Marchs Actions

10/07/15 Perf. sur la

semaine

Perf. sur le mois

Perf. Depuis le 31/12/14

CAC 40 4918 2,3% -0,3% 15,1%

Eurostoxx 50 3533 2,6% 0,2% 12,3%

S&P 500 2051 -1,2% -2,6% -0,4%

Marchs de taux

10/07/15 Sur 1

semaine Sur 1 mois

Depuis le 31/12/14

Eonia* -0,12% - - -27pb*

OAT 10 ans 1,25% - - -

Matires 1res 10/07/15

Perf. sur la

semaine

Perf. sur le mois

Perf. Depuis le 31/12/14

Ptrole (Brent, $/baril)

58 -2,3% -9,9% 4,3%

Or ($/once) 1160 -0,7% -2,2% -1,9%

Devises 10/07/15 Perf. sur la

semaine

Perf. sur le mois

Perf. Depuis le 31/12/14

EUR /USD 1,12 0,6% -1,2% -7,6%

ACTUALIT DE LA SEMAINE

13/07 : dbut daccord sur un nouveau plan daide la Grce.

CONOMIE

Monde :

Le Fonds Montaire International (FMI)* prvoit un lger ralentissement de la croissance conomique mondiale cette anne.

Zone euro :

Les grands instituts nationaux prvoient une lgre acclration de la reprise

Lgre hausse du prix des logements au 1er trimestre.

tats-Unis :

Chiffres encourageants concernant les services et

lemploi.

MARCHS

Taux : Calme relatif sur les marchs obligataires.

Actions : Prudence des marchs en raison de lincertitude lie la Grce et la Chine.

NOTRE ANALYSE Bien que comportant des conditions trs dures pour la Grce, le dbut d'accord entre ce pays et ses cranciers,

s'il est bien confirm par les parlements, constitue une bonne nouvelle. Il devrait permettre d'viter une sortie de la Grce de la zone euro, dont les consquences auraient t encore plus dsastreuses (du moins court terme) pour le pays lui-mme et trs incertaines pour les marchs comme pour la reprise conomique en cours dans la rgion.

Si le Fonds Montaire International (FMI) baisse ses prvisions de croissance mondiale pour 2015, il note aussi que les facteurs dune acclration progressive de lactivit conomique dans les pays dvelopps restent intacts (amlioration des conditions financires, politiques budgtaires moins restrictives, regain de confiance, amlioration du march de lemploi).

La correction des marchs alors que les profits des 12 derniers mois samliorent permet aux valorisations de se dtendre dans la zone euro. Le climat reste plus incertain sur les marchs mergents qui subissent une baisse structurelle de leur profitabilit.

* Ce terme est dfini dans le lexique

Source: Bloomberg, Stratgie Amundi - Donnes actualises le 10/07/15 15h

Edition du 13 Juillet 2015 Semaine du 6 au 10 juillet 2015

Semaine du 3 au 10 octobre 2014

ACTUALIT DE LA SEMAINE 05/07 : dbut daccord sur un nouveau plan daide la Grce. Aprs de rudes ngociations ce week-end, le gouvernement grec a cd, lundi matin, la plupart des exigences de ses cranciers. Un nouveau plan daide de 86 milliards deuros est envisag, mais avec comme condition pralable l'approbation, par le Parlement grec, dimportantes mesures de rformes et daustrit d'ici mercredi. De plus, la Grce verra 50 milliards deuros de ses actifs publics placs sous le contrle de ses cranciers. Enfin, le pays nobtient pas de rduction du montant nominal de sa dette, dont le taux dintrt et le calendrier de remboursement, pourront, en revanche, tre amnags.

ECONOMIE Monde : Le FMI prvoit un lger ralentissement de la croissance conomique mondiale cette anne. Selon linstitution, la croissance mondiale devrait stablir +3,3% cette anne (contre une estimation de +3,5% lors des dernires projections davril et une croissance tablie +3,4% en 2014). La croissance mondiale pourrait se raffermir pour atteindre +3,8% en 2016. Les explications qui sous-tendent cette lgre rvision des perspectives de croissance mondiale sont : (i) le ralentissement de lactivit aux tats-Unis au 1er trimestre 2015 et (ii) un ralentissement prolong de lactivit dans de nombreux pays mergents. Zone euro : Les grands instituts nationaux prvoient une lgre acclration de la reprise Un communiqu commun de lIFO allemand*, de lINSEE* franais et de lISTAT* italien prvoit une progression du PIB* de la zone euro de +0,4% au 2me trimestre (un rythme identique celui du 1er trimestre) suivi de +0,5% au 3me trimestre et au 4me trimestre (soit +1,4%, en moyenne annuelle, pour lanne 2015). Lgre hausse du prix des logements au 1er trimestre. Les prix des logements ont progress de 0,3% au 1er trimestre en zone euro. Sur un an, la progression est de 0,9%. Pays par pays, la variation est de -0,5% sur le 1er trimestre (-1,6% sur un an) pour la France, de -0,6% (-3,3%) pour lItalie, de -0,5% (+1,6%) pour lEspagne, de +0,9% (+2,4%) pour les Pays-Bas et de -0,9% (+16,8%) pour lIrlande. Les chiffres concernant lAllemagne ne sont pas encore disponibles (au T4, la progression, sur un an, tait de +2,4%). Etats-Unis : Chiffres encourageants concernant les services et lemploi. Quoiquun peu infrieur aux attentes, lindicateur ISM non-manufacturier* progresse lgrement en juin. Les postes ouverts au recrutement atteignent 5,36M en mai, soit le plus haut niveau depuis que ce solde est calcul. Le chiffre davril est cependant rvis en baisse. * Ce terme est dfini dans le lexique

