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ceNtre HoSPItALIer HeNrI MoNDor50 avenue de la république 15000 Aurillac tél. 04 71 46 56 56 www.ch-aurillac.fr
NTIDOTEoctobre 2016 - N°78
Le Centre HospitaLier Henri Mondor d’auriLLaC
support du GroupeMent HospitaLier de territoire
Renouvellement de l’IRM : une machine plus performante pour plus de patients P1
Nouvelle salle de radiologie aux urgences P2
Spectacle En corps (dé)liés P3
Qualité P4
Dr Yasmine Mokaddem, Médecin au Département d’Information Médicale
Dr Gaëtan Breysse, Médecin au Département d’Information MédicaleP5
Zoom sur... Naissance du Groupement Hospitalier de Territoire Cantal P6, 7
Zoom sur... suite P8
Devenez Visiteur des Malades des Établissements Hospitaliers P9
Le Laboratoire du Centre Hospitalier accrédité sans écart P10
Naissances, mariages, mouvements P11
Fête de la gastronomie, Une Fresque devant l’hôpital de jour des médecines,
Congrès SRAAP, Journée de la psychiatrieP12
CESU : remise de diplômes à des élèves de Giou de Mamou
Aménagement des patios au Centre Jean Vignalou
dépistage cancer du sein - octobre rose
P13
P 14
A la lecture de ce numéro, vous découvrirez que le Laboratoired’analyses biologiques de l’Etablissement, engagé dans unedémarche d’accréditation comme tous les laboratoires, obtientd’excellents résultats après le quatrième audit COFRACpuisque aucun écart n’est constaté. Aux dires de l’auditeur, cerésultat est relativement rare.J’ai ainsi le plaisir de voir la confirmation de l’implication desprofessionnels du Laboratoire, mais aussi de tous ceux quidans l’Etablissement travaillent pour ou avec le Laboratoire,dans une démarche d’évaluation, de remise en cause de leurspratiques au service de la qualité de la prestation assurée auxpersonnes qui s’adressent au Centre Hospitalier Henri Mondorpour leur santé.C’est ce même constat de mobilisation , d’implication et de re-mise en cause, de l’ensemble des professionnels de l’Etablis-sement que j’ai pu faire à l’issue de la visite de certification dela Haute Autorité de Santé en avril dernier.Ce sont là des signes extrêmement positifs que je ne peux quesouligner dans un contexte de fortes contraintes auquel estsoumis le monde hospitalier.Car, face à ces contraintes, dans un monde qui change en per-manence, l’adaptation, la remise en cause semble être la seulevoie possible, tout en respectant ses valeurs et son identité,afin de répondre à des besoins qui évoluent.Il nous faut avoir l’humilité de garder à l’esprit que la véritéd’aujourd’hui sera l’erreur de demain, et que les connaissancesactuelles sont l’addition d’erreurs rectifiées.
Édito
Dans ce journal
DIrecteur De PubLIcAtIoNet De réDActIoN
Pascal TARRISSON
coMIté De réDActIoNEquipe de Direction
Sylvie BOUDOUVirginie CALVET
SecrétArIAt De réDActIoNMISe eN PAge
et PHotogrAPHIeSService communication
du Centre HospitalierImprimerie Albédia
Dépôt légalNuméro ISSN 1268-2012
tirage : 500 exemplaires
Dessins : Mary Brunet
Une médecinehumaine,
de qualité,de proximité accessible en
permanence à tousun collectif de
professionnels etun plateautechnique
performants auservice de votre
santé.
pascal tarrisson, directeur
Actualité
1
Grâce à l’intégration des techno-
logies avancées Tim® 4G et Dot®,
le MAGNETOM Aera marque une
étape en imagerie IRM 1,5T.
En effet, cette machine plus per-
formante, dotée d’un tunnel d’une
large ouverture de 70 cm offre un
meilleur confort patient et permet
de réaliser une gamme complète
d’examens adaptée à tous les
types de patients.
Les avantages :- Confort élevé pour le patientgrâce au tunnel à large ouverturede 70 cm associé à un aimant court(145 cm)- Productivité améliorée avec Tim4G + Dot- Une gamme complète d’applica-tions pour la routine clinique et larecherche.
Technologie Dot intégrée :Véritable technologie de pointe,Dot permet de personnaliser l'exa-men en fonction du patient, de selaisser guider pas à pas et d'auto-matiser les processus.
Les avantages :- une cohérence et une reproduc-tibilité accrues des examens- Une plus grande facilité d’utilisa-tion- une productivité améliorée- les antennes ultra-haute densitéles plus récentes - un nombre de canaux de récep-tion très élevé.
La technologie Tim 4G intégrée :Tim 4G est la technologie de pointequi vous offre de nouvelles possi-bilités en IRM :- des images en haute résolution,- une vitesse d’acquisition et d’exa-men améliorée,
Confort pour les patients : Le tunnel à large ouverture de 70cm et l’aimant court de 145 cm ca-pots compris permettent d’exami-ner des patients aux typologies ouaux besoins spécifiques,- un design orienté patient et desantennes légères,- réalisation de plus d’examensgrâce à moins d’échecs potentiels,- des images plus nettes (diminu-tion des mouvements liés àl’anxiété),- un design plus adapté pour lespatients claustrophobes,- aide à réduire l’administration desédatifs, la peur et l’anxiété,- permet plus d’examens avec latête en-dehors de l’aimant,- couvre une large typologie de pa-tients : enfants, obèses, maladesatteints de pathologies lourdes, decyphose, ayant des problèmes res-piratoires, algiques, à mobilité ré-duites, claustrophobes et anxieux.
