Mini-Dictionnaire de macroéconomie

Preview:

Citation preview

Mini-Dictionnaire de macroéconomie &

Accès à l’assainissement liquideaux moyens sanitaires d’évacuation des eaux usées et des déchets.

Accès à l’eau potable salubresalubre (branchements au réseau, bornes fontaou dans un rayon de 200 m dans les villes et d’un kilomètre en milieu rural.

Accès à l'assainissementd'évacuation des excréments au moins suffisantes pourexcréments et les humains, les animaux et les insectes. Ces installations vont des latrinesà fosse simples, mais abritées, aux toilettes avec chasse d'eau et toutfonctionner, toutes les installations doicorrectement. (Banque mondiale)

Ajustement structurel Les programmes d’ajustement structurel regroupent les conditionsposées par le FMI au rééchelonnement de la dette des pays en développement à partirdes années quatre-vingts. Visant au rétablissement des balances commerciale etfinancière extérieures, ils préconisent un équilibre des finances publiques, ainsi que desmesures structurelles du type privatisations, libre circulation des capitaux. (J.J. Gabas(sous le direction de ) , 2004, l’Aide publique au développement,Française, Paris )

Approche genre suppose de considérer les différentes opportunités offertes aux hommeset aux femmes, les rôles qui leur sont assignés socialement et les relations qui existententre eux. Il s’agit de composantes fondamentales qui influent sur le processus ddéveloppement de la société et sur l’aboutissement des politiques, des programmes etdes projets des organismes internationaux et nationaux. Le genre est intimement lié àtous les aspects de la vie économique et sociale, quotidienne et privée des individceux de la société qui a assigné à chacun (hommes et femmes) des rôles spécifiques.(FAO). L’approche genre est une philosophie du développement qui vise à promouvoir ledéveloppement du pouvoir des femmes et des hommes, des pauvres en les aidant àaccroître leur capacité, leur accès aux ressources, aux pouvoirs politiques nécessaire pouratteindre et maintenir un niveau de vie satisfaisant. L’approche Genre et développementest une « nouvelle approchedepuis un certain nombre d’années mais qui est dans le vocabulaire onusien depuis lesannées 1990. Elle a été consacrée par la conférence internationale sur «Développement » tenue au Caire en 1994 et la IVème conférence mondiale sur lfemmes à Beijing (Pékin) en septembre 1995.http://www.mpf.gov.bf/png.html#D%C3%A9finition_de_lapproche

Audit, contrôle / audit : activité de contrôle en matière de qualité, exercée de façonobjective et indépendante, et destinée à améliorer les opératen accroître la valeur. L’audit est l’un des instruments d’une approche systématique etrigoureuse pour constater et améliorer l’efficacité de la gestion des risques, du contrôleet des processus de gouvernance. Il faut distingsur la conformité avec les procédures et les règlements en vigueur) et l’audit deperformance (qui s’intéresse à la pertinence, à l’économie, à l’efficience et à l’efficacité).L’audit interne fournit une apprécirendant compte à la direction, tandis que l’audit externe est exécuté par un organismeindépendant. (D’après OCDE)

1

Dictionnaire de macroéconomie &développement

Accès à l’assainissement liquide constitue le pourcentage de la population ayant accèsaux moyens sanitaires d’évacuation des eaux usées et des déchets.

Accès à l’eau potable salubre est le pourcentage des ménages ayant accès à l’eau potablesalubre (branchements au réseau, bornes fontaines et points d’eau aménagés) à domicileou dans un rayon de 200 m dans les villes et d’un kilomètre en milieu rural.

Accès à l'assainissement Pourcentage de la population qui dispose d'installationsd'évacuation des excréments au moins suffisantes pour éviter tout contact entre lesexcréments et les humains, les animaux et les insectes. Ces installations vont des latrinesà fosse simples, mais abritées, aux toilettes avec chasse d'eau et toutfonctionner, toutes les installations doivent être construites et entretenuescorrectement. (Banque mondiale)

Les programmes d’ajustement structurel regroupent les conditionsposées par le FMI au rééchelonnement de la dette des pays en développement à partir

vingts. Visant au rétablissement des balances commerciale etpréconisent un équilibre des finances publiques, ainsi que des

mesures structurelles du type privatisations, libre circulation des capitaux. (J.J. Gabas(sous le direction de ) , 2004, l’Aide publique au développement,

suppose de considérer les différentes opportunités offertes aux hommeset aux femmes, les rôles qui leur sont assignés socialement et les relations qui existententre eux. Il s’agit de composantes fondamentales qui influent sur le processus ddéveloppement de la société et sur l’aboutissement des politiques, des programmes etdes projets des organismes internationaux et nationaux. Le genre est intimement lié àtous les aspects de la vie économique et sociale, quotidienne et privée des individceux de la société qui a assigné à chacun (hommes et femmes) des rôles spécifiques.

L’approche genre est une philosophie du développement qui vise à promouvoir ledéveloppement du pouvoir des femmes et des hommes, des pauvres en les aidant àaccroître leur capacité, leur accès aux ressources, aux pouvoirs politiques nécessaire pouratteindre et maintenir un niveau de vie satisfaisant. L’approche Genre et développement

nouvelle approche » utilisée par les organisations non gouvernemedepuis un certain nombre d’années mais qui est dans le vocabulaire onusien depuis lesannées 1990. Elle a été consacrée par la conférence internationale sur «

» tenue au Caire en 1994 et la IVème conférence mondiale sur lfemmes à Beijing (Pékin) en septembre 1995.http://www.mpf.gov.bf/png.html#D%C3%A9finition_de_lapproche

: activité de contrôle en matière de qualité, exercée de façonobjective et indépendante, et destinée à améliorer les opérations d’une organisation et àen accroître la valeur. L’audit est l’un des instruments d’une approche systématique etrigoureuse pour constater et améliorer l’efficacité de la gestion des risques, du contrôleet des processus de gouvernance. Il faut distinguer l’audit de régularité (il porte surtoutsur la conformité avec les procédures et les règlements en vigueur) et l’audit deperformance (qui s’intéresse à la pertinence, à l’économie, à l’efficience et à l’efficacité).L’audit interne fournit une appréciation des contrôles internes exercés par une unitérendant compte à la direction, tandis que l’audit externe est exécuté par un organismeindépendant. (D’après OCDE)

Dictionnaire de macroéconomie &

constitue le pourcentage de la population ayant accès

est le pourcentage des ménages ayant accès à l’eau potableines et points d’eau aménagés) à domicile

ou dans un rayon de 200 m dans les villes et d’un kilomètre en milieu rural.

Pourcentage de la population qui dispose d'installationséviter tout contact entre les

excréments et les humains, les animaux et les insectes. Ces installations vont des latrinesà fosse simples, mais abritées, aux toilettes avec chasse d'eau et tout-à-l'égout. Pour bien

vent être construites et entretenues

Les programmes d’ajustement structurel regroupent les conditionsposées par le FMI au rééchelonnement de la dette des pays en développement à partir

vingts. Visant au rétablissement des balances commerciale etpréconisent un équilibre des finances publiques, ainsi que des

mesures structurelles du type privatisations, libre circulation des capitaux. (J.J. Gabas(sous le direction de ) , 2004, l’Aide publique au développement, Documentation

suppose de considérer les différentes opportunités offertes aux hommeset aux femmes, les rôles qui leur sont assignés socialement et les relations qui existententre eux. Il s’agit de composantes fondamentales qui influent sur le processus dedéveloppement de la société et sur l’aboutissement des politiques, des programmes etdes projets des organismes internationaux et nationaux. Le genre est intimement lié àtous les aspects de la vie économique et sociale, quotidienne et privée des individus et àceux de la société qui a assigné à chacun (hommes et femmes) des rôles spécifiques.

L’approche genre est une philosophie du développement qui vise à promouvoir ledéveloppement du pouvoir des femmes et des hommes, des pauvres en les aidant àaccroître leur capacité, leur accès aux ressources, aux pouvoirs politiques nécessaire pouratteindre et maintenir un niveau de vie satisfaisant. L’approche Genre et développement

» utilisée par les organisations non gouvernementalesdepuis un certain nombre d’années mais qui est dans le vocabulaire onusien depuis lesannées 1990. Elle a été consacrée par la conférence internationale sur « Population et

» tenue au Caire en 1994 et la IVème conférence mondiale sur lesfemmes à Beijing (Pékin) en septembre 1995.

: activité de contrôle en matière de qualité, exercée de façonions d’une organisation et à

en accroître la valeur. L’audit est l’un des instruments d’une approche systématique etrigoureuse pour constater et améliorer l’efficacité de la gestion des risques, du contrôle

uer l’audit de régularité (il porte surtoutsur la conformité avec les procédures et les règlements en vigueur) et l’audit deperformance (qui s’intéresse à la pertinence, à l’économie, à l’efficience et à l’efficacité).

ation des contrôles internes exercés par une unitérendant compte à la direction, tandis que l’audit externe est exécuté par un organisme

Balance des paiements est un état statistique où sont systématiquement résumées, pourune période donnée, les transactions économiques d’une économie avec le reste dumonde.

Capital humain : Les êtres humains et leur capacité de production économique.L'éducation, la formation et les soins de santé contribuent à accroître le capital humain.

coefficient budgétaire alimentaire représente la part des dépenses alimentaires dans lebudget total des ménages

Consommation finale totaleservices de consommation individuels et collectifs supportées par les ménages résidents,les ISBLSM résidentes, et les administrations publiques ; elle peut aussi être définie entermes de consommation finale effective, comme la valeur de tous les biens et servicesindividuels acquis par les ménages résidents, plus la valeur des services collectifs fournispar les administrations publiques à la collectivité ou à d’importants souscollectivité.

Consommation intermédiaireconsommés en entrée d’un processus de production, à l’exclusion des actifs fixes dont laconsommation est enregistrée comme une consommation de capital fixe ; les bienservices peuvent être soit transformés, soit détruits par le processus de production.

Crédits à court terme sont les crédits dont l’échéance initiale est normalement inférieureà un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diverses pnationales).

Crédits à long terme comprennent les crédits dont l’échéance initiale est normalementsupérieure à un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diversespratiques nationales).

Crédits commerciaux et avancesbiens ou des services octroyés directement aux entreprises, aux administrationspubliques, aux institutions sans but lucratif, aux ménages et au reste du monde, ainsique les avances sur travaux en cours (s’ils sont clastravaux commandés.

Crédits sont les actifs financiers résultant d’une opération directe entre un emprunteur etun prêteur pour laquelle ce dernier ne reçoit aucun titre matérialisant l’opération ouseulement un document non négociable.

Croissance économique annuelleSystème de la Comptabilité Nationale (Base 1998). Elle correspond à la variation relativeentre le PIB de l'année t, exprimé aux prix de l'année taux prix de l'année t-1.

Croissance économique annuelle de la brancheannuelle en volume de la valeur ajoutée de la branche (ou secteur) considérée. Ellecorrespond à la variation relativde l'année t-1, et la valeur ajoutée de l'année t

Croissance pro-pauvres : définie par la Banque Mondiale en 2001, comme étant lacroissance positive accompagnée d’une augmentation de la part du revenu nationaldétenue par les pauvres et conduisent mécaniquement à une réduction de la pauvretéplus forte que si le revenu des pade la population. ( article de J.P.Cling, Ph. De Vreyer, M. Razafindrakoto, F. Roubaud sur: www.dial.prd.fr/dial_publipermettent de définir la croissance prodite pro-pauvres lorsque les plus pauvres bénéficient plus que les autres des fruits de lacroissance. 2) L’approche absolue : la croissance est dite pro

2

est un état statistique où sont systématiquement résumées, pourpériode donnée, les transactions économiques d’une économie avec le reste du

: Les êtres humains et leur capacité de production économique.L'éducation, la formation et les soins de santé contribuent à accroître le capital humain.

coefficient budgétaire alimentaire représente la part des dépenses alimentaires dans le

Consommation finale totale est la valeur totale de toutes les dépenses en biens et enservices de consommation individuels et collectifs supportées par les ménages résidents,les ISBLSM résidentes, et les administrations publiques ; elle peut aussi être définie en

ation finale effective, comme la valeur de tous les biens et servicesindividuels acquis par les ménages résidents, plus la valeur des services collectifs fournispar les administrations publiques à la collectivité ou à d’importants sous

Consommation intermédiaire correspond à la valeur des biens et des servicesconsommés en entrée d’un processus de production, à l’exclusion des actifs fixes dont laconsommation est enregistrée comme une consommation de capital fixe ; les bienservices peuvent être soit transformés, soit détruits par le processus de production.

sont les crédits dont l’échéance initiale est normalement inférieureà un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diverses p

comprennent les crédits dont l’échéance initiale est normalementsupérieure à un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diverses

Crédits commerciaux et avances comprennent les crédits commerciaux couvrant desbiens ou des services octroyés directement aux entreprises, aux administrationspubliques, aux institutions sans but lucratif, aux ménages et au reste du monde, ainsique les avances sur travaux en cours (s’ils sont classés comme tels dans les stocks) ou sur

sont les actifs financiers résultant d’une opération directe entre un emprunteur etun prêteur pour laquelle ce dernier ne reçoit aucun titre matérialisant l’opération ou

ent non négociable.

