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LE SOLEIL AutomobileRadio —- I héâtre

Page féminineLittérature et religion

37e ANNEE No 283 QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928 EDITION QUOTIDIENNE PRIX: DEUX CENTINS

lémentairo je. L’une 1 ction trê le terrai

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/QUI jamais pourra

sonder les profon deurs de l'abîme

creusé par le péché originel ? I a seule énumération des mots : passions, monde mort et enfer suffit à nous jeter dans l’abattement

l .a révolte d’Adam a fait de nous des insoumis. A peine commençons-nous à exister que déjà nous som mes classés au rang des riminels. Lnfants de colc

r *. au jour même de notre naissance nous étions objets d’une juste horreur pour Dieu et sujets d’une joie infernale pour Satan

Victimes d un atavisme irrésistible, les hommes nai^ sent avec un esprit capabl des plus grossières erreurs une imagination avide d’il lusion. un cœur inconstant sclave du caprice et de la

passion et une volonté plei ne de faiblesse et d imp.iis sancc

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916 LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928

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pour le transport économique

Chevrolet par Excellencede / Histoire de Chevrolet

un Six dans les prix du quatre!fiim que tout le pay^ «ttmtfait avecimpatience, »a presentation----malgré cetteopinion courante du public, à savoir que le Nouveau Oievrolet allait représenter de* perfectionnements incroyables—

——l’annonce du CThevrolet par Excellence, dan^ H («foire de Oievrolet—un Six dans les prix du quatre—s’est révélée comme étant la plus grande sensation de la plus grande industrie d’Amérique î

I'chm mnnarsaaient le brillant record de sucrés du Chevrolet. Chacun savait que Oievrolet était devenu les plus gros fabricant d’automobiles au inonde, en établissant chaque année, de nouveaux standards de performance, de beaute et de qualité, clans la classe de prix modérés. Mat», personne ne s’était imaginé qu’il aéra'; possible d’offrir aux prix du quatre, un .Six d’une j>erformancr aussi brillante, d’une apparence aussi impressionnante, cfun confort aussi luxueux, en meme temps qu’tm mécanisme remarquable aussi avancé!

Lorsque vous connaîtrez tous les détails de ce nouvel automobile sensationnel, vous réaliserez que Oievrolet possède toutes les qualités tTun six cylindres : douceur, réserve de pouvoir, et une accélération éblouissante qu'on ne pouvait goûter jusqu’ici, que dans les voitures routant plusieurs centaines de piastres de plus !

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I« noso-J «nain sis cyOmlrM do CSsrroIrt, cvm* pLrtmnm* rs*«n SK<», haut# com-

t^t# nnr, <1 .'tr«ttn«rtt», 1W# pour## ruhss powtr U depLN'TDMtM du pbriui H d«r<>lup|uiiit 46 VJK A p«rk« »V 11 I dm mil—fc.

Chevrolet par Excellence r*t actionné par un nouvel rngm six cylindres avec acwipapea-eiv-trt* et de dessin avance. Plus «Tune centaine de moteurs ont été créés, construits, éprouvé* et améliores, au cours des quatres dernières années, avant que lie dessin actuel fut adopte. Des millions de millet d'essai, sur la Piste d’Essai de la Ornerai Motors ainsi qu’en didcrru^s

endroits du pavs, ont établi d’une façon définitive, sa puissance, sa sûreté et son économie, noua toute condition d'usage possible.

Il développe un pouvoir 32% supérieur a celui de l’ancien moteur Chevrolet ; il possède aiusi une plus grande vitesse sensationnelle et une plus vive accélération. Et en dépit de cette performance grandement améliorée, son économie peut faire en moyenne, plus de vingt milles au gallon de gazoline !

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Le# merrrilfeu### camtweri**» nouvelles par Fuh«r •ont un# « «rarttrûcnjue remarquable «lu Chevrolet par I-’«4 #ll#n< #.

De nombreux perfectionnements mécaniques rendent possibles ces étonnants résultats de performance. Une nouvelle fete de cylindre non-détonnante assure la performance de la haute compression, sans essences spéciales. I a nouvelle tubulure réchauffée garantit une vaporisation complete de la gazolme. Le nouveau carburateur, plus gros, comprend une pompe d’accélération automatique et un venturi per fectionné pour un plus prorapt démarrage en hiver, tandis qu’une nouvelle pompe de gazoüne AC, avec un hître, assurent une alimentation d’essence adéquate, si longues ou si escarpées que soient les côtes.

Un nouveau vilbrequin, plus groa, statiquement et dynamiquement balancé,

rend imperceptible à toutes les vitesses, la vibration de torsion—ceci s’explique par sa grosseur exceptionnelle et par la course relativement brève des bielles. Tout le mécanisme entier de biellettes est automatiquement lubrifié ; et ced, joint au nouvel arbre à cames, aux nouveaux grands clapets des valves, au noveau materiel d’engrenage de l’arbre à cames et au nouveau système de sourdine, a pour résultat, une délidetise operation silencieuse. Une longue durée de l’engin est assurée par un nouveau type AC de nettoyeur d’air et par une nouvelle méthode de purification automatique et continue de l’huile du carter—tandis qu’un nouveau système de ventilation du carter, perfectionné, réduit la dilution de l’huile, surtout pandant l’hiver.

Si imposant qu'3 soit, ce superbe plan de pouvoir n’est cependant qu’une seule phase du mécanisme avancé que révèle ce Chevrolet par Excellence. Gros freins puissants sur quatre roues, d’ajustement facile et d’action positive, contrôle sûr— avec une opération toujours silencieuse, sous toutes conditions, grâce aux garnitures semi-moulées et à un nouveau dessin des bandes de freins. Le mécanisme de direction est entièrement pourvu de paliers à billes et le nouveau volant de direction est du type plat avec légères rayures—une contribution importante à la facilité du contrôle.

La transmission nouvelle et plus tranquille comprend de plus gros engrenages d’acier vanadium, tandis que l’engrenage de direction et le pignon sont faits d’acier- nickel 3 ,/2% — le plu* beau materiel connu de la science métallurgique. Il y a encore des caractéristiques de voitures

Le COACH

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dispendieuses, telles que les phares à double projection et un bouton de contrôle par le pied, pour ,fdiminuer,” contrôle semi • automatique de l’alliimage* serrure ’’Electrolock” contre le vol, bobine de rallumage à l’épreuve de l’eau, plus gros réservoir d’essence recouvert, à l’arrière, lubrification améliorée du différentiel et plusieurs autres caractéristiques de même importance.

Meme si le Chevrolet par Excellence n’offrait que ce groupe impressionnant de perfectionnements mécaniques, il serait encore salué comme un avancement sensationnel, dans le dessin de l'industrie

I-» ootrvcaa volent plat av«- légère* mrnre* et la tablier amélioré garantissent la plus grande aisanca d# conduite. Sur le tablier indirectement éclairé, •ont groupé* tous les mtruments de contrôla, y compris l'indicateur de la température du moteur et la serrure "Electro” A l'épreuve du vol.

Le COACH

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Routière .UPhaeton . LeCoupé • • LeSedan • • Le Sport Cabriolet .

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automotrice moderne. Mais, il offre eij plus, un degré de beauté, de distinction et de style jamais atteint jusqu’ici, par aucun automobile à bas prix ! Le capot

Le ffiège de Pavant, dans tous les modèles fermés est facile a reculer ou a avancer, à l'aide d’une simple poignée d’ajustement. Ceci regularise l’accès des pedales de l’embrayage et des freins, pour ciiaqus personne au volant.

haut et plat, réuni au cadre brillant, plaqué au chrome, du radiateur, touche la note de l’endurance, de l’élégance et de la grâce. fîèreté des lignes régulières, dans les ventilateurs très bien groupés sur les côtés du capot, donnent l’idée de la vitesse et de l’agilité. Les moulures divisées de la carrosserie et les piliers concaves de l’avant respirent la vogue si populaire chez les fabricants à la mode ; tandis que les carrosseries elles-mêmes, plus grosses, plus longues et plus basses sont autant de chefs-d’œuvre témoignant de l’art raffiné qui a consacre la renommée internationale de Fisher.

I>es sièges sont plus larges et plus confortables. Dans tous les modèles fermés, le siège du volant est facile à ajuster, en le tirant ou le repoussant—une caractéristique récente, dans les voitures dispendieuses. Le tablier redessiné contient un groupement attrayant de tous les instruments de contrôle, y compris un nouvel indicateur de la température du moteur ; Ü est éclairé indirectement.

Au sommet de se»7e années de progrès soutenus . • révélant une nouvelle performance, une nouvelle beauté, une qui* lité et une sûreté nouvelles . . à des prix tellement bas, qu’ils sont à la portée de chacun, partout—ce nouveau Chevrolet sensationnel représente la plus grande valeur de dollar pour dollar, qui fut jamais offerte par n’importe quel automobile !

Nous vous invitons cordialement à visiter notre salle d'étalage et à vous renseigner sur tous les détails de cette fameuse nouvelle voiture qui sera prête pour livraison, dè. le premier janvier.

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JEAN CARTIER, Beauceville, Qué.GENERAL MOTORS OF CANADA LIMITEDPRODUIT DE LA J

LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928 3

/ Dans le domaine de l’automobile \ S''.

LE LUXE A SONPLUS HAUT POINT

EN AUTOMOBILE^<>11 prrtnt* tnauMMip 1** lux«* <*n ra«-l»iU ti** nos joiir^ ; mats tout quOn «-il sait *st jm*u comparé i <|ti'* prt* ont* ra la Krumitur«* < <»nstr lit»* nrMioil**m**nt **11 AlUflotorn* L'*»uvru- tp a ont repris p«mr un tinan«*ior aimérioain qui « n v«*ut faire cadeau à an femme à roc<*asi*)n <i*‘ leur JiV* anniversaire «le mariatr»^ On y trouve un*- tapisserie il’\ti- busson ♦■n soie, «i**s (xûnturtvs dans 1* Ht !♦* d* licat d** Watteau « t «les -« ulp- •pres dormes. hr«*f un< «l«*eoration U*lie que l'on n’en a jamais rêvé pour une auto.” l>* plafond est entièrement couvert à l’huile repr»'«ntant <l«*' anK« s. mK-eutès sur (‘«tmmande s[»< «'iule par un artiste françai-v dans |. sfvie *i* 1 atteau. et les moulur»‘s <|«* fenêtre. «Je porte <*t «l**‘al*in« t sont «le no\* r français «-n relief. Des >rrou|H*s «l’an-

et d’amours \oltigent rh «-t là. don’ la dêooratmn n’offre pas deux semMahles: deux |H*tits amours en tr sont placé aux deux <*oins «l’ar- rièr«‘. tenant chacun *l«* jietites ampoules électriques.

De plus, l'éclairage *1** l'intérieur e*' assuré par une série <i'am|N>ul*>N dissimulées dans les extrémités «lu plafond répondant que dans l«* d«s- sii- poli «l’une fine élu nisterie op[x>- sé* au si« ir*' arrièr**. sont placées <|**s kmpes brillantes sou s''panneaux eir- enlair«*s «!«» \«*rr** «lépoli qui jettent «le «louée elarté sur les |xintures situées plus haut.

Comme la voiture doit appartenir à une femme, de petites tahl«*tt«*s de frêne ornent, «leux ébénistcri«*s semi- circulaires, également à moulures * t peintures, et placées juste eu avant d<*

lappuie-bras. «le «diaque côté. Kn ti

rant sur un bouton, on tait s'ouvrir Mmultanéinent l« s portes doubles de 1’« bcni>t« rie, «-t «‘n même temps s’a- van«*e «leux tablettes ovales (xirtant le- objets ordinaires de toilette féminin* l> s appuie-main r« p<»sent sur un** t« t« de bélier «lorée ; ( Mi n*s- '« nt pl u t At une impression «le ^ran- «leur <ju«* «1«» confortable.

GARAGES ETAUTOMOBILES

On jugera quelle honnête aisance p**u\ eut se «Téer les garagistes en lisant 1* s ehiffr«*s suivants publiés par l’A- nn riean Automobile Ass«M‘iati«>n.

Iês automobilistes «»nt «iépensé. aux Ktais-l'nis, l'anme passée plus «!«• «•in<l billions de dollars aux |xjstes d* s«x*oiirs et aux ateii<TS de réparations l>a répartition s'«*n fait comme suit : Parties et fournitures «1«* s«*ni<*«* $l.l'*O,Ü(X),0(X); pn«uis « hangés Jjjifrjô.- OOO.(KH); carburant et lubrifiant IhàO.tMlüdXN); travaux tic réparations, $1,(K12,0(K),()00.

L’AUTOBUS EST MOINS CHER

QUE LE TRAINlot moyenne «lu c*>ût «’ ••mpl- 1 *1*

autoltus aux Ktat-l iiis eu l'*J7 .» • • <ie 1.1 « ♦ nt* par siégt* « t par mill*-, relativement h 2.b cents par “ic^* pour h-s autoniobih's parti« uli« r*- s«*l<m la section «l’autobus <l«* L’A. \ - A.

(.Vite affirmation « s? ba • • >ur une étude «les frais d'emploi «l'autobus pratiqué<« sur tX» conipatrru* - 110- notables oran^portan’ «1* KM -millions «le passagers à 1111 prix moyen <1«* 10.1 e*nts

Les passagi'rs eoiistitu» nt envinm 9&(/o «lu nvenu total »ie la <‘<»mpa- gnie d’importance mo>« nn**. L a- 11- ranee couipte |x»ur S.s.TOO « t ‘.(H) à peu pris, ou 1.0 cent par mille vont aux impôts.

Hien «pie !«* transjiort par autobus soit empire «lans son enfance, « t que cos compagm* s ne \iv«‘nt qu*« «lepuis qua’re ans environ, les milles parcourus sur la route par le-- aiitolHis ooramum*s dépassent «le .r>' , le par- parcours «•nn'ci'tré par l»s eheuiins

«!«• «(►.i' , celui « 1 « * s réseaux

TOUT LE MONDE N’A PAS LE SENS

DE LA VITESSENécess té de savoir apprécier sans indicateur la

v tesse de Tautomobiliste Promptitude et sûreté de jugement et de décision

Pour l auton «.I iliste onUnaire, la 1 f«‘« tjoui.* r \«-’r« s« x-we *1** la eon-vitesw* n’«>t qu’un<* relation de «luit* ;>utoiuobil* Peut-être. * 1* v.mou\tin* nt, ur « i>rogr«ssion indi- 'mi <!• e«-ux qui le jx).»'è<J«nt«ju*** «n ehiffr«s noirs sur le cadran Sin«'n in p* u «!• pratique \«»U'' «*nindicateur * » «-««nçu»- seiih-n ♦ nt en ; <l*-i.:.* vu j.« pr-- i‘p'«- maitr • qui

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par suite d’un progrès «pu- l’on en est venu au par autobus, pour réjxtn-

* point aux be> uns de la communauté. L’enr«*gistr* m« nt d« > autobus eu a «rompté Hli.IJOU. (’•• chiffre n’est pa~ gro- «comparé ;i celui des automobiUs «le tourisme, mais pmr appré«n*r T»leinem«*iit son importance 1! faut drvsscr «uimparai son avec !«• nombn* «l*- véliHii- l**s employés dans 1«* transport par électncité. [Tans toute la v<»gue du trolley, après d**ux «i«« a«l«> <1 «xpan- sion, 1«4> v«>itures éh-ctriqu*'* étaient au nombre «le 10f),(HJ0.

Les compagnu > d'autobu>. aux- qu«‘ll«s on a d«-m&ndé 1« s chiffres Je moyenne, comprennent le propriétaire* d'un seul véhicuU» et les organisations «jui «n po-'^«Hlent jusqu’à 1,3X1) ; e«lles «pu ne comptant que 21,17H milles «i* par<'«*urs «t «•«•lies «iui * n ins«Tivent ;celles «jui transportent 7.000 v«»ya- g« tirs, et «‘« lies qui en prcnru ut 2bl .7) 1H.80H enfin toute la di\«*r- sité d«-s nombreux points <J«* considération y «-t r« pr« ••m««

L’automobil»- publupio «*st le r*- suitat naturel <!«• la «bqnande, créé par l’auttj «i«* tourism* pour un fran-port rapide. e«»ntortabie «*t ♦ ■ »- in>mi«pi«*. I>" coiupagni«> «le chemins «le f« r et !<•> tramways ont : pris connaissance du mouvement « oui s«* dessinait et la substitution; de l'autobus au train san- revenu et au tram est <l«*v«*nue la règle ! plutôt que r<*xc«ption.

di>j •-••'» sur int «•rv ail*- «b* 5 mille*et <ii«(U«‘iit aux différentes vit*--**«r ♦ r» • - qu»*!!» • est 1:« correspon-da: en mill* - jiar niinut»-. enpi* «1- par s* c<md* ■'i et en temp* [*«>UIcha«ji ic îiiill** pan'ouru que l’un «luitattru • u* r :« *•»•- divors points de l’in-di«*ttt'pur «b- vite-*

Mil!. - Milles l'ied- Tempsâ t»ar par du mille

1 h* ur* inmut* -****ond6 Mm. Sec.O Os 7.;n 12

10 Iti 1 l.titi ti1 • » 25 22 < N t 420 • 4» • 29. :n 325 4 1 :>ti tsi 2 2430 . • 14 tk)35 • r « 51.33 l 42.84<t tilt 5s.ti»i 1 3047. 4 5 ti»i.tK) 1 2050 7.>.33 1 12thi 91 Ml i*ti 1 05 400 \ 88.00 1

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Uni i .titi 1 Iti.tit* 3t î 9105 ! 75 i;»4.ot» 34no 1 XI ltil.33 32 2115 1 91 His <>t i 31.7120 170.00 ;,o3

PRESSION EGALtVoici <‘c qui r< ssembb» un*1 gran

de invention un égalisateur «le pn.ssion pour 1*' pneus un tuyau de caoutenouc, 12 pie<is muni à chaque «*xtrémité «!«• \ah«s «pii ne s**mblent posséder rien d'exîraonli- naire. L’aiitomobilist«> n’a qu’à tixer cet appareil aux pn«us. «t. illico, l«-s pressions sont égales. Tous «‘eux qui ont conduit une automobile à pn**us sur quatre rom-s, n\« pr< smn différente sur leurs pneus «Lavant, apprécieront cette in\enti«»n toute pVonte, <i«‘stin*«‘ i« fair* «iisparaître le dernier ennui «I«* l’automobiliste.

La Qualité Hurmobilefait pencher la balance

en faveur des nouveaux modèles Century

U rn * s «1» tant «le milh-s à l'heure.I n* >« n«‘ «I «\j « rn n*-*-. j>rati<pié«‘.s

dar s 1«‘ but «1* rech* rcher le degré «!«• -«•rv ilism». «pii lieelmuque automobiliste a son indicateur a donné des résultats aussi surprenant* pour les sujets examinés que pour les directeurs eux-mêmes «les «essais. A plus de vingt milh-.s à l’heure, l’indicateur dissimulé, la majorité des aut«jmo- bilistes s«* trompait de cin«i, dix milles, ou même plus. Peu «t'automobilist«»s, r*iatn «*ment. *-t encor** parmi «‘«‘iix doué d'une longue exi)ê- rienec, ont paru posséder le sens de la vite»*©”.

<”«-t «•«•!!*• im-apacité «lu chauffeur ordinair** a apprécier la vitesse à laquelle il r«*ule. «pii explique nombre d’accidents sur l«*s routes. Il y a tr«»i g* nr* > d'accidents où l'inapti- tu«l« ,1 s«* lonnuler promptement un«*«heisnm m* traduit en dangereux effets. Voici le problème qui se présentent :

Deux voitures, roulant à angle droit Lune «le l’autre, veut abor<!**r un «‘arrefour. L’un peut-il «-n sûreté traverser la route où ae tient le se- «•on«l ? devez-vous accélérer ou ra- l<ntir pour éMtir la collision, et <-n quelle proportion?

I>*s considérations suivantes: la vitesse a laqutdle vous roulez, et la di8tan<-e «pii vous sépare* d«« l'autre automobiliste, la vitess,. même de \«)îr<» adversaire «î s«*n éloigm-ment, v*iilà C4‘ qu’il faut p«*<er « t résoudre* en un<» rapid** dé«*ision, « t ce que

i 9 â rrmn nr■ L AYtNIK UtU«iiatement devant vous, {Hiidaut qu'une troisième s’approche *n sens inverse. Disposez-vous d’assez detemps pour vous jeter en avant et repren«lre votre |>«>sifion regular© sur la route, à droite, bien en avant de la voiture que vous dépassez, avant «pi** la troisiènu- n«‘ vous f«*rme la route, en vous obligeant à st«*pp«r où à courir h* danger d’une collision? Ici il vous faut considérer trois choses: votre voiture, celle que vous «lèpass»/. «•! celle qui s’avance en m us contraire. Et il faut un jugement sûr et vif jK>ur éviter toute* • rreur, comme d’ailleurs le prouvent 1« < nombreux ae«‘id©nN enregistrés. Peu différent de celui-ci <*st 1«> danger couru par un automobiliste. «jui en passant devant une!M-cond** voiture mésestime la vitesse • de eell«*-ci, tourn<* trop vite à droite] et force la voiture» qu’il dépasse à *e jc'tcT dans un fossé où à «*n venir à une collision.

Votre automobile roule sur un** route à une bonne vitesse*. l'ne «*ourb«» se pré-* nte. \'«»tre vit* »♦* , est-«die ass«z faible pour vous jH’r- mettre «le tourner sans vous jeter hors «le votre position do sûreté suri la droit* ’ où «l**vez-vous ralentir, er J alors dans quelle mesure, et à quel moment ?

A <**- trois précédents problèmes «pii. en plus <1** l’appréciation «h* la « vitesse, concernent encore l’aeeel*'*- ! ration «-t le ralentissement, on peut ! en ajouter un tn»isième, peut-être* h- plus important «h* tous, qui con- «•«■rii«* 1«* fn inage. Savoir «*\actem«*nt ii «pielle distance vous eiitraîn**ra votre voitun*. à telle vitesse «lonnée, 1 avant «le vi-nir à un arr«‘t «complet, est un p«»int que tout automobilist«‘

«•u cas «le «lifti-

**i-<l**'Sous s,»nt

144-144441414444 ^41 i4444fff Hfi44-44 ; 444444 44 -f 4 f T T-rTTI ’ .-VIir'K VT. Mtti mlfTTTUilïïtfflH -■ ? : H .-H-

t-ffif l-H fl : 11.1 iiiiiî .1 Lu 111: îx il î n : îi fii Hiii ! mmrlinuii?: ^ •

L’AUTOMOBILELes perspectives de chan

gement. Meilleurrendement, mo ns defrais

«h vrai t connaître, avant «h* lan«*«»r 'a voitun* sur la route, et peut-être «lans !<*s nceidents. par son hésitation « n cir«‘onstan<*‘.s «lifti«*ii**s.

On a. joint à e«*s considérations d«*s tables «le vitt-sae que tout aut«>- m«»bilist«* «l«*vrait «‘«mnaftn- et • tu- «1 mt. particulièr«‘m«int la <*olonn«* qui tnuluit «n nombre de* pi«*ds par s»*c«»n«le la \»t«‘^s«‘ «*n milles «ioniMs* par votre indicateur.

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l/o ni«»<b* transmission *1« 1'em r-! Pann-V- , v ,ft,,rirîi ' lir' i' i mment, a la compagnie «>aklan«1. rn

«i«gi* peut paraître satisfaisant au i -n eonnaisM'ur, t« ! qu'il est à pré- !^svftTl

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l’énergie «lu moteur par les' uew avant }*.--« «b- 18 nvantag*-

,H»sMibU*s sur la métho«!*' a«lopté« 'tuidlernent. suivant un rapjatr

présenté j»ar H*rb«rt Chase* ;i un*'•«■union r«'*«‘« nto «b* la 'xk-m I v «»f Au Al”Ti' fomotive Engineer*. Dan- <•*• in«*m Iti» il énumèr** l’appli«’ation «b* lal ’«•rce d’entrainement aux mues d’ vaut dan- la «lire«‘tion «!•• leur iT«**sion; l'élimination du long arbr<«le transmis-ion; la «liminutmn d»** rais d'entretien «' un«* m« i!I« ur«*

iubrifloati«»n. la «lélivram* «les ba- isncements à «Imite et à gauche; un

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’Ipmtégés. s*»nt maint» fiant éliminés. ’i '’I n autre avantage de ce filtre

ir;- «•’est «!«• «iimiriucr b - «langer** d’in- «*en«fi«*. D*s comi>agnies «fan* un rap-

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sont c«»m-i plèteni**nt arrêtés au tiltr»* ••[ n’attei-

"e.. l'n* tn«»teur lui-même. Mal-gré des <*ssais répétés et soignés on

î ne peut enllammer un combustibleL. mi. .., .lun Mir. tmrv. ur. j • . enin<l ri..n.Kr.. H'.n-, fonction serait «.♦• f«*urmr ' *

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I d» la ville de Shellac, M. A.-J. Tait, ru . M-iant, M. David <’onnn r • !< lat Itèvérende Mère Maxim*

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( • 'T a été observé avc«* grande [■* p« * t Imaucoup Milconitn La fête a ait été organisée avec un soin spé- * . par l’abbé J.-J -Vr (îaudet, le aia- tuoru*’ curé do la paroi"ki . aussi a - t-*llo été counmné*» du plus beau

t<mwKiggggggi &

l.< jubilaire célébra la mc<-.e dans ! la cbajMdle de la lYovidenco Saint- : Iriscpli à huit heu ns* du matin. 1<m ( chapelle était remplie de tidèlcs. On remarquait dans le sanctuaire Sa

. Orandcur Mgr Ktlouard Ddllanc, ( év« <jue tiu ditM'c-î d« Saint Jean

Philipm* lieili v « au, cur* «le Ornndi- cue Mgr OT'lato ri > curé de St- Stcpheu. Mgr Jean H« lM«rt, ancien curt «I** Houctouchc «u («rand Vicaire

j du di'»cèHe «le St .lean, l’abbé A lîndr; curé d'Adamsvillc, labbé I) h' l>eger, cun tl«* St-Ixiui», l’abbé Désiré Allain. curé de Notre- Dam**. I abl*‘ Alpf.* Oaudet. cur* »l«* Cocagne, l’abbé (' A. Hudon, d«» la Pro ;«l«*nce Saint -JoHepb, l'abbé, Kd- gar licltlanc, ourc du liaratdiois, l'ab-

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Voici la liste «l*-- autres memb^- «lu cU*rge qui n i-îaiont au banque’D* r«’*\ l'«r«< A Van 1er, ('.S <Hu|>éru*ur do I I niveraité Saint Joseph , U* r»-v Père Bourbonnièn».0 P Pr;« ur <i« Dominicains. Saek- ville, l«* !{/• v l'*r«- D. J. !>• Blanc, Samt-J*»M*ph,, i* Kév iVrc K. ‘savage, le Bév IVre Harris, le Kév.1 '* r«* Br* >wn, M* *u< ton. le rév. P* r«li D <'orrn • r le rév Père, A. D - Blanc. le r* - Pm- I (’oguen. le I rev Père A Kicliapl. de Moncton, j !♦* rev IVre J - A l’archevêque, S<**ui- douc, le r* v P re F-X. Cormier,St-Anselrue, le rév. l’ère Ph. Hébert, le ré\. Pere A. M»*lanson. Bouctou- <*h«*, U* rév. Père A V. Ian«lrv, A-

. danisvnlle. !«• Kév . IVre F.-A. ïlour- ge, ,is, DD !>orchester, le rév. IVre J F. Ouellet, Dorebester, !>•* rév l**re A -F Gaudet, ('.«eagn»*, U* rév IVre N -P. landrv, Mont-Carmel, le r«*\ Père ( bar Je- A Hudson, Shé- diac, le rév IVre \ l.eg«r, Abouja- gane, le r« v M -L Belhveau, St«-A nue. !«• Kév D Allai n. Notre Dame. le Kév . K FrnMT. i*«»rt, le rév.F licHlanc. Barnchois, le rév. D Kobichaud. Cap Pélé. le rév. Camille

. lyeBlnn* , Sbemogiie. le Kév L. Cormier, v'’ Paul. U* rév /.«*♦•! Ll-D. Dtn- dry, \ illage de Kichibouctou, le rév J. Ma* Donald Kexton, le rév J.-A. Allard, de Bathurst, est.

Au nombre des laïques qui assistaient au banquet étaient Son Imn- n« ur U maire White, F.-J Kobi- doux, ancien député, l«* Dr J.-<’. Webster, K. K.CS. MM. Jean-’I’. Hébert, George D g« r. Albert-(’. !>•- g* r. le Dr Sormanv. Placide Gaudet, M A David Cormier, do Shédiac,1* Dr I* F. Price, M P A F Mo- Sweeney, le Dr A.-K. Myers. F.-K. Sunim«*r, Kayinond 1 Vger, Moncton;

: Jos. VV Hiobard. Ki*,hibouctou Villa- [ g* l’hon D \ l^ndry, Itouctouche, j l hou F. -A Keilly. Flmn. A.-J. I>é- j ger. Moncton. I’hon. T.-J Bourque, j Uirhihouctou, .1 -k- Bovd. Moncton,

b* Dr Knyrn«md Fandrv . H -H W«*r- î man, A.-hi Tn mblav, Sou Honneur ! 1«* juge \ -T lioldam*. C I> H* bert.

Dupuis C'orner, n* Dr F N. Bourqu»*, \«*ncton. Kx'liard O’Duirv . Kichi- .M«*ucl*»u, le Dr Kuclid* I/g*T, b Dr ^ von Faudet, Moncton. John L* g* r. Bathurst. Kené Richard- Sack ville, le Dr Alfred Gaudet. Moncton, le Dr Arthur Mclunnon. «b* Kl ver Glade. Jumcji-P Sherry. Momramcook. le Dr Camilb* Gamb ’ âmt .lox'ph, EreJ-H Glasby, Shédiac, \lfr--l Roy, éditeur «i«‘ l'Fvang* lin* . Aloucton.I D»'» têléfranimes . i lettres «le fê leiia iU»u furent revu» «l«* l tien sénateur Pascal l,'*iM«r *lu l<« v l’tire Tipsier apcleu mc«« président de lT’nt\er»it* Salut-.1. iv,*pn «les •v'i ura *le Noir»*-D.»m«* du s.mt# < •••ur du Dr i«oiil«-NafMtlèon ll«*ur«iue M T «i .1 t'etmvfcu. Ilabtax Mini* *► N| \u* lrt«tiM*u Toronto, < lareiua* « orniier. \\»d thani. NiitJvv David Richard !Monct<*n.H <’ lait K K \teD«*nal«i. rhédiar Ken*’ Kn*hard Sqckvilie. Richard («'I,*m D . Rich mici-ou

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v« r-1 ; c d.* l« ur ordinationParia it *-n anglais rt N'a«lr(MtHant «mr-

t«<ul aux la'«|u*-4 qui étuioiit autour de lui s.4 «.raideur a dit ‘L'Egliae cathoh que vous alun* tou», «pie vous «oyez. <-a- tholppies romains presbytérien* «»u métlio- dist - \ , ir, êt*** |M>rté* à (Toir * j>eiit-étrep.ir<-** <pi*' N'.us ne r*>nc«jutre/. paa de» l»< tr. « tth< ; pi* s bien souvent, qu Ils s .i,* étroit* <1 nNprit l^*isse/-moi vouh a«- yirer -i .* c. D n .-st paa le ca-' Il travaillent conscieiicl* .seuient ••! c«>rdlaiement au t ! *n-étr«» d* mitre province et ue notr«*

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# *audet *iul exprima l’espoir <le voir n«»tre ‘ t)l«*n-alrriA »ou\«>rain revenir à la santé ra-

; * I* ni.n» Il proposa aussi la santé de la > llle d* " hêdia* s,,n Honneur U* maire W lute répondit ce toast J’estime «lit-il. 'pi*- ce-t un grand honnetir pour moi au nom «le la vill. «le shédiac et comme maire <1( répondre , «e t«»ast et de parler au nom

I *I*-' * uns «i, notre diatingué jubilaire t'e-i j certes une chose agréable «le voir réunis autour «lu IVr« Cormier un si grand nom bre d amis «•! de suis certain «pie ceux qu: re sont pas pr- <enten Tiemonne I«« M*nt au moins en «-.pri• J'««xprinK* le" sentiment«. de -s-s ami a partir d«« Halifax «t \ an coin «*r «uiarwl j ««tfr»* au IVre (’«»rmJer leurs • (ir(iia;* s fé|i«*)tation» à 1 o«*casion de <•«• glorunx anniversaire «1«» son «>rdination

a la prêtrise «*t ft | occaalon «i«* I aiuuvoraa'-■ r»; «!*• sa ualsaance

Xucua langage Ile faut exprimer les sen dînent» que je rézen*. car j ai eu 1« Ivnbéur de connaître k Pire Cormier pour

« des année» et je p«d« «lire sans hle»ser la lérité «juc s«»n intégrité M.n honnêteté et sa granu«* «tncérité lui out toujour* attiré le respect «le «*eux qui sont venu* en contait avec lui «au* difdinctmii de race ou <1«* r* liai on

l'eielaiit .V) ans. il « «*st • lépensé au servie** de l Kghse il a montré dans I .e

, <<miphs*einent le s.** devr»ir« de l*elie« «iiiaüté» «1 administrateur 11 a ti ivaillé

' avec un patrioti»me digne des plu» grands éloge» k I a v Mûrement de la uatcmalité• * de la «*au»o de I éducation «lans tout**

• carrière, il a déplo>é un courage, un»*1* - v au té un esprit «le charité «t une haie Jeté qui en ont fait l un d««s honime*» le»

i plus rttruarquat»l*s« de wm é|M>que dan* U« province* maritime»

I * démons» ration à la«iuelle nous asNi^^ tons aujourd hui doit réjouir profotidé- r.u-iit i«- giSnéreux «xeur «lu IVre ('«irruier i\prC*a ***'s notnbreiiMs< années «le iatM*ur U *e voit honor r d une manlèru Kp**riale par la présence «lu vénérai»- évêque de ci* «liocése. le.s prélat» üoiuestmue» «lu diocé m- de s»*» «Yinfrêre» dan» U* clergé «*t «1«* m-s nombreux amis chez le» laïque» tous

■ «•courus ft ret te fête «lans !«• seul but «h- lui «-xprlnirr leur \i\«- appréciation «i«- s*-s ts-lj«» «t noble* qualité*. (Via doit lui donner I assurance «pie «**» iat» ur* n’ont pas été eti vain

Parlant au nom de *«vs amis «le Shédiac, | Je veux lui dire que nous «xintlnueron» &| prier av*s- ferveur i>our son complet r**-J tour A la sant*' <\ prier pour qu i! soit |

iiservé ft Nés amU j>our «le munhieusos fthiiAm encor*- J’ai le plaisir, cher l’êre ( «.riiiier de vous présenter au nom de v s* uns lai*pi«*s cette bour«4-, faü> e témoigua- g«- <! l a.T«*cti«>n et de l admiration que nous vous port<*ns

i.abb («audi-t proposa ensuit** la zanté «lu jubilaire Cotte santé- fut reçue avec j

■ ri enthousiasme ««xtraordm- ire «-t une ovation ftit ac«*>rd<V au |*Are t'ormieri «pii. « mu remercia oordiaienient »*■«» noui- br*>ux ainD, s;4 Uran<i«- r Mgr latBianc -«•s confr-vrcs. les me in bn's du cl«*rgé «-t i**k laujue» français et anglais «|ui ont.«en voulu lui donner une si Udle marque

<1 amitié 11 fit txdèvement allusion aux «rmé« K (lassées (>ar mi «lanz l«-s inOrs <ie

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IV- v ans ;>iu* tard I ayant reneoutré à nouveau II nv* réper» son <»n«eile« » • -ur r«p.,r*. mais valet «• qM’Il ms rspaîxétt celt» fatsi

"i» *al« «sus xusrlr tf’absrif, st vsu* ma payarsi isrsqus «sus ssrstrsmaistsmeat ratabU"t II meo'.Ma rjr Vehamp 1 tsv*!*;- « «{«• .-e Tnervetl>e*ix

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Je vo- * prierai «le bien vouloir publier «>etfe lettre afin q«te ceux nul NF K ED ftltOt; N T PAS IK PRIX 1)1 NK si PROMPTK Ol’KRÜAON1

Votre dévouéSigné — P. SAURANSE

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travaillé avec tant «le «nicr«>s à l’agran'lis- M-mer.t «1«- la t»*i!«« i niversité Acadienne Ue yicmrarnc«m»

I- abbé Kdwani Savage. cur(’ «le I;» paroisse Salnt-Rci nard et i’abbé Désiré l,«*ger «-uré «1*« Saint-i^>uis-«U-France, i «* pondirent ft la rante «lu chirg*' et tous <leuv firent i éi«)g.- «lu jubilalu- Kn »**rmi- nant »«•> tr«»|« cour»*'- r«-»nar«jue*'. l’abivé Loger («régenta au lVr«* ( <inni« r au nom du ••U-rg*' une I»«»ui>e l»i« u rt'inplie «i'«*r.

D'autres «lisccurn fur« nt |>r <u«»uc»'-> par >on Honneur 1«* juge Arthur-T G-blanc le Dr Alphon-**- H(uniany « t le Dr .1 «' Webster 1 .♦ jug* 1 eblauc «xprima avx-c él«»«iu« n< «’ le» s«'M»iir.« nt* d afT*-<-tiou et «1 estime «iue le» Acadiens portent au IVre Cormier le Dr N«»rmany *l<»nna aux u«*m- breux amis du i’êr«- <'««nnw r I asMiram*© que avec «h- l« prudence et «les ««oins le Jubilaire pouvait \i\r«* «ticor*- <l« n«>m-bri'useK annts-K «-t le Dr Wt‘bst««r ra(»j*«-la surtout le travail accompli par le Père Cormier a la Drand» - Pn'e

L’ablg* Datidet prop«>sa ensuit*- la santé des br>nn«va Sœurs de la Providence, qui ont préparé le banquet Iniiti)*- <i«- «lire que cette -.aiité fut bu«- avec euthou*ia*me et rec«>i

Imméiliatement après I*- ban«iu«-t l«‘«i invités »♦■ remhrcnt i. la salle «le Vhospice où le Père i • rml«T fut l’objet «l’une l*«'!l*- dêm«»ns*rati«»n «1«- la part du p'-rsounel *-t des enfants «i«- l’h«>spice C«*s «h-rnU-rs lui exprinkrent l«-urs in< ilicurs «la'- «lans une jolie chanson, puis un* lillette lui prévnta une adresse I.«- IV*-*- < ■ rnn.-r sut trouver d« b«»nn«-s paroles pour remercier avec * tTu«lon les orphelins «i ii vi\«*nt sou» h- même toit «jue lui. a la Pr«>v id**no!c Saint-Joseph, aussi bi«n que l«*s révér«’ndes

i Suit#» à la page 12, 4 oolonoe)

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Se trouver quehiue part en Flori- d» . sous un >*»leil d'été, au milieu dos lleur.s. **t ( 1 « * s orangers aux fniits d’or, ou le fialrnier. s'inelim* doucement sou h la brise légère voilà le irrand ré\e «h* oentaines des (’a- j uadiens à chaque hiver.

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LE SOLEIL EST BON POUR VOUS. Iloot bon pour leo enfants bon pourles gens âgés. Tout le monde semble

être un peu plus heureux quand le soleil brille

L’hiver dans la Californie Méridionale c'est le printemps. Du Soleil chaud, vivifiant presque tous les jours des vertes collines et des canyons des oranges dorées mûrissant à un mille en bas des sommets couronnés de neige.

Ici le monde entier du plaisir attend la famille. Il y a tant de choses à voir tant de choses à faire tant da nombreux endroits à visiter. Des montagnes dont les unes ont près de trois milles de hauteur. Un littoral à l’infinie variété. Les vastes étendues de déserts sahariens de beaux hôtels maintenant là établis. Une ville métropolitaine avec opéra. théâtres et tous les divertissements de la société.

Les chic ma qui sont au

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service des étoiles de vues animées les jolies salles de lunch et les dinern-danse aux grands hôtels feront les délices des dames.

Les enfants joueront au grand air tous les jours. Il y a de superbes écoles ici.

Et le papa pourra jouer au golf sur 65 champs d’émeraude courrir à cheval dans les canyons d'un vert vivant — et autrement se refaire pour les journées actives qui l’attendent dans l'Ouest.

Si toute la famille joue au golf et aimeà aller à cheval, tant mieux.

Il y a des ausementa en abondance pour lea jeunes et pour les vieux.

La famille jouira de son séjour dans la Californie Méridionale.

Les membres en reviendront, cuivrés d’une saine couche

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S3

L doigt m\feVrn-ux qui dan> noU* .un D'un |>a>sé mûino <du r la fugiiiv» trac» ,I ) n' hou pii* tnueli» r u du t» rnpHRafraîchit en notre *‘‘tro un irnmurid printemps, Kt qui fan sVstompcr. indicild • mirage,Dans le recul «les jours tout tout nuage,Lange dont lu vertu \'r < «lai, h* secret Sur chaque houv«nir l'a{>ai>«ment disçret,( Vdui qui de.', dé bris dont !:i \ i«* «■ jonché*Kt dont elle \oudrait r' !» «mpanaché»Pour le rappel visant <r« i-hémèrcK bonheurs incesHHmmcnt renaît m»us nouvelles c«>uleurs, L'invincible ouvrier qui. traître à lu ni «moire, S'a(‘harue sans répit ;» lui voler sa gloin-.Celui qu’un soin jaloux « n‘vain tu nt éloigné Puisquen nous, chaqtn* j »',r. s«»n nom r« te Comme un «iéti puissnnt ;i la fausse e»|M rance (û’ap|M>rte le partum «!• Ileiirs <b* -ou\« nanc»- Oui voudraient du pa->«- f«r\«-nt» illusion.A j a mai- prolong«*r la chaud** -,ionL«' sandale par qui tout «diagrin s’atténue.Qui d’un mal pré**ieux fait douleur trop menue, (’et hôte redoiitahl»* d«* l’intimil»Où l’amour fait en vain des vieux d et Ce maître qu’a donné la nature à tout Vous l’avez devin*, e'est “(liibli’ qu u ("est lui qui chaqu*' nuit beryant i otr- Nous aait tous au rév« ii chanter 1* reiiou\**au C’est le magicien qui sait voiler nos neines,\a‘ pacifica!**ur <les rancœurs *t d« haines. Mais qui de nos bonheurs, en « gai* rançon. Dérobe h nos regards 1* mou van’ horizon Tout paysage fuit contours, nuances vive?. Grèce à ce pourvoyeur *l«Qui donne a la souffrance Et d’un timide espoir fait L’oubli c’eut un ami que Mais i! trouble l’esprit qu Ou qui dana d’au*n - cœur L’ounli ! Combien ce mot

.Je vous invite aujourd'hui à une ■éanee d'horticulture. Si vous vouït/, sous v « «s doigta habiles v ont i>ous- a« r, en mimâture^plantos ran**, ar- biit* - exotique* ou modeste# fleurettes.

< «-ia pour le bonheur den j>etit8, uii peu pour l<- vôtn aussi, ear travailler pour la joie des enfanta, c’est travailler pour la joie du foyer.

‘sans compter l'amusement réel de cette riante occupation.

Les accessoires nécessaires.I n carton plus ou moins grand :’i vo-

gout calendrier, dessus de bol-

'e la c*»lle très <‘lair** u vernis vert et marron ou bois, u petit gravier, quelque* cailloux

GRAPHOLOGIEOn d«M «fiveyer trois •« quatre

P • S •• d'êcr Itur o sur du papier non rtgls pa« da la copie a»oc un coupon gr « photo |1 q uo ot 10 sous on tim or•» pour un* stuëo dan» la Journal *ou» un pseudonyms, tl l'an dotlr» un* analyso plus complota, /an dotr» envoyer SI.00 ot uno adret*# * Claude Ceylo, “Le Soleil''. Le» repontet pa roltrent le vendredi en pogo témlnlne

marion < 'est m t.oinma srnslb..- *■* U.n, ( apable <1« délicatrt trA- ,f ftst ueu*

I.a v-- '.'/■• ,»,t faiUlr*. facilement tn-fl mnc<V*. U ■ rfn- pe«i da r As 1 «tance à revit •, »i s< i.i jil dfsldéa «jue lui li e*>t vif. Inipaticuf (in ihmi nerveu* et lrrttat>U. uiali jaioais l»»ient. ni uur.

Il « t • f #« fait Lien aon travail tT)aI« H s*» <.» •«• fav’ilement décourager par • * difflrult/s I Mirneur est changeant*

et 11 ne *«aJv pas toujours pourquoi Jo P*-n.«»e qu'il est dépenider et qu'il manqua d or «ire.

li es t • pultle Sincère et franr Hou vent iri^te »t nans courage quand 1rs i ; -es ne V' nt pas L son g«*dt

rÙ

«eux qia'-’ une ►* --de fjtr’iluA rf-vi'-le moins !> en !* < - ,■ fn que lorsnvje le mouve n e«it scriptural v «t si naturel qu'il devientiu( caniuuc

A NI S EL A i l. a 1 esprit -«•nsé. pra tique et ji.ste Sensible, aff.^’tueus**, el e

dévoue pour les Miens quelle aime <»■ .usiveruent « t preeriue Jai<> '.tiH-nt K lie *-t un j** i et son dévouement ne- étend pi,' au delà de r© qui ♦•-t né. eshai t« Klle a de 1 orgueil ««t r-Ilt est sUMCeptl- 1 Me. m&i.s elle n'a pas de vanité.

I n théor ie, » Ile alnn* 1 o dr*- dans ;a pratique cela lawae a désirer l a volonté • t variable Hle j*cut étr© ferme parf >1>, mais pa- toujours Certaine* ot^tliialions rai<l« - ell«‘ * -t un i*eu a’jtorltaln* lotit ilia •’*» «t^« ■ i-u Hans suite, et ma «orre-[. .ndants- s. laisse fa<-.;. m«*nt Influencer

Actif lmp«i)si\e apportant de I ardenr . » . u eilt fait elle s«* fa'igu* aisément

r»)De [•«•lits bouchon# de liègo de

formats.i<i/ies <i** laiton un ih*u jt*>s»

u laiton tin et moyen.ia vert, du crin, du gros n j i’ et quelques plurru g t dindon ou d autres plu-

r;.j

rnite, homme

U* nomme repos

! su;I bad

neuv* - i»« rsfMTtivHS un souffle **réiteur un rayon vainqu«‘ur : parfois l'on appelle

v **u • rest«*r fi«i«*!e «Taint son fatal pouvoir me lait réver <•♦• soir

LOI ISF DF PROVENCE

Fri tr.'i vaillant, vous trouverez ut-«'tre bo n «!*•> choses it utiliser mu *- -ou ent, jo vous men*? on un amp a--* /. vast** à exploiterComment procéder. 1 l’repA

\ ,* « un pinceau, de pr* f«T«*noe at * ?« «air» sur le carton choisi

'ère de * em<i --1 ! « ■1 1«« gravier. Ménager si l'on ‘til «le- part**rr*«s dont «»n aura

alableinent dessiné les contours el 1.1 !«• fond en vert (verni» ou #ou-

ur à l'eau;J Tamil' que ce premier travail cho , «*oup* r *lan« les bouchon» «I*» v «i«- jM-tit- -oeles ronds pour I»

■ •; ne doivent pas être tr« .- - <« ront plus ou moins larges

la plante qu’ils auront a

.'f> aKlté*. . t uerv.-ii***. un et Impati. ntc

, • •. Li'.*- alm*«mais •'«» • '-rve lernpécbe

•t . la* m* conte pa* pro-

novembre 102 S

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it tir Ht Ht Tit'iir'Tr'mi; n m m i.r

ENIGMESKn feuilletant un* an .* nne tra

duction des œuvras de Schiller *•* grand poète allemand que vou- con- naisagz au moins de réputation -i

i voua n’avez jamais «u l'occasion d«* (lire quelques-unes de ses œuvre, j j’ai trouvé do jolies énigme- poétiques que vous ne serez piu'-étrc pas fâchée de connaître. Mail» m

1 selle /L’auteur d*? la “Tril«»gi« do al-

i lenstcin” s’amusait probabh in* i’' ces innocents délassements lurH«ju il

• venait de travailhT à quelque grand ’ ouvrage.

Allez-vous trouver i» mot «b- c-lu j que je vous soumets * n pn nia r

“Un pont bâti de per' > >'*l«vi au-dessus d’un** m«r grisâtre; il -•

tit en un clin d’œil et mont** âj bâ

QUE VOS FAUSSES DENTS

VOUS SEMBLENTNATURELLESV

et qui l à construit En bien ! Mad*

une hauteur qui *loiint :e vertig*Des plus liauts navires l«s plus

hauts mâts pas>«nt sous son arche; lui-même n’a encore porté nulle charge, et dès que tu approche-, il semble fuir

Il ne naît qu'avec le torrent «i disparaît sitôt que les ondes tarissent.

Dis-nous où se trouve < «■ pon1 avec* tant «l’art ’ moiw’Ile, j’attends

la répors*. \e la trouv « z-vou?* p* C'Vst l’ar-< ii-ciel dont veut i»arl**r le poète.

Feut-ètr (l«*co:iVTir«/.-vous plu> la chôment le mot de la deuxiènn*énigme ?

“Il te mène à des milles de distance, et pourtant demeure toujours à sa place; il n’a point d «îles à déployer, et t’emporte à travers les airs.

< ”e»t le plu» rapid* «-quit qui jamais ait conduit vo.vageur «t :•

répondr» a «•♦* Mgnai* m**nt .’"J’habite dans un** mai-on de pier

re: j’y r*‘ste <*a**hé et je dors; mais je parais je m’élance, provoqué a- v»*<* une arme *le fer. D’abord je suis presque invisible, et faible et pc’it ton halein* jM*ut m*« <lomp- ter; mais dan^ la victoire, il me f>« •uvs«‘ des ailes: si ma puissante -••ucr s’allie à moi, je cnn je deviens le dominateur redoutable du monde.”

t'Yst. cette fois, «le l’étincelle qu'il s’agit.

"Comment s'appelle l’objet que p* u d'hommes estiment?

Kt pourtant il honore la main du plu s grand empereur.

11 est fait pour blesser et tient de fort près au glaive.

Il n«* veiN** pas «h* .-«n^, et fait pourtant mill** blessure», il ne *lé- pouilie personne, ot pourtant enrichit; il a conquis 1»* globe terrestre. il fait la u* douce et égale.

Il a fondé l«s plus grands empires; il « bâti les plu- ancienne»' cités; jamais pourtant il n'alluma la guerre, et heur» ux le peuple qui met en lui sa confiance.”

^ êtes-vous. Mademoiselle? Non * Alors je dois venir à votre aide. C'est la charrue.

lût écoutez maintenant ce que 1< }«oète dit du navire. Mais où ai-j« l* prit de vous faire eonnattr** a- vant, le mot «ie l’énigme!

un oiseau, et. rivalise avec le

pour la ra- vol do l’ai

de *1* mer.-, il t< la pensée

I travers la plus vai ! |Mirf** avec la v il« -«• un clin d’œil lui suffit

N ous ne voy< / pa- * nc**r« à que! instruinant TauU ur fa t nllu • n Au télogooiH*. tout simphiucnt

“Entre tous U s. rîM »its. é**rit-il plus loin, il en est n’a iM.iint * ng«*n*lré, «•n rapidité, nul en

sa proie avec un** exterrnin. . dans le cavalier * t ‘«a

MILTONVOUS

/

quelque» pag« - \m qu© la ten*'

I que nul n’égalt fureur.

Il s’élance sur voix formidable; un accès do rag*

; mont un*Il aime les plus haute» cime ni

-errures, ni verrou ne jh*ui pré-»*r- ver d© son attaque, une annun*

i l'attire.11 hri*-*' en deux, «omme d*- min-

i «•*» épis, l’arbr** h p'iis fort; il p« ut broyer l’airain, qu !quc é|*ais et

: «lur qu’il soitKt ce monstre jamai» n’a mena-

• é* deux bus il « xpin «laris son ( propre feu- dès qu'il tue. il esti mort !“

I.'éclair n«* \«» i- »**mbl©-t-il t>a*:

"f' est pidité, il

C’es» un poisson, il fend la v'ague qui jamais encor*» ne porta de mon— tr«* plus grand

CVst un él* yliant qui jHirte d* s tours sur son énorme <l*»s.

11 ress**mble i r*»ng»ance ram-, pante <i«s araign*'*- lorsqu'il remu** .»c- pieds.

Kt. soli<l*‘m**nt cramponné avec D’ a ."u d* fer, il - tien!

comme sur des pieds inébratilabl*- et brave l'ouragan furieux.”

Pour cette dernière, il vous faudra chercher quelque temps, je crois

“Connais-tu <«• tableau sur un fond tendre. 11 »<* «lonne à lui-m* ■ la lumière et l'é'lat. \ tout heur© il *-»L autre, ot toujours frais et entier. Il * M exécuté dana le plu - troit espo* « ; le plus p* tit ca*ln* l'* i tour*»; cependant toute grandeur qui te frappe, tu ne la connais qu« par <•*• tableau. Kt peux-tu nommer ••cri« ta! ? Nulle pi*»rn* pré«*i*»u»e n«régini*- en valeur: il brill*- »an» «-mai» biû « r. il «Mire à lui tout Pu-ni vc•r». D» ei*»l même se |H»int dan»»«>n *•♦ r«le merveilleux. 1Kt pourtant#©# r* ff« • » -ont « fi'S*re l>Iu» beauxqu** <•* * qu’il reçoit <hi *1* •nor»’’.

V ofre r*gar«l ^mblo m*- deman-«1er: Qu'est-ce'’ <

\ou» avez probablement entendu dire que Milton nettoie effectivement le» faua- se* dents de façon quasi mirdcu'euse, sans les moindres dommages. Parlez-en à votre dentiste.

j Milton fait mieux encore. Il vous donneJ I B B* wl 1 l'impre «ton «pie I* dentier est t b ose i,«-

B ■ ■■ ■ ^ ■ tureile dan* votre bouche, et c basse la V sensation de malaise étrange et d'embar-

B f ras Quantité de sens ont écrit que pource se ul bienfait Milton leur est d'une valeur inappréc able.

Faitea-en l'estai ! Il réusait toujours !Lea deux seuls' procédés de nettoyage des fausses dents sont décrits dans le petit livre qui accompagne la bouteille. Troia grosseurs : 35c. 66c et $1. cher votre plus proche marchand.

Agent* vendeur.: HAROLD F. RITCHIE A CO LIMITED. TORONTO

m HANQUR ms de uni U LIVRE oui accompagne la BOUTEIllf

r Sentences( ♦•tt«

R« \ u*1 de*plis*»fn.èt*

extrait**Quaml

d'un r*»eu»»il qm paraitra aux éditions *♦» penchent l«»s lys.

>1.» I

Ia»> vrai'- umanl.- sont ceux qu’on n** <*«>nnaiira pa Le- vrais lainheur» -**nt ****ux dont on rêve tout ba- 1 vrai- *'-poir» sont ••••ux »l*> rhenn*u»**« iguorau*»*I»»- vrai» baisers, sont <* ux qm» l’on donne **n sil*«ne*‘D s vrai» plaisirs -ont ceux dont on voudrait mourir lies vrai» chagrina sont ceux qui non» font muni» -«mTnr ï>e» vrai» désirs »<*nt ••* iix qu** l’on sait impo‘sib!».« D»s vrais r**gar*l» aunt ceux *1»*» âmes irm-inb . lie» vrais parfums sont c*mi\ de nos jardins obscurs. !>»- vrai» n nmrd» »ont « « n l«-> être» 1< » plu.» pur» !»•» vrai» ravon.» sont ceux d’une lointaine aurore I»*- vrais héros sont ceux d*»ni la beauté s’igimn D*» c*M ür» vrai» ^nt 1* » *•<»« «ir- *pii »avent pardonner lie* êtr* s v rais sont ceux plus lent# à se donner Ix»- vrai- eoiipaf»les sont c* ux que le niond*» excuse Kt l’amour I** plus vrai, c * -t ©elui qu’on refu-e

“LF. GAULOIS

Inir«nluir«» au centre du bouchon un»* épingle »'ii laiton, la pointe déj'a--nnt **n «l«--oii» mftisamnieiitp«i ir p**rn « ttr** «i** !u j»iquer sur h* ^**1 ou carton, -an» le tra .« r-* r e*»rnplèt*»- ni*'n! ( >n j h • u t ain-i planter et déplanter a voient» . en tout cas maintenir le- arbu-te- en place.

1.**-, épingle» *!*• laiton sont pré- féru b.**< u « . les d’acier, parce que phis gr«*-s - «-t plu» fH«'il*:- a **«»uper ftv*-«» un»* pince s’il est nécessiur*'; les égrat ignores seront aussi moins a craindre car le laiton piquera moins

KVpmglo ain»i lixee pourra «iev»*- nr une tige ou servir de tuteur si ia plante <-• montée à part

< «s premiers préparatifs faire, con- feciionrur le» arbustes

Le» palmiers. Toutes les e«- p» «■> > {•c uvent être imitées i»v<m* <1»- pjut..'- platen, plum* » do p*»u!** . <le dindon ou autres, coupée» par le bas A la longueur voulu.

K barber le tuyau <*n ne laissant qu»- !• haut de la plume é'alé en

an*' n*!i.Avec du fil ou du coton. Axer dan»

I** haut d’un laiton plusieurs plumes a nsi préparé**» le- dispose r en eou- r< • ne ou en bouquet rond

Introduire la tige du laiton ?i cô'«' d*» l’épingle d’un pied de liège . entourer h* tout d*- coton {>!at pour fornur un tronc prop*»rtiot-ni Si le laiton est plus haut qm- l'épingle ce qui sera souvent née»- .aires , i i- veler T» { ai-êtir hv«*c du eoton lye tronc peut être plu» gr dans !.• bas

Knfln. f arter en éventail le» brins de chaque plume en r*«li**rchnnt limitation *le la plant*-, mouiller légèrem* rit pour ma it t*t.r durant « t • ■Vert pour coller . empêcher la forme naturelle de reparaître et assurer en même temps la solidité

Si vous n’ébarbez pas le tuyau et si vous vous écarte/ brin par brin, vous imiterez les feuilles d** cocotiers ou de phrenix.

Dan-. <•»» cas. au lieu d’une seule I '«• il ©n tau’ p] isii ri d* rentes hauteur», par ('«ni--quent plu sieurs laitons autour do l'épingle et rassemblé** seulement à la base

l/cs plumes de vautour de vos plumeaux, le» plum*» d’au'nirhe pîat**s peuvent êtn* également utili*»*'*-- « ycomme il s’agit <1** pa i-ii» r tout qu’il y a de plus nains vous en trouverez sans couinn-itre «le dégi —

Avec ces nié ni* » phim« - et *• m-'- nie procédé, vous tenu • - t- uff* - -:«- fougère sans laiton cette f*»?» directement autour de IV-pingle coupée même presque au niveau du bouchon.

lye# tige- et tronc» seront passé» au verni- brun ou boi»

Les sapins. -T < It* - sorte* «i e»- pèces seront unit* * » ave*» *i**s crini d*1 brosse ou «le balai noués en échelle sur un laiton fin. pour former des branche» de différentes Ion gu ©tirs.

Lai-sor dans le bas un bout de laiton vide pour attacher.

Les deux plu» petit*-» branche* «lu haut auront 1«*> plu» longues tig*- Placée» vertivalement, **’*»t autour «l”elles que «eront aeero**hé« s ou plutôt tordues toute» 1« » autre*.

Disposé»*» **n simple triangle, ou en couronne, alternée» régulièrement, touffues, peu import* le- p«tito» branch*»» seront touj«>ur» en 1 it, l *» grand*-» « n bas, et la progressmn régulière.

L'assemblag© *l«'» lait«>ns *î« » i« n- «Ira le tronc, qui, appuy• s ir l'épiri- gl«» du p«‘tit s-**!*-, fera **«*rp> av**<• « Ile dans un enroulement d« c.iton.

fê verni» maintiendra l«» tout en forme.

I*?» aiginll*- ou feuille» pourront être «lr«*it*»» «*u rabattu* - l'g<r«-m*ni

Plantes diverse*. I.« raphia \« -t tira d’imiter les plantes aux s allongées.

tu p*»r «1 iffcren t*'- longueurs «le raphia, le- tailhr *ri |>oirite *run seul côté, |)ui» I*»» di-p *-« r autour «l’uni* tig*» rtgi'l**, boi» d allumette ««u autre, le» fixer en le» entourant de fll ou coton CVtmtnenecr par le haut do la tig»« et par 1* » plu» ! grata b bout©. e«»ntinuer «*ti «h -«•«■n*lant. imbriquer lo» rang- t* rnnn*»r par h » plus petit» bouts; I« - Jeune» ieui!l«*« partant *lu ba* »*»nt plus chu»* inc. » et m«*in- étalée»

L«» même procédé mais avi-e des feuille» d© même longueur di«j>osées • n épni-»eur »ur un* tic** trè* cour- t*-. donnera un sup«rbe yucca ou de simples roseaux à v*»tr*» goût, l’uni denian<l«> plu* d épassetir. l’autre plu» *1*' hauteur.

Il m*' semble qu© v«ulà u n joli

•*« devient a ix «i irritant-

EU.» *st P U parler

de *•• «*«>nfi*T pr--- a'Taii

YVON m f.o'nme vr»! unIn-u < ■ « «»r*». «lt«nt i ImaginâtIodrntn ti r • i iiioons ••t i**»ut nulr< n la ' du ' icM» Il «-t «en-* pratl- « j u** <* «plant il réfléchira loujour», Il y aura un tcrai'-l progrès

Il * t a< tif. Il a «le la U»nne volonté la volon*/ •-t vive, souple. vanetM*- «**

[nu fail»!*' II a «*«i an liant certaines t« r.a« .•.« - mi.iis il -«* i*i'- «**-*• / f.c il. i,i. ni rehuter par les obstacles et les dlf ficultés

Il --'t b..n. afl«<ctuetiz et «tncér*- I.asensibilit-' «-t viv«- 11 parle heauronp

■ umju’j .n être iniprudent Peu «1 é»:.ii-me# bea'icoup «I- vl*ni>':iclté «t de naturel *ra • c u. frai 1-h l.a t« « ian«'*' L ex-

blsjiuourCARMEN \, ./-voua enfin pu lire

votre analyse ?EXILE I 1 ne

un manuscrit à l encre. L «vn n«* v aut rien pour 1 frtqup je vous l'ai déjà tends fécriture pour et .1 ai r»«;u 1 ar*f«*nt et je v«.u- le

CLAUDE C E Y L A

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Pourquoi !Parce que ce sont les bas de chiffon entièrement façonnés se vendant au plus bas prix* au Canada.Parce que spécialement renforcés, ils durent deux fois plus longtemps.Parce qu’ils sont faits de la meilleure soie.Parce qu’ils sont les seuls à avoir le talon Contour (talon en pointe amélioré * faisant paraître la cheville mince et gracieuse.Parce qu’ils sont fabriqués en une grande variété de nuances populaires, s’harmonisant parfaitement aux costumes et souliers.Pour la qualité et la finesse du tissu, ces bas sont semblables it ceux qui se vendent tl.00 la paire n'importe où.

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CAUSERIE FEMININE^ vwxvs^-x l ^^szszsgyggsg» isœ

LA FETE DE L’IMMACULEE f<~;

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tV t© «J»- riinmamil^, dont le démuu ii«* ternit• . iir On fHmrr » : la donner *n ;m»d* I»* a toute« 1»*h f» inriM-s ■ornent aux jeune» tille».trop noinhreuaee, aujourd’hui, oeller qui foulent aux pied» pureté et de vertu qui, depuis le ohhtfti&nismo, leur a eonfé-

■ une w»rte «i< royauté due- la famille ehrétienne, pour des avantage^ qui aftemhici,; fi un i-m-Ihvaê puisqu'ils les font, le jouet de la fantaisie et de im'on-tanee masculines qu’«‘H**s vendent le’irn droit» a l’héritage rel»\>te

hmtilles.adoieseentes savaient mettre leur jeûnasse et leur avenir sous la

la Vrierg« très pure, avant de lai»^*er le couvent qui abrita leur* teilleure» année», r-l!e» sauraient déjouer l'ennemi qui ko cache sous b**»

iwirure• - du »r tc« qu <*> font de jour en jour moins décente» et moins• Iigin ■ j» i.i joie fre latée den amusements licencieux, dans le» fumées ea-i-iU'UHc» de la cigart’tle et d» ralcool.

Si r «eur «•»» encore as»ex noble et asNez grand pour vouloir un '«nh* r qui re tn.M* u «elui de leurs aïeule» un amour unique, qui em~

..aulne ton • une \.« me rnai-on qui soit un foyer et un sanctuairci au lieu• l'um e« <iht «!•• -«-aiidale ou une auberge de pansage, qu’elles 1** mettent sou»

garde d« ■ 'fivictinr;• - rn u « s, de pratiques régulières d'une religionorofaiîdénu ti» enracinés*

L ne honnéteto qui ne croit pas avoir besoin de motif» surnaturels e-f ; .lus q Juno nitre ♦ Kf»^é»s au naufrage ('elles qui n’attendent aucunes anotioft» «te l autr* vie, ni punitions, ni récompense», qui n’ont pas tl’a- tour pour |« |)i**u qui .h «ornpté tout<,‘ le» heure» de leur < \isfonee seraient

Mien *“»tt«» d« m eonrtner dans b' borne» étroit» de 1» morale !Hans le- cha|adb» de couvent, «fan» le» congrégations d’Enfant» d«*

Marie ou de» millier.» «le jeune» tille», demain, célébreront la fête d* leur nèrw du ciel qu’elle» lui demaruient instamment de b.» aider A traverser « * dang« r- «u la terre et malgré tous les obstacle» de le» faire arriver au »ort.

—id. Maison de mes Rêves

ar *'!I» était meb-« d#- re<*oiinai»-- tn«* envers (’♦•lui qui sait nou» don-n* r t«uite» e« » magnifiques plante», biu otm • * «le l'humanité. Depuis «*e * mp». cultive mon i**titarbre avec amour, je lui doi» U-au- «*o ip puisqu'il m’a prouve que j* pu - être émue -ans pour cela, être ! r. • «b* remuer ciel et terre.

\«»u- |k*u v «•/. vous aussi, ressen- tir !• ' 111*• m»■ j«ue> qu« moi, |>our «‘♦'la. vous n’ave/. qu’à vous procurer un charmant jstit cerisier ♦!« •b ru-ai» in, C4>nnu ixitaniquement sou- b* nom de solanum p»eudocap»i-- tin II appartient au\ solanéts. et par <*<»ii>»«|ueiit, est cousin-germain de* patates, «les tomates et du pé-

* en L« s snob» trouveront peut- • •• -k par» n té un i»eu plébieune funs nous qui n’avon» pas ce» vi-

idées, b» trouvons a--*/, char-

ifJe ne bâtirais pa» mais j»‘ restaurerai»

DqbryA

niant |M>ur le notr» estime il origine, b* oint souvent mai» eu pot jamais un pie

placer très haut dans \ l’état sauvage, où Vieux Monde, il at- Trois à quatre pieds,

il ne dépense prt'-que 1 à un pied et demi.

Dan- l’agreste décor d’un pantible v illage .le rêve en mon esprit d’un secret ermitage

En fermant bien le» yeux je l’ajienuiis soudain f’einturé de vf'rdur»' et loin du grand chemin .

Sur un site escarpé, «l’air pur. «le ciel, s»' grise Aux rasons du soleil sa vieille pierre grise

Pittoresque, l’été, l’hiver il est charmant Drapant -a silhouette «le larnb»*aux d’argent

Autour de lui de fier» sapins montent la gardt Sur un large horizon sa fayade regarde.

rMon nul pour la mbuix \»»;r, .-♦•iiible un p«*u hauaaer

ComriK* il me plaît av«»- son |M*tit air antique 'Fout un pas.-» s'attache «•»• logis rustique

Mon enfance est enclose en se» murs oublié» I )<• bi»-n » 1e r -ou venir- h son «*«>«'ur sont li«',s

\ o!onti«*rs j'en «‘«)ns<*rv«‘ l'aspect un peu terne Pourtant l'inténour est plus frai», plus moderne.

Point de lambris doré». Mais l’honnête confort des moins ambitieux

Sous mon toit s harmonistTs nide plu» pratique

au «‘oucour artistaïue

>'v ~ t»‘iiilles -«»nt lancM «)lées, presqu«4 i»tus» - < lite r» '. l«'g»remeiit on«iu-

d’un b» u vert foncé. Ses fleurs upérieures sont solitain*». I* s latérab*- sont groupées, elles sont i !an«-hes » t tr»’s [M*tites. Ses fruits

n»u'.:« s écarlat.'s HaileyM«»n- "U-ur !»• » • n-u r u’est pas exigent. \ «u« i ce qu'il désire, un bon t«ir- reau. U*aucoup b«*aucoup «le soleil pour mû ir se» fruits, un grand ar- r -cg» t«<us |»*n matins, «'ar il est un assoiffé et ne doit jama » manquer d »au. Il faut aussi arroser son fe uillage une «muple <!«• foi» [«ar semaine, afin de prévenir l'attaque <;*»» mouches blanches, ces grandes ♦■un» nus «1<* toutes b*s solanées.

Maintenant «jue j'ai fait la eon- uaissanc»* (l«* ce g»«ntil petit arbre, i1 me semble «pie Noel ne saurait » 1 r«» «-omplet sans sa présence. 11 P‘»rte l’esprit «le N*m1 sur »e» bran- ci * Et je n’ai plus 1«« regret «le n«* p us « roire à Santa Claus, parce que J ai appris qu«< Dieu sait toujours ii'tu» rendre heureux. A lYntance

\ n iaon nablc il offre sa belle nature, et nous donne des yeux et une âme capables «1 en sentir toute la grandeur et toute» les beautés.

1er décembre 1928.Gabrielle Langelier

i ferre que le grand jour «h* Nuel arriv «•

Elle e.-t au —i pleine «le prome--»* f»>ur l»*s gen» du monde, h*s fort u né- «*ar Fliiver est la sarem «1«*> plai-ir- van»'*», «le» «listne lions multipliées à cett«* époque d«* l’année où la vie est plus mouvementée.

Pour b» pauvre et le miséreux c’est a\«»* tristes.-»- <*t inquiétude qu’il voit arriver l’hiver, •ur il sait bien «pie la neige vient lin apporter froid «u faim.

Pour Pâme charitabb l’hiver vient lui fournir «le nouvelle:-, occasions «b* redoubler hou zèle. «*ar c’est lM-n«iant la dur» «aison «iu’iI > a plus «I#- miaère» à -oulag« r. plus «1» né<***s>iteux à M-<*«Minr.

Pour b* ve illanl. la neige, image «le se» ch»*veux hlancs, lui ap[>or-

des impretwions angoiH»antc» «•: lui r;tpï»«l!»' mieux -a fin |»r»»clia»ii»'. le grand tronl de la mort.

Pour tous, cependant, c«tte tuig»- «b* toute blaiK'heur «*st I’embleme de ce «jui «‘si b»>au « t b«»n la candeur immacul» »' «1- p»*îit«*s âm» -«l’enfant, les a i les blaia h»'» «-t f re- missant«'s «lu s»'raphin, ia pureté «lu lys qui se penche sur !«■ clair ruisseau. les consolations d’une solide amitié le» ivresse» d’un «-haste a- mour, la grandeur «le la charité, la noblesae «lu sa<'rifi»«*. le mérit» de l’abnégation, I’lumwence «i*- Pâme vierge oui «’est vouée a Dieu, la «lignité «lu Divin Créateur, les spien- deur» «l«'s demeures célest» s, «huit toute cette blancheur est la figure.

ARLETTENovembre 1928

A mes- correspondants

COEUM DE MERE \a- ni: I»*»*r*it il ,na-\*r lu f*mirure. «i«* i hum»'ci« r « i «U* I Cti-mlr»* «1«* douvimu «Bai- J»1 I>»uim «lia* \«*us fera*/ mieux «te la iiieltr** ••ntr»‘ les luain» «I ujm» fi-mœe qui travail!» .» T un un car \<>u- p«»urri« / U» ga*|,,ll**r

RE Xà votn* l«'lir*' sinon que vous rraignie/ «iu«- voire irti< le -«*it aeuinia pour appr«»h«ition ii la «llrection du j«*urna! \ *»u» «-ODipn in / quelle a autre cUiom* ù fair«* «pi à -urv«it k r •!«■•. co|»ie> * • roiu'ourM qui Mr*>nt juv imiqueuient par l«'s peraonm-s «iont 1.nom a paru <lan» la pa»»' *'i au meilleur <l«* leur ■onnal-sanr»

RAMONA. I n. uin.V «l..iit m l nie - «t.- ii’ in<l .ieuil II n v a pa- «!e nêcwwité *.« .• priver «1»' faire J «mer le irram«»ph»>ne au in-.in- quami il n v a pa» «r«'trang»T» li \ a Ih-.h.«'oup «i»’ ta un «u-lte ami* «

Un peut a volonté -aiuer «m donner la

MAL Je TE TE

(Hm\!

MigraineNévralgieFièvreGrippeDouleurs

•oulaféapromptement

ni..

La vieille malle la permia-

«I© neigeD«puis nombre «l’annécs ma cu

riosité avait été exicitée par la présence dans un coin r««'ulé du gr«-

v le il le malh* avant ap- mon arrière grand mère, cuir solid»* aux coins angle de fortes c»»ur-

«•ffrait malgré la po us- toiles «l’arragné»*» «lont

nier, d’une part«‘iils à ftâtie en de fer e troes, elle « stère et les

Puisque je fai» dos voeux, j«* nf* vois pas pourquoi Je ne rêverais pas d’un ravivant ch«'Z-moi

Aocueillant et joyeux, frémissant «b* lumière Et dont l’intimité riante, hospitalière,

N H Pour t«ju» renseignement» concernant la culture floral»', *-’a- dr* ser f>ar lettre n Mailemoiselle (iabrielle Iîngelier, Station Expéri- rm-utale, < 'ap*Kouge. P (J

s’offrirait «le tout coeur à ceux dont l’amiti»* Saurait de ma «lemeure api>rendr«* l«' «entier .

CONCOURSEt pour le» heure» d’or d’entière solitmle Pour goflter à loisir les douceur» de l’étude

La première neige

LA MAISON DE MES REVESJ’aurais en ma retraite un coin toujours aimé Où l«' bonheur parfois i»our moi viendrait rimer.

