I N F O

N°1 de 2012

41e de la série

Association Royale des Retraités de la

Banque Nationale de Belgique

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Cher lecteur,

Vous trouverez dans ce numéro un survol des activités de l’Association au cours des derniers mois ainsi qu’un aperçu des activités programmées pour les prochains mois en ce compris les propositions de voyage pour 2013. Vu le succès rencontré par les derniers voyages (e .a. Cuba, le Mexique) il a été décidé de poursuivre ces voyages plus lointains et d’ouvrir ceux-ci aux futurs pensionnés afin de faire connaître l’Association en espérant ainsi les inciter à la rejoindre. Il va de soi qu’une priorité pour ces voyages sera réservée à nos membres.

Quant aux excursions, elles ont rencontré un vif succès notamment celles à Binche avec la visite du musée du carnaval et du masque et celle à Tongres avec la visite de l’exposition Sagalassos « city of dreams »

Comme vous le lirez ci-après, le nombre de personnes admises à la retraite s’est fortement réduit au cours des dernières années (60 en 2009, 2 en 2010 et 3 en 2011) ; cette évolution se répercute inévitablement sur le nombre de membres de l’Association. Il est toutefois heureux de constater que le nombre de pensionnés de la Banque âgés de plus de 90 ans augmente régulièrement ces dernières années (17 au 15-04-2010 ,24 au 01-05- 2011 et 41 au 07-06-2012). Il est un fait que les pensionnés âgés éprouvent parfois des difficultés à assimiler tous les changements intervenus à la Banque notamment en ce qui concerne le remboursement de leurs frais de santé. Le Comité est conscient de leurs problèmes et reste à leur écoute pour les aider à les solutionner.

Nous vous souhaitons un été agréable, plus ensoleillé que ce printemps maussade, une bonne lecture de votre Info et vous invitons vivement à nous faire part de vos commentaires.

Le comité

LES PENSIONNÉS BNB

Quelques données chiffrées :

Au cours de l’année 2011, 3 membres du personnel ont terminé leur carrière : MM S.Bertholomé, C.Glavie et T.Beeckmans

Au 07/06/2012 la BNB comptait 1527 pensionnés : 564 femmes et 963 hommes.

Ceux-ci se répartissaient comme suit :

Age Hommes Femmes TOTAL

58-60 20 16 36

61-70 321 217 538

71-80 319 190 509

81-90 272 131 403

+90 31 10 41

TOTAL 963 564 1527

Un membre de l’Association à l’honneur :

Pieter Cnops

Dans cette édition, nous souhaitons mettre à l’honneur Pieter Cnops pour son engagement sans faille au service de la culture tout au long de sa carrière à la Banque et par delà au sein de sa commune Evere où il s’est vu récemment décerner le titre de « citoyen le plus méritant d’Evere pour l’année 2011.

Pieter Cnops est né à Evere le 30/09/1928, il y a épousé Joanna Van Obberghen et a eu 3 enfants et 6 petits-enfants.

Il est entré à la BNB le 03/10/1949 comme commis d’exécution à la Caisse Centrale, section Compte Courant. Il devait ensuite rejoindre la division « Collection et bibliothèque littéraire » ce

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qui correspondait mieux à ses aspirations et lui permit de faire de sa passion son métier. Il y fut promu chef de section principale en 1981. Il y organisa plusieurs expositions en rapport avec la numismatique et l’histoire de Bruxelles, rédigea de nombreux articles pour la revue du personnel et participa en 1982 à

la création du musée de la Banque1.

Chercheur passionné sur le plan de la généalogie, l’historique des noms de famille, les noms de rue et toutes les matières qui incombent au patrimoine d’Evere, il fonda en 1994 le musée

communal2 d’Evere dont il est toujours le conservateur. Il fut également secrétaire-trésorier de l’association Royale Historique du Brabant Flamand et de Bruxelles dont il est toujours membre du comité de

gestion et de rédaction3. Dans ce cadre, il publia plus de 120 articles dans la revue « Eigen Schoon en De Brabander ». En 2010, il s’est vu décerné par la province du Brabant Flamand la médaille d’or du mérite en reconnaissance pour les services rendus pendant plus de 50 ans en tant que secrétaire–trésorier de l’association Royale Historique du Brabant Flamand et de Bruxelles.

Notre ancien collègue est un homme discret, direct, jouissant d’un solide sens de l’humour et ayant le souci constant de maintenir le passé vivant pour le transmettre aux générations actuelles et futures.

La qualité de ses travaux et publications ont été très rapidement et largement appréciés et lui ont valu différentes reconnaissances officielles. C’est ainsi qu’en 1948 il obtint le prix du fonds Karel Barbier de l’Académie de langue et de

1 Pour plus d’informations sur le musée de la banque Nationale de Belgique voir le site : http:// www.museumnbb.be L’ARRBNB organise en juillet une visite du musée couplée à la visite de la Bibliothèque scientifique 2 Coordonnées du musée : 11-13 rue Stuckens à Evere tél : 02/245 44 88 Ouvert le dernier dimanche du mois de 10 à 12h et le jeudi de 14 à 17 h. Fermé les jours fériés et en juillet. 3 Pour plus d’informations, voir le site http:// www.esdb.be

littérature néerlandaise au terme d’un concours de rédaction organisé pour tous les élèves de la dernière année de l’enseignement moyen libre et officiel

flamand.4 Par la suite en 1968, il se vit de nouveau décerner par cette même académie le prix Van Ginderachter pour ses publications dans la revue « Eigen Schoon en De Brabander ». Il obtint également la médaille de la commune d’Evere pour son travail sur l’histoire d’Evere et fut nommé citoyen d’honneur de sa commune. Fin 2011, il a été élu à l’unanimité « citoyen le plus méritant d’Evere pour l’année 2011 ».

C’est un réel plaisir de le voir continuer à s’épanouir et à se dépenser sans compter pour sa passion. Nous lui souhaitons de poursuivre dans cette voie pendant de longues années.

En 2011, la BNB a déploré le décès des personnes suivantes :

Retraités

HEYMANS Félix 11/01/11 EGLEM Robert 15/01/11 Epx Elise VERVAERT FIERS Wilfried 15/01/11 Epx Clarisse BOLLAERT BRULE Joseph 24/01/11 Epx Liliane VERBIEST HAYETTE Roger 27/01/11 Epx Anne-Marie VANELSUWE DEMAN Jean-Baptiste 02/02/11 Epx Irena WIJNS WILBERTS Hélène 06/02/11 HAMELRYCK Lucien 06/02/11 Epx Gilberte WETS DE MOT Marcel 07/02/11 Epx Laure VAN EYKEN BAEYENS Nadine 10/02/11 Epse Jean VAN BRAEKEL DE BRUYN Petrus 18/02/11 Epx Lucienne POULIN BIESEMAN Raymond 20/02/11 HERSCHEL Joseph 20/02/11 Epx Liliane PONCELET

