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ÉTABLISSEMENT PUBLIC RÉGIONAL DE BRETAGNE
TOURBIÈRES DE BRETAGNE
par
J.-P. CLÉMENT et J.-C. LIMASSET
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service géologique régional BRETAGNE-PAYS-DE-LA-LOIRERue Henri-Picherit, 44300 Nantes - Tél.: (40) 74.49.00-74.56.75-74.94.49
76 SGN 341 BPL
TOURBIERES DE BRETAGNE
PAR J.P. CLEMENT ET J.C. LIMASSET
avec la collaboration deG. NEAU
Août 1976
RESUME
Employee autrefois comme combustible, la tourbetrouve aujourd'hui de nouvelles utilisations dans l'économie.L'agriculture en est le principal consommateur (horticulture,maraîchage, pépinières, champignons). Mais la tourbe est égale-ment utilisée par l'industrie chimique, notamment pour la fabri-cation d'engrais. Les utilisateurs français en ont achetéen 1975 plus de 80.000 tonnes à l'étranger (Allemagne Fédérale,Hollande, etc..) représentant près de 30 millions de perte dedevises. Si rien n'était fait pour mettre en valeur les gisementsfrançais, en extrapolant l'augmentation des importations de cesdernières années, les importations pourraient atteindre 300 à400.000 tonnes en 1985. La perte de devises correspondante seraitalors très importante.
Or, en France, les gisements de tourbe sont nombreux.Certains sont déjà exploités, et fournissent des tourbes ayantdes caractéristiques comparables à celles qui sont importées.D'autres pourraient être mis en valeur. Dans la région de Bretagne,il y en a beaucoup, mais la plupart ont des dimensions petites oumoyennes. Nous en donnons dans ce rapport les caractéristiques lesplus importantes. De plus, nous consacrons un chapitre spécial augrand gisement de Chateauneuf en Ille et Vilaine. Couvrant plus de500 hectares,il présente près de 7 millions de m3 de réserves. Ladécouverte moyenne est. de l'ordre de 10 à 20 centimètres pour uneépaisseur de tourbes supérieure ä 2 mètres dans la partie la plusfavorable du gisement (cette partie favorable représentant environle tiers du gisement, soit près de 2 millions de m3). Les analysesfaites au laboratoire de la Station agronomique de Loire-Atlantiquemontrent qu'il s'agit de tourbes noires, proches de celles exploi-tées dans d'autres gisements français (Loire-Atlantique, Isère,etc..) ou étrangers (certains gisements hollandais). Tous lesagriculteurs français ne sont pas habitués à utiliser de tellestourbes. Elles ne peuvent dont remplacer brutalement les importa-tions. Mais, il semblerait possible de les valoriser en les mélan-geant avec des tourbes blondes ou brunes et (ou) en les enrichis-sant avec des engrais. Elles pourraient en particulier, constituerun excellent support pour les lisiers dç porcs.
- II -
RESUME . P. I
SOMMAIRE II et III
LISTE DES ANNEXES . IV
1 - INTRODUCTION - BUT DE L'ETUDE p- 1
2 - NATURE - CLASSIFICATION DES TOURBES 3
21 - Classification des tourbes22 - " souhaitable23 - " "commerciale" adoptée dans le rapport
3 - UTILISATION DES TOURBES 5
31 - Utilisations anciennes32 - " actuelles
321 - Combustibles322 - Industrie chimique
322 - 1 Valorisation de la cellulose322 - 2 Acides humiques322 - 3 Autres usages
323 - Absorbant pour les lisiers de porcs324 - Usages agricoles
4 - CARACTERISTIQUES PHYSICOCHIMIQUES D'UN BON SUBSTRAT AGRICOLE - '1AVENIR DES TOURBES
41 - Caractéristiques d'un bon substrat agricole411 - Caractéristiques physiques412 - Caractéristiques chimiques
412 - 1 Ph4 1 2 - 2 Capacité d'échange412 - 3 Salinité
413 - Caractéristiques biologiques
42 - Caractéristiques physicochimiques et biologiques des tourbes421 - Porosité422 - Capacité de r-étention d'eau423 - Valeur du ph et teneur en calcium424 - Capacité d'échange425 - Rapport C/N426 - Salinité427 - Teneur en nématodes phytoparasites
5 - CONSOMMATION - IMPORTATIONS ET EXPORTATIONS
51 - Consommation52 - Importations53 - Exportations
18
- Ill -
6 - INVENTAIRE DES TOURBIERES DE BRETAGNE P.
- Tourbière:; d'il le et Vilaine- " des Cotes du Nord- " du Finistere
" du Morbihan
7 - QUALITE DES TOURBES DE C1IAÏEAUNEUF
8 - COMPARAISON AVEC D'AUTRES GISEMENTS FRANCAIS
9 - CONCLUSIONS
- IV -
KS ANNEXES
I
9
2
3
4
5
6
7
8
9
10
- Gisements dos tourbe:, de Bretagne (1/1.000.000)
- Gisement dus tourbes d ' Í 11 e et Vilaine (1/200.000)
bis " " des Cotes du Nord ( " )
- " " - du Finistère ( " )
" " du Morbihan ( " )
- Gisement de Chateauneul: (I et V) 1/10.000 Sondages BRGM 1976
11 " " Epaisseur de la tourbe
Gisement ä l'ouest de Dol
" de Guiscriff
" " St ïugdual
" Si Iflac
13 -11 Guern
" Caden
10
17
lii
19
?0
" Dineault
" IMorn
" liriec, de l'Od^t n° 37
" Spezet n° 38
" St Michel n° 39
Epaisseur de la découverte
n° 1
n° 24
ii° 26
n° 27
ii° 28
n° 30
n° 32
n° 32 bis
n° 34
n° 36
j.pl ?iikjnt u " I
-H des tourbi-:; du gisement de Chateauneuf
- 1 -
1 - INTRODUCTION
BUT DE L'ETUDE
La consommation française de tourbes , utiliséesprincipalement pour l'horticulture et le maraîchage,-augmenterégulièrement. Elle n'est pas compensée par la croissance de laproduction nationale. Il en résulte des pertes de devises. Del'ordre de 30 millions en 1975, elles pourraient dépasser100 millions en 1980, et atteindre 200 millions en 1985, si desmises en exploitation de gisements français n'intervenaient pasd'ici là.,"
Or, la Bretagne montre de nombreux gisements. Laplupart sont petits. Seul celui des marais de Dol, au nord de1'Ille-et-Vilaine, a des dimensions importantes.
L'établissement public régional de Bretagne a demandéau service géologique national de les étudier en accordant une at-tention particulière aux plus importants, susceptibles de susciterune activité industrielle.
Dans les chapitres qui suivent, après avoir donné unaperçu des classifications des tourbes, nous en analyserons lesutilisations actuelles, et essaierons de cerner les besoins dumarché français. Ensuite, nous examinerons les dimensions desgisements bretons et les caractéristiques des tourbes qu'ilscontiennent (qualité, réserves, exploitabilitë). Enfin, nousnous efforcerons de répondre aux deux questions suivantes :
- Les petits gisements bretons peuvent-ils permettreune exploitation artisanale ?
- Le grand gisement des marais de Dol justifie-t-ildes installations industrielles ?
Ï A i^L/.J L Ü S üli. j..'S D H JMO.S
- 2 -
: Degré
: d1humosité: (selon: VON POST)
: H 1
: H 2
; H 3
; H 4
: H 5
: II 6
: H 7
: H 8
: H 9
: H 10•
: Caractéristique
: de la tourbe
•
•
: Pas décomposée
. Presque pas: décomposée
• Très faiblementdécomposée
. Faiblementdécomposée
Assezdécomposée
Fortement _ •décomposée
Très fortementdécomposée
Presque com-plètement dé- :composée :
Complètementdécomposée
Couleur de l'eaus'écoulant de latourbe presséeentre les doigts
Incolore, claire
Jaune brun faiblepresque claire
Nettement bruneNet. trouble
Très brune,très trouble
Très trouble
: Fraction¡ de tourbe: devenue: bouillie: entre les: doigts
• II ne pas-! se aucune. bouilliede tourbe
. entre les: doigts
un peu
un tiers
la..mo.itié .
Deuxtiers
Presquetout :
Tout passe entre les doigtsà l'état de bouillie de tour-1
be
Reste dans la main :
Forme
N'a pasl'aspectdebouillie
A nette-mentl'aspectdebouillie
Structure .
végétale :
Nettement :
reconnais-:sable :
Encore :
nettement •
reconnais-:sable :
Encore que:peu recon-:naissable :
Surtout formée de :fibres de racines :résistantes, de bois:etc... :
Aucun reste dans :la main :
- 3 -
2 - NATURE - CLASSIFICATION DES TOURBES
I.a Courbe est If résultat di' la décomposition decertains végétaux à l'abri de l'air, en milieu mouillé ouhumide faiblement oxygéné par des agents biotiques (bactérieset champignons).
21 - CLASSIFICATION DES TOURNES
LJ. existe plusieurs systèmes de classification destourbes fondés, r.oit :
- sur les végétaux qui en sont à l'origine (sphaignes,uriphorium, carex, roseaux phragmites, lichens, prêles, cryptogammesvaseui aires, etc...) ,
- sur l'aspect (tourbes mousseuses, gazonneuses, fi-breuses, terreuses, pisciformes, schistoídes, etc...)»
- sur le de^i e d ' humusi té (Von Frost, voir tableauc i—cunt ire) ,
- sur la cou].Mir (blonde, briiiiü, noire),
- sur la morphologic des tourbières (bombées, plates, etc...),
- sur I a géographie (tourbières de pente, de vallée, marine).
22 - CLASSIFICATION SOLUIAITAliLli
L\ n'est pas dans notre, mission de discuter de l'intérêti-sp>-.'l-ii des différente:, c lass i. f ¡cations signalées ci-dessus.
- 4 —
Retenons seulement que -du point de vi e de ]'utilisateur-aucune n'est pleinement satisfaisante.
Ainsi, nous verrons plus loin que des tourbesnoires de fond de vallées peuvent avoir des caractéristiquesphysicochimiques très différentes, ayant probablement pour ori-gine la nature du substratum. De même, des études approfondies(laboratoire et cultures expérimentales) ont montré que certainestourbes dites "brunes" avaient des caractéristiques comparablesà celles des tourbes "blondes" toujours réclamées en prioritépar les utilisateurs.
