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TABLE DE CONCERTATION EN ENVIRONNEMENT DU BAS-RICHELIEU
REVUE DE PRESSE GESTION DES MATIÈRES RÉSIDUELLES
2011
Émilie Bourassa, Organisatrice communautaire, CSSS Pierre-De Saurel
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NOTE La présente revue de presse regroupe certains articles, mais ne prétend pas couvrir l’ensemble de ce qui est paru sur le sujet dans les journaux locaux. Bonne consultation! Source : JOURNAL LES 2 RIVES / JOURNAL LA VOIX
http://monteregieweb.com/
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TABLE DES MATIÈRES
1. Où vont nos sapins de Noël? .............................................................................................
2. Pouvons-nous recycler un avertisseur de fumée ? ............................................................
3. Soirée d’information sur la gestion des matières résiduelles ............................................
4. Rencontre avec le ministre Arcand ...................................................................................
5. Le Recyclo-centre porteur d’un projet de traitement d’équipements électriques et
électroniques .......................................................................................................................
6. La MRC et le CLD de Lajemmerais reçoivent la plus haute distinction du
programme Ici on recycle ! .................................................................................................
7. Déchets: le préfet Gilles Salvas admet que la MRC n’économisera pas 70M$ d’ici
à 20 ans ..............................................................................................................................
8. Le prêt à SDD tien toujours, dit la SADC .........................................................................
9. Recyclo environnement achète un terrain dans le parc industriel, face à SDD .................
10. L'Atelier du chômeur possède maintenant son dépliant promotionnel .............................
11. Jacinthe Sirois, la passionaria du développement durable et social ..................................
12. L’ABC du compostage domestique ..................................................................................
13. Acheter SDD ou pas? Les élus sorelois sont divisés sur cette question ...........................
À POURSUIVRE …
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On a procédé cette semaine à la cueillette des sapins. Annie Bourque
Où vont nos sapins de Noël?
Annie Bourque
La Voix - 14 janvier 2011
Actualité > Communautaire
En fin de semaine dernière, un grand nombre de citoyens ont remisé jusqu’à l’an prochain
les boules, les lumières et décorations de Noël. Signe que la période des fêtes est bel et
bien terminée. Un grand nombre de gens ont ainsi laissé leur sapin sur leur terrain, prêt
pour la cueillette annuelle. Mais où vont donc nos sapins? Le Journal La Voix a mené sa
petite enquête.
La deuxième vie du sapin
«Votre sapin ne sera pas jeté. Il sera recyclé de façon écologique», précise Serge Brière, le
directeur de EBI Environnement de Berthierville qui détient le contrat pour la cueillette des sapins
de 11 municipalités la MRC Pierre de Saurel sauf celle de Sainte-Victoire de Sorel.
L’année dernière, la collecte de sapins dans Sorel-Tracy , Sainte-Anne -de-Sorel et Saint-Roch, a
permis de recueillir 785 sapins.
Mardi matin, dans les rues de Sorel, le contremaître des opérations chez EBI Environnement Robert
Mandeville et ses hommes empilaient les conifères dans l’arrière d'un gros camion. «Il rentre
environ 500 sapins dans ce 12 roues», dit le Sorelois Robert Mandeville.
Une fois bien remplie, le camion prendra la route du Traversier de Sorel-Tracy de Saint-Ignace-de-
Loyola avant de se diriger vers le siège social de EBI à Berthierville. «Les sapins seront envoyés à
notre centre de compostage et seront déchiquetés», ajoute Serge Brière, le directeur général de
EBI.
Une fois, l’opération déchiquetage terminée, les résidus de la matière deviennent du paillis. L’année
dernière, EBI s’en est servi pour garnir les plates-bandes de son entreprise.
Cette année, les Sorelois ont acheté en moins grand nombre le sapin de Noël qui se vendait entre
20$ et 40$. Environ une centaine de sapins n’ont pas trouvé preneurs.
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En 2009, il y a eu un grand engouement pour le sapin naturel. À tel point que certains vendeurs en
ont manqué. «En décembre dernier, on a vendu beaucoup des sapins artificiels. On n’a pas connu
une aussi bonne année», a-t-on appris lors de notre passage chez Botanix.
Le 24 décembre terminée, certains concessionnaires ont accroché la pancarte «à donner » de leurs
sapins. Un amateur de chasse en a profité pour se procurer une douzaine de sapins en prétextant
qu’il s’en servait pour nourrir les chevreuils!
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Pouvons-nous recycler un avertisseur de fumée ?
