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Organisation et animation Lyne BOILEAU, Le Carrefour de la réussite au collégialLucie CHARBONNEAU, Consortium d’animation sur la persévérance et la réussite en enseignement supérieur (CAPRES)
Contexte
Deux programmes d’études préuniversitaires sont en récriture : Sciences humaines et Sciences de la nature.
Le renouvellement d’un programme cons�tue un moment clépour metre en place les condi�ons de l’accroissement de la réussite et de la persévérance des étudiants.
Le Carrefour de la réussite au collégial et le CAPRES souhaitent, dans le cadre de l’actualisation de ces programmes, tirer profit de l’un des volets du dossier Des pistes pour accroitre la persévérance et la réussite au collégial, soit celui de l’apport du programme d’études à la réussite d’études collégiales.
Le Carrefour de la réussite Mission actualisée
Soutenir les collèges dans la mise en œuvre de leur plan •institutionnel de la réussite et des activités visant l’amélioration des compétences langagières en français.
Favoriser l• ’évolution de la réflexion relativement à la réussite, à la persévérance, à la diplomation ainsi qu’à l’amélioration des compétences langagières en français, et contribuer au développement des connaissances et de l’expertise en ces matières.
Promouvoir le développement de réseaux d• ’entraide et animer des communautés de praticiens favorisant le réseautage et le partage d’expertise.
Faire connaitre aux principaux partenaires des collèges les •grandes réalisations du réseau en matière de réussite et d’amélioration des compétences langagières.
Le Carrefour de la réussite
le Réseau des répondants de la réussite (• Repcar)
le Réseau des répondants du dossier du français •(Repfran)
ANIME
Les actions du CAPRES
Un exercice en deux temps
La composition d’un programme favorisant une formation réussie
François VASSEUR
Consultant en pédagogie
Une approche-programme en constante mutation
Martine DUMAISIsabelle MORINPatricia LAPOINTEMarie-Josée LAVOIE
Cégep Limoilou
1 2
2 Une approche-programme en constante mutation Mise en jeu
La vie d’un programme d’études est parsemée de mul�ples enjeux, défis, impulsions et possibilités, et il peut apparaitre ardu, voire impossible, de concevoir ou d’implanter une approche-programme holis�que et systémique.
Une combinaison d’ac�ons aux visées différentes, développées, mises en place et améliorées au fil des ans peut se muer en véritable approche-programme, en réunissant tous les acteurs de la formation.
Voici l’occasion de découvrir notre approche et de discuter avec nous de notre cheminement orienté vers l’engagement des étudiants, leur développement et l’atteinte des objectifs du programme.
1 La composition d’un programme favorisant une formation réussieRessources
La présentation provient de multiples sources, la première étant le dossier du CAPRES Des pistes pour accroître la réussite et la persévérance à l’enseignement supérieur.
http://www.capres.ca/dossiers/des-pistes-pour-accroitre-la-reussite-et-la-perseverance-a-leducation-superieure/
Une présentation en deux parties
Un cadre – L’approche-programme –et ses composantes primaires :1. Les étudiants2. L’apprentissage
Les enjeux et défis de la 3.formation collégiale
Une approche : Former aux croisements de l’individu, de l’apprenant, du citoyen, de l’étudiant en Sciences humaines, du futur professionnel
sa signification •et ses ramifications•
. . . Et une intersection
Prendre racineLe terreau de l’approche-programme en Sciences humaines
La fonction des sciences humaines et sociales•Des représentations de la formation en Sciences humaines•Une dynamique à l• ’œuvre en Sciences humaines
Le référent : la réussite
Trois grandes dimensions interagissant :
l’engagement de l’étudiant dans son
apprentissage
sa croissance durant sa
formation
les résultats qu’il atteint
Le moyen : l’approche-programme
« Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. » Proverbe africain
L’approche-programme
Qu’est-ce ?
