Compte rendu annuel d’une expérimentation
Titre du projet : Enseigner la Shoah : l’apport de la philosophie
Le projet décrit en une phrase : Il s’agit d’un projet transversal impliquant les enseignements des lettres, de
l’histoire, des arts appliqués et de la philosophie dans le but d’approfondir la réflexion des élèves sur la
Shoah.
Nom de l’établissement : LP Paulsen
Adresse : 1 bd du 8 mai 1945
Tel : 02 37 94 08 39 Fax : 02 37 94 08 38
Mèl établissement : [email protected]
Personnes ressources : Sylvie Denis →[email protected] / Renaud Lateur→ [email protected]
Niveau des classes concernées : Term Bac Pro ( TELEEC + TC/S)
Nombre d’élèves : 28
Disciplines : lettres / histoire / arts appliqués / philosophie
Date de début de l’action : 16/11/2010
Champ de la loi ou thème de l’action : la Shoah
Choisir 4 mots clés : interdisciplinarité / Art et culture / Europe / Ambition
Constat initial : Que veut-on améliorer ? →Nous avons constaté que les élèves lors des séances d’histoire et
de français s’interrogeaient sur le fait que des hommes aient pu concevoir une telle entreprise
d’extermination. Face à ces questions devant lesquelles nous nous sentions insuffisamment préparés, il
nous est apparu qu’un éclairage de la philosophie pouvait les aider à avancer dans leur réflexion et à
trouver quelques pistes de réponses.
Objectifs / Effets attendus : Que veut-on obtenir ? →Permettre aux élèves d’ appréhender la Shoah dans
toutes ses dimension et de développer leur réflexion personnelle sur les notions d’humanité et de
déshumanisation.
Hypothèses fondant les choix d’actions : en fonction de quels éléments avez-vous choisi cette stratégie ? →
Nous nous sommes appuyés sur des projets antérieurs que nous avions pu mener et qui incluaient déjà la
philosophie.
Descriptif de l’action : Comment a-t-on agi ?
� Association du français
Œuvre de référence : Si c’est un homme, Primo Levi
- Compréhension globale de l’œuvre
- Structure de l’œuvre et son analyse
- Les hommes du camp : des catégories multiples
- Les raison d’écriture
- Analyse du poème Shema
- Etude d’un extrait : chapitre 2 « le fond »
� Association de l’histoire
Dans le cadre du programme de terminale, les élèves étudient les états totalitaires, en particulier
l’Allemagne nazie.
� Association des arts appliqués à travers l’étude d’œuvres de Christian Boltanski →
� Interventions de philosophie
Calendrier des interventions
TELEEC TC/S
• 16 novembre
• 23 novembre
• 30 novembre
• 7 décembre
• 14 décembre
• 4 janvier
• 11 janvier
• 18 janvier
• 25 janvier
• 1er
février
• 8 février
• 15 février
• 8 mars
• 15 mars
Bilan : après le retour de Pologne : 1 à 2 séances (par classe )
Les élèves ont complété lors de chaque séance un carnet de bord afin de garder une trace de
chaque intervention. On y retrouve les problématiques soulevées, les notions abordées et des
réflexions personnelles.
� Voyage en Pologne avec pour temps fort la visite du camp d’extermination d’Auschwitz et du quartier
du ghetto de Cracovie.
Les élèves par groupe ont préparé chacune des visites et établi une « fiche mémo » insérée dans le carnet
de voyage.
Les élèves ont complété un carnet de voyage et pris des photos tout au long du voyage.
Mise au propre du carnet de voyage sous format informatique avec insertion de photos et documents
divers. Réalisation d’un diaporama.
Evaluation : quels sont les critères d’évaluation qui ont été utilisés, analyse, résultats→
• Evaluation sommative en histoire et en français
• Lecture des carnets de bord après chaque séance de philosophie par le professeur de philosophie
afin de mieux cerner leurs interrogations et leur ressenti ( ce qui a pu constituer un point de départ
pour la séance suivante).
• Implication des élèves dans la globalité du projet
Analyse réflexive du projet : distanciation, remarques, effets des changements
Nous avons pu constater une réflexion plus approfondie, plus mature, plus nuancée des élèves. Ils ont
adhéré à l’ensemble du projet et se sont investis pour beaucoup pleinement.
Perspectives pour l’année suivante : reconduction du projet mais portant sur une autre problématique en
lien avec les nouveaux programme de Terminale Bac pro .
Projet philosophie 2011-2012
LP PAULSEN Châteaudun
Intitulé du module → encore à définir
Classes concernées : TS3+ élèves motivés de TELEEC 3
� Association du français
Objet d’étude : Identité et diversité
Problématiques pouvant être traitées:
- En quoi l’autre est-il semblable et différent ?
- Comment transmettre son histoire, son passé, sa culture ?
- Doit-on renoncer aux spécificités de sa culture pour s’intégrer dans la société ?
L’œuvre de référence reste à définir
� Association de l’histoire et de la géographie
Dans le cadre du programme de terminale, les élèves étudient en histoire « L’idée d’Europe au
XX° siècle » et en géographie « L’Union européenne et ses territoires ».
� Interventions de philosophie
Le contenu précis des interventions de philosophie reste encore à définir.
