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Etude de cas Carrefour
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Thaïs RemeurTarik RochdiMaster 2 Management Commercial
INTRODUCTION
CARREFOUR
Multiformat et multicanal
AssurancesBanqueVoyages
Spectacles
N°1 Europe
N° 2 Mondial
CA 2014100,5 Mds d’€
380 000Employés
35 pays
11 900
1959
PDG Georges Plassat depuis 2012
PROBLEMATIQUE
Par quel moyens Carrefour peut renforcer sa croissance de façon
pérenne ?
I. Carrefour: Un géant au talon d’Achille
A) Les errements stratégiques
B) Une internationalisation mitigée
II. Réorientation stratégique du Groupe
A) L’arrivée de Plassat
B) Les défis de demain
PLAN
I. Carrefour: un géant au talon d’Achille
a) Les errements stratégiques
2007 2008 2009CP+ D - I 10699+12422–32 555 10198+13492-32083 10350+14203–32 286
FDR - 9110 - 8393 - 7733 Stocks + créances – DF 6867+1154 – 28 847 (6891+602 ) – 28 428 (6670+353 ) – 27 036
BFR - 13 949 -12 310 -11 000 Trésorerie=FR -BFR 4164 2179 3300
2010 2011 2012
CP+ D - I (9484+15585)–33440 (6618+ 15207)–28 677 8361+ 16 402– 26000
FDR -7928 -6841 - 1303
Stocks + créances – DF (6993+ 5999) – 28481 (6848+6166) – 26106 5658+ 5430 – 21 955
BFR -11 200 -11 043 - 8877
Trésorerie= FR -BFR 3271 3849 6573
Ressources > investissements FDR > BFR un matelas de sécurité Liquidités importantes
3) Des résultats financiers en perte de vitesse
a) Les errements stratégiques
Crise économique baisse trésorerie en 2008
Arrivée de Lars Olofson en 2009
Stratégies « coûteuses »
Rentabilité en baisse
Concurrence croissante et multiforme
3) Des résultats financiers en perte de vitesse
a) Les errements stratégiques
a) Les errements stratégiques
Changement de l’équipe en place
Renforcement de la centralisation des décisions
Type de mangement:
1) Les changements dans la gouvernance
a) Les errements stratégiques
Constat: Courses = corvée
Réechanter les hypermarchés Réaménagement
Stratégie de différenciation Montée en gamme
Coût estimé du projet : 1,5 milliard d’euros
Bilan: 92 sur 245 prévus
2) Le choix de la différenciation
a) Les errements stratégiques
Multiformat
Proximité Drive
3) Des opportunités peu exploitées
Digital
Site internet E-commerce
Achats opportunistes
Partenariats
b) Un bilan très mitigé à l’international
1) Acquisitions stratégiques
b) Un bilan très mitigé à l’international
RoumanieItalieBrésilChineEgypte…
FranceBelgiqueEspagnePologneTurquie
FranceBelgiqueEspagneTaiwan
Chine Brésil Argentine Etats-Unis
•France•Belgiqu
e
201019891969
2) Une internationalisation rapide
3 Continents et 13 pays en 5 ans !
1993: Italie, Turquie 1994: Mexique, Malaisie 1995: Chine, Grèce 1996: Thaïlande, Corée du Sud, 1997: Singapour, Pologne 1998: Colombie, Chili, Indonésie
Comparaison Tesco VS Carrefour Tesco: 74 Milliards d’euros CA / 500 00
effectifs / 7305 magasins
Carrefour: 84 milliards d’euros CA, 381 227 / 10 860
Le modèle de Tesco
Nnet sales:2009 632010 712011 76
EBIT2009 3,92010 4,32011 -> 4,6
Le modèle de Tesco
1948 stratégie basé sur le e-commerce et (collecte données Clubcard dès 1995 partagés avec Fournisseurs)le client / pub + Maintenir une base britannique puissante, progresser dans le non-alimentaire, développer les services aux consommateurs. Internationalisation maîtriséeAppro local
Tesco est aussi présent à l'international, où il compte 2420 points de vente (79 en Chine, 192 en Indonésie, 144 au Japon, 319 en Pologne, 347 en Corée du Sud, 639 en Thaïlande, 115 aux États-Unis).
50 d'expansion lente mais sûre, puis une nette accélération à partir du milieu des années quatre-vingt-dix. L'accent est mis sur lesclients pour mieux les fidéliser, mais aussi et surtout récolte les informations personnelles nécessaires à un ciblage marketing de plus en plus élaboré.
Il a essayé de s’implanté en France mais a fini par abandonné en 1997
Implantation: 7 en Europe avec Turquie et 5 en asie du sud est. Chine en s’appuyant sur la chaîne locale Hymall
Le modèle de Tesco
Nombre de cessions importants◦ Complexité des marchés◦ Concurrence◦ Mentalité de « marché global »◦ Manque d’adaptation
b) Un bilan très mitigé à l’international
3) Une internationalisation peu maîtrisée
II. Le tournant stratégique
CONCLUSION
Articles scientifiques
◦ BEYLIER, René Pierre ; MESSEGHEME, Karim ; FORT Fatiha, « The ‘terroir private lable effects on retailer’s legitimacy : the case of « reflects de France-Carrefour », Décisions Marketing. Avr-jui 2012, Issue 66, p35-45. 11p
◦ MEIER Olivier, PACITO Jean-Claude; « Carrefour ou le mythe d’Icare », Revue Française du Marketing, octobre 2012, issue 237/238, p 107-108.
Articles de presse
◦ BIANCHI Frédéric, « Digital Retail : Carrefour et le chantier du e-commerce, les nouveaux business modèles du rasoir, la distrib américaine contre Google », lsa-conso.fr, 09/03/2012, consulté le 07/11/2015.
◦ MAGAUD Christelle, « Champion devient Carrefour Market », Points de vente, n°1029/1030, 15/07/2008, consulté le 07/11/2015.
◦ MERLAUD Benoît, « Carrefour : les dernières audaces de Market », Linéaires, n°316, 09/2015, consulté le 09/11/2015.
Articles de presse numérique
◦ DROMARD Thiébault, « Carrefour : les 5 erreurs de Lars Olofsson », challenges.fr, 27/01/2012, consulté le 09/11/2015.
◦ BIANCHI Frédéric, « Digital Retail : Carrefour et le chantier du e-commerce, les nouveaux business modèles du rasoir, la distrib américaine contre Google », lsa-conso.fr, 09/03/2012, consulté le 07/11/2015.
BIBLIOGRAPHIE
MERCI DE VOTRE ATTENTION