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66a Année. - l 1325
JOUMAL DE TOÎLOUSEPOLITIQUE ET LITTERAIRE
ABONNIYMITi:S7 1.; b scia, ll f.40f; 6 mouUSE UD anL , ),TOU O
DÉPARTEMENTS - 50 f.; - 60f.; - 14 f. Déporte: ArrivAmoste en nos.di e pmsÉTRANGER les frais uq, démnta
Malin 6 h. 30 Matin Agen 6 h. 48
9e eepolt les Abonnements et les Amonees: Matin (expe.) n 15 Soir (exprme) l 45Soir 4 35. Soir 3 30
-Rome, 44. Soir Agen 6 20 Soir !0 60É TOULOUSE : Aux immentz de Journal, rueStA PARIS : Chez M. Havas; rue J,J. Ronaseau, 3, Sou (march.) 10 30
etlohe MM. Laffitte-Buttée. et plane de la Bourse, 8; WOna Da Carrl.Y. Fontaine, rue de Trévise, 22,
Maille 6 h. 00 Ma¢n(marchJ3 h. t4Sea4 Correspondant' pour les Amonaa.
BOURSE DE TOULOUSE.
aD 23 NovembreA. Campt'siOSLia40I.N
Italien 5 p 100Autrichien
RSE DE LYON. n.BOUCours da 22. On croit que liaAllemands n'attaqe-
ôté de Veuves et il y,d
Ment. O,Lomliards 365,;15
Aptri
BOD*£ DE' BORDEAUX.
Cours du 22.
Rente: 51,50'Sprurit 1870: .
ouestMidi,
see,ea,
$m-
BOURSE DE MARSEILLE.
Coure du 22.
Rente: 55,00 Lyon, 000,00/oa aa
Anteichiens ;705
IBX.P.Y,iltPa118
DÉPÊCHEDe Ministre de l'lntéraor i Mil- les Préfets et
Soue-Préfets de la République:
Torrs, 23 aovemhre,2 heures 15, soir.
Prés de nus tecapes ont repris
l'offe srvn, et cer é importantconô
doives, vensat de Mantes, qui est res-
té eu loura naams.
1;h00 homtmes, auété ile
déroute.
2Nous avonseu a
bî1ssrtué `et Il blemsmésse
zuéoet 4a blessés. Nous azoaa lait- quatrePrisonniers et Pris 5 chevaux. e nom.
mandant Montgolfior, desroobilea de l'Ar-
déohe, lest distingué; il aeu sen chevaltué sous lui.
La vallée de l'Eure est dégagée.L'ensemble dos nouvelles militaires de
.Paris cet excellent; le fendes forts conti-
.e,aa à (aire le plus grand mal à l'ennemi;
Be cercle d'investissement s'élargit.AI
auzret des
débl.q.êhf.it parvenir des
janv. Pour copie conforme
LsCommieea+trc ddard/enarise,
nationute,ARMAND DUPORTAL.
ÆneOC uéetces.
duBnurget. Quatre prusaiena on
tue
cmeut pas umais du
ne.
de $VDenis tu ils -assautleurs fo,,wee.
Les que:afretiov des télégraphes des
nonce quo le aervicn télégrepGque desu ntrl'de
prochains etipiTpr
t to tougraves événements.
Lea troupes s t pleines d'ardeur.Dans nâ ill, t r ér
ites Sert'
erroisé ienrade Ro aime c t d - an' e L'effetfeus sur une colonie pruas'..
deété désenflant; l'ennemi i ont h2wdisparaltre.
Nouvelle. apportées par en ballon pantj de Paris, le 20
Notre cercle d'investissement s'élargit.6tabliaso¢s eu avant du moulin Sac-
qquet une ligne défensive, depuis le nordde la Seine jusqu 'aux courages eu .van[de Yillejuif.
Nous avm s cossé me reconnaissancesuilo'tièm Chois taes.quo rilia Prussien avaientsétablide. bat-
Partout les travaux de fortification et"an'iennent continuellement
plus lm'mdablea.Du alité de Chàtiilon, les batteries prns
sienne, seraient facilement réduites ausile.ce.
e
ge Pstalles
environs
d Btirailieur
mceux
iniéenrandsgardes
enHierune colonne ennemie e débouché
d'un repli de terrain pour écraser lesnôtres; mais les Porta d'Ivey et de Mmo-tecege art envoyé des obus. Las. Prus-
ont fui dans toutes les directons.s,Les travaux oo plémentairee élevés
en decà du chemin de ronde sent des.
bises à constituer une seconde enceinte.Parmi nas moyens de défense, figurent
don. 1 effieeOité desquels on a une grande
espérance,l,a commission des barricades; prbs)dle
par M. Rochefort, a décidé ée toue les
travaux doivent titra terminée ant la
fin du mois. ijusqu'à nouvel ardeei; lia cadres iserontL.
er ui,euilly ont eu, le 18,Ndechasseurs
HEURES DES D1:PARTS ET DES ARRIMES DES TRAINS DES CHEMINS DM M DU MIDI ET DURLBANS (Mrf)Déparyf:0
n. W MalinArrivdea e Worm ma rmz:
on se secouent. IMafin B h, 65 Défie. Arrivée. t
BVRRA.ÜX : Rue Saint-Rome, N.
Soir (exPrtm) Y 00 3bhn(ezpe.)10 45Matin a. 20 Malin B h, 38
Soua
DO Sac,6 54
ftisov 3 00 Noir (mardis) 5 25Sotr ¢a[CWI. 6 f8 sac, sou (maerb,lOlt 05 Soir 5 00Soir 4f
mSou 10 00
men D'oW.tees, LDxuI.4xmlWa. DD air.-.Malin 8 b. 00 Matin 9 ht . 331 oir. 6 h. 10 Matin h. b3
Matin (-Pl.) Il 45 Scie 1 Soir 6 55 soiS3 k7
Soir Pau 21 20 Soir 5 58 soir 5 10ssoi,ou le 35
81soi,
Montre;. 5 40 kit /U 20
du beurre salé sur toute la frontière de laRépublique.
Le Bulletin do Moniteur dit que les fer.cee prussie¢ueequi menacent les ailes desrrmes de la Loire saut relativement peu
considérables.Le duc de Mecklembourg, quia pris
Dieux, dispose de 40,000 ie m , lePli.. Frédéein-Charles, qui ientd'occu-
per Moolergie, 50.000.
ltelativemeut ggénéral \Yerder, iiibsodeone l'objectif d Besançon et de
Lyon pour ae rapprocher. du coutre, iltrouvera des Portes capables de lui barrera a.le chemin:
Léspasie ropourraient pan canetémérité pesa
,trop
rapidem
ment aur .
Mens ou Venddme qui saut vetogardéss.
S'ila continuaient leur mouvement tour..and avea le projet d'inquiéter las envi.mea'. rarmde de la Loire ils s seraient prissera deux tenu.
L.: dies, 23 novembre.L. Timaa dit qua le
'untel lao arrivé. à Giene,.,, a,te-Arree dit que las Allemande
9'atlmeeai anl' `ntens.
Le presse de Moscou n'ezpeime sas ]a6me confiance dans me soglution paein-
de la question d'Orient qne la prosest'éterebourg.
L Oeily TéiegrapA mentionne le bruitque le po.vernement aurait l'intentiond'interdire l'ezpartation des armes et desmunitions.
La rép rcase da prince atis. hakoff est
attendue A Londres ce matin.Le Hoaire Port salure avoir des rai.
w.a do croire que l'Italie adoptera eile et l'Angle-m6me politique que l'Autr h
.
erre.Le mère. journal dément que la Tur-
quie régenta directement avec 1. Russie.
1411? oïl ANNONCES:
Amoncee, la Ogne 0 fr. 50Réclames, la ligne 0 50Paix divers, la ligue 1 00
,BUREAUX : Rue Saint-Romed 44, sa, plasma.
Tonlome, Imprimerie Philippe Mo¢teabi¢, petite rueSMRom
L'Attes du thédtre de la guerre, mis en séquence, les plaintes formulées par ces qui se sera engagé au service militai.Ilus cets de ne dld btpamonte au prix de 3 traces, sera livré au boa. rabien. itoyens so .
prix réduit de 2 flanes,aux abonnés do avoir le somme de 1 le. 50 par jour quileur aurait us i à men
dm.
s es hlace ma
Journal de Toulouse.ne sauraient
êtétére 6 Commis,
-sion municipale de la commune de Tou-
Chronique Locale.
AYIS.
Toue les aaimaux qqui as trouvent dans
las conditions " diquées par l'areét6 dusi novembre 1870, pour Afro req is perle service de la guerre, peuvent dire, 4partir de e jour, présentés tous lesmatras, de
6eàf0 heures, à l'Ecnle Vété.
rimaire de Touillant.
AVIS.
Comemmiemissau... de 60erreereaatatt'oh6e
nhéuA
à l'a méeOest e gu eideute
du Sud-Oaest, ont n mmd es épate lesargées menés r lesdes eomaaado ch
l
r4qliions
de cheveu.etet harnais dans
lm départements.voici eu. qui out été obalals :
Pour Tenloasd lt la bsnlieue:M. Lafomeprofesseur à l'racla vététidhird.
luttentPourDuel s,
leéfériôa
Fore l'Amége : Y.v
De l'Aude : M. Longs, il car del'Ecole de dressage
si
Ti iloonafToulouse MPeaent, pro.Des Ileutee-Pyrénes
à D.nrtolle.peiétoirert, propriétaire kDu Taro Y. Pelo
do T.
I ma
, rue St-AntoineDu M. Aeuieha. fils,
mandant de l'école d'équitatten à Tou-louse.
Du Gers : M. Jean David, maire àAuch.
Les commissions nommées par le préfetdaos chaque dé -tumulus, saut compo-sées d'uu propriétaire éleveur, d'in vé-
secrétaire.térinaire et &q.
La communias de la Haute.Grenue estainsi composée
La diractinn du Jaurnot de Toulousea et lu un arrangement qui lui per.mec d'offrir à sen abonnés, d pote ré-duit, l'ATLAS DU THEATRE DE LAGUERRE que vient de faire paraltre lamaison Hacbatte et
1. Carte des chemina de fer Français.
3, Carte des chemine de (l,do Nord.
4. Plan
de Lille.5, plan de Mate.
6. Plan de Strasbourg.
7, Carte do Rhin de 511, à Haguenau.B. Carre du Rhin de Haguenau i Mayence.e. Carte de la foret Noire.f0: Carie de Soda et de aeu environ.:fi. Mayence et ses emirans.Il, Carte du Rhin de M1layeoee a Cohlentx:43. Cart. de la Mmei e de T,avea a Co-
lezf6. Cmte Ou Rhin de colleu%d Dussee-
dorr.15. Plan d Francfort16. Plia
dee M,.f7. Plan de
Tuéivesves.
Id, clan da Cob!enta.te. Plan d'Aia-a-Ciiap.11,x', Plan de Cnlogu,.'
rg.21. Plan de cobol12, plan de Radio,
La carte coloriée de l'Europe Centrale
eu prix de 70 centimes.
Pour Teulause et la banlieue ;
Président: M. Lafeese, professeur à ré.sole vétérinaire.X;.
MM. Serre, professeur à récole vétéri.
Maori, chef de section à l'Eç.levétérinaire,
Peur le département:
Président: M. Estampes, vétérinaire.
MM Gollasson (Gustave), proppriélaire.Cambefort (Fernand), logduiaur
civil.Sarradet, vétérinaire à Cache....
l '
I
Tours, 2`.r novembre, Æ h. soir. cuo petite effalre avec les Prussiens à
Brucelles 22 narambre. l'a.i:ame bmricade dequasupp oseoelles de Parié, le f3. yOc ennem aherahe à
Dans nueNuvee onn 'ssa.ce icorsée eur envenimer ses projectiles.
se du 1053 70.Bi ourlleurs panè tons ont IChampigny, les. tira
eu tees lapeemeio.,a. des
oueunnié "'de ni
out été anéantis.
Nouvelles apportére par un baBssn parti'de Paria le lu.
Depuis deux joues l'artillerie prusalea
VlUILLBTOI DU JOURNéL D1 TOOL0014.
ne 24 Novembre 1870.
Le Blocus.
envoie des boulets aur les travaux dusun
génie, en avant du Fort d'Ivey. Le fan aredoublé
dansla
matinée*
Les forte de Veuves et d'Ise7 ont bote.bardé les positions de l'ennemi. Après aieheure de oaneonade, le silence régnaitda a lia lignes pruesienaee.Lea rpagoies de fout
des eapéditiona gaotidiennes pour encon-
52 50 naftre les positions de l'ennemi; elles ont
750 surpris pendait la nuit l'eneemit pété
1
L
Puisque tu veux 00 ..Ura la fil«. dePbnlebeurg en 1814, me dit 1. péreMolee,d l d a Juifs 'e vain tact te raco.-rue ],e a
J de. I pies attende
ailongtemps po r eltee
ter en détaile meurais alors dans la petite mai- es deuz garçons hors de la griffe des re-
non qui fait le coin à droite do la halle, t clown- C'étaient deux entante qui ne(avine mon cammerne de (er à la livre, ! manquaient pas de bon sens ; à dense ans
nt déji Lrés-claires, es,,- é{i d éI ! id aes es au- esen Iras sous la vodce, et je resta rai del'on petitsus avec ma femmu Sorlé (1) et nsires, l' e de mavieillrssa.
Me,d daece.
ux a.t"a garçons, Itzig et Frô-sel étaient déjà partis pore luiri
1.a Cnmmisaie, municipale de 1, villede '' nulnuse et apis Présideut-maieo, aver-tiaeent le pallia qti ils sont aorapiétemeatétrangers pa ment de la solde de lagarde nftiopala de la Cdted'Orl au coa-
u;?x atedcee.
'fours, 25 novembre, Ci h. 3U on-sieeir.