Il semblerait donc souhaitable d'adopter une classi»-fication des tourbes fondée sur les caractéristiques physicoçhi-miques fondamentales (capacité de rétention d'eau, ph, capacitéd'échange, rapport C/N, teneurs en sel, etc...). Cela permettraitaux utilisateurs de fonder leur choix non sur des comparaisonssouvent empiriques (ou sur des publicités plus ou moins discuta-bles...) mais sur des données précises. Mais cela impliqueraitaussi que toutes les analyses soient faites avec les mêmes mé-thodes pour permettre les comparaisons...
23 - CLASSIFICATION "COMMERCIALE" adoptée dans ce rapport
Quelques criticables que soient les classificationsprécitées, il fallait bien que nous en adoptions une pour larédaction de ce rapport.
Nous avons choisi la classification "commerciale"suivante, souvent adoptée par les utilisateurs :
Couleur de la tourbe : végétaux à l'origine Ph
tourbe blondetourbe brunetourbe noiretourbe noire
sphaignes" + Eriphorium
carexroseaux phragmites
3,8 à 4,54,5 à 5,55,5 à 6,57
Sauf rares exceptions, les tourbes françaisessont brunes ou noires.
- 5 -
3 - UTILISATIONS DES TOURBES
Les questions fondamentales que nous posel'Etablissement public régional sont :
- Pourquoi importe-t-on près de 100.000 tonnesde tourbes par an, alors que la France recèle des gisementstrès importants ?
- Est-il possible de mettre en exploitation lestourbières de Bretagne ?
Ce sont donc des préoccupations surtout indus-trielles qui doivent guider nos études.
Aussi préférons nous exposer dès le début durapport les utilisations actuelles et potentielles des tourbes.Le lecteur comprendra ainsi mieux les orientations données ânos études, tant sur le terrain qu'au laboratoire.
31 - UTILISATIONS ANCIENNES
La tourbe a été pendant des siècles utilisée commecombustible et comme litière.
Si elle n'a jamais été aussi intensive c(ue dans certainspays européens (Ecosse, Allemagne, Pologne, Russie, etc...),l'exploitation de la tourbe en France a produit dans le passédes quantités très importantes de cette matière.
Vers 1845, la production était supérieure à 600.000tonnes par an. Le charbon, le développement des chemins de fer endiminuant le coût de transport, vint ensuite concurrencer la tourbe.
65O
600
550
PRÜDUCTÍDN TQURÛE 5ÈCHEI
N FRANCE
I5t5 a I9t5
- 7
A la fin du Second Empire et dans les débuts de lalile République, la production n'était plus que de 300 à350.000 tonnes par an. Par la suite le déclin devait s'accen-tuer et, à partir de 1915, la production restait de l'ordrede quelques dizaines de milliers de tonnes par an, sauf pendantles périodes de guerre, oü la pénurie des combustibles importésa conduit à une certaine reprise de cette industrie quasimentoubliée. Les productions, toutefois, restaient largementinférieures à celles du siècle dernier, avec dc;s maxima de quel-ques 125.000 tonnes en 1918, et 210.000 tonnes en 1942 (cf gra-phique ci-contre).
32 - UTILISATIONS ACTUELLES
312 - COMBUSTIBLE
Utilisée pendant des siècles comme combustible, latourbe l'est beaucoup moins aujourd'hui. Cependant il fautsignaler que :
- les lignites des Landes exploités par EDF à
Arjuzanx pour l'alimentation en combustible d'une centrale ther-mique, sont en fait des tourbes très évoluées.
- la société COFAZ utilise 50.000 tonnes par an deson gisement de Baupte (Manche) comme combustible pour la pro-duction d'électricité et le traitement des algues marines.
- en URSS, en Irlande (Ferbare) la tourbe est utili-sée comme combustible dans les centrales thermiques.
- la tourbe peut-être mélangée aux ordures ménagèrespour faciliter leur combustion dans les usines d'incinération.
Pour fixer les idées, nous indiquons ci-dessous quel-ques pouvoirs calorifiques comparés :
- tourbe sèche •'•» 500 a 5 200 ca Lories- bois à 20 % d'eau 3 000- chêne sec 4 300- lignite A 000 a 6000- houille tout venant 6 500 à 7 000- houille grainr. lavés 8 000
Par distillation des tourbes au-dessus de 600°, le coke
- 8 -
obtenu possède un pouvoir calorifique atteignant 6 780 calories.A titre de comparaison, le coke d'houille produit 7 050 calories.
322 - INDUSTRIE CHIMIQUE
La composition des tourbes françaises en constituantsorganiques, rapportée à des échantillons secs et sans cendres,varie fortement :
- cellulose 0 à 28,5 %- sucres et pentosanes 0 à 13 %- cires et résines (extraction par l'éther) 0,8 à 7 %- lignine 2,6 à 31 %- résines et tannins (extraction par l'alcool) 1 à k 7- acides humiques 32 à 86 %
Ainsi, 100 kg de tourbes à moins de 5 % de cendres,séchées à l'air (25 à 35 % humidité) produisent :
- 25 à 35 % de coke- 25 m3 de gaz- dos goudrons comme sous-produits
322 -_\_ Valori sation_de la cellulose
On peut valoriser la cellulose par fermentation métha-nique à partir de microorganismes se rencontrant dans les vases desmarais.
Ce type de réaction "biologique" permet d'obtenir, àpartir de 1 kg de cellulose, 623 dm3 d'un gaz contenant 65 % deméthane et du C02. Parmi les sous-produits récupérables figure lefurfural. En URSS, où la tourbe est utilisée comme combustibledans les centrales thermiques, on récupère au cours des opérationsde séchage artificiel des sous-produits comme le mëthanol, l'étha-nol et le furfural.
322_-_2 Acid£s_humicjues
Une usine française, la SOMEDI, dans son usine deJonchery sur Vcsli?, dans la Marne, traite actuellement du ligniteen provenance d'Allemagne (Cologne) pour la fabrication d'engraishumiques. La consommation actuelle par an est de 35.000 tonnes. Letraitement que subit le lignite a pour but de libérer les acideshumiques (1), ot d'augmenter la capacité d'échange du lignitefavorable au développement des plantes.
(1) Accessoirement les acides humiques ont d'autres applications enpapeteries, dans l'industrie des colorants, dans celle des insecticides.Ils interviennent dans la fabrication des emulsions de bitume pourles routes.
- 9 -
Le lignite utilisé contient 90 % de matières orga-niques dont un minimum de 40 % en acides humiques, et environ11 % de cendres. Il est intéressant de noter au passage queles caractéristiques des tourbes noires sont proches. Elles pour-raient donc remplacer le lignite.
322 - 3 Autres usages
La tourbe est utilisée comme absorbant aux USA.
L'industrie des cosmétiques l'utilise en Europe. Elleest employée pour la fabrication du whisky en Ecosse et en Irlande.
La lignine (3 à 30 %) est utilisée pour la fabricationdes résines synthétiques.
323 - ABSORBANT POUR LES LISIERS DE PORCS
Autrefois dans les régions produisant peu de paille,on employait beaucoup la tourbe comme litière pour le bétail. Le"fumier de tourbes" ainsi obtenu servait à enrichir les terres.
Des essais ont récemment montré que la tourbe consti-tuait un excellent absorbant pour les lisiers de porcs, et pourraitêtre ensuite utilisée, dans des conditions à définir, comme engrais.
Les lisiers de porcs posent des problèmes de pollutiontoujours difficiles à résoudre. Il semblerait donc particulièrementimportant de poursuivre les essais déjà très prometteurs faits pourcette utilisation nouvelle.
324 - USAGES AGRICOLES
En agriculture proprement dite, on utilise de plus enplus de substrats dont les caractéristiques sont telles qu'ilspermettent une bonne croissance des plantes. Jusqu'à ces dernièresannées, les tourbes étaient surtout utilisées pour les culturesen serres.
Depuis peu, le développement de l'emploi des mottes (1)pour les cultures en pleins champs et des terreaux pour un trèsgrand nombre de cultures vient encore augmenter l'accroissementde la demande.
(1) Avec 1 m3 de tourbes on fabrique 7 000 mottes à laitues. Onplante 170.000 mottes par hectare.
- 10 -
Les principaux consommateurs (horticulteurs, pépinié-ristes et champignonnistes) sont de plus en plus exigeants.Lorsque par expérience, ils voient qu'un substrat convient pourleur production, ils exigent une qualité très régulière (porositéà l'air, rétention d'eau, ph, capacité d'échange, rapport C/N, etc..)
Si un gisement de tourbe a une géométrie convenable(épaisseur, cubage important) et les qualités réclamées par lesagriculteurs, sa mise en exploitation est possible. Il nous paraitdonc important de réserver un chapitre entier à la comparaison descaractéristiques physicochimiques exigées pour un bon substratagricole et celles des différents types de tourbes.
- Il -
4 - CARACTERISTIQUES PHYSICOCHIMIQUES D'UN BON SUBSTRAT AGRICOLE
Avenir des tourbes
Dans ses nombreuses branches d'activité, l'agriculfßurutilise depuis longtemps divers substrats : limons, mëlangep dpsables et de limons, terreaux de fumiers, ëcorces de- bois, tourbes,etc...). Parmi ces substrats, les tourbes présentent des caractéris-tiques physicochimiques très particulièrement intéressantes.
Aussi, les cultures délicates (horticulture, maraîchage,champignons) font de plus en plus appel à ce matériau, soit pur,soit sous forme de terreaux enrichis par des fertilisants avecparfois addition de sables et de limons.
Avant de décrire les caractéristiques des différentstypes de tourbes, nous donnons quelques indications sur les qualitésd'un bon substrat agricole, exigées des agriculteurs. (1)
41 - CARACTERISTIQUES D'UN BON SUBSTRAT AGRICOLE
411 - CARACTERISTIQUES PHYSIQUES
Qu'il s'agisse de cultures en pot ou sur mottes, laquantité de substrat mis à la disposition du végétal occupe unvolume limité et relativement faible. Il en découle une grandequantité de racines. Les besoins de celles-ci, rapportés à l'unitéde volume de substrat, sont très importants non seulement en eau
(1) La description de ces caractéristiques qui n'est pas de notrespécialité, fait largement appel aux études de M. Lefebvre, ingénieurprincipal à 1' INRA.
- 12 -
mais aussi en air.