N .«r«* ron«*ours est terminé depuis le 1er décembre, le» réponse» sont ©nue» nombreux » et jolies comme no» lectrice» ont pu juger par ««elles

ju’elh » ont lu* » depuis quelque» semaines «lans la eauscrm féminineprochain les réi ilUkti q n nou • ri*'.! o mmt ^

toqué.» p»i ù tn»! juge» qui ont bien voulu accepter <1«» dé»*eru«*r le» ré-l <»mp« n« * “ Uené. <i« » Orme». Primavéra «'t François© Mu lu l «1» l"'Action

< ’atholiqueEn plu» <I»'« prix «*ff«'rt» f*«r la direction du journal, nous avons reçu

.i un ami <h notre pag* «le beaux livre» Souvenirs d’un voyage «lans la Tartar « , le Thibet « » la (’hine du K. P Hue, prêtre missionnaire de la Oongr«Vatn>n St - f quian* J voluim » ' Vie et Mort du Général S»’rr«‘t «l’Henrv Honleaux, intim»*» «lu Due de Heauvilli« rs (louverneur «lu l>«c «le

Mai ■ 1 Langloia Bibliothécaire de l'Institut Catholique d< Pari», et le Beau Voyage «tes cardinaux français aux Ktats-Pnis « t au (’a- : ada pur Mgr <ir»,i,.f»*. »'vèque du Mans

Et voilà la maison dont mon âme est ravi©I héh&ïde d<* choix, j’y passerais ma vie...

ELLA

Müis i! y a bien longtemps que je ! ai vu© ' «'t j’éfai» bien jeune alorsPourtant j«* la r» v<»i« dans mon ©s-

i(’’« tait um vieille, v bulle masure

dont b» toit branlant était tout «*«m- vert «l’un lichen jaunâtre, probablement desséché par le» embrun» salés

J»* me revois sur son perron \«*r- moulu, en f;u*e d’une épaisse porte ‘ri»»*, toute cloutée «i a«u»*r. Mais

les clous avaient cet te j «articular lté• pie leur» t«*‘t» - inégal» » étai«*iit t«»ut«v "onléei do bleu, «1 un I»©hu bleu-azur;• lerniers vestiges san» «louf«» «l’un© «•ouche «b* peinture . «lont la pose »«• p^Ttlait «léjâ «inns la nuit «b** an».

D© çiiaqu< «■«''•té «I*» «*««tte iK»rte. ©t ■ Montant justpi au t«»it. fort ha» «i’ail- i» ur». deux r' sier» ©ntrelaçHu*nt leur» •rani’h»*». «l'où «lcK«*<‘n<iaient,<« «»mme

une coubY «le miel , «les r»»»e» d’un ,aune «l’aurore, brillant»'» «lans leur robe «le satin parfumé. Elles s'étalaient sur le feuillag© -ombre ©t dentelé. ondul«ns**s « t sui*«tU*» tous le -ouftb* tièd© «le la bris» (’onime t»»u- «e enfant i«* goûtai* « tout Eappro- hai m«*» Wvre» , mais b» fli'tir» é-

taient si doue©», que j© n© leur «ion- nai qu’un baiser Puis j© voulus «*n preonre un»*, une seul©, qui s«*rait à moi bien â m**i. Mai» la Im'11© rose• unplissait b* creux «i© ma j«etit© main, et c’était m doux, hi soyeux, «jue j»* restai» là. »an* mouvement. *©* feuille» «b* la corolle satinéo pa»

d

! |tetite« ride» argenté» ’* -i «ju’elles di"psrais-ai©nt au*flit«‘>f

tm«*s pour

p«*rl« » oufaire place â d«*-! rivière» d««1© diamants précu-ux

1 a murmure <'«»ufu» venait qu’à m«»i. fait «i© sangl'»tn ou rire», «b» bruissement «Euilcs, «*u chuchotements «le la bri*«\. .s voir jM'r<«*nn©, le» yeux agrandi©, lev res iiujett#*» j«» mar»‘hai \«»r» la

ip-«1U

néfre •'iu'lmnt«»<», «»t «1«» tout pr»s j* vu» In mer! lâ mer’ calme <*om- m« un lH«au mir»»ir, bleu© «!«• tout l’azur «lu ci«d, limpble comme un f»»a!i lac «pu «lort î ©t tout près de rmu, un«> v»u\ me revt'illa. ‘,P«»tit© (|ii«« r»*gard«*s-tu ainsi.”’ (’’«'tait graml’m* re qui toute |q«>ch<» «le m«u reniait h»*n «•haj'eb't. «lont le- grams blanc» «Minime «lu lait N’enreulaient autour «I© •’©» d«*igf* tremblant'*

Au même moment un s«m clair et argentin <*ourait sur la nup|>© li<pn«b'

Sanctus tintait aux deux <'li>«'hi*r» lointain» «le ma parei»»© natal»'. «»t t«»ut iM*rd pour m«n «lan» un souv»'- nir confu».

(VjHn«lant. cette vieille maison gris©, au toit branlant, c’était U maison «b* grand-tière. J’avais six ans lonspi’on la re|»oussH un t»©u plus loin l*our bâtir la "Maison Neuve”, cell»» de mon père.

Mais pour moi. quand b»» traça» d© la vu» feront silence, «piaml j© sentirai le beeoin du re\*»*s. «pi© j© v»nuirai ra»- sembler autour «h* moi tous c«*ux «pie j’aime, j© bâtirai probablement "Diant au trav» r» «le me» dreigt» «t « n

tant Dan* mon ravi*-©ment probe- \tai»«m” <1© nies rév«'s ', mais j© gRr»l«v- Memcnt que j© M*rrai un p>u, «ar la rai «1© «M'Ue «1© grand’tfère, port© cruelle m «'nfonça un© épine acérée <m>uleur «l'a<*u»r, «'Unité© d»* bleu, sa qui Ht p ri, »- une goutt© rouge au fenêtre d’<*pale et , n d<*r • boni de mou petit «ioigf. PASSANTE

20 novembre lif-ÎHle creur s»-u«Tain g»'nné, je ne pen- . ._____ . .

-ai plus (ju’à ouvrir la |»»»rt© gns»»,ton jours »m«*''. et c© n’e*t que plus J Ont-ils vraiment le «ïreit «1»* nous tard que j’sppn» qu’il n© taut pas* blâmer de n«»s espéran**©» juvéniles appuyer n - r le» roses , ni sur nu- «•eux nui ont v«»»u «>t «pii uiruet« nant ©une joie dan» la vie Hns©* et j«ne» nous »!i»»nt que la vu* ©M un ti*>u «ont éphémère* 1©* un»*» pupient b*s | «ie qu«4qties jours «!«• l*onheur et «le doigts ; le» autre» en di«parai»sant nomnreu*©» années «le souffranc»© ? font parfois naignor le c<eur ’ Il me semble «pie non «*ar ©ux-

A peine avais-je encadré ma menue même» ont fait les rêv«'s que n«»u» «Ab ©tt© «ian* la |»ort« ; â jMÛne faisons «pian* ils avaient n«'tre âge avmi»-je fait quelque* pas, que i© l>© plus qu© rerait notre vie *i nou* I«r»is enc«>r© «fan* ma mémoire la avions toujours la triste perspective notion de toute* le* ch«'*es qui m’en- «Eun avenir sombre sans amour ettourent P«*ur 1© moment je ne vois plus qu’une fenêtre en far*© de moi Elle me paraît taillé© dan* une seule et grande vitre Mai» une vitre opaqua et p«»urtant lumineuse. <m»u- leur d’opale pailleté*, d’or. Ij» vitre

sans bonheur?...Quelle est «selle d’entre non*,

jeunes Hile*, qui ©n év«Kpiant b". dou«MHi vision* «ic ceux qui nou» sont chers n’a pa» «ntrevu aussi cet endroit merveilleux qui K'appelle "la

Hour moi j avoue qu© j y ai songé bien de» foi* «d plu» j’avance «lan» la vie plu» *«* pré» !-*© «lan» tn«»n imagination l’endroit «pie j© désirerai» tant |M»ur y cacher mon jeun»» b«»n- heur.

,1«' voudrais tout «i’abord que ma maison soit un peu ignorée, «lan» la < ampagiu* et *u • tout près «h*» Ilots «ni m«*s yeux |>ourrent contempb'r l’immensité <1«'» «*nd«*», où me» oreilles pourront ouïr l’harmoni© car«»»- sant«v des vague» ««rrante», ou l«vs bruit» sauvage» d© la mer courroucée.

J’aimerai» qu’elle soit enfouie sous le vert des plant»*.» grimpantes, sous b*» arbre» t«»uffu* remplis «le partum ot «le chants d’ois«»au.

J«« n«» désire pas un palais sont tueux où y règn«v 1«* «h*rm©r mot c«infort, mais une proprette maison «mi 1» sob il «'i l’air pur auront toute tilw-rté «l’y |iénétrer, un intérieur «•onfortabb'meîit meublé. tapis>«s où bien ©n vu© b ru HiNnendu. T«mte» b*» fenêtres «»r- !i« »'■* «I© «irafM'ru*» où la «*ouIeur s’harnmnis© a\»*«’ le* toibdt»*» «I© lit jMMir les chambre* à couch**r; um* «‘iiisim* bb-n prepre «»ù un bon p«h b* n tnplira mon l«»gi» «1«* chaleur ©t «’ii uième temps IVr* api»ré«'i«*r in©» «pia- lité» «I© honn© cuisinière, un jietit sabui familial «*onteiiant un pian»*, de b«»ns fauteuil», une bibliothè«pi© rempli© «b* b«*au.v «>t surtout «le lion» !i- \ r«'v, puis <{«• j«*li«'s drapern*» i>lu* épai**©s et plu» foncé©* qu© pour !«•» autr»'* appart«'m©nt», «1« » fougère* ♦ t beaiutnip »!«• fleur», »urt«nit <1©* chrv- -anilu im s J» n « xig© pas non plus l’éclairag»' à l’élretricité, mai* une

i l*onn© lamp«' «pii emplira mon ix-tit intérieur «i un© bdl»» lumière sous laqut'Ibi j«* |H»urrai lire ou travailler .!«• l‘«»rn» rai «l© façon qu’il soit plaidant à t«»u» <*«*ux qui l’habiteront, as*urée qu© j»* suis qu il n© mainpit*- ra |mus de plaire aux étranger* «pii y pénétreront

S**uls me.* amis d© choix aux 1m*I- i b s qiiallU** «l’« *prit et <h‘ ©«eur. aux manières Miuph * «<t distingué©» s© r» ruM.ntr» r.»ut «lans l’intimité «b* mon *ab»n Mon f«»>«*r n«. «»oûtera |»a» ire* «dur **t j» jNMirrai y vivre hv«>c «b* nuHliqiH's r©>.*»mrc©» »-ar j«* m’appliquerai à nu'ttn* «n pratique b>* nous «•onseil» qu© co nt lent mon»«>ur» «1© ’’ScicncM «lu ménage” en inseman* «diaque jour les recettes «•t le» «ié|M*n**>»

Je sai>irai tout»'* b** r>oea»ion» de faire le bien sachant bien que la satisfaction du <i©v«»ir accompli, peut seule procurer le véritable bonheur.

Il me semble que mon rêv© ©»t réalisable et j’ai l’«Mipoir qu’il <le- v !«'n<ira une réalité sj toutefois Dieu le juge bien ainsi.

“Olivstts”Saint-Bruno «le Kam.

2'.* n«»\embre H*28

const ru ir©' .. J© I» vois déjà surgir dan» un coin paisible du village

Elle diHparaft pr©s«pio sou» un ri- «i©au «1© vuTdure et comme «»!1© a I air (‘«‘ueillant© av«»' s«»n parterre tb uri. «ju’un© grill© enguirlandée d© vigne v u'ige s» pan* «i© la rue.

Tout ©st nu'iibl© avuM* simplicité à l'intérieur, mais I©» appart©ni©ntH bi«*n airé* bien éclairés, h» chauffage central, l’électricité, voilà t«»ut !«• <«)tif’«»rt qm* j’avais rêv©. D© jolies peintures, d«»s hilK'lots, «1« * ib ur» ajoutent un© note gaie à «*«!■ mo«l«*ste intérieur.

Que «1© délicieuses soirées nous ai!» mis pass«*r, l’hiver, à r«*gar<l©r fiaiiib««r les bûches «lans la cheminé© pendant <ju© la tempête gron«icra à l’extérieur.

l«'i, j«» mettrai une bibliothèque. Il; v a m longtemps qu© m« * livres favoris dorment «lan» b» fond «Ds <*ai8- j »«‘s. (’omme ils vont tressaillir d’aise,

des mur» I ©u s© vtiyant bion alignés sur des; Christ »©-J ravons de bibliothNjuc.

Maintenant, montons à l’étage »u- péru'iir J«* veux t*- taire visiter les jolies ©hatnbre» à «joncher «m le m>- leil |*énètre «lans tous les coins, ©t i©j v«>u\ surt«Mit te fain* admirer !a chambre «l'hôte qui j'espère saura te «harmer «.**« / pour t'attirer souvent.; ©t t»> ret«*nir longtemps

Aluni» maintenant au jardin, «*t v «m* c«‘tt«* grande cour où h*s ©n- ;faut* pourront premlre leur» ébats au soleil et au b.m air Quelle «liff»- n*nce a\«c l'air enfumé des grarnb* vilb*» américain*'» qu’ils r»*«pin*nt i«*i!

(Mi! mon ami©! (’ompreuds-tu m«>n Isinhciir! Tu partage» ma joie, n'©*:- <•♦' pa* ’ Je t’en «lirai* encore bien plu* bmg, mais il faut qu© j«> termine! « ar l une «le» condition* «lu «‘«mcour» 1 ©si «!*' n«» pas dépasser AOO mots ; Ha’ lia! Quel t«»ur j© f ai joué ! |

Tout <•© que j© t ai dit plu* haut nVst qu’un n'v© Cest ‘'C»inevra”i «pu a organisé un concours sur \à* "Solei!” D« maison «b* n«»s r» ««•»,; et j'ai pensé m’adresser à t<*i

si ma lettre t<» cause un désappointement, pardonne-ie-moi en jH*n- sant qu© le» armé©* et la «Its'ance n'«*nt pu affaiblir en mon c<v©ur l’amour «ia la Hatrie, et la profonde I affectum «ju*' j». t© porte à m«*s amis, j

E« ris-moi bientôt «'t «lis-moi que ' tu n© m’en veux pa» Tu me «liras! aussi si tu aim** mon pseudonyme!

”D Canada, mon pays, mes a- mours”.

1! neige «{©puis hi«*r soir. Une j ncigo molle, légère semble s© pro- meier «lan» b** espaces, et après avoir voltigé quelques minutes «lans

: les air», vient se po*«‘r tout délic'aU*- inent sur !«•« clôtures, sur les F*ran-

; < h«‘» «b*s arbre», sur les toits des maisons, sur les rout»*». Tout «*st par© «1»* <*©tt© blan<‘h«*ur vaporeuse, ©t à cheminer parmi c«‘S décors, à foub*r aux pi«*ls cette neiga imma- culée, on »♦' ligure un instant être

j fransj>orté «lans un pays de fée*, où tout nVst que douceur, blancheur,

i pureté.( ’••moieu «hffèremmonî elle est a<*-

cueillio parmi nous, oetto neige, et pour qiK'lqms-uns qui la reçoivent av»»* joie, combien se laissent at- tnst«*r et s© sentent froi«l au cœur e i la voyant.

I •• bambin voit apparaître la neige avec «bis «tis d© joie, «'ar elle ©.st. !* ur lui, pleine «b* prom«*.*ses. et il s;:it bi.n «jue c’est l«»rs<jue la n«*ig»* a ©fondu >■ mi blan«' manteau sur la

elle était recouverte, l’Hs|x*ct d’un*' chose inviolable. • .>a forte serrure semblait «lélicr toute Putative d i ffract ion.

Cependant, l autr»' jour, ayant ©n ma possess»ion un trou»s<>au <i«* clefs provenant j© n© sais d'où, j’ai livre contre la vieille mail© un assaut assez rud© mais dont j© suis sorti© victorieuse. La vieille malle enfin va livrer son secret.

Ce n’est pas sans émotions «ju© j’ai contemplé o«*s paperasse jaunie*, «'«•s vieux bout» de dentelle, ces broches certies «b* brillants, toutes <•♦>» choses que les doigts de grand’mèr»' ont touchées, ces relique^ du pas © qu'elle a aimées; puis ce sont des livre» à la couverture fanée, aux pag«*s jauni«*s, «lont les coin» sont un {>©u rognés ; «1© minuscules paniers <1© foin «l’odeur, «l’où s© dégage encore malgré les années, un parfum lég*r. de» cravates «le soie brillante, «les «aintures à boucle «l’argent, enfin un chapelet de buis qui a <1 plus «l’une f«»is glisser «‘ntr© l«s «l«*igts tremblant» de l'aïeule, à c«^té de la liible dont «liffér«*nts verset» sont encore marqués de ztites croix, tandis qu’un bout de ruban bleu marque I encore la j>ag«*, la dernière peut-être que grand mère a lue.

En fa<*e de cette vieille malle, musée d© souvenirs, témoin doute «l«* beaucoup de pcin<‘8 et de joies, mon ©<i»ur sVst serré , a la pensée de ces vieilles choses que mes d«jigt* semblaient profaner, j'ai murmuré un© ardente* prière à la mémoire <1«' celle dont l'Ame s©mbl«* revivre plus que jamais av«*c la vieille malle.

Sylvia LOTTE Tuque. .‘î déc. 1928.

AUROREri-u** Mwnt crll«‘ <!«• (M'aucoup Mautr» * qui

Mint m. r i»'* * tK-* j« uiu * t*i *an» lx*au-< ■iup d<* n ttrxion* av» «- un lionime qui n'a- v.t ! K'i» Mi- «'apacit»' pour KaKii» r *a \ i*1. et qui aurait voulu «pu* vous pul**!»'/ tra- v.i ii«r ,i la fois au q»*l.tns il au M«hi*r- Maintiuiant. il t'*t bi»-n inutit»- «t»- rê<TiiTU- i . i mai» vou- n av» / pa»* «le reprorlx* ù m .* fair»- Par1»/. 1«: m«>ms p«»**tt>U- mai*

< <*ntinurz à a*îit' coinm»* vou* l*- fait***, si \<ms xi-us aperce\•'/. qu»- cela I influenc»* Je tâcherai «le vous r»«'ommamler u uu*-l une* i«-r*»»nncs chantai*!» •* aurie/-\«*us q» * ree. -mmamlat i*-n* '*

INCONNUE. « n»1 e. p.»'M n»r* -I uneenfant Me Mou/»- an* m- man-ju»- |*:i- «i into- r« t »t *i elle ne <l»-croct. pa* -t- prix elle aura l»i«-n une m«*nti<*«> «el.i M. j*cnMra »1© i opini.-n <ie* juk«-s J ;.i «euu la pronH'asc et iV-»p«V> qu on *«• «•<>nt.-nt»Ta «1»* cette petite appré : tt i«*il je m po’ivai* fair*- «ta xantajt- m ©u m'avait «U'iuamW1 mon opinion j aurai* Mit bien fran«'lu*in«-nt «jue je trotivai* I» projet pn'maturê. mai- il n'y a rien «i<- n«ti»-ule l.\-Medan* sen lenient l** aùcou|> <i'inégalité*

.!*> vous <ionn«- bi«n entendu sion hoilicitée par ia p« tu© amie.

Si vous voyiex la le-U© tM>rdêe que noua avons «*u «i»-r!nf'rem«*nt. vous ne pourri»/ lu comparer a i papier d© s<n»- e ,.me la in-i»e am«'n«ain< F.Ile fait pitot bonpcr aux frt«-> qui sen viennent a\«-«' leur oi>rtèg*- «le joi»** et de souvenir*, moins uais c«uix-lâ ©f à l'usa*© Mes grandes I* rs»»nne*

NID DE FAUVETTES. < n .-st pasmoi qui jmo-rai )<• n'ai -pi à soum»'ttre le* composition» telle* qu ©11»'* me vi«*nr.ent J< verrai ce «pie j»- puis faire au sujet <i«* lartieh mais j'ai bien |*eur que 1 • *pa<-' mampie J© nous rein* rci«> M** nou veil*-s «pie vous me Monn» r »i une an»'letin«- cor- r« s|s*nMante u laqut.-lh- i ai p«*nsê aouvent

WAN JUNOT J«- I. r»>rr.-lte. mais il ne m «-st pas jMissib.e <!«• putv«ier II »'*t Inutile <1«' m i nvuyer 'r vos travaux

RHEJEANNE. J«- vous f*-rai remar quer «pie j»- ne ni apfs iu- pas (’olett© et «p.< « est «flNKYKX ■ u ré|»ond au four ri-r du S«»leil. ma.- comm» reiTJur n *‘st pas grave vous aur*»/ «pian l même une *t»Mutioii à votre «piestion

I Oui vous pouvez ouvrir le piano et preiqu-r apn's cett*- js-riod** <«© «leuil

DIABLOTIN. UYs r.vj-tt»*, «lomestiiiue* ne valent pas grand «Uio-v . aucun*) n'e*t » titra*’© «N* «pi'U v u em*ore »le mteux. c » *t I** peroxyde «Imyulrogèn** qui «lécolo- r»-. mais n faut s'**n servir oilué. U «a lon- gu»*. il jKiurralt brûi»-r la jm^hu. Quant aux-

rjKiuits pt.armaeeutèpn' qui *■• v«-nM*‘Ut aucun n’e*t p» rmamut pas même t épilation éiecttiqu»- «i il lai*s«- souvent une rl- eati i* © plus laide que 1»' mal lê meilleur r* mêde. c « *t une philosophie «nie *«• rê*i- gn«- à un ennui qui n est pas très grave «*n somme

FRANÇOISE. Vous ave/. rai*<^n d»’ vouloir jmrter <’ônv»-nablement le deuil d«‘ vos parents quelqm* «inc soit la fa«;on qui « st adopté»- un i»«'u partout Dans t»1* vieux pays. cejK'nuant. <»ti est bùm plus sévere qu ici sur ce jioint

1 <p.« tqu»** jh-r*»)unes s<‘ dis|H-nsent d»la toilette |s»t:r des raisons «le santé la* r. st© e*t «*n t' vint conforme aux convenance*

•J Vous pouvez p ter «les bijoux de jais.

3. Votre deuil vous dispense de toute

CACHETSHORIN

| DR ED MORIN t CIL Luwiltf • QUEIEC

dan- son esjiriî. prAd«Arnenl paree <rn’timhtr,,t un»- autre amie Attende* tout de m»m«

la vi - *-st singulière et l'inattendu parfois arrive Quoi<|u *-n soit, ne détruisez pas la bontu opinion «iti ii sembla avoir d© roqs

BLONDE MARQUISE. Tourquol n» te* vous pas venue plu» tOt. 11 y % plac*- [xmr tou©* au courrier et dan» le oemir de la mai ra m

FLEUR BLANCHE. Je uns touJou:routent© «te rendre un •©rdc* quand Je1»- puis

l Trois ans. Je pense que c'e*t partela même «Thm**

j «»n «tonne son temps et aon trara*! i Apr'-s qimlque» mol», on reçoit un

petit salaire4 11 f.«ut s a»ireMer â ! hftpltal, à t«»

<ie rfcolsupérieure ou li la «.Irectrice d» ■* gardes-mai a «1 «s»

oui. mais ii n'y a paa de compara * u ai ec oellee qui pratiquent au dehors ! <• travail i*ar «vxempie ««st plus rêg'illi* et nioiri* épuisant, puisqu'il y a toujour de I aid** et que U * imita no sont pa- reqm>es

*; Il > . ,t Québ«-c plu«d«nxrs hrtpttaux< I u i ont «1 •* • rôle» «le game»*-matade*<'« , i du saint-s.icreimm., de Saint-Pran C»-; d \*-i< «ie "-iu nt - Michel - A rchang «i» i i.ufant Jésus qui aon* aoua Is con ‘roi© d*- re.igi«-UH©*

Il faut avoir dix-huit ans. un oertiflea d»' bonne *ant»' • son médecin. de honn»'

• * *i t pa -

conum-ncer trop vieil!*', «'©la «ienian le d»* la vigueur pour rési*t©r k la fatljjp»e.<m retient mieux ia thô**rie lorsqu on es» jeune *-/?

LULL DES ONDES. La nouvelle arivée ** la hi«-nv< nue Je souhaite qu'ell© s© plais»' parmi nous **a ‘opie -.©ra sou mise aux Juge* «|ui «-nt bien voulu me promettre leur concours

PETITE TIMIDE. Vous n avez qu tchoisir dan* le - listes «pie nous publions d** temps à autr»-* je n ai pas «I autres SOU» «•♦•* d'information li faut attendre le sa medi pour avoir réi>«»n»»' au courrier

MAC DEL EN A. li e«t toujours temps *ie bien faire et j espère «jue l’tnté r«-'t svisrité par le cor» 'u-* *e mikintiendr

J)ar la suite Je soumettrai votre copie aux uges.

SYLVIA LOTTI. la |>»t|te pla vous est accordée av«*c grand plaisir J . bien aimé votre article, i! a évoqué <!< impressions lointaine* et toute- sembla bl«-s J*> le publierai «iês aujourd'hui, s y a de l'espace

manifestât!»»!» Intimes vous en retour <1«^» de noir

ARLETTE.

vis-à-vis <i**s étrangers aux ;K>uvez. envoyer vos souhait» leurs. *ur une carte entourée

\ quelque chose malheur *»st bon. puis»jue cette petit© grippe vous ramène L**» article» sont courts *»! je leur trouverai facilement »me plac-* il faut faire un jsu «i»' variété. Kevei»*/ bientôt l aime h trouver dans mon courrier des écritures familières

REVEUSE RIMOUSKOISE. \e fate» pas d avanc»'* «’ «-*t un»* «msolationpour une femme d# songer que sa dignitést sauvé, mémo si son «snur (*st en

Tout»' démarche actuelle vous nuirait

B. G. S. Vaut pourries Jour donn» de* livres, «les gravur»-* pieuse» «i fleurs ou <i»'* lampion» pour ! autel -I** l«- • chaindU- «le la musique ou encore qu» «lue* douceurs «lans U- temps d«'s fèt.- Dans les missions «»û le* Meurs sont ■ nombre restreint II e*t facile de irouv i (M-caMion «l«‘ leur faire plaisir, parce <( le règlement est ordinairement nioin* **• r»- ©t «iue la communauté e*t plus pauv

2 11 ne faut pa* oublier <iue «•'***♦ u poison «pii doit être pria par goutte» qu'on peut mêler av»*- «lu lait «iiiand lui-ci « *t facilement toléré par 1 *'*tom Je sai* <iu on en d«mne aux i»ers<i!me* «j font de la pre*.*um artériel;*-, « t j ai .»■ entendu parler «le gens m<*n:tet - de tub* cuiose qui .*n f«»nt u*ag. J»* n»' sais pa* c *1 dapr«'-s !*■ conseil «I** leur mé»l,s i Lu tout ca*. tlans mon opinion, «m a i «J.1 -e soigner à tât«nis avec de* remèd « u |>euv*-m et-»' «xcelU-nr* dans certain

fort ma - 11 . -bien diflteih d« m fl« r itix mpt«mw • «,I o.a croit reconnaître s-i vous lisiez livr»- de médecins vou- seriez porté»' croire que vous avez toutes les inala»ii»"- ce «,ui n «*st pas probable

Lunff*n* eu Célosphilk eoiüf 4 i

Kilo»Utn* i Utert orme; fern«»t. Vtrn© I Berlin.Régi uo Ssï»'11«'

I>* d<le la «Jliér ©:«s g©n< le Ni.'jBTd t«>le (Nuléj6o Roi VÎM. (i A’al dar:

»

Dou4/ors ?<

'Ms sr •n'sot ^ Isr* ré jue c’éta1Q

'Il mÇr-1 soh ' IB-n théBOutsIlleil» ' Mo: aMIT# et

“I/e rt M meriTer ds nfl» Kri»< Jé 1s rr C'rlglnal

* -1 SeLa MERE de FAMILLE

mns *?ft* la

Personne ne connait mieux que la mère de famille la valeur d’une bonne santé et d’une constitution robuste. L’ouvrage continuel auquel elle est obligée, la tension des nerfs amenée par sa grande responsabi* lité, le zèle avec lequel elle remplit ses devoirs font de son existence une tache dure et accablante.

C’est pourquoi un si grand nombre de mères nous adressent des lettres pleines de reconnaissance et remplies de bons mots en faveur des Pilules ROUGES, après avoir recouvré par l’usage de ce remède, la santé dont elles ont tant besoin.

Mme L. Van Haverbeke, victime de cette affection qui fait le désespoir de tant de mères, la “faiblesse” vient dire aujourd'hui, aux femmes atteintes de ce mal, de ne pas souffrir inutilement, de ne pas traîner une vie misérable, mais de redevenir fortes et vigoureuses en prenant des Pilules ROUGES. Voici ses proies:

Import*

Arbre de Noël

Avm‘t parfois «le» r©(h t» mouvants, «!© rnsrem «i© no» rêve»

MINUETTO 1Ls VWfa, su piano rêv* «lans l’ombre sxquisr . Un rayon rore ©t h!*»u tremble à re» doigts fluets Et sa langueur re bore© au chant de» menuets Qui resiureiu* ©n eli« un© âme d© marquise.

D'rsqu© j'« t»is « nfiint. No©l n'su-! mit «u être No©l, »i c© Dm Santa (’’ans n’était pas venu garnir notre arbre «1© jouets, bonbons, fruits «*t j «!«• noix dorée*, l’n rien suffit â| l’enfant pour le remplir d’un© j«»ie «léDuMante, délirant» Plus tard.) j»- fus très malheureuse, Drwiu'on! m’apprit que >anta ( lans n'était | qu um* !©iren<ir enfantine; l<* i«*ur où l’on |h rd «'ette illusmn. «l'un | Age o»» («Mit n«*us paratr beau et Dm. est bien tri*?» Notre «iésap- IHÙuU’meni e*’ m grand, que noua croyons t«Mr« •* l»*-* joies d*- la vie times Malheureu* oient les années nous rendent blasés; il nous faut t»»ut un monde Dour nous é- mouvoir. .Te craignais b«*au<*<mp de faire comme plusieurs, dexenir m-

II y a si longtemps que sensibles, de ne plus jamais resaen-, d’être expatriée, et que tir cet enthousiasme irai et sincère

‘M’ai suivi le* conseils «lu médecin des Pilules ROTORS, j’ai fait ce qu’il m’a «lit. j© suis {>arfait«iiieiit rétablie et je sui.s heureuse de donner «mnnaissance de ce beau résultat.

Après avoir sou<T«*rt pendant des mois, nm voilà enfin en bonne santé grâce aux TM lu les Rouges. Je suis débarrassée «le cett© faiblesse «D-stoma» «1© ©es maux «h* tête, d©

«h*s douleurs de côté, de «’ette nervosité et »*nfin «le cet épuisement qui persistaient depuis si longtemps, en dépit «h* tous les remèdes que je prenais. Dès les premières boîte*, «h* Pilule» Rouges, j*» me suis trouvée mieux. 1! h’y a que «leux mois que je les prends et déjà je suis redevenue forte, je fai.-* Uiut mon ouvrage « t je vis heureuse. Je crois fernu tnent aux Pilules R«»ug« a et j«* l«'s «’«mseille à toute» les femmes pour leur »anté”. Mme L. Van Haverbeke, 23, Potter St., Willimantic, Conn.

Mac hère Mp'uynsine Je vieil' i,Ann<>n«N*r une grande

nottvcllc. Ktgure-t-oi que mon mari \ ient «1© me caurer fa plus agrable «D» surprires. ©I uatureUement. c'est à toi, l'amie «1© toujours, que je viens confier ma grande j«q©. Hier •lon«\ mon man m’a appns qu’il axait fait une transaction importante «|ui nous permettait «le retourner «h meurer en Canada. Il a ajouté* '

souffres

Les Pilules ROUGES font disparaître tous les maux propres aux femmes, parce qu'elles ne sont que pour les femmes et c’est de là que viennent leur force et leur vertu. Elles sont adaptées à leurs malaises, de l'enfance à la vieillesse.

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Dan» la boudoir, où tratn« un charma «urané Dont la regret confu» paupi© "«A polituda.Elle nourit. aan» troubla at «ans inquiétude. Au réva que *a» doigts câlin* ont égrené.

S<}ns Mon

l*uî» vofH qu'â ganoux, sans effrayer aa» lèvre*D** beaux reicnaur* muaquéa î’« finirent galamment D'un hommage, «i»*cret cornai© un cluichotatBent Rt sa candeur s'effeuille an «flss »ounre* miêx re»

André RIVIERE

tu rêve» d’avoir une maiNin à ton <l«*x jour* simplae ©t heureux. quan«l g û* ja va»* entin pouvoir ta ■»«- une poujiée pouvait ma fxin* mon» ti»faire! ter juMju’aiiv nur» L'autre jour. I

Oh’ mon amie' Quai bonheur! j'ai ©u la hoabaur «la constater rêva x a aa réuh»er' Ja iN*uf- que mon coeur axait enf’ore cet

frais tant d’être ri loin da» miens, élan «l»» jour» du Père N'<*»!.. quai-, v< et surtout tu sais comma ja redou- qu'une qui m'est bien chère, ma don-1 ^ »ai» pour mes « nfani» la r»>nta«‘t na une jolie patita-plaiit«*. un gra-1 u aN«*e toute» sortes d’enfants d© «taux ?**tit arbre «la Noël, tout wrt.j

croyancee «lifférenti’s (>n glis«*' si bi»*n xnant et plovant sou» *a char-vite xars la mentalité proteataote. p* «la petites cens©* écarlat«*f Kn

vS sans s’en Bpereevoir ^ le voxaal. tous les instant* D'u*Tu a» déià déxin© n’ast-re pa» rrux du temps de Vsnta (laus me

' \ la chère |>ar«M*.se natale revinrent h la mémoire Ma joie | retournerons, et quel t»a- fut plus sobre qu«* jadis, mai» ©lia de maison nous allot)*. fut plus grande et plut durable.

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les Meurs sont tt d facile <ie t rou \ * e plaisir parce qu liremcnt moins s,, uté «‘st plus pau\ ubller que c est ir ;)ris par gouttes • du lait ouand c< oléré par Vc-tom i* aux j^rsonne- *i Lérleli*-, * t j ai «o ■ menacé* <!•• tub*

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*H’ eu liei les funérailles «le Mme Célesphore Fournier, décalée après int courte maladie, j\ l’âg:»* de 79 mF 4 moi».

Kilo laisse pour pleurer sa inerte: »Ul n* son é|K)UX. «leux fils NfM. Ulert et Jos»‘ph Fournier, «le ('ali- orme; cinq filles: Mme* Gustave flernet, (Marie), (’ohoes, N.-Y.; Vffmo Philémou Montminy. Flora . Berlin. N.il.; Mme Jean Boulanger, Mélina), Lewiston Maine, et Mlle» B*Utile et Tbérèie F«)urnier.

Le deuil étai comluit i»ar l’époux !• la défunte, M. Télespnore Fottr- der et son fils, Albert-Fournier: «s gendres; MM. Philippe Robert4, le Nicole!; Jean Boulanger, de ’40*ri ton Maine; Gustave Fernet, 1© <>»hoe«, N.-Y.; son petit fils: M j6o Roberte, de Nicolet; ses neveux: VfM Gust Bélanger, «le St-Davui âî «tan Roy, Octave Fournier, d«*

Huard, A. Dussault, K. Piear«l, G. lülitierté, S. Blais, A. Duquette, M. Dub«>ifl, T. Joncas, S. J^tlilMrté,

1 A. Le may et une foule d’autre».; dont les noms nou» échappent. Iâ ! famille a reçu le* gympathie» suivantes

Oftrandst é« •*••••• i La famille Té-j lesphon* Touruier. MM «*t Mmes 1’■ Montminy. «le li« rlin N II J ll«* il«n- i ger, lêiMton Mairie. Georges }t.ttn«-r ; «!«■ Xt<»Titi*iasniy. Mme <.«M.rg«« Mar«cui«‘

lin W Hoy A «iagnè J Fortin H C'en in LA* ICotierK*-. Nicole. M*les G

j Martel F Ko»* rgc. de \i<*olet. Inst à 1 ht JeanChrjsiist.mic S. Groloau

Bowqusts «plritusis »Ibmqmts *pirltii«*U MM et Mmes O

i Tournnr. \ Fournier. H Morin F. M ■ rtn, «. Uobln. I* Boulang« r Ji*» T. Kov. K Ourli«*ttc Monimagn) «i K. met, «I«*C'ohoes N -Y P Kolierge. NicoU-t. L - P Kol*erge. NUoiet. Ails rt Ix-ma). M

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pression d<* notre sincère sympathie jSuccès assuré

Si l’on juge le succès «lu euchre du | 12 décembre par l’affluence qui n'a pas o«*ssé <1«- «léfiler devant le- vitrines de M J.-L.-A. Allard et de M.j T.-D. Duhuc, on p«*ut compter suri un«« n«>mbreuse as8istan<*e. Les vitri- n«*s décorée» aux couleurs «lu Club (Blanc et \ ert) font l’admiration de tou», autant par la richesse des oa- d«âux que i>ar leur belle apparence.

Iî popularité toujours grandissante de notre équipe de hockey est »an» aucun dout«« la cause «iu si grand nombre d<‘ prix Kn foule donc mercredi soir prochain et que per- -onn«* ne manque cette partie de «•artes où pour la modique somme de 3ô contins il y aura «le véritables surprises.Joli mariage

Lundi dernier, M le curé K.-A. Dupont, a béni en l’église paroissiale le mariage de M. Adrien Kobitailie j avec Mlle Roll&nde Gingras. La1 messe fut s«rvje par MM. Robert Kobitailie, neveu du marié et Raymond Grenier cousin «lu marié. M Alfree Gingras ac«*ompagnai! sa, sœur et Mi Thomas Kdmond Ro- l»itaill«» servait de témoin à son fils. ! I n b<*au programme de chaut fut | rendu comme suit .

Frotter l’épine dorsale arrête le mal de dos!

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! ‘‘©rts I n plu- de la «•au*«*rie l*roj* i. *• par M Mora/in, je pro-

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n. ? '.« M vrn and Aqg* r; ^1. F.ugéti* Fur*.;*: M. Fnrre N«»«l; NI. J.* llaTr*-' M. W Carl»onn«a.i , M. F. Trudel; M. Jul-s-A. (nrotix, M Ocfav** Bédard; M. J-M. B «il- larg« *n, de la maison Baill&rg*ou & ( ’ou* r*-. M J. an < lérui-nt « t Iteau- «•ou|» d’autres, dont malheureusement les noms nou* écliappent.

gnélanger, Joseph Bélanger, Gu*tav«<Bélanger, d** St-Romual<l; Ro«lolphe et Arthur Bélanger, d«« Nt-Davnf.M. et Mme Hervé, de Fernet, N ;

J*orteur «te la croix M. Alfred Gagné, accompagné <I«* sa «lame.

Pt»rteurs du corps : ses neveux,MM. Gustave Bélanger, accompagne de Mme J. Généreux; Octave Fournier. accompagné «le Mme F’. Rat té;Welh -tun Hoy, accompagné de Mme A. Gagnon; Georges Lemelin, accompagné de Mme Lemelin.

1a levée du corps fut faite par M !«* curé Dupont. 1^» s« rvice fut chanté par M. l'abbé Fbiüa- Gagnon.

M. le curé Dup«»i t et M. l’abbé P«*lohat. vicaire, assistaient au ch«*ur L’orgue était t< nu par M. O. Guay, organiste. M. Arthur D vasseur chanta en solo “Quand v«,us «‘ontcmple- rai-je” et M. Donat Nadeau, “O Sul ut aria”.

t n imposant cortège funèbre *ui- '. it le corbillard et nou- avons r«- marqué M. le notaire BoutinBourru--a. C.C. du Lrvto ü Qué- bec, MM Georges Fournier. M«*nt- niagny ; F.-X. Deniers, Dr M Lam-i bre encore b« rt. J.-T. Lalonmiio, Franç«»i> : riion Ratt.u Jules, Fhi ippe l>ucjuett* y),.s applau«lissements chaleureux H. Cantin, A. GroYau, v\ . ( la-et. sahi*r« nt ee» dernières parole* et l’or-!

(Suite à la rage 34. 3 colonne)

SOUPER DES CHEVALIERSSuite de la page 23’

«iignitaiivs «le marque que et le Député nous et j«- !«

notre ordre. j<* r«>- l'ex-Grand ("hevalmr

du district sont j»armi •s r«*mer«M*‘ sincèrement.

J'ai le ferme espoir que nous f>our- rons bientôt avoir n«)tre demeure à nous <»t y rester et j«* termine en formulant ]«* vœu <1«‘ voir !«•- men - bres s«* réunir en plus gran«l non*

à une prochaine réu-

Golonit» s«*nt tous catholique» à Québec, c’r»t une a**ociati«»n «yui »«• s*«»uti*nt pour combattre l'adversité et l'irréligion. Québ»-*-. «*. b«Tc»*au de la catholicité et de ta foi n«»u* abrite «fans scs murs, et non*, nous travaillon» jKiur l’Eglise et le clergé. Noua avons prêché un généreux concouru pour l’œuvre «le l’hôpital du S?iint-Sa«,r«‘ni*‘nt1 •’ je termine en disant que le r*gne du docteur Langlois sera un grand règne, pan * ou’il a le noble «-spoir <1** gr«*uy>er les Chevalier» «lans un “home” qui »* ra bien à eux’’

Des applaudissement» accueillirent c**s fière» paroles « t sou» l’invitation «lu Grand Chevalier. M. J-B. Car- bonneau, maître «lu 4ème degré, prit la parole à son tour.

M. Cari>onneau parla tout par- ticulièremcnt de l’œuvre de l'hôpital «lu Saint-Sacrement. Il dit comment le cardinal Rouleau après avoir assisté à l'érection «lu 4èm«* «légré. demanda l'appui «les Cheva- li«ir8 «le Colomb jxtur la campagne «le w»u8<,rii»ii«>n*. Nous av«.ns yir*»- mis une aide «fticaee au D«jct«‘ur I anglois, dit l'orateur, et je suis -tir nue non» rencontn rons du succès. Il ne - agit plus que d«‘ donn«*r un derniers « fif«>rt. et h s $.300,000 demandés vont « tre «iépa-*é«.s

M. Langlois, j'espère que bientôt vous pourrez nous «envier «le nouveau k un souper Québeçoii «*t que vous ser«*z en mesure «1«> nous annoncer que le vœu de S. E. le Cardinal Rouleau est accompli”.

lies convives -ouligmrent «•«* «lis- cours par de nouveaux appludisso- m»*nts, et le d«K*U*ur Langioi- après av«*ir rem«*rcié les <l«*ux dtTnn r» «*rateurs invit*- M, Narcisse Savoie «Iéputé du «fistrict No 1 à pœn«lre la par«)le h sr»n tour.

“Nous inaugurons ce s«»ir. dit M. Savoie, une sen»- «!«• t«‘t«* «•anadierme. Nou» avons g«*ùté «les mets «•x<,«dh»nts

t j'ose « s|»ér« r qu’une nouve lle fête ’• ce ge nre* sera « paiement un su«*c«*s.

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Puis «!«• nouveau le Grand Cheva- 1 lier prit la parole : “Nous avons parmi nous «lit-il, un homme qui par -a p<*'«iti«*n social** importante e.-t en mesuiv «le \«>u« intéressé» ; je veux parler «le M. J.-E.»Morazain, gérant général <b»s Chemins de f«»r Nati«>- naux à Québ«<*. j’ai pensé qu’il s<*- rait intéressant pour vous d’enten-

I <lr«* traiter par un homme de cette j compétence la question «les chemin» de fer Des ovations accueillir«*nt

;M. Morazin qui débuta en c«*s t«*r- j m*‘S : “C est me prendr*> par surprise que de m«* demander un discours <*e soir. Mes nombreuse» occupât ion» me laissaient imiéois sur le choix d’un sujet à traiti'r. et je suis content <!«* parler «levant vous de cette matière. I,a question des clu*- mins «le f«rs e<t intéressante, continua l’orateur, mais quami on parle «les chemins de fer nationaux, elle est archi-intéressante D** 1919 h1923, 1«* ( \ N. R., marchait tout sim-

' plein«*nt à la faillite, le public s’ac- «•onlait pour prédin* une «lébael** for-

I midable. et les offlci«*rs de la com- ] pagni«* n’étaient ri«*n moins (ju<* <lé- I couragés en fnc** «les déficits. ('«*- i pemlant, j ai toujours soutenu que ! l«‘ C. N. R . deviendrait un jour un j placement extraordinnin* et j«- pré<Iis que «fans un délai «le «umj ans. la fa<é«* «I«*s choses ehang«Tait. qu’il n’y aurait plus «le déficits et qu’on apprécierait les surplus. Qu’arriva-t-il ? En 1920, I«*s «léfieits aeeusaient la somme én*»rm«' «1«* $47.0.^0.000 (W) : Kn 1921. $.34.000,(X)0.00:; en 1922, flô.OOO.OOOCKV et en 1923. le bilan «le la compagnie accusait un surplus <1«* deux millions ! En 1927, quarante-quatre miliums marquaient un surplus form id a b U**, et l’année présente, pour les dix nmis finissant au moi» «f’octobre. ac< us«* «les re«»ettes au meut an î de $40.410.000,00 ’ Le mois «l’octobre sf*iil a rnpi>orté $10,- 000.(XK), et pour toute l’année nous prévoyons un surplus total «h* 60 million» î Voilà la faillite que l'on prédisait ! Celte métamorphose ao- oomplie depuis 1920 e^t aussi une bonne affaire pour le pays, car rarg«*nt «l«*s surplus «lu C.N.R., e^t versée entr»» h*-* mains du ministre «les finances à Ottawa, et ces diver-j ses sommes, plu* considérables les une» «lue les autres, servent à diminuer l«‘s taxes de chacun d’entre nous. Vous pouvez donc juger par là messieurs, que cette entreprise fait

i bénéficier le peuple et tout le pays en général.

Cette causerie improvisée fut fort i g«*fltée et vivement applaudie. I** I docteur Langlois remercia l’orateur en : termes choisis et il émit 1«* vœu j d'avoir bientôt !«* bonheur dVnten-1 dre le même conférencier trait«T h* même sujet av«*c plus de «létails

Kn outr«*. ajouta l«« Grand Ch«*-1 valier, nous avons parmi n«»us un «le ' no» anciens chef». in»urpa»aé et in- j »urpassable, je veux dire M. Leonard Vou» a\ «*z tous connu les succès. rena mtré* par le c«ms« il 446 sous | lui. j«* crois que vous »er» z charmés I de IVntendre quelques instant».

Monsie ur Ijeortard parla «*n anglai- J et voici à peu près I«‘ texte «le son discours “C’csi un plaisir pour moi de venir h cette réunion, j«* me souviens que des jours heureux ont été le partag» de* Chevalier» «le Colomb il y a quelqu*'* année». Il \ a à peine quelque® instants, M. Morazin vous rac*ontaP le* rever* d«- *a «yrrn- pffcgnie ♦•! le succès phénoménal ou elle rencontra ensuite; eh bien ! fl en est de même dan» la vie. Du bonheur et «b** jours «!•• tri»t«‘»»«* »»•- cornpagnent chaque chose, mais le silen« r m««m« iitané de la loge 416.•<« ru l*i« nt«‘»t *uivi «l'un** n«fiivel)e er*« «le piogrèa Les (.'hevalier» <J«*

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pathiqu* qui j*ar]e h l'âmeM Kerland, a sou tenu la belle ré

putation qu’il ►’» ■T fait»* chez nou> truant à M iJuûav, son a*ml

nom au programme, nou> «lit que i I*n concert valait la jaune dVtre » n- i tendu.

Ko» félicitât ions a tou.» et, aii»»i au.» accompagnateur* Mlle K va laindrv et M J.-\ -A. Hé#*hard,

U B CS

pr H-édera a j i à IVlrwUon de l’exé-| qu* OQt .»ij «i bien rendre dan* leur «•utif pour IVx» n ie* 192*.* I munique l'idée des conipositeiirs

de Mlle S. Dupré !>♦» Hpplaudi«»eraenM et les rap*M Simo a I)-jnr* de Sr-Our » r pel« n’ont j*a» manqué aux artiste*.

HicK . i. fill*- de M et Mme Henri | If^r ont dit le désir de tous qu» Uupr* e*t morte < . * j*>ur* derniers <*•*** charmante* •>éan< es se renouvel- de* d* brû’ur**’' qu'elle s’était lient souvent,mflig' • au cour* d** l’in^^Tidie qui

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détrui-it la maison «le se> jiarent* le Il juin dernier La défunt»* était ijg»»1 d»' ls aiis. Fille avait été transport» #• ■ m médiat«*men t après l’ineen-

.» l'ilôpital N • iijt-< harl» - d** St- li ruutith»*, où elle pa*->a plusieurs moi*, endurant U* pin * *oufTrau<*e.*.I Ile n*1 retourna chez .-lie que fxiur j mourir l>*s fuuéraiil<*s eurent li«*u à St-Our- Ixi l»1 v»■*■ du corp1' fui faite | par M l’abbé .1 -A F’oi-.v. curé de la;

.. »

1^ por . ir ctai»*nt MM (’harles- Nui' j • Jacob Zéphir Dupn*. Os»*ar Ouprc. K»n» Ménard. Olivnr Arpin.

» ! Donat Arpin. Outn* v* parent*, la défunt»» lui-*»* trois frères, Albani. to tard »*t Agénor »!eux ^«eur- Mme* < i»*org* . l^tchainbre. Agathe, de St-J n ui*-ur-Kieh» lieu et IMu-

igreg «tionAu couvent de la Notre-Damela» 22 «-«Mirant, à l'ocf-abion «le la

fêta «le Samt»--( écil»1, les élève» <l« notre cou vent ont aussi donné, sou* la direction de l«»ur* dévoué* maî-

i tr*»s»es «je musique «u de chant ur * audition musicale qui a été. elle au»-

I si, un véritable régal |i«»ur tous «-« ux qui ont eu la lionne fortune de l’en-

! temlre

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Lundi matin ont eu heu les funérailles «l’un»1 ancienne parois-uenne Mme William Beaupré. <i»Védée la m*- maine dernun*. à l'âge de 7R an*.

M. Vah-ntin Michaud, eit«»yen resjiec table et entamé, est dé«-é»lé subitement samedi matin, il lais»»* dan.* le «l»uil une époc e r*t neuf ♦•niant*

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Dimaredib vtri 11 heur»** à un f»a»sug»* à ruv»*au. un train de mar- ehandi *•-. a frappé l’automobile de M. Philemon Naueau, à «l»*u.\ mille* «1»» la ville. Trois jeunes gens dans la machin»* ont été blessé M. G. Jiobrun a été transpirt»* à l'hopitai, M. A. Goupil e« M. Na«leau sont moin blessé»; l'auto est resté là tout démoli, le tram a dù re«*u- le ver* la t»a-e à Mégantic pour ramener le* blessés

AUt*i« If I.isrt

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I*mou Duharn»1!. Mari«*-Jeunn«- . n* itocb-sur-Kichelieu Incendie à St-Dam*e

1 ai f» u a réduit en cendre.*, jour* dernier'. ;t Naint-Dama.se saint-ll v aeinth» , la résidence

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l’n«' autr«’ soirée de cart«*s est annoncée pour !«• 5 «lé<*' mhre à l’hôtel «1«» ville, par U** C’hov'aliers de (’o- lomb; le profit servira à remplir les bas de Noel pour les enfants «le la ville, à la sali»» «les Chevalier* «le tkdomb. le jour de Noel 1 dans l’aprèa-raidi.

M. le maire Nadeau «*t M. le notaire D.-L. Lippe. grefti**r «le la ville étaient en voyag»* à Québec la semaine <l»*rni» r»».

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Sa tirandeur Mgr F'abien-Zoel D* - , «•♦*11» ». évêque «ie Samt-llyaciutbe.

• lait de pasHag<« à Itoug» mont la »»- i iuin» «lernun*. 11 rendit visite a M l’abbé Ar>« ne Nadeau, curé de

I i;* carols'.» Il était accompa^n»') d»’ M l’abbé Jean-Haptisto Nadcau,

! rhapclain «lu monastère du i*ré-j i « ieux-'ang a Suint-Hyacinthe., S. Fl. le cardinal Rouleau i .Son Eminence le cardinal Kay- j m»»n«i Mam* Rouleau. O. P , an h«»- vêqim d». Quél>ee, était a Saint Hya- «• mthe, «•♦■' jours derniers. Il tut l’hôte, pendant son séjour, du couvent «le* Dominicain.* «J»* notre ville Diner intime

M ( . A. liiëhop, docteur «n <-hi- r»»pratique, «1«» notre ville, et Mme Bishop, d«mnaient un dîner intime, «•«‘s jour» diTUDT*. eu rhonneur »l« «iriq gnulu* d» I Ù2.M,de rinstitut. Palmer, «le chiroprutirju» . l»e» invi- t<‘* étaient MM. <Jilb«*rt Robert D t-, de Granby ; Antoine Eortin. D ( de Jolmtte ; \lb»rt lêfran- cois D < de Montréal. I.aurent ilurtubix». I) (’. d«» Saint-Jean; Maurice P»« rnier, I) (\ «t«* Saint- U a» inth**: Mlle Alice < outure, d«*

Mlle Edna Bous«iuet, «l*- nd Mlle Anne Marie Montréal ; MIN (iermai-

; Mme l)i»jn. Mlle Thé- M. et Mme L-B. Lév»s-

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l’Abitibi ;Roxton P F’ortin. de ne Bermer r» »• Dion,«pie.Petites nouvelle*.

D* ineml?re» du ( Vrcl»* Notre- Dann*. du Patronage de SainDViu- «••■nt-d^-Paul, «clébreront le h décembre itrocham jour de l’Immai'ulée- ('om-eption.U’ur tèt«* annuelle. A rette oeca.»ion. les jeun»** gens de I’li-uvn» interpret»»nuit une comédie- «»n tn»i* ai-t»1* D * a«*t<*urs au pr«>- grainme sont MM Paul Tétrault N Huar«l. .1 M. Daoust, M. A.Vindair. Ifonwe B»*rthiaume. P Phil-

In Henri F’ontatme. \N Martel. P Dussault, A E’réchette «t Jean Mon-' ge*u.

M Raoul < ’angnan, d*« Montréal, | «•«•nler.TunT «!«> la Société Saint- \ 111» < rit-»l»‘-Paul, a tlotiné une confé- r* n»*»*. jeudi »oir. a Saint-Hyacinthe. s»»ua les auspices du cercle Benoît \ N de 1 \« .1 • lia pari»1 de»Secret* d’une grande ville.

<'online il était annoncé réeem- mut I immeuble Gcxiard. situé rue ('a*<*a<les. à Saint-Hyaemthc, a ét.j vendu ;t M A<l«ilplie ^cliNvartz. aussi • h- eette v i 11»‘ l^1 stock «lu magasinGodard, d’autr»' part, n été «Mhangé pur \1 \ B1 gras, de Montréal, contre un édifice \ Hivpariementx situé

a partie ouest de Montréal Funérailles de M. A. Fournier

loi * fun» railles «lu Dr Arthur F’ounuer «•lururgi«,n-«l«*nti‘»te. <lé<*é- de diinamh»» «f«*riner à .Montr»al à l’âge de A7 an», ont eu lieu hier à s;unt-Hyaemthe «Poil le défunt était originaire 11 était l«* fils de Mme veuve Léon nia* A F'ournier, »ie notr»1 ville II avait fait s»** étude*

INDICATION

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CROUPASTHME

â Marieville >»»s études ;• Ijuval «I»* Montréal, et admis :» re\«rdice «le sa

en 19 Et l 11 premier été chanté jemli matin à en la paroiss»* du Kaint-

elassiqius lliedu’al»1* avait «té protessloîl »»Tvi«‘e a

I Mont niai.Nacr» meut Décè*

D' R. E V li<»iNiii, » 1 *,s F'r»''r»»s «I» Saint-\iiic*'iit «I»1 Paul, du Pa- trouage d»1 mitre ville, vient «le perdre '.« m« r»-. Mme Michel Boivin, de« « «I» * à Quélnx*

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- artiste» et a prouv» à l’organisa- * ur «levou»* «i»* <*ctt»* fête de famille,

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M «; Mm* Béfllbl—M. et Mde IAi Santerre, un

fils, bapMsé le tt novembre m*us 1«*s noms de Joseph-Koirer-tiirard-Rhi- lippe. l'arrain et marraine M. et Mme l’aHoal Thibeaull. Su-Anne.

- A M. et Mme J.-A. t 'hanilHT- lan«l, une tille Mane-Adille Eti**n- netté-Jeannine. Parrain et marraine M. et Mme Philippe l*ajoie, de St-PaM*al.

A M et Mme Joseph Vaillan«,**urt un** fille, baptisée le 13 novembre s<»us les noms de Mare-Anjje . Parrain et marraine. M et Mme Paul Antil, de Mont-Càrmel.Divers

Mme Orner Prive, de la Rmêre- du-Loup Atait récemment cher M Maxime Vaillanoourt et M. Arthur Caron.

Mlles Maria «*t Lucille Harbeau, de Mont-Carmel, **n visite chez Mme J.-A ( iiamherlaml

—Mlle Rose Paradis est <le retour d’un vova^fe à la Rivière-dû-Loup et Edmond*ton. N. H

—Mlle Alma Chamberland «*«t en visite h la Rivière-Manie.

— M Roeh de Montréal, fiait chez M. J.-A. Chamberland.

—M. Charles Francoeur, de Ka- moura>ka » été H.ôte *i, sJt bOMBT Mme Isidore I*ariKl«)is. ces joura-ci.

— MM. Jules et Thomas A net il sont do retour d'un voyage à Mont- magny.

I blit A KingstonElu en 1H44, il franchit le seuil

du parlement au moment où Iâfon- taine et RaMain livrent au parti tory la bataille suprême pour la plénitude du gouvernement responsable. Macdonald est alors un tory violent. 11 tait, nous l'egide d«* MacNab. la guerre au Franch party.

I^»rs «le lincendie du parlement, il applaudit au geste de»> émeutiers. tj iel<|mois s’é wulent. Il observe, il réfléchit. Au conta**! «le la dénutation franyaise, ses pr«;jugés tomoent. n-oi génie politique lui févèle la pui.-ânee «l»4 Cartier, et il en fait son allié. De tory, il devient conservateur et même ibéral-vo user valeur. 11

a évolué ; le fait est certain et toutà son honneur. Pour gouverner, il

compter avec les réalités, lesfautngel

j vie; fl faut savoir concilier des inté- | rèts et même des droits oui se heurtent Tout l’art de la politujue *v*n- mT- à mettre 1** plus d’équité dans cette «‘«mediation. L’expérience atténue elle explique et souvent justifie les contrade-tioin».

“•‘son souci perpétuel était de prévenir les heurts, l»*n chocs, d’unir en un faisceau ces forces éparses dans un pays bilingue, <ie les narrnoni-er, de les discipliner souvent, de les <‘«»n tenir toujours. s«»n patriotisme étAit largement canadien. Franchement

favorable au principe de l’union législative. il fit loyalement le sacrifice de ses opinions personnelle* dans lin térêt de la minorité franvaire de Vué- bac. Il fut, avec Cartier, le créateur du PiM'ifiquf. le premier transcontinental canadien, conception hard * dont la réalisation a **té le oorople ment de l'union édérale.

“Très digne et très f**rma dan* nos relatmn* avec la niétropide. Ma«*<i'> nald, maigre ses affinité* britanniques. n a jamais voulu que le Canada subi-se de capitis diminutio A Downing .‘s’reet.

“On l'a bien vu lors «lu traité d* \Vashingt«,n en 1X71, et plus tard en 187‘J. I* rs «Je l'inauguration de 1^

Ipolitique nati<*na!e

“C’est A la Chambre des Commune* qu’il fallait \.»ir sir John Ma« donald. Au Canaris nos traditions par- lementaires, noos l»*r avons « miTun- •é**s de la Grande-Bretagne (“est dire que l’éloouenc*' oana«fienne s'apparente à l'éloquence politique an-

“Sir John n'était pas pré<Msément ; un grand orateur, mais nul ne pouvait commander l’attention d* la;

i Chambre d’un«* manière plus abao-] lue plus magnifique. Nature pnme- sautière. esprit vif. sa \ erve «•* s*in humour captivaient l'auditoin Sa voix n'était pas forte, mais au» heures Solennelles, elle prenait une am

pleur étonnante L'ironie faisait plaae à l'émotion et un léger tremblement «le la voix, attestait la sincérité «h* ses convictions.

“A la tin «le sa carrière, il revendique fièrement les droits «le ia langue fran«,;ii'*\ menacé** «ians 1 Ouest Crenant de tr*- haut !«' débat, il proclama lYgalr ♦> des deux rai'es sous la constitution dont il était 1«» père.

"Is' nom de Macdonald appartient à la grande histoire.

“Dan* une prochaine conférence, nous étudierons les disposition* «le l’Acte de l’Aménque Britannique duNord.'*

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par

Idigestion. Ordinairement c’es» de l’acidité de l’estomac qui est trop surchargé. Vous pouvez y remédier avec de l’alcali qui neutralise, plusieurs fois ion volume d acide.

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L’EVOLUTION POLITIQUESuite d ♦ la pij) 21

libre-é«*hangiste. avait intérêt ;« «*c j que ses nrincipaux clients 1«« «l*‘\ins- ! sent également. Mais le Cana«l». au, | nom «lu self government, reventiniua t | >a liberté eommereiale.

“Quant à la défense militaire, il | faut dire que dans l’ancien système ; colonial. l’Angleterre avait défendu

j ses colonies avec l’argent qu’elle y gagnait, a la faveur du régime éc<>-

i mimique en v igueur. Avec le libre-I échange, ce régtm»* disparaît. Pour-)

'quoi se ruinerait-elle p«>ur protéger! j s^s dépendant-*** qui aspirent à l’in- «lépemlance ? En 1S59. elle retire | ses réguliers du Canada qui aug-| mente alors ses tr«»U|»es de défense. ;

“ La guerre de Sécession éclate et «le très graves complications surgissent contre Washington et Londres. |

: I>e Cana«la, qui se croit menacé,; organise sa défense éventuelle.

“L’Angleterre insiste al«>rs sur «le j»lus amples moyens de «iéfense. Une commission formule le projet d’une armée de 50,000. ce qui entraîne la

: chute du cabinet canadien. 1>» cabinet Sandfield-Ma«ionald-Siootte fait alors adopter le système du volontariat. avec six j«>urs d’exercices mili-

I t aires par année, et le cabinet Mac- donald-Taché qui lui succède, ne « h ange rien à cette organisation de milice p«»ur la défense du territoire.

“Londres s'émeut, car plusieurs soutiennent que cela signifie la rupture totale, à brève échéance, des

I liens qui attachent le Canada à la ‘ métropole.

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‘C’eut alors que fiait p«»iw» carrément la question de confédération

ur éviter la séparation. Il serait ésirahle, dit-il. d’établir une fédéra- 1

tion des colonies, «le faç«m à y «‘réer «hfférents groupes. En unissant la totalité des ressources, la puissance du tout en serait aoonio pour la défense. |

“De* deux alternatives mises en si parfaite évidence — séparatûm «»u confédération — c’est celle-ci qui devait triompher parce qu elle ai>pur-

tait une solution de la crise, où le conflit «les antinomies politiques avait acculé le Canaila.

I "Une nouvelle constitution sera (donné*» au Canada après le* lents et pénibles travaux de la germination et de la croissante. I>es droits de la ! minorité avaient été reconnus, grâce ! aux efforts de Papineau et de I>afon- | lame, alliés aux libéraux anglais et j grâce à la sagesse de I>>ni Elgin | Notre pays va désormais s'acheminer vers son évolution économique. I>es «ruvres de paix domineront les conflits de raws.

“Ici encore, les <'anadiens-hYançais i verront surgir de leurs rangs, un : maître de iTieure, anci«*n héros des eombaW d** 1837, vaillant luttaor «lu

, régime d«* l’Union, principal artisan de la Confédération future : Georges- Etienne ( 'artier ’

“Descendant d’une famille «le négociant* et «le soldats issus de la vieille Amérique. Cartier a 2d ans

! lorsqu’il entend les premiers gromle- ments «le la rébellion de 1837. Il se lance «lans le mouvement «les patno-

' tes pour exiger, les armes à la main. l«*s «iroits de la race Sa tète est mi**»» a prix et il franchit la frontière amé-

j ricaine.Cette pério«le «le *a vie, d n’en

! rougira jamais. Il suivra le sage I>a- f«»ntaine Quand plus tard il s’alliera aux conservateurs, il «lira : “On dit “que M Macdonald et ses amis défirent s’apprfK’her «le nou*. le* libéraux, je les préviens que si telle “es* ’eur intention, ils devront pour “que nous a«*ceptions leur coopération, changer leurs principes.”

. “De cette coalition devait surgir*| un nouveau parti appelé : lil>éral- • conservateur et une nouvelle constitu- | tion

“Il est vif, impétueux et d’une I verve endiablée.

“L'idéal de Cartier, e’est la survi- I vance de la race français*» dans j l’Amérique Britannique, mais cette I siirv ivarme. elle doit exister dans uni régime «le liberté et sous le signe de J légalité a\ec la ra«,e anglo-saxonne' qui l’entoure et l'enserre.

“C’est en 1855 qu'il est fait ministre pour la première fois, et il e»t ensuite «le tous les ministères, jusqu'en 1872. S'il n'occupe pas tou-* jour* le premier poste, il n’en est pas, moins l'influence prépondérante.

Il prend sa large part au déve- loppement économique du pays 11 se fait l'avocat de la construction des canaux et des chemins de fer. Il * est le codificateur «les lois françaises, le créateur de l’unité territoriale «lu f’anatla qui s'étendra d’un océan 4 l’autre, comme au temps où il fut «léeouvert par les Français, nos pè-

1 “Il gagne la «*onfian«‘e des Cana- i diens anglophone*, grâce h non «en*1 des affaires et aussi grâce à son amitié avec sir John Macdonald, nui dira de lui plus tard : “Il fut fidèle “à sa province, fidèle * sa race, fidèle “à sa religion.”

“f/altae ego de f’artier. c’est John Alexander Macdonald. Ne â Glasgow en 1815. il émigre en 1820 au Canada avec sa famille qui s’éta-

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< «tte troup»* comprend \oah lb«r\ \iKel de Itrulier, Virginia Hra<it«*rd. Kugenie H*--erer, Paul Lirka Harr\ . Alen. h r»*d Kumel- î r.. Helen Juroaw Eddy et Mar '•<•11,1 Ualy.

He*»ry *■ »"t acquit la célébrité f*;tr inter|jrétations danM ' 'l'heI )(j\ • ■ H< au Sabreur”, ' H* ait

< t b< puissant drame ‘ The l)r<ad»<l Hutcner”.

De Hrutier est <*onnu par w»n rôle «i. Kiefielieii <larn “i.* trt»ix in<»u i<|uetaire/i”. Virginia Hra<lford compte au nombre de ses Mieoèfi

riie Country (iirl” <-t ‘‘The Wreck o! the 1 h ■‘j»t rons” ; Ku^t-nie H# ■*»»*- rer e^jinpte ceux de l'he Lire Hn kratlt*’', Flesh and the Devil”.

Tlie .la//. SinKer” et "Drums of Dot ” <].• D.W . (iretlith

Haul Luka-, une dt«s plus grandes \<*d«»UeH tl<* ll»*n^ne «■<! un nouveau venu ici. Il a joué < n Europe pour I I I \ dans“Samaon et Dali- lah' HtM’eaiuuo” et autres grand!* Iilin avant «le h embarquer ftour rAuit r]«ju< Helen Jerome E«ld\, ■ une «les plus jeunes aetrû'es, a un superbe pAle aeho-oomique dans Jner’.”Tw<» I»\ «-rs” est un roman d'a

mour dont l'intrigue ae passât dans h s Flan«ir<«ri au lt»t» aiécle.

( -omiuuaiqut

La f-ranâis ouvre ce soir une , belle semaine de cinéma

reprit

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wm.'

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irai National Hietur«’«. inc , aura •mi premières represent at ions lo- ah-t m théAtre Hrincess durant d j«»urs

la Defuni té de

par’ir de lundi “L'Etrange t'as «iu Capitaine

âiliis r” prés» iite aux arnat«uirs de uea aniiné«w un «les t liém«<H les plus

* xoaptionncJs qui aient jamais été '«'prémntéx i l éeran h* retour «l'un •orntiie a la bête i*riiiiitive <’’est rie adaptation <l<* la pièce «lehéâtr» par Max Mohr

principal rôle « t tenu pivr’aul W eg« ner. le premier artiste «iunénia aihunand, qu'«»n se rappellera

!ans sa nmianiuable |>ero uiruficiv- •on «laris "The (Joletn . I>» s».ul•le féminin est joué nnr Mary

••ihnstjn. jeune étoile suédoise Max .{eiehmanu. «pii a «iirrvé« <*ette vue.

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“Four Wall»”bien JA ln film !«• plus inié-

r*‘-nnt tourné «lans la vill«* la plus in!« rossante au rnomb Kt c’est ainsi <4u« l’ont «'aract«irisé les r»s*«*n-»«ujrs.

, ( ”o*t une InsUiire •!«• bandits deI Ka>t Suif i Ntw-Nork «pu* «inline i** Kialtn le D décembre Four Walls” est aj»p«*lé a rester, parmi les douzaines do films «le bandits tournés cttvi ann«W*s-ei Iji mise en scène «le William Nigh en lait une I>iè«*«« d’un réalisme parfait et humain.

HiltH*n v xi une int«'rprétation «itii «‘ouronno tout «e «ju’ü nous a *l«»riné denuis "The Hig Haratie”.II a le role de Benny Horowitz, un bandit dont la vive fiersonnalité trahit la lutte, la souffrance et conquiert d'une manière touchante l'admiration <1«* toutes les salles «le «û- néma.

L'intrigue repn'sjtnte un jeune chef de bandit qui blesse par a«'- «•i«l«*nt un homme dans une éehauf- faurée «le club «i«* nuit et doit purger «piatre ans de prison. Il se révolte d’abord à la pensé** «l«j se voir aimi «*nfermé. mais bientôt il s’ap*rçoit «pie toute sa vio h UKast Si*le a été enfermée «*utre de bien plus redoutables murs et il «<» résout A une vie «le sincérité et d»* dnmure; ♦•* cela, tout «*n so'.u- ti«*nnanf !«♦ problème «le son amour avec J<»an < raafoni.

\ era Gordon, (’armel Myers et J«»an t rawfortl ne contribuent, pas en légère part h donner au film une valeur artistique et un réalisme incomparable.

Mentionnons eu«M>re les noms de Kobert Kmmet O’Connor et de Sullivan, les détectives et de Louis Matheaux. le bandit “Monk”.

Communiqué.

1a* théAtre Français inaugure au- pmrd'hui un» -« xnaine <!<• jirogramine cinématographique du plus haut intérêt. Iji dirt«tion a voulu recourir k «liverses compagnies «le films pour procurer aux apectateurs «lui s«* nn •'seront «lans la salle du tliéfitre l«*s jouissanc»les plus va- . ariées.

Il y aura «l'abord !a part «les défiors f*tri(jues, «les paysage» in- «•onnuH t*f lointain», «les mirage'* «le l’Oru nt *•! c’est “Two Arabian Knights ' «leux chevaliera arabes;, «jui nous apport* ra ce bonheur. \ujourd’hui et «lemain. William H<»\*l, Mary Astor «‘t Ia-wi- Wol- h«Mm préist • u t*r<>nt aux s|>i*ct ateurs, dan- un jeu inipxsMable le brillant

* nario «1«* James I’. O’Dtjnohue.« «»unu «'omim sccmtrisU de “What i'rce (Jlfjry

Huis J«*s «!« ux premiers jours «ie ia -< maine, en programme double, le I rarH.ais donnera ‘‘*Somewhere m .Honora” et "Whip Woman”.

Soimw h« r«* ' in Sonora est le tri- oiunhe <!«• Ken Maxnard «lans t.es exploits <radr«*s>«* et <i'audac«*. II Mitfira «le rappeler pour caractéri- ser la "mannr* «lo Ken. les pu- r«ile» «pie pronotn/ait Kathh-en Collins apr« - «pi on eut tourné le film. "Hour moi «J i'•ait-elle, j«» ne crains rien, «piand j ai à |>oser devant l’obpctif avec Maynard. Tout dépend évi«iemnicnt «lu partenaire que vt»us avez. Avec C4*lui-ci il n’est pas de hasards et «ie risques que j«* puisse braver, car je saisj qu’il s«*ra toujours présent pour1 éviter les désastres”.

Dans ce film. Mi.-s Collins up parait l'omme la fille d’un oro- pi létain* «h* mine d’argent au Mexi- qu»1 Kat blet n Collins et K«*n May-! nard font partie d’une distribution qui compte les brillants acteurs que sont Ben Corbett, Monty i Montague, J«h* H«*nnett, ('har)<*s Il ill Maile». (’arl Strockdale et Hnhard N ci 11.

En deuxieme numéro «lu i>r«»gram- m«* il faut signaler “Whip Woman”, un émouvant drame d’amour. Bnè- Vfiment, «•’«•st le thème éternel de la jeune fille qui »♦• refuse à l’amour et «pie la deesse de Cypre compte finafeim'nt au nombre de ses adorat ri<,e.*>

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Le \ ii f< de- linldtiK de C Fit zi québ« < « i-

1 • Vieto: tjlé' le plu FtU man rice National, pai r d« «

‘ The Dai tff'dit I'un no ii I trou.\ - l##cran. ( •' «IVniuur ab« ai'tion^.

I-»- f»rii'*-: d'Hilary 'I’r na d Colmar mi-mix <1h re Vilma HunktagoiM-t. S;haut «h gr. quo sont fii maunee lui oeen-ions «E resst i ret <éveil!» iim ; s«jn rôle ft té uuf jeu ran: [xmr !♦ ehr tmsphot«t

art p épi>od» * et na ion par tefe chasM - j repré-futt nt pu "ttuce If en* reeoufM fs dernour. «le or» lions d’i “Tho Dark

V ilma Bank y et Ronald ^Colman qui fig ureront grand succès, “The Dark Angel"

au théâtre Victoria demain jusqu'à mardi, dans une nouvelle édition de leur plu»

| P# RII CIR V ment d’un officier anglais qui voyaget •• idm illustre brillamment 1 ha- LCv IflEiUA sous un déguisement dans ces terri-bilcté de Fnsi Humes. C'est This- |||| »|| 10p» toires étrangi rs la délivTe de la servi-toirc d’une fille «le chercheur d’or UU I lllDCl : v«ut la reiéguer et la fait•y;1'1'1 '|ui a7oun film “«.n».! d. ri.H.m. p«r- n'est qu”^

à m-, pour la protêr : U.t K.c.U.nte .nterpr.t.t.on le, ,^tie9 U,s p|us émouvant*.«iuhimI elle a besoin de secours, i <*e a L,ray e tous deux voient naître enfinL auteur. Basil Dickev a écrit une ( artier aura 1 heur de presen-lîL..fouit* .1.. M'énaniM i- it,,r à «* habitués, aujourd’hui, 7

>1006.talisme, partnuilier à cette Dif’ommo deuxième film le Cartier

préseme "The Little Yellow House" production illustrant le puissan* récit de Beatrice Burton.

