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JOURNEE ACADEMIQUE SEGPAAIN – LOIRE - RHONE
ESPE LYON –UCBL LYON1
RÉSEAU ECOLE ATD RHÔNE-ALPES
21 MAI 19
Vincent Massart
Enseignant / Formateur
ESPE – UCBL Lyon 1
L’échec scolaire des plus pauvres : une constante qui inquiète et interroge
Jean-Paul DELAHAYE,
Inspection générale de l'éducation nationale (IGEN)
Grande pauvreté et réussite scolaire – Rapport de Jean-Paul Delahaye.
ESEN, 2015
Des parents acteurs dans la formation :
• …
• 03 fév. 2016 ; Collège Chamontin, Le Theil
• 04 fév. 2016 ; Circonscription Saint Priest Ecoles Primaires, Saint Priest (1/3)
• 09 fév. 2016 ; Circonscription Saint Priest Ecoles Primaires, Saint Priest (2/3)
• 13 fév. 2016 ; Collège Marc Seguin, REP, Saint Etienne.
• 3 mars 2016 ; ; Collège Marc Seguin, REP, Saint Etienne.
• 07 avril 2016 ; Circonscription Saint Priest
• 26 avril 2016 ; Circonscription Saint Priest
• …
Se connaître mieux pour mieux agir ensemble !
Se connaître mieux pour mieux agir ensemble !
• Au cours des formations récentes (2015/16/17)
• 12 interventions/formations
• 175 enseignant-es 1er et 2nd degré
• 69 questions en réponse à la consigne :
« Quelle(s) question(s) souhaiteriez-vous poser
aux parents (de milieux populaires) ? »
Dénouer les incompréhensions :
69 questions à destination des parents
1. Règlements de compte (10 questions /70)
2. Prise de conscience de la difficulté dans la relation (20/70)
3. Désir de mieux « vous » connaitre : intérêt vs. intrusion (20/70
4. Ouverture et invitation à l’échange (13 /70)
5. Fonctionnement institutionnel (5 questions !)
6. La relation déjà-là (1/70)
PAUVRETÉ ! DE QUOI PARLE-T-ON ?
« Etre pauvre, c’est toujoursdevoir parler de soi et devoir
raconter sa vie à des inconnus pour simplement obtenir ce à
quoi on a droit. »
Une femme dans une rencontre ATD quart-monde, Bron, 2010.
Le contraire de la “liberté” ce n’est pas la “prison”…
non !
Le contraire de la LIBERTE, c’est la
FATALITE !
Joseph Wresinski, fondateur du MouvementATD Quart-Monde.
Ce n’est pas d’avoir faim, de ne pas savoir
lire, ce n’est même pas d’être sans travail qui
est le pire malheur de l’être humain. Le pire
des malheurs est de vous savoir compté pour
nul, au point où même vos souffrances sont
ignorées. […] Ni les sous-prolétaires, ni les
riches n’ont nécessairement conscience de la
violence qui pèse sur l’’univers de la misère.
Elle est souvent dissimulée derrière le visage
de l’ordre, de la raison, de la justice même.
[...]Joseph Wresinski, La violence faite aux pauvres 1968
« La précarité est l’absence d’une ou plusieurs dessécurités notamment celle de l’emploi, permettant auxpersonnes et familles d’assumer leurs obligationsprofessionnelles, familiales et sociales, et de jouir deleurs droits fondamentaux...
Définition votée au CESE le 11 février 1987 lors de la présentation du rapport Grande pauvreté
et précarité économique et sociale
… L’insécurité qui en résulte peut être plus ou moinsétendue et avoir des conséquences plus ou moinsgraves et définitives. Elle conduit à la grande pauvretéquand elle affecte plusieurs domaines de l’existence,qu’elle devient persistante, qu’elle compromet leschances de réassumer des responsabilités et dereconquérir ses droits par soi-même, dans un avenirprévisible. »
Les domaines touchés par la pauvreté :
L’échelle des revenusdonnées 2015 pour les salaires, 2016 pour les nvx de vie, 2018 pour les minima sociaux.
