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Poacunsa Mémcadret ledu lodu L Août
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moire des dre des conse plaisir de oisir et de oisir et du
t 2013
une p et eerspepubl
directeurs sultations nbouger : vl’activité pSport, 201
popuen saectivlique
de santé pnationalesvers une pophysique »,13
ulationté :ve dee
publique ps sur le livreolitique na, ministère
on : e
résenté dae vert « Letionale due de l’Éduc
ans le e goût u sport, ation,
Rédaction
Michel Beauchemin, coordonnateur Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Marie-France Boudreault, chef d’équipe Habitudes de vie/Maladies chroniques Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale
Collaborateurs Suzanne Auger, coordonnatrice du programme Enfance-Jeunesse, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Mario Champagne, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Édith Dumont agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Francis Fullwood, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de l’Outaouais Hélène Gagnon, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Guy Gilbert, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale André Gobeil, adjoint à la responsable du secteur Tout-petits-Jeunes, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Marylène Goudreault, conseillère en promotion de la santé – Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Suzanne Guay, conseillère en promotion de la santé – Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Julie Hins, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Benoît Laberge, agent de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Kim Labonté, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Marie-Noële Lavoie, coordonnatrice en promotion de la santé physique et psychosociale, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Laurence Le Hénaff, chef d’équipe Adaptation familiale et sociale/Santé dentaire, secteur 0-5 ans, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Silvio Manfredi, coordonnateur promotion-prévention par intérim, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Laval Isabelle Michaud, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Chantal-Anne Moreau, adjointe au directeur à la gestion des programmes, chef de service promotion et prévention, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux du Saguenay–Lac-Saint-Jean Céline Morrow, chef d’équipe Pauvreté/Développement social et des communautés, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Nathalie Ratté, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Linda Richard, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Judith Rose-Maltais, chef d’équipe Sécurité dans les milieux de vie/Vieillissement en santé, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Paul St-Amand, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue François Thérien, agent de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal
Mise en page
Linda Blais, agente administrative, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale
Ce document est également disponible en format électronique à l’adresse Internet www.dspq.qc.ca, section Documentation, rubrique Publications.
Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2013 ISBN 978-2-89616-210-9 (version imprimée) ISBN 978-2-89616-211-6 (version électronique)
Cette publication a été versée dans la banque SANTÉCOM.
La reproduction de ce document est permise, pourvu que la source soit mentionnée.
Référence suggérée : Beauchemin, M., et M.-F. Boudreault. Pour une population active et en santé : une perspective de santé publique. Mémoire des directeurs de santé publique présenté dans le cadre des consultations nationales sur le livre vert « Le goût et le plaisir de bouger : vers une politique nationale du sport, du loisir et de l’activité physique », ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport 2013. Québec, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, Direction de santé publique, 2013, 29 p.
© Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale
Ce met le physipubli
Dr SyBas-S
Dr DoSague
Dr FraCapita
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santé : une p
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perspective de
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DL
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de santé publi
sur le livre vdu loisir et
r les directe
Dre Alejandra Laval
Dr Jean-Pierre Lanaudière
Dre Jocelyne SMontérégie
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Dr Robert CarlTerres-Cries-deames, par inté
ique
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. d’identiles malasanté dequ’il jug
Gouvernement hap. S-4.2, art.
ne population
anté publiqu
mer la popsent, des pbles, des pri
ficaces, d’enerches néces
ifier les situion et de voi
er une expeler l’agence morbidité év
ifier les situadies, les trae la populatge nécessair
du Québec (1373, Éditeur o
n active et en
ue est respon
ulation de problèmes dincipaux fac
n suivre l’évossaires à cett
uations suscir à la mise e
ertise en prsur les servivitable;
ations où unaumatismes tion et, lorses pour favo
1991). Loi surofficiel du Qué
santé : une p
nsable dans s
l’état de sde santé pteurs de risqolution et, lete fin;
ceptibles deen place des
révention eces préventi
ne action intou les problqu’il le juge
oriser cette a
r les services bec.
perspective de
sa région*:
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e mettre enmesures néc
et en promoifs utiles à la
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de santé et
de santé publi
al des indides group
nterventions nt, de condui
n danger la cessaires à s
otion de la a réduction d
e s’impose pux ayant un , de prendre
les services s
ique
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pour prévenimpact sur l
e les mesure
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2. 3. 4. 5. CON RÉFÉ
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....................
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santé : une p
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....................
....................
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ne population
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Environne
Environne
La santé et
Enquête qu2010-2011défavorisa
Proportion6 à 11 ans
n active et en
URES
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n des jeunes et 12 à 17 a
santé : une p
6
Progression
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qui sont actians ..............
perspective de
1990-2004 .
éfinition, un c
ité physique
....................
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de santé publi
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rs loisirs : ....................
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.......... 9
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1
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4
8
IN
Le 31son gpopu2013invitarepréparticplaisiphysid’orgdévelcommM. Msanté Les particl’inteparlemdu 2perspproch Les Ddéfis popujeuneéquipla praaux nsécursont à Les physiimpliphysiQuébsociaaction
Pour un
NTRODU
1 octobre 20gouvernemenlation québé, la ministreait le Dr Frasentant des ciper à une jir de bougeique ». Tenuganismes natloppement dmentaires qu
Michel Beauc et des servi
DSP remerciper à cetteention du gomentaire à la0 juin 2013
pective de dhaine politiq
DSP accuei: hausser lelation québé
es et leur fampements sporatique d’actnotions de ritaires et deà souligner.
DSP réitèriquement acication et leique et à unbec issu d’unaux (MSSS) ns et initi
ne population
UCTION
012, la premnt de moderécoise deviene de l’Éducaançois Desbdirecteurs djournée de cer : vers unue le 20 juitionaux sousdes activitésui ont été livchemin, coorces sociaux
rcient Mme e consultatioouvernementa ministre de3, affirmait
développemeue nationale
llent favorabe niveau d’aécoise. Ils samille par la prtifs à un moivités physiqplaisir et d
e la qualité d
rent leur votif et de coleur contribun mode de vn partenariaet les ASS
atives de
n active et en
mière ministrrniser la polnne une des ation, du Lo
biens, directede santé pubconsultation ne politique in 2013, ces le thème Prs récréativesvrés par le rdonnateur à(ASSS) de l
Malavoy don concernat qui, selon e l’Éducatio
« […] queent durable e de préventi
blement le activités phyaluent la vopromotion deoindre coût ques. La déde qualité dd’encadreme
olonté de laborer à ce
ution depuisvie physiqueat entre le MSS. Ce parte
concertation
santé : une p
re, Mme Paulitique nationnations les
oisir et du Seur de santélique (DSP)nationale sunationale d
tte rencontrromotion d’us. Le présereprésentant
à la Directionla Capitale-N
de l’opportuant ce projeles propos mn, du Loisir
e cette politde la santé ion du gouve
projet de pysiques et amlonté du goues déplacemet par la crémocratisatio
des expérienent offert pa
poursuivre e projet. À cs près de 3ement actif
MELS, le menariat se trns intersect
perspective de
line Marois,nale du sporplus en form
Sport (MELé publique d) au Comité ur le livre vedu sport, d
re regroupaiun mode de
ent mémoiret du Dr Desn de santé puNationale.
