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Bien-être au travail : un atout pour l'entreprise

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Alors que nous traversons une période de crise qui nécessite de rassembler toutes les forces de l'entreprise et d'innover, ce livre blanc vous propose de faire un point sur la situation du bien-être au travail et ses impacts dans cette démarche.

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Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr

Partager pour mieux comprendre et analyser une situation complexe en évolution permanente.

Malgré les crises que nous traversons l’entreprise doit s’intéresser aux conditions de travail, non seulement parce qu’elle en a l’obligation légale, mais aussi parce qu’elle y trouvera autant d’intérêt que l’employé qui en bénéficiera ou la collectivité au sein de laquelle elle évolue.

Notre vision et notre rapport à l’entreprise ont beaucoup évolué ces quinze dernières années, influant sur nos vies privées et notre engagement. Si rien n’est aussi important que le drame humain que peut provoquer le burn-out, qui est la manifestation extrême du stress, Il faut essayer d’en évaluer les dégâts collatéraux pour en saisir toute la portée, mais aussi élargir le débat pour parler du bien-être en général. Il faut voir ce bien-être comme une force, un moyen de développer, d’attirer et de conserver les ressources nécessaires pour affronter les difficultés et se donner les moyens d’innover pour rebondir.

La réflexion et le travail sur les processus internes restent la première source de réduction du stress, mais il existe également des actions simples et faciles à mettre en œuvre qui peuvent améliorer le bien-être au travail.

Pourquoi un livre blanc ?

Bien-être au travail :

Un atout pour

Rassembler des données

Bâtir une vision.

Proposer des solutions pragmatiques et faciles à mettre en

Ce livre blanc a pour objectif de rassembler des données issues de différentes études menées à travers l’Europe pour essayer d’en dégager une perspective sur les impacts du stress sur l’entreprise, mais aussi essayer d’apporter une piste de réflexion pour développer le bien-être en entreprise, au profit de tous.

Un changement profond de notre relation à l’entreprise.

Avec l’avènement d’internet, notre façon de travailler a plus évolué durant ces dix dernières années que depuis la seconde guerre mondiale.

Après la machine à vapeur et l’électricité, internet peut certainement être considéré comme la troisième révolution industrielle.

La vie privée et la vie professionnelle s’entrecroisent de plus en plus et fournissent autant de facteurs de stress que de membres de l’entreprise.

Il n’existe pas de cause unique au stress

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98 Face-à-face

Réunion de travailCourrierPièce jointeSalle des archivesBibliothèqueFontaine à eauSalle projetMémos et journaux internesJe suis sorti/présentCâblé9h-17h

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11 Conférence téléphonique

Webconference.comMessagerie, emailLiensFichiers archivésWikipedia & GoogleCommunautés en ligneSalon virtuelWikis, blogs, résaux sociaux, podcastStatut (in)disponibleWireless24/7

Cette évolution de nos moyens de communication, associée au bond technologique des outils mis à notre disposition pour travailler (ordinateurs portables, tablettes, Smartphones) a profondément bouleversé notre rapport au travail : le nombre d’informations à traiter chaque jour évolue de façon quasi exponentielle.

Ces outils, et la mobilité qu’ils procurent, tendent également à gommer la limite entre vie professionnelle et vie privée, le plus souvent au détriment de la vie privée.

Cette perte de repères entre vie privée et vie professionnelle s’additionne au contexte économique et social difficile pour créer un terrain favorable aux risques psychosociaux (RPS) dont le stress est une des conséquences les plus mesurables en raison de ses effets sur la santé.

Pour comprendre la mutation qui est en cours, il faut rapprocher cette vision du baromètre 2013 réalisé par l'Institut CSA pour Actineo (l'Observatoire de la qualité de vie au bureau) qui fait apparaître que la qualité de vie au travail est devenue le second facteur de bien-être, derrière l’intérêt du travail, mais devant le niveau de rémunération.

Ce changement doit être pris en compte par l’entreprise.

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Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr

Quels sont les impacts du stress pour l’entreprise comme entité économique ?

Au-delà du coût de mise en œuvre de la réglementation qui impose à l’employeur d’évaluer les risques d’atteinte à la santé physique et mentale de ses salariés et de mettre en place des mesures de prévention adaptées, le stress a des conséquences en terme de souffrances et de préjudices pour la santé qui touchent et désorganisent l’entreprise dans son ensemble.

