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BAHRI Naceur, administrateur en chef, SG, FSEGS
Capacité de Gestion des structures universitaires,face aux exigences de la bonne Gouvernance
Point de vue Gestionnaire
1ères Journées de réflexion sur la gouvernance des universités1-2-3 Mai 2015 - Hammamet
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I – Service public face aux contraintes de la Transition :
Un service public est une activité exercée directement par l'autoritépublique (Etat, Etablissement public, Administration, Collectivitéterritoriale ou locale) ou sous son contrôle, dans le but de satisfaire unBesoin d’Intérêt Général.
Le fondement de la notion de service public est que certaines activitésconsidérées comme essentielles et stratégiques doivent être gérées selondes critères spécifiques pour permettre un accès à tous et contribuer àla Solidarité et à la Cohésion Sociale , culturelle et économique de lasociété. Ces activités doivent donc échapper à la logique du Marché.
Les trois grands principes auxquels sont soumises les missions de servicespublics sont la Mutabilité (adaptation aux conditions et aux besoins),l’Egalité (dans l'accès au service et dans les tarifs) et la Continuité.
2 Jaques Fournier, éditions Odile Jacob, 2013 : une nouvelle approche du service public.
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Cadre Réglementaire : SPRapports Intervenants – Répartition de pouvoir – Affectation et Gestion – Contrôle
Logistique RH Management
- Ress Financières,- Ress Matérielles,- Conditions de travail
- Compétences,- Responsabilisation,- Incitation.
- GM - GBO- Contrôle /Audit- TIC
AdéquationLogistique / Mission
Adhésion - ImplicationDes compétences
CentralisationFlexibilité/Souplesse G
Missions / Outputs / impact
Efficience Qualité Autonomie
En Tunisie, le cadre réglementaire régissant le service public, notamment les EPA, a étéconçu dans un contexte politique et économique favorisant la Centralisation, laRationalisation et la Soumission aux contraintes.
Dictature et politisationdu service public
Rareté des moyens publiques/Besoins illimités
Faible capacité de gestiondes administrations pub
- Détournement du servicepublic : citoyen / pouvoir- Touts les contres pouvoirssont anéantis : médias/ S civ-Approche top down,- Prudence et méfiance.
- Mode de gestion fortementcentralisé, hiérarchique,- Imputabilité sélective.
- accessibilité ,gratuité, égalité:principes de couverture.
- rationalisation des dépenses: service minimum,- Priorité aux contraintesquantitatifs,
-Décalage logistique-mission,- Déperdition des couts,- Dégradation de la qualité SP
- Dépendance à lasubvention publique,-Pluralité de contrôle etlimitation des intervenants,- Reconduction des créditsabstraction des résultats.
- Gestion par les moyensfondée sur la conformité- Bureaucratie
Contourner toute dynamiquede perfectionnement :
« Tirer sur tous ce qui bouge »
Culture de soumission auxcontraintes
« il faut faire avec… »
Absence des politiques decontractualisation
« model de Consommation »
Administrationcitoyenne en question
Dichotomie entrediscours et réalisations
Faible optimisationDes outputs valorisables
Malgré les insuffisances, le système a pu résister durant des décennies,bénéficiant d’un contexte politique et socio-économique protectionniste,conservateur et résistant aux changements et réformes :
Administration renfermée :-Manque de transparence:inaccessibilité aux données,-Bénéficiaires peux exigeants,- Administration bureaucrate,
Resistance des autorités centrales- Légitimer le contrôle par ladépendance à la subvention pub,- Légitimer la centralisation parl’incapacité de gestion,
Contexte international favorable- Economie et dépendance
maitrisée à l’occident.- Faible exigences sur lesconcepts de bonne gouvernance,
Faibles enjeux de compétition- Revendications syndicalesmaitrisées,
- Monopole de l’Etat et abs deconcurrence du secteur privé,
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Transitions socio-économiques, contraintes et orientations générales
Fin du monopole de l’Etat etémergence du secteur privé
Contraintes et exigencesdes instances internationales
Contraintes et exigencesde la révolution
-Concurrence inéquitable dansles domaines de l’Etat-Mise en cause des principesd’égalité des chances.-Mise en cause du principe decohésion sociale.
