REFERENTIEL POUR LA
QUALITE ENVIRONNEMENTALE DES BATIMENTS
BUREAU/ENSEIGNEMENT
Décembre 2008
Mise en application : 16/12/2008
AVERTISSEMENT
Le présent document fait partie du référentiel de la marque NF Bâtiments Tertiaires -
Démarche HQE®.
Celui-ci est composé :
des règles générales de la marque NF,
des règles de certification de la marque NF Bâtiments Tertiaires - Démarche
HQE®,
du référentiel technique de certification, composé :
o du Référentiel du Système de Management de l’Opération générique pour
tous les secteurs tertiaires,
o du(des) Référentiel(s) pour la Qualité Environnementale des Bâtiments,
adapté(s) au(x) secteur(s) tertiaire(s) concerné(s), pouvant être
complété(s) par des exigences additionnelles,
o du(des) Guide(s) Pratique(s) du(des) référentiel(s) pour la Qualité
Environnementale des Bâtiments adapté(s) au(x) secteur(s) tertiaire(s)
concerné(s).
Cet ensemble constitue le référentiel de certification au sens du Code de la
Consommation.
Le présent Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments –
« Bureau/Enseignement », élaboré par Certivéa, est protégé par le droit d’auteur et a fait
l’objet d’un dépôt notarié. La notice copyright suivante est apposée sur toutes les pages
de ces référentiels :
© Certivéa – décembre 2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments –
« Bureau/Enseignement »
SOMMAIRE
Partie I : Qualité Environnementale du Bâtiment (QEB) 5
Cible 1 : Relation du bâtiment avec son environnement immédiat ................. 7
Cible 2 : Choix intégré des produits, systèmes et procédés de construction .. 19 Cible 3 : Chantier à faible impact environnemental .................................... 27 Cible 4 : Gestion de l’énergie .................................................................. 33
Cible 5 : Gestion de l’eau ....................................................................... 39 Cible 6 : Gestion des déchets d’activité .................................................... 43
Cible 7 : Maintenance, pérennité des performances environnementales ....... 49 Cible 8 : Confort hygrothermique ............................................................ 59 Cible 9 : Confort acoustique .................................................................... 69
Cible 10 : Confort visuel ........................................................................... 83 Cible 11 : Confort olfactif ......................................................................... 89
Cible 12 : Qualité sanitaire des espaces ..................................................... 93 Cible 13 : Qualité sanitaire de l’air ............................................................. 97 Cible 14 : Qualité sanitaire de l’eau ..........................................................103
Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage 111
REFERENTIEL POUR LA QUALITE
ENVIRONNEMENTALE DES
BÂTIMENTS
BUREAU/ENSEIGNEMENT
Partie I : Qualité Environnementale du Bâtiment (QEB)
Décembr e 2008
3 CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
1
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET PROCEDES DE CONSTRUCTION
5 GESTION DE L'EAU
6 GESTION DES DECHETS D'ACTIVITE
7 MAINTENANCE – PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
8 CONFORT HYGROTHERMIQUE
9 CONFORT ACOUSTIQUE
10 CONFORT VISUEL
11 CONFORT OLFACTIF
12 QUALITE SANITAIRE DES ESPACES
13 QUALITE SANITAIRE DE L'AIR
14 QUALITE SANITAIRE DE L'EAU
EC
O-C
ON
STR
UC
TIO
N
EC
O-G
ES
TIO
N
CO
NFO
RT
SA
NTE
Les 14 cibles de Qualité Environnementale du Bâtiment
2
4 GESTION DE L'ENERGIE
RELATION DU BATIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT IMMEDIAT
© Certivéa – décembre 2008 - mise en application : 16/12/2008 Cible 1
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 7/117 Partie I : QEB
RELATION DU BATIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
STRUCTURE DE LA CIBLE 1 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 1 ____________________
CIBLE 1
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES
PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
obtention du nombre minimum de POINTS* selon le tableau page suivante
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
50
* En fonction du contexte de l’opération
1
1.1. Aménagement de la parcelle pour un développement urbain
durable
1.2. Qualité d'ambiance des espaces extérieurs pour les usagers
1.3. Impacts du bâtiment sur le voisinage
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
Décomposition des points nécessaires
en fonction du contexte
Sous-cible
(nb pts)
N° Préoc- cupations
Points disponibles
au total
Points non soumis au contexte
Points soumis au contexte
Points minimum pour être TP
Hors contexte
Soumis
au contexte
1.1
(30pts)
1.1.1 3 0 333
5
PPPllluuusss dddeee
555000%%% dddeeesss
pppoooiiinnntttsss***
1.1.2 4 2 222
1.1.3 7 7 000
1.1.4 7 4 333
1.1.5 4 0 444
1.1.6 5 0 555
1.2
(12pts)
1.2.1 5 2 333
2
1.2.2 1 0 111
1.2.3 2 0 222
1.2.4 1 1 000
1.2.5 1 0 111
1.2.6 1 0 111
1.2.7 1 1 000
1.3
(8pts)
1.3.1 2 0 222
1
1.3.2 1 0 111
1.3.3 1 0 111
1.3.4 3 2 111
1.3.5 1 1 000
(50 pts) 50 20 333000 8 >>> 555000 %%%
Les possibilités de traitement des préoccupations dépendent de l’analyse de site, des contraintes du projet et des objectifs majeurs de la maîtrise d’ouvrage.
La sous cible 1.3 est sans objet pour les projets sans voisinage à proximité. Pour les projets avec voisinage lointain, seul le niveau BASE est requis pour cette sous-cible.
La sous-cible 1.3 s’applique entre les bâtiments d’un même site si celui-ci a une emprise
importante, nécessitant une réflexion d’aménagement urbain interne. Les points contextuels sont indiqués en rrreeelll iiieeefff iiitttaaalll iiiqqquuueee vvveeerrrttt dans le texte.
*Le maître d’ouvrage devra justifier dans un document, à partir de l’analyse de site
(Annexe A.1 du SMO), des points contextuels applicables à son opération, et obtenir a minima 50 % de ces points contextuels. Dans le cas ou aucune justification n’est réalisée, tous les points contextuels s’appliquent à l’opération.
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 1 __________
1.1. Aménagement de la parcelle pour un développement urbain
durable
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
1.1.1. Assurer la cohérence entre l’aménagement de la parcelle et la politique de la collectivité Cohérence avec la politique locale d’aménagement et de développement
durable du territoire Prise en compte des enjeux de développement urbain durable de la collectivité et réponse pertinente en fonction de l’opération vis-à-vis de l'exploitation rationnelle des réseaux ou ressources disponibles localement (énergie, EnR, eau, assainissement), et en vue de minimiser les nouvelles contraintes sur la collectivité (déchets, entretien infrastructures, services).
Limiter la consommation de territoire et optimiser la requalification urbaine Une réflexion est menée sur la limitation de la consommation de territoire et la requalification urbaine.
Etude de dispositions justifiées et satisfaisantes au regard du projet.
Evolutivité du plan masse Si le contexte le permet, les évolutions futures et potentielles du plan masse sont intégrées dans une réflexion globale.
B
TTTPPP
TTTPPP
222
111
1.1.2. Optimiser les accès et gérer les flux
Identification des différents accès au bâtiment (VL, PL, deux-roues, piétons, transports en commun, livraisons, déchets). Assurer : la facilité d’accès des parkings VL au bâtiment, la lisibilité et la sécurisation des cheminements piétons par rapport aux voiries, la fluidité des accès piétons.
ET
Accès réfléchi en question d’accessibilité pour les personnes handicapées, qu’elles fassent partie du personnel ou des usagers. Dispositions justifiées et satisfaisantes pour que les zones de livraison et de déchets possèdent des accès clairement différenciés permettant un cheminement spécifique.
Si le projet est voisin de « liaisons douces », un accès sécurisé le plus direct possible à ces liaisons est aménagé, jusqu’aux entrées et zones de stationnement deux-roues éventuellement mises en place. Si le projet est voisin d’un arrêt de transport en commun, un accès sécurisé le plus direct possible à ces arrêts est aménagé, jusqu’aux entrées.
Sécurisation de tous les types d’accès. Etude et dispositions prises relatives à
la sécurisation des différents accès.
B
P
TTTPPP
TTTPPP
TP
111
111
2
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
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1
1.1.3. Maîtriser les modes de déplacement et favoriser ceux qui sont les moins polluants pour une fonctionnalité optimale
Réflexion sur les modes de déplacements, notamment les modes doux, visant à proposer des dispositions satisfaisantes en regard du contexte du projet. Véhicules particuliers : - Respecter le nombre de places de parking autorisé par les réglementations. - Optimiser au strict nécessaire le nombre de places de parkings.
- Dispositions prises pour gérer au mieux les places de parking optimisées (systèmes automatisés, gardiennage, placement, etc.).
Favoriser le recours aux véhicules propres : - Présence d’une zone de stationnement réservée aux véhicules propres. - Présence d’une zone de stationnement réservée aux véhicules propres équipée de dispositifs favorisant leur utilisation.
Favoriser le recours aux modes de déplacement doux : - Prendre en compte a minima les déplacements à vélos par la mise en place d’emplacements vélos à proximité des entrées, à destination du personnel. - Les emplacements vélos sont dimensionnés au regard d’une estimation des flux (au minimum du personnel) ou des documents d’urbanisme, et sont situés à proximité immédiate des entrées.
- Les emplacements vélos, dimensionnés correctement comme indiqué ci-dessus, sont sécurisés et abrités (locaux, abris). - ET Présence d’espaces communs appropriés (vestiaires, douches) pour les personnels cyclistes.
Assurer la proximité avec les transports en commun.
Suite à l’étude de faisabilité du projet : - Réflexion pour intégrer les transports en commun dans la conception du projet. Cette réflexion adaptée au contexte du projet doit permettre d’anticiper les évolutions et raccordements futurs des différents modes de transports en commun. - Implantation du projet à moins de 400m d’un arrêt de transport en commun. - Implantation du projet à moins de 200m d’un arrêt de transport en commun.
B
B P
TP
TP TP
B
P
TP
TP
P
TP TP
1
1 2
1
2
1 2
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
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1
1.1.4. Préserver / Améliorer la qualité écologique et paysagère du site Dispositions justifiées et satisfaisantes prises en regard du contexte, afin de concevoir l’aménagement de la parcelle et du bâti en dialogue avec le paysage et
le site environnant. Espèces plantées Choix d’espèces végétales complémentaires entre elles, non invasives, non allergènes (aspect traité en préoccupations 1.2.5 et 1.3.3) bien adaptées au climat et au terrain, de façon à limiter les besoins en arrosage, maintenance et engrais.
Taux de végétalisation de la parcelle :
- Tous les espaces extérieurs hors parvis, cours, voiries et stationnements sont végétalisés. - Les surfaces végétalisées respectent les exigences réglementaires ou les documents d’urbanisme locaux, et représentent au minimum 20% de la surface de la parcelle.
- Les surfaces végétalisées respectent les exigences réglementaires ou les documents d’urbanisme locaux, et représentent au minimum 30% de la surface de la parcelle. Favoriser la présence végétale partout où cela est possible sur le bâti. - Surface végétalisée du bâti ≥ 0,2xSurface de l’enveloppe du bâti.
Traitement des stationnements VL - Concevoir les stationnements aériens (au sol) pour VL de manière paysagée, en respectant les réglementations ou documents d’urbanisme locaux.
- Concevoir les stationnements aériens (au sol) pour VL de manière paysagée en améliorant de 50% les exigences réglementaires ou documents d’urbanisme applicables (nombre de plants, etc.).
Modelage paysager du terrain Utilisation des caractéristiques de la parcelle pour optimiser le projet au regard du modelé naturel du terrain. Optimisation des importations / exportations de matériaux (merlons, buttes, talus, etc.). Justification d’un bilan neutre en termes de terre enlevée/restituée.
Clôtures et dispositifs de sécurité Concevoir des clôtures, dispositifs et systèmes de sécurité ou de gardiennage, des zones déchets et/ou livraisons, intégrés de façon paysagère.
B
B
P
TP
TP
TP
B
TP
TTTPPP
TTTPPP
1
2
1
1
222
111
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
1.1.5. Préserver / Améliorer la biodiversité Etat des lieux sur la faune et la flore présente sur l’environnement immédiat du
bâtiment et de la parcelle. Dispositions justifiées et satisfaisantes pour préserver la biodiversité végétale et animale en regard du contexte. Réflexion sur l’aménagement de la parcelle pour perturber le moins possible la faune (bruit, éclairage) et endommager le moins possible la flore (rejets polluants). Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Flore En fonction de l’état des lieux réalisé, choix et introduction d’espèces végétales
diversifiées, non invasives, bien adaptées au climat et au terrain (de façon à limiter les besoins en arrosage, maintenance et engrais), dans un but d’accroître la biodiversité végétale du site. Au moins trois espèces différentes correspondant à ces exigences sont introduites.
Faune En fonction de l’état des lieux réalisé, reconstitution de l’habitat et des conditions de vie de la faune sur la parcelle. Mise en valeur de la biodiversité En fonction de l’état des lieux réalisé, et en présence d’espèces végétales ou
animales remarquables : dispositions prises pour que les usagers soient en contact avec la faune et la flore. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
B
TTTPPP
TTTPPP
TTTPPP
TTTPPP
111
111
111
111
1.1.6. Intégration paysagère de la gestion des eaux pluviales et/ou usées
Dispositions prises pour intégrer la gestion du couple rétention/infiltration et/ou la gestion des eaux usées effectuées en cible 5 de façon paysagère. Eaux de ruissellement des parcelles voisines : Si l’analyse du site montre un enjeu particulier dans ce domaine, le ruissellement des parcelles voisines susceptibles d’impacter le ruissellement des eaux pluviales
sur la parcelle est pris en compte dans cette réflexion, et des dispositions sont prises pour assurer l’infiltration/rétention de la totalité des eaux pluviales prises en compte.
TTTPPP
TTTPPP
333
222
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
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1
1.2. Qualité d’ambiance des espaces extérieurs pour les usagers
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
1.2.1. Créer une ambiance climatique extérieure satisfaisante Relativement au vent A partir de l’analyse du site et du projet, identification des effets indésirables du
vent. Dispositions architecturales et de plan masse justifiées et satisfaisantes pour
protéger les zones sensibles des vents. Sur les zones où les effets locaux du vent sont à craindre, dispositions particulières prises pour limiter ces effets locaux. Relativement aux précipitations
A partir de l’analyse du site et du projet, identification des effets indésirables des précipitations et des zones susceptibles d’être touchées. Dispositions architecturales et de plan masse prises pour protéger ces zones. Relativement au rapport au soleil A partir de l’analyse du site et du projet, identification :
- du potentiel d’ensoleillement de la parcelle, - des impacts de l’environnement bâti, - des éventuels masques naturels ou artificiels présents sur le site,
- de besoins de protection du soleil ou de création de zones ombragées. Dispositions architecturales, paysagères et de plan masse justifiées et satisfaisantes pour optimiser le rapport au soleil sur la parcelle.
La gestion du rapport au soleil sur la parcelle participe à la conception bioclimatique du bâti, et permet de limiter l’effet d’« îlot de chaleur ».
Les cheminements fonctionnels au sein d’un même site OU les cheminements piétons entre les zones de stationnements (véhicules) et les entrées du bâtiment sont abrités. Les cheminements fonctionnels au sein d’un même site ET les cheminements
piétons entre les zones de stationnements (véhicules) et les entrées du bâtiment sont abrités.
B
TTTPPP
B
B
TP
TTTPPP
TTTPPP
111
2
111
222
1.2.2. Créer une ambiance acoustique extérieure satisfaisante
A partir de l’analyse du site et du projet, identification des sources de bruit en extérieur générées par : - l’environnement immédiat ou l’opération, - les bruits des équipements techniques de l’opération (respect des émergences réglementaires), - les sources extérieures à l’opération (voies, équipements voisins, etc.),
- les activités bruyantes de la parcelle (locaux, accès, entretien, livraisons, etc.). Aménagement de la parcelle en conséquence afin de protéger les espaces extérieurs fréquentés en fonction des activités auxquelles ils sont destinés. Dispositions d’aménagement et de plan masse justifiées et satisfaisantes. Prendre des dispositions architecturales et techniques justifiées et satisfaisantes pour limiter les nuisances sonores sur la parcelle.
B
TTTPPP
111
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
1.2.3. Créer une ambiance visuelle satisfaisante A partir de l’analyse du site, et du projet identification des potentialités et
contraintes du patrimoine naturel et bâti en termes d’accès aux vues. Aménagement de la parcelle afin d’optimiser l’accès aux vues : - respect des documents d’urbanisme (prospects, gabarits, etc.), - offrir autant que possible des vues sur des espaces naturels, - limiter les nuisances visuelles engendrées par l’environnement bâti immédiat. Dispositions d’aménagement et de plan masse justifiées et satisfaisantes.
Si le site et l’opération le permettent : dispositions architecturales et techniques offrant des vues depuis les espaces extérieurs de la parcelle permettent aux
usagers d’avoir des repères visuels agréables et/ou remarquables, et permettant une appropriation et une valorisation de ces vues depuis le site. Dispositions justifiées et satisfaisantes permettant cette mise en valeur des vues.
P
TTTPPP
222
1.2.4. Eclairage extérieur Aménagement de la parcelle assurant un éclairage extérieur optimal en fonction des espaces et des activités. Optimiser les sensations de confort et de sécurité pour les entrées, les accès, les
zones de stationnements (tous types), les zones de circulation reliant les bâtiments aux stationnements, les zones de tri des déchets et de livraison, les zones à faible luminosité naturelle ou sensibles du point de vue de la sécurité, etc. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Les cheminements fonctionnels entre bâtiments au sein d’un même site sont
éclairés spécifiquement. Les cheminements piétons entre les zones de stationnements (véhicules ou vélos) et les entrées du bâtiment, les zones de tri des déchets et de livraisons, les zones de faible luminosité naturelle, sont éclairés spécifiquement.