Un décret interdit la sortie des muf$ et
dép8t, loré.u'ds reçoivent des effets mi-
litaires. Les marchanda ballots meachetaient les vie;'lea ohemisns pou
faire du papier, et le re,to le le rendais
anz pawsana. arasCs mm allait tir bie:u,
nt àpassa:que des milliersiers de eonitu
mole
:eourg de semaine
esen
ee..ai..et .'ta
m is e. mors. On lea faisant tout de suiteà la mairie, on tee habillai f, et p s aula. faisait filer sur Mayen , sur Stras.bourg ou bien ailleurs.
se
Cela dura longtemps; mais vers la finen était las de le guerre, surtout après 1.wmp gis de Rusais et le grand
recrute.
ment de 1613.Tu penses bise, Frits, que je devais
ealler ev battre pourplutôt qua dPrusse, de é sourient sauvés jusqu'au
bout du monde.quand nous
étionsréunis àLe soir ,
q e, et ma fille LetTen était mariée avec j souper autour de la lampe à sept becs,
Baruch, le marchand de cuir, à Sa. jour mère disait quelquefois eu su cou.orant ela figurveOutre
man commerce de fer, je trafi- , . M a p' mes eofanta!.., mec pauvres
gwtie ainsi de visx eouliors, de vieux enfants !... Quand je penne quo l'Aga .p-
longe, et de taus ces vieux halais que prooho ou vous irez au reilieu Jas coupaW.
not aorits vendent eu oerivent à leur il . fusil et des aoups de hatonnrOtes, par- toi las écleia et les tonnerres l.,. AhI Sacra. mon Dmu C. quel malhour I.. s
Et je voyais q.119 deve..faut tout p8+les. Je niai an
moi-ils......Je pan.
agis :les... Yens. Vous n êtes pua des bleu I
tenez à vitre vie... C'est bt.....Si favale.. desenfaats capables de se
faire soldat', fin serais mort de chagrinje ma ..rais dit
Ceux-ci l sang peu ie ma race f... ,Mafa ses eetacts graodiasaienL en forte,
Z.DCaut6. A quine ans, Ifxig faisait déjà
de bonw'a affaires il --b`'- il d. bftail
=aitco°Pte de.s les villages, et leurevendait au bd7ober Oaeioh, de Millet.brous, avec
tolléfica et FeOmel ne rea-
tait pas eu allie,., c'est !ut qui savaitle mieux revendre la vieille marchandiseque nous avions eataané. dan. trois :'are.quel sous la belle.
j'salaidesmo
oni. C'était toron bonheorradel p
les vov avec m polit Safel, - la tétaeu
repue et tee yeaz vifs nomme un vérite-bie é e les ser- c'était joie I Sonje
e les -rail is dansmes
ea bras a..'e'en dire, et même ils ion ét...aient, je
leur faisais peur ; mais des idées terri-bles me pasaaient par l'esprit, après 1812.Je savais gu'e. revenant à Parie, l'$mpecour deme.dait chaque fois quatre et.millions et deuz ou trois censmille hom-mes, et je me disais :
Colle fô s, il faudra que tout mar-che..,
jusqu'aux enfants de dixsept utdix-huit ans I e
Comme les nouvelles devenaient lan-tours plu, mauvaises, u. soir je leurdu
Eeeamex I.,, vous cavez bue les deuzlie 1, ce que vous ne tenpasen-cars, voue
vous l'apprendrez.Mainintenant,
ntroua raulex attendre quelques mois,vens
tireroe à la ....ci re o1, et voue mèneracomma bus les autres ; on voua ànerasur la yylape, on voue montrera la ma-.(ére es eharger un toril, et puis vouepartirez, et je aurai plue de vos souvilles le
Sor16 sanglotait, et toue ensemble noussanglotions. Ensuite, au bout d'in instant,je continuai
. M e ai voue partez tout de suite Paral'Amérique, o prenant le chemin do jîsvre, vous a x là-bas sains et
saule l
saufsua ferez
lee commerce comme ici, vous
ga,irez de l'argent, vous vous marierez,s multiplierez, selon la promesse de
l'Eterael, et vous m'enverrez aussi del'orHgon sel o le commandement de Dieu :-Honore ton père et ta ère,Jevous bénirai oonme Iseau a béni Jacob,et vous aurez une longue vie... Clroisis-sez !...
ils choisirent tout de laite daller enAmérique, et moiméme ju les conduisis
loure.Du reste Bette occasion est mise à p e
fit pour avertir é aliment le publia qtout ce quï est relatif à la formation des
déplu soit des gardes mobiles, soit desgardesnationaux mobilisés, ainsi qui au
modula
en de ces dépôts dans la ville nec..cerue P.. la mnmaipalité qui W. pasle pouvoir d'mterve.ir.
Le président de fa Commissionmunrmpale.
Couam
enu un gra e ouon maritime, ou aura obrevet dans l'armée auxiliaire, ou unelegieu étrangère, ou qui aura rempli unefeaction conférée par le Gouvernementde la République, soit aux .mecs, soitdans un service public assimilé an servicemilitaire, ou qui aura accepté eVdemplinue mission conférée par l'autorité com-pétente, pour l'armement et la fabricationdes armes et munitions, ou pour le a bapitaux
militaireset les soins an bloc ns eu
dehors du lieu de son domicile, ou peurforcer des blocus ou iuveutissemsale, ou
d'autres actes ou faits utiles aux ar-mées autorisés et onvcuusavec
lfrançaises'autorité, et constituant une action
persenuelle ot directe, à l'exclusion d'unesimple caopératien pécuniaire.
Art. O. - Si l'étranger a déjà été ad-la naturalisationmi' àdomicile o, p urra
Le membre du Gouvernemen0 de 1. dé- 'être prononcée aussitôt après la oldlure datenue mtioaale, ministre de I'intérsuse et pe9séte terdioaire od il aura été justiééet de la guerre. de i aocampp4ssameni des condiaonn apé-uniella, àtà é.. dans l'art. ter.En vertu des .sot p
parar à lui -1C.par , go v raemon d6oret Art. 3. -
SiSi l'admission à domicile n'a
Parme du f eraciabre 1670;
P. encore été accordée, nee seule en.Décrète: quête sufe'a puer 6mprononcer aimultané-
Ar6vde ,idms,e --_Apartir, du moment ment, et par une e décision, l'adoà an dépnrtemeût ose duc"'ïS, cit.état do
a-à domicile, et i admieaiotl à la Juuis+
guerre, et on un Comité militaire seeet-iBY .e - n ,ncais.ntué en vertu du décret du 14 octobre
cupart. S. - Seront o sider.ee c'ymcgF'4670, les autres Comft e qui, sous des (orméea dans le détail de tle'us ois,noms divers, existent déjà dans les dé- spart( par l'art. S du décret du 28 ce,
'lne peuvent plus procéder à tebre, les demandes xnregjstrées soit eul'exécution d'aucune mesure de défense minielàre de la "j pré feq:sans 1 aseentimeut préalable du Comité i titre
dn
départe_usentticoue, soit
résideàl'
leétranger
militaire, seul juge e l'oppermnité, t et qui auront aine acquis me data re.ConsideraPt que 4m doutes se sont'i
sursur les attributions sp ctives de
Comité militaire institué Par décret du 14octebre 1870, et don
mecomltes du
défense existant daos les dépoetoments, et
q,
il importe de prévenir but malentendulientt égard,enà a
na peuvt pas davantage, par leurslsésolutions, entraver en quoi que
on
soitlaotien du comité militaire, qui jouit depouvoirs souverains dans les limites dudécret pp école.
Fait 8 Tonra, Io 10 novombro A@70
Le membre de Gauvern6+ment, ministre de Pinté.rieur et de la guer ,
Lée
G4nasrra,re
Par le ministre :Le délégué au département de 1. gnome.,
C. ae Faeresxr
DÉCRET RÉGLEMENTAIRE.
La délgation du Gouvernement de la défenae nationale;
Vu le décret rendu à Paria 1. 26 ceto-brs, 1670, et qui f acilita la naturalisa-lion au profit des 6 ra qui auront prispart à la guerre actuelle pour la défensede la France;
Attendu qu'ilimporte
de préciser lasaeodiuoas à remplir et les formes àvie pour que
ni-laxturalsation soit régu
lidrement octroyée'dDéerdto, à tra e règlement d'admi-
nlstration publique, les dispositions aui-
taire.Art, fi, - La dispense de tous frais
accordée par Part. du décret, lenttond de tous droits do chancellerie etautres psrçua au profit de l'Etat, et desdroits de sceau, mais t. des droit. dèsà des eommuuce ou A des of0ciers publiapour délivrance des pièces justificativesordinaires.
Fait à Tours, le 19 novembre 1870.Signé; Ad. Crémieux, Glais-Riz
L, Cambelse, L. Fourichon,
Tours, 10 novembre 1870.Le ministre de 'intérieur et do le Oser-
me vient d'adresser aux générauz comman-dant les divisions territoriales la circulai.re suivante ;
G6nComme ce piémont des dispositions
que j'ai prescrites à l'égard des oa.didatsqui ont subi, le 1870, les examens d'mission à l'éc
dd.ole spéciale militaire, je dé.
ofde que les élèves du Prytanée mditaircqui s sont présentés aux examens deladite étole, et qui seront Jugés de plus dediz'aept ans révolus au moment de',eurengagement, pourrontêtes admis comme.sous-offioters dans les corps d'infanteries'il contractent un eogago-o.t pour ledurée de la guerre.Je
vousR
o
d'assurer,en ce qui vo s
concerne J eaécutiou de la présente dé.oision.
fiscale., général, l'assurance de maconsidération la plus distinguée,
our le ministre et par son .,Jr. ;
vantes: Le général directeur par intérim,Art . far. - Sera considéré comme Signé: os Lovuueo.
ayant pris part à la guerre, tout étranger,
les deux vivent encore, ils ont des enfants coron ce temps, un c mmeecensent deea combes, qui sont a postérité, et la nnuvelle m'arrive qu'un ne'9uaad j'ai besoin de quelque chose ils me rond fils venait de naftre à /,effen, etr qu'ill envoient, était plein de santé. Ala joie en fut si
Ilzig et Fremel étaient donc partie, il ou grande, qua je partis tout de suite poure eesteit que SAfel, mon Be.)amin, le Saeerne.
dernier, qui on aime cames plus que les Il faut savoir, Fritz, que si ma foi étaitautresai
n'estpossible. Et puis j avais ai grande, cela e venait pas seule!:ieot
adit
e 'Leffeo, mariée à Sonores avec de la naissance d'in petit-fils, mais de coun brave et ho..éoe homme, Baruch; ré- que an. g ndre ne serait P+s forcé demit l'allés, elle 'a ait déjà donné un partir si l'enfant vivai6. Baruch aitpetit fils nommé David, sel.. la volonté tenonnes eu du bonh,ur jusqû alors : daosde l'Eter.el, qui nt q 'o. remplace lest le moment od rEmper u vair fait votermorts dans les menues ufamilles I David par son Sénat q les hommes non mariéslitait le nom du gradd-pdre de Baruch. - seraient forcés de partir, il veuait de s.Celui qûen auendait devait iappeler marier ec Zeffeu; et quand le Sénatcomme mon pèdons Esdras. .avale voté que las Iwmmes mariés, Bang
VouIb, F 'ta, qq Ils position j'étais enfants, partiraient, (I avait déjà sur,avant le blocus de phalsLoarg, a.1814 premier enfant. Maintenant, d'après lesTout avait été bien
,,qu'alors, mais, de- mea aises .cuvelles, on ell?',t voter qne
puis six smaaine l1, tout allait trios mal e. ' les pères de famille qui 'auraient qu unp j enfant partiraient tout de m6me, et Oc-yaNous avionsville et doue e . le ty-
.Pnna,mas sesisonsminera u. mornes concis, a
; et, mun ie les bras a.-q lent à la terre depuis deuz ans, toutétait cher : le pli., la vmnda et les boise
amis Ce.. d'Alsace et de Lo...jus ue
ruoh en avait deux.Dans ce temps c brait en bonheur d'a-
voir des qua.htés d'enfmts, qui vousempêchaient d'6tes massacré ; o. ne pou.unit rien déelrer de mieux! Voilà pour.
venaient plue an marché, les marchandises '+quoi. j'avais pris faut de suite monen mogasm ne se vendaient plus; et quand I peur aller reoomaitrp si l'enfant était ao
ne marchandise ne sa vend plus, elle Ode, et s'il eagvoraït son père.vint autant qne du sable ou de la pierreon vit dans la misère au milieu do l'sllf5. I tance.,dance, la famine arriva dp tous lis celés.
Eh bien I malgré tout, l'Eternei ma ré. (las suifs d demain).servait encore une grande aatjafactiont ,
jsqu'à . Chacun d'eux avaitSarrebonegdéjà gagné pour son compte vingt louis,,te nous besoin que de leur donner mahênédiatieo.
Et ce que je leur dit est arrivé l tau
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
AVIS. '- p depuis IOnotereps manifestée per la pres-
n d'activer Les il, rsos onnfretienslesAfiateliers le lliniatre del'l: 01e or et de la guerre a déoidé q,i ilpourrait être pris parmi lea gardes natte
mololisésdesmvile qui pourraientx
i
cire nia s la disposition des realtres o
rs des corps et placée en subsiataneuàce titre, dans I. régiments.
fi impwrte d'éviterq elesa0resdeser-vice su produisent tardivement au mu-ment de la mise en reste.
fin u'edi.ettra donc dans les ateliersrégimentei,. que les ouvriersqui en feraient la demande.
Tours, le 21 novembre 1870,Signé: Gambetta
eer
G.Matr055meau an rasons A r .mat:.Du sur-aussr
Les P,ommisaiean de Geerra se voient àregret assaillis de demandes d'emploi ,[anales divers sa es-de l'armée du Sud-Ouest. lis
préviennentles solliciteurs que
les l'onctions dans ces barra.. vont f.cIse-e [ occupés par des Mobiles et des
Mobilisés, qu'elles sort absolument gra-tuites et que ceux qui les rempliront vontêtre appelés sous la tinta et saurais à tou-tes les migre,,, do régime militaire dé,l'installation dus Commissaires au camp.
La 1,8 bataillon des ,obtins de la Ilauto-Ga ana a quitté hier Toulouse, Peurrendre à une destination qua ousnepeuvens faire counaitrv.. O. u jeunes gens,pparfaitement éq,up'6,, aiwés, nmmraientLe oup d'entrain.
11 ont été aoompagnre à la fia e pParlagardanationale sédentaire. M. la Préfallezd'autres fonctionnaires, assistaient auxadieux de nos mobiles.
Notre aoacitoyen, M. Casimir Canton,engagé volontaire pour la durée de la
dBtea leu/ au grade de
sous-lieutenvient
antsu 5a bataillon de rchaseeurs à pied , engarai.. à Rennes.