La Voix - 14 janvier 2011
Actualité > Environnement
La venue des avertisseurs de fumée date d’il y a maintenant une vingtaine d’années. La première
génération de ceux-ci était très onéreuse. Il est important de spécifier que cet appareil est composé
de matière plastique, de composantes électriques et d’une source radioactive. Cette dernière est
nécessaire dans le processus qui sert à l’analyse qui détecte la présence de fumée.
Plusieurs citoyens se demandent si les avertisseurs de fumée sont recyclables. La réponse est oui.
Comme la source radioactive est très minime (très basse), on peut récupérer ces appareils en les
disposant dans le bac de recyclage. Pour les appareils qui utilisent une pile alcaline, il suffit de
l’enlever de l’avertisseur et jeter ce dernier dans le bac de recyclage.
N’oubliez pas que vous pouvez également disposer des piles usagées (alcalines ou rechargeables) à
divers endroits prévus à cette fin, dans le cadre du Programme de récupération des piles,
cartouches d’encre et téléphones cellulaires usagés initié par la MRC de Pierre-De Saurel. Vous
pouvez déposer ces piles dans des bacs spécialement conçus à cette fin dans les différents bureaux
administratifs municipaux, divers commerces de la région ainsi qu’à la MRC. Consultez le site
Internet de la MRC de Pierre-De Saurel (www.pierredesaurel.com, onglet Info-Collectes) pour
obtenir la liste des endroits de dépôt.
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Soirée d’information sur la gestion des matières résiduelles
Les 2 Rives - 8 février 2011
Actualité > Environnement
La Table de concertation en environnement du Bas-Richelieu invite ses membres, ainsi que la population et les intervenants, à une soirée d’information sur la gestion des matières résiduelles. L’événement se veut également une occasion d’échanges sur cet enjeu important pour l’avenir de la région.
Il aura lieu le jeudi 10 février à compter de 18 h 30 à l’auditorium du Cégep de Sorel-Tracy (salle Guy-Bélanger) au 3000, boulevard de Tracy, Sorel-Tracy. Les présentations débutent à 19 heures. Deux conférenciers prendront la parole.
Kim Cornelissen présentera sa conférence sur la gestion des déchets et production d’énergie, une combinaison gagnante pour les municipalités. Mme Cornelissen est consultante en développement régional et international, spécialiste en matière de développement durable, transport et environnement en Suède. Urbaniste de formation, elle est consultante en développement durable. Elle œuvre pour la région dans certains de ses mandats de consultation.
La deuxième sera une présentation du plan de gestion des matières résiduelles de la MRC de Pierre-De Saurel par Marc Olivier. M. Olivier est chimiste, spécialisé en environnement et en gestion des matières dangereuses et chercheur en gestion des matières résiduelles dans le cadre des activités du Centre de transfert technologique en écologie industrielle Joseph-Simard (CTTÉI). Il a mis en œuvre la formation collégiale DEC en environnement hygiène et sécurité du travail au Cégep de Sorel-Tracy.
Comprendre, réfléchir, préparer l'avenir ensemble, puisque la gestion des matières résiduelles est un sujet qui nous concerne toutes et tous!
Pour de plus amples renseignements sur la Table de concertation en environnement du Bas-Richelieu, vous pouvez visiter sa section sur le site Internet de la MRC de Pierre-De Saurel au www.mrcpierredesaurel.com.
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Françoise Bertrand, présidente de la Fédération des Chambres de commerces du Québec, Rachel Doyel, dg, Ch. de commerce de Sorel-Tracy, Jacinthe Sirois de Recyclo-Centre, le minitre Pierre Arcand et Marie-France Carra, présidente de la Ch. de commerce de Sorel-Tracy.
Rencontre avec le ministre Arcand
La Voix - 11 février 2011
Économie > Emplois
La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy et Jacinthe Sirois, directrice générale du Recyclo-Centre ont rencontré le 14 janvier dernier le ministre de l’Environnement du Québec, Pierre Arcand, afin de lui présenter le projet d’expansion du centre qui pourra créer 40 emplois direct et 200 emplois indirects.