B
P
TP
1
1.2.5. Assurer des espaces extérieurs sains A partir de l’analyse de site et du projet : identification des risques de pollution des espaces extérieurs ou de nuisances olfactives. Aménagement de la parcelle en prenant en compte les risques de pollutions des
espaces extérieurs ou de nuisances olfactives. ET
Choisir les espèces végétales dans un souci d’impact sanitaire minimal sur la parcelle en évitant les espèces allergènes et toxiques, ainsi que celles susceptibles d’attirer des insectes indésirables. Minimiser les allergènes classés à risque 4 à 5. Dans le cas ou des systèmes de climatisation sont mis en place, quelle que soit
leur puissance, réflexion et dispositions afin de limiter les risques sanitaires sur les espaces extérieurs (tours aéro-réfrigérantes). Si le site le permet : véritable zonage des activités potentiellement polluantes et dangereuses pour la santé, ou sources d’odeurs désagréables sur la parcelle par rapport aux flux des usagers. Dispositions justifiées et satisfaisantes au regard du contexte.
B
P
TTTPPP
111
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
1.2.6. Accessibilité, bien-être et convivialité Respect des réglementations sur l’accessibilité.
ET Mise en place d’une signalétique adaptée à la fonctionnalité du site. En fonction du site et des activités, création d’espaces de repos, de bien-être et de convivialité. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
B
TTTPPP
111
1.2.7. Nuisance visuelle
Limiter les nuisances visuelles engendrées par les activités sur la parcelle. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
TP 1
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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1
1.3. Impacts du bâtiment sur le voisinage
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
1.3.1. Assurer le droit au soleil et à la lumière aux riverains A partir de l’analyse de site, identification de l’état existant et dispositions prises pour optimiser le droit au soleil et à la lumière des riverains au regard de la
situation de l’existant, notamment en travaillant sur la durée d’ensoleillement et
sur les effets de masques de l’implantation du projet sur les bâtiments voisins. Respect réglementaire. Amélioration de l’état existant lorsque le contexte le permet.
B
TTTPPP
222
1.3.2. Assurer le droit aux vues aux riverains A partir de l’analyse de site, identification de l’état existant en termes de vues. Dispositions prises pour optimiser le droit aux vues des riverains au regard de la situation de l'existant.
Les vues accessibles par les riverains ne sont pas affectées défavorablement par le projet, sans être forcément améliorées. Respect réglementaire en termes de surfaces d’espaces verts et de masques.
Amélioration de l’état existant lorsque le contexte le permet. Le projet améliore les vues accessibles aux riverains, en aménageant des espaces paysagers de
surfaces et de visibilité plus importants que l’existant, en soignant et en végétalisant le bâti, en diminuant éventuellement les masques.
B
TTTPPP
111
1.3.3. Assurer le droit à la santé aux riverains
Identification des risques sanitaires pour les riverains. Dispositions prises dans l’aménagement de la parcelle pour limiter le risque sanitaire pour les riverains. ET Choisir les espèces végétales dans un souci d’impact sanitaire minimal pour les riverains en évitant les espèces allergènes et toxiques, ainsi que celles susceptibles
d’attirer des insectes indésirables. Minimiser les allergènes classés à risque 4 à 5. Dans le cas ou des systèmes de climatisation sont mis en place, quelle que soit leur puissance, réflexion et dispositions afin de limiter les risques sanitaires pour les riverains (tours aéro-réfrigérantes). Si le site le permet : véritable zonage des activités potentiellement polluantes,
dangereuses pour la santé ou sources d’odeurs désagréables pour les riverains. Dispositions justifiées et satisfaisantes au regard du contexte.
B
P
TTTPPP
111
RELATION DU BÂTIMENT AVEC SON ENVIRONNEMENT
IMMEDIAT
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 17/117 Partie I : QEB
1
1.3.4. Assurer le droit au calme aux riverains Identification des nuisances acoustiques pour les riverains.
Dispositions prises dans l’aménagement de la parcelle pour limiter les nuisances acoustiques des aires extérieures, des équipements et des activités du bâtiment sur les riverains. Relativement aux bruits des espaces extérieurs Localisation adéquate des espaces extérieurs bruyants (entrées, voiries, livraisons,
déchets, etc., hors équipements et locaux d’activités) pour minimiser la gêne sur les riverains.
Fixer, pour les bruits produits par les espaces extérieurs, des objectifs de niveaux sonores et d’émergences à ne pas dépasser pour les parcelles riveraines allant au-delà du simple respect réglementaire. Prendre des dispositions pour atteindre ces objectifs, et démontrer leur atteinte par
simulation ou mesure. Relativement aux bruits d’équipement ET aux bruits des espaces intérieurs Localisation adéquate des équipements et des locaux émetteurs afin de limiter la propagation des bruits d’équipement hors des limites du site (le jour et la nuit). Respect des exigences réglementaires en termes d’émergences.
Fixer, pour les bruits produits par les équipements ET pour les bruits produits par les activités du bâtiments (locaux émetteurs de bruits dus aux activités) des objectifs de niveaux sonores et d’émergences à ne pas dépasser pour les parcelles riveraines allant au-delà du simple respect réglementaire.
Prendre des dispositions pour atteindre ces objectifs, et démontrer leur atteinte par simulation ou mesure.
B
TTTPPP
B
TP
111
2
1.3.5. Limiter la pollution visuelle nocturne Dispositions prises pour que l’éclairage optimisé pour le confort et la sécurité, ainsi que toute la signalétique du site n’occasionne pas de pollution visuelle nocturne
pour les riverains.
TP 1
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008. Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 19/117 Partie I : QEB
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET PROCEDES DE
CONSTRUCTION
STRUCTURE DE LA CIBLE 2 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 2 ____________________
CIBLE 2
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
+ 20 POINTS
dont 2 POINTS sur la préoccupation 2.3.1
2 POINTS sur la préoccupation 2.4.1 (exigence marquée de deux astérisques)
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
55
2
2.1. Choix constructifs pour la durabilité et l'adaptabilité de
l'ouvrage
2.2. Choix constructifs pour la facilité d'entretien de l'ouvrage
2.3. Choix des produits de construction afin de limiter les impacts
environnementaux de l'ouvrage
2.4. Choix des produits de construction afin de limiter les impacts
sanitaires de l'ouvrage
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 20/117 Partie I : QEB
2
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 2 __________
2.1. Choix constructifs pour la durabilité et l’adaptabilité de l’ouvrage
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
2.1.1. Réfléchir sur l'adaptabilité de l'ouvrage dans le temps en fonction
de sa durée de vie souhaitée et de ses usages Réflexion sur l'adaptabilité du bâtiment sur une durée de vie courte.
Classification des locaux selon la fréquence d’adaptation attendue : locaux à adaptation fréquente /occasionnelle/ n’ayant pas vocation à être adaptés.
ET Mener une réflexion sur l’adaptabilité des locaux selon leur classification. Des dispositions organisationnelles et de dimensionnement satisfaisantes ont été prises pour permettre d’adapter l’ouvrage aux éventuelles évolutions d’usages ou de besoins sur une durée de vie courte, sans envisager d’évolution des systèmes,
du second œuvre ou de structure. Idem ci-dessus sur la durée de vie courte et la durée de vie souhaitée. Dispositions prises pour permettre l’adaptabilité de l’ouvrage sur sa durée
de vie souhaitée, sans envisager d’évolution de sa structure. Note justificative démontrant que des dispositions architecturales de second œuvre
et des solutions techniques évolutives ont été prises pour permettre d’adapter l’ouvrage aux éventuelles évolutions d’usages et de besoins sur la durée de vie courte et sur sa durée de vie, sans envisager d’évolution de structure. Dispositions prises pour identifier et prévoir dès la conception de l’ouvrage sa possible expansion horizontale et/ou verticale en fonction des évolutions prévisibles des usages et des besoins, en anticipant des
évolutions possibles de structure. Note justificative démontrant que des dispositions architecturales de gros œuvre ont été prises pour permettre d’adapter l’ouvrage aux éventuelles évolutions d’usages et de besoins sur sa durée de vie.
B
P
TP
TP
3
8
2.1.2. Adapter les choix constructifs aux durées de vie de l’ouvrage Adéquation de la durée de vie des produits, systèmes et procédés de gros œuvre avec la durée de vie du bâtiment Démontrer que les choix effectués sont en adéquation avec la durée de vie souhaitée de l’ouvrage.
Adéquation de la durée de vie des produits, systèmes et procédés de gros œuvre ET de second œuvre en fonction de leurs usages avec les durées de vie du bâtiment. Note justificative démontrant que les choix effectués sont en adéquation avec les durées de vie établies en 2.1.1.
B
P
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 21/117 Partie I : QEB
2
2.1.3. Réfléchir sur la démontabilité / séparabilité des produits, systèmes et procédés de construction En cohérence avec la réflexion menée en 2.1.1, réflexion sur la séparabilité des produits de second œuvre permettant une séparabilité aisée des produits de
second œuvre pour une gestion aisée de leur fin de vie. Note justificative démontrant que cette réflexion a été menée. ET Démontabilité des équipements et systèmes techniques. Au moins 50% (en surface) des produits de second œuvre (lots architecturaux) sont séparables aisément.
Les procédés constructifs sont entièrement séparables.
P
TP
TP
3
6
2.1.4. Choisir des produits, systèmes ou procédés dont les caractéristiques sont vérifiées et compatibles avec l’usage
Le maître d’ouvrage utilise, dans les domaines où ils existent, et dans des conditions permettant une mise en concurrence objective, des produits, systèmes ou procédés dont les caractéristiques d’aptitude à l’emploi ont été évaluées et vérifiées par un tiers indépendant. Les produits choisis devront être compatibles avec l’usage de l’ouvrage et de
chaque zone ou local, en termes d’agressivité éventuelle de l’air intérieur, de taux d’humidité, de produits stockés, de risque incendie, etc.
B
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 22/117 Partie I : QEB
2
2.2. Choix constructifs pour la facilité d’entretien de l’ouvrage
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
2.2.1. Assurer la facilité d’accès pour l'entretien du bâti
Dispositions prises pour faciliter l’accès fréquent aux éléments des familles suivantes dans tous les espaces :
revêtements intérieurs (sol, mur, plafond), cloisons intérieures,
plafonds, fenêtres, menuiseries, vitrages.
La fréquence d’accès pour l’entretien de ces familles d’éléments doit être définie en fonction des locaux, des usages et des besoins.
De plus, une étude d’accessibilité aux différents éléments de l’enveloppe (façades, protections solaires, toitures) est demandée. Cette étude doit traiter de la fréquence et des conditions d’accès, de la gêne occasionnée aux usagers.
Dispositions prises pour faciliter l'accès aux éléments des familles suivantes : façades, protections solaires,
toitures. En fonction de l’étude d’accessibilité réalisée, des dispositions justifiées et satisfaisantes sont prises afin de permettre un accès aisé à ces familles en fonction
des fréquences déterminées par le maître d’ouvrage. Ces dispositions peuvent être des dispositions avec l’ajout d’éléments extérieurs mobiles ponctuels (dispositifs d’accroche permettant l’utilisation de nacelles,
échelles, etc.), ou des dispositions architecturales fixes (passerelles sécurisées, escaliers d’accès aux équipements en toitures, etc.).
Accès facile à tous les éléments des familles suivantes : façades, protections solaires, toitures.
Les éléments (fixes ou mobiles) mis en œuvre en fonction de l’étude d’accessibilité
réalisée permettent des accès aisés à ces familles, sans gêner les usagers, ni perturber le fonctionnement normal du bâtiment.
B
P
TP
3
2.2.2. Choisir des produits de construction faciles à entretenir et limitant
les impacts environnementaux de l’entretien
Choix de produits de construction faciles à entretenir et limitant les impacts environnementaux de l’entretien, pour les revêtements intérieurs (sols, murs, plafonds), en fonction de la fréquence d’entretien prévue. La fréquence d’entretien des éléments de ces familles doit être définie en fonction
des usages et des besoins.
Choix justifié de produits, systèmes et procédés nécessitant peu d’entretien ou à faible entretien, et limitant les impacts environnementaux de l’entretien, pour au moins 50% des surfaces de deux des familles suivantes : fenêtres, menuiseries, vitrages,
façades, protections solaires,
toitures.
P
TP
3
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 23/117 Partie I : QEB
2
2.3. Choix des produits de construction afin de limiter les impacts environnementaux de l’ouvrage
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
2.3.1. Connaître la contribution des produits de construction aux impacts
environnementaux de l’ouvrage Connaissance, selon la norme NF P01-010, des indicateurs d’impact à l’échelle de l’ouvrage, sur sa durée de vie.
Pour au minimum 50% des éléments d’au moins trois familles de produits (une
de GO, deux de SO), connaissance des valeurs des impacts : consommation de ressources énergétiques (en kWh-ep/m²SHON.an) changement climatique (kg-eq CO2/an.m²SHON) Pour au minimum 50% des éléments d’au moins six familles de produits (deux de GO et 4 de SO), connaissance des valeurs des impacts : consommation de ressources énergétiques (en kWh-ep/m²SHON.an)
consommation de ressources non énergétiques (kg/an.m²SHON) changement climatique (kg-eq CO2/an.m²SHON) consommation d’eau (l/an.m²SHON) déchets éliminés (kg/an.m²SHON) Pour au minimum 80% des éléments d’au moins six familles de produits,
connaissance des valeurs des impacts :
consommation de ressources énergétiques (en kWh-ep/m²SHON.an) consommation de ressources non énergétiques (kg/an.m²SHON) changement climatique (kg-eq CO2/an.m²SHON) consommation d’eau (l/an.m²SHON) déchets éliminés (kg/an.m²SHON) Pour au minimum 80% des éléments de toutes les familles de produits,
connaissance des valeurs des impacts : consommation de ressources énergétiques (en kWh-ep/m²SHON.an) consommation de ressources non énergétiques (kg/an.m²SHON) changement climatique (kg-eq CO2/an.m²SHON) consommation d’eau (l/an.m²SHON) déchets éliminés (kg/an.m²SHON)
Pour au minimum 80% des éléments de toutes les familles de produits, connaissance des valeurs des dix impacts. Connaissance des valeurs des dix impacts pour 100% des éléments de toutes les familles de produits.
B
P
TP
TP
TP
TP
2
3
4
6
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 24/117 Partie I : QEB
2
2.3.2. Choisir les produits de construction pour limiter leur contribution aux impacts environnementaux de l’ouvrage Pour les trois parties de la préoccupation : utilisation des calculs faits au 2.3.1 pour aider au choix global des produits.
Si la cible 4 a été choisie comme TP :
Pour les familles étudiées, le choix des produits a pris en compte le critère de consommation de ressources énergétiques, pour le gros œuvre.
Sinon : Aucune exigence.
Différents scenarii de contribution des produits aux impacts de l’ouvrage ont été étudiés.
Le choix des produits de construction a pris en compte les critères environnementaux, pour le gros œuvre.
Différents scenarii de contribution des produits aux impacts de l’ouvrage ont été étudiés. Le choix des produits de construction a pris en compte de manière optimale les impacts environnementaux ci-dessus, pour le second-œuvre.
B
P
TP
3
2.3.3. Utiliser des matériaux et des produits issus de filières les plus courtes et moins polluantes Choix de produits en corrigeant les données relatives au transport obtenues en 2.3.1 par la distance réelle à la place de la distance moyenne prise en compte ET/OU
Définition d’une stratégie de transport du lieu de production, distribution ou
extraction sur le chantier en privilégiant les filières les plus courtes et moins polluantes.
TP 3
2.3.4. Mettre en œuvre un volume minimum de bois
Mettre en œuvre un volume minimum de bois certifié FSC ou PEFC de 30dm3/m²
SHON.
TP
3
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 25/117 Partie I : QEB
2
2.4. Choix des produits de construction afin de limiter les impacts sanitaires
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
2.4.1. Connaître l'impact sanitaire des produits de construction vis-à-vis
de la qualité d’air intérieur (*) Parmi les matériaux de l’ouvrage en contact avec l’air intérieur :
Pour au moins 25% des surfaces en contact avec l’air intérieur des locaux occupés, connaissance brute des émissions de COV et formaldéhyde,
ET Teneurs en COV connues pour les peintures et vernis d’intérieurs. Idem ci-dessus, pour 50% des surfaces en contact avec l’air intérieur Idem ci-dessus, pour 100% des surfaces en contact avec l’air intérieur (**)
L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond en contact avec
l’air intérieur respecte les seuils d’émission de COV, formaldéhyde, Cancérogènes 1 et 2 de l’un des protocoles cités dans le guide pratique.
TVOC sol / mur : L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 : Sol : 1000 et Mur : 1000
Sol : 250 et Mur : 500
Formaldéhyde sol / mur : L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 : 62,5 (sol) – 125 (mur) 40 (sol et mur) 20 (sol et mur) 10 (sol et mur)
Cancérogènes 1 et 2 : L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 : 5 2,5 1
Pour 100% des surfaces en contact avec l’air intérieur, connaissance brute des émissions de substances CMR 1 et 2 intentionnellement introduites dans le procédé de fabrication ou naturellement présentes dans les matières premières utilisées dans les produits, présentes à plus de 0,1% en masse, et susceptibles de migrer.
B
P TP
TP
TP
TP
TP TP TP TP
TP TP TP
TP
2
2
1
2
1 2 3 4
1 2 3
2
* Ces exigences seront modifiées par les lois issues du Grenelle de l’environnement. ** Si le niveau TP est visé en cible 2, cette exigence doit être traitée obligatoirement
CHOIX INTEGRE DES PRODUITS, SYSTEMES ET
PROCEDES DE CONSTRUCTION
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 2
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 26/117 Partie I : QEB
2
2.4.2. Choisir les produits de construction pour limiter les impacts sanitaires de l’ouvrage Prise en compte du critère sanitaire (cf. préoccupation ci-dessus : émissions de COV et de formaldéhyde) dans le choix des produits en contact avec l’air intérieur.
Pour 50% des surfaces retenues. Pour 75% des surfaces retenues. Pour 100% des surfaces retenues.