Communiqué

pour*ur des ëuiets «le l’Ouest. EYe«l HumeM a le rôle d’un honnête cow-boy qui a maille à partir a\ec

compagnons. Yfais invnriable- a non devoir il réussit

jours suivant»,

S«tS

La jeune till»? est excellemment représenté»* ftar Estelle Taylor; les «leux principaux autres acteurs ont noms Antonio Mormo et Low«*ll Sherman. N'oublions pas que le film nous \ient de la First National et oue la mis»* en scèn»* de Joseph C. Iio\ le «*sr un puissant élément de nirncès, auquel jmmj de spectateurs sauront résister.

Enfin mardi et mercredi, le Français donne "The Eearl» ss Rider”.

ni piment fidch a trionpher «les agigsement- «l’une bande «ie malfaiteurs qui essayentde «iêpouiller un [>auvre vieux prospecteur de sa mine Barbara Worth ! ne fille recueillie «lès

i ter à ses habitués, j décembre et les deux ! un film, “Tim Devil Dancer", dont le scénario a été spécialement préparé pour l'exotique Miss Orax i»ar Ilarry Hervey. l'acteur de "Congaï”

| et de plusieurs autres ri»nians des contrées de l’Orient et de leurs

; pulations étrangesIa* film fhmn«» l'histoire d’une jeu-

amour radieux et éter-

sa imm «•st son partenaire «lans

1 aurore d’un nel.

On remarquera dans la distribution. outre Miss Grav. Clive Brook, Anna May Wong, Michael Vavitch, S«»jin. Jeannes Iêong. Clarissa »S«*l- wynne et Albert Conti. On notera que plusieurs noms étrangers d’o-

*K>“ rientaux s’y trouvent mêlés, et l’on jugera j>ar là du degré de réalisme «onféré «le ce fait au drame. Samuel

EMPIREAUJOURD'HUI

PROGRAMME DOUBLE

THE FOREIGN LEGION"!a vas

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TONIGHT IDEA"Worth ne mie recueillie «les ses pi^rnKra, G ld a m6lne ohoUl jA, < ’han-

tilm (jours «lans un monastère tb'véw*in, au non! des Imhs, et Vmsacrée dra

( ’ommuniqut comme vierge au culte d» ia divinité adorée en oea régions. Iê «léeouv-

Mehra d'Arwitaar, <5omme expert technicien pour certaines scènes du film, afin «l’exprimer le plus fidèlement possible le caractère «l’orien-

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i ■' pid’I I ; ' • 1na 1 Column, qui parai* on n. jm ut mi* un dans i*»,it« iutrrpn'tation Vil lia hank.\ * st !■ jm i mnau' ..n-Uqroni't* Sa braut< a ur;u*«* *t h* hai t di‘Lrt' d** 'ou talent dranmti qm -*uiî hors *!*• douti*, «t l*'ii/. maiirua* lui a donn* «h -pU ndKli > ooca>ions d’i-n di [iIomt i* uP s 1*^ resfc' ire* ('oinm* Kii’> \ an* . » lli*éveill* un* ardent** s\-mpatlii*1 *m>d rôle • * t -<* montre -.i ns diftieul- té une j»*iine a.-trie** *1- pretnar ran: i>our ie< rôles passionnel^ I..- ohroruhphotojrraphie est **niplo\ée av< »• art (a.iir rehausser eer’ains épisodes et * n huuiii* nt* r la fasei- na'ion par la <'«»uU ur. D’émouvan* let chassis au renard, de bataill* ~

mpr. o nti nt avn* 1\\aet it ude * t la pu 'satire les plus ôtonnanti > sont ••t recou|n es de touchant - «'pisod* s dVuiour. de faits trafiques **t de cr* nions d’imagination. Tout p* ‘The Dark Anpel” * st un suixTbe

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nouvelle vue où tijrure Ken Ma>- nar«l comme étoile, et qui sera r*- pr*-.entée le premier jour de la semaine seulement au théâtre l’nn- cess, promet une émotion à la minute.

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\V\mlhani Standing. I rank Klli**»:. Florence Turner. Helen Jerome Fd- dy, Charles J.anc et autres artistes reniarquabh -

l/histoire « st basée sur le grand succès drumatiqm de II 11 Tn- velyn. et le scénario est dû à la plume di* Frances Marion.

("est â la demande réitérée d* nombreux habitués du théâtre que la Direction a décidé *!* présenter d* nouveau cette grande production.

< 'o mniuuiqu

' 1 he Lion and the Moufte” un succè» phénoménal

e»t

!>*• Kion et la S<*uri.s” figurent l'atliche <lu théâtre Umpire pour;

le- t premiers jours *1** la semaine prochaine. |

I> tribiition toute d’étoiles William Collier jr. Al*** Francis. Km-

• ' Corngj*n et Jack Ackroyd. ! avec May M* A\oy et Lionel Ha- rymore en têt*

Cette vue est rhistoire d** “Hea-. dy M<»ney” Kyder, un capitain* i in*lustrie sans merci qui, pour

-** venger d'uni* dé**-i>ion rendue j ■ • • * - :

<!*• la r.. e* tin.inciir*' du juge Ross La lill* *• <* dernier. Shirley, étudiant l.i •< .!: tur* ii Pari . rencontn le tils bon à rien d* Ryder. L»>, deux re\i. hiient en Amérique, où j shir \oyant la destitution <1« 1 >011 | • r.*. prend la résolution de iforcer Kyder à tain restitution Le tout s'aeeompiit dan- une >én**h ' ci:* s formidablement dramati que- le lion du monde des affaire- • • nt i naleiiM nt obligé d** demander a la petite souris <le grigno-: ter les câbles nui le retiennent, comme dans la fable ancienne.

( ’ommuniqué

ARLEQUIN

•ce.CartierHouse”nilgau'

tunique

CANADIEN

LLW !S STONE que l’on verra dans ‘FREEDOM OF THE PRESS’’

au théâtre Empire 4 jours, t om- mencement de la semaine

A L'AUDITORIUMThe First Kirs" filmé à l’endroit du récit de l'auteur

Williams, fîeorge Na-h et Monroe < >v\ sley.

Il y aura en plus comme d’habi-j tude. ,â numéros «l** Vaudeville! Keith-Albee. au nombr** desqrel.s ' mentionnons le principal “The Se- \en V ariety (iirls ". un numéro com-1 !>*.-*'• entièrement de jeunes filles ; quatorze belles jamb* -. j.« nH< z-y î

\u-<i. comédie ('ana*ii&n Educational et Pallié Revue.

( 'ommuniqué

— Dem ai n —John. K. ARTHUR

“MATINEE IDOL”TED WELLS

“THUNDER RIDERS”Comédie Parloir

LUNDI - MARDI - MERCREDIHELENE KING

“WOMAN’S WARE”Comédie Pat hé

JEUDI - VENDREDI - SAMEDICHAS. TORRANCE

“MAN MADE WOMAN”Comédie Educationnelle

M. Chs ROSSLes Dames en matinée

ADMISSION 10c taxe comprise

Semaine du 10 Décembre

Chs ROSS présenteB0Z0 et

CIGARETTE- DANS -

Comédie Bouffe

% I!

La vue “The Fisrt Ki .* été- : I- mée au Mar * land . plus <le .‘LOOU

! milles *le Hollyv\«>i**L (’ette vue est annoncée au théâtre Auditorium

gpotir la sein;, ne pmchî me.11 y a un peu plus d’un an. Tris

tram Tupper. auteur de piécettes.; et un Yirginien de naissance, passait si-s v»i*an<*cs habituell* mit lo Ri \ ièr** Mil. - pr* - *1*' St-Mi**lme!-.Maryland (”* st 1'* < u’il a e.*nvu h ré«*it de "Four Protlurs” publié il

| n’y' a pas longtemps dans un maga- jzine. Ce ré*it traitait *h- l’amour fratorn**!, de l’amour d’un

i pour un** jeun** tille, |.* tout -ant dans h* voi-inago «l*1

j ( ^hesapeake.C'est dans h* menu* pay?

récit *1** Tupp* r a é'* t Iru* j titre *1** “The First KKs". première I vue *iii Kay Wi. et fîar ( oojmt ! jouent ensemble eoi.ime .:*»'!!*■ Direction par Rovy !: n*l-Y L* * et a*lap talion à l’écran par John Karroo.

Tout co qui a rvi à Tupper i>**urSéné tirée de "L’Homme qui rit", une vue super-spécia le de Laemmle ">n r* *-it ••rigi’.al ► « g ». 1 - * • r' ,

pour le T* • u p&gi: s'est r* :idu** â la li;»:*' Cb*-sapi;tp|-.*I cet. eff* t .j Supportent Kay Wray * t (ïary i Cooih t dans la di-tribut i«m Lan** i Chandler, Leslie Kenton. Malcolm

\-*F

P.

i; Ac

ga reon -e pas-la i)bie

que 1**S**US 1**

CANADIENAUJOURD’HUI JUSQU’A MARDI SOIR

A LA DEMANDE GENERALE, LA DIRECTION A DECIDE DE GARDER CETTE MERVEILLEUSE PRODUCTION QUATRE JOURS DE PLUS

A

Nous invitons les t'eus de toutes les parties de la ville de venir voir ce chef- d'oeuvre de Victor Hugo.

lio©

Dirigé par PAl L LENIavec

CONRAD VEIDT-MARY PHILBIN12 Etoiles Principales et 2,600 autres

I HEATREPrincesSPOUR SAMEDI SEULEMENT

1ère fois à Québec

TED WELLSdans

“CRIMSON 1 CANYON”

4 représentations par jour

MtfiMY Ml et SI)teéréï 7 IS fl !V$

ADMISSIONSMitre ) .31

Se.re: 4) d MetsT• «f c«marl««

PEiMCESSPOUR UNE JOURNEE SEULEMENT

( 1ère FOIS A QUEBEC )

Il a pris au lasso toutes Êj les sensations du royau- W me des films *

KenMÂvun AMQ

/X

RECIT EN SCENARIO

PAR

FORREST

SHELDON

Il n’y a rien *!** plu» émouvant nue la courte s*t]hji- tionnelfe d** K* n May nar 'Il n'y a rien de plus entraînant que le* aventure» d** la Police à cheval du Nord- ( HmsI ’K.tea-vou? capable «l’imaginer les émotions que vous é|xpou\ * rez a la vue *1» K* n «lari'* I** ré*le d’un p»licier du N«»rd-Ou»'^t ? C « st là un «l**s plus gram! *1 rames *l’a- \«*nture« aujounl'hui qui ai*‘nt jamais été filmé»’

AUSSI5c Episode de la Série

“HUNTED ISLANDJ

M

rty/ >£1.

UNE VUE FOX NATIONAL

LUNDI. MARDI. MERCREDI JEUDI. VENDREDI. SAMEDI“ The Strange Case

OFCaptain Ramper

avkc

Paul Wci»ener el Mary Johnson

WILLIAM FOX PRESFNTF“THE NEWS PARADE"

AVEC

Silty Phipps et Ni k Sluait

semunî: m l.i DECEMBREUNE AFFAIRE D'ARGENT" comé«K* par r Hébert

LES PLUS GRANDS AMOUREUX DU MONDE !RONALD VILMA COLMAN et BANKY

dans leur premier et plus beau film --- le film qui les a faits, tous deux étoiles de grand éclat.

i

Voyez la chasse au renard du grand monde-Excitant. passionnant, trépidant.

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y)/ U \

Les coeurs battent plus vite quand le tambour annonce le départ !—-

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"Jird uational Picture

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Une révélation en fait d amour qm remuera profondément l'Âme. Ix plus beau roman réaliste. Emouvant par la beauté du drame, la splendeur dos décors ci le fond tûerner et sentimental

lir/rtnationalPtetures

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DemainJusqu'à Mardi Inclusivement VICTORIA 4 Jours

Commençant Demain

16

maift. It MM' ft ot Vft li *

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£)anâ nos ft ÿhéatres Le meilleur vin, le roi oeut boire—

CLASSICf he t icape" fournil element® «l'une vu* ment «mouvant*

loua le* véri t n M*-

Jity (v* Son jt* ehj»'ju*

! ouvant<‘N sr^ne* <lt* nuit, Hra- nu.■ ;i**~ hataill,^ au fuiil, intr»rjw*mrimfmn-, a* iutir«*u*H* et un l>ori l^r.. n •; in’* r* t humaio. tel* *u>nt U** |M>inti caillant* r!e Thn Kaeape", une i»ro*iu< tiuu Fox Film* qui enchantent <ie- centaine* de fpecîa- teur aux matinée* et aux aoiréo» du lhé*tre (Ma me

\ . a V dan* le rAle de Mav«t t«»ut bonnement *up*rl>*'

I, qui Hemble ^'améliorer avec nouvelle Mie Fox, e*t I'Mian-

»e «le la |»erf<»eti«jn dan* cette cinématoicraphique do la

«le l'aul Armftronc. Dan* uh Mlle Yalii fait nuiotre de m tal«'üt d’at’trico accompli, nation* (M»nt coraée*, le* vie* «ian» la balance et parfoin, la

Virginia semble elle-m^mc b<.r«l de la dtmtruetion. Ki-

n. c«»mme directeur, n «cène* lit* plu* difficiles j lie la plus habile d’un ste. < ' c*t là une «*xc*d- i • • d'un réi-it detoutpre- 1 Je grftoe, qu’on vienne j

( «immumqué i

ut

AUDITORIUM

Et mo i a utti

Hfirtui touê Jeux, veuille* me croire

Somme» a in ai.' *

rMiLTmentation naturelle de la ville f. - ;*t monter le <dnfTr« d'évalnatioL 1 .* l'évaluation **-ra (*<»n*i<lérable

■is la taxe chargée à «duu'un neraél« \ «V.

Kt pui* où trouvez-voua une Vi au monde où il n’y ait pa-* de

’ T«#Ut ce que VOU* portez «‘st u«\. le ôuiernerucnt taxe t«»ut cv >, .«•«' fuiti •>. Cela oorte cher «•'eit

n i .* • non* en profitons tou*'\j> ' plans furent ensuite dépliés

« • «xpliqué* un à un à l'aNsiittance

Le travail, qui était une corvée pour elle, lui est

devenu un plaisir Cartes Professionnellesl e* contraste® ir«*nt tout Tinté-i

rrt d* " Forgot ten F*ca*M

tm

UOt-JALD CÛLRA

l e porte fait l'allu- »ton au

«le 1

Two Lover*” au théâtre 1 4 jour®, commencement

a «ernamear

ilr»

A L’EMPIRE

âta.AUJOURD'HUI *i DEMAIN

RAMON NOVARROet

RENEE ADOREEDANS

“THEFORBIDDEN HOURS f»

• uafti Allen* Revet Walt*r Miller dan® le premier épiaode

“HAWK of the HILirl’n# ®eul* journée le 9 dérem bre John (âilbert et Joan Crawford dens

Ai FOUR WALLS”nouvelle® et comédie

LA PRESSEAU CINEMA

De* «-ontriuMc- inattendu* inélé®» la tr-un** «i’ijn» hintoirc l««ftri<ju«,i #*t

ém«»u v an t**, et d«* incrvcilU^M «le*• n a < «irnpli» ' par une grande

réunion d'artcum, voilà tout Fc film Parair. ait ' F«>rgottcn Fiw»*®” «|uc 1 <-n \ • a l Auditorium depuin hiermur

On «lit «pu- lu proeluntion cul r«»*ijvr« *iWk‘ialo «t»' \i*«l* tt« -. «!«• l'A- • ran «f vrai (’live Prook.Mar Pryau, l)&e‘lanova. William T" e ll. l’r«<t h' ' • r « t Jack Luden cri * >f : ' l« n prir * pal» * ligure** L’in- '> ri1 de l'iningue. de** «iée*e»nt inou- i 1-«1 «1« ^ c«>ntnft*tH* frappant* etl ar* dramatique «lu hlm lui «lonne-nt dr«»f a un « la < me nt *j*é« u»I dam* le «♦•ns h* plu* avantageu «lu mot.

I lagm* / un 1 :ui qui début** par wfi <!<l-up n«aturne*. «lan* un** él«—/’« '• mai»un «U j«*u. a<*«*«»mpli |*ar :• iv cHe're><■'• « n liabit «le soirée*, qui

)>/• «rit*- eiiNuitc le* .sornhre* inte'mur d'un nénitcocicr. montre» un e^snai T évasion, donne des vue* aecrétoa ir la vie* -«M*ial«* «tans une maison

rie he * t d'éU'gance*, « t dépeint en .:. i é m « • [«flip*. 1. . terribles réad ions lion normale*. N** d’un, feniint* qm- la pe*ur a conduite peu à peu à lu f«die.

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la rue* d**s Foesés. M. Picher m* l**va et demanda

qu’avec til le* coût tee- et ele*H tra-

cat ions ment <!e Edouard F • u ' aient il m* faisait n.ai.'om* sur cette? rue*, ■ -! «l**s exftrt)priationa

un clioix r«»yal dans l*9« Vin* «J** Porto et que nom* recommandons a votr»* attention. Vieillie JP ana on fût.

a ix ne dépassait pas $771.000.( - st qu’il y a des mai non*

• alu*’** a.sM*z liant tandis qu’un grand nombre ont un** e'valua-

•i • n d«- ous de $10.000”, ré-

Demadei dè» au-jourd'hui leConvido

MCalcul® biliaire». M Reinhard

RollolHon. de Fortiina. N I) . . « ri' ".j’étais ni ternble-ment affligé eh* calcul® biliaires que je n** pouvais m’as- s**oir «*onvenablement sur une en as*' 1j*** docteur* m** eléclarerent qu*

une opération pourrait m* mui-

ASSEMBLEE

seulelager Après l’emplui d’une bouteill* <ie Novoro mon mal eliiepurut.” ('*• remède végétal «h* e'onfiane***. ngh- • ! aide en outre* h resraun-r leur fom-

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prochaine, «»n ne js-ut man(|u**r d’aspeisfeT au nm*««.s ae*coutuiiié du thème*

Iês «ritiqu*»* de cinéma, **n tant au’écrivain» eh* journaux, recherchent toujemrs hs d*'fauta tachni- que*« “FreuHlom of the Press”, biem que ce soit un film qui s«* rap|M»rte- à un jemrnal. n’a pas «h* *-es défauts, «le* aorte que» l’on |m ut juge r la pr«»- ductlon élu aeul p«*int «h* vue d* -a valeur «hstrayai ■«(“**»t réellement un «I* films h

plus énumvant- qu ait re ti nua 1 Empire elepuis plusieurs m«*u. fruit d'une habile mise* **n hcc ru* et d'un Mcénariu impui- ant

Ijeaii* Stone e*n est la ve-dett» et c’eut dire*, «lès h»rs, qu« h* rest* «le la distribution «'t, nus i. parfait. Stones hvr«* une pin -ante inter- prétatiem «!« « h* f «i« ncuuie inteThq*»- e*n même* temps jx rsonnage r* -|H*< l«‘ «le* la soeMéié. (Tonnant «l**a >.»irées à mou quartie r **t «h s millier» à la charité imbliqm (’««t tout à la foia le chef d un parti (Militiqut^ véreux

Marceline* Dav e t Malc«»lm Me*

Api* s avoir été introduit par M. -R (îe*nest, Son Honneur h* main»

«*mme*i a ininiédiate’ment à ehmn«*r • (plications qu’il illu ira à l’aide

«h*s plans de» ingénieurs «le la cité.Il me fait plaisir «l’avoir accepté

l’invitation de la Ligu»* «h*» ('ito\e*ns «I* M-f« ;«ii-llaptiste*”, «lit «*n débutant * l<* main*, « t j«* remercie le président«h* la Ligue «h* m’avoir fourni l’occaMiem «h parler i<*i «lu redereruluiu qui M»«ra te*nu «lan- «iue*!«jue*M jours.

Par - attraits «*t s«»n site hlst«>- rujue*. la ville* de Québec attire une fort* imputation étrangère. L’an <l«*rnie*r au cours «h* l’été nou» avons r« . i telh*me*nt «l’etrang**rs que h*s hui» 1 lo< aux ne» suffiMkie'nt à les loge*r t « i U s ( «s touriste» huièrent «Ï«aii chambre un peu partout dans la ville» • • un gran«J nonil«re «h* propriétaires pun rr « r pnelii «h* leur» app&rte»- ni« rits ld»re- «*11 d’autres temps. On p« n' « ««n i..«r«*r n«>tre ville* \ une famille «j i cmmlit Ix»rsejue la famille» s’aug- me*ni« il faut ivgran«lir la maisem.

Or ♦'g.*r »« >nt »t tacha rit s «lan*le» lieux aiitn»» principaux rôle»I/édlteur ♦•j.t p«*r- «•unifié par lh*nry B WhIthall « f >■ rap|H*ü. le.li*leur D«*n M.llett uiaetocré à (un-ton. f )hio

CO» UVII—-

LesImitations ne font pas exigez le

( ornmuniqu»' ft-Jt

ACinrrwf i r\ m \r jsiandmea ANNONf ► f . s

Vm xalrsir réeimt/i A Tépr«««a.

|(’’«mt ce que» j’ai voulu fain», e*n pr parant le*s plans «1*» déc<>ng»**tion du trafic eûe* j»* vai*. vous montn r.“Pas uiic feinmo elans la ville* ne

; voudrait laisse r jouer son enfant sans surveillance «ian.s la rue avt*«* le s condition» actuel élu tratic. Pour vous «hume r un «*xe*mple» «le* Ce* eiu « ' h* trarie* dans U» bas «h» la ville j«* vais vous donner des chiffres pr par eh*> stati»ticie*ns En une S4.u!«* journée*. h*s bat«»aux «le* la Trave*r-« transport* r«*nt f.JJJ automubii< l'été dernier. T(*ute*s ce*s machin* turent déversée» sur «h*ux rues «le* lu liasse-Y)lie qui dût !e*s al« orbor en plu» élu trafic régulier. < > jour-la si une* alarme avait ap|H*ler les pompiers du poste No .p» à sortir. n'auraient jamais pu atteindre I endroit «lu fe*u Ia- trafic fut bloqué J.r» minutes dans l’avant-midi e*t lû minute s dans Tapres-midi

"Quant aux explications que j«* vais vous donner, elles ont été soi- gneusement préparée- |»ar les « xp«*rts ou© n«»us avons à l’Hdte! eh* \ 1! « Je* file» suis «loiiné be-aili'oUp «h* troubles pour prépare*r le* pr«•grainm«* méliorations sur lequel vous serez appelle s à vous pronom » r à pr rtir du lumli prochain, mais je* n« 1 ai pas fait pour moi. Vous ét« libres de* juge*r e*e travail comme* veuis l’en- temlrez, mais dans deux ans, si h ® améliorations pro post'» •- r« sont pas réalisée», nos rue s <e*r«»ut « ncombrée*s et tout h* monde* e n -•««ulTrini.

“Maintenant 011 a fait 1» aueoup de* bruit auteeur «le* la taxe* «pi'on c-nirr ele v«nr monter «le* JO a Jû «*e*ntms dés la première année. ( Via « st iiu- pssible; on ne* peut «lépeiis**r teiut h* montant voté d’un seul coup Au cours «le la première* année* j«* ne cr«us pas <] u’ou pu iss.* <iépe*ii- r plus de- $1 500 000 «»r l intérét el»- «•• m«»u- tant et le (Miuroentagc «lu fonds «l’amortissement ne pe»ummt janmis «1«'*- passe-r $00 000 ce* ejui é(|iiivaii' une* taxe* inférieure* a .10 ceuitui'. «I i ^ 100. Entre temps les améliorations et

lit M le Maire. "Je n’ai pas mums les chiffre»» précis, mais

r • f. r;u un plaisir d’en donner « ail à M. I*i«*h«T s’il vient in»» «h mander à T hé tel de ville”,

si vous jiouvez tout effiK’tuer rav aux p«>ur env ir«»n $1,100.000

h* Main*. j’ai>f)laudis ele» deux ail. cVst HH rv e*ilh*ux. mais,

j « n <lout« f«irt. 1^* montant que donnez semble insuffisant".!

; 1 ’M h* main réjHmdit que I«^« e»stimés

ava.«i;t été ®e ligne usinent préparés,, «l î* « haoue* ve rge cube do b. ton.

• •*t • heur» d’ouvrage en un mot h*s déiM*n.s«*s avaient été eal-

• - e t incluses «lans h*s estimés.«n® ae«‘order un br»*v e*t d’infailli-j

• 1 ceux qui ont préparé c«*s ehif-;' conedut M. h* maire, "j’ai «*on-

. i*-« ejue les montants déjiensés ne» i« ; ?i--«*r«»nt pas '*e que nous avons j

prévu”.La «1is«*unsu>d se poursuiv if p« ridant

• ju. ■ rnps e*t M. h* main* continua « <h»nn«*r h*s explications sur chacun h- item «lu r«*gleiiieut IIS. Après

« il expliqua aussi les quatre* autre*» r gh-nmnts. 11 fut re‘inercié par M. F.-R. fienest.

Avant que rassemblée ne* prit fin. M. Edouard Picher pre>p<*sa un veit«* l«- re-i!ier«*ie*ment à M. h* main*. ‘ J’ad n.ire h-s hommes d’énergie »*t d’ini-

«tive e*omme M. Auge*r”, élit M. Ti- '•h«*r’ . e*t je* proposerai» qu’on lui

• «les rem«*rcie*me nts jniur les expli- « ' ions cl ai res e-t pré<*ise«s eju’il vie*nt

h- rums «l«»nner“. l)«*s applaudis- nenfs prolongées accueillirent ces

oa rôles.

Nt;eiH*it« K«.v «1» Kltchburir Ma*h ii«»u>. « ut J« ma fatiguai® f» e llrmenl, j é?*i® i>art HM*u®i< la 1 uj irt . t««tnp® ; ^ * ai- l«* ct*r '«-au al«» .1 h. j«« mait gial® U am- bition »•» 1 ènergir ruai® J ètai®rArigné«* ft mou sur» parr** «ju j« crov»U «iue* cette* uéi»risM«.l"ri était «lu»* au retenir «le I ft»** «'t qu’il n > svalj rien ft faire O l«*iuUnt li»cu|ii«* ie® palpitation® •lu <<j»ur l«-® ftourdisaeriiant® et le® «icmli'ur* aux rein® et aux aines coiuui.-ncèrent à s'aggraver, je consultai un nié«l<*rln qui me «Ut qu'il m« fallait employer tout «le suire un touiuuo féminin II nu* re-e'omman'i® rèmol J en tl® venir tr«»l® traitement® et aujour- «i'hul après . n avoir «*rni>l«»><1 que «leux toutes mes «iouleur* tmt (il - paru mon travail m est facile et aicrèîibU- et je sul® plu® forte *-r (-rierKi-pie «|u'â là ire «îe vinxt an® .1 ul bien I intention «le continuer U* traitement etic«<re un in««is «t Je ne iuan«|Uer&i aucune ®« «-««.n «le recommander FEMOL

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mois. Son servie»* fut chanté le 3 dé-, eembre, en l’église des Escoumains; h* défunt lai-se pour h* regretter, son j rère et «a mère, M. et Mme David Boucher; une sœur, Mme Emile ( "hamberland. et cinq frères, J«*an- Bapti«te .biseph, Adrien. Sylvio, et (’harles-Kdouar l Boucher.

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MM. J Poulin, et F’. Poulin - nt .«liés travailler li St-Jérôme.

M. et Mme Jo». La«*r«»ix sont ail«■«.« r roi■ -Kivn re« <îerm« r«*m«*nt.

Mme K. Marchant, est allée à Montreal. <«*s jours «l«-rni**rs.

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A la famille en deuil, nous nos sincères sympathies.

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Thet ford‘MinesDécès

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Elle laisse pour pleurer sa j)«*rt^, outn* un époux inconsolable, un j«*uo*« bébé, »«»n iH»re et sa m<*re M. et Mme Joseph Gilbert, «le notre ville; deux frère», N M. A Uns! et }i(*un. et trois roeur®. Mlle» ( ‘annélia,Marie-Anne, de Montreal. <*t Antoinette.

l>*s funérailles ont eu lieu en notre égl.se j«*u«ii matin à 8 heures. Nos sincère» sympathies.A l’hôpital

-M. F. Nakask a été transporté d’urgence à l’hôpital de notre ville, jHiur subir une opération pour l’ap- j4*udicite.

N «ai voeux de prompt rétablissement.ivflariaf»

rviercrcdi, le 5 courant, a été célébré «*n notre églis»* le mariage «h* Mme Vve Johnny (iagnon nee Mathilda Parent) avec N*. Sitnéon Gagaon. Les nouveaux éixmx sont partis eu voyage «1© uooe à Montréal.

No» voeux de bonheur.Va-et-vient

-M. et Mme Léonni L*»ss%r«l sont lié» j>asi*«*r le dimanche à < 'oleraine. !

Eczéma démangeant sur la figure du bébé

Produ'sit des boutons Cuticura le soulagea.

aqueux

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LE SOLEIL QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928 \S2SSMÇ-

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Per veritatem ad lucem OCM? •“***> » r. -f-e 5.K.-T t ** <£* tr*+r*.<r* Z* Ï‘M Z* r* CW-W*O' W v> e w 3‘* * *-«*CÔ-O S-«a #:*

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I DK l> Kgrert*

(IONntréei

RENi* PartvLyon la iU »rvein*i, ^ni»*. ETIONS

i 1-0214

Marie Immaculée!( ’hantez, vous nui chantez, les merveilles de lie u Aux portiques au (’iel, aux (Vhns du saint Lieu.

Aux feux de la voûte étoilée;Ancres, vierges, enfants, élus cju'il couronna.(’hantez au Dieu très grand iVtermd hosanna

Moi, je chante l’immaculée.

Chantez le créateur des fougueux océans.Qui jeta les glaciers au front «les monts géants

Et l’humble tieur dans la vallée;(’hantez son œuvre immense au radieux décor.Son nom sublime, écrit là-haut en soleil d’or.


Chantez le Rédempteur, Dieu de Dieu, Roi des rois, Jésus ouvrant ses bras et son cœur, sur la croix.

A sa créature exilée;En tes hymnes, prophète, et toi. prêtre à l'autel Acclamez sa victoire et son règne immortel;

Moi, je chante l'immaculée.

PAGES DES ACTES DES MARTYRS

liez, vous oui chantez.’Arcnange en plovant les genoux,

EAU

UEBEChypo anil es uccezt com-

L

sa mère au nom si douxle salua Yi ___

A Nazareth, en Aalilée:Mère aimante du Dieu Sauveur qui la chérit : Chantez-la souriant à Jésun qui *..urit;


Chantez au Golgotha son courage et ses pleurs; Chantes, près de la croix, la Vierge des oouleurs

Debout, mais l’Ame désolée;Oiantez son vol royal, au sortir du tombeau.But les angee courbant leur aile en escabeau.


Vos» êtes toute belle ! et nous vous bénissons. Etoile du matin, lis parmi les buissons.

Maison oor, Fontaine scellée;Bur vous, l’ombre de Dieu, dès l’aube, resplendit; Vos pieds ont écrasé la tète du maudit:

Et vous êtes l’immaculée.

Des yeux de notre foi, Vierge, quand nous voyons Quelque lointain reflet, quelques pflles rayons

De votre beauté dévoilée.Dans l’extase des pleurs, nous tombons à genoux En criant . “Gloire K vous, gloire h vous, glo

Une erreur sur les Abyssins

\a* couronnement du ras Taffari. chef de l’Ethiopie, a fait couler l»eaucoup d’encre et l’on a même écrit qu • si l’ancien prince héritier avait ét* renversé par Taffari. e’était parce «lue scs idées étaient “contraires au sentiment du peupie abyssin’’, qui est catholique.

Les Abyssins ne sont pas des payeus, ni musulmans, mais c’est forcer la note que de vouloir en faire des catholiques. Ce sont des schismatiques et des hérétiques qui. après quinze siècles, professent encore les erreurs d’Eutychès. in» revue missionnaire remet les chose* au [Hunt. Nous lui empruntons la n«»te suivante résumant parfaitement ils demandaient au -acn-tain. le brûla situation religieuse en Abvssinie ve Fn re 1 bald, «h* bien vouloir ap

te pays, à vrai dire, faillit être , peler le R. 1*. Pan de*. car ils ve- catholique. Vers Kilô. une alliance riaient disaient-iL au n«)n» «le la Li- fut conclue entre la régente llélèm* cath«>lique.et Emmanuel de Portugal, aux ter-j Ces messieurs avaient 1 air si bon-

Au MexiqueCe qu’ont kourfert, à Mexico des religieux des Sacrés-Coeurs

de Jésus et Marie le R. P. Benjamin Paredes et le Frère Ubaldo Canton.

L«- Jb novembre 1927. deux jours prpm - après le* glorieuse» funérailles des : vol» martyrs Pr«»-.Juares, deux individus j diflfén d’aspect fort dévot "’agenouillaient n«*u pieus«‘m»*nt «lans l’égli*e «le n«»s Pères fan à Mexico, et après avoir «ifb-rt un , l.«cierge à la V’ierg© qu’on y vénère

’Gloire A vous, gloire A vous. 'Immaculée !... Immaculée !’

gloire A \ous

V. DELAPORTE

/44£MEDITATION

Vers le Cédron

mes de laquelle le royaume «ouvrait aux missionnaires catholiques en échange d’un secours entre les musulmans. Des troubles violents s’ensuivirent. \a* clergé indigène se coalisa contre les missionnaires, et la guerre civiie se prolongea pendant plus d’un siècle entre catholiques et euthyohiens. I>*s secomL 1 emportèrent, expulsèrent leurs adversaires et pendant près d’un siècle et demi l’Abyssinie fut fermée aux Européens, l’n** dernière tentative de convertir le peuple au catholicisme, vers 1750, amena de nouveaux roubles et n'aboutit à aucun résultat. Depuis, le statut religieux du pays n’a subi aucune mo«iifica- tion appréciable, le chef «le 1 Eglise abyssine est un moine copte envoyé par le patriarche jaoobite «lu < ’airf*. 1) réside officiellement à Axoum.

; mais il y est presque le prisonnier de ses ouailles l’autorité réelle est exercée par un religieux de ra«*e

! abvssine qui siège à (londar11 <«st donc faux «le ranger l’Ethio

pie au nombre des nations eatho- ij | liques. Ce tut autrefois un rameau ^ détaché du tronc chrétien et qui.

au point de vue religieux, parait aujourd'hui complètement «lesséché. I>* régime du ras Taffari. s’il parvient

-<*e qui n’est nullement établi à relever le niveau politique et économique du pays n’est guère de nature à rehausser son niveau religieux et mon»b

)> !

Lr*lt«-

» P m

dix-neuf siècies qu’elle

nous redit la liturgie de

cela aujourd’hui, demain et pi Te:

i les

0 à s-nia-

Tél

,.l .ivais résolu ce matin-là . d'aller-\e, depuis ril^rt r l’hostie de ma messe là-môme i*st dressée.0Ü se dresse à Jérusalem le marbre Rien plus.

* *

bmovins■tant devant un antique piédestal «lira «lans l**s cieux quand Jésus, s«»u-

et balcon de pierro uue des verain juge, re'i^scendra sur ce Mont les séculaires ont cavé «le leurs, des Oliviers, d’où il s’éleva «levant

^frurs, que «le brûlant» étés ont ef- «es apAtres vers les régions d Wté en dentelles. Je désirais tant heurs infinis,

réfugier pendant une heure près Mon Dieu

blanc et si artistique de l’Ecoe- l’Avent, ce l>ois désormais sacré est !'‘s lmi.s M o. J’ambitionnais de porter au par excellence le signe du Fils <h brigands ♦ ux- s une larme et un cœur plus l'homme, (’’est la croix qui resplen-' ‘*st flu*‘

réfugier [«erulant une heure près Mon Dieu, que je vous rende as- j 01*JX c‘(' |* ees massifs contreforts romains | sez d’amour pour n’ètr»* pas conv ain-I' (IUP «’achèvent et enchâssent les murs eu. au dernier jour. d«‘ |M'rsi*tant«But frais de la nouvelle basilique ! ingratitude. Que je vous rende as- [7Sous «*e portique si longtemps dé- sez de services pour que je sois du Hkbré. et qu’entourent aujourd’hui nombre de ceux qui furent misérioor- qbmme des gardes en tenue de gala, «lieux pour la «létresses physiques ou B splendides colonnes fleurie» on cha- surnaturelles d’autrui.■taux d\jr. il est si bon de méditer Voilà ce qui résumé toute la loi et H passion ! : tout le sujet du jugement dernier^ Je me proposais donc d’aller revi- vous aimer, A divin altéré du cal-

la s<iène du couronnement d’é-1 vairé, en vous donnant mon âme;

bébépileux

iMiur»'!'iXt tl«nir< nkmreu « «'ru p t Elh la nuit certain

on xra-’utlcur.» a«'li»atai

«•tira et ura etuiipIMe-«MhTor*.

et «le mépris à l’endroit même «le nouvelles Filles de Sion «>nt

t offrir au C’hrist une couronne ortie vrais diamants et où elles

rent, elles-mêmes, nuit et jour parfum de I«»ur vie pure, active

aimervous!

l«»s Ames en les attirant à

iui au grand jour

9Ô priante■ ('"est là. en effet, que «leux illustre» 1

tscemlant* d’Israël coupable. Thé- [ V

Malheur à ceux seront convaincus de n’avoir pas aimé ainsi ! Pour éviter cet anathème

| porté contre les ingrats et le» inconsi- «lérés, que dois-je faire ? D’abord

et «léjà «levant mon»j j crucifix, ou. si l’idét» me parait trop (jolgotha

™r: 1 ^v^r,. il faut Chaque jonr V,n,r'en^s adorateur» de ce divin Roi »nnu ja«lis, voulurent attesteramour réparateur en érigeant ce sanctuaire.

C’eat là, que depuii lora lee religi- de Notre-Dame de Sion, ve- de Parla ou d’ailleura, j»erpé-

int aprèe chaque élévation de la eme la aupplication du Sauveur j ge ivé sur la croix : Père, pardonnaz- ir : car ils ne savent, «ve qu’il» font! Aisément tout c«la, et plu» em'ore,

ne revenait a l’esprit aur le chemin poudreux de Béthanie aux Remparts.

— o —

mirer dans ce précieux miroir d«*s beauté» divine» et des vertus humaine» «ju’est Jésus et Jé»us crucifié.

ne pai! Citn «itrétl"«♦t .s><

Car *1 noua nous jugeons nous-mêmes avec justice Dieu nous jugera avec démence, si par notre imitation fidèle des sa ni n’a nous noua rangeons déjà du oêté droit du Bouyerain Ju-

peraonne, ni ange, ni démon, ne pourra noua reléguer à gauche, lora du claaaement irrévocable dea élus et de* maudits.

La «?rolx fulgurante brillera dans les cieux qnan<1 le Seigneur viendra opérer ce redoutable partage. Désormais le crucifix présidera aussi à me» réflexion», à me» paroles, à mes détermination», à me» examens de 1 conscient. I»in du crucifix j«» peux garder de fausse» idées, m’engager en de périlleuse» «concession» a l’es-

flus tard f'nser ce

Dieu ? en vérité c’est irapossibh Et cette impossibilité, il l’avait

disait-il amplement constaté»* sur <h * coeur» d’abord les plus endurcis «*t les plus relxdles. «‘t sur «les ru«l**>

mêmes.1«* divin crucifié, me r»'-

«iit saint Amboise. est la vérité «‘t la sainteté de Dieu ; non pas une image muette, mais la pamle et la â-

bon- Kcsse de Dieu. Quand la foi ravivée par l’oraison m’arrête devant un cru-

n’est plus une image sans j’aperçois c’est Jésus lui-

mém«* fini anime en quelque sorte»* o«*M«* « ffigit» pour nie redire tout ><»n Evangile et *>n particulier ceci: Je suis la résurrection et la ' ie eelui qui \ it «*t croit en m«»i. fû’-il mort, vivra.

(“est «*ette lumière qui manque à «cette population juive «jui. en <•« s débuts d’une lumin«*usc ournée «1 < >- ri«.nt, semble cherch«*r resp»iir d«* r«*- vi\Te un j ur réunie à «vux qu’elle aima. Mais l**s s«>li«les <*spéranci*s «h* l’immortalité hienheureus»* ne réjouiront jias <*»*s coeurs tant «pi ils restenint fermés aux appels «le l’apostolat .

Ils n’aumnt r«*c«mquis la paix que 1«» jour où, «lociles «‘t humilies, ils vi«*n<lront impl«»rer l«* (’nu'itié «lu

ju’ils méconnais»«*nt «>u insultent. Quoi qu’ils p«*n»ent «>u qu’il» ignonmt, ils se placent eux aussi, à droite ou à gau«*he de cette «Toix qui. aujourd’hui comme a la fin des siècles, sépare les justes des coupables.

Mais il n’y aura pas que le» tribus d’Israël au jugement qu’appréhendait si fort l’austère Saint Jérome «-t

Mais vtrid une préparation plus immédiate à ma messe. C’est une page d’histoire actuelle et Iricalo qui «'étale là devant moi tandis que je imoends vers le Cédron.

Pans la vallée, où tant, d’armée»PBt «iéfilé avec le» siècle», et où tant exemple, que je suis honorable quand de pierre» tombale» attestent que1 mon orgueil est flatté, que je suis rides léjpona de mort» attendent le ohe quand mes revenu» s’entassent,

in«l jour, je trouve de» juifs et de» ( qu© j© nuis heureux quand cette for- ive» pleins de vie qu'anime un «ouf- tune »e fait la pourvoy«»use «le tou»

religieux si non divin, (’es pèle-| m©s désir» et de tous mes sens. Ixun

nêto qu«* h* bon frère, non toutefois sans quelque appr«*h« nd«»n. l«*ur in«li- qua r« iulr<»it «m 1«* IV*re >«• trouvait.

1 Ils s’y r**n«lir«*nt. Dès qu«* h* Père les ai»erçut. il comprit au’il était tombé «ian- un pi'-y « • tan ut «l«*s émissai- r«*s «1«* la Polie»* secret»*. Ils le firent monter dan> l«*ur automobile et h* «•on<lui*ir«*nt à rinsjH*ction générale «le la indice où ou lui fit subir un in

, t. rrogatoin* c«>mme - il tû‘ cgi «l’un grand criniin«*l. L’ordn* <i arn**- tation h* r**pré««*ntait comme un «les

1 chefs intcll»*ctu«*ls «1«* la Ligu« Nationale «1«* <léf**ns«» r« ligi«*us» Dans «es r*^pons«*» 1* |V*re ««• borna à nier t«»u- t«* participation à un acte subversif, pour U* reste il s’enferma prudemment «lans un «il«*nc«* absolu. Comme Miite à ce ptvmifT int«*rrogatoire, il

! fut emprisonné «lans un cachot «>ù se trouvaient déjà d voleurs et un assassin.

D«*ux jours plus tar«l. h* lundi 2# novembn*. vers 7 heun s «lu soir, «m h* fit «•omparaitre «l**vant 1«‘ tribunal

I présid** par 1«* te rrible 1 ris|H*cteur général «1«* la Polie»*. Rob« rt«> (’ruz ♦*n personne. Iy«* prisonnu r rn répomlant pas au gré «le s«*s «lésir*-. c« lui-ci s’oublia jusqu’à le frapp« r au front a\«*c le canon <1«* *on n volver. « t il le fit av«*c tant d»* brutalité que le Père tomba à terre sans oonni’i«>f-nc«\ Re- \«»nu à lui. le Pen* a\«>ua *;’n» difti- culté avoir appartenu à la Ligtn* de Défense Nationale de la religion.

* mais il nia d’avoir ïamais fait autre* chose que «h* travailh*r «!«• toutes k<** forces au salut «les âmes <*t au bien de sa patrie* le Père est mexicain .

Ne pouvant tinr autre cnose de «•<* petit prêtn» «|u’il a v a i ’ «levant lui. R«>fw*rt«> Cruz ordonna «1* h* comlui- r«* au cachot «l«*s condamnés à mort. Donc s«>n afTairt» était réglée*, il n’avait «pi’à sc «li>p<»s«*r à bien mourir. D* Père tira s«»n rosaire, et jusqu’à «•nae h«*ur«*s et demie il multiplia ses Ave Maria, demandant a\««* uni* f« r\« ur faciî* à c»mif>r«*n<lr«* à â Inm- n«* Mère «lu < n i. de l’as-ister maintenant et à Pheure de la mort. Puis vers minuit, fatigué, mais calm* <*t résigné, il se coucha «lans le coin humide «le ><>n ceehot «*f il s’endor- nit. Lorsqu’il s’éveilla !• matin à cinq heures *>t demie, il fut tout surpris «le s** trouver encore «le ee mon- «le. car il saxait qu’en général, une fois condamnées à mort, l* s victim«*s

d** R«>b«*rto (’ru/ n** tanlHi»*nt pa« ;i i«*tre expédié«*s «lan< l’éternité Mais c«* qui Uî surprit davantag» « !i**<n c«* fut «1«* pouvoir acl:**ver la n«»uvell« journée «jui eomim tn.ait ( ’omnu nt expliquer «m* r<*tar«l 1 L«* % ou i

Dans la p«*rquisiti"n «ju’ils avan ut faite à domiei!»*. les ; gents «i«* poh«*c avai«*nt tnnné un» li-ie mystéri«*ii»« d«mt ils \oulai'*nt ax«»ir la «•l«*f. <’’é- tli’ la li«t«* «I«‘s objets «1«* vab'ur «pi« h* Père axait r*tir«- d«* noir* ♦ gli*^ «J» Dirette ax«*«* l'imlication énigma- titpie «les « ndroits où <»n les ave il ca«*hés. Tous les p« rsécuU'iirs s» r«'s- s«*mblent « n ce point qu’ils sont cupi- «lea, «*t il arrive s.)ux« nt «jue leur a- varice tient eu échec, au moins p«mr quelques jours, leurs empressem«*nt à frapi»er. C’est «*e qiii v«*nait de s* produire pour notre confrère “Avant de le fusiller, tâchons «le lui arracher son secret”, tel fut 1«* motif qui h* retint en prison au delà «lu temp<

ne fh**nt 1«V>. • i

•r \«*nlre-li du ni«hs. il renou- •'.[iloit 1* la \«*ill«*, axe-* cette

> «jm’iI la l«* prisonnier un *lu> l«mgtemps an >«*in «h* la• r-ri vil<‘*gi«'*«l‘ Pan* h*- o l. iuaii lait «|U«*lle

• t». la fin !«• t<*ut«*s c«*s mesu- n'radietoin Bientôt il fut r<- lai > prison par «1«* noux«*aux

«•«*n lainnés «*«imme lui’ “|K>ur ai‘enté à la sécurité d<* l’Etat”;

*ux «!«• brax«*s «•hrétienm*" a- !» pa-sé !.•" s< :xante ans et qui

t»; |>eu "<:rpri-« •nnaltn* l«* z- lé

lis** 1«* l»r«*tte.' int un oratoin*

la pri«*re <»t le mforté cha«pi >‘<unmunion.' «•«* temps les

- I» ' S:icr»*s-( ’ ».ti«m axaient fini

l< s difficulté*. « au jour appelé <1 i «1«* rinsfK*ction

*s «*t «*«>îl***»- missionnai-

l«a prison . et on y vé-

pieux canti- matin par

démarc h«*" M*tirs «*f de

jKir abaf- t 1«* Père

• nouveau<!<* jNili»*»»

’y <*nten lr«* «amimumquer un** *• favorable: il allait sortir de

mai-, toujours aoc«>mpagné d’un ^;<r 1 • * 1 allai» r- mplir I* forma-

i* * **ssair«*' aim .* . < ;.r J était lut pr«»t**-t«*r c« r*'\patnati«»n choix entre «•<

fusillé ’ L* n léclarant à •rail l’imïMissibh on pays lès «pi

i!**rnent «-ritr'

J«* quitt«*r h* exilé”. \j>' Pé

rit n* «'«’tt»* "«*n- V*ms n'axez

" «leux *'h«>"«■"1 '• r«* se résigna, R«»beito 1 ’ uz. (Miur rentrer

il en x «Trait la «luxvrte.

•nt.iiri* HT"*»mu*s h«*<,'*u- ta» ion du ch«*min «1* f«*r part. 19 janx i«*r î/*»r"- arrixa «*ti auto. ar‘«,om- !«*ux agents <1** p»»lic«*. multitmh* tomba à g«- an la la bénédiction 1»i

ag«*nts «le poli«v eux- rent * *• g«*Kt<* <1** piété, «m faisait <*ourir le bruit

aK>a-- les as-

litMev. re x.. tenc«* que exilé tout • qu'il t «îari"IK>rt»*

I)«"furent le jonr que 1«* pagt • t«»ut** n«m\ « partar mêmes Puis. *que le P* r** fMmrrai' bien «“ ’r* siné «*n r-'iit* . immédiatement sistants punirent un«* c«iU<*cl«* |K>ur pernn ttr» tr»»i^ m»“""i«*ur' <l'ac**«mi-pagT!**r : .Aih jusqu'à la frontière «!*•"

nis. f>ar <*on»équent p«mr x«*il- lui. durant un x*oyage qui re-■ à fîeti près la üstance 1» Mars«']ll«*. Armé à Lar«‘lo.-tation t# i-aino, 1«* pèr *

*. ax'ec effusion ses généreux■ urs, et il continua seul son uisqu’à N«*xx-à «>rk où il s’em- jiour l’Espagne sur le même «pii. «n 1925, Taxait emmené

nu Me.xupie Huit j«"irs plus tapi, le dO janvier 192N. il «lébarquait à San- tan«l<*r «*t *■•* rendait à T«»m*la\«*gn où n«»s confr r«»s lui firent une réception «lijn** «b* la noble oau"«* i»«)ur la«iu«ll<* J a ..•ut tant "ouffert.

Alats il n’a pa-» été '«• seul «le nos confrères <1** M«*\i«*«» à courir 1«**« ri"- «pi**s «b* la per*«'*eution religieuse [/«‘XceUent IV p* l bald«>. «pii Taxait

'*in«M*“tuu.* *it désigné aux inquisi- U b !:* T lu* seerète tu» appré-

J”r tnt "-I l«*r «ur pré". •.LUle »«lern: r** r«*m«*p prot* •VOVHV*harqua x ajM-u r.

• • enbr- de la pri-

tr«uix ait c«»mpîèt«> K'av«*ntu- tomba si

que red«>ute «*ncore des Ames pur«»s j)P^x ^Ce retard fut admirablement utilisé

is «le la triste nécropole vont, muent, parlent, «»ontournent le» >rr«s en dédales, s’arrêtent, mûrir ont des adieux ou de» prière», imme ponr iraduire, calmer ou

du Crucifix, je pui» juger que tout va bien parce que je descend» tran-quifif iirie» de» joie» terrestres, sans vouloir regarder l’abîme où tout ce fra-

oomme de» ang«*s. V’ous y serez, vous avec vos «K*uxrea, et il me semble moi je m'y trouve déià «*n voyant cette vallée tapissée «le tombes «*t d’une foule «pi. s’y agite en gémissant.

Ma résolution est bien prise; gage* ms «pie vous la ferez vôtre Dès

instant, plus «pie jamais, je veux vivre sous le rayonnement «le la rr»»ix. m’imprégner à l«*i"tr «b* la san«*tifi- ante <lo«*trine «lu crucifix. Car je «•«•mprends que j«* me placerai «*t nu* fixerai à la «Inute «le mon juge m i* p«*r»évère à me tenir aux pie«N «b* mon Sauveur.

- oJ’ai <*élébré la mess** i Jerusalem

où trois fois apr«*s la «*onsécration, de*» voix montant toujours plus hautdans la gamine «le la supplication

uille et aonriant les pent«*s enc««re|(>nt ori,.r,r,» imploré le pard«m d'Israël.J’ai prié pour les juifs. |K>ur vous, pour moi; pour le momie entier qui

j» exnspén r leur visible émotion, | gile bonheur s’eff<»ndr»»ra bientôt. M.ra jug«'; «*t j« « pars pour Bétha- s'arment «b* leur» vieux livre» Mais cet abîme, j« l’entrevois ai- Mlt.

Hbreuz, et fébrilement récitent, ré-: «.ément ce matin, à travers Taride En redescendant à (•©♦hsémani. eil**nt ce que je ne comprends pa». \«*rsant «b* la colline où sous de» mil- ,.n rermmtant la vallé** «lu r« «lr«»n

' Dieu, qui sait tout, pui»»e-t-il exau-! 1 u r» de pierres étagée» achèvent de qUi h'(.mplit à «•«•tt«* h«‘ure «le « ha- »i c’e»t nne prière digne d’un re-1 redevenir poussière «les chairs avide» j©ur , t «te clartés. j«* n* vois plu

I, d’un panion et «Tune «*on»t>- ia«hs «b* tout ce qui tente em’ore on. i l’humanité. Et d’un aursaut de foi et

Quant à eux, il» regardent cok tom- d«* d«*»illu»ion nouvelle j«* rn’accr«>che bas muette», les vieux mur» crénelés la croix où «laigna pour nous »c

laisser attacher l’auteur de la vie et le tout puissant réparateur de notre vrai bonhreur

SS

de la rite derrière l«»sqijels s'étend *lrn«*ieuae et pr«>fané«e par TIalam. la XHKfe esplana«le du Temple dé

lit . Ft je <*roi8 surtout entendre gémissement, peut-êtr» le coi.r-

i\ d’un peuple étrange et mal- ireux.'« f*a»»e. Je »ui» inconnu; peut-*• même un in<lé«ifable, avec ma »ix blanche sur le «»«veiir. àtai» je songe, en saluant Oéthsé-

»n« avant <ie franchir le torrent, je ng. que j’ai dû apercevoir ce ma- i Vune de» goutte» amères qui dé- rdîoent du ». Père. »i

par s«*k ami», en partieuli<*r par )«•" deux associations «les Sacrés-Coeur* et «le l’Intronisation, qui n’épargnèrent ni «lémarches ni sommes cons: dérable» f»oiir l’arracher à la mon. (5*mtn. «,*,s ''intègr«*s“ Juges et P* heurs ne s.»nt pas ins**nsibles au '-litis joy«»ux mais diwret «les !>«■! l**s pièce» d’or «»u. c«» qui n’est pann»ins agr* al>le, au doux touch* r *1* " billets «1«* benque s*»igm*U"«*!n« rit * ri fermés «lans «b s «*n\« l*»pj»«*s muett»*- il arriva que le prisonnier, à son gran«l étotinenient. fut de nouv*. i introduit aupr. " «b* U«»b« rt«» Cruqui. durant deux heure». «!i»cuta a\*** lui »ur «les sujets «l’«»rdre à |>eu prè" exelusivement ndignux. L’«*ntr**xu‘ t«*rminé«». n»*tr«* confrère fut remi» •< s««*r«*t. mai» non plus «lan» I** cachot «h1» condamnés à mort.

Et voici qu'un !w*au matin, à T* Imures. il est cueilli subitement p«r un ag«*nt qui lui «lit suivcz-m«n II le suit. »or» de la pn»on. monte *lj»n» une aut«* En rout«*. Tagent !*• pr x l♦•nt «iij'il va lui faire dire la me»- •e m* P*re crut qu'il s'agissait «1* sa dernière messe, o’eat-à-din «1*

ri«*n «b* la foui** niRtinal** 1>* s«>l«*il son suprême saentico. «*t il se pp •■ ' comme a Tonlinair»* m*>nte xmr» son m a ja mort. Mais non: après «Ta — midi, la campagm* *•»* paisible, 1“ i ^»z nombreux «létour», Taut*» s’arr- ci«*l «'st bl* u. t«>ut a repris la pby- f© «levant un«* «b-nu'iin* «b* b'»nii* ap-

I !• à "«m tour. interr«*g : iné laii" un «le* sout«Train

»«»n 2»> nox«*mbre II s'«lans T«»b»curité la plus Au bon» T* huit jour», «*’1 ran» «lan» h*» ténèbre» il malheurou."**m«*n» dans une flaque• T«*au qu’il »«* blessa grièx« riK-nt aupoint «i«* m«*ttr«* à nu une *!« '«■" <•«%- t«*s. L«* jm*u «pTon axai» réc*olté «lans"«•;i rriterrogatoin*. Ta» « i !<*n» 'urx«*nu. « * ' enfin les bons bi!!«*»s «'«• banqti** ofT«rts par 1**" Asso«-i. <1«*' Sa«Té- ('«>«*urs <léci<l* r«*nt Rol>erb» Cru/ à n-làch«T un pauvre homme dont il r •* jxiuvait plus Prer grand’chose. et b* 15 janvier. «•l«*pin-<,lopanî. le lain Frère l'hahlo tranchit f«*rt all«'kgr**-

; ment le seuil «lu sini»tre logis, où il lavait bien souffert et où il s’était j sérieusement préparé à la mort.

Dieu le ré"«*rve pour «l’autre» combats.

Pénurie des prêtresD* Brésil «s» la plus gramb* na

tion de TAnurnpie «lu Sud . tant par »..n étendue «pic par h* nombre «h* o» habitant* 57 million» «l’Amea peuplent un t«*rritoire grand «li.x-sept fois rnmme la Fr:iiii‘«‘

Ui majorité «I»" Rr«*»ili«*n *«*nt «bs catholiqu«*s. F’ cepemlant <•«* l>« uple souffn* «1 un«* | ai** prof«»n«b*qui x K’ie la x i«* n iigo us»* du pax " ce mal. c’est, h* mampn* «!«• prêtre»

Suivant 1*" h’ran«*is«*aitis all«*niand*« «1 , Nord du R r* sil. le ©W rgé ? at ion 1 br«'**i!i#*n, qui était un millier d» m* inbres «*n Isvs .ilor- «pu la p«*- pulation était «1«* Il milli«»ns «l’Ame»

rapid«*ni«*nt «b'*cliné «lepui» lors. Dan* Tarchniiocèx» «T( >hn«!a-K«*«*it« . nu s«*ul prf’tre a été ordotin*- «‘ti 192<)

aucun en 1927. l/ann«*«* «bnu* r**• <il«>eè*e «1«* Bahia gagnait un s«*ul prêtre, lui aus"i, alors qu’il lui «n iiujurait six. Il dioeès» " n’ont pa» «h* séminaire Au t«»tal « n xingt-einq ;»ii», ri«*n qu«» dan» |«* Rrési 1 du N«»rd. ••i«*ins de fîRO pp* *r* ' ont é’é orrionné-II s’agit là «lu **l«*rg«* "é«*uli«T Mai* l**s Dr«lr«'s rr*hgicux souffr«*nt tout au^nt du manuiic «h* v«K»ation-:

Sainte Jeanne-Françoise de Chantal

13 décembre

Jeanne-Franvois© Frémi«>t naît à Dijon, le 2-i jan\n*r 1579 Aux bien» *b* la nobl«*ss« »<•" parents loignent lu vertu et transmettent ;« i«*ur enfant une gramle intégrité «i«* ino«»ur-. un atta«‘)i» im*nt inxiolable à la l«n «lix ir «*.

Deux phases «lans *a x n*.A 1< ux an» elh* devient «Tpheline.

mai» lu Vmtk** Marie -• montn* su m. r* « » lui gar le intacte la x«*rtu «b* puret4 Quan 1 ♦*ll«* d«>nne "a main a i banm de (’hantai, quel riche <l«'*[>ôt

: l«* rfeui:«* homme reçoit! un <*«s*ur qui I n’a «un* qu«‘ Dieu1 Fjm.U"»* « • m* r*- «Ile garb- toujours la plu» stricte modes! i«*. «-orix aiin-u*- <ju«* la *l* .*n« «* «*-• la gar<L«*ni.e « ♦* la xertue qu’elle chérit par-d* sus tout S**» main» *le grand** daim* trHxaill«*nt jM.ur les pauvre- A vingt-deux ans. «*li© p.*r 1 son époux (“est le commen«4eiu«*nt i«*s épreuv»*».

.1. su» veut régner »ur de» <«oeur» brisé»

Saint François de Sales «linge «1 sonnais sa xi«*, elle fait v»**u i»* j»étuel 1«* chasteté, «listrihin* -«‘s bien» aux pauvres

Sa n«»uv«*lle vu* «*«»mmen<xe. D* »• juin 1 itlU. av«» • l'aide «b* son saint <iir«* *î«»ur ©t 1«* < on<,our.s *1<* «i«*ux |*i- eus**" lemoisell»-. «*llefon«le I ( IpIp* 1** la Visitation 'Trente-b*ux ans sont «•«m.sac res au «txi»*- exclusit U* D**j «lans la p»*r»onne l«*s pauvTe», *!••- malad<*s. Quel honn«»ur p*)ur c«*tt** tien* «l’avoir foni bien mérité «b* Tégli»e «•! «l'avoir eu. jH)ur fille, la gran ie «•«»nti l«*nt«* «lu Sacré ( ’«KMir. sainte Margu«*nt«- Man«* Si Jeanne-Françoi"* n’avait pas quitté 1«* mon 1«*. aurioiis-inTus «•u I« - gramles révélation.» <!« l'aray- 1«-M«.nml ' No» arMes «.*• \.*rtu -ont «b*» s«*nu*nces dont nous n«* \«*rr«>n.» Tét«»nnante moiss«*ii qu’au «,i«*î’

Mort de Mgr TchengL’un de* si % évêque* chinoi* que

Pie XI a »»i ré* en 19?6 est décédé Il était préfet apostolique cle

Puchi

Rome. Agence Fniej- Mgr(hioric-Simoii Tcheng. évêque titulaire de (Vitenna. préfet apostoli- qu«* de Puchi. <iari" la Chim* centrale, Tun «k*» six « v <i'ie" chinois «jm* l*ie XI a sacré» « i 1926. «-."t décé«ié il x a «pielques jours.

Mgr Teh«*ng appartenait à Tonln* d«» Franciscains. N** U 22 juillet 1K73, à lâohokow H*mj>é,. il axait .55 ans. Il axait été ordonné «n Ita- li«». à Cortom*. le 15 juillet 19»#). puis après 3 ans «Tétudes d«« per- f«*cti«mnement, il était retourné «*n Chine. Cin«j ans missionnaire dans "on pa.v» d’ongme. il devint en 190* prof«*»"« ur. puis vi«^-r«*cteur an sémi- naire «lu vicariat «b* I>u»hokow. puir. « n 1922. prof«*""« ur au -« minaire central «b* Kingchoefiu 21 mars 192- il devenait préfet apostolique <]♦ Puchi. le i»remi«T prêtn' chinois promu à la «ligmté «1«* préfet a|H>»tolique

Il fut élu évêque titulain* «b* t’«>- tenna au (bmsistoire du 21 juin 192t* I>* 2S octobre suivant. Pi«* XI b* sacrait « n même t* iup* «jue « inq autr* " év«"*«pi**s «'hinois. Iji «éréinoni** «*ut h«*u à Munt-Pi«Tr«* d** l!«>ni* et « u: un éclat « \<*«-pti«mnel Apr. - s«*n Ka«*n*. à gr Tcheng séjourna iikm* longtciup" «n Pali* «'t «*n Aniériqu* où h* retint son état «b* santé, avant «le retourn«*r *n ( ’hin*

l>a préfcc'tur»* ajHistoIiqu** <1* Ibichi dans h* Houpé. ( hin* '« ntral* . a * '•« ngée !«* 12 <lé« « mbr«* 192-* **t «■onti»-* au clerg*’ s«'*«*ulier «*hinoi". IV*upl« • par plus «Tun million «l’habitant" « T* «*«>mpte envinjn 1 .-Mto «*athol»«pi**". pn* bab(em« rit beaucouj» plus à Th* un*.«« tu«*lle.

Les Soviets etl'orthodoxie

L Hl MIL1ATION DE L'EGLISE

“La sainte Eglise apostolique de la troisième Rome brille plu» lunnn«;us«* que le soleil «le Tumvers. Deux R«»mes s** sont écroulées; la troisi«*me est debout. « t il n’y «*ti aura pa» «b* quatn* - in* ” Ain»i parlait, au «iuin/i«'m* -i* de. le m«)in« Plnloté*-au Tsar Ivan III S«m orgueil «b* Mosi’ox it«- "‘« xaltait à la p«*ns«'«* «b* «•♦•tte première Rom»—c* !i« <b*s bord" «lu Tibre, «pu s’étai! lai"* «létrôner «iisad-il. par Thérési** <1 Apol- Imain* ”. • t «1«* «*ett«* s«»*onde R«»m« «•««lie «lu R«»."ph«in*. “<pTavai«*nt mis* ««n pièc«»K l«*s harb**» «l»*» «b*H«*« n«lan» " «TAgar”. ainsi Philo»*'** tioinmait- le» Tun*" Et vaticinant sur la tnusiè me, sur la R«»rn«* mowix ite. il lui pn>- m«*ttait Timm«>rtalité l)«*pui» «mze an» li>s S«i\ i«*»s x s«*n» maîtr»*s; «pTont-il- fait du r* x «* de Philot*'*-

D* génération en génération. < *t»« tr*Msi* ni«* Rome enmplaisait dan» une «*tr«»it** union ax**** l’Etat. 'Ian» un«* union «pii était sub«ir«linatu»fi. Dn a calculé que »ur soix(ftiit«*-c!n«| pr«iver- l««-s ni"»**" relatif au Tsar. tr* nt« neut * »qui»sai«*iit une coniparaisini • iitr«* lui et Di«*u. D«* liant» prélat» *b‘ T“«>r thodoxi**’’. durant !«*» «louze «bnit«'»r* " années «lu régime t»»»n»i«*. s’étai«*nt

Suite à la page 25. 1* colonne

La vol«»nté «je Dieu, h<Iê» instants «lu repos c«»«uuio m» ««Et bientôt m’arrar-hant à ee temple aacr( File m’enh xera ma joi* « » ma lumi»*r«.Ah ! pourquoi m«* faut-il «l«»i \ «»u« laisse r solitair* «*n c« t Où v«»us lait dem«'urer xo Je m'en vais «lu aomrii«*il sul Et i>en'lant mon abs« nce h<Ne pourra vous redin? Ah

Mon cœur vous port*Que ne mus-je, ô Jési

on

r d’amour,j«)ur"»*• suprême!CH 1«CSme voix

j<) vous aime

ie.

D»i. c*»!»" umerareüdan’ (i *. :l^ttinP*' aux r» t!«‘ts! l«*r "anJ© voudrai**« partaDu m«>ins. J«* vouil‘«»ur lui r«*• lir1* axDixine Eueharistu

Qu© n© aui»-je laRépand »«•" douxFile «luit, ôi Jésil»,l’©n«iànt o U h* MlTroi» foi" ii • m r»-us«l‘ouv«7. r* *-’ ♦T "HP*J© xou«lraiH parlaiDu moins j1‘our lui r«*'din* axl)ivin© Eueharisti»

Et que ne .»i»li»-je 1Du ©iboir© OÙ Jé»!s,, rit **apti t pourA la v«»ix «1Tun m«< iboir* t'»r: uné. qi( *oii»* rx « •«* tr* »«iJ«» voi.'irai» parlaiDu i j«* xousPour lui r< « lin* axDivin* 1 hanstic

Adieu ' The tire a .*Mon «•«©ur s«Mjpir<Anges «lu T «bernaSur ma lèvr*.* daigi.b* la e<W"‘*r vi rai «iJusqu'à Tinslant 1s« • ; j * an t « wore àSur ces «lallles mesEt «1*main «b* TauPour r«*dire à J. - u

•ds inanimés. . . r«*use lumière

iouci roi It . voz pM«, nmeil ferm«*ra nia paupière.«b»r. «jm. pr* » «1.. Di* u d’amour,* ce».»«* « t la nuit et l«* jour, p r x*»»r«* Ixinheur suprême,c«»nti* * » ma v*>ix * ! mon ©«eur

i»c I«*k ange» du S**ign©ur,“Ah ' «*ornhien j* vou» aime !”

leur qui. «Ian» ce» lieux aimés fvarfum». «>rn«* U* "an<,tuaire. se flétrir à vos pied»

mm* il fermera ma paupière, fl* ir qui. pr- " «lu Di* i d’amour, «•« ""«•. » t la nuit «*t b* jour,

* r x «»tr** bonheur suprême, confits • » ma x«mx «*t mon c<eur, •c !«*» Ang* - «lu S* igneur.

Mi ’ «ombien j« vous aime''

usai cette corolle d’ori». dan- »a tendresœ extrême

a nuit <*t 1«* jour,1»* Dieu de mon amour,

xotr* l)«»nh**ur suprême,■ 11 !i« • *t ma voix *t mon cœur, 1« * » Ange» «lu Soigneur.

A i ' ■ •mine j»* vous aime”

né. Pour demeurer encor, i vain, divin© Euchraristie.

, ouvrez sa j»or9* «l'or, déposer une hostie ;

- rnon c«eur plein d’amour i qui ni** rendra le jour, lu p< mlant k - •rnm»*:l même

i ont été le» derniers ils seront l«*s premiers Ah ! combien je vou* aime!

pa

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San» la er«*ix. que ce* tombe» son* dé»©«pérante* ! Avec la croix, que le» n«Mr«* peuvent être débordant**» d’esp«»irs Si durant notn* vie non* avons "U mourir an j»éehé. en regardant celui qui mourut pour Texpier. après n«*tre mort nous pourrons aussi participer à une vie nouvelle, en con-

alice repoussé par Jé- templan» celui qui pour nous encore fv>»*ibie. qu'Nrael ac- ressuscita.

•tlle oo|u»la paix !

Dra *1 n's pa* compris. Dan* -emont «le »e* passion» et de

usais me «I oblige Pilate à donner

sionomte qu© j amie du paya «b* Jésus.

De» murmures confus, du brouhaha discret «le ceux qui tout à l’heur© li*ai«*nt. circulaient, pleuraient. »«' lamentaient, plus rien.

Ainsi, me suis-j© dit. après le* grand©» assi**©» «lu Jugement «1er- ni»T, l’immuabl© sérénité planera radieuse «*t l*éaiitiante «Un* un ciel dévoilé et sur un** teir© renouvelée. La foi n’aura plu\ *es secours à d«»nn«*r. ni la craint»* «©» alarme*», ni la pénitence »«•» pleur», ni l’espérane© »©» désir». s*ule régn*ra la chanté dar» le rr»yrume d© Tamour

Et puiK«pj«* c’est par la Croix médi-qui »«*ul peut lui don- Il faut donc déjà *e réfugier là oùj Saint Paul de la Cmix nous affirm»*, tée, comprise et aimé«» qu'on entre

«’é- qu’il n’y a pa» d’illu»ion dan» la dan* cetto béaTitu«ie. je fixerai cha- son pensée et la méditation de la «noix que jour un peu mieux ma pensé»

a raison qu’il en donne e»t élémen- et mon cœur dan.» ia Passion «bcroix de* malfaiteurs à celui qui taire pour quiconque adore Jé»u»- méritait pour tous se» bienfaits 1 Christ “Comment oser, disait-il,

e l’hosacna *nr« fin de la recon- blesser ene**re par une offense, un ance et de Tam«>ur. Dieu flagellé. «H»aronné d'épine» cru-

lalgré t«nit. cette croix «v été la cifié pour expier no* péchés ? ( ’«mitre du Messie renié. Tout le prou-1 ment serait-il possible que méditant

mon Sauveur qu elle résume et symbolise. Et vous, mon Dieu, nui nous donnez «le vouloir, acooixlez-nous de tenir ce qui est un gag© «b* salut méditer x«>» «bmleurs

P JOACHIM, C P

pnr«*nc«*. «*t poussé par **< «n «•omlu t«*ur. le Pèr»» mont<» j i"qu’ii un «I* • étage*, où l«i polic«T l’introduit «*n «lisant h la maltr©»*© b* «‘«'ans “Vou» v«»yet qui» je sui» un homme de f*;« roi© Vous vouliez 1« m«*»*a*. et bl» voilà ur» pri'tre qui x'oiis la «lir.i’’ On »#* hâta <ï© f«>ut pr* par»*r

Îjv Père. béni**"ant D’«*u d’un l**»n- heur si peu prém. eélébra le -ai©! ««acrifice ax«*« une déx*otion p»*., «*0111- mune. I>» p«>liei©r et s»*n s«*c«»n«l » aril* étaient «leux gardiens y n"-!"1 rent eux-mêmes axe© tous les dehor* «lu r***|*ec! Et quand tout fut fin que le Père eut mênu* prit un p**tif «léjeuner. la maftr«*»M« «lu logiv ,'*u! en r* m«*r«*iant l'agent «1«» sa complaisance. lui avoua qu'elle aurait eu encore plus de satisfaction *1 la rn»......lui avait été accordée le lemlemain qui était le 2 décembre, premier x« n- on*di du mois. Quand je promet» un»* ch»)»©, je sais t'accomplir, groinm* ! « n«»tr»' fw»licier, et il ‘»* bâta «le r©i©-

, tégrcr «m prisonnier «lans la «eilul© i où il l’avait pn*. Mai* le leroiernain.I

Pourquoi Est-ce3«»c tant de innlsdies qui semblent déjouer le savoir

e grands métier in» répondent A l’influence d'un simple remède de famille, tel que le

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C’est parce «jue çe remède va directement A la ratine du mal. l’impureté du système II cal fabriqué d herbea et «le racines pures et salutaires, et a été en usage depuis plus de cent ene

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1 » LE SOLEIL, QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928

PLAN DE LA GRANDE ARTERE PROPOSEE A L’ENDROIT (»PED après le plan d en

semble auquel il est

lait allusion dans les explications ci-des-sous. les rues St- Joseph ; Notre-Dame des-Anges I iermine Morin ; Signai Jude ; Bagot; St-Val- her . D’Argenson ; Napoléon ; St-l élix et le Boulevard Langclier viendraient se jeter plus tard dans un <arrefour actuellement oc- cupé par un triangle compris entre 1rs rues >t-\ allier, St-Joseph et le Boulevard Langelier

* t communiquera avec la grande artère que nous illustrons ci-contre.