« Le ministre a semblé impressionné par l’appui que ce projet obtient de tous dans la région et par le fait que 12 M $ ont déjà été trouvés. Le ministre Arcand a proposé d’intervenir auprès de ses collègues du ministère du développement économique et Emploi-Québec.Rappelons que le projet du Centre de traitement d’équipements électriques et électroniques du Recyclo-Centre propose donc la mise sur pied et l’opération d’un centre de réutilisation et de valorisation des DEEE. (Déchets d'équipements électriques et électroniques).(AB)
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Jacinthe Sirois lors de l'ouverture de la dernière expansion du Recyclo-centre Photo d'archives
La Présidente directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec, Françoise Bertrand, Rachel Doyon directrice de la chambre de Sorel-Tracy, Jacinthe Sirois et la présidente de la Chambre régionale Marie-France Carra avec le ministre Pierre Arcand
Il a déjà 11,5M$ des 16,6M$ nécessaires à son envol
Le Recyclo-centre porteur d’un projet de traitement d’équipements électriques et électroniques
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 15 février 2011
Économie > Affaires
Jacinthe Sirois est aux anges. Son projet d’ajouter au Recyclo-centre qu’elle dirige de main de maitre, un centre de traitement d’équipements électriques et électroniques -est à la veille de voir le jour. De fait, elle a déjà réuni près de 11,5M$ des 16,6M$ que coûtera son projet – terrain, bâtiment et équipements compris. Et compte bien qu’il démarrera l’automne prochain.
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Déjà, nous a-t-elle expliqué, ses partenaires de toujours - la Caisse d’économie solidaire de Montréal et la Fédération d’économie sociale de Montréal - lui consentent des prêts de 10M$ et 1,5M$. Et, milieu janvier, lors d’une rencontre entre le ministre québécois de l’Environnement, Pierre Arcand, et La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy, Mme Sirois a pu présenter au ministre son projet d’expansion. Les participants ont alors échangé pendant plus d’une heure à savoir comment le gouvernement du Québec pourrait contribuer à compléter la réalisation de ce projet.
Le Recyclo-centre qui reçoit chaque année des milliers d’articles - électriques (poêles, réfrigérateurs, laveuses, sécheuses, etc.), électroniques dont des jouets et téléphones cellulaires), petits appareils ménagers (grille-pain, malaxeurs, fer à friser, séchoir à cheveux, etc.) écrans cathodiques, ampoules et néon – souhaite les démanteler en toute sécurité, récupérer ce qui est récupérable, remettre en circulation ceux qui peuvent l’être. Car il ne faut pas oublier, dit-elle les moins nantis qui ont besoin de tels appareils et n’ont pas les moyens de s’en offrir des neufs.
«Le ministre a semblé impressionné par l’appui que ce projet obtient de tous dans la région et par le fait que 12M $ ont déjà été trouvés. Son ministère a peu de ressources directes pour ce type de projet, mais il nous a proposé d’intervenir auprès de ses collègues du Ministère du développement économique et Emploi-Québec. Je suis convaincu que ça va aider», estime la présidente de la chambre, Madame Marie-France Carra.
Mm Sirois se dit pour sa part confiante que le gouvernement investira 5M$ dans son projet, lui qui se prépare à fixer l’objectif « zéro enfouissement » pour 2015.
Un appui exceptionnel
« L’intervention de la chambre est très appréciée. Qu’un projet d’économie sociale de cette envergure soit appuyé aussi fortement par la communauté, notamment la communauté d’affaires, est exceptionnel. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous réussirons! On a dit au ministre qu’une usine seule, rentable, efficace serait porteuse de développement » ajoute–t-elle.
Le projet générera des revenus annuels en traitant ces matières en provenance de 150 kilomètres à la ronde, remis à niveau pour le réemploi valorisé. Ce projet créera au-delà de 40 emplois directs, environ 200 emplois indirects et participera à l’intégration au travail d’un nombre important d’individus qui ont généralement de la difficulté à intégrer le marché du travail ou à fonctionner en société. Une des premières ressourceries reconnues au Québec, le Recyclo-centre est également un lieu d’intégration sociale.
Il y a 4 ans que Jacinthe Sirois peaufine ce projet. Un moyen qu’elle a trouvé pour rendre à la région ce qu’elle lui a apporté : une place où vivre et s’épanouir. «Je veux lui laisser quelque chose, elle qui m’a adoptée! »
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L’usine serait construite dans le parc industriel du secteur Tracy ou le Recyclo-centre a déposé une offre pour l’achat d’un terrain voisin de Conporec.
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Martin Damphousse, préfet adjoint de la MRC de Lajemmerais et Chantelle Provost-Dubois, conseillère en environnement de la MRC de Lajemmerais (à droite), recevant l’Attestation de performance de niveau 3 de Ginette Bureau, présidente-directrice générale de Recyc-Québec.
La MRC et le CLD de Lajemmerais reçoivent la plus haute distinction du programme Ici on recycle !