Une réflexion sera engagée sur l’une des 2 questions « Qu’est-ce qu’une nation ? » ou « Dans
quelle mesure les échanges permettent-ils de caractériser la société ? »
Les élèves complèteront lors de chaque séance un carnet de bord afin de garder une trace de
chaque intervention. On y retrouvera les problématiques soulevées, les notions abordées, des
recherches et réflexions personnelles.
Modalités à définir
Voyage à Berlin envisagé car c’est un lieu emblématique de la construction européenne et de l’idée
de nation au XX° siècle
Nom : Année 2010-2011
Prénom :
Classe :
Carnet de bord
Enseigner la Shoah en lycée professionnel : l’apport de la philosophie
Problématique :________________________________________________________________________
Si c’est un homme de Primo levi
Théâtre des ombres de Christian Boltanski
Titre de la séance : _______________________________________________________________
Remarques sur la séance : impression(s), interrogation (s) ...
Mots-clés
Auteur (s)
Classe :BOUCLET
Nom :Céline
Prénom :TS
Carnet de voyage
Séjour à Cracovie du 26 mars au 1er
avril 2011
Programme du séjour
Samedi 26 mars 2011-
• Départ de Châteaudun à 6h00
• Envol à destination de Cracovie à 11h25
• Arrivée à Cracovie à 13h40
• Installation à l’auberge de jeunesse
• Visite de la place du Rynek et de la Halle aux draps
Dimanche 27 mars 2011
• Visite du ghetto
• Visite du musée de la Fabrique de Scindler
• Découverte du quartier de Kazimierz avec la visite de la Vieille Synagogue et du vieux cimetière juif
• Découverte du quartier de NowaHuta
Lundi 28 mars 2011
• Visite du camp d’extermination d’Auschwitz
• Concert dans le cadre de la 16ème
édition des journées « Bach » à l’Académie de musique de Cracovie
Mardi 29 mars 2011
• Visite du combinat sidérurgique de Katowice
Mercredi 30 mars 2011
• Visite des Mines de sel de Wieliczka
• Visite du CollegiumMaius
Jeudi 31 mars 2011
• Visite guidée du Château de Wawel et de la vieille ville
• Visite de la Basilique Notre Dame
Vendredi 1er
avril 2011
• Envol à destination de Paris Roissy à 7h55
• Arrivée à Châteaudun vers 13h00
Le samedi 26 mars 2011
Le voyage
Le voyage s’est très bien déroulé à part que certains étaient anxieux à l’idée de
prendre l’avion puisque pour beaucoup c’était leur baptême de l’air.
Personnellement, j’attendais avec impatience de prendre l’avion puisque que je
n’ai pas souvent l’occasion de voyager ainsi :c’est un mode de transport que
j’adore !
Présentation de l’Etat polonais
Situation géographique : La Pologne est un pays d'Europe centrale. Il est bordé par la mer Baltique, l'enclave russe de Kaliningrad et la Lituanie du nord, la Biélorussie et l'Ukraine à l'est, la Slovaquie et la République tchèque au sud, et l'Allemagne à l'ouest. Le pays partage également des
frontières maritimes avec le Danemark et la Suède.
Histoire L’histoire de la Pologne commence véritablement au X°siècle. C’est à cette époque que les souverains polonais se convertissent au christianisme. La Pologne devient rapidement au Moyen Age une puissance régionale. A partir du XII°siècle, le royaume de Pologne doit lutter contre les chevaliers Teutoniques qui ont colonisé la Prusse et une partie de la Poméranie. Le pays atteint son apogée aux XV° et XVI° siècles sous la dynastie des Jagellons. Mais durant le XVII° et surtout le XVIII° siècles, le pays est engagé dans de nombreux conflits militaires qui lui font perdre une grande partie de sa superficie, notamment sous le coup de l’expansion de l’Empire russe. A la fin du XVIII° siècle, après trois partitions , la Pologne est partagée entre la Prusse, l’Autriche et l’Empire russe. La Pologne ne retrouve son indépendance qu’en 1918, mais le pays est de nouveau partagé durant la Seconde Guerre Mondiale entre l’Allemagne nazie et l’Union Soviétique. A la fin de la guerre, l’URSS conserve la partie orientale de la Pologne, qui en contrepartie acquiert les territoires de la Poméranie, de la Prusse Orientale et de la Silésie. La République populaire de Pologne est alors mise en place en 1952 et ce jusqu’en 1990. Après l’éclatement du bloc communiste, le pays retrouve son indépendance et devient membre de l’OTAN en 1999 et de l’Union Européenne en 2004.
Population : La Pologne est peuplée par plus de 38 millions d'habitants. Il y a environ 400 000 ressortissants étrangers en Pologne, majoritairement originaire d'autres pays d'Europe orientale ( Russie, Biélorussie, Ukraine... ) mais aussi d'Extrême-Orient ( Chine et Vietnam ). Depuis 2000, 71 711 Allemands se sont installés en Pologne. La diaspora ( le terme diaspora désigne la dispersion d'une communauté ethnique ou d'un peuple à travers le monde ) polonaise compte 20 millions de personnes d'origine polonaise.