RSA
453€
Seuil de pauvreté à 50%
855€
Smic net
1188€
Niveau de vie médiant1710€
Seuil des 10% les plus riches
3131€
Non seulement La grande pauvreté persiste en France
• La pauvreté en France, en 2018, touche, 8% de lapopulation, soit 5 millions de personnes (< 50%) et 14%< 60%.
• La France compte 2,2 millions de personnes vivant avecmoins de 684 euros par mois, près de 4 millions de mal-logés et 4,8 millions de bénéficiaires de l’aidealimentaire en 2015.
Mais… elle augmente !
« Entre 2006 et 2016, le nombre de pauvres a augmentéde 630 000 alors qu’en même temps la richessenationale s’est accrue de 7% soit de 170 milliardsd’euros… » [et la population de 4% soit 2,6 millions,]
(Observatoire des Inégalités, 2018, p. 4)
Quid du « ruissellement » des richesses ?
Qui sont les pauvres en France ?
• 25% vivent dans une famille mono-parentale ;
• 67% ont au plus un CAP ;
• 35 % ont moins de 20 ans ;
• 67% habitent dans les grandes villes et leurs banlieues.
Source : Insee, données 2015
En prenant pour base les repères fixés en Europepour définir le taux de pauvreté (vivre avec moinsde 60 % du revenu médian) il y a 8,5 millions decitoyens pauvres en France, dont plus de 2,5millions d’enfants et d’adolescents (3 millions pourl’UNICEF) : un sur cinq. En réseau d'éducationprioritaire (REP), un sur deux. (Rapport, JPDelahaye, 2015)
On sait qu’à valeur scolaire égale, lesconseils de classe non seulement necorrigent pas les différences d’ambitionselon les catégories sociales et le sexe,mais les confirment souvent et peuventmême les renforcer.
Avis n°12 du Haut conseil à l’évaluation de l’école).
• Au CE2, 10 % des enfants d’ouvriers non qualifiés ont déjà redoublé au moins unefois, contre 1,3 % de ceux d’enseignants, (2013)
• 72,1% des enfants orientés en SEGPA sontissus de la PCS “défavorisée” (DEPP, 2015)
• Parmi la population pauvre, 44 % n’aaucun diplôme, 6,2 % un niveau bac+2.
Rapport du CESE sur Les inégalités à l’école, Xavier Nau, sept. 11 et Observatoires des inégalités, 2012
Madame Touchais, Militante quart-monde.
« Familles école grande pauvreté : « Quand parents et enseignants s’en mêlent ». http://crdp2.ac-rennes.fr/blogs/familles-ecole-grande-pauvrete/
La pauvreté n’est pas un handicap, elle est
une injustice. Elle doitêtre combattue et
l’ecole doit y prendre toute sa part.
Claire Hedon, ateliers grandepauvreté et orientation, 2018.
Éd. Quart-monde.
Pourquoi est-ce si difficile ?
Jean-Paul DELAHAYE, (IGEN)
Grande pauvreté et réussite scolaire – Rapport de Jean-Paul Delahaye.
ESEN, 2015
Entendre les parents :Du témoignage à l’expertise
« On n’est pas là pour faire un témoignage, c’est bossé.C’est important que le monde de l’école comprenne quec’est un travail. On est même capable d’apporter autantqu’un chercheur, mais d’une façon différente. »
Peurs réciproques
Madame Vones Lancelot
« Familles école grande pauvreté : « Quand parents et enseignants s’en mêlent ». http://crdp2.ac-rennes.fr/blogs/familles-ecole-grande-pauvrete/
Deux obstacles à la rencontre___
• L’école est une forteresse !
➢Opacité, incompréhension…
• L’école est un lieu d’humiliation !
➢Jugement, dévalorisation…_____Et…
… un malaise (chez des parents) et un angle mort (chez les profs.)
« On ne parle pas le même langage »
« Pour les parents, parler est tout simplement une prise de risque énorme. »
Où sont les parents démissionnaires ?
Elodie Espejo-Lucas, Réseau Ecole ATD quart-monde, Rhône-Alpes
Une démarche originale de co-réflexion et de co-formation entre parents et professionnels de l’éducation, mobilisant des partenaires multiples sur le territoire de Pierre Bénite.