Croissance économique annuelle constitue l'évolution en volume du PIB selon leSystème de la Comptabilité Nationale (Base 1998). Elle correspond à la variation relativeentre le PIB de l'année t, exprimé aux prix de l'année t-1, et le PIB de l'année t

Croissance économique annuelle de la branche (ou secteur) considérée est la variationannuelle en volume de la valeur ajoutée de la branche (ou secteur) considérée. Ellecorrespond à la variation relative entre la valeur ajoutée de l'année t, exprimée aux prix

1, et la valeur ajoutée de l'année t-1 exprimé aux prix de l'année t

: définie par la Banque Mondiale en 2001, comme étant lacroissance positive accompagnée d’une augmentation de la part du revenu nationaldétenue par les pauvres et conduisent mécaniquement à une réduction de la pauvretéplus forte que si le revenu des pauvres augmente moins ou aussi vite que celui du restede la population. ( article de J.P.Cling, Ph. De Vreyer, M. Razafindrakoto, F. Roubaud sur

www.dial.prd.fr/dial_publications/PDF/Doc_travail/2003-04.pdfpermettent de définir la croissance pro-pauvres : 1) L’approche relative : la croissance est

pauvres lorsque les plus pauvres bénéficient plus que les autres des fruits de laroche absolue : la croissance est dite pro-pauvres lorsqu’elle se

est un état statistique où sont systématiquement résumées, pourpériode donnée, les transactions économiques d’une économie avec le reste du

: Les êtres humains et leur capacité de production économique.L'éducation, la formation et les soins de santé contribuent à accroître le capital humain.

coefficient budgétaire alimentaire représente la part des dépenses alimentaires dans le

est la valeur totale de toutes les dépenses en biens et enservices de consommation individuels et collectifs supportées par les ménages résidents,les ISBLSM résidentes, et les administrations publiques ; elle peut aussi être définie en

ation finale effective, comme la valeur de tous les biens et servicesindividuels acquis par les ménages résidents, plus la valeur des services collectifs fournispar les administrations publiques à la collectivité ou à d’importants sous-ensembles de la

correspond à la valeur des biens et des servicesconsommés en entrée d’un processus de production, à l’exclusion des actifs fixes dont laconsommation est enregistrée comme une consommation de capital fixe ; les biens et lesservices peuvent être soit transformés, soit détruits par le processus de production.

sont les crédits dont l’échéance initiale est normalement inférieureà un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diverses pratiques

comprennent les crédits dont l’échéance initiale est normalementsupérieure à un an (exceptionnellement deux ans pour tenir compte des diverses

es crédits commerciaux couvrant desbiens ou des services octroyés directement aux entreprises, aux administrationspubliques, aux institutions sans but lucratif, aux ménages et au reste du monde, ainsi

sés comme tels dans les stocks) ou sur

sont les actifs financiers résultant d’une opération directe entre un emprunteur etun prêteur pour laquelle ce dernier ne reçoit aucun titre matérialisant l’opération ou

constitue l'évolution en volume du PIB selon leSystème de la Comptabilité Nationale (Base 1998). Elle correspond à la variation relative

PIB de l'année t-1 exprimé

(ou secteur) considérée est la variationannuelle en volume de la valeur ajoutée de la branche (ou secteur) considérée. Elle

e entre la valeur ajoutée de l'année t, exprimée aux prix1 exprimé aux prix de l'année t-1.

: définie par la Banque Mondiale en 2001, comme étant lacroissance positive accompagnée d’une augmentation de la part du revenu nationaldétenue par les pauvres et conduisent mécaniquement à une réduction de la pauvreté

uvres augmente moins ou aussi vite que celui du restede la population. ( article de J.P.Cling, Ph. De Vreyer, M. Razafindrakoto, F. Roubaud sur

04.pdf).Deux approchespauvres : 1) L’approche relative : la croissance est

pauvres lorsque les plus pauvres bénéficient plus que les autres des fruits de lapauvres lorsqu’elle se

traduit par une réduction de l’incidence de la pauvreté. Cette approche est cohérenteavec l’OMD n°1. (AFD)

Dépense annuelle moyenne par personnedivisée par la taille du ménage

Dépense annuelle par ménagenombre des ménages

Dépense de consommation finale des administrations publiquesvolets. Elle comprend d’abord les «dépensfonctions d’administration générale : justice, défense, police, administration générale,etc. Elle englobe également l’ensemble des «dépenses individuelles» des administrationsdont le bénéfice ultime revient aux ménag

Dépense finale regroupe la dépense de consommation finale et la formation brute decapital fixe.

Dépense nationale Ensemble, la formation de capital et la consommation finaleconstituent la dépense nationale.

Dépenses de consommation finale des ménagesconsacrent les ménages à l'acquisition des biens ou services qui sont utilisés pour lasatisfaction directe de leurs besoins.

Dépenses totales des ménagespour l'acquisition des biens et services en vue de la consommation, sauf cellesconsidérées comme "investissement du ménage" ou "transfert en capital" ou cellesconcernant ses opérations financières.

Développement durable: développement qui satisfait les besoins de la génération actuellesans priver les générations futures de la possibilité de satisfaire leurs propres besoins(Gro Harlem Brundtland)

Développement humain processus d’augmentation des choix des individus. L’auproduction et de la richesse est seulement un moyen. L’objectif du développement doit être lebien-être humain. Les individus étant la vraie richesse d’un pays, l’objectif fondamental dudéveloppement revient alors à créer un environnementen bonne santé et créatrice. Ce rapport était à l’époque révolutionnaire dans la mesure où ilremettait en question la croyance dominante selon laquelle la croissance économiquel’accumulation de biens matériels,adéquat et suffisant pour évaluer les progrès du biendéveloppement sont multiples. En plus des évidentes libertés économique, sociale et politique,elles comprennent le droit d’être préservé de la violence, de l’insécurité et de la discrimination.Le concept de développement humain ne doit donc pas seulement tenir compte de l’extensiondes choix offerts aux individus, mais égalementdéfinition desdits choix : les individus sont alors à la fois les agents et les bénéficiaires dudéveloppement. (premier Rapport sur le Développement humain (RDH), rédigé en 1990 sousl’égide du PNUD par Mahbub ulAmartya Sen)

Développement local désigne l’évolution qualitative d’un territoiredes habitants et part d’une dynamique de projet.

Développement social ajoutel’autonomie du projet, de l’éducation tout au long de la vie, de l’engagement citoyen. Sesméthodes sont participatives pour le diagnostic, le projet et l’évaluation, dans uneapproche transversale et globale. Ses acteurs militent pour une tchangement social. S’il porte sur le long terme, il devient développement durablepas compromettre la capacité d’agir des générations futures. Extraits du Vade mecumtravailler et coopérer dans les centres sociaux et socioculture

3

traduit par une réduction de l’incidence de la pauvreté. Cette approche est cohérente

Dépense annuelle moyenne par personne est égale à la dépense annuelle par ménagedivisée par la taille du ménage

Dépense annuelle par ménage est égale aux dépenses totales des ménages divisées par le

Dépense de consommation finale des administrations publiquesvolets. Elle comprend d’abord les «dépenses collectives» qui correspondent auxfonctions d’administration générale : justice, défense, police, administration générale,etc. Elle englobe également l’ensemble des «dépenses individuelles» des administrationsdont le bénéfice ultime revient aux ménages (dépenses de santé, d’éducation, etc.).

regroupe la dépense de consommation finale et la formation brute de

Ensemble, la formation de capital et la consommation finaledépense nationale.

épenses de consommation finale des ménages recouvrent les dépenses queconsacrent les ménages à l'acquisition des biens ou services qui sont utilisés pour lasatisfaction directe de leurs besoins.

Dépenses totales des ménages concernent toutes les dépenses engagées par les ménagespour l'acquisition des biens et services en vue de la consommation, sauf cellesconsidérées comme "investissement du ménage" ou "transfert en capital" ou cellesconcernant ses opérations financières.

développement qui satisfait les besoins de la génération actuellesans priver les générations futures de la possibilité de satisfaire leurs propres besoins

processus d’augmentation des choix des individus. L’auproduction et de la richesse est seulement un moyen. L’objectif du développement doit être le

être humain. Les individus étant la vraie richesse d’un pays, l’objectif fondamental dudéveloppement revient alors à créer un environnement leur permettant de vivre une vie longue,en bonne santé et créatrice. Ce rapport était à l’époque révolutionnaire dans la mesure où ilremettait en question la croyance dominante selon laquelle la croissance économiquel’accumulation de biens matériels, de produits de base et de richesse financièreadéquat et suffisant pour évaluer les progrès du bien-être humain. Les dimensions dudéveloppement sont multiples. En plus des évidentes libertés économique, sociale et politique,

nent le droit d’être préservé de la violence, de l’insécurité et de la discrimination.Le concept de développement humain ne doit donc pas seulement tenir compte de l’extensiondes choix offerts aux individus, mais également – et surtout – de leur participdéfinition desdits choix : les individus sont alors à la fois les agents et les bénéficiaires dudéveloppement. (premier Rapport sur le Développement humain (RDH), rédigé en 1990 sousl’égide du PNUD par Mahbub ul-Haq, s’appuyait sur les travaux novateurs du Prix Nobel

désigne l’évolution qualitative d’un territoire ; il vise le mieuxdes habitants et part d’une dynamique de projet.

Développement social ajoute la dimension de solidarité. Ses valeursl’autonomie du projet, de l’éducation tout au long de la vie, de l’engagement citoyen. Sesméthodes sont participatives pour le diagnostic, le projet et l’évaluation, dans uneapproche transversale et globale. Ses acteurs militent pour une transformation ou unchangement social. S’il porte sur le long terme, il devient développement durablepas compromettre la capacité d’agir des générations futures. Extraits du Vade mecumtravailler et coopérer dans les centres sociaux et socioculturels, publié par la FCSF en

traduit par une réduction de l’incidence de la pauvreté. Cette approche est cohérente

est égale à la dépense annuelle par ménage

est égale aux dépenses totales des ménages divisées par le

Dépense de consommation finale des administrations publiques comporte deuxes collectives» qui correspondent aux

fonctions d’administration générale : justice, défense, police, administration générale,etc. Elle englobe également l’ensemble des «dépenses individuelles» des administrations

es (dépenses de santé, d’éducation, etc.).

regroupe la dépense de consommation finale et la formation brute de

Ensemble, la formation de capital et la consommation finale

recouvrent les dépenses queconsacrent les ménages à l'acquisition des biens ou services qui sont utilisés pour la

s engagées par les ménagespour l'acquisition des biens et services en vue de la consommation, sauf cellesconsidérées comme "investissement du ménage" ou "transfert en capital" ou celles

développement qui satisfait les besoins de la génération actuellesans priver les générations futures de la possibilité de satisfaire leurs propres besoins

processus d’augmentation des choix des individus. L’augmentation de laproduction et de la richesse est seulement un moyen. L’objectif du développement doit être le

être humain. Les individus étant la vraie richesse d’un pays, l’objectif fondamental duleur permettant de vivre une vie longue,

en bonne santé et créatrice. Ce rapport était à l’époque révolutionnaire dans la mesure où ilremettait en question la croyance dominante selon laquelle la croissance économique -

de produits de base et de richesse financière -était un moyenêtre humain. Les dimensions du

développement sont multiples. En plus des évidentes libertés économique, sociale et politique,nent le droit d’être préservé de la violence, de l’insécurité et de la discrimination.

Le concept de développement humain ne doit donc pas seulement tenir compte de l’extensionde leur participation active à la

définition desdits choix : les individus sont alors à la fois les agents et les bénéficiaires dudéveloppement. (premier Rapport sur le Développement humain (RDH), rédigé en 1990 sous

travaux novateurs du Prix Nobel

; il vise le mieux-être

la dimension de solidarité. Ses valeurs participent del’autonomie du projet, de l’éducation tout au long de la vie, de l’engagement citoyen. Sesméthodes sont participatives pour le diagnostic, le projet et l’évaluation, dans une

ransformation ou unchangement social. S’il porte sur le long terme, il devient développement durable : nepas compromettre la capacité d’agir des générations futures. Extraits du Vade mecum —

ls, publié par la FCSF en

partenariat avec le CIDEM, Paris, 2006.

Développement : Est un processus global, économique, social, culturel et politique quivise à améliorer sans cesse le bienindividus sur la base de leur participation active, libre et significative au développementet au partage équitable des bienfaits qui en découlent.

Économie comprend toutes les unités institutionnelles qui résident sur le territoireéconomique d’un pays.

Économie souterraine comprend des activités qui peuvent être à la fois productives dupoint de vue économique et tout à fait légales (à condition qu’elles respectent certainesnormes ou réglementations), mais délibérément soustraites au regard des pouvoirspublics (par exemple, pour éviter le paiement d’impôts et/ou le paiement des cotisationsde sécurité sociale ou pour ne pas avoir à respecter certaines normes légales ou certainesprocédures administratives).

Entreprise désigne une unité institutionnelle dans sa capaservices ; une entreprise peut être une société, une quasibut lucratif ou une entreprise non constituée en société.

Entreprises financières sont des entreprises qui sont engagées principaleml’intermédiation financière ou dans des activités d’auxiliaire financier, qui sontétroitement liées à l’intermédiation financière.

Epargne nationale brute représente la partie du RNBD non affectée à la consommationfinale.

Equité renvoie à la notion de justice et veut qu’il soit accordé à chaque groupe social lachance de bénéficier des fruits des actions, ce en fonction de sa spécificité et de sesbesoins.

Espérance de vie à la naissanceà sa naissance, dans les conditions de mortalité du moment.

Exportations des biens et servicestransferts) par lesquelles des résidents fournissent des biens et des services à des nonrésidents.

Formation brute de capitalcapital fixe, des variations des stocks, et des acquisitions moins les cessions d’objets devaleur.

Formation brute de capital fixeles cessions, d’actifs fixes au cours de la période comptable, plus certaines additions à lavaleur des actifs non produits (tels que les gisements ou des améliorations majeures dela quantité, de la qualité ou de la productivité de laproductive des unités institutionnelles.

Formation brute du capital fixefixes réalisées par les producteurs résidents au cours de la période de référenceaugmentées de certaines plusproduction des unités productives ou institutionnelles. Les actifs fixes comprennent tousles actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façonrépétée ou continue dans d'autres processus de production pendant une durée d'aumoins un an.

Gouvernance: Ce terme désigne l'ensemble des règles, procédures et pratiques concernantla manière dont les pouvoirs sont exercés au sein d'une institution ou d'qui est de l'Union européenne, l'objectif consiste à rapprocher davantage l'Union descitoyens européens, à la rendre plus efficace, à renforcer la démocratie en Europe et àconsolider la légitimité de ses institutions. L'article 9 de l'Ac

4

partenariat avec le CIDEM, Paris, 2006.

: Est un processus global, économique, social, culturel et politique quivise à améliorer sans cesse le bien-être de l’ensemble de la population et de tous les

la base de leur participation active, libre et significative au développementet au partage équitable des bienfaits qui en découlent.

comprend toutes les unités institutionnelles qui résident sur le territoire

comprend des activités qui peuvent être à la fois productives dupoint de vue économique et tout à fait légales (à condition qu’elles respectent certainesnormes ou réglementations), mais délibérément soustraites au regard des pouvoirs

exemple, pour éviter le paiement d’impôts et/ou le paiement des cotisationsde sécurité sociale ou pour ne pas avoir à respecter certaines normes légales ou certainesprocédures administratives).

désigne une unité institutionnelle dans sa capacité de producteur de biens et deservices ; une entreprise peut être une société, une quasi-société, une institution sansbut lucratif ou une entreprise non constituée en société.

sont des entreprises qui sont engagées principaleml’intermédiation financière ou dans des activités d’auxiliaire financier, qui sontétroitement liées à l’intermédiation financière.

représente la partie du RNBD non affectée à la consommation

otion de justice et veut qu’il soit accordé à chaque groupe social lachance de bénéficier des fruits des actions, ce en fonction de sa spécificité et de ses

Espérance de vie à la naissance est le nombre moyen d'années que peut vivre un individuà sa naissance, dans les conditions de mortalité du moment.

