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Docteur-Mohamed-Lamine-Debaghine, CHU de Bab-El-Oued, Alger,Algérie∗
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es maladies inflammatoires chroniques, constituent des événe-ents qui viennent assombrir encore plus le pronostic de ces
ffections.
oi:10.1016/j.jmv.2008.12.033
20pport de l’imagerie dans le diagnostic dueuro-Behcet : à propos de 34 patients
. Kessaci a, D. Hakem b, M. Sellah a, B. Mansouri a, A. Berrah c
Imagerie médicale, CHU de Bab-El-Oued, Alger, AlgérieService de médecine interne, CHU de Bab-El-Oued, Alger, AlgérieMédecine interne, hôpital duocteur-Mohammed-Lamine-Debaghine, CHU de Bab-El-Oued,lger, Algérie
ots clés : Imagerie ; Neuro-Behcetntroduction.— L’atteinte neurologique au cours de la maladie deehcet (MB) est diversement estimée en fonction des populationsiblées et des outils d’imagerie diagnostique disponibles et, selones auteurs, se situerait entre 10 à 30 %. Elle est de mieux en mieuxépistée et individualisée grâce à l’exploration par l’imagerie parésonance magnétique (IRM).bjectifs.— Rapporter l’apport de l’IRM dans l’approche diag-ostique, le suivi et l’évaluation pronostique des atteinteseurologiques centrales (encéphale, moelle) et décrire les diffé-ents tableaux radiocliniques observés.atients et méthodes.— Étude rétrospective de 43 patients sur14 patients (13,6 %) suivis pour MB, ayant présenté une manifesta-ion neurologique centrale (méningoencéphalite, myélite, troublessychiatriques. . .) durant la période allant de 1995 à 2007 etxplorés par CT Scan et IRM. Tous répondent aux critères diag-ostiques internationaux et présentent au moment de l’inclusionne atteinte neurologique centrale (déficit moteur, hypertensionntracrânienne, troubles psychiatriques, syndrome médullaire. . .).ont exclus de cette étude, les sujets de moins de 16 ans etes patients atteints d’une affection concomitante susceptible’interférer avec les interprétations de l’imagerie (infectionsirales, iatrogénie, maladie de Parkinson, tuberculose, diabète,ccidents ischémiques sur athérothrombose et/ou cardiopathiemboligène. . .).ésultats.— L’IRM permet le diagnostic d’une thrombose vei-euse cérébrale (9), dépiste une atteinte de la substance blanche15), une atteinte du tronc cérébral et des noyaux gris cen-raux (20), des lésions ischémiques (2) et une atteinte médullaire5). Ces lésions peuvent être associées chez un même patient’emblée au moment du diagnostic ou être additives dans leemps.iscussion.— L’atteinte neurologique est d’expression et deopographie variables. Elle prédomine sur le versant veineux.’atteinte du tronc cérébral et les TVC sont les lésions leslus typiques. Néanmoins, d’autres expressions moins typiquesui ressortent dans notre travail sont l’atteinte de la sub-tance blanche et l’atteinte médullaire qui peuvent poser leroblème d’un diagnostic différentiel avec une sclérose en plaquet imposent donc une confrontation clinicomorphologique. Uneeilleure approche sémiologique de ces lésions radiologiques per-ettrait — à l’instar des critères diagnostiques de la sclérose
n plaque — d’établir des critères diagnostiques, pronostiques etvolutifs de cette affection aux expressions protéiformes parfoiséroutantes.onclusion.— L’IRM constitue l’examen de choix et de 1re intentionans la détection et le suivi des localisations neurologiques obser-ées dans le neuro-Behcet, notamment au niveau du tronc cérébral.
ouplée à l’angio-MR, elle permet une bonne exploration vascu-aire.
oi:10.1016/j.jmv.2008.12.034Mi
Posters
21hromboses révélant une thrombocythémiessentielle. Lassouaoui a,b, N. Ouadahi a,b, D. Hakem a,b, D. Zemmour a,b, M.brir a,b, M. Boucelma a,b, A. Berrah a,b, K. Bellatar a,b, A. Zenati a,b
Médecine interne, CHU Bab-El-Oued, Alger, AlgérieLaboratoire central, CHU Bab-El-Oued, Alger, Algérie
ots clés : Thrombose ; Thrombocythémie essentiellentroduction.— Les thromboses artérielles et/ou veineuses peuventrécéder, révéler ou compliquer des affections néoplasiques.es mécanismes impliqués sont multiples et souvent intriquésstase, état prothrombotique ; compression et envahissementasculaire. . .). L’association syndrome myéloprolifératif et accidenthromboembolique est un binôme bien établi.bjectifs.— Revoir, à travers 2 observations, les problèmes soulevésar cette association.bservation no 1. S.D., 35 ans, est explorée pour une ascitexsudative survenue dans un contexte d’algies abdominales. Enehors d’une contraception orale, aucun autre facteur de risqueasculaire (FRCV) n’est retrouvé. L’examen physique et les explora-ions de 1re intention (« tests et imagerie hépatiques », endoscopieigestive, doppler abdominal. . .) établissent le diagnostic d’un syn-rome de Budd-Chiari (SBC) sans insuffisance hépatocellulaire.’hémogramme (NFS) révèle une thrombocytose à 1000 giga. Onxclut, par les examens appropriés, une cause secondaire de throm-ocytose et on confirme par les données du médullogramme et de laiopsie osseuse (PBO), le diagnostic d’une thrombocythémie essen-ielle. L’évolution sous Hydréa® et anticoagulants est favorable àans de recul avec reperméabilisation des veines sus-hépatiques
VSH).bservation no 2. T.N.E., 46 ans, fumeur (30 paquets/an), hyper-
ension récemment découverte, accidents ischémiques transitoirestératifs (justifiant une anticoagulation) est exploré pour unecclusion de la carotide primitive gauche étendue jusqu’àa bifurcation carotidienne. Une thrombocythémie (plaquettes
1000 giga) est observée. Le diagnostic de thrombocythémiessentielle est établi après exclusion des autres causes dehrombocytose et de syndromes myéloprolifératifs. L’hydroxyuréetabilise le taux de plaquettes et un geste de vascularisation estiscuté.onclusion.— Un SBC révèle souvent un syndrome myéloprolifératif
atent et justifie une exploration dans ce sens (poussées sponta-ées des CFU-MK). L’observation 2 illustre la difficulté d’établir unemputabilité de l’hémopathie dans les évènements thrombotiquesu fait de l’association à de FRCV (tabac, HTA). L’âge et la NFSrientent vers un syndrome myéloprolifératif. Les thromboses arté-ielles sont estimées 6 fois plus nombreuses, dans ce contexte, quees TVP. La topographie, le caractère extensif et multifocal deshromboses liées aux hémopathies font toute la gravité. L’impératifst de les dépister et de les traiter précocement et efficacementar un traitement spécifique (étiologique) afin d’en améliorer leronostic.
oi:10.1016/j.jmv.2008.12.035
22pport de la capillaroscopie sous-unguéale dans leshumatismes inflammatoires indéterminés. Bouzifi ∗, D. Hakem , S. Benmeziane , S. Benkhrouf , A. Berrah
Médecine interne, hôpital du
Auteur correspondant.
ots clés : Capillaroscopie sous-unguéale ; Rhumatismesnflammatoires