Économie L'économie de la Pologne vient de subir, en quinze ans, de profonds changements, qui ont affecté, à des rythmes divers tous les secteurs, dans le but de se préparer pour l'adhésion à l'Union européenne, dont les négociations ont démarré dés 1994. Après 45 années de communisme la Pologne est passée, presque sans transition d'une économie collectiviste à une économie de marché. La Pologne a été intégrée dans l'Union européenne le 1er mai 2004, et est devenue une des économies les plus dynamiques d'Europe. C'est le seul État européen à ne pas avoir connu la récession lord de la crise économique de 2008-2010.
Un peu de polonais…
Oui = Tak Non = Nie
Merci = Dzie,kuje, S'il vous plaît = Prosze,
pardon, excusez-moi = Przepraszam Bonjour = Dzien' dobry Au revoir = do widzenia Bonjour = Dzien' dobry Bonsoir = Dobrywieczór Bonne nuit = Dobranoc
Je ne comprends pas = Nie rozumiem
Parlez-vous ... = Czymowi pan ... [to a man]; Czymowipani ... [to a woman]
anglais = poangielsku français = pofrancusku
Chambre= POKÓJ Guide = PRZEWODNIK
Comment vous appelez-vous? Quel est votre nom? = Jakmasz na imie,?Jaksie, Pan(i) nazywa?
Où sont les toilettes? = Gdziejesttoaleta?
Entrée = WEJSCIE Sortie = WYJSCIE
Quel est le prix? Combien ça coute? = Ile to kosztuje?
Qu'est-ce que c'est? = Co to jest? Je le prends. = Kupie, to.
Je voudrais acheter ... = Jabympoprosil/ [from a man] poprosil/a [from a woman]... Avez-vous ... = Czy pan ma ... [to a man]; Czypani ma ... [to a woman]
ouvert = Otwarte fermé = Zamknie,te
la carte postale = Kartkapocztowa des timbres = Znaczkipocztowe
PRIX - CENA le café = Kawa
le thé = Herbata de l'eau = Woda
le sel = Sól le poivre = Pieprz
un Hôtel = Hotel la banque = Bank
le poste de police, la gendarmerie = Posterunekpolicji l'hôpital = Szpital
la pharmacie = Apteka
le restaurant = Restauracja
Arrivée à Cracovie
Cracovie (s’écrit Kraków en polonais et se prononce « Cracouf ») est une des villes les plus anciennes et les plus importantes de
Pologne, dont le patrimoine architectural est très bien conservé.
Située à 300 km au sud de Varsovie, Cracovie est la capitale de la voïvodie de Petite-Pologne depuis 1999. Auparavant, elle était la
capitale de la voïvodie de Cracovie depuis le XIVe siècle.
Cracovie se situe sur la Vistule au pied de la colline de Wawel.
Avec ses 856 441 habitants, elle est la deuxième plus grande ville de Pologne mais elle reste le centre culturel et scientifique du
pays. En fait, Cracovie était avant Varsovie la capitale de la Pologne et elle est toujours considérée comme le véritable centre du
pays avec ses traditions et son passé vieux de plus de 1000 ans.
Elle est le siège de l’Université Jagellonne, la deuxième plus ancienne université de l’Europe centrale.
Le Tourisme
Avec ses très nombreuses boutiques de souvenirs et ses marchands de bagel et de bretzels à tous les coins de rue, Cracovie est
devenue, après la période communiste, un centre touristique important aussi bien au point de vue national qu’international et elle
accueille chaque année plus de 200 000 visiteurs principalement allemands, italiens et américains.
Cracovie est aussi le point de départ d'excursions vers les mines de sel à Wieliczka, les églises en bois, les montagnes Tatras,
Częstochowa, l'ancien camp de concentration d'Auschwitz ou encore vers le parc national Ojców.
L’architecture de Cracovie
Cracovie n'a subi pratiquement aucune destruction depuis celle du Moyen Âge et l'industrialisation s'est faite essentiellement en dehors de la ville qui est donc riche d'exemples de toutes les époques, surtout de la Renaissance, mais aussi de style baroque et néogothique. L'intérieur des bâtiments a lui aussi été épargné des pillages et les palais, églises et anciennes résidences aristocratiques de Cracovie brillent par la richesse des détails architecturaux, les vitraux, peintures et sculptures, ornementations, etc…
Depuis 2002, les « trous » dans la ville sont comblés par des constructions nouvelles s'intégrant dans le paysage architectural de la ville et les anciennes demeures sont rénovées en conservant au minimum les façades d'origine.
Les spécialités culinaires de Cracovie
On sert à Cracovie, plus souvent que partout ailleurs en Pologne, des goulaches et des ragoûts au paprika, ainsi que du bœuf bouilli à la sauce au fenouil ou au raifort.