P TP TP
1 2
2.4.3. Connaître les émissions de fibres et de particules des produits en
contact avec l’air
S’assurer que les produits en contact avec l’air intérieur (revêtements intérieurs, isolants thermiques, matériaux acoustiques) ne dégagent pas de particules et de fibres cancérogènes. Utilisation de matériaux répondant aux tests prévus par la Directive Européenne 97/69/CE du 5/12/97 transposée en droit français le 28/8/98 ou de matériaux
bénéficiant d’une certification ACERMI.
B
2.4.4. Limiter la pollution par les éventuels traitements des bois
Les bois éventuellement mis en œuvre sont : - d’essence naturellement durable, sans traitement préventif, pour la classe de risque concernée, conforme au guide du CTBA. OU - traités par un produit certifié CTB P+ adapté à la classe de risque, conforme au
guide du CTBA.
TP 3
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 27/117 Partie I : QEB
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
STRUCTURE DE LA CIBLE 3 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 3 _____________________________________
CIBLE 3
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
15 POINTS dont 8 sur la sous cible 3.1
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
35
3
3.1. Optimisation de la gestion des déchets de chantier
3.2. Limitation des nuisances pendant le chantier
3.3. Limitation des pollutions et des consommations de
ressources pendant le chantier
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 28/117 Partie I : QEB
3
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 3 __________________
3.1. Optimisation de la gestion des déchets de chantier
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
3.1.1. Optimiser la collecte, le tri et le regroupement des déchets de chantier
Identifier les déchets produits sur le chantier et classer ces déchets par typologie : Déchets dangereux (DD) Déchets inertes (DI) Déchets industriels banals (DIB) Déchets d’emballages
ET Estimer les quantités produites pour chaque typologie de déchet.
Dispositions prises pour favoriser la collecte et le tri différencié de chaque typologie de déchet de manière à pouvoir respecter l’enlèvement des déchets réglementés. ET Mettre en œuvre une signalétique claire à proximité des zones de collecte et de tri si
le tri est réalisé sur le chantier. En s’appuyant sur l’analyse du site, intégrer au plan d’installation de chantier un plan de gestion des déchets de chantier précisant :
les modalités de collecte et de tri de chaque typologie de déchet,
Le degré de détail de tri pratiqué parmi les typologies de déchets en fonction de la place disponible et des filières en aval ;
ET Suivre les prescriptions de la recommandation T2-2000 aux maîtres d’ouvrage publics relative à la gestion des déchets de chantier. ET Suivre (pendant le chantier) le plan de gestion des déchets de chantier
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour optimiser la logistique et le mode opératoire de tri et de regroupement des déchets sur le chantier (en cas de tri sur le chantier).
B
B
P
TP
2
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 29/117 Partie I : QEB
3
3.1.2. Valoriser au mieux les déchets de chantier en adéquation avec les filières locales existantes et s’assurer de la destination des déchets Dispositions prises pour connaître la masse totale de déchets générés par le chantier (et ainsi pouvoir estimer les pourcentages de valorisation).
Déchets réglementés Respecter les exigences réglementaires d’élimination ou de valorisation
(emballages) des déchets réglementés ET Récupérer 100% des bordereaux de suivi des déchets réglementés.
Valorisation des déchets Choisir, pour chaque typologie de déchet, la filière d’enlèvement la plus satisfaisante d’un point de vue technique, environnemental et économique en privilégiant autant que possible la valorisation ET Pourcentage de déchets valorisés * (par rapport à la masse totale de déchets
générés) supérieur à : 30% (respectivement 40% en déconstruction préalable) 40% (respectivement 50% en déconstruction préalable) 50% (respectivement 70% en déconstruction préalable) 70% (respectivement 80% en déconstruction préalable)
Valorisation matière des déchets Pourcentage de déchets valorisés via une valorisation matière * (par rapport à la masse totale de déchets générés) supérieur à :
20%
50% 70%
* Justifier ces résultats par les bordereaux de suivi des déchets de chantier
B
B
a)
B P
TP TP
TP
TP TP
3 6
2
5 7
3.1.3. Réduire les déchets de chantier à la source Prendre des dispositions sur le management et l’organisation du chantier pour
limiter la masse de déchets de chantier. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Dispositions contractuelles prises vis-à-vis des fournisseurs pour limiter la masse de déchets de chantier. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Prendre des dispositions justifiées et satisfaisantes sur les modes de construction mis en œuvre pour limiter la masse de déchets de chantier. ET
Justification que les modes de construction mis en œuvre permettent une réduction
de la masse totale de déchets générés.
B
P
TP
4
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 30/117 Partie I : QEB
3
3.2. Limitation des nuisances sur le chantier
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
3.2.1. Limiter les nuisances acoustiques Identifier et caractériser les origines de bruits ayant un impact sur le personnel et les riverains et en déduire une stratégie de limitation des nuisances acoustiques de
manière à respecter les réglementations locales en vigueur. ET
Utiliser du matériel et des engins de chantier en conformité avec la réglementation ET Prendre des dispositions adéquates sur le matériel et les engins pour limiter les nuisances acoustiques. ET
Mettre en œuvre les dispositions organisationnelles adéquates pour limiter les nuisances acoustiques. Dispositions justifiées et satisfaisantes. Réaliser une étude acoustique pour identifier et caractériser les origines de bruits
ayant un impact sur le personnel et les riverains et : Se fixer un niveau acoustique maximum en limite de chantier et en déduire
une stratégie de limitation des nuisances acoustiques. ET
Prendre les mêmes dispositions que pour le niveau BASE précédent afin de respecter le niveau acoustique maximum visé en limite de chantier.
Idem niveau TRES PERFORMANT 1 point
ET implanter un dispositif de mesurage en continu des bruits en limite de chantier et :
Vérifier périodiquement (fréquence à déterminer) le respect du niveau acoustique maximum visé en limite de chantier pendant une durée de fonctionnement (préalablement déterminée) du dispositif de mesurage ;
Etre capable de prendre des mesures correctives en cas de dépassement du seuil visé.
Mise en œuvre de techniques constructives limitant les nuisances acoustiques. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
B
TP
TP
TP
1
3
2
3.2.2. Limiter les nuisances visuelles Réaliser un entretien hebdomadaire du chantier et de ses abords ET Respecter les dispositions du règlement sanitaire départemental
Dispositions prises pour limiter les nuisances visuelles dues au chantier. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
B
P
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 31/117 Partie I : QEB
3
3.2.3. Limiter les nuisances dues au trafic Respect des réglementations locales pour la circulation des véhicules.
Dispositions prises pour limiter les nuisances dues au trafic des véhicules. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Mener une réflexion sur l’acheminement du personnel sur le chantier et optimiser
le stationnement des véhicules du personnel pour produire le moins de gêne dans les rues voisines.
B
P
TP
1
3.2.4. Limiter les nuisances dues à la poussière, à la boue et aux laitances de béton
Dispositions prises pour garantir la propreté du chantier. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
Dispositions prises pour optimiser le nettoyage des engins et du matériel.
Dispositions justifiées et satisfaisantes.
P
TP
2
CHANTIER A FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 3
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 32/117 Partie I : QEB
3
3.3. Limitation des pollutions et des consommations de ressource sur le chantier
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
3.3.1. Limiter la pollution des eaux et du sol Prendre les dispositions réglementaires pour limiter la pollution des eaux et du sol ET Dispositions prises pour protéger les zones de stockage des produits polluants
utilisés lors du chantier
Identifier les produits potentiellement polluants utilisés lors du chantier (huiles de décoffrage principalement) ET Choisir des produits offrant une garantie de moindre toxicité
Dispositions prises pour récupérer les effluents polluants du chantier afin d’éviter une pollution accidentelle des eaux et du sol. Dispositions justifiées et satisfaisantes Dispositions prises pour récupérer les effluents polluants du chantier afin d’éviter une pollution accidentelle des eaux et du sol ET assurer le traitement de ces effluents récupérés.
Dispositions justifiées et satisfaisantes
b) B B
P
TP
TP
2
3
3.3.2. Limiter la pollution de l’air Prendre les dispositions réglementaires pour limiter la pollution de l’air
Dispositions prises sur les techniques constructives pour limiter les pollutions de l’air et le dégagement de poussières. Dispositions justifiées et satisfaisantes
B
TP
1
3.3.3. Limiter les consommations de ressources
Suivre les consommations d’eau et d’énergie pendant le chantier
Dispositions prises pour limiter les consommations d’eau et/ou d’énergie pendant le chantier. Dispositions justifiées et satisfaisantes
Dispositions prises pour limiter l’évacuation de terre lors du chantier. Dispositions
justifiées et satisfaisantes
B
TP
TP
2
2
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 4
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 33/117 Partie I : QEB
GESTION DE
L’ENERGIE
STRUCTURE DE LA CIBLE 4 _____________________
NOTA
Le contenu énergétique des matériaux et produits (l'énergie nécessaire à leur fabrication, le CO2 émis,
etc.) est abordé dans la cible 2 « Choix intégré des produits, systèmes et procédés de construction ».
Deux indicateurs globaux de consommations énergétiques regroupant ces deux aspects sont donnés en annexe des certificats délivrés.
EVALUATION DE LA CIBLE 4 ____________________
CIBLE 4
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
17 POINTS dont
15 sur la préoccupation 4.2.1
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
40
IMPORTANT Pour les bâtiments ou parties de bâtiments ayant l'obligation de respecter la Règlementation Thermique en vigueur, cette cible 4 doit obligatoirement être atteinte à un niveau Performant ou Très Performant. Dans les autres cas, on pourra se contenter de l'atteinte du niveau Base.
4
4.1. Réduction de la demande énergétique par la conception
architecturale
4.2. Réduction de la consommation d'énergie primaire
4.3. Réduction des émissions de polluants dans l’atmosphère
GESTION DE L’ENERGIE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 4
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 34/117 Partie I : QEB
4
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 4 __________
4.1. Réduction de la demande énergétique par la conception architecturale
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
4.1.1. Améliorer l'aptitude de l'enveloppe à limiter les déperditions
Expression de la valeur absolue du coefficient Ubât calculé selon la Règlementation Thermique en vigueur (W/m2.K) Ubât < Ubât,base.
B
4.1.2. Améliorer l’aptitude du bâtiment à réduire ses besoins énergétiques, en été comme en hiver Expression de la valeur absolue des besoins énergétiques totaux, et des besoins par poste (Bchauffage, Bfroid, Béclairage)
ET Justification de l'optimisation du parti architectural (emplacement, taille, orientation et aspect général du bâtiment) en fonction du contexte, de la typologie du bâtiment et des objectifs environnementaux du maître d'ouvrage.
P
4.1.3. Améliorer la perméabilité à l’air de l’enveloppe Expression de la valeur cible de l’indice de perméabilité à l’air I4 de l’enveloppe du bâtiment (m3/(h.m²)) Performance de perméabilité atteinte : I4 ≤ I4,référence
TP 2
GESTION DE L’ENERGIE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 4
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 35/117 Partie I : QEB
4
4.2. Réduction de la consommation d’énergie primaire
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
4.2.1. Réduire la consommation d’énergie primaire due au chauffage, au refroidissement, à l'éclairage, à l’ECS, à la ventilation, et aux auxiliaires de fonctionnement (selon le type de bâtiment) Expression de la valeur absolue du coefficient de consommation conventionnelle d’énergie primaire Cep (en kWh-ep/an et kWhep/an.m²SHON) calculé selon la
règlementation thermique en vigueur ([[[AAA]]] et [[[BBB]]]) pour le type de bâtiment considéré et détail par poste énergétique. Performance énergétique atteinte : Cep ≤ Cepréf Cep ≤ 0,80 Cepréf (ou niveau du label THPE) Cep ≤ 0,50 Cepréf (ou niveau du label BBC, marque Effinergie)
Au-delà, 1 point supplémentaire par tranche de 10% de gain : Cep ≤ 0,40 Cepréf Cep ≤ 0,30 Cepréf Cep ≤ 0,20 Cepréf Cep ≤ 0,10 Cepréf
Cep = 0 (Bâtiment à Energie 0) Production d’énergie (Bâtiment à Energie POSitive –label BEPOS)
OU
A partir du niveau PERFORMANT : Par Simulation Thermique Dynamique, calcul des consommations d’énergie primaires en kWhep/an.m²SHON pour les mêmes postes (avec le détail par
poste), et justification d’un gain de consommation d’énergie primaire équivalent Gain de 20% (ou niveau du Label THPE) Gain de 50% (ou niveau du Label BBC, marque Effinergie) Au-delà, 1 point supplémentaire par tranche de 10% de gain : Gain de 60% Gain de 70%
Gain de 80% Gain de 90%
Bâtiment à Energie 0 Production d’énergie (Bâtiment à Energie POSitive – label BEPOS)
Fournir une note justificative répondant à une demande de Titre V dédiée à une
opération de construction, et son agrément.
B P
TP
TP TP TP TP TP
TP
P
TP
TP TP
TP TP
TP TP
15
16 17 18 19 20
25
15
16 17
18 19
20 25
4.2.2. Utiliser des produits ou systèmes innovants ou non pris en compte par la règlementation thermique, et permettant un gain énergétique important
Prendre des dispositions justifiées et satisfaisantes pour mettre en place de tels produits ou systèmes permettant des gains justifiés de consommations d’énergie primaire d’au moins 20% par rapport à la référence réglementaire. Fournir une note justificative répondant à une demande de Titre V dédiée à un
produit ou système énergétique, et son agrément.
TP 2
GESTION DE L’ENERGIE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 4
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 36/117 Partie I : QEB
4
4.2.3. Limiter l’éclairage artificiel non réglementaire Dispositions justifiées et satisfaisantes prises pour limiter les consommations d’énergie primaire pour l’éclairage artificiel non réglementaire (et/ou rédaction d’exigences dans le cahier des charges preneurs).
P
4.2.4. Limiter les consommations des équipements électromécaniques Dispositions justifiées et satisfaisantes prises pour limiter les consommations
d’énergie relativement aux équipements électromécaniques
TP 1
4.2.5. Recours à des énergies renouvelables locales Réalisation d’une étude de faisabilité sur le recours aux énergies renouvelables
locales (EnR). Exploitation de filières énergétiques locales d'origine renouvelable : Expression du pourcentage de couverture des besoins par des énergies
locales d'origine renouvelable (détaillé par poste énergétique). Analyse et justification de la pertinence de la filière choisie.
La(les) filière(s) d’énergies renouvelables exploitée rempli(ssent) l’une des conditions suivantes : - la part de consommation conventionnelle de chauffage par un générateur
utilisant la biomasse est supérieure à 50%, - le système de chauffage est relié à un réseau de chaleur alimenté à plus de
60% par des énergies renouvelables,
- le projet est équipé d’un système de froid solaire assurant au moins 30% des consommations de froid,
- le projet est équipé de panneaux solaires assurant au moins 50% des consommations d’ECS,
La(les) filière(s) d’énergies renouvelables exploitée rempli(ssent) l’une des conditions suivantes :
- le projet est équipé de panneaux solaires assurant au moins 50% des consommations de l’eau chaude sanitaire ET de la part de consommation conventionnelle de chauffage par un générateur utilisant la biomasse est supérieure à 50%,
- le projet est équipé de panneaux solaires assurant au moins 50% des consommations de l’eau chaude sanitaire ET le système de chauffage est
relié à un réseau de chaleur alimenté à plus de 60% par des énergies
renouvelables, - le projet est équipé de panneaux solaires assurant au moins 50% de
l’ensemble des consommations de l’eau chaude sanitaire ET du chauffage, - le projet est équipé d’un système de production d’énergie électrique utilisant
les énergies renouvelables assurant une production annuelle d’électricité de plus de 25kWh/m² SHON en énergie primaire, cogénération comprise,
- le projet est équipé de pompes à chaleur performantes (respectant les exigences minimales décrites dans le Guide Pratique).
Point complémentaire : Mise à disposition de moyens (ou pré-équipement) pour mettre en place des énergies renouvelables remplissant l’une des conditions ci-dessus.
B
TP
TP
TP
2
3
1
GESTION DE L’ENERGIE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 4
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 37/117 Partie I : QEB
4
4.3. Réduction des émissions de polluants dans l’atmosphère
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
4.3.1. Quantités d'équivalent CO2 générées par l'utilisation de l'énergie Calcul des quantités de CO2 (eq-CO2) générées pour le bâtiment par l’utilisation de l’énergie sur les postes réglementaires. Justification que le choix énergétique (calcul des quantités de C02 (eq-CO2)
générées pour différentes variantes énergétiques) correspond au meilleur compromis au regard de ces émissions de CO2 et des objectifs environnementaux du maître d’ouvrage. Valeur des émissions d’équivalent CO2 générées par l’utilisation de l’énergie sur les postes liés au bâti (réglementaires ou non) : ≤ 20 kg-eq CO2/an.m² SHON
≤ 10 kg-eq CO2/an.m² SHON
B
P
TP
TP
1
2
4.3.2. Quantités d'équivalent SO2 générées par l'utilisation de l'énergie
Calcul des quantités de SO2 (eq-SO2) générées pour le bâtiment par l’utilisation de l’énergie sur les postes réglementaires.
Justification que le choix énergétique (étude de plusieurs variantes énergétiques) correspond au meilleur compromis au regard de ces émissions de SO2 et des objectifs environnementaux du maître d’ouvrage.
B
TP
1
4.3.3. Quantités de déchets radioactifs générées par l'utilisation de l'électricité du réseau Calcul des quantités de déchets radioactifs générées pour le bâtiment par l’utilisation de l’énergie sur les postes réglementaires.
Justification que le choix énergétique (étude de plusieurs variantes énergétiques) correspond au meilleur compromis au regard de ces quantités de déchets radioactifs et des objectifs environnementaux du maître d’ouvrage.