Le conseil renforcé de la commune dellalma (Ifaute-Garonne), a émis, à l'une.monté,
le vina qu'en considération del'état critique do am.ees du pays escharges qui fui iseambont il soopérédans les dé e
ompatiblesavéc le marche dansdivere servic.,qu eu c . ronce tour1 s traitements des foneti 00
licence,de l'er-
ci. civil, sep, npars à 2,000 francs, saintréduit de
7530 pour cent .. de- de ce
chiff,c.
se; nous mi pouvons qu'y app audir.. Mass ae môme décret, par son artiste
2,laisse peser sur 1. journaux qui avaientBal i la loi da oautionemant une reepon-sebilitéiet une charge qui font qua le dé-eretdu 10 ootobre plate tee jouruan. flan-veeu. dans eus .ituatmn doublement pri-
bglievs. Te.
lie .'a pad été certainement votreintention; aussi les propriétaires de jour-naux sont couvaincas qu'il awffira de si-gnaler à votre pela appréciation leur Ibgi-lime grief, p lie que vous rétablissiez, àleur égaed, l'fgalité violée par lac disposi-tions de l'art. 2 du décret précité,
Noua avoee donc l'honneur de vouademander:
la Que au{lonnemant9 or restantplus dans las caisses de l'Etat d titre dedauh,nement, ds4A-,[ire comme une ga-rantie dent saut exonérés 1ee nouveaux.jouruauz, o qui consacre use inégalitédans la responsabilité;
. 2s Quo jmqu âu leur du remboaro-ment de notre dépôt, nues noyons pure-ment et simplement oeéanaiers de 1 Emt,au méme titre que ceux qui prêtent del'argent, ai qn au lieu d'être astreints àdes formeslspiales pour retirer une sm
dont a itutio aurait du', en touteéquité, être la conséquence immédiate dudécret d'abolition, on nous couvre au mus-traire eu bues du trésor à échéance fixe,quelque propageable au besoin;
. 3s Que le tau. de 1 in,rèt soit, depuisla l0 cm6re, date du décret, lui desbons
il.'l'résor,et lien le taux réduit des
cautionnements, ce qui, aujourd'hui, estsouOueaioemeot injuste.
P rsuadés que vous rcc...altrez desuitr. le bien fondé de notre juste réclama-tion, et que vous vins empresserez d'y(air droit.
Nous ...mi l'honneur de nom dire,semence , vas très-reepeetueus serri-
murs. a
Pamiers (Ariègge), le 22 novembre 1870.Monsieur le Rédacteur,
L'arsenal de Taulome naus ayant de-mandé de lui livrer les pièces n fanébauchés et fers échantillonés néssseui-
a à la cousteuctioa de aix batteriesd'artillerie, nous les avons fabriquéesavalas meyeas dent m disposions,mis d'autre demandes du méme
ométantadresaées, nous imtallunépourla aurons, u at lier deoostruction:
aoneéquanco nous év m 1 ast ucteurg;aj-son6 air ad aient
néquins de batteries d'Artillerie,queque noue noue mette., h Inr dfapusitionpour ,.testes l'écus en fer, ébauchée.servant àla confection des batteries.
Noua noue . bargmiors aussi de fournirtee fera de qualiL6 aapérieare car aomtracteurs qui étireraient anfeetionaerle s.pièeescusmémse
Danslen ousuaces a mufles, l'A-r'ège, nraton dota qualité impériagre
des nombreux ayde sua produits et m ende teaneformaticn qu'elle possède, pout-étre d'un grand saours; pourquoi ne pasutiliser lia r.eomces quelle met à ladisposition de la défense nationale Y
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurancede notre considération distinguée,
L'administrateur délégué,T. Basson.
NOTA. - Les demandes doivent êtreadressées à M. le Directeur de la sociétémétallu,gigae de l'Aridge à Pamiers (Arié.fie,)
était écrasé,
Cette brutalité faoute a excité l'indignerlieu litem le. Mai, Ri. na été satisfait
,viélement tuelaclorsqu'il a eu x rait
ens efsl des gt die actes ré a
an
vers des agents de lasûadrelé
pubpnYl]-
quPonsuivi à l'nuaeeian de ces faits nuspeine de 8 jours de prison lui a été in-Rigéc,
Rie n'a pas l'intention de dameadeqcar il e exprimé les intentions les pluedeetecnlivea à l'eaomitre de tous leschiens,
CAISSE D'ÉPARGNE et de PRÉVOYANCteu u vmta os routouss.
Sdonde du Dimend oe 20 Novembret 21 Lundi,
Nouveaux déposants, .
Recettes du Dimanche... 330 fr. e.Dépenm du Lundi.,. 5,307
Excédant des dépenses. 2,977 20
OBSERVATOIRE DE TOULOUSE,
Erlrait des Observations ulilgorolotiques.
Du 23 Novembre.
Thermom. centiq. minima, :id. maximum : 14x4.
Altitude 491m,arrim a. naaa.. OTAo nu mas. voues
9 b. m, Om,7t4e - mev. - SSEfaible.
midi. 00,7431 - Lnuzgeux. - SSE
3 h. e. 00,7437 - cauv - 0
Le baromètre qui avait baissé pendantla nuit romanes depuis midi.
Le temps est doux, humide etpluvieua,Moyenne thermométrique de u journée
d'hier : 11.,3.Pour ta CAresigar ef test se qui préaàde,
A. Purox.
Albi, 22 novembre.
1 .lB-nti u tdü-Ta,"s asti 3p<det roc'halein s du e
cdes gardes cet. les mo-t dapartam abebilisées
Aidé dan cecit
lourde liche par le dé'loura dael I' du isaien cettral si la d6-feuse, cent l'habilleme t biensu coure:dex6natian
serugimait bientôt
t09 cqe-
fectionnês.Les .Lycé
ee diablis ana les vastes
salles du Lycé reçoivent jo montdeaq .. lices ., etc. rables
de
evers
fines,pantalons, aces, aces Avant
quiace
... saurales huit mfl. hommes qui composent teede, lfgfons tarais habillés nt égnl-pés pourront @ue mis à la dis Pesais. du
mistre de u guerre.Peu de départements ont apporté au-
e argaufsaaen. Nouetant de bel. danspoavo, de affirmer que le sua seraun des
pre.
miers à répondre à (appeldu goaveruement de la défasse natte.mata
(Patriote albigeois).
guerre. toujours souffrant, pour aller, sur l'avisoéeison à La-i id éd' ner ma gec ns, termes mun de 1L'arritié IIBRs tes gara d
t -tces écrivain à donné lieu à nn identquia défrayé las couvereations pendant 2jours.
M. le Préfet avait élit prévenu par Pardipéah0 à peu près ainsi muçue : e
Par
train 40o presoaniers prussiens passerontce ô r Tarbes. Préparez alimenta. .
M. le Préfet se mit ee devoir de réuairdes prnvissiona pour donner à souper àmet oe monde là il y avait, none assure-t-ob, (jtlllques 35 mètres de saeaiese, 5gigota etc.
M, (e Préfet et le enrétatrn général setrouvèrent à la gara à l'heure finie pourrecevoir les Prussiens.
Mais qr nde fut la déconvenue deM. le Préfet fit de la foule qui était ac-
rue, quand on ne vit que 26 prison.sous.
On avait mal lu la dépêche. Le chiffre400 était le numéro du train qui avaitporté les Allemande.
(L'Obaerrotsur.)
On lit dans la petite Gazette de Begnà-ro:
Un accident dépplorable a en lieu, la ae,ne dernière, a du Pont-de-,
au café de Siècle. Uae femme finsoeciser,
e 'allumant imprudemment unela.asompe,
le, aise de l'huila de p6trsla sur une ta-ble, on ne trouvait d61à une lumière. Lamalheareuse fille prit feu, et, malgré les:eiun qai lui tarent,[,nés, na corda pasà expirer au milieu d'atroce souffrances.Ou ee saurait trop reucmmsader la plusgrande peadeno dans l'emploi de-eemode d'éclairage. La moindre négligence
o le voit - peut causer de teintesévénements.
Nous aveu, a..one6 qu'un séminaristed'Aire allais partir puer rejoindre otrearmée de Bretages. Uoe vingtaine de sé-
orisces d'Aire, 16pandent A est appelfin rgigae, viennnt de partir commevoloauices dam la légion de M. de Chd-mette.
On lit dans la Liberté de l'R6reult :On aom communique lia deus piècaa
enivantas q p plions à a li e desBe ojes zontimallln ti --elf mil e.[ :
1870.Mon eber Manaieum,
ambre
J'ai cédé volontiers à vos conseils et àoui de quelques amie, lersgne je me suisdéoidé à laisser sans réponse l'article in-jerfeuz des DrusG de aAOrmtte.
Aujourd'hui, la situation me semble -'l'tee singulièrement modifiée ot aggravée,
Lors de man passage A Lézmgma, ene capelant à Lagnase, le 12 courant,
taiété
l'objet d'une manifestation hostileet hideuse, qui aureitpu prendre des pro-portions danger ..a., ai le trajet de lavoiture qui me perlait se fût prolongédans las reps de .eue villa.
A un ...cet donné, et comme ai umet d'ordre edt été lancé du milieu d'ueefoule, dont une basse partie me semblaitsympathique, dessifflets d'abord, pais desc is ee saut fait entendre. One bond. de
¢ d'adbleacenes; quulefues hom-mesiat des lemmee ont eumuré ma voi-ture, l'ont suivie en murant, me huant,me sl(Rant et proférant des mnaos que1a aa eenipreume pas, mais dent il ne
'était pas possible de nopaa deviner le
l''étaieaccompagaé de men bean-frère,de a nièce et du doetear De".'.glRier, ln docteur net remuué à Léz;-g.aa et il luta été facile, nou-eeulememda s'assurer qu'il y avait e hie. ella-
nt un mot d'ordre, mais decon.
alueles noms ds maneurs.
Faut-il, dans les circonstances ou nomsommes, laisser sans protestation ses pa-reil attentat à la liberté et à la vie des ci-toyeas? Je ne l'ai pas pensé, et j'adresse
jourd'hui-méme au préfet de l'Aude,11. Hayual, ana latter doue laquelle je luisignale les faits qui sa sont passés et jeloi demande justice et réparation.Et maintenant, d'ara peut venir cette
déplorable manifestationY D'ou, sinon de
s barrlbles feuilles qui prennent à tachede souiller la répu,taeu d'houn@tne gens,de suspecter le patriotisme de et.i quivoet sur les champs de bataille exposeraval bonheur leur
existence
peur sauverle paya, tandis qu'ils n ont que le c u-
d'insulter et de soulever, eu lestrempant, des pari... toujours dangs-rouws.
Le réparation quo ja demandé A M, lePréfet comme simple mmyeu, je na puisla demander au miniatre. Soldai, je dois
'adresser à lui co me au chef del'armée, et je le prie de ceuvoqunr un
conseil degueme hd'effet de juger de maconduite.
La lettre oi-incluse cet la tapie da celleo lai ai écrite à le dam da lb' .
vembrq on l'informant q. je l'nverraità plusieurs journaux franchement repu.fibroins, et ..,,ai au Sièele, qui aura ainsi
Toulouse, 92 nevemhre.Monsieur le Hédaotear,
Je vous serais infinimeut reconnaissantde vouloir bieu donner place à la présen-ta dans les ol..nes de votre estimablejournal, o. réponse à l'article ...as....tle D compagnie du canton Nord.
le fe ais observer au citoy deciel
n d'article qu'il est incompétent p urle servie militaire, vu que le poste dupresbyllre n'a peu édté abandonné par lapremiè re compagnie u caeto Nu ord, maisbien par cella montant la garde du 16 sa17, et si la service s'était fait régulière-Ient, l'adjadant sous-officier devant for.
,er le poste, et le e p!taine adjudant-t P o doit le faire r ery m'autinti
fat que leshom
mmes uos'ét.aient
paa rendus à l'heure; j'y aurais poneysi 6diatemoct.iiDesoendam moi-méme la garde le f7, et
.prés informatiens prises auprès des hom-mes convoquéhs pour et de ie; le se souk
s à 7 eur. e demie;dan
le y depcrIeda
afestlodeomlgme
ntdeer
civetne
vovoyant
fies p pris sur luide l'aire fermer le pas a, est de porter lacl,f au Capitole; le restant des hammeaqui se sont préeontés un peu plus tard,n'ayant jamais servi , et voyant le posteferrué, ont cru qu'ils étaient supprimés etse sont retirés.
je proteste de.c bnergiquement, pouroi pte personnel, ainsi t lu I n
de cuve las citoyens aamposnt ta 1,s rempagaie du canton t retombe r un se sonblâme, qai lie ont retomber
qque sur a..
auteur, attendu, je le répète, que le posten'o été bgarde dé que par les hommesmoulant lu garda du 1f, an 17.
Veuillez recev il' ec mes remercl-mente, Monsieur le Hédneteur, l'eesnean-er_ de ma pparfait considération.
La capitaine de la D+mmpagniedu canton Nord.
4. Encensa.
Toulouse, 22 novembre,
MM. les officiers de la Garde nationalem bilisée ci. cantons Centre, Nord, Sudt Ouest; ainsi que ceux de la compagnie
de Cellules nt IIlaguac, sont p iés depasser eu bureau du Mater è le Préfecturedemain 2'J, à 3 heur. do l'agrès-midi.
Le Ilajer,J, LArroce.
Les citoyens gardes tionaux de la 4o pagaie (onlec sud), sont prévenus
qüils devront prendra la garda de toplus pestes de la ville, le 2n novembre à7 h. 112 précises du soir.
L'Ajudant,Paul GAaxlnn.
N, Plniaura peupriétaïrm de journaux ceuBossés, ont pris l'initiative d'ana pétitionà hbil. les mo bras do la Délégation deCnGouvernement à Tours. Veiai le
textede
Dette pé0tion que publie l'arnion libéralede Tours; nous nous y associons et nousprions notre confrère d'anergister notreadésion.
Messieurs,Par décret rm 40 ootobre, vous
avez abol iI
ecautiuonement des jouruauz .a Cette décision est conforme aux vceux
a reçu 'sL7ndépendd.t dµ Tarn osémunication de la lettre suivante :
. Caetrea, 20 o vembre.e Monsieur le eens-préfet,
J'ai réuni tout à Aimera le oonsit delabelqce de ma paraisse qui sen ,posede MM. A. Mahne.ié, Dolents Degeilh,Valette, à l'effet de leur proposer le ces-sion de notre grillon à l'ceaves de ledéfense nationale.
e Bien quece
ne 'sit pas un objet né-cessaire au culte, il nons est cher mpen-
odeat, parce qu'il nous rappelle une m6-e énérée et que mille autres souve-e
précie.x a y rattachent. Pourtant, euprésence des Lesmne de notre partie, cesMessieurs ont voté par a elemation Ino-amplissemeut de ce saori0ce,
e Vans pauvrz dooc, Monsieur le sous-préfet, disposer de aotre eseilloa,
Espérons que oe hronsa béni, aprèsonné tant de joyeuaes n ssauces,
sonnera un jeu, le glas louche. des ce--mi. de la Franco.
Veuillez a gréer, monsieur le sous-pré-fot, l'hommage de mes sentiments distin-gués.
e Ch. do Lutons,
n Curé de Natre-Dame de la Platd.
