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Fonds d’investissement étudiant de Polytechnique Montréal Note Sectorielle Semaine du 18 Mars 2013

PolyFinances - Note Sectorielle - Semaine du 18 Mars

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Note sectorielle du comité PolyFinances de la semaine du 18 Mars 2013

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Page 1: PolyFinances - Note Sectorielle - Semaine du 18 Mars

Fonds d’investissement étudiant de Polytechnique Montréal

Note Sectorielle

Semaine du 18 Mars 2013

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Cette note sectorielle a été réalisée par l’ensemble des étudiants de

PolyFinances, le fonds d’investissement étudiant de Polytechnique

Montréal.

Elle a pour but de vous présenter l’actualité économique, industrielle et

de la recherche dans les secteurs associés aux génies enseignés à

Polytechnique Montréal.

Nous invitons le lecteur qui souhaiterait plus d’information sur un sujet

précis à regarder la webographie présente à la fin de chaque article.

Bonne lecture.

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Aérospatial et Transport 3

Biotechnologies et Pharmaceutiques 5

Energie 7

Hautes Technologies 9

Manufacturier et Services 11

Minier 13

Pétrole et Ressources Naturelles 15

Technologies de l’Information 19

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Fusée, imprimante 3D et technologie « open source »

Qu’ont en communs des moteurs de fusées, une imprimante 3D et les technologies dites

« open source »? Si vous avez répondu la dernière compétition créée par DIYRockets et

Sunglass vous obtenez deux morceaux de robots! En effet, les compagnies américaines

DIYRockets, spécialisée en technologies « open source » pour l’industrie de l’astronautique, et

Sunglass, qui conçoit des logiciels pour imprimante 3D, ont lancé le « 3D PRINTED ROCKET

CHALLENGE ». L’objectif est simple, concevoir un moteur de fusée open source pouvant être

fabriqué à l’aide d’une imprimante 3D. Le moteur devrait être en mesure de propulser une

fusée transportant un satellite ayant une masse entre 0.5 et 10 kg en orbite autour de la terre.

Un total de 10 000$ en prix sera distribué aux trois premières positions de la compétition.

L’objectif principal de cette initiative orchestré par DIYRockets est de changer la façon de faire

de l’industrie spatiale en promouvant les technologies « open source » qui se font de plus en

plus fréquentes dans le domaine des hautes technologies. Les technologies « open source »

sont en effet des technologies dont tous les informations et éléments techniques sont

accessibles à l’ensemble de la population, permettant ainsi aux intéresser d’adapter, de

modifier et d’améliorer celle-ci. L’utilisation de technologie « open source » dans le domaine

de l’industrie spatial mélanger aux nouveaux attraits de l’imprimerie 3D permettra de

développer, espérons-le, des technologies plus accessibles et plus abordables pour l’industrie

spatiale.

Résumé par Jonathan Brodeur

«Rocket Design Challenge Pushes Global Private Sector Open Sourcing», dans Aviation Week.

Publié le 15/03/2013. Tiré de :

http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/asd_03_15_2013_p04-01-

559353.xml

«DIYRockets and Sunglass launch world’s first competition to create a 3D printed rocket

engine», dans The Next Web. Publié le 08/03/2013. Tiré de :

http://thenextweb.com/insider/2013/03/08/diyrockets-and-sunglass-team-up-to-launch-

worlds-first-competition-to-create-a-3d-printed-rocket-engine/

«Competition For The Best 3-D Printed Rocket Engine Launches Today», dans Aviation Week.

Publié le 08/03/2013. Tiré de :

http://www.forbes.com/sites/alexknapp/2013/03/08/competition-launches-today-for-the-best

-3-d-printed-rocket-engine/

La FAA approuve les plans de Boeing

Plusieurs semaines après que la FAA ait décidé de clouer au sol les avions 787 Dreamliner de

Boeing, cette dernière a approuvé le plan de remplacement et de reconception des batteries

Aérospatial et Transport

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utilisées sur l’avion. Les modifications visent à réduire le risque de court-circuit;

notamment en améliorant l’isolation entre les huit cellules et un nouveau système de

ventilation. Si tout se passe comme prévu, une vingtaine de tests en laboratoire suivit de

tests en vol. Avec ça, la FAA pourrait donner son approbation finale en avril. Ceci signifie

aussi que les 50 appareils déjà en service ne voleront pas avant la fin du mois d’avril dans

le meilleur des cas. Cette situation affecte beaucoup la crédibilité de la marque et la

satisfaction des clients. Malgré tout, ces deniers disent prioriser la sécurité, peu importe

le temps qui sera nécessaire. Depuis le feu du 7 janvier, le cours de l’action est passé de

77,69$ à 73,65$ en trois semaines pour ensuite remonter en spéculation d’une solution à

la batterie. À la fermeture des marchés le 12 mars, après l’approbation de la FAA, le titre

s’échangeait à 84,44$.