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irf »fLise

( ette vignette montre de quelle façon l’administration municipale entend effectuer la plus grande amélioration encore soumise à leur approbation depuis l’existence de la ville : l’élargissement de la oases et du côté sud de la rue des Fossés seraient achetées et démolies afin de donner à cette rue une largeur de 85 pieds, depuis le parc du coin des rues St-Roch, St-Joseph et des Fossés jusqu’à la rue de la Co £nsuite, me un peu. Une fois terminée, la rue Charest ainsi améliorée aurait une largeur de 90 pieds sur toute sa longueur. A l’arrivée sur le Bouleard Langelier, l’amélioration présente ouvrirait la porte à 1 on du pl________ C______ ___________• .1 ■ i . i n ■ i « I, V • • ■ • ... i .•!» i II . ; 11 _ _ a ______ Ll-carrefour compris entre les rues St-Vallier, St-Joseph et le Boulevard Langelier, ouvrant ainsi les communications directes entre toutes les parties les plus populeuses de la ville et offrant au probb nofic une centaines de milliers de dollars de plus. Par contre, en ouvrant un débouché au trafic intense que l’on constate actuellement sur la rue St-Joseph et en permettant le stationnement sur la rue plu-ju’on veil D’ailleurs, c’est ce qui s’est produit dans le passé par rapport à la côte d’Abraham où le surcroît des valeur apporté par l’élargissement compense presque déjà la hausse de taxe imposée dans le temps

CAUSERIE DUCAPITAINE BERNIER

«1<» la pak** 23M llornifr nmi^nMo M. Ii» prî

«1**ii f <l« In trine* parole* à üoii• <ar«l iiin*i *jue lo («rip ral Tremblay qu’il nnmm** lo iptiri© «!«• la < omroiîon «l'< HAvro «l«* Qu^heo Ix* |H»rt «l«* «lit l«* capi lt«*r-tu**r, •«’«*•*( «lôM'litpiM^ cviiüMilôrahi** snont «lepiii1* <|'i«*l«iii«*H ann/W** «*t «••♦t np|M*!ô à «b'volopjN'r «ncnn* «la \aii<âfC© **t la rive *ni«i ou lo «•Ato hu«I n** naura nian(iu*,r «l»* '•'♦«n wentir l/«* oonfortun’UT part** oiimui- '«« «1« h proifroH paHM's au jxtrt «lo

«|t. >*r* pr«*irr«v* pn'sont» ♦ t «lo ^ progrès future

I lopin I7W7 «ht M. lW*riii»»r, 2,.*11 ii;i\ir« <»u biitimonts «1<* bois «»nt «itiiMtruit.-» rt*i»r« "•«•niant un© \al«‘ur «1«* $5h.<NNM)U0 onviron. l*Mrt«»ut maiiit««uant. «lu il, l«'s jHtrls o’amé- l»**ront ol so (lAvoloppoitt vu quo l«* ii*»mbre «los nav ir««s atigmont4i pnrt«tnt surbMit on v*ui* «lu tranaporf «lu grain II pirlo oriHii ito *!«* la liaio .I IMhoii où «lit il ou troii\<« lovtiKsiup «!•• f«*r «•' «Uns Ioh régions arti«|U« ' il v n Itoam'oup <l«* «•harboii........ .

I.«* « rtj»t ll« «nior «lit «pio • I<*|mii* un rtain nombro «l’Hnn«s*s I oau u

Une masse de plaies —Pas de sommeil — Jours malheureux

Il \ • temps, I nrhMnlun*- Iwvnein^ «le !• I» I» iHtur I un «l«* ntf"* ItAiw*. «iui m;»it l*« «wji* i*«Miv«*rtde ImmiIomh I ewuitat Ut I > (t II el

f* - u«t rendra romp te I» I* I» p . - de• at.i ' ta daman(ealtan ratta l m madlata mant '

t.T . ! *• • ,’ • ' ' t k(» P I» • aiment 1.% plus forte irrita

Uon .*Lm ta bMUt«'dl«*

D.D.O.

bainnA oonxHiérabUtment turbiui à Toront«», -it «Tivinm 50 pu*«l>' Il «lit «pi'A Montréal l'eau i»aiHf««* «*t «| l avari’ DmgtcrniH. par suit»* «lt» I r\aporati«m «l«* r«*au ©t <lu *JAb«»is*‘- ment l« long «l«*i rivi^r©», lt* St>ldiii- r« nt aura baiW* ah-«*z (Ian* le haut «lu fl«*uvo c|u«« I**s navinn «1© gro* ton- rwig«*it n© pourront plu** s*« n»n«lrt« à Montrai ©i qu’alont il» devront r«*s- '• r «i Québ#»** Il ajout** que «l’apr»*» !« • et u<1**8 «lu'il a fait**» et le» observation* qu il a pri»«»» r«*au bais*© «•nviron un pou©© par annAo. Il faut «lom* «pie le port il© (îiAIkm* soit «m- till© et préparé pour pouvoir Atr© en Atnt «le rf*«*©voir tt«iiH les gros <H‘eanique« «pu ne jxiurront aller plus haut (|u'k*i et qu'alors Üu«Ihh!

• rn l«' [H>rt t«*riuinus <lu t.'aiUMla\1 l« ©apt. Barnier f*'* lin te le

b. t» trav ail «*xA©utA ju8«iu'i©l par la t'oiiuiiiHsion du Havre a© Québ**©• ’ «»uh.aif«» qu© l’on continu© ©*• «iwt a • t-A si bien e«»mm«*n©A. Il• lit «po» «lu ©AtA «le l/vis il y a «le* . i .lrni’s ex©©llent* |M»ur «construire de* quais à eau profond© où des navires d«* tout tonnage pourront wooster - im atieun danger II dit

avoir rehianpjé «ju© eet AtA 17 ehar- bonnn r» sont venu* à lÂvis et ont lai"** «Ihii- la v il!»1 environ .'*"»0.00t)

f** confArenner termine hou intéressant© eaustnt* qu’il nous faut résumer ©«>nNidérableint>nt, ••n remerciant MM les Commissaires• lu Havre, MM les députe-, M le président et l’assistance «le leur bienveillante aMeutioii

mr nous rAs«*rv© dit l«« gérant général d«* la Commission «lu H&vre, semble brillant pour nous. Il y a Hurtout l’aviation qui n© fait «|u© de commencer au !*«>*• « t il croit tpi'av ant longtempt à Québec il v aura un p«*rt «l’aviation qui se développera «lt* c«in«*©rt a\«*e le [tort «le Québec.

M Tremblay termine «*u «lisant, qu il lui fait toujours plaiMr «1© venir à Lévis, car il sait venir dans une ville sympathique. Il dit «pu» c’est ;i Lévis qu’il lit s«‘s débuts militaires, dans U* bénie regiment «le I/‘vis, corn me simpU» pi<»u-pi«»u, avant «*u «•online ©«immaridant le lient.-«’ol. Thomas \ i# n, vice-président aujourd'hui de la ('ommisMioti <!«»* cheituns d© fer ti < Ittawa.

M «le Itillv dit qu’il r«*gr«*tt«* «pu* \| Cb'rald f'ower. pr»*-ident de la

< ommistuon, parti [wnir New-A ork «*t M. le commissaire Jules (iauvin, r»*- tenu chez lui |*ar la maladie «l'un membre de sa famille, n’aient pus pu venir \ l’assemblée. Il demain!© à M J. Houtin-Bourassa d© bien vouloir dire «piel(|ue* mot s.

UNE FETE AU NOTAIRE(Suit© d© la page 28»

celui du père ou du tils, «»st reste dans nos cadres univ ers»taire*, sur la liste «h» no* professeurs, où, depuis 41 uns. il jette un solid© et vif éclat (Appl. <

“Je ne puis oublier, comme prêtre du Séminaire ©t comme membre de son conseil’’, continua Mgr Roy, “qu© notre vieux Séminaire a toujours ©«»n- servé av«*c votre étude des relations nombreuses et cordiales. ( !’est pourquoi 1«* Séminaire et U niversité se réjouisMent avec vous Ums, ©t ©‘est «•n leur nom qu© j’apporte aux deux jubilaires, l’étud** Siroi* ©t M. Sinus. «l«*.s félicitations «*1 d**s v o«*iix.

«mi la grand© j(»i« d« l’avoir comme elevt*, loaque M. Joseph Siroi* h© pré[>arait par un© brillant© rhétorique à l’éloquence du notariat. Voua af© portiez un goût «l© l’étude, mon cher M Siroi* . qui. joint à un remarcpiar- bl«t tour d’©*pnt. vous préjiarait un© c\*ell©nt© carri(lre. LT ni ver si té Laval. qui préparé 1© notaire ©t ©«>u- ronné 1© docteur, fut heureuse d© vous accueillir parmi !«•* professeurs, Kt ainsi, sans perdre <1© sa lumière s’est transmis d« p«re en fils ce flambeau, il IT'mvrsité.’’

Mgr Roy appela cotte manifosta- tion d’hier s«»ir la fête d© la «lignté professionnel le, <1«j la compétence, du travail assidu «*t opinifttre. Puis il

contenir de science étendu© ©t d’hon- nêteté professionnelle.

Saint- Frédéric

“Ce [Mirtrait d© votre père’’, ajouta Mgr Roy, ©u s’adressant au jubilaire, “rayonne sur toute l'histoire du notariat canadien.”

Funérailles de M. Julc» Vachon, décédé à St-Frédéric vendredi le 30 novembre à l’âge de 78 ans et 9 mois.

“Kn terminant, dit Mgr Roy, jo suis des plus heureux de pouvoir présenter à M. Siroi* «*t A tout© sa fa-

: mill© de* vrrux «I© bonheur et «le . constante prospérité.

décembre. St-Fr< h

Jules Va-

Plusieurs autres convives furent invités par 1© président du banquet

i à prendre la parole.rappela que dans un livre récent, lo

'véreiKl

Lundi dernier 1© d ont eu lieu <*n l'église <1« rie les funérailles «le M. chon décédé subitement.

Il lais*© pour pleurer outre son épouse éplorée, tits-til* Al’rwrt, ses mneux Joseph Vachon, André Vachon. Thomas Vachon. (ovirg**- Vachon. Krrmst Roy. Napohsm Fortin. I. Vachon.

Iî h*v«*e du corps fut faite par

sa [MTte. son p«*-

MM. An«lr« V’ach«»n. Josonh \ chon, Nap. Fortin, Thomas Vracho

Dans le cortege on renrirq . MM. Dr J.-R (Tin tien, Kphr* Digueux, A rend i us Beaudoin, Phi ben Plant»*, Alph«»ns<» Rov. O' Doyon, 'rhoma- Vachon. (/l‘«»j' Vachon. Pierre (îagn«' Vit il LaU .l<Keph I^*ssard, Arthur Vacli- Liniér© lessard,Alphonse I>abb«',(Miehe, Placide Labbé, Ivéopold (iiguère, Arthur

CAU

tier.

Franc (id- Irné R»v, Vi Nadem ^TIm»! Grondin. And: Nadeau, Joscn

re Vach" nié <’1«

David Nadeau, Jo>«-pli Jacqu

D >yo i. Phil ;is^\'all«'< |.\! r<< •l.-And « \ acliori, MM. An

PH! r« aiinab] lègu»s. ont dipli ftscIl fell. *ér«-r.ce

1 Bi carriêrt [«lus «j

De* félicitâtiî- à l’étude, d’abord. pour avoir vTcu et duré c«*nt ans.

(Suite A la j*age 15. 1 colonne

Sirop Eskimorisen

sirop

SIROP

OINT

M d«* Billy remercia, au nom • h» la (Tiauibn* «le ( ,ommer«,«*. M. I© capt. Bernier d© son intéressante «•«mférenc© et pria 1«* général Tremblay «I© bien vouloir «lire quelques mots en rap|M»rt avei*. la «|i>«Ntu>u «lu i*ort d© Ouébec

Tremblay dit qu’il n « tait j j«as venu pour traiter de la qimstion du |s»rt «1© Québec, mais [huit «*n- ! t« tulre la conférence «lu capt Ber-1 ni«-r 11 «lit qu’il vient «l’arriver! «l’un vnv agt* «1© plus <1«* 8,000 mil-[ l«"' «T qu’il a assisté à la c«>nvcn- ti *ti tenu» « Houston «I© l'Associa-!

’ I • M !«•©réM.Icnt a tait allusion tantôt, dit M I r«‘iublav, .t ma nomination à la pr» sid©nc*e «j© «*«'11«* Association «pii aura sa convention à Québec l’été prochain, je !«* remercie «b» scs féli

citations. mais veuilles croire que si j'ai accepté cette «barge ce n « -t que pour l'honneur <iui ©n re- jaiilissait sur 1». j»ort «le Quél>ec et sur mon pays.

Sans entrer dans {’histoire du

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avec Vick» ue votre emp i re.

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Cmi I© «©al mo>ea sage.

l ’n siè«*l«« d’«*xist«»nce. c est un© longue «•! ran* histoire, «ians notre pays. Vivre «ent ans |M»ur un© étude notarial©. «Ians un pay* «>ù la fortune «les familles et «J»»* ©orix>rat.ions «*st *i instable, «’’est, en «»utre, [tosséder un brevet <1© haul© tenue intellectuelle et morale." (Appl

Après avoir dit qu’il n'a pat- mal- h«Mireus©m<-nt, connu !«• fondateur *1© l’étmle Siroi-, Mgr Roy poursuivit ©n «•«•s terni»**

“Il me suffit, il me seniTth* , «h* connaître la «Icstinée «lo l’étutie Sinus. [«« ndant ««Mit an», [tour anpré- «•i«*r !♦ s mérite* «lu fondateur. Mais j’ai bien «‘onnu I© <l<Mi\i<'in«* titulaire, voire si vénérable [>©r«*. qui voulut m’honorer de s«*n amitié. .!«* n’ai n«‘n A vous apprendre, messieurs. «1 ‘ sa wienw légaU*. ni «h» son son* légal, ni «1© sa vertu légal»*, puisque t«tut rein «*-t dans vos m« moires «*t «jue l’élog© en «*st encore f«-rv«‘nt sur v«»s lèvres. Je n«* sai- »•© qu’il faut l«* plus admirer <,l^«•/. lui, <1© la *cien«*e du «hM'tour, <1© ren*oign«*m«‘nt lumineux «lu prob'sseur, «1*** consultation* du praticien ou en«*«»re de l’émionte «lignit» «lo s;k v i«*

“Mais j’ai mieux connu oiwore”. ajouta I© vi<*«‘-recteur «lo runiversité, “U* troisu'm© titulaire. puis«[u© j’ai

Révérend IVro Archambault, ajtr*^* avoir fait lo [Mvrtrait du notaire «le la \ill«» et du notaire do la campagne, montre en Louis-Philippe Sirois 1© modèle «lu notaire, «lu parfait notaire

L’honorabl© juge Dorion, «loycn «le la faculté «lu Droit ra[>[M*la l«'s excellent* souvenirs du temps où M. le

M. le (’uro du défunt.

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et, bon nombr' noms nous écha;

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LK fracas «les dactylotypes, les mille docu-

M. Louis Saint-Ijaurent présenta !«• portrait a M. le notaire Sirois en émettant le vomi qu«* cette galerie n<‘ ferait que s'agrandir. Et pour termin«T. M. le notaire «le Sal«*s, I^t Tcrnu*, des Eboulements. salua U jubilaire au nom «les notaires de la campagne ainsi que M. le notaire J.- c lléb«rt d«- Montmagny.

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M'»n d© ’ ©ntrepét fngi»ritk)ii«* D©|*m- IT’-TJ, «lit M Tremblay, I© g«»uv«*r- n«Mn«‘rt ftd.ral a vété pour h* |**rt <!«■ Q«n U*© $1ô.(NN).(NM) à la «1©iuan<i© «I©- C«*Tr.im*sair©* «Ju Havr© d«‘ Qué- Um» ©t il «lit «ju© l’on «Joit des reraer-

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! Pluqu’on veut créer, il est évident que l’augmentation de valeur donnée aux propriétés commerciales importantes qui longent cette artère compenserait avant longtemps les sacrifices demandés actuellement temp^

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CAUSERIE DUCAPITAINE BERNIERSuite de 1» page 14

P? ! ! r- • M. le pn bodaunaMe itmtatton et dit que >.« - «• >1- l^gu*s. MM. l'over et (îauvin lui ont «lit <'*tr«* tns chagrin de n'avoir pu assister la réunion de «••* soir. Il félicite I*» capt Bernier «le sa «mhi- fér«-r»ce si intér»*svant«* « t si détaillée. M. Bemier. «lit l’oratiur. après une carrière «h »,♦; ans de marin, tm rite plus que 1«' titr*' «le loup «h- mer,

mais celui d«‘ lion do nier. Parlant | «lu port «h Québec, M Boutin-Bou-' ra a «lit «ju«' |H«n n«i comprendpas >« ul« rn« ni h- c«‘>té de Qucb«*c mais aussi le c«‘)té sud sur une certain© «listancc. Il «lit «juc la situation est plus brillante «|uu jamais auparavant. Il ajoute que le (Sénéral Tremblay a donné une din ction in- t«llig« nt«- aux <lestiné*e> du p«irt de! Qinlus* «t «lit que le gérant-général «I* la Comn isMon du Havre et se> «‘olh'gues ont d'excellentes disposition-' pour la rive su«i du port «le Québec et surtout la partie «*n face d« Québ«c, s« 111 I >”* \ is. 11 ajouta ne

pfvuvoir «‘n dire plus long pour le moment car il ne peut dévoiler de secret#, mais peut affirmer les bonnes dispoRitions des Commis-aires nour le ©été sud «lu port de Québec. M Boutin-Boura-sa termine en disant êtri heureux d’être venu à cette assemblée et remereie M. 1«* président de son invitation pour lui et ses collègue*#.

M. de Billy remercie MM. Tremblay et Boutin-Bourassa «Ih leurs intéressant» s explications et «léclara- tions et. invite MM les députés du comté «1© Lévis à a<lreser la parole.

C’est un plaisir, «lit M. I«* Dr

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J.-Kt. !>UM#ault. ©n même t©mp< qu’un honneur pour moi d’être invité à remercier î«*s hôte* <ie c« #<>ir qui non# ont tant intéressé. D capt Bernier ©M trè* bien ©onn . dan- tout 1«* pay - et surtout i«*i «n il ré>i«le. Au iMiint de vue navigation. e© grand explorateur a formé d«* bons navigateurs qui nous font honneur|partout «m ils passent.

M. 1© Dr Alfred lioy, «iéputé «lu^ «*<»mté au provin«*iaI. «lit qu’il lui fait plaisir <l’a--ist©r à l’ass#*!nb|é. de «•♦• soir ©t félicit»» la Chambre <!•('onuiierc** «le l’htureuse i«lée qu’elh

**u d’inviter le cap Bernier R venir causer «1© l'avenir «h* la rive smi j du jw>rt de Québec. <’’est l.\ un très U»au mouvement, «lit l’orateur, et il demande «le continuer ce mouvement * t que l’on f>©ut compter sur w>s bonnes depositions envers la < hambre.

M. le député félicité le capt Ber nior <1© sou intéressante conférence lui qui pendant ans a fait 27 fois le tour du monde et a mainte-1 nant l'Age de la et de la 'pré\oyan«*e et est h» mieux «piab- t'é |K>ur nous parler des tH*soins • <1«* notre district et du pays.

Vous a\ons dans la personne de M .1 Boutin-Rourapsa, continue M. I© Dr Boy, un représentant de la n\e su«i à la CommiRsion du HA- j vp* de Québe«*et nous allons par sa. voix demander au gouvernement et ! à la Commission ce que nous avons i beeotiL M. le Dr U'»;, dit au'il y

ia un certain nombre d'annés*#, le port de la rive sud, dans le temps de* batiments en bois et du commerce du bois était très actif et i les plus beaux chantiers de bateaux «*n bois étaient sur la rive sud. au «•hanticr (iilmour, ii N'«»r-Liv<»rpool, | à St-KnmuaM et « St-Nicolas.

Dans la causerie «lu capt. Bernier, ajout© M. h* «Iéputé fédéral, nous avons recueilli une foule de renseignements qui nous permettent de comprendre les grands projets qui ! se réalisèrent et Te* progrès que le ! port de Québec fera d’ici quelques années.

Au pom» de \ ue «lu port de Québec. dit le Dr Dussault, nous de j Lévis se demandons souvent <•© qui \ va nous arriver et ce que l’on peut bien avoir. Gomme le Général j Tremblay l’a «lit, il y a un instant dit l’orateur, le gouvernement a 'qtéj l’an dernier Ss.ouo.OtH) p«mr l’amélio-i ration «lu por* «b* Otlébee, et • !/é-\is veut avoir ouelque chose pour son port, il lui faudra préparer un programme des améliorations Tié«*es- saires ©t le présenter^ 1» Commission du Ilâ\re qui a rnrg«*nt à <*©tte fin,

|« Hr le p«»rt de Québec comf*ren«l l«»s i «leux «’ôtés su«l «*t nonl. M. Dus- sau’t dit c|U«* quant bien même on borderait la rive sud «le quais «■♦• <©ra nutile, si Ton a pas de commerce

|K)ur les occuper. Nous en avons des quais, à Lévis, continue M le député, et s«»nt-ils bien o«*cii|>és? .le puis nous dire que “i une in lus- tri«* ou compagnie sérieuse «h : an- dait à louer h* «piai en béton «au profonde oh se trouve l'appareil au déchargement «lu charbon al f»lant qui <l«»it être enlevé <1« I endroit actuel d’iei ouelques mois le g«Mivernement le louerait pour un! prix nominal. .1© puis «lin. «'•ut© M. l«i Dr Dussault, qui -i ur.« lustrie ou compagnie -«r!«*u-« «tait prête à louer les quais et propriété* «lu Grand-Tronc, h l/\i- •1 •• f*«»ur- rait l’avoir pour un prix i ««minai \a' quai du NK. ■ L* - «tue l'on répare «lans le ni«»m«*n’ ■ '©/«-vous combien «!♦• navm s sont venus \ LCeoster depuis qu’il «*xist« «*on- tinue l’orateur, il en «*t a«<«« « 2*i.

Ce qu’il importe .«lit M % • putéc’«*st fie demander ce que l'on a «le besoin «h* suite «*t bu n pn « r « e que l'«»n veut avoir II terni ».«* en félicitant la (’hambn* «I*- 1 " eu-rce ♦le tout le bon travail qu « « « ’ « nvue «lu pr«»gr« - et de l’avanc» m« ut «!© a rive sud et dit être à sa di^vo'ifion

iM»ur tout ce d«*nt on fM»urra avoir b«*««»m du gouvernement f«Vléral et qu i! sv fera un plai»ir et un «levnir «]«• les aider «lans toute la mesure «le son possible.

V,»*- l«* dévelopftement «lu port «!• Qim'Ihh* qui ««st ;ip|M • ! \.mrl«« terminus «lu Dominion, ditM !«• député, h p*.-t <1* la riv»» su«l '’«•n sentira. Il dit être très opti- mist«- ©t e«»tnme !«• < anA«la • t f*nrti \©rs une ère «le prospérité toutes les villes «lu ( anada qui ont un fs»rt d* mer n« f»ouiront manquer «le jouir de reft* f*r»>'«f vérité. H onrU* du transfuirt «lu grain ••ar la

| ' «»ie Uuvusit ai dit que ce Iran

f>«*rt augmentant sans cesse et les chemins de fer ne pouvant plus suffire à transporter tout h* grain, il va falloir «jue Québec s’outille de manière à reeevvnr les navires qui viendront i«*i pour le grain. Il «lit qu« <*et t© année il s’est expédie 400.000,000 de boisseaux de grain }>ar i«* Saint-lâureut, coin par* av ec V) 000 la première année.

M le Dr Roy dit que des assemblées «‘omme celle «le «•© s«»ir jH rmettent «le mettre en évidence ce

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1 Ouverture. t> Canada, (itwl Save theIvinK

2 Marche ' Hichelieu Hoi*vertllariimme Umoilou

.1 Muaiiiue de dan«w-< liarle* V erret

4 Conaôration t Invert ure' Ile laHarmonie l.inioilou

.r» Folklore <'ana«iienNotair»- Alphomte Huard

»J 1‘rl'lude Ita« kinamm tfFlleuse Kaff

Mlle N! Perreault pianiste 7 Kfcitatlon

l.«' Eleur* Ed Koittandllvmiu au Soleil h!>iiii KostandMm** Ellen prof «!«• diction

5 Vision fugitive MassenetAJaer ie noir Four«lrain

Ni J«-an M ari«- I uu'hanre ft Mineurs et muaicien* Hl» niant

Karinonie l.inioilou10 I.lchelire Kreailer

serenade HchulaTt1 haldo Erenette. violoniste

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Nous publitTons dan* notre édition d«* lundi le programme ou© l’orchestre du ThÂtre Empire non* donnera de II h »* minuit mardi soir « est grâce ü I amabili tf' «h M. J«-an < harles Hernier, garant «1«*« «• «h/ktre. «pie nous avons pu avoir cet lntér«*saant orchestre pour le T(‘Mtivai de la . Brasserie ( ham plain

The OI«l Reffain Ki«-lier-BourdonOrchestre et «le* ('a\ali«*r*

C'e ' r .gramme M-ra irradh' par le* |**' *©■ \v I ' I Ww-V NN I. r IWin Rhi'adelphie VV l(( W aahingt«i VVR( Washington VN <. R llutfalo W<AK IMttsburgh VN T A M < l.v«land NN NN J l*»,,rr«»it NN ( « « > Minneapolis-st l'aul VN DM Kan*a* City K"!» >i L oui* K\o G Culaa W F AA l » . KOA I ». ■K N NN Chirago et NNONN « >inaha

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ChœurHoney. Dat * All

Quatuor maleKiki

OrchestreA Kis* in the Dark

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TrioLa Zingana Nohu

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Enrfc Ma«1rlguera. vllonist©One '«t©;» tt» Heaven d© Say When

KnaembkxMt#*«iur1 Walt/ Logan

F.nM'inbl©Saxarella Wtedorft

s«»!«vde Sax«»phon«‘ Alfresl E. van#I’m Fly in High, de "The Vanities

EnsembleWay to th© Heart Lincke

EnsembleSay That A'ou liove Me. «le "Hello Your

self ' !Ensemble

Let»' Do It, de Pari*Enarmble

Valse Merry Widow« *r«'he*tre

C»ee How I «1 Like t«* «>wn a Flsh

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Chant #ol«vIxvoking Around for Someoae

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There* Rain«>ow Round My Shoul«l«*rJohn

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Parker et Donaklann avec piano M«*île> ««f Mlimtrel Somm

My Mother Wa# a lady Sin- W a* Bred in Old Kentucky Oh. Di«in t He Kamhle.My Hannah lady

Quatuor .«t orcheatre Cm*# Roads Axt ut Mendoza

OrchegtreYo Ho D(»nald9on *‘t Moqlan

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FanfareHoop I>ee Doodle I>«hi

CalliopeSpotlight NV ash Rag <>fîi«-«*r «if the Day

FanfareHl-lg*© Hi-Lo ( ’alli«»p*,Baltimore Centennial

Fanfarel>e Clrqtie Dixie* sera

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Menuet . DabQuintette <1© vi*4onoelles

Were Yo i There ’ Arr «1«* BurleighMa nray'M I.ullaby Arr de Sur»»*.-.Si nning Song K*W tien 1 VN a^ Hevent«ien

Su/aune Keener a\©e piano lx»e <’ali Frinil

Quintette de violoncelle*I>rum* . MerleMaid tn the Valley Herl»*« kBerce uft© Hralru»

« «• concert *era trancml* j«ar le* j©**!» - VN E.AE. N«*v» V»«rk NNEEI. Aoüton W IT Hartford WTAO NVorc***ter W(*li i’»«rtland VN LIT. Philadelphie WR« Washington NNCAE. Ihttsburgh WW.IDétroit W * \I Clncdnnat) NN(t\ (h. cag»» NVONV ilmalia WTMJ Mil*»;*k«*. K>D st-ivouu» W«;r. BuffaloVN MC, Memphie et KOA. Denver

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I “O Saiutaris” Eusèlso LiKdiam-e. ‘T)eo (rratia- Hoger liroault. *1*- la chorale don enfants et M J -L l«a«,haric** «»r- gan;stè «ie la paroisse touchait l’orgue, la communion fut donnée par Mgr Boulanger. .\l l’abbé E'alanleau et M. l’abbé Itov

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•"bm*te» m uiaid «lans le» cop’ir» la déoulatton et le» larme- Au«*uii«* urien- «e ne peut alors arrêter -a ctnir-*- éeh*> O moid éloigne-t«i ••;«' ton -jH< t hideux nie fait trenib « r «i effroi

Ah’ je vomirai- «ju*- «•«•- «luelqsie- inrru— dont le» mot» * i t le» sibr.t'ion- meiue* «lu «Hieur. fa*-«*nt «tiinprfmire à t«»u- ceux uni ont chéri votre méin«.. * e«»ni1»1**nv«»rr«* aouveii" -»*ra «Umx ù no* c*e»ir« épl«»ré» «* . '««•le t>tei» aimé que la in«>rt cett» imii'' . ahle faïu’heiiM- *'*t \eriue enI* «er à i «ire tendre-ee «Lune fa<;on a'.-*l iini>rért»e e ‘erriftante’

Hiviér* 1/4IUP liante et gale -ou»«on »-i>t"«*« hiverna fut t«uit i» c<»t»p at tri s té. t>,«r ! écho «! un g la- «loin et lent «pil monta «lut ‘ ! ah calme du •«•1r te! un long -rttighDieu r»p|ieialt t» Lu) un «le

fll.» dont le aosiven.r «lenuurera à .a mai* g.-asé «lan* n*»tr«» mémoire «'a il fut un pér«- admirab'e tenir tou» i» «pii furent dan» l'obligation «1 r.»-> in •k lui

VI h ugéne Ouellet a pen-ion puis pr«'« d iin au fut un ingénieur ••* -«•igne *t habile s.* haute» coutno*•«r «■e- e-tiniH«“ à leur iu«te valeur lui \ » r**nt rintcrct tnaruué et la « «»n»l«l*'Tation Kincére «1*** « h* m l«*» plu» «iStlugufS» «1«*- chemin- d«‘ Fer «p.i réclam«rent -a l « ■en«*e «luti- niainte* «.--emblée» oft m. - «léliat- iiitéreaaanta et il# la plu* haute Importance i\aient lieu S«m humlllt/ >t »a grande g«nér..»«ité lut «ehirent par de- »’ > tout IV-tline et 1 arlmiratton de -. eon«dtoyens *-t «ie *«•* confrère» D'honneur* -an» nombre un firent cocf.'n* entre autre» celui «I être le iTé-hb-nt « t Secrétalre-Tréeorlgr, pemlant pré* «le «piiti z»- an*, d'une *«»c1été dont I Impor'an.'.* «•-t univer»eUement c»»nnue l» tété• le* Brotherhoo I On r*f ;-a énrrgi«|ue m# nt un tour >, «.“cepter «a «téini»*l. «n --oti me P*é»1«lent et <*e fait - il »u!Td j». démontri'T la \aU*ur «le m- capacité- «t» chef et I Infinie «'«mflanco «ju «*n avait er. »«•* connalaaant'e» Intelligente- et pr. fonde*

«in**• nieOuellet fut un h« mnie renuirouable pa

-a «•«Hirtolaâo el «a-n .vff.«L c «lan- vie privé. I,e dévoué pa*trur de *a pi. roi*æ connaît <piel«pie < h«M«e de »a char t«' -i humblement grande «•* généré i*e t«. ite* le» li*tee «le «ouarrlptlon* - Ititltu talent de »<*n nom Je croît oue le but suprême de »a vie fut «ie ren«lre le* a«. tr«* heureux a<-«'eptant nottt lui *eul « fardeau parfol* trê* lourd de» privatior* e* de* «arrlfloe* Tou» «<•* »acnMi-e* «• naient de prendra 6n et Vf ( lue Met g" *ait enfin au bonheur caime «1 une vt. naldble lorsque Mtudain. la mort -et ’« h)p<icilte «Int L arracher à «*e* }«.1e'p« urtant *i méritée* o mort éloigu. • «ar t«.n a*part hhleux me fait tremblf <1 efTrtil ’

T«»u» «*-t fini mai* nou* non* *oi\iei «Iron* k jamai»

FI.oRF,N* y (M ELLE IQuébec. "• «técembee 1W2*

FUNERAILLES DE M ALPHONSE VAILLANCOURT

Jeudi matin à H heure* en l'éph»* du sacré-C«eur de Jérug a eii in u

» 'unérMill**- dé M AIph tnae \lancourt époux de Nfnie Célina \fi chanud décédé h de 70 an"et 10 moi». Il était de l'i nion «ic |Yièr«^ de rApoebdat de la Ftiére et do Scapulaire L'impo*ant c«ir •élfe parti (lé «a ré»id«mce au No 13J Avenue Taécher«*eu ( onduiaat*• letiil «•«a fUa Annula» et Luc Vau* lanoourt; im«6 Kcn«lre Loui» N «de* Adélard et. Joseph Ntarcoux ne» » *4iux-fféree. Joweph Michaud •! .b*» Fortier ; -e* neveux. Jn* Iâ- «ombe. A Lftfonri. Cyrille Ooutier. A Ferlaod. Siméon. Ravmond-K

Je nie M-rs «ie HatieTu*» llurc*-- depui» don/.»' rn«u* sur rn«»n ra«lio• t clics m‘«»nt toujours donné «r- ti«-rc satisfaction (Vile (juc j'emploie maintenant une 4Ô soils «le l»etitc dimensif-n- -ert depuis sept moi» pour trois i&mpéM et marche à mervcilh-

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appeler de la sentence de mort prononcée contre lui

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LE DEPARTD’EDMONTON

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iR k" ram ^••néral du Mü-Mir* nu < anadien -au devra niettr»- uu

BA/AR DE SI-FIDELETou * I' M Hiiirn, nomhnMix visi

teurs qui h«î rendent à la w nto de ehrrjté r|ui ne |N>ursuit æfu«*Ileinent lens » MMn ieM •!•■ Ht-1 li le

ténioirM d'ineidentH qui f- manquent pas d'intérStM.

Ili-r s«*ir. (ioiib vovions une mar- ehuridi.'to dont le courn ordinaire de la vente HHn»-/. ha-. «*t qui lut vendue pour la jolie aornnio <!*• $1 l (X) ou bien pr»\i. par le dévoué enean- t#’ur. M Xuifusto Laf>ointe. mewhre du eoniité paroisMinl

<'«••1*, inandiandiM1 était une ina krnitique morue, qui fut vendue sept fois, remiao toujours à reneanteur qui :i la tin eoinuiençait h trouver qu'elle était lisante <\ tenir au Ixiut du bras.

Finalement *1 autres objetsfurent at tac hé- à la morue et les acquéreur* gardaient les |»etii* oh- jets plutôt que la morue. la remettant à chaque fois K M (^pointe i avee demande de la remettre sur le marché qui semblait ftp» intéressé à rendre .a morue eé-lébre dan h sonpn

de irnjie édwtriouepar \1-d qui fut donné** j»ar

1 )n>uin. M PP fut gagtif

<V u* U*

• lue plus !• ran vaismees de, duns la

fTeet liera d<

par M A ardu.al les deux d»..............

de I Altmr la Saskutei

l du \ f a 11111

tonn«*s de ehurbon furent par M Trudcl

Lundi ôir il > aura aussi ia rafle du magnifique fauteuil, don de la Maison N1 arceau A. Fils, luarehands de meubles de la rue St-J<)sepb. < e fauteuil qui est d'une grand** valeur donnera lieu A la vente d'un grand nombre de billets ("eut un des f»b jet s |. - plus de valeur, donné |M»ur 1* pndit de eette grande \ ente « t l’on doit un eordialement tnePM pour eette marque de grand*

UNE LIGUE AST-SACREMENT

Hien qu • tant une de non plus jeunes paroisses de la cité, Sumt-Saer*' ment compte des citovena a* tif« qui s«* sont bgués jH>ur turveiller !**► mtér- rêts **t l«* dévelopfxmient de leurquartier et, il y a quelques jours, les membres de c«tte ligue h** aont réunis jMtur proeéd* r à l’édwtion <i** leurs otfici* rs. Voici quel a été le résultat de lu votation

Prévient. M J.-A N ad eau, (' It., a voeu t, vice-pré-ëKi* nt M. ./ -A. Fu- g're, gérant d** la Sun Trust”; secrétaire, M le docteur Oeorgcs- iienn ('oureli«*stje ; inemiirea du <*oii- seil de dir«s t ion MM Martial < ôté, Fbe ('untiu, 1/sipoM ('antin, J.-Arthur ( lag rum M le dentiste Houle.

Au cours de rassemblée de mardi d« rnier, l«*s ni» nibr*»s de la Ligue ont appris avec plaisir que M YViltri 1 Ijicpux. é*>hevin. du quartier, avait fait le don génér**ux *l'une somni** de 9HM)(Ni h étp» attribuée A l’ieuvre <ie li jeunesse de It paroiss**. l’ne résolution de gratitmie fut. voté** par rassemblé*e. I^« révérend Pep* Iji- br**cqm*. curé de la paroisse, ahsistait A cette réunion.

ADORATIONREPARATRICE

RAI l it VU NT MENSI KL DK l.A I l < R

la p • b M. Odil^*s membres d** Ile du (’hnsî U

la l ni (Juéôe

ans b> tram h»" Mhiv«*im. Il y aura hu*ki ]** ‘ < roi ^ért du ( 'hrist-It«u #*t d« lam N«atiotial l’on Hiêm« • M»ir. ia rafb* «l'urn* magnifiqur K««m« -M. r«* ' •ont **onvi>nuéftIJ. lloiirdfl, !» un- a l'iiuibn un t'abin«*t A pour 1 Hpur*» m<*iiftUv«l!*« «l’Adoration

t-kati’h*# an r«'pajaer auitnmstiqua **t une phar- Répara rn*« , iliniafo-lu) priH'ham, U*y èqu*• «l« l'rnu***- “ô*'1' H «î« < «mbre. A 1 b*'ur«*>* pré«*iM»s -b*

,«- Maillard, La Muré* ih* lundi sera honoré*- 1 apr^•s-iniili. nu Sanctuain* «lu Na-bourg. Simk, I“*r 'la pré- «•ru*«* d* - rmunbiv* «1»* la t«ré ( '«pur du ( ’hnst-Roi uionast* r**

l>*» délenaeur* du jeune (loniagu*( HIm rt, de la Tuqut*. trouvé coupa

j b Je du meurtre de sa mère et con damné, le 7 novembre par les f)etit‘ jt: ré*s A monter sur l’é< haiami. ont pré-

•venté à la four d'Apjfl. ce matin lune reouéte denihiident d’en a|)| «

• r - ur b s fait*- en méiiie t*-in|»'- q r *-ur le droit. Mes Aile, ti Taiwhereau. I (' K , *t Antoine Hivard demandent ■

!à ce tribunal d** e«,<er U* verdi**t et ■ la sentence en vertu desquels (Hilbert A moins que Tapi* 1 s*»it maintenu pa-

; ver sa dette à ia société.Eu cause sera plaidée au mérite

au prochain termeI> s honorables juges fîuérin, Tel-

lier, Hernier. Hibard et Hall ont été égaleiu* nt saj-i> par Mes Alleyn Taschereau et Fanning (Josselin d’une demande d'ajournement des plaidoirie- sur l'appel d’Aurèle Delisle. <'♦ dernier a au'-si été tp»uvé coupable et CMiiidaniné à mort le l.r> octobre dernier |M»tir le meurtre de son éfamw*

Me Arthur Fitzpatric., <\K.t substitut du procureur-général représentait la Couronne.

MORT DE M.N.-T. DUSSAUT

M«*p r**di soir. M N’.-T. Dussault. «i«* Sherbrooke. |>«re <lu notre estinu1 concitoyen M I*- Dr N.-A. Dussault, est décédé subitement h sa résidence. A l’/ige de Mb ans.

Il fut foudroyé par une syncope d* eo*ur au moment où ils s'asse; ait dam» sa chais**.

( *<• vénérable citoyen de Sherbrooke j«»uiHsa!t d’une lionne santé et était estimé de toute la fiopulation

De vifs p*grets a cause sa disparition.

M. N.-T. Dussault, laisse |>our le regretter son épous* , nee Malvina DeSève. qui est Agée «b* quatre- vingt-trois ans. deux tils, M le Dr N A Dussault, de Québec, profe- v**ur A l’Eniversité {«aval **t memhp* •b» la Commission de, ( fiattipH <b Kat&ille, et M J.-C.-H Dussault. (' K., avocat au liarreau de Montréal et tpn* filles, madame (Dr) J.-C. Sf- Pierre, de Sherbrooke, dame Dr Henri Massicot te, «b» Yictoriaville. et madame Flouard Thivi**rg**

I>#*s funérailles auront lieu à Sber- brooke 1 n libéra sera chanté samedi après-midi et sera suivi de l’inhumation. L** servie#* funèbre sera célébrer lundi matin en la cathédral*- de Sherbrooke.

D» ‘ S*ileir’ offre --es sincères sympathies A la famille en deuil, et plus particulièrement M. le l>r N.-A

1 bis ault. de Québ**c.

T’est la di«traction la mieux goûtée, que la qualité de nos instrurr enta rend la moins diipendieuse.

GRATISchaque Radio vou» racavrer une superbe lampe

Bridge au pied fin» polychrome et abav jour en «oie lea C ertificat» de Protaction an i a» de décèa ou d'incendie

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! . . ire# n ch* lier du •* l'rirtf - Mb**rt. l’hon .luge (îrav«*l,

< ; cm • . Iboiirg N A Mamitt* . ■ Uni den K** eiations Na-

de la Ha kat< h« wan M I *■ n t • Eii..rt* prés id* rit de l'Asao- lation ti* I « ducat ion. du ManitobA,

H P T*'-ur ré*lact«-ur au "Pa- no»* \| D«»natit*ri Fremont, ré- Hci.-ur «n • hcf de Di Lii**»rté". 1 I- \ P< :l* au délégué d.-S Asso- 'atioti'* «l*- r Vlbcrta. M |{. Iâplan-

DEVANT LE RECORDER-nini! vieil lard a•ans le mu ont **té « n- •*»m ramr un mois par b* H.M-order di s Hivn-

* t>uisM*nt prémunirhtVftNTa

un*- femme aeruaée |n»sm s-ton un chien v »- comiamnée A b* tuer lu m«u-* FU** était en •l'avoir un autre chien

'icetwo eût été préaia-* à «v't **ff»*t. I.a pré-

b* *■ h n n lut nppartien-Honm-ur le R*M*ord»>r

* tait n* pronétain* du iardi prochain où qu'il

< lardi* Ind**|M-ndanti* (’hamplain. qui a ii ndra rendre visite aux organisa- leurs et organ i*a triées de cette grand** vent** de Charité

C**inme la vont#* doit s»- terminer mardi '«ur. nous tenons h inviter 1« s nombreux amis d** ta naroisse de St*sban-liaptiftte d** Québ**'*. A velu t visiter notre ’salle paroissiale tout en participant à notre vente au profit d*» l’église d** la parois,»

OPPOSITION RENVOYEEM. I** magistrat en eh«*f Ferdi

nand Roy. par un jugement rendu hier dans la « a use «b* .F.-T.-TDuubirt \ # Nlphon-»* Anetil, a rejeté a. «s* <b’|M*us l'opiMwition faite par dame Zélia lié«iard à la sai- ’Uu d'une autotnol>ib* pratiqué** par b* demainI* ur D* savant jug«» a «léclan nul, en autant que rojv- posante et b* demamieur étaient c*>ni**»rné». c»>mme étant simulé * t fait par interposition de la |>ersonne *1** l'opposante A c»*ll«* «lu déf»*n- d» ur 1 a**te de vente »ie l atltomo- bile sanie dans la pn^sente caus**.

\a* «iemandeur I «a ni ber t alléguait

«b-s P» res Assornptionnifttes, A li«*r- gerville. près Québec Des banquettes leur sont réservées, au bas- ohrour. côté *le PF^pItr**, jusqu’au coup «le quatre heures. Hommes et femmes de la L. I (’ H. ‘’Dames' •*' Demoiselles d’Honneur «b* la K«*in«*-M« r«* -ont également les bien \ onu < ’o inmuniqué

RETRAITE FERMEEGENERALE

avoir vemlu une iléfendeur Ancttf maintien de la pratiquée contre non luuement »l«s \ ait payr le <léf* tnleur. I. /.«lia Ibdard. c«)Ut*«sta h

auto ('l»rvsl«»r au « t dcmamlait le

saisie qu’il avait elle par suite du aeompto* que de-

P|*« «santé, saisie s»*

I noi

vint

’ab«»n»| a été condamné à ùn/«» jour*, un ivrogne réci- attrnpé ?J() ou un mois et a r* yu la sentence ordl-

ter ents de la Ivouteille. us» a,,.-/. im|N»rtant«* s>st

* niâtin I H rx*sidcnt de Paul é»ait accusé de tenir

ut» de prostitution et d** ia i*r«<- i ri-.r» par la »«»- chambres a cet effet. Pbl-

i«*ins furent entendus, nie* de> till»-: qui étaient m^n-

ix• «muni* «lea acte* de i»n»

dans cette maison. Dei nt aucune pn-uve (MHiiti-

!1ih «*• »rni»lèt««ment la chose ''"■r** en'«ndua R«lmit être

I-* «•♦!.- maison plusieurs des tin* de prostitution.

• • n tendu, nia naturelle- a« i*att«ms |s»rtées contreqti il louait «les «•hambr**s

. . ,par prmlenee il »«• fanai*

pa\* r d a\ance Après le» la cause fut remise à

• mbia f être t ien fincpian»! i av^n nié avoir coniruis le acte de prostitution dan*

'b I •* « us» il*s lara qu elle rjuris- et qu'elle avait été |«ar .*• défendeur si elle n« xs le silencet de nouveau amenée de- ig*» et t| mit probable qu’un Ilsaifton fH.ur parjure MUt

lire rb«-

<1«« tarant propriétaire «le l'auto dont «lie-même avait fait les paiements partiels

D* tribunal a toutefois conclu d** la preuve faite A l'enquête que 1** premier ver»**ment «b* $Aon avait été fait j*ar ropi»>Hante ave*« une somme égale quelle avait r«*v,*ue du défendeur Anetil «*t les autr«*s pan*- rnents aven «1 autn** ca*leaux v »*-> nant de la même »«»'jree. Jamais ccHftM’l ne s'était servi de la machine dont le défendeur avait *» ul la possession et F usage et il n*s- s'»rt évidemment de la preuve qu'ej- le ne fut qu'un prête-nom au contrat «in vente oui est simulé en autant que l'acheteur véritable est le défrr d«*ur t*! u»*n Popivosante

Me (’-N. Doriou (V R répré- sentait U* demandeur «lati* c*tte caus*

LE TEMPS DESFETES EN PRISON

L hoii Juge P-A ( ’hoauette. «l*«s S»‘,*ion de la Paix, a «•«»n«larmic A un mois de prison, is* matin, un individu qui avait été trouve cout*able «le certain*-* transaction* illégal*-. Sur une autre a*-» u,ati«*n de vol, le même prévenu a été aussi condamné A un tnoéft mai» les «leux sentences compteront concurremment.

N ou* passerez le term»* «le* fête* en prison, «léclara le prênnient du tribunal et ce sera, je Ibepêre, une I«^*on j suffisante pour l’avenir

M«* Henn Itemier, i' K., niant* la clémence en faveur du coupable

Défaite des rebelles afghans! e^dreft 7 P C On mande de Lahore. Inde, au “Daily Mail”

qoa ir. rebelle, afghan» ont »ubi un# défaite A Jallalabad. ad ilft avaient rr emment brûle le pala.» du roi Aman l'ilah h«»r» la» mur» le. •hmi* an» r-volte» »e »ont enfuia en deaordre, et on croit qua cette dé-

fa.te %a avoir un effet «alutaire »ur lee autre^nhua «or le point d’entrer en rebellion.

RENDEMENTDES VALEURS

i i. u hfj’b: MUR K 1 W-'HTaux Prit |{*•ll«lIUv sppmxAi»i* • i>; f» 4 i * ^

l>o pn\ *i Ho» l j «i 04Alt* l*4«' «ir,»in pnv «»0 ; 07A-*|>»«h(«nu j»rl\ 1**1 10 AlK 4' Power A S* i *>4H R-lg-- 4 'an P.»i .*r t*r KM (Ml!i«*il ivicphon** s 1IW1 , « Sil r.veil. tn $ ». ; i 2 IXKulhtiriK l'nnl V ftl 4) .17 i 2 41 nnnoft' *n f.’ .Ul‘a A 4M< «n Hrt'wmtf DO * 41,i 4ii l<r«mz«‘ » < lin i V»4( .wt Mron/r prh 1 10 r. xa

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37e ANNEE No 233

Fl R AO K CKRTIF1E PAR IV A. B. CQUEBEC JEUDI 6 DECEMBRE 1928

LE TIRAGE DU“SOLEIL”

en fait le deuxieme journal françan du Dominion

EDITION QUOTIDIENNE PRIX: DEUX CENTINS

LES NOUVELLES DE CE MATIN AU SUJET DE L’ETAT DU ROI L’INFLUENZA ' SONT PLUS RASSURANTES ET IL Y A CHANCE DE SUCCES BT A L’ETAT

D'EPIDEMIE

GOUTANT LE “PLUM-PUDDING*

L’INONDATION CAUSE DES DEGATS

HZ ^

1/ASSOCIATION DESJOURNALISTES INTERVIENT

Dans 1 élection complémentaire de Victoria par 85 voix

CA BAISSEPari'.

‘Mal«*s jug»> au Mijft d »i Franc nou\eaux

7 (Ass’d Press) D*annonce aujounl'hui que

<T instruct ions informant de l’affaire de la (la/ette ont décidé d’émettre deux mandats d'arrestation.

Tun contre Pierre Audibert. directeur-héraut de la ha>/e1te dt'sormai^ fameuse, et l’autre contre Paul Hersent, procureur de Mme Hanau. Audibert ne pourra être arrêté maintenant parce qu’il est bravement malade.

'L’Association nationale des journalistes a décidé d’intervenir dan** TatTaire et de citer Audibert à comparaître devant son comité de discipline, ce qui équivaut à l’expulser de son win.

Audibert protesta toujours qu’il n’était au journal qu’en sa qualité d'hommes de lettres, et n’avait rien a voir au côté financier de l’entreprise, qu’il ignorait. Il obtint des déclarations, interviews et articles «le perwiinages éminents,^ y compris une lettre «le M Poincaré pour une s«)rte «le supplément pacifiste intitulé “(ia/u-tte des Nations”. (Ylle-ci fut incluse dans la Qa/.ette «lu Franc à plusieurs reprisée, entre autres l«irs «le la signât uni du pacte Briand-Kcllogg.

PROBLEMES QUI SERONT

MIS A L’ETUDE

Par vie nal en

Ki warns1929

internatio-

Chicago. 7 Ass’d Press' l ne étude approfondie «le l’agriculture américaine et canadienne pour établir la fa«;«m dont se pose le problème économique et s«>eial <lan*î les di- v«ts«‘> rectums géographiques de l’A- mérique «lu nord \a figurer au pr«»- gramm* «lu Kiwanis int«*rnati«>nHl I>our 1029. Iâ chose a été annoncée hier à la session annuelle «lu comité exécutif.

(Vtte étiole, «ht Henr> Peterson, de ( outicil Bluffs. Iowa . président «le la commission agricole «lu Kiwarns. va faire éclater au jour la complexité «les problèmes confrontant à la fois l«\s groupes urbains et ruraux.”

Plus «le 2.*îO «lignitaire-i «•! gouver- miirs de «1 i strict-«'lu " aK«.ist**nt à la session., qui \a «lurer jusqu A samedi.

Procédé pour transformerle minerai de fer en acier.

Détroit. 7 PC. Mis* Cora Webater, qu’on disait hier avoir vendu à la Bethleem Steel Corp’n un procédé pour fabriquer de Pa- cier ave« un minerai de fer inférieur, dément cette nouvelle, re- connaît qu’elle-méme et deux asaociét. George Code et William Popham, sont entrés en pourparlers avec la Corporation. Elle dit que le procédé en question permet de transformer le minerai de fer tout de suite en acier, quelle que soit la qualité du minerai employé

LES GUNMEN ASSASSINENTUN CHEF DE POLICE

Chicago, 7 (P.C.) Leroy Gilbert, chef depolice à 'South Chicago \ leights. lisait tranquillement chez lui hier soir, quand deux gunmen, armés de fusils au canon scié, lui déchargèrent par la fenêtre leurs armes dans la tète. Il s affaissa en avant sur sa chaise, et la fusillade continua, blessant Mme Gilbert à la main. Glen frère du chef, qui se trouvait dans la même pièce, ne fut pas blessé. Il sortit de la maison à temps pour voir un gros Sedan démarrer à toute vitesse.

I .e territoire relevant de Gilbert a été fréquemment le théâtre de rixes sanglantes entre apaches et bootleggers. I a famille attribue le meurtre aux associés de deux individus que le chef arrêta la semaine dernière f: «rce qu'ils transportaient des liqueurs.

Victoria, 7. - P C A «SA «Jt« majorité d’Arcy-B. Plunkett, <*andidat conservateur, l’a emporté bi<»r «ur le DrMael./oan, libéral, «lari' l'éhwtiou fédérale cfimplémentaire «b* \ i«‘tona Les suffrages exprimés furent ô.b-tl pour Plunkett et Ô.AVi p<nir Ma«‘Ic an En 192bM. Tolmie. conservateur, a^ ait remiK»rté «'«‘tte circonscription à '2.7s 1 voix «le majorité.

L’él««ction «Mit lieu pour donner un suecesseur à M. Tolmie. «pii avait démissionné pour devenir chef «lu parti conservateur provincial en ('«e lombie, et «jui est maintenant premi«*r ministre <i«‘«'«‘tt** provin<*«*

LES TROUPES VIENNENT

EN CONFLITPrès d’un port du Para

guay et plusieurs prisonniers sont faits

LITIGE DE FRONTIERES

Buenos-Ayres. 7 P. mamie aujourd’hui «i’Asun<M«ui. Paraguay, au jounial Di Næion” qu’il y a «»u conflit « ntre treupes «tu Paraguay «*t de la B«>Iivi«* près «lu i>etit fort «le (ialTH>n. Les rehlats «lu l‘araguay auraient fait plusieurs prisonniers

11 existe un litige «1«« frontière entre les deux pa\* Mid-américains. En avril 1927 tom «leux rèpomlanf aux toons offices «le l’Anp'Dtim*. signèrent un protocole et installèn nt à Buenos- Ay ras une commi"i«>n mixte |>our régler la difficulté. < >n ne put s’«»n- temire. «•«•p**n«lant. «-t en «K’tot«re <i«»r- nier l«'S journaux «lu Paraguay préten- «iirent que les Bolivien^ a\ ançaient dans le tern toi re «lispuU

DECORE PAR LA FRANCEBoston. 7 P. f l^c Dr Kli

ne. depuis 19H* «immissaire du département des maladie* men tab- et ancien président «le l’American P-n- chiatnc Ass’n. n été décoré «le in croix de la liégion d’honneur «r Laide donnée h la prn\ ince <|e b’»é- be<* C*’e*.t M Mongervlre. eon*ul généra! d«» Keanre à N'-a-A’ork. qui a notifié au Dr Kline Lhanneur qui lui était conféré

L’endurance de Sa Majesté est extraordinaire, disent les médecins qui ontannoncé que le roi a eu un peu de A Los Angeles 4.°«I cas

. 1 1 . 11 nouveaux ont ete de-sommeil réparateur la nuit derniere clarés hier

LA FOULE ES I ANXIEUSE

Londres, 7 (P.C.) Le roi Georges doit à sa remarquable endurance de pouvoir continuer avec des chances de succès la lutte contre la dangereuse maladie qui i attaqua il y a plus de 15 jours. Le bulletin médical émis un peu ax ant midi aujourd hui, et signé par ses deux médecins ordinaires se lisait comme suit.

“Le roi a eu un peu de sommeil réparateur, et ses forces générales se maintiennent. Plus ample examen du côté droit de la poitrine va être entrepris aujourd hui.

Comme résultat des fortes pluies qui se sont abattues récemment sur certaines parties de l'Inde, un grand nombre d'habitants ont été chassés de leurs demeures par les dommages qui y furent causés. Dans le but d'aider aïs* natifs, les autorités des chemins de fer en ont engagé un nombre considérable qu ils ont employés à la réparation des voies ferrées enlevées par l'inondation. Notre photographie représente un groupe de “coolies’* à l'ouvrage.

DEDX NOUVELLES ARRESTATIONS DANS L’AFFAIRE DE LA “GAZETTE DU FRANC”Le directeur-gérant du journal et le pro- B. PLUNK.E ! I

cureur de Mme Hanau devront com- L’A EMPOR 1 E paraître.

On voit par i.« que :** gram! souci plu - • les médecins «*vi la fa«,‘«m dont re comporte 1 inf«*«*tion. autour de la LE région du poumon. «lu coté «iroit. Il a surtout été (pH'stion «b cela dans < le- «b-rnuTs bulletin' m«- beaux l-i dm- •. publication «b- <*elui <b» ce matin re- le * r tarda «•<m>idérablemen?. et la foule men * gressissait re ri' cesse devant b* pa- Town lais, sc dcmamlant «h* «ju’il pouvait Balm« bien \ avoir. ; mbb

Il \ eut maintes allées «-t venues au palais durant l’avant-midi, l/ord Da\ bison. « x-ar« h« \ * <ju«* «le ( ’arter- bury, vint «le bonn«* li»*uri* et resta Lu une «buni-heure. Sir Wm. Jofmson- <*e d* link' fut un autre visiteur. \a‘ duc graph d’York vin: dîner av«s- la reine, ges -- Dans les miluuix palatins on n atta- jet e fllou«*ester, s'a4‘h«>minant vi-rs

. «le son j ère dangereure- tualade. «*st arrivé à ( ’ape

• matin. Il s’emban|ue sur le al ( ’a ' t le. qui part <*<* après- *11 r T Angleterre

M X RAYONS \

r.‘>. 7. «P. C. On anuon-Itonne source que «l»*- photo- ' aux rayons X <iu r«*i tl«*«>r- t prw*s c»*t après-midi. L’ob- •••'. photographies et <I’étudi«T «Inut «le la poitrirn-. ou l’in- sest c«»ülinée.

132 MORTS

Dis Angeles, 7.— P. t Bien«4u** 1.200 nouveaux «‘as d’influenza aient « t * signalés dans l>«»s Angeles ces deux j«»urs «b*rni«*r'. le* autonfés sanitaires annoncent «ju«* répi«Iémie n’a |ias en«v*re a’{«unt s.»n paro.W'rm ('«* sera f»our la reniaine pr«K*hain«' h!!! attendant. ♦•Ile a «iéj.i fait mourir 132 personne'

On a signalé S,000 «\*t' depuis qu«- l’épidémie s’avéra menaeante le 13 novemf»n« «l«»rm«*r 11 y a «*u IOU «•»- nouveaux hi««r ; il y en avait eu H0O mercredi

I ^.S «'•«•ob*S A«onr rest ouvertes à Loi* Angeles auj«mrd'hui, mais ♦•Ib*' «»nt fermé leurs porte* «ians Pasa«jena f)n mande des «x>mtés voisins «l'Orange, San-Bernaniino. \’<>ntura et Sa nia-Barbara. «ju«j lépidémie y diminue

P « )•Desiuoines. Iowa. a -ignalé une épniémie de grip|>«- «ian- plusieurs «•«ntre- d« l'IOvva. principal* in«*nt a De- Moim-s et Council Bluffs Dr Lieber, commissaire «le la santé publique a D««s Moines, «lit «ju*1 «•♦•!!»• ville n* eonipt* pas moins de 4.000 "grippé'

■Mi

4

Un jeune mousse suivant son entrainement sur le navire “Stork , au large de Hammersmith, est en train de goûter les ingrédients qui entrent dans la («infection du fameux “plum-pudding”. Ses camarades attendent leur tour avec une anxiété gourmande.

BANQUET AU DEPUTE DE CHAMPLAIN

Le Lt.-col. A-L. Désaul- niers est l’objet d’un accueil enthousiaste L’hon. P.-J.-A. Cardin est présent

LE ST-LAURENT

'l rois-Kh, res, 7 D. X. t La navigation sur b* St-Laurent est

aussi sûre «pie sur tourè autre voie navigable «Ians b* inonde entier, et la campagne que l’on poursuit pour dé- pr« «ucr !«♦ St-I-toirent «*omine voie «i«< nav igation «‘st le fait d«< g«»ns intéressés «»t n’a d’autre but que «le faire m«»nt«*r les taux «le transport maritime”, a déclaré b* ministre «h* la Marine, l'honorable P.-f.-A. (’arvlin. le pnn«,ipal orateur au banquet d<>nn«; par l'orga-

| La chasseaux loups

en avion! \linu»*ap«»iis 7 B ( I»

K «i win Kox et L-V! Chamllcrnom . organi ser une expédi-tiou «1 • oha*so contre I« ' loups♦•n aéroplanc. 1>* premier s»*raaux «•♦ mirnand ps et le moondfera f«* u 'ur le' fauves. Ils pro-jettent d'«*pér» r «Ians b* Min-ncsota s*pt<*ntri<ma!. a\p<* uu«-base à ( ass I a ko. U \f inné-Nota ♦ai*' $1.5 pour chaqueloup iil«a11 u. Si 1 p.x|>p<litionreusnit «1 autr» s s orgam-eron’

WASHINGTON DECLARE N’ETRE PAS AU COURANT DU MOUVEMENT EN FAVEUR D’UN TRAITE CANAD0- AMERICAIN POUR L’EXTRADITION DES CANADIENS

LES JEUNES ELEVEURS 11 s’agit de l’affaire qui s’est passée récemment a Buffalo au sujet de la prétendue violation de la loi de prohibition.

('hn-ago. 7 \ss d Pr« '' I<e jeune < laren« «* (îoe«-k« le t'ttr«;«.mn* t «le 12 ans dont le fiouvillon éleva* par lui s’est vendu $7 la livre sur pn««| à l’exposition de Chicago, a un émule «ians Keith Collins, 1 ô an-, du même comté de l lowa, tjui. lui. a remporté* le premier prix pour un animal abattu

POUR SOULAGERON A TI END DES NOUVELLES

D’OTTAWAP <

baiKpU't.Son Ibmneur le main* Donat Pa-

quin souhaita brièvement avant b* banquet la bienvenue à M A.-L DésaulnuT'. au inmistn* «!•• la Marine et à tou* les ehefs |if>éraux, pui> lut «h's lettres «b* l'honorable Nlac- k«n'i«*-Kmg. rh«>norabie A b»xan«fr«* Ttt8ch«‘reau. l’honorable sénateur P - •L Paradis. l’honorable O. DuTrem- blay «*t nomlire d’autres invités ex- firimant b ur regret «I** iî«» pouvoir êtr«* «f* te t « • t « •

L’hoiiorabb <’ar«lin pava en «lébu- tant un chaleureux tnluit d’hommage à M A-I. Drsaulnn r-, saluant «*11 lui un «ligne serviteur «lu nays ««t «pii fait honneur à sa ra«,«<. puis a l’honorable Jacques Bureau « t raph ia !«•> liens «pii le rattachent aux comt» ' de Champlain et Troi — lhv 1. r»*s-.st-M;tu- ri<*o. I>* «léputé «le la Marine traita <lt» la nécessité «le soutenir les chefs

«léfen«lit ave«* «léputation de

La députation n

LES MUNICIPALITES wdéj»artement d’Ktat a ii»«lar«

Winnipeg, 7 P< A la n« rien savoir d’un mou’«lerniên* séaina* de In 2.V ««invention avant pour «>bj« t n«-i.,<iannuelU* «ie 1 1 mon intermunicipale d un trait*- « atutd-» ;iTti« ri--a:n du Manitoba, «ni a voté hier une «juel s. rail turniis.* r. xtraditi motion aux t«rm*«' «le laquelb* le Canadi«*ns mis «n accusation g«»u\ernement s<*ra prié «!♦• s«»ulager fal«». mardi «limier.I«'s municipalité* «b* l’impiit pour les I>*s Ktats-l n s proj>os« r« p«*nsi«ms «le vieilb-s^- «t «l’assumer gouv«rn«nu-nt <-anadi»*n «n 1' »«ntièr«ment le «*oût «le «•♦•' |H*nsi«»iH faire «b' la «ontrebarnl* d*-* i |K>ur la provin«*e un «*a.s «1 extradition, mais le

P°'

B .

1 tenant 1924, « est i«*n la nm oir iif* lien nt on du présen

a laire n-vuser

de l'extradition veil** «'onféren«*o 1. si b* gou ver-

traité Ottawa donné aucune

de «•«• «iti’il en

HUIT GREVISTES SONT TUESEN VOILA UNE Dans un engagement avec les

QUI BA 1 FOU I chargés de rétablir l’ordre.soldats

-il fait nonneur j<* n’hésite pas qu’eln* |»*ut «♦•

Le lit.-col. A. L. DESAULNIF.RS

ni*atu>n lilvèraie du Cap-de-la-Ma«il'aine en l’honneur du lieutenant-colonel Arthur Désaulniera, député de Champlain à Ottawa.

(’e fut un enthousiaste ralliern«*nt d«FMi libéraux du e«»mté «le Chami-la ri auxquels s’étaient ioint un grami nombre de littéraux «i«* Trois Itivcr**' Il groupait près «!»• trois c«*nts convives dans la grande salle «lu couvent Ste-Familb*

L’honoratile P-.f-A Cardin ministre «b- 'a Marine, awoinpaini» de H l g *1 Men • r. \i I * St il ear «le rhotmrahin sénateur Jacnue* Bures i. «t«* MM. Théo. Uervais. \f. P B* r thier-Maskinpngé. W î*. Grant. M P P . Champlain: J-A Kng-n. V P P . St-Maurioe; tut aci’ueilli pur une gran«l<* ovation à s*»f. amv«* n i

«b* les «•rn,ourag«*r ♦•’ v igueur b* r«Me «b* I: g.n I >e«' a ( )t t a w8.«b1 (Jiiéla**’. «l«***lara-t à n«»tre prevince et à aflînm r hautf'imuit «•omparer avaritag(*us«>ni«-nt à «•«•Ile «b* toute autre pr«»vin«*e N”«>ublions jamais «iue c’est un lH*s«>in pour notre race de s«> v,.rrer les coudes «*t «!«♦ '’unir, car «‘Ile <»m une minorité «Ians • •♦* pays et n’; |K»urra jamais devenir la majorité. N«»us ne pouvons pas «»ng*r à nous imposer par b* nombre,

mais nous «b>v«»ris nous efforcer <1«* nous imposer par notre valeur.”

Insistant <i«* nouveau sur la ti«*« ♦**- 'it«* «b* nous acier et d’encouniger n«»s eh«*fs. le nil ni? tre de la Marine déclare qu« nous n’avons p/ts b* dr«»it «le nous diviser. Puis il poursuit "Nous ne «iernandons aucune lav«nr

mais simplement le «fr«»it «b* n«»us «lé- v«lopper selon nos tnelitiori' D- faire, c’est travailler à la gran«Jeur «le n«*tn- fdiys.”

Après un résumé «les progrès de la région trifluv leiine depuis vingt ans. I horKirable t’arlm étu«lie la situation politique <)♦♦ notre pays. Il «lé- elare «inc imtre pnvs a imj«nird'liui v«»ix «Ians b- «*on'*ert «b*s nations, qu’il exprinn» son opinion «Ians !e> grand* *s questions internationales, puis il dénonce les gens qui s’effraient d# mius voir avancer har liment «ians la voie du progr > aut*»- nomiste. “Je n«* «Tains rien, «lit-il, »*t je suis toujours prêt .« aller «le l’avant «Ians la voie «b* la «•enquête de n«»tre autonomie «le plus en plu*» complète '

“Sous le rapiMirt «lu progrès matériel, poiirmiit le ministre «le la Mann**. nolle situation -e compar»* avantageusement. de mèn.j que sou* le rapjMirt é«’onomique. h n'imjx»He quel autre pa»'» nation ne s’e*t relevé** aussi la ndtre d«*s misères «he la guerre. Pour arriver au relèvement nous n’a- v«ms rien bouleversé ; n«»us avons r«*sjH**’té l’onlre et le cours norm»! «I«*s choses Nous avons monté «le degré en «legré. «omme le >oleil qui apurait à I horizon le matin nmute

a propre femme d un musicien lui sert de témoin à son second mariage

Kl l/AIMI.

P t H«rU*rt ans. profc'sseur

et père de trois

New-York. 7.Leigh-Munuell,<1«* musique mari enfants, a « pousé mercredi Mi" Martha N an Wyen, M»n élève «b»nt 1! était devenu a.iuîreux. Crie particularité peu banale «le mariage, qui, par ailleurs n’aurait eu ri«*n que d’onlinatre. «'’ont que la propre femme du musicien, «pousé** par lui en Angb-terre « n Pdl.u, lui serv it <b témoin. < ''**st encore elle qui a hyj»oth«Hjné -a maison «b* Savvill*-. L ! . |K»ur '♦* pr«*< ur«*r les $.N.(NN) «lu «■autionnem«*nt exigé pane qu<* son mari, a pris «*e inanag**, fut ace «le bigamie et jeté en

pas en effet, «1

NOMBREUX BLESSES

Bog«»tu. Colombie. 7 P.C Le t lê journal Mundo Al Dia dit «lu*» journal Kxpectador anmmre aujour- le ministre «b* la guerre -•« «‘on d'huit que huit grévistes ..p’ érè linn.- la nouvelle de la rixe «umglante tués, et plusieurs hbssés dans un«* de Santa Marta, mais qu'il a hj«»u1.«> reiicontr** avec les solda*- enqu- vu 1 abs**nce «b* c*nnînuni«,ation> voyés pour rétablir l'ordr** «Ians I* :♦ i* gra|»liupi« '. il «’’ait bu*n tlifficib» pavs aux banam»s «le Santa Marta «Pnvdir plu- «1«* détail» sUr l affair**. L’étaî «le Siège a été preclnm* dans D ' « h*'s de plusieurs gniupement*

it «’onféré avu*** b* rm-lustrns p.»ur es.sayer

c#‘t t** n*gn>n, l« geru Cortès nommé «•onimamli <*t militaire «le la zôn** rè glement «îes difb

n aprison 11 «*rcé «l’a\«s*

4*reinière femme

.l'ai agi ainsi. «Jil «lin* j«* l’aime 11 a

celle de Aucune

bien que

O»—<u, j*ar«*etoujours 'i

plein «b* tendresse, de bonté pour moi. Herbert a toujours fait tout ce qu’il jMuivait pour me rendre heureuse. Mais, «juarul un mari «•«•sh«* d*aim<*r sa f«‘ium(*, cela n an nule-t-il pas b* mariage?”

Mme liCigh-Mantiell précise «jue le rnariag** «i«* son mari mv«*c Mi'^ N’an Wyen «Ians Marl*«l«* ('«sdlegiate Church, ici, fut arrangé |*ar eux trois, après que le sentiment éprouvé l*ar b* professeur «te musique pour *on élève fût devenu évblent.

ver* le s*»mmef des «deux.”"C«* <|iii a été bâti «Ians le i»a«sé

♦•st solide. B&tmsons notre avenir sur le jias^é «*t le prirent, la confiance «lan* l’âme et b* sourire «ians les

■ yeux.”

(Suite à la page 39, 4 cobmne)

SAUVE DE LA POTENCEA UNE UNE HEURE D'AVIS

Toronto. 7 (P.C.) John Burowski. qui devait être pendu ce matin pour le meurtre de Thomas Jackson, cultivateur de Waubamic, a obtenu du juge McAvoy, de la cour suprême d Ontario, un sursis de deux semaines, une heure seulement avant le moment fixé pour l'exécution. De nouvelles preuves, recueillies à la dernière minute, déterminèrent la décision du juge.

Le S. O. S. aurait du êtrelancé six heures plus tôt

New-York. 7 P.C. Le* rapport* de* aviseur* nautique*anglais et américain prè»‘la commission d’enquête du Vestria font aujourd’hui partie du do**»er officiel He la lommisaion. Bien qu'il* diffèrent Han* le ton, le capitaine américain Jes*op étant sévère et le capitaine anglais McConkey moins le* Heu* rapport* •ont à l’uniasoi. pour déclarer que le S O S aurait dû ai* heure* plu» tôt. et que le« officier* ne firent pas ce qu il fallait pour assurer la sécurité de* passager*.

«

22 7 DECEMBRE 1928

f.*

RHUM SSIÀMESLA GRANDE

MARQUE FRANÇAISE

DANS DU THÉ DANS DU LAIT

EN GROG EN PUNCH

d» trm pmimmémorialrecommandé

par!•• Madadna

•I utilitédans Ut farm liât

contre |MiML RNOfMC.IRONCHmi hILmi&lUtlUTS

Ml triant pmir jsif'.ir.ar

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l.A l’A K I l M I .!< 11. I l It 11. N I \1.1 ■ «4«>> n 1 » ni <• >^ h 1 -il <*' in».

L’IMMACULEECONCEPTION

Le genre humain tout entier s’accorde à reconnaître un désordre initial dans monde. Or, la raison nous dit que l’Univers ne peut avoir été créé mauvais par Dieu infiniment parfait. La foi, heureusement, est là pour nous répondre que cette perturbation primitive n’est autre que originelle de nos parents.

«Mit donc du péi'hé <1

( 'onun# noua. In*-üiiiU ont soufftTt d** xi joura . b*lioU*i* par <i**s trairn# #*t d’^trt* nans c par la grào« et aolLcité# cupiMMmoo.

K#t-il un© eréatur© qui ait é©b#pp^ A a '•«•* îiiiKén** et à Au milieu <1© en

afWHre# et le* i* ko Mentir tou-

ven ta oon-axe appelé* par la eon-

St-Eloi

au moi n* eet te flia^ni. #*

<•«•* ealamitéa ' délug* uni vernei

cultivateur, contenu dé- unedi, le 1er

niAléiliction* un** arche nouvel- m* contient-elle pa* r©#|M»ir et

/ N «Mit-il jia>lu i-ulut du une M*eoiid« dit ’ l'ro te’'. “(Vt te tous, in#iK bien aimée"

Oui, il <■

monde Ksther A

omnibus, loi a été

non pour

qui le roi a •ed non pro éiabhe pour voua, A ma

t une arch<

a chute premiers

cDOUM Ment fîett !*• bien, oette

i'•< Me n'pugnanee à r**Tiiplir

Vdarn quedifficulté A faire

tendant** au mal.obli

gation*. e4‘tte horreur de la vérité • t d* dégoût de la vertu cette sfTeeîj'.n au vice, combat «b- la chair contre l'eaprit. de la raison contre I >ieu et cet fi* lutte de d* UX homme- en nou-. l'homme spirituel et l'homme animal. Kt&t famentabh»qui fai«*it *dujf>in-r *aint l'aul et le portait .t s é<*rier wiuvenf “Quime délivT»*ra «h- ce C4»rps de mort I'"

CHATOUILLEMENT DE l.A GORGE

Ptltn d» molnt drgle. C'ait «Igné da rhums!

Et da« million* ds partonnat ont tout da

«ulta l'Idaa de prendra

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LA GUITARE HAWAÏENNE

I a prennAre journée qua voua recevrez votre Guitare voua pourrai jouer un mor< eau II n’eat paa

n*< attaira de cannai tre la rnuai«|ue Auaai

facile â apprendra ^ qua I A B Cm _

nouvelle.une autre libératrice qui va kauver le genre 1 umain et «lélivrt*r 1© i>eu- pl« de Dieu Kn elle est tout l’espoir tie la . » t de la vertu, (“e^ta mère du bel amour et <1© U a«in-

t* f -pérarKM* . la n ère de celui qui doit venir, «lu nouvel Adam eu qui sont appelés ft revivre tous ceux qui sont mort* ; c'est la Hienheu- r* u-* Viergi Marie, Immaculée dans -a con« eption. <’elle-la Hiéme qu* 'ignalait h- prophète «lisant : Quel le enf cell*'-tu qui a'avan<** oomme l'aurore, belle «‘oiiime la lune, resplendissante comme le soleil et terri bh- comme une année rangée en bataille ?