Les 2 Rives - 22 février 2011
Actualité > Environnement
Le MRC et le CLD de Lajemmerais reçoivent la plus haute distinction au programme Ici on recycle!, soit l’Attestation de performance de niveau 3. Il s’agit d’une reconnaissance officielle du gouvernement du Québec, instaurée par Recyc-Québec afin de souligner les efforts remarquables des industries, des commerces et des institutions (ICI) qui ont implanté, dans leur établissement, des mesures permettant la gestion responsable de leurs matières résiduelles.
Pour Suzanne Roy, préfet de la MRC de Lajemmerais, l’obtention de cette distinction est un élément de fierté confirmant l’investissement des deux organismes en faveur de la protection de l’environnement. «Je remercie toute l’équipe, tant du CLD que de la MRC de Lajemmerais, de sa contribution à la saine gestion de nos matières résiduelles. Ensemble, nous démontrons notre engagement dans cette voie respectueuse de l'environnement et des générations futures.»
Au cours des dernières années, les différentes initiatives mises sur pied par la MRC et le CLD de Lajemmerais ont permis aux deux établissements de mettre en valeur près de 84% de leurs matières résiduelles. Parmi ces mesures, notons la sensibilisation des employés à la boîte à lunch écologique, la mise à leur disposition de sacs réutilisables et l’installation de composteurs domestiques et de vermicomposteurs afin de détourner les matières organiques générées. De plus, les deux organismes ont banni l’utilisation de vaisselle jetable et instauré le principe d’assemblées et réunions sans papier. Par ailleurs, la MRC a créé également diverses brochures sur l’herbicyclage, le compostage domestique ainsi que les 3RV, toutes destinées à l'ensemble des citoyens du territoire.
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L’Attestation de performance Ici on recycle! De niveau 3 est remise aux ICI qui atteignent des standards élevés conformément aux objectifs de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008. Rappelons que le programme Ici on recycle! comporte trois niveaux de reconnaissance: le niveau 1, Engagement; le niveau 2, Mise en œuvre et le niveau 3, Performance. Ce dernier vise à reconnaître les efforts des établissements qui atteignent un taux élevé de mise en valeur de leurs matières résiduelles, en plus d’avoir réalisé des activités d’information et de sensibilisation auprès de leurs employés et d’avoir mis en place des mesures de réduction à la source et de réemploi. Les établissements doivent atteindre un taux global de récupération et de mise en valeur sur le potentiel de valorisation de 80%.
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Il affirme que les maires ne veulent pas enfouir les déchets indéfiniment
Déchets: le préfet Gilles Salvas admet que la MRC n’économisera pas 70M$ d’ici à 20 ans
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 15 mars 2011
Actualité > Politique (autres)
Visiblement mal à l’aise, le préfet Gilles Salvas a déclaré, mercredi soir, en assemblée publique, que l’économie minimale évoquée par un groupe de citoyens, de 70M$ en matière de gestion de matières résiduelles parce qu’elle n’a pas mis à exécution son projet d’explorer une entente gré à gré avec SDD pour le traitement des déchets domestiques pour les prochains 29 ans, était exagérée. Et ce même s’il avait endossé ces chiffres lors de l’assemblée précédente.
«On ne peut parler de tels chiffres parce que l’on ne sait pas ce qui nous arrivera dans 3 ans et neuf mois, quand nous déterminerons un contrat à long terme pour le traitement et la valorisation des déchets de la MRC. Pour le moment, nous enfouissons les déchets mais ce n’est pas ce que les maires veulent à moyen terme», a-t-il insisté.
Aussi reconnait-il que le 70M$, chiffre lancé par le groupe Transparence Économie Sorel-Tracy n’est pas fondé. «Moi, ce que j’ai dit, c’est qu’on avait économisé, en chiffre rond, 1M$ par année avec le contrat d’enfouissement. Et que si on compare le prix par porte de 140$ que nous estimons que ce contrat coûte maintenant et celui de 229$ par porte que SDD avait évoqué mais non discuté, il y a, avec le prix réel, une économie de 2 M$, cela pouvait nous épargner 3M$ et quelques par année. Mais on ne peut multiplier ce montant par 20 ans. Car on ne sait pas la méthode que nous choisirons pour valoriser, ni ce qu’elle coûtera, ni l’augmentation du coût de la vie, de l’essence, des taxes. Pas plus qu’on connait ce que serons les normes à ce moment, etc.»
C’était une erreur de reconnaitre ce chiffre comme juste, a-t-il répété à quelques reprises.
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Pourtant André Mandeville de TEST, soutient toujours le contraire. Ses calculs sont réels, basés sur des chiffres de eBi environnement, SDD, Statistiques Canada et la Ville de Sorel-Tracy.