Résumé par Yaniv Cohen Scali

«Faa approves boeing plan to fix 787's batteries», dans Rutland Herald. Publié le

14/03/2013. Tiré de :

http://www.timesargus.com/article/20130314/BUSINESS03/703149952/1006/BUSINESS

Regain de popularité des avions à turbopropulseurs

Au début des années 2000, on ne voyait plus dans le futur de l’aviation commerciale la

présence des turbopropulseurs. Alors pourquoi voit-on aujourd’hui un regain de

popularité de ces avions? En effet, les avions à réaction sont plus rapides, plus

confortables et plus modernes. C’est là où des compagnies comme Bombardier et

Embraer ont vu un potentiel. Avec la flambée du prix du baril, les turbopropulseurs

deviennent de plus en plus attrayants et une nécessité pour des vols régionaux avec peu

de passagers. Ils consomment de 25% à 35% de moins qu’un avion à réaction. Ces

économies donnent un avantage comparatif à celui qui utilise cette technologie dans un

marché qui compétitionne beaucoup sur les prix. Conséquemment, les émissions de

carbone sont aussi réduites en utilisant ces avions. Ce dernier aspect fait partie des

priorités de l’industrie pour les décennies à venir. Voici donc comment un produit désuet

peut redevenir une technologie de pointe.

Résumé par Yaniv Cohen Scali

«Turboprops, smaller jets in remarkable comeback», dans webngrguardiannews.com.

Publié le 15/03/2013. Tiré de :

http://bombardier.ewb.dowjones.com/BombardierEWB/Export/

NewsRoom.html#article_538879

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Les bons résultats de Prometic Sciences de la Vie

L’avenir est aux modèles d’affaires innovants, après avoir souvent parlé du cas de Paladin Inc.

Dans nos colonnes, voici une nouvelle entreprise à l’avenir prometteur : Prometic.

L’ensemble du secteur des pharmaceutiques fait face à de profondes mutations donnant lieu à

des restructurations des laboratoires sur leurs compétences clés et à l’impartition de

nombreuses divisions de cette industrie. C’est grâce à cette évolution que des entreprises

comme Prometic arrivent à tirer leur épingle du jeu. En effet, Prometic est une entreprise

biotechnologique commercialisant des moyens de production pour des protéines

thérapeutiques à très bas prix, la technologie de Prometic permet d’extraire ces protéines

directement du plasma sanguin avec plus de pureté que la plupart des méthodes industrielles

utilisées actuellement. Par exemple, Prometic est partenaire de Shenzen, société chinoise, qui

est le premier producteur mondial d’héparine (anticoagulant). Après avoir vendu sa

technologie sous forme de licence et via les matières premières utilisées par le procédé,

Prometic vient de se voir confier une partie de la production d’héparine directement par

Shenzen remontant ainsi un peu plus loin dans la chaine logistique et accroissant ses marges.

Suite à ce partenariat, d’autres laboratoires ont proposé à Prometic des services similaires,

c’est le cas de NantPharma qui a délégué la production de la protéine cGMP en accordant à

Prometic une licence d’exploitation sur l’ensemble des territoires autres que les États-Unis.

Ce type de partenariat est prometteur pour l’entreprise et témoigne du dynamisme actuel du

secteur en ce qui concerne l’émergence de nouveaux modèles d’affaires originaux afin de

pallier à la fin du « Big Pharma ».

Résumé par Florian CARAUD

« Un modèle d’affaires profitable», dans LaPresse.ca. Publié le 07/12/2012. Tiré de :

http://affaires.lapresse.ca/portfolio/industrie-pharmaceutique/201212/07/01-4601745-un-

modele-daffaires-profitable.php

Le titre de Valeant va-t-il s’essouffler ?

Connaissez-vous beaucoup de compagnie, qui offre année après année un rendement

d’environ 20 % à ses investisseurs et qui a un rendement sur 3 ans de 65,47 %. Vous avez sans

doute compris que je parle de la compagnie Valeant. Cette compagnie nous offre une

perspective de croissance incroyable en raison de leur stratégie agressive d’expansions. En

effet, elle multiplie les fusions/acquisitions afin de percer de nouveaux marchés avec des

produits de niches. Depuis l’investissement de PolyFinances dans ce titre, au mois de

novembre dernier, nous avons obtenu un rendement d’environ 30 % ce qui n’est pas

négligeable. Malgré d’excellents résultats, de nombreux analystes sont sceptiques sur la

rentabilité à long terme de ce dernier qui se transige avec un ratio prix/revenu extrêmement

élevé. De plus, l’agence de cotation Moody’s a récemment côté l’entreprise à B3 ce qui signifie

Biotechnologies et Pharmaceutiques

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Bio

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qu

es que le titre est considéré comme spéculatif. Pour ces raisons, on se demande si le titre de