« En associant leurs parents, tous les enfants peuvent réussir. 2017 - 2019
Jean-Maurice Gauthier réseau école ATD Quart Monde
Partenaires de l’action « En associant leurs parents tous les élèves peuvent réussir »
Présentation de la démarche de croisement
• Une finalité :
• Contribuer à améliorer la réussite scolaire de tous les élèves, en travaillant la coopération entre les enseignants et les parents
• Des objectifs opérationnels :
• Créer des conditions d’une rencontre constructive entre les parents et les enseignants
• Avoir des effets sur les pratiques et les postures des enseignants et des parents participants à la démarche
• Identifier des leviers d’action
• Mettre en œuvre ces leviers
• Cela passe par :
• Travailler les représentations réciproques et les logiques d’acteurs
• Partager des éléments d’analyse de situations précises
• Identifier des leviers d’action
• Creuser des pistes d’action, en co-construisant des propositions d’amélioration et en lesmettant en œuvre (2ème année notamment)
• 5 rencontres en amont, entre mai et novembre 2017 pour les animateurs de cette co-formation (centre social, formatrices académiques 1er degré, réseau école ATD)
Le projet en quelques dates:
• Déroulement de l’action:
• Nombre de participants : 68, dont 30 enseignants et 30 parents
Des demi-journées entre pairs à la journée de croisement :
Quelques outils communs aux 2 groupes et des journées de croisements (3 sur les deux années)
Photo expression:
Métaplan :
Arbre des causes :
Leviers, obstacles :
Un exemple de réussite : D’un « malentendu » … à la mise en œuvre d’une proposition commune
1er temps: identification des obstacles à la relation, par groupes de pairs :
2ème temps: arbre des causes pour essayer d’entrer dans la logique de l’autre…
3ème temps: questionnement des représentations de l’autre, et réactions…
4ème temps: échanges et discussion, passer de l’incompréhension à la connaissance…
5ème temps: identification d’une thématique à travailler ensemble…
Les réactions aux écrits ont été exprimées, écoutées et ont permis de mieux se comprendre, la tension ressentie pendant la lecture est retombée très nettement pendant ces échanges :
« Gérer les différences culturelles » (affiché) : →« Ce n’est pas le sujet » « Ça m’a fait mal ! Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu’on n’est pas poli, qu’on n’est pas respectueux ? Qu’on n’éduque pas nos enfants ?» (parent)« Il y a des choses qu’on ne sait pas, qu’on ne peut pas deviner » (enseignant)
6ème temps: élaboration d’une proposition commune
• 7 rencontres du comité d’animation, entre septembre 2018 et mars 2019 pour les animateurs de cette co-formation (centre social, formatrice académique 1er degré, réseau école ATD, intervenant extérieur)
La démarche en 2018-19 :
• Déroulement de l’action:• 2 temps de concertation• 2 journées de croisement
• Nombre de participants : 45 dont 27 enseignants et 18 parents
6 repères pour une bonne coopération parents-enseignants
Identifiés lors du croisement de janvier 2019, retravaillés par le comité d’animation et proposés pour modification et validation ce 26 mars.
Construire une relation d’égal à égal
Des exemples concrets de bonne coopération qui, selon nous,
sont cohérents avec ce repère (pratique, posture, mode de
fonctionnement…) :• Laisser la parole en premier aux parents et les écouter• ne pas « convoquer » mais inviter• Temps de parole équivalent• Faire appel à une tiers personne pour être dans la médiation• Employer un langage simple et explicite• Avoir des lieux de dialogue (collectif) où s’expérimente plus facilement ces
relations d’égal à égal• Parler devant l’enfant seulement si c’est opportun (après en avoir discuté
entre adultes)
Des exemples concrets qui, selon nous, sont en contradiction
avec ce repère (pratique, posture, mode de fonctionnement…)
• Ne se voir que pour parler de ce qui ne va pas
• Commencer un entretien par des reproches, un ton agressif
• Accueillir les parents sur les chaises des enfants (si l’enseignant est à son
bureau?)