Cracovie a également ses propres spécialités culinaires. Il s'agit avant tout de la maczanka po krakowsku, trempette à la cracovienne faite d'une mince tranche de filet de porc cuite à l'étouffée avec beaucoup d'oignon et de cumin, arrosée de sauce et servie dans un petit pain de mie ou un petit pain de froment. Le canard rôti aux champignons, servi avec du gruau de sarrasin, est également excellent. Les fromages oscypek et bundz, produits dans le Podhale, région montagneuse proche de Cracovie, sont les seuls fromages de brebis de Pologne susceptibles de retenir l'attention des connaisseurs. De vrais délices sont le sernikkrakowski, gâteau au fromage blanc aromatisé de vanille à la cracovienne, le torcik-piszyngier, gaufrette craquante fourrée avec de la crème au chocolat alcoolisée, ainsi que la fameuse papieskakremówka, feuilleté papal à la crème pâtissière. Comme il est vendu un peu partout à Cracovie, c'est cependant le krakowskiobwarzanek, une sorte de bretzel cracovien en forme d'anneau, qui est le plus visible.
L’auberge de jeunesse et le restaurant
Premium Hostel
Restaurant Slaska
Premières impressions…
Dès notre arrivée, nous avons été pris en charge par notre guide Natalia . A notre
sortie de l’aéroport, nous avons tous été surpris par la neige. Je savais qu’il pouvait
faire froid en Pologne mais de là à ce qu’il neige en plein mois de mars, c’était assez
impressionnant !
Enfin, nous avons pu poser le pied à Cracovie. J’étais soulagée d’être arrivée . Le
voyage avait été assez fatiguant et j’avais hâte de déposer mes affaires dans notre
auberge et de pouvoir me reposer un peu.
En rentrant dans l’auberge, j’ai tout de suite adoré le style du bâtiment et en montant à
l’étage où se trouvaient nos chambres, j’ai immédiatement pensé que nous allions
passé un excellent séjour.
Le soir, après notre visite rapide de la ville, nous étions tous affamés, moi la première
et nous sommes rentrés dans le restaurant Slaska où des mets délicieux nous
attendaient accompagnés par des chansons du pays.
Le dimanche 27 mars 2011
La présence de la culture juive
Plusieurs siècles de présence
À l’instar de plusieurs grandes villes de Pologne, l’histoire de Cracovie est fortement marquée par la présence d’une importante
communauté juive dont les premières traces remontent au XIIIe siècle.
Bénéficiant d’une relative protection de la part des autorités locales, les juifs contribuèrent à la prospérité économique de la ville et
à son enrichissement social au fil des générations. Ils participèrent également à la vie politique jusqu'aux plus hautes fonctions.
La population juive passa de 25 870 en à 56 800 en 1931. Avant la Seconde Guerre mondiale, on estime que près d’un quart des
habitants de Cracovie étaient israélites, soit une population juive de 60 000 personnes sur un total de 250 000 habitants environ.
Une vie culturelle remarquable
Les juifs de Cracovie résidaient principalement dans le quartier de Kazimierz dans lequel se trouvaient en nombre synagogues,
écoles et institutions israélites ainsi que commerces et lieux communautaires.
La rue Szeroka, la synagogue Remuh et son cimetière du XVIe siècle, les synagogues Stara, Wysoka, Isaac et Kupa ou encore la Place
Nouvelle constituent les derniers vestiges de ce qui fut, il y a quelques dizaines d’années encore, l’un des plus éminents lieu de la
culture yiddish en Europe centrale.
Le souffle destructeur de la Shoah 90 % des juifs de Cracovie furent assassinés par les nazis entre 1939 et 1945. L’holocauste a vidé la ville de ses habitants israélites
qui furent déportés, avec une rare cruauté, dans les camps de concentration et d’extermination voisins.
Visite du ghetto La place des héros du Ghetto s’appelait avant la guerre la place de la Concorde. Elle devint en 1941, la place principale du Ghetto où
étaient rassemblés les Juifs avant de les déporter. De nombreuses exécutions y ont eu lieu notamment en juin et octobre 1942 et
lors de la liquidation du ghetto le 14 mars 1943. Le nombre de Juifs a pu atteindre 18000 personnes entassées dans 320 bâtiments.
Le terrain du ghetto était entouré par un haut mur à quatre portes.
Mes impressions :
Savoir comment et combien de juifs sont morts dans cet endroit m’a quelque peu
bouleversé même si je savais à que les nazis avaient commis de nombreuses atrocités.
J’aurai aimé visiter une des maisons du ghetto pour mieux m’imaginer la vie des
familles juives à cette époque.
Cette place ,actuellement aménagée avec
des chaises ,symbolise les événements tragiques qui
y ont eu lieu pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Visite du musée de la Fabrique de Schindler
OSCAR SHINDLER
Oskar Schindler (né le 28 avril 1908 à Zwittau-Brinnlitz en Moravie[1] et mort le 9 octobre 1974 à Hildesheim, en Allemagne) était un
industriel allemand qui a sauvé durant l'Holocauste 1 200 personnes en les faisant travailler dans sa fabrique d'émail et de
munitions située en Pologne (actuellement en République tchèque). Il est enterré au cimetière chrétien du Mont Sion à Jérusalem.
Industriel allemand sudète, membre du parti Nazi, Oskar Schindler a fait fortune dans la fabrication de batteries de cuisine en émail
à Cracovie en profitant du travail obligatoire des Juifs en dirigeant la Deutsch EmailwarenFabrik.