unité qu’elleet de politiqmêmes de Met du Sport
tique nationdes Québéc
ernement ».
politique natméliorer la cuvernement
ments actifs eéation d’envon de l’accènces par le ar les bénévo
la promotice propos, ils0 ans à la dans le cad
ministère de raduit en rétorielles qu
de santé publi
, annonçait lrt et du loisme du mond
LS), Mme Made la Capitanational Kin
ert intitulé « du loisir et it plusieurs vie physique
e reprend l’sbiens, au noublique de l’
e leur offreque nationaleM. Sylvain qui présidai
nale s’inscricois et soit
tionale, lequcondition phd’améliorer
et sécuritairevironnementsès, l’importa
biais d’envoles et les p
ion d’un ms tiennent à promotion
dre du progrla Santé et
égion par deui facilitent
ique
l’intention dir afin que l
de. Le 10 juiarie Malavoyale-Nationaleno-Québec, Le goût et lde l’activitreprésentantement actif e’essentiel deom des DSP’Agence de l
e de pouvoe. Ils saluenPagé, adjoinit la rencontrive dans unintégrée à l
uel vise deuhysique de lr la santé des, l’accès aus favorables ance accordévironnement
professionne
mode de virappeler leude l’activit
ramme Kinodes Service
e nombreuset notammen
de la in y, e, à
le té ts et es P, la
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l’actuvie e(PAG Ce m
Pour un
ualisation duet de prévenG).
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les
les
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ne population
u Plan d’actntion des pr
rde les thème
pratique régvorables;
s inégalités s
s population
s milieux de
action interse
n active et en
tion gouvernoblèmes rel
es suivants :
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sociales de s
ns cibles;
e vie prioritai
ectorielle.
santé : une p
8
nemental deliés au poid
activité phy
santé;
ires;
perspective de
e promotion ds 2006-2012
ysique, la san
de santé publi
des saines 2, Investir p
nté et les env
ique
habitudes dpour l’aven
vironnement
de ir
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1.
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Source
En ml’Instcompl’épidcommphysi
Pour un
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me mentionnme une des dies cardiovvaises habituomiques1. » sité, lesquelomène au Qu
URE 1 sité au Québ
e : Québec en FPowerPoint «
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ne population
ATIQUE RÉ ET LES E
né dans le lprincipales
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À ce conslles, commeuébec entre
bec – Progre
Forme (2012). « Les environnem
ravaux de réal de santé pcauses et cerésité. Publiénvironnementif et à la pré
n active et en
RÉGULIÈRENVIRONN
ivre vert, « L causes de t certaines ftaires, a engstat, on doite le démontr1990 et 200
ession 1990-
Comité québécoments favorable
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santé : une p
9
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formes de cagendré une ht ajouter lare la figure 4.
-2004
ois de formatios aux saines hab
u PAG, le MQuébec (IN
utions pour cpar le MS
les à la sains problèmes
perspective de
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1, nous ind
on sur les sainebitudes de vie »,
MSSS, QuéNSPQ) mencontrer ce q
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de santé publi
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vité physiquelles que ledentarité, coinue des coûcompte des diquent la pr
es habitudes de diapositive no 7
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ique
LA
e est reconne diabète, leonjuguée à dûts sociaux e
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rme (QEF) eéflexion pouenu d’appeler une visiomode de vi des élément
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de rél’effeindusmonden md’actressem D’autlongtphysimiliepour l’obépréva FIGUEnvi
Source
Pour un
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modifiant ce qivité physiqmbler2. »
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favorable :
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n active et en
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nnent que «volet lié à lde chercheurnts actifs4 sunts des modque ne pouvrapide de l’o
une définiti
Comité québécoments favorable
santé : une p
10
n cadre (figments apportormation de Ces facteurs e manière det des mod
[…] si le d’alimentationrs portent auur les taux d
des de vie sovant expliquobésité obser
ion, un cadr
ois de formatios aux saines hab
perspective de
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e manger. Ildèles physiq
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ont en granduer à lui servées ces de
re
on sur les sainebitudes de vie »,
de santé publi
a réponse see moderne : raditionnelle on sur notrels influencenques auxqu
obésité et l’efaibles niveaention sur l
6. Les expertde partie reseul l’augmenrnières anné
es habitudes de diapositive no 3
ique
e trouve danurbanisationet du travai
mode de vint notre profuels on veu
embonpoint aux d’activit’influence dts s’entendensponsables dntation de l
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Source
Pour un
omme, pour udes de vie et à l’adop
z dans notre entation, à unoids. Appliquenvironnemeions ou de mgure 3 est un
me le préciquement aciques, de du
nition reconniques organironnements fersonnes, etiquement act
URE 3 ronnement
e : Consultationet de l’activiGagnon, Dire
ne population
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ents physiqumesures poun exemple de
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naît tant les isées ou nonfavorables, et ce, tout au tif, c’est plu
favorable e
n sur le livre vertité physique », pection de santé p
n active et en
a santé de laon le MSSS
omportementur conclusionvie physiquemvité physiqueue, sociocul
uvant avoir ue cette applic
ELS dans umode de vi
ensité variabactivités ph
n, encadrées elle inclut unlong de l’a
s qu’une val
et activité ph
t « Le goût et le par Mme Suzannepublique de la M
santé : une p
11
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n : améliorerment actif ete, cette visiolturel, écon
une influencecation pour l
un documenie qui intèg
bles, pour leshysiques de ou non. En ne vaste gam
année quelleleur, c’est un
hysique : un
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Montérégie, prése
perspective de
et par consé’INSPQ des bles, ce que r l’environnet à la prévenon commune
nomique et e sur le coml’activité ph
nt à paraîtrgre la pratiqs bienfaits qla vie quotrapport ave
mme d’active que soit la ne perspectiv
n exemple
er : vers une polilaboration avecentation PowerP
de santé publi
équent pour conditions nous ne re
ement favorantion des proe permet de politique,
mportement dhysique.