• Parler au portail de choses importantes (devant d’autres parents)
• Communiquer seulement par écrit, même quand c’est urgent, grave,… même
quand il n’y a pas de réponse
• Ne pas oser dire qu’on n’a pas compris
Description de ce repère :
Lutter contre un sentiment
d’infériorité et projection de
sentiment de supériorité sur
l’autre (enseignant et parent)
Simplicité de la parole
Être conscient de son statut
(et des rapports de force
implicites)
Réaffirmer l’égale dignité de
tous les interlocuteurs -
Considérer l’autre comme
une personne à écouter
Changer de regard
Médiation
Autres remarques :
égalité réciprocité
Un repère pour
une bonne
coopération entre
parents et
enseignants
Travail réalisé dans le cadre du projet « En associant les parents, tous les enfants peuvent réussir » - Pierre Bénite 2017-2019
REPERE N°2
Po
ur
con
tin
uer
Nom de l’action :
Ouvrir la classe aux parents
À partir de la proposition des
croisements 2018 :
Où en sommes-nous ?
- 2 classes se sont ouvertes
- 1 réunion « bilan » en présence des
parents
- Élaboration d’une charte du parent
observateur
- Le bilan a ouvert le débat sur les
méthodes d’apprentissage,
l’évaluation…
→ 35 familles sont venues à l’école
Quels obstacles sont apparus ?Comment les avons-nous surmontés ?
Comment pensons-nous les surmonter ?
- Parents intervenant pendant la séance
- Parent arrivant avec un enfant en
bas âge
- Usage du téléphone portable
→ Élaboration d’une charte
(éventuellement présentée par les
enfants ?)
→ Donner la parole aux parents lors des
10 dernières minutes ?
→ Mis en place de « billets » pour écrire
ses impressions ?
De quoi avons-nous besoin
pour aller plus loin, pour
débloquer ?- Parents devenant « acteurs »
pour encadrer un atelier
préparé par l’enseignant
- Demander aux parents
d’apporter une compétence à
l’école, un savoir…
- Proposer des activités simples
Pour continuer : très concrètement, comment on fait ? On se revoit quand, qui, pour faire quoi ? D’ici là qui avance sur quoi ?
Quoi Qui Quand remarque
Temps de réunion (conseil des maîtres) pour partager, présenter le travail fait, aux autres classes de l’école
Enseignants Avant les vacances d’été
Proposer aux parents de s’inscrire pour présenter un talent, un objet…
Parents / enseignants
Après l’ouverture de classe et encadrement d’une activité
Faire participerinvestir les parents dans des moments de classe (arts plastiques, défi math, séance d’EPS…)
Po
ur
con
tin
uer
Nom de l’action :
Cross collège Marcel Pagnol
À partir de la proposition des
croisements 2018 :
Où en sommes-nous ?
Accord de la direction
Quels obstacles sont apparus ?Comment les avons-nous surmontés
? Comment pensons-nous les
surmonter ?
Classe double niveau CM1 CM2
De quoi avons-nous besoin
pour aller plus loin, pour
débloquer ?
Temps de rencontre
Définir la formule, le lieu,
date, jour
Pour continuer : très concrètement, comment on fait ? On se revoit quand, qui, pour faire quoi ? D’ici là qui avance sur quoi ?
Quoi Qui Quand remarque
1er temps de rencontre Parents (Hanane, Alice, Valérie?, Sarah) et enseignants (collège primaire) (les 2 David, Julie, Delphine)
Créneau REP+ jeudi 13h-14h30 le 16/05
→ Communication interne au collège
→ Association AE3PE peut diffuser l’information aux parents
→ Question des CM2 en suspend
2ème prise de contact avec la mairie pour examiner les parcours possibles dans la ville
M Chautard →Mme Allouche
29 / 03
Po
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con
tin
uer
Nom de l’action : groupe parents ressources À partir de la proposition des
croisements 2018 :
Où en sommes-nous ? Quels obstacles sont apparus ?Comment les avons-nous surmontés
? Comment pensons-nous les
surmonter ?
De quoi avons-nous besoin
pour aller plus loin, pour
débloquer ?