Exportations des biens et services correspondent aux opérations (ventes, troc, dons outransferts) par lesquelles des résidents fournissent des biens et des services à des non

Formation brute de capital est mesurée par la valeur du total de la formation brute decapital fixe, des variations des stocks, et des acquisitions moins les cessions d’objets de

Formation brute de capital fixe est mesurée par la valeur totale desles cessions, d’actifs fixes au cours de la période comptable, plus certaines additions à lavaleur des actifs non produits (tels que les gisements ou des améliorations majeures dela quantité, de la qualité ou de la productivité de la terre) réalisées par l’activitéproductive des unités institutionnelles.

Formation brute du capital fixe correspond aux acquisitions nettes de cessions d'actifsfixes réalisées par les producteurs résidents au cours de la période de référence

de certaines plus-values sur actifs non produits découlant de l'activité deproduction des unités productives ou institutionnelles. Les actifs fixes comprennent tousles actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façonrépétée ou continue dans d'autres processus de production pendant une durée d'au

: Ce terme désigne l'ensemble des règles, procédures et pratiques concernantla manière dont les pouvoirs sont exercés au sein d'une institution ou d'qui est de l'Union européenne, l'objectif consiste à rapprocher davantage l'Union descitoyens européens, à la rendre plus efficace, à renforcer la démocratie en Europe et àconsolider la légitimité de ses institutions. L'article 9 de l'Accord de Cotonou définit la

: Est un processus global, économique, social, culturel et politique quiêtre de l’ensemble de la population et de tous les

la base de leur participation active, libre et significative au développement

comprend toutes les unités institutionnelles qui résident sur le territoire

comprend des activités qui peuvent être à la fois productives dupoint de vue économique et tout à fait légales (à condition qu’elles respectent certainesnormes ou réglementations), mais délibérément soustraites au regard des pouvoirs

exemple, pour éviter le paiement d’impôts et/ou le paiement des cotisationsde sécurité sociale ou pour ne pas avoir à respecter certaines normes légales ou certaines

cité de producteur de biens et desociété, une institution sans

sont des entreprises qui sont engagées principalement dansl’intermédiation financière ou dans des activités d’auxiliaire financier, qui sont

représente la partie du RNBD non affectée à la consommation

otion de justice et veut qu’il soit accordé à chaque groupe social lachance de bénéficier des fruits des actions, ce en fonction de sa spécificité et de ses

est le nombre moyen d'années que peut vivre un individu

correspondent aux opérations (ventes, troc, dons outransferts) par lesquelles des résidents fournissent des biens et des services à des non-

est mesurée par la valeur du total de la formation brute decapital fixe, des variations des stocks, et des acquisitions moins les cessions d’objets de

est mesurée par la valeur totale des acquisitions, moinsles cessions, d’actifs fixes au cours de la période comptable, plus certaines additions à lavaleur des actifs non produits (tels que les gisements ou des améliorations majeures de

terre) réalisées par l’activité

correspond aux acquisitions nettes de cessions d'actifsfixes réalisées par les producteurs résidents au cours de la période de référence

values sur actifs non produits découlant de l'activité deproduction des unités productives ou institutionnelles. Les actifs fixes comprennent tousles actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façonrépétée ou continue dans d'autres processus de production pendant une durée d'au

: Ce terme désigne l'ensemble des règles, procédures et pratiques concernantla manière dont les pouvoirs sont exercés au sein d'une institution ou d'un pays. Pour cequi est de l'Union européenne, l'objectif consiste à rapprocher davantage l'Union descitoyens européens, à la rendre plus efficace, à renforcer la démocratie en Europe et à

cord de Cotonou définit la

"bonne gouvernance" comme étant la « gestion transparente et responsable desressources humaines, naturelles, économiques et financières en vue du développementéquitable et durable ».Cette méthode vise à optimaliser la gestion dinstitutionnelles, le processus de décision des autorités publiques et la gestion des fondspublics, dans le respect de la démocratie, de l’Etat de droit, des droits de l’homme et deslibertés fondamentales. (HCCI)

Groupe-cible, population ciindirectement par l’action de développement. On peut distinguer le groupeprioritaire au bénéfice duquel l’action est directement menée et le groupesecondaire qui bénéficie indirectOCDE)

Impacts: effets à long terme, positifs et négatifs, primaires et secondaires, induits par uneaction de développement, directement ou non, intentionnellement ou non.

Importations des biens et servicestransferts) par lesquelles des nonrésidents.

Indicateur du développement humain (IDH)plusieurs indicateurs sociaux et permettant de faire de larges comparaisons au niveau deplusieurs pays, même s'il fournit peu d'informations spécifiques sur chacun. Utilisé pourla première fois dans le Rapport mondial sur le développement humain (1990) duProgramme des Nations Unies pour le développement. Il inclut, entre autres indicateurs: 1) l’espérance de vie à la naissance 2) le niveau d’instruction, c’est à dire : la duréemoyenne de scolarisation + le taux d’alphabétisation 3) le PIB réel par habitant calculéen parité de pouvoir d’achat (PNUD)

Indice de Confiance des Ménagesla situation générale (Evolution passée du niveau de vie, Perspective d'évolution duniveau de vie, Perspective d'évolution du nombrde biens durables) et 3 relatifs à la situation du ménage (Situation financière actuelle desménages, Evolution passée de la situation financière des ménages et Evolution futurede la situation financière des ménages)par trimestre (2000 en milieu urbain et 1000 en milieu rural). Il est choisi selon uneméthode probabiliste permettant une extrapolation des résultats. Chaque ménage estenquêté trois fois consécutives perme

Indice de Développement Humainqui mesure l’évolution d’un pays selon trois critères de basemesurées d’après l’espérance de vie à la naissanced’alphabétisation des adultes et le taux brut de scolarisation combiné du primairesecondaire et du supérieurparité de pouvoir d’achat en dollar US (PPA).

Indice de la Production Industrielle, Energétique et Minièrevariation des quantités produites dans les secteurs industriel, énergétique et minier. Sonélaboration est fondée sur les changements qui affectent aussi bien la population desentreprises de production que la structure de la production et de la valeur ajoutée.

Indice de Pauvreté Humaineprivations observables dans les trois dimensions fondamentales: longévité et bonnesanté approchées par la probabilité à la naissance de décéder avant 40 ansexprimée par le taux d’analphabétisme des adultesmoyenne non pondérée de deux indicateurs, à savoir le pourcentage de la populationprivée d’accès régulier à des points d’eau aménagés, et le pourcentage d’enfants souffrant

5

"bonne gouvernance" comme étant la « gestion transparente et responsable desressources humaines, naturelles, économiques et financières en vue du développementéquitable et durable ».Cette méthode vise à optimaliser la gestion dinstitutionnelles, le processus de décision des autorités publiques et la gestion des fondspublics, dans le respect de la démocratie, de l’Etat de droit, des droits de l’homme et deslibertés fondamentales. (HCCI)

cible, population cible: personnes ou organisations visées soit directement, soitindirectement par l’action de développement. On peut distinguer le groupeprioritaire au bénéfice duquel l’action est directement menée et le groupesecondaire qui bénéficie indirectement des résultats de l’action entreprise. (D’après

: effets à long terme, positifs et négatifs, primaires et secondaires, induits par uneaction de développement, directement ou non, intentionnellement ou non.

services correspondent aux opérations (achats, troc, dons outransferts) par lesquelles des non-résidents fournissent des biens et des services à des

Indicateur du développement humain (IDH): Indicateur composite regroupants sociaux et permettant de faire de larges comparaisons au niveau de

plusieurs pays, même s'il fournit peu d'informations spécifiques sur chacun. Utilisé pourla première fois dans le Rapport mondial sur le développement humain (1990) du

ons Unies pour le développement. Il inclut, entre autres indicateurs: 1) l’espérance de vie à la naissance 2) le niveau d’instruction, c’est à dire : la duréemoyenne de scolarisation + le taux d’alphabétisation 3) le PIB réel par habitant calculé

té de pouvoir d’achat (PNUD)

Indice de Confiance des Ménages, Il est calculé sur la base de 7 indicateurs : 4 relatifs àla situation générale (Evolution passée du niveau de vie, Perspective d'évolution duniveau de vie, Perspective d'évolution du nombre de chômeurs et Opportunité d'achatde biens durables) et 3 relatifs à la situation du ménage (Situation financière actuelle desménages, Evolution passée de la situation financière des ménages et Evolution futurede la situation financière des ménages). L’échantillon de l’enquête est de 3000 ménagespar trimestre (2000 en milieu urbain et 1000 en milieu rural). Il est choisi selon uneméthode probabiliste permettant une extrapolation des résultats. Chaque ménage estenquêté trois fois consécutives permettant ainsi des analyses en panel.

Indice de Développement Humain, le PNUD le définit comme un indicateur compositequi mesure l’évolution d’un pays selon trois critères de base : la santé et la longévitémesurées d’après l’espérance de vie à la naissance ; le savoir mesuré par le tauxd’alphabétisation des adultes et le taux brut de scolarisation combiné du primairesecondaire et du supérieur ; et un niveau de vie décent mesuré par le PIB/habitant enparité de pouvoir d’achat en dollar US (PPA).

de la Production Industrielle, Energétique et Minièrevariation des quantités produites dans les secteurs industriel, énergétique et minier. Sonélaboration est fondée sur les changements qui affectent aussi bien la population des

ises de production que la structure de la production et de la valeur ajoutée.

Indice de Pauvreté Humaine-1 utilisé pour mesurer, dans les pays en développement, lesprivations observables dans les trois dimensions fondamentales: longévité et bonne

pprochées par la probabilité à la naissance de décéder avant 40 ansexprimée par le taux d’analphabétisme des adultes ; niveau de vie décent, exprimé par lamoyenne non pondérée de deux indicateurs, à savoir le pourcentage de la population

rivée d’accès régulier à des points d’eau aménagés, et le pourcentage d’enfants souffrant

"bonne gouvernance" comme étant la « gestion transparente et responsable desressources humaines, naturelles, économiques et financières en vue du développementéquitable et durable ».Cette méthode vise à optimaliser la gestion des capacitésinstitutionnelles, le processus de décision des autorités publiques et la gestion des fondspublics, dans le respect de la démocratie, de l’Etat de droit, des droits de l’homme et des

: personnes ou organisations visées soit directement, soitindirectement par l’action de développement. On peut distinguer le groupe-cibleprioritaire au bénéfice duquel l’action est directement menée et le groupe-cible

ement des résultats de l’action entreprise. (D’après

: effets à long terme, positifs et négatifs, primaires et secondaires, induits par uneaction de développement, directement ou non, intentionnellement ou non.

correspondent aux opérations (achats, troc, dons ourésidents fournissent des biens et des services à des

: Indicateur composite regroupants sociaux et permettant de faire de larges comparaisons au niveau de

plusieurs pays, même s'il fournit peu d'informations spécifiques sur chacun. Utilisé pourla première fois dans le Rapport mondial sur le développement humain (1990) du

ons Unies pour le développement. Il inclut, entre autres indicateurs: 1) l’espérance de vie à la naissance 2) le niveau d’instruction, c’est à dire : la duréemoyenne de scolarisation + le taux d’alphabétisation 3) le PIB réel par habitant calculé

, Il est calculé sur la base de 7 indicateurs : 4 relatifs àla situation générale (Evolution passée du niveau de vie, Perspective d'évolution du

e de chômeurs et Opportunité d'achatde biens durables) et 3 relatifs à la situation du ménage (Situation financière actuelle desménages, Evolution passée de la situation financière des ménages et Evolution future

. L’échantillon de l’enquête est de 3000 ménagespar trimestre (2000 en milieu urbain et 1000 en milieu rural). Il est choisi selon uneméthode probabiliste permettant une extrapolation des résultats. Chaque ménage est

ttant ainsi des analyses en panel.

, le PNUD le définit comme un indicateur composite: la santé et la longévité

; le savoir mesuré par le tauxd’alphabétisation des adultes et le taux brut de scolarisation combiné du primaire

; et un niveau de vie décent mesuré par le PIB/habitant en

de la Production Industrielle, Energétique et Minière sert à mesurer lavariation des quantités produites dans les secteurs industriel, énergétique et minier. Sonélaboration est fondée sur les changements qui affectent aussi bien la population des

ises de production que la structure de la production et de la valeur ajoutée.

utilisé pour mesurer, dans les pays en développement, lesprivations observables dans les trois dimensions fondamentales: longévité et bonne

pprochées par la probabilité à la naissance de décéder avant 40 ans ; instruction,; niveau de vie décent, exprimé par la

moyenne non pondérée de deux indicateurs, à savoir le pourcentage de la populationrivée d’accès régulier à des points d’eau aménagés, et le pourcentage d’enfants souffrant

d’une insuffisance pondérale.

Indice de pauvreté multidimensionnellemultidimensionnelle. Il couvre au Maroc selon l’approche du HCP l’la santé ( couverture et consultation médicoéquilibrée (disposition d’une eau potable, nutrition décente (selon les normes de l’OMSFAO) et autoprotection durable de la pauvreté alimentaire), les c(logement décent, équipé en électricité, assainissement liquide, réfrigérateur, bain/douche, cuisine, toilette et d’une cuisinière), l’insertion professionnelle représentée parl’activité économique des membres des ménages et les opporl’équité sociale et l’égalité entre les sexes, respectivement mesurées par la position dansl’échelle sociale du niveau de vie et la parité hommes/femmes en termes d’éducationformation et de soins de santé, et l’accès aux moye

Indice de prix est une moyenne des variations relatives des prix d’un ensemble déterminéde biens et de services entre deux périodes.

Indice de sévérité de la pauvretépauvres et le seuil de la pauvreté relative.

Indice des prix à la consommation (base 100 : 2006)à la consommation d’un panier fixe de produits consommés par les ménages marocains.Principales utilisations deéconomique; donnée de base pour l’élaboration de la politique monétaire; outild’indexation des contrats entre différents partenaires sociodes agrégats de la comptabilitéL’enquête permanente sur les prix à la consommation se déroule dans 17 villes. L’enquêteest élargie au niveau de : Al Hoceima, Settat, Beni Mellal, Safi, Guelmim et Dakhla. lepanier d de cet indice des prix à la consommation est composé de : 478 produits (contre385 produits dans l’ICV); 1067 variétés (contre 768 variétés dans l’ICV).

Indice des Prix à la Productionproduction. Le panier de l’indice est constitué de 301 produits et 521 variétés classés paractivité, sous branche et branche conformément à la nouvelle nomenclature.

Indice du Coût de la Vie (Base 100:1989)dans le temps et dans l’espace. Le panier de l’indice contient désormais 385 articles et768 variétés de produits représentant l’essentiel des produits consommés par lapopulation de référence. L’enquête est réalisée dans 11 villes (Agadir, Casablanca, Fès,Kénitra, Marrakech, Oujda, Rabat, Tétouan, Meknès, Tanger et Laâyoune)population de référence dite de « conditions de vie moyennessocio-économiques urbaines suivantes :non agricoles; employés dans le

Inégalité se fonde sur l’indice de Gini reconnu à l’échelle internationale comme mesure duniveau des disparités des niveaux de vie. Cet indice se situe entre les valeurs 0 (en casd’égalité parfaite des niveaux de vie) et 1 (en cas d’inégalité absolue).