Marc Salavert,Cadre supérieur Imagerie médicale
Renouvellement de l’IRM : une machine plus performante pour plus de patients
Les locaux ont été réaménagés.
Ici, la salle d’attente
Afin de moderniser et de renfor-cer son plateau technique d’Ima-gerie, le Centre Hospitalierd’Aurillac s’est récemment dotéde deux nouvelles salles de ra-diologie numériques de marquePRIMAX acquises via l’UGAP, lacentrale d’achat public.
C’est grâce à son excellent posi-tionnement clinique et écono-mique que le choix del’établissement s’est porté sur laCLISIS EXEL DRF.Cette décision s’inscrit dans unedémarche d’amélioration de laprise en charge patient, par leremplacement de salles de radio-logie en fin de vie, et d’optimisa-tion des coûts, en privilégiant lasolution sélectionnée par unecentrale d’achat.La CLISIS EXEL DRF est une salletélécommandée qui intègre uncapteur plan qui permet de nu-mériser «en direct» les clichés ra-diologiques (en statique ou endynamique). Pour développerson système de numérisation,PRIMAX a travaillé en partenariatavec la société française THALES,leader mondial dans la concep-tion et la fabrication des capteursplans.
Ainsi, plus besoin de développerdes films ou de manipuler descassettes : le manipulateur radioobtient en quelques secondes lecliché radiologique sur son écrande visualisation.
Outre un temps d’examen rac-courci, la CLISIS EXEL DRF intègretous les outils permettant de ré-duire considérablement lesdoses délivrées aux patients (de30 à 70% selon le type d’exa-men).La sécurité et le confort des pa-tients sont également assurésgrâce à l’ergonomie de la table
qui vient faciliter grandement letravail des manipulateurs radio,notamment grâce à : un accèsdes 4 côtés du plan de table, unplan de table descendant trèsbas, une caméra de centrage etdes programmes anatomiquesdédiés qui garantissent une qua-lité d’image avec le moins dedose possible.
En complément, la salle qui estdédiée au service des urgencesintègre également une suspen-sion plafonnière et un capteurplan Wifi fabriqué par tHaLes.Ces deux éléments viennent ren-forcer les performances cliniquesde la CLISIS EXEL DRF en permet-tant la réalisation de clichés surdes patients à mobilité réduite etpolytraumatisés, sur brancard oualités.
Marc Salavert,Cadre supérieur Imagerie médicale
Actualité
2
Nouvelle salle deradiologie aux urgences
3
Ayant accompagné durant plusieurs an-nées sa mère atteinte d'une maladieneuro-dégénérative, apparentée à alz-heimer, Isabelle Peuehlestrade auteur,metteur en scène, actrice à la Compa-
gnie de l'lntime, nous fait délicatemententrer ici, dans l’intimité d'un vécu, dansle secret d'un lien, à travers un mono-logue où se mêlent plusieurs voix : « Encorps (dé)Iiés ».«En corps (dé)liés» nous convie tout enfinesse sur une route qui mène de la vieà la vie, de la vie à la mort, de la souf-france à la sérénité, du chaos à la paix.Chorégraphe : Pedro PauwelsActrice : Isabelle PeuchlestradeDanseuse : Francesca BonatoCréatrice Lumière : Evelyne Rubert
Un monologue écrit pour le théâtre, mê-lant aux mots, la danse. Un corps à corpsentre une actrice et une danseuse. Uneétreinte sans fin pour deux corps.«En corps (dé)liés» est une histoired'amour. Une histoire d'amour entreune fille et sa mère. La mère est malade.La fille l’accompagne.
Le parcours de deux femmes à travers lamaladie d'Alzheimer.
Spectacle En corps (dé)liés
(...) Un texte intensément, foncièrement drama-
tique/poétique, qui va solliciter le spectateur, qui
va lui demander de laisser vivre ses émotions. (...)
Michel Thion - Poète, écrivain -Directeur de théâtre durant 25 ans.
(...) «En corps (dé)liés» restitue avec force et émo-
tion ces moments de bascule, quand la maladie
qui grignote la mémoire fait accoster aux rivages
où «nous sommes arrivés, tous ensemble, au
bout de notre aide». «En corps (dé)liés» ou l'ai-
mante permanence du lien...
Michel Boyer. Médiathèque d'Aurillac.
rendez-vous le 3 novembre
à 20 heures au Self du
centre Hospitalier pour
assister à ce spectacle.
entrée 10 euros
ouvert à tous
Actualité
Démarche qualité
4
certification des établissements de santé par la Haute Autorité en Santé. Comme suite à la visite du Centre Hospitalierd’Aurillac par les experts de la HAS fin avril 2016,le processus de validation du rapport de certifi-cation a été engagé. La phase de formulationd’observations vis-à-vis des constats des expertss’est terminée mi-juillet. Nous sommes dans l’at-tente du passage de notre dossier devant la com-mission dédiée.