- Exigences en matière devisibilité et planification,- Exigences en matière debonne gouvernances,- Ranking international,agence int de notation.
- Bénéficiaires plus exigeants.-Administration citoyenne.- Crise budgétaire,-Lutte contre la corruption.-Revendications syndicales.- Disparités régionale.
Améliorer la qualité de SPMaitriser et réduire
le gap avec le secteur privé
Visibilité, TransparenceContractualisation
Optimisation
Reddition des comptes,Management participatif,
Équité entre région
Vers une nouvelle gestion du SP (NGP)BUREACRETIE MANAGEMENT
Urgencede la reforme
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Nouveau Management Public et Bonne Gouvernance :
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NGP : Définir une nouvelle répartition des pouvoirs, et une nouvelle manièred’exercer le pouvoir, lié à un besoin d’Adaptation des gouvernements dans uncontexte de compétitivité inter-états et inter-secteurs ( PPP ).
Nouveaux modes deprise des décisions
Dépolitisationde la gestion public
Nouvelles méthodes decontrôle et d’évaluation
Contrôle des résultatset des performances
Affectation optimales desmoyens publics
ContractualisationApproches Compétitives
Gestion ParticipativeAutonomie
Efficience et rentabilitéCout – Qualité - Impact
Mécanismes de mesureAudit - Benchmark
Optimisation des moyens investis pour maximiser des outputs / outcome
Pouvant acquérir de la valeur ajoutée: Retour sur l’investissement
Introduire le concept de Bonne Gouvernancedans les organisations publiques
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Gouvernance / Bonne Gouvernance : éléments de définition.
La Gouvernance est un concept polysémique, pluridimensionnel :
Politique Financière économique légalesociale
La Gouvernance ( Grec: Kubernan ) : Piloter un navire ou un char
Apparu dans la sphère privée : Un standard de comportementdes dirigeants permettant de se prémunir contre une mise encause judiciaire de leurs responsabilités par les actionnaires.
Le concept, n’a cessé d’envahir plusieurs domaines :
G. d’entreprise G. Publique G. Territoriale
G. des universités G. Mondiale E-Gouvernance
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Nouveau Management Public et Bonne Gouvernance :
Administration Classique Administration NGP
Objectifs Respect des procédures Atteinte des Résultat
Organisation Centralisée Décentralisée
Partage des responsabilités Confus Clair
Exécution des taches Division, spécialisation Autonomie
Recrutement Concours Contrats
Promotion Avancement à l’ancienneté Avancement au mérite
Contrôle Indicateur de suivi Indicateur de performance
Budget Axés sur les moyens Axés sur les objectifs
Source : Amar et Berthier ( 2007 )
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Gouvernance / Bonne Gouvernance : éléments de définition.
BM : La Gouvernance comporte des traditions des institutions parlesquelles l’autorité dans un pays est exercée :- Processus par le quel les gouvernements sont choisis, contrôlés etremplacés.
- La capacité du gouvernement à élaborer et à appliquer d’une façonefficace des politiques saines .
- Le respect des citoyens pour les institutions régissant les interactionséconomiques et sociales.
ONU: La Gouvernance est l’exercice d’une autorité publique,économique et administrative dans la gestion des affaires d’un pays àtous les niveaux. Elle repose sur les mécanismes, processus, etinstitutions complexes par le biais desquels les citoyens et les partiesprenantes articulent leurs intérêts, aplanissent leurs différences etexercent leurs obligations et leurs droits reconnus par la loi.
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Gouvernance / Bonne Gouvernance : éléments de définition.
CE : La Gouvernance Désigne les règles, les processus et lescomportements qui influent sur l’exercice des pouvoirs ,particulièrement de point de vue de l’ouverture, de laparticipation, de la responsabilité, de l’efficacité et de lacohérence. La Gouvernance est un élément clé des politiques desréformes en faveur de la réduction de la pauvreté, de ladémocratisation et de la sécurité mondiale.