B
TP
1
4.3.4. Impact sur la couche d’ozone Choix d’équipements énergétiques utilisant des composants à ODP nul.
TP 2
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008. Cible 5
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 39/117 Partie I : QEB
GESTION DE L’EAU
STRUCTURE DE LA CIBLE 5 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 5 ____________________
CIBLE 5
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
15 POINTS
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
50
5
5.1. Réduction de la consommation d'eau potable
5.2. Optimisation de la gestion des eaux pluviales
5.3. Gestion des eaux usées
GESTION DE L’EAU
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008. Cible 5
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 40/117 Partie I : QEB
5
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 5 __________
5.1. Réduction de la consommation d’eau potable
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
5.1.1. Garantir une économie d’eau potable dans les sanitaires Identification des équipements consommateurs d’eau potable et mise en place de
réducteurs de pression Et Détermination de la consommation conventionnelle d’eau potable dans les
sanitaires CC sanitaires en fonction des usages. Assurance d’une réduction de la consommation d’eau potable : CC sanitaires communs ≤ CCref, sanitaires communs CC sanitaires communs ≤ 0,70 CCref sanitaires communs CC sanitaires communs ≤ 0,60 CCref sanitaires communs CC sanitaires communs ≤ 0,50 CCref sanitaires communs
CC sanitaires communs ≤ 0,40 CCref sanitaires communs Dispositions justifiées et satisfaisantes pour assurer cette économie d’eau potable.
B P
TP TP
TP
3 6
12
5.1.2. Garantir une économie d’eau potable pour l’arrosage des espaces verts et le nettoyage des locaux En cas de récupération d’eau pluviale, respect des prescriptions réglementaires
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour économiser l’eau potable pour l’arrosage des espaces verts et le nettoyage des locaux. 20% d’économie d’eau potable réalisée si la performance en 5.1.1 est au moins TP
OU
40 % d’économie d’eau potable réalisée si la performance en 5.1.1 est inférieure à TP
B
TP
5
5.1.3. Limiter les consommations d’eau sur les systèmes énergétiques
ou les systèmes caractéristiques des usages de l’ouvrage Dispositions justifiées et satisfaisantes pour garantir une économie d’eau sur les systèmes énergétiques et/ou les systèmes caractéristiques des usages de l’ouvrage.
20% d’économie d’eau potable réalisée si la performance en 5.1.1 est au moins TP OU 40 % d’économie d’eau potable réalisée si la performance en 5.1.1 est
inférieure à TP
TP 3
GESTION DE L’EAU
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008. Cible 5
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 41/117 Partie I : QEB
5
5.2. Gestion des eaux pluviales à la parcelle
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
5.2.1. Gestion de l’infiltration : Coefficient d’imperméabilisation Réflexion optimisée sur l’infiltration, et dispositions prises pour favoriser au maximum la percolation des eaux pluviales dans les sols afin de maintenir le plus possible le cycle naturel de l’eau. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
A partir de la réflexion ci-dessus, si l’infiltration des eaux pluviales est possible directement (capacité d’infiltration du sol, règlementation locale autorisant l’infiltration, surfaces suffisantes, etc.) : Pour les sites faiblement urbanisés, le coefficient d'imperméabilisation après réalisation est de : 40 à 80%
20 à 40% < 20% Pour les sites fortement urbanisés, le pourcentage d’amélioration du coefficient d’imperméabilisation de l'état existant est de : 0 à 2%
2 à 10%
> 10%
B
B
P TP
B
P
TP
5
5
5.2.2. Gestion de la rétention : Débit de fuite après réalisation
Réflexion optimisée sur la rétention, et dispositions prises pour favoriser au maximum la rétention des eaux après orage afin d’assurer un déversement régulé de l’eau soit dans le milieu naturel soit dans le réseau collectif. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
A partir de la réflexion ci-dessus, justification que le débit de fuite est : Inférieur ou égal au débit de fuite initial, ou inférieur ou égal au débit de fuite
imposé par la réglementation locale. Inférieur à 50% du débit de fuite initial ou du débit de fuite imposé par la
réglementation locale.
Zéro rejet.
B
B
TP
TP
5
10
5.2.3. Traitement des eaux de ruissellement Identification des types de surfaces sur lesquelles les eaux peuvent ruisseler. ET Si une pollution potentielle est identifiée, dispositions prises :
pour récupérer et pré-traiter * les eaux de ruissellement concernées avant
rejet en fonction de leur nature, pour assurer un abattement quantitatif en pollution * (notamment en
matières en suspension) des eaux de ruissellement concernées avant rejet en fonction de leur nature. Fournir une note justificative.
Assurer le traitement sur site des eaux pluviales polluées par le biais d’un système
alternatif.
B
P
TP
5
(*) Ou dispositions prises pour l’infiltration des eaux de ruissellement si cela est possible (voir conditions dans le guide pratique)
GESTION DE L’EAU
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008. Cible 5
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 42/117 Partie I : QEB
5
5.3. Gestion des eaux usées
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
5.3.1. Identifier et pré-traiter les eaux usées Identification de tous les types d’eaux usées présentes sur le site Dispositions prises pour récupérer et pré-traiter les eaux usées avant rejet en fonction de leur nature. Engagement à respecter les réglementations en vigueur.
B
5.3.2. Traiter sur site les rejets d’eaux usées En cas de recours à l’assainissement non collectif, prendre des dispositions pour
traiter réglementairement les eaux usées avant rejet. Réaliser une étude de faisabilité * sur l’installation d’un système de traitement innovant pour le traitement sur site des eaux usées. Dans le cas où l’étude a montré un avantage environnemental par rapport au
raccordement au réseau, assurer le traitement sur site des eaux usées par le biais d’un système d’assainissement alternatif innovant dont la conception est conforme à la réglementation et satisfaisant aux normes de rejet réglementaires. ET
Justification du mode de conception de ce système (voir guide pratique) ET Prise en compte dans la conception du système des nuisances engendrées aux
usagers (de nature olfactives, visuelles et auditives) et aux riverains. Dispositions justifiées et satisfaisantes pour minimiser ces nuisances.
B
P
TP
5
5.3.3. Recycler les eaux usées
Réaliser une étude de faisabilité * sur le recyclage des eaux usées traitées pour des usages ne nécessitant pas des caractéristiques de potabilité (arrosage, lavage des sols, etc.). Recycler les eaux usées traitées pour des usages ne nécessitant pas des caractéristiques de potabilité (arrosage, lavage des sols, etc.).
Recycler les eaux usées traitées pour des usages nécessitant des caractéristiques de potabilité (sanitaires).
P
TP
TP
5
10
(*) Si applicable. Sinon, note justificative démontrant l’impossibilité d’installer un tel système.
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 6
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 43/117 Partie I : QEB
GESTION DES
DECHETS D’ACTIVITE
STRUCTURE DE LA CIBLE 6 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 6 ____________________
CIBLE 6
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
6 POINTS
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
10
6
6.1. Optimisation de la valorisation des déchets d’activité
6.2. Qualité du système de gestion des déchets d'activité
GESTION DES DECHETS D’ACTIVITE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 6
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 44/117 Partie I : QEB
6
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 6 __________
6.1. Optimisation de la valorisation des déchets d’activité
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
6.1.1. Identifier et classifier la production de déchets d’activité afin de les valoriser au mieux
Identifier les activités présentes au sein de l'ouvrage (bâtiment et parcelle) et les déchets produits par chacune des activités ET Classer les déchets d’activité par typologies de déchets :
- Déchet industriel banal (DIB)
- Déchet d’emballage - Déchet d’équipement électrique et électronique (DEEE) - Déchet dangereux (DD) - Déchet fermentescible
ET Pour chaque typologie identifiée, estimer les quantités produites et les rythmes de
production.
B
6.1.2. Choisir les filières d’enlèvement des déchets en privilégiant leur valorisation
Déchets dangereux Choisir une filière d’élimination appropriée. Si plusieurs filières sont disponibles, choisir la meilleure solution d’un point de vue technique et économique. Déchets d’emballages réglementés Estimer les filières de valorisation disponibles, publiques ou privées, et les coûts de valorisation associés
ET Choisir la filière de valorisation la plus satisfaisante, d’un point de vue environnemental, technique et économique Déchets non réglementés
Pour chaque typologie de déchets, estimer :
Les filières d’enlèvement disponibles, publiques ou privées, Les coûts d’élimination, pour chaque typologie de déchets non valorisés sur
site, ET Choisir, pour chaque typologie de déchets, la filière d’enlèvement la plus satisfaisante, d’un point de vue environnemental, technique et économique, en privilégiant autant que possible la valorisation.
Pour les typologies de déchets non valorisés sur site, choisir la filière de valorisation la plus satisfaisante, d’un point de vue environnemental, technique et économique, avec la garantie d’une valorisation systématique
B
B
P
TP
4
GESTION DES DECHETS D’ACTIVITE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 6
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 45/117 Partie I : QEB
6
6.1.3. Favoriser le tri des déchets à la source Déchets réglementés Dispositions justifiées et satisfaisantes pour favoriser le tri à la source des déchets réglementés
Déchets non réglementés Identifier les espaces dans lesquels le tri des déchets à la source est un enjeu
ET Pour les espaces identifiés, dispositions architecturales justifiées et satisfaisantes pour favoriser le tri des déchets à la source
B
P
6.1.4. Favoriser la valorisation sur site des déchets d’activité
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour permettre la valorisation de certains types de déchets sur site, tout en minimisant les nuisances pour les occupants et les riverains
TP 3
GESTION DES DECHETS D’ACTIVITE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 6
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 46/117 Partie I : QEB
6
6.2. Qualité du système de gestion des déchets d’activité
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
6.2.1. Faciliter la gestion des déchets par un dimensionnement adéquat des locaux/zones déchets Dispositions justifiées et satisfaisantes pour garantir un stockage adéquat des déchets avant enlèvement en veillant à :
Concevoir des locaux et/ou zones déchets adapté(e)s au contexte de
l’opération et dimensionné(e)s en conséquence (taille, volume, emplacement). Justifier le dimensionnement du local ou de la zone déchets.
Favoriser la collecte et le regroupement spécifique des déchets réglementés par des dispositions architecturales adéquates
Dispositions architecturales prises pour faciliter la collecte, le regroupement et l’enlèvement des déchets afin d’optimiser la maniabilité des déchets sur la(les) zone(s)
B
P
6.2.2. Garantir l’hygiène et la sécurisation des locaux/zones déchets
Mise en place de moyens de nettoyage des locaux, zones et équipements déchets et optimisation des conditions d’hygiène, en veillant à minimiser les nuisances pour les occupants.
En cas de zones déchets extérieures Dispositions prises pour garantir la protection au vent et à la pluie des zones extérieures éventuelles.
B
GESTION DES DECHETS D’ACTIVITE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 6
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 47/117 Partie I : QEB
6
6.2.3. Optimiser les circuits de déchets d’activité Dispositions prises pour distinguer les circuits de déchets d’activité réglementés des autres circuits de déchets
Espaces liés à la préparation alimentaire Dispositions prises sur les espaces dédiés à la préparation alimentaire pour permettre la progression dans l’espace des différentes opérations élémentaires conduisant à l’élaboration des plats/aliments. Dispositions architecturales justifiées et satisfaisantes de manière à favoriser le
respect de la méthode HACCP lors de la phase d’exploitation.
Dispositions prises pour optimiser les circuits de déchets d’activité (pré-collecte, collecte, regroupement, enlèvement) en veillant notamment à :
Mener une réflexion sur les accès aux locaux/zones déchets
Adapter les flux de déchets aux autres flux de circulation de l’ouvrage, La position des zones de tri et de pré-collecte
B
B
P
6.2.4. Garantir la pérennité du système de gestion des déchets d’activité
Dispositions prises pour permettre les évolutions futures du système de gestion des déchets d'activité en anticipant les évolutions du bâtiment
Dispositions prises pour permettre les évolutions futures du système de gestion des déchets d'activité en anticipant les futures filières de valorisation potentielles à proximité du site.
TP
TP
2
1
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 49/117 Partie I : QEB
MAINTENANCE - PERENNITE DES PERFORMANCES
ENVIRONNEMENTALES
STRUCTURE DE LA CIBLE 7 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 7 ____________________
CIBLE 7
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
20 POINTS*
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
40
*Attention, le choix des points à obtenir sur cette cible doit se faire en cohérence avec le projet et le profil environnemental global de l’opération, notamment : - Si la cible 4 et/ou la cible 8 est (sont) au niveau TP, 8 POINTS au moins doivent être obtenus sur la
sous cible 7.1. - Si la cible 4 et/ou la cible 8 et/ou la cible 11 et/ou la cible 13 est (sont) au niveau TP, 8 POINTS au moins doivent être obtenus sur la sous cible 7.2. - Si la cible 10 est au niveau TP, 6 POINTS au moins doivent être obtenus sur la sous cible 7.3. - Si la cible 5 et/ou la cible 14 est (sont) au niveau TP, 5 POINTS au moins doivent être obtenus sur la sous cible 7.4.
7
7.1. Maintien des performances des systèmes de chauffage et de
rafraîchissement
7.2. Maintien des performances des systèmes de ventilation
7.3. Maintien des performances des systèmes d'éclairage
7.4. Maintien des performances des systèmes de gestion de l'eau
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 50/117 Partie I : QEB
7
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 7 __________
7.1. Maintien des performances des systèmes de chauffage et de
rafraîchissement
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
7.1.1. Concevoir l'ouvrage de façon à faciliter les interventions
d'entretien / maintenance pendant son exploitation
Dispositions architecturales et techniques permettant un accès aisé aux réseaux et aux systèmes de chauffage / rafraîchissement sans occasionner de gêne aux occupants. Les interventions d’entretien/maintenance, y compris pour le remplacement de tous les équipements, peuvent être effectuées sans gêner les occupants.
B
TP
3
7.1.2. Assurer une simplicité de conception des équipements et systèmes pour faciliter la maintenance et limiter la gêne occasionnée aux occupants durant les interventions de maintenance
Dispositions prises et choix des produits et équipements relatifs aux systèmes
de chauffage / rafraîchissement : - Simplicité et conception sectorisée des réseaux de chaud et de froid. - Simplicité des produits et équipements.
B
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 51/117 Partie I : QEB
7
7.1.3. Mettre à disposition les moyens nécessaires pour le suivi et le
contrôle des performances des systèmes de chauffage / rafraichissement pendant l'exploitation de l'ouvrage Mise en œuvre de moyens de suivi et de contrôle pertinents en distinguant : - les zones pertinentes pour l’opération, - et/ou les usages, - et/ou les systèmes,
- et/ou la structure technique de l’opération. - Comptages et suivis des consommations par zone ou par usage ou par
système. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant
à un niveau de maintenance équivalent au niveau I et II des contrats classiques de maintenance.
Idem ci-dessus, et moyens de suivi permettant : - Suivi du niveau de confort par zones. - Détection de défauts. - Contrôle et gestion de l’intermittence du chauffage/rafraichissement. - Pilotage par zones et optimisation des temps de fonctionnement en
fonction de l’occupation. - Pilotage des productions (chaud et froid). - Contrôle et gestion des appels de puissance électrique (si l’électricité est la
source principale du chaud ou du froid). ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à un niveau de maintenance équivalent au niveau I, II et III des contrats classiques de maintenance.
Idem ci-dessus, et moyens de suivi « fins » permettant : - Comptages et suivis des consommations par zones et usages et/ou
systèmes. - Comptages et suivis des consommations avec archivage des valeurs et
possibilité d’établir des historiques, statistiques, analyses. - Pilotage sectorisé des zones à occupation différenciées et gestion de
températures de consigne adaptées à chaque zone. - Régulation individuelle des locaux en fonction de l’occupation (chauffage et
climatisation). - Moyens pour l’équilibrage des systèmes. - Suivi de l’état de fonctionnement des installations. - Système de gestion/optimisation des contrats d’abonnements
énergétiques.
Points supplémentaires « moyens qualitatifs » Mise en place de moyens de suivis permettant d’augmenter la qualité du suivi en fonction de la conception du projet, des logiques de programmation, régulation, contrôle mises en place.
Point supplémentaire : L’exploitant est associé le plus tôt possible lors de la conception.
B
P
TP
TP
TP
5
3
1
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 52/117 Partie I : QEB
7
7.2. Maintien des performances des systèmes de ventilation
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
7.2.1. Concevoir l'ouvrage de façon à faciliter les interventions d'entretien / maintenance pendant son exploitation
Dispositions architecturales et techniques permettant un accès aisé aux réseaux et aux systèmes de ventilation sans occasionner de gêne aux occupants.
Les interventions d’entretien/maintenance, y compris pour le remplacement de tous les équipements, peuvent être effectuées sans gêner les occupants.
B
TP
3
7.2.2. Assurer une simplicité de conception des équipements et systèmes pour faciliter la maintenance et limiter la gêne occasionnée aux occupants durant les interventions de maintenance
Dispositions prises et choix des produits et équipements relatifs aux systèmes de ventilation : - Simplicité et conception sectorisée des réseaux de ventilation. - Simplicité des produits et équipements.
B
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 53/117 Partie I : QEB
7
7.2.3. Mettre à disposition les moyens nécessaires pour le suivi et le
contrôle des performances des systèmes de ventilation pendant l'exploitation de l'ouvrage Mise en œuvre de moyens de suivi et de contrôle pertinents en distinguant : - les zones pertinentes pour l’opération. - et/ou les usages, - et/ou les systèmes,
- et/ou la structure technique de l’opération. - Comptages et suivis des consommations des ventilateurs par zone ou par
usage ou par système. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant
à un niveau de maintenance équivalent au niveau I et II des contrats classiques de maintenance.
Idem ci-dessus, et moyens de suivi permettant : - Détection de défauts. - Contrôle et gestion de l’intermittence de la ventilation. - Pilotage par zones et optimisation des temps de fonctionnement des
ventilateurs en fonction de l’occupation.
- Optimisation des temps de fonctionnement des extracteurs. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à un niveau de maintenance équivalent au niveau I, II et III des contrats classiques de maintenance. Idem ci-dessus, et moyens de suivi « fins » permettant : - Comptages et suivis des temps de fonctionnement des ventilateurs par
zones et usages et/ou systèmes. - Comptages et suivis avec archivage des valeurs et possibilité d’établir des
historiques, statistiques, analyses. - Pilotage sectorisé des circuits et ventilateurs en fonction de l’occupation. - Système de détection de défauts (anomalies de fonctionnement, dérive des
consommations) ; - Moyens pour l’équilibrage des systèmes.