Une approche systémique de la réussite dans un programme d’études fondée sur les caractéristiques des étudiants,•visant le développement des personnes comme individus, apprenants, citoyens, étudiants,•en fonction des finalités poursuivies,•dans la perspective de leur intégration en soi et dans la pratique, la conduite,•misant sur la vision concertée, l• ’action collective, les compétences des agents éducatifs,faisant appel aux ressources de l• ’environnement,exploitant les rétroactions pour accroître sa pertinence, sa cohérence, son efficacité.•
L’approche-programme
Les bases
La • concertation d’une équipe d’agents éducatifs au sujet de la modélisation de la formation dans un programme d’études;La • collaboration d’une équipe d’agents éducatifs à son élaboration;Les • démarches des agents éducatifs pour transformer les produits de la concertation-collaboration en plans, stratégies, actions;La • mise en réseau des agents éducatifs pour se développer, pour assurer la qualité de leurs actions, pour examiner et améliorer les résultats.
Les composantes d’une approche-programme
1. Les étudiants
« C’est la personne qui s’engage dans sa forma�on; c’est elle qui apprend et se transforme, qui apprend à se transformer. La personne est donc le fondement premier de toute formation. »Pierre Demers, revue Interactions, Vol. 8, no 2, automne 2004, Université de Sherbrooke
« Je m’inspirerais de cette idée du philosophe Michel Serres voulant qu’avant d’enseigner quoi que ce soit à qui que ce soit, au moins faut-il le connaître. Demandons-nous donc qui se présente aujourd’hui à l’école, au collège, à l’université. »Marton Marceau, Série L’école à l’examen, Le Devoir, 24 novembre 2016
1. Les étudiants
L’inscription aux études collégiales
Augmentation du taux d• ’obtention du DESAugmentation du pourcentage d• ’inscription aux études collégialesAugmentation de la diversité de la population étudiante•Augmentation des aspirations scolaires•Augmentation monstre du nombre d• ’étudiants identifiés comme étant en situation de handicap
1. Les étudiants
Qui sont-ils, globalement et individuellement, à l’entrée, au cours et à la sortie de leur formation ?
- Identité- Traits de personnalité- Valeurs
- Intentions, aspirations- Cheminement et vision - Résultats scolaires
- Raisons du choix du prog.- Motivations- Intérêts, réalisations- Signification, utilité des études
- Provenance - Environnement- Emploi et gestion du temps
- Ressources :Connaissances, habiletés, dispositions, capacités, compétences; Buts, stratégies, habitudes, attitudes d’apprentissage
- Croyances scolaires- Préconceptions
- Attentes- Préférences d’apprentissage- Préoccupations, inquiétudes- Facteurs d’épanouissement- Défis à relever- Besoins
- Perceptions et sentiments relatifs aux phénomènes vécus durant la formation
1. Les étudiants
Qui sont-ils ?
Des sources d’information générales. . .Les traits de la génération Z•Le rapport ERES • Effets du RP au secondaire sur les étudiants du collégial
• L’enquête du Carrefour de la réussiteLes sondages provinciaux • 1 et 2 sur les étudiants des cégeps (SPEC) Le dépistage des étudiants faibles aux fins d• ’intervention (SRAM)
. . . et locales Les agents éducatifs (dont les étudiants eux• -mêmes)
Les composantes d’une approche-programme
2. L’apprentissage
2. L’apprentissage
Pour apprendre : Cultiver un état d• ’esprit de développement.Offrir temps et entraînement.•Combiner et graduer le développement des habiletés cognitives.•
2. L’apprentissage
Pour faire apprendre et pour apprendre à penser, à faire, à devenir : Des apprentissages finalisés : relier, analyser, interpréter, exercer sa •pensée critique, exploiter.Des apprentissages favorisés par de multiples voies d• ’accès, activités d’apprentissage, modes de manifestation de l’apprentissage.Des apprentissages intégrés en soi, dans la pratique, dans la conduite •grâce à : la cohérence, la continuité de la formation; l’entraînement au rappel, à l’exécution et à l’exploitation; l’accent mis sur le développement de l’identité.