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saison. Un ve, voire une
itique nationale Mmes Isabelle Moint, 27 juin 201
ique
améliorer lepropices à l
etrouvons paable à la sainoblèmes relié
placer, seloun ensembldes individu
mode de virses activité
ortent. » Cette les activitécommune deées par toutemode de vi
e orientation
du sport, du lois
Michaud et Hélèn13, 13 p.
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us.
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Pour des ephysi Pour pourqcommphysiaussi physi
Pour un
s’attaquer aenvironnemeiquement act
les DSP, lquoi la politmune des eniquement ac
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ne population
aux deux défents favorabtif, et ce, peu
a finalité dtique nationanvironnemenctif et à la pmme perspetif afin de m
n active et en
fis de la politles et avoiru importe l’â
emeure l’amale devrait nnts favorablprévention dective et o
maximiser les
santé : une p
12
tique nationen perspect
âge et la con
mélioration non seulemeles à la saindes problèmeorientation s impacts sur
perspective de
nale, il faut retive la prom
ndition physi
de la santé ent adopter lne alimentaes reliés aul’amélioratior la santé de
de santé publi
etenir la visimotion d’un ique.
de la popule cadre Pou
ation, à un u poids, maion d’un mla populatio
ique
ion communmode de vi
ulation. C’eur une visiomode de vis elle devra
mode de vion.
ne ie
st on ie
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2.
S’il eabsolrelatigradiet à définsystémsociaqu’il détermdétermcatégcompinfluepar le FIGULa sa
Source
Pour un
LES IN
est souhaitablument qu’eion étroite enient social9. Pl’inverse, p
nissent commmatique entr
al et la mauvpersiste danminants de minée par
gories de déportements eencés par lee contexte so
URE 4 anté et ses d
e : Hyppolite, SCapitale-Nat2012. Québesanté publiqu
ne population
NÉGALITÉ
ble que la polle vise la rntre la positPlus la popu
plus son stame les écartsre les groupaise santé es
ns le temps10
la santé. Lde multiple
éterminants et les habitues conditionsocial.
déterminant
S.-R. (2012). Cotionale, Rapporec, Agence de laue, 161 p.
n active et en
ÉS SOCIALE
olitique natiréduction detion sociale ulation a un atut social es dans l’étatpes socioéconst fort, qu’il 0. Pour bien La figure 4es facteurs.superposés
udes de vie s de vie dan
ts
omprendre et agt du directeur ra santé et des se
santé : une p
13
ES DE SAN
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est faible plt de santé denomiques. Oest constantcomprendre
4 illustre co Elle mont
ont une ides individ
ns lesquelles
gir autrement porégional de sanervices sociaux
perspective de
NTÉ
iore la santés sociales deonne et sa sal élevé plus lus sa santée la populatiOn observe qt au sein de de ce phénomomment la tre notammnfluence su
dus, comme s ils vivent,
our viser l’équinté publique sur
de la Capitale-N
de santé publi
é de la popue santé (ISSanté qui se son état de sé est faible.ion qui exisque le lien edifférentes p
mène, il faut santé des
ment que leur les autre
l’activité phelles-même
ité en santé danr les inégalités Nationale, Direc
ique
ulation, il fauS). Il y a untraduit par lsanté est bon. Les ISS sstent de façoentre le statupopulations efaire état deindividus e
es différentees. Ainsi, lehysique, son
es influencée
ns la région de sociales de sanction régionale d
ut ne le n, se on ut et es st es es nt es
la
nté de
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Selonrencol’actiréponde faprobl
Pour un
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URE 5 uête québéc
e : Ministère dephysique et h
n l’Organisatontrent souvivité physiqundre à leurs ibles niveaulèmes. Par c
ne population
dans le mfaibles chez ouvoir la pra
écoise sur e bien à sa fan12 concernaL’analyse semilieux très ux des mi»13
oise sur la s
e la Santé et deshabitudes de vie.
tion mondiavent dans leuue n’est sansbesoins esse
ux d’activité conséquent,
n active et en
onde ont mles groupes
atique réguli
la santé daçon les écarant le niveaelon la défafavorisés su
ilieux moin
santé des jeu
Services sociau. Québec, 20 p.
le de la Santur vie tout s doute pas entiels. Or, pphysique viles bénéfic
santé : une p
14
montré que lsocialemen
ière de l’acti
des jeunes drts qui existeau d’activitévorisation mur les deux ns favorisé
unes du seco
ux (2012). La sa
té (OMS), «un ensemblleur prioritépour un boniennent s’ajoces au sens
perspective de
les niveaux nt défavoriséivité physiqu
du secondaent entre lesé physique matérielle etplans sont p
és (31,9 %
ondaire 201
anté des jeunes
Les groupesle de difficué et il est pen nombre deouter indirec
large de l
de santé publi
d’activité és et qu’il esue dans ces g
ire 2010-20s jeunes selode loisir et t sociale moproportionne
c. 28,9 %
10-2011
du secondaire a
s socialemenultés. Dans beut-être plus e ces groupectement à la ’activité phy
ique
physique onst parfois trègroupes11.
011 (EQSJSon leur nivea
de transpoontre que leellement plu% pour le
au Québec : San
nt défavorisébien des caimportant d
s, on sait quliste de leur
ysique et le
nt ès
S) au ort es us es
nté
és as, de ue rs es
consépromtels qet la pmoyenouvphysiatteinconte Depuinégales rétroisinos edans de la Pour mettrfaçonpropooffririntenselonuniveciblésde l’fréqu Commdistinméthintervquestl’élabgrouples nfinanportedavan Au Qpérinintégren co
Pour un
équences demotion de l’aque les liens productivitéen d’améliorelles possibique chez lendre et un este pertinen
uis plus de alités socialeéduire15. Le ième rapportenfants : la plequel les lievie sont doc
contrer lesre en place, n uniforme àortionnelles r à l’ensembsifier ensuit
n les difficulerselles, s’ads qui tiennen’ensemble duence, une du
me le précingue principode. La façventions et ltion sont détboration despes socialem
niveaux, ce qncement et d
à croire quntage de résu
Québec, on natalité. Penrés en périn
ontexte de vu
ne population
e la sédentaractivité phys
sociaux, l’in. L’argumenrer et d’accilités de proes groupes moyen d’attes et utiles1
quinze ans,es de santé, directeur na
t national supauvreté et sens entre la pcumentés16.
