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76 Posters / Cancer/Radio
atients et méthodes.– Trois patients atteints de paragangliomesympanojugulaires traités consécutivement depuis mai 2011 à uneose de 45 Gy en 25 fractions ont eu une dosimétrie en radio-hérapie conformationnelle tridimensionnelle et en tomothérapieélicoïdale. Le volume tumoral macroscopique (GTV) a été délinééur la scanographie dosimétrique (avec des coupes jointives tous les,5 mm) et l’IRM après recalage (avec des séquences T1, T1 après
njection, T2 Fat Sat). Le volume cible prévisionnel correspondaitune expansion géométrique du volume tumoral macroscopiquee 3 mm. Pour comparer les deux techniques, nous avons utilisé
’indice de conformité et l’indice d’homogénéité du Radiation The-apy Oncology Group (RTOG) pour le volume cible prévisionnel etes doses moyennes recues par les organes à risque homolatéraux.ésultats.– La couverture de la lésion cible était adéquate avec leseux techniques. Il n’y avait pas de différence significative pour
’indice de conformité (1,01 en radiothérapie conformationnelle tri-imensionnelle contre 1,06 en tomothérapie hélicoïdale), de mêmeour l’indice d’homogénéité (1,1 en radiothérapie conformation-elle tridimensionnelle contre 1,09 en tomothérapie hélicoïdale).n ce qui concerne les organes à risque, la parotide n’est pas mieuxrotégée en tomothérapie hélicoïdale qu’en radiothérapie confor-ationnelle tridimensionnelle (doses moyennes respectivement
e 20,2 et 18,56 Gy), l’articulation temporomandibulaire recevaitne dose moyenne moindre en tomothérapie hélicoïdale qu’enadiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (respective-ent 45,26 Gy et 46,56 Gy) et de même la cochlée (respectivement
3,65 Gy et 45,66 Gy).onclusion.– Il n’y a pas de différence dosimétrique concernant laouverture du volume cible prévisionnel des paragangliomes tym-anojugulaires entre radiothérapie conformationnelle tridimen-ionnelle et tomothérapie hélicoïdale. Une meilleure protectionst obtenue concernant la cochlée et l’articulation temporo-andibulaires homolatérales, même si cet avantage dosimétrique
st difficile à évaluer cliniquement. Il n’y avait pas de bénéfice dosi-étrique sur la parotide homolatérale.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2012.07.161
136lace de la radiothérapie dans le traitement duabdomyosarcome orbitaire de l’enfant : série de3 cas colligés au service de radiothérapie de’Institut national d’oncologie. Kabbali ∗, A. Errachdi , T. Kebdani , K. Hassouni ,.K. El Gueddari , N. Benjaafar
Service de radiothérapie, Institut national d’oncologie, Rabat, MarocAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (N. Kabbali)
bjectifs.– L’objectif de ce travail était de rapporter notre expérienceans la prise en charge de ces tumeurs et nos résultats thérapeu-iques.atients et méthodes.– Étude rétrospective de 13 cas de rhabdo-yosarcome orbitaire colligés dans le service de radiothérapie de
’Institut national d’oncologie de Rabat de 2000 à 2010.ésultats.– L’âge médian était de six ans (1–14). Le délai moyen deonsultation était de trois mois. Le diagnostic, suspecté devant leableau clinique et l’imagerie (scanographie, IRM), a été confirméar la biopsie et l’immuno-histochimie : il était embryonnaireans dix cas et alvéolaire dans trois. Tous les patients ont recune chimiothérapie, en moyenne six cures. En première inten-ion, les médicaments principalement utilisés étaient la vincristine,’ifosfamide et l’actinomycine D. Tous les patients ont été irradiés,euf d’entre eux à la dose moyenne de 50 Gy, deux de 56 Gy et deuxe 46 Gy, à raison de 2 Gy par fraction. l’appareil de traitement uti-
isé était un accélérateur linéaire de 6MV. Le volume cible irradiétait l’orbite dans tous les cas. Avec un suivi médian de 56 mois,l a été observé trois récidives locales, dont deux associées à des
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métastases pulmonaires. Les autres patients étaient en situationde contrôle de la maladie.Conclusion.– Le rhabdomyosarcome est la tumeur maligne orbi-taire primitive de l’enfant la plus fréquente. Les traitements actuels,pour autant qu’ils soient entrepris le plus rapidement possible, ontchangé le pronostic vital.
http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2012.07.162
P137Place de la radiothérapie exclusive dans lesparagangliomes non opérables de la tête et ducou, à propos d’une série de dix casN. Kabbali ∗, M. Himmich , T. Kebdani , K. Hassouni ,B.K. El Gueddari , N. BenjaafarService de radiothérapie, Institut national d’oncologie, Rabat, Maroc∗Auteur correspondant.Adresse e-mail : [email protected] (N. Kabbali)
Objectifs.– Nous rapportons une série de dix patients atteints d’unparagangliome de la tête et du cou non résécable ayant bénéfi-cié d’une radiothérapie externe, pour montrer que la radiothérapiereste une alternative thérapeutique permettant le contrôle localavec une morbidité moindre.Patients et méthodes.– Nous avons réalisé une étude rétrospectivedes dossiers de dix patients traités pour un paragangliome de la têteet du cou entre 2000 et 2010. Nous rapportons les aspects cliniquesmais surtout thérapeutiques et évolutifs.Résultats.– L’âge moyen des patients était de 50 ans, le tableauclinique était dominé par une paralysie faciale dans 60 % des cas,des vertiges dans 60 %, une hypoacousie dans 50 %, des otorragiesdans 30 %, des acouphènes dans 20 %, et des troubles de dégluti-tion dans 20 %. Les paragangliomes du glomus jugulaire étaient lesplus fréquents (70 %). Une tomodensitométrie a été réalisée pourconfirmer le diagnostic dans 70 % des cas, une IRM dans 30 %. Lachirurgie étant impossible du fait de l’extension locale importante,une radiothérapie a été délivrée à la dose de 50 Gy dans 60 % descas et de 46 Gy dans 40 %, le contrôle local a été obtenu chez huitpatients (80 %). Il n’a pas été noté d’effet secondaire lié à la radio-thérapie ; le recul médian était de six ans, le taux de récidive ou depoursuite évolutive de 20 %.Conclusion.– La radiothérapie semble être une alternative efficaceà la chirurgie pour le contrôle local des paragangliomes si leurrésection est impossible, mais ses résultats sont difficiles à éva-luer compte tenu de la disparité des séries publiées et de l’absenced’étude contrôlée.
http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2012.07.163
P138Place de la radiothérapie dans la prise en chargedes carcinomes cutanésS. Kanoun Belajouza ∗, A. Yousfi , A. Saidi , N. Bouaouinaservice de radiothérapie, CHU Farhat-Hached, Sousse, Tunisie∗Auteur correspondant.Adresse e-mail : [email protected] (S. Kanoun Belajouza)
Objectifs.– Notre travail consistait à étudier, rétrospectivement,les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des car-cinomes cutanés et de préciser particulièrement la place de laradiothérapie dans leur prise en charge.Patients et méthodes.– Étude rétrospective descriptive portantsur 68 cas de carcinome cutané pris en charge dans le servicede cancérologie radiothérapie du centre hospitalier universitaireFarhat-Hached de Sousse, entre 1996 et 2010.
Résultats.– Il s’agissait de 41 hommes et 27 femmes (sex ratio de1,51), d’âge moyen de 62,8 ans (6–93). Le délai moyen de consulta-tion était de 15,8 mois (1–120). Une exposition excessive au soleila été retrouvée chez 27 patients. Neuf patients étaient atteints de