Les composantes d’une approche-programme
3. Les enjeux et les défis de de la formation collégiale
3. Les enjeux et les défis de de la formation collégiale
Permettre l’approfondissement de sa vie
« Tout appren�ssage devrait (. . .) nous amener à mieux comprendre, dans le but de mettre (notre) propre vie en perspective humaine et historique. »
Pierre Demers, revue Interactions, Vol. 8, no 2, automne 2004 , Université de Sherbrooke
3. Les enjeux et les défis de de la formation collégiale
Intégrer théorie et pratique
« Cette intégration est fondamentale à la formation universitaire ; c’est dans la tête des étudiants qu’elle se produit ou non. Sans les unifier, toute la compréhension en souffre, dégradant ainsi les qualitésintellectuelles qui devraient être présentes chez tout diplôme universitaire. »
Pierre Demers, revue Interactions, Vol. 8, no 2, automne 2004 , Université de Sherbrooke
3. Les enjeux et les défis de de la formation collégiale
« Si le but ul�me de l’éduca�on est d’« enseigner à vivre » et qu’être citoyen d’un monde en mouvement requiert de se préparer à changer et d’être ouvert et équipé pour apprendre, l’éduca�on du XXIe siècle est confrontée à un défi de taille (. . .)• réanimer le désir et le plaisir d’apprendre ;
relever le • défi de la diversité et rencontrer les aspira�ons de clientèles hétérogènes ; • négocier le tournant de la révolu�on numérique (et ses) manières d’apprendre et d’enseigner ;
mettre de l• ’huile dans les rouages du système en favorisant les transitions entre ses paliers ; • développer une pensée complexe et cri�que, pour une bonne appréhension (. . .) des ques�ons
sociétales actuelles. »Présentation de la conférence de Marc ROMAINVILLE : LES DÉFIS DE L’ÉDUCATION AU XXIe SIÈCLE. COMMENT, ENSEMBLE, ENSEIGNER AUX JEUNES À VIVRE DANS UN MONDE INCERTAIN?
3. Les enjeux et les défis de de la formation collégiale
Le développement des ressources personnelles
« Comment faire bonne figure et réussir dans un monde volatile, incertain, complexe et ambigu ?L’agilite en apprentissage, soit le désir et la capacite d’apprendre, s’avèrera un facteur cle. De nouvelles compétences deviendront prioritaires, telles que la gestion de la charge cognitive, la capacite d’adaptation, la recherche de l’innovation et l’habilete de gérer dans l’adversite. »Présentation de la conférence de Jocelyn BÉRARD : INTELLIGENCE NATURELLE DANS UN MONDE D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
L’intersection : le terreau de l’approche-programme en Sciences humaines
La fonction des sciences humaines et sociales•Des représentations de la formation en Sciences humaines•Une dynamique à l• ’œuvre en Sciences humaines
La fonction des sciences humaines et sociales
Apporter un éclairage, une mise en perspective des conditions concrètes de la vie humaine en société. Cet éclairage est plus nécessaire que jamais. Une mutation de la civilisation est en cours.Permettre aux personnes de mieux comprendre les bouleversements qu’elles vivent, de se les expliquer en les conceptualisant. L’essentiel des changements observables aujourd’hui mettent en cause notre connaissance de l’humain. Apporter le regard le plus objectif possible sur ces réalités, pour mieux les révéler, pour les appréhender dans une perspective critique et pour contribuer à une juste appropriation des futurs possibles.Adapté de Pierre Noreau et Guy Rocher, Les sciences sociales et humaines, pour quoi faire ?, Le Devoir, 9 mai 2016
Des représentations de la formation en Sciences humaines
Quant à sa fin :
1. Former des érudits en transmettant un patrimoine important de connaissances académiques?2. Former des analystes au regard critique sur la société contemporaine fondé sur l’intégration des objets, concepts, méthodes et postures des sh ?3. Former de bons citoyens dotés d’une solide culture générale ? 4. Former des acteurs aptes à faire évoluer les collectivités ?Adapté du Blogue du Réseau des Sciences humaines des collèges du Québec, 16 novembre 2012
Des représentations de la formation en Sciences humaines
Quant à sa cohérence :
Une formation si diversifiée qu• ’on pourrait presque la qualifier d’éclatée. Des fils conducteurs ténus, chacune des disciplines comportant un •bagage théorique important et bien distinct. Comment amener les étudiants à faire des liens entre la psychologie, •l’économie, la géographie?