inégalités voire ajuste
à toute la poau degré d
ble de la pte l’action pltés auxqueldressant à tont compte dedes déterminurée et une in
ise l’OMS palement la pçon dont le la possibilitterminantes.s politiques
ment défavorqui peut se
de besoins sue le fait dultats positif
trouve dessons au proatalité et pouulnérabilité o
n active et en
rité devraienique dans cenclusion socnt de l’adoptcroître d’automotion. Il esocialement
tteindre d’au4. »
, différentesproposent e
ational de saur l’état de sses répercusspauvreté che
sociales de er, des progropulation, ende défavorisapopulation upublique en les elles sonoute la popues caractéristnants. Les ntensité ajus
à propos dpromotion dciblage est é d’intensifi Dans ce coet les conc
risés puissentraduire, pa
ur le plan dd’amener cesfs que dans l
s exemples ogramme Our la petite eoffrant aux m
santé : une p
15
nt égalementes groupes, iale, la mobiion d’un motres effets sest donc imt défavoriséutres résulta
s directions et travaillent anté publiqusanté de la psions sur la ez les jeunes
santé, la crammes, desn tenant comation. L’Un
un certain nfonction de
nt confrontéulation, il ytiques des grinterventionstées en fonc
des groupes de l’activité
effectué, leier les efforontexte, il escepteurs de nt avoir besoar exemple, du renforcems groupes àe cas d’autre
qui vont dOLO (œufs, enfance (SIPmamans et fu
perspective de
t être pris ecar elle proilité active, l
ode de vie phsouhaitables
mportant de rés peut à laats. Ces de
de santé puà mettre en
ue du MSSSpopulation dsanté des je
s et ses effets
ommunauté s politiques empte d’une éiversalisme
nombre de ses besoins spées. Pour chay a lieu de roupes socia
ns et les mction des gro
socialemenphysique d
es modalitésrts pour attest importantprogramme
oin d’être daen termes
ment des capà avoir une es groupes c
dans le mêmlait, jus d’
PPE) à l’inteutures mama
de santé publi
en compte aduit des résules perspectihysiquements permettraitreconnaître a fois être eux approch
ublique docn place des mS l’a bien dédu Québec, Reunes de mois sur la santé
scientifiqueet des servicéchelle et d’proportionn
services unipécifiques dacune des mprévoir des
aux touchés mesures aurooupes ciblés1
nt défavorisdans ces grous de mise eeindre le grot que les reses reconnaisavantage soude durée depacités. À lactivité phy
cibles18. »
me sens, no’orange) et ention des faans un soutie
ique
aux fins de lultats positifives d’emplot actif commt d’ouvrir dque l’activitun résultat
hes sont san
cumentent lemesures pou
écrit dans soRiche de touins de 18 ansé tout au lon
e suggère dces offerts d’une intensitné consiste iversels, pu
des personnemesures, dite
programmepar les ISS e
ont alors un17.
sés, « Ce quupes, c’est len œuvre deoupe cible esponsables dssent que leutenus à toues projets, d’inverse, touysique donn
otamment eaux service
amilles vivanen particulie
la fs oi
me de té à
ns
es ur on us s,
ng
de de té à is es es es et ne
ui la es en de es us de ut ne
en es nt er.
Pensoprévodans physifaibleles pl En soet pol’Unimesu
Pour un
ons égalemeoit un rehausles territoire
ique, pensone revenu de laces inoccup
omme, pour our réduire liversalisme pures et des in
ne population
ent au progrssement du nes à forte déns au progrparticiper gpées de dive
s’assurer qules inégalitéproportionn
nterventions
n active et en
ramme de senombre de péfavorisationramme Accègratuitement erses activité
ue toute la ps sociales dé dans l’ana(programme
santé : une p
16
ervices de gplaces dans ln. En rapporès-Loisirs Qaux activité
és offertes da
population sode santé, les alyse, le déves, services,
perspective de
garde éducatles centres drt avec le sp
Québec qui és de loisirsans sa progra
oit rejointe pDSP recom
veloppementcampagnes s
de santé publi
tifs à l’enfande la petite eport, le loisipermet aux d’une villeammation.
par la politimmandent l’t et la mise sociétales, e
ique
nce à 7 $ quenfance situéir et l’activit personnes
e en comblan
que nationalutilisation den place de
etc.).
ui és té à
nt
le de es
3.
La pparticl’intel’impleur sautredes ament
Être bénéfmotriau ddévelque s L’Insprem(EQDdévelpetiteet l’acogni
En 20physid’un de vprécéfréqul’adosantéenfin L’envrésideoù se
Pour un
LES PO
politique natculier les jeuervention devportance d’usanté, et mês. Il s’agit daînés (65 aionné précéd
Les tout-
actif est esfices, tant pices, la hausdéveloppemeloppement ds’asseoir, ram
stitut de la stmière EnquêtDEM). Cetteloppement de enfance (IMaccompagnemitif et moteu
Les jeune
011, le Comique, le spormode de vie
vie physiquédemment. Suente et inilescence : la mentale, le
n, les habitud
vironnementence, mais s
e situe l’école
ne population
OPULATIO
tionale announes et les fvrait tenir c
une pratique ême pour cerdes tout-petitans et plus)demment.
petits (0-4 a
ssentiel poupour sa sansse de l’estiment des hde grands mmper, marche
tatistique due québécoise enquête l
de l’enfant àMDPE). Il fament des tou
ur.
es (5-17 ans
mité scientifiqrt et les jeune physiquem
uement actiSoulignons, àinterrompuea condition ps compétenc
des de vie22.
t a égalemensurtout la die ont une inf
n active et en
ONS CIBLE
once une ifamilles. To
compte des crégulière d
rtains, l’influts (0-4 ans), ) en tenant
ans)
ur le dévelonté, l’améliome de soi. Plabiletés mo
muscles, permer19-20.