La joie renaît dans le monde à la vue «le cette aurore d«*4 jours de salut qu'illuminera le soleil de justice.

M la ferre se réiouit à la vue tie cette mère de la lumière, l’enfer se d* oie et le prince des ténèbres s'ensuit vaincu. !>• démon a reconnu l'enfant qui va naître de celle que les patriarches avaient désirée et le* prophètes annoncée, celle que le* Kièeles avaient attendue et (jue tou.'» avaunt d**mandé«‘, celle qui devait être convu© toute pure, toute bell.»♦ t toute parfaite, c'est-à-dire imma culée, «•elle que les générations ft venir devaient appeler )tienhour©u*<-. ««lie « ritin <jui (l«nait lui écraser lu tête et «létruire son empire put la terre. Si l'ange «léchu avait «*u une nature humaine, périssable comme In né tre, il vernit mort de rag«« à l’instant précis d** la conception de Marie, ses os s«* seraient brisés et émiettés, ses vaisseaux s« seraient rompus, -on coeur aurait éclaté et -a cervelle aurait sauté, tellement il

• sentit dé«u, vaincu et huinilu i <•<• maillent.

IncanHi#M Joseph Ooffbout,

a vu -a grange et sont ru its par 1er flamme*, mdécembre.

('»vi une lourde perte, vu la sai- -m. fîrarel hangar neuf, k <i«*ux éta- é£«-k. rempli de foin et «i* grain pour li-mmr cet hiver ses animaux. Tout ••k’ p» r«lu, y compris h* instruments aratoires, cinq porea gras et douze p*-t|N. moutons, VolAllles, etc. Iss \ »isina se sont empressés «iimanuh© <1* lui procurer, celui-ci du ff»in, «•eux-là uu grain |>*>ur «ju’il puisse nourrir ses 21 têt«»g do bétail et cinq chevaux.

L* feu a été mis par un engin à ga/oline. AssuranocH fl-’UU. Ferles évaluées à environ $*>,000.

M (lixlbout, «mi est actuellement malade ««t in«*apable de travailler au • it hors. Kj-ra encouragé «lans >on malheur par tous ceux «jui ont l’habitude de secourir les sinistrés.

DOUTONS“Téie<NoireM (COMEDONS)

9V

1^-* comédons s.' <li«»N»lvint «t il'-pA/ais- v-nt sltiiolcinent j ai ce procédé uniuur. «Ur et «ai.s lisnser Vc lict*»/ deux onc» » »lü j»é oxiu*- «n poudre chea h iiharnuu*!* n. répa •)«*-en aur un Uns** trempé u'eau chaude et frotte/ vivent* nt I* \ Isase — tou* ica comédon® ** ront disparus

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Montmagny

«lame le «ié-

Feu M. Georges PelletierGeorges Pelletier, époux de

Mario-Léa< lastonguay, vient«•éd*T.

Apre# un libéra chanté en l’église j an i.-Male ses restes mortels furent transporté à Kt«*-Louise. »a paroisse

natale où son service et son inhumation eurent lieu lundi <l«*rui«*r.

M l'abbé L é< n Pelletier curé, cou- : n «lu défunt, chanta le service as-

-isté <1*» MM. les abbés S. Théborge «*t A Bernier, comme diacre et so us-diacre.

D** porteurs «lu corj»s étaient MM K. Léon, Emile, et Jôsej>h Pel- i« tj«*r. frères.

M Lmlger Pelletier, son cousin, IK.rtait la Croix.

Lui survivent : outre son éf*<»use. tr**is fi 11 «*h Alun* AJ\r«* Bélisie, Mme D (fHguon, née Albina et Mlle A - Mari» <*inq frères, Elisée, Léon. Al- fnsi, L mile Joseph. Troi/ sœurs: Mlle Célina, Mme Fliê Morin et Mrne Arnolie Castonguay.

gi»>rieuse Mèrn d«»

Sans nous «outuer <1«* l’enfer «jui trépigim, réjouissons-nous avec h-- ang« s .i la pensée «le la conception

et immaculée de Marh* Die i, Keine «lu ciel et «1e la

tem-! Av ♦•(• l’Eglb»- félicit«ms la \ i*-rg»1 «l'avoir été ehoisie de t«jut«i ét«Tnifé pour devenir l'obiet d«*' «•omplaiKan<-« s «lu Père Eternel, b Epouse «lu St-Esprit et la Mère du \erb«» incarné.

n*nfvoua poiivrt «p pr*-o Ire * jouer i i eOe musique , enlrainsint* (HU

Hsn$ voire m « i *o n ■ansvous déranger Avec noir* mé (Sn.Je aimplifie* snus la direr Imn d* Crofetteura dipt ime*

No# «le*** BonipBy»s

»»«»»» j'.uar au Ra- tfto TKéàlr#, Soi- ri**, al*.

Passer ayriablo-menl «os #.. r4a*. »••• rmtr» (ultara, tool an faynant •la I arcant

(aamarrr liiaira*#

Avec l’Eglis*» félicitons Marie, non M iihinent d’avoir échappé ft la bave mamlite «*t * nip«>iRormée du serpent inbrnal, mais encore de lui avoir écrasé la tête d«* son talon virginal.

Avec l’KglCe enfin demandons ft ! liunuicuh < t’oiiception «le vouloir bi»‘ti nous pr«)tég«»r nu militui «1«* tous l«s dangers du m«md© afin que n«»us puissems régmr un jour avec elle «lans la gloire et le bonheur du ciel.

P. ALBERT, O.M., cap.

Ça U are I PauNuenne CNUDYCI MC U ÎWÉMlÉRt tfCON

Traitez iuSANû

i f.aicompi.t ,j# JJ lament an I RANCAIS.

Nou, garant laaons H anaa.gnar « jouar la Cuilara Hawalanna dana J moia.

ECRIVEZ AUJOURD’HUIpour recavoir da plut amplas détaila aur catta nou- «alla mé(h«K«a. ainsi qu# n.*s ronditi -n# da paivmanls ta. lias, quaiquea anus par H»wr. cas* lout «a qu il faut pour dat *nir fKipuiana *♦ ra. litrahé

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de J

à I

I/» «leuil était conduit par le g^n- <ir«- «lu défunt s*»s lilies et ses soirs, s*- i*«*aux-frèr«»s, MM. J.-Bi.> ute ♦*t A. Castonguay, M. et Mme Ers « i.storiguav ses belles-.s«i‘urM, Mmes Emile l/**m et Joiseph Pelletier. MM Lu<lg«*r Union. Ant. (ragnon, J.-B Gagnon, MM. Km Gérard, Antonio, Toch. J.-liaptiate, Herm e t Auguste Pelletier et une foule «i’autr«*s

! n grarnl nombre d'offramies de m«>ss«-'4, Ixiuciuets spirituels ont été «léposés sur la tombe de M. I‘elle- tier.

.Vos sympathies à la famille endeuil.No musiciens

Les amis de notre fanfare ne sont réuni# aux musicienr de l'Harmonie i d»‘ Montmagny. pour fêter gaiement ‘ la ste-Catherine, lundi soir, «ians la grande salle des Chevaliers de Colomb.

MM Lé«>-K. Latlamme, M.-P. et Ch-A Paquet. MT*.P., firent d’élo-j quents discours qui furent fort applaudis. Puis tous «léguitèrent aviM- « ntrain les huître# délicieui*'#, arro-1 s* es .le sauterne, ainsi que la tradi- tionm'lle tire.

Cne #éan«’e de prestidigtiatio n, par! I«* célèbre pr«>f«'#s«‘ur Ecnahcal «le J Québec, termina agréablement, cette

»irée.Mariage

Lundi «lemier. à 8 hres, Mlle A1-! bertirx» Cloutier unissait «a destinée] à «‘elle de M. Kortunat Bouffard.

M. Frs Ass«*lin servait «le témoin ft son le v. u. tandis que Mlle Cloutier était accompagnée de son père.

I n beau nrognimm** «1«‘ chaut fut rendu sous la direction de Mlle Cé- cile Théberge. organiste.

Nos meilleurs vœux.Notes sociales

M. Odilon Mercier, instructeur avicole, .-st «le pas sag*» à Montmagny «b-puis U» «•omimneement d«» la s*»- maine «lerniên*. Il fait la visite des membres de l'Association Avicole «le notre ville et «1«‘# environs.

M Narcisse Savoie, «le Québec, député «le district, est venu, dimanche x«>ir. ft Montmagny, procéder à l’installation «les nouveaux officier#«lu Conseil I»cal no 2f>34 des Chevaliers de Colomb

M J.-Alphonse Boissinotte, gérant de la compagnie d'assurance Frontenac contre l’incendie, de Québec. était de passage en notre ville, mar«li, dans 1 intérêt «le cette compagne?.

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“Tout lt» monde admire m«»s eh©1 veux, maintenant que je les arrangé i ft la mode nouvelle utilisée par près* i que toute* les jeun**s filles réellemen1

* légani* .s «jiie. j*- connais”, dit Mil** Agnes Traney. populaire danseu.#*?

: qui figure üctuellement «lans la s«*n- saiKui «!♦• Broadvvmy, "Hio Kita”.

] “Me# cheveux n’ont pas besoin de 1 shampooing plus d’une f«us par mois,

le me sens le cuir chevelu mieux que jamais. Je m© suis débarrassée «le toute# mer pellicules. J’ai l«>s che-

] v eux bien plus facil«?s à coiffer, et ils rest«-nt coiffés. Tous ce que je fai#

] pour c« ia «•'«•st «le mettre quelques gouttes de Danderino sur ma brosse toutes les fois que je m’en sers. Il

; est merveilleux «le voir comment la i Dandenne rehausse la beauté des j cheveux, les fait paraître si soyeux' ; «-t m lustrés.”

Iî Danderine n'est pas 1iuileu.se. j , Elle enlève la couche d’huile de : , < haqu** mèche «le cheveux et elle leur rend leur couleur et leur lustre na- !

I turelf. Elle dissout les pel lieu ha#, j I nettoie et renforcit le cuir chevelu.: I Elle est délicieusement parfumée.

■ !>*# gr«'Ssos bout«*ilU*s se vendent juste doc. «ians toutes les pharma-

! vies. 11 suffit «le ces quelques soin# i i |*our avoir «les beaux <*h©veux doux] et souple# et un cuir chevelu plein

! de santé.

-

Quand vous entendez cette plainte, faites usage de la crème de

miel et d’amande Hind#. Elle adoucit rapidement la |>eau gercée elh* radoucit les joint un s écorchées, les gemmx rougis. les figures échauffées. C’est ce que la crème Hinds a toujours fait. Mais savez-vous que la crème Hinds prévient aussi les gervures ?Vos enfants n'auront pa# du tout une peau gercée

si vous faites t«>ut simplement ceci : chaque fois qu’ils se lavent, faites-les m* masser légèrement la peau avec «le la crème Hinds. I*eur peau délicate sera al«»rs protégée. La crème Hinds la eon««Tvera douce, souph-, soyeuse. La crème Hinds est en vente partout.

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P<-

nr "’liiüiiPfîiflIIÜWillli]!!

j o«»ocFeuilleton du “Soleil’

% LA CORVEE 1ROMAN HISTORIQUE ^

Par JEAN FERON

o€zôcsr»o<ss»«r>o oc»oNo ftMaintenant !«•© femmes faisaient

1» ir* «•ommentair*»# en attendant «le savoir qui étaiout «*•«# jeune* fill**#, d’nfi elle# venaient «*t oh elb*# allaient L#» enfants reganiaietit la scène *1«* grandi _\e* x étonnés et curieux et leor# petite» phy**)onoDu«-# #•• modelaient sur «Nslle <)© leur# mère# Sur feu# l**s \ nag**# on li#an la pitté Ui femoir# ma*©»N*« aut*»ur He# deux in- '*onn'ie# étaient ai émue# qu’elle# ou- bliaient d'interrogtT la jeun© tille qui pleurait.

('’était une brunette, et f.»rt loîie,dent on apercev-ait le frais visur»* •ou# un g: and chapeau de paille jauno enrubanné He n*uga. CetteJeun© Alla devan avoir vingt an#

L’autre, la Monde, qui demeurait #ranoii>©, était n««n moins jolie. maP

Sr*' la pAÎ»*ur ex<i-*si\e «î#* *«•# traiu éücat* Et «le t# U* plus déheat*- aus-i. plus frêle, plu* mince, elle

avait un air plus jeune Aussi ne Dou\'ait-on pa# lui donn«r plus «l*- oix-sept ans Mai# la similitude d© trail# de oes deux je«jnes fille#, leur# vêtements bien tiques, rar Unîtes deux portaient ehaj«s*au «le nadle jaune, coraagv» de toik* bleue, jupon d*ét*»ff© brune et soulier# «le cuir n«>ir. le# faisaient de suite rer4»n- naj re pour ie« «ieux e»Hini. On «îe- vinait aussi Unir eoAdiUon par U pauvreté «ie'i vêtement#, bien que,

' e#*s deux jeune# fille# fussent en«li- manchée#. et Fou p«>uvait «lin* hv*n*HKKurafu'e qu * 11««« arrivaient de h» ranifkegne T<»utef«»is. la imuvreti^ «le la tins»* n’exuluait point la grà**»* ••t. «n outre, on admirait la im*pret♦• «le l**«:r linge îs« ulem«*nt, «m ^ éton- nait que œ# jeurus filles «1«* la cam- l*agn»< flUes «le pa\^.*n Kan# «louî«*

eussent *l«'i mains ur*. beaucoup «le jeune# fill**# de la «ampagne prenaient un très gram! Kom «le leurs mains, soit en faisant la I** «t*»gne quotidi«*nre «le la maison, •>' it sux travaux «{«*# «•hauips où ell«*i alla lent tokmiiers donner un coup «l«» mains aux tKimnie# A la saison «le# nmii^ n** l>ans ce d««nuer «'Hc ell«*# avaient #«*in d© gant«*r leur# j«>lns« mains, et ave»* rai«w»n, «le coton, «le toile ou «le cuir léger

Pour revenir à !«*tre hist«»ir«*. l«i femm**sdu faubourg ia>isé<1aient don© quelqu»»# re!i#«Mgnefm*iU# na«l m n- tair©# sur c«*s étrang«'r«i avant «pi© «l’avoir p«»s«*r la moimire questi< n en effet, on savait que c’étaient le# deux MPur#. qu’elle# é»aient fille# d© pa- #an ©t nue l’une d’elle** s’appelait Clémence Mais ce n’était pa* suffi- - saut |«our satisfatn* la cun«*site générale Al«*r#. un#* fenim«* parvint A «fouler la gc'*»#© émotion qui l’étouf-

fait ©t A d« niatxler A la jeune fille brune qui pleurait à genoux près d©

i rautreMan «Fou venez-vous donc, la

Icnioiscllu ?D«' bien loin. madam«k, réj*on«lit

,la brutu* j« un» fille en h vant un v i- >age tout mouille «1«* larmes. N«*u# venons de St-Augustin, ajouta-t-* !le. N"ii> av«»n•* l.i n«*tr«* d<u:i « n* N«»trc pèn* « ««t ft la Corv«V depuis plu# d'un mois. Quand il est parti, tua sieur et moi detii«>urAln«K seule# a\«H* U*>tre mère Tout >'e**i a.-su/. bienpa#ié jusqu'à <•♦•# derni«*r# jours nais «h puis notre lie r» « M bi«n ma- 1k«1«* ei ne «« *•»♦> «Lapja 1er notre père tant ell«* craint <h« imiurir avant «le 1«* r«*\«‘ir. C«* matin, «b* bonne heurenous avons «•««ntl»' n«>tre pauvre mère » la ganle d'une viusine « t nous nous M*rniM« s niiK**# en route fv«ur venir chercher n«»;re j*«"r. Vous voy«z. non# arrivons T«»ut ft <*oup ma |*au v n- >«eur a sucH*oml>é A la chaleur et à la tatigu»

Mai# . »• n «‘st i*a* mort*-, voir»* N«*ur ' lit la femme en se penchant.

J»' sais bien, madame, qu’elle n'est pas morte ; mais elle jtour- rait mourir '

C«uiim«-nt s'apt#*lle votre itère’Dans l<> tvavs nos gen# rapf»©!-

!ent t«mj<»urs le |aftr© Brunei. G c*tn- naisses-vous. iua«lam© ’

Dan# r«cil humide et n«*ir d«* la jeun»* fille on aurait pu voir glisser un rayon dVspnir Oh ’ «tuelle joie, «i I on c«*nnaissîiit s<«n jtère ©t si <tn lui «lisait où elle pourrait le trouver

Non. fit la femm*« «n branlant la u't»-. j© n© connais jui- Mais «»e #«»»r je demand«*nu A mon vieux, il «Ninnait tout le m<«n<1e, lui.

L» lueur «r»s(mtr «ntrevue dans les d«*ux yeux murs de la jeun** fille séleigint du c«>up, puis sa tète ne pencha lourdement. S«» n mettant A pleurer et Msrsmant « nc<>rv *a #a*ur elle a^tsda plu# désespérément

—-Clémence. ma t'iémenee !\jk #.xAnc était poignante. Plu

sieurs femme# pleuraient «lans un eoin àe leur tablier l>«*s enfant# au##i laissaient couler «î«xs larmes ©q voyant c©U#a d© leurs nu1***#. Quelqu«*e-un# «le

ces P«*tit.#, commo s'ils m» fussent vus menacer d'un danger. étreignaient »v«s* force le mpon «1© la mèr© «*t «1»»- mandai* nt «{'une voix tremblante d'angoisa© :

Pounpioi phuires-tu, maman *< '«»p©n«1ant une de ce» brave# bun

nies suggéraN on avait du vinaigreOu d© l’eau fraîche, émit un© au-

tr«-Moi, j«- cours chercher «lu v maigre, |

j© pencha qu’il m «»n rente un fond de cruche.

C»* «lisant, un«* j«'un«» femme, légère et gracieuse. #«* mit A courir ver# sa maison proche.

(Vl»endant «l«*s femmes, apitoyée# «ur 1«' s*»rt de «h«# deux jeunes filles, s intern-geamnt

t A «n naissez-vous va. vous, le j>ère Brunei T

t)n faisait «les ««fforts «le mémoire, on « hfn hait vain©m««nt

N«»n. on u© i*onnaisMait pas ce p*''!-© Brun«4.

11.v aurait peut-être un moyen de savoir, émit une jeune fille, en allant int©rn*ger les g©n# «io la caserne.

Tien# ! c’c«#t vrai, approuva une autre.

Et «iui sait, fit enc*>r«» un<» autre, si «•«• |*.^n« Brunei ne travaillerait pas à la br»s h© ’

Oui, tout <s*la était bien possible.Oh ! la honteuse «•on»''© ! s’écria

une gramh* et sèche femme.Et ©11»’ fit un geste «b» colère vers la

liaute-vtUe IA où régnaient !«*# auteur# «le c«*tte affreuse ©aianuté

Oh !1 «yruo a une psuvn* v »ei; haillon#.

I n fl«»t d imjvréi'ations s’éleva ver# h* ciel. Mais aussitôt un en de j«»i© calma le# colèn** grondâmes. .

-Oh ’ ma t démène#'.,.Le silence #© fit et toutes le# tête»

s© jonchèrent . \ji ïeune fill© évanoui© venait d'ouvrir los veux en |»n>- luxivant avec juie .

Manette ...I##» d#*ux «oaur# sV<mbra#*èrx'nt lon-

gmvnient. Mais C'Iémence ajxvrvut

oui, qu« 11© plai»- pour !«• t»av s!ill© vêtue de

tout A coup o«»s femme# étrang*ftr«*i. ©t sa pfth'ur aussitftt fit place ft une vive rougeur. Elle parut confus© »l© su voir ainsi étendue sur 1© bord du chemin. Elle voulut s© lever, elle «*n fut incapable. Mais déjà sa soeur, Manette, «»t une femme I'auiaient ft #«* mettre debout. Chancelant©, la malade regarda avec surprise toutes c**i têt©# inconnues qui se (mâchaient avec curiosité vers ©lie.

—Où sommes-nous donc, Mariette? interrogea t-ella.

Nous sommes rendu©# A la ville’ (démence. Mai# dis-moi si tu ©s mieux ?

—Oui, un peu..,—-Mesdemoiselles, dit alors une «l«w

f©mni«!vs. #i vous voulez venir dans ma maison vous #*«r©7. l«* bien\ ©nu©#. Je vous conseillerai# d© vous reposer jusqu’au soir IVut-être qu© mon man, qui est bat©li©r. quand il reviendra. iH»urra vous renseigner sur votre pèr««. v enez... on est pauvres, mais on a lu

, coeur sur la main.l>e# «leux j©un«*s fille# jvarurent hé- |

sitcr. Il leur répugnait d être à char- • g© A de oeuvre# gens.

A ce moment une belle voiture, i tiré** par deux #up«*rbe# chevaux n«»irt n>ulai t d«»ucement sur le pavé raboteux de la rue. C’était un© berline

| et dedans «leux dame# se prélassaient ' «ur le# sièges nchement capitonné# j l n cocher ©n livrée rouge conduise t ! l'attelage

A ta vue «le ce rassemblement, ’ l’une des deux «lam«»# fit arrêter la

! voiture. Puis ©Ile ouvrit la portière et ais rût «le suite !©« deux leunes filles qui se tenaient enlacées Eli© remarqua la pAieur ©x<'©s*iv© «le r une «{'elles et lut sur le visage de l'autre l’angoisse Dan# un français qui résonnait ave© un f«*rt accent étranger

! ©Ile demanda A un© femme près «le là :

—Qui sont ces jeunes filles ?—Ah î madame, répondit la fem

me canadienne, sans pouvoir réprimer de nouvelle# larmes, ce sont «eux pauvres petite* sieurs qui arrivent de la campagne et qui cher-

Elles cherchent l«*ur père ! fit la dam© a\ «*e surpris»*.

Oui, il paraîtrait qu’il ©st ft la corvée. Or, voyez-vous, madame leur pauvre mère est re<t«V là-bas toute seule et bien niala«le.

Et c«'« pauvre# «niants viennent chercher leur |>èr© ? reprit la dame üm*© un a<*« « nt de irramle pitié.

Oui, madame, (’ar leur mère ne voudrait pas mourir sans av«>ir revu son mari. Comprenez-vou s. rna<lam©.

Je vous comprends qu© trop, (’"est Ift u^»* bien trist«* histoire.

Aussififtt cette dame, qui était «*n- core jeun** et jolie, se tourna vers sa compagne qui. «'lie, était une «lame de bon air aussi, niai-; aux cheveux «léjà grisonnants. Par la similitude «les traits «m pouvait n •connaître dans «‘««k d»*ux dam«*s la mère et la fille, ( « lle-i i prononça qu« lqu«»s paroles «n anglais L’autn* fit un signe affirmatif «le la tête et murmura awe un #c«*«‘nt de commisération

Poor girl# !Alors la jeune dame descendit de

sa voiture et marcha jusqu’aux «leux jeune# tille- qui la ivgar«lai«*nt venir avec d’yeux étonnés. Elle avait ft ses lèv rt# un aonrin bk nvx i liant, nt tout le monde s’é<*artait re*peetueu-! sement sur son passag. . n*gar«lant av«*<* a<lmirati«»n «a magnifique roi*© «le soie bleue et aspirant les délicieux parfum# qui s’exhalaient de sa

1 personne.Lorsque celUwû fut arrivée pr»'*#

de# d«'ux j«*un# filles, elle demanda d’une voix <b*u<v et agréable :

On me dit que voua venez cher** cher votre père, me**em<»iselle# ?

—Oui, maslame. répomiit en rougissant la brune Manette

—Avez-vous dans la ville des parents, des amis

—Héla# ! non, madame. Nous n’a» « I vons aucun parent ©t ne nous connaissons nul ami. Il n’y a que notre père que nous ne «avons pa# où trouver.

r'«*st bien pitoyable, murmura la dame Inglaise. Néanmoins, si vou# voulez avoir confian 'e en moi, je

pourrai vous aider «lan* v«»« r«»eher- ches. Et puisque v'ous ne savez «>ù aller, montez «ians ma voiture, je vous donnerai Hiospituvlit. « «lans ma maison, et, demain, mon m iri cherchera votre père.

Les deux jeunes filles s'entr«*-r«‘- gar«lèrc*nt comme pour se «Minsultfr, « t «l«* nou\«*au elle# parurent hésiter Mariette rougissait, et Clémence chancelait encore dans la faiblesse qui l’oppressait.

Une «le# femme# leur donna ce • conseil

—Ma foi, mesdemoiaell©#. ça ne siérait pas «le r««fus si j’étais ft votre plae«> Si ces dame# ne sont pas des canadiennes, elles n’ont pas l’air «l'avoir moins bon «Heur. Et puis le mari de e«*tte jeune dame doit être influent, il saura vous trouver votre l»ère, lui.

La «lame anglaise ««Mint et dit:En vérité, brave femme, vous

parlez avec un grarnl bon sens.Puis elle ajouta en reg&niant

Manet to ;-Venez, Mademoiselle... Votre

nom ?Mariette, Madame.

—Manette ?... Un joli nom. Et votre s«»ur ?

—démence. Madame.—Encore un joli nom. Voyons,

je vou# prends sou# ma protection.

Voyez que votre pause soutient presque

ie onte f«>is

Vite, venez... vre saur ne plus.

Ce disant, l’excellente un bras «le déno nce, et, cette rois, les d«*ux jeunes tilles suivinnt d«>ei- lement jusqu’à la voiture dans laquelle el!«*s s'assirent sur le siège faisant fa«,«* aux deux dames. La jeune dame anglaise salua d'une inclination de tête et d’un sourire gracieux les femmes «le la nie. puis la voit un* roula jusqu'au gratiil chemin et. de là, vers la haute-ville

Au bout «l’une demi-heure la voiture entra dans une rue où l’on voyait d«* 1h-11«‘s maisons entouré**# de jardins ombreux. Les deux jeunes filles r#»gardaient avec a<lmira- tion ces beautés qui leur étai«»ni inconnues, <'ar jamais elles n’étai« iit venue# dans la cité. Iâ voiture s’arrêta devant l’une «Je <*«•# belles maisons, un© grande maison toute «1© l»ell«* pi«rre av'«i* jardin où croissaient les plus belU s fleurs qu’à #c m«*ment un jar«lini«r arrosait dVau fraîche. Une palissndi* entourait !«■ jardin et la mais«»n. A la vue de la voiture, le jardinier accoum’t. ouvrir une large grille que I» voiture fran-

A suiv’ru

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C'en 1© #©ul télearoor i cinq #ectlon« «ur |«* marrhé I>©^ t#lr*smne4 r^>nmv* C©l ll-<i ««* vfladmt au# Ktata-l'nu. 92 i.'». ce qui rev1©n«lrAlt à 91 n avec lo« *|n*iti au « mari» Il a quatr* l©ntille* achromaUqu©« de huit fiyrcei. fort»** »*t clair'»* s ou**©# «ur un© kvogumir «1© plu* de ir->i* pisd# Pernm de voir d© prô* k** i»*rmnn*e «ff le# oi»jn* ékiiméi d« plu aîn mill*** C 'ompter \m ftoll««. >*nye# lun«*. Circk* d© «mlvrr «pal* t’n vrai t#le*r«>p© Beaucoup de ptakârt gitnmtlnangit I—imcitf!

.uu«ant Pour la Jfl lâ f«»in©'mai» *n L — " î>© rancti l>©

camp' 1© V (»>#«*! (HyN! MANDEZ Al PM KD HI T T.V B«»l s-

#OLE ORATI9* VOTRE DENNfKKK CRAN CK' Vous n'area «ni i nmj* ©avnv©r un© «’art»* pr>«tal© Vou* mu#

©oocrons le téleamp© H la tn»u«*r>l© <’ o D il .VV plui qu©fc|««« «nui

Cur le# fTai# «le pont© Ou bien ©ovnyet |l 90 avec la onmmapd© «*♦ no«i« palarnn# frai* ». R N. MANWEACTUEINO C#., DCèT SI#, èOET tVONKV, ONT.

/i

Le TIRAGE du “Soleil'*r.“J“_^:.r"campagne, celui de TOl'S le$ eut glmi» du toir et du matin *éunts.

'naue français et en- LE SOLEIL Le sentiment n'y fait rienSi peue e n nonce s dans le /eumat qui est lu, oo* marchand!»

ses se pendront.A Québec , tout le monde lit **Le SOLEIL*', il va de soi que

eous aeie» y annoncer ce que cous ace* à vendre.

V» ANNEE No 283 QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928 EDITION QUOTIDIENNE PRIX: DEUX CENTINS

* I »

I

4 *

QUATORZE ANNEES AU PENITENCIERLes deux professionnels du vol nommés [i

Côté, récemment condamnés aux | Frois-Rivières, attrapent une autre sentence.—Quatorze ans à St-Vin- cent-de-Paul.—Ils ont plaidé coupables à plusieurs accusations.

A LA MAL BAIE

VICTIME

AT 4

-U'

^Radiodiffuse par i« Soleil''Sur les or In*' du ehei' de" dét vo

ces KlOUX, les d*’t (M‘t l VfOpro\ineiau\ Adam et Uelllois conduisaient à‘La Malhaie. mardi dernier. deux indis idus TMunmés < Y>t« r»*<*eninient eondamnés à six ans de } pénitencier.

l>e ■'Soleil” avait aJiQoncé. le pre- niier. ces sA-inain* »-<*i. Farresiadon et la condarunatu»ii de eA*s deux prote*- sionnels du vol <pie U*s »U'pU*etive> f>rov mciaiix avaient réussi à coffrer aprè." un rapide travail de recherche».

Accusés d’avoir ogamsc ie \<>l du bureau de |M»ste a l/uuse\i!l« . les deux (-ôtés avaient a\o e- leur cnne devant le maKi'trat I.Hcour>i* r» . Trois-Rivières. La preuve accumulée «^nlr»* eux était si forte qu'il» n< songèrent aucunement à • nier une défense.

('ondanmés à six ans de ï>éniten- cier, les deux individus furent conduits, mardi dernier, à La Malbaic. où il» comparurent devant le magistrat Fi set et dû rent ré|>ondre à |»lusieurs accusation» vols. 1 ( '011-ronne était reprc-'cntée. en cette affair**, par Mtre Antonio (iervais.

lies lieux prévenus plaidèrent d'a- l>ord coupable» à Faccusation «le s'être évadés de la prison «le I-a Mal-

baie »>ù ils ava; n* été internés. 4>iii' ils avouèrent avoir été h s aut«*urs «le quatre vols eotnmis <lans des magasins « t r«-si«len<5es «l«'•> environs «!«• !^« Malbaic

Plusieurs autres a«-cur.ati«ms «1**- \:iient être |;-*rtée" contre ces deux voleurs. Kn effet, au cours «lu mois <!•• juillet, pince urs magasins, maison» privées et êditiees publics avaient r»vu la vi-itc «l«*s voleurs dans la région «le La Malbaie Depuis St- .loasdiim jusqu’ i Pointe-à-Pi«*. nombre ix ét!.i«‘nt le- citoyens qui • ur«rU à c >ns»tatt la disparition d objets de toutes s >rtcs.

lie-- deux ( ôt. > ont a«lmb avoir «'te les auteurs «le la plupart «le ces vol.» et la magistrat Fiset, apres leur avoir lait une sévère et juste admonition. les condamna à huit années de pénit4*\icier

D*» deux condamné» devront faire cas huit année» à la suite des «ix an» auxquels ils ont été condamné,-* par h* magistrat Lacoursière. Ils auront d«nM* 1** temps <1«» réfléchir sur la gravité de» fautes qu'ils ont commises contre la so<*iété.

11 faut féliciter nos dét«*ctives provinciaux <l«> ce beau coup «le filet qui débarrasse, pour un temps, la sociêié d«* «leux criminel» dangereux.

4 LA SORBOSNE

L’EVOLUTION POLITIQUE DU CANADA (1763-1867)

La Confédération (1867). voirs. Les minorités, tier

Division des Macdonald et

pou-Car-

UNE FETE AU NOTAIRE JOSEPH SIROISANNIVERSAIRE j

la huitième eonfé- Kodolphe L<*mieux.

( hatnbn d* . ( *om- uj«»urd’hui même :

qui | r.-eipitu l’av etu>m«*nt d«' nf«'di ra*hui. outr*- la question

R FSU M Frence «!*• l’hoti président «le In mun*

•( ’

la (

doîim

Le pompier FMI LF. LFLIFVRF. du poste No 3, qui a succombé hier, aux blessures reçues au cours d'une collision, mercredi soir.

de repr "-ntation. ont <1* " considérât ni - commercial s e* militairi" J’ai rr (Mmté ailleurs le triomphe «lu

, libre-* « hange en Angh t« rre et sa ré- : p< r«*ii"i. n au ('anad.>, «iui perdit h* ! 1 »én«fiee du tarit «b fa\»ur dont j jouissaient 1**» coloria -- sur h marché anglais.

bn 1H47. U* tam canadien mit j sur le même pi* «l tout* » 1*-» mnr- '■hamiis* miis.r’*." nu j.avSursaut dan» la «*ité. Comment ' le ( anmla

i!ax«Tnit ! - procLii*- manufacturés en M îrrn«l«*-Bretagiie. riions donc !

Krrl (îre\. sA-crétair* colonial de islb :i 1 H.»J. » i; il ind u de Title* qu’il ne pouvait ni ne devait y avoir «pTun- -*ui!' politique commerciah' (lari' TFnijiir* .

■ Fn IvV.h sir V -T. <ialt inaugure un tarif plu» é!*-\é -ur l«*s produit»

VENTES DES COQUELICOTS

ET COURONNESLa vente de cette année

a rapporté la jolie somme de $4,384 Le rapport

D* public «le Québec a une toi» de plus témoigné hautement sa générosité. à l'occasion «le la vont** «le- coqueli<*«>t8 et de» <*our«nine.s, !*• Il novembre dernier, jour «le rarmistic«'. alors que la magnilique somme de $4.3H4 ffl a été recueillie. T«d est l«‘ raj>i>«*rt «le la trésorière honoraire «lu «-omit-- «l’organisation, matiemoiselle Joséphine Marois.

Nous somme» heureux «1*» publier le rapport complet do rna<lornoise!!« Marois. qui donne le résultat détaillé de eette vente de coquelicots et «le couronna, et le» noms «l**s diverses * ouvre- A. qui Ton a «lonné l’argent recueilli.Vente coquelicotH 'lin* I.i par

tie haute «le U Ville, le «juartler lo* *hn«s <t« cheniins fer.

Ta (’rolx K«*u«e prCstdcnte

Visite dugouverneur

\jp contrêdeur «le la maison du Gouverneur Général sur la I Uet h- LM toi H WI.ow, a transmis aux journaux le communiqué suivant .

"Son Excellence la Vicom- tesse \\ illington . accompagnée par le <. itrôlcur.de la maison est arrivée à la Citadelle où «•lb* fera un séjour privé, dans le but de v«>ir aux derniers préparatif» de cette résidence.

“Son Excellence le Gouverneur Général arrivera vers le milieu du mois à la Citadelle où il passera la fête d** \<iel a\w* la Vmomtosso Willing«lon.

”D*ur» Excellences défirent que oette visite s«*it considérée comim* privée et «‘spèrent être à Québec et habiter orticùdle- ment leur nouv»*lle ré»i«lence à bonne heure . Tété prochain.

par\ll!«* ( fihaut et 1 A-s'M'iation «le

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fille* «1«* I KmplreSt-ftoch :

M Jean Thomas prCaiùcnt rte la Française «le liicnfai-aance 4 201 13

I.e <’h teau Kronfrnar et .e clnh de ta «îarnison. Mu e J. »har- plea. ,, *

i e* K«*o!e* anglais VI me '•«•well f.a Citadelle col et Mme Ar-

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S4.3M !>»Cté diatribe*' aux «euvreI ament

<*«iiv ante-*\ux Mihlaf- Invalida* pr»ur «'•*

quolh’tu* et cnuronneM flv Jt« rtls R«.uk« t ranche de Rlm«*«i-*-

kikén« Miamil/>-i.*n < .«vadb’tvs, h ( \ incvnt-d'--Paul« rnis l<*•^la•, OranclH- «le QihMmv-,m FratM al** «h* Rienfai-aiu**

Grand total

30*» O- lê tst

0.33 •»'. «33 " • «Î33 tM 03.3 V4

SI 3K4 01

NOMINATIONSRELIGIEUSES

Par de< i-.<>n d* s,i Grandt iir Mgr Alphonsndtsia» Gagnon. évtVpi** «b- ShcrbrooR. I'*v nominaü(»n» suivante* ont été faite' dan- k dimu—•

M Taltbé EdmontJ Tarent vicaire k Wotton. '«n va «»«*up*r l« p.-!»* «k vicaire -Rnniàin «h* \N malna

M Tabbé Manruas ^t nommé \i caim à VN otloti

M. Tabbé Toungnv « n r*‘t*«*> «I»- pui* quelque temps va o»-euner la cure «]e Stc-Marguerite de Magog durant la grav* maladie de M ! abUFraser.

COMPETENCE DE L’INSTITUTRICE

Important jugement de Thon, juge en chef dans une cause de St- Anselme

En rendant jugement, hier, en faveur d'une jeune institutrice de la paroisse de M-Anselnu* Dorchester'. Thon, juge « n «dief de la Cour Supérieure. ir Frnm/ois Lemieux, lin a donné I*1 ce-tifical «h* compétence le plu» complet que puisse espérer une jeune maîtres'*- d'école qui consacre son temps à iYMucation primais d*-» ♦•nfan1 «le* braves cultivateur» «h- no» campagne». demanderes.-eavait réc!an*é d* » dommage» de Tun d.* m*s concito>«*n» qui. par un rapport acrimonieu dre»»*'* aux comniis- sair* » d’écoles, avait incité « eux-ei à j ne pa» réengager l'institutric) pour une a\itr«‘ annee.

Apr*’» avoir considéré la faite à l'enquête, dr François ce qui suit quant à la capacité de la «ictnanlerc 'C. Mlle Felt eau. d'enseigner.

I<a deman«l'r sv*». Agée «le Jd an», dit-il, est d'une eompéteru* remarquable connno institutric*- l^'s visiteur» «l’éco!**'. le» inspecteurs d'écoles. !*• curé «le la paroisse et d’autre» ont donné une liste de certi- tb-at» tkombr«*ux «»t d«‘» plus flatteur» attestant que la tenu** «le son école état parfaite «t que le» enfant» y faisaient «1 » progrr» »<>nsibles et r**- marquahle». Il n’v a que le défendeur qui a douté de sa compétence

Disf>o»an* d*' griefs énumérés dan» !.i h;tr«‘ é«rii«* aux co mini sua ire* par Tépoii'*' «lu déf nd. ur. le président du tribunal loin d’être convaincu qu* la «1» rnand» re."e négligeait »c» enfant- -( ilignc au contraire l’intérêt qw « • f»oriait '«•' élève- et la ran m t ■ « n t « *u «bru clic laisait preuve \ leur . gmrd en prenant sur **on maigr» sala inqui n est pas même celui d’un* servant» -an- cultur»* int«>llec- tuell* ”. pour acheter des <*aoeaii\ quelle «listribliait. l>e savant juge r»»jette également les accusation» «h manv ai' traitements niée» par tou* les écoliers, autn*' que I**» enfant* du défendeur.

I>* refus «les commissaires de réengager la demanderess**. conclut le jugement, «■•t motivé par la lettr« de Tépousc «lu défendeur et si eette lettre contenait des accusation* tnali- cieuse*. diffamât ««ires et bbelleuse», le défendeur doit être tenu r»*s|4«»n- -ablc «b » dommages qui <*nt résulté «le la j'erîe du salaire pendant un an comme «le l'humiliation et «b** p*ù- nes dèsprit 11 faut une accunation grave et des reproches sérieux pour que le* commissaire' qui sont de* gens de >K*r* ‘■•■n*. aient perdu con- hance en le demander«**He Dr. les accusât ton» actuelles étaient basé***

ASSEMBLEE IMPORTANTE AU FAUBOURG

Le Maire Auger discute avec des citoyens les projets du refererdum Objections et répliques

GENEST PRESIDE

Lu bon nombre «b* contribuable* du quartier St~J can-Baptiste Jetaient réuni*, hier .*oir, a la salle Berthelot afln d’entendn* le* « xpb cation* «b» Son H(»nneur !«* Main sur les item du reîYrendu.n *‘t «!*•voir le» plan* de* améliorations «pTil m* propos** de tain* aux conditùUi- 83't u elle.' du tralic. En plu* «h - deux échevin* du quartier. M. 1* Dr I\-iL Hédard et M. Arthur Boulin, MM. !«•* ♦•chevins Frank Dinan. Albert Bouchard et E.-A Tremblav étalon t aii"i pré «ut-. M F.-K. (»ene*t, prési«lent de la Ligue «les ( iioyeti» «le St-Jean- Bapti.*te, pré*i«la la réunion

I>e fait *aillant de la soirée fut une discission qui s’éleva entn» M. le Maire et M Edouard BicI r. «le la maison Larue. Trudel et lâcher, au 'inet du coût estimé «b* travaux d’élargissement de la rue des Fossé*. M. Ficher tnmvait que le prix «b* $771.0(10 hxé par I»' ingénieur» parai.*>ait trop |hmi ♦ *»- vé et il donna les rai'on' de son opinion. M. Ficher loua fort Tini- tiative «h* M 1«* maire Auger et. à la tin «b* T assemblée, proposa un vote de remerciements en sa fa-

qui fut accepté par Ta*-j avec enthousiasme.

veur. <■ sistanc*

Suite a la page 12, 2 colonne

Garde Montcalm1,/cs membres «le la ( iarde

Montcalm sont prié' «!»• *e réunir à leur» quartiers généraux, dimanche. le 0 décembre, h s heures à l'occasion de 1h communion générale annuelle. Far ordre du Commandant

LES VOYAGEURSl m* tradition s’introduira, diman

che avant-midi, dans le Cercle «!«•* Ynvagetirs «h* ('«*miner« * sdoi - qu ils assisteront à un«* un »*«• «l'action «b* grâce* en Tégh-e «b- St-D«*niiiii(|U«

Ih'inain apr*—midi, jour «h Tlm- maculée-( onception. aura lieu une séance à « leux heure' et demie, dan* les salles du Cercle 2M Nt-Jean. Gn prie tous les voyageur» «b» coruim r *e «b* bien vouloir *'v rendre

A LA BASILIQUEDemain, jour de l’Immacub“-Con

ception. Son Einim nce le Cardinal Ha>mond-Aian* Bouleau. O. F ar- c.hevtVpie de Québ*»1, officiera p«*nti- ficalement â la grand’mcsso à la Basilique jour «!*• la fête patronale «b» la paroi**e d*> Notn'-Dame-d*»-Quélu*c.

!>• midi. Son Einin**nc(- -em Th«Me de* goiiv*>rneur» «b* TL'niversité lâval à un «bner qui est toujours donné le jour de Tlmniaeub'«-Conc*‘pti«m

Dan* Taprès-midi. Son Ernirience présidera à la bériédu*tion du nouv«>aii couvent «b * B B SS. de Tlmniaculée- Con«»'j*tion. chemin st-Loui» b» -«►ir. il officiera fsuitifi* alement aux Yêpr«** en la Ba'ilupie

ADORATIOND - mrtnbre» «le 1» Ligue I niver-

selle du < hn*t-Boi *«*nt ;*ri« * d'a*- ju«t»r à l’Heure Mensuelb- d'A«loration Béparat«*ir« «pii aura lieu au monastèp* <1« » KB FF \**«)m|>- tionniste* â Berg»rvill«' le Q «lé- ceml*re a 4 heure* «le Taprè*-midi.

Que tou» le* membre» fb- cette pieuse union *« fa*»«nt un d**v«>ir d'êté** pr»'***Tit» « n ati**i grand n«*ni- bre que |io»s!ble.

sur de* racontar* d’enfants et (■- taient frivole», pour ne pa,' dire davantage’

L’action «*»t **on»***|uctnment mam- tenu«‘ pour *?.V) et le- dépens. Me Noël ftelleau. c U état U procureur de la demander*"*

•turé' L’industrie anglais** I T«*r« illc L* * coutelier», 1**»

• r* «b* Sheftield proG'stcnt d j duc de Newcaatle, qui i leur- «loléam » au g uiv*t- du Cana<ia. Galt, trè* cou- nent. attirme b* droit «lu par- il«‘ tixer droits de la façon paraîtra la meilleure, au ris- •. n désapprouvé par h' rai- im péri al D* gouvernement

ir«-- ne i*ontribu«* en rien, dit- : ; Iministration intérieure du

langage très ferme fui com-1 niais de nouvelle* difficultés j

t. lorsque Galt voulut nouer itions eommercirles avec Té-

notatntiient avec la France là envahir un domaine que con'idérait comme *ien par

<••• (îalt contourna la diffi- a> ant r« «*our* aux bons ofti- cui.'ul «le Eranco à Terr«‘- Bref, T Angleterre, devenue j

i « la page 9, 3ère colonne)

Les amis et confrères de ce distingué président de la Chambre des Notaires célèbrent deux anniversaires.--- Beau témoignage d’estime et de

considération.

S. LX. L’HON. M. PERODEAU1 n anniversaire comro** il sen

rencontre ran-men t. a été fêté d’une man 'ère inoubliable hier soir, alors que le Lieutenant-Gouverneur de la pr«*- vinc TCn

; les ru 1 réuni* I magn I d-A.I bre «1

de Québ«<c. le \ i«M-B«M*teur de «♦rsité Ijival et b*» inembr*** i.» illustr*" «le la société se sont

pour tain* une démonstration îique a monsieur lo notaire siroi». président de la ('ham- ' Notaire*

M le notaire JOSEPH SIROIS fut, hier soir, l'objet d'une belle manifeittation de la part de ne* amis et confrères.

NOUVELLE ENTREVUE DU MAIRE SOUPER DES SUR LE PROJET DE L’EMPRUNT CHEVALIERS

DE COLOMBH. le maire Auger parle des pavages et des trottoirs Les travaux de drainage et d’aqueduc Le télégraphe d’alarme

UN COMMUNIQUE

néentrcviics don-'grand

parla suite «le- «leux * ces jours-ci aux journalist

Son Honneur b* maux* J.-O car Auger, qui * \p«*sait aux contribuables U** c«>nséquence» de leur approbation du repTeitdum au point d«* vue «!•• la taxe le premit r magistrat «b* la cité nous’ donnait hier soir le communiqué suivant où sont exposées les conditions «lu trafic dan* notre ville et où l«*s per*- pectiv«** d’un tourisme encore plu* considérable sont mises en relief. On* sait que b* tourisme e*t p«>ur une fort*' partie des citoyens d«* Quélvee. une source de revenus considérable» qui, n «‘11** est cultivée, compensera largement le* sacrifices qu** demand*' le n-giement 118 du prochain referendum.

Comme on 1** verra, ce communiqué donne des explicati«>ns concernant les pavage» et les trottoirs, 1*»* travaux d aqueduc et de drainag** « t les amé-

: ln»ration» au système du télégraphe «l'alarme. Lundi, nous donnenms des détails sur THbpital <'iviqu** **t Tann* xe «pTon veut construire h ThA- tel de vill**, ainsi que sur le |M>nt nouveau qu'on veut construir** sur la n- vière S*-( harle- ( V* deux règlements «*n h* sait, ne seront soumis à l’approbation des contribuables qu'à partir de mercredi prochain

“lies pavages et les trottoirs j>er- manents, dit h* maire, sont des amélioration* inhérentes au progrès «h-

les an', tent ti de nouv*' pr*H éd* r toute jus aetu**l» «p de pay*t quand la rera • donnons part, en locaux • t térêt '< n an**e «pi*- blée

“N«*tr** d** draitu êtn* a lai A m* -ur* et que »A'*rig«*nt d tion*. «les -**r\i«**

en lai* nous I* Quand

ns. tous jm rmet- il s'agit

il nous faut mprunt*. • n contribuable»

‘re

llles. tloU» uivant «pie ressource*, aux pavages, par voie «1

tice pour les n ne doivent pas être tenus

«•es <ié|>ensc» « ti entier, génération qui suivra en tintent «les a . antagef N «»u»

;« cha4)u«* «tuartier *a quote t< nant compte «b s b*‘Soin*

en envisageant aussi Tin- éral de la ville. J’ai confiée règlement passera d'« m-

aqueduc «t n«*tr« système ;«• «loivent née* .sairement és aux bi'soin* m«*uveaux qu’augmente la js*pulatioii

nouvel!» construe sont requis iH>ur

Un premier souper canadien remporte un beau succès M. le Dr A. Langlois préside

DISCOURS

A cpt heure* hier soir, un »oup« r dit canadi«*n r* um»»ait à leur sali* les Ghovalicr* <i** (’olomb «I»* Qué* 1>*»■

Au début du repu* jusqu’à la fin. la plus franc h * gaieté régna parmi U»us 1*•* convive*, ganté qui était encore animé • par la musique entraînante d’un superbe phon<»ragraphe- ra«iio, 'fourni gracieu**im*nt par la maison Baiüargoon A. <'outure, 2**t) rue St-Jean . et la présence d'un orelie'trc forte original

(A* sou j>er était vraiment canadien. qu’on en juge plutéit par b- menu

D* puis c*«»nt an*. 1 * tuile Siroi». fondé» par M A -B. «‘siroi* grand- oncle du jubilaire, n'a ce^-é de tenir e* port* ' ouverte*.et depuis vingt-cinq

ans M ]»• notaire J -A. Siroi» ♦•\ccn«- *a profession avec un** dignité et une honnêteté «pie tou* *«* sont plu à lui reconnaît r* hier soit. M. Charles Huot «jm n perfaitcment réussi à fixer le* traits du jubilaire, a vu son tableau remis entre les main» «le «*e dernier comme U* meilleur souvenir qui pouvait lu être offert à Tocea- MOD de cette t* ’• M. Siroi» pc»s*è- de déjà les fxirîraits de son grand- onde et de non père, et ce troisième qui vient «Je lui ira rejoindre ceux qui décorent déjà '«m étude

Cette fête a pris un cachot tout par? • ulier d’intimité car elle avait revêtu la forme <1 un dîner. L’ho- n«*ral*le M Narcisse Férodeau, une de* gloires de la Chambre des Notaire». soit dit en pansant, présidait av* «-, à sa droite, l’hôte d’honneur, o?

à *a gauche, Mgr Camille Boy, F A \ oici le» nom* «le «•♦•ux qui avaient

souscrit pour c^-tte belle fête et qui pour la plupart \ assistaient.

L’hon M. L-A. Taschereau. Mgr Cainil!»* Koy, Thon, juge t -F. D *- rion. Thon, juge Albert .s<'\ iûj >I** magi*trat en ch»f F**rdinand B«»M (’vrille Tessier N. F., le <l -v«ri de la profession notariale. M. J -F. B«»ilv, N F. M. J .-B-T. Lafreni'r*N F , «l*- S«»rel, !»• «Lionel II -((«’tavo Boy N. F . M. Edmond Taschereau^ N. F M F - \ Le belle, \ F «1»' Hull, M. Camille Paquet. VF. de Montréal, ancien pré lent de a Chambre de* Notaire*. M J.-E. < h» pbau. C.B.. M Fdmond d** Sale»IATernère. N.F., «le- Eboulements, M Wilfrid Edge, C B . M l - A Met a • r, i B , M ( .arles Delagra ve, N.F. M. Edouard Biron, N F, de Montréal, M A i !:'!;*• I>abrecque, N F. M ('harles-J. F»* ;trge«»n. N. F . M l»ui* St-Iâur*>nt,, « R M. •Iule» Larue. N. F. M J -A Gagné, CH. M. J-A. LaB’te, C. A.. M Eugène Trudel. C \ . M. L-F . Tur ge»»n. M Win. LaUue. «' B . M. ! - G. Meredith, N.F . M le docteur Arthur Y allée. \î le docteur Vchilïo Baquet, M. Adjutor Amyot. M. Jo* C. Hébert. N F . M N • - Nfontreui,. N. F., M. Arthur Duval. N.P . M Charles Huot, M. G-M Giroux. N l’

une à la page 28. colon n*'

CAUSERIE DU CAPT. BERNIER

HIER A LEVISavenir du port de rive sud de Québec

la

lniemhn

n»* belle assemblée des de la Chambre

Cl*»

T« au cornuie jK>ur le drainag»'. atix- qut-ls il n«*U' faut (Kiurvoir sans r* - t.-r*l; nous n* vdudrion* pi*' paralv- '« r le dév * lopl>«*ment d** In v ille « n différant d*' services aussi indi»- pensable* L* * travaux d»* cette catégorie sot.' aussi *ic nature |x»rma nentc, dont bénéficieront ceux «pu nous su<x*ed(nt comme citoyens «le Québec; cV*t pour cette r:.. «*n qu» n*»us les faisons à même «le.* emprunt*, répartissant sur plusieurs génération» le coût de» dé|H n*«**

Suite à la page 39. 2 colonn«

u « iinaUi*-' Il luPt

T'Hirtiér*1. cr«*t«i IA e Kromap

h 1a Ptch» ’ri KiuikOi' i.

Apr* ' que les peu calmés, b»

appétits«hx'teur

leva

immaculéeConception

l*a l«‘te de TlinmacubV* Conception sera célébrée par de grandes solennité* cette année au monastère de* KH. FP. Eran- ciM-ains. rue TAlveme. Cette j«uirn«'*' *era observée comme journée missionnaire dan* l’ordre franciscain

Dès la première messe, c’est- à-dire à A heures et 17*. il > aura e.xjHisition du Très Saint- Sacn'inent ««t c<»minunion g*- nérale «l*** Tertiaire* de la T’ra- ternité du Très Saint Sacn*- ment A toutes les messe* il y aura un sermon «b» cire«m»tan- ©e.

lie soir à 7 heures et 30. salut solennel du Trè* Saint Sacrement »•! le *«*rmon »«»ra donné par le K Père Bona venture. ( ’ommissair»' d*1 Terre Sainte.

CHRONIQUEMILITAIRE

Grand Chevalier,1er.

I ne magnifique lit et les musicien.* entendre Tair de épaulette»”. Fui* meut* ayant ce*.* mença en «'es termes me Inin* Tintcrpr* te d*

lurent un Ij&ngloi»,

]M»ur par-

LEI to r un

REGIMENT■i* r

MONTMA-

GN Y

Le lieuten ant volonel W. McKay

GARDE JACQUES-CARTIERH v aura parade pour tou* b“

m*mbr» * de la gard* . lundi *"ir. »•%«•*• badines. iK»ur Hll«*r i*«i ba. ar « e >t -Fidèle Le rassemblement f«*ra «die* Jos Simard, boucher, coin 4*- avenue et IO* ru*

par *»rdr*- Ivan Turgeon.

Publiciste

Ia major William-Alphonse Mac Kay, du Kégiment «i*- Montmagnv vi**nt d’êtr** promu lieut-<*ol(»nel en rt'mplacmenent du lt-colonel Blais, tué dans un ne«'id»nt d’automobil il y a quebpie temp'

l>» lieut-<N»Ioncl \N A Ma* Ki«\est enrôlé *n 1917* dans le lie

Bataillon comme lieutenant et transient en 19P* «laii' !«• 22*• Begiiiouit pour *«*rviee au front. Il fut blessé

• St-Eloi et renvo; •• au Canada « n congé «le convab '<•« nce N «bant pas h>*«*z bien remis de *es blessuresp«»ur retourner « n Franc** il s'enrôla dan* le 27*s* • Bataillon et fut nommé a«ljiidant «le c** Bataillonqui p«»rtaii aussi le nom de C (t T. C. litival. il prit le «'ommando- nunt de ce Bataillon «n 191s Apr** ia guerre, à la réorganisation du Kégiment de Montmagny en 1921. autrefois le (île Kégiment, il fut nommé capitaine adjudant et cpiel-1 que» moi» aprè* pr«*niu ma j >r \a< nouveau It-eolon*»! W -A \iaekav appartient à une «!«• no* meilleur»*' familles de Québec et cette nomination réjouira t«*u> e* ux qui I*

•imai>sent Dan* le ci\il le!t-colonel ; MacKav a ia surveillatue d*'* intérêts des pr«*m*»t«'iir* de la nouvelle ©onqMignic IAfontainc-Baldwm Appt», sur la G rand*»-A liée, et a aussi la surveillance de In compta- bdité noue !**s con trac leur*-ing*'- tiieur» T -E Kous «‘au A Cu

I .. r» ' féljejtat'of>s au n«*uv* ni ga

lonné.CORPS CANADIEN DES SI

GNAUX.

Ce noir il n’y aura |*k- d • v« r- «ice» militaire*. c«tt«- parade étant remiae à lundi le 10 «b c* mbr*COURS D ETAT-MAJOR

Hier *eir. une conférence a *u lieu aux caacrm* Connaught, par, le niaj«*r Maurice Pot» . M C officier d’Etat-Major du «lis’rict *t !*• siijrt fut “hs’tur** «b-* «art***’’ I>» maj««r P«»pe »’e»t acquitté d*’ cett* tâche ingrat* av«»* succès et fut tr** intére»»aiit.SERVICE D'ORDONNANCE

\a rapt J.-E pelletH'r. du c*»rp* d'«»p|«»nnni»ee. es’ maintenant «n convaleerence apr»* avoir été oon- tiii* chez lui pendant quinze jour».

ivation Taccueil- impr«»v isé* fir»*nt

* Il a gagné w*» I«*> applaudisae-

Torateur com- “Je crois

vous tou»messieurs *‘n pr« '••niant mb* remerciement» à M Gmgrns. qui n bien voulu organts*»r *ouj>er «ana*lien,le premier du genre, mai* pas !♦» demi* r. j» Tesp* p1 Je vous p*mercie «le cotte «T monstration enthousiaste que vous m’avez faite. * t j« félicite tous ceux qui sont venus ce soir, tout en regrettant que quelques-uns n’aient pu se rendre à l'invitation qui leur a été faite J** veux «jue Ton comprenne «pie b».* Chevalier» de Colomb sont une famille canadienne unie par le* lien» les plu» solides, et j espère que dan* un avenir rappp-hé nous pournm* offrir quelque ch»»'** aux membre*, quelque chose «pii U»* * « r«"« rasûrement. De pin . nous joui*-oris c«» soir de la pr* '*,n«,e «le plusieurs

Suite à la page 7. 3>re colonn*

LOGEMENTSSALUBRES

La Cité reçoit le rapport financier de ces logements La situation

Ix* rappo salubre» a ministratif B. Bell* a u

-t finanei* r d* * logement» été soiimi* au comité ad- hier apr* '-midi, par M

comptable au déjvarte- < «• rapport

Taudit4 ur «l*-

m* r.......lu district de a élé tenue, hier soir, dans la sali*» de l’hôtel de ville de Lévis. «i*»us la présidence de M \’ -A. de Billy, avocat et yv'p- pp''i«lent d** la (’hambr**. vu Tab-

«lu président, M H F W.- man. L’assietanœ était très notn- lireus*' « t se comiH**Hit de citoyens «b» Dvis. Ijiuzod. Bienvill*'. St-David. St-Komuald, Br* akeyvilh», < harn et autr*»* paroisses environnant* *

< fii p»niarqu&it, près du président <!*• Ta*'*imbi*8' *|>éciale, M. le capt..1 -F. Bernier, de lié vus, le conférencier «le la soirée; le général T -L Tremblay, gérant-général et ingénieur de la Commission «lu Hâvre «b»; Québec, M J. Boutin-Bouraasa. p»- pr*'«ntant d<» la rive sud à la Commission du HâvT»'. M. le Dr J - Kticnne Dussault et M. le Dr \-Y Boy, le* deux députés du comté d*lié V 1*.

Kn ouvrant, T assemblée. M. de ; : 1. dit que M le président n a pu assister à la réunion de e«* soir • t qu’il le chargeait de présenter à tous se* excuses. M. «le Billy remercie h * citoyens de la rive sud ; d’être venu» en aussi grand nombre, il souhait** la bienvenue aux hôte* , distingué» de la ( ’hambr»» do < ’ommerce. aux «leux député» du comte: d** l/vis. c«-la prouvant qu’il» s’intéressent à Tavaw'ement et au progr* * du comté. Il r©mer»*ie M. J. Boutin-Bourassa, ancien déput** du comté do Lévi» «-t membre de la (’omini'sion du Hàvn», I© Généra! Tremblay qui vient d’étro élu pré- si«l«‘nt «b» l'Association <i«*s Fort* d'Amérique; I** capt J.-E. Hernie r qui a fait honneur à sa ville, à sa ppAvmce et à son pay» et a un** «•arrièp* remanjuablo comme explorateur et |»«>s>«*d*» l>«‘auc«»up, «b' «•«mnaissances générale-. M. d«* Billy présente à T assistance h» confé- rèneier «b* la soiré*». lo capt Bemier, «iui » bo n voulu consentir si parler de l’avenir de la rive sud du |>ort «le Quêta*’

Suite à la page 14. 1ère colonne

Au collegede Lévis

Four cause incontK>lable non» sommes oblige- «b» remettre à plu* tard la célébrâti«»n d« * fête» de- \«m «<* d ( >r «i*‘ I» ('ongr*»ga ti«»n de la Sainte Yiergc Noua avert iron s plu* tard.

J.-( ' Ferland, pire directeur de la Congr*'gati«*n.

FANFARE JACQ.-CARTIERment de construction, était de plu* signé i»ar la cité.

D’après ce rapport, au .30 novembre dernier, ’a ville avait été rem-j , ‘ tniKiur-»*' «le $480.1 Ht». 72 sur le» avau-1 Lundi «t mardi le* 10 et II dé

fait** aux constructeur» do mai cembre aura lieu dans la sali*» pa- *nli,br» ' « t .$194.MH. 17 p * roi*»iale 8t-,|o*eph une 'é-nn»’** au

Voici comm* ut sont pr«»t)t «le la fan Tare. lx» titre sera

e«»*son*talent a venir.r«i*arti* «*e* montants.

Fropriétés n appart* nant ville

t»a la

Argent jm»\*$4As tuFp» prié té' a ppari* liant

Argent pavé $4«*.Mh 02

\rg* nt «lû h 147».401 90

à la ville

Argent dû $49 |p».7»7

FELIX FG! ( 'hampagnard. porte.

TBE , ( ’art***

I»ar le cercle en vente à la

I»* trésorier » aussi *té autorisé (Mtr le comité de transférer $d7»0 au départem nt municqial d’Hygièn* pour subvenir aux besoin» «b»* mala- d* * 4>auvr»»» et acheter «les mé«iica- mciit*.

I n autr*’ rap|»**rt important eon- »idéré par Texéeutif *•-’ «h*lui avant trait à la deTnaml* d* la Bampi* < ana- «iienti*» Nat h male T*ff*t d’«»btenir un prrmi* pour agrandir **•» bureaux

LE CENTENAIRE DE SCHUBERT

Il sera célébré jeudi prochain par un grand concert au Château Frontenac que donnera la Symphonie de Québec

Jeudi de La .'♦•main** pr«»cliaiu«\ le 13. aura lieu le grand ron«*,r de la s«K iété Symphonnpn « I «.►<- casion du centenaire «b» la m«*r’ «i»< Franz Srhubert fV c«»ne*rî -• * donné au ('hAt<*au-Fronten;«‘- M. Bol*ert Tallx»!. h» distingué «iir*- • leur de la **«*oi« ?, v mphomqw a prépar* un programme qui non- •« •* goûter aux principaux «•} « i -dd* . ■ vp* d** s-hubert, comme ht -n- • pbonb* Inachevé*»”

NT Jean Knlde/ l*aryton Tftpéra. le •«.list*» de la soirée. *-ii.« fera quelques-unes d* !• plus délicieuse* mélodie* «lu célèbre cornt** - leur autnehun

Voici le programme do ce «on»**-.* "Schubert”, qui promet de tair* époqu© *lan* nos aimai*- arti*ti- ques1 Ouverture lâ Harpe eneiiau-

té«*” < Bosamond*»1^* dram© r«>mantiqu© "K**samon-

de" avait d’abord été précé«Ié par une autr*» <»uverture Vlplion**» *f. Estrelie” Mai* au moi* d’août 1S20. «ett© ouverture «b» lâ !Ian»© enchantée” fut donné© pour la pre mièr»» fois et devint«le 192H samonde

( biverture

Tilleul joueur «1 sérénade .n Kidde

avec Tédittou «lu «Irame ‘Ko-

de l’OpérSymphonie Ina*‘hevée

Allegro \n d an t

moderato con moto

b Symphonie No VI majeur!

Adagio-Allegro

La Symphonie Inachevée es! un des beaux poèmes de la littérature musicale 1>© premier mouvement est une douce lutte "à la .Nchubert La p .'Tint iv •' tri-'•''•■• ’ la r-p.-au te résignation ''»tif deux idé**** quo Schubert trait* iei. * t a\e<* quel!** maîtrise î L Andante «‘on moto’* est une rêverie, ou mieux, e’est d*« l’extase, pay* merveilleux où Schubert habitait m 'ouv«nt.

premier mouvement do la \ l«v Symphonie * • un exemple de Tes- prit «lu spirituel auteur Ici, surtout, régnent la simplieit* . la vie et la facilité du grand Schubert

In term* Ballet de

Allegro

Vllegn»\ndant

1 endr* Schubert gnee «b» citron ve mémo enfin. «• *'»t du

affectueux (ette mu tqil»'

m ntiment*. une grand* Schuber1

lu coin» d*» la ru** St Cyrille et de * l’avenu© d*** Erable*. I -« |H»rnu**ion a été ndu'* » aprè' qw eurent *’•1 *1 étudiés le* rap|H»rt» des avi**ur*

; légaux et d«» l’mgénii ur «b* la cité On recommandera au Conseil de

placer au crésht du département de* chemin* un mon tant de $792 h | pour compléter le* travaux dans la rue Dtirœhof. Aussi, diver* e*»ntrat* nlatif» à la location de terrain* devant servir «b* dépotoir }»otir la neige ont été considéré*

D* huih'ier de la cité a reçu in*- : ruction de v«»ndre f» chevaux af>- ! Mtr tenant au «b parlement «b» la |*o- lioe. Cette vent*» sera fait*» chez le Dr Moffet, le II «b*** nibn*.

i

Ce» idées sombre', eon mélancolie et du dcM*»p» malheureux touché le "fond «b main©”. Mais n eette âme haute et peut so satisfaire monde.5.- ai 1 J> jeune r**ligieu»e

(b) I24 ville<0 Mon autre moi-méiiM

'***ie )Jean Kiddez

6 Marclie MilitaireO <’anada Dieu sauv**On trouvera de* billet

concert chez Garnir A t oiiref • rue Saint-Jean, et ch* / C. K«*bi Enrg . rue Saii»t-,los*»pfi D- ui Bre* de la S*ciété s> nndumiqu*» ont au*»i à v* n«lre

«r >ehul»ert t dan» TAn-

>chiib<»rt a la 'ouffranc© hu- »ubltons pa* «p»e pure, idéialiste, ne «b * biens de ♦ «•

. • 01P«.ur o

j t

!24 LE SOLEIL. QUEBEC VENDREDI 7 DECEMBRE 1928

v.a

Fait ce que doté 1

SOLEILC’est trop demander

Organe du parti libérml

QUEBEC 7 DECEMBRE 1928

Des points sur les i\u lieu de répondre aux arguments e

dan* notre article d’avant-hier, sur une Henri liourassH le directeur du journal de I;

aux faits expose» conférence de M.

. rue Sainte-Anne,pprouvant ainsi implicitement tout ce qu’a dit le pontife na-

< nai .••(< contre notre r,t< ■ , nos institution» et notre clergé, e contente d’une fade dign > ion sur Je mot niatêeux appliqué ..r 1* conférencier a certains défer.seuTH de bonnes causes

ai nqu

é qu en passa rit et «an r, et nous avion» alors ogés à la bonnt

lie fx»ut

insister du tout, la conviction que

pre —e songeraient au appliquer assurément à eux-

i n avon« de mat

individu mcint un instant mêmes bien plus qu’à tout autre Nous voudrions bien voir le bind tie la pensée de M. Bourassa là-dessu». Nous parions quo certain» rédacteurs de feuilles maladroites et souvent nocive»0 « n étaient pas absents, quand Je chef nationaliste a prononcé1 ; 1111 d anathèmes contre se» compatriotes Mais passons ’ Nous avof- des question» autrement, plus graves à p«- cr.

? Non con- tête de nos

Le directeur de l'Action (’athnlique approuve-t-il, oui ounon toute» le» paroles prononcées de sa conférence du vingt-sept National de Montréal ? ( est ci non» avons droit de savoir, maintenant

par M. Henri BourasBa lors novembre, au Monument qu il importe d< savoir, et

(pi on ririu*1 accuse dohou’rnsnamnnu mai» e est bourn aphonie qu il voulait écrire)

Est-il vrai, comme n»t if ut ions enseignent

plète ?

l a prétendu M. Boura»»a, cjue nos histoire religieuse d< façon incom-

hst-il vrai f devenue un

que, depuis la Réforin©, la religion catholique instrument de domination politique ?

I st-il vrai que nous somme» une race* de parjure»

Est-il vrai que, des menus indigestes religion, la morale et

la ns no» école», on présente aux enfant s et qu’il n’y reste plus de placi* pour la 1 éducation ?

Est-il vrai quecatéchisme a cessé -

haut en bas da l’échelle scolaire, considéré une matière importante

le

I st-H vrai>nt catholique.*

pie les (pie de

universités façade ?

Laval et de Montréal ne

Lst-il vrai pa* le devoir droit n’ont en de paganisme (

que le» professeurs ocial aux étudiants mains, par le droit

racialism© ?

de médecine n enseignent et que les professeurs de romain, qu'un instrument

t d

1 ~M1 \ rai qu dégradé et U' regard plu» sournois que r visitées par M Bourassa ?

I *d-il vrai que nos parents sont au

la populace de Montréal a le visage plus lie de toute» le» ville»

notre jeune^si m stupides qui

( st aussi débraillée et le dit le conférencier ?

que

Lst-il vraiqui apprennenthomme de dix-huit

que ce sont le» mères canadiennes-françaises à leur fiL à mentir de ti lle façon (pie le jeune

ans, “forcé de faire serment sur un bouquin eux (pu est supposé contenir les Saintes Ecritures” etc pas la sainteté du serment

Le Canada a donné à la république voisine assez de pn*'i « s d’amitié pour qu’il lui soit permis de résister à certaine - de ses exigences. On pi*ut rester bons amis et différer d’opinion sur plus d’un [mint. Ainsi, dans l’effort que fait aujourd’hui le gouvernement américain pour obtenir l’observance de la loi Volstead, qui n'a jamais été respectée chez les Amène ns et qui ne le sera jamais, le Canada ne doit pas s’en- gig* r trop loin dans la voie des compromis

Ces jours derniers, plusieurs fabricants canadiens de liqueur» étaient mis en accusation devant un tribunal américain; des mandat» d'arrestation étaient émis contre eux, et, pour peu qu'ils mettent le pied en terre américaine, ils seront arn * é-. Nous n’avons pas à nous prononcer sur la valeur légale de cet acte audacieux. Aux légistes d’en décider. Mais un'- dépêche d hier annonçait que le» Américains s’apprêtaient à demander l’aide du gouvernement canadien pour s’assurer de la personne des prétendus coupables. Cette insistance de l’Oncle Sam à vouloir “volsteadiser'’ notre pays nous surprend.

Cûe veulent en effet les autorité» américaines tentes de suspendre une épée de 1 )aznoclès sur la fabricants de liqueurs, en s'apprêtant à les arrêter à la prochaine occasion, elles demanderaient au gouvernement du Dominion de leur permettre l’extradition des accusés. Vraiment, c’est trop fort. Il existe déjà une loi d’extradition pour les grands criminels. Quand un individu, après un meurtre ou une tentative de meurtre, fuit les Etats-l'nis pour se réfugier dans le nêtre, il est facile d’obtenir sa déportation. Le Canada, de son côté, est assuré du même service. Quand il s’agit de po- téger la société contre le crime, la loi intervenue entre les deux pays y pourvoit suffisamment Mais depuis quand la contrebande est-elle comptée pour un délit criminel ? De puis quand “le bootlegger” ordinaire peut-il être mis sur le même pied (pu l’assassin ? Il est peut-être un triste sire, souvent, mai» nous ne croyons pas (pie faire un commerce de boissons, même illégal, soit un crime dan» le vrai sens du mot.

11 y a plus au point de vue de ce commerce, ce qui est illégal au delà de la frontière ne Lest pas nécessairement en deçà. Les lois américaines, là-dessus, contredisent du tout au tout les loi» canadiennes Nous ignorons vraiment de quelle façon nous pourrions les accorder Et puis, nous le disions ce» jours derniers, nous ne saurions trop le répéter, l’observance du 18ème Amendement ne nous regarde pas. Si nous favorisons de notre mieux sa mise en vigueur, ce n’est que par amitié et bon voisinage La loi en elle-même ne nous intéresse pas.

Aussi doutons-nous fort (pie le gouvernement canadien accepte de permettre qu’on vienne arracher à leur pays et à leurs foyers des hommes qui ont violé non pas une loi canadienne, mais une loi exclusivement américaine. Cela dépasserait, il nous semble, les borne» de la décence.

Que les Américains fassent leur possible pour ne pas rendre inutiles les sacrifices de leurs milliards coulé» dans la mise en force d’une mesure déraisonnable, nous le comprenons. Mais il ne faut pas, pour rida, déranger tous le» autres pays. Les agent» de la on ont fait souvent des excès de zèleregrettables. On a vu leurs navires de surveillance aller mouiller jusque dan» des ports étrangers, à l’intérieur de la limite territoriale, pour mieux contrôler la course des bateaux suspects C’était sûrement empiéter sur les droits des voisins Nous ne voudrions pas, nous, donner notre pays comme champ d’action à la police de la république.