On lit dàoa l'Rmaaciputi siDans sa dernière séance, la réunion des
délégués des départements du Sud-Oueel,a déclaré que le c ité de Salut Publicde Toulouse, rempli sonelle d'initiateur de la Ligue, et avait bienmérité de la Patrie.
Sur la proposition du itoyen IsidoreCombarieu, délégué du Lot, las repré-sentants de la ligue du Sud-0ueet ont dé-cidé que le 2 décembre devait être stannisé par les républicains traçais ;
et
qu'à net effet ils mettront un brassard dodeuil et couvriront d'un crêpe le mot.JUSTICE inscrit sur les mon mente pu-blics.
Dans la dernière séance de la Ligue duSud-Ouest, l'assemblée a invité lesnau. adhérents à la Ligna à paraltre ledeux décembre prochain bordés de .oir,en signe dedeuil.
COUR D'ASOISRSDR LA HI-GARONNC
5E551ou OROmAIAn ce 4e TRiU.$Tna
de 1870.
Audience du 23 nerembes,
Présidence de M. le conseiller Saunas.
AFFAIRE ARTIGUE
Bsnyurrenle /rudeileure, - pana.Le premier. partie de cette udience
été ..sacrée à l'audition des témoins àdéebarge-
M' haceinta a ensuite pris la parolepour soutenir l'acemation.
Ms Ebelot, défenaeor de Bertrand Ar-tiêmo a développé les moyens de dé-feno de cet accusé.
Les plaidoiries de MM. Depeyre etPion, défenseurs de Jean-Baptiste Artigneet de Baby, auront lieu à la prochaine
. dis...
Le plainte n diffamation de M. Sallescontre Bounefous a été appelée hier de-v t le Tribunal correctionnel.
aAprès l'audition des témoins A char,,et b décharge le Tribunal a renvoyé lacause à
vendredi
prochain.
Riu, qui me- la profession de mar-'a pas les habitudeschand ambulant, n
très philautropiques, surtout en ee qui
touche la race couine, timoiu le fait sui-vant:
Il y peu de jours, sur la place daCapitole, ayant aperçu un pauvre petitchien qni ne faisait que mettre la patte j siens saut passés à Tarbes, dirigéssur Pauaur so¢ étalage, il l'a saisi et jeté e. l'air où fis serai internés jusqu'à la lin de le
®Par ordonnance de M. Pieu, premirpprésident de la cour d'appel de'Foulousqles.sises de Tarn-et.Garonne pour l0 4etrimestre de 1870, a ouvriront à Moutau-ban, le lundi 12 décembre prachaiu, sousla présidence de M. le conseiller lIe-
gaMM. Rous et censé.. de Lavalette, ju.fins au tribunal de pro fière instance deM tauban, sont nommés pour assieter Jeprésident de la cour d'aeaisee.
Aueh, 22 novembre.
Ce soir, à 4 heures; les Rranca-tireurstienne monteront en wagon anus les ar-dre de 1 or capitaine, M. Nuire, pour serendre à Toulouse ait ils doivent être ar.més,
Une foule a l'a gr se d'amis etpiquet fourni p la garde nationale rets
de taire doit1ar
ce accompagner à la gare.Nous .'avons pas A leur souhaiter bon
curage, car nous les savons résolus àtout ; c'est plutot la a udnee que nousreoommn A leur jeu.e obef ;ilsseront
bravos
vesoacomme leurs compatriotes
les Partie., du Gers; espérons qu'ilsseront plus heureux !
(Le Gers).
'Parb.22 novembre,Plusieurs convois de peisonuiers prne-
le tempe de préparer son necnatien,C'eet triste, cher mansfegrmyuand o. a
la cooscieues du devoir ,,, pli, dn se
ir l'objet de la haie. basse et calculée
decerteins misérables qui ce jouent de
l'ordre public et de la vie des itoyensavec e cynisme aussi éhonté. On me
ulent-ils doue en venir, fus malh ureux?11 est nos chose que je ne die pis au
ministre at que vous eomp ndrea. Voussavez quelle est ma haine de l'étranger,quel est mou désir d'aller eneorc prendrema part de la lutte et -.blé. je souffre
endeumnt d'ltro retenu par ma hies.avo.
Eh bien ! je veux le demande, tant quoinsane ne m l'a pas été rendue par un
raengrasse (Aude). Sur ma mate, esam L6zignan, foi été l'objet de voci-
fI Sablions, ,['nouages et d tuh. inquali-Bablea. Ma voiturer été
enntoouréee e
d'une poignée de gens, hommeses
tlem-
mes, qui proféraient des ,noces dort ilne m'était que trop facile de deviner lesens, Cette mnifestation aurait pu deve-nir dangereuse, si le trajet à travers laville aàt été plus long.
Sous l'empire d'une 'ndigeation troplégitime, j'ai demandé à l'autorité justioet réparation. Mais ce ' at pas aesz;0'est plue haut que j dois p rter maplain, : c,.et à vous, Monsieur leIre, vous, mon défesaeur naturel, que jevine Diadre p;
Mieux qque personne, vus c....isseal'histoire dama vie depuis début de laguerre. Voas savez que,
bles
essé d'ou écla'd' uns à la té, de la tristn de.taille de Sedan,
je joure me relevais le
main sous le coup de la capitulation etpr sonner de guerre.
Vous Baves que le 1 f septembre, profi-tant d'une r Méai nos de blessés,je qudtaigaolgn pou fficiersèsaeg vec uetsh nl noms-
pri-bre d'officiers, comme rmcirblessés etsonniers de guerre, comme moi .libres detut engagemnt envers l'ensemi, e Voussavez rasai avm uns empressement, lorsde mon arrivée à Paris, j'ai effort mes ser-vices au pays, à la Réppublique. Troisjoua agrée; le ministre de la guerre menommait au commandement sapé ieur deBelfgot et, malgré mon état
bondi d'indignation, Monsieur le ministre,fiant, sur l'avis de atriotes si..et capa p
cires, renonçais répondreA
cet .trage. Mas le
necase,
raz incident deLéLé.
tepn est survenu, sl modifie u plaistemrrent
mea e tai rs je lie meeeee
pinsle courage de
meme
taira.
.
C'at eu plain jour, i la fane de tous,que je veut filme nteadw
Si js ompr,ds lu défiseos et le eanp-pn dans les tempe douloureux .h nous
leaousâbôn ou'busequi livre saur ju ement , homme d'hon-neur b la celère ,[Tic. sa égarés.
Je vous prie donc, Monsieur le saisis-
tre, pour en finir avec des faite quisent pins que ma personne, de muvo-
"Il unose,[
de guerre ou une murmartiàlé, pour juger 'e ma conduite.
Q e le Sièele, qui s'est fait aronsstorpublie vie soutenir sou accusation!
Si j aiétéété incapable qu'an me demi.
tue;Si foi été traitée; qu'on me maille 1Citoyen, le demnod. justio au nom
de la couscmnee et de la libertd fSoldat, je défends mon bonneur 1
Veuilles agréer, Monsieur le ministre,l'aésuraoee des aiment. respectueuxaveu 1 ,quels j'ai l'honneur d'être votre
teèe-obéissant serviteur,
Le général de dirision,A C ambriele,
0. nous écrit de Béaiers (Rdrault):s M. Narcisse Bernard ayant été élu
lieutenant-colonelde la Lyre Biteroiee lai a donnélundi soir, 2f ecembre, uee brillantesérénade, en présence d'une foule immense. Elle a c.icuté avec uee précision
emarquable et digne d'éloges plusieurs
so riche répertoire,z den
a.applaudissement de tous Ics
assistants,
. M. le lieutenant-colonel Ber,rd, duhaut du balcon de l'hétel, a rismerciél'orphéon du bon ,meiguage de sym-pathie grtil venait de lui fin ner, R arenouvelé, dans quelques cbal.., a.paroles, son dévouement sincère à laFrance et à la République.
e M. Lenis Bonet, président de laLyre Bi.teroieo, a-porté u¢ toast à M. lelieuten;nt-colonel, qquel il répondu,eu nom de la eeciété, par duepleines de patriotisme, qm ont été tria
laud"appAprès quelgaes félicitations adressées
à M. Bëuard par M. B.ard, l'orphéona exécuté au air d'adieu, et cent le pondss'est retiré satisfait, avec calme.
rie, je cédais à ses instance set je partaispour mou pote! Vous savez encore quelaccueil bienveillant et flatteur les mem-bres du Gouverneront de la défense os-tionalo me firent à mon passage à
Taure,Vous nignorespae, sien le minis-
tre, ce qu'il ai a fallude
etrtravail et -
gie pour accomplir la mission quid'énerm'était
aonfié Et, je le dis avec bonheol, toutm etlt
été impossible sous le dévouement
absolu que fin rencontré dans mus lesraAppel6
dans les Vosges par la présencede I'nneme qui venait d'entamer sur deuxuoi ts le massif de cas montagnes, il met bienmt d6monir6 que je pe pourtaie
tente l,gtempa dans les p sdious queJ nmapins, avice les onze eu douze millehommes qque j avais réu.ie eprde le com-bat de la Burgo.ce. L'ennemi débouchaitur mon front et aur ma gais he et mena-
çait ma ligne de retraite parla vallée dela Moselle.
Fallait-il, avec des troupes mal armées,dont quelques-unes habillées de teile,sans souliers, sans tentes, sac chefs se-périenn, sans réserves de vivr c ni de
unitio a, attendre un ennemi dont lesforces d6levaiem à 55 mille hommes, ara.
nus-méme le c...tiez plu tard,etgmen..t avec lui uee nombreuse orbi.[crie ?
Je .e l'ai pas pensé, monsieur le miraifrets et, sur l'avis anamme d'un oneeil deguerre, je me déridai à quitter mes po-sitions et à epérer ma retraite sur 'asan-
on, fia de pouvoir, à fab du canondde cette pplace, mn tram mea troupes,iséminéea sur tors les points, lao o .gg ,les inatufre et les rappeler i ladi eiiplina en un t, créer une ferla
spea,ble et capable, au premier jour,de nmuvear avo succès sur la ligned'oppération de l'ennemi,
Rostre dans mes poasitions vingt.quatreheures, douze heures de plus, né[mt àmon sens, une faute impardonnable; c'à.tait e.trsl.lr à un désastre évident, à
ipléta cette petite c loune
que jeconsidéraie comme le noyau d'unearmé, redoutable da.a uu avenir peu éloi-g.6.
La appr t, eu effet' edt-ele ple résister,jsans aoeevme sionuctine, e ,e répéta,sans réserves d'aucune eine, deus nepays pauvre et pouvant à
ppeine se suffire
à lui-même YCe '-t pas ainsi que (avais compris
la mi.io que le Gouverneront ni avait...fiée
euu m'appelant au commandement
supérieur de l'Est; et, pour rien au mo-de, je n'aurais ceneenti à sacrifier à
uin,rét local une armée sur laquelle 1.République avait le droit de compter à unmoment donné.
Et an moment était-il doue bieu éloigném s' rle ministre, puisque, lors de
o.départ, je laissais à mou sumesseurdeus division organisées, d'uou lors de
et mille hommes, leu réserve de troismfll. et uou cai.... mobile de cinqmille t
A Besançon vom Baves ce que j'ai faitM, le ministre; (avais rallié , concentré
ansisans perte d'aucune espèce.
Malgré un ramas eQroyable, l'organisaiss, rauche tels les servions, i habillaisje chaussais mes hommes pour la arL°ond'hovom; Jeasnreio les ré9Brc:s de vivres,da munitions, et je résistais a ec sucéesè deus alto ors, dent l'une très s6rieuse;je repoussais l'ennemi spics lui accle faitsabir des pertes graves, et, pour le pre.n:ièer fois peut-étre depuis le début de
brillante
ejhe
a lu bayonuete par une
J'ai fait man devoir, M. le ministrem'inspirant uniq s amont deentman patrio-tisme, de mon dévouem au pays; etcep ndart la calomnie s'est bientot 011,.egée à ma conduit.. Quelques jour....de provigm, égarant aven un calcul mi-aérablo l'opinion publique sur la sans dudécret qui roc donued, sur lia o.arsaaes ,un sumcsmr au cmnmeadem,t de l'Est,me déclaraient incapable et traltrel G'estalors que vous avez bien voulu candgnerma justification dans l'expresion de votreappréciation personnelle. Je vous enco serve la pins vive reeo...iasance,
conseil de guerre, trois le solliciter et ae- En présenta d'un tlmoi saga partantopter un "'mandement quel q. il ait? de si haut et si loy lament donné, la ce.
Je vous le demande? lomnie n a pas désarmé. La journal ]eJe m'arrête, tir 1..-t tête me fait mal, et Sidcfea publié un article ayant pour titre:
aussi bmen boirais-je par v ais fatiguer. La trahison de ggénéral Cambriels; quel.Rien à vous, quia jouuaua de proviaca, les Droits de
GloSe,1 PII me, fa Népuoligue illustrée, etd'autres eens doute, l'ont reproduit.
Lagrassn (.luis-), fit novembre. El ces articles odieux me p ..sini entàlousicui le mirai=tri, à Montpellier alors que j'y subissais des
Le 12 de re mais, jequittaielntpellier, opérations Joulouruusas ! Mon emur a
O. lit da.s le Salut public de Lyea :Le drapeau rouge vient eamre d'être
la ... d'an incident profondément regrettabla,
IJn officier de mari.e dirigeant les Ira-z du chantier de fortifications dos
Mercières ayant voulu substituer le doc.peau tricolore au drapeau rouge arborépar les ouvrieee du aboutes', a été l'objetde menaces devant lesquelles il a cru do-voir dégainer sen sabre.
Les ouvriers l'ont arrêté, désarmé, etconduit A la prison du poste de Caluire.
Toulon, le 2f novembre :la formation d'une armé. navale sur
rade de Teule. n'est pas douteuse; la frégale cuirasée la h'ermandie, réarmée etrois jours, la frégate cuirasée la Gloire,rappelée des cèles d'Afrique; l'aviso à va.peur 1a Corse, réparé dans les 48 beures,et l'ordre do.oé d'installer le vaisseaucuirassé la Magenta pour recevoir nuvice amiral, laissent facilement supposerque .%te flotte se composera de plusieursdivisions, et on s'attend à chaque iastauLà recevoir la nouvelle qû un certain nom,bre de bâtiments blladéa saut partis desports du Nord, pour sa oocaentrer damles eaux de la Médilerraoée.
La question d'Orient reparaissant àl'horizon plns menaçante que jamais ontant à prouver que la Franc doit êtreaomptéepour quelque chose et que nous
mes pas eucere réduits an peintde
s
ne pas pouvoir nons faire reapeo,ter.