u Québec diffse sur le dévlivrera des à partir de laudra profiteut-petits, pa
)
que de Kinones21. Ce do
ment actif chif, ce que à ce propos,
d’activitésphysique, la ces sociales,
nt un impacstance entrefluence sur l
santé : une p
17
ES
ntention deout en appuycaractéristiqu
de l’activité uence que ldes jeunes (compte du
oppement doration de llus spécifiquotrices permmettant la m
ffusera, à l’auveloppemendonnées su
’Instrument er de cette ocarticulièreme
o-Québec puocument déchez les jeune
nous appules éléments
s physiquessanté physiles habileté
ct sur le mode le domicilele potentiel d
perspective de
e rejoindre yant cette voues propres physique sueur comport(5-17 ans), du niveau de
de l’enfant qla conditionuement, l’acrmettant à maîtrise de c
utomne 2013nt des enfantur cinq dimde mesure
ccasion pouent au regard
ubliait un imcrit avec exaes et prône luyons, coms de mieux-ê
s et sportivique, le bienés cognitives
de de vie dee et l’école, de déplacem
de santé publi
toute la poolonté, nousà certains g
ur leur dévetement peut des parents (e défavorisa
qui en retirn physique, ctivité physiq
l’enfant dcertains mou
3, les résultats de la matmensions indu dévelop
ur revoir l’ofd de leur dé
mportant avisactitude les la perspectiv
mme nous être associésves durant n-être psychos et la réussi
es jeunes. Lde même qu
ments actifs23
ique
opulation, es croyons qugroupes et deloppement e
avoir sur le(25-44 ans) eation comm
re de grandles habileté
que contribud’acquérir luvements te
ats de la toutternelle 201
nterreliées dpement de l
ffre de servicéveloppemen
sur l’activitdéterminant
ve d’un modl’avons fa
s à la pratiqul’enfance e
ologique et lite scolaire, e
Le quartier due le quartie.
en ue de et es et
me
ds és ue le ls
te 12 du la ce nt
té ts
de ait ue et la et
de er
Enfingenredifférpeu afilles FIGUProp
Source
L’aviadolesituatservic
Souteinfluegrandde saniveapeu apropode l’aconci
Pour un
n, un aspect es. L’EQSJSrents. Par exactifs ou sédet les garço
URE 6 portion des j
es : *Institut nÉtude deQuébec e**Institutles collec
is scientifiquescentes poution. Il y a dce et d’accom
Les paren
enir la familence sur le cd nombre d’anté dans lesau d’activitéactifs contreos de bien doactivité physiliation trava
ne population
doit particuS nous indiqxemple, lorsqdentaires duns (figure 6)
jeunes qui s
national de sanes blessures suen 2009-2010. t national de sa
ctivités canadie
ue de Kino-ur les activitédonc lieu de mpagnemen
nts (25-44 a
lle signifie comportemeadultes ayans collectivité physique d
e 19,5 % quocumenter lesique, en parail-famille-lo
n active et en
ulièrement êtque que les fque l’on com
urant les lois).
ont actifs d
nté publique duubies au cour
anté publique dennes, 2009-20
Québec, meés physiquestenir compt
nt des filles c
ans)
devoir soutent de leurs ent des enfantés canadiennde loisir, prèui sont moyes besoins etrticulier leursoisirs.
santé : une p
18
tre mentionnfilles et les mpare la prosirs, on obs
ans leurs lo
u Québec et mirs de la pratiq
du Québec et S010.
entionné prés et sportivete de la diffécomme des g
enir les pareenfants. Or,ts en bas âg
nes, 2009-20ès de 21,8 %ennement at les attentess contraintes
*
perspective de
né à propos garçons ont
oportion de jserve des éc
oisirs : 6 à 11
inistère de l’Édique d’activités
Statistique Cana
écédemment,es et les mesérenciation dgarçons, et ce
ents qui ontle groupe d
ge est celui d010 (ESCC) % sont sédenactifs et 39,6s des parentss et leurs bes
de santé publi
de la différt des compojeunes du se
carts importa
1 ans et 12 à
ducation, du Loés récréatives
ada. Enquête s
, décrit bienssages à condes genres de, à tous les
t eux-mêmed’âge qui regdes 25-44 annous révèle
ntaires et 196 % actifs. Is concernantsoins dans u
**
ique
renciation deortements trèecondaire trèants entre le
à 17 ans
oisir et du Sporet sportives a
sur la santé dan
n l’intérêt dencevoir à leuans l’offre dâges.
s une grandgroupe le pluns. L’Enquêt que, selon l
9,1 % sont uIl est donc t leur pratiquun contexte d
es ès ès es
rt. au
ns
es ur de
de us te le
un à
ue de
L’Enque 3l’actil’actiprogrà leur L’OMl’impl’augtrès ala quchez compprécé Les Dles qparengenrenivea
Pour un
Les aînés
quête sur la 30,9 % des aivité physiquivité physiqurammes d’exr efficacité à
MS considèrportance d’atgmentation davancé, contualité de vie
les aînés, ilpte de leurédemment, d
DSP recommquatre groupnts (25-44 anes, notammeau de défavo
ne population
s (65 ans et p
santé dans laînés sont séue chez les ue dans la xercices danà prévenir les
re que le plutteindre et d
de l’espéranctribue à l’ame des aînés26
l est recommrs divers éde leurs cond
mandent que es d’âge quns) et les aîent chez lesrisation des
n active et en
plus)
les collectiviédentaires eaînés sont prévention
s les interves chutes.
us importande maintenir ce de vie, la
mélioration o6. Pour favomandé de leétats de sanditions de vie
la politique ue sont les înés (65 et ps adolescentgroupes et d
santé : une p
19
ités canadient 20,1 % sondocumentésdes chutes
entions ayant
nt message dun niveau m
a pratique d’ou au maintioriser la prateur offrir denté et de e.
nationale citout-petits (plus) en tents et les addes commun
perspective de
nnes, 2007-2nt un peu acs. Pensons, s. En effet, t le plus hau
de santé à tmodéré d’act’activités phien des capatique réguliè
es programmcapacités27,
ible prioritai(0-4 ans), leant compte
dolescentes,nautés.
de santé publi
2008 (ESCCctifs. Or, lespar exemplel’INSPQ24
ut niveau de
transmettre tivités physihysiques, mêacités fonctioère d’activit
mes distincts, et comm
irement et spes jeunes (5de la différet en tenan
ique
C) nous révèls bienfaits de, au rôle didentifie lepreuve quan
aux aînés eiques25. Outrême à un âgonnelles et dtés physiques qui tiennen
me mentionn
pécifiquemen5-17 ans), lerenciation dent compte d
le de de es nt
st re ge de es nt né
nt es es du
4.