Pour le maire Denis Marion, c’est le postulat de départ du TEST qui est faux : les chiffres changeront parce que les maires ne veulent pas enfouir pour 20 ans. Une approche que le TEST ne veut regarder. Quant à Michel Piché, il suggère tout de même de prendre Victoriaville comme modèle.
Une ville a dit M. Marion qui opère dans ce secteur une société d’économie mixte – ou la MRC d'Arthabaska à 51 % et un entrepreneur privé, Gaudreau Environnement 49 % – formule que ce groupe, comme une majorité de maires ont rejeté d’emblée. Où la cueillette à trois voies est implantée. :a Victoriaville, par exemple, la cueillette et le traitement des déchets domestiques coûte 177$ par porte incluant toutes les dépenses touchant ce dossier, la cueillette d'encombrants, de sapins de Noel, , de RDDla cueillette à trois voies.
Des précisions de Raymond Arel
Quant à l’ex-préfet Raymond Arel, il a contesté des membres du TEST qui, lors de la dernière assemblée publique de Sorel-Tracy, l’ont accusé d’avoir «collecté des taxes que personne ne connait» et que la MRC doit corriger en remettant un trop-perçu caché accumulé des surplus. «Le 12 mai, j’avais expliqué ces chiffres en assemblée et ils ont été rapportés dans le journal Les 2 rives du 18 mai suivant.»
Voilà ce qu’on y lisait: « À cette date, le contrat avec eBI Environnement coûte 137$ à 140$ la porte, prix avant taxes et on charge à toutes les municipalités 180$ par porte. «Lors de l’élaboration des prévisions budgétaires, les maires ont choisi de déterminer un taux unitaire qui permettrait de créer des provisions dans le but de pouvoir réaliser divers projets en lien avec ce dossier, dont l’écocentre. Nous prévoyons que le montant ainsi obtenu totalisera à la fin de 2010, 500 000$.»
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René Lachapelle est président de la SADC
Le prêt à SDD tien toujours, dit la SADC
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 15 mars 2011
Économie > Affaires
Le président de la SADC est ferme: pas question de rappeler le prêt consenti de 600,000$ à SDD comme le réclame le groupe Transparence économique de Sorel-Tracy (TEST) depuis un moment déjà.
«On ne peut rappeler ce prêt. L’entreprise remplit toutes les conditions sur lesquelles on s’est entendu avec elle avant de le faire. Bien sûr, pour le moment, la MRC a pris des décisions qui peuvent influencer son plan d’affaires. Pour nous, SDD est toujours une entreprise intéressante à qui on a prêté parce qu’elle est disposée à créer des emplois locaux. Pour le moment, la ville de Sorel-Tracy a une attitude qui crée un imbroglio. Chacun a ses obligations.La SADC n’a pas à s’immiscer dans le règlement que l’entreprise pourrait faire avec la Ville. C’est une affaire entre elle, un propriétaire d’entreprise et investisseur. Le projet SDD est encore un projet intéressant basé sur des études sérieuses, qui prévoit un investissement de 18M$ dans notre région, créateur d’emplois dans un secteur où l’on veut occuper un leadership, le développement durable.»
Jamais à sa connaissance, la SADC n’a rappelé de prêt a dit celui qui y siège depuis les débuts. «Celui qui casse des vitres ne peut pas demander ensuite à ce qu’elles soient réparées», conclut-il.
Aussi l’avis du préfet
C’est aussi ce que le préfet Gilles Salvas a dit, après avoir questionné le c.a. de la SADC, comme le TEST le demandait. «Une banque ne pourrait rappeler un prêt hypothécaire
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consenti à un propriétaire parce qu’il n’habite pas la maison qu’il a fait construire», a-t-il répondu en rappelant que SDD remplit ses obligations.
Pour le TEST, tout n’est pas aussi clair. «Cet argent est celui des contribuables», a dit Michel Piché. Ce à quoi M. Salvas a précisé qu’il venait du gouvernement fédéral et non des taxes municipales des contribuables sorelois. «Mais on doit rappeler le prêt pour que cet argent des contribuables sorelois», a insisté M. Piché, «ne serve pas à SDD pour payer ses avocats dans la cause qui pourrait l’opposer à la Ville de Sorel-Tracy.»