Inflation est définie comme étant la hausse généralisée et durable du niveau des prix. Elleest généralement mesurée par le biais de l’indice des prix à la consommation quisynthétise l’évolution des pr

Institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)qui ne sont pas contrôlées et principalement financées par les administrations publiqueset qui fournissent aux ménages des biens ou dne sont pas économiquement significatifs.

Institutions sans but lucratif contrôlées et principalement financées par lesadministrations publiques

6

d’une insuffisance pondérale.

Indice de pauvreté multidimensionnelle permet de mesurer la pauvretémultidimensionnelle. Il couvre au Maroc selon l’approche du HCP l’la santé ( couverture et consultation médico-sanitaires), l’alimentation saine etéquilibrée (disposition d’une eau potable, nutrition décente (selon les normes de l’OMSFAO) et autoprotection durable de la pauvreté alimentaire), les c(logement décent, équipé en électricité, assainissement liquide, réfrigérateur, bain/douche, cuisine, toilette et d’une cuisinière), l’insertion professionnelle représentée parl’activité économique des membres des ménages et les opportunités d’emploi des jeunes,l’équité sociale et l’égalité entre les sexes, respectivement mesurées par la position dansl’échelle sociale du niveau de vie et la parité hommes/femmes en termes d’éducationformation et de soins de santé, et l’accès aux moyens de communication et de transpor

est une moyenne des variations relatives des prix d’un ensemble déterminéde biens et de services entre deux périodes.

Indice de sévérité de la pauvreté mesure l’écart unitaire entre la dépense despauvres et le seuil de la pauvreté relative.

Indice des prix à la consommation (base 100 : 2006) mesure la variation relative des prixà la consommation d’un panier fixe de produits consommés par les ménages marocains.Principales utilisations de l’indice des prix : instrument d’analyse de la conjonctureéconomique; donnée de base pour l’élaboration de la politique monétaire; outild’indexation des contrats entre différents partenaires socio-économiques; et déflateurdes agrégats de la comptabilité nationale. Il couvre l’ensemble de la population urbaine.L’enquête permanente sur les prix à la consommation se déroule dans 17 villes. L’enquêteest élargie au niveau de : Al Hoceima, Settat, Beni Mellal, Safi, Guelmim et Dakhla. le

ce des prix à la consommation est composé de : 478 produits (contre385 produits dans l’ICV); 1067 variétés (contre 768 variétés dans l’ICV).

Indice des Prix à la Production sert à mesurer l’évolution relative des prix au stade de lade l’indice est constitué de 301 produits et 521 variétés classés par

activité, sous branche et branche conformément à la nouvelle nomenclature.

(Base 100:1989) mesure l’évolution relative des prix de détaill’espace. Le panier de l’indice contient désormais 385 articles et

768 variétés de produits représentant l’essentiel des produits consommés par laL’enquête est réalisée dans 11 villes (Agadir, Casablanca, Fès,

Oujda, Rabat, Tétouan, Meknès, Tanger et Laâyoune)population de référence dite de « conditions de vie moyennes», composée des catégories

économiques urbaines suivantes : - cadres moyens; commerçants; indépendantsnon agricoles; employés dans les bureaux et les services et ouvriers non agricoles.

se fonde sur l’indice de Gini reconnu à l’échelle internationale comme mesure duniveau des disparités des niveaux de vie. Cet indice se situe entre les valeurs 0 (en cas

s niveaux de vie) et 1 (en cas d’inégalité absolue).

est définie comme étant la hausse généralisée et durable du niveau des prix. Elleest généralement mesurée par le biais de l’indice des prix à la consommation quisynthétise l’évolution des prix des différents biens et services.

Institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) comprennent les ISBLqui ne sont pas contrôlées et principalement financées par les administrations publiqueset qui fournissent aux ménages des biens ou des services gratuitement ou à des prix quine sont pas économiquement significatifs.

Institutions sans but lucratif contrôlées et principalement financées par lesadministrations publiques sont des entités juridiques qui doivent être dûment

permet de mesurer la pauvretémultidimensionnelle. Il couvre au Maroc selon l’approche du HCP l’accès à l’éducation,

sanitaires), l’alimentation saine etéquilibrée (disposition d’une eau potable, nutrition décente (selon les normes de l’OMS-FAO) et autoprotection durable de la pauvreté alimentaire), les conditions d’habitat(logement décent, équipé en électricité, assainissement liquide, réfrigérateur, bain/douche, cuisine, toilette et d’une cuisinière), l’insertion professionnelle représentée par

tunités d’emploi des jeunes,l’équité sociale et l’égalité entre les sexes, respectivement mesurées par la position dansl’échelle sociale du niveau de vie et la parité hommes/femmes en termes d’éducation-

ns de communication et de transport.

est une moyenne des variations relatives des prix d’un ensemble déterminé

mesure l’écart unitaire entre la dépense des ménages

mesure la variation relative des prixà la consommation d’un panier fixe de produits consommés par les ménages marocains.

l’indice des prix : instrument d’analyse de la conjonctureéconomique; donnée de base pour l’élaboration de la politique monétaire; outil

économiques; et déflateurnationale. Il couvre l’ensemble de la population urbaine.

L’enquête permanente sur les prix à la consommation se déroule dans 17 villes. L’enquêteest élargie au niveau de : Al Hoceima, Settat, Beni Mellal, Safi, Guelmim et Dakhla. le

ce des prix à la consommation est composé de : 478 produits (contre385 produits dans l’ICV); 1067 variétés (contre 768 variétés dans l’ICV).

sert à mesurer l’évolution relative des prix au stade de lade l’indice est constitué de 301 produits et 521 variétés classés par

activité, sous branche et branche conformément à la nouvelle nomenclature.

mesure l’évolution relative des prix de détaill’espace. Le panier de l’indice contient désormais 385 articles et

768 variétés de produits représentant l’essentiel des produits consommés par laL’enquête est réalisée dans 11 villes (Agadir, Casablanca, Fès,

Oujda, Rabat, Tétouan, Meknès, Tanger et Laâyoune). La, composée des catégories

cadres moyens; commerçants; indépendantss bureaux et les services et ouvriers non agricoles.

se fonde sur l’indice de Gini reconnu à l’échelle internationale comme mesure duniveau des disparités des niveaux de vie. Cet indice se situe entre les valeurs 0 (en cas

s niveaux de vie) et 1 (en cas d’inégalité absolue).

est définie comme étant la hausse généralisée et durable du niveau des prix. Elleest généralement mesurée par le biais de l’indice des prix à la consommation qui

comprennent les ISBLqui ne sont pas contrôlées et principalement financées par les administrations publiques

es services gratuitement ou à des prix qui

Institutions sans but lucratif contrôlées et principalement financées par lessont des entités juridiques qui doivent être dûment

constituées, qui ont une existence distincte des administrations publiques mais qui sontfinancées principalement par les administrations publiques et sur lesquelles lesadministrations publiques exercent leur contrôle.

Institutions sans but lucratif engagées dans unecomprennent les ISBL qui font payer des droits qui sont basés sur leurs coûts deproduction, et qui sont suffisamment élevés pour avoir une influence significative sur lademande des services qu’elles proposent, mais les excédents qu’eéventuellement doivent être conservés en leur sein, car leur statut d’institutions sans butlucratif (ISBL) leur interdit de les distribuer à d’autres.

Institutions sans but lucratif engagées dans une production non marchandeISBL qui ne sont pas en mesure de procurer un gain financier aux unités qui lescontrôlent ou les dirigent et qui doivent compter principalement sur des fonds autresque le produit de leurs ventes pour couvrir leurs coûts de production ou d’autreactivités.

Institutions sans but lucratif marchandes au service des entreprisesdes associations d’entreprises dont elles ont pour but de servir les intérêts et ces ISBLsont en général financées par des cotisations ou des contributionsentreprises concernées ; ces versements sont traités, non comme des transferts, maiscomme la rémunération de services rendus.

Institutions sans but lucratifproduire des biens ou des services, dont le statut ne leur permet pas d’être une source derevenu, de profit ou d’autre forme de gain financier pour les unités qui les créent, lescontrôlent ou les financent.

Intermédiaires financiers sont des unités qui contractent, en leursur les marchés financiers en empruntant des fonds qu’ils prêtent, à différents termes età différentes conditions, à d’autres unités institutionnelles ; le rôle des intermédiairesfinanciers est de canaliser des fonds des prêteurs ventre eux.

Investissement direct à l’étranger (IDE)participation financière durable dans une entreprise ou permettant d'en contrôlereffectivement la gestion. Il peut consisterbasée dans un autre pays, à réinvestir les bénéfices d'une entreprise sous contrôleétranger dans le pays où elle est basée, ou, dans le cas de sociétés mères, à accorder desprêts à leurs filiales étrangèresun investissement constitue un investissement étranger direct s'il porte sur 10 % desactions de la firme étrangère portant droit de vote, mais beaucoup de pays fixent unseuil plus élevé en vue d’établir un contrôle effectif sur la gestion d'une entreprise ou,pour un investisseur, à manifester un intérêt durable dans l'entreprise. (Banquemondiale)

Micro-crédit : dispositif permettant d'offrir de très petits crédits à des familles exclues dusecteur bancaire pour les aider à développer des activités productives ou génératrices derevenu. (AFD)

Microfinance : On entend par microfinance l'offre de services financiers (microcrédit,microassurance, etc.) aux populations pauvres, exclues du système bressource ni droit de propriété. (AFD)

Mise à niveau des entreprisesentreprises des pays en développement et leur environnement aux exigences du libreéchange : (I) en aidant à lever certaines contraintes qui altèrent le climat des affaires(environnement institutionnel défaillant, réglementations, etc); (II) en aidant les

7

ui ont une existence distincte des administrations publiques mais qui sontfinancées principalement par les administrations publiques et sur lesquelles lesadministrations publiques exercent leur contrôle.

Institutions sans but lucratif engagées dans une production marchandecomprennent les ISBL qui font payer des droits qui sont basés sur leurs coûts deproduction, et qui sont suffisamment élevés pour avoir une influence significative sur lademande des services qu’elles proposent, mais les excédents qu’eéventuellement doivent être conservés en leur sein, car leur statut d’institutions sans butlucratif (ISBL) leur interdit de les distribuer à d’autres.

Institutions sans but lucratif engagées dans une production non marchandeISBL qui ne sont pas en mesure de procurer un gain financier aux unités qui lescontrôlent ou les dirigent et qui doivent compter principalement sur des fonds autresque le produit de leurs ventes pour couvrir leurs coûts de production ou d’autre

Institutions sans but lucratif marchandes au service des entreprisesdes associations d’entreprises dont elles ont pour but de servir les intérêts et ces ISBLsont en général financées par des cotisations ou des contributionsentreprises concernées ; ces versements sont traités, non comme des transferts, maiscomme la rémunération de services rendus.

Institutions sans but lucratif sont des entités juridiques ou sociales créées dans le but dedes services, dont le statut ne leur permet pas d’être une source de

revenu, de profit ou d’autre forme de gain financier pour les unités qui les créent, lescontrôlent ou les financent.

sont des unités qui contractent, en leur nom propre, des dettessur les marchés financiers en empruntant des fonds qu’ils prêtent, à différents termes età différentes conditions, à d’autres unités institutionnelles ; le rôle des intermédiairesfinanciers est de canaliser des fonds des prêteurs vers les emprunteurs, en s’entremettant

Investissement direct à l’étranger (IDE) : Investissement étranger prenant uneparticipation financière durable dans une entreprise ou permettant d'en contrôlereffectivement la gestion. Il peut consister à acheter des parts de capital d'une entreprisebasée dans un autre pays, à réinvestir les bénéfices d'une entreprise sous contrôleétranger dans le pays où elle est basée, ou, dans le cas de sociétés mères, à accorder desprêts à leurs filiales étrangères. Selon les règles du Fonds monétaire international (FMI),un investissement constitue un investissement étranger direct s'il porte sur 10 % desactions de la firme étrangère portant droit de vote, mais beaucoup de pays fixent un

établir un contrôle effectif sur la gestion d'une entreprise ou,pour un investisseur, à manifester un intérêt durable dans l'entreprise. (Banque

: dispositif permettant d'offrir de très petits crédits à des familles exclues dueur bancaire pour les aider à développer des activités productives ou génératrices de

On entend par microfinance l'offre de services financiers (microcrédit,microassurance, etc.) aux populations pauvres, exclues du système bressource ni droit de propriété. (AFD)

Mise à niveau des entreprises : Il s’agit d’un processus qui vise à préparer et à adapter lesentreprises des pays en développement et leur environnement aux exigences du libreéchange : (I) en aidant à lever certaines contraintes qui altèrent le climat des affaires

titutionnel défaillant, réglementations, etc); (II) en aidant les

ui ont une existence distincte des administrations publiques mais qui sontfinancées principalement par les administrations publiques et sur lesquelles les

production marchandecomprennent les ISBL qui font payer des droits qui sont basés sur leurs coûts deproduction, et qui sont suffisamment élevés pour avoir une influence significative sur lademande des services qu’elles proposent, mais les excédents qu’elles réalisentéventuellement doivent être conservés en leur sein, car leur statut d’institutions sans but

Institutions sans but lucratif engagées dans une production non marchande sont desISBL qui ne sont pas en mesure de procurer un gain financier aux unités qui lescontrôlent ou les dirigent et qui doivent compter principalement sur des fonds autresque le produit de leurs ventes pour couvrir leurs coûts de production ou d’autres

Institutions sans but lucratif marchandes au service des entreprises sont créées pardes associations d’entreprises dont elles ont pour but de servir les intérêts et ces ISBLsont en général financées par des cotisations ou des contributions du groupe desentreprises concernées ; ces versements sont traités, non comme des transferts, mais

sont des entités juridiques ou sociales créées dans le but dedes services, dont le statut ne leur permet pas d’être une source de

revenu, de profit ou d’autre forme de gain financier pour les unités qui les créent, les

nom propre, des dettessur les marchés financiers en empruntant des fonds qu’ils prêtent, à différents termes età différentes conditions, à d’autres unités institutionnelles ; le rôle des intermédiaires

ers les emprunteurs, en s’entremettant

: Investissement étranger prenant uneparticipation financière durable dans une entreprise ou permettant d'en contrôler

à acheter des parts de capital d'une entreprisebasée dans un autre pays, à réinvestir les bénéfices d'une entreprise sous contrôleétranger dans le pays où elle est basée, ou, dans le cas de sociétés mères, à accorder des

. Selon les règles du Fonds monétaire international (FMI),un investissement constitue un investissement étranger direct s'il porte sur 10 % desactions de la firme étrangère portant droit de vote, mais beaucoup de pays fixent un

établir un contrôle effectif sur la gestion d'une entreprise ou,pour un investisseur, à manifester un intérêt durable dans l'entreprise. (Banque

: dispositif permettant d'offrir de très petits crédits à des familles exclues dueur bancaire pour les aider à développer des activités productives ou génératrices de

On entend par microfinance l'offre de services financiers (microcrédit,microassurance, etc.) aux populations pauvres, exclues du système bancaire, sans

: Il s’agit d’un processus qui vise à préparer et à adapter lesentreprises des pays en développement et leur environnement aux exigences du libre-échange : (I) en aidant à lever certaines contraintes qui altèrent le climat des affaires

titutionnel défaillant, réglementations, etc); (II) en aidant les

entreprises à devenir compétitives en termes de prix, de qualité, d’innovation et à êtrecapables de suivre et de maîtriser l’évolution des techniques et des marchés. (AFD)

Objectifs du millénaire pour le développement (OMD)pour le développement ont été adoptés lors de l’Assemblée générale de l’ONU en 2000 etvisent à améliorer, d’ici à 2015, la situation des populations les plus défavorisées. Ils secomposent de huit objectifs principaux : réduire l’extrême pauvreté et la faim, assurerl’éducation primaire pour tous, promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation desfemmes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH,le paludisme et les autres maladies, assurer un environnement durable et mettre enplace un partenariat mondial pour le développement. La communauté internationale faitun point régulier, dans le cadre des Nations Unies, sur l’atteinte de ces objectifs.