A. Aniatett estime que la granulométrie du substrata moins d'importance que le coefficient de filtration, la densitéet: la capacitó do rétention en eau utile pour la plante. Ainsi,par exemple, avec un faible coefficient de filtration, les arro-sages excessifs inhiberont let; échanges gazeux : la respirationdes racines est fortement réduite et le gaz carbonique émis nepouvant s'évacuer, se dissout, ayant une action nocive sur l'al-longement racinaire.
Pour une phase liquide constante, le développementdes racines réduit considérablement la phase gazeuse ; les échan-ges gazeux qui théoriquement auraient dû suivre la production crois-sante de C02 par les racines sont au contraire ralentis.
Donc, au point de vue physique, notre substrat devraavoir :
- une bonne capacité pour l'eau,- " " " " l'air,- une bonne stabilité structurale.
Pour les terreaux en mottes, en sus de ces impératifs,ils doivent posséder une qualité physique leur permettant avec unehumidification correcte, de former des mottes. L'optimum d'humi-iliLé se situerai L vers 65 %. La part d'élément grossier (sable)devra être faible pour obtenir une bonne tenue. Une compacitéréduite et stable ainsi qu'une vitesse de dessèchement faibledoivent être recherchés.
± 12 - CARACTERISTIQUES CHIMIQUES
Les plus importances sont : le ph, la capacité d'échangede bases, la salinité.
412 ~ J, ph
Son influence est importante pour l'assimilation deséléments nutritifs;.
Penmingsfeld recommande des ph (C1K) de l'ordre de5,0 à 5,5 pour les jeunes plantes légumières.
- 13 -
4 1 2 - 2 Capacité d'échange
Avec un substrat de capacité d'échange de base(T)élevé, on peut apporter dès le départ et stocker presque tousles éléments nutritifs nécessaires ä la plante, sans risquerde les perdre ou de créer une salinité excessive.
En outre, plus T est élevé, plus la capacité en eaudu substrat est grande, et plus le pouvoir tampon est fort. Cedernier est d'ailleurs bien plus élevé en milieu acide que neutre.
On comprend dès lors tour l'intérêt d'une teneurélevée du 'substrat en matière organique.
412 - 3 Salinité
La tolerance ä la salinité est essentielle. Avecl'accroissement de la salinité, les racines des plantes ont deplus en plus do mal à extraire l'eau de la solution du sol,d'autant, plus que le substrat se dessèche. Une forte salinitépeut même entraîner une toxicité pour les plantes, les jeunesplantes étant moins tolérantes.
KnoLL a classe les espèces légumières en fonction deJour tolérance à la salinité, exemples :
- les épinards et les céleris sont très tolérants,- les tomates, concombres, les poivrons sont moyen-
nement tolérants.
La notion de salinité totale étant insuffisante, ilfaut connaître la nature et la concentration des sels solubles.
'i! 3 ~ CARACTERISTIQUES BIOLOGIQUES
Un bon substrat doit être exempt de germes parasi-taires (chainpi prions, bactéries) et de nématodes phytoparasites.Les iK~r.it.odes pliy toparas: Les sont ä distinguer des nématodessaprophages , i no i' fens i f s .
- 14 -
42 - CARACTERISTIQUES PHYSI.COCllIMIQUES ET BIOLOGIQUES DES TOURBES
4 2 ) -
Les quantités d'eau et d'air présents dans le substratet qui sont essentielles pour la réussite des cultures dépendentde sa porosité.
La tourbe blonde peu décomposée, offre un volume po-reux do 90 a 95 % (REEKER, 1962). Dans un volume de tourbe, onne rencontre donc que 5 à 10 % de matière solide. Le rustu estconstitué par dus macro et micropores qui assurent une bonne per-méabilité à l'aîr et ä l'eau.
Même saturées d'eau, ces tourbes présentent encore40 % en volume de pores qui sont remplis d'air. Dans ces conditionr,uns.1 asphyxie n'est pas à craindre tant qu'un drainage correct estassuré.
D'excellents sol..s de culture, pourvus d'une bonneüirueture grumeleuse n'offrent que 60 % de porosité, et le vo-lume d'air contenu dépasse rarement 18 % (GORDON, 1955).
422. - CAPACITE DE RETENTION D'EAU
Les facultés d'humidification et la capacité de ré-tention en eau de la tourbe sont fortement affectées par lesprocessus de désagrégation.
Une tourbe noire dont la teneur en eau est tombéenu-dessous de 40 !'.'• de son poids ne peut que très difficilementse reluirai d i fi er convenablement (GORDON et GITTER 1956). A cepoint de vue, les proprié Lés des tourbes blondes ou brunes sont.beaucoup plus stables.
La capacite d'absorption de l'eau par une tourbeblonde ¡A u ÜI''CI' Í|,I¡Í!I,'Í>. , Púihi et à prédominance de sphaif.nes, at-teint: la plupart du temps dix ii onze fois son propre poids. Parcoütrc, K'Î; tourLcs évoluées vers L'aspect d'un terreau ne peuventen i'Uüuaj-.as î ne r que 3 a 5 J:ois.
de tombo;.;
Tourbe blondeTe.urbe brune a noireTourbe noire
Capaci té de rétention en eau(100 ¡>r de tourbe sèche et décomposée absorbe)
000 h 1 500 gr d'eau500 à 800 gr d'eau400 à 600 gr d'eau
- 15 -
423 - VALEUR DU PU ET TENEUR EN CALCIUM
Le Ph et La teneur en calcium constituent deux autrescritères importants de la qualité d'une tourbe.
Pour le Ph, on observe des différences sensibles selon1'origine des différentes tourbes.
Nature Végétal à l'origine PH Surtout utilisées par
tourbeii
M
II
blondebrunenoirenoire
sphaigneid + ériphoriumcarexroseaux phragmites
3,8 à 4,54,5 à 5,55,5 à 6,57
horticulteur«maraîcherschampignonnistes (ph 6
La teneur en chai:---., caractéristique également trèsimportante pour l'agriculture, est satis corrélation avec le Ph.
Pour juger do la qualité d'une tourbe, il est doncnccüss.i ¡ re de posséder Le Ph et la teneur en chaux.
4?.4 - CAPACITE D'ECliANCh (1)
La capacité d'échange des tourbes blondes peut attein-dre 170 rai 11iequivalents pour 100 gr de matière sèche. Elle esteu moyenne de 100 à 200 mi 1]i équivalents. Elle descend au-dessousde 100 pour certaines tourbes brunes et noires.
Le rapport C/N est important pour déterminer la qualitéd'une Liuirho. Coiii.rie le pouvoir de rétention, il est étroitement|îi; à I 'nr.'i'jiii' Ac la tourbe.
Uiiv tourbe blonde a un C/N en général compris entre40 et JO.
(1) Ce pouvoir d'absorption peut-être utilisé pour la dépollutiondes eaux de certaines usines (sels de mercure et de phosphore par ex).
- 16 -
426 - SALINITE
Les teneurs en sel des tourbes ne posent en généralpas de problemas.
427 - TENEUR EN PHYTOPARASITES
Certaines tourbes contiennent des nématodes phyto-parasitaires particulièrement à craindre car ils peuvent infesterdes serres ou des cultures.
Ces nématodes parasitaires ou tylenchides se distin-guent des nématodes saprophages (inoffensifs) par la présenced'un stylet à l'extrémité antérieure de l'animal. C'est avec cestylet qu'ils piquent les végétaux aux dépens de qui ils se nour-rissent .
Les tylenchides se rencontrent surtout dans les gi-sements de Ph supérieur à 5 dans les parties exploitées en surfaceet de façon irrégulière, la où il existe de la matière végétalevivante. Ils semblent peu à redouter dans les gisements de tourbespures sans matière végétale vivante.
Il faut donc faire des recherches très attentivesde nématodes dans tous les gisements, mais particulièrement dansles petites exploitations artisanales de tourbes noires.
- 17 -
L ALLiiATJ DU Î'ARCHE DL. LA ICUküü '£:<• r "L-IW ;",Y. DE 19?5 A ¡973
Années
1965
1966
1967
1968
1969
1970
1971
1972
1973
1974
1975
Production (1)française detourbes en tonne
58
82
72
80
77
105
109
152
non
24 9
667
527
815
706
108
785
446
561
parue
Importations de (2)tourbes et agglomé-rés de tourbes entonnes
¡9 316
11 431
30 312
33 976
39 000
44 166
51 322
61 696
73 935
76 254
80 574
Totaux
63 565
86 148
112 839
106 791
119 706
121 274
157 107
171 142
226 496
Exportations (2)de tourbes etagglomérés detourbes en tonnes
987
1 194
2 280
2 897
3 395
3 028
956
3 091
; 315
Consommationapparentenationale entonnes
63 665
86 148
111 852
105 597
117 426
118 377
153 712
168 114
225 540
Montant des devises (2)en milliers de francs
exportées correspond.-".- :aux importations
3 32Ó
5 371
6 382
6 831
8 297
10 802
13 506
16 166
20 668
24 658
28 066
(1) Statistiques de l'Industrie minérale - Ministère de l'Industrie et de la recherche.(2) Statistiques du Commerce intérieur de la France - Directicr générale des douanes.
- 13 -
5 - CONSOMMATION, EXPORTATIONS, IMPORTATIONS
Le Lableau ci-contre donne les statistiques de ces
dernières années.
51 - CONSOMMATION
Elle a beaucoup augmenté jusqu'en 1973. Les chiffresde ces 2 dernières années sont inconnus.
52 - EXPORTATIONS
Elles sont très faibles.
53 - IMPORTATIONS
Do. 27.481 tonnes en 1966, elles sont passées en 1973ä 73.93e» tonnes. L'augmentation est donc très importante.
Nous donnons â la page suivante un graphique. Il montreque si on extrapole 1'augmentation des dix dernières années à laprochaine dorinnie, on pourrait approcher 500.000 tonnes d'impor-tations annuelles. Cela représenterait une perte de devises im-portante.
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19S5 10 1 S 6 9 1980 1 1965
6 - INVENTAIRE DES TOURBIERES DE BRETAGNE
La carte à 1/1.000.000 en annexe n° 1 montre qu'ilexiste en Bretagne de très nombreuses tourbières.
Dans les cartes départementales en annexes n° 2, 3,4 et 5 et dans les tableaux des pages qui suivent, nous n'avonsfiguré que celles ayant une extension et une épaisseur notabie.
- 2! -
GISEMENTS DE TOURBE D ' ILLE ET
o
1
2
3
Rivière
Cardequin
Le Biez Jean
Guiouit
La Loisance
Le Nanson :
H
Beuvrcn
Beuvron
: beuvron
Commue
Mont Bol etc...