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Jacinthe Sirois est une l'artisane de ce projet
Recyclo environnement achète un terrain dans le parc industriel, face à SDD
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 26 avril 2011
Économie > Affaires
Sorel-Tracy a accepté de vendre un terrain situé dans le parc industriel situé entre la route Marie-Victorin et l’autoroute 30, à l’intersection des rue Joseph-Simard et Industrielle, où Recyclo environnement inc. dirigée par Mme Jacinthe Sirois y construirait une usine. L’entreprise a déjà déposé un acompte de 40 000 $ lors de son offre d’achat,
Le terrain a été vendu au prix de 377 572,70 $, taxes non comprises à la condition qu’un immeuble industriel d’une superficie minimale de 10 683,85 m2 y soit érigé dans les 36 mois suivant la signature de l’acte de vente qui doit être conclu avant le 2 mai.
On sait que Mme Sirois prévoit y implanter un centre de traitement d’équipements électriques et électroniques pour lequel elle a déjà réuni près de 11,5M$ des 16,6M$ que coûtera son projet – terrain, bâtiment et équipements compris. Elle compte bien qu’il démarrera l’automne prochain.
Le Recyclo-centre qu’elle dirige aussi reçoit chaque année des milliers d’articles - électriques (poêles, réfrigérateurs, laveuses, sécheuses, etc.), électroniques (dont des jouets et téléphones cellulaires), petits appareils ménagers (grille-pain, malaxeurs, fer à friser, séchoir à cheveux, etc.) écrans cathodiques, ampoules et néon. Il sera certes un fournisseur privilégié de matières premières mais non le seul puisqu’elle prévoit aussi en recevoir de 150 kilomètres à la ronde ! Elle souhaite pouvoir les y démanteler en toute sécurité, récupérer ce qui est récupérable. Remettre en circulation ce qui pourra l’être.
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Avec cette nouvelle usine, elle créera au-delà de 40 emplois directs, environ 200 emplois indirects, estime-t-elle et participera à l’intégration au travail d’un nombre important d’individus qui ont généralement de la difficulté à intégrer le marché du travail ou à fonctionner en société.
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Grâce au travail d'une stagiaire d'origine français e
L'Atelier du chômeur possède maintenant son dépliant promotionnel
Hélène Goulet
La Voix - 22 mai 2004
Actualité > Faits divers
Grâce au travail effectué depuis trois mois par une stagiaire d'origine Française, Marie-Beaudin, l'Atelier du chômeur possède maintenant son propre dépliant promotionnel, lequel permet au lecteur de mieux comprendre les deux principales missions de l'entreprise.
En effet, l'Atelier du chômeur du Bas-Richelieu et le Recyclo Centre, tous deux situés au 165 de la rue Hôtel-Dieu, sont les deux structures d'une entreprise en économie sociale qui a deux missions distinctes.
D'une part, l'Atelier est une entreprise d'insertion qui a pour objectif de développer l'employabilité de personnes âgées entre 18 et 35 ans, sans emploi ou faiblement scolarisées. Ces personnes sont invitées à occuper un porte 35 heures/semaine comme caissier/étalagiste, commis aux électro-ménagers, au tri et à la manutention, ainsi que commis aux meubles. La période d'insertion est d'une durée de six mois et permet le développement des habilités sociales et l'autonomie personnelle.
De son côté, le Recyclo-Centre est une ressourcerie qui invite les consommateurs à économiser les ressources et à réutiliser les biens de consommation, dans un contexte de développement durable. Les citoyens peuvent aller porter tous les objets dont ils souhaitent se départir. Ces objets sont, pour certains réparés, et revendus à prix très modiques.
Cette vente ne s'adresse pas seulement aux personnes à faible revenu, faut-il le spécifier, car, a fait valoir Mme Beaudin, "en réutilisant les biens usagés revalorisés, nous évitons dans un premier temps l'utilisation et le gaspillage de matières premières qui viennent à
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manquer puis, dans un second temps, nous évitons tous les ans sur la région de la MRC du Bas-Richelieu d'enfouir au moins 1000 tonnes métriques (de matériaux).
La jeune stagiaire, qui a découvert l'Atelier du chômeur en naviguant sur Internet, est étudiante en économie sociale et solidaire de l'université d'Orléans, en France.
Réfléchir à notre mode de consommation vis-à-vis de la situation actuelle de notre lieu de vie peut tout à fait commencer par ces gestes simples (dons et achats de biens usagés), accessibles à tous et véritablement conséquents pour la construction de notre avenir, a-t-elle plaidé.
Le stage de Mme Beaudin, qui a débuté le 1er mars et qui vient de se terminer, lui permettra de déposer un mémoire qu'elle aura à défendre et qui fera également connaître les activités de l'Atelier du chômeur au sein de cette université française.
Selon la directrice de l'Atelier du chômeur, Jacinthe Sirois, la jeune femme de 24 ans s'est avérée une précieuse ressource, débrouillarde et autonome.