Le recueil de données sur le 2ème trimestre 2016 a concerné lesindicateurs transversaux : dossier de MCO, SSR, HAD, Psychia-trie, Anesthésie, fiche de Réunion de concertation pluridiscipli-naire en Cancérologie. Les différents critères constituant cesindicateurs concernent l’ensemble du circuit du patient : la tra-çabilité de l'évaluation initiale de l'état de santé du patient, del'identité, de la prise en charge de la douleur, du courrier / do-cument de sortie (et des délais), de la prise en charge pluridis-ciplinaire, de la prise en charge médicamenteuse, du dépistagenutritionnel, de l’évaluation du risque d’escarre, ... Les résultatsdu CH et les comparatifs nationaux ont été communiqués à l’en-cadrement médico-soignant pour diffusion au sein des services.Les résultats officiels seront publiés fin novembre sur le site in-ternet « scope santé » après les contrôles de qualité du recueilréalisés dans certains établissements. Pour rappel, les indica-teurs relatifs à la lutte contre les infections nosocomiales fontégalement partie des indicateurs nationaux.
Indicateurs Nationaux pour l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins (IPAQSS)
Le Groupe de réflexion éthique a engagé laréalisation d’un état des lieux sur le sujet ensollicitant l’ensemble des professionnels duCH. Les 479 retours sont en cours d’analyse.
groupe de réflexion éthique
L’interface de navigation graphiqueaméliorant l’ergonomie d’accès aux pro-cédures et formulaires validés dans lecadre de la démarche d’améliorationcontinue de la qualité et de la sécuritéde la prise en charge des usagers, pour-suit son développement. La page d’ac-cueil, qui a été actualisée, estdorénavant ouverte en première inten-tion (la page de recherche concernanttous les documents reste accessible).Toutes les pages identifiées n’ont pas étécréées car cela nécessite d’avoir préala-blement intégré une majorité des docu-ments dans la base.Suite à l’intégration ou à la révision de ladocumentation associée à certains pro-cessus, de nouvelles pages ont été éla-borées dans une logique de descriptiongénérique dudit processus. Elles sont ac-cessibles en test mais susceptibles d’êtrerevues en profondeur en relation avecles services concernés. Les services peuvent solliciter le servicequalité pour créer ou actualiser unepage.Sur le 1er semestre 2016, il y a eu 10106consultations en accès public, soit plusde 55 par jour, et 133 documents (pro-cédures, formulaires …) ont été mis enapplication (dont 62 dans le cadre d’unerévision). La préparation de la certifica-tion se ressent (en 2015 respectivement11053 et 163).
Logiciel de consultation des documents internes
Dr Yasmine Mokaddem, Médecin auDépartement d’Information Médicale
Dr Gaëtan Breysse, Médecin au Département d’Information Médicale
Mme le Dr yasmine MOkADDEM a été re-crutée il y a 6 mois au Centre Hospi-talier d’Aurillac, en tant que médecinDIM.
Quel est votre cursus ?D’origine algérienne, j’ai fait mesétudes médicales avec une spécialisa-tion en épidémiologie et santé pu-blique en Algérie. Puis, j’ai validé unMaster 2 Pro à l’université d’Aix-Mar-seille. Je suis lauréate de la procédured’autorisation d’exercer depuis 2014.
pourquoi aurillac ?Il s’agit de mon premier poste. Je suisheureuse de travailler pour le Centrehospitalier d’Aurillac car tous les sec-teurs d’activité sont représentés, cequi est très intéressant pour la fonc-tion que j’occupe. Je dois en effet merendre dans tous les services de soinspour coder et rendre compte de l’ac-
tivité de soins dans l’établissement.C’est un travail d’équipe, un travailtransversal qui participe à la valorisa-tion de l’effort de soins et au pilotagemédico-financier de l’établissement.Je participe également à la réalisationde tableaux de bord d’activités dansles services hospitaliers.
Quels sont vos projets ?Je souhaite approfondir mon exper-tise et mon savoir-faire de tous lessecteurs d’activité, afin d’améliorerencore mon rôle de conseil auprès despraticiens hospitaliers. Enfin, notreprochain défi sera de répondre auxnouvelles organisations sanitaires duGroupement Hospitalier de Territoire.
Le Dr Gaëtan BREySSE a été recruté entant que médecin DIM au Centre hos-pitalier d‘Aurillac depuis fin août2016.
Quel est votre cursus ?J’ai fait un internat de santé publiqueà Clermont-Ferrand à l’issue duquelj’ai obtenu le diplôme DES santé pu-blique et médecine sociale ainsi qu’unMaster 1 & 2 «Méthodologie et statis-tiques en recherche biomédicale»(Kremlin-Bicêtre)..
pourquoi aurillac ?J’avais fait un stage de 6 mois au DIMdu CH d’Aurillac dans le cadre de mesétudes. C’est pourquoi le Dr MOSSER
m’a contacté lorsqu’il a su qu’il partaità la retraite. Mon travail consiste à coder l’activitéde soins dans les services, aider à laréalisation de tableaux de bord et d’ac-
tivité. Ces données sont ensuite en-voyées à l’Agence Régionale de Santéqui décide de l’attribution d’enve-loppes budgétaires ; c’est pourquoi mafonction de médecin DIM a une inci-dence sur l’activité de l’établissement.Aussi, je travaille en étroite collabora-tion avec les soignants, l’équipe duDIM et la Direction de l’établissement.
Quels sont vos projets ?Mettre en place de nouvelles organi-sations avec l’ensemble des établisse-ments qui constituent le GHT. Je souhaiterais mettre à profit mesconnaissances en terme de biostatis-tiques afin de développer des étudescliniques et analyses de données.