- Suivi de l’état de fonctionnement des installations. Points supplémentaires « moyens qualitatifs » Mise en place de moyens de suivis permettant d’augmenter la qualité du suivi en fonction de la conception du projet, des logiques de programmation, régulation, contrôle mises en place.
Point supplémentaire :
L’exploitant est associé le plus tôt possible lors de la conception.
B
P
TP
TP
TP
5
2
1
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 54/117 Partie I : QEB
7
7.3. Maintien des performances des systèmes d’éclairage
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
7.3.1. Concevoir l'ouvrage de façon à faciliter les interventions d'entretien / maintenance pendant son exploitation
Dispositions architecturales et techniques permettant un accès aisé aux systèmes d’éclairage sans occasionner de gêne aux occupants.
Les interventions d’entretien/maintenance, y compris pour le remplacement de tous les équipements, peuvent être effectuées sans gêner les occupants.
B
TP
2
7.3.2. Assurer une simplicité de conception des équipements et systèmes pour faciliter la maintenance et limiter la gêne occasionnée aux occupants durant les interventions de maintenance Dispositions prises et choix des produits et équipements relatifs aux systèmes
d’éclairage : - Simplicité de conception des installations d’éclairage. - Simplicité des produits et équipements.
B
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 55/117 Partie I : QEB
7
7.3.3. Mettre à disposition les moyens nécessaires pour le suivi et le
contrôle des performances des systèmes d’éclairage pendant l'exploitation de l'ouvrage Mise en œuvre de moyens de suivi et de contrôle pertinents en distinguant : - les zones pertinentes pour l’opération, - et/ou les usages, - et/ou les systèmes,
- et/ou la structure technique de l’opération. - Comptages et suivis des consommations par zone ou par usage ou par
système. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à
un niveau de maintenance équivalent au niveau I et II des contrats classiques de maintenance.
Idem ci-dessus, et moyens de suivi permettant : - Asservissements par zones. - Détection de défauts. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à un niveau de maintenance équivalent au niveau I, II et III des contrats
classiques de maintenance. Idem ci-dessus, et moyens de suivi « fins » permettant : - Comptages et suivis des consommations par zones et usages
(stationnements compris) et/ou systèmes. - Comptages et suivis avec archivage des valeurs et possibilité d’établir des
historiques, statistiques, analyses.
- Suivi de l’état de fonctionnement des installations. - Pilotage et asservissement des éclairages par zones, usages et locaux. - Gestion de la temporisation de l’éclairage extérieur. - Asservissements par locaux. - Systèmes de gestion/optimisation des contrats d’abonnements
énergétiques.
Points supplémentaires « moyens qualitatifs » Mise en place de moyens de suivis permettant d’augmenter la qualité du suivi en fonction de la conception du projet, des logiques de programmation, régulation, contrôle mises en place. Point supplémentaire :
L’exploitant est associé le plus tôt possible lors de la conception.
B
P
TP
TP
TP
4
2
1
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 56/117 Partie I : QEB
7
7.4. Maintien des performances des systèmes de gestion de l’eau
Préoccupation élémentaire
Performance
Niveau Points en TP
7.4.1. Concevoir l'ouvrage de façon à faciliter les interventions d'entretien / maintenance pendant son exploitation
Dispositions architecturales et techniques permettant un accès aisé aux systèmes de gestion de l’eau sans occasionner de gêne aux occupants : accessibilité aisée aux éléments d’isolement du système de gestion de l’eau, y
compris aux systèmes de traitements d’eau éventuels. Les interventions d’entretien/maintenance, y compris pour le remplacement de tous les équipements, peuvent être effectuées sans gêner les occupants.
B
TP
2
7.4.2. Assurer une simplicité de conception des équipements et systèmes pour faciliter la maintenance et limiter la gêne occasionnée aux occupants durant les interventions de maintenance
Dispositions prises et choix des produits et équipements relatifs aux systèmes de gestion de l’eau : - Simplicité et conception sectorisée des réseaux. - Simplicité des produits et équipements.
B
MAINTENANCE
PERENNITE DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 7
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 57/117 Partie I : QEB
7
7.4.3. Mettre à disposition les moyens nécessaires pour le suivi et le
contrôle des performances des systèmes de gestion de l’eau pendant l'exploitation de l'ouvrage Mise en œuvre de moyens de suivi et de contrôle pertinents en distinguant : - les zones pertinentes pour l’opération, - et/ou les usages, - et/ou les systèmes,
- et/ou la structure technique de l’opération. Comptages sectorisés par zone ou par usage ou par système. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à un niveau de maintenance équivalent au niveau I et II des contrats
classiques de maintenance.
Moyens de suivi permettant : - Système de détection de fuites. ET Inciter l’exploitant (et/ou les preneurs) à prendre des dispositions amenant à un niveau de maintenance équivalent au niveau I, II et III des contrats classiques de maintenance.
Idem ci-dessus, et moyens de suivi « fins » permettant : - Comptage(s) et suivi des consommations par zones et usages et/ou
système. - Archivage des valeurs et possibilité d’établir des historiques, statistiques,
analyses de consommations. - Suivi de l’état de fonctionnement des installations.
Points supplémentaires « moyens qualitatifs » Mise en place de moyens de suivis permettant d’augmenter la qualité du suivi en fonction de la conception du projet, des logiques de programmation, régulation, contrôle mises en place. Point supplémentaire : L’exploitant est associé le plus tôt possible lors de la conception.
B
P
TP
TP
TP
3
2
1
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 59/117 Partie I : QEB
CONFORT HYGROTHERMIQUE
STRUCTURE DE LA CIBLE 8 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 8 ____________________
CIBLE 8
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
18 POINTS* s’il existe des locaux climatisés ET non climatisés dont 5 sur la préoccupation 8.3.1
13 POINTS* s’il n’y a pas de locaux climatisés, dont 5 sur la préoccupation 8.3.1
13 POINTS* s’il n’y a pas de locaux non climatisés
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
30
* Le choix des points pour les critères TP doit être cohérent avec la priorité donnée entre confort d’hiver et confort d’été, et en fonction du traitement du confort dans les différents types de locaux. RAPPEL : SI UN SYSTEME MIXTE VENTILATION NATURELLE / COMPLEMENT DE
CLIMATISATION EST MIS EN PLACE POUR LE CONFORT D’ETE, LES DEUX SOUS-CIBLES
8.3 ET 8.4 S’APPLIQUENT.
8
8.1. Dispositions architecturales visant à optimiser le confort
hygrothermique en hiver et en été
8.2. Création de conditions de confort hygrothermique en hiver
8.3. Création de conditions de confort hygrothermique en été
dans les locaux n'ayant pas recours à un système de
refroidissement
8.4. Création de conditions de confort hygrothermique en été
dans les locaux ayant recours à un système de
refroidissement
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 60/117 Partie I : QEB
8
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 8 __________
8.1. Dispositions architecturales visant à optimiser le confort
hygrothermique, en hiver comme en été
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
8.1.1. Prendre en compte les caractéristiques du site (été principalement)
Dispositions justifiées et satisfaisantes prises pour se protéger de manière optimale du soleil et de la chaleur. Dispositions justifiées et satisfaisantes prises pour exploiter de manière optimale les caractéristiques aérauliques du site.
B
P
8.1.2. Améliorer l’aptitude du bâtiment à favoriser de bonnes conditions de confort hygrothermique en hiver et en été Dispositions architecturales et techniques justifiées et satisfaisantes pour
optimiser confort d’hiver et confort d’été.
B
8.1.3. Regrouper les locaux à besoin hygrothermique homogène (été ou hiver)
Organisation spatiale des espaces en fonction de la conception du bâtiment, de leurs besoins hygrothermiques et des logiques de programmation/régulation mises en place. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
P
8.1.4. Maîtriser l'inconfort de mi-saison Dispositions justifiées et satisfaisantes pour gérer les pics de fraîcheur d’été et de
chaleur en hiver dans les espaces sensibles à l’inconfort de mi-saison (préalablement identifiés)
TP
3
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 61/117 Partie I : QEB
8
8.2. Création de conditions de confort hygrothermique en hiver
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
8.2.1. Définir / obtenir un niveau adéquat de température (résultante) dans les espaces Définition / obtention de températures de consigne adaptées aux différents types d’espaces.
B
8.2.2. Assurer la stabilité des températures en période d’occupation (pour les espaces à usage intermittent) Présence d’un dispositif simple et réglementaire assurant le redémarrage du chauffage dans les espaces à usage intermittent avant le début de la période
d'occupation. Présence de dispositifs adaptés et performants de redémarrage, programmation, régulation des installations de chauffage, afin d’assurer son fonctionnement dans les espaces à occupation intermittente ou aléatoire. ET
Description et justification de ces dispositifs.
B
TP
3
8.2.3. Assurer une vitesse d’air et ne nuisant pas au confort Vitesse d’air limite au niveau des zones d’occupation des espaces (à occupation
prolongée) : V ≤ 0,20 m/s V ≤ 0,15 m/s
ET Présence d’un système de ventilation spécifique ; description et justification de ce système
Point supplémentaire Dispositions prises pour optimiser les vitesses d’air maximales dans les espaces de volume important (auditorium, salles de conférence par exemple).
P TP
TP
2
2
8.2.4. Maîtrise de l’ambiance thermique par les usagers en période froide Identifier les espaces où il est pertinent que les usagers puissent maîtriser l’ambiance thermique ET
Présence de dispositifs fonctionnels permettant aux usagers d’agir sur le chauffage dans ces espaces, dans une certaine plage de températures (pour éviter la dérive du point de consigne).
TP
1
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 62/117 Partie I : QEB
8
8.3. Création de conditions de confort hygrothermique d’été dans les locaux n’ayant pas recours à un système de refroidissement
BÂTIMENT DE BUREAU
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
8.3.1 Assurer un niveau minimal de confort thermique et protéger du soleil les baies vitrées
Identification des espaces à occupation prolongée et pour tous ces espaces : Tic Ticref
Espaces de la zone « bureaux »
Pour les espaces de la zone « bureaux », hors espaces de restauration : Température résultante dans les espaces à occupation prolongée ne
dépassant pas 28°C plus de * : - 50 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b - 60 h dans l’année dans les zones H1c – H2c
- 70 h dans l’année dans les zones H2d – H3 Et S Sréf
Température résultante dans les espaces à occupation prolongée ne
dépassant pas 28°C plus de * : - 30 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b - 40 h dans l’année dans les zones H1c – H2c - 50 h dans l’année dans les zones H2d – H3
Et S Sréf pour les espaces à occupation prolongée
Et S Sréf pour les espaces à occupation passagère
*Le scénario d’occupation par défaut de ces espaces est précisé dans le
guide pratique
Espaces de la zone « Restauration »
Pour tous les espaces de restauration du bâtiment :
Température résultante ne dépassant pas 28°C plus de* :
- 15 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b - 20 h dans l’année dans les zones H1c – H2c - 25 h dans l’année dans les zones H2d – H3
Et S Sréf
*Le scénario d’occupation par défaut de ces espaces est précisé dans le
guide pratique Nota : en zone de bruit BR2 ou BR3, ces températures résultantes doivent être atteintes fenêtres fermées.
B
P
TP
TP
5
2
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 63/117 Partie I : QEB
8
8.3.2. Assurer une ventilation suffisante lorsque les protections solaires sont en place (stores baissés) et maîtriser le débit d'air Identifier les espaces à occupation prolongée dont le confort d’été est obtenu par ouverture des fenêtres
ET Ratio d’ouverture de baies (protections solaires en place) ≥ 30% * pour ces espaces
En zone de bruit BR1 si le confort d’été est obtenu par l’ouverture des fenêtres
Justification des équipements prévus/installés permettant de maintenir l’ouverture des fenêtres dans une position donnée, afin de ventiler naturellement ces espaces et de moduler le débit d’air entrant.
P
TP
3
(*) Cette limite pouvant être ramenée à 10% sous certaines conditions (voir guide pratique)
RAPPEL : S’IL N’EXISTE AUCUN ESPACE NON CLIMATISE, CETTE SOUS CIBLE EST SANS OBJET
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 64/117 Partie I : QEB
8
BÂTIMENT D’ENSEIGNEMENT
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points
en TP
8.3.1 Assurer un niveau minimal de confort thermique et protéger du soleil les baies vitrées Identification des espaces à occupation prolongée et pour tous ces espaces : Tic Ticref
Espaces de la zone « enseignement » Pour tous les espaces de la zone « enseignement » hors espaces de restauration: Température résultante dans les espaces à occupation prolongée ne
dépassant pas 28°C plus de * : - 35 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b - 42 h dans l’année dans les zones H1c – H2c
48 h dans l’année dans les zones H2d – H3 Et S Sréf
Température résultante dans les espaces à occupation prolongée ne
dépassant pas 28°C plus de * : - 20 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b
- 28 h dans l’année dans les zones H1c – H2c - 34 h dans l’année dans les zones H2d – H3
Et S Sréf dans les espaces à occupation prolongée
Et S Sréf pour les espaces à occupation passagère
*Le scénario d’occupation par défaut de ces espaces est précisé dans le guide pratique
Espaces de la zone « Restauration » Pour tous les espaces de restauration du bâtiment : Température résultante ne dépassant pas 28°C plus de* :
- 10 h dans l’année dans les zones H1a – H1b – H2a – H2b - 14 h dans l’année dans les zones H1c – H2c
- 17 h dans l’année dans les zones H2d – H3 Et S Sréf
*Le scénario d’occupation par défaut de ces espaces est précisé dans le guide pratique Nota : en zone de bruit BR2 ou BR3, ces températures résultantes doivent être atteintes fenêtres fermées.
B
P
TP
TP
5
2
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 65/117 Partie I : QEB
8
8.3.2. Assurer une ventilation suffisante lorsque les protections solaires sont en place (stores baissés) et maîtriser le débit d'air Identifier les espaces à occupation prolongée dont le confort d’été est obtenu par ouverture des fenêtres ET
Ratio d’ouverture de baies (protections solaires en place) ≥ 30% * pour ces espaces
En zone de bruit BR1 si le confort d’été est obtenu par l’ouverture des
fenêtres
Justification des équipements prévus/installés permettant de maintenir l’ouverture des fenêtres dans une position donnée, afin de ventiler naturellement ces espaces et de moduler le débit d’air entrant.
P
TP
3
(*) Cette limite pouvant être ramenée à 10% sous certaines conditions (voir guide pratique)
RAPPEL : S’IL N’EXISTE AUCUN ESPACE NON CLIMATISE, CETTE SOUS CIBLE EST SANS OBJET
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 66/117 Partie I : QEB
8
8.4. Création de conditions de confort hygrothermique d’été dans les locaux ayant recours à un système de refroidissement
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
8.4.1. Définir un niveau adéquat de température dans les espaces
Définition / obtention de températures de consigne adaptées aux différents types d’espaces.
B
8.4.2. Assurer une vitesse d’air ne nuisant pas au confort
Vitesse d’air maximale au niveau des zones d’occupation des espaces (à occupation prolongée), lorsque le système de refroidissement est en fonctionnement, pour une consigne proche de 26°C :
V ≤ 0,25 m/s V ≤ 0,22 m/s
Points supplémentaires Dispositions prises pour optimiser les vitesses d’air maximales dans les espaces de volume important (auditorium, salles de conférence par exemple).
P TP
TP
1
1
8.4.3. Maîtriser les apports solaires et en particulier l'inconfort localisé dû au rayonnement chaud Identification des différents types d’espaces concernés par l’inconfort localisé dû aux apports solaires (essentiellement à proximité des parois vitrées et dans les
parties hautes) ET Dispositions architecturales et techniques pour limiter l’inconfort solaire localisé ET Facteur solaire des baies : S ≤ Sréf pour toutes les baies des locaux à occupation autre que passagère.
S ≤ Sréf pour les orientations nord
ET S ≤ Sréf plafonné à 0,25 pour les autres orientations.
P
TP
3
CONFORT HYGROTHERMIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 8
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 67/117 Partie I : QEB
8
8.4.4. Maîtrise de l’ambiance thermique par les usagers en période chaude Identifier les espaces où il est pertinent que les usagers puissent maîtriser l’ambiance thermique ET
Présence de dispositifs fonctionnels permettant aux usagers d’agir sur le rafraîchissement dans ces espaces, dans une certaine plage de températures (pour éviter la dérive du point de consigne).
TP
1
8.4.5. Maîtriser l’hygrométrie dans les espaces sensibles en période chaude
Identification des espaces sensibles à l’humidité en période chaude ET Définition / obtention d’un taux d’humidité en période chaude (adapté aux conditions d’occupation) dans ces espaces.
ET Dispositions prises pour assurer le contrôle de l’humidité.
TP
3
RAPPEL : S’IL N’EXISTE AUCUN ESPACE CLIMATISE, CETTE SOUS CIBLE EST SANS OBJET
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 69/117 Partie I : QEB
CONFORT ACOUSTIQUE
STRUCTURE DE LA CIBLE 9 _____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 9 ____________________
CIBLE 9
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES
PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
+ nombre minimum de POINTS requis par espace dans
la sous cible 9.2
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
85
9
9.1. Optimisation des dispositions architecturales pour
protéger les usagers des nuisances acoustiques
9.2. Création d’une qualité d’ambiance acoustique adaptée
aux différents locaux
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 70/117 Partie I : QEB
9
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 9 __________________
9.1. Optimisation des dispositions architecturales pour protéger les
usagers des nuisances acoustiques
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.1.1. Optimiser la position des espaces sensibles et très sensibles par rapport aux nuisances intérieures Classification des espaces de l’ouvrage en fonction de leur sensibilité et de leur agressivité, selon la méthode définie dans le guide pratique.