4 Voir l’article de S.De Wiespelaere publié dans la

revue du personnel de la BNB en mai 1954

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ARIJS Gustaaf 22/02/11 Epx Maria CLAES VERBEKEN Germaine 04/03/11 VAN LAETHEM Nicole 13/03/11 MARCHAL Anne-Marie 13/03/11 SCHLOSS Claude 26/03/11 LAUWERS Edmond 01/04/11 Epx Maria VAN DEN HOUTE BILTERYEST Gaston 08/04/11 TORBEYNS Maria 20/04/11 DOUCHAMPS Charles 21/04/11 Epx Augusta BOECKMANS JUNIUS Frans 22/04/11 Epx Paula VAN HAUTE DEGEE Marie 23/04/11 WECKHUYSEN Georges 24/04/11 Epx Maria VERNELEN EVRARD Fernand 30/04/11 Epx Emilienne VAN GILS KERREMANS Pieter 09/05/11 Epx Albertina VERBRUGGEN BRUNEL Hermanda 24/05/11 DRABBE Jacques 02/06/11 Epx Sylvie D’HAESELEER DEMEYERE Claude 06/06/11 LAMMENS Eli 09/06/11 Epx Jacqueline ELAUT GUNS Jan 17/06/11 Epx Maria VAN DER HAUWERA DE CROES Frans 28/06/11 VANLEEUW Willy 16/07/11 HERREZEEL Benjamin 03/08/11 Epx Erna VAN DESSEL DEVOS Nicolas 18/08/11 Epx Emilie SMEESTERS VAN GINDERACHTER Maurice 23/08/11 Epx Jeanne BOGAERT VAN DEN STEEN Gilbert 27/08/11 Epx Simona VAN DE VELDE NEVENS Germaine 23/09/11 PODEVIN Agnès 03/09/11 Epse Polydoor MAGERMAN VANKEIJENBERGH Marcel 07/10/11 Epx Simone DE CORTE VAN HAELEN Guillaume 13/11/11 Epx Mathilda CRAPS VANDERHAEGEN Julien 02/12/11 Epx Micheline CARDON CHARLES Eugène 02/12/11 Epx Odette MASSON DE SMEDT Jan Baptist 12/12/11 DEKLERK Léontine 21/12/11 CORDI Albert 22/12/11 MERTENS Huguette 23/12/11 Epse Jean MOERENHOUT

DELRUE Georges 23/12/11 Epx Marie-Irène DEPRAETERE CACHARTD pierre 25/12/11 Epx Monique VANDERBRECHT CADIAT René 31/12/1

Conjoint(e)s de retraités

ZAGO Joséphine 27/01/11 Epse Marcel VERLAET BUGGENHOUT Robert 31/01/11 Epx Elisa DEWULF BOLLICH Albino 17/03/11 Epx Danielle HOEVENAGEL DEMUIJLDER Albertine 27/03/11 Epse Frans MEERT WALTHIER Hélène 13/05/11 Epse Léon LAURENT VAN DE PLAS Paula 28/05/11 Epse Herman CREVECOEUR COLLIN Bernadette 27/08/11 Epse René CLOQUET DELVAX Alice 07/09/11 Epse Frans DEMEULENAERE BEELE René 26/09/11 Epx Julienne PIRLET

Veufs-Veuves de retraités

TREFOIS Marie-Josée 01/01/11 Vve Paul BLASE DE PAUW Marie-Josée 02/01/11 Vve Hubert VOS LEFEBVRE Huguette 16/01/11 Veuf Félix LAHAYE CALUWE Odilia 27/01/11 Vve Florent VAN DEN BOSSCHE BERTHELS Simone 02/02/11 Vve Fernand COCQUYT BAUWELINCKX Josée 04/02/11 Vve Marcel SPEEHKART CHARLIER Suzanne 14/02/11 Vve Jules ANDRÉ MOREELS Joseph 16/02/11 Veuf Ghislaine CARREZ POTIER Raymonde 14/03/11 Vve Albert LETELLIER STRUELENS Joanna 16/04/11 Vve Fernand COLIGNOn DAMOISEAUX Yvonne 09/05/11 Vve Christian DE SMEDT GEERTS Marie 10/05/11 Vve Jean-Pierre LACOMTE UDSCHENKO Galina 06/06/11 Vve Gilbert DOMINE

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VERMEEREN Andrea 21/05/11 Vve Albert COPPENS VAN KERPEL Marie 23/05/11 Vve Arthur BLOCK VAN GESTEL Joséphine 23/06/11 Vve Joseph OPDEBEECK PENNEMAN Céline 06/07/11 Vve Honoré GROSCOL BLOMME Marie-Louise 13/07/11 Vve Roger VAN CRAEYNEST WALGRAEVE Jenny 23/07/11 Vve Roger CLAUS VERNELEN Maria 07/08/11 Vve Georges WERKHUYZEN STOLLER Henriette 07/09/11 Vve Charles DE VOS VANLEEUW Cécile 21/09/11 Vve Joseph COCKAERTS WUYTS Mathilda 25/09/11 Vve Isidore DE NIL LECLERCQ Isabelle 28/09/11 Vve Léon LEMOINE D’HAESELEER Sylvie 20/10/11 Vve Jacques DRABBE PLUMET Rosalie 04/11/11 Vve Charles FLORIBERT HAEDENDONCKX Ludovica 25/12/11 Vve Franciscus GIELE

Membres du Personnel

WELIS Paul 16/03/11

Conjoints de membres du Personnel

VANDERMEULEN Luc 20/02/11 Epx Martine NOLMANS DE BAERDEMAEKER Bert 03/03/11 Epx Heidi VAN NUFFEL STURBOIS Bernard 22/09/11 Epx Monique GOLAIRE

Dans un souci d’information, nous reprenons ci-après la liste des personnes décédées en 2012 ; ces informations sont extraites du site afternbb.be. Elles ne sont pas exhaustives ; nous continuerons par la suite à publier dans le premier Info de chaque année le relevé complet des décès.