Trois personnes, une fonction
Dr Jonathan DUCHENNE« Le Dr Jonathan DUCHENNE est le responsable de l’UF du SAMU au sein du Pôled’Addictologie et de Médecine d’Urgence. Il est membre de la commission desréférentiels de la Société Française de Médecine d’Urgence (SFMU). À ce titre,il participe à l’élaboration de recommandations professionnelles, en partenariatavec d’autres sociétés savantes, telles que la “Prise en charge de l’anaphylaxie”,“Premier niveau de compétence pour l’échographie clinique en médecine d’ur-gence.”, “Prise en charge de la fibrillation atriale”, “triage en structure des ur-gences”… Il a coordonné également la participation à la recherche clinique enmédecine d’urgence au sein du service et a été l’investigateur principald’une étude biomédicale publiée dans le British Medical Journal Open.Il publie régulièrement des analyses d’articles scientifiques. Le relais del’élaboration et de la coordination de la recherche au sein du Pôle estactuellement pris par la Dr Anne-Lise Pradel-Thierry de qui a égalementune expérience dans ce domaine. » 5
Le 1er juillet dernier une conven-
tion constitutive du GHT a été
signée pour 10 ans, en partena-
riat avec le CH de Clermont-fer-
rand, entre les centres
hospitaliers de Saint-Flour,
Chaudes-Aigues, Murat, Condat,
Mauriac et Aurillac ; le Centre
Hospitalier d’Aurillac ayant été
élu établissement support.
Cette convention a été actée
dans l’équilibre et le respect de
chaque partie et des coopéra-
tions existantes.
Accès aux soins urgents et non programmés- Développement de la Fédération Médicale d’Urgence surl’est du territoire.
- Réflexion sur l’accueil non programmé du CH de Murat.
Développement des
prises en charge ambulatoires- Développement du service d’HAD départemental (ouver-ture d’une antenne au CH de Saint-Flour et mise en servicede l’antenne du CH de Mauriac).- Développement de l’activité de chirurgie ambulatoire duCH de Saint-Flour.
Organisation commune des
plateaux médico- techniquesimagerie médicale :Le CH d’Aurillac va soutenir l’organisa-tion de cette activité aux CH de St-Flour, de Mauriac et de Murat :- Aide aux recrutements médicaux etparamédicaux en lien avec le CHU, - Télé-interprétation commune, - Accès à l’IRM pour les radiologues duCH de St-Flour- Accès au scanner pour les médecinsurgentistes du CH de Mauriac,- Radioprotection commune,- Projet de Santé Publique en sénologie.
6
Zoom sur... Naissance du Groupem Projet médical et projet de so L’ensemble des acteurs du GHT ont décidé
des orientations stratégiques suivantes :
Les valeursfondamentales
- Égalité d’accès aux soins des patientset résidents, quelle que soit leur condi-tion,- neutralité à l’égard de toute questionpolitique, religieuse et philosophique,- Continuité et permanence des soins24h/24, 365j/365,- adaptabilité permanente afin de ré-pondre à l’évolution des besoins.
OBJECTIFS- prise en charge graduée du patient- garantie de l’offre de soins de proximité.
Centre hospitalier de saint-Flour
Centre hosp
Centre hospitalier de Chaudes-aigues
Biologie : Une réflexion sera engagée afin de déterminer les plus-values, qualitatives et économiques, que pourrait appor-ter une organisation commune dans le cadre du GHT.pharmacie : La réflexion sera engagée sur la base de l’Ordonnance à paraître.
Filières
«populationnelles» Gériatrie :- Création d’une fédération de médecine gé-riatrique, ou d’un pôle inter-établissements(soutien à l’organisation et aux effectifs mé-dicaux)- Définition d’une filière gériatrique hospi-talière et médico-sociale du GHT en matière
de géronto-psychiatrie et de psycho-gériatrie, de soinssomatiques, de bilan et d’évaluation ; en lien avec les ser-vices d’accueil des urgences du territoire.Femme-enfant : - Soutien à l’équipe de sages-femmes et à la pédiatrie duCH de St-Flour.- Développement de consultations avancées de pédiatrie.- Organisation commune en sénologie.
Filières spécialiséessanté mentale :Les axes de coopération entre leCH d’Aurillac et le CH de St-Flourseront précisés dans le cadre de laconstruction du Projet Médical Par-tagé par filière de soins.Le rôle de recours départemental,de l’unité de géronto-psychiatrie«Deniker» du CH d’Aurillac doitêtre affirmé.Médecine polyvalente : Création d’une fédération de mé-decine polyvalente, ou d’un pôle
inter-établissements (soutien à l’organisation et aux ef-fectifs médicaux).
Cardio-vasculaire : - Développement des consultations avancées.- Création de postes partagés avec le CH de Saint-Flour.- Développement des outils de télé-cardiologie.digestif : Création de postes partagés avec le CH de St-Flour. appareil locomoteur (chirurgie traumatologique, ortho-pédique et rééducation) :- Création de postes partagés avec le CH de Saint-Flour.- Complémentarité des orientations entre les plateauxtechniques.orL/ maxillo-faciale/stomatologie :Renforcement des consultations et interventions avan-cées.ophtalmologie :- Développement de consultations et d’interventionsavancées sur le territoire.- Développement de la délégation d’actes à des orthop-tistes.