La potravaTout les setels qlongud’atteidentVIACà la autond’inte En crecom
1
2
3
4
5 L’écopas àécoledes ade coprésede leu La rémiliesecteuvalorpour proce
Pour un
LES M
olitique natiil, les milieen reconnai
ervices de gque les centreue durée (CHendre les résifier les prCTIVE en ofréalité des
nomes ainsiervention en
ce qui concmmandations
. rendre oet à la s
. favorise
. intégrer
. organiseaménag
. favorise
ole est un mà distance dees secondaireadolescents ponvergence pente étude suur école que
éalisation deu municipalur de la san
rise que l’écoinscrire ses
essus de mob
ne population
MILIEUX DE
onale cible ux associatissant que cearde à l’enfes de jour, le
HSLD) pour sultats de l’Eriorités d’acffrant des sepersonnes que pour
n prévention
cerne les és de la Coali
obligatoire uanté;
er les activité
r l’activité ph
er et encadgées;
er les déplac
milieu de vie e marche de es offre un ppour de nompar excellenuggèrent que de leur dom
e ces propol, des milieunté et des seole soit ouveactions dans
bilisation com
n active et en
E VIE PRIO
les milieux ifs et commes milieux sofance pour rees clubs de lrejoindre le
EQDEM 201ction. Pour ervices à la pâgées de 50celles en pdes chutes.
coles primaition québéc
un temps mi
és physiques
hysique à d’
drer des réc
ements actif
central poul’école. « A
potentiel nonmbreuses raisnce des adole ces dernier
micile29. »
ositions ne pux associatifervices sociaerte sur sa cs le plan de mmunautair
santé : une p
20
ORITAIRE
de l’éducatimunautaires, ont justifiés,ejoindre les loisirs et les es aînés. Pou12 qui seron
les aînés, pratique d’ac0 ans ou pperte d’auto
aires et secoise sur la p
inimal consa
s intramuros
autres progr
créations ac
fs entre le do
ur les adolescAgir sur l’amn négligeablesons : d’aborlescents au qrs fréquente
peut s’actuafs et commuaux. Il est socommunautéréussite de l
re présent da
perspective de
ES
ion, les munles fédératinous croyontout-petits ecentres d’hé
ur les milieuxnt disponible
on doit coctivité physilus, notamm
onomie en
condaires, nproblématiqu
acré aux cou
et parascola
rammes d’en
ctives dans
omicile et l’é
cents, dont lménagement e pour influerd, ces sectequotidien, ennt plus de d
aliser sans l’unautaires eouhaitable qé, utilisant l’l’école et qu
ans le territoi
de santé publi
nicipalités, leions et le gons qu’il y a et certains aébergement ex de garde, ies à l’automonsolider leque diversif
ment pour llien avec l
nous appuyoue du poids28
urs d’éducat
aires;
nseignement
des cours
école.
le domicile intérieur et
encer les habeurs scolairensuite, les r
destinations
’apport indiet d’autres sque la politiqapproche Éc
u’elle soit coire qu’elle de
ique
es milieux douvernemenlieu d’ajoute
autres milieuet de soins dil y a tout liene 2013 pou
e programmfiés et adaptéles personnele continuum
ons les cin8 :
tion physiqu
;
d’école bie
n’est souvenextérieur de
bitudes de vies sont le lierésultats de là pied autou
ispensable dsecteurs tel lque nationalcole en santéontributive aessert.
du nt. er ux de eu ur
me és es m
nq
ue
en
nt es ie eu la ur
du le le é,
au
Pour popus’inscl’amé Par amilierelatiterrito1 534 Or, ldont
Par cd’actchronrural élevé Dansparticpour commconceparticcoopé
Pour un
favoriser l’lation, il y crive dans énagement u
ailleurs, il fau rural. Ce
ivement faiboire. En 24 731 person
’organisation:
l’insuffisal’insuffisaaffectées une offre des besoiimportantvieillissancomposéela disparitl’attrition place; une ouverfins de mfinancemeun manquloisir et dpersonnelplusieurs
conséquent, ivités physiqniques, par cétait jugée
ée que celle d
le même eculier les groréduire les
munautés, dertation34. « cipation socération et l’
ne population
’adoption d’a tout lieu une persp
urbain, des d
audrait portermilieu se c
ble, donc pa2011, on nnes, vit en m
n du loisir
ance ou le mance, voire à l’organisatde loisirs e
ins et des cte pour les ntes, une ofe de 23 % detion d’infrasdu nombre
rture variablmise en coment requis; ue de reconnde la pertinenl, et ce, enmunicipalité
on observe ques de loiscomparaisoncomme étandes populatio
esprit, pour oupes vivantISS doivent du pouvoir De nombreu
ciale et les entraide dan
n active et en
’un mode dde réfléchir
pective de éplacements
r une attenticaractérise par des colleestime que
milieu rural.
actif en mil
mauvais état dl’absence c
tion et à l’anet des infrascaractéristiqu
adolescentsffre de loise familles mostructures com
de bénévol
le selon les mmmun d’infr
naissance dence d’invest
n raison desés rurales.
chez les popir, de même
n aux populant globalemeons urbaines
que la politt en contexteêtre appliqud’agir de
uses rechercrelations de
ns un milieu
santé : une p
21
de vie physir à une stra
mobilité s actifs et séc
ion particuliar une densctivités de pe 19 % de
lieu rural qu
des infrastruchronique denimation desstructures paues de la pos dans des sirs peu aboonoparentalemmunautairles et l’essou
municipalitérastructures
e la part des tir dans des s maigres b
pulations rue que des tauations urbainent moins bos30-31-32-33.
tique natione de défavorués. Il s’agit
es individusches dans lee réciprocité
u, peuvent in
perspective de
iquement acatégie d’intedurable qucuritaires et
ière à l’accesité de popupetite taille e la popu
uébécois con
uctures de loie ressourcess loisirs; arfois déveloopulation (ecommunautordable proes); res telles les ufflement de
és au partenaet d’équipe
élus municiéquipementbudgets con
urales un nivux plus élevnes. La santéonne et leur
nale rejoignerisation, troit de la partis et des c domaine soé et de connfluencer po
de santé publi
ctif par l’enervention mui tiendrait du transport
ssibilité du ulation et de
dispersées lation québ
nnaît certain
isir; s humaines
oppées sans ex. : une ofés avec des
oposée à un
écoles; e ceux qui d
ariat intermuements et d
ipaux de l’imts ou dans l’nsacrés aux
veau moindrvés de certaié des habitar espérance
e toute la pis principes ccipation citocommunautéocial ont connfiance, quiositivement l
ique
semble de lmunicipale qu
compte dt.
loisir actif ee constructio
sur un vastbécoise, so
ns problème
permanente
tenir comptffre de loisirs populationne populatio
demeurent e
unicipal à dede partage d
mportance dembauche d
loisirs dan
re de pratiquines maladie
ants du miliede vie moin
opulation, eclés reconnuoyenne et deés et de lnfirmé que li facilitent lla santé de l
la ui de
en on te
oit
s,
es
te rs ns on
en
es du
du du ns
ue es eu ns
en us es la la la la
popubut cdes ssocia La pmodiproved’agiinitiadévelet le dnomm Les Dtout-ppour proposoutecommque physigrouplocal
Pour un
lation. Les mcommun préservices de sales plus favo
politique natfication de enant des coir des indiviatives dites loppement cdéveloppemmés précédem
DSP recommpetits (0-4 arejoindre le
osent cinq reenir une écolmunautaire pla politiqueiquement acpes et des c.