Valeant va continuer sa progression spectaculaire. Si l’on se fie au résultat de 2012 et plus

particulièrement à leur quatrième trimestre, on peut penser que Valeant va continuer de

performer. En effet, les résultats du dernier trimestre montrent une augmentation des

ventes de 43 % par rapport à l’an dernier, mais une perte nette. Cette perte est expliquée

par les coûts engendrés par la restructuration des 12 compagnies que Valeant a acquise

au cours de l’année 2012, dont la compagnie Medicis, pour 2,6 milliards de dollars. Les

revenus de 2012 de Valeant ont augmenté de 44 % (3,55 milliards $) par rapport à ceux

de 2011. Si l’on se fie à ces chiffres, Valeant continue d’avoir le vent dans le dos et risque

de continuer sa progression. Le titre affiche même un rendement de 19,35 % depuis

janvier 2013.

Résumé par Louis-Simon LANDRY

« Valeant dévoile une perte au quatrième trimestre », dans Les Affaires.com. Publié le

28/02/2012. Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/biotechnologies-et-pharmaceutique/valeant-devoile-une-perte-au-quatrieme-trimestre/554786

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Suez Environnement signe deux contrats en Inde

Suez Environnement a signé deux nouveaux contrats en Inde pour la construction et

l'exploitation de deux usines de traitement des eaux usées à New Delhi et Bangalore. Le

montant de ces contrats, remportés par la filiale Degrémont, s'élève au total à 41 millions

d'euros. Le directeur général du groupe, Jean-Louis Chaussade, a indiqué que la phase de

construction des usines serait de 18 mois à 24 mois, par contre, la période d'exploitation et de

maintenance atteignait 11 ans pour le site de New Delhi et 5 ans pour celui de Bangalore. De

plus, « le projet inclut des opérations où l'on construit et on opère, rentre dans la stratégie de

Suez Environnement en Inde en particulier et en Asie en général » a précisé le directeur. Il a

également confirmé que le groupe français était en lice pour un appel d'offres dans le gaz de

charbon en Australie, un marché d'un milliard d'euros sur 20 ans.

Résumé par Xiaoxi Xu

«Suez Environnement signe deux contrats en Inde», dans lesechos.fr. Publié le 13/03/2013. Tiré

de :

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/reuters-00506482-

suez-environnement-signe-deux-contrats-en-inde-546580.php

Moins de projets photovoltaïques en 2013 en France, malgré un nouvel appel d'offres

Le cahier des charges pour l'appel d'offres français des 400 MW de photovoltaïque vient d'être

publié au « Journal officiel » de l'Union européenne, a annoncé mardi la ministre de l'Énergie,

Delphine Batho. Les offres seront partagées à parité entre des technologies innovantes au sol

(photovoltaïque à concentration ou avec suivi du soleil) et des technologies plus matures sur

des toitures ou des ombrières. La technologie du solaire thermique à concentration

(développée par Areva et Alstom) et la technologie du stockage d'origine photovoltaïque ne

sont pas concernées pour l'instant. En effet, selon le Commissariat général au développement

durable, les nouvelles installations photovoltaïques ont totalisé une puissance de 1 079 MW en

2012, soit une baisse d’environ de 40 % par rapport à l’année précédente. En 2013, les

nouvelles installations devraient encore ralentir, étant donné qu’une convention de

raccordement pour les installations totales de 442 MW a déjà été signée en fin de 2012, contre

1 001 MW enregistrés un an plus tôt. « L'année en cours va être très difficile », estime aussi

Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER).

Résumé par Xiaoxi Xu

«Solaire : moins de projets en 2013 malgré un nouvel appel d'offres», par Veronique Le Billon

dans lesechos.fr. Publié le 14/03/2013. Tiré de :

Énergie

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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/

actu/0202640379877-solaire-moins-de-projets-en-2013-malgre-un-nouvel-appel-d-offres-

546898.php

«Solaire : moins de projets en 2013 malgré un nouvel appel d'offre», par Veronique Le

Billon dans lesechos.fr. Publié le 13/03/2013. Tiré de :

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/

actu/0202640511894-solaire-moins-de-projets-en-2013-malgre-un-nouvel-appel-d-offre-

546693.php

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Une nouvelle ère pour la pile ?

Richard Kaner et Maher El Khady, deux chercheurs de l’Université de Californie ont découvert

le moyen de concevoir une pile qualifiée de « super-condensateur »: selon Richard Kaner la

pile se rechargerait et déchargerait 100 à 1000 plus rapidement qu’une pile classique. Richard

laisse ainsi entrevoir la possibilité dans un futur plus ou moins proche de recharger son

téléphone intelligent en quelques secondes ou encore de recharger sa voiture électrique en

quelques minutes. Quant à Maher, il entrevoit l’utilisation de la pile dans des vêtements

technologiques qui emmagasineraient l’énergie produite par les mouvements du corps ou

encore dans des systèmes de stockage d’énergie pouvant être combinée avec des cellules

solaires. La pile serait également biodégradable et pourrait être recyclée grâce au compostage

par exemple.