7
ment Hospitalier de Territoire Cantal oins partagés du Groupement Hospitalier de Territoire
pitalier de Condat
Centre hospitalier de Mauriac
Centre hospitalier de Murat
Filières et activités transversalesoncologie :- Développement de consultations avancées en oncologie et en hématologie aux CH de St-Flour et deMauriac- Mise en place d’une activité d’administration des chi-miothérapies anti-cancéreuses au CH de Mauriac(préparation au CH d’Aurillac)- Développement de l’activité de chimiothérapie anti-cancéreuse au CH de St-Flour - Développement d’un projet de Santé Publique en sé-nologie sur l’ensemble du territoire, inséré dans leprojet global sur l’ensemble de la filièreen lien avec le CHU et le centre anti-can-céreux- Développement d’un Projet de SantéPublique sur le territoire afin d’améliorerle dépistage du cancer colorectal. soins critiques :Réflexion sur l’association du CH de St-Flour à la restructuration en cours de lafilière soins critiques du bassin d’Aurillac.soins de suite/réadaptation/rééducation :- Renforcer une filière publique de l’ap-pareil locomoteur en s’appuyant, notam-ment, sur le SSR de Chaudes-aigues et lesservices de chirurgie orthopédique duterritoire.- Renforcer la filière publique de réédu-cation neurologique en s’appuyant, notamment, surle SSR Chaudes-aigues, le service de neurologie du CHd’Aurillac et les services de médecine du territoire.- Développer l’intervention de médecins de MPR dansles services de SSR du territoire.Dans un second temps, le cas échéant, un travail departenariat pourra être construit avec les SSR de statut privé.
Filière santé publique- Le CH d’Aurillac a structuré un Pôle de Santé Publique comprenant les activités :PASS, victimologie, médecine légale, activités de vac-cination, centre antirabique, centre de lutte contre latuberculose, CEGGID, consultations addictologie, algologie, diététique, éducation thérapeutique.- Dans le cadre du GHT, il s’agit d’aller vers une Fédé-ration de Santé Publique ou un Pôle inter-Etablisse-ments.
Filière addictologieA partir du service d’addictologie du CH d’Aurillac dontle rôle de référence doit être développé, renforcerl’accueil et les soins de proximité sur le territoire.
Activité de soins palliatifsPoursuivre le soutien à l’activité de soins palliatifs surl’ensemble du territoire, notamment au CH de Muratqui dispose d’une unité de lits identifiés et au CH deMauriac ; ceci, à partir de l’unité du CH d’Aurillac.
Activités d’hygiène et d’infectiologie- Poursuivre la structuration du projet départementald’hygiène associant les Etablissements médico-sociaux.
Les techniques de télémédecine, déjà bien engagéessur le territoire, seront utilisées chaque fois que celaparaîtra possible et opportun.
8
Zoom sur... suite
Le Comité stratégique du GHT
Glossaire
HAD : Hospitalisation à domicileUHR : Unité d’Hébergement RenforcéeMPR : Médecine Physique et de RéadaptationSSR : Soins de Suites et de RéadaptationPASS : Permanence d’Accès aux Soins de SantéCEGGID : Centre Gratuit de Dépistage et de Diagnostic
II est important de bien visiter. Celane s'improvise pas. Une formationadaptée, en diverses étapes sera né-cessaire pour permettre au visiteurd'approfondir son action. Elle complé-tera l'initiation que vous aurez reçuelors de vos premières visites accom-pagnées.Les réunions de formation se présen-tent sous différentes formes, animéespar une personne compétente de l'as-sociation ou venant de l'extérieur :exposés, groupes de travail, tablesrondes, carrefours, groupes de pa-role... Elles sont des moyens d'enri-chissement, de contacts, d'échangesd'expériences toujours fructueux : lenouveau Visiteur y prend consciencede son appar-
tenance à une association qui l'aide etle soutient. II y apprend la psycholo-gie des malades et des personnesâgées, l'esprit de la visite, la manièrede la pratiquer, l'organisation dumonde hospitalier et son fonctionne-ment. La réflexion en équipe permetde mieux connaître tout ce qui peutaider la personne visitée et de se per-fectionner pour lui apporter le maxi-mum.Le Visiteur confirmé apporte son ex-périence et les échanges lui permet-tent d'éviter les dangers de la routinedans un milieu qui évolue constam-ment. II est impossible à l’heure ac-tuelle d'être efficace par ses seuls
moyens. Un travail enéquipe est
indispensable.II vous est également proposé :- des conférences d'intérêt généralpar un médecin, un directeur, uncadre infirmier, un psychologue, etc...- le Bulletin du Centre National deLiaison V.M.E.H. vous renseigne surla vie du mouvement à l’échelon na-tional.- l'assemblée générale annuelle quirassemble les visiteurs informe de lavie de la V.M.E.H. dans le départe-ment.La formation V.M.E.H. vous permettrade tirer le meilleur parti de vos quali-tés de Visiteur. Il vous appartiendrade vous inscrire au cycle de formationcompatible avec votre dispo-nibilité et de le suivre avec
assiduité.