Chateauneuf, etc..
Dol de Bretagne
St Germain Coglés
Parigné
11
Parigné Landéan
Parigné
Parigné
Parigné
Parigné-Villamée
Lieu dit
Le petit gué
Pont de Loisance
Lande Marais
Passillé
La Rousselais
La Ville boeuf
Le Pont
La Hurlais
• Monbesnard
: Sois Guy
Surfaceen ha
855
525
20
13
16
2
: 15
'3
Epaisseurmoyenne(en m)
0,8
i ,5
1,5
1,6
1
0,5
0,6
0,55
0,9
0,55
0,85
Cubageen
1000 m3
2 550
7 560
210
160
Découvertemoyenne(en m)
0,4
. 0,3
0,4
0,1
0,8
0,75
0,75
1
0,5
: 0,8
Remarques :
Gisement très important, r.? •.. :peu épais. Voir annexe 8. :
Gisement très important. Voir :annexes 5, 6 et 7.
Tourbe mousseuse, sableuse, ¿„.J-:seuse, forte teneur en cendres. :(30 à 60 % ) . :
Attire l'attention,-ma-"'s i' :verte épaisse.
Faible épaisseur tourbe. :
. Rapport ép. tourbe, ép • rr~,_ • j
. verte inférieur à '. . . \, Fortes teneurs en -.• v 3} (20 à 50 % ) . ;
) Rapport ép. tourbe/ép.dCcju- :: ) verte de l'erdre de ;. :: ) rortes teneurs en cendres.
2 "j à 50 ") :
GISEMENTS DE TOURBES DES COTES DU NORD
Rivière
Biavet
La Poulancre
8
9
'.0
il
12
13
Le
Le
Le
Le
La
Lié
Lié
N i n
Lié
Ranc
. urracna
Plouguerneveî
Perret
St Mayeux
St Gilles vieuxmarché
PIémet
St Gilles du llene
St Jaeut du Mené
Lautourla
Lieu dit
Kergorec
Bourg
Bot den Hourse
Kériouée
Vieilles Landes
Marais de Quelny
Landes de laSauvagères
Les fosses
Tourbière Se Jacut
Tourbases
Surfaceen ha
A
17
7
9
Epaisseurmoyenne(en m)
0,7
!>3
0,7
0,7
0,8
1,25
1,5
1,3
1,5
1 .5
Cubageen
1000 m3
20
220
50
60
100
78
¿5
Découvertemoyenne(en m)
0
0
0
0
0,15
0,1
0,2
0,1
Remarques
Faible épaisseur.
Faible épaisseur
Cubage ?
GISEMENTS DE TOURBES DU MORBIHA"'
N°
24
25
26
27
28 •
29
30
31 :
32
32
Rivière
Isole
Elle
ii
Le Poulancre
it
II
La Sarre
Evel
Vilaine
Vilaine
Commune
Guiscriff
Langonnet
St Tugdual
Silfiac
Kergrist
M
Guern
Pluméliau
Beganne-Caden
Theillac Severac
Lieu dit
Le Bigodou
Cleuziou
. La Villeneuve
. Etang en Thuern
. Kerandy
: Le Guily
Pont Hir
. Keriot
Marais Travelo
: Marais Haie
Surfaceenha
12
3
2,5
7
12
2
2
1,5
45
9
Epaisseurmoyenne(en m)
0,9
1,5
2
1,1
1,1
1,1
1
1,2
4.5
4
Cubageen
1000 m3
108
45
50
75
130
20
18
2000
185
Découvertemoyenne(en m)
0
0,1
0,15
0
0
0
0,2
0,1
0,1
0,2
Remarques
• Voir plan en annexe P" °.
Voir plan en annexe r>° '0.
Voir plan en annexe rG ;
Voir plan en annexe . °
Voir plan en anne:
Cubage attire attention, voirannexe n° 14.
Voir plan en annexe ¡° 15.
; L . > i. . . • j-
24 -
.•3
14
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17
58
Riviere
Liiez
Aulne
. Aulne
Au i ne
Odet
Aulne
Cci:ZuUl\C
Brenr.ilis , etc. ..
. Dinéault
: Briec
. Edc-rn-Gouézec
Spezet
Lieu dit:
. Marais St Michel
Penn ar Yeun
: Tyar Yun
Le Hellen
Tvnen
île nez-Cam
S u r f A c een ha
395
12,5
12,5
16
5
50
Epaisseur:r oyen n;.:¡en -0
1,10
0,8
0,8
0,3
1,1
1 ,3
Cubageen
1000 m3
3 830
-
100
!30
55
650
Découverten.oyenne(en m)
-
-
0,45
0, 1
0,25
0, 1
Remarques
Gisement an partie c:,-": partie couvert par TL-LL-IÛ .
traie Brenniiis.
Voir plan en annexe r,° :£.
Epaisseur découverte r .Ti ti'ce
. Voir piar, en annexe ::"'
Voir pian en annexe z~ '. i .
A été partiellement: err^Société mé taiiurji q'•_ r¿Voir plan en annexe r.l
- 2 S'-
ANALYSE DES TABLEAUX PRECEDENTS
3 catégories de tourbières peuvent être distinguées
- grandes- moyennes- petites
1 - GRANDES TOURBIERES
11 - Dite de Chateauneuf (sur les communes de Chateauneuf,Lillemer, St Péré, St Guinoux, Plerguer
(annexes n° 5, 6, 7)
C'est de beaucoup la plus intéressante par :
- son extension 525 ha- ses réserves + de 7 millions de m3- son épaisseur + de 1,5 m. En moyenne, + de 2 m.
Dans le meilleur secteur, plus d'un tiers du gisement.- son recouvrement 0,3 m en moyenne. 0,1 à 0,2 m dans
le meilleur secteur.
Elle a donc fait l'objet d'une étude particulièretrès détaillée.
12 - Dite du Marais de Dol annexe n° 8 (communes de Mont Dol,Roz Landrieux)
- son extension (855 ha) et ses réserves (2 millionsde m3) attirent l'attention. Mais l'épaisseur de tourbe est faiblepar rapport à la découverte (0,4 m). Cela retire beaucoup d'in-térêt au gisement.
-, 26 -
13 - Dite de Brennilis ou des nuirais St Michel (sur les com-munes de
Botmeur, Brennilis).
La superficie couverte (393 ha) comme les réserves(près de 4 millions de m3) attirent l'attention. Mais, le gise-ment a été autrefois exploité de façon assez désordonnée, etsurtout recouvert en grande partie par la retenue de la centralede Brennilis. Il semble difficile d'envisager une reprise dansles secteurs restant hors d'eau, aux abords de la retenue, (voirannexe n° ).
2 - TOURBIERES MOYENNES
21 - ÎIIe_et_Vilaine
Les gisements de St Germain en Coglës et Parigné, trèsexploités autrefois, ont une grande réputation, et font périodi-quement l'objet de projets ou d'essais de reprises.
n° -4 St Germain en Coglés, surface 13 ha, réserves210.000 m3, 1,60 m d'épaisseur de tourbes, 0,1 m
de découverte.Attire l'attention. La tourbe mousseuse paraissant blonde semblebonne. Mais à l'analyse, elle révèle surtout en profondeur de fortesteneurs en sables et argiles. La teneur en cendres atteint30 à 60 % !Cela limite l'intérêt du gisement.
n° 5 - Parigné - Lande du Marais. Le cubage estiméest de 160.000 m3, mais la découverte (environ
0,8 m) est forte par rapport à l'épaisseur de la tourbe (1 m).
22 - Cotes du Nord
n° 15 Perret, surface 17 ha. Cubage 220.000 m3 avec
1,3 m d'épaisseur de tourbes. Pas de découverte.
n° 19 Plémet 8 ha, 100.000 m3 de tourbes, épaisseur1,25 m. 0,15 m de découverte.
n° 20 Laurenan. 12 ha, 180.000 m3, 1,50 m de tourbespour 0,15 de découverte.
- 27 -
23 - MORBIHAN
n° 24 Guiscriff. Surface 12 ha, cubage 108.000 m3,épaisseur de tourbes 0,9 m, découverte 0.
il" 28 Kergrist. 12 ha, 130.000 m3, épaisseur detourbes 1,1m, découverte 0.
n° 32 Begänne Caden (marais Travelo) 45 ha, 2 millionsde m3, épaisseur 4,5 m, découverte 0,1 m. Attireparticulièrement l'attention.
24 - FINISTERE :
n° 35 Aulne. Surface 12 ha, cubage 100.000 m3. L'épaisseurde tourbes 0,8 m pour 0,4 m de découverte rend ce gi-sement peu intéressant.
n" 36 Edern Gouézec. 16 ha, 130.000 m3, épaisseur 1,1 m,découverte 0,25 m.
n" 38 Spézet. 50 ha, 650.000 tonnes, épaisseur 1,30 mpour 0,1 m de découverte. A été exploité par laSociété métallurgique d'Hennebont.
3 - PETITES TOURBIERES
De très nombreuses petites tourbières présentant descubages inférieurs à 100.000 m3 existent un peu partour enBretagne, surtout dans la partie centrale (voir cartes en annexen° 1 à 4 et tableaux).
Elles peuvent satisfaire les besoins locaux. Mais latourbe est en général mélangée d'argile et de sable (forte teneuren cendres) et donc de qualité médiocre. Elles ne méritent donc pasune prospection détaillée systématique.
Dans l'ensemble, les épaisseurs sont faibles (inférieu-res au mètre) avec souvent des découvertes de plusieurs décimètres.11 s'agit toujours de tourbes noires, comme pour tous les gisementsbretons.
- 28 -
7 - QUALITE DE LA TOURBE DE CHATEAUNEUF (I et V)
Le plan fournissant la localisation des échantillonsde tourbes prélevés dans le gisement de Chateauneuf d'Ille et Vilaineest donné en annexe n° 5.
Les prélèvements ont été faits à l'aide d'une tarièreà gouge. Chaque échantillon est constitué par le mélange de latourbe prélevée sur toute la hauteur.
Les analyses ont été faites par la station agronomiquede Loire Atlantique. Les résultats détaillés sont donnés dans lesupplément n° 1.