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour optimiser la position des espaces sensibles et très sensibles vis-à-vis des espaces agressifs et très agressifs ET Dispositions intérieures des espaces sensibles et très sensibles de contiguïté
verticale ou horizontale, de même entité ou non.
B
9.1.2. Optimiser la position des espaces sensibles et très sensibles par rapport aux nuisances extérieures
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour prendre en compte les nuisances acoustiques extérieures au bâtiment y compris provenant des accès des véhicules de livraison et des véhicules des usagers, dans les dispositions architecturales relativement aux espaces sensibles et très sensibles.
B
9.1.3. Optimiser la forme et le volume des espaces dans lesquels l’acoustique interne est un enjeu Dans les espaces dans lesquels l’acoustique interne est un enjeu, dispositions justifiées et satisfaisantes pour optimiser le volume et la forme de ces espaces par rapport à la destination acoustique.
P
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 71/117 Partie I : QEB
9
9.2. Création d’une qualité d’ambiance acoustique adaptée aux différents locaux
ESPACES DES BÂTIMENTS D’ENSEIGNEMENT
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.2.1. Isolement des espaces vis-à-vis de l’extérieur
Isolement acoustique des locaux de réception (locaux concernés par la réglementation) vis-à-vis des bruits de l’espace extérieur :
Isolement ≥ Isolement réglementaire Isolement ≥ Isolement réglementaire + 2 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire + 4 dB OU réalisation d’une étude
acoustique spécifique et respect des exigences de cette étude
B P TP
3
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les espaces
Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les locaux de réception (locaux concernés par la réglementation):
L’nT,w ≤ L’nT,w réglementaire L’nT,w ≤ L’nT,w réglementaire – 3 dB pour au moins 75% des locaux (en surface) L’nT,w ≤ L’nT,w réglementaire – 3 dB pour au moins 90% des locaux (en surface)
i) ii) B c) P d)
B P
TP
3
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les espaces Niveau de pression acoustique normalisé LnAT engendré par un équipement dans
les locaux de réception (locaux concernés par la réglementation): LnAT ≤ LnAT réglementaire LnAT ≤ LnAT réglementaire – 3 dB pour au moins 75% des locaux (en surface) LnAT ≤ LnAT réglementaire – 3 dB pour au moins 90% des locaux (en surface)
B P TP
3
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 72/117 Partie I : QEB
9
9.2.4. Acoustique interne des espaces Pour les espaces suivants :
- Halls, - Espaces accueillant une activité bruyante - Espaces nécessitant une intelligibilité de la parole
- Espaces de volume supérieur à 500 m3 Réalisation d’une étude acoustique spécifique et respect des exigences de durée de réverbération moyenne issue de cette étude. Réalisation d’une étude acoustique spécifique et respect des exigences basées sur des indicateurs spécifiques (y compris le temps de réverbération) issue de cette
étude.
Pour les autres espaces Tr ≤ Tr réglementaire
Pour les halls et circulations horizontales de volume < 250 m3 et pour les préaux Aire d’absorption équivalente des revêtements : AAEtotale ≥ 0,5 S(surface au sol)
B
TP
B
B
4
9.2.5. Isolement au bruit aérien des espaces (réception) vis-à-vis des autres espaces (émission) Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA des espaces en réception :
DnTA ≥ DnTA réglementaire DnTA ≥ DnTA réglementaire + 3 dB pour au moins 75% des locaux (en surface) DnTA ≥ DnTA réglementaire + 3 dB pour au moins 90% des locaux (en surface)
e)
f) g) h)
B P TP
3
9.2.6. Sonorité à la marche
Salles d’enseignement Revêtements de sol à minima de classe B
a)
b)
TP
1
Nombre mini de points en TP 14
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 73/117 Partie I : QEB
9
BUREAUX INDIVIDUELS
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points
en TP
9.2.1. Isolement des bureaux individuels vis-à-vis de l’extérieur Isolement acoustique des bureaux individuels vis-à-vis des bruits de l’espace extérieur :
Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 5 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 3 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB
Isolement ≥ Isolement réglementaire logement ET DnTA,tr ≥ 30 dB
B P
TP
4
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les bureaux individuels Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les bureaux individuels :
L’nT,w ≤ 60 dB L’nT,w ≤ 57 dB
i) ii) B c) P
B P
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les bureaux individuels
Niveau de pression acoustique normalisé LnAT engendré par un équipement dans les bureaux individuels :
LnAT ≤ 40 dB(A)
LnAT ≤ 38 dB(A) LnAT ≤ 35 dB(A)
B
P TP
3
9.2.4. Acoustique interne des bureaux individuels Aire d’absorption équivalente des revêtements des bureaux individuels : AAEtotale ≥ 0,6 S(surface au sol)
ET Justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone du plateau
B
9.2.5. Isolement au bruit aérien des bureaux individuels (réception) vis-à-vis des autres espaces d’activité « bureau » (émission)
Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA entre les bureaux individuels et tout type d’espace d’activité « bureau » :
DnTA ≥ 38 dB DnTA ≥ 40 dB DnTA ≥ 43 dB
d) e)
f) g)
B P TP
4
9.2.6. Sonorité à la marche des bureaux individuels Revêtements de sol à minima de classe B
h)
i) TP
1
Nombre mini de points en TP 7
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 74/117 Partie I : QEB
9
BUREAUX COLLECTIFS
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.2.1. Isolement des bureaux collectifs vis-à-vis de l’extérieur Isolement acoustique des bureaux collectifs vis-à-vis des bruits de l’espace extérieur :
Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 5 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 3 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement ET DnTA,tr ≥ 30 dB
B P TP
3
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les bureaux collectifs Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les bureaux collectifs :
L’nT,w ≤ 60 dB L’nT,w ≤ 57 dB
i) ii) B j) P
B P
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les bureaux collectifs
Niveau de pression acoustique normalisé LnAT engendré par un équipement dans les bureaux collectifs :
LnAT ≤ 40 dB(A) LnAT ≤ 38 dB(A)
LnAT ≤ 35 dB(A)
B P
TP
3
9.2.4. Acoustique interne des bureaux collectifs Aire d’absorption équivalente des revêtements des bureaux collectifs : AAEtotale ≥ 0,6 S(surface au sol) ET
Justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone Aire d’absorption équivalente des revêtements des bureaux collectifs : AAEtotale ≥ 0,75 S(surface au sol) ET Justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone
Réalisation d’une étude acoustique spécifique et mise en œuvre des solutions identifiées comme les plus performantes par cette étude. Elaboration d’un document précisant les hypothèses d’aménagement qui conditionne l’atteinte de cette performance.
B
P
TP
4
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 75/117 Partie I : QEB
9
9.2.5. Isolement au bruit aérien des bureaux collectifs (réception) vis-à-vis des autres bureaux collectifs et des espaces ouverts (émission) Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA entre les bureaux collectifs et :
- Les autres bureaux collectifs - Les espaces ouverts
DnTA ≥ 35 dB DnTA ≥ 38 dB DnTA ≥ 40 dB
k) l) m) n)
B P TP
3
9.2.6. Sonorité à la marche dans les bureaux collectifs
Revêtements de sol à minima de classe B
o) p)
TP
2
Nombre mini de points en TP 12
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 76/117 Partie I : QEB
9
ESPACES OUVERTS DES BÂTIMENTS DE BUREAU
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.2.1. Isolement des espaces ouverts vis-à-vis de l’extérieur
Isolement acoustique des espaces ouverts vis-à-vis des bruits de l’espace extérieur:
Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 5 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 3 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement ET DnTA,tr ≥ 30 dB
B P TP
3
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les espaces ouverts
Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les espaces ouverts :
L’nT,w ≤ 60 dB L’nT,w ≤ 57 dB
i) ii) B q) P
B
P
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les espaces ouverts
Niveau de pression acoustique normalisé LnAT engendré par un équipement dans les espaces ouverts :
LnAT ≤ 45 dB(A)
LnAT ≤ 40 dB(A) LnAT ≤ 40 dB(A) ET réalisation d’une étude acoustique spécifique intégrant les
deux aspects suivants : - Traitement adéquat du bruit ambiant
- Limitation du phénomène de propagation du bruit
B
TP TP
2 4
9.2.4. Acoustique interne des espaces ouverts
Aire d’absorption équivalente des revêtements des espaces ouverts : AAEsol+plafond ≥ 0,6 S(surface au sol) et justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone OU respect du niveau PERFORMANT de la norme NF S 31-080 pour la décroissance spatiale par doublement de la distance ou le temps de réverbération (Tr) si la décroissance spatiale n’est pas applicable
Aire d’absorption équivalente des revêtements des espaces ouverts : AAE sol+plafond ≥ 0,7 S(surface au sol) ET Justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone Réalisation d’une étude acoustique spécifique et mise en œuvre des solutions identifiées comme les plus performantes par cette étude. Elaboration d’un
document précisant les hypothèses d’aménagement qui conditionne l’atteinte de cette performance.
B
P
TP
4
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 77/117 Partie I : QEB
9
9.2.5. Isolement au bruit aérien des espaces ouverts (réception) vis-à-vis des autres espaces ouverts (émission) Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA entre espaces ouverts :
DnTA ≥ 32 dB DnTA ≥ 35 dB
DnTA ≥ 38 dB
r) s) t) u)
B P
TP
3
9.2.6. Sonorité à la marche dans les espaces ouverts
Revêtements de sol à minima de classe B
Revêtements de sol de classe A
v) w)
B
TP
2
Nombre mini de points en TP 12
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 78/117 Partie I : QEB
9
PLATEAUX A AMENAGER
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.2.1. Isolement des plateaux à aménager vis-à-vis de l’extérieur
Isolement acoustique des plateaux à aménager vis-à-vis des bruits de l’espace extérieur :
Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 5 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 3 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB Isolement ≥ Isolement réglementaire logement ET DnTA,tr ≥ 30 dB
B P TP
3
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les plateaux à aménager
Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les plateaux à aménager :
L’nT,w ≤ 60 dB L’nT,w ≤ 57 dB
i) ii) B x) P
B
P
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les plateaux à aménager
Niveau de pression acoustique normalisé LnAT engendré par un équipement dans les plateaux à aménager :
LnAT ≤ 43 dB(A)
LnAT ≤ 40 dB(A) LnAT ≤ 38 dB(A)
B
P TP
3
9.2.4. Acoustique interne des plateaux à aménager Aire d’absorption équivalente des revêtements des plateaux à aménager : AAEsol + plafond ≥ 0,6 S(surface au sol) et justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone
OU respect du niveau PERFORMANT de la norme NF S 31-080 pour la décroissance spatiale par doublement de la distance ou le temps de réverbération (Tr) si la décroissance spatiale n’est pas applicable Aire d’absorption équivalente des revêtements des plateaux à aménager : AAE sol + plafond ≥ 0,7 S(surface au sol)
ET
Justification de l’homogénéité de l’AAE en toute zone Réalisation d’une étude acoustique spécifique et mise en œuvre des solutions identifiées comme les plus performantes par cette étude. Elaboration d’un document précisant les hypothèses d’aménagement qui conditionnent l’atteinte de cette performance.
B
P
TP
4
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 79/117 Partie I : QEB
9
9.2.5. Potentiel d’isolement au bruit aérien entre espaces Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA entre bureaux individuels modulaires atteignable une fois les plateaux à aménager cloisonnés (entre planchers techniques et plafond filant) :
DnTA ≥ 32 dB
ET Elaboration d’un document précisant les hypothèses de cloisonnement qui conditionnent l’atteinte de cette performance
DnTA ≥ 35 dB ET
Elaboration d’un document précisant les hypothèses de cloisonnement qui conditionnent l’atteinte de cette performance
DnTA ≥ 38 dB ET Elaboration d’un document précisant les hypothèses de cloisonnement qui conditionnent l’atteinte de cette performance
y) z) aa) bb)
B
P
TP
3
9.2.6. Sonorité à la marche dans les plateaux à aménager Revêtements de sol à minima de classe B
Revêtements de sol de classe A
cc) dd)
B
TP
2
Nombre mini de points en TP 10
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 80/117 Partie I : QEB
9
ESPACES ASSOCIES DES BÂTIMENTS DE BUREAU
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
9.2.1. Isolement des espaces associés vis-à-vis de l’extérieur Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA,tr des espaces associés vis-à-vis
des bruits des infrastructures de transport terrestre : Isolement ≥ Isolement réglementaire logement - 5 dB ET DnTA,tr ≥ 30 dB
B
9.2.2. Niveau de bruits de choc transmis dans les espaces associés
Niveau de pression pondéré du bruit de choc standardisé L’nT,w transmis dans les espaces : Espaces de détente fermés / Salles de réunion L’nT,w ≤ 60 dB
B
9.2.3. Niveau de bruit des équipements dans les espaces associés Niveau de pression acoustique normalisé LnAT dans les espaces :
Espaces de détente fermés / Salles de réunion LnAT ≤ 40 dB(A)
Halls LnAT ≤ 45 dB(A)
B
9.2.4. Acoustique interne des espaces associés Espaces de détente fermés / Salles de réunion AAEtotale ≥ 0,6 S(surface au sol) Circulations / Espaces de détente ouverts AAEtotale ≥ 0,5 S(surface au sol)
Halls AAEtotale ≥ 0,33 S(surface au sol) ET réalisation d’une étude acoustique spécifique
et respect des exigences de cette étude.
B
9.2.5. Isolement au bruit aérien des espaces associés (réception) vis-à-vis des autres espaces (émission) hors circulations Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA vis-à-vis des autres espaces d’activité type « bureaux » :
Espaces de détente fermés / Salles de réunion (en réception) DnTA ≥ 38 dB Circulations / Espaces de détente ouverts (en réception) DnTA ≥ 28 dB
B
CONFORT ACOUSTIQUE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 9
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 81/117 Partie I : QEB
9
9.2.6. Optimisation des critères d’ambiance acoustique dans les espaces associés Relativement aux 3 critères ci-dessous :
- Isolement acoustique standardisé pondéré des espaces vis-à-vis de l’espace extérieur ;
- Acoustique interne des espaces ; - Sonorité à la marche
Réalisation d’une étude acoustique spécifique et mise en œuvre des solutions identifiées comme les mieux adaptées par cette étude :
Sur chaque espace associé très sensible,
Sur chaque espace associé très sensible et sensible
Relativement aux 3 critères ci-dessous :
- Niveau de bruits de choc transmis dans les espaces ; - Niveau de bruit des équipements dans les espaces ;
- Isolement au bruit aérien des espaces Réalisation d’une étude acoustique spécifique et mise en œuvre des solutions identifiées comme les mieux adaptées par cette étude :
Sur chaque espace associé en interaction prioritaire, Sur chaque espace associé en interaction prioritaire et intermédiaire
P TP
P TP
5
5
Nombre mini de points en TP 5
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 10
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 83/117 Partie I : QEB
CONFORT VISUEL
STRUCTURE DE LA CIBLE 10 ____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 10 ___________________
CIBLE 10
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES
PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
15 POINTS dont 2 sur la préoccupation 10.1.3
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
30
10
10.1. Optimisation de l’éclairage naturel
10.2. Eclairage artificiel confortable
CONFORT VISUEL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 10
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 84/117 Partie I : QEB
10
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 10 _________
10.1. Optimisation de l’éclairage naturel
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
10.1.1. Disposer d’accès à la lumière du jour dans les espaces sensibles
Pourcentage d’espaces (au prorata des surfaces) ayant accès à la lumière du jour (en premier ou second jour) : Salles d’enseignement / Bureaux Accès à la lumière du jour dans 100% des espaces
Hall d’accueil Accès à la lumière du jour dans le hall d’accueil Autres espaces sensibles vis-à-vis de l’éclairage naturel (espaces de restauration, salles de réunion, infirmerie, espaces de détente,
auditorium, salles de formation, centre de documentation, salles de lecture, garderies d’enfants) Accès à la lumière du jour mais sans exigence de pourcentage de surface
Accès à la lumière du jour dans : 40% de la surface des espaces sensibles 60% de la surface des espaces sensibles
Circulations Disposer d’une vue sur la lumière du jour dans :
30% de la surface des circulations 50% de la surface des circulations
B
B
B
P TP
TP TP
3
1 2
10.1.2. Disposer d’accès à des vues sur l’extérieur dans les espaces sensibles Salles d’enseignement / Bureaux Accès à des vues (à l’horizontale du regard) dans 100% des espaces
Hall d’accueil Accès à des vues (à l’horizontale du regard) dans le hall d’accueil Autres espaces sensibles vis-à-vis de l’éclairage naturel (espaces de restauration, salles de réunion, infirmerie, espaces de détente, auditorium, salles de formation, centre de documentation, salles de
lecture, garderies d’enfants) Accès à des vues mais sans exigence de pourcentage de surface Accès à des vues dans :
40% de la surface des espaces 60% de la surface des espaces
Circulations
Accès à des vues (à l’horizontale du regard) dans au moins 50% des surfaces des circulations.