Interpelé par leur sort, il prend parti pour eux et, aidé de sa femme Émilie, sauve ainsi la vie de plus de 1000 d'entre eux en les
rachetant et en les amenant en Tchécoslovaquie pour les faire travailler dans une usine d'armement à Brněnec (Zwittau-Brinnlitz). Il
orchestre alors la faillite de cette nouvelle usine, notamment pour sauver ses travailleurs juifs et ne pas ralentir l'avancée alliée par
sa production d'armes.
Même après la guerre, il se tient au courant de la vie des personnes qu'il a sauvées et reste en contact avec elles.
L'attribution du titre de juste parmi les nations a soulevé une polémique en Israël, la Commission des justes lui refusa une première
fois ce titre en 1963 après avoir entendu son détracteur JuliuszWinier, fils du propriétaire juif de l'entreprise rachetée par Schindler.
Ce n'est qu'en 1993, près de vingt ans après sa mort que Schindler fut honoré du titre de juste parmi les nations.
Un roman de Thomas Keneally, Schindler's List (La liste de Schindler, 1982), adapté au cinéma par Steven Spielberg sous le titre La
Liste de Schindler (1993), a fait connaître son action au grand public (cf ci-dessous).
Mes impressions :
Pour la visite du musée de la fabrique de Schindler, nous devions nous séparer en
deux groupes. Je me suis retrouvée dans le premier groupe.
Les décors des salles du musée étaient superbes. Elles retraçaient bien l’histoire de
Cracovie et parfois, j’avais l’impression de me retrouver des années en arrière à la
place d’une cracovienne. Notre guide du musée expliquait très bien les événements
historiques ce qui l’amplifiait cette impression.
Le deuxième groupe n’a pas malheureusement bénéficié d’une .d’une visite aussi
complète
Visite du quartier de Kazimierz
Ce vaste quartier, inscrit dans une anse de la Vistule, fut jadis une ville autonome, fondée par Casimir III le Grand et protégé par une
enceinte fortifiée. Du XIV° siècle jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, ce fut le quartier de la communauté juive de Cracovie. Depuis
la chute du socialisme, Kazimierz a retrouvé son caractère et son atmosphère surtout ces dernières depuis que nombreux Juifs sont
revenus s’y installer et ont ouvert cafés, restaurants, librairies et autres commerces dans d’anciennes demeures restaurées. Ce
quartier est soigneusement rénové et devient très animé.
La Vieille Synagogue (Stara Synagoga en polonais) abrite une exposition permanente sur l'histoire, la culture et les traditions des
juifs de Cracovie.
Sept synagogues subsistent à Kazimierz dont la synagogue de Remuth encore ouverte au culte.
La plupart des autres sont ouvertes aux visites touristiques, certaines sont en cours de rénovation, d'autres servent de salles
d'exposition
Mes impressions :
J’ai beaucoup aimé visiter le quartier Kazimierz parce que la visite de la synagogue
ainsi que la visite du cimetière juif m’ont permis d’apprendre et de mieux comprendre
la culture juive. Culture que je ne connaissais qu’à travers des films ou les cours.
En rentrant dans le cimetière, j’ai été assez étonnée car il n’y avait aucune fleur mais
par contre beaucoup de pierres étaient posées sur les tombes. Natalia, notre guide
nous a expliqué alors la raison pour laquelle les juifs déposaient des pierres ou des
cailloux au lieu de fleurs, à chacune de leur visite.
La coutume de déposer des pierres remonterait à l'antiquité. A cette époque, les
premiers morts juifs étaient enterrés dans le désert. Pour éviter que les bêtes sauvages
et les charognards s’approchent des corps, les Juifs déposaient des pierres afin de
protéger les défunts.
Visite du quartier de NowaHuta Le quartier de NowaHuta a été construit par les autorités communistes après la Seconde Guerre Mondiale.
NowaHuta, qui signifie la « nouvelle aciérie », est devenue la plus grande aciérie en Pologne à côté des appartements modernes construits en mélangeant le modèle de la Renaissance à celui du réalisme soviétique.
Aujourd’hui, NowaHuta, dix-huitième arrondissement de Cracovie, compte plus de 200 000 habitants, soit près du quart de la population de Cracovie.
Elle occupe la partie orientale de cette vaste municipalité (330 km2), à dix kilomètres de la place centrale de la vieille ville.
NowaHuta est le cœur économique de la région sous le socialisme, reflet de l’idéal soviétique puis le symbole d’une transition difficile et de l’échec du système économique socialiste.
Elle renaît depuis peu par le développement des activités culturelles, patrimoniales universitaires et artistiques.
Mes impressions :
J’ai trouvé la ville de NowaHuta très belle et l’idée d’avoir construit les immeubles et
les rues de façon à défendre la ville très surprenante.
Entendre aussi comment à l’époque, les communistes contrôlaient cette ville était très
intéressant. De plus, Natalia nous raconté son quotidien à cette époque. C’était
passionnant.
Lundi 28 mars 2011
Visite du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau
La création du camp Auschwitz I est décidée par les SS en février1940 sur l'emplacement d'anciennes casernes polonaises, vides
depuis que la région a été annexée par le Reich. Les premiers prisonniers polonais, au nombre de 720, arrivent en juin1940.