1 - MOYENNE DES RESULTATS DES ANALYSES
Humidité % 78,1
ANALYSE DE LA TERRE FINE : Résultats sur sec
Sable grossier (0,2/2 mm) % 1,1 )Sable fin (0,05/0,2 mm) % 1,7 )Limon grossier (0,02/0,05 mm) % 13,2 ) 27,1Limon fin (0,002/0,02 mm) % 5,7 )Argile ( 4. 0,002 mm) % 5,4 )Matières organiques % 72,5 )
Résistivité en -A./cm/cm2 (dilution 1/5) 584Humidité équivalente % , 55,7Point de flétrissement % 41,6
- 29 -
pH eau 4,92
Carbone % 34,9Azote %o 12,9C/N .- 28,3
Acide phosphorique (P2O5) %o 0,15Potasse échangeable (K20)~%o 0,22Chaux échangeable (CaO) %o 12,05Magnésie échangeable (MgO) %o 2,47Capacite d'échange (meq/lOOg) 102
2 - CAPACITE DE RETENTION
C'est la teneur en eau par rapport à la matièresèche. La moyenne de la capacité de rétention pour la totalitédes échantillons analysés est de 356 %. Il s'agit donc de tourbestrès évoluées (terreaux).
Rappelons que les tourbes blondes à sphaignes emmaga-sinent en général 10 à 13 fois leur propre poids. Les capacitésd'absorption de l'eau par les tourbes brunes sont intermédiaires, engénéral comprises entre 600 et 900 % (cf gisement de Baupte, Cotentin)
3 - RAPPORT C/N
La moyenne sur la totalité des échantillons est de 28,3.Ce rapport est nettement inférieur à celui des tourbes blondes engénéral compris entre 40 et 50 (tourbes brunes entre 30 et 40).
4 - PH (H20)
II est en moyenne de 4,92. Celui des tourbes blondescommercialisées est en général compris entre 3,5 et 4,5. Il estdonc peu différent. Les Ph des tourbes de Baupte sont du même ordrede grandeur (4,5 à 5,0).
- 30 -
5 - CAPACITE D'ECHANGE
Elle est en moyenne sur la totalité des échantillonsde 102 milléquivalents. (tourbes blondes de 90 à 120 milléquiva-lents, tourbe de Baupte 90 à 100).
6 - TENEUR EN SABLES, LIMONS ET ARGILES
Elle est en moyenne de 27 % de la matière sèche, spitde 7,7 % de la tourbe fraîche.
Les très nombreuses analyses de tourbes'françaisesfaites pendant la guerre en 1942-44 (recherche de combustibles deremplacement) montrent des teneurs en cendres du même ordre degrandeur. Il s'agit donc d'un pourcentage normal pour des tourbesde ce type.
7 - CONCLUSION
Les tourbes du gisement de Chateauneuf en Ille et Vilainesont des tourbes noires de qualités moyennes, très comparables à cellesdes autres gisements de même type déjà exploités en France.
A noter toutefois une forte quantité de débris de boisqui peuvent être un facteur défavorable.
En Allemagne et dans les pays de l'Est, on estime queles réserves de tourbes blondes ne dureront qu'une vingtaine d'années.Des recherches sont poursuivies pour utiliser en remplacement des tour-bes noires traitées (granulés de tourbes...). Ces recherches sont àsuivre de près par les bretons.
- 31 -COMPARAISON ENTRE QUELQUES TOURBIERES FRANÇAISES
Département
•
Manche
Marne
Ardennes
oiré Atlantique
Isère :
Isère
Vienne
Doubs
Raison sociale
COFAZ
Dieu Donné•
Tourbière de Bar
Evin et Nezondi
Tourbière Baquet
Tourbière Pouget
T. du Poitou
Engrais Monnot
Superficie
: Exploitée
400
15
17
100
15
25
15
1,5
Î en ha
Totale
1 670
15
120
200
100
45
115
15
: Epaisseurmoyenne
: (en m)
t
: 7
3
3
1,60
3 à 5
4
1,7•
2
. Réservesen m3
¡93.000.000
500.000
2.000.000
4.000.000
4.000.000
1.700.000
1.700.000
280.000
Volumeexploitépar anen m3
200.000
1
20.000
25.000
5.000
300.000
7.000
1.500
. Couleur
brune
brune ànoire
noire
brune
noire
noire
brune àblonde
: Ph
:3,8 à 4,5
•
7
i 5,5•:4,7 à 7,2
. 5,9
.6,6 à 7,2
7
Utilisation :
20.000 t agriculw re :50.000 t combustible et :
. chimie. :
Agriculture :
10 % brute, 90Z terreara:
*>50% brute, 50% ter K :
100 % brute
5 % brute, 95 % traités :
Champignoniste, :15 % terreaux :
100 % terreaux horti-coles '
t
- 32 -
8 - COMPARAISONS AVEC D'AUTRES GISEMENTS FRANCAIS
Comme nous l'avons vu dans les chapitres précédents,toutes les tourbes bretonnes sont des tourbes noires..
Certains gisements peuvent être considérés à prioricomme inintéressants soit à cause de leurs faibles réserves,soit du fait de leur trop grandes teneurs en cendres (ces te-neurs en cendres sont dues à un mélange de la tourbe avec des ar-giles ou des sables, et témoignent donc de la mauvaise qualitédu matériau).
D'autres au contraire, pourraient être valorisés.Pour le montrer, nous donnons, page ci-contre, un tableau descaractéristiques de quelques gisements en exploitation en France.Ce tableau suggère les remarques suivantes :
- les gisements exploités en France ont des caractéristiques trèsdiverses :
- diversité dans les superficies totales (1670 à 15 ha)11 exploitées (400 à 1,5 ha)
" épaisseurs (7 à 1,7 m)" " " rêserves(93 millions de m3 à 280.000 m3)" " " volumes exploités annuellement (300.000 m3 à
1.500 m3)11 de couleur (blonde, brune, noire)
de ph (3,8 a 7,2)
- Le gisement de Baupte (Manche) est très avantagé par sa tourbebrune (et non noire) dont les caractéristiques sont proches destourbes blondes dont Les agriculteurs ont l'habitude.
Malheureusement, les tourbes bretonnes, en particulier cellesdu grand gisement de Chateauneuf ont des caractéristiques moinsfavorables.
- Presque tous les gisements signa If. s ont des réserves importantes,bien supérieures à celles des gisements; bretons considérés dansce rapport comme "moyens". Si l'exploitation de ces dernierspeut être envisagée dans le cadre d'entreprises semi-artisanales,seul le gisement de Chateauneuf (I et V) semble de taille iudus-trielle.
- Plusieurs gisements français de tourbes noires sont exploitéssurtout pour la fourniture de terreaux avec toujours addition defertilisants, parfois mélangés avec des tourbes blondes.
Si un ou plusieurs gisements devaient être mis enexploitation en Bretagne, ils devraient s'orienter vers de telsobjectifs.
Toutefois, une solution originale pourrait peut-êtreêtre trouvée en mélangeant tourbes et lisiers de porcs. Les éle-vages très importants de porcs en Bretagne produisent des quantitésénormes de lisiers. Ces effluents sont très difficiles à élimineret constituent un facteur de pollution posant souvent de sérieuxproblèmes. De premières expériences semblent montrer que, mélangésà des tourbes, ils peuvent constituer un engrais intéressant. Lesexpériences seraient à vérifier par un institut de recherches,spécialisé dans ce type de problème.
- 34 -
9 - CONCLUSIONS
Les gisements bretons sont constitués par des tourbesnoires moins recherchées que les tourbes blondes ou brunes.
De telles tourbes sont cependant exploitées dans l'Isère,dans la Loire-Atlantique et à l'étranger, en Hollande en particulier.Elles sont déjà très largement utilisées en France (mélanges, ter-reaux), et leur marché pourrait être considérablement développé siles agriculteurs étaient mieux informés de leurs emplois possibles.
La plupart des gisements bretons sont de petites dimen-sions. De tels gisements ne permettent pas d'espérer d'importantesréalisations industrielles. Mais ils pourraient permettre de lancerdes entreprises semi-artisanales, satisfaisant des besoins régionaux.
La tourbière de Chateauneuf dans l'Ille et Vilaine faitexception. Il s'agit d'un gisement très important dont la partiela plus favorable montre un cubage de l'ordre de 3 à 4 millions dem3, avec une épaisseur moyenne de plus de 2 mètres sous 0,1 à 0,2 mde recouvrement. De telles réserves peuvent permettre une implanta-tion industrielle. Elles justifient la recherche de valorisationsoriginales, en particulier la fabrication d'un terreau à base detourbe et de lisiers de porcs.
BUREAU DE RECHERCHESGEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONALS.G.R. Bretagne-Pays de Loire
Rue Henri Picherit
44300 NANTESTél. 74-49-00
74-56-7574-94-49
ANALYSES CHIMIQUES
DES TOURBES DU GISEMENT
DE CHATEAUNEUF (I. et V.)
76 SGN 341 BPL Supplément n° 1
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
ANALYSE DE TERRE nc
remise par M B . R . n . l'
Adresse : La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le 30 a ont, i 97
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur)M 0 1 N°2 N° 4
Cailloux et graviers (> 2 m m ) V0 // 0 .
ANALYSE DE LA TERRE FINE:Sable grossier (0,2/2 m m ) %Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) %.Limon fin (0,002/0.02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) %Matières organiques %. Pprtp an f*r»n
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5)_
Humidité équivalente °oPoint de flétrissement %
Densité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %_pH eau - K G kBesoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC/N
71,5 32,7 45.7
Rï9.2
SULTATS S
0,3
JR SEC
0.115.5 0.2 0.0
44.6 2.6 3.7
5.6 0.6 2 . 3
3.1 1 422.0 94.7 92.5
650 650 750
33,3 66,6 63,1
1S.9 51 . O ¿m,7
A Q
TOO AR.
4.06 7.49 R.54
30.0 61.8
Acide phosphorique (PsOs) %oDyer-iûK03H6toBOC5fXKXlMfcJB(}eaaXiPotasse échangeable (KsO) %Chaux échangeable (CaO) %oMagnésie échangeable (MgO) %oCapacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
46.6
0.40 0.06 0.120.19 0.34 0.12
5 301 .10
7 . 3 0 5 .00
3 . 0 0 1 ,30
40 107 120
Fer libre %o
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
46.0
0 . :
0.12.7
4 .2
A A
88,4
550
69,!