Q i commandera cette Botte? La dèpé-che dit : un vine amiral ; mis il estpas emoore désigné; se reste, le choix estdans ce momeua très limité, lac uns étant
.fermés dans Paris, d'autres exerçantimportants b la merdes donnent,u dans des maritimes, au
leu présence est nécessaire peur activerla défause nationale,
On cite cependant les viee amiraux La-ien, Mesures, et sar,aat Chopart, comme
étant disponibles et pouvant Aire appelé.a cette missile; dans tous les ce., ila senttous les trais apables de menerbrPve-meet use escadre au feu, et si les affaires'embrouilimu, la pavillon français ra
dignement représenté dans la mer Alaire.I: armée d'Afrique est décidément
puisable. Les premiers navires de la flottade transporè qui avait emporté 1. mobi.les en Algérie, o,omese, à rentrer rrade, et chaque boument arrive boudé detroupes et de chevaux,
Ce matie, à quatre heures, le vaisseaul'tetrépidc a amené d'Alger 780 hommeset 303 chevaux; il y n uu bataillon de né-phlrs et un goum de cavaliers arabesadmirablement montés,
Quelques heç,ea apràs, le transport hvapeur le dura a mouillé en petite radaet s'est amarré aux appoutemeute de Ces-ligneau, ou il e débargaé 1,400 hommeset 7 cbevau., appartem.t au. 22e et 79ede ligne.
0. a appris un minm temps que le92 d. ligne; au grand complet, e' étaitmas6 autre at Oral, prêtà embarquer peur rentrer n Fracas.
LES TROUBLES EN ALGBRIM.
Dam le précédent numéro, uns féli.itio.s la province de Constantine fin
l'uaere peuiotique entreprise par site,faveur des nombreuses victimes de
l'invasion prussienne ut n prévision ds
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la cruelle famine qat peut résulter de seule,,cette horrible guerre. Aujourd'hui nom I F ur ge luis foin que- à nom imiter;
r udra un nouvel hommage à ont t p é ta, au nom du clergé algérien,
Par a d seule de quelque. gardon.nos sana a .abat eam gdahU, l Algériese trouvait evglobée dans la al cou quiavait ûrie le coin de L:g d Jfadi, Ala nouvelle des triste. événements du 2nevumbr Constantine protesta . centre
à t acte ana'nouetonte participation
rial qui venait de s accomplir à Mermillet qui ne tendait é vint mares quà uuséparation de pouvons et par conséquentà martre l'anarchie dais le pays ,
Ose dê"êlhc tdressés l a ttés et
par l Ie
f té d défeuse, à le délit.gabion de T ,nus; i16elar t que ldha provin,
de Coueta ne, e loin d'aérer au.plan.
et projctsrla ]a Ligue du Midi,d,
ut
n meu 0g
on adl n g uuere nt dela tétasse atonale.
Depuis lare, des seines, vraiment dé-plorables, oet eu lieu à Alger. Quelques
xaltéS rat tenté, par un coup de mainhardi, de ,ciap d gouvernement adla Colooit lls avaient be j dne moment critique, il ri z t p int dpouvou'ré0elier, quelques heures après
aotérhn,leée à A:g\Valsin gouverneuravait
été.
géuprè forcé d'ahan nec, slo dal oe et lp êf,t, M. Warmar,
venait
tse
ais un.déMattresde la situation, ces patriotes
nutralnereut la cote on municipalequi se laissa fasciner, eus intimider; et lele maire, M. Yaillermuz, aux yen. dn-que! os fit luire les cap mas les plusfantastiques, consentit à ae laisser pré-senter aie su0'rage universel, comme
oui_
que candidat au geovonemeut de lacolonie. C'était purement et simplementla présidauce d'au n en go.v.r.e-
st qu en donnait à M Veillermoe. Delaà la s'peretien de l'Algérie, à la déclaratimi de son i'dép¢ndaece, il n'y avaitplan gn'uo pas, et ce pas ou espérait lefranchir bernait,
Cttc il écrsiou avais été prise le 9 tvampa dues le sein du .Douté ultra.ré=n»
lapopulation algérienne,
saque , parla voie des Durlleaux.
Le Corant or nefin
de ee
yu âvandit s 1. es le semz ne sousur ns le bouteie de posséder ua cote-
e isounun ne
'ynommé
étaitpar
pastrop
ma été, ,Msais
ne tropan Pré, anu
uscroyait pas que ses
Ités
an lote leur aveugles présentions,
Avant mâme de comaltre le résultatde op coup de mate rev, la piue u daCoestaninne protesta de nouvean priadu gouvernement de Tours et centre lesnotéit qui ee "remettaient à Alger et cesire les événements qui pourraient eu r6sultas.
L. démarche était peut-être précipitéené..mai., Ceuslaatme donnait une noa-valle prouva de son patriotisme, Ce sbatpas demi us ornent .comma eslui ciqu'on doit créer de ..aveam embarras àla France; nom devon., au extraire,devoir toua qu:un Seul objestifales Prue-eiees, et mettre de côté tout ee qui pu-.rait gésier ou entraver lai défaille dupays, rompre l'union sous le drapeau.
Du rsate, n07lesm sues plaisir douesrAèplar du 17, que l'ordre est établi,L'asaembléq des ce jeneusl, a été douéed'un sens politique ques ne lue soupçonstait pas, en admettant, à titre de viesseulement, le masure proposés de écu.mettra au aul'rege universel l'élection dugouverneur civil de l'Algérie,
Calte détermanetntn, tous ssu r,a été
prise
à le sure d'eu Mania sévèreinfliggé par le gouvernement de Tours, àM. Vuillermoz qq entrevoyant le préei-pi dosa lequel ça le poussif, se seraitarrêté à propos et aurait engagé sa amash aLaeidenuer leurs prciel,,
Pendant ces quelques heures d'anar-chia, eu e su à déplorer plusieurs scènesde violeuse et des arrestatronsurbitraires,Que devait parier l'hoonét° populationindigène de la ville d'Alger, elle ai rail.glane et d'habitude ai paisible et si cet.meY
se les fauteurs de désordres aimaientla France et leur terre d'adaMeon, commeils le disent, ils s abstiendraient certaine-meut do toutes ces démonstrations qui
mpremettentsn gravement la tranquillet6dn pays ei ses avenir,
/IGdz. des Midi.) J.-M. Barbier.6u qulttantMaseills, Mgr l'archevêque
d'Alger a écrit la lettre suivant. ;Mai mille, 19 novembre 1870.
Mon eh.r vicaire général,J'arrive à Marseille, de Constantine où
an'avoient appelé les affaires de oa discé-se, duel je remplace l'évêque, et d'on's viens en France, comme voua le savez,défendré des intérêts si gravement mea.-c6e.
Je trouve autre graudd, chère et niai.heurauae patrie, en proie à toute: les 507goises, main assai à toutes les mêlesardeur du patreotismo. Tous ana enfouis,riches et pauvres, ouvriers du brin et dela pensée, as lèvent peur défendre le solnational; c'est n
eblima et teuchaot
spectacle que celui de ces vieillards, dee.faa. qui partent, qui abandonnent
bancs
foyers pour s
air
aou armées eu
vois
de fortunes,aL. clergé ae reste pas en arrière. Il setaveu an. soldats rue las champs de bil-le, et les évêques pela n..t
l'm!tialiveatade
la guerre rite, en promettant lia réeompoissa et l'honneur dn martyr à cens quieareomberont ,pope la défense du sel sacrédeIu ,Dir tiû.r
chaqueaq les r,écea arsen s
,,
litaqne s'élèvent, pou, de toua nospour
prups aplutôt
rudeàs'ensevelirs'ensvelle
soue
us
uas »as rtins lutôt qued'aaeepter le deahomer 1
Je vies de lire, de.a les uruauz, undécret da ga verne ris de'Peurs qui au-taries 1.e fabriques de paraisses à dcoconlin otapb.e des église pour e. faire desaanrns
Moue susse peu de cloches sa Algérie,il rat vn4 mais n'importe, ¢e qu'il ce-vient surtout de faire, c rot de moteurls ..allouants
de aux cmura, Peraez-deuccelles de la cathédrale, à l'exception d'une
D ffranue vraiment net... a, 0aandant ses forera de terre aide
mer.Qu'elles viennent e. P .ce, ces doucesssagôres de la pièce et de 1 pais, qui,
Ju h. ut de vos cloches l'Afrique, cap.p fuient env volons la
doublepatrie de
agmpe ei d. lét mitéI
Quaprèa avoirppelé au n. de D en, elles appeb
I t à J l pat' I t que lots1, d via touee enh. notre juste ven-8
Mt
ofiercinut pourvoir an pré
vin. aoésongeons
pén..'Il à
a par 1 Hnnamr i soit mena.céel de la tannin,', pour 1"auu0e prochai-on. Hélas I titis généreuse et pauvreL'u dont j'ai vu l'évêque dans dest ps plns heureux, et qui nous a si lar-gement secourus à l'époque de nos désue.fies, est, plus quvacune autre, menaeiede ce lié...
P e victmas dévouées b la fuim salent las ri amants de uns égliers, lesv-s és de nos autels que cous de'-
ove, s'il le faut, lorsque triste ma-menasera veou
Mais d'ici là, et dès à présent, l'Alg6.
emnette autre France , a un noble rôle àplir.
La p ovincc do Constantine l'a comprise a pris l'in
eutare lepuis adte ive en faisant livrer à le
terre passible, pour endonner gratuitement le blé à la mère-pu-trie, Il fout quel. province d'Alger suive
noble exemple. Il faut que, dans lesdeux diocèses, les cures de chaque parois,ev l'encouragent et la glorifient, et Jadehart mAme de 1. chaire, car il s agit id'une mnvrc sacrée, celle de sauver nos`frères de le faiuy lorsqueus.mômea nous
t délivrés de l'encorne.auventvous le savez, j'm donné des or-
dres créons pour que, dans nos établisse-s rets diocésains, en ¢nserneoeo, Datte au-0ée, le double do néccssairr, elle que rionsp e ris partager avec ecux qui ont son.1ô
n plmlrns par taure aumônes.t tq,es ch sois"' dé ira
mms, pter¢ tribut i 1
t
a lis va t ip op sé dés ei,te
de B a d e =i leurjoussitim,
pour envoyer un portion du blé réanimépar eux et ur
ae 200 gmnUustua victimes de la
leunr,..a, qu 1. Fro Francmt
)amas, ans es t les sleurrs, ce
qua le ea fan pour i
Nous ne d s pa l'oublier u pl sS us une
fait
luté da c h es peur,e'c
'y"les fila
d 'oupeupla qui n éteitpas
le notre, que n de.. re m pas P ePeur la patrie, Serrons-eam a et... desou drapeau, noua prêtres -plm eecoraque les autres, car la Fronee est lu filleaînée de l'Église, le protectrice ef°ulairede ans ouvres, de as mi tulle,
'Il'son chef auguste et comme e telle, 'Ile aamour.deux fois oral, à nos re,pacta tà outra
terNe noue laueou ni uelgesu'ui
lissas nôm aonnassen
et
derépit-
delà aux outrage , si paroais
des espritsaigris et aveuglés nous les adressent,qu'en faisant miens 'erra devoir de chré-tiens et de français; et ea devoir c'est deprêcher, par notre parole on or notresemple, l'amem da ta France, ledévora-s
ment pour elle, le pardon, l'union, la cha.rit6;
Tes sent mea sentiments, mes chersmes, cantnunoz $ vaue n inspirer dans
la direction de notre clergé d'Alger, etcroyez-moi, tic,
} Charles,Archevêque d'Alger, ud-
ministrateor du diseè.se de Coostan1iar etd' lippues.
Marseille, 22 novembre,Le préfet dos Douches-du-IlLône eoccu-
peaérieuaement d'activer les moyens dedéfense du puys. Agissant en vert. de lesplaine pouvoirs administratifs et milite!.
et s'est adressé et sadressera à tou-tu-es
les mises, les larges, lia établisse-ments privés et de l'Etat pour la fabrica.tic.
des canons et l'achat des armes. A.jour ont été faites nu seront prochaluenaentlivrées les commande. suivantes
Trente canons de 8 112, système Reffioan brnuze, se chargeant par la eolmse.
Trials canons, même aystéme on clin,Dix mille carabines Minié,Huit mille frasils Ilemington,Trente nuirait] ou es, grand modèle,avec
leur. affûts su fer, dont les plan. etles types sont attendus,9 Cas efforts des autorités départementa-les pour accélérer l'armement des force.ati...les de la France épande il à an
besoin sérieux eu face des graves périls
qui usas urcnacent, et assai à a. désirformel du gouvernement de Tonna, quidisait, au lemdemain d. la honteuse cari-
de Bazaine, par l'erg ne do mi-nlstre 4e l'intérieur, que . d6sormais les
,Layon,devaient ggir par ous-mêmes
ritout attendre a?u gouvernement..Quo chaque département dip ôIg la plusgrande activité, et s'épargne aucudsacrifice, aloraseulement la Patrie severs et ne tardera pas à triompher,
Maseille, le f 6 novembre 1870.La Préfet,
Alphonse tient.- Le Carole de l'Athénée vient de vo-
ter une eemma de oiuq mille fra.ca pourla fabrication et l'acquisition d'une pôcede canon qu'il offre à la défense du Pays.
),e Cercle a émis le vmu, qq o asportera le nom de l'AlAéntie e qu'ellee se à la garde nationale mobili-
sée de Marseille; et qu'après a guerre,elle fera retour à la ville, qui la csurer-vera dans ses forte,
Le système préféré sera le système Ref-t ee charg.ment
pla cula madôlearY are
d'acier oaliLre 7.