Le dépliant produit par Mme Beaudin a été imprimé en 2000 exemplaires
Toujours dans le but de faire connaître ses missions, l'Atelier du chômeur et le Recyclo-Centre invitent toute la population à une journée portes-ouvertes, qui aura lieu le mercredi 9 juin. Les 19 employés permanents, les employés en insertion ainsi que les bénévoles administrateurs accueilleront la population et répondront aux questions sur le fonctionnement de l'entreprise.
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Jacinthe Sirois, une femme de terrain
Jacinthe Sirois, la passionaria du développement durable et social
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 22 mars 2011
Actualité > Environnement
La nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre et a réjoui tous ceux qui ont travaillé avec
elle et qui connaissent son engagement écologique et social envers la région qui l’a adoptée :
Jacinthe Sirois a été nommée au sein du comité aviseur qui conseillera le ministre du
Développement durable, de l’Environnement et des parcs pour mettre en œuvre sa nouvelle
politique québécoise de gestion des matières résiduelles.
Jacinthe Sirois, c’est la directrice générale du Recyclo-Centre sorelois mais aussi la présidente du
Regroupement des entreprises d’économie sociale en gestion de matières résiduelles. C’est aussi
elle qui pilote le projet de construction d’une usine de traitement de déchets provenant
d’équipements électriques et électroniques. Une première québécoise, dans la région qui s’inscrit
dans la vision du gouvernement québécois de responsabilité élargie des producteurs. Et ce tout en
continuant à assurer sa vocation d’insertion sociale. Au cours des 10 dernières années, c’est 800
personnes qui ont bénéficié des services d’insertion du Recyclo-Centre. 80% d’entre eux sont
demeurés sur le marché du travail, un investissement structurant pour la région, note-t-elle au
passage.
Surprise et fière de cette nomination, Mme Sirois compte pouvoir y défendre ses préoccupations
environnementales et apporter des solutions originales qu’elle a l’habitude d’intégrer au
fonctionnement de l’entreprise qu’elle dirige. «Le gouvernement reconnaît l’importance des
entreprises d’économie sociale dans la mise en œuvre de son ambitieuse politique de gestion des
matières résiduelles. il est essentiel que les entreprises d’économie sociale soient présentes aux
tables de concertation où elles peuvent contribuer à l’amélioration des pratiques par leur expertise,
mais aussi par leur enracinement dans leur milieu, près de la réalité des citoyens, de leurs besoins
et des enjeux territoriaux. Je suis particulièrement fière de pouvoir participer à ce comité en
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compagnie de quatre autres acteurs importants de l’économie sociale en gestion des matières
résiduelles», a-t-elle soutenu.
Comme les autres membres du comité, elle est une travailleuse de terrain. Voilà un dossier et une
responsabilité qui arrivent au bon moment dit celle qui œuvre en la matière depuis 20 ans. « Que
de chemin parcouru depuis qu’on prônait la réutilisation des sacs de papier et la disparition des sacs
de plastique. Quant à moi, il y a plusieurs années que je suis de près les questions
environnementales, que je lis tout ce que je peux sur la question et que j’échange avec des
groupes. Je suis honorée qu’on me considère pour l’expertise que j’ai développée. J’aime ce secteur
qui appelle l’innovation. C’est vraiment l’avenir que de s’attarder à ces questions qui visent à
régulariser la consommation et a empêcher le gaspillage. Dans notre région, on aborde différentes
solutions, certaines plus improvisées que d’autres.»
Certes, elle tentera de faire profiter la région des informations recueillies au sein du comité. Déjà,
elle a rencontré les maires la semaine dernière, leur promettant de communiquer tous les éléments
qui les aideront à bien décider. «Il faut repartir cette démarche du traitement des déchets
domestiques à zéro. Et je me promets bien d’être une clé dans la recherche de solutions.»
Quant à son projet d’usine, il est en cours, en attente d’une dernière tranche de financement. Déjà
l’offre d’achat du terrain dans le parc industriel, le long de la 30, est acceptée. «Ce dossier est
d’autant beau qu’il en est un collectif. Personne d’autre que la région se mettra de l’argent dans les
poches!», conclut-elle.
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4e conférence offerte par la MRC de Pierre-De Saurel
L’ABC du compostage domestique
Les 2 Rives - 12 avril 2011
Communautaire > Babillard communautaire
Dans le cadre de la Semaine de l’écocollectivité, la MRC de Pierre-De Saurel est heureuse d’offrir à
la population la possibilité d’assister à la conférence L’ABC du compostage domestique, qui sera
présentée ce mardi 12 avril, à 19 heures, à la salle du conseil de la MRC. Plus de 44% de notre sac
à ordures est constitué de matières organiques pouvant être compostées!