Cette découverte a en fait été réalisée de manière involontaire : Richard et Maher

entreprenaient des recherches sur la conception de procédés permettant une fabrication plus

pratique du graphène (excellent conducteur électrique découvert en 2004 par Andre Geim qui

reçut le prix Nobel en 2010). En déposant de l’oxyde de graphite liquide sur un CD et en le

solidifiant grâce à un laser classique d’ordinateur, Richard et Maher sont parvenus à créer du

graphène pur. Ils ont alors testé le matériau en le chargeant électroniquement pendant

quelques secondes et en le connectant ensuite à une LED : la LED est alors restée allumée

pendant plusieurs minutes. Il reste maintenant à savoir quand la « pile du futur » pourra être

commercialisée ? (si commercialisable elle est, bien évidemment…)

Résumé par Bertrand Nembot

«Des scientifiques créent la pile du futur accidentellement», dans Slate.fr. Publié le 28/02/2013.

Tiré de :

http://www.slate.fr/lien/54863/scientifiques-hasard-pile-puissante-biodegradable

Samsung Africa Forum

Le 13 mars dernier, le Samsung Africa Forum a lieu dans la ville du Cap en Afrique du Sud.

Samsung a annoncé sa vision concernant son développement à l’intérieur du continent

africain. Ainsi Samsung veut se concentrer sur le développement d’applications locales

adaptées au consommateur africain : en effet les prévisions de croissance du taux de

pénétration des téléphones intelligents et des tablettes en Afrique impliquent également une

forte augmentation du nombre de téléchargements d’applications mobiles.

Samsung vient de lancer sur le marché trois nouveaux services : The Kleek, Smart Trainer, et

eKitabu. The Kleek est une application mobile conçue en partenariat avec plusieurs labels

musicaux africains et Universal Music group (l’un des 3 plus gros labels de musique au monde

avec 39% des parts de marchés au monde) permettant aux utilisateurs du continent d’avoir

accès à un vaste répertoire des musiques africaines les plus récentes.

Hautes Technologies

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Ha

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Smart Trainer est une application qui permet d’offrir des séances vidéo de pratique sportive

de son choix depuis le confort de chez soi. Il s’agit également d’offrir une plateforme pour

tous les passionnés de sport du continent.

eKitabu est la plateforme eBook du Kenya : elle contient en outre 250 000 livres d’auteurs

(principalement) africains et du monde. eKitabu ouvre la porte à la littérature africaine

électroniquement aux étudiants du continent et du monde entier.

Samsung est l’un des nombreux constructeurs en téléphonie mobile à démontrer un fort

intérêt pour le continent : l’Afrique 2.0 est en route…avis aux développeurs d’applications

mobiles!

Résumé par Bertrand Nembot

«Samsung To Drive Content For African Market», dans ITNews Africa. Publié le 13/03/2013.

Tiré de :

http://www.itnewsafrica.com/2013/03/samsung-to-drive-content-for-african-market/

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Record à venir d’ouverture de Starbucks au Québec

Malgré les 4 nouvelles enseignes ouvertes durant les 6 derniers mois au centre-ville de

Montréal et les 5 autres à venir en banlieue, Starbucks s’attend à battre des records

d’ouverture de succursales dans les mois futurs. Même si le chiffre n’est pas encore connu, ce

développement s’appuie largement sur l’arrivée de Target au Canada dans les semaines à venir

puisque le détaillant américain envisage d’ouvrir 124 nouveaux magasins et d’intégrer un café

Starbucks à la majorité d’entre eux.

Contrairement à l’ouest du Canada qui possède ces cafés depuis 26 ans, le Québec a connu

une pénétration assez lente et contient aujourd’hui à peine plus de 50 succursales. Les

responsables du géant américain du café affirment donc clairement leur volonté de développer

leur présence dans la province, autant dans les grandes villes qu’en région puisque plusieurs

ouvertures sont prévues à Québec, mais aussi dans sa banlieue ou encore à Mont-Tremblant.

La compagnie devrait donc rattraper son retard sous peu et bénéficier de la possible affluence

des enseignes Target.

Résumé par Christophe RUTYNA

«Starbucks veut ouvrir un nombre record de cafés au Québec », dans Les Affaires. Publié le

26/02/2012. Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-et-produits-de-consommation/

starbucks-veut-ouvrir-un-nombre-record-de-cafes-au-quebec/554700

Guerre des prix dans l’alimentaire québécois

Le célèbre indicateur de prix composé d’un panier de produits couramment consommés a

révélé ces derniers jours que les gros acteurs de l’industrie alimentaire au Québec se livrent

une guerre des prix sans merci et que le gagnant est Walmart. En effet, alors que son

concurrent Loblaw était généralement plus cher de quelques 3 à 8% dans les magasins Maxi et

Super C, il semblerait que cette différence se soit estompée voire que la tendance se soit

inversée.