Tiré de Claire Denis, L’approche programme en Sciences humaines : ça sert à quoi?, blogue du Réseau des Sciences humaines des collèges du Québec, 6 février 2012
Des représentations de la formation en Sciences humaines
Quant à l’expérience vécue :• L’une des critiques formulées fréquemment par les étudiants en Sciences
humaines : un programme trop général, pas assez concret.Tiré de Claire Denis, L’approche programme en Sciences humaines : ça sert à quoi
Avons• -nous les conditions pour attirer de bons étudiants et bien servir ceux que nous avons (notamment ceux qui choisissent ce programme par défaut) ? Étudier en Sciences humaines au cégep, est• -ce encore une voie attrayante et pertinente? Être professeur en Sciences humaines, est• -ce mission impossible?
Tiré du Blogue du Réseau des Sciences humaines des collèges du Québec, 16 novembre 2012
Des représentations de la formation en Sciences humaines
Quant à sa fonction préparatoire :
«Rares sont les facultés exigeant un préalable pour accéder aux sciences humaines et sociales au premier cycle universitaire. Mais cette « souplesse » de la part des universités ne valorise en rien le DEC en Sciences humaines, bien au contraire ! »Sébastien Despelteau, Valoriser le DEC en Sciences humaines, Le Devoir, 2 septembre 2017
Des représentations de la formation en Sciences humaines
Quant à son devenir :
Il réside peut-être dans la capacité des disciplines à s’unir pour éclairer, de tous leurs savoirs, un monde riche en complexités, où sont intimement reliés les questions et enjeux auxquels les jeunes seront confrontés. Tiré de Sébastien Despelteau, Valoriser le DEC en Sciences humainesLe programme a besoin de revoir ses pratiques et de réfléchir à ses défis : diminution des inscriptions, besoins des étudiants, conditions d’exercice de la profession, qualité de la formation, cohérence des interventions, rayonnement du programme.Un programme cohérent et motivant contribuera à maintenir son attrait et à améliorer son image.Tiré de Claire Denis, L’approche programme en Sciences humaines : ça sert à quoi?, blogue du Réseau des Sciences humaines des collèges du Québec, 6 février 2012
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Quelques observations tirées du cheminement au Cégep Limoilou
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Un état d• ’esprit de développement.Des expériences de concertation profitables.•Une culture de l• ’amélioration continue.Un suivi, un accompagnement et un soutien de l• ’étudiant toujours plus pertinents et plus efficaces.