B
B
B
P TP
TP
2
1
CONFORT VISUEL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 10
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 85/117 Partie I : QEB
10
10.1.3. Disposer d’un éclairement naturel minimal Facteur de lumière du jour minimum (FLJ) à obtenir : Locaux de bureaux et d’enseignement directement exposés sur façades
donnant sur l’extérieur FLJ ≥ 1,5% pour 80% de la surface de la zone de premier rang, dans 80% des locaux concernés (en surface) FLJ ≥ 2% pour 80% de la surface de la zone de premier rang, dans 80% des locaux concernés (en surface)
FLJ ≥ 1,5% pour 80% de la surface de la zone de premier rang, dans les 20% de locaux concernés restants (en surface)
FLJ ≥ 2,5% pour 80% de la surface de la zone de premier rang, dans 80% des locaux concernés (en surface) FLJ ≥ 1,5% pour 80% de la surface de la zone de premier rang, dans les 20% de locaux concernés restants (en surface)
ET FLJ ≥ 0,7% pour 90% de la surface de la zone de second rang de tous les locaux concernés
Locaux de second rang (locaux ci-dessus non directement exposés sur
façades donnant sur l’extérieur) FLJ ≥ 0,7% sur 70% de la surface de 70% des locaux de second rang (en surface)
Autres espaces sensibles FLJ ≥ 1% sur 70% de la surface de 70% des espaces sensibles (en surface) Les seuils peuvent être réduits de 0,5% dans certaines conditions particulières (voir guide pratique) (sauf pour les niveaux à 0,7%) Les pourcentages s’entendent au prorata des surfaces (voir méthode de calcul dans le guide pratique)
Les espaces sensibles concernés sont mentionnés dans le guide pratique
B
P
TP
TP
TP
5
3
2
10.1.4. Qualité du traitement de la lumière naturelle
Identifier les espaces sensibles à l’éblouissement et étudier les conditions
d’éblouissement sur ces espaces. ET Dispositions justifiées et satisfaisantes pour protéger ces espaces vis-à-vis du soleil afin de limiter l’éblouissement direct ou indirect dans ces espaces Identifier les espaces sensibles à l’éblouissement et nécessitant un contrôle de
l’apport en lumière naturelle et étudier les conditions d’éblouissement et de contrôle de la lumière naturelle dans ces espaces. ET Dispositions justifiées et satisfaisantes pour conduire, filtrer et/ou diffuser la lumière du jour dans ces espaces afin de contrôler l’apport en lumière naturelle et de limiter l’éblouissement direct ou indirect dans ces espaces.
P
TP
2
CONFORT VISUEL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 10
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 86/117 Partie I : QEB
10
10.2. Eclairage artificiel confortable
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
10.2.1. Disposer d’un niveau d’éclairement optimal Capacité d’éclairement minimale à fournir :
Bureaux et salles d’enseignement primaire et secondaire : 300 lux Salles d’enseignement en cours du soir et aux adultes : 500 lux
B
10.2.2. Assurer une bonne uniformité de l’éclairage
Coefficient d’Uniformité U = Emini / Emoyen : U ≥ 0,7 (ou U ≥ 0,6) U ≥ 0,8 (ou U ≥ 0,7)
OU Rapport maximum e/h : Rapport allant de e/h ≤ 1,2 pour un luminaire de classe A à e/h ≤ 2,3 pour un luminaire de classe J Rapport allant de e/h ≤ 1pour un luminaire de classe A à e/h ≤ 2 pour un
luminaire de classe J
Cette préoccupation s’applique à la surface utile des locaux concernés de plus de 20m² (voir guide pratique), sur le plan de travail.
P TP
P
TP
2
2
10.2.3. Eviter l’éblouissement dû à l’éclairage artificiel et rechercher un équilibre des luminances de l’environnement lumineux intérieur Identifier les conditions d’éblouissement en éclairage artificiel et dispositions justifiées et satisfaisantes prises pour éviter l’éblouissement en éclairage artificiel.
Etude des conditions d’équilibre des luminances de l’ambiance intérieure. Dispositions justifiées et satisfaisantes.
B
P
CONFORT VISUEL
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 10
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 87/117 Partie I : QEB
10
10.2.4. Assurer une qualité agréable de la lumière émise Bureaux (tous types) et salles d’enseignement Assurer :
- pour les activités courantes : 3000 K ≤ TC ≤ 5000 K et IRC 82
- pour les activités demandant une distinction fine des couleurs : TC ≥
5000 K et IRC ≥ 85 Assurer une qualité agréable de la lumière émise :
- pour les activités courantes : 3000 K ≤ TC ≤ 5000 K et IRC 85
- pour les activités demandant une distinction fine des couleurs : TC ≥ 5000 K et IRC ≥ 85
Respect des températures de couleur TC identifiées dans une étude comme
les mieux adaptées aux activités des locaux, au contexte de l’opération et à
l’ambiance recherchée. Assurer une qualité agréable de la lumière émise (IRC)
- pour les activités courantes : IRC 85
- pour les activités demandant une distinction fine des couleurs : IRC ≥ 90
Autres locaux
Réaliser une étude d’éclairage en fonction de l’activité, du contexte et de l’ambiance recherchée dans chaque local, relativement aux critères suivants :
Niveau d’éclairement optimal, Conditions d’éblouissement en éclairage artificiel, Conditions d’équilibre des luminances de l’ambiance intérieure,
Qualité de la lumière émise (TC et IRC). ET Mise en œuvre des solutions identifiées comme les mieux adaptées par cette
étude.
B
P
TP
TP
TP
3
3
2
10.2.5. Maîtrise de l’ambiance visuelle par les usagers Dispositif(s) fonctionnel(s) permettant aux usagers d’agir sur l’éclairage (de fond
et/ou ponctuel) dans les locaux. Dispositions prises pour permettre aux usagers de maîtriser différentes ambiances lumineuses.
B
P
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 11
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 89/117 Partie I : QEB
CONFORT OLFACTIF
STRUCTURE DE LA CIBLE 11 ____________________
NOTA : La frontière entre le confort olfactif et la qualité sanitaire de l'air est très mince ; c'est pourquoi la sous cible 11.1 est identique à la sous cible 13.1.
EVALUATION DE LA CIBLE 11 ___________________
CIBLE 11
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
7 POINTS
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
15
11.1. Garantie d’une ventilation efficace
11.2. Maîtrise des sources d’odeurs désagréables et création d’une
ambiance olfactive agréable
11
CONFORT OLFACTIF
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 11
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 90/117 Partie I : QEB
11
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 11 _________
11.1. Garantie d’une ventilation efficace
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
11.1.1. Assurer des débits d’air adaptés à l’activité des locaux
Mise en œuvre d’un système de ventilation spécifique (naturelle ou mécanique), à l’exclusion de la seule ouverture manuelle des fenêtres. Si une ventilation naturelle est envisagée, et qu’elle n’est pas contrôlée, un complément de ventilation mécanique doit être prévu
En présence de ventilation mécanique Justifier l’atteinte :
des débits d’air hygiéniques réglementaires. des débits d’air optimisés pour l’activité des locaux.
Identifier les espaces où il est pertinent d’asservir les débits d’air ET Dispositions prises dans les espaces concernés pour l’asservissement des débits
d’air dans les espaces.
B
B P
TP
4
11.1.2. Eviter les déperditions d’air Classe d’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques à minima :
de classe A de classe B
de classe C et mesure des débits à la réception du bâtiment
En cas de recours à une ventilation sans soufflage d’air dans certains espaces
Mener une réflexion sur l’étanchéité à l’air du bâti. Dispositions justifiées et
satisfaisantes.
B P
TP
P
2
11.1.3. Assurer la maîtrise de la qualité d’air amené par conduit
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour la qualité de l'air amené par conduit dans les espaces (en fonction de l’usage associé aux espaces et de la qualité de l’air extérieur)
P
CONFORT OLFACTIF
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 11
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 91/117 Partie I : QEB
11
11.1.4. Assurer une atmosphère saine dans les espaces Dispositions justifiées et satisfaisantes pour le redémarrage de la ventilation avant le début de la période d'occupation (pour les espaces à occupation intermittente)
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour s’assurer de la propreté et de l’hygiène du(des) réseau(x) de ventilation avant mise en service
B
TP
1
11.1.5. Assurer un balayage optimal de l’air intérieur dans les espaces
Mener une réflexion sur le positionnement des bouches (de soufflage et
d’extraction). Une justification du positionnement est attendue. Réalisation d’une étude aéraulique dans certains espaces et dispositions optimales prises suite aux conclusions de l’étude pour un balayage optimal de l’air dans ces espaces.
L’étude sera menée sur les espaces où le balayage de l’air est un enjeu ; une justification des espaces concernés par l’étude est attendue.
B
TP
3
CONFORT OLFACTIF
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 11
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 92/117 Partie I : QEB
11
11.2. Maîtrise des sources d’odeurs désagréables et création d’une ambiance olfactive agréable
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
11.2.1. Identifier et réduire les effets des sources d’odeurs Identifier les sources d’odeurs internes et externes, tout au long du projet.
Mener une réflexion et prendre des dispositions pour réduire les effets des
sources d’odeurs. Dispositions justifiées et satisfaisantes au regard du projet. Dispositions justifiées et satisfaisantes pour la mise en dépression des espaces émetteurs d’odeurs par rapport aux autres espaces.
Prendre des dispositions pour effectuer un zonage des espaces de façon à éloigner ou « sectoriser » ceux qui peuvent émettre des odeurs.
B
B
P
TP
1
11.2.2. Traiter les rejets malodorants pour éviter la diffusion des odeurs
Identifier les rejets sources de mauvaises odeurs et dispositions prises pour traiter ces odeurs afin d’éviter leur diffusion.
TP 3
11.2.3. Assurer une ambiance olfactive agréable dans les espaces
Dispositions prises pour assurer une ambiance olfactive agréable dans les espaces propices ET Dispositions prises pour maîtriser la diffusion de ces odeurs et veiller à ne pas dégrader la qualité de l’air intérieur.
TP 1
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 12
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 93/117 Partie I : QEB
QUALITE SANITAIRE DES ESPACES
STRUCTURE DE LA CIBLE 12 ____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 12 ___________________
CIBLE 12
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
5 POINTS
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
10
12.1. Maîtrise de l'exposition électromagnétique
12.2. Création des conditions d'hygiène spécifiques
12
QUALITE SANITAIRE DES ESPACES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 12
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 94/117 Partie I : QEB
12
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 12 _________
12.1. Limitation de l’exposition électromagnétique
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
12.1.1. Identifier les sources d’émissions électromagnétiques
Sources « énergie » Identification des sources d'émissions d'ondes électromagnétiques basse fréquence du milieu environnant. Identification des sources d'émissions d'ondes électromagnétiques basse fréquence du milieu environnant et du projet ET réalisation d'un bilan de puissance prévisionnel
Sources « télécoms » Identification des sources radiofréquences de l'environnement immédiat. Identification des sources radiofréquences de l'environnement immédiat ET estimation du champ électromagnétique ambiant et celui du projet ET expression de la contribution du projet à l'exposition globale
B
P
B
P
12.1.2. Limiter l’impact des sources d’émission électromagnétique Sources « énergie »
Prendre des dispositions justifiées et satisfaisantes pour optimiser le choix des sources par rapport à leur impact électromagnétique. Sources « télécoms » Prendre des dispositions justifiées et satisfaisantes pour optimiser le champ électromagnétique du projet.
TP 3
QUALITE SANITAIRE DES ESPACES
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 12
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 95/117 Partie I : QEB
12
12.2. Création des conditions d’hygiène spécifiques
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
12.2.1. Créer les conditions d’hygiène spécifique Identification des zones et locaux sensibles à conditions d'hygiène spécifiques. ET Dispositions prises pour créer les conditions d'hygiène réglementaires dans ces espaces.
Dispositions prises pour créer les conditions d'hygiène optimales au regard des activités particulières.
B
P
12.2.2. Optimiser les conditions sanitaires des locaux d’entretien
Dispositions prises pour créer les conditions d'hygiène de base dans ces locaux. Dispositions architecturales prises pour la conception de ces locaux pour faciliter l’entretien de l’ouvrage.
B
TP
1
12.2.3. Favoriser une conception améliorant l’ergonomie afin de faciliter le nettoyage
Dispositions prises pour limiter les risques de salissure dans les locaux et faciliter leur nettoyage.
TP 1
12.2.4. Choisir des matériaux limitant la croissance fongique et bactérienne
Connaissance des caractéristiques hygiéniques des produits de construction vis-à-vis de la croissance bactérienne et fongique. Pour les locaux sensibles à conditions d’hygiène spécifique : Pour ces locaux, dont les surfaces sont régulièrement humidifiées et nettoyées, caractéristiques hygiéniques connues pour tous les éléments de la famille des
revêtements intérieurs (sol, mur, plafond) y compris produits de finition. ET Prise en compte, a minima pour l'élément le plus impactant de cette famille, du critère hygiénique dans le choix du produit. Pour tous les autres locaux :
Idem niveau BASE, appliqué à tous les autres locaux, pour au moins 50% des surfaces couvertes par les éléments de la famille des revêtements intérieurs (sol, mur, plafond) y compris produits de finition. Idem niveau BASE, appliqué à tous les autres locaux, pour au moins 80% des
surfaces couvertes par les éléments de la famille des revêtements intérieurs (sol, mur, plafond) y compris produits de finition.
B
P
TP
5
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 13
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 97/117 Partie I : QEB
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
STRUCTURE DE LA CIBLE 13 ____________________
NOTA : La frontière entre le confort olfactif et la qualité sanitaire de l'air est très mince ; c'est pourquoi la sous cible 13.1 est identique à la sous cible 11.1.
EVALUATION DE LA CIBLE 13 ___________________
CIBLE 13
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites +
12 POINTS en cas de risque radon identifié 10 POINTS en cas d’absence de risque radon
dont
2 POINTS sur la préoccupation 13.2.5 (exigence marquée de deux astérisques)
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
35
13.1. Garantie d’une ventilation efficace
13.2. Maîtrise des sources de pollution internes
13.3. Maîtrise des sources de pollution externes
13
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 13
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 98/117 Partie I : QEB
13
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 13 _________
13.1. Garantie d’une ventilation efficace
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
13.1.1. Assurer des débits d’air adaptés à l’activité des locaux
Mise en œuvre d’un système de ventilation spécifique (naturelle ou mécanique), à l’exclusion de la seule ouverture manuelle des fenêtres. Si une ventilation naturelle est envisagée, et qu’elle n’est pas contrôlée, un complément de ventilation mécanique doit être prévu En présence de ventilation mécanique
Justifier l’atteinte : des débits d’air hygiéniques réglementaires des débits d’air optimisés pour l’activité des locaux.
Identifier les espaces où il est pertinent d’asservir les débits d’air
ET Dispositions prises dans les espaces concernés pour l’asservissement des débits
d’air dans les espaces.
B
B P
TP
4
13.1.2. Eviter les déperditions d’air Classe d’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques à minima :
de classe A de classe B de classe C et mesure des débits à la réception du bâtiment
En cas de recours à une ventilation sans soufflage d’air dans certains espaces Mener une réflexion sur l’étanchéité à l’air du bâti. Dispositions justifiées et
satisfaisantes.
B P TP
P
2
13.1.3. Assurer la maîtrise de la qualité d’air amené par conduit Dispositions justifiées et satisfaisantes pour la qualité de l'air amené par conduit dans les espaces (en fonction de l’usage associé aux espaces et de la qualité de
l’air extérieur)
P
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 99/117 Partie I : QEB
13
13.1.4. Assurer une atmosphère saine dans les espaces Dispositions justifiées et satisfaisantes pour le redémarrage de la ventilation avant le début de la période d'occupation (pour les espaces à occupation intermittente)
Dispositions justifiées et satisfaisantes pour s’assurer de la propreté et de l’hygiène du(des) réseau(x) de ventilation avant mise en service
B
TP
1
13.1.5. Assurer un balayage optimal de l’air intérieur dans les espaces
Mener une réflexion sur le positionnement des bouches (de soufflage et
d’extraction). Une justification du positionnement est attendue. Réalisation d’une étude aéraulique dans certains espaces et dispositions optimales prises suite aux conclusions de l’étude pour un balayage optimal de l’air dans ces espaces.
L’étude sera menée sur les espaces où le balayage de l’air est un enjeu ; une justification des espaces concernés par l’étude est attendue.
B
TP
3
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 100/117 Partie I : QEB
13
13.2. Maîtrise des sources de pollution internes
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
13.2.1. Identifier et réduire les effets des sources de pollution internes Identification des sources de pollution internes, tout au long du projet, et du degré de risque sanitaire lié à ces sources. ET Mener une réflexion et prendre des dispositions pour réduire les effets des
sources de pollution internes en fonction du degré de risque sanitaire identifié.
Dispositions justifiées et satisfaisantes en regard du projet.
B
13.2.2. Connaître les émissions de fibres et de particules des produits en contact avec l’air
S’assurer que les produits en contact avec l’air intérieur (revêtements intérieurs, isolants thermiques, matériaux acoustiques) ne dégagent pas de particules et de fibres cancérogènes. Utilisation de matériaux répondant aux tests prévus par la Directive Européenne 97/69/CE du 5/12/97 transposée en droit français le 28/8/98.
B
13.2.3. Limiter la pollution par les éventuels traitements des bois
Les bois éventuellement mis en œuvre sont : - d’essence naturellement durable, sans traitement préventif, pour la classe de risque concernée, conforme au guide du CTBA.
OU - traités par un produit certifié CTB P+ adapté à la classe de risque, conforme au guide du CTBA.
TP 3
13.2.4. Prévenir le développement des bactéries dans l’air Identifier les systèmes susceptibles de favoriser le développement de bactéries dans l’air (systèmes de climatisation notamment *) ainsi que les espaces concernés et dispositions prises pour prévenir ce risque.
* hors Tours Aéro-réfrigérantes (traitées en cible 1)
TP 3
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 101/117 Partie I : QEB
13
13.2.5. Connaître l'impact sanitaire des produits de construction vis-à-vis de la qualité d’air intérieur (*) Parmi les matériaux de l’ouvrage en contact avec l’air intérieur :
Pour au moins 25% des surfaces en contact avec l’air intérieur des locaux occupés, connaissance brute des émissions de COV et formaldéhyde, ET Teneurs en COV connues pour les peintures et vernis d’intérieurs. Idem ci-dessus, pour 50% des surfaces en contact avec l’air intérieur
Idem ci-dessus, pour 100% des surfaces en contact avec l’air intérieur (**)
L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond en contact avec
l’air intérieur respecte les seuils d’émission de COV, formaldéhyde, Cancérogènes 1 et 2 de l’un des protocoles cités dans le guide pratique.
TVOC sol / mur : L’ensemble des produits constituant les surfaces
sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 : Sol : 1000 et Mur : 1000 Sol : 250 et Mur : 500 Formaldéhyde sol / mur : L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 : 62,5 (sol) – 125 (mur)
40 (sol et mur) 20 (sol et mur) 10 (sol et mur)
Cancérogènes 1 et 2 : L’ensemble des produits constituant les surfaces sols/murs/plafond respecte les seuils suivants en µg/m3 :
5 2,5 1
Pour 100% des surfaces en contact avec l’air intérieur, connaissance brute des émissions de substances CMR 1 et 2 intentionnellement introduites dans le procédé de fabrication ou naturellement présentes dans les matières premières utilisées
dans les produits, présentes à plus de 0,1% en masse, et susceptibles de migrer.