15,05
26.8
0.20
1.27
.30
3.70
119
i.fcDE LA
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTÖR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
ANALYSE DE TERRE n<
remise par M
Adresse :
R . R . r;. vr
La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le 30 août 1976
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) N° 5 N° 6 N° 30 N° 31
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %.
Humidité °¿
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _
Sable fin (0,05/0,2 m m ) %
Limon grossier (0,02/0,05 m m ) po
Limon fin (0,002/0,02 m m ) %
Argile (< 0,002 m m ) °b
Matières organiques % par perte au feu
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).
Humidité équivalente °o
Point de flétrissement °o
Densité apparente %
Calcaire total %.
Calcaire actif % .
p H eau -
Besoin en chaux (kg de C a O / h a ) _
Carbone %o.
Azote %o
C/N
Acide phosphorique (P£>5) "
Potasse échangeable (K£>) %o
Chaux échangeable (CaO) 7
Magnésie échangeable (MgO)
Capacité d'échange (meq/100 g)
Sodium échangeable (meq/100 g)
Fer libre %o
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
»1.7 84,2
RE
0.0
5ULTATS SI
0.5
R SEC
0.0 0.1
2.5 8.6
1.2 4.4
2.2 4.0
94.1
1300 450
7P.R
49.4 49.3
5.0 5.4
44.2 42.5
g, ! " ) ' 1
4 8 . ?n.9
o ino.io 0.20
•7 an 20.70
?.no114 lOft
0.1
0.3
21.5
5.8
3.6
6R.7
M ft
36.1
4.7
20.9
a.ni
0.4/
10.6C
2,4C
85,7
0.1
0.3
18,6
5.2
3,1
72.7
42,4
5.4
31.3
1 ? , ?,•?
25.4
0.49
0.16
18,80
6 , 0 0
105
DE LA STATION AGf'Oi -o
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE
S G B^
ARRIVÉ LE b
SOUS LE NT
B D I26, BOULEVARD
ANALYSE
VICTOR-HUGO
DE TERRE n
44200 NANTES
° . . . .30A5
TÉL. 47.86.08
remise par M..
Adresse :
B . R. ft. M.
La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
Commune
Nantes, le 2 août 1976
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°7 n°8 n°9 n°10
Cailloux et graviers (> 2 m m )Humidité
%.
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _
Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) VLimon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) VMatières organiques °o par pertp au fpu
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).
Humidité équivalente °oPoint de flétrissement °o
Densité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %.p H eau - K © É .
• r - - 1
Besoin en chaux (kg de C a O / h a ) .
Carbone %o.Azote %oC/N
87 n 73.7 fi?.?
RESULTA
1.1 -2^L
S_SUR_SI
6,5
2.56.20 14.8n o 7.01 A 3.5
66,8 86,? 63.0
450 900 40045.1 5Q.5 50.836.5 43.5 37.6
5,2 5,4 5,1
292 430 346
14.2 32 .3
Acide phosphorique (PsOs) 7ooDyer-jK)©t>WAh««xxXHk>W«Xáau<Potasse échangeable (KoO) %X(^XKâq^D0O(§X-XXiXlXik^]6^—Chaux échangeable (CaO) %o»»xixi»)qxxÄ8)Q(X*»JuWR)©a«J—Magnésie échangeable (MgO)Capacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
17.8
0.06 0.08 0.13D.07 n.in 0.3?
1 on 4,7fi 14.80
0.43 0.62 2,60
8Q 116 im
Fer libre %o
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
2,511.7
60053.436.0
6,5
32411.4128.4
0.3n.iQ
7n1.80
g?
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE
S O ft - a ¡* i.26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
. TÉL. 47.86.08
ARRIVE LE L O S -
SOUS LE
remise par M..
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B. R. G. M.
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Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
ANALYSE DE TERRE n° 3QA1
Nantes, le 2 août 1976
Commune ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°12 n°13 n°16
Cailloux et graviers (> 2 m m ) °o." Humi di té 72.7 86.5 67.5 73.7
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _Sable fin (0,05/0,2 m m ) %
RESULTA S SUR SEC
3.5 3.8 0.914,1 g a ? ,i
Limon grossier (0,02/0,05 m m ) °oLimon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) %Matières organiques °n par perte au feu
în.q 4.3 5.94.3 0.5 0.9fi.7 0.9 1.9
60.5 81.2 .3
Résistévité en A / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente °oPoint de flétrissement %Densité apparente %
5 2 . g 59.n 61.635.2 42.3 44.6
Calcaire total °o.Calcaire actif %.pH eau - 5.5 5.8 5.2Besoin en chaux (kg de C a O / h a ) _
Carbone %oAzote %oC/N
290 3RD 45812,39 11,13
Acide phosphorique (P2O5) 7ooDyer->lapetíbtódX«l*XXaRkíbl*>e»U<Potasse échangeable (K2O) 7oo«xx)eqtö;uQ(8X-xaüdMi9Je()saijChaux échangeable (CaO) %oMagnésie échangeable (MgO)Capacité d'échange (meq/100 g ) _Sodium échangeable (meq/100 g)_
41.?
oao 0,12 0,070,08 0,17 0,053^08 9.20 1.90
n 4?83 106 140
Fer libre %oOligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
1.8
2.20.9
1.192.7
_5û£L67,046,8
44710.7841,4
0,060,06
1.54
114
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
ANALYSE DE TERRE n° 35Q3..
remise par M .
Adresse :
R- M.
La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le 6/Q9/76
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur)
Cailloux et graviers (> 2 m m ) °o
TXiOüoiiftttffc, Humidi té %
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sahlp grnssipr (0,9/9 m m ) °n
Sahlp fin (0 On/0 9 m m ) %
1 imon grossier (0 02/0,05 m m ) °n
1 imnn f¡n (0 0 0 9 / 0 09 m m ) °/n
Argilp (< 0 009 m m ) °n
Matières organiques °n
Rp jcitPvitP pn rt/rm/r.m9 (Hilutinn 1/5)
Humidité pouivalpntp °n
Pnint rip flptrisspmfint °n
Densité apparente %
Calnairp tntal %
P.alr.airp ar.tif %
pH eau - KKX
Pepnin pn r.haux (kg H P C a O / h a )
Carbone %«
Azntp %n
P./ISÍ
Acide phosphorique (P2O5) 'VooD^gKJoxat-íHebííetx-xgoJubtóCKaix
Potasse échangeable (KsO) %oûbXttK^00x^-xsX3l^#B£iK_
Chaux échangeable (CaO) %oOMXDSCp<'kOÛ<gxAAl>!ibilA)eûiû
Magnésie échangeable (MgO) 7oo<*xro*c|yflflfi>gx-X30k*ie<«aiK
Capacité d'échanne (meo/100 n)
Sodium prhang^shlp (mpq/100 g)
Fpr lihrp %n
Oligofilpments (ppm)
n°14
81,5
0,517,2
4,2. 3,8
7?,Q
7005 5 , Q
34,8
4,8
321412,53
25.9
0t06
0,12
15,70
2,30
84•
n°15
54,7
RESULTA"
0,3
0.1
9r71.25,?
835R
1350
fi?,?
48 ,8
5.0
29 ,0
9,4fi
30.7
0.57
13,40
2,90
122
S
n°21
86,2
SUR S!
M0,45,52.82 4
87,5
750RI , R
4fi 0
4,2
44,Q
11,?f
40,1
0.12
0,08
?,94
0,77
107
C
n°24
85,0
0,10,1
14,4
7.211 ,n
fi7,?
50057,9
41 ?
4T7
29,5
1fi,73
17.6
0.09
0 f34
14,80
? 3D
90
INTERPRÉTATION
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
remise par M..
Adresse :
ANALYSE DE TERRE n° 3Û51.
B. R. G . M.
La Source C o m m u n e
Nantes, le 2 août 1976
ORLEANS
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°17 n°18 n°20 n°22
Cailloux et graviers (> 2 m m ) VHumidité 85,0 87,7
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) %Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) %Limon fin (0,002/0.02 m m ) %Argile (< 0,002 m m )
RESULTAT S SUR SE
.¿•3- 2JL1.8 3.4 3,6 2,2
AJL 19.52.fi 8.6 5.1 2.20.7 4.1 3.3
Matières organiques °n par perte au feu 78,2 87,4
Résistévité e n A / c m / c m 2 (dilution 1/5)_
Humidité équivalente %Point de flétrissement %
Densité apparente %
300 500 600 45062.2
46.237,0 59,937.0 42.0 45,2
Calcaire total %.Calcaire actif %_pH eau - K X X _ 5.0 5.7 4,7 4,8Besoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC/N
42.0 38.8 40.8 43,0
n 11,90 11.764 1 , 4 34 .7 34.3 36.5
Acide phosphorique (P2O5) %oPotasse échangeable (K2O) %oChaux échangeable (CaO) %oXXKKtexii(XA»Xû(:x)eatobd»x«uuMagnésie échangeable (MgO)Capacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
n.n4 0.5 0.08 0.32
n,nfi 0.180.98 4.20 0.98 10,100.37 0.44 0,39 1,40
_LL5_ 86 117 121
Fer libre %o
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTÖR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
remise par M -
Adresse :
ANALYSE DE TERRE n° 3510.
B. R. G . M.
La source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le
ORLEANS
fi/nq/7fi
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°25 n°26 n°29 n°33
Cailloux et graviers (> 2 m m ) ?oHnnri rHt.fr %_
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) %Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) °o.Limon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) %Matières organiques °¿
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente %Point de flétrissement °o
Densité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %_pH eau -Besoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC/N
79,5 85.5
ESULTAT SUR SE
0,6 1.4n n 0.2
lo.5 21.0 14.87.1 13,0 8.9
.3 7.669,0 63.0 65,0
950 500 130060.3 fin.747.n
4.8 4,8 4.9
27.2 28.4 9R a.10,29
Acide phosphorique (PoOs) 7ooDyer-JotKkWékîGrt(X>ÔOtKkll©<li«MPotasse échangeable (KO) %o»xix»»^1<aa>Q(X»»*i)4xlJ6)eQ4X_Chaux échangeable (CaO) %o otxmeqM£0(9X)80<t(latâ(KilMMagnésie échangeable (MgO) %d>oo()oeqiX)aO< X)eotixbltexacacixCapacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
?fi,4 -12*9- 34 Q
n.n 0.16 0.380,17 0.08
14.fin
3 An 2.80 2.5095 _88_ 104
Fer libre %o.
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
87.3
19.9
JLU3.