Cette tendance montre que les marges se réduisent dans l’alimentaire et qu’il est juste une

question de temps avant que tous les Maxi ne s’alignent sur cette baisse, la tendance ayant été

révélée seulement sur les enseignes du grand Montréal pour le moment.

Parmi les stratégies de Loblaw pour augmenter les volumes de vente on notera celle consistant

à terminer les prix par le numéro 7, ce qui aurait l’effet de donner au consommateur

l’impression de payer moins cher. Plusieurs autres enseignes comme Food Basics ou FreshCO

en Ontario utilisent déjà cette tactique.

Même si les épiceries conventionnelles semblent conserver leurs prix jusque-là, la baisse de

2.5% de leurs volumes de vente et le gain de parts de marché de Walmart devraient tôt ou tard

les inciter à suivre la tendance pour éviter de trop souffrir de l’écart avec les grands centres à

Manufacturier et Services

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rabais et des nouvelles offensives du distributeur américain, au grand bonheur du

consommateur.

Résumé par Christophe RUTYNA

«Les épiceries Maxi capitulent sur les prix au Québec », dans Les Affaires. Publié le

11/03/2013. Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-et-produits-de-consommation/les

-epiceries-maxi-capitulent-sur-les-prix-au-quebec/555176

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Forum pour les redevances minières au Québec

Alors qu’au début du mois de mars, l’Institut de la Statistique du Québec a dévoilé que les

investissements du secteur minier au Québec avaient atteint un sommet en 2012 à 4.82

milliards $, le gouvernement du Québec tenait cette semaine à HEC Montréal un forum sur les

redevances minières. Le but avoué de ce forum était de mettre un terme à l’incertitude

tournant autour de la question des redevances minières au Québec qui perdure depuis

l’élection du Parti Québécois en septembre 2012. Durant cette rencontre, les acteurs de tous

les milieux en lien avec le secteur minier (minières, citoyens, groupes environnementaux, etc.)

ont pu partager leur point de vue. Au terme de la rencontre, les deux ministres responsables

du dossier des redevances ont réitéré la position prise par leur parti en automne dernier soit

de hausser les redevances versées par les minières. Notons que le régime actuel prélève une

partie des profits réalisés par les compagnies exploitant le minerai, ce qui veut dire que

lorsqu’une entreprise réalise des pertes, elle peut exploiter les ressources québécoises sans

payer de redevances. À l’automne dernier, le Parti Québécois prônait un système de

redevances ad valorem qui ferait en sorte que les minières devraient payer un pourcentage de

la valeur du minerai extrait, sans tenir compte de la rentabilité du projet. Le principal problème

de l’industrie minière du Québec avec les systèmes ad valorem est que les coûts d’exploitation

étant plus élevés au Québec, la plupart des projets se trouvent plutôt dans le troisième et

quatrième quartile des coûts de production. Ceci veut dire que lorsque les prix des métaux

sont plus bas, les projets du Québec ne sont plus rentables. Devant les particularités de

l’industrie minière au Québec, la solution prônée par le gouvernement semble être de moduler

les redevances en fonction du degré de développement du projet minier puisque les

investissements initiaux sont très grands et qu’un projet peut prendre beaucoup de temps

avant de commencer sa production.

Résumé par Simon Papineau

«Forum minier : pas de régime de redevances idéal», dans Les Affaires. Publié le 15/03/2013.

Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/mines-et-metaux/forum-minier-pas-de-regime-de-redevances-ideal/555386

«Des redevances minières modulées, une des solutions du gouvernement Marois», dans Les

Affaires. Publié le 15/03/2013. Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/dossier/grand-nord/des-redevances-minieres-modulees-une-des-solutions-du-gouvernement-marois/555394

«Mines : des investissements records au Québec en 2012», dans Les Affaires. Publié le

05/03/2013. Tiré de :

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/mines-et-metaux/mines-des-investissements-records-au-quebec-en-2012/554988

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Groenland: une élection déterminée par les ressources minières

Le 12 mars dernier, la population du Groenland, territoire autonome du Danemark, a été

appelée aux urnes. C'est le Parti social-démocratique qui a remporté 42,8 % des suffrages

devançant le premier ministre sortant Kuupik Kleist qui remporte 34 %. Ce changement

de gouvernance a certainement été provoqué par les différentes positions des partis

concernant la gestion des ressources naturelles du pays nordique. En effet, le sous-sol du