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Une vision de la réussite qui tend à intégrer et à mettre en relation
- les étudiants- les finalités- les objectifs et les standards
- l’environnement- les champs d’intervention- les parcours
- les enjeux et les défis- les compétences individuelles et collectives- l’histoire
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Un engagement puissant
Des agents éducatifs qui allient à leur vision,
leur volonté d’agir sur la réussite leur discernement quant aux voies pour y parvenir
leurs compétences professionnelles, sociales et personnelles
leur esprit d'entreprise et d'expérimentation
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Des collaborations plus horizontales, fréquentes, aisées, productives
au sujet : reposant sur :
- des occasions, des possibilités, des hypothèses- des situations, des préoccupations, des questions- des pratiques, des besoins, des avenues
- l’implication- le partage- la reconnaissance de l’apport des autres, du groupe
Une dynamique à l’œuvre en Sciences humaines
Des plans, des stratégies et des actions
fondés davantage sur l’expérience, sur des données probantes et sur la pensée réflexive au sein des divers lieux :
de formation de discussion de gestion d’accompagnement de soutien
Une approche-programme en Sciences humaines
Former aux croisements de l’individu, de l’apprenant, du citoyen, de l’étudiant en Sciences humaines, du futur professionnel
Une vision de l’approche-programme en Sciences humaines
Former aux croisements : S’engager dans le développement des personnes
S’engager dans le développement des personnes
Adopter et propager un état d’esprit de développement
L’affirmation de soi La passion d’apprendre, le désir de s’épanouir
La confiance en soi La volonté, l’automotivation, l’engagement
Le développement de soi La résilience, la persévérance
S’engager dans le développement des personnes
Mettre en jeu les habiletés socioaffectives
La conscience de soi L’autogestion La sensibilité
socialeLes compétences relationnelles
La décision responsable
S’engager dans le développement des personnes
Miser sur les activités faisant appel à la communication et au traitement, à l’exploitation de l’information
Littératie langagière, numérique, médiatique, technologique;•Habiletés, habitudes, attitudes de recherche, d• ’adoption de multiples perspectives, d’analyse, de synthèse, de pensée critique;Processus de planification, d• ’organisation, de prise de décisions, de résolution de problèmes;Flexibilité cognitive, pensée créative, innovative.•
S’engager dans le développement des personnes
En Sciences humaines : S’unir dans une perspective de développement de la personne comme individu, apprenant, citoyen, acteur social, futur professionnel
S’engager dans le développement des personnes
Les référents Des points de départ Des opérations
- soi- la communauté- la société- le monde
- des interrogations- des situations- des événements- des enjeux- des défis- des problèmes
- les conceptualiser- les appréhender dans une perspective critique- en tirer des conséquences
Des fins
La personne L’apprenant L’inscrit en Sciences humaines
- la conscience de soi- la réflexion critique sur soi- une identité consolidée- une éthique- un engagement dans des démarches, choix
- le développement d’habiletés, attitudes, habitudes fondamentales- l’intégration de démarches, stratégies, méthodes intellectuelles- la prise en charge autonome de son cheminement
- la construction de cadres conceptuels- le développement de la conscience humaine et sociale- une compréhension solide de l’espace commun et social, de leurs fondements, principes- une représentation de systèmes, cultures, valeurs, mouvements, dynamiques- une interprétation critique de situations, phénomènes, problèmes, défis- une participation éclairée à des débats, à des actions
S’engager dans le développement des personnes
Des ramifications :Constituer et alimenter un profil de l’étudiant
À plusieurs mains •À plusieurs fins•À plusieurs entrées•Éclairant plusieurs moments• -clés
S’engager dans le développement des personnes
Constituer et alimenter un profil de l’étudiant
De façon à rendre les données utiles et aisément accessibles aux comités, équipes, enseignants, API, CP, CO, étudiants, etc.
Qu• ’est-ce qui est utile à chacun?Portrait global •+ données utiles à chaque entité; •+ aisance d• ’utilisation, d’interprétation; + incorporation d• ’outils d’alerte et d’intervention.
Nous engager dans le développement des personnesDes ramifications :Intégrer le développement vocationnel au développement académique, social et personnel
Associer le conseil en orientation au programme d’études (comme l’api, le soutien à l’apprentissage, l’aide à la littératie).
Concevoir un parcours et des activités qui éclairent la démarche •d’orientation, provoquent et encadrent la réflexion sur l’orientation. Par exemple, trois niveaux : représentation, exploration structurée, expérimentation authentique.Culminer avec la réalisation d• ’une œuvre emblématique et de la réflexion l’accompagnant.
Merci!
Des cheminements et des réalisations
Atelier 304 à 15 heures 15 : Une approche-programme en constante mutation
Martine DUMAIS, Patricia LAPOINTE, Marie-Josée LAVOIE , Isabelle MORIN, Cégep Limoilou
Questions ?Commentaires ?Réflexions ?