IFAD : La Bonne Gouvernance est contraire à la Corruption, dans lamesure ou la puissance publique et ses institutions sontresponsables de leurs actes, efficaces et efficientes, ouverte à laparticipation, transparentes , réceptives et équitables.
La Gouvernance Publique s’inscrit donc dans un processus de réorganisationdu champ du pouvoir entre les autorités et les organisations décentralisées.,et concerne les rapports entre les gouvernants et les gouvernés.
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Bonne Gouvernance : Principes et instruments.
PrincipesAutonomie - Permettre aux dirigeants d’exercer leurs responsabilités et de
répondre aux attentes des parties prenantes.-conclure des conventions de performance et d’imputabilitél’égard d’une unité : Contractualisation.- Réduire la dépendance des unités décentralisées ou régionalesenvers l’administration centrale: Pouvoir décisionnel.
Managementstratégique
- Positionnement stratégique, en adéquation avec le modelnational de développement et les stratégies sectorielles etrégionales, pour une meilleure visibilité, planification optimalesdes ressources, validation des projets prioritaires et gestion desrisques.
ManagementParticipatif
-Implication des structures et des acteurs internes et externes,au niveau de la prise de décision en créant des conditions detravail favorables, privilégiant le contact direct, l’écoute et lepartage.-mette en place des dispositifs de régulation individuels etcollectifs.
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Bonne Gouvernance : Principes et instruments.
Principes
Optimisation Rationalisation des procédures d’allocation des moyens etOptimisation des investissements pour maximiser des outputsvalorisables :retour d’investissement en terme de qualité de services etd’impact économique et social.
TransparenceRedevabilitéReddition descomptes
-Transparence administrative : Processus de sélection etd’affectation des compétences : les Soumettre à leursobligations et sanction des défaillances.-Transparence communicationnelle : Communication,publicité et proximité.-Transparence comptable et budgétaire :
Eligibilité, Imputabilité et contrôle :
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Gouvernance / Bonne Gouvernance : Instrumentation.
Michel Foucault : « …les pratiques complexes et multiples degouvermentalité suppose d’un coté, des réformes rationnelles, desprocédures techniques, des instrumentations, à travers les quelles elles’exerce, et d’autre part, des enjeux stratégiques qui rendent instableet révisibles les relations de pouvoir qu’elles doivent assurer»
L’importance des « Procédures Techniques »,de « l’Instrumentation » dans « l’Art de Gouverner » :
Diagnostic - Planification Contractualisation
Approche par les processus
Gestion par les objectifs
Contrôle de gestion Mesure des performances
Approche par les Compétences Incitations, implication, adhésion
Système d’information Open GOV
Audit Indicateurs et Tableaux de bord
Autonomie
Administration intelligente Smart City
PDCA : Plan – Do – Check - Act
II – Urgence de la réforme des structures universitaires:Vers une meilleure Gouvernance.
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Les structures d’enseignement supérieur représentent une illustration typiquede la crise de la Gouvernance publique
et de l’administration publique face aux contraintes post-révolution
Dégradation de la qualité des S :Encombrement – capacité d’accueil réduiteDéficit en logistique face à la massification
Faible retour à l’investissementInsertion et création d’entreprises
Valorisation de la recherche
Bureaucratie , centralisation,Abs des mécanismes de contractualisation
Concurrence du secteur privéMise en cause des principes d’égalité
Disparités régionales en thermesdes structures et des compétences
Abs des structures de planificationD’évaluation et de mesure des performances
Faible positionnement internationalRanking – attractivité
II – Urgence de la réforme des structures universitaires:Vers une meilleure Gouvernance.
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250 milles diplômés de l’enseignement supérieur en chômage13 milles en technologie de l’information et de communication
Academic Ranking of World Universities 2014Aucune université tunisienne ne figure dans le classement de Shanghai
des 500 meilleures universitaires dans le monde.