ne population
membres d’sentent un tsanté et à dorables à la s
tionale devrl’environne
mmunautés idus et des c
« développcommunauta
ment des commment.
mandent donans) de mêmes aînés (65ecommandatle ouverte suprésent danse nationale ctif et la mcommunauté
n active et en
une commuaux de mort
des ressourcesanté35. »
rait valoriseement favolocales danscommunauté
pement locaaire, le dével
mmunautés36.
nc l’ajout desme que les ce5 ans et plutions pour leur la commus le territoirevalorise les
modification és qui mette
santé : une p
22
unauté qui artalité plus bes d’aide. Il
er les initiarable à un s lesquelles és et la conal » regrouploppement s Ces stratégi
s milieux deentres de jouus). Dans lesquelles la p
unauté qui coe qu’elle des initiatives
d’environnent de l’ava
perspective de
rrivent à trabas et profitels composen
atives sur lmode de
la participatncertation sepent une vocial, le dévies ont en co
e garde à l’eur, les clubs es écoles prpolitique nationtribue au pssert. Enfin,
s de promonements favant des strat
de santé publi
availler enseent d’un ment aussi avec
l’activité phvie physiq
tion citoyenneront mis devariété de veloppementommun les t
enfance pour de loisirs e
rimaire et seionale devraprocessus de, les DSP re
otion d’un mvorables portégies de dé
ique
mble vers uilleur accès c des norme
hysique et lquement actne, le pouvoe l’avant. Cestratégies : lt économiqutrois principe
r rejoindre leet les CHSLDecondaire, iait valoriser ee mobilisatioecommandenmode de virtées par deéveloppemen
un à
es
la tif oir es le ue es
es D ls et
on nt ie es nt
5.
Le livque lrespocette en fintersnéceset puToutecompdévelconcerésultdes mpeuvefaçonobjetrégio Il exivie cd’ailll’actusainedu spla fambut dpartensont c’est-cadrede sacomm Au-dd’autproblles rél’excpetitsnommacteuet so
Pour un
L’ACT
vre vert proples actions
onsabilités deorientation
forme, doitsectorielle. ssaire pour quissent agir eefois, commposantes déblopper une vernés, les retante d’un p
milieux jugéent maîtrisern graduelle s et des minal et nation
iste déjà boncomprenant leurs identifiualisation dus habitudes
port, du monmille, etc. Ced’améliorer naires et entà l’effet de -à-dire d’en e de fonctionanté publiqumunautés rat
delà des actiotres actionslématiques qégions. Il s’alusion socials et leur entmés au chapurs et partenaont liées au
ne population
TION INTER
pose une orisoient cohé
es acteurs à qui, devant
t être enviLa politiqu
que les acteuefficacemen
me il en a étbordent largevision globa
essources et rocessus duqs prioritairer seuls38. Coen s’appuya
ilieux concenal.
n nombre dl’activité p
iées dans le u PAG poude vie (TIR
nde municipaes mécanismleur efficactre les nivearendre effeconsolider
nnement et due, les strattachées à la
ons intersect intersector
qui ont couragit notammele, de la perstrée à l’éco
pitre 2 du praires en provux mécanis
n active et en
RSECTOR
ientation conérentes et rl’échelle natla volonté d
isagée dansue nationale urs publics etnt sur les dété question ement les froale et interseles expertisquel des acts, s’unissentomme elle nant sur les ernés. Elle p
’actions intephysique. Clivre vert. N
ur lesquelles-SHV) regroal, de la sant
mes ont fait lcité dans unaux locaux, ctif le modèla philosoph
d’optimiser latégies d’acpromotion d
torielles surrielles régio
rs actuellemeent des probsévérance et
ole réussie, résent mémovenance de dsmes des c
santé : une p
23
RIELLE
ncernant la creposent surtionale, régiodu gouvernes une plus
est issue t leurs partenfis et les divdans les ch
ontières du Mectorielle poes. L’actioneurs issus det pour agir sne suit pas upossibilités
peut se con
ersectoriellesCertaines deNotons, à l’é des Tables
oupent des pté et des serv’objet d’unen souci de régionaux e
èle de gouvehie d’intervele maillage e
ction intersedes saines ha
r les saines honales et ent et qui pr
blématiques tt la réussite squi ciblent
oire. Ces actdifférents secconférences
perspective de
concertation,r un partageonale et loca
ement d’êtres large pedu MELS.
naires de ce verses comp
hapitres précMELS. Il deour mettre en intersectorie plusieurs ssur une situun modèle u
particulièrencrétiser à p
s concernane ces actionéchelle des rs intersectorpartenaires dvices sociau
e analyse appcohérence e
et nationauxernance et d
ention du déentre le PAGectorielle et abitudes de v
habitudes delocales d’imrennent des touchant la lscolaires, dules clientèle
tions intersecteurs et mil
régionales
de santé publi
, soit « qu’ee clair des ale37 ». Les De une des naerspective, Cette sectsecteur s’y r
posantes qucédents, pluevient donc ensemble touielle se définsecteurs, paration complunique, elle es propres àplusieurs niv
nt les saines ns intersect
régions, cellerielles régio
de l’éducatioux, du commprofondie enet de cohés39. Les recode déploieméploiement, dG, le Program
de dévelovie.
e vie, il y a mportance formes diff
lutte contre u développemes et les m
ectorielles relieux, souven
des élus.
ique
lle veille à crôles et de
DSP appuienations les plu
soit l’actiotorisation ereconnaissen’elle soulève
usieurs de cenécessaire dus les acteurnit comme lrticulièremenlexe qu’ils nse définit d
à chacun deveaux : loca
habitudes dtorielles sones concernan
onales sur len, du loisir e
munautaire, dn 2012 dans lion entre lemmandation
ment du PAGd’élaborer umme nationappement de
lieu de notesur d’autre
férentes selola pauvreté e
ment des toumilieux de viegroupent dent les même
Les action
ce es nt us on st nt e. es de rs la nt ne de es al,
de nt nt es et de le es ns G, un al es
er es on et
ut-ie es s, ns
intersrégiovoirela coh Par aen papartenl’enteréseanation Les Den l’globanation
Pour un
sectorielles ns. Au défi multisectorhésion et la c
ailleurs, il esartenariat avnariat MSSSente de compaux est, selonnale. Il y a d
DSP recommaméliorant aale et intégrnale, régiona
ne population
semblent fode la cohérerielle, et un cohérence à
st bon de rapvec le MELSS-MELS-ASplémentaritén les DSP, u
donc lieu de
mandent de cau bénéfice rée, s’inscrirale et locale
n active et en
ortement anence sectorieeffort d’intétous les nive
ppeler que leS depuis pluSSS dans le cé MSSS-MEun gage de protéger les
conserver lede la popu
re et s’orienavec d’autre
santé : une p
24
crées dans elle s’ajoute égration est ceaux.