Auschwitz est à l'origine un camp de concentration et de travail forcé. Le camp accueille les hommes politiques et les intellectuels
opposés au régime nazi, puis des prisonniers de guerre soviétiques, des criminels allemands ainsi que des tziganes, des prostituées,
des homosexuels, des handicapés, des témoins de Jéhovah et des Juifs. En 1940, le camp interne compte entre 13000 et 16000
hommes mais le nombre des détenus a pu monter jusqu’à 155 000 détenus dans les années suivantes.
L'entrée dans le camp se fait par un portail qui porte l'inscription, reprise de Dachau, Arbeit macht frei: «Le travail rend libre».
Pour surveiller les détenus, les SS puisaient parmi les plus violents des criminels allemands reconnus pour des actes de violence. Ce sont les Kapo. Les détenus étaient identifiés par un symbole cousu sur leurs vêtements : prisonnier politique, Juif…, ces derniers étant les plus maltraités.
Dès leur arrivée, les détenus étaient soumis à une sélection : ceux jugés aptes étaient tondus puis tatoués , les autres allaient directement dans les chambres à gaz. Lorsque le camp était plein, pour libérer des places pour de nouveaux convois, les nazis procédaient à de nouvelles sélections.
Les prisonniers travaillaient pendant six jours, si ce n'est sept par semaine. Le dimanche était réservé généralement à la toilette personnelle. Les décès étaient nombreux : épuisement, malnutrition , manque d'hygiène et mauvais traitements.
Lorsque Adolf Hitler décide l'extermination systématique des Juifs à grande échelle, Rudolf Höss, alors responsable du camp, expérimente divers modes d'exécution. Le nombre de déportés augmente rapidement et il est chargé de trouver une application pratique à la «Solution finale». Son approche du problème est technique et pragmatique. Les exécutions étaient jusqu'alors menées à l'arme à feu, les déportés fusillés au bord de fosses communes qu'ils avaient eux-mêmes creusées. D'autres prisonniers recouvraient les corps de chaux. Cette méthode était peu efficace, lente, et coûteuse en munitions. Prenant modèle sur Treblinka, il fait construire deux petites chambres à l'extérieur du camp où les déportés sont gazés par les gaz d'échappement d'un camion. Mais cette opération prenait du temps et n’était pas efficace.
C'est en observant les précautions importantes que nécessite l'emploi d'un pesticide utilisé pour nettoyer les baraquements, que l'idée vient à Hössd'employer le Zyklon B dans ces chambres. Le Zyklon B était un pesticide connu et utilisé couramment dans l'armée allemande, le camp d'Auschwitz en possédait donc de grandes quantités en stock. Pour nettoyer un baraquement de la vermine qui l'infestait, il fallait en faire sortir tous les prisonniers, fermer hermétiquement toutes les ouvertures et répandre les cristaux de ce pesticide sur le sol. Après environ une demi-heure, un soldat pénétrait dans le baraquement, muni de gants et d'un masque à gaz, pour ouvrir et ventiler la pièce.
Testé en septembre1941 sur des prisonniers de guerre soviétiques, le produit se révèle mortel même en très petite quantité. Les SS ajoutent des ventilateurs, pour accélérer la ventilation après le gazage. Les corps des premières victimes recouvrant souvent les cristaux de Zyklon B qui réagissent à l'air, ils installent également des colonnes percées de trous, où le produit est versé depuis le
toit par un soldat. Des fosses sont transformées en bûchers pour brûler les corps arrosés de gasoil.
Les SS utilisèrent alors dans le camp souche un bâtiment comprenant une chambre à gaz et un crématoire composé de trois fours. Cette installation fut en service entre 1941 et 1942, avant d'être transformée en bunker de protection en cas d'attaque aérienne. Pour cette raison, le bâtiment n'a pas été détruit par les nazis. Le four crématoire actuellement visible y a été reconstruit après la guerre à partir du matériel original resté sur place.
Vers la fin de la guerre, les SS, voulant effacer les traces de leurs crimes, commencèrent à brûler les archives et à démanteler et détruire les chambres à gaz, les crématoires et autres bâtiments. Les prisonniers capables de marcher furent évacuer vers l’intérieur du Reich . Le reste, environ 7000 furent libérés par l’Armée Rouge en janvier 1945.
Le nombre de victimes a Auschwitz est estimé entre 2,1 et 2,5 millions, essentiellement des Juifs. Le chiffre réel est sûrement très
supérieur.
Plan de situation des trois camps d'Auschwitz
Auschwitz I : camp de concentration →travail forcé dans des kommandos extérieurs + expériences médicales (Josef Mengele , médecin nazi) + présence d’une chambre à gaz
Auschwitz II : Auschwitz-Birkenau → camp d’extermination
Auschwitz III : Auschwitz-Monowitz→ camp de concentration centré sur le travail forcé
Mes impressions :
Très impressionnant surtout le camp de Birkenau. J’ai déjà eu l’occasion de visiter le
camp de concentration qui se trouve près de Strasbourg mais rien à voir en
comparaison de celui d’Auschwitz.
Face à toutes les images, les photos et grâce aux explications du guide, on pouvait
s’imaginer ce que les déportés ont pu subir et les souffrances qu’ils ont endurées.