Academic Ranking of World Universities 2010l’Université de Sousse, la première en Tunisie, arrive à la… 6719e placePrécédée par : 22 universités égyptiennes, 14 marocaines,23 algériennes, 3 soudanaises, 2 libyennes et 1 mauritanienne.
II – Urgence de la réforme des structures universitaires:Vers une meilleure Gouvernance.
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« Le secteur d’enseignement supérieur et de la recherche scientifique enTunisie est dans l’impasse , devenant une machine à fabriquer les diplôméschômeurs, dans toutes les spécialités, il faut repenser tout le système defond de toute urgence » .Mr taoufik Jlassi, Ancien ministre de l’ES : Conférence nationale des compétences universitaires tunisiennes à l’étranger, 5 aout 2014.
« Nous devons sortir avec des réponses, des propositions et des solutionsà cette inéquation entre la formation et la recherche scientifique d’uncôté et le chômage et l’intégration économique du savoir d’un autrecôté ».Pr Kamel Besbes, membre du CNR, mars 2014
« la recherche en Tunisie revient deux à trois fois plus chère qu’en France(recherche en sciences expérimentales) »Reforme de l’enseignement supérieur en Tunisie : de l’audace, ESCOT, décembre 2013.
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II – Urgence de la réforme des structures universitaires:Vers une meilleure Gouvernance.
La reforme de l’enseignement supérieur demeure une Urgencepour le secteur et le pays en général:
1- Optimiser les deniers publics investis dans l’En Sup.2- Consolider l’effort national pour absorber le chômage3- Faire face aux exigences de l’économie de savoir etdévelopper un partenariat avec le secteur privé : PPP.4- Développer des expériences pilotes en Management public :Université Managériale, Université Entrepreneuriale, UniversitéActionnariale ( compétences et savoir faire).
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La REFORME …. Un concept très utilisé durant dizainesd’années par les instances de tutelle de l’En Sup, et par lesuniversitaires en général .
Employabilité
qualité
Professionnalisation Valorisation de la recherche
Partenariat Entreprenariat
Les REFORMES se succèdent périodiquement, Avec lemême cadre logique ? les mêmes objectifs ?
Décentralisation
REFORMES en interaction et complémentarité avecplusieurs mécanismes de Perfectionnement et de
renforcement : BID , Erasmus, PAQ,,
La REFORME entre les discours et l’action.
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Une dynamique de réforme annoncé durant des annéesles mêmes problèmes persistent et s’accentuent ???
1- Dichotomie entre discours de réforme et actions de réforme.
3- Limites au niveau de diagnostic et de mesure et des priorités.
4- Limites au niveau de la déclinaison des projets en plans d’action s .
2- Limites au niveau de l’approche, des processus et des démarches.
5- Limites au niveau de suivi, d’accompagnement et d’évaluation .
Limites des projets de réformes et leçons à tirer .
Désengagement Résistance Déperdition Dégradation
Gouvernance et Capacité de Gestion des ProjetsGouvernance des structures Universitaire
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Principe Etat de lieu Perspectives
Autonomie Bureaucratie – CentralisationRapport hiérarchique – RigiditéInadéquation missions - Actions
Autonomie des universitésContractualisation
GBO
Managementstratégique
Soumission aux contraintesStratégies informellesDéficit en Visibilité
PlanificationStratégies conventionnelles
Vision et visibilité
ManagementParticipatif
Anarchie OrganiséePersonnalisation des pouvoirs
Structures consultative
Approche compétencesEquilibre des pouvoirs
Structures décisionnelles
Optimisation Gestion de conformitéGestion du quotidienEvaluation subjective
Gestion des PerformancesGestion des projetsContrôle de gestion
TransparenceRedevabilité
Déficit communicationnelAdministration manuelle
Contrôle de régularité
Promouvoir la communicationSystème d’informationAudit de performances
Gouvernance de L’ En SUP : Etat de lieux et Perspectives.