Espagne.
emma-1,,aet uifastattrès significatives malentendu ntr l s d ba e
n qu'onpell am ca n duL (ah. aa ceesiecan bot eà au C¢ér vire et sera chargé de la rédactwu ducontre en appelle en Espagne fer V ramanquerex que, la remis d s le traité de 1858.étrungrr,ttote explicative a p éci.fi l'envo L rmée est vraiment capable dA four- Procis-verbal dos seLea étudiantsde l'Université do Talle' de la réponse fado par lord iraanlU è lu nie un offert sérieux et de défendra effi Art. 4. -Chacune dIl q t ons soudehd ont promené deus les rues une biô circulaire du pieute Gortsahakeli'..Le 4o- ! eacement les Balkans, seule voie confis nies an oomnU sen l'objet d pportre duos laquelle ils avaient placé un mol' cnment quo nous venons d analyser n'a nanlule par laqulle lés Russes puissent par let ré des au ministre d I Guerreq m représenUat un mort,
..quelils donc plus qu'un mtérit ftrospseuP.. {I ! entrer en Turquie. Quant à le vaie de parla président."aient do é 1 nom de Macaroni ter. nous suffira de constater que le note qu mer, n peut compter GG I Amgletevl's
Faite Taure , la 14 novembre 18.0.Partent on ils nt passés ils eut été p ait pour objet d'atténuer aux yeux du sur flino le adeessdire,De ana côté M. Le menmre d° en, d e ,ireaI s r esIi da 01eea v
plaudus:.Unde pro/uàdu a été chanté es g u nement britannique qua le arao- Amdemay présidant du cabinet honggrraïi, Lé..chesur. L'outonté e en la prudence da u lé de l'attitude nouvelle prise si brun. ureuufeme les intehBens les tus belli-Gavoli,
erri._jepue iuterve d te. Il t'aurait eu. clins quemeot par la Russie, W. pas atteint son pp Pur le m perte
unau de sur g I étudiant, ont été bat.cueilles à a d as la Raille e, La départe,ev. ,vanille
asasr t de bien peu de chose,
délégué leC. ae Fu dubr d
de la GuerreapAlaM-d'iddPartrois
Pofesseurs de l'Puivor
La Tamm polit d ris s.mé ugrues il est psible q la g erre écsite. yin
élèves,
latera en- par décret m date du 20 novembres P une lettre d 1 pi IL s rte, grave tri les pmaer Noi qui ont sur fe Danube 1470,ta,
adip tés t été hués p ar question d'Orient. L opinion duu homme et dans la Mer Noire feue intérêts les plus M.
'a... t tems Jeanba doua tirs id de e. Leu otalgie d'as L' mcettee v leurnomis
mérite sllm dlsnja-it nesihe. importants On remarqué qne jusqu'à plus min), de généraldede vais aseu, cet n rimes
etI n rersit I dan osa. Le reü.ur da rhu bà écote fidél $ a e rdeales sent les pruecu prussiens évitent aven au grade
de de général ae divisio t il'ar-dill'Uuivarseté s n devoir i il mec diq ü a cherche e détournerson pays sain de sepronone
cer nettement eu faveuret se réfugier deus uns v t d rites, leu
d'unes
résoluviolente. Il ne crmt pas que ni l'han. de lit Russie, m60 aunbavo.
manetdéregagner tours de 1.e près 1 heur ni l'intérêt de l'Angleterre lui .an.- Ça "Il' que damait que Je poutrai - Par décret su date du 20 novembrea-ir
le paf mandent de faire la guerre pour la pro-.il, rit d
vous donner les détails venue de Pans 1870, sont n immés aux cowmaudnu .. cUDans lasesocoiréue, rs d
lesde la
étudiants du uiéde. rection de l'Empu e oiomam et pour "lie' per ballon. Les lett tore ai-apr ...t ffieiersdent les rimas sui lent,vari au dpleur
Faculté.onné
Launlisclihceari
a laissé taine.n do
Mi0 lectesso!idar té av et stpurt d'uuei des Parsienslus.fl
recos
sai
en
nnvut
sont
lh être
pas oucra.
savoir;il 'm aD deux théàtres de M 1 J I s t. ris Ida la J7 Au a néral dt du 8u toi is
. lutions do pu blic ont t' s a. fortquPaixon à
ce[eut pretrouve .o s bonne 1-a viande falch° est rare, men. d'armée, M
m. leingénéralde divi1sion Bou
pr-
le r e é uon a Idans sa
fon a encore des salaisons en. grande quar- baki, -..action, supérieur de la région
pua quo pr aeuta été mterrow- tt elle[ des tendances . hnutiquié- tiré amen que du vin, d légumes, die du Nordqpue. e . u on reproche, nonA s ris os , à éSalamanque, mémo démonstration las lit rlsrgea, de firme; en un mot tout éral de e coà laquelle tut murissio
Po que de i leIbre erre. Mais il estes
un présage une réels tance delirai'
urs mole d'o2ra Au commau du21
ris part des ça s passage de la lettre qui n soulèvera en e. La noure oda niée, M le gén6ral de divisiuu Lut 4,venues des villages voisine. accu ° e r is anse de do l armée auxiliaire,
o iris less
usJsouiscrvr.sens' peur notre Coulmiers, qui a
Il,il
$ Pans usa joie - Ce ri est é luctio' du r,provinces d'Andalousie, eu part,nuo iv ris ans réserva, c'est tr6e vive, üa pas été apportée par nu pi mais aPas une r gi.orCatalogne m à Valence., a niy a pas cancre celui-.i ;u geon, mais par un messager quia franchi u quart du tarif ordinaire yue Iris
cet deest
désuedre, mais le sentiment géa6- Si nous avions, dus avant lézploeeon les lignes ennemies et eet arrivé $ Paris le°ompaguiss de chemins de fer ont accor-
I'avercioo la plus marquée pour de cette épouvantable guerre, déclaré qua 16. dA pour l'expédition des objets arasésle roi étranger. Peur le moment le
mauxu la nation qui, la première, anvahirait le On mBcrit d'Evreux,
o 'té des damesdpli espagnol parait ôtre résigu6, itoire d soin
:
la date deau c
Un gon. o Lie ique, s ad-net a e l'autre aurait l'Angleterre lundi cinq heures du soirrosiggnation loroée mis, soit à l'écale polytechnique, soit ô
Atrede IonPet foie Lien n pouiebabilit nous aurions, selon toutes Aquatre heures, larrivée de détaches l'école o mate supérieure (s.mou dis
crinque durée, et faire expie 1ea probabilités humasses et au prix d'un monte prussiens a été signalée aux aborde s n ee se sont trouvés retenus dans lesvert l'arrivée do monarque de risque
usâuriouepnumpéehu ec guerre: d'& vaux. départements [binai de leur05e lin"",
Prisa. o p Atre itaug u une Nous avons appris que trois uhlans s'8- et se nt$insiUn journal équi est dans l'opposition nette ôte dans l'ar gemeofdes didé fiaient avancés en ville privés de l'ense -idéedynasti pars ° jusqu'au bas de la -ont
qu'uils
els auraient regu à Paris.ni.
qua, q 1 .,il de echerrhnr rends ernmee àiouauans.
Pour rendre ce rue du Lycée, taudis qu ua gras de c 0. espère pouvoir o r prachaine-mi tee députés qui ont voté en faveur du grand service l' 'envie t6 et à la morale blancs était posté au Pont il' che ment au liège de la Délégation du Go e.due d'Aasil i cens qui ont des planes ré publique, nous n'aurions pas besoin de 5S1de fer. -art a ent,ges coure qui conviennentide
G àtri natifdent
leur nom et le t'ai nous jeter dans la guerre et, mà on aine, mLa général de gersalaüm, avec Itemeet dont ils qi ous S que ques l'une et l'autre de ces écoles.3,146,000 vécus. Leur nombre est
s'élève81. ous ans
os eu tort et nous sommes eapo- gendarmes et 6clairenn, et an tain En prévision de cette éventualité, ha[t convient d'ajouter à ce
Justes c'criminateom de peuples ombre de gardes , quauz, s est dirigé élève, admis à n'éale poly
b itoc a subi ou àJ peut dmn rhif de France et d'Allemagne,
qui poerrtepnt arte
ledel1 côté de l'ennemii, qui accu a t la Ma-
l'écuécole
le normalesuc6
dure, à la fade duf Ironietrois .épatés mi d p - pas des. Gou.looe amen[s, - P
cents de eenceot ine s à lave cmutdd p 2 s volutien, t qrit F d au doaoarous de motte guerre..
dPlus
avec de 1busaritllenaété.
lancés sur lacooffre
leur adresse au présidentpr Jeet vas
a.peurs ieldeurvBtles
eprendre desdouceurs du ud
f4q. tbantmYris l'autre -
pairs jour. l'idée que noua espro- v lie, n ils ont produit peu de dêeàte Gn Commission sLiscieutai que de laadéladéfense na-pouro
a8 t Une dépêche de Verneentendu tee vive fusillade qui a duré fia am i. 8,
uns. signalait,. pins d'mot bavre.(Monileur,jParmi les dépslés qui ont voté centre evant'hiee une éugion o ul s L, p p ave ens es Praeaiensit s Atitparassenre ensuele duo d'Aoste, il y e 14 anciens saisies laquelle avalent été ve ies dos lés°lutiors retirés
.fies leurs campements, - Le nommé \Yillemann (Josph), sol-.fies (parmi eu:, huit l'ont été depuis la syuipnohiqus à le République française. Rentré à Evreus, le généralEeraalaum dot au lie batailler de chasseurs à pied,rbvvlutjoa de septembres, et très députés Ynici le
W.L.
môme de ces résnlutiom s'est empressé de an replier et de quitter en garnison à Auxenue, s'étant r duoccupant un poste très élevé deus la nia- duel il rat superflu de vmm signaler l'in.- tavelle. c upoble de mou t e sur la personne surinri e espagnole. pista e: Cette nuit,. van dans henroa et demie, et es du misa c rpc, a comparu, le 14Les Jourmaaz la 16érèa e11 Imparcial, 1 loups h la deakuatisn de l'armée, quelques exalt6s ont pris d'aeuent la four no sabre 1870, devanture cour..rli.lItitise font remarquer par leur r
é.inspér le en. Frmce .t t la aaptseo de u Beffroi et y on' snné le Usai Cette qm 1 a oodamn, unanimité, à la1 s e à t et 1 6 I té de Napaléoa h Sédan, la guerm snèueileétait nubile démomatrateoa, farsceatraeromem fer ode mort.
Pz ter la Fan. ,nemm ré lente $ pour, le peupla allemand nougaerrMiégi- en. pressa ipbona de l'autent6 ue cens CJt homme e utu Fusillé, o lendemaintrémitf pa l armées du coi des tune, pmsga'alle avaBpeor but la défens voit avoir d'autre résultat que d'intru. matin, à huit heures et demis, en prèeae'Flans du z x a 0 1 Si les deus Journaux da son paye menacé u - Buire un nouvel élément da perturbation ce des troupes.Précités suifs t d nés la pm.e de 2a - Par le f it de la sont n aliti n de au milieu de désarroi glnéralo . - Da mur ma tialé de la Ira divisioner l'histoire de France, ils sauraient la lutte eoar la Répnblgm 1 ça sei Les Prgsaieas sot fait plusieurs na i. dn 15 corps d'armée, vient de eoadamnerqu'au iv- et au zv siècle , les Anglais la gg . rat devenu ace goutte de cou' mru, autre antres usa mire de (.mille, à le p ne eapl,ale :avaient prieuré leurs niées viesneu- q l égelsU st dya nashqu qm il chut qui a ét6fspp6n d'une 1al4 doseslecétf, 1 Le aemm6 Décailly 2ases dans les 8 pr."... ove pro. d re de 1. s t la Mas formelle au sa -et o elle sortait de son domicile - caaonaiar à la Zia batterie d'arlllenn dees recvurf t que algr6 leurs pie- ne. de droit et de la hbartfla -auJe ; rente
dde lla rte elmèe. ERa a actualité ma e,miiree loues, il. ont dû déguerpir et 3p. L'idée d'arracher à la Fran-e quelques heure apba. 2. Le -.4 D6larable (Menin), soldatpayer les pots casés. Alors on avait on demx provines oontre lasvolonté de leurs. Lxsmi i a pua repars à Evrea; ,, au 40e régemeue de marabePnnoe la Jssq...Je. Va. parti. de la no. habitants est un attente% on droit do le- Aujourd'hui le brmt a -.ce, à Tous, Dcelar66à estpables de faits patois deplisse avait capitulé ou foi. Aujourd'hui, bre dis ilionvdes peuples et, as le... que le M... avant 6té eeepé par Tom.- mort, par le décret du 2 ootehro 1470.
1 aabiaeee t d bout etrivalise
avec la valant la er du me eu minasg 7 , mi. Ce bruit ne s'st pou La.8se Cie jugouatU cet reçu leur exécu-baargeoisieet 1 p u le. La France peut tentes les couquétea de 1. civilisation mo- Hier, a. racentat que nos troupes boabic maure e s repousser l'étra.- rictus; , avaent rapts Chôe s, aieie.luvelle ae 0 .m .a séance do 16 novembregel qui souille sri ns puisque las Eleur 1, - La bat de U gmrre ulamilles s'est pasjxoJ
ours, equiei. d8776, la cour martiale de la Ira divisiongno4 ont mis six an. à reenngn6rir leur étant, depuis Sedan, absolument ...a i- Oe umes
nqfîmuo fie aque le continuellement été W.1 du 15e corps d'armée a prononcé la peinedbpendanen eampromise (d'acide l'aveu sable, la maniée barbas dent cette gaor. n.1 dn Nord est aeppFimé; 6 6n6ra de mort coutre lé nommé Matins (lutes),mAme des hiaw iems espagnols) par le fils ra est faite aralt iode a d'und'un ai qui conspirait contre sa bre e6 civilisé et os
p 8 9enrbki est atkndn à Tein, od cvient
sldst au r6gement itrang r; diait cou'se P peuple Plat avoir d°autre prendre le ..mmmd.m..t du 18. carps poêle dis désrtta. i l'ennemi.
!.a.Cerlès actuelles, avant de se desecu
ésultat que dneulever aux»Idole
ail. Loire, faisant partie de l'amée do b Cq ea bte exécuté l.lendemaiu,ends tom sentiments homme et d'ai. Loirs. à 7hasnue
vredudumriiydievront discute, le budget et 1. liste lumen
11,hein. empérisable dam le Les treepaagai compesient l'armé. H-cevele du nouveau roc. mur desFrançais at d'exciteq hex ton. Nord seraeeti placées sus le nemmaude- - Une p......0 artivbe r6mmment deL'a position se prépare pour ce jear là les peuples I'horrenr des Allemands. ment du général Fero. Nancy. nom empprend qua le eheffre ale.t malgré le président des Carlu, elle 1, - Li éuneen proteste en oonsé- On anmao qne la géné ral de Efratry égwsitJe à i p.1 au chef-Ilieu de ladisputera les mérite. du prince Ansé- gnence de la façon la plus émorgugos à Is vient d'interdire dune les départemantu Meuathe "l il y a han jours, à l'ef-
dès. fois centre la guerre de eonq ôte actuel- de l'Ouest, l'engagement dee Français froyaLle gemme de cinq Ioona ltOn a fait des préparatifs psur aller à lament poursuivie par le roi de Prusse et àgés de vingt à quarante ana dosa les - On parle du départ ducemta de Bas.