Groenland est riche en terres rares, en uranium et autres minéraux qui sont, entre autres,

indispensables dans beaucoup de technologies de pointe. Ces minéraux, auparavant

difficile d'accès sous la calotte glaciaire, sont maintenant de plus en plus accessibles à

cause du réchauffement planétaire. Par contre, les terres rares de ce territoire sont

souvent mélangées dans un sol contenant de l'uranium et son extraction est interdite au

Danemark, pays qui a encore son mot à dire sur les affaires du Groenland. Même si les

deux autres partis qui se sont présentés contre le Parti social-démocratique sont aussi pro

-mine, c'est l'ouverture à une discussion sur la légalisation de l'exploitation de l'uranium

avec une mise en place de système de redevance rigoureuse que la nouvelle Première

ministre, Aleqa Hammond, a proposé a convaincu la population. L'éventuelle exploitation

de l'uranium permettrait l'exploitation des terres rares qui se retrouvent dans le même

gisement. Cette décision aurait des impacts significatifs sur l'économie mondiale. En effet,

avec l'exploitation de terres rares au Groenland, la Chine ne serait peut-être plus en

moyen de contrôler ce marché. L'abrogation de la loi actuelle suscitée déjà l'attention des

minières internationales et des études de sol ont été autorisé au cours des jours suivant

l'élection. À l'heure où plusieurs nations se questionnent sur le développement minier et

tentent de resserrer leur législation ou carrément nationaliser leur ressource, le

Groenland ouvre son sous-sol, et ce, dans l'attente de généreuses redevances bénéfiques

pour le dynamisme de son économie.

Résumé par Priscille Arbour

«Below ice», dans The Economist. Publié le 16/03/2013. Tiré de :

http://www.economist.com/news/europe/21573597-how-islands-politics-could-change-

world-economy-below-ice?zid=298&ah=0bc99f9da8f185b2964b6cef412227be

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Le Japon mise sur l’après-schiste

L’actualité de ces derniers mois en matière de gaz a été majoritairement consacrée aux gaz de

schiste et au continent nord-américain. En revanche cette semaine, c’est le Japon qui a suscité

l’intérêt après avoir procédé à l’extraction de gaz naturel provenant de gisements gelés

d’hydrate de méthane, ce qui est une première mondiale.

« L’hydrate de méthane ressemble à de la glace, mais brûle comme une bougie si on y applique

une flamme » cette phrase de Ryo Minami, directeur de la division gaz et pétrole de l’agence

Japonaise pour les ressources naturelles, permet de mieux comprendre pourquoi nous parlons

de méthane gelé, cet élément organique est naturellement présent dans les fonds marins ou

dans les zones polaires.

Dans le contexte actuel, où la demande en énergie explose et où les pays ont pour objectif de

devenir autosuffisants, le Japon espère développer des techniques qui lui permettront de

produire du gaz naturel par leurs propres moyens et issus de leurs propres réserves.

M. Minami explique que le Japon est conscient que les coûts d’extraction s’avèrent très

dispendieux, et que le gaz tend à devenir bien plus abordable pour l’ensemble des pays du

globe, grâce aux nouvelles techniques de fracturation hydraulique, permettant l’extraction des

gaz de schiste. Cependant le Japon croît au potentiel de l’hydrate de méthane, et fait un

parallèle avec les gaz de schiste justement, qui n’intéressait pas grand monde il y a 10 ans à

cause de leurs coûts d’extraction et qui aujourd’hui révolutionnent le secteur de l’énergie

mondial.

La volonté du Japon de devenir autosuffisant en énergie constitue un pari risqué, mais qui

pourrait porter ses fruits sur le long terme. En effet, des gisements ont été identifiés au large

des États-Unis et du Mexique, par conséquent dans les années à venir, l’expertise japonaise

deviendra supposément nécessaire pour les exploiter, une fois l’ère du schiste terminée.

Résumé par Ian-Anthony Zouari Gordon-Pullar

«Japan becomes first nation to extract 'frozen gas' from seabed», dans TheGuardian. Publié le

12/03/2013. Tiré de :

http://www.guardian.co.uk/environment/2013/mar/12/japan-extract-frozen-gas-seabed

Le Québec à la sauce texane

Depuis de longs mois déjà, on remarque une différence notable entre le prix du baril de Brent

de la mer du Nord, habituellement consommé au Québec, et celui du West Texas

Intermediate, coté aux États-Unis. Et aux vues de la persistance de cet écart, situé entre 20 et

25$, la société mère d’Ultramar, Valero, installée à San Antonio (Texas) a décidé de passer le

cap. N’ayant pour le moment pas accès aux pétroles issus des sables bitumineux (inversion du

flux toujours en suspens, ainsi que le démarrage du projet Keystone XL). Le seul problème : est

-ce que le pétrole texan est compatible avec les raffineries québécoises ? Selon la compagnie

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texane, il semblerait que seules de très légères modifications de raffinage permettent ce

changement. Hasard du calendrier ou subtile coïncidence, la raffinerie de Lévis (Ultramar)

doit subir des travaux de remise en état à partir du mois d’avril 2013 (100 millions de

dollars) comme c’est le cas tous les six ans.