9
La VMeH C’est quoi ?La V.M.E.H. est un mouvement associatif regroupantdes bénévoles qui visitent les malades, enfants,adultes, handicapés et personnes âgées, dans les éta-blissements hospitaliers et les maisons de retraite.Les visiteurs V.M.E.H., venant de l'extérieur, appor-tent de façon régulière aux personnes hospitaliséeset plus particulièrement aux malades isolés, une pré-sence, une écoute, un échange. Ils assurent, chaquesemaine, plus de 50000 visites dans un millier d'éta-blissements.
pour qui ?Les malades hospitalisés atteints plus ou moins gra-vement, privés de leur activité habituelle et de leurenvironnement, inquiets...Les personnes âgées en établissements longs etmoyens séjour, en maison de retraite privées de leurcadre de vie, éloignées de leur milieu familial, se sen-tant en marge de la société, sans espoir...Comment les aider ?Vous êtes sensible à la situation de ces malades hos-pitalisés et de ces personnes âgées.Rejoignez nos équipes devisiteurs bénévoles qui œu-vrent au sein du CentreHospitalier Henri Mondord’Aurillac et qui se sont en-gagés à consacrer quelquesheures chaque semaine à lavisite des malades et de lapersonne âgée.
devenir visiteurSi les besoins matériels des malades sont moindresqu'autrefois, si les soins apportés sont plus efficaces etmoins douloureux, il y a toujours autant d'isolement etde souffrance morale. Les visiteurs V.M.E.H. ont leurplace dans le mouvement d'humanisation des établis-
sements hospitaliers. Le Visiteur bénévoles'intéresse à la personne humaine. Il est uneprésence vivante, disponible à tous. Vousfaites partie d'une équipe reconnue parl’établissement, animée par un responsableV.M.E.H. qui vous présentera au cadre infir-mier supérieur et au personnel hospitalierdu service qui vous est attribué. C'est lui quiassurera votre initiation en vous guidantdans vos premières visites.
La vie de l’établissementDevenez Visiteur des Malades des Établissements Hospitaliers
Contacts :WMEH Centre Hospitalier Henri Mondor50, avenue de la république 15000 Aurillac - Tél. 04 71 46 56 56 Léone RIGAUDIERE, Présidente6, rue du Veinazès 15000 Aurillac - Tél. 04 71 48 29 34
Votre formation en tant que visiteur
Les membres des VMEH
10
La vie des servicesLe Laboratoire du Centre Hospitalieraccrédité sans écartUn nouvel (et quatrième) audit
COFRAC s’est déroulé les 1er et 2
août dernier au laboratoire du
CH : l’évaluateur n’a relevé
aucun écart.
Cette visite de surveillance (S2)
marque le franchissement de
l’étape obligatoire d’accrédita-
tion des laboratoires dont la
première échéance est fixée au
31 octobre 2016.
L’objectif de l’évaluation est devérifier que les dispositions du
laboratoire sont bien en accordavec les recommandations debonnes pratiques et la régle-mentation normative.
Ainsi, l’auditeur a observé laconformité des exigences :• générales et structurelles :contractualisation, respect de la
règlementation, efficacité etpertinence de l’organisation…,• relatives aux ressources hu-maines, aux installations, auxmatériels et équipements, auxachats…,• de sous-traitance des exa-mens,• de réalisation des examensdans les processus pré-analy-tiques, analytiques et post-ana-lytique,• en relation avec le système demanagement de la qualité : maî-trise des documents, actionspréventives, correctives etd’amélioration,• de gestion de la portée flexible(examens accrédités).
Cette visite s’est soldée parquelques remarques et points àsurveiller ainsi qu’un certainnombre de points forts dont lacompétence technique, l’impli-cation et la motivation de l’en-semble des acteurs. En conclusion, l’évaluateur a ex-primé sa confiance au labora-toire pour la réalisation desexamens et prestations enconformité avec les exigencesd’accréditation.
Véronique nanGeroni,Cadre supérieur Laboratoire
Le Laboratoire accueille le public afinde réaliser des examens de Biologie,avec ou sans RDV :- du lundi au vendredi de 8H à 18H- le samedi de 8H à 13HSe présenter à l’accueil des urgences ouHall de l’EMC pour établir un Bon deconsultation puis se rendre au 3ème
étage du bâtiment des urgences (par-cours fléché vert).
Le 10 juin dernier a eu lieu la 12ème Journée de l’association descadres de laboratoires hospitaliers du sud-ouest, qui avait pourthème : l’accréditation de l’activité de gazométrie au laboratoire enbiologie délocalisée»
reCruteMents :Monsieur Le doCteur BouZid Kaïs
praticien attaché associé temps plein en psychiatriedepuis le 16 août 2016.
Monsieur Le doCteur BreYsse Gaëtan
praticien contractuel temps plein au DIM depuis le 22août 2016.
Monsieur Le doCteur BattisteL aLessandro
praticien attaché temps partiel (4 demi-journées heb-domadaires) en neurologie – Prise de fonction le 19septembre 2016.
MadaMe Le doCteur iorGa raluca eugéniaAssistant spécialiste en ophtalmologie – Prise de fonc-tion le 1er octobre 2016.
Monsieur Le doCteur MaKHLouF Yasar
praticien attaché associé temps plein en chirurgie or-thopédique – Prise de fonction le 1er octobre 2016.