GAnes et à Florence. M. 7,orella emménera contre la manière dont cotte guerre est corps francs et les corps des volontaires, mark pont Berlin; eI seait marna quea-en lui 28 députés, 12 bedeaux de la faite. y compila ceux de MM. Charette et de fion de l'ouverte dn Relede
a£ par le roiC Guillhambre et plusieurs journalistes dé. >Ae-Eileespôre et attendquo ls geuver- CatbsRnaaa. Osa corp. ilLent as (....ter Guillaume dans
lamcapital da UPrusse.
vaués. nement impérial d'accord avec les autres parme les étrangers, les jeunes gens de74 0. de baisse sur le 3 p. 100. puis-succe eurapéeeues emplecera tons les ons de vingt ..s, les hommes de plus - Nous avons donné hier Ja tendue.1 25 an, les bons du Trésor. mayens pour mettre un terme à cette de ynora.te an. et les individus informés test de l'article que la Timcs a publié en(C. de la Gironde. Edg. Ponget co pably effuai.. de sang; défendre la par lia centile de révsien. l'attribuant au Figaro; plusieursjournauz
Tours, 21 novembre 1870.La circulaire on prince Gortenhakoff,
ûai a provoqué dam toute l'Angleterrene émotion si légitime, était accompagoée
d'une note explecative ee date du 20 0e'terres Cette note, dont le
Ti"",n s ap-
portesoin
nrd'hai le UzU, avait peur ob-jet de bren'peéeesr la ssm st la portéede hi circulaire. Elle rappelle que lorsqu'on1866, il fut questma d'une
rnférenceà
troisPont
prévenir par la réunie. il a.eo°grés la guerre emmmente e. Allema-
gages de sûreté que nAoeasiomaienttiet
poIle certaines éventmlités de nature à mo-
difierl le mata qua existent eu (Iraient etque ord Russell reconnut la légitimité daL.U.
prétention. LesévenWaletés prévuesas se sont pus réalisees; néeumoim, 1...te mroae que le traité de 185E a étéenfreint dam
Illettre et dans son esprit
;gy la ccéatio0 eue Etat quaai.indèpe -dant et quasi-hs be eue Jus, frontières dela Russie.
Cet Etat que la note ne nomme ppue,n'est la Roumanie, Sans atiaoher plusportonce à ce fait, q il n'appariant, lanets dualare qua l'équilibre fondu enOrient par le traité da 18511 ae trouverompu au détriment de la ftasie, laquellenesaurait laisser la sécurité de sis côtesà U merci d'une transaction qui.'est plusresp fée, La note ajoute qque le tzar estdécidé à rétablir vol égpleltbre, mais quecette ré ption isemphQue aucun ha.-gmnst dé sa poletaque orientale, La Res-aie s dites. notamment de toute iuten-fion pouvant mesaeer
17-istème
du de eamppire ottoman, Elle
Dompte,
, dd r ste, surl'accord u avec
résisiter
de l'anale ie. parfaell
q,de vii,o,existant sur oo peint
autre elle et l'Angleterre,accord
quelleoutillâtes c mine la meellou . gentilspour préserver la paix et l'équitlibre dol'Europe des dangers qui peuven résal
Madrid, 19 novembre 1870. ter des complications eu Orient, La noteDés que l'élection do duc d'Amis a été co.. et an exprimant l'espoir que 1. Iran-
Lunaue dans les provinces, il y a eu di., chier de col explications écartera tout
nanan fias" ris contre as...vwment On lit dans une certespoadanae dires. étrangers net également reproduit cetdont ou veut la frapper et, par là, m- sua de
Versailles, 12novembre, à s Ce- article qui a produit la plus vive euea-
er les rangers dont le despmenace
moi- x,Ie, de Colagna : bon. Dam tee régions gouvernementalestaire eosorIle tes do I'E, enaou tous Depuis queéques jours on se montre ou l'u nsedére comme 'pooryphai ales peuples Rbres de l'Aurore t plus Iras sgvôre à l'gard des journalistes et que d'autres entraits envoyés à l'Jndapxrtieufinaleôrout notre patrie bien m- étrangers, notamment des Amiricaees. M. pendante Aefge, au Daily-"anis etc, par08,. O'Sull,vao, a.aien ambasaadeer des EtaU descorrespondants qui résident au qua,-
» 7'-Tous les amis du droit et de la lis Unes de l'Améeigne de Nord qui, le 10 fiai général prussien. Ces .oveespoudaatubert8 lent invités à adhérer à la prusnte novembre, avant été invité, par le crissa Prétendent avoir ôté admis à parcourirdéclaration,, yal, àdlaer, fut ezpnls6 hier. M. O'- ux-mé,aes les journaux trouvés doua les
La Moniteur publie tas lettre attristons g°Ilivan avait la marne de plaider en fa ballons capturés,par le maire de Rothois (Oins), à l'inten- var de la pain, dose l'intérêt de l'hu as. Si la gourrenemeut e des damnées cerdans prussiens de Bo m'es Cette lettre raté, ce quia déplu au quartier général tannesaur cette i dine supercherie; il
astate que les pê,ati... de ous corps' prusssn. , serait impardonnablnid ne pas s'eneslifaons entravent sérieusement le ravitail- Vous voyez que lin Prussiens se méfiant goer clairement dune le Moniteur; lieurlament de J'ennemi, o je dois vous déels. et singaidtedt, c'est bu. sine. aavons go'ona reçu hier de l'oéreaeuterep-dit le maire de Rothoie,-qne noue On ..nonce l'arrivée à Tours de M. arrivé b Texn, trois lettres destinées àoe pouvons nos charger du transport de Lamrier qui s'était absenté pour q,slques M. Gambette; celuisoi doit cennaetre par
s réquiseteoms à Recevais, a6mdu que joues avec use mission oenfideutrelle do méquent d'une manière certmne l'étatIn. mobiles et les franc.-tireurs empochent G...orm orant. des esprits de
par.0e M. Gambetta se
et saisissent tout transport de cotte auto. Las courriers de Bretagne, de la Sarthe, borna à affirmer que les nouvelles deTe an dirigeant sur Reauvaea ils tareront de Normandie, de Belgique et de Russie Pas sort bonnes.mime sur Ira individus qui ee char ge- ne noue cool pas parvenus anjenrd'hna. Nomdevom dore, pour Iraaquilliser les
lent de cas tranaperU . Et il rise1ut pape extrait : A, Pmjol. personnes quiet..
rit des nouvelles dapar ces leg ae on percent uneeer[aine ire. P s ppaa ballon, que par ruile des
Dans le cm on vom tiendriez à obts- përipdLiee du voyage, les cerreapondancesai. :tenir ces régnisitiem, je vain prierais de privées et lsjanrmux ne pouvant êtes
tmmbdisiemeni dsteibsée.les envoyer oherohar vom-mAme.. Le membre du Gouvernement, minUNi"' appremom que M. Ste aa, tri de le Gaerrr et de l'intérieur, (Gazelle de Fronts.).etdes
s oetes
e apheu pri s'étaitrenn
, Comidénnt ql est nbcessaire d'étu-rendu ra
nagre à l'armée de 10s'était r Tau dier dam le In. bref délaiLoire, est rentré
àTours. P
ipasser fbu-
tes las propos flous oint peur bat
(Correspondance particulière
Tours, 22 novembre 1870.Le ...de fina..hier diplomatique com
ble s'alarmer de Plus on Pi.s à taus dela note du rime Gsvifleakes et de laai...re dblord.ayon uiismlle. Les goudas
s isbanque
e allemande out donnéà Bruxelss, à Francfort et à Londres desordres de vente considérables. D'astrepartie Turquie, vient de rappeler sualas drapeau. les réserves de son armée etelle notifié aux cabinets de Vienne et deLondres qu'elle pouvait mettre sur piedune armée de r00,000 hommes. Le. esa-seignemamU artieuliers ourle reçois depp
d'aoeenttea ' flesniU es mayens de dé-fense, et qu'il importe de suppléer à l'ab-sence do comité de l'artillerie chargé del'euoauo Pde tentes la croulions Lechnl--ques relatives à l'armement.
révolu 7Art ter. - JI est enatituô posais datais
de la serre nn comitég teehoegm de l'ar-iDlerie.
Art. I.- Le comité Uchceique de l'or.tullerie sera peésid6 par an gés6nt eu uncol..el de l'armée, et camp andra auUhid'officiers quel sera néeesaire peur l'ezamen des queateons q i lui riront soumearepar le
directeurde l'artillerie au mimes
tel-, sus que le nombre total des mem-bres puisa dépposer sept.
Art. 3. - Un chef d asadrseé eu usCostantinople m'asareut qu'on st dite. capitaine remplira les fonctions dp sacré.
Orléans, 21 novembre-Nous
recevons
de graves nouvelles damentargil
étaitévideat depuis quelques joursq dn cerpa ennemi =1de Metdirigeait
de ee café. rde avaitil envahi lia nions Ferriôrca de es etdeJdis Msata M..U. Mas d ur deux mes la rusede i7gis s'était
Préparée 6.ergiquse
m età la défaille. Elle -ait dot bisahaut qa,,, dosneraü à la Irrance esezedcfe de aérage et drsteépidil6; ilsstigmatisait teue cous qui montrait gnrl-qus résrves damleur videur et qui n'é-Umnt polar partisses de 1a guerre à
.troncs. Il Il y avait là ..e garde natiesela
ropeeéen et azarcée; la garde mobilie6.,
--é des dDbateirea de 20 à 40 ans,litait organisée depuis plue de quines
I
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jour. et réunie au chef-lieu. Mont.'itvoulu constituer m comité de dé-
tnne. La ville, avait demandé et obtenudu goninement, aveu nu cetain fracas,la numnat oa d'us le euert colonel etd'un cumma.dacs de place. Ou avait or-gauisé un service d'éclmreurs volomairrs.
Une dépWhe olfiuielie, insérée au3loeil -r, nous apprenait qu'avant hiercuir, 17 oaveliers c'éttont avancés jdsgnedors en faubourg de Mov[args, qua l'und'eux avait tiré aucun peste de gardetionale qui avait riposté et tué unhommeun autre prussien aurait été fait prisom-m
C'est là, à ne qu'il semble, la saule ré-sistance accomplie parla ville de Montar-gic, Hier, en cita[,
oucorps ennemi plus
nsidérable se présenta devant la ville.La ta"denationale oc [sa mohilisda l'alleudam -ut en cer s. Un parlementaire seprésenta, le, général prussien offre à3lan-
{ue6noirs
se,eeli
présdemande le maire.
Lc général exige pour les troupes prus-siennes le passagge libre dans 1. ville; àcette condition, Montargis ne sera pas at-taqué. Le maire revient i le conseil muni-cipal et le comité de défense délibèrent.On accepte,à l'uneuimité,psrart-il, luron-position du général Prussien.:armisticeset iiifend,,i Lea bas, l'en da orgie liese déront pas, l'ennemi.respecteraleur ville; il consdn[ mémo à permettre'lie les gardée nationaux et iea mobilisésae retirentaveu leurs armes. L'évecmatiens opérai
monmatin, à té h Bures, les Prus-
siens ont d0 entrer librement et pacifi-quement à Montargis.
Ces uouvellea, que nous avons tout lieude croire certaines, peuvent ev passer de
rNéanmoins a é seommentto de sa t la dé[
étaitla 4ubati0ro=s blé, e que otain o a nous f
ns os,arquer te, s I au deM, erse que m nous étions aussi durs
9l,
l'o,
nt été pour nous, lors de la prisayy o 1.d'Orléans, nous sont dirilegéaeur
mou
y
] s sui Tn a q. ils out din poutre nousNous eue le, voulons point, car noue nous
uIl rtrappelons trop combne sé l n
ides cuti mea injuacesdocni
t il il a été l'obleLqq - I d LoiretIra arum uP
Erre évaluée à 1, eu YO,WO hommes opé-rerait e. ses marnent de manière à me.a-cer 1. Mans.
Ces troupes se trouveraient pour le
les nouvelles qqui noue parviennent, nncorps Ailemaud dont l'importseae peut-
D'eu aetra côté, l'omet, sembla vou il a été capturé. et d'esp ' légitime orgueil que usn nsuite com m e uue décoration de tkéâ'ee; Crutel (Ieaene-Marie), A3 ans, veuveloir coup0er nos wmmmiretiose Tee le I IL'anse qui s apporté des dépêches à prenons orl
Lee constater os nos rendra ' il n'est que le sentiment du devoir sous sa Brousse, rue du Chant-du-Merle.
Nord; ns avons dit hier qui Evreux U. Gambette, est tombé à Chf ocs (Haut'- point injustes pour l'autre armée pp forme te pan énergiyy e, la plus virile, et, Pellegrin (Eugène Gaston), employédee.ait été a,taqué, il.'exéeute doua cette : Marne); es La.leu aovieuuit plusieurs ap- ièm est Allemagne. E,le est taoSéer1v enme il n y a rie. de plus grand dans le Acores, 13 eos, rue da la Pomme, 57.ég d I
dentI bu[ Attrait Pareils photog ph q quo 1 é - enfin d'une pastiq,e i npeévo ne
etd code, il .,y a aussi rien do plus digue, Espagnac (Marguentr), 70 ans, veuve
b ê, I c i il g 1 - t dû ,b 1 a @ [ c mandement lap
inepte L- h d'hounnue. Rey, n Lafayrüe, esq g y q s neot ce m 1 s pu é hPl er a l ont mi quo y A s- d
duse, qui rêvent d'eu ériae t jeun la rire, ni
quiui eux jées à Parmée nargue (Antoit e), capitaioa en retraite,
départements do l Ouest avco le Nord de ilance d'hummra dévoués,. paru w liA une renteuraban impérialistete au trmo- d la Loire, et q doua jour' do suite 71 ans, rue St Pautaléue, 5.le France. renient d'us huoorable eculéeiastique. Les - picot singubèremrot ont rempli les premières pages du Mues. 1-oe (Guillaumeue)) ployé de com-
Nuu avoir annoncé que les mobiles de cuvelles dcoudes par lie ingénieur qui Noua tguoraoela ils trauverur4 des roue. Leur, serunt reçues per elle avec r merae, 20 ans, rue Cflacite; 6.Montmédy avaient (enté nage.Ara nlo, sur, ésait deus la nacelle portent que Paris plicea deus queiyu.:a états majoea , se fis uaionuaee; mais elle éprouvera plus de Vaisselle (Jemt Bapptiste)' aordounieptue in c ux de Mézièess uet avait montré la plus vivo foie en appea' ils n'en [ronvarmn aucun parmi tee aol- , joie à les avoir méritées qu 9 les avoir oh' tag ana, rue Rivais; 1.été plus
frootnensa;heureux;
nos sortie exécutée le saut les événements d'Orléans. I dais; cour-ci savent à qui ils doivent leur tenues. Que ses chefs la mènent au butf7 a eu peur résultat de faire perdre à L'aéronaum qui montait le ballonl'ennemi 500 hommes et u nouas, les tombé le 16 sur la piton de la Sainte-pruosiena ont dû, s'éloigner à nne grande Baume, à l'extrémité méridionale de ladistance des canons de la ville; une dé- France, est venu accomplir avant-hier, ipèche affirme môme que le aidés serait le- l'église Sain[-Martin, le vmu qu'il avaitvé Il y a lieu de craindre malheureuse- fait au moment où, emporté par un
"m "'
ce
os
soit pas pour longtemps. 'eut furieux, il apercevait eus premié-ques eog gem¢nts sans importance rois lueurs du jour, les flots de la Médi-
oot eu lion
en
6nurgogne, où il net cer- lerrsuée.loin , désormais, que l'ennemi n'a L. personnes qui out été témoins delaissé qri nu rideau de troupes pour oe pions spectacle eu ont été viveme,d
masque,ses mouvements et ea couvi touchées,
c o . r e une surprise.