MASI Firmin 23/01/12 COLLIN Monique 28/01/12 Vve Pierre ANDRÉ

Denise L’HOEST 05/02/12 Vve Raymond SIMONIS Jacqueline BONTE 06/02/12 Vve Kamiele DEWAELE Edouard DEWAEL 06/02/12 Annick DE CLERCQ 13/02/12 Epse Danny HOLDERBEKE Nicole LESSENT 18/02/12 Epse Robert VAN STYVENDAEL Nelly MAERTENS 20/02/12 Epse Julien HERMAN Willy VAN WESEMAEL 27/02/12 Gilbert GUILMOT 08/02/12 Léontine DEVOGELAER 26/02/12 Epse Willy TASTENOYE Amelia ZAKERIESEN 27/02/12 Thérèse VOCHTEN 04/03/12 Vve Louis JACOBS Marcel MAISSIN 07/03/12 Epx Odette TILlIOT Jean VAN CAUWENBERGHE 16/03/12 Epx Fernande VAN KIEL Liliane BADIN 03/03/12 Epse Marcel VANDERSEYPEN Bertha LONGIN 09/03/12 Jeanine HERNALSTEEN 14/04/12 Christian BILSEN 14/04/12 Epx Marie-Chantal DEGUELDRE Marie-Thérèse VAN THILLO 17/04/12 Maurice VAN LANCKER Raphaël DUPONT 20/04/12 Willem MAES 21/04/12 Epx Anna BUELENS Martha VAN WICHELEN 25/04/12 Vve Victor GENS Marie FRANSISSI 27/04/12 Vve Guillelmus VANVOLSUM Guido VANKOETSEM 04/05/12 Epx Diane KLOECK Ernst ROSENHAIN 13/05/12 Epx Lili Stegaroiu Veerle DE SAEDELEER 13/05/12 Marie-Josée VAN DEN BERGH 14/05/12 Marie-Josée LEONARD 23/05/12 Vve Henri BARBE Geneviève NICAISE 24/05/12 Epse Jacques ROELANDTS Michel BYLOOS 27/05/12 Marguerite DRAPS 01/06/12 Vve Jean STRAGIERS François LIEVENS 02/06/12 Epx Jeanine VAN LANCKER Germaine VANDENDRIESSCHE 03/06/12 Georgette ALLARD 04/06/12 Epse Edmond BLIECK

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André GODFRIAUX 06/06/12 Epx Ludgarde CAMBIER

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE

Le jeudi 29 mars 2012, l’assemblée générale de l’Association Royale des pensionnés de la Banque Nationale de Belgique s’est tenue au Club. Comme chaque année, celle-ci a été précédée par un service religieux à la mémoire des anciens combattants et amis décédés.

Après la messe, le rendez-vous était fixé au Club pour y déguster un excellent repas. Une fois celui-ci terminé avec un peu de retard (l’apéritif et le lunch ayant été plus longs que prévu…), l’assemblée a démarré.

Après un mot de bienvenue de la Présidente, au cours duquel elle a mis l’accent sur le peu de nouveaux membres de l’association en raison notamment du recul de l’âge de la pension à la Banque, le rapport de l’assemblée générale du 17 mars 2011 a été approuvé. Il fut ensuite donné un rapide relevé des différentes activités de l’année écoulée ; la plupart de celles-ci avaient fait l’objet d’un article sur le site Web et dans les deux numéros de l’Info 2011.

Vint ensuite l’examen de la situation financière. De celui-ci, il ressort que les finances de l’association sont gérées en bon père de famille si bien que le compte de gestion se clôture de nouveau avec un solde positif. Au nom du Collège des Vérificateurs, Roger François a présenté son rapport et signalé que des améliorations avaient été apportées à la méthode de vérification des comptes ; les vérificateurs se livrant tout au cours de l’année à l’examen des activités dès que celles-ci sont terminées. Au terme de cette présentation, les comptes de 2011 ont été approuvés et décharge a été donnée aux administrateurs.

Il fut ensuite procédé au renouvellement des mandats ; Roger François étant sortant et non rééligible a été remplacé par Christiane Van Rossen et Jos Goossens, le trésorier, dont le mandat venait à échéance a vu son mandat renouvelé pour 3 ans.

Il a ensuite été fait part des activités déjà prévues pour 2012 ; parmi celles-ci une visite à Tongres pour y découvrir la superbe exposition « Sagalassos, city of dreams », un séjour en septembre aux Jardins d’Anjou, le concert Strauss au Bozar…

L’assemblée s’est terminée par un échange de vues sur l’avenir de l’Association au terme duquel tous les participants se sont rendus au bar pour partager le verre de l’amitié.

Informations sociales

Assurance soins de santé

Rappel de quelques points importants des procédures en matière de remboursement des frais de santé

Paula Buekenhoudt

Au cours des différents contacts avec nos membres, nous avons constaté que parmi nos aînés, certains ne bénéficient pas des avantages que l’assurance Vanbreda leur offre par ignorance des procédures. Nous vous rappelons donc :

Pour les soins ambulatoires (voir liste ci-jointe)

a) Si vous êtes affilié à la mutuelle Euromut et que vous envoyez vos attestations des soins, attestations du pharmacien(BVAC), vos quittances au siège central BNB/ agence Euromut, il faut chaque fois y ajouter le document Vanbreda « Frais ambulatoires » dûment rempli.

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b) Si vous êtes affilié à une autre mutualité ou si vous allez, à proximité de chez vous dans une agence d’Euromut, il faut leur demander un décompte de leur remboursement sur lequel figure e.a le montant que vous avez réellement payé . Vous envoyez ensuite ce décompte, vos attestations du pharmacien (BVAC), vos quittances et factures chez Vanbreda accompagné du formulaire « Frais ambulatoires » dûment rempli.

En cas d’hospitatalisation :

1) Si elle est prévue : il faut avertir préalablement Vanbreda (tel. 03/217 55 22)

2) En cas d’urgence non prévue : il faut présenter la carte MEDI-LINK à la réception de la clinique et avertir Vanbreda en envoyant le document « Déclaration de sinistre »

Si vous avez d’autres questions, vous pouvez demander des renseignements supplémentaires:

1) Chez Vanbreda : tél. 03 217 55 22

2) A la BNB : au service administration salariale et sociale Patrick Boulangier 02/221 21 74 Danny Clément 02/221 25 41 Patrick Van Gysegem 02/221 28 44

Notre employeur a souscrit une assurance pour tous les membres de son personnel qui leur donne une meilleure couverture des frais médicaux. Ce serait dommage que parmi nos retraités pour qui ces frais représentent parfois une charge très lourde, cette intervention soit omise.

Il y a des interventions dans le cadre des frais ambulatoires e.a.:

- Pour les consultations de généralistes

- Les médicaments prescrits par un médecin

- Les consultations de spécialistes

- Les soins dentaires ordinaires

- Les lunettes et les lentilles (délai 5 ans minimum sauf changement de dioptrie) prescrites par un médecin

- Les appareils auditifs prescrits par un médecin

- Kinésithérapie, physiothérapie, logopédie avec prescription médicale

- Soins à domicile

- Location de fauteuils roulants et béquilles

- Pansements, compresses, bas à varice, matériel de stomie et d’incontinence sur prescription médicale)

Santé

A propos des anxiolytiques

Par Paula Buekenhoudt

En 2011, les belges ont consommé 13,5 millions de boîtes de somnifères et de calmants.

La vie n’est pas un long fleuve tranquille …

Chacun d’entre nous a connu des périodes plus difficiles (deuil, maladie, soucis familiaux, stress professionnel, etc ...) Avant le recours aux médicaments, il existe d’autres alternatives souvent méprisées. Trouver une oreille attentive qui vous permet de partager vos émotions ou inquiétudes et parfois voir votre problème avec une objectivité que vous avez momentanément perdue. Mettre des mots sur un malaise permet d’envisager les difficultés différemment.

Il suffit parfois d’améliorer son bien-être physique et mental (sport, relaxation, fitness, etc ) et éventuellement consacrer un temps précis à son propre bien-être .