Parité de pouvoir d’achat (PPA)monnaie du pays B qui est nécessaire dans le pays B pour acquérir la même quantitéd’un bien ou d’un service particulier qu’une unité de la monnaie du pays A permetd’acheter dans le pays A.

Partenariat public privé (PPP)entreprises pour concevoir, financer, construire, gérer ou préserver un projet d’intérêtpublic. Les PPP supposent un partage de responsabilité et degouvernement et le secteur privé, garanti par un contrat de longue durée. Entre les deuxextrêmes, la privatisation et l’étatisation, les formules de partenariat sont multiples, toutcomme les secteurs potentiellement concernés : l’eau ptransports, les télécommunications, mais aussi certains volets liés à la santé et àl’éducation. (AFD)

Pauvreté absolue dont le seuil est calculé en majorant celui de la pauvreté alimentaire ducoût d’une dotation minimale deà cet effet est celle réalisée par les ménages qui ne satisferaient leurs besoinsalimentaires que lorsqu'ils leur consacraient le total de leur budget.

Pauvreté alimentaire se réfère à un panier de biens et services alimentaires permettant leminimum requis en calories, calculé en appliquant la norme (Le minimum requis encalories par individu et par jour a été établi en appliquant la Table des besoinsénergétiques recommandés (Recommended Daily allowance, FAOde la population marocaine selon le sexe, l’âge et la situation des femmes visgrossesse et de l’allaitement) recommandée par la FAO et l’OMS à la structure de lapopulation. Le seuil retenu est le coût du panier de biens et services permettant ceminimum (1984 Kcal par jour et par personne). Sur la base de ce seuil, le taux depauvreté alimentaire est la proportion des individus dont la dépense annuelle moyennepar personne se situe au de

Pauvreté relative dont le seuil est obtenu en majorant celui de la pauvreté alimentaire ducoût d’une dotation plus conséquente de biens et services non alimentaires. La mesurede cette majoration, conformément à l’approche d’allocationalimentaires recommandée par la Banque Mondiale, retient la moyenne des dépensesnon alimentaires réalisées par les ménages qui atteignent effectivement le minimumalimentaire requis. Le taux de pauvreté relative est la proportion des inddépense annuelle moyenne par personne se situe au dessous de ce seuil.

Pays à faible revenu (PFR): Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitantétait égal ou inférieur à 765 dollars en 1995. Ces pays ont un faible niveau depeu de biens et de services, et beaucoup de leurs habitants ne peuvent pas subvenir àleurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 58 pays à faible revenu de 1million d'habitants ou plus. Leur population totale s'élève à près de 3

8

entreprises à devenir compétitives en termes de prix, de qualité, d’innovation et à êtrecapables de suivre et de maîtriser l’évolution des techniques et des marchés. (AFD)

lénaire pour le développement (OMD): Les objectifs du millénairepour le développement ont été adoptés lors de l’Assemblée générale de l’ONU en 2000 etvisent à améliorer, d’ici à 2015, la situation des populations les plus défavorisées. Ils se

e huit objectifs principaux : réduire l’extrême pauvreté et la faim, assurerl’éducation primaire pour tous, promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation desfemmes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH,

paludisme et les autres maladies, assurer un environnement durable et mettre enplace un partenariat mondial pour le développement. La communauté internationale faitun point régulier, dans le cadre des Nations Unies, sur l’atteinte de ces objectifs.

té de pouvoir d’achat (PPA) est un ratio de prix qui mesure le nombre d’unités de lamonnaie du pays B qui est nécessaire dans le pays B pour acquérir la même quantitéd’un bien ou d’un service particulier qu’une unité de la monnaie du pays A permet

Partenariat public privé (PPP): Projet conjoint entre des autorités publiques et desentreprises pour concevoir, financer, construire, gérer ou préserver un projet d’intérêtpublic. Les PPP supposent un partage de responsabilité et degouvernement et le secteur privé, garanti par un contrat de longue durée. Entre les deuxextrêmes, la privatisation et l’étatisation, les formules de partenariat sont multiples, toutcomme les secteurs potentiellement concernés : l’eau potable, l’assainissement, lestransports, les télécommunications, mais aussi certains volets liés à la santé et à

dont le seuil est calculé en majorant celui de la pauvreté alimentaire ducoût d’une dotation minimale de biens et services non alimentaires. La dotation retenueà cet effet est celle réalisée par les ménages qui ne satisferaient leurs besoinsalimentaires que lorsqu'ils leur consacraient le total de leur budget.

se réfère à un panier de biens et services alimentaires permettant leminimum requis en calories, calculé en appliquant la norme (Le minimum requis encalories par individu et par jour a été établi en appliquant la Table des besoins

és (Recommended Daily allowance, FAO-de la population marocaine selon le sexe, l’âge et la situation des femmes visgrossesse et de l’allaitement) recommandée par la FAO et l’OMS à la structure de la

enu est le coût du panier de biens et services permettant ceminimum (1984 Kcal par jour et par personne). Sur la base de ce seuil, le taux depauvreté alimentaire est la proportion des individus dont la dépense annuelle moyennepar personne se situe au dessous de ce seuil.

dont le seuil est obtenu en majorant celui de la pauvreté alimentaire ducoût d’une dotation plus conséquente de biens et services non alimentaires. La mesurede cette majoration, conformément à l’approche d’allocationalimentaires recommandée par la Banque Mondiale, retient la moyenne des dépensesnon alimentaires réalisées par les ménages qui atteignent effectivement le minimumalimentaire requis. Le taux de pauvreté relative est la proportion des inddépense annuelle moyenne par personne se situe au dessous de ce seuil.

: Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitantétait égal ou inférieur à 765 dollars en 1995. Ces pays ont un faible niveau depeu de biens et de services, et beaucoup de leurs habitants ne peuvent pas subvenir àleurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 58 pays à faible revenu de 1million d'habitants ou plus. Leur population totale s'élève à près de 3

entreprises à devenir compétitives en termes de prix, de qualité, d’innovation et à êtrecapables de suivre et de maîtriser l’évolution des techniques et des marchés. (AFD)

: Les objectifs du millénairepour le développement ont été adoptés lors de l’Assemblée générale de l’ONU en 2000 etvisent à améliorer, d’ici à 2015, la situation des populations les plus défavorisées. Ils se

e huit objectifs principaux : réduire l’extrême pauvreté et la faim, assurerl’éducation primaire pour tous, promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation desfemmes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH,

paludisme et les autres maladies, assurer un environnement durable et mettre enplace un partenariat mondial pour le développement. La communauté internationale faitun point régulier, dans le cadre des Nations Unies, sur l’atteinte de ces objectifs.

est un ratio de prix qui mesure le nombre d’unités de lamonnaie du pays B qui est nécessaire dans le pays B pour acquérir la même quantitéd’un bien ou d’un service particulier qu’une unité de la monnaie du pays A permet

: Projet conjoint entre des autorités publiques et desentreprises pour concevoir, financer, construire, gérer ou préserver un projet d’intérêtpublic. Les PPP supposent un partage de responsabilité et de propriété entre legouvernement et le secteur privé, garanti par un contrat de longue durée. Entre les deuxextrêmes, la privatisation et l’étatisation, les formules de partenariat sont multiples, tout

otable, l’assainissement, lestransports, les télécommunications, mais aussi certains volets liés à la santé et à

dont le seuil est calculé en majorant celui de la pauvreté alimentaire dubiens et services non alimentaires. La dotation retenue

à cet effet est celle réalisée par les ménages qui ne satisferaient leurs besoinsalimentaires que lorsqu'ils leur consacraient le total de leur budget.

se réfère à un panier de biens et services alimentaires permettant leminimum requis en calories, calculé en appliquant la norme (Le minimum requis encalories par individu et par jour a été établi en appliquant la Table des besoins

-OMS) à la structurede la population marocaine selon le sexe, l’âge et la situation des femmes vis-à-vis de lagrossesse et de l’allaitement) recommandée par la FAO et l’OMS à la structure de la

enu est le coût du panier de biens et services permettant ceminimum (1984 Kcal par jour et par personne). Sur la base de ce seuil, le taux depauvreté alimentaire est la proportion des individus dont la dépense annuelle moyenne

dont le seuil est obtenu en majorant celui de la pauvreté alimentaire ducoût d’une dotation plus conséquente de biens et services non alimentaires. La mesure

des dépenses nonalimentaires recommandée par la Banque Mondiale, retient la moyenne des dépensesnon alimentaires réalisées par les ménages qui atteignent effectivement le minimumalimentaire requis. Le taux de pauvreté relative est la proportion des individus dont ladépense annuelle moyenne par personne se situe au dessous de ce seuil.

: Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitantétait égal ou inférieur à 765 dollars en 1995. Ces pays ont un faible niveau de vie, ils ontpeu de biens et de services, et beaucoup de leurs habitants ne peuvent pas subvenir àleurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 58 pays à faible revenu de 1million d'habitants ou plus. Leur population totale s'élève à près de 3,2 milliards

d'habitants. (Banque mondiale)

Pays à revenu élevé: Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitant étaitégal ou supérieur à 9 386 dollars en 1995. La plupart des pays à revenu élevé ont deséconomies industrielles. On comptemillion d'habitants ou plus. La population totale de ces pays s'élève à 0,9 milliardd'habitants environ, soit moins du sixième de la population mondiale. (Banquemondiale)

Pays à revenu intermédiaire (PRI)habitant était supérieur à 765 dollars mais inférieur à 9 386 dollars en 1995. Ces pays ontun niveau de vie plus élevé que les pays à faible revenu ; leurs habitants ont accès àdavantage de biens et de services, mais une partie importante de la population ne peuttoujours pas subvenir à leurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 67pays à revenu intermédiaire de 1 million d'habitants ou plus. La population totale de cespays dépasse 1,5 milliard d'habitants. (D’après Banque mondiale)

PIB aux prix du marché est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes de tous lesproducteurs résidents aux prix du marché, plus les impôts sur les importations, diminuésdes subventions.

PIB, dans l’optique de la productiontous les producteurs résidents aux prix de base plus tous les impôts sur les produitsdiminués des subventions.

PIB, dans l’optique des dépensesfinales aux prix d’acquisition (y compris la valeur f.a.b des exportations de biens etservices) moins le total des importations des biens et des services valorisées franco àbord (f.a.b.).

PIB, dans l’optique du revenumoins les subventions, sur la production et les importations, plus le revenu mixte brut,plus l’excédent d’exploitation brut.

Population active occupéeparticipant à la production de biens et services pendant une brève période de référencespécifiée et toutes les personnes pourvues normalement d'un emploi, mais absentes deleur travail pour un empêchement temporaire. Il s'agit d'tous les types d'emplois, y compris le travail occasionnel, le travail à temps partiel ettoutes les formes d'emplois irréguliers.

Position extérieure globale Laune date donnée, par exemple en fin d’année : (i) la valeur et la composition du stock desactifs financiers d’une économie ou des créances de l’économie sur le reste du monde,ainsi que (ii) la valeur et la composition du stock de ses engagements enversmonde.

Prix c.a.f. (c’est-à-dire coût, assurance et fret) est le prix d’un bien à la frontière du paysimportateur, y compris les frais d’assurance et de transport encourus jusqu’à ce point oule prix d’un service fourni à un résident, avant pimpôts sur les importations et des marges commerciales et de transport à l’intérieur dupays. Dans le SCN93, ce concept n’est appliqué qu’aux importations détaillées.

Prix constants Les mesures àvariations dans le temps de la valeur des flux ou des stocks de biens et de services endeux composantes reflétant les variations des prix des biens et des services concernés, etles variations de leurs volumes (c’estprix constants renvoie généralement à des séries qui utilisent une formule de Laspeyres à

9

d'habitants. (Banque mondiale)

Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitant étaitégal ou supérieur à 9 386 dollars en 1995. La plupart des pays à revenu élevé ont deséconomies industrielles. On compte actuellement environ 26 pays à revenu élevé de 1million d'habitants ou plus. La population totale de ces pays s'élève à 0,9 milliardd'habitants environ, soit moins du sixième de la population mondiale. (Banque

Pays à revenu intermédiaire (PRI): Pays dont le produit national brut (PNB) annuel parhabitant était supérieur à 765 dollars mais inférieur à 9 386 dollars en 1995. Ces pays ontun niveau de vie plus élevé que les pays à faible revenu ; leurs habitants ont accès à

de services, mais une partie importante de la population ne peuttoujours pas subvenir à leurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 67pays à revenu intermédiaire de 1 million d'habitants ou plus. La population totale de ces

milliard d'habitants. (D’après Banque mondiale)

est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes de tous lesproducteurs résidents aux prix du marché, plus les impôts sur les importations, diminués

ue de la production est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes detous les producteurs résidents aux prix de base plus tous les impôts sur les produitsdiminués des subventions.

PIB, dans l’optique des dépenses se définit comme étant égal au total des dépensesfinales aux prix d’acquisition (y compris la valeur f.a.b des exportations de biens etservices) moins le total des importations des biens et des services valorisées franco à

tique du revenu est égal à la rémunération des salariés, plus les impôts,moins les subventions, sur la production et les importations, plus le revenu mixte brut,plus l’excédent d’exploitation brut.