66.4
40050.937
4,7
32.413,7923.5
0.080,105.601.20
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE
8 OR"AtRIVt LE
SOUS L E *
rí»micp n
P L
ar M B. R
26,
G
BOULEVARD VICTOR-HUGO
ANALYSE DE TERRE
M.
—
n
44200 NANTES
Na
TÉL. 47.86.08
Adresse :. La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
Nantes, le ? anfit 1Q7fi
Commune ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur)n°27 n°28
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %
X5etx«Xtoe<Sö< Humidité
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) °o.Limon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) %Matières organiques % f npyfp ai] fpii
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5)_
Humidité équivalente %
Point de flétrissement °o
Densité apparente %
Calcaire total %
Calcaire actif %.
p H eau -
Besoin en chaux (kg de C a O / h a ) _
Carbone %o
Azote %o
C/N
81.0 82,0
RESULTATS S1.?I.fi
»Q 7
550
60,250.4
4.5
43.0
m
Acide phosphorique (P2O5) °lPotasse échangeable (KsO) 'Chaux échangeable (CaO) %oOaxaaq0d)OO<gx-X3ta))oJoJ©c»axi.Magnésie échangeable (MgO) %o<XCCapacité d'échange (meq/100 g )_Sodium échangeable (meq/100 g)_
41
n o n
1?«
Fer libre %o.Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
IR SECâ g
5.411.610.0
40047.6
5.5
30.520.44
Q
0.210.15
1.3488
-' i - C . ' '-. \ ;
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
remise par M..
Adresse :
ANALYSE D E TERRE n° 3.5U
B. R. G . M. N a n t e s - l e
C o m m u n e ORI FANSLa Source
6/09/76
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°34 n°35 n°36 n°37
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %Humidité %_
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _Sable fin (0,05/0,2 m m ) °oLimon grossier (0,02/0,05 m m ) VLimon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) °oMatières organiques °o
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente °oPoint de flétrissement °oDensité apparente % :
Calcaire total %Calcaire actif %.p H eau - '•Besoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC / N
83,5 85,5 84,0
R ISULTATS SUR SEC0.2 0.0 0.10.2 0.1 0.1
n,fi 14,8
Acide phosphorique (P2O5) %olPotasse échangeable (KsO) %odüXÄ0exp(ifi»)g<X)6X*xlxl»X9aiJ-Chaux échangeable (CaO) %o<»xxi)Bq«y)00(8xxîoJMfel©OOΫ-Magnésie échangeable (MgO) %o<Capacité d'échange (meq/100 g )_Sodium échangeable (meq/100 g)_
Fer libre %oOligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
5.23.6
79.2
_5QJL52.844.5
5.3
37,714.4926.0
0.060.25
14.452.54
117
7.55.8 16.8
79.7 57.4
AML67.1 60.844.6 38.7
4.5 4.5
39.1 29.017,?929.6 17,6
0.06 0 .06
n,?ft17.60 9.204.50 3.00
85
0.40.6
6.363,1
59.040.7
5.1
_14.8
23,0
0.05
0,1916.503.80
_95_
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTÖR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
ANALYSE DE TERRE nc
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Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le 30 août 1976
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) N° 32 N° 38 N° 39 N° 43
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) % _Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) VLimon fin (0,002/0,02 m m ) %
par perte au feuArgile (< 0,002 m m ) %.Matières organiques %_
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente %Point de flétrissement °o
Densité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %_p H eau - K D C LBesoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC/N
Acide phosphorique (PsOs) °/ooPotasse échangeable (KsO) %Chaux échangeable (CaO) %oMagnésie échangeable (MgO)Capacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
Fer libre %o
Oligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
87,7 85,5 75,5
REÍ
0 .1
ULTATS SI
O.l
R SEC
0.10.1 0.1 0.1
17.6 15.6 13.3
1.8 3.1 5.8
4.1 3.0 7.0
76.5 78.1 73,7
300 300 400
53,2 55.3 54,4
41.7 43.1 45.6
5.0 4.6 5.3
39.3 Sft.ft1 F,. Q 4 1P.53 14.91
23.2 26^0
r>Q n.m n}na0.15
17 m 12.90 18.80
1 » ^ J
ion n ?
83,2
0.3
0,1
17.8
4.86,0
71.0
35052,8
43.8
4.9_
35.3
29.1
0.06
0.22
18,20
2.90
112
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
i TÉL. 47.86.08
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ANALYSE DE TERRE n° 3512.
B. R. G . M.La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
C o m m u n e
Nantes, le 6/Q9/76
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°41 n°42 n°45 n°47
Cailloux et graviers (> 2 m m ) VHumiditp
ANALYSE DE LA TERRE FINE:Sable grossier (0,2/2 m m ) °oSable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) %.Limon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) °oMatières organiques %
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente °oPoint de flétrissement °oDensité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %_p H eau -Besoin en chaux (kg de C a O / h a ) _
Carbone %oAzote %oC / N
86,5 82,5 78.5
RESULTATS SUR SEC
0.? 0.2 n.in.Q 0.1 0.1
16.4 16.1 19.53.fi 9.3 4.6
4.777.5 6 8 . 9 71 n
40058.2 54.54 4 , ? 4 2 . 9 45 ,6
5.7 4.9 4.fi
31.5 37.2 34.8s,a? 17.08
Acide phosphorique (P2O5) %oDyer-JotttKkiâtexKX)SOte(bitexi$xtiPotasse échangeable (K£>) %Chaux échangeable (CaO) %oMagnésie échangeable ( M g O ) %oCapacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq /100 g)
2 2 , 0 20.4
0 .05 0.18 0.100 .33 0.16
16.20 7.30n,3Q
12.60
5.70 2.10 4.30107 114 108
Fer libre %oOligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
82,5
J\ 10.0
17.24.4
74.7
j400_
59.543.1
4.6
36.016.9321.3
0.020,136.40
109
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
r e m i s e p a r M B . R . G . M
A d r e s s e : I . a
ANALYSE DE TERRE n° 3455.
N a n t e s , l e 3 0 a o û t 1 9 7 6
C o m m u n e O R L E A N S
O r i g i n e d e l ' é c h a n t i l l o n : N o m d e l a p i è c e d e t e r r e : .
C o m m u n e
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) N° 44 N° 46 N° 48 N° 49
C a i l l o u x e t g r a v i e r s ( > 2 m m ) %.Humidité %
A N A L Y S E D E L A T E R R E F I N E :
S a b l e g r o s s i e r ( 0 , 2 / 2 m m ) % _S a b l e f i n ( 0 , 0 5 / 0 , 2 m m ) %L i m o n g r o s s i e r ( 0 , 0 2 / 0 , 0 5 m m )L i m o n f i n ( 0 , 0 0 2 / 0 , 0 2 m m ) %A r g i l e ( < 0 , 0 0 2 m m ) %M a t i è r e s o r g a n i q u e s % p a r
R é s i s t é v i t é e n A / c m / c m 2 ( d i l u t i o n 1 / 5 ) _H u m i d i t é é q u i v a l e n t e %P o i n t d e f l é t r i s s e m e n t ° oD e n s i t é a p p a r e n t e %
C a l c a i r e t o t a l %C a l c a i r e a c t i f %p H e a u - K X KB e s o i n e n c h a u x ( k g d e C a O / h a ) _
C a r b o n e % oA z o t e % oC/N
85.5 82.2 86.1
RESl0.1
LTATS SUR0.1
SEC0.7
0.1 0.0 0.1
13.1 16.9 22.03.2 2.2 6.2
3.7 3.3 4.1
79.ñ 77.5 66.9
300 300 20051.5 52.1 43.642.8 43.2 35.0
4.7 4.9 4.8
37.3 37.1 3? . 7
1 P . O 4 1 4 QP. q,4fi
31 .0 24.8
A c i d e p h o s p h o r i q u e ( P 2 O 5 ) 0 / o o D y e r - i c K ^ M J Ö O ] Q d K X ) O T i t a l x l ] e x e a c u [P o t a s s e é c h a n g e a b l e ( K £ > ) % oC h a u x é c h a n g e a b l e ( C a O )M a g n é s i e é c h a n g e a b l e ( M g O ) % oC a p a c i t é d ' é c h a n g e ( m e q / 1 0 0 g )S o d i u m é c h a n g e a b l e ( m e q / 1 0 0 g )
16.8
n n«=; 0 -04
n i A o i s o . ? 7
1 q .oo Ifi. PO
o no 3,70117 110 90
F e r l i b r e % o
O l i g o é l e m e n t s ( p p m ) .
I N T E R P R É T A T I O N
83.0
0.1
0.1
16.54.5
73.0
20048,240,1
4.7
35.6
23.0_
O tO?0.1 .R
1 Çj. 1 Q
3,4090
DE LA STATION AGKOHOMÎQUE
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
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ANALYSE DE TERRE n°
B . R. G . M .
.3513.
Rue de la Source
Origine de l'échantillon : Nom de la pièce de terre:.
Commune
Commune
Nantes, le 6/09/76
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) ne 50 n° 51 n° 53 n° 54
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %
Humidité
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) %Sable fin (0,05/0,2 m m ) %Limon grossier (0,02/0,05 m m ) VLimon fin (0,002/0,02 m m ) %Argile (< 0,002 m m ) %Matières organiques %
Résistévité e n n / c m / c m 2 (dilution 1/5).Humidité équivalente %Point de flétrissement °oDensité apparente %
Calcaire total %.Calcaire actif %_pH eau - K © t _Besoin en chaux (kg de CaO/ha)_
Carbone %oAzote %oC/N
73.0 8?.7 77.R
RESULTAT« SUR SEC0.3 0.20.4 0.1 1.0
18.3 23,79.7 9.0
12.3 14.1 in.g59.0 57.9
400 400 3004Q.1 54.9 45.3
40,fi
4.8 4.fi Fi.fi
3 8 . fi 34.3 27.4
in 3/t 13.16 10.3437.3 26.1
Acide phosphorique (P£>s) 7ooDyer-J»xalxMÉteKrtxx*»JotaHxaaajPotasse échangeable (K2O) %oBMXK«opi(bOOc9C^Kg[k{bt«x»Xi—Chaux échangeable (CaO) %ooxo(oo»)q)(tfi0>QCXXX>j(uMKXttaajMagnésie échangeable (MgO)Capacité d'échange (meq/100 g)Sodium échangeable (meq/100 g)
26.5
0.27 0.24 0.110.40 0.24 0.23
18.FiO 18,?0 2fi.3O3.40 3,Q0
94 1082,20
88
Fer libre %oOligoélements (ppm).