Semaine du 6 au 10 juillet 2015

MARCHS Taux : Calme relatif sur les marchs obligataires. Les rendements 10 ans allemand et amricain finissent la semaine respectivement 0,86% et 2,38%. Les espoirs dun accord entre la Grce et ses cranciers ont fait baisser les carts de taux entre lAllemagne et les pays priphriques de la zone euro. Actions : Prudence des marchs en raison de lincertitude lie la Grce et la Chine. La victoire du non au rfrendum grec du 5 juillet a fait baisser les marchs dactions en dbut de semaine, mais ce mouvement a ensuite t limit par la reprise des ngociations. En Chine, la baisse des actions a atteint jusqu 35% depuis le 15 juin. Comme son habitude le march amricain rsiste mieux (-4% depuis la mi-mai). La saison des rsultats vient de souvrir cette semaine. Le Nikkei* japonais a, pour sa part, abandonn jusqu -9% depuis son point haut du 24 juin.

LEXIQUE Eonia : l'Eonia est l'abrviation d'Euro Overnight Index Average. Il correspond au taux moyen des oprations au jour le jour sur le march interbancaire en Euro, pondr par les transactions dclares par un panel d'tablissements financiers, les mmes que pour l'Euribor.

Fonds Montaire International (FMI) : Organisation qui regroupe 190 pays et qui a t cre en 1944. Le rle du FMI est de promouvoir la coopration montaire internationale, de garantir la stabilit financire, de faciliter les changes internationaux, de contribuer un niveau lev d'emploi, la stabilit conomique et de faire reculer la pauvret. Lorsqu'un pays est en grande difficult conomique, le FMI peut lui prter de l'argent afin de stabiliser la situation.

Indice IFO : Indicateur qui mesure le climat des affaires en Allemagne. Il est calcul chaque mois sur la base de questions poses (production - situation actuelle et perspectives -, carnets de commandes, stocks, utilisation de capacit, etc.) quelques 7 000 entreprises allemandes actives dans la production, la construction, le commerce de dtail et le commerce de gros. L'IFO indique dans quelle mesure elles se montrent confiantes l'gard de la conjoncture conomique et comment elles envisagent l'avenir court terme.

Indice ISM non manufacturier : mesure le niveau dactivit de lensemble du secteur des services aux Etats-Unis (du commerce de dtail limmobilier, en passant par les services de communication, cest--dire tout le secteur non-manufacturier) via un certain nombre de critres (production, emploi, stocks, nouvelles commandes limport et lexport, prix pays, dlais de livraison, etc.) auprs de plus de 300 Directeurs des Achats (Purchasing Managers) dentreprises amricaines reprsentatives.

Indice MSCI EMU : lindice MSCI EMU est compos des valeurs dites blue chips (capitalisations larges) des pays de la zone euro

Indice Nikkei : indice boursier quipondr des 225 principales valeurs de la place de Tokyo. Nikkei est l'abrviation de Nihon Keizai Shimbun, le nom de la socit qui publie l'indice. A l'image du Dow Jones, le Nikkei 225 n'est qu'une moyenne arithmtique des valeurs qui le composent; sa reprsentativit est donc approximative

* Ce terme est dfini dans le lexique

Semaine du 3 au 10 octobre 2014

Semaine du 6 au 10 juillet 2015

LEXIQUE (SUITE) Inflation : hausse gnrale des prix des biens et services en circulation dans un pays et sur une priode donne. L'inflation se traduit par un phnomne d'augmentation gnrale des prix et peut ainsi entraner une baisse du pouvoir d'achat et de la monnaie. Au contraire, la dflation est le phnomne d'une baisse gnralise et durable du niveau des prix. Pour mesurer le taux d'inflation, l'Insee s'appuie notamment sur l'Indice des prix la consommation(IPC).

INSEE : Institut National de la Statistique et des tudes conomiques est un organisme public qui dpend du Ministre de lconomie et qui est le fournisseur des statistiques conomiques officielles en France.

LINSEE ralise de nombreuses enqutes par sondage auprs des mnages et des entreprises et agrge galement les rsultats manant des diffrents documents obligatoires complts par les agents conomiques.

ISTAT: Institut National de la Statistique en Italie

PIB : (produit intrieur brut) : le produit intrieur brut est la somme de la production de biens et services ralise sur le territoire national d'un pays quelle que soit la nationalit des producteurs pendant une priode donne. Le produit intrieur brut ne prend pas en compte les richesses produites par les entreprises du pays sur les marchs trangers. Le produit intrieur brut peut tre calcul par trimestre mais sa priode habituelle de rfrence est annuelle. Le PIB est un indicateur phare de l'activit conomique d'un pays. Il permet de mesurer dune anne sur lautre lvolution conomique dun pays et de comparer limportance et lvolution des pays les uns par rapport aux autres.

Pb : pb est labrviation de point de base ; 1 point de base correspond une variation de taux de 0,01%. De fait, 100 points de base correspondent une variation de 1%.

AVERTISSEMENT Achev de rdiger le 13/07/2015 12h

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Semaine du 3 au 10 octobre 2014

Semaine du 6 au 10 juillet 2015