Pour autant, cette baisse des coûts des matières premières pour le fournisseur québécois

ne se répercutera pas forcément à la pompe pour les automobilistes. En effet, le transport

du pétrole vers les terres québécoises devant se faire par des pétroliers américains, il se

pourrait que la différence finale de prix soit très faible. Mais une fois encore, le système

pétrolier autrefois très rigide est en train petit à petit de muer, sous l’impulsion du profil

changeant des États-Unis, en passe de devenir un pays exportateur

Résumé par Vincent Mouchikhine

«Du pétrole texan au Québec ?», dans Journal de Montréal. Publié le 12/03/2013. Tiré de :

http://www.journaldemontreal.com/2013/03/12/du-petrole-texan-au-quebec-

« Shell screwed up in 2012 and we’re not going to let them screw up [again] »

La flèche de K. Salazar, Secrétaire à l’intérieur des États-Unis, a frappé Shell durement.

Dans des notes sectorielles précédentes, nous vous parlions déjà des déboires de Shell en

Alaska. Malgré les 4,5 milliards de dollars investis, ses deux plateformes de forage

cabotaient plus qu’elles ne produisaient : suspension des opérations due à un hiver rude,

incidents multiples… la dernière nouvelle provenait de Shell qui annonçait le rapatriement

de ses navires vers l’Asie pour réparation et maintenance, ce qui supprimait toute

possibilité de campagne d’exploration et forage l’été prochain.

Cette fois c’est le Département de l’Intérieur qui, après une enquête, a issu un rapport

soulignant toutes les fautes de Shell, prodiguant par la même occasion des

recommandations et obligeant la compagnie à prouver ses capacités à opérer en toute

sécurité. Le rapport montre du doigt toutes les défaillances de ces derniers mois depuis le

presque échouement de la plateforme Kulluk jusqu’aux défauts du système de sécurité en

cas de fuite. Le fait que les grandes compagnies fassent appel à des sous-traitants pour

certaines de leurs opérations fait grincer des dents (c’est notamment ce maillon faible de

la chaine opérationnelle de BP qui aurait conduit à l’incident DeepWater Horizon en avril

2010). Enfin le rapport insiste une nouvelle fois sur les conditions particulières des

opérations en Arctique et invoque la plus grande prudence.

Shell a reçu ce rapport avec circonspection et recul. « We will use this time to apply

lessons learned from this review, the ongoing Coast Guard investigation and our own

assessment of opportunities to further improve Shell’s exploration program offshore

Alaska. [It] remains a high potential area over the long term, and we remain committed to

drilling there safely, again».

Christophe Mondin

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« Interior Dept. Warns Shell on Arctic Drilling » dans Global Business sur nytimes.com. Publié le

14/03/2013. Tiré de :

http://www.nytimes.com/2013/03/15/business/global/interior-dept-warns-shell-on-arctic-

drilling.html?ref=offshoredrillingandexploration&_r=

Tsunami gazeux sur l’économie britannique

Un an après l’incident sur la plateforme gazière d’Elgin appartenant à la compagnie Total, la

production est repartie et vise un retour à la normale (120,000 barils d’équivalent pétrole par

jour) d’ici deux années. La fuite avait été stoppée au bout de deux mois, imposant à Total de

lourdes pertes : 83 millions de livres sterling.

Ce qui est notable, c’est le fait qu’une « simple » erreur conduise à une fuite, qui engendre des

pertes de 83 millions de livres pour Total, mais aussi une perte de PIB de la part du Royaume-

Uni ! En effet, le champ gazifière d’Elgin compte pour plus de 3% de la production nationale, et

l’ensemble des répercussions de l’incident aurait gommé 0,2% du produit intérieur brut. Coup

dur alors que l’Europe de l’Ouest mobilise tous ses efforts pour gratter quelques points de

croissance… À l’heure où le PIB est cité de manière systématique comme témoin et proxy de la

santé économique des pays, c’est un fait intéressant. Monsieur Edward Lorenz, ses théories du

chaos et son effet papillon auraient sans doute quelques points de vue à nous donner…

Christophe Mondin

« Elgin North Sea gas platform resumes production almost year after leak » dans Business Gas

sur guardian.co.uk. Publié le 11/03/2013. Tiré de :

http://www.guardian.co.uk/business/2013/mar/11/elgin-north-sea-gas-platform-reopens

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Google retire AdBlock Plus du Play Store

Google a retiré de leur marché mobile plusieurs applications permettant d'éliminer les

publicités à travers les applications de leur système d'exploitation mobile Android. Décision

surprenante, sachant que jusqu'à présent le marché Android se démarquait justement du