D’ailleurs, beaucoup d’entre nous avons été très affectés par cette visite.On ne sort pas
de cette visite sans s’interroger sur les raisons de tant de cruauté.
Pour ma part, la pièce où Joseph Mengele (médecin nazi) menait des expériences,
notamment sur des enfants a été le moment le plus dur. J’ai été très sensible à ce que
j’ai pu voir . La photo d’un enfant ayant les larmes aux yeux m’a beaucoup ému.
Concert dans le cadre de la 16ème
édition des journées « Bach »
Compositeurs et oeuvres
• Marco Uccellini (1603-1680) →Sonate
• Jean-Marie Leclair (1697-1764)→Sonate VI D- dur- 4ième
livre
• Dietrich Buxtehude (1637-1707)→Sonate VI E-dur op.2
• Francesco Antonio Bonporti (1672-1749)→Sérénade VI A-dur
• Marin Marais (1656-1728)→Sonnerie de Ste Geneviève du Mont de Paris
Mes impressions :
La musique classique est un style de musique qui ne m’attire pas vraiment mais c’est
vrai que cette musique m’a permis de me détendre après la visite d’Auschwitz.
Malheureusement, le concert de Bach a été annulé et nous avons écouté des
compositions d’autres artistes de la même époque. Je pense que la musique de Bach
m’aurait davantage plu que celles interprétées ce jour-là.
A l’occasion de ce concert, nous avions tous joué le jeu de nous habiller ‘chic’. Nous
voir ainsi vêtus , nous a tous beaucoup amusés.
Mardi 29 ma rs 2011
Visite du combinat sidérurgique de Katowice
Le complexe sidérurgique de Huta Katowice a été construit dans les années 1970, durant l’ère soviétique.
Il est actuellement équipé de trois hauts fourneaux, de deux laminoirs, de trois lignes de coulée continue, et dispose de sa propre centrale électrique. Il est connu principalement pour la fabrication de rails de tram.
En 2006, l'usine employait 4073 personnes.
Mes impressions :
La visite du combinat de Katowice est la visite que j’ai le moins appréciée mais voir la
fabrication des rails était tout de même intéressant mais à cause du bruit, on entendait
mal les explications du guide.
Cette visite n’était pas vraiment à mon goût mais je suppose qu’elle a plus plu aux
garçons.
Cependant, j’ai trouvé très amusant de nous voir tous habillés en ouvriers
sidérurgistes.
Mercredi 30 mars 2011
Visite des mines de sel de Wieliczka
Depuis le XIIIe siècle, Wieliczka exploite son gisement de sel gemme souterrain sur 9 niveaux et 300 km de galeries. C'est la plus
ancienne mine de sel d’Europe. Elle abrite aujourd'hui un centre de conférences de plus de 1000 places permettant d'organiser des
spectacles et des compétitions sportives à 125 m sous terre et un musée. Enfin, à plus de 200 m sous terre se trouve un sanatorium
(établissement médical spécialisé dans le traitement des différentes formes de la tuberculose).
L`histoire de la Mine de Sel remonte au Moyen Age.
Les mines de sel de Wieliczka constituent un développement unique dans l'histoire de l'extraction minière car l'exploitation du gisement de sel gemme s'est poursuivie sans interruption depuis le XIIIe jusqu'à la fin du XXe siècle. L’excavation dans ces salines est à grande échelle, avec des couloirs, galeries, salles et aussi lacs souterrains sur plus de 200 km, s'étageant sur sept niveaux, compris
entre 57 et 198 mètres de profondeur. Ces mines abritent la plus grande collection d'outils originaux et d'équipements miniers illustrant l'évolution de la technologie minière entre le Moyen Âge et les temps modernes.
Si les mines de sel de Wieliczka ont permis d'exploiter une matière première de grande valeur pour l'économie, elles ont aussi suscité la création d'œuvres d'art exceptionnelles, telles que des chapelles avec des autels et des statues taillées dans ce matériau atypique Par son caractère unique et sa beauté, Wieliczka attire les visiteurs pratiquement depuis les débuts de son existence. Le premier circuit touristique a été ouvert au milieu du XIXe siècle
Mes impressions :
Avec Auschwitz, les mines de sel étaient certainement le moment plus fort de mon
voyage.
J’ai admiré et apprécié chaque détail de ce site.
Les pièces de cet endroit étaient vraiment à couper le souffle et j’en étais à me
demander comment les mineurs de l’époque avaient pu construire et sculpter de telles
choses avec le peu de moyens dont ils disposaient .
Si un jour, je retourne en Pologne, c’est cet endroit que je revisiterais sans aucun doute.
Visite du CollegiumMaius
Le CollegiumMaius (ou Grand Collège) est le plus ancien bâtiment de l'Université Jagellonne de Cracovie en Pologne.L'université connue sous le nom de Akademiakrakowska fut après quelques dizaines d'années de fonctionnement, déplacée dans un nouveau bâtiment vers 1400 quand le roi Ladislas II Jagellon l'eut achetée avec les fonds légués par sa dernière femme, la reine Hedwige Ire de Pologne.