Un exemple concret est celui de la mère de famille qui entre les tâches professionnelles et ménagères ne voit plus

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le bout du tunnel « boulot-métro-dodo ». En s’accordant deux heures par semaine, rien que pour elle, elle sera à la disposition de chacun les autres jours de la semaine, sans « craquer » et tous les membres de la famille seront gagnants dans cette démarche. L’étape difficile est de mettre des mots sur les difficultés rencontrées sans dramatiser, et surtout sans culpabiliser car nous vivons dans une société performante où il est souvent malaisé d’avouer un problème.

Lorsque tout ceci s’avère insuffisant, il faut évidemment avoir recours à votre médecin et ne pas hésiter à lui expliquer votre mal-être sans fausse pudeur. Il vous aidera d’autant mieux en vous prescrivant la médication la plus adéquate à votre état. Cette aide médicamenteuse momentanée ne doit pas vous causer de soucis. Ceux-ci surviennent uniquement quand le cercle vicieux s’installe et que la dépendance apparaît. Le patient s’imagine alors ne plus pouvoir vivre sans sa médication, il a besoin d’avoir des réserves et la recherche du produit devient une préoccupation essentielle.

Comment arrêter un traitement par des substances qui peuvent entraîner une assuétude ?

Ne jamais prendre la décision de stopper du jour au lendemain sans le concours de votre médecin. C’est lui qui est le plus apte à vous aider dans cette démarche en réduisant progressivement les doses et en discutant avec vous des difficultés rencontrées au cours de ce sevrage. Ceci ne se fera pas sans mal, avec des hauts et des bas mais, à la fin de cette bataille vous en sortirez plus riche car si ces molécules médicamenteuses vous ont permis de surmonter la crise en vous apportant plus de sérénité, elles atténuent aussi, en diminuant dynamisme et perception, toutes les petites joies de la vie qui seront à nouveau présentes dans tout leur éclat.

Nos pieds sont précieux

Par Paula Buekenhoudt

Cors, verrues, mycoses, ongles incarnés sont toutes les misères qui peuvent devenir bien ennuyeuses car ce sont vos pieds qui vous garantissent une mobilité aisée.

Si les petits soins indispensables deviennent difficiles, il ne faut certes pas hésiter à recourir à une pédicure. L’assurance complémentaire d’ Euromut intervient uniquement si la pédicure est diplômée. Avant 65 ans, il faut un certificat de votre médecin indiquant les raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas vous occuper vous-même de ces soins. Ce certificat devient inutile après 65 ans. La mutualité intervient à concurrence de 30 € par an avec un maximum de 6 séances par an, soit une fois tous les 2 mois en moyenne.

En cas de diabète, le recours à une pédicure devient indispensable afin d’éviter toute complication.

Si vous avez des difficultés à réaliser ces soins vous-même, n’hésitez donc pas à avoir recours aux professionnels.

Des chaussures faciles et des pieds en bon état sont des garanties pour que vos déplacements soient agréables.

Préparer son grand départ (2ème partie)

Par Paul Tellier

En 2011 l’INFO avait évoqué les aspects matériels et financiers liés au décès ainsi que les droits des patients tels qu’ils découlent de la loi du 22 août 2002.

Nous croyons utile d’aborder maintenant divers autres aspects de la fin de vie, même si tous conviendront qu’il y a bien d’autres sujets plus agréables à envisager et qu’on répugne instinctivement à se préoccuper de questions qui se posent en cette matière.

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Nous souhaitons tous nous éteindre paisiblement, à la maison, sans souffrances, entourés de ceux que nous aimons au terme d’une vie longue et heureuse. Mais hélas la maladie décide souvent autrement pour nous : un décès sur deux a lieu dans un environnement médicalisé et parfois la personne concernée est devenue incapable d’exprimer ses choix de fin de vie par suite de coma, démence, ou paralysie.

Pourquoi dès lors que nous sommes encore lucides et avons une volonté claire sur ce que nous voulons ne pas faire le point, nous informer et même en parler en toute franchise à nos proches ?

Nous nous bornerons dans cet article à évoquer quelques aspects et pour le surplus à donner les adresses où les personnes qui le souhaitent pourront obtenir toutes les informations détaillées voulues :

1. le séjour en milieu hospitalier : les soins palliatifs aux patients incurables sont régis par la loi du 16 mai 2002 tandis que le malade a le droit de refuser l’acharnement thérapeutique c'est-à-dire faire arrêter un traitement long, inutile, pénible et sans espoir

2. la fin de vie elle-même peut découler d’une euthanasie souhaitée dans le strict respect du cadre et des procédures prévues par les lois du 28 mai 2002 et du 10 novembre 2005

3. la personne peut exprimer ses volontés pour le choix de ses funérailles : enterrement, crémation, destination des cendres, rites religieux des divers cultes.

Certaines volontés s’expriment par une déclaration écrite enregistrée au service de l’état civil de la commune du domicile (volonté d’euthanasie, modalités des funérailles) et prévoient le cas échéant la signature de témoins ; il importe donc de s’y prendre suffisamment à temps.

Le moment est venu d’arrêter ici le parcours de ces sujets tristes et délicats en renvoyant les personnes intéressées à

deux sources d’information (parmi d’autres) :

- en français : ADMD, association pour le droit de mourir dans la dignité, 55 rue du Président à 1000 Bruxelles, site web : www.admd.be

- en néerlandais :LEIF, levenseinde informatie forum, Vander Vekenstraat 158 à 1780 Wemmel, site web : www.leif.be

Loisirs

Activités passées

En Belgique (activités annuelles,

expositions et/ou excursion d’un jour)

Fêtes de Nouvel An

Fidèle à la tradition, l’Association a convié ses membres pour fêter l’année nouvelle. C’est ainsi que 300 membres se sont retrouvés pour échanger leurs vœux les plus chers pour 2012 et déguster ensemble un délicieux repas de fête ; 181 d’entre eux avaient opté pour le lunch sans musique du 12 janvier, 119 avaient préféré se retrouver avec un petit air de musique ce qui leur a permis d’esquisser quelques pas de danse. Tous nos remerciements à Monsieur Chaboteau et son équipe pour le soin apporté à régaler les participants.

Visite à l’expo « Indios no Brasil » du 14 février 2012

Par Michel Faucq

Le commun des mortels associe les Indiens sud-américains à la forêt amazonienne, aux déplacements en pirogue, aux sauvages en tenue d’Adam. Heureusement, cette exposition mise sur pied dans le cadre d’Europalia Brésil

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dépasse largement ces clichés. C’est en fait une étude ethnographique sobre, dépouillée de tout sensationnalisme.

La présence de peuplades indiennes en Amérique Latine remonte à 10.000 à15.000 ans tout au plus. La symbiose entre homme et nature sert de toile de fond à l’exposition. Les indigènes cultivent des petits lopins de terre, effectuent de faibles prélèvements sur leur milieu de vie. Leur respect pour tout être vivant est total mais l’idée du bon sauvage paisible est battue en brèche car ils s’entretuent épisodiquement et on ne s’explique pas pourquoi.