LE KU-KLUX-KLAN, DEFENSEUR DE LA •‘RACE SUPERIEURE"

l A TRAVERS LES JOURNÀÜxl j

Chicago, « novembre.J'eu nu ih À un sujet bien êtrang**

k I u - Kl ux-K!an ,qui mène âpre ment la lutte peur fl >over dans le rnystère <!e <*es or- gnoi.tatiouM mht. les. Et je veux m'interdire, ©ette foi», toute apprê- laiioii |<erHormelIe. 11 est mieux,

me • mMe-t-ll, de mettre directement le lecteur en contact avec un dc> personnages les plus influents

Klan acceptât l’éveiitualiie d'un président catholique dans le plus Enfants abandonnés Le voyage au rabaisgrand Etat «V civili-ation prot»Man- te qui «oit au monde Je le répété1 ce n’cüt pas sa religion que nous reprochons à Smith, ce sont les) notions sociales qu’il doit à fins-. piration et â Le-prit de sa religion. ;

•Je vous ai dit que nous n’étiori> ! pas moins acharnés contre les juil> qui, «l’instinct, -«.nt allé» eux aussi

• 1«*h plus actif» «le cette fameuse ! »e ranger derrière le «iémocraU*. En! '•.« té, en me bornant à reproduire eux. eimore, je vous dirai que nous

aussi exactement que jx>ssible «les n« combattons pas la religion, que paroles «ju«* j’ai entendues et consi- d'ailleurs ils perdent très vite, car il ; gnée«. m tôt terminé notre long en- est un fait «im m !*• Polonais, l’ita-! tretien Elles jettent une lumière lien. l'Irlandais cath<4ique« restent• rue sur la doctrine et sur la phi- indéfiniment ■'♦■rrés autour de leurs

-phi** klan A n-*. J#» présume prêtres, les juifs, à peine enrichis, de-«jim l h •au cou p d© ceux qui vont lire viennent incroyants. Mais les prin-• •** l)gne> éprouv<*ront 1«* sentiment ; cij>eH «le civilisation diffèrent. Com- <ie revoit© «iue j’ai ressenti moi-j me les catholiques, dont à nos veux même. Ils le réprimeront comme I l'individualisme les rapproche étran- je l’ai fait Quaml il s'agit «le ë’in»-1 gement, ils n’ont point «h* préjugé-

le ra<*e. New-York est. peupl»'* d*tr . r«* et de comprendre, il est préférai «le de cher<*her à s© transjK»- - r dans la mentalité d’autrui. pluie- «pie d© s’essayer à «les discussions ou à «les protestations vaines.

Ecoutez donc «jet homme. un homme de quarante ans à peine, a ix manier*’» <iou«*(+s et froides, ai regard calme et tranquille, auquel je dois quelques-uns «les in merits les plus instructifs et 1«’S plus étonnants do mon voyage. Ne vou» y trompez pas il va vous

• induire au fond de la jiensée in-! leur royaume?

nègres juifs. Allez compter dans Harlem les jolies quarteronnes au ne/ busqué!) Moins que les catholiques, d’ailleurs, les juifs sont capables «le fonder une civilisation vi- goureuse. I»Mir histoire en témoigne. Iis ont des individualités prodigieuse*. Mais au fKiint «le vue collectif, au point de vue de la formation d’un Etat particulier, (•'«■st à peine s'il." ont dépassé le stade tributal des primitifs. Où est, où fut jamais

■ 'i.o «lu puritanisme américain.1a, K u-kl ux-Kian est jH)ur

Il ■ >\«*r, et cela n’a rien «pii doive ■ r «‘«mix qui connaissent notre

• nr** «le plus d’un demi-siècle, notre entrée en guerre contre les carpet baggers et les scalawags,

insolents républicains du Sud l»a • " aux nègres” avec l’appui

d««" nordistes. Notre action, après tout, n’a jamais tendu qu'à défendre la r e «< «*t la civilisation anglo-saxon- n»- Nous continuons aujourd’hui en combattant |>our la première fois un représentant «le ce parti démocrate, auquel, depuis notre fondation, nous apiortioîis notre appui avec «•«« que j’ap{wllerai une farouche fidélité.

(ompre nez-moi bien. Dire «pie nous défendons la rac«* et la civilisa- ti«*n anglo-saxonnes, cela signifie «pie nous avons trois ennemi» : l’homme de couleur, h* juif, le catholique. Or,

Donc, nous avons la haine «lu juif, parce que le juif, lui aussi. ♦*st un étranger, et do tous le plus déconcertant, de tous, en dépit des apparence», le plus inassimilahle Un an après qu’il a débarqué sur notre sol. il est déjà Américain. Mais, cinquante ans plus tard, nous nous apercevons qu’il est toujours juif En bien ’ depuis que la que»ti«>n nègre lui laisse «pirhjuo répit (en raison «le ce que le N «►ni évolue lentement vers les idées «lu Sud au fur et à mesure qu’il connaît mieux le nègre , le Ku-k lux-Klan s’est mis à l'antisémitisme. Sa propagande a marqué «les points. Depuis vingt ans. 1« s progrès «le la défense sont immense». Il y a maintenant des milliers de cercles en Amérique, «i’où h* juif, mémo milliardaire, est exclu. Il y a «les gramles villes où

Au cours de l’été dernier, une campagne a été lancée pour procurer «les parent* adoptif* à quelques centair» " d’enfants abandonné" d«- la Crèche Saint-Vincent-d**- Paul «t (h* l’hôpitfti du Sacré- Coeur. <1«^ Québec. Ru n n’est plus admirable que l’oeuvre «jui leur a permis «le vivre. Mais il faut aider cette «i«uvr«*. On a malheureusement à vaincre de* préjugé* lorsqu’il s'agit «l’attirer l’attention et surtout la sympathie sur ces enfants, i'arce qu’ils ont été délaissé* par leurs part nts. on semble faire porter sur eux la responsabilité «h» leur malheur. C’est là de la cruauté injustifiable. car ces pauvre* petits auge» sont bien des victimes. Iî *o- ciété peut condamner leur abandon, on n’a pas h* «lr«>it de leur en vou- l«>ir de leur propre misère qui devrait toucher les «tœurs le» plus endurcis. il faut d’abord ©t pour 1© moment, c’est ce que l’on recherche j pour obvier à l’encombrement de la Crèche - des parents adoptifs, jMais chacun peut contribuer au maintien et au développement d( l’œuvre magnithjue.

Le Saint-Laurent)

dans la compétition politique actuelles meilleurs hôtels leur sont in- 1**, l’observateur attentif ne peut pas tenlits. Dans la haute société, les je* méprendre : Hoover est 1’Anglo-j salons se ferment «le plu* en plus

à leur nez. Eux aussi, nous voulons les écarter du champ de la

AU FIL DU JOURno L’exposition Polonaise

•"ax«m, South est le ch«‘f d ur»»* coali- j tion où l’homme «le couleur n’est peut-être pas au premier plan, mais «iont !«•» juifs «‘t l*‘s catholkiues forment l’essi'iiti*'!.

“J’entends bien que vous. Européen. vous avez toutes les peine* «lu

• monde à comprendre notre horreur 1 «lu noir. Vous nous trouvez cruels, brutaux, inhumains. Voua n’êtes pas aptes à juger. Sachez seulement que Pint que l’esclavage a duré, le problème nègre n«* se posait pas, parce «pie la distinction sociale était nette. infranchisHable et l«»s rapport* entre Us deux races établis sur de* bas«‘s

, <iui remontaient aux origines de i histoire humaine. D*» barrière» ont « té bribées. \l«>rs, la défense a commencé. il fallait protéger la femme blanche contre l’homme noir. 11 fallait «létruiro cette hantise de l'homme blanc pour la femme noire. Il fallait empêcher le métissage. L'expérience enseignait l’horreur du méian-

i g** des sangs, que seule peut-être p«*tit tisse ««xactement imaginer la femme blau- prés»

race dominante. L'intérêt 8Uf>é- rieur de l’Etat l’exige Alors, i étonnez-vous que nous soyons contre le catholicme Smith, candidat! du ghetto de New-York, «le New- Jérusalem, soutenu par tous les prêtres et tous le» rabbins d’Amé- ri«uie ?”

N Ion interlocuteur s’est tu un moment. Puis il me «lit le plus tranquillement du monde :

Maintenant, je vais vous parler de n«>s procédés de propagande, puisque cela vous intéresse Mais, au fait, prendriez-vous un cocktail?

— Je croyais le Ku-Kiux-Klan sec ?

— Il l’est et je le «uis.— Pour les autres ?— Pourquoi pas °— Ix) Ku-Kiux-Klan ne voit pas

d’inconvénient, à ce que la race supérieure s’empois«uine et s’abru-

! Il ne songe donc qu’à rver de l'alcool l«*s pauvres

questions que nous de bonne presse, S qu il ait du moins

aurions il croit le cou-

Tclle* sont quelques-unes «les à poser mi directeur d’un organe devoir répondre dan» l’affirmative rage «le le «lin* s’il va ver» la négative, qu’il ait encore le courage de >e» opinions et qu’il 1« proclame à voi\ liante. Mais, de g? n*« qu d ne -*• dérpbe pas par de» insignifiances

e raison

de 1929I.r pnys y pr c »<■ n t «r r n , aux yeux du

monde, le* réaultatx de se* effort* de dix années

De* c«»ngr«s au nombre «Je 200, dont plusieurs **ongrès internat i«)naux se réuniront à Poznan à l’occasion de rex[H>siti«>ii On prévoit notamment l'armée de nombreux Polonais d’A-!

parmi I

H EN HI DE KEKILLIS(L'Echo de Paris)

!.t

coin me hier Autrement, nous répéterons avec plu» que jamais qu’il imite le chien (pii lèelie l.t main (pii appe

La fête de LImmaculée

Lee étrangers qui, a>ant quitt Pologne, il \ a qu«*lqu««* anm es y r«v- ! viennent maintenant jxmr un bref "«*-

! jour s’accordent tous en ceci : c’est <iue l«*s pregrè* réalisés, dans tous les 1

; «lomaineH de l'a«'tivité nationale, leur! semblent surprenant* Otto surprix est flatteuse. Elle ré % «•!«« «••«- ( nr on ne saurait l’oublier, parin ndant dans la sympathie mémo de | Exj>«eition Générale, la Pologne 'étranger «l«- passage, la méconnais- i,mrqu«ia av.ur idt«iut

iiuTiqui kels.

N'«‘st-il pas piquant de voir que c’est dan* la provmci» même, soumise ih «lis à la donm.ation prussienne, «pie la Pologtm ?»* prépare à afltrmer son dé*ir «h* tenir 1<» (>a* aux puissants pays, industriels et éoonomi«nies. ?

Au sujet de la vaccination

les siècl©», un de» gliê, parce que, à

île Marie fut

Le 8 décembre restera, jusqu à In tin jour» le» plus glorieux dan» Hiistoire de Ll pareille date, en 1854, l’immaculée (’onception proclamée vérité de foi par le Pape Pie L\.

fout dogme, parce qu'il est une parcelle do vérité divine, mente notre adhésion empressée et reconnaissante. Combien plu» celui-ci dont la définition apportait à notre foi en Jésus- t bris* un nouveau rempart et à notre confiance en Marie un nouveau fondement.

Le» temps moderne» voient les nombreuse» tentatives deI impiété »e renouveller avec une audace et une perfidie singulière» Pie IX non content de condamner dans de» document» officiel» le» erreurs courante», désirait prémunir et fortifier la foi du peuple chrétien par un acte d'une portée plu» universelle et d'un caractère plus accessible à la masse de» fidèle».II ne pouvait pa» en trouver de plus efficace et de plu» aimable que la proclamation du dogme de L Immaculée Conception.

L’Lglise, en glorifiant Marie, dont la pensée est si douce à l’Ame humaine, a élevé en réalité Jésus-Christ Dans l’honneur rendu à la conception immaculée de la Mère, le Fils de Dieu a pu trouver une ««loration de sa personne et le Rédernjv- teur un triomphe de son œuvre. D’autre part, le» fidèle» ont senti un lien nouveau le» enchaîner à leur* croyance» ancienne». et il» ont eompn» que tout privilège octroyé à Marie était pour eux un titre de plu» à placer en elle leur confiance.

Le siècle où nous vivons, c est le siècle où le naturalisme « t le matérialisme »«» sont uni» dan» un effort suprême pour détruire toute niée du surnature! ; afin de sauver les âmes, Dieu leur met sous le» yeux l’image do L Immaculée dont ! âme, principe spirituel, plane aux sommets du monde surnaturel

Qui n© connatt, au moins dans ses grandes lignes, le récit des apparitions d* la Très Sainte Vierge dan» la grotte de Massabielle à Bernadette Soubirous ? Lourdes, ce nom restera toujours lié à Llmniaculée-Conccption de Marie. 11 rap- pelle îa .-auction donnée par Marie « Ile-même a la parole du Pontife romain qui, quatre ans auparavant, avait défini pour i.i Mer*' «!*' Jé- n* Christ 1 exemption de la faute originelle Si a décision du \ icaire de Jé*u»-Chn*t avait laissé dans quel

que» esprits un certain doute, M une est venue b* dissiper A Lourde», elle s’est proclamée elle-même immaculée, ou mieux,

* Ih* a déclarée être 1 Immaculée-Conception et, par les grâce» innombrable», par les miracle» retentissants dont elle a favorisé î:i'U seulement les pèlerin», mai» tous ceux 1411! l’invoquent sou» c«' titre, elle a donné clairement à entendre combien il répond à la réalité et. combien elle a pour agréable d’être ainsi exaltée, loti» les événements de Lourde» ont eu un double but mettre

«n relief le privilège incomparable de Marie et renouveler les enseignement* qui s’en dégagent

Honorons donc Marie Immaculée par un amour généreux, par une dévotion constante. Ce faisant nous non» assurerons

i protection et non» resterons dan* la tradition de no* aïeux «tout le muita d être dénommé royaume de Marie.

'An«'«' u« - grainbw tore*"* di*«‘ipliriêi's. <),. ~,,n <l«'wl<qij'« rut économique. A«‘tiYo* nan* répit oi qui, «ian* tou* <> M rft )àt a la tin un résultat oe- |««" recoins «lu pays, par I«>h main- qui* une pnun«Hs«*s pour l’avenir. «les ouvrier* «*t la scion**© <l**s *jW8*ia- (

ni1 liâtes édifient, modemi*«*nt, amélu i rent et façonnent la lYdogu© de de- I main.

C’est pouniuoi 1«* dixième anniversaire de sa restauration, la Pologne

! I© céDbrera, avant tout, comme une i fête du travail

Iient«*ment, patiemment, par le I labeur d'èquipo» d«* nnlli«*rs «l’ouvnor* i s’édifie cette grand© oeuvre L’Expo- ! sitmn (b néralc P«douai*«)qui s’ouvrira en mai PIJU à Poznan, chef-lieu de la

t Pologne «K'cùhmtale.( « tt«‘ Exjuxdtion, «iont le caracti^re

sera pnouncnt national. gr«>ujM>ra uni «picment la pnnluction du pays."« roprés« nt«' le tra\ail du mineur <i«* Si lé tie, du tisserand d«« D»«t/., du

1 maraîcher *‘t du cultivateur . du prolourd** à «'oeuvre

jehe. ia mère, qui donne le jour à un catholiques et les pauvres juifs, négrillon. Vouiiez-vou* que nous laissions notre Nml devenir une vaste 'Antilie, un empire de mulâtre* dégénérés? Nous avons donc fait le né-'

am / m u 1 o v I cessaire, et s’il v a eu des erreurs, d«»s quels .>uu txHj s<>- . ,* 'abus, dea cruauté*, du moma nousavons préservé notre sang. Vous me direz sans doute que cela n'a rien à voir «ians l'élection actuelle ? l‘«»ut-ètn‘, on effet, si ou no considère que le présent. Mais nous voyons plu* loin. Smith est l’homme do Tammany Hall ; or, Tammany Hall ét«‘ii«l mantouant s<»n ompriao sur Harlem, la ville n«>ip* de New- York. Smith — je vous l’ai «lit e*t l’homme des mé<*«>ntents et «l**s mi- ;noritt's. Or l. s nftgrea sont do» mé-, v,w.,.ln,ltlon r, USk„.,

____ content» et forment une minorité ap- , tibilité à la vaccine.c’est dans l’en^'ignoment four- I P<‘lée à rejoindre tôt ou tard 1* s au- ( ,, certificat demeure entre les |

j>ar cette mandostation, «lans les îr,‘s- ^'nith est un «lémagoguo; <»r, mam8 ^ l*0jx*ré pour qu’il s'en sono

une étape

No serait-il pas à propos que tous les médecins gardassent la trace de toutes les vaccination* anti-varioliques faites par eux, disons pour une période do cinq ans? A l’heure actuelle. un médecin vaccine un<* p«'r- sonne **t lui délivre un certificat auquel, dans un certain «lélai, il ajoute une déclaration «le contrôle soit de

soit d’insuacep-

oncouragements lui •tulront, j*** fiuihs nègres, crê*<iul«'s et sottes, présentation *'st exigé** com-qu’elJe puis*‘ra les éléments «J«* wm1 cherchent et les suivent comme l>r«»gr« * uhéruMir. D’autn part, l. s les moutons suivent le berger. Elles vi-itfMirs <ie div«>rs pavs. d«»nt un*' font, donc, ou plutôt feront parti*», grand*» affluence est prévue, n© man- c*r dévolution n’est pas terminée querent pas «le se convaincre de leur» ! Ux'Bticqtip «1«* nègres sont encore ré- propres yeux qu’un pays qui a four- > pnblicains) de sa clientè!«‘ natur*klle. ni un tel **ff«»rt présent** «le «•© fait même «le grandes possibilité* l’initiati

“Viennent aussi les«u» granoes rH>ssiniuio* i»our v « iive et le© capitaux étranger* NüUS vou,nn* P** à'."*- (Polofn©-Pari*), f #vous demande «i© faire

Gare là-dessous !Le

atholiqu»*». Et là,

un effort pour nous élever avec rn«»i au-«lesus d’une mesquin© querelle de dogmes. Ia religion catnolique n’est pas tellement lointaine de la

> a . - t-, ' nôtre, puisque nous nous rejoignonsl>on poète Andre Duma*, qu! ' ,jAnH ('hrist. Home, même, n'exer-

vient de recevoir la rosette rouge. |>JiS |H jnur que vous supposez, e^t un favori du gouvernement, car tes américaine» ne croient pasi! .Vnt plu.i.iir. impromptu, ot corn-; IMn,,u,,.mont (,uo |,. i'spr (|,,s

.,i. phtnent* officiels, et au surplus d ambitions politique» aux Etats-l’nis; «lu ^ nii*ii qu on appelle parfois, mai* les ma—es le croient, «ar,U. P*V!* légal nous n«>u« efforçons de le leur faire

cn>ire Ne protestez pas Notremoyens

nous en- blanches dans la

l'oeuvre du légidateur. tqut tTn jour assistant à une cérétno-

duil do l’industru«l« licat«« «le l'artiste, «lu sel gi'mme d Witiliezha. au jH*tit bibelot amoureu setm*nt anmnuisé par 1«‘» mams tm>sau. du tissu »t»rti d««s atelier «le!Hielsk à . v......... . ....... ........ . ' i ii i«»ui wMusvaui» » uno «•«•rioim-i i « «manifestera. p»r -«^ «"^s-ts «liv«‘rs. me où présidait s«>n compatriote Gas- pri>pa4îar?do kerap,«ie 1«»S multiple* efiort." conjugués d’un«« ; ton Doumergue, il causa familière-‘ *r>ur arnvrr A , i lnut.on mont »v«- I.» pn'mwal .io |» K.'Pu- ,los8on,w

ll tant, dit-on. jug«»r 1 arbre par ses j blique qui lui «lit: tH»ur effrayer les nègres,fruits (."est i«« tuble-t-d. umquem«»nt i M«»n cher poète, vos Ners de nu,î. (luo1 d étonnant a *h« que nous par les résultats qu’elle fournira, le tout à l’heure étaient très bien. (><ir‘lons Vu *H>ur ,*ffo‘crjour d« l’ouv««rtur** de « eue Exjs'si- Qu’« st-c© que Je pMH faire pour nous puritains aN<qul yê|>a*s«*tiou grandios**, que la I‘ol«>gne veuk échang»* ? | c^s médiocres procédés destinesêtre jugée —Bah ! mon cher Président, je aux foulw* 00 ^ les !ntér6u

II e«-un iont «b* dire que. «D» à ne veux que votre grâce s, u, mi» ^ en cauae. Deux rehgums peu- preseut, |H>ur <•© qui ©'«t uniquement : jamais condamné à mort. nch. à la rigueur s accorder, sauf«le cett«‘ exposition nous avons quand elles représentent deux con-affa;r«‘" à bien plus plus qu’à des Oastounet promit. Et depuis lors, cep lions distinctes de civilisation. promesM*" lo P<>ête André Dumai» dit à *o» ca- °r J** vou* dis qu’en Amérique,

ll n'est pas lM«soin de plus d’une niar*«l«*s, aNcc c© sounre bourru et civilisation catholique ©t civilisavisite d’un j«»ur sur le vaste retrain spirituel qui lui est propre; t tion protestante se heurtent |>artout«I© l'Exposition qui "♦* prépare à Je "Ui* 1© reul lionim© de lettres, et quelle» repr* s**ntent ©on-1 '«t/.tuiii }H»ur s*» n>nvaincre que. «ian*» qui puisse assassiner ses «*<»nfrères. traire». J ajoute que 1 une a échoue, «•ett»* ville . c’est une ville er’ière qui Gare là-<l«'-sous ! <10© 1 autre a r* ussi. ( atholiques {s'édifia inlaaaablement l«> jt»ur «lurant ------ et pretestants ont attaqué©t la nuit à îa lumière <l«»s réflecteurs.

«•t pretestants ont attaqué ensemble l’immensité du Nouveau-Monde.

m© à l’école, à l'atelier, etc. [tares «ont les personnes qui. au bout d’une arm*'© ou deux, n’ont pas per«iu ce papier. Si l’on exige la preuve qu'un© j>ersonne a été n ju'cinée de- j puis moins de sept ans, le plus grand nombre ne peuvent la produire et si la cicatrice ne présent© pas l appa- ! ren*-** d’avoir été fait© recernmf*nt, il faudra revacciner pour obtenir la preuve «jue ces personnes ont gardé ou non leur immunité.

Et il ne s'agit pas seulement d’a- , Noir en sa possessnm la preuve écrit*» ■ qu'on a été vacciné avec succès depuis moins «le rept ans ou qu’on ; jouit d'une immunité naturelle contre ' la variole. 11 s© peut qu’une personne: «pii a eu un contact avec un varioleux éprouve un dérangement réel à se faire vacciner de nouveau. Si elle pouvait retrmiver la preuve qu’ell*» a été vaccinwdepuis moins «h*; einq ans. « fie éviterait une nouvelle inoculation. En l'absence «le cette preuve, il faudra qu’elle »«' soumette à une nouvelle vaccination

Dans un cas d’épidémie locale, le contrôle de« vaccinations faites depuis cinq ans au moyen «l«‘s fich*»s de" médecins serait pour 1« « bureaux ! d’hygiène chargés «le la lutte, une simplification désirable do leur travail

Par quel moyen le« médecins pourraient-ils tenir compte des vaccinations et revaccinations par eux faites ? Il y en h trois : un regn- tre spécial, des fiches «»u des certificats à talon

Quel que soit le moyen employé, ces inscriptions gardé*»» pendant cinq ans. par exemple, ne rendraient j

et» . de Naxtes balles et sonten pro,posée» le» fondations «ie nombreux B*' y * l*At ment* nouveaux, entre autre" conque.

du Nord, maisnous puissions en donner la preux©

le U*»oin s’en fait sentir (Bulletin du 8©rvic© D'Hygiène)

iVurquoi la drmoi«elle à l’autre Voyez ee qu’ont fait l«»s premier* de p*’* gement aux clients |Sur une «up-'rfi. »© de ’JAtroni) mè- *H»ut de ta ligne a-t-elle perdu Lha- l'Amérique du Sud et «Te l’Améri-' ?l f w^v'iril,'*nf

tre« carré- " élèvent «1* »* jvavdlon» bitu.Ie de rét»éter le numéro demandé que Central© ! Voyez «*e qu’ont fait ; £ "T* «'K»r«qu© nou* apj^lons le « ««ntral ? U* stands de LAménque du Nonl ’ ; ",f\ Z111 H'

substitué un “merci” quel- Du reste, comment en serait-il •»- ^ 1 TT? J ^éoT' S*'(Vt te politesse, dont mm ire ment ? Rien qu’une seule de 1

d'un hôt.*l « ù pl'is .1.» 'SK» covagvurs fcrratirt*» ta Udle inconnu© à l’autre m* divergences suffirait à tout ex- . i ! mli«« il IHraittreuvm nt à m :og.r Unit de la ligne, ne nous intéresse phqucr pour vous les homme* du Nord* . «LâH 1h>ii que

guère. Ce qu© n«*us vonlon». c’est ( tant égaux devant Dieu, le mêlan- ,Qu’il nous Mifli"© d© dire que l’Ex-j tel numéro. Or, il arrive que. avec g© des race» n’a nen d’immoral. 1 qumna

position Général© a occupé depuis le nouveau système, la téléphoniste, c’est ainsi que le* premiers Fran-J«b» nobreux mois et occupe actu- n*» saiaissant pa« bien le numéro, ! çais du Misai—ipi ont été ©e fon-©l le ment m>n moins «le 15<X) oiiNncrs surtout s’il est dit en français, nous dre aveo d«*s Indiens, connu© lespour le» traNaux «ur le *emun. 4.- donne souvent une fausse cotnmuni- Espagnol* Iont fait au Magique

cation. Alors il faut renouer la con- <-t ailleurs, sur une phn grand© vernation. C’est autant de temps. échelle, donnant ainsi 1« jour àperdu. d’horrible© peuple* Mtar«ls et sau- Madrid, novembre

Cette critique n'est pas nnNen-.Nagx^ Pour nous puritains, il y a On pourrait croire, qu’en Flspagm*.dre races supérieures, des races1 le clergé bénéficie d une siruation ' j>réd«'stinées de Dieu qui doivent privilégiée. Or, c’est le contraire quià leur mission divine de refouler a lieu. Et cVst pour obtenir uneiles autres pour dominer ©t établir amélioration du sort peu enviable duI© mieux Je ninsiste pas Vous clergé t»M*agn«d que les cardinauxsavez aussi bien que moi tout c© archevêque* «le Tolède, de Tarrago

à tant d’égards, nous sépare ne, de SéNill*» rt Je Grenade et les i

000 autres travaillent j* ur exécuter différentes commandes Plus de 80 railles mètres cube* «le terre ont été remués «lans un but «le nivellement de t«*rrain où s'élèveront k«* | tion d’un j«>uma!i*te paM lions de la Foire

L Exposition cor»'. pU ra au bas mot : J00 paxdlons et bâtiments. L'ad- ministrati«»n en construit >*) pour sim prepre c«*mpte aux frais «1s» fl.- 4U).(V1D zloty Iji longueur des

Une pétition des archevêques espagnols

à court d’événements à commenter. Nous avons sous 1— veux une lettre où l’un «1© no» lecteur» se plaint de ce fait.

Si l’on revenait à ran<*ienne coutume. re serait servir, d’une façon

rue» et vote» d'accès de rexpoattkm plus adéquate, le* intérêts du publicest de 20 Km*. O— chiffre* per- (L© Droit;

quiFt nous devez comprendre «ju'il archevêques de Valladolid, de \ alen-

üiogiquc qu© le ku-hJux# ce, d© Saïui-Jacques d© l'ouiposui

t

d«* Saragoss© et de Burgos,, viennent d’adresser au président du <*<jns« i! une lettre oolhs'tive. D*s prélats m* plaignent <iu«\ d«« l’augmentation du Du«lget, sn montant pour PJ2S, à la soirim© «1«‘ fi8fi,fi"»4,*207 p«*"« ta- , et dont une grand*» partie a été affectée à l'augmentation des fonctionnaires, h* clergé n’en ait bénéficié que pour une infime partie. En effet. 1.210.(»7fi pesetas seuhmomt «>nt «té afl«*ctés au chrgé paroissial 379.H85 p«s«'ta« au cuit** a*liiiinistratif et LfiôO i>«'«etas aux congrégations r**- ; ligieuse*.

“De sorte, ajoutent !«'» prélats.) que près de 20.000 curés. de8s*'rvants | *•1 <*nap*lains de couvent* de reli- gieus*»s peuvent eiivi«*r le sort des | concierges <l*«s ministères appartenant à la cinquième catégorie, par- qu'ils ont «les appointements b«‘aucoup plu» minimes que <*es concierges 3.000 curés <*nviron preçoivent la même somme qu© ces n«*rnicrs et 1.2Ô0 curés aeulement arrivent à la situation pécuniaire dos concierg*'» «le la quatrième catégorie.”

DON ESTEBAN.

En instituant une “journée d'undollar’’ comme on en voit dans c©r- tams magasins, la compagnie «le chemin d** fer “Boston and Maine’’ Nient «le lancer une heureuse initiative, puisque 4,800 voyageurs ont profité «!«• cette aubaine Quelle que fut la destination :« atteindre, ©n achetant un billet simple «‘haque ï*»raonn© n'avait qu'un dollar à débourser pour recevoir son billet de retour. Ia compagnm ru* s'attemlait pas à plus d< la moitié du qombre de gens qui ré londireiit à oett© tentative ; c’est «lire «pi eUe a «lù encaisser des profits dans l’aventure.

Il ne faut pa» s’étonner «le e© résultat. Qui ne M*rait tenté de fair© à moitié prix un voyage qu’il remettait par économie ou pour tout© autre raison? Une visite inattendue à «1* - pan nts vivant à la campagne ou à «les enfants établis loin d© leur* parents n’est-ello pas un événement souhaité «lans bien des foyers? Un tel rabais a i»ermiH à des famille* entier»'» tie voyager ensemble pour la première fois, aiors que précédemment ses membres allaient à tour d© rôle voir leur» parent* ou de* lieux rempli» de souvenir*. Cette aubaine a eu »<»n influence sur les affaire* puiMqu’ell© a p«*rmi* à «les gens «ie se voir et «le s** comprendre mieux de vive voix que par lettre* ou par télégramme».

Avec la vogue de l'auto, il est bien possible que nos chemins de fer canadiens emploient <*© moyen de prouver l’avantage de voyager «*n wagon, «ie partir et d’arriver à de» heures Axées à l’avance. La journée d’un dollar "« rail profitable i«'i comma aux Etats-Uni», aux compagnie» comme au publie. Comme le “bargain day’’ de» gramls magasins, pourquoi pas celui de* chemin* de fer?

(La Patri©) s

DANDROL

\ rlfn* «t Uarbler». l>«p»- f J -F.. LlTarnoti\ I.«é* et W Brunet l.t**é Mept uin 'Ht»

Pour les cheveux”Contrs la ©éman* gsalton ©u cuir chsvslu, la« ©slli- culst, la chuta tfa» chavaui.

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“L’homma creuse sa fosse avec ses dent**'. Ce proverbe est malheureusement toujours vrai, et d’autant plus vrai aujourd'hui que noua ne prenons pas assez d'exercice physique.L'Eau de Vichy est riche en ael» minéraux qui neutralisent jusqu’à un certain point les effets d’une trop riche alimentation. Aussi voit-on chaque année dea millier» de personnes, venues de toutes les parties du monde, se rendre au fameux Bassin de Vicfïy, en France, pour réparer les dom

mages qu'une fourchette trop active a causés à leur système. Malheureusement, tout le monde ne peut se payer le lux© d© ce beau voyage. Mais tout le monde peut acherter l’eau d© Vichy-Célestins en bouteille; c'est l’eau même de la source d© Vichy mise en bouteille dans des conditions qui en garantissent l'authenticité et la pûreté.

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■Miite de la pai»r 13 *distinipifa f)hr l aid* active (pt’ils a'yent apport* e au rétablissement de I orcre. I n jour, l’ordre succomba ; a\*- . j-,,r dis parut son procureurdu >aint Mnixle, bras *lroit de l'au- toerutie dans le domaine spirituel. '|ur*. l»our la première loi» depuis

1 *'*‘7. 1 Kfflise orthodoxe »e réunit en < oncile; elle voulait remontant au delà même de Pierre le Orand. restaurer le patriarcat que cet empereur avait ►uppnmé.

('’était au mois d’août 1W17- autour d’elle, les passions grondaient. |>*

cent cinquante-cinq hommes d’Eflise et les deux cent neuf laies qui «oznposaiont le concile voulaient faire Iront h la vague révolutionnaire, qu’ils «entaieu» monter Des voix s'*ile- > aient dans l'assemblée, contre ‘T» — I»nt d’mcrovaru e et de rébellion ", contre “l’orgie des désirs effrénés”. On était tout prêt à soutenir le général Kornilof, si Ton ' oyait se lever en Ka faveur quelque bon vent, augure d* succès. .Mais le vent qui souffla fut un souffle d’ouragan, qui balaya Kor- nüof. Iê péril s’aggravait : ceux-là mêmes qui jusque-là s’étaient montrés tièdes pour l’élection «l’un patriarche constataient que l'Kglise avait besoin d une cime. Tikhon, le H novembre1917, recevait la dignité patriarcale.

Kn ce même jour, dans les rues dePêtrogrnd, dans celles de Moscou, la victoire du bolchevisme devenait un fait acquis. l.a coïncidence des deux événements mit aux prises, tout rie «uite. l’Eglise orthodoxe et l'Etat. Qu’en face des décombres du trbne cette Eglise restaurât au spirituel, •ous la forme du patriarcat, un principe monarchique, et qu’elle s'insurgeât contre l’idée de séparation, et qu’elle revendiquât ses droits sur l'école, c’était assez pour que les Soviets affectassent de se croire provoqués. Provocation encore, apparemment, ce message du 19 janvier1918, où le patriarche Tikhon seplaignait do la sécularisation et du Dombardement des églises du Kremlin, et de la désaffectation du temple du Sauveur, et de la substitution du drapeau rouge aux étendards sur lesquels s’exhibait la Croix. ’ Satanisme, anti-christianisme gémissaitle patriarche, lês Soviets justifièrent ces mots par la riposte même qu'ils

firent, par ce décret du Jd janvier, qui, sou8 le pavillon fallacieux de ridée de “liberté”, supprimait l’en- ■cignem^nt religieux, déclarait propriété du peuple les biens d*« l'Eglise, et frustrait celle-ci du droit île posséder.

— O —

"Liberté de conscience et liberté des associations religieuses”, uirisi o sait-s» u étiqueter l’obiet *lu décret.Orth*Hlo\<»s «le Kiev, de Perm et «1«*Tobolsk pouvaient-ils h»* croire libres, lorsque leurs évêques étaient assassinés ou noyés? Le concile, en avril 191 S, édictait de graves mo- sun - contre les évêques et les laies “qui «x>ntribueraient à la réalisation <1 acte* host îles a l'Eglise”; puis il se dispersait: le patriarche Tikhon, dé*-j sonnai*, devait incarner devant le*Soviets la ma.'osté de la “troisième K<#me“, et quelque temps durant il h’v essaya.

Niais <*ette troisième Rome fut bientôt divi*ée contre elle-même car les docteurs d'intransigeance virent se dresser <le\fant eux dos conseillers

; de capitulation. Hallotté, tiraillé, le resf>e«‘talile patriarche tini**ait par *igner, le 2ô septembre 1919, une lettre pastoral»* qui “dégageait l'Eglise de tous les tiens ave»- la politique, avec le t sa ns me, aven* h-s Planes, avec l’interv»*!!’ion étrangère”. et qui donnait l’ordre d'obéir aux Soviets en tout »•♦. qui n’était pa* contraire n la oi et aux moeurs; et le début «le l'année 1921 réservait à cette lettre une sanction pratiqu»*, douloureuse pour 1*»* Pusses r< fugi • à l’étranger, et qui n * lit autre que la condamnation forrn»*lle. par le patriarche. du concile dos évêques émigré'* Entre r“orthodoxie" du terroir russe et cette autre “orfhftdoxie” qui partout en Europe aspirait à rveoustitu»*r une atmosphère spirituelle pour d’innombraoles Russes devenus des sans-patrie, le fossé se creusait. Et Tikhon l’élargissait en Joujrs révocable, frappant do déchéance le “Conseil ~ *suprême eoclé'siaatique” organisé à Carlowitz, en Serl»i«*. par 1«-* Russes de l’émigration, et coupabl»-. disait- on, d’avoir souhaité le rétablissement de la monarchie.

Assez d»* jKilitique ’ signifisit-il à l’orthodoxie d’au delà des frontières; mais l’heure était proche où les 8o-

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\i»ts allaient séquestrer ’infortuné* patriarche, sous cette inculpation qu’il faisait lui-même de la politique.

— o —En ces premiers mois d»* 1922. la

famine était atroce: pour nourrir le* populations que les erreur* é»*un» inique* des Soviets et la pénurie d» * récoltes avaient affamées. 1* "Comité central exécutif panrusse « xig*ait la spoliation complete de Don 11 ordonnait aux Soviets locaux d'enlever de* sanctuaires “tous h - objet* »l’or ou d’argent, ainsi que les pierre* précieuses dont la privation ne porterait pas une atteint* dm*cl»‘ au culte." (V serait sacrilège. serait anticanonique. ripostait Tikhon. Il recopiait s«‘ulement qu’on Inrnt tout e»* qui n'avait pa* “un caractère hi*- toriqu»* ou strictement sacré”. Mai* l’avidité de* Soviets n'ftdjrottait aucune distinction : hurs légistes privaient faire observer que depuis 191N les groupements religieux ne jouissaient decesobiets qu’en vertu d'une concession de 1 Etat, conces*i<>n tou-

protection dont Tikhon cou- vrait les joailleries d’Egl*»- pas*a pour un a<#tH de eontr«*-re\ oint ion Accusation terrib

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. Elle coûterait la vie, bientôt, à huit prêtres «*t j. troi* diacres de Moscou. accusés de résistance au gouvernement. T’n duel allait-il donc s'engager entre le bloc révolutionnaire et h* bloe orthodoxe ‘

i Mais déjà, dan* U* bloc orthodoxe un ver rongeur s'était glissé : au cours même du procès de »•»•* prêtres et de ce* diacre*, où Tikhon était

{témoin à décharge, on voyait un prêtre, un évêque même, déposer

(contre le* inculpés Quelques *♦*- rnaines allaient suffirent aux So

viets pour faire s’effriter et s’é- jmietter l’établissement religieux au- l quel présidait le patriarche Ti.hon jet pour faire **• multiplier, sur !<‘s i décombres <le la troisième Rome.| de* tronçons d’Eglise, qu’ils opposeraient les uns aux autres, et dont

j ils se joueraient. Ia sourd»» et tragique lutte engagée, depuis l'avènement du bolchevisme, entre !e gou-

j veraement soviétique et l’institution dite “monarchique” <iu pa- patriarcat, allait affecter un caractère nouveau: dans oette orthodox!»- russe dont les influences soviétiques

j voulaient définitivement abolir la <*imo, des prêtres et »!<•* évêques devaient bientôt surgir, pour concilier

: hi service effectif des Soviets a\ec le service nominal de Dieu.

Georges GO Y AT’ de l’Académie française.

(Le Figaro)

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C'e*t au milieu d'un grands <‘<>ii- <*»>urs de parents et d'&inis qu’ont eu lieu en la cathédral»» les funérai’.i* .’♦» Mlle Brigitte Cooke, till»» <!* M Henri Cooke, décédée à l’âge d»* dix- s»-pt ans et quatre tn«»is. L.-R.-l*. Mathieu O. F. M. ofEcia. assisté d» M .M. I» * abbés Donat Er*'<-hett» »-t Donat Grirnanl. d» lY»\« <-h* . comm» diacre et sous-diaerc. Au choeur, on remarquai» Mgr. A.-<>. ('onitois. ^T le chanoin»* François Houlay, curé de la cathédrale, Mgr. J.-E. Faquin, procureur du diocès» 1»< H.-F. l’as»*al O E.M., !»•* rivércnds frères Félix et Odilon, des Frères des Ecoles Chré- ti»»nnes, etc.

D-s pL>rU*urs étaient: MM Ri- chard R»*rgeron, Georges <ian*'py, François ( ‘umtoi*. Charles-IL'nri La- puinte, Paul Dupuis et Jqjps Godiu. lis étaient a<‘»N)inpagné* par M»‘lle* Y'ette Lajoie, Moniqu»- Houras-a, Thérèse Olivier, Jeanne Dérome, Regina I)ufr»*:ie. Clair»- Bouleau.

D» deuil «le la «léfunte »-tait c«>n- duit* par M Cooke, so1 père; ses frèr» *. M.M. François, J» an-lvouis, Maurice et Jules Cooke. ** * oncles. M.M. Thomas et August»» Cooke. Louis Dorval. C'ap-tle-la-ôîadel» ine; s«-s cousins, M M. Jules Dnrgi», Ix>- r» nzo Arvan. (’ap-»Ie-la-Madeleine. »*t Auguste Dubé.

Dans la nombreuse assistance, on remarquai» Son Honneur le maire Arthur Mettez, M.lMh. l'honorabh» sénateur Jacques Bureau, M.M. Maurice L. Duplessis. M.lMh. L-l\ Mercier, M.lh, G.-H. Robinson, CR.. J.-L. Durand, avocat. G.or- g. - Sléthot, avocat. Arthur Béli\«»au greffier de la oité, J.-A. Ia»nurc, M.lh. A -F. Villeneuve. F E E. Chs-Êd. Vigneault. gr»»ffi«»r d«* la Couronne »t notaire Dr o. Touri- gny, Dr J.-A. Hall, Dr J. \ Belle- marc. J.-A Tmdeî. N*.B.. Maurice Laurin, avocat, Emile Fortin, avocat. J.-M. Bureau, H\»a*at, Eaurent Létotimeau. Henri Bisson. Ernest Comtois. Philippe Tesson de, shérif. C. Caron, G. Derome, Jos.-L. Fortin, Auguste Dubé, E Desbien-. B. Bergeron, J.-A. Pichette, A, Boisvert. Jos. By an, Bichard Fer- n»n, Nérée Ferron, E. Dufresne B Sayyer. J. Catnirand, Charles Lafond. J.-A. Martineau. \\ diie Rocheleau, t)rid<» Rochcleau. Damien I*»vasseur, Da\ ni I^n\i* re. E. D«»yon I. I-afontaine, Norma lâl'ell** J -B Is»ranger. J.-H. R»»-né de Cotrct, J.-II. Tiroux. F-X. Piché. Gilles F’icard, /. Marchand Elz. Brière, Dr H. Chocjuette, E Duchanne, avocat, Sè\ère D»**co- teaux, A.-J.-H. Robert. J.-A. Bertrand. Nap. Godin. .Ion. IjOMuaeur. Fred Argali. Albert Lsnglois. A. Fugère. Armand Langlois, Î^T lAflamme. Emile Cangnaan. I Grégoire. N T*., M Dufresne. I) Ouimond, P. Sarasin, B. Robi- chaud, fossette, J.-A. Charbon- nenu. Vietor Abran, \.P . Dr (i. Landry. Vilfrid Hétu, le* élèx-es de la clause de Rhétorique et leur pr»»- fesseur. NT l’abbé J.-A- Tessier, etc

Ta famille Cooke a reçu un grand nombre de messes, de bouquet* »pi- fituela etc,

L inhumation s eu lieu dan* le terrain de la famille su cimetière Ht-Louis.

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Conception, Hann l’aprèa-midi, Le F’ère Noël aura le plaisir de visiter le» petit* enfant* He Ste-Marie-Bce. Tou» le» enfants »ont invité» à »e rendre en foule le rencontrer. Il donnera h chacun un joli cadeau. Les parent» sont priés de porter ceux de leur» enfants qui ne marchent pa».

LE PERE NOEL A Ste CroixDimanche, le 9 décembre dans

l’après-midi, le Père Noel »era au milieu de aes petits amis de Ste- Croix. Il invite tous les enfants à aller le rencontrer. Il aura pour chacun un joli cadeau. Les parants sont priés da porter ceux de leurs enfants qui ne marchent pas.

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:ü Samedi, Fête de ITmmaculée-Conceptfon. après la messe. Le Père Noel sera au milieu de ses petits amis de St-Joseph-Bce. Il invite toutes les petites filles et tous le» petits garçons à aller le rencontrer. Il fera une généreuse distribution de cadeaux. Les parents sont priés de porter ceux de leurs’ervfants qui ne marchent pa*. Bal

Dimanche, le 9 décembre, aprè» la masse, la Père Noel sera à Charnv pour y rencontrer loua las petits enfants. Tous le» petit» garçons et touWs les petites filles sont invités à accourir à sa ran* contre. Il donnera è tous un beau souvenir. Les parents sont priés de porter ceux de leur* enfants qui ne marchent pas.

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Et recul général des titres à New-York La hausse de $105.- 000,000 des prêts aux courtiers stimulent les ventes.

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A Montréal ce matin Les reculs varient de 1 à 19 points Les reçus de dépôt de Nickel sont actifs

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New-York, 7 P ( Ouverture or In suite rte la chute désastreuse d hier a la Bourse, les ventes de liquidation se sont continuées fortement ce matin.

Radio débuta par la vente d'une tranche de 5,000 actions à 3H1, de 14 points en recul pour la journée d’hier Radio-Keith- Albee ouvrit par la vente d’unblo4 da lo.ooo actions à 76, ave* un recul de 4 3-8 points.

Des pertes d'un point ou plus furrnt enregistrées par («eneral Motors, Anaconda Copper, Gold

C orn Products, Studebaker, Texas Co et une multitude d’autres titres. Il y avait peu d'exceptions au mouvement descendant général, mais Commercial Solvents débuta de 2l j pts en mieux et General Railway Singla et Union Pacific de 1 1 •> point plus haut chacun.

Pari*, 7 f*.C ’ ) |>.sorientaient ir rf*ifu lié renient ilourde aujourd'hui.

UentA H '.i1'( t*.'# francs .Erupr ./.î ' U J f rane.v s.~,

Noranda perd 50 centins à $55.00 Plusieurs autres titres sont à la baisse Sherritt etKirkland Lake prennent chacun 5 points

QUEBECcoût

A LA BOURSE LOCALE

FERMETURE DU 7 DECEMBREPris offerts et demandés

( bange sur Gmdres Ulf TT1?*Dollar américain lîot <Me

Plus tard

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Las ventes du début de la ma- tinée furent encore stimulées par "l'augmentation considérable inattendue <ie prés de $105,000,- 000 dans les prêts de la Federal Reserve Bank aus courtiers, dont on a donné le chiffre officiel à la fermeture de la Bourse hier.

Plusieurs tranches de 5,000 à 30,000 actions changèrent de mains au cours des premières transactions. les spécialités haut c otees furent de nouveau en hutte à la pression des ventes, avec le groupe des cuivres montrant une faiblesse considérable

Adams Express tomba de 15 points, Montgomery Ward de 10; Fox Film de 7 et International Nickel. Davison Chemical, Liquid Carbonic, Canadian Pacific; Sears Roebuck et Andes Copper enregistrèrent des pertes initiales de 4 à 6 points

L’ampleur et la rapidité du recul d’hier amena une forte liquidation des comptes sur marges affaiblis. A la lumière des moyennes de la F>resse Associée, le déclin d’hier est de $9.45 dans les industrielles et de $4 38 dans les ferroviaires; c'est l'une des baisses les plus considérables sur venus récemment.

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r#ui«l la jH>pulation que mérite l’ou-

Montréal. 7. P. C. . Ou- erture. La première heure de

la ftrance da ujourd’hui fut ce- ractérisée par un recul général de» prix à la Bourse locale ce matin avec des pertes variant dr 1 à 19 points.

Les rec,us de dépôt de Nickel furent les tires les plus actifs • ur un marché passablement volumineux sous le ra pport des transactions. Smeltera fut le titre qui perdit le plus avec un recul de 19 points à 345 tandis que les revus de dépôt de Ni- kel tombaient de 9 points à

203 Dominion Bridge, ex-droits, étaient en recul de 5 1-2 point

87; Massey-Ha rris avait perdu 1 1-2 point à 86 1-2; PeterLyall tombait de 2 points à ‘3 hhawinigan de 2 à 83 et Brazilian de 11 2 à 69 1-2.

Des pertes de 1 point furent -•nregistrées par Fraser. National Steel Car, Montréal Power. Power C orporation. Quebec Power, Winnipeg Electric et Can. Brewing. B. C. Electric "A" était en recul de 1-4 tandis que le le "B" demeurait au même prix.

Toronto, 7. P. C. Ouverture des Mines. Le marché des Mines était plus facile à l'ouverture ce matin.

Noranda fléchit à $55.00 avec une perte nette de .50 centins Sudhury Basin perdait .20 cts à $6.65; Towagmac .15 à $3.25: Mining Corporation .10 à $.3.70, SFierritt-Gordon avait repris 5 point» à $6.30 et Kirkland Lake 5 à $1.35.

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FONDS D’ETAT ETRANGERS

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nvière avalanche des ordres de ventes, de nouveaux pouvoirs d'achats firent leur apparition sur le marché, stahilissant un peu la liste et provoquant quelques ralliements modérés dans «ertams «les points faibles tel que Wright Aero et Erie qui avancèrent respectivement de 3 et 2 points au-dessus des derniers prix cotés hier en fermeture.

Les # hanges étrangers étaient «ou t en us.

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portant »le e#,tt»* vaste région. lyondre'? livre st«»rlingLa population de Mistassini aura B«*rlln marks

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< ’ertains enclroit qui n’étaient il n > a ouelques années, des cen- très «I*» c«donisation bien peu avan- ««' -*.nt «b venus «n quelques moispour |«juelqiu--un!v «l« gros centre «•«*mnurciauv «'t indiMri«-ls et pour quelcpies autres niênie, des villes.

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70 : 1 70 1 s 70 ;{ 4 j Petite paroisse, fornus' d’un |H‘tit4b 1 45 H l(i j gnmiM» «!«• colons, jvttir* - par rexem-21 20 21 ph* cb‘ la cultun* «l#’s RR PF*. Tra-tei ; J t.o ;s 4 fs. i , piHt*'s il \ a plus «1#' 20 ans. était86 » si ! 1 M i • » d#-meur«9' jusqu nu inconnue et c#,n-2b 1 2 Jb 1 s 2f, l ■ » si*lcr«'«* (M,min«‘ c«>ntre culture iwncn-KKI 5S| 4(H) n* sans comnicrcv et industri«*sKH, 1 > KM 1 4 KM i •, \»ilà qu«' tout à coup. UlK» chid pa2K 7 s 2s 2S i i in •' «lu < »«,uv «rncincnt provincial.2s 5 s JS 1 4 2N l 2 «mi ta\«Mir du dévcl«,p|M ment indus-70 77 ! s 70 1 ncl chez, nous et la luis#' a profitloti a s 102 102 A s d«> nos r«^s(>urccs naturelles met!5h 1 2 ! >«. 1 tei tait en éveil toute une population.2 4.S Î4 i 24 S (KM*aH|#,nnail la c«»urs#> vers «*e*Il t .1 K 11 1 1 1 1 ,1 s jMiuvoirs im*rveilleux de n«»s in«ius-1 s t ; i 1 7s trn ls *‘trang«r'»s; i . i s:; s 7 1 . • » Fn fa**»* *1«* «*♦• «Nheloptiemcnt r»-i 125 12. l .5 s p de. !h main-l'*a*u\r»* «Icwnait «!«■

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f e* obligations sont sujettes à enregistrement quant su capital seulement et sont rm hetables en tout ou en partie, avant l’échéance, à $102.00 et l’intérêt couru.

Le» intérêt* semi-annuels avril et octobre sont payables à toutes les succursales de la Banque Canadienne Nationale, ainsi que le capital.

FIDUCIAIRE LA SOCIETE D ADMINISTRATION ET DE FIDUCIE.

BUE DE L'EMPRUNT : Sur le montant autorisé de $100,000.00. I immédiatement émise, pour être appliquée

a sommade $75,000 00 estment de la construction présentement en cours. La balance autorisé serxira à l’extension.

au paie- du capital

GARANTIES_______ Ces obligations sont garanties par une première hypothèquesur tout l'actif présent et futur de la Corporation, par un lien sur les recettes, par le transport au fiduciaire de la franchise exclusive obtenue de la municipalité de St-Micbel de Mistassini, comté Lac-St-Jean. Lorsque les travaux présentement en cours seront terminés, l’actif de le Corporation «era estimé à $100,000 00.

RECETTES_________Corporation fera le service de distribution d’eau pour finsdomestiques et industrielles dans la paroisse sus-mentionnée. Noua estimons que les recettes seront d’au moins $9,000 <V> par année, soit au-delà d’une fois et demie le montant requis pour le paiement des intérêts et de l'annuité d'amortissement créé pour le remboursementdes dites obligations

ADMINISTRATION : L'organisation, la construction et l'administration de ce service sont sous la directior. de- ingénieurs «t experts de le Cie d Entreprises Publiques. Limitée, laquelle a déjà à son crédit l'organisation et l’administration de plusieurs entreprises semblables dans laprovince de Quebec. La coopération de cette dernière eet pour ce service une garantie de succès.

HLOR IQl I ( e Village de Mistassini n'est séparé de Dclbeau que par la rivière. Cette ville e progressé prodigieusement depuis se fondation, et elle est loin d'avoir etteir.t son plein développement. Sa principale industrie est la "Lake St John Paper A Power Company" qui emploie de 1,000 à 1,200 hommes. Mistassini profite des succès de sa voisine.

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Une agréable surprise vient d’etre faire aux quelque 9,000 employé* de la Banque Royale du Canada, qui annonce un boni de 5 pour Noel sur le salaire annuel cl chacun. A n'en pas douter. cette gratification permettra aus employé* de la banque de passer encore plus agréablement la période des fetes qui s'en vient.

L'ARGENTEN BARRE

Dindr*--, 7 F* ( l/argent #*n barr*- .wt noté aujourd'hui à J?» 5-Md ronce

T Ml» ago. 7 <hi\,*rtijrv Hlé . déc. IL» 1-2 mar* 119 iM Mai-. «W* *4 l-l 1-4 mars 87 5-& Nvnine dfr 4s rtiAT* 4*

pour discuter la l’utilité»>» LoppiT'unit* «l'une constnicth'n «l’Aqucdu*' »lafix b village de Mh-

Dette eonqvagmo des Kntre- priM * Ibiblique* de Qu« I ee, ml connue « : reconnue <*ot?ime « tant en mesure vie répon ir»1 à «*»* g»*nre* b* travaux en n»atièr»*s teehiiiiQiies r»»m- •ne f!i'an< *>»

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Nous offrons ces obligations sujettes à l'approbation de légaux, quand, telles qu’émises et reçues par nous.

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• r environ 1900 pieds sont termines.

I n fait trè-t onoouraç^.'int et qui mérite d'étre m»*ntionné. est que du va/, envinni 200.(KO pied- a été pncoiitré, à une profondeur de 1712 pieds. Ceci, d’après !••* expert»,

« -t I,** eonünuation (les relevés fp'-o- pliysique» qui iudiipiaient de riches couches de kh/ et d huile, à différtmtx i ri’ervailes.

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j»r* ruir*- -«*in <!• faire une distiartion entre les deux M»rt«La brique de -urtaee, coinuu* !♦* dit ^««n nom. -♦•rt à ♦'n^ r murs extérieur*. l’ - ir eette rai -n on la ta»t en de riehe^ eouleura et de fines texture*. D’un autre côté la brique commune e->t

f»lus reoiioimque destinée non à ii|»l#;4ren<*e, mais jmiuf HUp|*»rter1

de** parties lourde.» d une eonstrue- tion Dieu qu’elle ne soit pas destinée it donner un effet artistique il y a de nombreux exemples ou de la brique eommune de choix a été employée -ur la surface des murs avec d‘e\rellent« résultats.

J/*- plus anciennes constructions ••n brique ne dénotent aucune (lis- ; tin» tion entre la brique de surfa**e et la brique commune. Il \ a d«' noinbreUHA-s aneedote-* racont/s-s au Mtjet de la brique qui entra dans la construction de ees maisons I/on apprend de c^Ttaines vieilles familles quo telle maison fill construite d«* brique apportée d’Angleterre ou de Hollande dans la cale de navires marchands revenant au pays, et dans la cale d* quel* il avait fallu placer du |c>» < omme quostion defait ce fiend an t l’on a eominence a fatniquer la brique tr* à Isuine heure au pav* et Us plus vieille-' maisons ici ont été eon^tnutes ave<- de la brique domestique.

( fiinme l’on sait b-> murs de brique t fait i îque* jmsur U- coté »t iir la longueur alternativement. la petite lare seule det briques ikim's** sur la longueur aps i parai» l/on apfa lle cet aêncemen- 1 de briques le lien <« quelques autres! affene« tuent s port* nt des n<" *. tkj»-j propre ' Ainsi lorsque tous U sj deux ranp* de brique sont sur la longueur l’on a|'[M-ll»« ce lien anglais. < < iii form* un mur t ré s solid**, et quand le mortier est inférieur, corne-! me c’était je ea - ancieMiemeUt, e Vst j le seul lieu pratnpi*1 «pu ••xiste. j Mais si U- in >rti* r * d de bonne qualité et que l ot! emploie de la brique do surfa*-. . eei résulte en trop *1* gaspillai;** ear la presque totalité d*- la brique |H>séo sur la loniftn-ur est enfoui*' *lans le mur. la tète seule parai -ant a l’*'\téneur

\ ujounl’hui, av*'*; not re mortier amélioré fait nu cmieiit, nous avons pr*-qu»' oublié In siiçnitieation «les !i*us *lans b‘S cofwtru<*tion* * tl bri<|U*- l'.n effet, lorsque nous construisons un mur • n brique «le Hurface dans !*• lien flaminaml. nous n’eniployon* l«,.s bnqu* s sur la longueur «fu'à tou*

■faux, car ils *«> eomfMi.Hi nt d*- briques cMip**- C«*«i es t vrai egalement j

U no.is fait mentionner l«*s l»arue notAir* relit ( H., lesIfaii .»t* ur- «i**

Au d«-au Hiroi- *-eiic#- Kxeell n* ur •M*

■suite «je la plHfe

également

23

j.laisir «1«- noms «b* MM .IuIcm et Louis Saint-I»au- *i**ux principaux *ir-

«•ette wiirée.d* --«•rt rbonorable M. Péro- . l«-va et fiorta un t*>ast a M 'fou* admireront la magmfi-

ilu «iiscfjurs prononcé par S*m i.ii' I*- Lieutcnant-Aîouver-

quoiU* -a <lat**

.**rs l'onfrère» et a.tii'*(’ber Monsieur Sirois,

*'( io* ! lie a dit de l’amitié «•st eoiume les vieux titresla rend précieuse

Ku n *• rapp4-lant «*ette |a naée ex- priu • •• <ians une f*#nnule ingenmuse « r |d« if»** «le justesse, j'ai tr«»u\é la raison «le la «lemamle qu** l’on m'a faite *1*) vous adr* -« r quelque* mots ce soir.

■ K? je m* suis rendu av«s' d'autant plus «I t iiqir**- • in*ut a eo «iésir «J||«- «-’«'St |M»ur moi un** belle «#eca- sion de r*'lev**r h* titr** an*,ien et ioujoiirs v ulule qui constitue un

Y Vd-* e /> ! * / Urur0 J uxt* *cou pif df goutt * 'If f‘1 T S A M 'u' cor ten* if Je t.l />. /ou' « cetie. .lu 6##u de quelque* appltcntiort*, le ror ne nu* latine ft tomb*. Si c entnee, ni douleur ; leu chou" ure* jaatt* ne pmem' plus Voui pouifs dant*r ou marcher à l'aise. A ssurt r-i ou* de '■ '•rnploj». uu* V h:\TK.V lit R Oh s roR> )>h /'/ ISAM Sa' faction garanti» hn * ***/»' chez /-' paharmactrt d» partout. Rf/u < z toute subxtitutnt”au lf ut t,en, by*// < t le roulage n,»ar su ré aur cors senuhles.

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I) a «m plus un «-aract* re artistique qui étnan*' <1** t*iut l’ensernble «pii * -t tout à fait agréalile à miter La pi-tite grill** *-n fer forgé « n avant d« - ♦Vn*’très de la sftll«* h manger, le «b'ime en ellipse au-dessus du fwir- eh«*. la marqui e au-dessus «lu bow-1

w indow et I* s f«*nétres h baies «ont des caractéristiques bien «lessinées.

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i fi'tntm* d’utiles suggestion*. <’oli- sidér**/. le hall par exemple. La porte qui «ionne sur r* ntré« <1 arn* r**. prés d* ta fMirt*- *lu vestiaire, possède un** glace-, tandis «{u’au c«*ntr«« à «Imite il

a un** alcôve pourvue pour une horloge Si nous nous arrêtons pour songer aux magnifiques h*»rlog«*s grand-p* re st \ 1»> eolotual «jui iraient s| bi»Ti ii *-*-t • ndmit. l’on realise ini- m«- liaU«iiieiit su valeur

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‘(’e lien, que l’amitié «le votre p> r** rendait rt. vous ave/, tenu. Monsieur Sirois, à le maint**mr tou- j«jurs solide et agréable, «d mitre contact plus immé«iiat, p*-miant I* h*-ur**uM*.s années «jue j’ai pasoc- a QuélMs*. m'a fait apprécier, dans I* fil-, b*- «jualité- que, avec tous m< «xitifrèr«*s «b* la province, j'ai tant aimées c t admirées dan- b* jWtc

“A«lmis la môme année «jue Mon sieur I>mi.s-I'hilipp«* Sirois à la pra tiqu** de la pr«.»f**'sion notariale, n ■ r**lation- gr;o-«* a nos fonctions r* pectiv*'.s. au sein «le la ('haml re «1- \otair*«s. finnt «ju'il s*, créa bientô’ entre nous une amitié profonde « ' cfintitante. ( "*-st dim. suivant que j’ai déjà eu l'o«*çasion «le b» rapp**l* r

que j'ai *’*té à même «b* jouir «b- non «‘ommcrce si plein de charme, «•ans»* «le sa distinction, «le non ta* et d** sou érudition, la seiemîc lég.i b* qui l'a «listingué a été maini* fois loué**, «b* même «jue sa prud* n ce «*1 son s«ili«b* jug**m**nt.

‘ Voila le- «piailles que fait si lu* n revivre la fidélité de son fils, en cjü tous aiment à trouver, comme autr bus, un ami «lév'oué, un gui<1« «d e**i s« db r prudent, un modèle à imiter sinon facile ?i égaler.

‘Monsmur Sirois, d m fait « tremement jdaisir d'être ici «•«• -• et <1** vous offrir, comme à un «iépo- sitaire très «iign**. les féli<*itation qui remontent jusqu’au fondateui de v«»tr*- étude.

Il n'est pas souvent donné d* « * lébrer b* centenaire «le vi«i d’ute- étude notariale **t surtout de i.-i trou V»r, à eet âge, si jeune et fiorissaute Voilà jhturiant b* rar* privilège «pie nous avons aujour d’hui.

“Fond*** «lepuis 1S2S l’étude Mr< a traversé allègrement cent ans d’un*« xisti-nc«* i* inpli** <1 activité. Kt qui «lira la somme <1** servie»-* rendus uu cours «b* <•«* siècle par b* grand on* '< fondateur « t «l*- ses «lignes sue*** »«*urs’.'

“Oui, Monsieur Sirois. soyez fél,- té j»our b - méntf s d*- vos prédé*-* seurs et pour v«*s mérites tous fruit «l'un travail puissant et d’une probiti pari'aite.

“Vos «*onfrères ont eu la très b» .- reuse i«l**«- d. vous offrir, comme inoignage «le leur at ta<*b*-üi«'iit « t «-n souvenir «b* «*«• n*niarqliable anniv* r- saire, un sujwrbe jiortraii a ITiuil* d** vous-même, «BUVTc de notre jx*ititre Charles lluot.

"Je désir** féli<*it«r Monsieur Hint jM)ur la jx^rfection *1*' s*»n travail «lau- b*quel il a su faire r* spb*ndir les qualités à la fois aimables et viriles «1* notre «listingué eollègue qu’il «jonnait évidemment très bien « t qu’il a mi - bien r«*prés«»nter.

“Ce jh>rtrait, reeevez-le cher Mou- Mcur Sirois. avec les v«eux <iue non- formons jMuir vous «t bs chers vôtres”.

Des applaudissement s souligm-rent la fin «le ce magnifique diseurs et «juand b* héros de la let** -» leva |H>ur j varier à son tour une «nation spontané© IWcueillit.

Von i en «ju**ls t«*riLi«*s M. K* n**tai- r*‘ Sinus s'exprima

‘Mon premier -entimeut en est, un, «b* profonde confusion en face «le la démonstratif»» dont je suis l‘d)j<t. surtout en constatant que b* lient**- ; liant-goiivern«*ur «1*- la juxivim***. «pie i I* Vu*.-Uoeteur de l’I niv ersite laival. que le doyen «le la Faculté «b* Droit ont bien voulu s'associer à vous tous jxuir célébrer un anniversjur** *l«*nt je ne puis être que très fier. Mais et* sentiment fait vit»* place a celui «l’une reconnaissance ctuu*- Nuis t«- Tiir compt*' <!«* mon jh'U «le iiu-rite, eu

' voulant mêm** m'«-n r«H*oiinaitr»- avec une indulgente générosité, «lotit j* v ou s sais gré, vous ave/, voulu souli-' gm-r l’t'xisten**** **enteriaire d'une étude notarial** à laquelle trois genéra- ti**ns ont consacre b*ur vu

Son Kxe«*lb*m*e M l’érod»-:iu a j trouvé 1k>n «le rapj)**b*r 1*'" « tajH- de ce siêck* «le travail »'t vous av* fait vôtres ses remarques emj»r* tntes d’une tn»p grande amitié, eu «•* «pli me eon<*ernc. « ar l’«>n n** «lira jamais trop «le l)i«'n «le ceux qiii m’ont r»*- cédé, «jui m'ont tracé la v«»ic a suivre. Je vous en suis |>ruf<*n«b-ment rec«»nnaissant. J«* n’essaierai j»a- par

- une humilité déplacée, par une indifférence feint© «le vous dissimuler la grand© j«»ie que vous m«* juxh'ur**/..

“Merci à vous. Monsieur b* gouverneur, qui

— 24 HEURES— New-York en FlorideI.* scid «•hemin «l»- f*-r à d«»u b* voie entre b* Nord et la Floride la U «.ARE |»EVN VKW VORK

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f*irc«*s

•uiipe par

■ber- ami-, «jui vous anniversaire, et

« leen

* souvenu faite- une

époqno inoubbabl*' dans m*ui existen- .. Merci a M. Camille Paquet, qui tu . fait l’honneur <h* venir «le Mont- n al me témoigner sa précieuse amitié.

( *■ «jui m’est particulièrement agréabh*. «*'est la forme «jue vous dorm«*z à <•«• «pu d«iit |K‘rjH*tuer b* <Miv«*mr «b* c© jour.

"Vous saviez «jue la place d’honneur dans mon étude était «mi n sacrée aux p«»rtraits «b* mon gran I-o*i«*b* et *i* mon ja r** Vous avez «•«impiété U* tr ptique. l’ouvu-z-vous fain* «j j**I «jue «-hose qui me fût plus sonsibb ** (’es ptirtraits évoqueront sans eess« trois j»ériodes du siècle <1** v i** nota riale «jui vient «le s’écouler.

“Quels souvenirs, mais aussi «pielle évidution ils rappelleront ! Pen

"Mais, à «•** propos. p*»rim tt©z-m«M «b* r«**M»nnaitr«*. <••« soir, «••nunu* j*- l’ai déjà fait souvent, que -1 mon père a travaillé sans cesse « t parfois très durement jHiur sa jirofession. s**- confreres lui en ont témoigné leur gratitude.

“Il faut b* proclamer bien haut il n y a jM-ut-être p.»s un*' corporation ( u,.illjr,.nt 1 «jui plus «ju© la nôtre s«* soit mon- . i ... i, t r*Âe généreusi* dans l'appréciation des servi. » - «jui ont j»u leur être rendus. Qui l* sait mi«*ux «jue ni »i ? M«*s confrere- in'«>nt traité en entant gâté Se souvenant «iu jm«u qu i! m'a ét. «bmné de faire, se rappelant les états «ie servie© de mon père, ils ont élevé b* fils à la présidence «1** notr*( ’harntire. le poste le plus haut qu'un notaire puisse ambitionner. Kn m’honorant. les notaires «b* la pr«*vine**

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pr«'*suient du bun juet invita Mgr ( a- nulle Kov à preu lr** la parole à .-«m tour L'<»;*at«*ur se «lit très heureux «b* - du *r le jubilaire au nom <1 H niver-ité et du Sémmam

«»nt toujours eu *‘11 mémoire <•** qu a- vai* fait mon père

“(’'est aussi «•»* qu© vols avez v«ni- lu, <•«' soir. m«*s chers «‘imis. et c’est xiur cela qu© je vous en remercie du on«i du coeur.“Fuissent les j>ort.raits «jui tigur**-

. ront à Lavemr dans mon «*tude inspi- - j rer à mes fils même s’ils n’ombras-

• iant pr. s «le «juaraiit© an-. Alexan-j saient pas b* notariat, b* sentiment «lr«*-Benjamin Sirois a |>rati<jué sous «h* l’honneur, du devoir et. de 1 «•-prit

K

Vf,

"L'I tnversité Lava1. «jue J*' represent© i«*i ce noir”, «lit Mgr Ko. en «•oinm«*n,*ant. “ic« pouvait rester m- difféient© aux d«*ux jubile-, au ««mt**- naire et au v ingt-cin jui'êm • anniver- sain* «jin* nous edébroii- L*,tijib* Sirois et Sirois ©st incorpora© «b*pui- prôs «1© cinquant** ans à rhistqire <1© notre universit * C’«*st en 1HS7, il > a j»ar «• m- '‘ jtitmt M ans, «jue votre très regretté p «re. m m cher jubilaire. 1© notaire 1/ouis-Philippe Sirois. fut upp<*lé à tain* p irti** «lu corps professoral de notre Faculté de Droit. Depuis cette date, votre nom. «ju’il fût

la page 14. 4 <M>lonne

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appelé ce Reo Flying Cloud JLf? Maître. Le nom de 1 auto et

un nom qui inspire d’autre chose encore. Prenez vous-

même le volant et laissez-lui prendre de la vitesse. Surveillez-en

l’accélération et l’action des freins. Voyez comme il mord le

chemin de pavé ou de terre — 1 erre avec laquelle il prend une

côte. Il mange la route — comme l’autre Flyingcloud fendait l’eau. Et il y a un Flying cloud qui attend

maintenant un maître pour venir le prendre au volant.

Y!REO

C L G U DLe MaîtreRço Mchot Car Company, Lansing, Michigan

312(limitée)

TELEPHONEP.-L. LORTIE

RUE ST-JOSEPH -j

J.-A. BOUCHER Rivière-du-Loup J.-E. DUGAS Ste-Anne-des-Monts

CREVIER & QUENNEVILLE Chicoutimi

7171

LE SOLEIL. QUEBEC VENDREDI 7 DECEMBRE 192S 29

NQUE DE MONTREALAssemblée générale annuelle tenue

le 3 décembre 1928

La lllcuit* trt-uéraU* aunuolW* actiounaireM lie la Hanquc*Montnai \»«nt «l'avoir lu-u dan* Ua halle» du cuumuI d'amiuiktration, bureaux-chef h. «le la l>an«(ue.Sur x>ru|M)Miion «lu maj. yén. l'hon. S.-f'. Mewburn, C.M.O., ht

Chartes Gordon, (î.B.K . a «*té prié d,«)ecu|>er le fauteuil présidentiel.L'hon. Henr> (Wkshutt a |»r«jp«>sé. appuyé par M. H.-K. HaaliuKh,

que U lient.-4*ol. (J -L. Ogilvie et bir V\ ilhuin Stavert, K.B.K , soient noni- tnés seruta't-urs. et que M. (.’.-H. Oonyn agisse comme secrétaire de l'assemblée, ce qui fut adopté à l’unanimité.

! dan» la plus solide solution a ce pro-j Relativement à l'acquisition de lai compte éqimalait à une déclarationI blême extrêmement important pour | Hampie des Marchands «iu < anada, ‘ claire que le public ne dev rait t'a-i le Canada, la population du pays.

lâ C.Grande-Bretagne, dirigée par un gouvTnement libro-éohangiste, a trouvé opportun de modifier son opinion, et après avoir cherché la formule adéquate, a trouvé ce que

ons une compagnie sub> dresM*r aux banque» qu«* )M>ur h * \ferchante Healty ('or-jfins du oorunierce et non p««ur jouer

pour a«iministrer imm«ubleh de la

nou<> avons sidiaire, la poration, Limited, nartiellemei.t le»r»anqu«' 11 y a «iis «obligations en cours «le «rette ejmpagnie au mon-

l'on a appelé très euphoniquement tant «le $3,2NÜ,000 «*t c’est n«»tn« in- *‘la Fauv(>gard«v de l’industrie”, par tent ion de l*'s r«‘tir«*r t«»ute» à leurles moyens de laquelle on espère prix de ra«'hat, HJô, augmentant le j ral** »•* toutes tentatives pouvoir donner de l’emploi «\ la po- compte «les immeubles «le la Ban«iue.1 mettre fin <»nt été inutiles pulation d’Augleterre. Peut-être au«« à notre bilan, d'une homme de S3.-1 affaire» au Mexique couti-

I* 000.000 «*t assurant la balaïu’e du 1 nmoit à ne oas êtr»* «les plus pros-m«»ntant néc*«sairu au racliat de ces ' p« n*s. «•e(»en<laut «*ertains Kigims d'a- obligaihms par les rev«*nus prove- méli«irati«»ns nous lassent esjiénT nant de la vente des propriétés «iont j qu** l«*s atTair* s reviendront plus n«»r- «»n a d«*jà disputé. « omme résultat males au cours de l'année nouvelle, «le «•«•tu* opération, tous l««s immeu-jKos ept suctMrnah'S dans 1» Képu-

la bourse l-a l»ours«« «le Nea-Vork a vu

l'année la plus active «le sou histoire et le volume «le» !rari»a«*tu»ns a brisé tous lès reo«ir«fs précédents. I^t fièvre de la sinVulation a été géné-

pour y

DISCOURS DU PRESIDENT dien-National$5,367,000.

une augmentation «le

LES

auedes

Avant de pro|>o»er l'a<ioption du rapport le président a l’habitude de faire quelques remarque».

Met pr«>rnlères par»»!**» son» pers«>n- uetlce. IniNiédiatenmnt après rassemblée annuelle «le l’an dernier vos directeur- ont décidé d’accomplir un ehangem» nt dans la composition du bureau, créant un président du bureau de direction et la nomination «l’un nouveau vice-président. On a aussi créé un comité exécutif m» compisant du prdsid ♦*nt «lu bur«*au, «lu préswh nt et ae deux v nu^-pr«aident s. Ce nouvel arrangement a été la cause que Poecupti I" po»te «le pré.»ident «1© la banque suc«*édant à sir VincentAiere- dith. Je désire remenuer les direc leur* de leur appui unanime et vieux et )H>ur les conseils qu’ils m'ont donnés au cours de ma pn miôre année h W P6ste. surtout l«'s membres du comité axécutif qui out donné b««aucoup de leur temps «*t de leurs énergies aux affaires de la banque.