Au travers de ses publications, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) liste des conséquences beaucoup plus difficiles à chiffrer comme :

une augmentation de l’absentéisme et du turnover, des difficultés pour remplacer le personnel ou recruter de nouveaux

employés, des accidents du travail, une démotivation, une baisse de créativité, une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des

malfaçons, une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail, des atteintes à l’image de l’entreprise…

Les dernières études chiffrées (2007 - NRS et Arts et Métiers ParisTech) chiffraient le coût social du stress entre 2 et 3 milliards d’euros par an.

50 à 60% des arrêts de travail sont liés au stress et l’enquête européenne menée par la European depression association dans sept pays européens nous donne une durée moyenne de ces arrêts de 36 jours.

Le dernier baromètre Monster a de quoi inquiéter les DRH : 87% des salariés français souffriraient d’insomnies à cause de leur travail, plus de la moitié (53%) au point de faire des cauchemars, et 52 % des salariés ont peur d’aller travailler le lundi matin. Quand on sait que la reconnaissance de la faute inexcusable de l'employeur est de plus en plus retenue en matière de santé mentale des salariés, il devient impossible de continuer de fermer les yeux ou de tenter de rejeter la faute sur la vie privée du salarié. Pour ceux qui en doutent encore, on peut citer un arrêt récent (Cass. soc., 2eme civ., 19 sept 2013, n° 12-22.156) qui condamne l'absence de réactivité de l'employeur face à une situation de stress et d'anxiété du salarié (Les Échos).

Et que faire si ce stress touche le dirigeant ou un membre essentiel de l’équipe de direction ? Que se passe t’il s’il devait s’arrêter à cause du stress ? Quels seront les impacts, à moyens ou longs termes, sur l’entreprise ?

Et si le fait de prendre la situation en mains devenait une bonne pratique ?

Et si contribuer au bien-être au sein de l’entreprise devenait une force ?

Un coût social de 2 à 3 milliards par an.

50 à 60% des arrêts de travail

Durée moyenne des arrêts : 36 jours.

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Gestion du stress et RPS : Un bilan en demi-teinte

Depuis le Rapport sur la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail, réalisé en 2008 à la demande du Ministre de la santé par le magistrat P. Nasse et le psychiatre P. Légeron, on sait que la prévention des risques psychosociaux nécessite des actions qui s’exercent sur deux plants bien distincts :

La prévention primaire : évaluation précise, par l’entreprise, non seulement des facteurs de risques mais aussi des populations les plus touchées. Elle a pour objectif l’élimination ou le contrôle des facteurs de risque en agissant directement sur les facteurs pour réduire leurs impacts négatifs sur l’individu. Il s’agit d’intervenir sur les causes des risques psychosociaux plutôt que sur leurs conséquences.

Les programmes de prévention secondaire, avec pour but d’aider les individus à gérer plus efficacement les exigences et les contraintes du travail en améliorant leurs stratégies d’adaptation aux sources de stress ou en renforçant leur résistance au stress en soulageant les symptômes associés au stress.

Ce même rapport, remis au premier ministre, préconise des actions qui peuvent prendre plusieurs aspects :

la formation des individus à développer des compétences spécifiques, à mieux gérer divers types de situations de stress (gestion du temps, des conflits, de l’agressivité, développement de l’intelligence émotionnelle, restructuration cognitive etc.) ou à développer des capacités psychologiques (contrôle des émotions, attitudes mentales efficaces) ;

la possibilité de pratiques de relaxation, d’exercices physiques ou de la sieste au sein de l’entreprise ;

Les DRH confrontées au problème de stress trouvent une aide précieuse auprès des psychologues du travail dont le rôle est essentiel dans la mise en œuvre de la prévention de premier niveau. Leur apport est incontestable dans le travail de fond que représente la remise en question des structures et du fonctionnement global de l’entreprise quand celui-ci est la source même du stress.

Malheureusement, l’action s’arrête souvent à ce stade. Les programmes de prévention secondaire sont trop souvent

remis à plus tard, faute de savoir comme les mettre en œuvre, quand ils ne sont pas purement ignorés.

Les entreprises les plus sensibilisées mettent en place des plates-formes d’écoute pour les salariés, sous-traitées à des opérateurs spécialisés.

Si le fait d’ externaliser ces plateformes se justifie par le besoin d’anonymat des appels et une neutralité nécessaire dans leur traitement, la distance et l’aspect impersonnel les cantonnent dans un rôle souvent passif et consultatif.

Par conséquent, dans de trop nombreux cas, ce coup de fil matérialise pour l’employé un constat d’échec. Il marque son incapacité à faire face à la situation mais aussi celle de l’entreprise à y répondre. La plateforme ne joue donc pas pleinement son rôle de prévention initial.