Pour continuer : très concrètement, comment on fait ? On se revoit quand, qui, pour faire quoi ? D’ici là qui avance sur quoi ?
Quoi Qui Quand remarque
Avancer sur le livret pour la rentréeAvoir le 1er jet
Constitution du groupe de pros référents-qu’est-ce qui est attendu des prosRediscuter de notre proposition et la peaufiner ensemble (l’envoyer par mail)Continuer de porter le projet ensembleQue les pros l’adoptent (gros enjeu)
Mme LabenschMme BellangerMme Cervera, M HamdiMme Philippard (les 2, selon ordre du jour), Mme Chvetzoff, M Georges
1 soir ou mercredi
11/04 17h30 au collège avec Samantha, Fatjona, Messaouda, Zineb
Des éléments de bilan
• Quelques éléments extraits des bilans individuels remplis et discutés en petits
groupes mixtes le 26 mars 2019 – les « envies et projets de faire »…
Parler avec mon fils de son collège. Ça me conforte dans
l’importance d’avoir confiance dans la parole du
professeur / la parole de l’enfant (Parent)
Aller plus facilement vers l’enseignant et demander de « l’aide » avec moins d’appréhension. (Parent)
Me mettre à la place de mon
interlocuteur. (Professionnel de
l’EN)
Ne pas surréagir à
l’agressivité. (Professionnel
de l’EN)
Ecouter davantage les parents sur ce qu’ils ont à nous apporter. (Professionnel de l’EN.) Faire davantage attention à mes postures. (Professionnel de l’EN.)
Voir l’enseignant avec tous ses aspects ;
professionnel, humain, personnel… (Parent)
Expliquer / parler sans utiliser des termes ou acronymes incompréhensibles . (Professionnel de l’EN.)
• Quelques éléments extraits des bilans individuels remplis et discutés en petits
groupes mixtes le 26 mars 2019 – les « Besoins pour poursuivre »…
Des éléments de bilan
Développer des temps de rencontre comme ceux-là.
(Parent)
De professionnels pour nous
aiguiller. (Parent)
D’un groupe parents ressources et des échanges plus souvent. (Parent)
D’un espace pour recevoir les
parents. (Professionnel de l’EN.)
Groupe ressource essentiel permettra à l’avenir
un + pour parents et enseignants. (Professionnel
de l’EN.)
De temps pour du recul, m’arrêter sur ma
pratique, la questionner. (Professionnel de l’EN.)
Institutionaliser cette
culture de la relation
parents/enseignants
(Professionnel de l’EN.)
Besoin de temps et de la reconnaissance de la
nécessité de ce temps.(Professionnel de l’EN.)
Tout ce dont nous n’avons ici pas parlé…
• Les pédagogies adaptées, différenciées encourageant la coopération ;
• Le conflit de loyauté ;
• Le nombre d’élèves par classe ;
• La formation des (jeunes) enseignant-es ;
• Les fédérations de parents d’élèves ;
• Le travail d’équipe ;
• Le projet d’établissement ;
• La carte scolaire ;
• Les rythmes scolaires et le rapport au temps ;
• Etc. etc. etc.
Eléments de blibliographie
• FELIX, Régis et collectif, (2013),Tous peuvent réussir ; Partir des élèves dont on n’attend rien, Chroniques sociales, ATD quart-monde.
• Ateliers grande pauvreté et orientation, éd. ATD Quart-Monde, 2018.
• Rapport sur la pauvreté en France, Observatoire des inégalités, 2018
• GRARD Marie-Aleth, (2015),Une école de la réussite pour tous, CESE.
• DELAHAYE, Jean-Paule, (2015), Grande pauvreté et réussite scolaire, Le choix de la solidarité pour la réussite de tous, M.E.N.
• NAU, Xavier, (2012),Rapport du CESE sur Les inégalités à l’école, CESE.
Sites
• https://www.reseau-canope.fr/notice/familles-ecole-grande-pauvrete.html
• http://www.esen.education.fr/fileadmin/user_upload/Modules/Ressources/Conferences/html/15-16/delahaye
Merci de votre [email protected]