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Reforme
Autonomie
Gouvernance
Capacité
Vouloir etpouvoir faire
Culture
Gouvernance de L’ En SUP : Processus / Exigences.
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Renforcer la Capacité de Gestion : Réussir la Réforme :
1- Autonomie des universités:Penser autonomie et non délégation d’attributions
Contractualisation
2- Cadre réglementaire adéquat :Revoir le statut EPA et migration Réfléchie vers le statut EPST
Organigrammes adaptés
3- Méthodes de gestion :Planification – GPO – Mesure de performance – Processus
Assurance Qualité – Audit et contrôle interne
4- Système d’information:Intégration des données – Accessibilité et Transparence
Administration intelligente - Open gov – Smart univ
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Valoriser de la fonction des SG des universités et desétablissements : Statut, attributions profil.
Un SG d’université : Directeur général d’administration centrale
Un SG d’établissement : Directeur d’administration centrale
L’octroi de la fonction: 10 ans d’expérience et des responsabilités.
En contre partie et paradoxalement, la réglementation en vigueurRéduit la fonction du SG au niveau Rapporteur.
Une Fonction dérivée, dont la marge d’autonomie dépend de lanature des rapports avec l’ordonnateur :Le SG agit en vertu d’une délégation de l’ordonnateur et sous sonautorité : l’obligation de lui rendre compte.
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Le champs d’action du SG vari en fonction de certains paramètres :
1- Les relations avec le responsable :qui dépond de la personnalité respective de chacun et du degré
de confiance entre les deux.
2- Les relations avec les centres de pouvoirs et les groupesd’intérêt dans l’établissement, notamment avec les enjeuxd’élection : un technocrate neutre toujours exposé.
2- La taille de l’établissement, degré de Centralisation,héritage de l’histoire et de la Culture de l’établissement
Champs d’action du SG
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Ce que fait réellement un SG
1- L’organisation générales des services centraux
2- La gestion du personnel IATOS et Enseignants.
3- Les questions juridiques et statutaires.
4- La gestion du patrimoine.
5- La gestion financière et administrative.
6- La Gestion des affaires estudiantines.
7- La gestion des conflits interne et externe
7- La Communication et la gestion des interrogatoires.
Des responsabilités qui reposent sur légitimité de compétenceet non une légitimité réglementaire de la fonction
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Arrangement entre légitimité réglementaire et légitimité decompétence:
Pour remporter ce défis, le SG doit être suffisamment outillé pourassurer une fonction très délicate : la fonction de régulation:La fonction de régulation consiste à assurer le fonctionnementcorrecte d’un système complexe :
1- Le rôle de chef d’orchestre garant de la pérennité de l’administration .
2- Le rôle de médiateur, de facilitateur , gestionnaire de « l’ incertain et del’improviste ».
3- Le rôle d’animation, de communication, de sensibilisation et facilitateur decommunication « traducteur-interprète ».
4- Le rôle de conciliant entre l’application de la loi externe « permanente »et la loi « provisoire » liée à l’exercice du mandat.
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Vers un nouveau statut du SG
Le contexte d’amplification de la difficulté de gestion accentuépar la raréfaction des crédits, et les exigences de l’autonomie etde la Gouvernance, nécessite une administration nouvelle quidemande des gestionnaires renouvelés.Or, dans l’université, le seul professionnel de la gestionsuffisamment « généraliste » est le Secrétaire Général.
C’est sur les épaules des SG et tous le staff administratif querepose la révolution administratives des structures universitaires.
Ne pas confondrele politique et l’administratif
Pouvoir s’adapter , setransformer en permanence
Une capacité d’influence etd’organisation
Parfaite maitrisedes Principes du NMP
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Vers un nouveau statut du SG
Il faut passer du statut du SG qui a « droit à l’action,mais seulement à l’action et jamais à ses fruits »
Au statut d’un SG « Multicompétent », impliqué,influant, responsable : un manager , Directeurexécutif, par la force de la loi.
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Merci pour votre attentionMerci pour votre attention