INTERPRÉTATION
fiq.n
JU_11 .712.1lFi.fi59.8
500
56,744,8
5.1
26.4
11.6922.3
0.080,45
16.80
2,2n103
STATION AGRONOMIQUE DE LOIRE-ATLANTIQUE26, BOULEVARD VICTOR-HUGO - 44200 NANTES
, TÉL. 47.86.08
remise par M._
Adresse :
ANALYSE DE TERRE n° 3514
B . R . Pi. M , ,
La Source
Origine de l'échantillon : N o m de la pièce de terre:.
C o m m u n e
Commune
Nantes, le 6/09/76
ORLEANS
R É F É R E N C E (horizon ou profondeur) n°56 n°57 n°58
Cailloux et graviers (> 2 m m ) %.
Humidité %
ANALYSE DE LA TERRE FINE:
Sable grossier (0,2/2 m m ) %
Sable fin (0,05/0,2 m m ) °o
Limon grossier (0,02/0,05 m m ) V
Limon fin (0,002/0,02 m m ) %
Argile (< 0,002 m m ) °0
Matières organiques °o
Résistévité e n A / c m / c m 2 (dilution 1/5).
Humidité équivalente °oPoint de flétrissement %
Densité apparente °o
Calcaire total %.Calcaire actif %.pH eau - K«X.Besoin en chaux (kg de CaO/ha).
Carbone %o
Azote %oC/N
81.7 78.n 65.7
RESU .TATS SUR SEC2.9 0.2 0.60.1 0.1 0.3
-1U2_15-39.0 15.2 8.8
51.4 69.4 69,6
_5ÛO_ _8ÛO_57.9 55.7 54,43 5 . 3 4?,ft 44.5
5.3 4.7 4.7
24.7 35.0 34.0
8.8Q 13,16
Acide phosphorique (P2O5) °/ool
Potasse échangeable (K2O) %o ( xixaci xXXsx-xacQdxdotoxaxi.
Chaux échangeable (CaO) °/
Magnésie échangeable (MgO)
Capacité d'échange (meq/100 g ) _
Sodium échangeable (meq/100 g)_
O.Rfi n.?n n.n40.34
19.90 16.80n,i5
14.00?,Qf>
82 107 104
Fer libre %oOligoélements (ppm)_
INTERPRÉTATION
DE U. " ; - . - ; > - . ' . r - ' C . ' . '
GISEMENT DE CHATEAUNEUF ( I etV) nm2
EPAISSEUR DE LA TOURBE
O m à 0,50 m
0,50 m a 1,00 m
1,00 m à 1,50 m
1,50 m a 2,00 m
2,00 m à 2,50 m
2,50 m à 3,00 m
0 0,^*0,3
¡»0,30 •ífiO/
0,70 • 0,70
> 3,00 m
BRGM 76 SGN 341 BPL.0 ,80 m0,70
»2,00 »190 •1,
^ ' V ., 0 , * 0 . 0 , 5 0
EPAISSEUR DE LA DECOUVERTE
Om a 0,5m
0,5m a 1m
1m
BRGM 76 SGN 341 BPL Annexe n' 7
GISEMENT DE CHATEAUNEUF (let V) nm2
'OJO
•0.20 * 0>30
Bassin de la Lei ta ,
( Vallée de l'Isole )
GUISCRIFF
Echelle : 1/2.500•0,00
»0,00 »O.flT
*o,oo
• 0,50
LANDES
,2,30
3,00 \ ! ' ','.
-. »0,60
•0,00
.'1,20
S
E
D
N
C
B
URFACE : 12 Ha
PAIS5EUR MOYENNE : 0,
ECOUVE
ATURE
UBAGE
RGM 76
RTE : Neanf
DE LA TOURBE
(approximatif) :
SGR 341 BPL
90 m
f)°24
: Noire mousseuse
108.000 m 5
Annexe n° 9
•0,00
1,00 •• 2,30 ^ • 0,00
'0,00
»0,30
' , . , , 1 ' \ ~N \
/ /
• 0,30
• 0,20
, # ? ^ N x
V\
\\
>0,00
• 0,00
•0,30
PATURAGES
0,80
•0,00 *0.00
,0,00
•0,30
.0 00
*0,00
• 1,20
LANDES
• 1,70
•0.00
• 0,00 -- _ '
•I I
/ ;» \
1 \
Cultures
1 N ^
n°26
Riv. du Pont Rouge (Vallée de l'Elle)
SÍ TUGDUAL
SURFACE : 2,50 Ha
EPAISSEUR MOYENNE: 2,00 m _ DECOUVERTE:0,15
NATURE DE LA T O U R B E : Noire mousseuse
CUBAGE (approximatif) : 50.000 m '
Echelle : 1/2.500
BRCM 76 SGR 341 BPL Annexe n°10
\
\ \ x N V À \
n°27
Bassin du B la vet
(Vallée de la Sarre)
51LFIAC
SURFACE : 7 Ha _ CULTURE : TourbièreEPAISSEUR MOYENNE. 110 mDECOUVERTE : Néant -CUBAGE : 77.000 m*TOURBE . Mousseuse , terreuseEchelle : 1/2.500
BRGM 76 SGR 341 BPL Annexe 11
¿vW ^ \ \
, 0 , 2 0
»0,00
,0,80
1,60
•0 ,50
.1,10
. 1,W
Partie
Exploitée
090
• 0,50
• 0 , 0 0
,0,60
+ 0.00
opo.
.1,00
0/8O• 0,001
1.20
+ 0,00
• 1,60
/
'••,!'/.'''> 0 ,00
.0,0ft-
\ " \ V
\ v \ O > ^
' ' ' / n / < i f H i i i i iHii i»'1
Echelle
BRGM
1
76
n°
Bassin du Blavet
KERGRIST
/5.000
SGR 341 BPL Annexe n°
28
12
COMMUNE DE
SÍ OUEN
Cn-e DEMUR DE BRETAGNE
le Guily
SURFACE . 2 Ha _ ROUTE à 150 m
EPAISSEUR MOYENNE : 1,10 m
NATURE DE LA TOURBE : Mousseuse,compacte
CUBAGE (approximahF ) : 20.000 m 1
EAU de +0,10 à - 0,50
DECOUVERTE : Néant
Kenandy
SURFACE : 12 Ha . R O U T E à 150 m
EPAISSEUR MOYENNE : 110 m
: DECOUVERTE . Néant
NATURE DE LA TOURBE : Mousseuse compact«
CUBAGE ( approximatif ) : 130.000 m *
P A H Af ifim ô -n Sfl
Mur de Bretagne
•0,00
Cultures
Friches
n°30Bassin du B la vet
(Vallée de la Sarre)
GUERN
SURFACE : 2 Ho - ROUTE à 0,400 km
EPAISSEUR M O Y E N N E . 1 m > DECOUVERTE.0,20
NATURE DE LA TOURBE : Noire mousseuse
CUBAGE : 20000 m * _ EAU 0,005 du sol
Echelle : 1/2.500BRGM 76 SGR 341 BPL Annexe 13
\ ^ l ( ' ' /
\ \ \ I H I » / / , , / ' /
BRGM 76 SOR 341 BPL n°3¿bis
Bassin de la Vilaine
THEILLAC ( Morbihan)
SEVER AC (Loire Atlantique)
SURFACE : 3 HaEPAISSEUR MOYENNE: 2mDECOUVERTE : 0,20 m à 0,50NATURE DE LA TOURBE : BruneCUBAGE : 190000 m*
Echelle: 1/2.500 Annexe n°15
COMMUNE
DE
THEILLAC
Ma rais
de
la Haie
0.00
Sous
+ o,oo
2,50
• 1.S0 ,-fii
2.70
f/
+0,00 V
• 170
COMMUNE
DE+ 0,00
SEVERAC
1,00
SURFAC
NATURE
C
E
S
UBAGE
chelle
R G M
n¡ 34Bassin de l'Aulne
DINEAULT
E: 8 ha - EPAISSEUR MOYENNE--0,80 m
DE LA TOURBE^
(approximatif) 65 000 m 3
.1/5000
76 SOR 34 1 B PL- Annexe 16
•"•"ifi'S"':
1 SO
100*
'rtieploitee
1,00
120
0,50
Bassin de l'Odet
EDERN
SURFACE : 2 Ha
EPAISSEUR MOYENNE : 1,00 m
DECOUVERTE : 0,20 m
NATURE DE LA TOURBE .compacte
CU B A G E (approximatif) : 20.000
Echelle •. 1/2.500
n°3t>
, glaiseuse3
m
BRGM 76 SGR 341 BPL Annexe 17
• 0,00
0,20
•0 00
Fosses«xtracti
+1.10
• 110
1,00
Cabanel'exploitation
.0,60
120
hydraulique
0,20
• 0,00
•0,30
.0,00
0.00
OftO
Parc
A mou Bihan
N
Bassin de l'Odetn°37
SURFACE
BRIEC-DE-
: : 5 Ha
EPAISSEUR MOYENNE
DECOUVERTE : 0,25 m
NATURE
CUBAGE
Echelle
BRGM
DE LA TOURBE
(approximahF )
1/2 500
L'ODET
: 1,10 m
compacte, noire c\
: 55000 m *
76 SGR 341 BPL Annexe
brurx
16
0,00
'0,50 »0,40 »0,00
0,00 1,00 .0,70
,0,60
,0,60
0,80
. 0 , 8 0
Fosse
d'extraction
.0.00
,0,00
• 0,00 ,v,so •0 .40 • 0.00/'
Route
Cabane de| l'exploitation
deHangar
Bassin de I 'Aulne
SPEZET
n? 36
EPAISSEUR M O Y E N N E : 1.30 m
DECOUVERTE • 0.10 rn
NATURE DE LA TOURBE: mousseusenoire cendreuse
CUBAGE approximatif : 650 000m3
Echelle- 1/5000
BROM 76 SO R 341 B P L Annexe 19
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Tourbières du Marais de SÍ Michel
(Communes de Brtnmhs et Bormeur)(Finistère)
E Z Z Z T O U R B E S NOIRES (deja exploif-ees enEPAISSEUR M O Y E N N E ^ 1.3m r
C U B A G E APPROXlMATiF + du 1/2 million m 3
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D E C O U V E R T E MOYENNE • 0,1 mEchelle- 1/25 000B R G M 76 S G R 34 1 BPL Annexe 20
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