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Parachat Vayikra - Shabbat Hakhodesh בס"דHORAIRE DES OFFICES SHABBAT Allumage des bougies: 18h45 Minha/Kabalat Shabbat: 18h40 Chaharit: 8h15 Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 18h15 Sortie du Shabbat: 19h48 JOURS DE LA SEMAINE Dimanche : 8h / 18h50 Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 18h50 Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 18h50 Vendredi: 6h15 / 18h40 ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉAL SYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected] 17 mars 2018 / 1 Nissan 5778 BULLETIN HEBDOMADAIRE NAHALA / YAHRZEIT OR SHALOM Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉAL SYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected] Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président Livre brun - p. 230 English Artscroll - p. 544 Artscroll français - p. 580 Ian Wugalter, Marc Haligua, Samantha Nccarato Hillcoat, Didier Look, Joshua Israel, Audrey Elkaim, Valerie Buzaglo Abecassis, Joan Teboul Benezra, Yannick Dery, Virginie Malka Lasry SEOUDA SHLISHIT La séouda shlishit est offerte par Or Shalom KIDDOUSH Le kiddoush est offert par Valerie & Jimmy Israel en l'honneur de la Bar Mitsva de leur fils David. Eliane Benchimol en guise de remerciement à Hachem Certains points saillants Dimanche 18 mars / 2 Nissan Hanna bat Leah Z''l, mère de Yossef Shimshon Mazal Tov à David Israel pour sa Bar Mitsva, ainsi qu’à ses parents Valerie & Jimmy Israel et sa famille. Mazal Tov to David Israel for his Bar Mitsva and to his parents Valerie & Jimmy Israel and his family. VENTE DU HAMETS Complétez et retournez le formulaire pour vendre votre hamets au plus tard le mercredi 28 mars. Complete and return the form to sell your chametz by Wednesday, March 28th.

דסב OR SHALOM Para hat Vayikra - Shabbat Hakhodesh...Mar 17, 2018  · Elle l’arrosera d’huile et mettra dessus de l’encens. » (Vayikra, 2:1.) Rachi, sur la base de la Guémara,

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  • Parachat Vayikra - Shabbat Hakhodeshבס"ד

    HORAIRE DES OFFICES SHABBAT

    Allumage des bougies: 18h45 Minha/Kabalat Shabbat: 18h40

    Chaharit: 8h15Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 18h15

    Sortie du Shabbat: 19h48JOURS DE LA SEMAINE

    Dimanche : 8h / 18h50Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 18h50

    Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 18h50 Vendredi: 6h15 / 18h40

    ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

    www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected]

    17 mars 2018 / 1 Nissan 5778

    BULLETIN HEBDOMADAIRE

    NAHALA / YAHRZEIT

    OR SHALOM

    Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

    ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

    www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected]

    Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

    Livre brun - p. 230 English Artscroll - p. 544 Artscroll français - p. 580

    Ian Wugalter, Marc Haligua, Samantha Nccarato Hillcoat, Didier Look, Joshua Israel,

    Audrey Elkaim, Valerie Buzaglo Abecassis, Joan Teboul Benezra,

    Yannick Dery, Virginie Malka Lasry

    SEOUDA SHLISHITLa séouda shlishit est offerte par

    Or Shalom

    KIDDOUSHLe kiddoush est offert parValerie & Jimmy Israel

    en l'honneur de la Bar Mitsva de leur fils David.

    Eliane Benchimolen guise de remerciement à Hachem

    Certains points saillants

    Dimanche 18 mars / 2 NissanHanna bat Leah Z''l, mère de Yossef

    Shimshon

    Mazal Tov à David Israel pour sa Bar Mitsva, ainsi qu’à ses parents Valerie

    & Jimmy Israel et sa famille.

    Mazal Tov to David Israel for his Bar Mitsva and to his parents Valerie &

    Jimmy Israel and his family.

    VENTE DU HAMETSComplétez et retournez le formulaire

    pour vendre votre hamets au plus tard le mercredi 28 mars.

    Complete and return the form to sell your chametz by

    Wednesday, March 28th.

  • A WORD ON THE PARASHAT Th HALAKHOT DE LA SEMAINE UN MOT SUR LA PARACHAT Béhaalotekha : s'efforcer de

    Parshat Vayikra discusses the "Oleh v'Yored" offering - literally the "up-and-down" offering - so called because it had three levels, based on one's financial ability: A wealthy person would bring a cow; a middle-class person brings a bird; and a poor person brings an offering of flour.

    In fact, a wealthy person was not allowed to bring a lesser-quality offering. We see from here that God does not judge everyone by the same standards. Someone who has a greater natural ability is expected to do more. For why else would God have given him those resources?!

    On the flip side, a poor person was not allowed to bring an expensive offering. This teaches that while we strive to improve, we must be sensitive to our own limitations, and not pressure ourselves unrealistically.

    To highlight this idea, Leviticus 2:1 describes someone who brings a flour offering as a "soul." The Talmud explains that though the flour offering may be inexpensive, for the poor person it is quite significant - and God considers it as if he gave his very soul!

    We must never look askance at another person's achievements, however small they may appear. Because whatever level we're on, God only expects us to be ... the best that we can be.

    By Rabbi Shraga Simmons

    Your Very BestVayikra - Efforts versus résultatsLa paracha Vayikra nous dit : « Si une personne veut présenter une oblation à Hachem, son offrande doit être de fleur de farine. Elle l’arrosera d’huile et mettra dessus de l’encens. » (Vayikra, 2:1.)