Mou
vem
ents
méd
ecin
s
11
Naissances, mariages
Mariages
enfantDate de
naissanceParent hospitalier Grade Service
Margaux BARBES 31/05/2016 GIMEL Julie Infirmière Réanimation
Mathéo POUSSERGUES 12/04/2016 DELORME Marion Diététicienne Diététique
Léane SERIEYS 24/02/2016 BONNET Marie Infirmière Lurçat
Morgane GIBERT 17/06/2016 CAUMON Marie Infirmière Lurçat
Zoé CHAVANON 27/06/2016 MICHEL Emilie Infirmière Addictologie
Jade GLADINES 07/02/2016 DELBOS Marine Infirmière Pneumologie
Charlotte BOUDOU-LESCURE 14/06/2016 LESCURE Olivia Adjoint Administratif Cardiologie
Antoine VIDAL 04/07/2016 LAJARRIGE Julie Infirmière Picasso
Maël CHARMES 06/03/2016 JAUBART Marion Infirmière Pierre Deniker
Augustine BOISSIERES 17/07/2016 BOISSIERES Aline Sage-Femme Obstétrique
Antoine GONZALEZ 23/07/2016 RIGOU Emilie Infirmière Pneumologie
Timéo VERDIER 18/05/2016 VERDIER Marilyne Infirmière Médecine B
Justine ROBERT 15/06/2016 LAROUSSINIE Delphine Infirmière Réanimation
Téo CAUMON 27/04/2016 JEAN Sandra Infirmière Hôpital de jour des médecines
Sacha POIGNET 28/07/2016 DEROOSE Caroline Aide Soignante M.A.SNolan ROUTET 17/08/2016 TOURLAN Delphine Infirmière Pneumologie
Anaïs INAN 12/08/2016 INAN Marilyne Infirmière Chirurgie Vasculaire
Emilie TEULADE 23/08/2016 TEULADE Fabienne Infirmière Unité Cognitivo-comportementale
Jeanne CARSAC 19/08/2016 CARSAC Anne Agent des Services Hospitaliers Les Bruyères
nom nom d'épouseDate du
MariageGrade Service
MOISSINAC Claire CHAMPAGNAC 16/07/2016 Infirmière Addictologie
MALBERT Martine DELOM 18/06/2016 Aide Médico Admistratif Imagerie Médicale
VERDOU Emilie FABRE 02/07/2016 Sage-femme Maternité
BOYER Laureline DEBLADIS 23/07/2016 Infirmière Psy 2 - Pierre Deniker
BALAZARD Laura LONGAN 06/08/2016 Technicienne de Laboratoire Laboratoire
COUDERC Aurore SERONIE 13/08/2016 Agent des Services Hospitaliers Les Genêts
LESCURE Christelle ROBERT 13/08/2016 Adjoint Administratif Bureau du Personnel
DRUOT Valérie CELLIER 03/09/2016 Préparateur en pharmacie Pharmacie
Naissances
Mouvements
Mou
vem
ents
cad
res - Madame riVaLdi Lydie est affectée temporairement, à
compter du 1er septembre 2016, Faisant Fonction de Di-recteur des Soins, suite au départ de Monsieur BUISSON - Monsieur riGaL Christophe est affecté temporaire-ment, à compter du 1er septembre 2016, Faisant Fonctionde Cadre Supérieur de Santé en Psychiatrie, en remplace-ment de Madame RIVALDI - Le Service de Nuit sera éga-lement placé sous sa responsabilité à compter de cettedate.- Madame BLeunVen Karine est affectée temporaire-ment, à compter du 1er septembre 2016, Faisant Fonctionde Cadre de Santé au service de Chirurgie A et Chirurgie C - Madame apCHer Maryline est affectée temporaire-ment, à compter du 02 septembre 2016, Faisant Fonctionde Cadre de Santé au service de Réanimation Soins Conti-nus, en remplacement de Monsieur ESTIVAL. - Madame ManHeVaL Catherine, à compter du 1er août2016, est nommée Cadre Supérieur de Santé du Pôle desMédecines et du Pôle Cardio vasculaire en remplacementde Monsieur FLORY.- Madame Bois Claire est affectée, à compter du 18 août2016, faisant Fonction de Cadre de Santé de Nuit en rem-placement de Madame MANHEVAL Catherine.
La 4ème Journée régionale de la psychiatrie et des professions
associées s’est dérouléeJeudi 6 oCtoBre 2016Croix Marine du Cantal
Espace Hélitas Boulevard Louis Dauzier
15000 AURILLAC
« Dépendance & Autonomie : des liaisons dangereuses ?...»
(A propos de l’addiction)
12
Journée de la psychiatrieCongrès SRAAPLe Congrès régional de la société régionale au-vergne d’accompagnement et de soins palliatifs(sraap) s’est déroulé au Centre des congrès,place des carmes à aurillac le 7 octobre 2016. Des professionnels de santé ont pu échanger au-tour de tables rondes sur le thème : «Le prendresoin soignant/soigné». De même, un spectacle de clown philosophiqueet poétique a été proposé au théâtre d’Aurillacle 6 octobre à 20h30.
Chaque année, la Fête de la Gastronomie metà l’honneur une thématique spécifique qui incite à la réflexion et à la découvertede la gastronomie française. Le thème choisi pour illustrer cette 6ème édition està l’image de la Fête de la Gastronomie : généreux, fédérateur et créatif.
Le service de restauration duCentre Hospitalier a participé le23 septembre dernier à cetteFête de la Gastronomie.Le thème cette année étant lacuisine populaire, le menu pro-posé était basé sur la pomme.Les producteurs d’agrilocalétaient présents au self.
Le Centre Hospitalier d’Aurillac a pour projet de fairefaire une fresque sur le mur situé en face des chambresde l’hôpital de jour des médecines à l’Espace Médico-Chirurgical. En effet, il s’agirait de faire venir sur site des élèves deBrevet des métiers d’Art et de CAP expression visuel duLycée Saint Géraud d’Aurillac. Ils effectueraient un tra-vail de recherche visuelle, feraient différentes proposi-tions, puis réaliseraient cette fresque après validationdu dessin retenu.