es DSP, parus d’une trencadre du pro
ELS. L’expérréussite danacquis de ce
s acquis du ulation. De pnter dans unes actions in
perspective de
les façons celui de la ccertainemen
r l’intermédintaine d’annogramme Kirience de cons le cadre de partenariat
partenariat plus, la poline action in
ntersectoriell
de santé publi
de faire à cohérence innt nécessaire
iaire des ASnées. Notonsino-Québec oncertation ede la prochat tout en l’am
MELS-MSSitique nationntersectoriellles en cours.
ique
l’échelle detersectoriell
e pour assure
SSS, sont déjs l’entente dde même qu
entre les deuaine politiquméliorant.
SS-ASSS tounale doit êtrle à l’échell
es e, er
jà de ue ux ue
ut re le
C Les Dde l’aune pdu gola vodeux la pode mmondsantéla sédémaintervpublidans
En celivre recom
Pour un
ONCLU
DSP accueilactivité physpolitique natiouvernementoir intégrée à
défis : hausopulation quémesure internde. Pourtant, de la populadentarité et
arquer, il dventions aieique. Une nacet esprit qu
adopte, cofavorablepréventioadopte, c(2013); adopte etment et la
e qui concernvert. Ils est
mmandations
cible spéc(25-44 andifférenciavec l’Undes commajoute lesde loisirs valorise eles cinq re4 et afin qde mobili
ne population
USION
lent favorabsique présenionale du spt de l’inscrirà la prochaiser le niveauébécoise. Denationale pe, il existe à lation du Quéd’autres fa
evra faire ent un impacation en formue les DSP re
omme cadrees à la sainen des problèomme persp
t applique la mise en pla
ne les clienttiment cepens précédente
cifiquement ns) et les aiation des gniversalisme
munautés; milieux de et les CHSL
et soutienne ecommandaqu’elles soiensation comm
n active et en
blement le prnté dans le lort, du loisir
re dans une vne politiqueu d’activitéseux défis mrmettant de l’heure actueébec avec lecteurs de rien sorte quct sur la sanme c’est avaecommanden
e de référence alimentatioèmes reliés apective et o
’Universalisace des mesu
tèles et les mndant qu’il
es. Ainsi, les
les tout-petaînés (65 angenres, notame proportion
garde à l’enLD;
les écoles ptions en matnt ouvertes s
munautaire p
santé : une p
25
rojet de poliivre vert « Lr et de l’activvision du déve nationale ds physiques eajeurs pour positionner
elle plusieurs autres payisque. Quel ue sa politinté de la poant tout unent que la pol
ce Pour une on, à un moau poids (20orientation, U
sme proportures et des in
milieux cibléy a lieu d’é DSP recom
tits (0-4 ansns et plus) mment à l’ané, du nive
nfance, de mê
primaires et tière d’activsur leur com
présent dans
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itique nationLe goût et levité physiquveloppementde préventioet améliorer lesquels il n
r le Québecrs indicateurys et certains
qu’il en soique nationaopulation. C
e population litique nation
vision commode de vie ph12); Un mode de
tionné dans nterventions
s, les DSP aétablir des p
mmandent qu
s), les jeuneen tenant c
adolescence eau de défav
ême que les
secondairesvités physiqummunauté en
leur territoir
de santé publi
nale du spore plaisir de
ue ». Ils saluet durable de
on. Le livre la condition
n’existe pas par rappor
rs pour compindicateurs
oit, si le Quale, ses me
C’est là un active et en
nale :
mune des enhysiquement
e vie physiq
l’analyse, l.
appuient la ppriorités en
ue la politiqu
s (5-17 anscompte d’un
et, d’autre vorisation de
centres de j
s afin qu’elleues identifiéen contribuantre de dessert
ique
rt, du loisir ebouger : verent la volontla santé et dvert annonc
n physique dactuellemen
rt au reste dparer l’état dpour mesure
uébec veut sesures et sedéfi de santn santé. C’e
vironnement actif et à l
quement act
le développe
proposition dlien avec le
ue nationale
), les parentne part de l
part, en liees groupes e
our, les club
es actualisenes au chapitrt au processute;
et rs té de ce de nt du de er se es té st
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e-
du es :
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bs
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Enfinles arespopourrElle santérecom
En terespoce pro
Pour un
valorise eactif des développe
n, en ce qui cactions soieonsabilités dra se limiterdevra s’éten de la pop
mmandent qu
soit globintersectointersectoet réussitréussie et qu’elle fade la popu
erminant, leonsabilité daojet de socié
ne population
et soutienne groupes et
ement local.
concerne la cent cohérenes acteurs à
r qu’aux seundre à tous lpulation. Enue la politiqu
bale et intéorielle à l’écorielles telleste scolaires, la politique
asse en sorte ulation.
es DSP réitns la promo
été afin d’am
n active et en
les initiativedes commu
concertationtes et repol’échelle na
uls acteurs ples acteurs dn lien avecue nationale
égrée et quchelle natios la lutte à la
le dévelopnationale dede consolid
tèrent leur votion d’un mméliorer la sa
santé : une p
26
es de promounautés qui
n, les DSP aposent sur uationale, régublics et leude la sociétéc les recom:
u’elle s’inscnale, régiona pauvreté epement dese préventioner le partena
volonté de mode de vie panté de la pop
perspective de
otion d’un mmettent de
ppuient l’oriun partage gionale et locurs partenairé concernés
mmandations
crive et s’onale et locat l’exclusion
s tout-petits n en préparatariat MELS-
poursuivre physiquemenpulation.
de santé publi
mode de vie pl’avant des
entation qui clair des
cale. Cette ores du secteu par l’amélis précédent
oriente dansale avec d’an sociale, la
et leur enttion; MSSS-ASS
leur implicnt actif et de
ique
physiquemenstratégies d
vise à ce qurôles et deorientation nur du MELSioration de ltes, les DS
s une actioautres action
persévéranctrée à l’écol
S au bénéfic
cation et leue contribuer
nt de
ue es ne S. la
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