Le terme « indien » recouvre une complexité invraisemblable : des ethnies bien distinctes, une multiplicité de langues, de croyances, de mythes, de comportements…. Leur univers est peuplé d’esprits bénéfiques et maléfiques qu’il faut honorer comme il se doit. Le passage vers l’au-delà est strictement ritualisé.

Leur vie sociale est bien rendue. Les hommes pratiquent la chasse, les femmes cultivent la terre, les enfants apprennent tout sur le tas. Les rites de passage au moment de la puberté ponctuent de longues périodes de vie tranquille.

Des armes, des outils, des parures en plume multicolores, des colliers, des objets tissés, sculptés, une abondance de témoignages subtils de ce qu’est une civilisation dite « primitive », voilà ce qu’apporte « Indios no Brasil ».

Le hamac mérite une mention spéciale. La future épouse est tenue de l’offrir à son futur époux au moment du mariage. Chaque membre de la famille en possède un et les jeunes enfants s’y blottissent dans les bras de leurs parents. C’est l’objet emblématique d’une civilisation qui a élevé le farniente au rang de philosophie de vie.

Le contact rude, problématique et tragique avec les colonisateurs (pas uniquement les premiers mais aussi les colonisateurs actuels) n’a pas été éludé. D’une population évaluée à quelques trois millions d’individus, il reste à peine

800.000 indiens, répartis sur les 12% du territoire brésilien que l’Etat a consenti à leur réserver. Les tueries, les déportations et surtout les maladies contagieuses contre lesquelles ils n’étaient pas immunisés ont décimé ces tribus primitives dont un nombre considérable a été complètement éradiqué.

Cette exposition suscite inévitablement des questionnements. A qui appartient la forêt amazonienne, ce formidable réservoir de biodiversité ? Qu’en est-il du mythe du bon sauvage ? Comment préserver et respecter les cultures primitives qui sont par définition fragiles ? L’organisation de cette visite, qui nous a donné l’occasion de nous pencher sur ces problématiques, était une bonne initiative.

Visite à Binche du 28 février

Ville cernée de remparts et haut lieu du carnaval

Par Michel Faucq

Alors que les confettis du carnaval tapissent encore les rues, nous voilà à Binche, ville d’art, d’histoire et de folklore dont le beffroi fut inscrit en 1999 au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le nom de Binche –« Bincium »- est dérivé du celtique « binch » signifiant méandre.

En effet, la Samme, un affluent de la Senne serpente dans le bas de la ville. Citée pour la première fois en 1124, Binche a connu un passé glorieux notamment au temps de Marie de Hongrie et de son frère Charles Quint.

Après le petit café traditionnel, nous nous rendons d’abord au Musée international du carnaval et du masque.

Pour les tribus indiennes du bassin de l’Amazonie, le masque est partie intégrante des rituels ancestraux soit pour remercier la nature, mère nourricière, ou encore pour présider aux étapes constituantes de la vie.

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Nous quittons l’Amazonie et plongeons dans la folle ambiance du carnaval de Rio. Deux précisions d’abord : le carnaval était avant tout une fête païenne qui saluait le réveil du sol au printemps ; les plumes d’autruche et les oranges n’ont fait leur apparition que dans le courant de la deuxième moitié du 19ème siècle.

A Rio comme partout au Brésil, le carnaval de rue commence plusieurs semaines avant les jours gras. Dans un pays de tradition catholique stricte, c’est une soupape de sécurité qui saute. Pendant 3 jours, le travestissement est de rigueur. Une liberté débridée mène à des excès en tout genre, y compris la violence et le meurtre.

La confection des costumes et ornements de pacotille est source d’emploi non négligeable pour le sous-prolétariat des bidonvilles brésiliens.

L’intermède de midi - incontournable car les pensionnés ont bon appétit -se déroule dans une ancienne brasserie binchoise, joliment décorée avec des enseignes de bières locales et régionales. L’apéritif à base de bière de Binche est surprenant. Les mets sont savoureux.

La visite pédestre de l’après-midi est consacrée à ce qui fait la gloire de la ville, à savoir ses deux kilomètres de remparts, presque intacts, restaurés avec les subsides européens alloués dans le cadre de l’objectif 1 pour le Hainaut.

La première enceinte du 12ème siècle entourait un escarpement rocheux. Fait exceptionnel, dès le départ, un château fut érigé. Le rempart fut étendu et renforcé au 14ème siècle. Au 16ème siècle, à la demande de Marie de Hongrie, le château fut surélevé et habillé de structures médiévales. Charles Quint et son fils Philippe II furent reçus en grande pompe à Binche. Chemin faisant, Charles Quint s’arrêta à Beaumont où il fut agressé par trois gredins qu’il fit aussitôt pendre haut et court. De là cette expression : « Ville de Beaumont, ville de malheur. Arrivé à midi, pendu à treize heures ». En 1554, des troupes du Roi de France incendièrent le château qui fut finalement démoli en 1704.

Un petit crochet par le café « Les inséparables » clôture cette journée en terre hennuyère. Un morceau de tarte et une boisson chaude nous font oublier la température peu clémente. Selon les échos recueillis, les guides locaux étaient excellents. Claudette et Jacqueline étaient rayonnantes. Pari gagné : la visite fut intéressante de bout en bout.

Merci chères amies.

Excursion à Tongres

Par Marie France Baeken

Mardi 5 juin, nous sommes une cinquantaine de personnes à nous retrouver au Club pour partir à la découverte de la plus ancienne ville de Belgique. Après deux jours de pluie battante, le ciel s'est éclairci, laissant apparaître un beau soleil qui nous accompagnera toute la journée, pour notre plus grande joie. Vers 8 h 45, l'autocar démarre et après un parcours sans encombre d'environ 1 heure 30, nous voilà arrivés à destination. Quelques personnes ayant choisi de se rendre sur place par leurs propres moyens nous rejoignent. Ensemble, nous prenons un café, agrémenté d'une friandise, dans un établissement proche de la Grand-Place (Grote Markt). Ainsi, réveillés une deuxième fois, comme dit Claudette, nous sommes prêts pour la visite, sous la conduite de guides locaux.

A tout seigneur tout honneur: Ambiorix, dont la statue se dresse fièrement sur la Grand-Place, attire aussitôt nos regards. Face à lui, la basilique Notre-Dame, à la façade élégante et originale, lui dispute la vedette. Déjà conquis par la vue de ces monuments emblématiques de la ville, nous suivons notre guide et découvrons d'autres joyaux, entre autres le trésor de la basilique qui présente une riche collection d'ostensoirs, de châsses et autres objets précieux. Nous réservons toutefois la visite de la basilique proprement dite pour l'après-midi et poursuivons notre promenade dans le centre historique de Tongres. Nous arrivons ainsi dans le

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béguinage, où nous contemplons les jolies maisonnettes qui ont abrité jusqu'à 300 béguines. Il est à présent déjà temps de passer à table et en flânant le long des remparts et du Geer, nous nous dirigeons vers le restaurant où un copieux déjeuner nous est servi. Une fois rassasiés, nous visitons la basilique. Un Christ en croix du XIe siècle, situé dans le porche entre le choeur et le cloître, nous impressionne par la modernité de ses traits, tandis que le cloître roman, le seul authentique de Belgique, nous procure une sensation de paix et de quiétude. Nous quittons le remarquable ensemble architectural que forment la basilique et son cloître car il nous reste encore à faire une plongée dans l'Antiquité en visitant l'exposition temporaire "Sagalassos, City of Dreams", organisée au Musée gallo-romain. Sagalassos était une cité romaine antique perchée dans la chaîne montagneuse turque du Taurus, non loin d'Antalya. Pas moins de 238 pièces ont quitté pour la première fois la Turquie pour être présentées dans cette exposition, entre autres de magnifiques sculptures d'empereurs et de divinités. Une très belle tête de l'empereur Hadrien, élément d'une statue d'une hauteur de 5 m, est à cet égard tout à fait impressionnante.