Avec l’aide <l**s connaissances et de t’axpérMnce «lu gérant général, sir ffVidarick Williams-Taylor, et après mi examen sérieux par vos direc- tanvs d*« nombreux changements ont élé^pérés et nous comptons qu’ils lu,llf ^■rrnnt activer l'avancement des nifcir« de la banque.

lëi. je ne saurais m’empêcher d'exprimer mon profond regret, repret qne je sais partagé par vous, de l'ab- Mc. pour raisons de santé, de sir Vfilc. nt Mere<lith, qui. durant tant d'nnnéf s. a dirigé i«*h affaires «le cette imsi îtution avec un succès aussi r<*- tnarquable «*t qui. au cours «les dix noué* s dernières, a présidé ces réunions annuelh'»

Le vi«le causé dans direct ion par la tn«»rt Ho*mer, h été n-mpli do M. W.-A Black d’une grandeOOItnaissancesl*oue»t nousdoux

BASES DE LA PRODUCTION S’ELARGISSENT

Ku passant en revue la situation économique du Canada on ne peut s’empêcher d'observer ave«* quelle rapidité les sources fondamentales «1«* notre richesse nationale augmentent. Comme une grande variété «le matières exi»îe en même terni»» qu*4 «les

notre g«>uverneinent. avec l'approba Ition «lu peuple caimdien trouvera aussi une formule qui anièn«*ra une plus grande <liver*ité de métiers que nous avons actuellement, ce qui ne pourra faire autrement ciuo «l'attirer ici un plus grand nombre d'immigrants, tout en aidant à garder au

• pays ceux des nA re» qu'attin* l’é- . tranger

On a manifesté la crainte que l'élection récente d’un nouveau oré- sident «les Etats-Cnis iMturrait bien pnnluire un effet malheureux sur le développaient de l’agriculture dans l<*s provinces de l'Ouest. Mais comme 1«* ( anada est le meilleur client «les Ktats-Cnis, il semble peu probable v4ue cm* pays fasse quoi que ce soit «le nature k lui r*«strcitiarc

pouvoirs hydrauliques sur une échelle son meilleur marché, tout particuliè-' comité exé«*utif. gigantc»«iue. le Canada a la ehanc«i extra«»rdinair«‘ d’un progrès rapide dans tous les domainen et le fait qu’on comprend maintenant ces occasions amène l’établissement de grandi** entreprises fondamentales

bl«.» «le la banque m rôtit représentés par l«*s chiffres apparai»»ant sur notre bilan et aucune propriété «le la banque ne sera déténue par des eom- paguies subsidiaires, sauf nos immeubles «le New-York «jui figurent au bilan pour un montant «b* $1

Comme je l'ai déjà «lit, un comité., exécutif «lu Bureau a été f«»rnié après iüU'*‘r ur* l'assemblée annuelle de l’an «iernier'.Nous nous pr<)|M>sons d'augmenb^r ce comité à cinq membres «‘t vous deman- derons d'adopter un règlement pré- vovant au traitement d«»s membres du

hii«|u«« constituent un tan* «lans nos affaires

facteur irniM»r-

UNF ANNEE DE PROSBER.TE FOUR LF CANADA

s affaire* au Canada que par le passé. |>« »

.,r£_ demandant 1 engagement «le erpitaux considérables et e«mtribuant «l’une fav'on marquée à l’activité générale.

Pour la première fois, notre commerce étranger a eu plus d«* valeur

ue celui de 1921, alors que l’apogée

rement si l’on prend en consul* ration la politique «lu nouveau président des Ktats-Cnis qui dé«*îar«* favoriser l’ouverture de nouveaux marchés h l’étranger.

LA SITUATION A L'ETRANGER

Avec l’extension toujours plus grande «le ses relations internationales, le Canada devient de plus en plus intéressé aux affaires du mon-

AUG MENTATION DU AUTORISE

CAPITAL

prix était atteinte. En quantité de entier. Je ne crois pas a!l«*r trop il excède beaucoup toule année pré- loin en disant que la situation en cédente. atteignant pendant les sept mois qui se sont terminés le .'il cxîto- bro $1,512,549,000. chiffre d«*s importations et celui des exportations se rapprochent beaucoup, eel-

i ayant un av antage de $35.024.-1 dans leur cîmmerce.000 1^‘s produits agricoles et lesanimaux c«»ntinu«*nt h fonner la majeure partie de nos exportations, a- yant eu une valeur «le $459..385,000 I»endant œs sept mois, ou près de 00

L'expansion «lu commerce et de l’industrie cana«liens a été rapûlc et tous l«*s indices sont «jue ce progrès va se <*<»ntinu»*r. I>« pui» plus «l’un siècle la Banque de Montréal a î«‘nu une place prépondérante et joué un rôle important dans le mouv«*ment pr«»gressif et votre Bureau a dé«*idé. après le r«^ tour de cin«i «le ses membres en voyage dans les provinces «les prairies et la '

Eur«>pe est plus stable «ju ©Ue ne 1 a C’olombie-Anglaisi*. «-n septembre d«»r-1 ïamais été depuis la guerre. Toutes nit,r> «je v'«)us r««commander, à l’assera-! les monnaies réellement importantes j blé«* annuel!»- d. la Bamiue. d’augmen- j sont stabilisé«‘s et la plupart des : t4,r ^ t,a.)ltal aut4)rijlé ^jqpay* jouissent dune augmentation iqilii erit it $.V)1000,000. Une réso-1

lâ Grande-Bretagnelution vous s«*ra soumise aujourd’hui J

le bureau «le de M C-K. par l’éhêtion gentilhomme

«expérience «*t «lont le* ; «le la silUHti«»n «lans feront, un collègue pré-

LES AFFAIRES CONTINUENT A S’AMELIORER

L« rapp«»rt «!«•» «»|»én4tions de Tannée ind iqu<* que nous av ons plei-j nem* ni parti«Mp« ;« la prosjiérité général» Nos fonds ont été employés en entier, surtout au cours «les huit dernuprs moi» à cause «le l’amélioration continue dans 1«* commerce <*t ri®dusfri«* d’un** très alK»n«lante ri-* ooltc dans les prm intves «l«‘s Prairies et d«* l’état pr«»»iH re «le l’agriculture dan* les autres provinces, et aussi des taux plus él«>vés pour l’argent à vue à New-York. Tout à l’heure, je reviendrai plus en détail sur ce dernier (voint.

Bien <jue Vagrieulture, le com mer-i ce et l’industrie aient été plus actifs pendant toute Tannée, qu’ils ne l’ont jamais été. on ne saurait dire qu«» les banques en aient souffert ■tie tension financière. Ici, comme j aux Etats-Unis, bien des compagnies Ont conservé «lepuis la i»éri«xle de la gm rre «1*> fort**» réserv es financières qui leur servent actuellement «ie capitaux actifs et d’autres ont émis des \al«*urs que le public a absor-

«•*• qui fait qu elles sont indé- pendante» «les banques. I n facteur peut'-êt r«* plus important encor»*, c’«*st que le roulement ou renou- Vellement «les stock» commerciaux a été plus rapide dans les com- ■aerces de gr«»s et de détail et que, par conspuent. on n’a pas demandé aux banques «le soutenir financièrement <1«‘S stinks relativement aussi ««onsidérables qu’autrefoia. (V*| changiTmuit a été provoqué par l«*s néc«*ssités d'aprè>-gu«Tr<* venant à la auite «le la période «ie

p. 100 du total. Depuis la .'l.ute de. ' indu‘,rî“ ««piUM . prinnpal,..naD prix do 1921, alors q,,,- la cri»., d’a- !P,^D;Jc fer. l^Mcr «t les tex près-guerre se fit sentir, la valeur monétaire du «‘ommerc© étranger «lu j

(('anada a augmenté de pas moins • que 70 p. 100.

On a lieu «ie regretter qu'un surplus «b* production, avant pour ré-1 ^ ^■..L i élevés que 1 an dernier.• sultat la concurrent*»* et la baisse des I ■prix ait arrêté la prospérité énorme ! de l’industrie «lu papier h journal. 1 mais il n’y a pas lieu d’êtr»1 surpris I «l’une situation «iui se produit quami l’offre est plus forte que la demande.Bien que ce champ ait été trop rapi- ' denji'nt exploité, Tndustrie «vst bien ' établie et sa i>»*nnanence assurée. I On i>eut s’attendre à «»e que l«»s ar- rangemeuts soient faits pour régler I cett«* situation en même temps qu’on j cessera d’établir <1«* nouvelles tant que la consommation ne sera pa« l’offre.

La production des minerais un item considérable «lans le

a eneon* afaire face au problème «les sans-tra* vail, «lont on doit chercher la nource dans la dépressi«»n continue de s»»s

men t ex-

til**R. Néanmoins, grâce au revenu c«msi«iérable. T Angleterre a pu, en 1927, produire un** balance totalo du «■ommerce favorable, tandis que la balan<*e adverse visible à cette dat**. e»t de 35,000,000 de 1ivt»*r moins

Cela prouveque la situation écon«>mique du pays s’«*st grandement améliorée, et il faut constater en passant que c’est tout particulièrement aux nouvelles in- «lustnes comme la manufacture d’instruments et «le machineri»*» électriques, et celle «le la soie artificielle, et caetera que cette augmentation e«t due ï>« commerce intérieur est plus actif, la prod «t ion plus intens»* le niveau gént'ral «le la vie se main-

^ 0,11 tient, et il n’y aucun doute qu«j la oTln# Q i prospérité «le la (iran«ie-Br**tftgriH ne

1 I*H"" lait que grandir.Aux Etat»-! ni* les conditions gé-

torm« nérales son» manifestement plus fa- com- vorable* qu’elles ne l’étaient il y a

afin d'adopter eff-t.

un règlement à

DISCOURS DU GERANT GENERAL

M. le pr( i?i«i«*ut et raes-ueur-.

!♦« bilan de* affaire»

En général 1 sont meilleure»

i<* 1928. plusieurs bonne» récMUs placèrent le pavs en voie <1«« pn*»i>érité. Cette p«»hition »’»’*t améliorée eneon* »vtte année par une sér'- d'excellentes résultés «ian» 1**» vieilles provin«*«*s. lorsque les provin- c« s prairies déi«axèrent de beaucoup leurs r««cor«is d«*s années pré«»'*dentes L’tt-*tivité «lans l’industrie a pris «i«» développements considérables la construction «Titre autres a marché à grand* pas. il serait injuste de ne pa- «*it«*r i«*i tYxploitation «i«i «*es a«?tifs naturels. t«*l» que pouvoirs, d’eau. l»‘s mines et h»* f«>r*Ms. Nous av««ns joui auasi d’une forte augment at n»n de* r«ivenus provenant ou tourisme oui <*omnience à compter dari-i |«-s affair**-» «lu pays.

(’«•' facteurs ont mis do fort» montant», en circulation, iis ont contribué à augmenter la demande chez nombre de nos industries et f«»rt augmenté le salaire des ouvrier» depuis la gu- m* Dans 1»*« deux principale» provm«*e» industrielles, Quét*ec «*t Ontario, !a fabrication a atteint un

ce*i«ieKi' S»*ns pré«*édent malgré quelques ^ J exceptions dans certain**» ligne» «lue»

à la <*on«'urrence de l’extérieur.Dans T«jue»t du ( ’anada Tannée a été

remarquable non M-ulement par U"* récolt*- alntndantes d** grains d«*s provin-

Urain**>, mais j ar la diminution î par hois&eau d«* grain, due en

* ;i une temi*érature favorable, partu'ulièn’ment à l’économie

nant «ie l'amélioration toujours

U*»* d#velopf*ements «le l'aviation au ««hits «le Tanné»* ont démontré que le transiM>rt aérien sera «l’un apport important i*«>ur !«** entrepri- **••- industrielle» et commerciale* du Canada De» aéroport** p«*ur le-» v* rv i«»* s «le malle «Ju pav» et d«*IY t ranger <»nt été établi» à «hffé- rents **ndr**it» stratégique*, pnm i- paleinent à Montréal que T«»n dé»i- gne déj.* comme le ix-mt terminu»

1 d'att«*m-»sag** |s*ur !*• «itrigeables transatlaniKju**» <iu»« l’on »e pr**|x»- m* «l'établir p«»ur le ser ms- des p«* t » et de» v«»v ageur» qui *»«ra la par la Royal Air Foive hou^ le» au»pi«*eh «lu gouv*-rnem*i.t angai». Actuellement, un service de poste et «i»*» nn*»>ageneh «vt établi *-ntr«* le* prin«*ipaies ville» «lu ( ana«la »-t aussi «•♦•rtains centre», «ies Etats- Unis. I*a îabncation d'aéroplAiie» m « anada a tait «les pr«*grè*« sen- Ribles et la créâti«>n de iioinbr**ux club» d'av latiou a poussé le public a acheter «1«- aéroplanes «t à suivrede» c«»urs «b* piloteh-a\iateur*

Au point d*- vue affair* . «•*•» «l«-.e- l<»pp«Tn«*iit* bi.-n qu'ét«»nuants, s«*ni «le p«*u d'imiMirtams* comparé» au travail fait par Taviati«*n «lan» l’ouverture <i«* t**rr»toir«-s éloignés, la aur- veillan««e «le- forêts ♦** «ian* le système <i«* prot«s*tion «I»*» territoire-, boisés. T«*us l«*s «***ntr» » Tnini«*rs en «*x- ploitation «lans les emiroit» reculés «»nt leur s«*rvi<*«* régulier a«-ru*u non seulement pour le transport <!«• la malle, «les voyageurs «t d«- marchandises mais aus.-i p«»ur l«*s lui* «le r««- ches «le nouveaux «'laims «l’a.'Civs ta- cile par les air>. Tous oe~ détails n’«jnt fieut-étre pa- grand** imix*rtan- œ pour Je moment mais p«*uv«*nt être con*id«^c* s «l’une importan**** «*a- pitah- jour 1«* dév«lopiH*m«*nt futur, du pays.

DEVELOPPEMENT DES SERVI-1 CES DE LA BANQUE

L*— «üffiôtfition» pahM-e» iM>ur I* paiement «l«* la rémunération a.iv membre» «lu < ’«unité exé«*utif j»«-;i- dant TexercH-e finan«aier terminé î. J1 octobre 192». sont par le- pré »*-n!es approuve*»*» » «•onlrn*»-

J KéWiluQue «v* qui suit *oit d*Vrété comme

t No 11l(**gl tu.ent A<*tionuaire

REGLEMENT No II DES ACTIONNAIRES

ndu que le capita, a* ti*ifis «fi !h est actut-lb nient «le ♦ ! 175.- 4u’il est expédieut «pTil s«iit

igni««nté tel «jue ci-après stipuléb-ut conséquemment dé«•!*»'té

ABan«i UJÜ *•ai

‘•Qu’tl que

1>* capital-action» «le -‘oit et **vt par l«*s pr« '♦•nt«*: $.riÜ.0t)0.<MJ0, stnt d’un«- $18 825.(XK) divisé* ell tloi s de $1(X) <*ha«*une

I ♦ président «fit “N«.u» allons prendre n

vote «ur *•«•« resolution» approbation, je vai \ «*t«* jM«ur Ta»-»**mbl*

la Ban<ju«* augmente à somme «ie

I ss 250 a* -

**uaiit i** «e votre

d«jnn«T un seul mais si un ac

tionnaire désire voter, il un bulletin «b v«»t* «iu se

peut obP rétam».”

nir

Votre banc « progrè

inque,S (ill s ou à l’é-j un an. On peut être aasuré que 1928 trang«*r. (’’est «ian» les métaux corn-j passera dans l«*s annales du commerc mun» «pie le» progrès ont été le» comme une année d’activité bien sou- plus grands et la permanence mieux : tenue et surtout pn.fitahle. tant assurée. Iî c«>ns*.mrnation moadia-, dan» le commerce que l’industrie, et h* du nickel, «iu cuivre et «iu zinc, ! l’élection de M. Hoover parait avoir à laquelle le ('anada contribue beau» j créé l'impression que les conditions coup, excède maintenant les chiffres d’avant-guerre. I>e Canada pro«fUit 85% du nickel consommé «lans 5 ork doit probablement êtr«- attribué

f- économiques ne seront pas changées. »- ^ lie taux élevé d’intérêt à New-

le monde et I**s gisements éprouvés sont si grands qu’il» nous assurent <M*tte suprématie indéfinirmmt. L’extraction <i«* la houille en Nouvelle- Ecoaæ a été plu» ctknaidérahle «pTau «murs des dernière» années. efforts accomplis r»our transpr»rter le chnrlxm «le l’AlDerta en Ontario

En présentantd«* votr«> hanfiut*. à la fin du cent-on zième excrci»***, j«- suis Ixmreux de vous , " ,i , , i, , . , x. .. coii-tui •• <;*•» instruments arat«nr**-din* que l««s résultats «>nt été tr»*s sa- ,1 * l.a «limmution relative de la popu

lation rural»* «huit on parle souv«*ntnets dépassent ceux «letisfaisants

Nos profittoutes l*«s anné«*s depuis la guerre;! . cette augmentation «*kt due d’abord*^01 aux conditions «1«* haute prospérité du ( 'anada. résultant «1«‘ f««rtes dernandoH de prêts des entreprises productives, sans perte» C4»nsidérable<. «*t deuxiême- in«*nt aux taux plus élevé» d’intérêt obtenus sur «***tte partie de n«js fonds à réalisation rapide placée sur les mar- «•h»'s «!♦« New-Y ork et «1«* Ixindres. no» «•♦‘litres «1«‘ réserv»*» A l'extérieur «lu

I doit érr«* attribuée en parti»* a i*- machine» modernes. (’*

Ce résultat est hautement encourageant surtout lorsque Ton songe que nos elientc canadiens n’ont eu à souffrir d'aucun** hausse dans les taux d'intérêt. D» marchand», les manufacturer» et les cultivateur» ont pu obtenir des fonds pratiqueiimnt au même! taux que par I«« passe. li«»s prêts suri à fair* d«-s valeurs de bourse et autre», forme! culté*

Tem- ins-

truments qui demand«*nt moins de bras *“ur l»*** ferni**» du Canada augmentent ;» la fois souvent la capacité d** pnxluctiou et améliorent les conditions rurales

t '♦** i>*»rfectionnementfi font v «jir. le cultivateur cana«iien de nos jour» comme un homme d'affaire» qui «.ait en i*eu «i«* t«*mî»s pla*‘**r son industrie sur un pied «l’égalité «les industries | d«* ville

tant à la grand** «lemande «ie crédit des sources normale*, savoir, Tagri- cutur et le commerce, que de la Bourse où un plus grand nombre d'action* cliange de mains tous les

il y a un an sur-jÇj^y....... plus ♦•lev»*s; , ’

il faut ajouter à cela le fait «pie les *'

jours, comparé à tout à de» prix beaucoup plus

au moyen «ie concession» dan» les I dépôt» à demande tels «jue rapportés tarifs n’ont pas eu *J«* succès. Ou j par les banques d«* la Réserve fé«léra- peut être c«»rtain, néanmoins que le à chaque semaine sont plus bas de l’industrie minière du Canada est (quelque &4t)0.(X)ü,U00. Cependant la appelée à apporter une part impor-| majeure partie de ce montant, a tout taute a notre richesse nationale. de même trouvé son chemin jusqu’à

L'industrie des automobiles a at- (Wall Street par la voie des prêts inteint de grandes proportion». Dans les neuf premie*» mois «ie «*ette année. le» usines «>nt fabriqué 168,871 voitures pour voyageurs et 32.819 camion» automobiles, soit une augmentation de 35,687 voitures à voyageur» et 4.420 camions. Quelle» que puissent avoir été les vues des économiste», il y a (juelques années.

k* trouve dans les améliorations; [extraordinaires des moyens «le transport «pii i>enn«*tt«*nt un remplace- inent l»eaucoup plus rapide de» Mocks. Bien que la circulation de» automobile» ait eu sa part dans ce

[changement, je pense que le public ^n«* comprend pa» encore combien fc* la ♦*»’ «:û à l'augmertalion trèsgrand»* de t«*lles capacité s de no»

^chemins de fer.L’enlèvement, 1«* transport et la li-

v raison <l»*s marchandises ont été accomplis bi«*n plus rapidement et alors qu’il y a quelque» années, le» marchand!»*1» se déplaçaient à peine très lentem<*nt, on a réduit les délais dan» 1«* transport par un meilleur servie**. d«*s trains plus rapide», de meilleur» raccordement» avec le» embranchement» «*t un meilleur matériel roulant. No» chemin» de fer canadien» ont occupé un poste «i’a- vant-garde dans ce mouvement et ie» résultats qu’il» ont obtenus peu- x»*nt **». qualifier de remarquable*». De cette manière et de bien d’autres, no» voie» ferrée» ont contribué à la prospérité générale et, comme le bien-être des intêr«*s»és de no» compagnies «le chemins de f«*r exerce

iiine profonde influence sur la »itua- Jtion économique du Dominion, nous laoinmes htmreux de remarquer qu’ils ont eu leur part de la prospérité générale, le chiffre de» transports et des recettes brutes avant «'réé ♦le nouveaux record», l-a rapidité du déplacement du grain a été remarquable, cette année, le total de» inspections a été de 89.281 wagons en oct«»bre. soit une augm«*ntation de 24.720 v«ag«>n» su le moi» d'octobre de Tan «lemier, et, à la fin d’octohr** c’est-à-dire après deux mois «ie la fin «les récolte», 250

«lividuels et ceux d**s corporations. A ce sujet il est bon de n«>ter que le chiffre ordinaire de» transa*dons qu«>- tidiennes à la Bourse de New-York a monté «le 270,000 parts «*n 1913 à 1,900,000, en 1927, alors que «Jurant les deux <i««rnièrt*s semaine» la moyenne quotidienne a dépassé 5.500,000. 11 semble exister une impression assez répandue que les bamiues <*ana «bennes ont transporté de forts montants d'argent sur le marché de New- York pour v servir aux prêt» à demande. (Via est absolument faux.

la

_* i touchant une saturation poRsible. ilsemble bon*de les modifier à la lumière de la demande actuelle.

I** bâtiment continue sans interruption. De» contrats au montant de379 million» ont été adjugés au cours l*a jKilitque que poursuit «les neuf premiers moi» de l’année et d* les permis d© constructions s’élèvent à 166 mitions de dollars. L’augmentation est par conséquent «i«‘ 24 million» sur le» chiffre» de la période cores pondante en 1927. Ue» chiffres indiquent un emploi considérable de la main-d’œuvre ainsi qu'une augmentation dan» la fabrication et la vente de matériaux de construction.

de prêts plus suj«vtt« à la fluctuation ont été faits à des conditions qui, bien que plus élevées, étaient encore plus basses qu'aux Etats-Unis, bien que le» conditions du marché financier chez! ont affe no* voisins ont né<?©ssairement leur | de gr«.' et répercussion sur les taux d«à courts ternies en ce pays. moyen» de

A la clôture de T exercice tinan l'actif total s’élevait à $873.

)O0 soit une augmentation del de $12.000,000 sur l’exeremej

pmVdent. Sur «•«• montant «*n note que l'actif liquide est de $473.800.- 000. ou 59.55 p. c. «lu total ; <*e qui comprend l'argent en banque, valeurs réalisable» à vue, in<iioe évident que malgr** l’augmentation d«*< demande» de prêts pour fins commerciales et autivs. 1» position ordinaire et forte de la banque a été maintenue. Ix's prêts commerciaux **t l’escompb* au t'ana«la. au montant «le NJ08.700.000 in«liquent une augmentation de $53.000.000 au «jours de Tannée, alors «pie no»

• prêts à demamie au t’anada «iépa>- J s* nt quelque ja-u $10.000.000

~| dépôts au montant de $721,000,000 dépassent d«* $21.000,000 ceux de l’année dernière I>*s dépôts por~

le** faillite^ dan> le c<*mmerc«« pour Tanné*** t*TTninée le l«r octobre ê »(»nt élevées à 2,073 avee un passif «T* $44,- OOtMum. comparé à $40.000.000 en 11)27. av «m* 2.156 faillites.

I>* eomiii**rce. «*ett«* année, a «ti face k de nombreuses difti- D* s «vstèmes modernes de

l’argent ces firmes trouvent difficilement

concurence ont amené «le grands changements dans la distribution. Le» maisons avec fléparteinent par la malle et les chaînes de magasins »

sensiblement les maison» de détail Plusieurs «le

le»résoudre le nouvel ordre

de choses qu’elle» devront forcément adopter pour pouvoir continuer à

! fain* des affaire».I Notre industrie animal** a fait j de? progr* * marquant * Stimulée par de forts achats «les Etats-Unis, le» bestiaux ont été en forte «lemande et à des prix supérieurs À « eux de» an- n«Vs d«*rn;é *•*. ; aussi Texportation de» Ixsti iux «*t des mouton» a augmenté d'une manière marquante.

De 1918 à 1927, l'augmentation de la production «If» prceluits laitier» a été dVnviron 25 pour cent et cette augim n talion a contint é au cour* d«- 1928.

CONDITIONS MEILL EURES DANS LES PROV. MARITIMES

tant intérêt ont augmenté, «lans j Tannée, «le $32,500,(100, s’élevant

.. j aujourd'hui à $571,000.000. Je tiens« f , . anque ^ mentionn«*r ce «létnil «v*nim«* uneMontréal. *»t je crois qne ceci s ap-1 , j i . .J evulente «le la «confiance inal-

L'un des dévelopi>enn*nts l«s plus ! hruroux a été le ngain «le prospé- i rité dans les Provinc«s Maritimes *

piique à toutes nos banques, a tou jours été «le garder à New-York un«

pr**u ve

dérable» fac*iles à convertir. Jamais, , cependant, transport en» ns-nous des j ^ fond» k New-York ou k Londres pour jatjon être consacré» à la demande de prêt* j k vue, sans que nous ayons d'abord vu à satisfain

I téral»le que 1«* public en général porte h eette banque en défaisant «es économi**s à la caisse «le l’épar-

billets d<« la bnmpu* « n cireu- sont au montant «le $40.-

), »«>it $1,200,000 «le plusTannée dernière

, . _ v- i bureaux en Angleterre, en| me» de notre, propre NprM,|rran^ nux Kis.s-l nis prynnontb* TimjHirtance de i»lu» en plus.

tous les l>cs<tins légit i-j ^^v-1 N os----- -------------- - pays*

IMMIGRATION ET DEVELOP-! sur V marché de New-York sont PEMENT INDUSTRIEL I moindre» «iu’il» Tétaient Tan d(*ruier,

( à parelle date.lie nombre des immigrants qui La prudence ♦*♦ la sûreté ont

entrent au pays continue à désap-1 toujours été les principe» directeur» pointer ceux qui le voudraient plut» i de votre banque, élevé, et Ton ne constate qu’une | La spéculation exagérée sur h** faible augmentation dan» le nombre différente» l»ourses qui

pour la banque «Tabord «t pour l'expansion de» affair**» du f)«xpan-utnmon.

«omi-

d«»» nouveaux venu»; durant le» huit premier moi» de Tannée ils n‘ont été nue de 134,000 A' comparer avec 129.000 pour la même période Tan dernier. On ne peut «*e- pendant pa» manquer d’être impressionné par le» opportunité» of- ( ferle» aux immigrants après que Ton :

SITUATION MONETAIRE A L’ETRANGER

L’an dernier en Angleterre la livre sterling était k une prime substan-

D'ancienne» industrie* commencent à faire «le nouvelles affaires; de nouvelle» industries très importantes qui s'occupent «Je pouvoir» d'eau et des produits forestier* s établissent <!«• jour en jour; «le nouveaux <*«»lons prennent de» terre*- «'t l«*** touriste» en nombre toujours augmentant s’y rendent p<»ur y passer un«- agréable villégiature. 11 y n encore beaucoup k faire et je crois que les ancitms jours renaîtront pour ce» province» car tout laisse espérer et entrevoir que l’avenir *era pnwpère

I«a récolte «le blé <J«* cette année démontre* clairement que 1«* < «riioln ♦*st vraiment un pays agricole, mais il n** faut pas «lubln rque sa plu- grande gloire réaide dan- la variété «!«.* -♦*s ressources S« s mines augmentent toujours en importance, lui pro«iu<-- tion minière cette année dépassera - irement un «iuart de million de dollar» et Ton p évoit encore une autre forte augm«‘nta!ion ulan» un

» est maintenue durant une pério«le considérable, et avec «le nombreuses ramifications. ne manque pas «le «•anse*»' une grave inquiétude aux ban- tielle sur h* dollar américain Au- avenir rapproché k cause «les usines quiers. Je n’ai pas besoin de vous, jourd’hui c’est 1«* contraire. La Ban- ,.n voie de construction pour la prédire que la hausse des prix ne peut que d’Angleterre a iH*rdu de l’or paration «lu min«*rai. L’établissement continuer indéfiniment, et qu’il y ! mais *♦«* réserv«‘» s«*nt encore plus (|M» exploitations minière» sur une a une limite bien définie aux prêts j élevée» que Tannée dernière. Uar un grande échelle, «lans la partie nord

pu voir l«*s immense» territoire*» de • que peuvent «consentir le» banque* contrôle «*ffîca<*«« «le la position decré«lit, la banque a maintenu un taux minimum «le 4,2 p. KM) et a pu s* m tenir le» taux du marché et pré venir la diversion de forte» balanc**» dan» «les entreprise» étrangères, fait remarquable alors dû aux taux él«-1 vé* à New-York qui poussèrent l*** emprunteur» k s’adresner k Ixmdresp«»ur des capitaux. Londres a g»ni*' blable». Ton peut s’attendre à de

\ astes développement des r«'ss«>ur- ce» potentielles du t‘ana«l.*i

no» province» du nord-ouest, surtout i sur un certificat de stocks. Je ne «lan» la région de la rivière à la Paix. ! puis m’empêcher d’espérer que la Notre gouvernement n’a nullement j réaction ne soit ni aoudaine ni probesoin «le supplier quand il invite lesjüoncée.étrangers à venir chez nous, surtout! Au cour* de ma première année lorsque Ton songe que nul autre pay»1 comme président de la Banque, il au monde ne peut offrir à l’ouvrier ! m’a été donné de visiter le» suceur- agricole le» avantages que possède sales que no un avons au Mexique ; le ("anada. Il semble que de l’opinion quoique le» conditions là-ha» nogénrale ce qui manque à notre pays isolent pas ce que noua voudrions j sa supiématie comme centre flnan- c’est une population plus forte. Ce- j les voir, je suis heureux de pouvoir | cier et pour la première fois depuis pendant avant de pouvoir attirer de» dire que, durant le» dernier» mois. ; ri»*» années. I** Canada réussit k immigrant» chef. nou». il est néce»-j il »’e»t produit un changement très j t«*tiir «le fort* capitaux k li«»n<lr. saire «le fournir en plu» d«i avanta- prononce pour le mieux, et que dan» i Iê» termes satisfaisant» obtenus d**

millions do b< isseaux «le grains i go» dans T agriculture, un débouché. un avenir très rapproché nou» assis-j montrent que le marché est «*uvcrt avaient été transporté» aux éléva- pour l’avancement de notre politique' toron* k une réhabilitation corn- aux capitaliste» canadien» r«*«*«>Tin is leur* et aux termini. Cette immen-; d’immiin'ation. mai» aussi dans lin-iplète des finances mexicaine». Ce» | comme faisant honneur à leurs af-

>e cimilation a été rendu p«»»»ii»le térêl ne la génération montante de1 projets nont dans les main» de gens faire». Trois de no» province» ont Ipar !♦♦* agrandissements, le matériel Canadiens, «lont plusieurs ne se aen-1 capables, financiers averti», et sont | dernièrement contracté de forts «*rn-| roulant «*t Texplitation effrcace de» j tent aucunement le» dispositions ni développé» de telle façon que lor» I prunta à I»ndr©s et v«>u» appr**n- chemins de fer, comme par un; le goflt d’aller sur la ferme. C’eut ! «Je leur mise k exécution, le Mexi-1 rirez avec plaisir que votre banque nombre suffisant d’élévateur» à Tin- pourquoi si nous voulons garder chef ( que sera capable rie faire face aux .a servi d’intermédiaire pour rouvrir itérieur et aux termini. noua cette source de vitalité noua‘ obligation» encouni©». [au gouvernement canadien le mar-

D’autres article» ont aussi aug- devons de toute nécessité diriger le» i Je me miis aussi rendu à no» sue-! ché rie Ix>ndres qui lui était fermé le mouvement des marc han- effort» à la création et au maintien ! ©ursales de Londres et de Pari», ainsi, depuis quatorze an*.

lu Manitoba et <1«* la Sa.‘-kat«*h«- u an et sur «le n«>uvt*aux claims dan» le nof«J d’Ontario et du Quéltec a donné un élan nouveau pour la d<'»- e«»uveite «le mine* dans «•«. pa; s situé entre c«** derni«*rs rmlroits et la partie la plu» au nord. Si Ton juge vin<*« * «'fit «le* résultats j*er le* «-*ui* du pas**»* disposition

messieurs, a *um an a* la non seule

ment par l’étendue de notre système de succursale» mai* par Tamplifma- tu*n «l«*s services au pays «*t k Té- trang«*r. surtout «lan* le «léveloppe- ment «le Tadministratnm de» affair**» au pays, elle a répondu U la demande constant© «les affair*** toujour* croissantes .

(..'agrandissement d«*-> marchés du t’anada au-delà «les mer* h forcé la banque «l’y établir des facilités jMiur le* fins du cornm* r«*e avec plusieurs nay* entre iiitr»- Textrème Orient. Depui* n«»tr«* dernière réunion, des «iélégué* d«* la banque ont visité l'Australie, la Nouvell«-Zélan<ie la Chine, le Ja|>on 1*> Indes et les Etablissements du Détroit <*es dermè- r«*s ont étendu nos relations dans ces pays et acquis d«* Texpénence «4111 ne manquera pvs d’étre «le grande valeur ^K*ur Tavancement du «*ommerce du Canada Vous n’avez là qu’un faibl«* indice «le notre fHditique «leprogrès

l n jHiint marquant «le Tannée a Jét** l’augmentation de* prêt* k courte jéchéan«*e k des courtier* ici et aux Etats-Uni* mais surtout au Canada En niai 1927 le* prêt» à vue au t’ana

♦ la par toute* les banques ont été «!• $178.^)0,000 En mai «ette an-

aicn monU à $2689 000000. et un U) septembre, dernières statistiqu«** eonsultées, il* étaient à $246,000,000 11 y h probablementun autre $200.000.000 de prêts k différente» compagnies et aux mdi-

1 vidu».Iê dév'eloppement de» ressource»

du pays demande n<*c«*ssairement Témission de nouvelles obligations et Tactivité «Je lu bourse est en parue h* résultat de» développements, «Je* fusions, «les réorganisations, etc., mai* toutes ce* nouvelle» «organisations n’ont pa* été fécondes «ju établit*.* jmur le l»éijéflce du pays ou du public en gt'm'ral. Iâ prospérité engendre toujours Topliuname. mais Tinsuccès * st supposé venir «i«» la surcapitalisation et de pnqe!» qui j escomptent trop d’avance la pros-, pénté du pavs. Il m* nous appartient ( pas de «li«*t«*r (a comluite de nos clients k I'égar«l des stock*, ou la ( manière «lont ils devran*nt comitiire leur» affain*s. mais notre devoir comme gardi«*ns de l'argent de n«*s déposant» et d«* nos actionnaires «**t de prét«*r dans «certaines liniit«*», surtout losqu’il y u un élément «Je danger dan* la situation.

Pour résumer, j«* pense que dans une èn* «l’invention «ie science appliquées À la pro<iu«'ti«»ii et k la distribution, 1«* Canada doit aider aux nouveaux dév» lopp«*menUi et devrait, par »«*s ressource* et ses concitovens. tirer plus de profit» proportionnellement que tout autre pay* D* < ana- «la po*sè<l«*, jusqu’à un certain point, nombre de ressources fondamentales r«qui*«'s dans le» n«»uvelW*s inéth«xles «le production, «i’énonue.» iN>uv«>irs d’eau jiour la production «l«i Télectn- <*ité sous toutes *>»*.» forme» ; de» minéraux en abondance dont la «le-1 mande va toujour' en augmentant; quelquea-une-» d« > plus grandes n *er- v es tore»tlère- «i«* vastes plaire s idéales pour l’emploi «le» machine» agncoh-s. un t«-rrain assez étendu l>«»ur l'augmentation «le la population et de* industries enfin «les habitants forts et courageux pour contribuer au développement g«'*neral futur1 du pavs.

I! existe (‘««pendant un danger 1 l'optimisme outr«' N«»us «*11 avon souffert par le passé. Si nous maintenons notre optimisme et not ambitions «lans nos idée« saine», nous souvenant que la nch«**se national»*, n«* p«*tit êir»» ac(jui*«* que par la pro-( duction, nou» n'aurom al«»rs rien; k craindre |»our l’avenir «lu Cana-[ «la IM us nou* irons vite, plu* il | faudra aller av«*«* prudence.

l>e. rieux résolution* sont mise* au . voix «t les srrutateur* rapjM*rt«nt qu'«*ll«* avaient été adopt<'«•> à Tuna- L imité.

Ij*i président proposa «‘usuit»*. up- puvé par 1** major général Thono- rable S.-C Mewburn. que le rap- jHiri «les directeur», tel que lu, fut adopt*» et imprimé jw»ur être distribué parmi les a«*tionrut 1res

I>* rapport fut unammimeut a- dontéc.

1. honorable sir Lomer tioum, K.t M (»., projh.-44, appuyé j»ar M G-B. Eraser, que M M Jani* Hi - chiajn. C.A . et Charles-A. Hodgson. C. A , fussent nommes v*-nfie«- teurs jwur la banque pour Tannée qui commence, et <ju© le vot«* sur le» vérificateur* i3* jtis en même temps que le vote j*our les directeur».

Sur jjroj> »*itioQ de M T -W Beatty. e.r , appuvé j»ar M f'-E Meredith. c.r des resolution* furent adoptées unanimement .« l’effet de nommer les fondés «le pouvoir* nécessaire* pour représenter la banque aux assemblées des compagnie» contrôlées.

REMERt IEMENT8\UX OFF H IE RS

M G«*orge-A. Campb**!!. ■ r pr<«- posa ensuite, appuvé par M. Arthur Browning. «J‘offrir T- nnnenu* ments de T assemblée au pré-uient «lu bureau ainsi «pi’au président pen«*ral. aux vi<*e-président» * t aux dir»*cU*urs pour leur dévouement aux intérêt» de la banque.

Uarlaiit sur cette résolutitm M CampU‘11 dit

"J’ai le plaisir de pn»poser que le* actionnaire* a«loptent un** résolution exprimant leur appréciation rie- «|é- voués et tre- «ftieac*** service- rendus pendant Tannée «jui vient «le finir par le j>ré»ident du bureau, le président général. !«*- v ic«*-j»r*--.dent' et les directeurs «1«« la banque. Il m’est inutile de parier, i«* !«• -aïs, pour obtenir T adoption «June telle résolution j»ar cette assemblée, n.ai- j aimerais ù protit«*r de cett** occasion pour dire simplement un mot ou deux de remerciement* et «l’appréciation jsmr le- efforts infatigable* déployés en notre nom par ceux qui dirigent le- «ie-tinée» de cette institution

■ Je voudrais plus particulièrement faire une respectueuse allusion au très distingué président du bureau et aux serv i«H*s que toute sa vio «Jurant

banque «Jaus pli

1«*-«|U»*I* nous Minimes heureux de vivr» aujourd hui Nous avons 641 suceur-ale* en «'anda l** nombre de «•mplov<-- ♦-' (|«* 6.359. c«« vasteI» r*«»n;:e| dirigé j»ar noir** tn * habila gérant gémirai . a*»ist«- d* - assiktaut» généraux. «I***» surintendant» et «le* g»'rants <1«* *uc«*ursales à travers tout 1 pay- no, rnplit s<.n devoir k la

, j»lu* grande satisfaction des directeurs «le la banque. I>*s employé»

1 font preuve d’un esprit de corps dé- v « loppé n-.n -« dement par le» idéale «■’!♦•%*•- «l i gérant général actuel, n ». par -• - pr« et chaquemembre «i 1 j*-r-onn»‘l de la Bancnie <l« Montréal «-t I * . al et fidèle au de-

1 voir.”“Il m* fa plaisir «le seconder oet-

t«* risoluti 'ii et il m’est inutile d’a» jo it« raux r *iuarqu««s déjà faite» dit Thon. Thomas Ahearn.

Ea motion a et. adoptée an milieu d applaudis-, nient*.

En réjK*n « le gi'rant général, air Uredero'k Williams-Taylor, dit :

En mon nom jM*r»onnei et an nom «h* tous le» autres membre» dn jM-rsonm . jo vo i- |»rie «l’agréer

' |*1 u* sm» . r**: r«*m«-rciements pour votre appréciation. 11 «;st très satisfaisant d« savoir no* services reconnus « n d«*s t«*rmes aussi généreux. Je crois fermement «ju«- jamais auparavant dans Thistoire «le la banque avons-nous eu un personnel aussi ectif, ofiicace »*t zélé et. si je pui» m’» prim«*r ainsi, e’ost là la meilleu- r« garanti** de la *•• utinu.M* *n d une administrât ion sag«* et pr<<gres-n e.”

D* pr» *id«*nt dit alors 11 ne re*- t«* jdus a Tassemblée qu’à élire le» vérificateur* «*t I* directeur» |Nmr l’anné** à venir Im m;*»* en nomma-

1 tion «-t maintenant ouverte."On pr «céda alors à l’élection de»

v. rifieat«*un* et d**- directeur» pour l’année à venir

l>*s .--cru fa tours choisi» pour pré- - h r . ! éWtton firent rapj*ort que MM Janie- Hutchison, ‘ L., ett’has-A. Hodgson, (' E.. avaient été «1 iment choisis vérificateur*. • t que le- nieasieurs suivant* avaient été dûment élus dim-teur» Thon. Th«»mas Ah«*aru. D-E««rl»es Angus, E \V. Beatty, < K.. W.-A. Black.

Henry ('«x'kshutt. le général uir t’urri»*, (i.C.M.G . K.C.B . Drummoml. «» ( Fraser, *ir 1 t Jordon, G B b Thon, sir

k < M «I Harold McConnell, Wil-

E.-E. Meredith, ( ’.Mer**dilh, bart.,

l’hon. S.-C. Mew- I W Mol-«*n. i»

Molson, ( M.G .

RAPPORTS DES PROVINCES

!>•- rapjMirt* ordinaire» -<ir h** comiitions dan.* les «liffén«nto- pro

été jiré|>aré» et sont k la de tous ©eux qui en fe-

ian» le» formation» g«*ologi«jues M*rn-,r«»iit la demand*

ADOPTION DU RAPPORT

GRANDE IMPORTANCE DU COMMERCE DU TOURISME

entépulpe, le pa-i d’opportunité» in

lit» de TiiKiUft-1 si nou» pouvindustrielle» et autre» de nos proyincas de j Aux Etata-Uni» la pompon

t ainsi que j’ai eu Toc- banque» est solide Bien que casion de rencontrer la plupart de taux «le Targent soient élevé».

qu’à celle» T Ou est. Ce

valeur des

dises, surtout Iboi» à pier et d'autre* produittrie forestière . I*** minerais, les mar- assurés d'une augmentation de 350-ehsndi*es **n général et autre* art;- 000 âmes par année, w qui devient ... _____♦•les diver* L© nombre total de» possible ave© une immigration saine- qui me permet rie pouvoir à mon b** autres fins légitimes Es rie- revenus du ray* charge» de wagons s été rie 3.001.000 ment riéterminée et la continuation grand plaisir, vou* annoncer que la mande constante pour spéculation portations ou blé du Canada eu au cours des premiers dix moi» de de notre accroMXunent naturel, nou», Banque de Montréal est représenté** s sa répercussion dan» le taux moven 1927 était rie $34X.i)0().«lfH). la pro- Taonée s*ut une augmentation de aurions à iomê Un trois aas un mil- par des hommes d'un niveau sapé- des prêt à courte échéance le duction de nos mine» $245.000.0110; 200,000 sur 1927. A cause de cotte j lion de petkrtation de plu». O* ne rieur. Je »ui» assuré que nous enm- taux a été de 5.42 p. 100 cettP anle rendemen’ de nos puIperte», circulation intenæ. le Pacifique-C'a- i peut certainement pa» dire que ce ; me* prêt» à tirer le meilleur parti né© comparé à 4.19 p. 100 pour Tan- $220.000.000 11 faut s*» rendre àoadien rapporte une augmentation ; programme soit trop ambitieux, et. pomible de Texpaarion qui ne peut née terni né* |* 31 octobre 1927. la l'évidence que le commerce du tou-

non» pouvions l’exécu- manquer de »e produire d'iei quel- décision dec autorités de la Réserve risme est pour le pays d'un inté- ioac justifié» d'ecpérerq ue» année». Eé«lérale en élevant leur» taux d e*- r$t de grande importioce.

(11C*(J ■ « M ' u ur* ce1 «evevsna > uiiaauw« ■

$5,821.000 dan» se» recette» brute» cependant ai ur Je mois d’octobre, et le (feaa-1 ter, nou» m

Ijh j*ré»i<lent dit ensuite ‘‘Avec votre permission. n«»u* con»i- «lércr**n.* 1*** «leux résolution» atix- quell«*s j’ai fait alluvion, aprè* qu«ii

ie commerce du tourisme, dont je proposerai T»doj»tion «lu rftj>jH»rt. j ai parlé plus haut, a pris une telle M. William Ma©Master projiosa importance depuis quelque* anné«*s alors, appuyé par le lieu ton tn*-<? deque, d'aprè» le» statistique» fé«iéra- n« ! il**rb«*»*» Mol*on le», le» touriste» «mi dépensé plu». 1 Résolurie $275,000,000, au (’ana4la en j ’Que le règlement No T «1»** a©-1927. Comme chaque province raj>-' twmnair©» *«*it. « • est par I*** préporte que le nombre des tourist**.» sente* ainen«lé «*n y ajoutant ce a été plu* considérable cete anné»*, qui suitil faut déduire que le montant ri© | "lie» Directettr». en outre. j»eu-©ette *«»u nw* *#*rn plu» considérable , vent au»*»! pourvoir au |*ai»n>ent (lution. le général Mewburn dit ©ette année. (aux membre» «lu (**»mtté exécutif "J'fi I»* pnvilèg»* de proposer ©ette

Comparon» ce revenu «le $275v-'du Bureau *lt** l>ire«'teurs telle ré-1 ré»«*liition qui j* -ai*, sera approuvéeavec d’autres sources de| munération additionnelle que le* : par tou* «•eux qui -*»nt pr**« nt »

Directeurs jugeront opjM»rtune. mais Quand nou* parlons «le la Banqu** de n’excédant j»a* un** s»»mme égale | Montréal ou que nous y j>eni»on*. à cinq mille dollar* ($5.(I<P9 par n«*us parl«jt^ «!♦ tout b t’ans»la année jw»ur chacun «les membres L’avancement et le progrès du t’a du Comité exécutif, et la »»>mm© hi>- propriée jH>ur la rémunération ou Comité exécutif *«era répartie parmi les membres «le ©e Comité selon que 111 ans ledit Comité le jugera à propos, vote et

il a reudu* à cet su'urs domaine*.

"Il n’y a j»a» «1«* nom qui ait une plu» grand** réputation dan- les an nai<>* «les banques cana«iienn«v* que «•«lui «le *ir \ in©«*nt Meredith. < «*-f un»* «*\i>r»**sion familière nour indiqu«r le plu» haut degré aes <*ajia<*i- tés bancairos, «ie l'intégrité inflexible et du dévouement inlassable au devoir.

Nou* regrettons profondément son absence forcée «ie cette a-*elabiée k cause de la maladi**.

Nou* admirons la manière éminemment efti aêdont notre jiré-iJent «*t !«•.* directeurs et oftuuer* ont «v- compli 1«* travail de la Banque du-! rant Tannée et nous notons avec confiance qu'ils continuent toujours «h* pratiquer la même politique bancaire sag** et prudente «jui «**t devenue, vraiment , la véritable tradition de eette Banque.

"De tous côtés, nou* entendons J proclamer la prospérité existante de ( notre pavs et nous somme* heun ux ri apprendre qu«* I» Ban'jue d«* .M nt- réal joue son ju.*t«» rôle, -qui n* l«» c«*«le k Aucun autre, pour Ta©er«»i*- s« rn«*nt <1«* cette pr«)*jH*n»é et p«»ur la perpétuer en lui a.--ur»nt «les fon«ia-' tion* m«1 ides et durable* nfin qu elle devi«*nne une partie jamnauenU de notre héritage. *

"Il me fait plai.-ir «ie se©oîid«*r cette motion”, dit M Arthur Brow-! ning. "Comme aetionnaire et. même, bu ti des années avant de devenir ac-| tionnaire. j’ai toujour* eu Tidée «jue 1» Banque de Montréal «wcujiait dans Te»prit du |>«*uple du Canada une position aussi renommée «jne ©elle «le la Banque «l’Angleterre dans l'esprit du peuple <1** la Grande- Bretagne < ette position enviable a été a© jui-«* par juus «J’un siè«'l«* de direeti«*n prudente assurée j»ar l*»j d in*© leurs choisis parmi les plus crni-l rient s et habil»-.* citoyens «i«* leur] ép«K)ue.

Nous, actionnaire», sommes « on-j liants «ju© les directeurs actuels s«»nt. pour l’intégrité et Thahileté. aussi dignes «pie ceux «le toute autre pério«Je 1 dan» Tbiatoire de la Banqu**.”

M Campbell proposa alors la ré-j »o]uti«>n telle que ©i-des»us.

Iî résoution a été a^lopt©** • Tu-! naninuté.

I>* Président: “Au nom «le mes! c*>-*li roc leur» et en mon nom. j«* v«ius! remercie «le «•«» témoignage <1«« voir©

1 confiance «lans n«>tre afiministralion ; de la Banque. J’appr»*©ie l»eau«*«uip ce que M. t'Bmph«-ll a dit «i© sir Ym-

— jeent Meredith Je sais qu© fou-, ici, [ »«>ut ©liAgnus de son abeeno* parmi • nou» et je me ferai un grand jdaisir de lui transmettre ©e qui a été dit”,

D* major générai. Thon. S.-C.1 M* w burn proposa ensuite, secondé par Thon. Thtmias Ahearn. que les J ronu r uement» «le Tas*emblée soient transmis au gérant général, aux assistants gérant* généraux, aux surin-1 tendaui*. aux gérants et autro* ««ffi-( «•i«*r* «le la Bari«iu«* p«»ur leurs *«*rvi- <H** au «mur* «1«* Tanné** écoulé*-.

En pariant à I appui «le réso-

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2^:LES DEBUTS DU CLUB QUEBEC MARDI PROCHAIN-VICTOIRES DU MONTREAL ET DE L’OTTAWAU équipe locale de la ligue

prov. est prête à démarrerPrésident-Honoraire

î.ti club Québec est maintenant prêt à faire ses débuts dans la ligue provinciale indépendante et Von verra dès mardi so'r ce que ses joueurs peuvent faire au cours de la saison contre leurs adversaires de La Tuque, et des autres villes faisant partie du circuit,

L'ouverture de la saison à Québec donnera lieu à un*' grande soirée de gala

S. H. le Maire Auger a accepté de mettre la rondelle au jeu pour la circonstance. L'hon. juge P.-A. Choquette, que la direction du club vient de choisir comme président honoraire, sera aussi présent, Vinvité de M. A.-J. Teahle, propriétaire de VAréna et président actif du club Québec.

La direction de VAréna fait installer deux puissants haut-parleurs pour les concerts de radio au cours de la soirée. Ces machines sont du genre de cel'es qu'on a installées au Forum de Montréal.

Le club Québec aura une pratique ce soir, demain, dimanche et lundi.

Au cours des dernières pratiques le gérant Roy Hatpin décidera du choix définitif comme régulier d'um couple de joueurs et l'équipe locale sera prête à démarrer mardi soir contre ses visiteurs de La Tuque.

LES CLUBS DUSEMINAIRE

IRmjx hotin»'* parti*, d'exhibition (•nt ê'ê joué*» par it-f, l'Juba (lu fv*- minai-e. hier, a l'ArAna. Dann la premi*rM joute. 1** National et le Victoria ont an*- ,!« au icoro <1»»• t a «V I>»ji" la .«•onde, le Feuille’ d’KraMe a triomphé du SuiAma- îeur, par d a I.

Pramiàre »ti«, NationalF Tunnel, i Tmttiar. I) Huot. !o Hochet 1 F. i antm, I. I. ItroUMeau. St* .n Aiir. Hunt ; Victoria : F Maht-ux. (J. Hunt,

IM. Man*1. <* IâcouniiAre, J-H. j Toil/.m, l'h ( hxllnnit, Morixixet te, t'nrriwau. I*. IêtarUv

Sommaire t 1ère [triode. Vie- ton a, Fd Matte. Il !A) ; J Na-1 tional, f.-(i llrouHaeaii. 4'Kl. '2e |H'n*H|«v Victoria, Tnuxin, 1 4'i, :4 National, Hhiuhmimiu, l AO . ô Victoria, IV Hunt. .4.4:. 3e I période. National. H*»chette, |7 20 Xrbitre. Fern Nicole

Deuxième partie, Suiaaa-Ama- teur : IV Ficher, Alex. Cannon, |F Mathieu, F Dorion, F. Ijahnn*-i «pie. .1 Saint-Victor, L C»"<ibout. ) F FuplaiPe Feuille d'Frahla :M Tremblay, F. Nicole. (î. Ja- !>oint«\ H Cetartt*. M. !><*tnrt/'. J. tiairnon, \ Jobin, O.-F Pouliot.

Sommaire » 2e pérnMle. 1

CONVENTION DE BASEBALL

Far liriau Ibll rédacUur "jMirtit <le la Fr**Nx«« AMociée

Turont, 7- I«a brûlante question «lu ' draft” ou choix dea joueurs do* lifue* mineun s par le* ligues majeure* ne h*th pas réglée au cours de la convention «le F»2S |>. «ujet, qui cause tant «l'anxiét.*- f>armi les puis- «ances du haito ha 11 • st Hnalcrnentvenu sur le tapis lard hier après- midi et après quelque peu de dis- cu*Hion » été remis à une date indéterminée

I n comité *i* ligues des classes AA” et A «'herchera A rencon

trer un comité d« s majeures à West- Iladen. liuliana, «le bonne heure «‘n janvier pour chercher un compromis

! en vertu duquel l«*s ligues qui sont rnant«*nAiit «ummise* à un draft” mitigé seraient placées dan» la class** du "choix non limité” IVautres amendement» venant du cnimité *les

i aviseur* de* ligues mineures et «les ligu* h majeures et regardant «i'autres question* «pie le draft” v iemlront sur le tapis aujourd'hui. ( amendement* ont plutôt trait à d« » afTai- r» s d'admimstration t«s*hnique

L'invitation «le ('hattan<»o£n, qui demandait nue la rt»nv«inti*>n ‘I** FJ21I *«)it tenue «fans cette ville, u été a«*- ccptée par un v**te de 15 À R. West- Haditi était l’autre “ville «‘andida- te ". I! aurait fallu lain* un changement a l’entente nationale pour tenir raasemhlée dar» ITudiana, «’ar il est stipulé* «lari’i les règlements que la convention annuelle doit être tenue dans une ville représentée dans les ligue» mineure».

!>•* (vmventionniatea étaient le» h été* dun diner offert hier soir par le Toronto Hanehall Club. 1^ maire Ham Mcllride, «le Toronto, présidait et le commisHaire K.-M. lundis était le principal orateur

F mile St-Ooddard et “Sliorty ”, Huasick sont *iéj;i inscrits dans la course de 200 mille» de I^h Pas qui sera disputée en mars pour la première fois d«*puis 1921

Le Quebec Ski club FRISCH NEélit ses officiers

à son ass. annuelle

L'hon. Juge P.-A. Choquent* qui vient d’accepter la présider. honoraire du club Québec de la nouvelle ligue provinciale.

POUR LE VIMYli*- «lui» Vimy donne ce soir une

grande soirée a la salle Athlétique et invite tou» ses amis a *’y rendre. 11 > aura musique et rafralohisaetiieot».

p.RIGHTCONCORD:

miChtICQ tîtt N,a<LTtwide FE> .ciicncc

deptut 1874

Suiaae-Amateur, Dorion, 10 .%<) ; 2—• i Feuille d'Krable, M I>etarte. 2.30. 3e |»ério«ie. 3 — Feuille d’Krable. B. I**tarte, 10.(X) ; 4 Fouille d’Kra- ble, M. ]>etarte, 0.50. Arbitre, Armand Sexton.

I>* club de hockey Ranger» du Sa- cré-t'oeur «*s* prêt a rendre visite à tout club junior dont l**a joueurs »ont de 10 A In ans \rthur Bernard, d«* t, h 30 A 7. h. 30: Tél: 2-S500.

Snn-Francisco 7. Si la .situation ne s'amélmre pas dans la ligu*> du Pacilique au sujet «le l’éloe- tion «l'un président, il «*81 A peu près certain que les magnat» choisiront un “neutre” pour guider le circuit «lurant le» cinq prochaines année».

Quatn* club» veulent maintenir Harry Williams sur le Irène, tandis que les autres sont en faveur «le William McCarthy, un ancien président. A la récente assemblée du circuit, Williams a tenu tête A Forage, mais il va sans dire que les difficulté* uo peuvent être aplanies si le chef actuel persiste dan» s«»n attitude.

Histoire de rétablir l'harmonie entre le»diversesfiM1 lions, il a été suggéré que la présidence soit donnée A Al. Baum, secrétaire «lu club de. Hollywood, qui jouit «lune excel-; lente réputation et <l«»nt la p«»pu- larité e»f a»se/, grande.

L «semblée annuelle du Quel»ec Ski Club Inc. a eu li**u «‘ett** Bernain« ai Chàfenu Frontenac, et 1«* président W.-A. (loodda.. a été réélu à, l’unanimité Frank S«*ale a été élu trésorier et Harold Lindsay, secrétaire !-«• major Blondeau a été nommé pr* im«*r vi«'e-président et h'raser Mc- Q;at. ^‘«•ond vice-président. Ce* otfi- cu-rs «‘t l««s amateur* dont, les noms , -, ...eut formeront le comité exécutif:' Arthur Bissey, Stewart IVtri**. XI- phon.se (lourvleau, H*H*tor O Bri»*n, ja« k ( oiighlin, Jerry Valleraml, Rolland Casault. Bernard Myles. J .s*rath«lee et Donald O'Donnell.

MM Coughlin. O’Brien. C&aault j «•• Oounieau auront re»p«*ctivem«*nt charg»* «les saut», «l»*» “trails”, des ' « «»mt»**tiTions and efficiency”, «les nombre» et de» tours.

\a rapports de» of licier- présenté» et adoptés font voir que l’état flnan- ci« r est excellent et que !*• nombre de-. m*‘mbres augments* gra<lii«*lle- m« n* La branche de D»rettevill«* a un nouveau chalet et elle a commencé ses sorties avec un plus grand ixjmbre de nkembre* qu«* Fan d<'nii« r. On «spér** faire de» amélioration» considérable* cett«» atiné*- On organise aussi une divi»ion junior p«»ur les j* unes skieur» recruté» parmi le* écolier». 11 v aura «les excursion» pour les heniurs le named i après-midi.

Voici la list»» de» gagnants de prix au Quebec Ski Club en 1928

Concours de sauts pour seniors1 J. Ta«;hé et la coupe «lu club ;2 Kd. lâpoiute.

(’ourse» A travers la campagne1 F. Lanctôt et le Seifert Shield ;

2 I). Simard ; 3 J. Taché.“Ffflenev tests” (Québw) 1

Frank Seale ; 2 Harold Lindsay ;3 J. Coughlin , ( Lore t te) 1 —Harold Blondeau , 2 -William Corn- fort h ; 3—D. Simard.

Course A travers champs pour dame» : 1 -Y. Qourdeau et le Ladio's Seifert Shield ; 2 O. Drouin ; 3 G. Blondeau.

Concours de championnats de la ville :

Concours «le saut» : 1 Roger Go- clin. Star Ski Club ; 2—J. Taché, Uuébed Ski ( lub ; 3 Ed. Lapointe, Québec Ski Club ; 4 -O. Schreider, Queb«*c Ski Club.

Course A travers champ» 1 Fric Lacntot. Quebec Ski Club ; 2— U. Simard, Quebec Ski Club ; 3— J. Taché.

Russel Shield : J. Taché.

LE ROUGH RIDERSFmniw Frisch, second but d*1' St-

Loui* Cardinaux, 1 ut» «l«*s meilleurs joueur» de balle <ie l'univers, a fait spvoir à son nouveau gérant, Bill Southworth. qui a piloté le Rochester su championnat «le la Ligu«‘ Internationale de 1928. qu’il ne jouerait pa>. au troisième but. la sais«>n pr« «chaîne

Il aj«»uta qu ^McGraw a gâté sou jeu, «lurant un»» couple «le saisons, en le laissant jouer au 'coin dangereux". Il avertit le pacifique Billy qu’il préférait passer à un autre club plutôt que «le jouer ailleurs qu’au soeond, -a position favorite où il excelle.

Frankie Frisch passera une couple de mois au lac? Placide. N -Y., où il emmagasinera tout l’air trais qu’il lui plaira en s’adonnant au toboggan et au patinage

LA BOXEFritz Sandstrom, un des meil

leurs joueurs des Rough Riders de Régine champions de l'ouest canadien au rugby.

San-Framiwo, 7 P.(\nv (Mine, «le Fresno, (’al

John-kn«)c-

kouté«les.

Marcel Thuru. France, b ron-

DeLAMARRE A LA SALLE

ST-PIERREUne démonstration à la

quelle il répétera ses exploits du manège

LE 14 DEC.

Four «'ni» * r tou! «hmh- «le l'esprit de «•eux qui ne l'auraient, pas vu. Victor DeLamarre a déeid«* «h* «hvniier à la salle St-Pierre, vendredi. I«? If décembre courant, une autre dé.uons- t rat ion à lacpieüe il répétera le* tours qu'il a ar<.‘oiiiplis au Manège militaire il y a trois «eu aines

C'omme ou a pu le voir à la lecture du "Soleil” c‘*s j*mr> dernier.-, «es tour* ont provoqué 1 ire «le <«ertains honnie.^ forts que notre eon- lière, «le La “FresH»*” a mi mettre à leur place. Si <•<** messieurs n’ont pas la f«»i encore, il* sont invités à venir voir pour eux-mêmes.

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roons ont repris hier la première p«»- j nition dans la soetmn canadienne de la N. H. L. Hfl oet détail les American.» par 4 à 1, au Forum. I>*s Maroon» ont joué une partie de maîtres, lê» visiteurs n'«»nt rien fait d'extraordinaire, excepté à la d*vr- nière période, alors quils se sont sou- { dainement réveillé».

NeU Stewart a enregistré *««*ul les, «leux premier» jioints «i*»» Maroon*. 1 Lamb a scoré l«* 34» sur un«* pa«*«* de l'hillip», à la 3e manche, Smith a compté sur une passe «le Stewart. I*»* visiteurs ont ensuite pris Foffen- nve. Burch a compté avec le concours «le Sheppard.

Wortere était «lana les lilet» américains. Bien que le sc«ire soit élevé, il a quand même d«»nné une bonne exhibition.

Voici l'alignement «h»» équipe» et le sommaire

American*: W«>rt«rs, Conacher. Heiw», Burch, Dye, Sheppard. Simpson. Conner. Broad bent, Himes, Spring. McVeigh?. Maroon»: Benedict, Dutton. Siebert. Smith. War*!. Stewart. Hick*, Phillips, lAmb, Trot-; tier. Oatman; Arbitre*: March et Hewittson.

Sommaire: le j>ériode 1 Ma- r«*>n», Stewart, 3.(K>. 2 Man>«»n».Stewart. 1.44. 2«» i^ério«lc 3 Ma-rr»on*. lArnb (Phillip*), 13.17 3e période. 4—Maroons, Smith Stewart), 3.47. 5-Amencan», Burch (Shep-pardL 1.13.

Punition*: le période Lamb. 2e ' r>ért«xle: H road bent. 3o pén«»de: ! Phillip», Dutton. Connor, Himes. ! Keise.

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M. T. Gagnon St-KomuîiMÎ j C'e*t av«»c empressement que j'ai'- : cepto d'aller kiaer ciic* vêts quei- i que* partie» de dame* simultanée* avec v«»s j«>ueur» locaux. Il me *e-,

! rait agréable aus*i de faire quelque» i partie» de “jeu fran*’”, si vous avei 1 de# amateur» qui s’intéressent à ce

leu. Je ne puis t«»utef«»i* j«»uer ni le soir ni sur semaine, ne pouvant quitter mon bureau de «consultation.

E*t-oe qu'un dimanche après-midi vous conviendrait *

Si oui, fixez-4»n vous même la date, et je me rendrai avec plaisir.

Je connais la force des joueurs de 8t-Romuald, je ferai de mon mieux pour faire benne figure; d’avance je réclame votre indulgence.

Car je me doute bien que vous me fdmürvei le même sort qu'à mon ami René Brûlot te.

a Bonjour et merciDr J. LEBLOND, Léris.

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LE SOLEIL. QUEBEC, VENDREDI 7 DECEMBRE 1928 31

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PREMIERES ACTIVITES DU QUEBEC SKI CLUB -NOS CURLERS COMMENCENT LEUR SAISON

> 1 «

W - — --------- -------------------------------7

Intéressants matchs dans la Nationale

hier soir à VAréna\a} circuit a inauguré

*“r»o de joute, hi, r , nr ^ r \r,1Kl I.a pr* imère yiartu* au programme Tmttiiit aux prises la Voirie et le Ix>rt»tte. Iji \ oirie a remporté üi vietoire par 7 à 0.

club Laval battit ensuite le v ' 1 à 0nii^re joute tut la plus contestée et la plus ii;U r* '-ante. Ls Hoy un joueur dû (Québec prête seulement pour hier soir a compté un point et a joué un-

excellente partie.M Osi-ar Drouin, M.IMb. mit la

r<*mlelle au jeu. D* quelque PM) personnes qui >e trouvèrent dans le s ade firent une ovation au nouveau député de Duébeo-Kst lorsqu’il rassembla les joueurs au (entre de la glace.

Dès b» début les deux clubs s,, lancèrent à l'attaque et le- gardiens e buts eurent beaucoup n faire pour rej>ousser les a-saut“ Les geus du

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SDK KOfUUKIT

BURNETT’SGIN

LA BALLE-AU-PAN1ERI*a ligue locale de bal!e-au-|>ani« r

aura sa w*cond«* assemblée le 11 «.« cenibre. D s e 1 ubs d» pom ront alors leurs garanties.

L'une des pb.s importantes partie» «le la fui'.-on de la ligue d» s < M. K., sera jouée mercredi prochain \a> Marché (.'hamplain jouera contr» le Lunoii »u.

D»rett(* ne purent contenir les élars de leurs adversaires qui eombinaien* bien. Ho\. Ilernatche/. D. snoycr-. Huard et L-i' iianee d. i ingio r» rittout particu!:èr(*7nent pour la Voirie.

‘tirent un bon travail pour le Lore?te Ds deux gardiens de buts tirent «les arrêts magnifiques. !>• Lore:te. privé de substituts, ne put contenir le* rapides patin- urs «le la \ <*.ri( . «•• pendant, ils ont laissé voir qu’ils pourront bientôt figurer avec avantage dans le circuit.

\ oici ralignemcnt et le sommaire de la 1ère partie:

Lorette: Hut IV M - n; rléfen • - Cantin et L’Heureux; centre. Haste n

a • gauche, M Parent; substituts Uobitaille et N’ézina.

Noine:—But, Caueb«-r d* f. t> « -. Belle ter et Huard; centre. Morin; aile droite. Ro\ ; aile gauche, B« r- natehez; substituts. Desnoyers, Dion et Ixiebance.

Sommaire: le période. Des-nrM-yrs. 10; Bernatchez. KHÔ; K(»y. 11 1 ô; ‘Je périiMle, Desnoyer>. <» C Huard. Id.d; de y*('riole, Laehane* 15.40; Desnoyers. Istm

De son côté, le club Ixixal, alignait les joueurs suivants:

But», Banville; défenses, B.-IV Vézina. et L.-A. Hergeron; (‘entre, Jos. Blanchette; ailes, IV l’oliquin et (t. Cîuay. Substitut^. (Juy Bouliot J. Bouchard et J. Ménard.

PREMIERS MATCHS DE

CURLING

r,V 45 D£ L OUEST

'fi*

] Calder a l’appui des gouverneurs

de son circuit

U LIGUE PROVINCIALE1 U

• lari'» la ligue Br««v mcia ••! a* Qu»-b*»e remlra voit,» hrooke et U» Montréal i Trois-Hi\ ières. I>» club \ • rra ses meilleure- équi|*c < a nions de b K -1

Ber» ard B ophy, joueur de centre du L/étroit. de la ligue Canadienne, rejoindra les Cou- g irs dimanche soir, alors que le Uétroit jouera contre les Ranger» L’otfre de S17.S00 faite par les Rangers pour Harvey Rotk- born, des Olympics, ne sera pas prise en considération.

Montreal, 7 IV < >. La mis- avaient peieion de Hoy Wort ers. ancien gardien des buts du Bittuburg. e. été levé.- hier »i le joueur a etc déclaré * ligiblc jm. jr yM»rt«*r 1« • «ouleur- d. A’ icncan. I.« y»r*'ident ( 'aider a déclaré que le y>rineiy>e qu'un joueur -nsyM-ndu ne peut être transféré d'un club à un autr*‘ avant été reconnu flar le- gouvermur d« la N. H. !.. il n'y avait y*a- de raison d’ernyWcber \V.«rters de jouer.

dcci.fi ill d« lui lais-merercui s( r l'affaire en main-

Kt ynuir y»rouver sa confiance < son y»ré-ident. la Lig ■ décida de continuer -on terme dVdlice jsmr uue yiériode de un à cinq ans. I h fallu amend< r la eoiutitu: :«m |M>ur y»rendr( cette attitude Tou' porte à croire que la plus grande harmonie règne dans le sein de la l.igu* de Hockey Nationale, car William Dwvcr, le président des Amer- an- s(*eoli<la cette motion

New-\ ork.

DESMOND GRUBB, un des bons joueurs des Rough Riders de Regina battus samedi dernier par les Tigers de Hamilton dans la finale pour le cham- pionat du Canada.

7 IV < . Aprè- avoir appu i* l'attitude du yvrésjdent Frank ‘ 'aider, au sujet du cas de Hoy Wortcr-, les goiix (rneurs d la i^rTie de Ho<‘k(v National*

M ('aider a dit qu'il était heu n#i x que -on princii**^ avait été maintenu. D'un autre cité, il a dit qu'il ne voulait y»a- maltraiter en aucune manure qui que ce soit

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■

4 CHEVAUX VIENNENT

A QUEBECDans une dépêche que nous avons

publiée ces jours derniers, au sujet de la vente <>]»! (il.»r; . .( N\w-Vork. uti erreur -'était glis-ée. laissant entendre que tous I* s chevaux achète- y»ar «l**s amateur*» canadien», l'avaient etc par de- -jx.rtsmen de Montréal. II nous lait, plaisir d'ap- ÏTrendre et d'annoncer qu’au moins quatre de ces chevaux ont été acheté- par des amateurs de Québec et qu’ils sont arrivés ici mercredi matin.

M Pierre W* Irnan a acheté les suivants : Andy Trise*». (» ans. aucun record, par San Francisco, en dehors de LV10. et frère de Sanardo. champion «lu monde. 1.ÔS14, et de An- dora Dam, dont la marque est moins

208. 1 , , , , <îa' K«*inare, 3 ans, record 17*4.I.« Miion local* du curltog doit peter Volo. p»rc do 71 ohevou*.

oomiiï. nriT «lotiiiuii. I u ux el««fs M--Ma ,.n ,ilK|1!M. 2.K), et de Dam.'n.nt l’rt't.'s au 4»«|U«M nrti.-r ..n <:a,.v. .»r IVt.r The (lre»t. un concours aura lieu. ( . , . .niant, u,'.,,.! Tt.uan.is. I ans. record à 3Î il ny aura pas .1. n ■ >- r-KUU.T. „„ j , (tr |V„T T,.,|ow< |Mtr' avant la «•marne prochaine, |v„.r Th., (ir. at ,-t de Dame Uach. l !

lî.. ‘J. 17 par Moscovite.M. N*arei-.-( Drolet a acheté yxmr !

-a pnrt. Monte ('arlo, un amhleur | (fi/Ut le im-illt ur h inj» est de 2.11*4.

» CA i I ICI r** ITlAÏiiiT j« » t«»l.Au Victoria, on aniionee le match

président-vice-président pour demain Let ]

ouéores, 4 heures et s heures lx's partie» yxmr h* Bo-v»»'1! Shield -eront jouée» tous les xendndis à S heures à y>nrtir du 1 1 dé<-« mhre. D s joutes Judge* Trophy auront lieu le mercredi après-midi, à 4 heures, à par-*

: -Son Excellence Lord Wcllingdon a

.'té linvité à j<*ucr au Victoria durant son séjor à QuéU*c.

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- N* KiiKtiaiit de l'aré-Allevn. s« rie juni«»r Jean-Marn* <îuérar«l

vs \\ ( r Is rnnMix\s Merutir»! Fortcr. Avila Fiédard

<*<»ntr«» le Lfai;nant d'uru* partie «•ntn* t» t<.'; iu>n et lôuis lîvoi* , Julea l’r« nette vs All*, rt Kouillanl' J.-K.0 ii'iMin \m I/o ( <>té; Paul Hamel \s b.tri Pruneau; Kenneth Tn^rêtt vs belli- Kov . Flope SCott Vs Klllfèn»»

--j, . l 'raiii.ei, 'rurk'een vh IIat-1 .inl Oevlm . Jean S. r . < al \s Mené l.amlr , Frau'.oth-Paul Noel vs 1b-

4

v

Le Grand’Mère se prépare à faire

une belle saison

en forme et capables d’opposer une belle résistance à leurs puisants adversaire* (irand .Mère. on le sait, il v a plusieurs années brillait dans le monde amateur du hockey. On «•rit«‘iid fam* revivre ces gloires du passé et travaillér avec ardeur pour placer notre équi|>e eu première |k>- sitien «le la Ligue ot remporter le championnat.

Yee «le nouvelles et jeunes reuTUOs sA«ondé*»s par nos “vieux ci-«aux” on veut à tout prix remporter la palme et ensuite... n«»tr«' ville aura droit «le réclamer la consîruetion d’un Arena.

Orsnd’Mére, 7.—(D. N. (’ * — l-u -«.u du hoekey s'annonce com-

■ .'« vaut être tr«*s active en notre• < elle année. (Jrand’Mère assin-

. i :t onze - parties <J«‘ ligue do la .«•lie Ligue Provinciale Indépeu-

U‘s<iuellea s*Tont jouées sur t- patinoire locale aux dates sui- : • 2d «!éi« rnbre, loi Tuque vs -r.d’Mère, 27 «léceinbre, Trois-1

. r* - \s < îrari'l’M « rr. ♦> janvier: iwmigan \s (iran«l'.Mère; l.d jan- •, bbc * «'<• vs (inindWb r«>; 20 jan-

I.n Tuque à ( »rand’Mère d fé uéb« «• à (iraiul'Mére ; 10 fé- 4i Tuque à (JrandMére; 14

r.*-r Shawinigan à (lran«l Mère, 4 • r- Trois-Kiv i« res A (Juéb«M ; et le

r ar* Shawiiigau à (irand’Mcre N<»us aurons en outre plusi«*ur»

partus d’exhibition qui intére«M«ront «ertainement tou- n»»" anateur* et «iui met tront «}«• linthou' i usine chez les supj • «rieurs de ce sport favori.