Fête de la gastronomie
En bref
Une Fresque devant l’hôpital de jour des médecines
Aménagement des patios au Centre Jean Vignalou
Grâce à une étroite collaboration
entre le CESU15 du centre hospita-
lier d'Aurillac( centre d’enseigne-
ment des soins d’urgence) et les
enseignants de l'école de Giou de
Mamou, en particulier Mme Pro-
sic , les élèves de CM1-CM2 ont pu
suivre une formation «prévention
et secours civiques de
niveau1»(PSC1) leur permettant
d'acquérir les savoirs et les com-
portements nécessaires pour pré-
venir une situation de danger, se
protéger et porter secours.
Pour cela ils ont bénéficié de dixheures d'enseignement sur lesthèmes suivants: alerter, se proté-ger, reconnaître les états de dé-tresse (victime inconsciente quirespire, arrêt cardiaque...) et lestraumatismes (osseux ou cuta-
nées), utiliser un défibrillateur.... Ils ont eu également le privilège dedécouvrir le service des urgenceset le SAMU de l'hôpital en visi-teurs! Cette formation a été vali-dée par une remise de diplômesqui s'est déroulée à l'école de Giou,lors d'une sympathique manifesta-tion réunissant les formateurs duCESU 15, les enseignants, M. God-barge, maire, M. Goudergues,conseiller délégué aux affaires sco-laires.Rappelons que le CESU15 du cen-tre hospitalier Henri Mondor, com-posé de professionnels de santéexerçant au quotidien dans unestructure d'urgence hospitalière,assure par ailleurs, des formationsspécialisées dans ce domaine etcomme le disent si justement cesformateurs «ils enseignent ce qu'ilspratiquent et pratiquent ce qu'ilsenseignent».
Fabrice Mercier,
Enseignant Centre d’Enseigne-
ment de Soins d’Urgence
En BrefCESU : remise de diplômes à des élèves de Giou de MAMOU
Des arbustes à fleurs et des vivaces ont été choisis pourcréer une ambiance de clairière au milieu des bois, qui setraduit par les odeurs, les couleurs qui font de ce lieu unendroit rafraichissant et reposant. Ces choix de plantationsont été pensés et réalisés avec la Maison Familiale et Ruralede Mauriac.
Olivier SELS, Responsable atelier jardins 13
Octobre rose
Les cancers du sein sont des maladies très diversesmais toutes caractérisées par une croissance cellulaireanarchique. Les cellules malignes se multiplient de ma-nière incontrôlable dans le sein. Les cellules cancé-reuses peuvent ensuite se propager dans toutl’organisme : on parle de «métastases».
Il est essentiel de surveiller attentivement les modifi-cations de votre poitrine, car plus il est détecté tôt, plusles chances de guérison d’un cancer du sein sontimportantes.Ainsi, toute grosseur nouvelle, ausein ou à l’aisselle, toute modifica-tion de la forme ou de la taille devos seins, tout écoulement par lemamelon ou encore tout change-ment notoire de l’aspect de la peaudu sein ou de l’aréole doivent êtresignalés à votre médecin, car ilspeuvent constituer les signesd’alerte du développement d’uncancer du sein.
Plus la détection de la maladie est précoce, plus leschances de guérison sont élevées. Il est donc très im-portant d’être bien suivie par un médecin généralisteou un gynécologue au moins tous les ans et de faire desmammographies tous les 2 ans à partir de 50 ans, dansle cadre du dépistage, si vous n’avez pas d’antécédent.Si vous présentez des antécédents, votre médecin a puvous proposer un autre schéma de surveillance. S’ilexiste dans votre famille des antécédents de cancersdu sein, mais aussi d’autres organes, comme l’ovairepar exemple, votre risque peut être augmenté. Parlez-en à votre médecin qui jugera de l’intérêt d’uneconsultation d’oncogénétique. Celles-ci sont dévelop-pées avec l’aide du Pr BIGON du Centre Jean Perrin surle site de l’hôpital pour toutes les patientes du dépar-tement. Vous pouvez aussi appeler le secrétariat du 3C (04 71 46 47 79) qui vous orientera.
Certains facteurs peuvent accroître les risques de cancer du sein :• la puberté à un âge précoce et la ménopause tardivesont des facteurs de risque.• mais il y a aussi des facteurs sur lesquels vous pouvezagir : l’alimentation trop grasse, le surpoids, le manqued’activité physique, l’excès d’alcool (au-delà de deuxverres de vin par jour). Alors que l’allaitement dont on connait les bénéficespour l’enfant, a aussi un rôle protecteur. On sait par ailleurs que l’âge de la première grossesseinflue sur le risque. Dans l’idéal, il faudrait avoir eu sonpremier enfant avant 25 ans et avoir plus de deux enfants.
Que sont les cancers du sein ?
Quels sont les symptômes ?
Le diagnostic
Facteurs augmentant les risques
Le Centre Hospitalier d’aurillac est engagé de-puis de nombreuses années pour la prise encharge de patients atteints de cancer en par-tenariat avec le Centre régional de Luttecontre la Cancer, le Centre Jean perrin de Clermont-Ferrand. en ce qui concerne le cancer du sein, le dr eric Fondrinier, ancien chef de département descentres de Lutte contre le Cancer, est à la dis-position de toutes les patientes qui souhaite-raient un avis, quel que soit leur problème (04 71 46 56 50). Le parcours de prise en charge qui a été mis enplace avec le centre Jean perrin garantit àtoutes les patientes une prise en charge dequalité, conformes aux recommandations na-tionales, et sans délai.
Cancer du sein ?je me renseigne :
je téléphone au 04 71 46 56 50
Au centre Hospitalier d’Aurillac