mehdaoui b
Unité d’hémovigilance, CHU de Fort-de-France, Fort-de-France, FranceRéanimation, CHU de Fort-de-France, Fort-De-France, France
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (B. Kerob-Bauchet).e 12 janvier 2010 à 16 :53 (heure locale) est survenu un séisme majeur enaïti (7,2 sur l’échelle de Richter), dont le bilan s’est élevé à plus de 230
00 morts et 200 000 blessés. Alors qu’une aide internationale massive étaitéclenchée, des équipes de secours parties de Martinique et de Guadeloupeont arrivées les premières sur place. Rapidement, elles ont transféré des cen-aines de ressortissants, de blessés graves sur les deux départements qui seont adaptés aux afflux massifs de patients avec l’aide de renforts de métro-