Voici les principales questions auxquelles la conférencière Mélanie Morel répondre: Pourquoi
composter? La planification d’un tas de compost; Les matériaux et l’outillage pour le compostage;
Règles de base pour réussir son compost; Qu’est-ce qui se passe dans mon composteur? Problèmes
et solutions; Les utilisations du compost mûr? et Questions-réponses.
Les personnes intéressées à assister à cette conférence offerte gratuitement par la MRC sont priées
de s’inscrire en composant le 450.743.2703.
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SDD a acheté, en avril 2009, Conporec - fermée depuis août 2008 - pour 4,5M$. Photo d'archives
Acheter SDD ou pas? Les élus sorelois sont divisés sur cette question
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 17 mai 2011
Actualité > Politique municipale
C’est un secret de polichinelle que la Sorel-Tracy cherche à racheter les installations de Conporec.
Elle avait donné, en décembre dernier, le mandat à son directeur général, Mario Lazure de négocier
avec Solutions développement durable inc –SDD - l’achat de l’immeuble du 3125, Joseph-Simard où
est l’usine de tricomposage de Conporec. Des experts-conseils sont intervenus au dossier.
Ce qu’on sait moins, c’est qu’un prix de 3,5M$ aurait été entendu entre les parties. Mais jusqu’à
maintenant, les élus n’ont pas voté la résolution à l’effet de soulager les goussets de la ville de cette
somme. Car ils n’arrivent pas à faire l’unanimité sur la question. Et aujourd’hui ils sont acculés au
pied du mur : ils doivent voter cette résolution lors de la prochaine assemblée publique ou
l’entreprise les poursuivra pour une somme supérieure à celle convenue, elle qui depuis deux ans
subit publiquement les foudres de certains élus et citoyens qui ne veulent surtout pas que
redémarre ces opérations dans les locaux actuels. Trop près de secteurs résidentiels, disent-ils.
Cette proposition de départ faite par Gilles Jr Lemieux, appuyé d’André Potvin, avait été adoptée à
huis clos en comité administratif, le 15 novembre dernier par 6 des 8 conseillers, Corina Bastiani et
Dominique Ouellet votant contre. En assemblée publique, Michèle Lacombe-Gauthier s’est ralliée.
Advenant un achat, un règlement d'emprunt sera soumis à l'approbation des Sorelois, ont alors
promis les conseillers. Promesse qu’ils semblent regretter aujourd’hui.
Un hic: où prendre l’argent
Advenant la concrétisation de l’achat, les élus sorelois puiseront-ils la totalité de la somme dans le
surplus accumulé passant ainsi outre à leur engagement de soumettre cette décision aux citoyens
en votant un règlement d’emprunt et permettant une signature de registre pouvant mener à un
référendum?
Chose certaine, ils comptaient bien recevoir plus de 1 M$ du surplus de la MRC accumulé au
chapitre des déchets domestiques et l’appliquer à cet achat. Mais ce n’est finalement que quelque
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400 000$ qu’ils recevront car 2M$ de ce surplus provient de programmes gouvernementaux et doit
être réinvesti dans la revalorisation par la MRC.
Autre question; que feront-ils de ces terrain et bâtisse? Un centre de tri pensaient-ils. Ce à quoi la
MRC a opposé un refus systématique. Elle ne veut non plus acheter cet espace pour 3,5M alors
qu’elle considérait investir que 1M$ dans un tel centre. Comme elle a juridiction en ce domaine,
Sorel-Tracy ne peut opérer un tel centre sur son territoire sans son aval.
Dilemme
Par ailleurs, la Ville a une épée de Damoclès au-dessus de la tête : elle fait face à une possibilité de
poursuite devant les tribunaux qui pourrait lui coûter beaucoup plus cher. SDD y évoquerait certes
qu’elle a des permis pour opérer ce site de même que tous les efforts entrepris pour l’en empêcher
de même le tort causé par la teneur des propos tenus à son sujet lors d’assemblées publiques
télévisées.
Voila un état de situation qui fait parler tant les citoyens qui ont poussé les élus en ce sens comme
les intervenants et gens d’affaires qui aspirent à convaincre des investisseurs en développement
durable. Paradoxe insoluble ? La séance du premier lundi de juin montrera comment les élus
aborderont la situation. Estimeront-ils que cette entente coûtera moins cher qu’un procès ?
Le maire Dauplaise ne s’en cache pas : il aimerait une décision unanime. Ce qui n’est pas encore
dans la poche.
À POURSUIVRE …