D’une façon générale, nous sommes très éloignés de la recommandation de développer de compétences spécifiques et du fait d’institutionnaliser des pratiques comme le sport, la sieste ou plus simplement la relaxation.

Pourtant, les chiffres et les situations que nous venons d’exposer le montrent : le bien-être devient un élément essentiel pour l’entreprise.

Il est possible, par des actions simples et peu coûteuses. Des actions de proximité qui contribuent au bien-être au travail.

Entreprises, salariés, collectivités, tout le monde y gagne. Pour l’entreprise, contribuer au bien-être des employés, c’est investir dans l’image de l’entreprise mais aussi réduire l’absentéisme et augmenter l’implication des salariés.

Pour le salarié, c’est moins de stress et donc moins de problèmes de santé liés à ce stress mais aussi un environnement qui donne envie de s’investir et de s’épanouir dans son travail.

Nasse - Légeron

“ La formation des individus à

développer des compétences spécifiques à mieux gérer

divers types de

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Une approche plus humaine, plus proche de l’individu.

Comme nous venons de le voir, le développement du bien-être en entreprise nécessite à la fois une certaine proximité et surtout des outils qui permettent au salarié d’être acteur de son bien-être. Il est plus efficace d’apporter des techniques qui permettent de prévenir et de contrôler les impacts du stress que de prendre en charge les soins pour en traiter les conséquences.

Au cours des dernières années, l’offre aux entreprises s’est considérablement étoffée. Cependant, par manque d’informations, sans retours d’expérience ni d’aide sérieuse au choix, ou par peur de dérive sectaire, seules quelques entreprises ont osé avancer dans cette voie.

Pourtant, il existe une discipline qui a fait ses preuves dans le domaine sportif, qui est utilisée dans le domaine médical comme dans l’armée et sur laquelle le MEDEF s’est penché avec attention : la sophrologie.

Mise au point en 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, la sophrologie est totalement indépendante de tout courant spirituel ou religieux. Technique de relaxation, elle ne s’appuie que des exercices de respiration et de gestion de la pensée.

Son seul objectif est d’assurer une détente physique et psychique propice à la gestion du stress, à l’amélioration de la concentration, de la mémoire ou de la créativité.

C’est probablement cette approche et le code déontologie suivi par les sophrologues professionnels qui ont incité le CEGOS, leader mondial dans la formation en entreprises, à proposer depuis plusieurs mois une formation fondée sur les techniques de base de la sophrologie.

Cette formation destinée aux cadres et managers sous l’intitulé "Dynamiser ses ressources avec la sophrologie", affiche des objectifs clairs:

Savoir se relaxer simplement au travail.

Mobiliser rapidement ses ressources au travail.

Réguler son stress professionnel au quotidien.

Cette formation est-elle LA solution pour autant ? Si elle réponds aux inquiétudes sur le sérieux du prestataire et l’intérêt du contenu, peut-elle apporter une réponse adaptée à chaque participant au travers d’un contenu standard et ramassé sur deux jours ?

La réponse est, bien entendue, non. Mais on peut considérer qu’elle est un premier pas vers le développement individuel de compétences et de savoir-faire propres à assurer la gestion de son stress. Ce qui est déjà un premier pas important vers l’objectif et il faut l’encourager.

“Faute de connaissance, de retours

d’expérience, d’aide

sérieuse au choix ou par

peur de dérive

sectaire, trop peu

d’entreprises se lancent.”

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Une approche rationnelle, adaptée à vos besoins et à ceux de vos collaborateurs

Pour prendre tout son sens, la démarche de développement du bien-être au travail doit respecter plusieurs conditions essentielles :

Elle doit se faire sur la base du volontariat. Le bien-être ne se décrète pas et la démarche ne prend sons sens que si les participants s’y impliquent.

Elle doit respecter la culture, les convictions et les contraintes de chacun des participants.

Elle doit s’inscrire dans le temps. Apprendre des techniques, changer des habitudes, accepter de réfléchir à ses actes, ses valeurs et se remettre parfois en cause demandent du temps.

Chaque personne au sein de l’entreprise est unique, du fait de sa personnalité, son expérience et sa culture. Faire appel à un sophrologue au sein de l’entreprise plutôt qu’une formation permet de répondre de façon adaptée à cette diversité en donnant à chacun des réponses ciblées.

Entre le suivi individualisé et les séances de groupe, il est possible de s’adapter aux contraintes de chacun, cadres comme dirigeants.