Après la dégustation d'un dernier café et d'un morceau de tarte, nous quittons à regret la coquette cité de Tongres, qui ne fait vraiment pas son âge.

Voyages

Souvenir du voyage au Mexique à la découverte des civilisations précolombiennes

Par Elisabeth De Groote5

Le 5 mars, de tous les coins de la

Belgique (e.a. de Froidchapelle, Waha,

Wevelgem, Wetteren…) les 37 participants au voyage au Mexique ont bravé le froid pour rejoindre l’aéroport de Zaventem où ils étaient attendus pour 8h par Jos et Linda pour le grand voyage vers Mexico via Londres. Leur ponctualité ne fut pas récompensée…, quelques flocons tombant sur l’aéroport bruxellois, le décollage fut postposé de 10 à 11h suite aux opérations de dégivrage de l’avion… Heureusement, ce retard n’eut guère de conséquence, le temps d’attente prévu à Londres fut judicieusement mis à profit pour rejoindre sans tarder le vol pour Mexico où nous avons atterri peu après 18 h, heure locale, soit 1 h du matin heure belge…Notre guide local Miguel nous attendait frais et dispos ce qui n’était pas notre cas, la plupart d’entre nous étant en route depuis près de 24 h. N’empêche, nous avons vaillamment récupéré nos bagages sauf 2 qui s’étaient égarés (nos amis les verront réapparaître avec soulagement 2 jours plus tard) et affronté le trafic de la mégalopole mexicaine pour rejoindre l’hôtel où nous allions loger 4 nuits ; ce premier soir, point question de goûter les cocktails locaux, notre seul souhait était de rejoindre notre chambre pour profiter d’un repos bienvenu ….

Le mardi matin, nous nous sommes mis sans tarder à la découverte du Mexique.

5 Grand merci à Linda qui a eu la gentillesse de relire, de compléter et de traduire mon texte et à Denise de l’agrémenter de belles photos.

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Que vous dire de ce pays plein de contrastes mais si fascinant ? Notre guide s’est chargé de nous instruire avec brio et passion de tous les aspects de son pays, son histoire passée et récente où la révolution n’est jamais très loin, de la richesse de ses civilisations disparues, de son organisation politique et sociale avec ses forces et faiblesses… Malgré l’intérêt de ses nombreuses explications, il n’est pas possible de tout vous dévoiler en quelques pages non pas que le contenu soit sujet à censure mais plutôt trop dense. Dans cet article, je me limiterai donc volontairement à vous relater mes souvenirs de voyage. Je vous invite à partager vos souvenirs en postant vos commentaires sur le site ou en me les envoyant par la Poste.

Situons d’abord brièvement notre groupe et le circuit.

Comme dit ci-avant, le groupe était composé de 37 personnes dont Jos et Linda, les accompagnateurs de l’ARRBNB qui mirent tout en œuvre pour que ce voyage soit un succès; Jos déliant régulièrement les cordons de la bourse pour nous abreuver non pas d’alcools comme dans certains pays que je ne citerai pas mais de softs (souvenons-nous des terribles limonades…), de bières locales blondes, ambrées ou brunes (le Mexique étant un grand producteur de bières) voire même lors de certaines occasions de vin rouge. Ils étaient assistés par Miguel, le guide local à l’élocution parfaite en français et à la connaissance encyclopédique du pays et par Jaime, son collègue et acolyte chargé de nous convoyer en toute sécurité par monts et par vaux sur des routes étroites et sinueuses.

Comme le pays visité, le groupe était très diversifié : des jeunes, des moins jeunes, des actifs, des retraités issus de la BNB, de l’ancienne CBFA, des wallons, des bruxellois et des flamands, la plupart habitué des grands voyages (l’Australie, la Chine, le Vietnam, l’Ouest américain et j’en passe et des meilleurs) mais tous unis dans un même respect des personnes et

de la ponctualité, ce qui a grandement contribué au succès du voyage.

En ce qui concerne le circuit, il nous a permis de découvrir une partie du centre et l’est du Mexique. Notons que le Mexique est un énorme pays, sa superficie est supérieure à 60 fois celle de la Belgique ; quant à sa population, elle dépasse actuellement les 112 millions de personnes (dont dix millions d’Indiens divisés en 56 groupes) compte non tenu des Mexicains partis chercher des conditions de vie meilleures principalement aux Etats Unis, parfois au péril de leur vie… Contrairement aux clichés largement répandus chez nous, les Mexicains ne sont pas oisifs, se prélassant à l’ombre des cactus géants, aux sons de musiques endiablées en sirotant le Mezcal et la Tequila…Non, notre guide Miguel s’est bien chargé de nous détromper… Au Mexique, rien n’est donné et seul le travail permet d’assurer sa subsistance ; à peine plus de la moitié de la population profitant d’une couverture sociale laquelle n’étant toutefois pas aussi étendue que la nôtre. Dans ces conditions, il n’est pas rare de rencontrer des enfants et des personnes âgées se livrant à de petits boulots.

Notre circuit nous a conduit de Mexico City à Chichen-Itza, à la pointe est du Yucatan, soit un périple en bus de plus de 1500 km ; dans ce pays, les distances ne se calculent toutefois pas en km mais en temps en fonction de la topographie de la région traversée, de l’état des routes et du nombre des casse-vitesse, ces derniers étant dans certaines régions placés en contrevenant aux dispositions légales par les populations indigènes soucieuses de préserver leur mode de vie …Heureusement, notre chauffeur était un véritable pro : face aux dangers, il poursuivait sa route imperturbablement, sans jamais se départir de son calme ; l’énervement et la fatigue ne semblaient pas l’affecter… Merci Jaime de nous avoir conduits à bon port.

Notre circuit nous a permis de découvrir la plupart des sites culturels et naturels mexicains inscrits sur la liste du

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Patrimoine mondial de l’Unesco6. Les sites cités ci-après dans l’ordre chronologique de leur visite serviront de fil conducteur à mon récit.

Le centre historique de Mexico City

Mexico City compte plus de 23 millions d’habitants, c’est une des villes les plus grandes au monde ce qui engendre inévitablement des difficultés, notamment en matière de mobilité (nous serons parfois pris dans de terribles embouteillages pour rejoindre notre hôtel ce qui nous permettra d’admirer amplement certains monuments) et de sécurité.