A la fin du XVesiècle, les locaux de l'université jagellonne furent reconstruits dans le style de l'architecture gothique, autour d'une grande cour bordée par des arcades. Les professeurs ont vécu et ont travaillé au premier étage, pendant que les conférences et les cours étaient tenus au rez-de-chaussée.
En 1490, l'université compta parmi ses étudiants, un homme célèbre de la Renaissance : Nicolas Copernic, astronome. LeCollegiumMaius possède des archives historiques ainsi qu'une bibliothèque.
Mes impressions :
J’étais tellement absorbée par les explications de la guide et la découverte des
différentes pièces de l’Université que j’ai été très surprise quand la guide nous a
annoncé la fin de la visite.
D’ailleurs la fin subite de la visite m’a un peu déçu. Je m’attendais à voir plus de pièces
et de choses.
Petite anecdote très divertissante :
Natalia nous a raconté l’anecdote de l’eau qui peut nous offrir l’intelligence à
condition de pouvoir comprendre le système qui permet à l’eau de s’écouler de la
fontaine. Cette fontaine désignée par Natalia se trouvait dans la cour de l’Université.
Evidemment, la plupart d’entre avons accouru jusqu’à cette fontaine.
Moralité de l’histoire : Les véritables sages étaient ceux qui étaient restés sur place à
regarder les autres essayer de recueillir cette eau qui ne s’écoulait pas car il y avait des
travaux !
Jeudi 31 mars 2011
Le Planty
Au XVII° siècle, Cracovie était entourée d’une double enceinte comptant 47 tours, une barbacane et 8 portes principales. La plus
grande partie de cette enceinte fut abattue par les Autrichiens au XIX° siècle. A la place des anciens remparts fut créé un parc
entourant la ville : le Planty
Mes impressions :J’avais l’habitude de passer avec mes amies par ce parc quand nous
avions quartier libre .La traversée de ce parc était vraiment agréable et nous avions la
chance d’avoir le soleil qui nous accompagnait, quasiment à chaque sortie.
Visite du château de Wawel
Le Château de Wawel est situé sur la colline du même nom au sud de Cracovie.
Construit au 14ème
siècle le Château de Wawel fut la résidence royale jusqu’en 1796 quand la Pologne a perdu son indépendance
pour devenir un pays autrichien.
Le château a subi plusieurs transformations au cours du 15ème
et 16ème
siècle et a été restauré à deux reprises au XX° siècle.La colline
de Wawel serait l’un des 7 points d’énergie positive de la Terre selon les hindouistes et selon la légende un dragon y aurait vécu
jadis.
Wawel est le symbole de la continuité de la tradition religieuse et politique de la Pologne.
Mes impressions :
Je n’ai pas trop apprécié l’intérieur du château sauf la pièce où des visages sont
accrochés au plafond : ça m’a bien amusé.
La cour extérieure est magnifique et m’a davantage plu que l’intérieur du château.
Visite guidée de la vieille ville de Cracovie
Le Vieux Cracovie (ou la Vieille ville) correspond à l'intérieur des anciens remparts de la ville. Les remparts n'existent plus aujourd'hui, ils sont remplacés par une ceinture verte : les Planty (du français "plantés").
La vieille ville s'étend du Château royale de Wawel au sud à la fortification de défense du Barbakan au nord sur une surface relativement peu importante. On peut visiter le Vieux Cracovie en calèche, en vélo ou à pied (le centre-ville est entièrement piéton).
Dans la vieille ville se trouvent entre autre :
La place du marché (Rynek) La halle aux draps (Sukiennice)
Mes impressions :
Il ne faut pas se fier au nom « La vieille ville » car c’est l’endroit le plus beau de
Cracovie. Si la première visite de la vielle ville a été écourtée à cause de la neige, mes
amies et moi en avons bien profité lors de nos sorties libres .Nous nous rendions place
Rynek pour faire nos achats et nous détendre.
Visite de la Basilique Notre Dame
La Basilique Notre Dame (KoscialMariacki)
La Basilique Notre Dame est l’une des plus belles églises d’Europe Centrale. Elle a été édifiée dans les années 1287-1320. Elle abrite
le retable de Wit Stwosz qui est un véritable chef d’œuvre.
Mes impressions :Je n’apprécie pas beaucoup les monuments comme les églises mais
je dois avouer que l’intérieur de cette basilique m’a quelque peu époustouflé. Les
décorations en or étaient magnifiques et les vitraux d’une très grande beauté.
Petites photos entre ami(e)s…
Le groupe
Mes impressions sur ce séjour…
La Pologne était un pays qui ne m’intéressait pas particulièrement. Cependant, le lycée
Paulsen m’a offert l’occasion d’y passer un séjour. Même si je n’étais pas trop partante
au début, je me suis dit que je n’aurai sans doute pas l’occasion dans ma vie de visiter
ce pays.
Je ne m’attendais vraiment pas à voir de si belles choses et aujourd’hui, si j’en ai à
nouveau l’occasion c’est avec joie que j’y retournerais.
J’ai passé une excellente semaine avec les professeurs et mes camarades de classe. Je
me suis aussi liée d’amitié avec des personnes que je connaissais à peine avant le
voyage. Il me restera de très bons souvenirs de ce voyage.