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Page 1: Intérêt de la mesure de l’amplitude de l’onde de pouls et de l’actimétrie dans les troubles respiratoires du sommeil de l’enfant

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olence et instabilité diurne. Une enquête descriptive a été réaliséehez les enfants scolarisés au niveau de écoles primaires de la villee Sidi Bel Abbés et dans des écoles du sud de l’Algérie. L’enquêteété réalisée sur un échantillon de 744 élèves scolarisés âgés de

uit à 14 ans sur la base d’un questionnaire accessible à l’enfantar le texte et le dessin, guidé par l’enquêteur (étudiants en bio-ogie). En se basant sur les paramètres suivants l’heure du coucher,’heure du lever, la latence de l’endormissement et le nombre desveils pendant la nuit, la somnolence diurne, la fatigue au réveil.ous avons classé notre échantillon en bon dormeurs 80 % et mau-ais dormeurs 20 %. La chaleur est parmi les facteurs influencant leommeil de l’enfant. Le sommeil est mieux structuré et organisé auours des mois (septembre-avril), à partir du mois de mai, la duréeu sommeil diminue de 15 % et les éveils nocturnes augmentent de0 %. En s’appuyant sur les résultats de notre enquête, nous nousermettons de faire quelques propositions pour améliorer le som-eil de nos enfants, tenir compte du facteur chaleur qui a un effet

éfaste sur la phase d’endormissement et trouver des solutions adé-uates pour maintenir une température ambiante normale pour leommeil de l’enfant. Pour grandir, l’enfant a besoin de bien mangerais aussi un sommeil de qualité et en quantité suffisante pour sonéveloppement physique et intellectuel.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2013.01.051

O51ntérêt de la mesure de l’amplitude de l’onde deouls et de l’actimétrie dans les troublesespiratoires du sommeil de l’enfant. Ramirez a,∗, S. Khirani b, V. Delord b, G. Aubertin b,.-L. Pepin c, B. Fauroux b

Suresnes, FranceParis, FranceGrenoble, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (A. Ramirez)

bjectifs.— L’objectif du travail était d’évaluer l’intérêt de laesure de l’amplitude de l’onde de pouls (PWA) et de l’actimétrieour caractériser le sommeil d’enfants présentant un trouble respi-atoire du sommeil. En cas d’indication de ventilation non invasiveVNI), une évaluation était faite avant et après un mois de VNI.atients et méthodes.— Un enregistrement nocturne de la PWA,ctimétrie, oxymétrie (SpO2), taux de dioxyde de carbone transcu-ané (PtcCO2) ont été réalisés en ventilation spontanée chez desatients obstructifs (O, n = 15) et non obstructifs (NO, n = 13). Lesicro-éveils autonomiques (MEA) ont été définis par une réduction

upérieure à 30 % la PWA par rapport à la valeur de base. Les MEAssociés à des désaturations de 4 % (MEA + DS4 %) ont été quanti-és. L’index de fragmentation (FI) et l’efficacité du sommeil, définisomme le pourcentage de sommeil par rapport au temps passé auit, ont été mesurés par actimétrie. La VNI a été débutée quande pourcentage du temps de sommeil avec une PtcCO2 supérieure à0 mmHg et/ou une SpO2 inférieure à 90 % était supérieur à 2 % duemps total du sommeil.ésultats.— Les MEA étaient comparables dans les deux groupesais les MEA + DS4 % étaient plus fréquents dans le groupe Oue dans le groupe NO (9,3 ± 8,6 vs 1,0 ± 1,0, p < 0,001). LapO2 minimale, l’index de désaturation, le pourcentage de tempsassé avec une SpO2 inférieure à 90 %, la PtcCO2 moyenne et maxi-ale, et le pourcentage de temps passé avec une PtcCO2 supérieure50 mmHg étaient significativement moins bons dans le groupe

. L’efficacité du sommeil et le FI étaient également moins bonsans le groupe O mais pas de manière significative. Chez les huit

atients ayant nécessité une mise sous VNI, on a observé une amé-ioration significative des MEA + DS4 %, de la PtcCO2 maximale, duourcentage de temps avec une PtcCO2 supérieure à 50 mmHg, de

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Congrès du sommeil/Bordeaux, 22—24 novembre 2012

a SpO2 moyenne, de l’index de désaturation et du pourcentage duemps avec une SpO2 inférieure à 90 %. De même, l’efficacité duommeil et FI se sont améliorés après la VNI mais pas de manièreignificative.onclusion.— La mesure de la PWA semble plus informative que

’actimétrie pour évaluer la qualité du sommeil et l’efficacité dea VNI chez les enfants présentant des troubles respiratoires duommeil.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2013.01.052

O52mpact de l’horaire d’enseignement et de laypologie circadienne sur la détressesychologique et la somnolence diurne d’élèves de2 à 17 ans. Laberge a,∗, J.-S. Martin b, M. Gaudreault a, N. Arbour a,. Perron a, D.B. Boivin c

Saguenay, Québec, CanadaQuébec, CanadaMontréal, CanadaAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (L. Laberge)

bjectifs.— Un incendie à l’école Kénogami (Saguenay, Québec) aorcé la relocalisation de tous les élèves à l’école Arvida située5 km plus loin. Vu le nombre limité de salles d’enseignement à

rvida, un double horaire a été instauré ; les cours débutaient àh40 et se terminaient à 13h05 pour les élèves d’Arvida et débu-aient à 13h25 et se terminaient à 18h45 pour ceux relocalisés deénogami. Cette étude vise à vérifier si le vécu scolaire, le sommeilt la santé des élèves diffèrent selon l’horaire et le chronotype.éthode.— Cinquante-sept élèves (âge moyen (SD) = 15,0 (2,0) ;0,4 % garcons) ont porté un actigraphe pendant une semaine etnt rempli un questionnaire évaluant le vécu scolaire, la régula-ité des rythmes sociaux, le chronotype, la somnolence, la détressesychologique et la consommation de tabac/alcool/drogues. Desests t, de Chi2 et de Fisher et des Anova, ont été utilisés. Tous lesarticipants/parents ont donné leur consentement,ésultats.— Les élèves d’Arvida (n = 24) s’endormaient et se

evaient plus tôt (p < 0,001) et dormaient moins (p < 0,05) que leslèves de Kénogami (n = 33). Même si les élèves d’Arvida récu-éraient davantage le week-end (p < 0,001), ils présentaient univeau plus élevé de somnolence diurne que les élèves de Kénogamip < 0,05). Les élèves d’Arvida et de Kénogami étaient comparablesn termes de chronotype et de détresse psychologique. Au total,6 élèves étaient des types matin (M), 26 des types intermédiairesI) et 15 des types soir (S). Tel qu’attendu, les types S s’endormaientt se réveillaient plus tard (p < 0,001) que les types I et lesypes M mais ne différaient pas en termes de durée de sommeil.ependant, les types S étaient moins satisfaits vis-à-vis de l’écolep < 0,05), moins réguliers dans leurs rythmes sociaux (p < 0,05)t présentaient des niveaux plus élevés de somnolence (p < 0,05),e détresse psychologique (p < 0,05) et de consommation d’alcoolp < 0,05).onclusion.— Ces résultats suggèrent d’une part que les élèvesommencant tôt le matin sont à risque accru de somnolence, mêmeorsqu’ils peuvent récupérer le week-end et, d’autre part, que laypologie vespérale constitue un facteur de risque pour la santé deslèves.

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tude comparative des habitudes de sommeil entrees garcons et les filles en âge scolaire

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