Notre première matinée à Mexico City fut consacrée à la visite du musée national d’anthro-pologie dont la section d’art préco-lombien contient des collections extra-ordinaires. Ce fut pour nous une superbe introduction aux civilisations

préhispaniques ; nous entrions dans le monde magique de Theotihuacan, des Toltèques, des Aztèques, des Mayas …. tout un programme qu’il nous serait donné d’approfondir tout au cours du voyage. L’itinéraire de l’hôtel au musée, nous avait fait passé par la Paseo de la Reforma, majestueuse artère tracée sur les ordres de Maximilien d’Autriche - époux de Charlotte de Belgique, soeur de Léopold II – qui fut empereur du Mexique de 1864 à 1867, année de son exécution et du rétablissement de la république par Benito Juarès, grande figure de la politique mexicaine.

L’après-midi, nous avons découvert le centre historique où nous avons été

6 Pour plus de détail, nous vous renvoyons au programme du voyage publié sur le site www.afternbb.be le 03.11.2011. De plus, vous pouvez vous référer aux guides de voyage du Routard, au Michelin, à Lonely Planet. Une documentation non négligeable est accessible aisément et gratuitement sur Internet.

séduits par le Zocalo ou Plaza Mayor entourée de deux édifices baroques : la cathédrale et le Palais national où nous devions assister à une des premières leçons d’histoire de notre guide Miguel en découvrant les peintures murales de Diego Riviera, lesquelles retracent toute l’histoire mexicaine. Nous n’avons bien entendu pas manqué de nous arrêter au Templo Mayor qui fut le sanctuaire le plus important de la cité aztèque.

Le jour suivant, en nous rendant à Tula, cité toltèque où nous avons pu admirer les Atlantes - colonnes de 4m60 de hauteur représentant des guerriers -, nous avons fait un arrêt à la « Place des 3 cultures », endroit émouvant où cohabitent aujourd’hui les trois grandes périodes de l’histoire mexicaine dont témoignent les vestiges précolombiens, les anciens bâtiments religieux de l’époque des vice-rois et les édifices modernes d’un complexe résidentiel actuel. En 1968, cette place fut le théâtre d’une manifestation tragique contre l’organisation des jeux olympiques au Mexique, ceux-ci étant censés monopoliser des sommes colossales au détriment des besoins de base de la population. Cette manifestation fut durement réprimée par les forces de l’ordre ; le souvenir de cette répression reste très vivant sur la place où on trouve des représentations des victimes (photos, peintures sur les vitres des immeubles avoisinants). Nous nous sommes ensuite dirigés vers le sanctuaire de Notre Dame de Guadalupe, patronne des Amériques. La tradition veut que la vierge de Guadalupe soit apparue sur le sommet de la colline de Tepeyac, à 3 reprises, en 1531 au début de la colonisation espagnole. Chaque année, le 12 décembre, des milliers de fidèles se rassemblent sur le site pour honorer leur sainte patronne et se recueillir devant sa représentation conservée dans la nouvelle basilique. Pour faire face à l’affluence, le sens pragmatique des Mexicains a été mis à contribution et une solution ingénieuse a été trouvée : un tapis roulant permet la

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circulation constante des pèlerins devant

la représentation de la vierge en tilma7.

La zone de monuments historiques de Xochialco

On y mit à jour un des centres cérémoniels les plus intéressants du Mexique. Nous n’avons pas manqué d’y admirer le temple du serpent à plumes. Au retour de cette visite, nous avons fait un détour par Taxco, petite ville située à une centaine de km de Mexico City qui a su conserver son âme d’antan avec ses ruelles escarpées, ses petites places et ses églises et demeures d’antan. Nous y avons visité l’église Santa Prisca, véritable joyau de l’architecture baroque Mexicaine et un atelier d’orfèvrerie. A noter que de nos jours dans cette ville, près de 1500 artisans travaillent encore l’argent.

La cité précolombienne de Theotihuacan

De cette cité, nous garderons

le souvenir du temple du soleil et du temple de la lune,

importantes constructions pyramidales que la plupart d’entre nous ont escaladées courageusement ; l’accès au sommet de la pyramide du soleil d’où la vue sur le site était unique comportait pas moins de 245 marches, celui à la pyramide de la lune n’en comptait guère moins et les plus intrépides furent photographiés au sommet par un touriste Anversois…

La cité précolombienne d’El Tajin

Depuis Papantla dont nous ne garderons pas un souvenir inoubliable (ville de passage à l’infrastructure hôtelière assez pauvre et où des travaux ont forcé notre chauffeur à chercher péniblement une route alternative), le beau temps nous a quittés si bien que c’est sous un léger

7 Tilma : vêtement en fibre d’agave qui aurait été porté par Juan Diego à qui la Vierge serait apparue et sur lequel elle aurait reproduit son image pour attester de son apparition.

crachin que nous découvrons ce site (avec sa pyramide à niches) ce qui renforce l’atmosphère particulière de l’endroit. Nous y faisons connaissance pour la première fois de la forêt tropicale ; comme dans la plupart des sites visités, le site n’a pas été complètement dégagé et la nature s’est empressée d’envahir à nouveau l’endroit…. Les autorités mexicaines sont confrontées à des choix cornéliens entre archéologie et environnement ; comment assurer un juste équilibre entre ces 2 préoccupations majeures ?

A la sortie du site, Jos nous a offert un spectacle de danse des voltigeurs. C’est à regret que nous quittons ce site en direction de Jalapa, capitale de l’État de Veracruz où nous séjournerons à l’hôtel Fiesta Inn Xalapa, un des plus confortables de notre séjour. Nous y visiterons le musée d’anthropologie ; ce musée de toute beauté inauguré en 1986 est divisé en 3 sections correspondant aux grandes civilisations olmèque, totonaque et huaxtèque qui ont occupé l’État respectivement au Sud, au Centre et au Nord à différentes périodes couvrant les 30 siècles& qui ont précédé la conquête espagnole.

Le centre historique d’Oaxaca

Après la traversée fantastique d’une des plus belles régions du Mexique magnifiquement entourées de hautes montagnes, nous sommes arrivés en fin de journée dans cette charmante ville provinciale dont la vallée est presqu’exclusivement peuplée d’Indiens zapotèques. Ceux qui le souhaitaient ont pu terminer la journée avec un spectacle folklorique de danse et de musique qui leur a beaucoup plu. Le jour suivant, après la visite du site de Monte Alban dont question ci-après, ce fut la visite du centre d’Oaxaca ; nous avons parcouru le marché local, visité une chocolaterie où les plus gourmands ont pu acheter du chocolat (le cacao étant un produit national d’’exportation) et dégusté une succulente boisson chocolatée bien rafraîchissante. Le reste de la journée était libre, soit retour à l’hôtel en bus où ceux qui le souhaitaient pouvaient profiter de la

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piscine ou flânerie dans les rues d’Oaxaca; certains se souviendront avec humour d’un retour en taxi à l’hôtel… Pas moins de 5 personnes se sont engouffrées dans une petite voiture taxi pour parcourir le trajet du retour ; pas sûr que c’était conforme aux règlements locaux….