    Rachi, sur la base de la Guémara, précise que le terme « Néfech » (l’âme) n’est employé pour aucune offrande volontaire, si ce n’est celle de farine. Pour qui est-il normal d’approcher un tel sacrifice ? Pour l’indigent. Hachem dit : « Je considère comme s’il avait sacrifié son âme. »

    Ainsi, bien que le pauvre n’apporte qu’un simple Korban (sacrifice), Hachem lui attribue une grande valeur étant donné qu’il suppose un gros investissement.

    Le Midrach raconte plusieurs histoires illustrant cette idée. L’une d’elles concerne le roi Aggripas qui voulut apporter en sacrifice mille oiseaux en une journée. Il enjoint au Cohen Gadol de ne laisser personne d’autre apporter d’oblation ce jour-là. Or un indigent vint pour l’offrande de deux colombes. Le Cohen Gadol le prévint qu’il ne pouvait pas aller à l’encontre des instructions du roi. Mais l’homme répliqua qu’il chassait chaque jour quatre colombes, en offrait deux et consommait les deux autres. Il était persuadé que ce sacrifice lui donnait le mérite de gagner sa vie et qu’il risquait de perdre sa Parnassa s’il n’approchait pas ce Korban. Le Cohen Gadol ne put résister à ses supplications et consentit donc à sa demande. Cette même nuit, le roi vit en rêve que le simple sacrifice de ce pauvre homme valait plus encore que ses mille offrandes.

    On en déduit qu’Hachem est plus intéressé par la façon d’accomplir une Mitsva que par l’action en soi. L’effort fourni est bien significatif que le résultat obtenu. Cet enseignement est très pertinent dans le ’Hinoukh (l’éducation des enfants). Plusieurs éducateurs soulignent qu’il vaut mieux faire l’éloge du travail que d’un talent naturel. En effet, un point fort qui donne de bons résultats n’est pas digne de glorification, puisque c’est un don divin ; contrairement à l’effort, puisque l’individu peut choisir d’en faire ou pas et décider combien en fournir.

    travailler très dur pour si bien réussir »). Le troisième groupe d’enfants n’était pas complimenté du tout. Ensuite, on donnait aux élèves une autre série de problèmes, bien plus compliqués. Quand ils durent expliquer leur échec, le premier groupe l’attribua à un manque d’intelligence, alors que les autres (ceux félicités pour leurs efforts et ceux qui ne le furent pas du tout) estimèrent que c’était à cause d’un manque de travail. L’éloge d’un potentiel eut donc un effet négatif – même si au départ, le « récipiendaire » en était satisfait, il se déprécia lors d’un échec, même si celui-ci était inévitable. En revanche, celui qui fut complimenté pour ses efforts ne se sentit pas indigne, mais il comprit qu’il devait travailler davantage à l’avenir.

    On peut tirer d’autres leçons importantes de ces études statistiques : des enfants vantés pour leur intelligence ont tendance à esquiver les challenges, pour éviter de se sentir incompétents en cas d’insuccès. Et quand ils en subissent un, ils continuent souvent à accumuler d’autres mauvais résultats par la suite. Ils sont plus intéressés à surclasser les autres élèves qu’à essayer de se surpasser. Enfin, ils sont plus enclins à tricher ou à mentir pour avoir les meilleures notes afin de préserver et de justifier leur réputation d’enfants perspicaces. À l’inverse, les élèves complimentés pour leurs efforts aiment les missions plus complexes qui leur demandent de travailler et de s’améliorer ; et l’échec n’a pas un effet aussi préjudiciable sur leurs résultats.

    Pour résumer, le modeste Korban offert par un homme pauvre a énormément de valeur aux yeux d’Hachem, du fait de l’effort impliqué. Et de manière générale, le fait de mettre l’accent sur l’ardeur est bien plus fructueux dans l’éducation des enfants et des élèves.

    Des études statistiques ont prouvé ce point. Les enfants réagissent très différemment en fonction des louanges qu’ils reçoivent. Résultat surprenant d’un sondage : le fait de congratuler un enfant sur un talent inné peut entraîner par la suite un sentiment de faiblesse. On demanda à un groupe d’élèves de résoudre des problèmes modérément difficiles. Quand un enfant avait fini, on le félicitait pour son bon résultat puis on le complimentait soit sur son intelligence (« Tu es très fort en mathématiques »), soit sur ses efforts (« Tu as dû

    Puisions-nous tous mérité d’apprendre et d’intérioriser ces enseignements primordiaux.

    Où nettoyer ?On nettoie toutes les pièces de la maison afin qu’il n’y reste absolument aucune trace de ‘hamets. On sera particulièrement méticuleux et vigilant dans les endroits où l’on dépose de la nourriture pendant l’année (placard, réfrigérateur, buffets, etc.) ainsi que dans les cartables et sacs des enfants. On recherchera dans les creux et recoins de toutes les parties de la maison.

    Concernant les balcons, la cour, ou le jardin, on considère que les oiseaux s’en chargent. On enlèvera simplement les morceaux de ‘hamets apparents quelques jours avant Pessa’h.Il faut également nettoyer les voitures de toutes traces de ‘hamets. Concernant un bureau, magasin ou même un casier (à la synagogue par exemple), il doit être nettoyé même si on n’est pas propriétaire. C’est à dire que c’est au locataire d’assurer le nettoyage et non au propriétaire.

    Les cosmétiques à Pessa’hLe ‘hamets n’est plus considéré comme ‘hamets dès lors qu’il n’était plus consommable par un chien au début de Pessa’h.

    C’est pourquoi les cosmétiques et produits de beauté féminins sont autorisés à Pessa’h.

    Cependant certains sont plus rigoureux notamment sur tous les produits en contact avec les lèvres.

    Pessah

    Sans titreSans titreSans titre