(Qua. de Pran'e,) 1. Bourgeois.
Sans que ne, ,su ayons encore à e neu-trur d'importante faits de
guerre,
, ne, spouvons constater une amélioration dé-métal, dans la situation militaire Le dbBoitement de Mésiéres, le coup de mai.de Chàtillon. ujourd'hui pleinement
onliroué , et plusieurs succès de rfrimes-tireurs une divers points de pitreterrim4e, constituent uo ensemble fortencourageant,
Le satisfaction de r enfin desnouvelles de paris a Jou e à notre ceated-nement La victore de Coulm,ers a étéeu.nae la 16 dans la ville assiégée, et leG uvernemest n'a pas are pouvoir miensfitereet heureux événement, qu'es amets-liant tous les individus ipyom,s damet'éobauffourrée du 51 octobre, PdisMr petose de gêné os ta @t e apprécié comme il
i mérim par qui ru ont été les.obj7etel
La situatio di I mati ue n'a pas chan-,é. est . grandoini .l.e eglace et
lee
las b.ulain long or.ce
s à éfuter le
cirrculaire
du prince- L'a éo prusaienm F,emte en ce Dol
r
m n des ma,:muvrne dort il est en Gortachakoe.
roi difficile d'apprécier le bot. D'aprèsoctroi oombieûlsont faibles ales PB1p o
i ' i lepoux arguments du ministre ruese.P straité de paria a été violé par la réunie.de la Moldavie et de la Valachie, pour-geoi la Russie a-t-elle laissé àrelre paf sonai[eaco, pendant neuf ma, qu'elle epprouTait dette violation f
égalé q leur Eomps eos "ai. dent for.
iBenm n'i euA Constantinople' en
an
p ép à taguerre, et u journal Croit savo que 1 t pn
.
arcpet des rêdife a Il déjà ordonné. Ugnore toujours quelles ont leu diepoai.tons de l'Autriche t dans quvllea me-sures le cabinet de Lmodres seras te.muar les oabmels de Vienne et de Flo-
preDans
la Première de ces doux capitalescirculant toujours des bruita de cries mi-n térielle. A Nlorenue on fait le n -ment des opérat orna électo 1 s Jusq,Fàprésent, leu rée haro commas sont fvora-ble m gudverua eut.
tentative qui oie fait dans la direction du - D ux balle a t partie le 12 de,Mans Il est p abable que le reste de Parie; l'un est tombé à l'Est presque im-4armée s'ébranle. insolés. médiaterneut dans lin l ienignes prussnes; I
S'agit-il d'une attaque aérieuae e Lmprussiens chercha., ila à tourner le ga.-ohe de l'armée française? Veulent-ils sou.lement tenter uue diversion qui permet-trait à la mente de lare forces ils ae pur-tor anbitemaa en avant? Les renseigne-eneuts que nous possédons ne permettentpas m Bure de s en rendre compte. 0. nefardera pua évidemmaet à le savoir,
Ce qui est certain, .'est que les troupesAllemandes occupe. t doivent nous e
gangue ligne s'étendant de Oreus et Se-nti slesqu'esu environs de Montargieet dAu err q9ui sene0 peut.Dure en P.me, t ocittpée par l' u i c'est eue
ledroits
que ae suit opérés tee prernlersmouvements parla roi osé de Dreua et la
antre ar res e e ana, anmomenle voisinage de Negest-1. -Retroe.
Can- Stil aces résulté uue antre iafraotfoa à est'a
corps sur l'effectif duquel Bous o , mémo imité de l'eainée de vol-.. dev... aucun renseignes t suivrait, eu notre dans le mer?ïoire, pourquoi la oaNord, la ligne de Dreuxtà A'soute.. omet de St-Péersbourg pas ai-
Ch t ll M d st
Bateeern, Rossas dascausns, au roui es Dal courses.La ecrinusT. Oanznaaeu nai,iui.nz, Vmeaas, Crieuses
Seoeuns os Jetons, Ida ale.
POMPES A COLONNE EN FONTEAVEC 6 nbeem enrau- Toeands ara Laeu Rio as ET La coupa suée,
garanti, donnant 50 litres d'eau par miaula.
PRIX : RJ FRANCS
de Chemises de Flanelle
CEINTURESITYGIÉ- NIQUES
LuflN 1Rue Sainf-Rome, 50, Toulouse, 1
o`â
je.. p St yp loin 3.cette attitude la nation et de sa jeu tance, de broderies et t pa chea; ila
Nocesc (Jean-armée est an Élan, , uv esoiatidn I se déploie pas en
apeotaola
pour sereplier
er J rue des Blanches, 3f.
maison spéciale de ChangeRue Lafayette , 15
AU PREMIER.
ACHAT DE MATIEREB OR ET ARGENTneutres oie Touera Moineau. 5r 6aLCTS éeoaeusn'a,'
Ces
.0amers assolais nosvea a ans
L'ARMÉE DE LA LOIRE,
CffANGENENT DE DOMICILE.
A mesure que l'heure décisive appro-che, et elle ne saurait être
maintenant
bienmoins disposés à entrer dans des eu
sidénüons oliti ses étr n êtes à Poli etmmédiat de notre préoccupation, la môd-
semantde Parafée de la Loire; de ce mon-tent même, saut ce que nous avons à
pli.se réduisant au récit de farte acoom-
1 u à d a m x l succès nouspp
bien p.. d h a Doter àl4
eto --dit. ni victoire du 9 et
9U a be I munie,, Ale et simpleduel 1 ch f de 1 ée l a annon cée, ont
doit sur les puissances neutres a[myrremrun forte, et en somme escellmte.
Lessympatbies qui sétaientde l'Empire, en cent reviennent toutesà la G une défendeur sen
territoiresans
baavadessmme uns faible.., et ne désespéraut pas cous le poids de désastresgnisemblaieot interdire l'espérance. Dansla France, l'effet du combat de Coulmierset de la reprisedéeléans a naturellementété excellent a s i, d'autant meilleur
il se C'est traduit par aucune manifes-tation estravegante; la France est sérieral'ace nomme ses enfants, c m a rte gé-uéreuseleuneseequi, nlevée brusque-oues,=P"
sua eccup tioua de la pais, à l'a-griealture, à l'industrie, aux profeseiosslibérales, vient de mostrer que cour ré-sister à son ennemi fier de dlz victoires,deux mais d exercices, la disciplina et ledéveaement i de patrie saffseient quand1 s'y joignait desehels capables de donner
l'esemple et dévoués aussi aupays.
C'est ce que l'armée de la Loire e prdn-d In eamamedereiére, faisan ainsi bril-
1 r rayon d pé nec au amasda désastres ai de roi s, M C l'essorede délivrance est qu'à son début ava t1 me, t ou, a il plelt à Die les batail-lo e d 4 are, de ]")"a, et d Nord au-munt touché le bst marqué à 1'. ora-ge, il leur faudra livrer de rudes c -bats; la viotmre qu'ils remp rteeoet lavictoire pare et 'bien mérdée, la seulebénie de Dieu, celle qui est le salut de lapatrie, et n'eut ni le ravage ni la spoliatien d p" des autres, elle v t s-
hé t achetée La Fr I t,et, p d s t t
osp le
de?i,
n cer lle campr p sse lesu louions vaines eom et tbles avecles môles Moletions. Dans nos m Ibeors
AU BON PASTEURANCIENNE. MAISON GUITARD
ruelle délaite et cette anclïeance extré-
savoirdésarmésetquand
Isdet ' urait tant besoin de leuea bras ;patrie
s ne pas, la France ne l'ou-bliera pas une plus. Cu souvenir communt un heu de plus entre die et ers nom-
breux enfants que la fortune de la guerreeélég,é prisonniers sur les bords dn
Daube, do l'Elbe et de la Sprée, quande bat sur les bords de la Loir. et de
la Seine.Mais, quelque grand deuil que la Fran-
es porte des capitulations de Sedan etde Metz, elle n'a pas perde courage, Pri-vde de toute son armée, elle a fait appel à
niée uvelle largement recrutéedans
la'proésaious pacifiques. L'expé-
rience tentée semblait hardie téméraire;mais lenz amour du pays fait ontrmiracle
dede tirer dl... masse confuse, oùi ne voulait pas roi u. S des
soldate, une armée disciplinée
es
, bie. or.
donnée, résistante, puuvaet maumuvrdesvec aisance sous le feu, et ca depable
emeub offensifs. Ce qui restait detrompes 7égieiuase , réorganisé .,ce noneà os eél ment a a servi de lie. solide
ces éléments et mfimment vjeune.ries recrutés à la hâte dans tomes lesarmé de la sociétécet E. six semaines unearmée
nouvelle
lle est née.La lésurrcolis. de nos ternes militaires
a esl pas seulement ou motif d'espérance;elle fournit aussi au Bonne .:u l'eu-raaion de montrer u,ut ce que le pauio-ctsme peut faon pour réparer iea serusés par l'égorme et fie, le soldée.La peaa,pliua rétablie, le soldat ayant
le respect de ses officiers tenant ddoxs l'idée e ca abandon.
mer au tort et danger; leschieefs
méritasae reapret fie t attachement par lesasanaces
i's procnedt de lucresoldats, par un v Bilame de tous ieainstante, par un courage à bute épreuve;les générauz eompresmt que Ira devoirs
avec tee fonctions, et que ueIls-
dile.ce, le négligence, les habitudes demolosse, le manque d'activité et d'mer.gis si feprbhee,ibins chics les officiersspot des
lmueschea leu généraux,
carils éneet iufailliblemeut la ruine deslimbes; eu Un mot, le aeutiment du de-voir a nimant tontes ces uouvellea milicesque la France appelle à en se.... a,oilà ce que l'on raconte de
sende la
Loiros
que les étrangers répètent avecd n.A lmiration léq¢ et un rade mé-
OI' qua c ; dois ld [Cplue ud areL 1 son de ; qui les mniau-dot, car lp panaaptlild leur revient
presque tout e libre.Aussi les pendes plaun.t.file les cbefa
qui la remplissent di4nemrut au premierrang dans leur reaoouaiaet,w cet loue assignent.ils le gloire I. plus éolatanta.
ed tendent tous ses efforts, et que Dieu laProtégé. (Moniteur),
Léo Jeubert.
M. Wertly sujet anglais, qui se trou-vait dans n des ballons pris par lesPrussiens, écrit à sa mère la lettre sui-vante qui est communiquée an Tisses s
Prison de Versailles, 5 novembre,
Le 1eudi 2 ili,16. Paris en,
ballon avec d'autres voJyageuro Nous tom-es partis par un vent fi nque;rat qui
dents noue eous uvuleemporterventa passé au plein Est,
et nt
nous avonsété poussés sur les luises Pr ssiemes.Noueu
avons
midi;
_ quitté Paris àil2 htaisaiteurespre d t
qo ccii s à e fnm,fumes
, o1bilige nain et noua d'atterri, -G
mGome nnos sorti des images, s, servi-cou 250 yards terre, nous femmes ae-saillis par une
volée de balles nt leprussien.
nos;
4sel9urusa.v
unes trams eraèrent le balsPIon pour en pas êtrecontraints
tuée, us fr pi-dité
extraordinaire.descendre
avee
n une raprvdite
zaratraordmaire.
Quand nous touchàmas la terra, il yentré., ... i,o.c.t uu terrible choc. H¢u-easemenn , je ne perdis pas ma présenee
d'esprit,etje
me cramponnai aux cordes,e sorte que je ne ressentis pas le chocet sauter à terre. Toutefoiscsauterm
de 50 Pieds de hauteur et je tdus
bai oor une e le sans être blessé lemeus, de mouds. Deux autres voyageuro,M. Udin et M. Cujus, versèrent près
â sana es blesser, mass le quatrième,M. Manciare, perdit le téta et ne suivitpas are exemple, en sorte qu'il futestnloé dans le ballon.
PPeedsei esoPempps qui n'occupa pointPlus de quel e. da, les Prussienscontinuaient tirer et soue déchappàmesque per miracle. Enfin aune agitâmes
moi
mouchoir, ils cessèrent le feu et unis lû-faite prisonniers. Nous eommea tom-
bésjuste eu dehors de Verdun, qui .,aitencore défendu lespar Fiançai;, lleVer-dua on nous a animée à Versailles, onquia pria huit )oq t et., quoiq pr s-511cc; nues avons ôté bien traiteste,aucu ..es n'avait d m
s.
s0Cevo-uo il o-
e
ql t lédPosaiqulq u lu
n
roi, m a stil
t f tpoecibl Il .anus ei»o,e
All gn. c n p ra di. guer-e Si Jal qutté Pied euballon, c'est
que j.ove s bemm de f,tourner ou Angle-
terre pour m'ueeuper do mes affirma,
Ils n0nt puis[ tort: l'hé,olsme et les tr,.:.wa,..,. =;'~~mâles vertus qu ïls suppose'ont la vraieforce des eociéués. Là ml manquent ses
o' as aù 40 nova euutilités, etli eu 'aillaur tee m ed a m Ils uionq 4fée ui iolit 'o -qq 1 rüememt d'eue cfvilisatilu décadence est inévitable
oq
d:g nnfal ' - u, - 70 fis, veuve ;CauasisIlhérolsme ne se comeese as d
a .t a l .
57, Ta+,rldu.rr, crie de la Pomme, 57.s P t. Moud
, .nad é d I
abtan, TOULO :au I I n-., .t d I by h p 1 1 b lu
11
Il3 f Inio 1
PM pBLLl1 IlpO lu d f d d p 1 p ( p b p
,,1t. Bat 88 ,1 , a dru c, upeer de nette m i9 n ci 'venta pl de, I p é. l- 1 bist blig d 1nh i ace d r en, Ml tables s, To no.se et0-eusement Connue e[ minent fu Car tels, 22, a mea Lelraa nne a, es p pilent, leui -I- dl'honneur de prévum, sa nombreuse clientèle; qui[ vient d _ var saga our sale q I I sw rHae' t p
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