Le site archéologique de Monte Alban

Ce site construit par les zapotèques nous interpelle et nous fascine. Comment ont-ils pu construire un site d’une telle importance situé au sommet d’une montagne sans l’aide d’animaux domestiques ni d’outils ? Face aux réalisations précolombiennes, nos esprits cartésiens restent en admiration…. Nous visiterons ensuite Mitla où les mixtèques installèrent leur site cérémoniel puis repartirons vers Oaxaca. Nous partirons ensuite vers Palenque que nous atteindrons 2 jours plus tard après avoir traversé le Chiapas, une des régions les plus rudes du Mexique avec ses montagnes, ses ravins et son impénétrable forêt vierge et effectué plusieurs arrêts, notamment pour nous livrer à une découverte en bateau du Canyon Del Sumidero, un des plus impressionnants canyons du Mexique et visiter la rieuse cité de San Cristobal de Las Casas. La visite de cette charmante cité au parfum colonial où les Indiens des villages avoisinants viennent vendre leur maigre production sur le marché restera certainement gravée dans la mémoire de tous. Miguel n’a pas manqué de nous éclairer sur le mouvement zappatiste et sur la problématique des populations indigènes e.a. sur le travail des enfants, sur les efforts déployés par les autorités mexicaines en vue d’intégrer ces populations souvent réticentes au mode de vie moderne ; nous avons bien pu nous en rendre compte en visitant le petit village Tzotil de San Juan Chamula situé à une dizaine de km de San Cristobal. Là vivent encore des descendants des Mayas avec leur mode de vie très particulier, leur culture et leurs propres croyances religieuses. Impossible de ne pas être touché par la foi des fidèles chargés d’offrandes (poulets, fleurs, cierge, boissons gazeuses…) prosternés à même

le sol dans la petite église du village. S’ils sont restés fidèles à leurs traditions ancestrales, ils n’ont toutefois pas rejeté tous les attributs de la civilisation moderne ainsi coca et GSM ont été intégrés dans leur mode de vie….

La cité précolombienne de Palenque

Ce site, un des

plus extraor

dinaires sites

mayas, est

situé en pleine forêt tropicale. A ce jour, seule une vingtaine de bâtiments ont été reconquis sur la jungle. Nous découvrons le temple des inscriptions, grandiose pyramide à huit corps superposés élevés à la fin du 7ème siècle. En 1952, l’archéologue mexicain Alberto Ruz Lhullier y découvrit une crypte avec au centre de la chambre funéraire un sarcophage monolithique de plus de 13 tonnes, sépulture du roi Pakal dont nous avions déjà pu admirer une reproduction au musée de l’Anthropologie de Mexico.

En se promenant dans ce site de toute beauté, Miguel nous parle non seulement des connaissances astronomiques, mathématiques et médicinales des Mayas mais également des petits « cadeaux » qu’ils ont donnés au monde occidental parmi lesquels la pipe, le hamac et les chicklets ; quelle surprise, j’avais toujours cru qu’il s’agissait de la version wallonne du chewing gum et bien non, « chicket » dérive de « chicle » qui est le nom maya de l’arbre dont on extrait la substance de base du chewing gum ….En route vers Campêche…

La ville fortifiée de Campêche

C’est en fin de journée que nous y sommes arrivés. Nous avons été logés dans un superbe hôtel en bordure du Golfe du Mexique. A nous, les cocotiers, les plages quasi désertes de sable fin et la mer qui nous invitait à nous baigner…Malheureusement le temps était compté et le programme n’était pas

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terminé. Dommage car je suis certaine de ne pas avoir été la seule à vouloir poser ici mes bagages pour quelques jours même si nos amies Eliane et Arlette ont reçu dans leur chambre une visite inattendue…Devinez qui s’était invité…un serpent qu’elles s’empressèrent de déloger mais qui se vengea le lendemain en accablant Arlette de la maladie nationale…

La ville précolombienne d’Uxmal

Avant d’accéder à Uxmal, nous faisons encore un bref arrêt à Kabah pour y admirer le temple aux colonnes de style Puuc et le magnifique temple aux masques décoré de multiples représentations du dieu de la pluie (Chac). La température ne cesse d’augmenter et nous visitons Uxmal sous un soleil de plomb. Nous y admirons des monuments de grande beauté qui n’ont rien à envier aux monuments de l’antiquité grecque ou romaine. Pensons e.a. au palais du gouverneur, à la maison des tortues et au quadrilatère des nonnes. C’est dans ce site unique que nous assisterons à la tombée du jour à un spectacle son et lumière qui devait en principe être suivi d’une représentation du jeu de balle. Nous attendions cette représentation avec impatience tant on nous avait parlé de ce rite cérémoniel commun à toutes les civilisations précolombiennes, notre déception vu à la hauteur de nos attentes, nous n’avons eu droit qu’à une représentation folklorique sans rapport avec le divin jeu de balle donnée par une troupe débutante.

Le site archéologique de Chichen Itza

Nous voici arrivés au terme de notre périple et nous découvrons la ville où les cultures maya et toltèque se sont mélangées pour atteindre leur ultime apogée. Nonobstant la beauté du site, cette visite ne répondit pas à mes attentes, était-ce la chaleur, la foule des promeneurs (dimanche, jour de sortie de nombreux mexicains), la présence de nombreux camelots ou simplement l’influence de la fin d’un beau voyage et la perspective d’un long retour vers nos contrées brumeuses ???

Malgré mon souhait de rester brève, je constate que j’ai quand même rempli beaucoup de pages, beaucoup trop diront certains et pourtant il me reste tant de choses dont j’aurais aimé pouvoir vous entretenir comme de l’ingéniosité des mexicains et de leur gastronomie mais j’en resterai là pour cette fois-ci. N’hésitez pas à compléter ce récit en ajoutant sur le site vos commentaires et vos souvenirs personnels.

Merci à tous les participants grâce à qui ce voyage fut couronné de succès et au plaisir de vous revoir lors de la projection du reportage. Celle-ci ne pourra toutefois pas avoir lieu avant l’automne vu l’emploi du temps chargé de nos reporters qui préparent déjà leur prochain long voyage et l’importance du travail préparatoire à effectuer pour réaliser le reportage, nos fidèles reporters n’ayant pas ménagé leur peine pour photographier amplement les lieux visités.

Activités futures

Activités futures déjà programmées

En 2012

Le 13/09 : tournoi de pétanque

Du 15/09 au 21/09 : séjour en Anjou

Le 18/10 : fête d’automne sans musique

Le 25/10 : fête d’automne en 2013

Le 28/10 : Strauss au Bozar

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En 2013

Du 30 mai au 10 juin : croisière sur le Danube

Début septembre : Chypre (voyage de 8 jours)

Début novembre : Cambodge-Vietnam (voyage de 19 jours )

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Editeur responsable : pour l’ARRBNB

Paula Buekenhoudt-DEMESMAEKER Présidente Avenue de l’Andalousie 9/3 1140 Bruxelles