Population active occupée comprend toutes les personnes, âgées de 7 ans et plus,participant à la production de biens et services pendant une brève période de référencespécifiée et toutes les personnes pourvues normalement d'un emploi, mais absentes deleur travail pour un empêchement temporaire. Il s'agit d'un concept large qui englobetous les types d'emplois, y compris le travail occasionnel, le travail à temps partiel ettoutes les formes d'emplois irréguliers.

Position extérieure globale La position extérieure globale est un état statistique qui donne, àune date donnée, par exemple en fin d’année : (i) la valeur et la composition du stock desactifs financiers d’une économie ou des créances de l’économie sur le reste du monde,ainsi que (ii) la valeur et la composition du stock de ses engagements envers

dire coût, assurance et fret) est le prix d’un bien à la frontière du paysimportateur, y compris les frais d’assurance et de transport encourus jusqu’à ce point oule prix d’un service fourni à un résident, avant paiement des éventuels droits ou autresimpôts sur les importations et des marges commerciales et de transport à l’intérieur dupays. Dans le SCN93, ce concept n’est appliqué qu’aux importations détaillées.

Les mesures à prix constants sont obtenues en partageant directement lesvariations dans le temps de la valeur des flux ou des stocks de biens et de services endeux composantes reflétant les variations des prix des biens et des services concernés, etles variations de leurs volumes (c’est-à-dire les variations “à prix constants”) ; le terme àprix constants renvoie généralement à des séries qui utilisent une formule de Laspeyres à

Pays dont le produit national brut (PNB) annuel par habitant étaitégal ou supérieur à 9 386 dollars en 1995. La plupart des pays à revenu élevé ont des

actuellement environ 26 pays à revenu élevé de 1million d'habitants ou plus. La population totale de ces pays s'élève à 0,9 milliardd'habitants environ, soit moins du sixième de la population mondiale. (Banque

Pays dont le produit national brut (PNB) annuel parhabitant était supérieur à 765 dollars mais inférieur à 9 386 dollars en 1995. Ces pays ontun niveau de vie plus élevé que les pays à faible revenu ; leurs habitants ont accès à

de services, mais une partie importante de la population ne peuttoujours pas subvenir à leurs besoins essentiels. On compte actuellement environ 67pays à revenu intermédiaire de 1 million d'habitants ou plus. La population totale de ces

est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes de tous lesproducteurs résidents aux prix du marché, plus les impôts sur les importations, diminués

est égal à la somme des valeurs ajoutées brutes detous les producteurs résidents aux prix de base plus tous les impôts sur les produits

se définit comme étant égal au total des dépensesfinales aux prix d’acquisition (y compris la valeur f.a.b des exportations de biens etservices) moins le total des importations des biens et des services valorisées franco à

est égal à la rémunération des salariés, plus les impôts,moins les subventions, sur la production et les importations, plus le revenu mixte brut,

, âgées de 7 ans et plus,participant à la production de biens et services pendant une brève période de référencespécifiée et toutes les personnes pourvues normalement d'un emploi, mais absentes de

un concept large qui englobetous les types d'emplois, y compris le travail occasionnel, le travail à temps partiel et

est un état statistique qui donne, àune date donnée, par exemple en fin d’année : (i) la valeur et la composition du stock desactifs financiers d’une économie ou des créances de l’économie sur le reste du monde,ainsi que (ii) la valeur et la composition du stock de ses engagements envers le reste du

dire coût, assurance et fret) est le prix d’un bien à la frontière du paysimportateur, y compris les frais d’assurance et de transport encourus jusqu’à ce point ou

aiement des éventuels droits ou autresimpôts sur les importations et des marges commerciales et de transport à l’intérieur dupays. Dans le SCN93, ce concept n’est appliqué qu’aux importations détaillées.

obtenues en partageant directement lesvariations dans le temps de la valeur des flux ou des stocks de biens et de services endeux composantes reflétant les variations des prix des biens et des services concernés, et

dire les variations “à prix constants”) ; le terme àprix constants renvoie généralement à des séries qui utilisent une formule de Laspeyres à

base fixe.

Prix d’acquisition correspond au montant payé par l’acquéreur, en excluant toute TVAdéductible ou tout impôt déductible similaire, pour prendre livraison d’une unité d’unbien ou d’un service au moment et au lieu choisis par lui ; le prix d’acquisition d’un bieninclut tous les frais de transport payés séparément par l’acquéreur pour en prendrelivraison au moment et au lieu requis.

Prix de base est le montant que le producteur reçoit de l’acquéreur pour une unité de bienou de service produite, diminué de tout impôt à payer et augmenté de toute subventionà recevoir, sur cette unité, du fait de sa prtransport facturé séparément par le producteur.

Prix du marché pour les transactions est le montant de monnaie que l’acheteur paie auvendeur pour acquérir un bien lorsque cet échange s’effectue de plein gparties indépendantes.

Prix du producteur est le montant que le producteur reçoit de l’acheteur pour une unitéde bien ou de service produite, diminué de toute TVA ou de tout impôt déductiblesimilaire, facturé à l’acquéreur ; il exclut tout frais de transport facturé séparément par leproducteur.

Prix économiquement significatifssignificative sur les montants que les producteurs sont disposés à offrir, et sur lesmontants que les acquéreurs souhaitent acheter.

Prix f.a.b. (franco à bord) des expmarché déterminé en un point uniforme (la frontière douanière de l’économieexportatrice) ; il est égal au prix c.a.f. moins les frais d’assurance et les coûts de transportdes biens entre la frontièreimportateur (exportateur).

Producteurs marchands sont des producteurs qui vendent la plus grande partie ou latotalité de leur production à des prix économiquement significatifs.

Producteurs non marchandsleur production à d’autres gratuitement ou à des prix économiquement non significatifs.

Producteurs pour compte propreréalisation de formation brute de capital fixe pour les entreprises dont ils font partie oud’entreprises non constituées en sociétés appartenant à des ménages, dont la majeurepartie ou la totalité de la production est destinée à la consommation finale ou à laformation brute de capital fixe de ces ménages.

Producteurs pour usage final propredestinés à la consommation finale ou à la formation de capital fixe des propriétaires desentreprises dans lesquelles ils sont produits.

Production illégale comprend la production de biens ou de services dont la vente, ladistribution ou la possession sont interdites par la loi et les activités de production quisont habituellement légales, mais qui deviennent illégales si elles sont exercproducteurs qui n’en ont pas l’autorisation ; le domaine de la production illégale varie enfonction des lois en vigueur dans les différents pays (par exemple la prostitution estlégale dans certains pays et illégale dans d’autres).

Production non marchandecollectifs produits par les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)ou par les administrations publiques, et qui sont fournis gratuitement ou à des prixéconomiquement non significatifs, à d’autres unités institutionnelles ou à lacommunauté dans son ensemble ; ce type de production représente l’une des troisgrandes catégories de production du SCN, les deux autres étant la production

10

correspond au montant payé par l’acquéreur, en excluant toute TVAtout impôt déductible similaire, pour prendre livraison d’une unité d’un

bien ou d’un service au moment et au lieu choisis par lui ; le prix d’acquisition d’un bieninclut tous les frais de transport payés séparément par l’acquéreur pour en prendre

son au moment et au lieu requis.

est le montant que le producteur reçoit de l’acquéreur pour une unité de bienou de service produite, diminué de tout impôt à payer et augmenté de toute subventionà recevoir, sur cette unité, du fait de sa production ou de sa vente ; il exclut tout frais detransport facturé séparément par le producteur.

pour les transactions est le montant de monnaie que l’acheteur paie auvendeur pour acquérir un bien lorsque cet échange s’effectue de plein g

est le montant que le producteur reçoit de l’acheteur pour une unitéde bien ou de service produite, diminué de toute TVA ou de tout impôt déductiblesimilaire, facturé à l’acquéreur ; il exclut tout frais de transport facturé séparément par le

Prix économiquement significatifs, il faut entendre des prix qui ont une influencesignificative sur les montants que les producteurs sont disposés à offrir, et sur lesmontants que les acquéreurs souhaitent acheter.

(franco à bord) des exportations et des importations de biens est le prix dumarché déterminé en un point uniforme (la frontière douanière de l’économieexportatrice) ; il est égal au prix c.a.f. moins les frais d’assurance et les coûts de transportdes biens entre la frontière douanière du pays exportateur (importateur) et celle du paysimportateur (exportateur).

sont des producteurs qui vendent la plus grande partie ou latotalité de leur production à des prix économiquement significatifs.

n marchands sont des producteurs qui fournissent la majeure partie deleur production à d’autres gratuitement ou à des prix économiquement non significatifs.

Producteurs pour compte propre sont constitués d’établissements engagés dans larmation brute de capital fixe pour les entreprises dont ils font partie ou

d’entreprises non constituées en sociétés appartenant à des ménages, dont la majeurepartie ou la totalité de la production est destinée à la consommation finale ou à la

rute de capital fixe de ces ménages.

Producteurs pour usage final propre produisent surtout des biens et des servicesdestinés à la consommation finale ou à la formation de capital fixe des propriétaires desentreprises dans lesquelles ils sont produits.

comprend la production de biens ou de services dont la vente, ladistribution ou la possession sont interdites par la loi et les activités de production quisont habituellement légales, mais qui deviennent illégales si elles sont exercproducteurs qui n’en ont pas l’autorisation ; le domaine de la production illégale varie enfonction des lois en vigueur dans les différents pays (par exemple la prostitution estlégale dans certains pays et illégale dans d’autres).

non marchande –autre est constituée de biens et de services individuels oucollectifs produits par les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)ou par les administrations publiques, et qui sont fournis gratuitement ou à des prix

omiquement non significatifs, à d’autres unités institutionnelles ou à lacommunauté dans son ensemble ; ce type de production représente l’une des troisgrandes catégories de production du SCN, les deux autres étant la production

correspond au montant payé par l’acquéreur, en excluant toute TVAtout impôt déductible similaire, pour prendre livraison d’une unité d’un

bien ou d’un service au moment et au lieu choisis par lui ; le prix d’acquisition d’un bieninclut tous les frais de transport payés séparément par l’acquéreur pour en prendre

est le montant que le producteur reçoit de l’acquéreur pour une unité de bienou de service produite, diminué de tout impôt à payer et augmenté de toute subvention

oduction ou de sa vente ; il exclut tout frais de

pour les transactions est le montant de monnaie que l’acheteur paie auvendeur pour acquérir un bien lorsque cet échange s’effectue de plein gré entre deux

est le montant que le producteur reçoit de l’acheteur pour une unitéde bien ou de service produite, diminué de toute TVA ou de tout impôt déductiblesimilaire, facturé à l’acquéreur ; il exclut tout frais de transport facturé séparément par le

, il faut entendre des prix qui ont une influencesignificative sur les montants que les producteurs sont disposés à offrir, et sur les

ortations et des importations de biens est le prix dumarché déterminé en un point uniforme (la frontière douanière de l’économieexportatrice) ; il est égal au prix c.a.f. moins les frais d’assurance et les coûts de transport

douanière du pays exportateur (importateur) et celle du pays

sont des producteurs qui vendent la plus grande partie ou la

sont des producteurs qui fournissent la majeure partie deleur production à d’autres gratuitement ou à des prix économiquement non significatifs.

sont constitués d’établissements engagés dans larmation brute de capital fixe pour les entreprises dont ils font partie ou

d’entreprises non constituées en sociétés appartenant à des ménages, dont la majeurepartie ou la totalité de la production est destinée à la consommation finale ou à la

produisent surtout des biens et des servicesdestinés à la consommation finale ou à la formation de capital fixe des propriétaires des

comprend la production de biens ou de services dont la vente, ladistribution ou la possession sont interdites par la loi et les activités de production quisont habituellement légales, mais qui deviennent illégales si elles sont exercées par desproducteurs qui n’en ont pas l’autorisation ; le domaine de la production illégale varie enfonction des lois en vigueur dans les différents pays (par exemple la prostitution est

est constituée de biens et de services individuels oucollectifs produits par les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)ou par les administrations publiques, et qui sont fournis gratuitement ou à des prix

omiquement non significatifs, à d’autres unités institutionnelles ou à lacommunauté dans son ensemble ; ce type de production représente l’une des troisgrandes catégories de production du SCN, les deux autres étant la production

marchande et la productio

Produit intérieur brut (PIB)production. Il représente la richesse créée au cours de la période considérée sur leterritoire économique du pays. Il est obtenu selon trois optiques : production, demandeet revenu. Selon l'optique production, le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées desbranches (ou des secteurs institutionnels) augmenté du montant des impôts nets dessubventions sur les produits. Il s'obtient, selon l'optique demande, par la différence entrele total de la demande finale et celui des importations exprimées aux prix CAF. Auniveau de l'optique revenu, il correspond à la somme de la rémunération des facteurs(rémunération des salariés, excédent brut d'exploitation et revenu mixte brut desentrepreneurs individuels) augmentée du montant total des impôts nets des subventionssur la production et les importations (c'est à dire ceux affectant les produits et ceux liés àl'activité).

Produits financiers dérivésinstrument ou à un indicateur financier spécifique (notionnel) ou à un produit de baseparticulier. et au moyen desquels des risques financiers spécifiques peuvent êtrenégociés sur les marchés financiers en tant que tels ; leur valeur est dérivée du prixl’actif sous-jacent (c’est à dire le prix de référence) et, à la différence des instruments dedette, ils n’impliquent pas l’avance d’un principal, sujet à remboursement, etn’engendrent aucun revenu d’investissement.

Programme sectoriel : série d'actou plusieurs pays, contribuant ensemble à l'atteinte d'un objectif de développementspécifique. Un secteur inclut des activités de développement habituellement regroupéesdans la perspective d'une actiontransports, etc. (DFID)

rapport de dépendance démographique est le rapport des effectifs des moins de 15 ans et de60 ans et plus à celui de la population âgée de 15 à 59 ans

Renforcement des capacitésinstitutions et les sociétés développent leurs aptitudes (individuellement etcollectivement) à : 1) exercer des fonctions, résoudre des problèmes, et fixer et atteindredes objectifs ; 2) comprendre et répondre à leurs besoin de développement dans un largecontexte et de manière durable. (PNUD)

Résident(e) Une unité institutionnelle estéconomique de ce pays, un centre d’intérêt éc

Reste du monde comprend toutes les unités institutionnelles non résidentes quieffectuent des opérations avec des unités résidentes ou qui ont d’autres relationséconomiques avec les unités résidentes.

Revenu intérieur brut réel (RIB réel) mesuproduction intérieure (y compris l’impact sur ces revenus des variations des termes del’échange) ; il est égal au produit domestique brut à prix constants augmenté du gaind’échange (ou perte d’échange) r

Revenu national brut (RNB)sur la production et les importations, de la rémunération des salariés, et des revenus dela propriété à verser au reste du monde, et augmenté des rubriques correspondantes àrecevoir du reste du monde (en d’autres termes, le PIB moins les revenus primaires àverser aux unités non résidentes plus les revenus primaires à recevoir des unités nonrésidentes). Une mesure alternative du RNB au prix du marché est la valeur agrégée dessoldes bruts des revenus primaires de l’ensemble des secteurs ; il faut noter que le RNBest identique au produit national brut (PNB), terme généralement utilisé auparavant

11

marchande et la production pour usage final propre.