Par ailleurs, la sophrologie demande un minimum de pratique encadrée avant de devenir autonome. Du fait de sa proximité, les interventions du sophrologue peuvent se dérouler au sein de votre entreprise et ne nécessitent pas que le cadre ou le manager s’absente. À durée égale, l’intervention du sophrologue, qui sera étalée sur plusieurs semaines, va pouvoir s’appuyer sur l’intégration progressive des techniques et accompagnera la mise en pratique là où une formation vous laisse seul face à vos notes et vos souvenirs.

Les différentes organisations professionnelles, comme le Syndicat des Sophrologues Professionnels, proposent des annuaires regroupant les professionnels répondant à des critères de formations très strictes qui vous garantissent, au minimum, le niveau de sérieux équivalent à celui du professionnel mandaté par l’organisme de formation.

Une intervention au sein de votre entreprise vous permet également d’impliquer les partenaires comme le CHSCT, le Comité d’entreprise et, pourquoi pas, la Médecine du Travail.

De nombreux professionnels disposent d’un agrément de formateur, ou peuvent se rapprocher de structures qui en disposent. Il est donc possible, en incluant une partie de formation théorique en plus de la pratique, d’utiliser les mêmes budgets qu’avec un organisme de formation.

L’intervention d’un sophrologue peut également entrer dans le cadre des activités financées par le Comité d’Entreprise, pour le bien être du personnel.

Comme vous le constatez, tout est fait pour répondre à vos attentes.

“ Chaque personne au

sein de l’entreprise est unique, de part sa

personnalité, son

expérience

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Quelles actions mettre en place ?

Une Parenthèse hebdomadaire :

Proposée de façon hebdomadaire, pendant la pause du midi, une séance de relaxation contribue à instaurer un espace de détente qui permet de « recharger les batteries » et favorise le bien-être au travail.

Gestion du stress

Un arrêt de travail sur 10 est lié au stress. Nous vous proposons d’acquérir des techniques simples, utilisables en toutes circonstances, pour faire face aux situations de stress, apprendre à vous faire confiance et à mieux connaître et respecter vos limites.

Confiance en soi

La confiance en soi est un facteur important de la réussite personnelle et de la motivation. Elle se développe et se travaille. Apprenez à vous faire confiance, à dépasser vos limites. Retrouvez une vision positive de vous-même.

De la motivation à l’action

Passez à l’action, dépassez vos limites. Apprenez à vous motiver, à vous fixer des objectifs et, comme les grands sportifs, vous préparer mentalement pour mieux les atteindre.

Il existe de multiples façons d’instaurer le bien-être en entreprise à l’aide de la sophrologie. Mais gardez en mémoire le principe du volontariat et le fait que, pour certains cadres, participer à des groupes de relaxation n’est pas concevable en terme d’image.

Nous vous suggérons de proposer un premier cycle de découverte, comprenant 3 sessions de groupe d’une durée de 1 h chacune à raison d’une séance par semaine. Cette première étape de découverte permet de vérifier que les techniques répondent aux besoins des participants et qu’ils s’y sentent bien avant de vouloir aller plus loin.

Cette première étape validée, la sophrologie peut répondre de nombreux besoins particuliers comme ceux proposés ci-dessous.

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Prêt à passer à l’action ?

Pour conclure ce livre blanc, je vous propose de récapituler les points essentiels pour passer à l’action :

Après les phases indispensables d’évaluation et de mise en place des actions de prévention primaire, il existe de multiples façons d’ancrer le bien-être en entreprise à l’aide de la sophrologie.

Garder en mémoire le principe du volontariat et le fait que, pour certains cadres, participer à des groupes de relaxation n’est pas concevable en terme d’image.

Vous adresser à un organisme comme le syndicat des sophrologues professionnels, ou la chambre syndical des sophrologues, vous assurera de trouver un sophrologue de confiance et à proximité de votre entreprise.

Nous vous suggérons de proposer systématiquement aux volontaires un premier cycle de découverte, d’au moins 3 sessions de groupe d’une durée de 1 h chacune. Cette première étape permet de vérifier que les techniques répondent aux besoins des participants et qu’ils s’y sentent bien avant de vouloir aller plus loin. Cette première étape validée, les séances peuvent rester un moment de détente où chacun viendra se ressourcer.

La sophrologie peut concerner de nombreux domaines. Travailler avec un sophrologue de proximité, c’est l’assurance de réponses adaptées.

N’oubliez pas que ces interventions sur des besoins particuliers ne peuvent-être que ponctuelles. L’objectif reste bien l’autonomie de vos collaborateurs, mais aussi le traitement du problème à la source plutôt que ses conséquences.

Comme de grands groupes de la distribution, de l’agro-alimentaire ou de l’informatique, faites l’essai, vous serez certainement surpris des résultats positifs !

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