Apple App Store dût à sont ouverture et aux très peux de restrictions qu'il imposait aux

vendeurs d'applications. AdAway et Adfree auraient aussi était victime de cette soudaine

décente. Les blogues tech ont été rapides de critiquer cette décision de Google qui

démontrerait soi-disant la détermination qu'aurait l'entreprise à protéger ces intérêts

financiers. Toutefois, un élément important à prendre en considération est que les

fonctionnalités de ces applications dépendaient de l'exploitation d'une faille de sécurité

importante de la plateforme Android, faille qui a récemment été patché. L'utilisation de cette

faille violait certains termes d'utilisations signés par les développeurs des applications retirés.

Résumé par Raouf Merouche

«Adblock Plus for Android removed from Google Play store», dans http://adblockplus.org.

Publié le 14/03/2013. Tiré de :

http://adblockplus.org/blog/adblock-plus-for-android-removed-from-google-play-store

THX poursuit Apple concernant le design des haut-parleurs du nouveau iMac

L'entreprise fondée par George Lucas, THX, spécialisé en technologie du son, a déposé un

dossier d'atteinte aux brevets le 14 mars 2013 en cour américaine contre Apple. Tim Cook et

ces designers auraient prétendument utilisé des haut-parleurs, brevetés par THX en 2008, lors

de la conception des produits iMac, l’iPhone 4, 4S et 5, ainsi que l’iPad. THX va jusqu'à dire

que l'utilisation illégale de ces brevets leur a couté de l'argent et d'autres dommages. Ils

exigeraient une compensation monétaire et qu'Apple admette l'infraction. Les deux

compagnies régleront probablement le cas en privé avant que l'histoire ne prenne trop

d'envergure.

Résumé par Raouf Merouche

«THX sues Apple over speaker patent», dans engadget.com. Publié le 16/03 /2013. Tiré de :

http://www.engadget.com/2013/03/16/thx-apple-speaker-patent-lawsuit/

Et si l’actuel potentiel du titre de BlackBerry justifiait le risque encouru par son acquisition…

Depuis le début du mois de mars, le titre de BlackBerry a encore une fois connu une

encourageante hausse, gagnant 20% à 14,98$. De fait, en 3 mois, le cours BBRY a pris près de

40% sur le Nasdaq. Cette nouvelle hausse est en grande partie due au fait que les principales

télécoms américaines ont débuté la prévente d’appareils BlackBerry Z10 dans les derniers

Technologies de l’Information

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jours. Effectivement, le Z10 sera disponible aux États-Unis d’ici les 2 prochaines semaines

chez Verizon, AT&T et T-Mobile alors que le Q10, équipé d’un clavier physique qui permet

aux téléphones intelligents BlackBerry de se différencier de leurs compétiteurs, sortira en

avril ou en mai.

Ainsi, se prévaloir du titre de BlackBerry à l’heure actuelle pourrait s’avérer être une

bonne opportunité d’investissement avant une potentielle vague de croissance.

Cependant, cela demeure risqué considérant la variabilité du titre et des résultats de la

compagnie observés au cours de la dernière année.

Pourtant, la stratégie de l’entreprise axée sur sa nouvelle gamme de produits semble

porter fruit puisqu’un VP a annoncé cette semaine qu’un de ses plus importants

partenaires aurait commandé un million de ses appareils de nouvelle génération. Cela

constituerait la plus grande transaction dans l’histoire de la compagnie. On refuse

toutefois de nommer explicitement ce partenaire d’affaires.

Résumé par Mathieu Morissette

«BlackBerry Says Customer Has Ordered 1 Million Phones», dans Bloomberg. Publié le

14/03/2013. Tiré de :

http://www.bloomberg.com/news/2013-03-13/blackberry-says-customer-has-ordered-1-

million-smartphones.html

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Aérospatial et Transport :

Jonathan BRODEUR

Yaniv COHEN SCALI

Biotechnologies et Pharmaceutiques :

Florian CARAUD

Louis-Simon LANDRY

Energie :

Xiaoxi XU

Paul GALLET

Hautes tehcnologies :

Bertrand NEMBOT

Ivan BELTRAN

Manufacturier et Services:

Christophe RUTYNA

Minier :

Simon PAPINEAU

Priscille ARBOUR

Pétrole et Ressources Naturelles :

Vincent MOUCHIKHINE

Christophe MONDIN

Ian Anthony ZOUARI GORDON-PULLAR

Technologies de l’Information :

Raouf MEROUCHE

Mathieu MORISSETTE

Réalisation

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Le comité est fier de remercier ses

partenaires !

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Adresse postale

Case postale 6079, succursale Centre-ville

Montréal, Québec, H3C 3A7

Courriel

[email protected]

Site web

www.polyfinances.ca