B
P
TP
TP
TP TP
TP
TP TP TP
TP TP TP
TP
2
2
1 2
1
2 3 4
1 2 3
2
13.2.6. Choisir les produits de construction pour limiter les impacts sanitaires de l’ouvrage
Prise en compte du critère sanitaire (cf. ci-dessus : émissions de COV et de formaldéhyde) dans le choix des produits en contact avec l’air intérieur.
Pour 50% des surfaces retenues. Pour 75% des surfaces retenues. Pour 100% des surfaces retenues.
P TP TP
1 2
*En attente des décisions du Grenelle de l’environnement. ** Si le niveau TP est visé en cible 13, cette exigence doit être traitée obligatoirement
QUALITE SANITAIRE DE L’AIR
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 102/117 Partie I : QEB
13
13.3. Maîtrise des sources de pollution externes
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
13.3.1. Identifier les sources de pollution externes Identifier les sources de pollution externes, tout au long du projet. ET Identification du degré de risque sanitaire lié aux sources de pollution du sol.
B
13.3.2. Limiter l’entrée des polluants externes identifiés En fonction des pollutions identifiées, dispositions prises pour limiter l’entrée des polluants dans le bâtiment.
Dispositions justifiées et satisfaisantes en fonction du contexte de l’opération.
B
13.3.3. Assurer la maîtrise des pollutions
En cas de risque radon identifié
A l’aide d’une mesure in-situ de la concentration en radon dans l’air du volume occupé après livraison de l’ouvrage, justification de l’atteinte des seuils suivants :
<400 Bq/m3
<200 Bq/m3 <100 Bq/m3
En l’absence de risque radon
Sans objet
B
P TP
2
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 103/117 Partie I : QEB
QUALITE SANITAIRE DE
L’EAU
STRUCTURE DE LA CIBLE 14 ____________________
EVALUATION DE LA CIBLE 14 ___________________________________
CIBLE 14
EVALUATION
BASE Toutes les préoccupations niveau B satisfaites
PERFORMANT Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
TRES PERFORMANT
Toutes les préoccupations niveau B et P satisfaites
+ 6 POINTS
NOMBRE DE POINTS DISPONIBLES SUR LA CIBLE
15
14.1. Qualité et durabilité des matériaux employés dans le réseau
intérieur
14.2. Organisation et protection du réseau intérieur
14.3. Maîtrise de la température dans le réseau intérieur
14.4. Maîtrise des traitements
14.5. Maîtrise du risque sanitaire lié à la récupération et à la
réutilisation sur site d’une eau non potable (en cas de
réutilisation sur site d’une eau non potable)
14
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008 Cible 14
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 104/117 Partie I : QEB
14
TABLEAUX D’EVALUATION DE LA CIBLE 14 ________________
14.1. Qualité et durabilité des matériaux employés dans le réseau intérieur
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
14.1.1. Choisir des matériaux conformes à la réglementation
Pour tout contact avec les eaux destinées à la consommation humaine, choisir des matériaux conformes à la réglementation
ET
Pour tous les matériaux choisis, respect des compositions et teneurs en impuretés définies par la réglementation
B
14.1.2. Choisir des matériaux compatibles avec la nature de l’eau
distribuée Choisir des matériaux compatibles * avec la nature de l’eau distribuée ou dispositions prises pour assurer le traitement de l’eau afin de satisfaire les conditions de compatibilité (à l’exception de l’eau destinée à la consommation
humaine).
P
14.1.3. Respecter les règles de mise en œuvre des canalisations Mise en œuvre des canalisations conformément aux règles * pour le matériau concerné
P
(*) Se référer au guide technique du CSTB
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 105/117 Partie I : QEB
14
14.2. Organisation et protection du réseau intérieur
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
14.2.1. Structurer et signaliser le réseau intérieur en fonction des usages de l’eau
Identifier les usages de l’eau sur l’opération et la localisation des points de puisage
ET Organiser le réseau intérieur en réseaux types
P
14.2.2. Séparer le réseau d’eau potable et les éventuels réseaux d'eau non potable (en cas de recours à une eau non potable) Dispositions prises pour une signalétique claire différenciant les réseaux d’eau potable et non potable
En cas de recours à une eau non potable, dispositions prises pour :
La séparation du réseau d'eau potable du réseau d’eau non potable La protection du réseau d’eau potable ;
La signalisation du réseau d’eau non potable
Dispositions conformes à la réglementation en cas de recours à l’eau pluviale
B
14.2.3. Protéger le réseau intérieur
Dispositions prises pour assurer la protection de tous les éléments du réseau intérieur
- Protéger les équipements raccordés - Protéger les réseaux-types - Protéger le branchement public
Respect des règles de protection * des équipements raccordés, des réseaux-types et du branchement public.
ET Choix approprié des équipements de protection conformément à la norme NF EN 1717
P
(*) Les règles de protection sont définies dans le guide technique du CSTB
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 106/117 Partie I : QEB
14
14.3. Maîtrise de la température dans le réseau intérieur
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
14.3.1. Maintenir les réseaux d’ECS et d’EFS à une température optimale
Calorifuger les réseaux d’ECS Calorifuger séparément les réseaux d’ECS et d’EFS ET
Dispositions prises pour éviter un réchauffement des canalisations d’EFS.
Dispositions satisfaisantes pour maintenir une température supérieure à 50°C en tout point des systèmes de distribution d’ECS (à l’exception des antennes desservant des points de puisage à risque dont le volume est inférieur à 3 litres)
B
TP
B
1
14.3.2. Concevoir le(s) réseau(x) d’ECS afin de limiter les risques de légionellose Identification des points à risque du réseau intérieur ET
Dispositions satisfaisantes pour prévenir le risque de légionellose dans la conception des réseaux intérieurs en fonction des points à risques identifiés. Dimensionnement des réseaux bouclés en intégrant le calcul de l’équilibrage, et tenant compte des limites de réglabilité des organes de réglage Mise en œuvre d’un système auto-équilibré garantissant une vitesse supérieure à
0.20 m/s dans tous les retours de boucles Température garantie à 55°C en tout point du réseau bouclé
B
P
TP
TP
3
2
14.3.3. Contrôler le maintien en température des réseaux Dispositions prises pour assurer le contrôle de la température du réseau d’ECS
aux points à risques identifiés. Installation d’un système de surveillance et de gestion automatique du réseau d’ECS (avec rapatriement et traitement des données) pour maîtriser la
température de l’ensemble du réseau de bouclage Installation d’un système de surveillance et de gestion automatique du réseau d’eau froide ; mise en place de sondes de température aux points de piquage appropriés et d'un système de rapatriement et de traitement des données.
P
TP
TP
2
1
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 107/117 Partie I : QEB
14
14.3.4. Maîtriser les risques de brûlure
En fonction des usages de l’eau sur l’opération, définir et justifier les
températures projetées * aux différents points de puisage de l’établissement. Fournir une cartographie des températures aux points d’usage.
ET
Dispositions prises pour que cet abaissement de température se fasse le plus près possible des points de puisage.
* Les températures devront être conformes à la réglementation
B
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 108/117 Partie I : QEB
14
14.4. Maîtrise des traitements
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
14.4.1. Ne pas traiter l’eau froide destinée à la consommation humaine
Garantir que le traitement concerné ne concerne qu’une partie des eaux livrées, de telle sorte que le consommateur puisse disposer d’une eau froide non soumise à ce traitement complémentaire
B
14.4.2. Optimiser les traitements d’entretien du réseau intérieur Utiliser des produits conformes à la réglementation pour les traitements mis en œuvre relativement à l’entretien des réseaux intérieurs. Garantir l’adéquation des traitements envisagés * (choix des produits et
concentration) avec la nature de l’eau et le réseau intérieur relativement : A la désinfection des réseaux, Aux traitements de protection des réseaux (anti corrosion et anti tartre)
Envisager dès la conception le recours à des méthodes de traitement autres que chimiques pour les traitements mis en œuvre en continu (notamment la désinfection et les traitements anti-corrosion et anti-tartre) et garantir
l’adéquation de ce traitement avec la nature de l’eau et le réseau intérieur ET Justification de la performance du procédé envisagé (fournir une note justificative)
B
P
TP
3
14.4.3. Maîtriser les performances des traitements Mise en place de tubes témoins sur les départs d’EFS et d’ECS ainsi que sur le retour d’ECS. Mise en place d’un robinet de prélèvement flambable en aval de ces tubes témoins
Mise en place de robinets de prélèvement aux emplacements suivants : Avant et après le(s) dispositif(s) de traitement
A l’aval immédiat de chaque compteur d’eau
P
TP
1
(*) Les conditions d’adéquation des traitements sont définies dans le guide technique du
CSTB
QUALITE SANITAIRE DE L’EAU
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Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 109/117 Partie I : QEB
14
14.5. Maîtrise du risque sanitaire lié à la récupération et à la
réutilisation sur site d’une eau non potable (en cas de réutilisation sur site d’une eau non potable)
Critère d’évaluation
Performance
Niveau Points en TP
14.5.1. Traiter les eaux non potables réutilisées Prévoir un dispositif de filtration réglementaire en cas de recours à l’eau pluviale
Identifier et justifier le risque sanitaire lié à la réutilisation d’une eau non potable pour un usage donné ET En fonction du risque sanitaire identifié, dispositions prises pour garantir la qualité des eaux non potables aux points d’usage par le biais d’un procédé de traitement complémentaire adapté (si nécessaire). Fournir une note justificative du système de traitement mis en place.
B
TP
2
14.5.2. Optimiser la conception des cuves de stockage de l’eau non potable réutilisée
Prise en compte lors de la conception des cuves de stockage : - De la vidange de la cuve (prévoir un dispositif de vidange)
- De la protection vis-à-vis de la pollution extérieure et de l’entrée d’insectes et d’animaux
- De la protection vis-à-vis des élévations de température - De l’accès à tout point intérieur de la cuve
Dispositions de conception conformes à la réglementation en cas de recours à l’eau pluviale
B
REFERENTIEL POUR LA QUALITE
ENVIRONNEMENTALE DES
BÂTIMENTS
BUREAU/ENSEIGNEMENT
Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
Décembr e 2008
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 112/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
INDICATEURS _______________________________
P.1. Indicateur « consommation de ressources énergétiques non
renouvelables »
P.2. Indicateur « changement climatique »
P.3. Indicateur « consommation d’eau »
P.4. Indicateur « Production de déchets »
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 113/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
P.1. Indicateur « consommation de ressources énergétiques non
renouvelables »
Impacts des contributeurs Unité Impact
P.1.1. Impact du contributeur « produits de construction » à l’indicateur de consommation de ressources énergétiques non renouvelables Contribution de l’ensemble des produits de construction de l’ouvrage à l’indicateur de consommation de ressources
énergétiques non renouvelables, estimée selon la méthode
définie dans la norme XP P01-020-3. Ce calcul est demandé uniquement si la préoccupation 2.3.1 est atteinte au niveau TRES PERFORMANT 6 POINTS
kWhEP
IbatPRODUITSres.énergétiques
P.1.2. Impact du contributeur « consommation d’eau » à l’indicateur de consommation de ressources énergétiques non renouvelables Contribution de la consommation d’eau de l’ouvrage à
l’indicateur de consommation de ressources non renouvelables, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
kWhEP
IbatEAU res.énergétiques
P.1.3. Impact du contributeur « consommation d’énergie » à l’indicateur de consommation de
ressources énergétiques non renouvelables Contribution de la consommation d’énergie de l’ouvrage à l’indicateur de consommation de ressources non renouvelables, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Ce calcul englobe la consommation d’énergie des postes réglementaires (en cohérence avec la préoccupation 4.2.1) et éventuellement des autres postes liés au bâti. La consommation d’énergie liée à l’activité n’est pas incluse.
kWhEP
IbatE res.énergétiques
P.1.4. Impact du contributeur « rejets liquides » à l’indicateur de consommation de ressources énergétiques non renouvelables Contribution des rejets liquides de l’ouvrage à l’indicateur de consommation de ressources non renouvelables, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
kWhEP
IbatREJETS res.énergétiques
Affichage provisoire indicateur
« Consommation de ressources
énergétiques non
renouvelables »
P.1.1 + P.1.3
en kWhEP/UF/an *
* L’Unité Fonctionnelle (UF) est par défaut le m² SHON.
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 114/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
P.2. Indicateur « changement climatique »
Impacts des contributeurs Unité Impact
P.2.1. Impact du contributeur « produits de construction » à l’indicateur de changement climatique Contribution de l’ensemble des produits de construction de
l’ouvrage à l’indicateur de consommation de ressources énergétiques non renouvelables, estimée selon la méthode
définie dans la norme XP P01-020-3. Ce calcul est demandé uniquement si la préoccupation 2.3.1 est atteinte au niveau TRES PERFORMANT 6 POINTS
Kg eq-CO2
IbatPRODUITSch.climatique
P.2.2. Impact du contributeur « consommation d’eau » à l’indicateur de changement climatique Contribution de la consommation d’eau de l’ouvrage à l’indicateur de changement climatique, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Kg eq-CO2
IbatEAU ch.climatique
P.2.3. Impact du contributeur « consommation d’énergie » à l’indicateur de changement climatique Contribution de la consommation d’énergie de l’ouvrage à l’indicateur de changement climatique, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Ce calcul englobe la consommation d’énergie des postes réglementaires et éventuellement des autres postes liés au bâti (en cohérence avec la préoccupation 4.3.1). La consommation d’énergie liée à l’activité n’est pas incluse.
Kg eq-CO2 IbatE ch.climatique
P.2.4. Impact du contributeur « rejets liquides » à
l’indicateur de changement climatique Contribution des rejets liquides de l’ouvrage à l’indicateur de changement climatique, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Kg eq-CO2
IbatREJETS ch.climatique
Affichage provisoire indicateur
« Changement climatique »
P.2.1 + P.2.3
en
Kg eq-CO2/UF/an *
* L’Unité Fonctionnelle (UF) est par défaut le m² SHON.
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 115/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
P.3. Indicateur « consommation d’eau »
Impacts des contributeurs Unité Impact
P.3.1. Impact du contributeur « produits de construction » à l’indicateur de consommation d’eau Contribution de l’ensemble des produits de construction de l’ouvrage à l’indicateur de consommation d’eau, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Ce calcul est demandé uniquement si la préoccupation
2.3.1 est atteinte au niveau TRES PERFORMANT 6 POINTS
m3
IbatPRODUITSconso.d’eau
P.3.2. Impact du contributeur « consommation d’eau » à
l’indicateur de consommation d’eau Contribution de la consommation d’eau de l’ouvrage à l’indicateur de consommation d’eau, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Ce calcul englobe au minimum la consommation d’eau provenant du réseau d’eau potable dans les sanitaires (en cohérence avec la préoccupation 5.1.1).
m3
IbatEAUconso.d’eau
P.3.3. Impact du contributeur « consommation d’énergie » à l’indicateur de consommation d’eau Contribution de la consommation d’énergie de l’ouvrage à l’indicateur de consommation d’eau, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
m3
IbatEconso.d’eau
P.3.4. Impact du contributeur « rejets liquides » à l’indicateur de consommation d’eau
Contribution des rejets liquides de l’ouvrage à l’indicateur de
consommation d’eau, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
m3
IbatREJETSconso.d’eau
Affichage provisoire indicateur
« Consommation d’eau »
P.3.1 + P.3.2
en m3/UF/an *
* L’Unité Fonctionnelle (UF) est par défaut le m² SHON.
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 116/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
P.4. Indicateur « Production de déchets »
Impacts des contributeurs Unité Impact
P.4.1. Impact du contributeur « produits de construction » à l’indicateur de production de déchets Contribution de l’ensemble des produits de construction de l’ouvrage à l’indicateur de production de déchets, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3, en distinguant :
Les déchets inertes
Les déchets radioactifs Les déchets dangereux Les déchets non dangereux
Ce calcul est demandé uniquement si la préoccupation 2.3.1 est atteinte au niveau TRES PERFORMANT 6
POINTS
Kg IbatPRODUITSdéchets
P.4.2. Impact du contributeur « consommation d’eau » à
l’indicateur de production de déchets Contribution de la consommation d’eau de l’ouvrage à l’indicateur de production de déchets, estimée selon la méthode
définie dans la norme XP P01-020-3, en distinguant : Les déchets inertes Les déchets radioactifs
Les déchets dangereux Les déchets non dangereux
Kg
IbatEAU déchets
P.4.3. Impact du contributeur « consommation
d’énergie » à l’indicateur de production de déchets Contribution de la consommation d’énergie de l’ouvrage à l’indicateur de production de déchets, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3, en distinguant :
Les déchets inertes
Les déchets radioactifs Les déchets dangereux Les déchets non dangereux
Ce calcul englobe la consommation d’énergie des postes réglementaires et éventuellement des autres postes liés au bâti (en cohérence avec la préoccupation 4.3.3). La
consommation d’énergie liée à l’activité n’est pas incluse.
Kg IbatE déchets
INDICATEURS ENVIRONNEMENTAUX
DE L’OUVRAGE
© Certivéa – décembre 2008- mise en application : 16/12/2008
Référentiel pour la Qualité Environnementale des Bâtiments – « Bureau/Enseignement » 117/117 Partie II : Indicateurs environnementaux de l’ouvrage
P.4.4. Impact du contributeur « rejets liquides » à
l’indicateur de production de déchets Contribution des rejets liquides de l’ouvrage à l’indicateur de production de déchets, estimée selon la méthode définie dans la norme XP P01-020-3.
Kg
IbatREJETS déchets
Affichage provisoire indicateur
« Production de déchets » Relativement aux déchets radioactifs
P.4.1 + P.4.3
en
Kg/UF/an *
* L’Unité Fonctionnelle (UF) est par défaut le m² SHON.