Produit intérieur brut (PIB) est le résultat synthétique de l'activité nationale deproduction. Il représente la richesse créée au cours de la période considérée sur leterritoire économique du pays. Il est obtenu selon trois optiques : production, demande

production, le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées desbranches (ou des secteurs institutionnels) augmenté du montant des impôts nets dessubventions sur les produits. Il s'obtient, selon l'optique demande, par la différence entre

emande finale et celui des importations exprimées aux prix CAF. Auniveau de l'optique revenu, il correspond à la somme de la rémunération des facteurs(rémunération des salariés, excédent brut d'exploitation et revenu mixte brut des

els) augmentée du montant total des impôts nets des subventionssur la production et les importations (c'est à dire ceux affectant les produits et ceux liés à

Produits financiers dérivés sont des instruments financiers qui sont rattachés à uninstrument ou à un indicateur financier spécifique (notionnel) ou à un produit de baseparticulier. et au moyen desquels des risques financiers spécifiques peuvent êtrenégociés sur les marchés financiers en tant que tels ; leur valeur est dérivée du prix

jacent (c’est à dire le prix de référence) et, à la différence des instruments dedette, ils n’impliquent pas l’avance d’un principal, sujet à remboursement, etn’engendrent aucun revenu d’investissement.

: série d'actions de développement dans un secteur déterminé d'unou plusieurs pays, contribuant ensemble à l'atteinte d'un objectif de développementspécifique. Un secteur inclut des activités de développement habituellement regroupéesdans la perspective d'une action publique telle que la santé, l'éducation, l'agriculture, les

rapport de dépendance démographique est le rapport des effectifs des moins de 15 ans et de60 ans et plus à celui de la population âgée de 15 à 59 ans

capacités: processus par lequel les particuliers, les organisations, lesinstitutions et les sociétés développent leurs aptitudes (individuellement etcollectivement) à : 1) exercer des fonctions, résoudre des problèmes, et fixer et atteindre

; 2) comprendre et répondre à leurs besoin de développement dans un largecontexte et de manière durable. (PNUD)

Une unité institutionnelle est résidente d’un pays lorsqu’elle a, sur le territoireéconomique de ce pays, un centre d’intérêt économique.

comprend toutes les unités institutionnelles non résidentes quieffectuent des opérations avec des unités résidentes ou qui ont d’autres relationséconomiques avec les unités résidentes.

Revenu intérieur brut réel (RIB réel) mesure le pouvoir d’achat des revenus engendrés par laproduction intérieure (y compris l’impact sur ces revenus des variations des termes del’échange) ; il est égal au produit domestique brut à prix constants augmenté du gaind’échange (ou perte d’échange) résultant de changements dans les termes de l’échange.

Revenu national brut (RNB) est égal au PIB, diminué des impôts (moins les subventions)sur la production et les importations, de la rémunération des salariés, et des revenus dela propriété à verser au reste du monde, et augmenté des rubriques correspondantes à

monde (en d’autres termes, le PIB moins les revenus primaires àverser aux unités non résidentes plus les revenus primaires à recevoir des unités nonrésidentes). Une mesure alternative du RNB au prix du marché est la valeur agrégée des

evenus primaires de l’ensemble des secteurs ; il faut noter que le RNBest identique au produit national brut (PNB), terme généralement utilisé auparavant

est le résultat synthétique de l'activité nationale deproduction. Il représente la richesse créée au cours de la période considérée sur leterritoire économique du pays. Il est obtenu selon trois optiques : production, demande

production, le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées desbranches (ou des secteurs institutionnels) augmenté du montant des impôts nets dessubventions sur les produits. Il s'obtient, selon l'optique demande, par la différence entre

emande finale et celui des importations exprimées aux prix CAF. Auniveau de l'optique revenu, il correspond à la somme de la rémunération des facteurs(rémunération des salariés, excédent brut d'exploitation et revenu mixte brut des

els) augmentée du montant total des impôts nets des subventionssur la production et les importations (c'est à dire ceux affectant les produits et ceux liés à

sont des instruments financiers qui sont rattachés à uninstrument ou à un indicateur financier spécifique (notionnel) ou à un produit de baseparticulier. et au moyen desquels des risques financiers spécifiques peuvent êtrenégociés sur les marchés financiers en tant que tels ; leur valeur est dérivée du prix de

jacent (c’est à dire le prix de référence) et, à la différence des instruments dedette, ils n’impliquent pas l’avance d’un principal, sujet à remboursement, et

ions de développement dans un secteur déterminé d'unou plusieurs pays, contribuant ensemble à l'atteinte d'un objectif de développementspécifique. Un secteur inclut des activités de développement habituellement regroupées

publique telle que la santé, l'éducation, l'agriculture, les

rapport de dépendance démographique est le rapport des effectifs des moins de 15 ans et de

: processus par lequel les particuliers, les organisations, lesinstitutions et les sociétés développent leurs aptitudes (individuellement etcollectivement) à : 1) exercer des fonctions, résoudre des problèmes, et fixer et atteindre

; 2) comprendre et répondre à leurs besoin de développement dans un large

d’un pays lorsqu’elle a, sur le territoire

comprend toutes les unités institutionnelles non résidentes quieffectuent des opérations avec des unités résidentes ou qui ont d’autres relations

re le pouvoir d’achat des revenus engendrés par laproduction intérieure (y compris l’impact sur ces revenus des variations des termes del’échange) ; il est égal au produit domestique brut à prix constants augmenté du gain

ésultant de changements dans les termes de l’échange.

est égal au PIB, diminué des impôts (moins les subventions)sur la production et les importations, de la rémunération des salariés, et des revenus dela propriété à verser au reste du monde, et augmenté des rubriques correspondantes à

monde (en d’autres termes, le PIB moins les revenus primaires àverser aux unités non résidentes plus les revenus primaires à recevoir des unités nonrésidentes). Une mesure alternative du RNB au prix du marché est la valeur agrégée des

evenus primaires de l’ensemble des secteurs ; il faut noter que le RNBest identique au produit national brut (PNB), terme généralement utilisé auparavant

dans les comptes nationaux.

Revenu national brut disponibleau total du revenu, il faut tenir compte du fait qu'une partie va être versée ou reçue del'extérieur sous forme de revenus (salaires et revenus de la propriété et de l'entreprise) etde transferts courants. La correction du PIB de ces fluxdisponible (RNBD). Celui-obtenu par la somme du PIB et des revenus nets reçus de l'extérieur.

Revenu national disponible bruttous les transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unitésinstitutionnelles résidentes de la part d’unités non résidentes et en soustrayant tous lestransferts courants en espèces ou en nature à payer par les unitésrésidentes à des unités non résidentes.

Revenu national disponible netles transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unités institutionnellesrésidentes de la part d’unités non résidentes et en soustrayant tous les transfertscourants en espèces ou en nature à payer par les unités institutionnelles résidentes à desunités non résidentes.

Revenu national est la valeur totale des revenus primaires à recevoir damoins le total des revenus primaires à payer par les unités résidentes.

Revenu national net La valeur agrégée des soldes des revenus nets primaires, obtenue parsommation sur l’ensemble des secteurs.

Revenu réel est obtenu en déflatant unmesurer le pouvoir d’achat du revenu en question relativement à un ensemble déterminéde biens et de services pris comme numéraire.

Secteur informel peut se caractériser, d’une façon générale, comme étant consd’unités de production qui opèrent typiquement à petite échelle, avec un faible niveaud’organisation, avec peu ou pas de division entre le travail et le capital en tant quefacteurs de production et avec l’objectif premier de créer des emplois et d’revenus pour les personnes concernées ; pour les besoins statistiques, le secteur informelest défini en fonction des circonstances nationales comme un ensemble d’entreprisesnon constituées en sociétés appartenant à des ménages, qui produisequelques produits pour le marché mais qui ont soit moins d’un nombre spécifié desalariés et/ou qui ne sont pas enregistrées selon les formes spécifiques de la législationnationale ; l’enregistrement peut se référer, par exemple, à l’inscriptiobligations fiscales ou des cotisations de sécurité sociale ou d’autres dispositionsadministratives.

Services sont des sorties produites sur commande et dont la commercialisation ne peutêtre dissociée de la production ; des droits de pservices et au moment même où la production d’un service se termine, il doit être fourniau consommateur ; il existe, cependant, une exception à cette règle constituée par ungroupe de branches d’activité généralemecertaines de leurs productions présentent des caractéristiques de biens ; il s’agit desbranches qui sont concernées par la fourniture, le stockage, la communication et ladiffusion des informations, des conles produits de ces branches d’activité, sur lesquels il est possible d’établir des droits depropriété peuvent être classés soit comme des biens soit comme des services selon lesupport sur lequel ces productions sont fournies.

Seuil de pauvreté internationald’évaluer l’importance de la pauvreté à travers le monde, et fixé à 1 dollar par jour et par

12

dans les comptes nationaux.

Revenu national brut disponible : il faut d’abord préciser que le PIB neau total du revenu, il faut tenir compte du fait qu'une partie va être versée ou reçue del'extérieur sous forme de revenus (salaires et revenus de la propriété et de l'entreprise) etde transferts courants. La correction du PIB de ces flux aboutit au revenu national brut

-ci constitue, par conséquent, le revenu global de la nationobtenu par la somme du PIB et des revenus nets reçus de l'extérieur.

Revenu national disponible brut s’obtient à partir du revenu nationatous les transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unitésinstitutionnelles résidentes de la part d’unités non résidentes et en soustrayant tous lestransferts courants en espèces ou en nature à payer par les unitésrésidentes à des unités non résidentes.

Revenu national disponible net s’obtient à partir du revenu national net en ajoutant tousles transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unités institutionnelles

a part d’unités non résidentes et en soustrayant tous les transfertscourants en espèces ou en nature à payer par les unités institutionnelles résidentes à des

est la valeur totale des revenus primaires à recevoir damoins le total des revenus primaires à payer par les unités résidentes.

La valeur agrégée des soldes des revenus nets primaires, obtenue parsommation sur l’ensemble des secteurs.

est obtenu en déflatant un flux de revenu par un indice de prix afin demesurer le pouvoir d’achat du revenu en question relativement à un ensemble déterminéde biens et de services pris comme numéraire.

peut se caractériser, d’une façon générale, comme étant consd’unités de production qui opèrent typiquement à petite échelle, avec un faible niveaud’organisation, avec peu ou pas de division entre le travail et le capital en tant quefacteurs de production et avec l’objectif premier de créer des emplois et d’revenus pour les personnes concernées ; pour les besoins statistiques, le secteur informelest défini en fonction des circonstances nationales comme un ensemble d’entreprisesnon constituées en sociétés appartenant à des ménages, qui produisequelques produits pour le marché mais qui ont soit moins d’un nombre spécifié desalariés et/ou qui ne sont pas enregistrées selon les formes spécifiques de la législationnationale ; l’enregistrement peut se référer, par exemple, à l’inscriptiobligations fiscales ou des cotisations de sécurité sociale ou d’autres dispositions

sont des sorties produites sur commande et dont la commercialisation ne peutêtre dissociée de la production ; des droits de propriété ne peuvent être établis sur desservices et au moment même où la production d’un service se termine, il doit être fourniau consommateur ; il existe, cependant, une exception à cette règle constituée par ungroupe de branches d’activité généralement classées parmi les activités de services dontcertaines de leurs productions présentent des caractéristiques de biens ; il s’agit desbranches qui sont concernées par la fourniture, le stockage, la communication et ladiffusion des informations, des conseils, et des loisirs au sens le plus large de ces termes ;les produits de ces branches d’activité, sur lesquels il est possible d’établir des droits depropriété peuvent être classés soit comme des biens soit comme des services selon le

l ces productions sont fournies.

Seuil de pauvreté international : Niveau de revenu défini par la Banque mondiale en vued’évaluer l’importance de la pauvreté à travers le monde, et fixé à 1 dollar par jour et par

: il faut d’abord préciser que le PIB ne correspond pasau total du revenu, il faut tenir compte du fait qu'une partie va être versée ou reçue del'extérieur sous forme de revenus (salaires et revenus de la propriété et de l'entreprise) et

aboutit au revenu national brutci constitue, par conséquent, le revenu global de la nation

obtenu par la somme du PIB et des revenus nets reçus de l'extérieur.

s’obtient à partir du revenu national brut en ajoutanttous les transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unitésinstitutionnelles résidentes de la part d’unités non résidentes et en soustrayant tous lestransferts courants en espèces ou en nature à payer par les unités institutionnelles

s’obtient à partir du revenu national net en ajoutant tousles transferts courants en espèces ou en nature à recevoir par les unités institutionnelles

a part d’unités non résidentes et en soustrayant tous les transfertscourants en espèces ou en nature à payer par les unités institutionnelles résidentes à des

est la valeur totale des revenus primaires à recevoir dans une économiemoins le total des revenus primaires à payer par les unités résidentes.

La valeur agrégée des soldes des revenus nets primaires, obtenue par

flux de revenu par un indice de prix afin demesurer le pouvoir d’achat du revenu en question relativement à un ensemble déterminé

peut se caractériser, d’une façon générale, comme étant constituéd’unités de production qui opèrent typiquement à petite échelle, avec un faible niveaud’organisation, avec peu ou pas de division entre le travail et le capital en tant quefacteurs de production et avec l’objectif premier de créer des emplois et d’engendrer desrevenus pour les personnes concernées ; pour les besoins statistiques, le secteur informelest défini en fonction des circonstances nationales comme un ensemble d’entreprisesnon constituées en sociétés appartenant à des ménages, qui produisent au moinsquelques produits pour le marché mais qui ont soit moins d’un nombre spécifié desalariés et/ou qui ne sont pas enregistrées selon les formes spécifiques de la législationnationale ; l’enregistrement peut se référer, par exemple, à l’inscription prévue par lesobligations fiscales ou des cotisations de sécurité sociale ou d’autres dispositions

sont des sorties produites sur commande et dont la commercialisation ne peutropriété ne peuvent être établis sur des

services et au moment même où la production d’un service se termine, il doit être fourniau consommateur ; il existe, cependant, une exception à cette règle constituée par un

nt classées parmi les activités de services dontcertaines de leurs productions présentent des caractéristiques de biens ; il s’agit desbranches qui sont concernées par la fourniture, le stockage, la communication et la

seils, et des loisirs au sens le plus large de ces termes ;les produits de ces branches d’activité, sur lesquels il est possible d’établir des droits depropriété peuvent être classés soit comme des biens soit comme des services selon le

Niveau de revenu défini par la Banque mondiale en vued’évaluer l’importance de la pauvreté à travers le monde, et fixé à 1 dollar par jour et par

personne aux prix de 1985 ajustés sur lapersonne est considérée comme pauvre si elle vit dans un ménage dont le niveau derevenu ou de consommation journalier est de moins de 1 dollar par personne. Bien que leseuil de pauvreté soit utile pour lesd'établir un indicateur de pauvreté qui soit strictement comparable d'un pays à l'autre.Le niveau de 1 dollar par jour et par personne est proche des seuils de pauvreténationaux établis dans les pays à faidans les pays à revenu élevé. (d’après Banque mondiale)

Solde des échanges extérieurs de biens et de servicesexportations de biens et de services moins les importations de biens

Subventions sont des paiements courants sans contrepartie que les administrationspubliques, y compris les administrations publiques non résidentes, font à des entreprisessur la base du niveau de leurs activités de production ou des quanbiens et des services qu’elles produisent, vendent ou importent.

Taux d’activité indique la part des personnes actives dans la population totale. Il estcalculé en rapportant l'effectif des actifs à celui de la population totale.

Taux d’équipement des ménagesquestion dans l’ensemble des ménages.

Taux de branchement au réseau publicnombre de ménages raccordés au réseau public de dtotal des ménages.

Taux de chômage exprime la part des chômeurs dans la population active âgée de 15 ans etplus. Ce taux est obtenu par le rapport de l'effectif des chômeurs à celui des actifs âgésde 15 ans et plus.

Taux de dépendance économiquepopulation active occupée.

Taux de pauvreté absolumoyenne par personne se situe au dessous de ce seuil <

Taux de pauvreté relativemoyenne par personne se situe au dessous du seuil de pauvreté.

Taux de vulnérabilité à la pauvretéannuelle moyenne par personne se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 fois ceseuil soit au Maroc <4 500 DH/pers/an.

Taux d'emploi exprime la part de la population active occupée dans la population totale.

Taux d'épargne constitue la part rela

TAUX d'investissement représente la part relative de la FBCF dans le PIB.

Taux d'occupation des logementsnomade) au nombre de pièces d'habitation.

Territoire économique (d’un pays)administration centrale et à l’intérieur de laquelle les personnes, les biens et les capitauxcirculent librement ; (a) l’espace aérien, les eaux territoriales et le plateau continensitué dans les eaux internationales sur lesquelles le pays jouit de droits exclusifs ou surlesquelles il a ou revendique compétence en matière de droits de pêche ou d’exploitationdes combustibles ou des minéraux présents dans les fonds des mers et deles enclaves territoriales dans le reste du monde ; (c) toutes les zones franches, entrepôtssous douane ou usines exploitées par des entreprises offshore sous contrôle douanier(ces dernières font partie du territoire économique du pays danphysiquement situées).

Titrisation est le processus d’émission de nouveaux titres négociables qui sont garantis par

13

personne aux prix de 1985 ajustés sur la base de la parité de pouvoir d'achat (PPA). Unepersonne est considérée comme pauvre si elle vit dans un ménage dont le niveau derevenu ou de consommation journalier est de moins de 1 dollar par personne. Bien que leseuil de pauvreté soit utile pour les comparaisons internationales, il est impossibled'établir un indicateur de pauvreté qui soit strictement comparable d'un pays à l'autre.Le niveau de 1 dollar par jour et par personne est proche des seuils de pauvreténationaux établis dans les pays à faible revenu, mais nettement inférieur à ceux établisdans les pays à revenu élevé. (d’après Banque mondiale)

Solde des échanges extérieurs de biens et de services est égal à la valeur desexportations de biens et de services moins les importations de biens

sont des paiements courants sans contrepartie que les administrationspubliques, y compris les administrations publiques non résidentes, font à des entreprisessur la base du niveau de leurs activités de production ou des quantités ou des valeurs desbiens et des services qu’elles produisent, vendent ou importent.

indique la part des personnes actives dans la population totale. Il estcalculé en rapportant l'effectif des actifs à celui de la population totale.

Taux d’équipement des ménages représente la part des ménages possédant le bien enquestion dans l’ensemble des ménages.

Taux de branchement au réseau public de distribution d'électricité est le rapport dunombre de ménages raccordés au réseau public de distribution d'électricité au nombre

exprime la part des chômeurs dans la population active âgée de 15 ans etplus. Ce taux est obtenu par le rapport de l'effectif des chômeurs à celui des actifs âgés

Taux de dépendance économique représente la part des inactifs et des chômeurs dans lapopulation active occupée.

est la proportion des individus dont la dépense annuellemoyenne par personne se situe au dessous de ce seuil < 3 500 DH/pers./an.

Taux de pauvreté relative est la proportion des individus dont la dépense annuellemoyenne par personne se situe au dessous du seuil de pauvreté.

Taux de vulnérabilité à la pauvreté est la proportion des individus dont la dépenseelle moyenne par personne se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 fois ce

seuil soit au Maroc <4 500 DH/pers/an.

exprime la part de la population active occupée dans la population totale.

constitue la part relative du RNBD non affectée à la consommation finale.

représente la part relative de la FBCF dans le PIB.

Taux d'occupation des logements est le rapport de la population sédentaire (nonnomade) au nombre de pièces d'habitation.

Territoire économique (d’un pays) est la zone géographique relevant d’uneadministration centrale et à l’intérieur de laquelle les personnes, les biens et les capitauxcirculent librement ; (a) l’espace aérien, les eaux territoriales et le plateau continensitué dans les eaux internationales sur lesquelles le pays jouit de droits exclusifs ou surlesquelles il a ou revendique compétence en matière de droits de pêche ou d’exploitationdes combustibles ou des minéraux présents dans les fonds des mers et deles enclaves territoriales dans le reste du monde ; (c) toutes les zones franches, entrepôtssous douane ou usines exploitées par des entreprises offshore sous contrôle douanier(ces dernières font partie du territoire économique du pays dan

est le processus d’émission de nouveaux titres négociables qui sont garantis par

base de la parité de pouvoir d'achat (PPA). Unepersonne est considérée comme pauvre si elle vit dans un ménage dont le niveau derevenu ou de consommation journalier est de moins de 1 dollar par personne. Bien que le

comparaisons internationales, il est impossibled'établir un indicateur de pauvreté qui soit strictement comparable d'un pays à l'autre.Le niveau de 1 dollar par jour et par personne est proche des seuils de pauvreté

ble revenu, mais nettement inférieur à ceux établis

est égal à la valeur desexportations de biens et de services moins les importations de biens et de services.

sont des paiements courants sans contrepartie que les administrationspubliques, y compris les administrations publiques non résidentes, font à des entreprises

tités ou des valeurs des

indique la part des personnes actives dans la population totale. Il estcalculé en rapportant l'effectif des actifs à celui de la population totale.

représente la part des ménages possédant le bien en

de distribution d'électricité est le rapport duistribution d'électricité au nombre

exprime la part des chômeurs dans la population active âgée de 15 ans etplus. Ce taux est obtenu par le rapport de l'effectif des chômeurs à celui des actifs âgés

représente la part des inactifs et des chômeurs dans la

est la proportion des individus dont la dépense annuelle3 500 DH/pers./an.

est la proportion des individus dont la dépense annuelle

est la proportion des individus dont la dépenseelle moyenne par personne se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 fois ce

exprime la part de la population active occupée dans la population totale.

tive du RNBD non affectée à la consommation finale.

représente la part relative de la FBCF dans le PIB.

est le rapport de la population sédentaire (non

est la zone géographique relevant d’uneadministration centrale et à l’intérieur de laquelle les personnes, les biens et les capitauxcirculent librement ; (a) l’espace aérien, les eaux territoriales et le plateau continentalsitué dans les eaux internationales sur lesquelles le pays jouit de droits exclusifs ou surlesquelles il a ou revendique compétence en matière de droits de pêche ou d’exploitationdes combustibles ou des minéraux présents dans les fonds des mers et des océans ; (b)les enclaves territoriales dans le reste du monde ; (c) toutes les zones franches, entrepôtssous douane ou usines exploitées par des entreprises offshore sous contrôle douanier(ces dernières font partie du territoire économique du pays dans lequel elles sont

est le processus d’émission de nouveaux titres négociables qui sont garantis par

des actifs existants, prêts, prêts hypothécaires, dettes contractées par cartes de crédit ouautres avoirs (y compris les montants à recevoir), par exemple.

Unité institutionnelle est une entité économique qui est capable, de son propre chef, deposséder des actifs, de prendre des engagements, de s’engager dans des activitéséconomiques et de réaliser des opérations avec

Valeur ajoutée brute aux prix de basede base moins la consommation intermédiaire valorisée aux prix d’acquisition.

Valeur ajoutée brute aux prix du producteuraux prix du producteur moins la consommation intermédiaire valorisée aux prixd’acquisition.

Valeur ajoutée brute correspond à la valeur de la production diminuée de celle de laconsommation intermédiaire ; elle constitue la contribution approducteur, une branche d’activité ou un secteur ; la valeur ajoutée brute est la sourced’où proviennent les revenus primaires tels que les définit le SCN, et est donc reportéedans le compte de distribution primaire du revenu.

Valeur ajoutée constitue le revenu généré par l'ensemble des unités productricesappartenant à la branche (ou secteur) considérée. Elle est obtenue par la différence entrela production effective et l'ensemble des consommations intermédiaires de ces unités.

Valeur ajoutée nette est la valeur de la production moins les valeurs de la consommationintermédiaire et de la consommation de capital fixe.

Variations des stocks (y compris les travaux en cours) comprennent les variations (a) desstocks de produits qui sont encore détenus par les unités qui les ont produits, avantqu’ils soient ultérieurement transformés, vendus, livrés à d’autres unités ou utilisésautrement et (b) des stocks de produits acquis auprès d’autres unités, qui sont destinés àêtre utilisés pour la consommation intermédiaire ou à être revendus sans transformationultérieure ; elles sont mesurées par la valeur des entrées en stocks, moins la valeur dessorties de stocks, et moins la valeur des éventuelles pertes courantes sur les biensstockés.

Vulnérabilité appréhende la fraction de la population qui est au dessus du seuil de lapauvreté relative, mais qui risque de se trouver en deçà de ce seuil si desdifférentes sortes affectent leur situation économique et sociale. Sur cette base etconformément à l’approche de la Banque Mondiale, est dit vulnérable tout ménage dontla dépense totale se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 foi

Références

Glossaire Système de comptabilité nationale 1993, OECD PUBLICATIONS,

Site du Haut commissariat au Plan

Site Observatoire Marocain de Développement

Autres références indiquées devant certaines définitions.

14

des actifs existants, prêts, prêts hypothécaires, dettes contractées par cartes de crédit oues montants à recevoir), par exemple.

est une entité économique qui est capable, de son propre chef, deposséder des actifs, de prendre des engagements, de s’engager dans des activitéséconomiques et de réaliser des opérations avec d’autres entités.

Valeur ajoutée brute aux prix de base se définit comme la production valorisée aux prixde base moins la consommation intermédiaire valorisée aux prix d’acquisition.

Valeur ajoutée brute aux prix du producteur se définit comme la producaux prix du producteur moins la consommation intermédiaire valorisée aux prix

correspond à la valeur de la production diminuée de celle de laconsommation intermédiaire ; elle constitue la contribution apportée au PIB par unproducteur, une branche d’activité ou un secteur ; la valeur ajoutée brute est la sourced’où proviennent les revenus primaires tels que les définit le SCN, et est donc reportéedans le compte de distribution primaire du revenu.

constitue le revenu généré par l'ensemble des unités productricesappartenant à la branche (ou secteur) considérée. Elle est obtenue par la différence entrela production effective et l'ensemble des consommations intermédiaires de ces unités.

est la valeur de la production moins les valeurs de la consommationintermédiaire et de la consommation de capital fixe.

(y compris les travaux en cours) comprennent les variations (a) desstocks de produits qui sont encore détenus par les unités qui les ont produits, avantqu’ils soient ultérieurement transformés, vendus, livrés à d’autres unités ou utilisés

b) des stocks de produits acquis auprès d’autres unités, qui sont destinés àêtre utilisés pour la consommation intermédiaire ou à être revendus sans transformationultérieure ; elles sont mesurées par la valeur des entrées en stocks, moins la valeur desorties de stocks, et moins la valeur des éventuelles pertes courantes sur les biens

appréhende la fraction de la population qui est au dessus du seuil de lapauvreté relative, mais qui risque de se trouver en deçà de ce seuil si desdifférentes sortes affectent leur situation économique et sociale. Sur cette base etconformément à l’approche de la Banque Mondiale, est dit vulnérable tout ménage dontla dépense totale se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 foi

lossaire Système de comptabilité nationale 1993, OECD PUBLICATIONS,

Site du Haut commissariat au Plan www.hcp.ma

Site Observatoire Marocain de Développement www.omdh.hcp.ma

utres références indiquées devant certaines définitions.

des actifs existants, prêts, prêts hypothécaires, dettes contractées par cartes de crédit ou

est une entité économique qui est capable, de son propre chef, deposséder des actifs, de prendre des engagements, de s’engager dans des activités

se définit comme la production valorisée aux prixde base moins la consommation intermédiaire valorisée aux prix d’acquisition.

se définit comme la production valoriséeaux prix du producteur moins la consommation intermédiaire valorisée aux prix

correspond à la valeur de la production diminuée de celle de laportée au PIB par un

producteur, une branche d’activité ou un secteur ; la valeur ajoutée brute est la sourced’où proviennent les revenus primaires tels que les définit le SCN, et est donc reportée

constitue le revenu généré par l'ensemble des unités productricesappartenant à la branche (ou secteur) considérée. Elle est obtenue par la différence entrela production effective et l'ensemble des consommations intermédiaires de ces unités.

est la valeur de la production moins les valeurs de la consommation

(y compris les travaux en cours) comprennent les variations (a) desstocks de produits qui sont encore détenus par les unités qui les ont produits, avantqu’ils soient ultérieurement transformés, vendus, livrés à d’autres unités ou utilisés

b) des stocks de produits acquis auprès d’autres unités, qui sont destinés àêtre utilisés pour la consommation intermédiaire ou à être revendus sans transformationultérieure ; elles sont mesurées par la valeur des entrées en stocks, moins la valeur desorties de stocks, et moins la valeur des éventuelles pertes courantes sur les biens

appréhende la fraction de la population qui est au dessus du seuil de lapauvreté relative, mais qui risque de se trouver en deçà de ce seuil si des aléas dedifférentes sortes affectent leur situation économique et sociale. Sur cette base etconformément à l’approche de la Banque Mondiale, est dit vulnérable tout ménage dontla dépense totale se situe entre le seuil de la pauvreté relative et 1,5 fois ce seuil.

lossaire Système de comptabilité nationale 1993, OECD PUBLICATIONS,

www.omdh.hcp.ma