— o —Plusieurs joueurs ont déjà signé

leur admission dans notre é<iuipe s«*- mor dont Tom Michardson, Jos. f îoo<la4T«‘, Kussell (’ooivcr, Kmile Hogue. Ned Neville. Lloyd Blinco, Hervé lieinay, Jos«-Maria I^febvr»*, P. \orinan<!in. Il e-t tout probable! que le gardien <!«•> buts sera Lucien j Ougnon. aneiennemcnt d«- Ija Tuque et qui brilla dans la ligue il y a quelques années. Noir*- é<juipe sera tota- î« ment eomixisés* de j«»ueurs résidant ici «‘t la politique «pi'entend a«lopter l«* gérant pour les pratiques réguliè- r«*s «le l’équip.* mettra nos hommes

On parle aussi d«* plus en plus <1«* l’organisation «l’une Ligue «le la Cité qui coupzndra trois ou quatre

Notre ville fut une des pionniôrea équipes. I)é}i le l{o\ A et«lu hockey amateur en cette pro- le tlrand’Mèn» Shoe s«* sont mis i vince. Du t«<mps «les Gauthier, des la besogn*». (V- auvftt«*urs nous ont Mclîughlin. <l«‘s Hicard, Fieauüeu. donné ban «lernier <1«* b«*ll«*s et chati- HotTman. ete., etc., le Grand'Mère «les parties et cette année ils en- était à l’honneur. Cette années, a- tendent faire mieux.

Fred Wilson, de» Tiger» de Hamilton, bleufté samedi dernier au cour» de la première période de la joute Régina-Hamf Iton pour le championnat de rugby du Canada.

iK'lb r««rli«rI>*k joueurs s«* préparent «lepuift (

«itii'lquft tump» «lej.i «-n v u« de <•«•* tdcti.x concours Iwindicap I^*«i COUJM^S''des Hi\ u n s «ihmon» être gagné**» *tn i t<.i- avant «l«- «lovonir lees pro- ;priétés «les «|. ;«;*nt«*urfi. ! t

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départ «1«* vingt-«l«ux caruliilat (mur I<angw«>«Kl, FIori«!e, «»ù ils >n- VTont un cntraîiuTiu nt d’IiivuT.

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T«*ur\ ilU\• Miu«

qui était**t Mme

/ est

Note* personnelle».Mrm» ( i I.» Klati* r|,

en promenade ehe/ \\Philémon Denter*-, rue de m l^via. Mlle A ^ ir**»*!!«U--1 en y>rnmenMde ehez M Itoiners est retournée a Montma*jnv.

-M ue htienne Ka.\tuond, de Hieii- m!!- e>t irravement malade a mi ré*i ienee, nie st-Dominique.

Mme Napoléon l<aml>ert et â ri!'»* Hita. de St-Honoré, étaient <n Pr<»rn.!i- le h I/vh dernièrement, les in.1teer, de M. et Mme Na|Hdéoll I-i (»reociue.

M i»uis-K. Mereier. de |^\is, retenu ehez lui depuis quelques

Jours, avant eu de-» e<*>tes e?it<)Ueé«,s au cours d’un aeeident «Je travail.

^ .1-1) And et, voyageur «le comnien », «le I>*vis, était en v isite, cew jours «lerniers. à Stiv,IuKtine. •

M Fl/.éar Sanscha^rin. «le I^vis, r«*tenu chez lui depuis quelques

jours, avant «te hlessé au cours d'un aeeident de travail

Mil** Marn'-lîlanehe F'^«urni«*r, de I/‘vi-. « tuit «ui pronu na<le chez m-s par«*n* a St4*-t laire, ces jours dernier^

Mme A«lelphis Baillarêon. «le St-.\nselinc, qui a subi dernièrement une tfraw* opération chirurgicale àI HAtel-DieU «l»* liévis, est ret.nur- née dans sa famille jxmr compléter sa convalescence.

M. l’abbé Alphonse fiuay. du Collège «le liévis, était en visite à KM’Iuirl«‘Ht ces jours derniers, chez M. (}édé«m Houch&rd

Mme Napoléon (iin'rard. «h St-Ans«lm«*. est entré#* h TlbMeJ- Dieu de Lévis pour y suivre un traitement niédmal.

— M. Cîaudiose Vailières, de l>»- 1 via, était on promena«l«* à St-Char- IrtB, jours derniers, chez M. A. Fortin.

— l>e jeune Bateau, de Hadlow. qui fut blessé par un tramway, i! y a quelque* semaine^ va mieux ♦*t est «n bonne v«»i»* «le guérison.II e»t venu 47 charbonnier» à

Lévia cet étéDurant la saison de navigatmn

oui vient de s«* terminer !«• nombn* des navires qui ont accosté au «juai à eau profonde du gouvernement, à liévis, avec du charbon mou venant de Svdnev |>our la compagnie «le> chemins de f*r nationaux a « té d* 47 représentant un t«*ta! «1«‘ 100.000 tonnes de charbon. I^’éré dernier il étai» venu 40 harhonniers av'ec un total de d04,0 /() tonnes. !>• derm* r charbonnier venu cette année a «;té le “Hochelaga ".

A*»emblée de» V oyaSeur» de C orn nverce dimanche aprcc-midi} n,‘ u'!S*,nil»lée tr«-' im|»ort.»nt. ,|.

oiticier^ «*t membres du (Vreh* d.\ ov ageur*. de rumm. re* d. \a ^ ra tenu»- dimanche apr. --midi ( heur. V dans le ba> d« la ri-ti. ‘ la*vi- On d. «i . mi,, qu, tou> : sent un «lev «»ir dVtn pr.-.ru- qu il vagit de la preparation «lu p: gramme <1,. la quèt«- de la (iuign*.;. qu» >era faite le S2 «léeembr I* S pauvn s .le la pan..-,Au chantier Davie.

I>*h portes «le la«;!*. ^'auz«,u ont • , l'cniié, s aujour- d nui \.' ur I hivcr. U- m virer \.,- s.inr" et North SluTe" «I, u, Oa-- r.e Steamship < ,» . an ti qu'nn b'»nton en fer «i«* la CMaad •hip Unes, . ont pris • ir «j hiv ••r l>*s «leux m». ir- d«*s npamtions imp«»rtante

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La uzonveille «'aïe *uVI

gn.s ani-

quartiers subiront " U eouT'

p.n-‘l«* I hiver « t on ri«»us dit qm ton s#-ra rallongé «le J.', pi,.d>

D*' porte, «le la punie d’avant de la nouvelle (Sale SA'eh»* ..m ,qè f,.p_ m(,> dmiièn nieut y»«>ur l’hiver et •'«*nt entrés l,*s navire^ saguenav ’ «*t Itapid’s King’-. «I la (’ami.'a Steamship Line» I ne parit# ■!• !..menuiserii* «lu “Sajûem " sera chan gée c«'t hiver et le ' |{.; .ni - KlIUT >era transformé en bateau observa- toiro |>our les t<mristr s

la*s portes «le la partie «i’am. re «l« ht nouvelle cale s»*ch(* d«> lâuzon seront pas fermées avant «me qi,, , jours. Il faudra attendre que le d« r nier nav ire océanique ^ ,it |>arti d« Québec D*- navires doivent pr«ndr. leurs, quartiers d’hiv « r «iun' «-ef part de la nouv< . eheM. le curé D. Pelletier a eu 69

ans lundiM l’abbé D Pelletier le d«vou-

curé de Bienville, a fêté lundi I# »•'»«'me anniv «T'.aire «l«- naissane* M 1 a b be Marie-(Je«»rg«'I )omiriique l*ei- l«ti«r. naquit à Kraserville l« I «!«*- cembre INV.è de M (icorge* Bell,- Ber. rnarehan.l et «!*■ <iam«- Kosaln - Virgim, Moreau II fit scs etude- au ('oll«*ge Ste-Anne de la Pocatièn et au collège français «h* Home, en Italie où il tut ordonné prêtre le 22 décembre 1 KM par le eardinal Monaco l«i \ aletta. M l’abbé pelletier fut profess# ur. préfet des étud«*s «-t supérieur du Collège St(*-Ann«- de la Po-atière de 1 KM a |'.H)| Kn P.H)J il fut nommé curé à Bienville M. I** curé IVIhtier <*n lss.‘> fut reçu d(H*teur en théologie «le ri'niversité (»r«'gon#‘nne «b* Rom«» et bachelier en «lr«*it canonique.

Durant I* - J(» anm-e- qu’il estrecteur «les âmes dans I» paroi s s,

Hum* rKS91 KH

l.e mal «le re:us me reniait très taiblo et je -outTrais «!#• vi«)l»*nts maux de têt#", «lit Mme Homulus Tessier. Kt-J«*an-de-Matlia, P.Q. “.!«* fus longtemps irai'*** et presque découragée lorsque e découvris ‘Fruit-a- tive- Les (ju« .i|u#-> preme*r#»s dos#»# marquèrent utm amélioration et après six moi*, les maux de reins, de tête

’ la faiblesse av aient cessé."' Fruit-a-tives" régularise les intes-

:m-. les reins, assainit ia |»#*au, pun- tù> le sang «*t tissure bonne et v i goure use santé. K—hv«-z. ee m#‘rv<*illeux num de fait «1#* jus de fruits m<‘les aux meilI<Mire- ingr««lient# mtslici- naux. 2.x* et -Oe la boite chez t«*ii» • r- inan hands.

Bi« avilie. M Je curé Pelletier s'«*st dép#-n>é |x»ur b* bien ppint'i*! et t*-mporel de >*#*# ouaiUr-. Il agran-

■dit «t termina l’églis#* aetueli». construisit le couvent actuel et eonstrui- •it plusieurs maison «ians Bienv id#* uiri'i qu’une salle paroissiale ])rés» n- t«»ment en e#»n*tructi«in. Nous le lé- licitons (*t lui di.-ons ad multos annos".Un contrat pour la Cie Davie

La Die Davio Shipbuihling ami Hepainng <’«». v a nt d’obtenir h* ; contrat |K)ur la construction d’un jx*tit navire jxnir la Brown <’««rporation <’o. ('«» navire m«*sur«Ttt '140 pieds «le long par do «I** larg*

**t s«*ra en fer. (’«*«*i veut dire qu'un certain nombre d'ouvrier# «lu chantier Davie, à Lan/. »n. auront «le j l’ouvrap» cet hiver. Il est à mhaiter que la <’i** Davi«* obtienm» d’autn»s contra*# pour l’hiver.Un beau trait d’honnêteté

M Maurice* Paris, d«* Lévi# a trouvé e’ remis hier malin à M Félix Piehette. aussi do I x* v i s. un;

vanity case" que <•»> «lernier avait; perdu ces jours «I» rniers et auquel

il tenait b# aii(*oup L’objet fut trouvé dans la (’ôte du Passage et rap- porté au |propriétaire* qui a gén#*- r»*us*‘ment r«'s*«>nqHn>. le donateur.M Paris mérite nos félicitatioaa pour ce I», au trait «i'honnéteté.L'ouverture de» patinoire» “Fra

yer" et '*Gendreau”L’«Mivertur* «1»' la iMiunoire Fra-

'•r". ru#* Fras«-r. a Ixjvis, ?s«»ra tuile demain soir, « N heures. T»>us le» amateurs du patin qui aimeront a aller évoluer sur la glace jxjur- ront le tain à (partir «h demain

•ir La patinoire “Fra-, r" est »i- tu*'*#- à l’endroit «pu w trouvait l’an- « e ruie n inis*- «le la < i«- «les Tram- Hrt.vs K l#*#* triques «i, lx'*vis. Nul d«nr que eonnije Pluver dernier i! y aura foule t(»u» 1#*» soirs.

Ixi (Autiuoire "( iiiidreau". ru#*F" i« liévis. pr«- la e««rres|>oii-«i.-ttiee des trillllVAn; à Bieaville.• «t »>u\ert«* «lepui# tuer soir (’online les hivers «!«*nn. rs. «•ett, patinoire s#ra ouverte tous !«■*• jours« t t«piiè l«*s soir" aux amat# urs du patin et les (prix seront les même** que l’hiver «h-rnier M. (i«u«lrettucompte sur l « ri«-oiiriig«ment des (patineurs et patineuse# «h* la rive sud à s#«ii r«>n«l de gla«,«• » t t«»us s«*ront I#*» bienvenu».

A c«' deux (patinoires il v a des salles chauffé» > « i sépar«‘» s pourjeunes g«*n« et jeunes filles.Naissance

M et Mm«* Loui#-Pliili(>jx- Picard,«1** Bienville. f«»nt («art a leurs parères » t amis »|#* la naissanc#* «l’une tilhtte il*"#‘ et l ap <* l« 2 décem- br«’ '«*u# l«*s prénons de Mari»*-J«*an- nin#*- Kveliiie.

Parrain »‘i maraln•• M #‘t Mm#Albert Picard, om*!»1 «-t tant»* déjà p« • • l’enfant. Porteus»*. Mme Swiftb««rt f«.rt,Boiiffar L tant» !<• l’enfant ; l«*uiJoute de hockey hier au Collège soUi

de Lévis. qu»-ilu-r apn s-mi II. un»* inter»*ssante jr,.

j«»iit«* le goiir»'t a «u lieu au (’ollège ! pour la»!•• Ix'-vi- »*ntr»* I»*s él« v« ' (HUisiotmai- h* |'r«r*-# d«* la «-las * «l»*s Humanités et \ nou « «le# él» v#*s ext»*ri:»*s «le la ni«'rn«* «•!»"#♦•. Mo Ia‘ résultat a été d»* O à 0. o’est-à-ieha <lire qu*- !’*>n n'a (>u «*nr#»gistrer 1'* fp points m d’un «I» i’autr»* N*»# Clôturecollégiens sont i«- bon# joueurs d« L.-u/on

a la salle Thivierg» . à Bu*UVllleLa “Marina Railway" r e erra inau

guré que le printemp» prochainItrait a Lauzon par la <’randall ( ’<» . de Chicago |x»ur la (’»e Davi«* A; Sont*, devait être inauguré sam#xli dtTiu. r mais vu la saison avan«,é»- »-t qu** toi.' n’était pas t*mt à fait prêt «m a décidé »!»* n’en faire l’inauguratKin le printemps pnchain. \a (*hauti«*r a don»* été fermé |x>ur l’hiver #-t 1«« | ’■FUniru»'’ qui d«*vait > entrer |x>ur l’hiv»*r a (»ris .ses quartier» d’hiv**r j à Québec.

Notre -Dame-de-Grâce•

Il dicparait1-a (paroi»»#* vient <!«* |*#-r«lr*- l’un d»*

s» » citoyen» I#*» plu» «•«•n.stamm» r ' dévoué». M. K mil** I>-li» vre. «h- i.» brigade du feu «h- la ru* Dorch* >t* r est mort, hier apr»**-midi. à l’hôp- -» St-Fran*;oi»-d’Assise, «l*-- suit*-' <J bl#*»sure» reçues la veill» dan» l’e.xer- ei*-« d*- son devoir

M Lelièvr* »*«.t l'un de» preniurs ouvri**r» qui <*<*ntnhuèrent à l’ér* « lion d»* la paru"* N.-Dame-de-(ira

L assemblée de la Chambre de 1 Commerce de Lévi», hier »oirNos le#*teur» tmuver«»nt dans une!

autr* page du journal le compte- rendu «i#- riiii|H»rtant»- asûiblée d** la Chambre de ( ’ommerc#* du district »le L« \ . « i i.« hier s,,ir. dans la sali»* del’hôt*! «I* vill*- d*- Lévi» M. 1** cap'J.-K B«*rnu r. le fameux «*xj>lorat* ur des régi»m» artique». > a fait un#» inté- n*ssaiit«- cauMTi** sur l’avenir de la nv « - lu (Kjrt «i* (û«*b»s*.La collecte faite en faveur de

l'égÜRe de Bienville I..t rulhx-t* mensuelle fait»- »lans

l’ég «1»- Bienv ille, dimanch#*, l«*‘Jô ti «\«Mnbr* «I» rm> r. *-ri faveur d#*c«-tt* • glis, a rapporté 1** montant do Kl 1^.10La Me»»#* de Minuit dan» la nou

velle église du Chri»t-Roi.Ou p«4iss». a\*s- a«-tivité i«-s tra- , ...r»-s. Ad* lar«i * t Xd ertvaux «l«* parH<*hevem#*nt du xou-'

ba»s**ment »|»* la future égh-##- «le u | nouYt*lie paroisse du (’hri»t-Koi, à Vil :ii!n*-nc«-r «Ians «ju«-iqu»*.s jour* à p«*s« r I*-# bancs qui vi#*unent d’êtr#* j ti-rn I n tr« > b* au tapi- hn««-leum va aussi #»tn* (x*»#'* dans I»**Boub.iss*‘ment «le lôÂglis#-. Ou • |x-r. que #*ra ti-rinin«* pour (x*rm« '-tr»- « r ur»* «1** ta noiivell» < glis*

f»'t#* «l«- N«x*l «*t «»ti croit <pie ier office rclignmx «ians le :\ t(-iiiple w-ra ia M#-#*»* «h* j

< >n pari#* d’organiser pro- i « rit un grand euchr»- au pro-

ii«*uv«*il#* églis»- de \’ill#-may. de retraite» à Levis et

V lieu VT#* dés l«- début, non <l« vouement n#* »’♦ st jamais détm-nti Mi-mbre d»- tout#*» l#s organisations «t toujours a l'arant h-r-qu il '• i gi «1* r«*ndre s«-rv n*#*. M L#*hèvr*

; s’. st dé(ME*nsé sans compter d« pu cinq ans que la paroi#'* **st fondé* l,a veille mêm* du fatal accident, il i«\uit ene«»r»- passé »a soir#-* «ians no#

j »all#-s. à travaille r |M»ur notre bazar et il avait promu son concouru (x>ur

| hier soir.IM triste nouvi-lle «I** la mort «i*

M lelièvre a j*-t* dan» la ««in*»tcr .nation tou# ceux qui I* «•onnaissaient jet qui bhonorakut de l'avoir |x»ur ami.

Agé de Ô-* an# »■' mari* depuis huit ans. M. Ijelièv re lats-»- jx»ur phurer sa pert*-, son *-pou#e. cinq

I enfants. #on l»*r» #h tnèr* «b-ux fr*

hoek«*> #*t 1* # parti* - qu’il» jouent j I),■

Assemblée du Cercle N.-D., de PA. C. J. C., ce »oir.( V- soir, «à 7 h*-ur«*' M). au bureau

de» OeuvT»-» par«»is.#ial,*^. à Lévi», aura li« u la #anc«* régiili*-r»* des of- ficn-rs » t in»*iiibr»-s «lu ( ♦•rcle N<*- tr»-Dame «i*- LA. (’. L ( ' . »l»* 1>- vi». In- caus«*ri#- s«ra tait»* sur "Nérée B(‘auch#*min. méd#*<*in »-t |x>ète’’. On demand** • tous d'a"is- t»-r à cette assemblé* iin(x»rtante.

HOMMESSurmenés — Epuisés— Affaiblis

Ne désespérez pas de vous rétablir avant d'avo.r essaye les

Pilules MOROet consulté le médecin de la Cie Médicale Moro

.1 ti' faibl»* et •K-bil*-. «-t il me paralnxait imiMxnible d** tv»:iv«»ir ntimi«•» travaille r (lan# la irumutctctur • «I,* « '.i.iu'sur**• •«‘i j'Ztai# employé «yut-t'i i*-# h* i r,-# xi** travail n.*- fatix iai«»nt «••.»»,« ««tj, »•( j •'•*ais t«Mi)<iiir.» n-Tt<lu a-i !•«> g <! • m*--

***rs 1«- milieu «I** la j«»uni.- Java:- -...uvt-nt la migra m,- M«.i a,.,-t,it taisait «ivfaiit ,-t mes vivres diin ii,*nt mal XI.-s reins me faisaient 1m;» «ai. '«««if frir Kntln j étal» tota!«*m-rr . ..n- g.„ ; b «,i *- ,1 • I* , il.*- Mon» rue mirent

Mot me «lonn#*r*>nt d*-' f*»rr - «li-vsi;» :■ m, •! •ul*-.ir- et , uMMirU 1 n u'1*' i •'*•• sant *. j« suis beireuv d«- (Miuvoir «lire le m rj .jufile' mont fait Vf «* »imard Manehmt#>r N If

Depuis «{uelque ternos ma dig»wtio i m* fatur jail uu |h- i et j>ar«s «pi*- -« imVIk *aN d*- nv tr*ft#-r ell»- d*-\ mt de pl , - . a plus mamaifM et les malaise- ,v»g ox-ntax-nt ('étaient *l«»s gar him* s,*nsat * i de «vile .pu m *^t . nfait U - hr ;l ■ meins et de» lourdeurs d «-stomar •! • i t i\ -| • tète I •# lassitod*» «'ontinuelle- et d«*s s,uan*»lenc#*s .lai i«ris «J*- P i,*- \1 >r.i .pu m«»nt imnèliaternent <lonn de* force» <»t ont peu à p*-.i anièii r ma 4i:'* -fi «n \u b,mt .1 ]>. t, de temp- j«- m** fxirtai.s bien ma di^ -sti.«n était bonne et j « tais mieux «Itsp..- a i travail \ H**au|«r(* IMitnarn < onu

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La cloche de la chapelle au cimetière de Bienville disparueUne (*':•'»»- qu<* l’on ne voit pas

tre' s. m vi n» s * st produite la s*»maine !«lerniètvtianx b* cim»*tièr* Val Sainte, à Banville. M l’ahb#* D IVlletier. curé d«- cette parois»»*. «• msiata en • •tT«*t .« sa grand** surprise que la clo- «•h» installé*»* sur la jx-nt** etiapelle «lu •*im»-t t«,r«* avait «lispam. fl tit d» * r»*-|»*iu*rehes » t prit »les tr>nsemènent*,

mHi# * n vain. (’’»-t la s«vond** fois que l’on en I* \«* la cloche à cett<* cha-

J jx-Ile. la pr» .nier** fois »*e fut il v a d**ux «an» On s«*mble oubli» r qu» ' cnipa- ln*r «le tout (•*• qui »«• tr*«uv»- dan» un cim<*tière <*st une profanation et un vol sacrilèg#-.Le grand euchre-concert de lundi

« soir prochainD’est lundi soir prochain, dans la

j vaste sall« «lu Man* g« Miiitair** de ! liévis, qu'aura li»-u le grand « uchre- (9»nc*»rt organis- par !•*» dir»x*t»urs

jdu eluh ‘ Na()olé*on’’ «b* liévis. D- prix au nombre d’une centaine, dont ■m rrati»* nnlu» dimné («ar b* Foyer

Musical de Dvis que Ion distribuera aux In-unTAX gagnants, sont expo-

,'« - dans l’une d« - viirin» # <b* la Par- hiuwie «l»- Bienville. Nul doute qii« toute la |x»(nilation «le la rive su«l ene«mnig«*ra n**# joueurs de bas**ball d*- iy*vis en lu'h# tant une carts* *4 en as'istant à «•# beau »»u#*hr*- lundi soir l’n j«»li (irogramme musical »»*ra exécuté pendant b* #*\iehr«*.

I>*s cartes sont en vente à la Pharmacie Fortin. (’«‘»te «lu Passa

de. à Iwévis. à la Pharmacie *1« j Bi« nvill»*. ch* z M. Knu*st Maran«la. r**staurat«*ur. rue (’omrn**rciale, à

j Lévi», ehez Ix*mi#*u.\ A Frèr«*s. barbiers, avenue lAuritw, à l/*vi.#, chez M (îaston Lemieux. r«‘#taura- teur. rue Dommerciab*. à l/*vis «t

on. j«»ur «b- l’immaculé*- ( <»n- - i* rrnin**ra. au IVtnmage

via retrait#-annuelb-«les jeu- n> tr«-qu#*n’nt ro. uvr** «lu

. « fit# « **uimun;-.ut* Det‘«- r«- « >m u ne# *• m» «li dernier,

r « •••«• par 1« Hév. P«*re Mé- O.M.I.mini. < galem#-nt, «laii' l’« gli'e

. :.»Ti •«*rmin«*ra la r«-tn it« 11« «I♦*s d<-iiioi.s**lb # Knfan»# «b*

• t jiuin»*# iilU-s de la (laroisse, ♦•n.,*** «Iinn’.neho d«rnier. Ia ai.-ur «b* «*»-tte retraite «-st M Wilfri-i Lemn ux. missionnair»*

iun. 11 > aura à cette occasion i«»n «i*- plu#i**urs j* ut.« # fill.-s «|«-

• «Ian- Ir- (’«mgrégation des • • iI«• » l'.nfants de Marie.

de l’Université

M li#*li» vr«- est mort «Ians r»*xer- cice de s«»n devoir apr*- avoir fait

i son devoir durant !♦•# tn»nt» -troi' 'années d#* sa trop court»- v i«- i Il disparaît «le la vie active mai#

'H figure demeure à jamai' inn# n«»s cour# conune un* ( »««rMo nuit i cation du d#-voir.

1 La famille en deuil peut êtn i- ré«* de la part qu#* n«»us prenons «Ians mm affliction et «le n»»s plu# vi•.»•# sympathies

Ia- M*rviee funèbre aura lieu :« lü 1 h» un #, lundi matin, le 10 «iécembre.

Le bazarNotre bazar au profit «1<* l’égli#»-

etmtinu»- avec le mêm* «-ntrain \»- 1 n«-z en foule «•«• soir On \ raflera ) comm** b*' autr» s '- bilb*t «l’entré*- j « b » n n* * droit à un* «*hane#* #ur un m»- I gnitiqae pfix de présence

Ste-Famille, /. O.L» Ste Catherin**

La brass*'-** «i«* lirn traalt>unn<‘iic «1** la !'«•• < ;»trnTin«- ' «•' fait' un i*«-. nan it j iiüiis r»«># foyers, ovti«• \l«-ill#* «•«•uturn*- »-i

toujours nouvelle u la <iat«' «lu no j\«Mihr lati' |w»ur lw ««nfati»' «u** p«*ur | U-s «l*-m«»' 11*- mai# |iour être franc II

va -••n <llr«- «jue le- h«>mrn«*' manK*-nt leur part «!*• «s-»t«- bonne or.1 La tir»- fut • i : *tl‘U i» . r.-fr i.lir «-ar >t.-< \n • • rnu*

Bienv ilie lav»-ur d»*

\a I

«b*# P* r Frau*-* paroi - - senian-

n *-st jmv» arriv habit u lle <•«• faut *-11 cn»ir« Mr-Cat herloe ,»Kr< ahie n«-

Cette soirée NT \! Wilfn.l I

.« la rt1,! b-ix'e l/tourn«-au 11

• •«• avec s.» tsirdéo d«- oe«u*fut un** #’irj»‘l-- ••» s’il

U*- iMinri»*# v1«-ille# till- • «luit r, server une surpris*-

•U*-' dont elle e.st la patn»n

avait été organisé** par •Hlond *-t Km fl" Pr.-mout

d*- NI Mathias - M«h-*« eut déclamation par M

Antoine Turc#*ite D« joli»-!# rhanaon# furent rhantéoN par MM IaV» l^étournea-i W ilfrid l*eHlon*l \nat*«l»* AUm rt. < .«'-rar-J

< «os-clln Joseph \ al'lan«-«>urt Mll«*s iy*on t»n«- «-t Laur«m«*ia l/*P»urn»vm < irazieil» «•t IWnhe l’r-'mont J.* piano tut t*«u«,h« par Mile# Mari«- Xnna «,«•—••lin. « >ra/«-iJla l’r*mont. \Iarn Laure l’rémont #-t Plan • Ime hlouln Mari* H«*m- Plclu-tte

N onw h» ure*,. la L«.nn*- tire «•an:»«h« un fui serv n- aux «-onvives. N prirent pari M « • Mtn«- Malhia- M,.:-. 1/■tourn-..M Arthur I*éf*»urne.»-.i M J M «* I.uuo

Arthur vie Premont M et Mme Isidore Itlouin Jo»#'pti Mlle# llertha Léontin#* et I*aurencla l^é

Colle# te en faveurLava IDemain. «Ians l’egiis* «b

sera I. I'«- une «-nUeet»* *'îl n ni • • r Lî-V al «1* Que!>*-<- Conférence sur le» apparition»

de N D. de la Salette.«I Père J -Emile Plante.«b- la Sal«*lte. revenu «b* î-ii »b* pi u g»- «Irn# la

>- B«*aumont iuar«li d#* la brnière, afin d** revoir

<b*s par*-nt'. «ntr*» autres MV.""' '' '“‘fl ^ ^ ” ,,“ | touru«<iu « lo-ba »-t « M-rtnaine \ a:lUne<«urt

i Mar«-«»U\ ({«'‘attire *-i Vv«»nn»- Turcotte, (irazleila etDu- -««n court s«’*JoUr. ;« B«-a l- ll* rth« l*r« inont « .1 mien 1 hZr»'-.- ,t « a

mont • Hév «1 Père Plante a donné b-ue.V \ alllanrourt Hnr, n<e l’remont KZ- . , . Klua ««agnon. Maru- l’aul « t Kolaicl* v ,t

deux »nt«*r»*ne» - av*s* pr«>j#-c ion# ran«-ourt. Jeannette «t Simonne Albert Ilimin* U'*-' sur les appanti«»ns »le Hlandin, et Marie Anne l’a-piet Mari* v,,t l>. o.. .1.. !•» s .11, run»* à K««#.- Pirlutt, Blandln.i Blouin Lauren Notn Doit »* «1« m • un a Menn,. , .••(llirnrM , j,ailr., « t Man. ! ., ;12 heures ,40. mar'll apn-s-mull. (H)Ur r, Prèmon* * ,'#ii*- Hamon MM Lé..

, ],-s enfants et l’autr»* b* )ir P»,ur f D'tourn. au I t*a!«1 l'rémont Emile !’r«I, crarnl. ..r-.o;?,.- de I; ..... . " ilfrid et J<*#* ph Dblon.! \< :l. ' gran.I. r'niri *" 1 ,ir . I»,,anger s t an i sla.# Jo-pn . •

• oa furent tre» i ■ , .«antes vt le# « '««yen# d* Beaumont tourtM-au Birhai.l «.agnon Antoin. .• Ve.r.t«n.m ,.«n ;'«.avenir «lu | 'i«g«- «lu Ivevd I «-r» IIM.ly! . , \j t Jnee ITémont Dénis l^tPlant#* «b its |«-ur parois#* tiea-. Alls-r, (iig«»zre l»«ii' V •/ma KoI * fmts. 4 * I* I m en niée t-ert »t lô 'allU Bloom Lion. «iaiirlie-La grande fete d» I Immatulee , ,

t onception demainDemain lu gran«i«* fêle «i« 1 1 m- «O'rard ) « rland (* t.müe Taille il Bénit

nmn.lp,. « -pilon. M-ra .s'-l#IWV Ç,,,'; ^ *rmuui ''I#« «1*1. ne! u-l i :* Il t Dali# t«»ut« ' -« ' eg|i- \,,s plus - inèr* s félicitations aux org;, ' ses d • -s différentes panuss»*# «b- la ni#ateur* M xi Wj'frid D-b!on«l «t (.mill ( nve sud «les ni.^. s en nui',que se- l

ront chantée» (>ar b ' choral* "* Iin.pin h-i«- r«»n s» sépara eniiNvrtant unIl v aura, «Ians ra(>ri*s-midi. ns-| « te,•lien, '« uv«*nir «i** « ett»* joli» f«

de-Mane. des diff* r*-nt* - i»ar*-.s»#" —vu que «•’est leur f#*ie patronale et I

aura kussi rée**ption 'b jeun**

«•t en j st«--< 1

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44Lisez bien, et découpez ceci y y

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15 an# «Ir \Vnt<* et ,1«- S^rvli-»*

...“Qu 'est-ilpour vous de plus précieux en ce monde ?

Est-ce vo» talent», votre fortune, vo» plaisir» et votrebonheur du moment Non ce n'e»t rien de cela.

Ce qu’il y a de plus précieux pour vou» et à toutâge. c'est seulement la durée d’années qui vous reste à vivre.

R»-mar«|u»*/ bien une ,-»s-i peut nu •»« (limiinu-r «mi « augmrtm-r #ui\»nt»iu«* v,mi# !,• \nudre/. On napi. «Tfig,* de fixé d avance #«»it ,»our MMiffrir «»u p««ur mo«irir «',•#« #..itnou# '-u !«• hasard d»-# acri*(entx uni l«* tlx,- ,'•«-<*1 Mii\ant »pi'nn sait \i\r«- ré-fl.-' hlr et choisir 1»-# rem,-.!,*# (pii nou «,n#i«-nn»*nt au i„-*../in

Il > a «t»*# milli*-r*, «I,- reméd»*» et «l'autre# rn,»y«-n# donné# iw.ur vous soiRix-r, pour vous ai'ter mai# d»*# cen- tain.-s pour vous n*- valent rien »i \.«u rliolslsnez un mauvais v*mi# /'te# Imttu# rien ne vous em|*érh«-ra «la •.«*ir pra«bu-Hem«*nt l« ' pire» maui • t la mort prématuré»

M,- remèdes sont «i«* réels bons retn/de# Ils s,»nt faits en plusieurs #nrî«*s p* «ur soigner ensemble d#** #♦ rte# «le maladie# «-elle# |»*-rmises par la l<ni ,|»‘s méftieatnonts brevetés l’ar «temple une |»ersonne a le# fU \ r»»# al*>r# rest |«« médecin qu'il faut «ti- #»tc

I M»-# r«-inè,les soignent plusieurs ina'.idie» *1*- jK,umons t»•||e# «pie I*- «atarrhe les rhumes 1» l*r<»n<-hlt#'1 ast h nu »-t 1,-s douleur# de dos » ♦(Miitrine

I n «étnE.ltmHge entre des rniilter- \2 fx»\ IW» Mme K I «le ‘

l«HH matante maint,-liant je r « pl is d« leurs J, fai» Man

F.-X. LACROIXHerhoriate autorisé par la loi

I/fs maladies du ««anp. quin*.clous . g*-,»# iM'iitons, dartre#

sont d é-

• tigfyiison# t« mt p'I,- faible##»général#’ qui *ont du» aux nmla«ll("

«/ «l«-s p»Mimons et sang pauvre.« !>«•# maladie# «le I estomac et

. digestions ma umii#,-# d« truites s,.rt«-# \ ainsi que d«-s maladl«#s «les rognon# du

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Dt-main matin « f» heur#*s ,'Wi 1» ■ |>« m«*i#» 11*-* Enfant.# «le Mariedo liévi#, à l’occasion de leur f«*t« (patronale, feront leur communion | gem-ral» Il en sera am«i (tour I#-', T»rtiair**s <le D-vi». Elles p#»urroni agner de# indiilg**nc<»s plénière» «-t

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d’un trè# grarw! concours «b- pan-nt» #•♦ d’amis, ont eu lieu, dan» I «-gb#, Notre-Dame d«- liévis, l#*s funérailles de M Adjutor (hn-llet, maltre-i>ar- iuer. é(N>ux de dame Marthe M»irin, ! d«s-é«ié mardi d« rni«-r, à sa résbh-nce, ru#* (lauvr»-au. h liévi#. h l’Ag#» «le 47) ans et 0 mois. Xpri^s la cérémonie funèbre le# restes mortels lurent conduits au «umctièrx* Mont-Man#** • inhumé# dans le terrain d«* la lamill»-

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!.. honorable M. et madame W *(î Powor, qui sont on va* moment n Montréal, iront pH'^<r quelque tornpM à New-York.

I. honorable M. «-t Madamo John- llail Kelly Mjnt partis pour Mont- roal. Madam* K< !!> paswra quidquo» iour> dans la métropole, tandis quo i hon M Kolly eo n-ndra à Toron-

i to.

M ot madamo Desmoud Ularko ont rooii intiniomont àdlner. moror*-di soir, à lotir rôHidenw, Pla/o Ocor- ku-V

Madame IVaudry Dman « t rnes- doiaoieollt-H M ad «loi no «‘t bin** Iceman «’«‘nibarqu* nuit on janvier fwiur’ un vo\aê ou Euroj**.

Mademoixello Kuth Hall Kolly o-t rovouue <1« Montréal où elk* a pan^équelques mois

Madame .1 K Barnard et madame Julien < houinard pass«-nt quelques jours a Montréal.

Madame Alfred Scvard a reçu intimement a déjeuner k sa résiden<*e, 25 avenue .SainU*-f îenevièv'e, hier, «n l'honneur do mailame Daviur Atlantic City et la Jamaïque.

.Mademois« lIe Ixiuiee Roy est revenue A Québec, ar>rés avoir pansé- quelque temps A Montréal. 1 invitée do mademoiselle Ix>ui»c Saint-Jacques.

Madame J -H l’aré passe la semaine à Montréal

Madame Donald f'isher. de Sack- n ille, N -B., est en ce moment eher. h»*m parents, M. et madamo E.-O. Mor»*dith.

Mesdemoiselles Cramail. a\enu«' St*>-Genevièvo, passent quelques jours à Montréal.

Mademoiselle Françoise bemieux recevra dunanehe de 5 à 7 heures, a la résidence de ses parents, M et madame Jean Lemieux, rue Fraser.

doau. oncle «-t tante de l'enlant Por- teuw. Mlle (Jaby Bertrand, tante d*- l'enfaot

bundi dernier, a 9 heures «*n l é- tfliw de Saint-Itaymond, M râble- J.-K. Pich«*tte. curé do la paroisse. a !>érij le ma nacre «Je mademoiselle Antoinette Plamoudon. tille de madamo Vv«» bdouar i Plamon- don d» Sain t-Uay mond, avec M Ixiuis-Jofeph IxiBoeque. «le Quêta- fils <i«- f» u M. « t madame Joaep l^Kocque. M Joseph Sa vary &«• compapmait sa nièce, et M. Paul- Einile l^lUK'Oue servait de témoin à son frère, b’é^lise avait été magnifiquement décorée pour la <• r- constate*- JVmiant la eérémoni*

le programme musical suivant fut* v«*-uté “< r««do". de Faure rna-* i • moi-«*1 le Marguerite-Mane Mar-

; Noël «lu Mariajfe '. «je Chou- «l«rii» M. Auu Planiond«»n ; “Can- tilène nuptiale", de Dub<»is, piè< >• «l'nriruo : “Sileiu-e et cieux”. par le <h*eur des F niants de Marie ; "Je vous s«!u«« Marie *. de bigonnet. t ?ir le ch««*ur «les Enfants «le Marie;

rtii I ■ la Bach pièced'orifu* Mesdemoiselles A. et (i. Plaïuondon présujèrent à l'orgue h tour de rôle

M et madame Jxiuis-Joseph ba- Ro<*que sont partis après la cérémo-j ne- [M>iir Québw, Montréal et Sain- te-Acrath*-«les-Mont*. A leur retour d« voyage, ils résideront à Québec.!

jour, par

ST-ROMUALDSuite de la page 7

1 l'n* r»- d hyménéo par Mlle (iu brnlle Huar«l.

2. (’antique de manage tiouvea .i>ar NI 11** Cécile Aliain

3. —Célébrons ex» l>«-auMme Oiof ('«“'•té.

4 Mer»* <l«« Dieu, bénissez-nou duo par M Donat (irég«jire * Fernande Kobitaill*-.

M et Mme Bobitaille sont part en voyage de noce h Trois-Rivières * t Montréal.

Non meilleurs vieux de bonheur aux nouveaux époux.Pratique de chant

Il y aura <*e soir vendredi, pratique d«* i hant j>our la choral* Autant que possible que t«>us U» membres soient présents, car il n aura plus que quelques pratiqui rnainN liant.I mmaculée-Conc eption

iJemam. "arm'di. sera célébrée la fête de ITmmaculéc-Conception 11 v aura communion générale et » x* r- cices spéciaux, fMiur les d« inois«‘ll« - de la Congrégation «les Enfant — de MarieRente» de» banc»

( "est au cours du mois de décembre qu’est payable le deuxièm* -«■mettre p«Mir la location des banc- à l’égliw M le Curé se tiendra la saiTistie, chaque dimanche, apr* la messe * t les vêpres, pour en fair* la perception Quête «péciale

I«h quête aux messes, demain . l'église, est au profit de l’Cnîver m té bavai.

20 MINUTESCeb snffit:- Votre mal de tête aura dis- p« i, vingt minutes après avoir t»ns uu« t «blette ZtTOO. 44[ ne «le c«-« petites tablettes, sûre et aussi inoffensive que le -oîa —arrête tout ma.' i*' tête en l’espace de vingt minutes.Micux que i«-la encore, si vous avez !• fc.in de prendre une tablette ZUTOO, dès que vous constater que vous aller a * :r tus! à la tête, cela vous «n préservera -le détruira en germe.

Vous n’aurez pas mal à la Tête.

tranf que les recettes furent «1«* $ûi - 2*24.2) «*1 l»*s «lélxiureé- $50.*.445.93; qu’au «lép rtemeut de la p«>li«,e il > eut 16 arr» "iati*>ns pour délit" di-j vers, qu au «iépartement du (eu. $ alarums sona»-» - dont «leux |x>ur com- menceinents d in endies av***- d«mi- mages approximatifs «le E50.Ü0 s«*u-i lenient et 2 |>*.ur feux de cheminées sans dommagt-s appréciable*: qu au départcaouit «1 la santé l«» im<b«*m tnunicip;?! a far un « xamen «!♦• bms Ih* enfant- «pii fréquentent IV-eob* Desbienti, disant qu’il y aurait urgence pour ou'il y ait d«s examens réguliers de init* sur chaque <»nfant à l’avenir; qu'au département d’Hy- i o'*ne, l«* I>r (leorges Héiie a tait l'inspection des étaux de UHi«*b«-r-. «ju’il a prélevé plusieurs échantillons «te lait qui avai«nt matières gra- ••* suffi»ant«»s et que les viandes vendue- sur le marché furent trouvées parfaites.

(Y rapport fut accepté par le ©on- j wil t«*l que soumis.

Il est proposé par M lèche vin Jos J<ainontagno, secondé par M l’échevin Pierre Létourneau: Qu«- cette municipalité consente ft la vente par Paul-Etienne Boudreau à Joseph-Edouard Boudreau, de l'immeuble No. 27-421 et 422, sur lequel est érigé une construction de logement Ouvrier, et que 1<> maire soit autorisé d'inter\enir au «lit acte «b* vente et de le signer |M>ur et au nom de la municipalité, ft condition qu’une copie du dit acte «le vente soit fournie gratuitement a cette municipalité.

*0111* d«* la population *1“ cette villeet plus particulièrement ceux «le « etterégion. «*t que «‘«da n améliorerait pa~ sensiblement la situation;

Attendu que «e <*otwil m* «Toit en mesure «le prouver ft la satisfaction de la (Amimi-'ion <!♦•' chemins d*1 fer qu’il y a urgence et nécessité «l’avoir un |iont pour v uture- «•oui- me fxAir piétons ;» I «-iidroit susmentionné. .

Qu’en «xuis* queu*e «‘e conseil rut sppli' aHori aupnN de la Commission «!«-s chemins -t*- fer, "i c est «laus l«-s attributions «1«* «vtt** dernière au lieu d«* fair** une nouveMe cause, «le lui permettre de reouv rir I’enquAte à «m* * i- jet. «*t do faire plus ample preuve pour «lémontrer «•ette nécessité «t cette urgence «l’un pont pour voiture- qui serait au*.-i utilise- pour piétons, a l’eri'lroit sus-mentionné.

Et que «*ooi«* <1«* la pres««nte résolution s< >i i H<lr* 'sé«« à lu <'ommisHion des chemins <!«• t«*r «lu ( anada. am-i «iii’ft notre «Je pu U . Monsieur Simêon Délisle.

Adopté.

ba w'ttu<*e est alors lovée par 1«* président du coiimmI.

Naissance. Fête.M He tor baimithe, bijoutar e*

échev in «le «xdtc \iil«* et sa dame annoncent la naissanœ d une fille. bat>ti.s«'«‘. Mari--Ain-*--) lertru le.

l’arrniu et marram* M « t Mru«* Xavi**r Morin des Trois-Rivières, co. j sins «!«« l’infant Porteuse, Aime Honore I «a mu‘.he grand’ni«re de l’en

fant. Nos félicitations.(Vine lenoe reinarqnabklt la jour-

né«* même «1«* la nai'-abce «lu l>él>4. c’était la fête «u* la mire du bél>é, et également la fête «le la marraine

Anns la cérémonie «lu baptême, un banquet out lieu «l uis la chambre même <!«» la malade, y prirent part la famille baumthe. le parrain « t la marrai ne. ainsi que la porteuse, etc.

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l>* docteur et Mme J.-Donat Chrétien sont partis, mercredi, pour St-Jean, N B , ils s'embarqueront de là jxmr rEuro|>e où ils passeront l’hiver

M. James O’Farrell et Mme Ja- tm s O'Farr* !! n«V Susie Chssi«l\ . <J«- St-Malaohie. D«>rchc-t«»r. fi nf part fti leurs parents «*1 anus «U* la naiasam'e «l'un fils, le 2 décembre «Icrnier, baj>- . tisé sous l««s prénoms «!•• James, John. ; Amlrew Parrain et marraine, M. et Mme < MMirges Lafontaine, «>n«*l«* et tant»* de l'enfant Porteuw. Mme Joseph O’Farrell, tante de l’enfant.

M l«* notaire \ i«‘tor-.\itné Rouil- lar«l. «1« Ste-Claire. Dorchester, «le passage ft St-Malachie, la semaine dernière.

Ntl!« - Thér* « t < Y-<*il«* Morin, «le St ♦•-Cl aire. 1 Kui’hester, etfti»-nt «!♦• pu--age «-he/. M1U* I.iz/.ie Lafontaine, «le St-Malachie. Dorchester

M et Mm© (4©orge« B*-rtran«l font part ft leurs parents « t amis «b* la naissain**- «l'un«» till»*, baptisé** le |«»r «lé<*embr« , mois 1rs prénoms «b- Ma- n«*-J«»annine-Bejari*' Parrain et marraine. M et Mme Emerv Falar-

Sinti de la page 15)

«lueeYst qm- liéviset nous permettent «l’avoir «les renseignementB très intéressants tels que ceux qûi nous on t été fournis par les orateurs précédents. M le Dr Roy félicite le général Tremblay d’avoir bien voulu assister ft cette réunion et dit que bé vit ne jalouse pas Québec, mais veut être considéré comme eùté sud du port «le Québec. M. le député «li mande ;« notre représentant «le la rive sud ft la Commission «lu Havre. M Routin-Bouraasa. de j>* n- s«t souvent ft Ivévis «-t ft ses besoins «t termine en souhaitant que ce «pi’il vient «le dire oon«©rnant l’av»- nir «le la rive sud du port de Qué- be” s« ■ realise.

M 1«» président de Billy, en «on non» et au nom «le la Chambre de Commerce du district d«* bévis, renn rcia cl«* n«*uv* au le conférencier de 1» s«>iré«>. ainsi que le général Tremblay. M Boutin-Bourassa. MM. I«s Drs Dussault et Roy de leurs intér«*ssant«‘s déclarations et expü- «•ations. Il s«* «lit heureux «le constater l«»s bonnes dispositiona des deux «léputés «lu comté «le I/*vis envers la ( 'hambçp «le ( Vtnmerce « t «lit <|ue leur concours s* rn une aide très précieuie p«uir la < hambre «le Commerce. (Vtt«* b«ll*> as- s«»mbléo spfYial»» s«» termina vers dix heures «*t I'assHtani’e «pii remplissait la salle <1«' l’hAtel «le ville -«■ diYiara très satisfaite «le «e que r«m venait d’entendre sur l’avenir «le la rive sud du port de Québec.

travers la voie ferrée du C. N. R., copie «lu jugement et ordonnance d«- la Commission «les chemina «le fer du Cana<lat rendue sur la requête de <•« tt«* Municipalité au sujet du pansage susmentionné, autorisant cette ville à construire un pont ft l’usage d**s piétons dont le coût sera réparti

même la “caisse des passages ft niv«»au” soit 40% de la balan«»«» devant être divisée également entre ***111«- municipalité et la Cie du ch<*- mm de fer Canadùm National, rap- i*»rt «lu gérant municipal. M. L.-VV. llourassa, fx>ur le mois écoulé, mou-

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Best pro)»osé par M l’échevin Hidolat Duchesne, s»e<*on<lé par M l’éohovin Orner Journeauit, qu’il! soit rés«>lu que: Attendu que cette municipalité, par voie de requête à l’adresse de la Commission des chemiiiH de f*»r du Camoin, a demand*^ rémission d’une onlonnance enjoiu- gnant ft la Cie de chemins fer (’a- nadien National de construire un passage supérieur pour les piétons et voitures, sur la voie du chemin de fer à la rue St-Michel.

Attendu que dans le jugement rendu le 1K sept., 1928, un des allégués mentionne que la ville, requérante n’a pas suffisamment établi !e besoin et la nécessité d’un pont <!♦• bois pour l’usage <I«« piétons s«'u!«v- ment à la traverse de la rue St-Mi- chel, ne saurait rencontrer les be-

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tous »•«•> membres tenait en la salle de l'hêtel de ville sa deuxième réu- nion régulière du mois courant.Parmi l«'s cyrrespondan«*4*s «iui furent lu«*s. nous citerons: lettre «le M P.- K. Boudnvait demandant !*• <*ons«*n- temi'iit «1«* cette Municipalité à la v «-ut•* «i« -uni immeuble «i«* Ii(»g**nient Ouvrier ;« M. J«>seph Kdouanl Bou- «lr*»aii: l«*ttre «b» M. S. Délisle. M. P. au >ujet «l«* la «înstruction «l’un |Ki»^- >::g«* mip rieur à la rue St-Mudud, à

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Londres, 6.—(P. C.)- On mande de Lahore, Inde, à L'Evening News'* que le roi d’Afghanistan, S. M. Aman Ullah, et Hacha Sakau, le fils du porteur d’eau, qui est à la tète des rebelles, ont mis à prix la tête l’un de 1 autre. Sacha Bakau mena les tribus rebelles à l’attaque de Jelallabad, et l’offre d’une grosse récompense pour son cadavre fut affichée le long de la route de Caboul. A son tour il afficha une offre considérable pour la tête du roi.

On croit que les vivres se font rares à Caboul, d’où les convoyeurs, en particulier les Hindous, refusent de partir pour le périlleux voyage de Peshawar. La dépêche ajoute que le courrier à destination d’Angleterre dut rebrousser chemin et rentrer à Caboul. On rapporte que les personnages officiels s’enfuient avec leurs familles vers Peshawar. Les rebelles s’efforcent de rendre les routes impassables, et Caboul, la capitale, est virtuellement assiégée.

Il ne reste

Montréal. 0.—(P. C.)—L*» pastier* québécois f*t ontariens étaient encore en conférence à Montréal aujourd’hui. On croit «avoir qu’il ne reatait plus à s’entendre que sur les déta'1*. Aucune déclaration n'a lté publiée*. La conférence a eu lieu à hui» clos.

que desdétails

J»\v ■i.tv _ r *^1

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OTTAWA NOMME DEUX SENATEURS MM. FOSTER ET HORSEY

Ottawa. 6. PC L’hon. Walter Foster, de St-Jean. N B . a été nommé nénateur et n résigné les fonction» de rre»iden de la communion du port de St-Jaan, ponte où il eut i , * W.-fScully, remplacé lui-méme comme eimpl» it«air R.-THaye», de St-Jean. l a nouvelle de la nor fn** on au SA de M.Foster a été annoncée dans le cabinat »emier minuit en meme temps que celle de Henry-H. H y, Cressy. comté du Prince hdouard. au siège de la Ch a m b r i ute laissé vacant par * mort du «énateur ontarien John Wel. r.

mer

LE DERNIER BULLETIN SUR

que mentionné oe matin”, hitfné par quatre médecin»

“L’état général du n»i reste* le même

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que*. L’an dernier ils se trouvaient hors concours parce que l’année précédente ils avaient remporté ce tn>-

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Trois-Rivières, 6.*- De notre correspondant Samedi prochain s'ouvrira l’F’xjxisit ion Avi<*ol** de la Vallée du >t-Mauri'e s*»u» la direction d** TA" *< i;iti.»n TririuvienneEnr. dont M. P.-H Marineau est président Tout indi*iu**. d’après les inscriptions rveur* a «late, qu’elle établira un record. En outre d**» prix en argent, dix-s* pt coupes sont offertes aux exposants.

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M. lêlièvre, qui était au service des incendies depuis plusieurs années est âgé de ^2 ans et père de mx enfants.

Le “Soleil’ .prie madame Lelièvre ainsi que les membres de sa famille si cruellement éprouvée d accepter l’expression de ses plus vives sympathies

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I )a - * I affaire «leAU TRES PARISIEN ENR., gu* if.No II Un-KAvi» a ix créancier» «le la prend* r. aaNem-

blée à la Mlite «l une ces-ion Avis e*t par le présent donné <»ue Au

Tr* ' Pari sien l-fir. <ii «/uétM*»'. le .'tejt» «1* •. * inhre 1U2h. fait au «anisainn.'«m. cession autorisée rte tou» «e» biens

le IténéHce «le mm créanciers «t «iu** i h M'.rabU Afiiértéf H«*t>itaille. séquestre <>C «I <ie la four Supérieure, ma ii«»tti tu. ârilitri îles biens «lu débiteur Jukou S «•»• que le® créanciers à leur première a's. rnblée ai« fit élu un svnrjlc pour ad- m 'tr» ( les biens «lu «iébifeur

Av;* * * s t au.NFi donné «pie la nreini»'** asstinbiG’ «les «Téanchrs de !'ac‘t:f stwlit s*« tenue au Palaiti «le Justice à Quéltec 1« neren tii l‘.H* Jour de dtVemlire ll.)2» k deux ht ures et «{«‘inie «le I après-midi.

pour vous «humer l«» droit rte voter à iai'in .«'Minblée il faut que la preuve «h* votre . ■'•ance s«*lt pnxluite entre nws in., us avant ladite a-sseinblée

I . priM'uration» «jui doivent s**rvir à 1 ;«"«*fiibii *• «loivertt être aussi déjtosées e i . lues main» avant la«iit«' ass«fnbl«V

sov#/, ailMsi notifié ipie si vous ave/, ur... nVlamation ‘|tiel<*onque vous don- fi . ; - droit «le fl«urer h titre de créanciers, la preuve «le cette réclamation «toit être !>, o.lüitc entre mes mains ou au symlic

am;» ét« «•hoisl. «lans l«*s trente j«mrM a i .fiipter «i't présent avis parce «pie «lis ei après l’expiratln «le la i»éri«xiic tixé*e ji,,r Iddinéa s. ti«. Partiel® 147 «h ladite loi.

RE : THIBAULT, LIMITEE

Avis est dtiniié par les présente*, que tout l ac; if monilier « t Immobilier «te la compatm:*' Thibatiit. 1.invitée, sera mi» en v«*nt« far i n«h. r. s ,..b!i«|U« « par n«»u* ivou»sign« - Th* Sun t rust (’«vmpauv. l.i mittst en notre «iual*tc de fitlucialn* I>our les p »rtffrs <* ob!i»f>»tl«*ti- «le cette cotnpa- irrni au t)iir«;»u il* riubault Limité»', en la ville «ic Montma»rn> le nnTcmll «lou- zc décembre courant P.)2s à «Ut heure® et demie d« I aviint-nu-d les «lits biens «levant êtn* vendus «-n tr*»i' lot* séparé». J

Dan* l affaire «le F actif de ..,0 ril4.J.-A. LEVESQUE, tabac«mUte 1-* st-Paul. guébec Avis eat par les pré*

Mme veuve J \ Dv.-que tAbACOUDt.129 rue st-Paul. Québec «lan» 1» Projjjj*«le QuéU-c a. te 4e jour «le décembre J92 - fait une re«M.on aut.ir-Ye de ’«mis m«*. bie *

le U néfl«e «le ses céaiHtkr» et que Imnorabi. Anas lé.* Kob'taille.

ottlclel. nous a nomn.és gardiens «le® Wen ! rte ia débitrice, jus.pi a « «• ««ue ‘ ^ ‘1 «-lt rs aient « u un syndic pour admlnUtre j __

les bien» «i«* U débitrice x _La pr« tu 1ère Maeintilée des créan« 1er» «1<*

i actif sunlit •a ra tenue au bureau de ]a loi de faillite au Balai» de Justice. E Qué- tas- mercredi le P*.- jour de décenibn 192H. h :t heure* de Paprès-niidi

Pour v « «i .s donner «Innt de voter fi l*i dite asstnd.léc il faut «pie la pr. i.ve de votre créance «t prtcuratlon «oi.ut pro

no* main* avant I .»'>* mnme des n's'la mat ions doit être

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DEMANDE A LA LE6ISLATIIEHurmii *ï.' «l« „..S K.Imains «le la «.té «le QuélH** » a-d essera K l . l^,\H Te «h' U jJ*Québec. '» sa pro. b.4;Me ses'i *u. gOUT d®- mai)«.«T tie* nouv «ir^ «l euiprunt.

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\ . ' ,-st par I*- présent donné que .1 \ 'l.aptunte «n Québec, a Je 3t>, in« j«*ur «1*- iM...nibr*' liijs fait au soussigné, une «•»■' 'loi! aut«»ri*,'«* de tou» «e» biens pour le (h ii«'li« «' <l«- s,-* créanciers, « t que rh«*nora- ; f.,.' Xmédéf Bobitalll,' ''équestr,' t )ftiri«-l « if .« Cour supérieue. m a nommé gardien ! -If' blfiis du débiteur JUsqq'tt ce «pie l«'s «•? . aïK itT» à leur première as.semb'uH* aient , .lu m syndic pour administrer le* biens]

j «lu «jéhiteiir[ \\is ,-st aussi donné que la première j , as-Mintilc»' de* cnutnciers de lai'tif susdit, sera tenu,* au Balais d,* Justi«'e à Quét>e«!*• mardi le 1 lème jour «le *1« .•«•iiibre IdJs , trois heures et demie «i« la pré* midi' I

IMur vous donner le ,lr«»it de votxT à la «Ide assemblée il faut «pie la preuv«> «b*

' i*- «'réaui-e Mût prtHluite. entre nies mains a v ant la «lite assemblée

! »«s t>r«8'uratio(i.s «pii doivent servir à , • .»f.e «biivent être aussi dép«»M'es en

tre m« s mains avant la dite assemblée *«»yez aussi n«itjfié «pie *1 von* ave/ une

h * !.«uiatioii qu«*l<'oiique von* donnant «ir.ut .1*' figurer titre de créaneter*. la

; pr* iiv«» de c« tte réclamation doit être pro- , «luit»- entre mes main» «»u au syndic «pii aura ••té choisi, dans les trente jours à ■ ompti t du pré.vnt avis parce que «1è> et aprè' « expiration «l* l-i ix'rhMle t!x«'«' par l a im a s «i«- l’article .’î.’ de la «lite loi. j«» *listribu«'tai le produit «le l'actif «lu «léhi- D ur entre le* ayant droit n ayant égard qu aux nVlamation» «pie j aurai alors r« - «•u av isl)at* ft QuéU'C ce 30éme jour «le \ovem-

t»re 192HJ. ARTHUR GAGNON

GardienBureau27 Sau-t-au-Mat,dot

! Québ,»'

C A N \ I ) ABrovinc,* de QuébeeAVIS DE DEMANDE A

TURE

Avi* e*t par les pré» ente® donné que la Compagnu* >t Law r« ii« e Bap«*r Mills i Coinpanv Lt».' «'«ir;1' politi«pic légalementiti«'«ti»• ré s adr s*«th » ta légialature «!*• tJué1 >«»■ il «a pr*Khain** s,»ssioii. jm.kt demander i adopti<>n d une loi ratifiant ,» valh.ant a tout*** tin* que de droit, un, ;i«'t«' ** * i is s«»ing priva'. acc«»rdant un droit j de p,v*.sage «•«msenti par uue.ame I.éa ; Labrie. «'jkius»* d*’ Kuvtaclv* Sim«*n«xau, «»u j vrier, agi*Kant 'ant p rs«mnellemrnt «pie cornm*' tutn«'e conjointe av.*' «on mari fti s»-s entants mineur*. . t par l« «.it Kustach*' slmoiu'a i tant |«ersonnellenient «pie corn- i me tuteur «'«m.iolnt aux«lits enfanta mineur* • par « os»rg«*s Jo ir«t lin. i>éch«‘ur. I «o faveur m.‘ la «'«unjiar-me *t Lawr«‘ii«'e BafM-r Mills ('oinoany Ltd c<irps publique ,-t iu«'«»rp"ré u«* eett.* j*rovinc«». h Trinity-Bay. «'«»uité «l.* Saguenay. I»' 21 mai 102v «t déj*«»*e parmi l«v» minutes «.«■ J-A < i au vin. N B. le 29 novembre IU2V *«m* Je mimén* «p' minutes 21nh Quélvec. 30 novembre 1028

Pour la pétitionnaire.sign, OSCAR BOULANGER.

C. R., M. F.Procureur de la pétitionnaire

7-1 l-21-2Hd«V

Dan* 1 affaire de ALPH.-H. HOUDE. expert en radio. 67 «site <1 Abraham. Québec. Qué cédant

Avis est par ie pn'sent «i«mné «pi**M \KDI LK IS DKCLXÜiKi; 102S

A II HKLKKS AM aéra vemiu par encan public, aux bureaux du syndi«‘ souss.gn*' I 47 «Vite de la Montagne. Québec, l'actif de cette faillite comme suitItem A. Bond» de commerce «le

ra<iio*. haut-parleur, etc . pour être vemiu en «1«'*tall $1 .000.00

Kem B Acceasrviro® de ^ radios, jx.ur «''tre vendu en «iéta.l ou par lots, suivant listes I>» tout a une valeur « environ 700.00

Item (i Am.utilement «u* bureau comprenant table* chaise. Oli. r * **n acier 3 tl- r-.ir* tompbilr. un clavigraphe t n«br- w«K»d .te Aussi erwigne éiectriqu»*. etc Bour être vemiu en detail', la* item V 14 et (' seront offerts en

vente en détail et au plus haut eochérlueur

La liste de® différents article* annon«**s en vente ta-ut être examinée aux bureaux du syndic soussigné et i»1 magasin sera ouvert pour Inspection, le 17 décembre 192H

Condi dons de paument argent comptant.Québec, le 0 décembre 102»

R.-ERNEST LEFAIVREsyndic

Bureaux 147 côte de la Montagne,Québec. Que

7-10-13-I5-I7déc.

Dan* 1 affaire de ALFREDMianufa<'t'irier Z1** ‘hauaaure®. .40 ruaMfiilt'alm. Quélie,' c* »lant autorisé

\v ' «"t par le* présente» d«»tmé «iueMa\<1)1 LL H DK CL MUR K 1928 ft 1 1 H Kl R K 8 A M

s, »r«mt vemiu* k I enchère publique aux bureaux de» syndic» **>u**ignes, le® pro-

■••s H ,''“l .....\ I n l«*p!n de terre situe h l Ancienn® 1 s.rette rang St Jean-Baptiste mesurant » nv in.ti un arpent «le s.ip.-rflcie plu» ou n,,.ni' t**.rn« vers le nord par Michel <.auvin v.r* le sud par la Uivb.re Lorette. vf > , «-*t pat les repréaentant» de Victor K.ibitaille «t ver» U* u«»rd-oues». par 1® tr.i t quatré Beaupré, et maintenant connu comme étant une partie du lot numéro <'ent trente V30* du cadasfre offlciel i>our la p.«r« *is»f de 1 Ancien ne-Ta»rette avec ma>»on et autre» eonatruction» deavus éri- g' . ' et «lépen«laiu'es

B Le lot numéro deux de la subdivision du lot originaire numéro «m/e cent q.iarant.* six ',1140-2 et le* lot» numéro® un «-t «leu» «le ia «ubdivishm «lu lot numéro onze «'••nt «piarante-neuf «114W-1 .Y 2» sur l«> plan et dan» le livre «le renvoi du cadastre «itbciel de la pannsse «h- St-Sau- v, qr .b, Québ,*’ le tout formant un seult. ir.un siiu.' au «' t* n«»rd de la rue Mont- ctlni «v.*- les b\tlss»*s «lessu» érigé®» et fiéjH'ii lanees, le premier l«>t ayant une »u- perlleie «le «pim/e c* iit «m/e pied*, le »♦«- cnl lot «le trois cent trente pied® et le troisi.rne lot de dix-huit cent soi\ante-ei| un pi,»i*. plus ou moin®

La vente *e bra pour «'ha«pie Item séparément au y lus haut et dernier enchérisseur

< 'ondit huis Argent comptant.(’«•tt»’ vente est faite c,»nf«.rménicnt aux

dispositions du paragraphe 4 de 1 article 20 «le la !«u de faillite et a le même effet «pi une vente par le shérif uuelHS’ «e l‘> noveiubre l‘*2».

Ls-Fh MORIN.Eux. BARRY.L®cn COTE,Gcrard MARCEAU.

«yndioBureaux 71 rue ht-Bierre. Qu* l*e«'

H) 24nov .déc.


4 L LN CA V

SOUS LA LOI VENTE A

Dan- laffaire <l«'ALFRED MIGNAULT,

Marchand de Glace

Cedant Autorise\\ I* e*t Par le présent

jeudi le 10 de janvier 1929.res A. M. sera vemiu par

SOUS LA LOI DE FAILLITEAvis aux «Téanciers «le la première assem

blée a la suite d’une ces.si*»n No lloT-K

Dans r .friqe «b* J.-A. LAPOINTE, fai- *,mt affaires • «u* le* nom et rais«*n de ••i* nsio i veu 80-82. »)*• Avenue, Li-

,n d,m cédant autoriséV. s •>* par h- pr«sent d*«nn« que J.-A.

I .«j». ri?.- .*«• QuétHS’. t le 30® jour de no- v«-mbr** lU2*. l ut .«u Kousnigm', une cession autori.**',« 'b* tous se* biens nowr le h'u. »le«‘ «'*• -f* fréaneier* et «pie I honora- hle \fH'-u««‘ Botidai'ile s «piestre o'Vcu l «!«• !i Cour "«d* rieur»', m a nommé g;«r«iien .le* tu,'us .lu «b bPeur jusqu ft ce «pie les rréatu'i* r> fi l«'ur piemier,' assemblée vient élu un svn«lic jenir iwiministrer le® bien» du débiteur

Avis ««-t aus*i «lonn«- «pie la première a*- setut>l*v «les créanciers de l'actif susdit sfra t« nue « i Balais de Justice ft Quel MS’, le fi.irdi Me j*»ur «le .iécembre 1928, ft ir«u* heures et «l<‘Mii«* «h* 1 aprôs-m id i.

Bour vous d«»nner le <in*it. de v«iter ft la- «liie assembh'e. il laut que la preuve de votre cnaiic s«»it jiroauit® entre mes mains avant ladite assemblé®

I ,-s j.r H'urat ions qui doivent servir ft I assemnlt «• doivent « ire aussi dépoaée®

donné «pi® I entre in«** mains .'vaut iatiite aseembn*' a 11 heu-; * o v • • ■ a u."< notihe «pie si vous ave/, une

encan pubü - nVhim.itmn «pieh'om « e

DE FAILLITE L’ENCAN

de I actif en cette affaire ] j>reuv«ft nie* bureaux 27 Sault-au Matelot. Qu« ^'inut «i«* t ;:urer !>»•«•. une parti* comme suit Item X Deux lots «le

ment connu® ®ou* s«*ixante trei/c 173

vous donnant t.tre de créanciers, la

i«* «•«•'!«- réclamation d«*it «tre produite entre nies mains ou au symlic «pii

terri* «vu emplace- ! aura • t** fluvial, d.qi' les tient,* jours ftIf* nunnu'o* | compter du present avis parce «pie d**s etft rent '.axante M.pr * i expiration d»* la peranJe rtx« «• par

quin/«* 1761 «les subdivisions du lot originaire cinq cent «»nn® 611-173 et611 17'.) du Ca«lastre «»mcl*l p«uir l** «inartier de M - Hoc h Noni «le la cité de Québec, situé sur le c«*té t*or«l «le la rue De Üeaujeu. fanclennement St-Siméon) et contenanf. le pr«*rni«*r

611-173' quarante 40 pied» de front sur ladite rue De Beaujeu. sur s«iixante-dix «70' pt,*!* de prof.m-deur. et le deuxième 611-176 «jua- rante-clnq (46 pU«l* «le fr«»nt -ur la Kiis«iite rue et trente-neuf 39 pi«‘«l>«le largeur ft sa pr«*fon«leur sur la même profondeur «le s«iixant,*-«lix CTO) pied*, le tout, plu* **u moin*. mesure anglais, av»*' tifttt*®," y <leM«u* constniite. s«'r\ant d«* glacière et dé- |H'iidaii«'«'s. 1rs deux lots susdit* étant miiets aux rente» «!«■ terrain suivan t te*, payables ft l'IL te! Dieu de Qué- h®d. ft "raison «le xmgt-«-t une piastn s

$21 oo |xmr le lot 611-173' et de vingt 'leux piastre* «t cinq «'entins J22 «V. ; pour le lot 611-176 , le tout! ravable annuellement, et J

évalué ft $3.600 00'La vente est faite pour cet item en

bloc, au plu* haut et dernier enchérisseur ('ette vent*- est faite conformément ;

aux article* 7 H» et 717 du t’ B < ’ et mus-sI ft l'article 46 de la Loi de Faillite , et l’hftpitre M des S K C 1927. et équi-

1 vaut ft une vente au shérifles titres de «'es propriétés sont visj

blea en aucun temps en * adre—ant aux 1 bureaux du syndic aoussigné

('««miition de paiement Arfent comp-

Daté ft Québ,*' ce rtème jour de dé | cernbre 1928

J.-ART. GAGNONBureaux *yndl«.

I 27 Hault-au-Matelot Quéhr*' 7-15-22-24-3Idée 6-9 jan

1 .niii'a s d«* | article 37 de lidit*- loi. je «Iixtribi « : .i le pi'tslu.t de I actif du débiteur entre les a v ants «lr«ut. u ayant égard «pi aux r« « himations dont j aurai aior» re«;u av i*Daté ft Québec, ce 30e j«»ur de m»vemhre

1928J.-ART. GAGNON

gardianBureau 27 **ault-au-Matelot. QuélMC

SOUS LA LOI DE FAILLITE VENTE A L'ENCAN

Dan* I affaire «ieROMEO LAINE, Marchand-Eplclar

104 ru» Fraaar, LévU,t’édant Autorisé

AVIS est par le prévient donné queJeudi la 13 d® décembre 192$ à 11 h®u-r»s A. M. sera vendu par encan public ft me* bureaux. 27 sault-au-Mat«lot. Quétiec une partie de l'actif, ie» bi,'ns- meuble». en cette affaire connue suit I ten jA. Fonds de cpmmerce. épiciTie $30 * 92B. <'a*h Register NaM«*ual 206 (K)C. I ne balance Tôle.h*. 20 Ibs 9.' 00D. 1 n comptoir 26 p«is 4V0 00E. I n stand à biscuits 26.00F. I '«*• v itrine 15G. Ln poêle et Tuyau 20.00H. Ln cheval noir <i« 10 ans 100 00I. Lue express 4 roues 00(8)J. I n traîneau de livraison muge .'40.(J0K. Ln harnais et ,'ari«»le 40.00M. Cne tank à huile 26 gallon* 16.00 M. I n truck auto Ford 1-2 tonne 160 00

Cette vente est faite pour chaque item séparément, en bloc, ft tant dans la piastre pour l'item X et au plus haut et dernier enchérisseur. i>oiir les autr»*s Item

L inventaire du stock et du roulant. f*t visible en tout temps en s'adressant au bureau du symlic soussigné

I.*' magasin sera ouvert mercredi le 12 décembre 1928, pour Inspection.

Condition de paiement ARGENT C<>M BT A N T

J.-ART. GAGNON. Bureaux Syndic27 Sault-au-Matelot

Québec.Daté ft Québec ce 301ême Jour de no-

I vembre 1928 1-4-7-11-12 De»’.

\ F, N T K Dan* l'affaire «leLUC GAUTHIER. prop.qMaire «i.* moi...-.

M i'ane. Qué Cédant autoriséAvis e*t par le présent d«*nné «pie

ME RC BK DI le 12 DKCEMHKK 1928 ft 11 heures de I avant inidl

M-ra vi-iidu par encan pub!i«- à la porte «le i église paroissiale «le Si-Jéréme de Matant*. I actif de cette faillite comme suit

• Item A I/O roulant consistant i en un Surrey. 6 place». $200.00

un quatre roues, une sleigh «le promenade.■J.ots de l>«»i*. ma/'hinerie*. etc etc I.® tout pour être vendu

StallItem B Créances aux livres S1' 3 4Îtem C lu terrain ou eniplaceri en’ *-

rué sur le premier rang do la paroiie® de St-Jérôme de Matane, «le cent vingt- cinq pied» «le front »ur deux cent* pied® de profumleur. mesure anglaise. iMirné au nor«l-oue»t ft la propriété d« Dydlnif Tardif, au-sud-est ft la ligne du chemin «le f.-r < anada A Gulf Terminal. au sud-ouest ft la propriété de F.-J. Pelletier et au nord-est a celle du «lit Dydlme Tardif. ave« une bftti*»,* ft trois étag* - ih ssus construit®, servant de manufacture de lainage, appartenance® et dépendance*, faisant partie le «lit terrain «lu numéro c»‘nt-«piatr«x-vingt-«leux

lf>2 du ca«la*tre «iff1*'i«*l de la parois®® de St-Jér«»m«‘ «le Matane. ainsi «jne le* droit* du cédant sur 1 a«ieduc et réser

voir Pelletier. *’il en a.Item D 1 n certain terrain ou emplace- ment situé sur le premier rang ue la P a

r«iis*c le St-Jérôme «le Matane. «i»- fornq irrégulière, «i,- la supertlcie qu il peut

av«»ir «-t tel «jue désigné borné au sud- est partie à la propriété de T acquéreur Luc Gauthier et parti,' ft la clôture du

chemin de fer Canada &. Gulf Terminal, au *u«l-oue*t partie ft la pn.priété «le Tar-

«juéreur Lu« <iaut4u,r et partie ft «'elle d, L«»ui* Labrie au nor«l-ouc*t sur le sommet de la cote, à la « lot ure actuelle, et au nord-est ft la rue Chouinard. avec appartenances et «Jé|ven<ian«'es. faisant partie «lu numéro Cent «i uatre-vingt- deux 182 du cadastre officiel de la paroisse tie St-Jérome de Matane.1/item A sera («ff« t en vente en détail et

au plus haut enchérisseur. Litem B sera offert en vente ft tant dan* la piastre et au plus haut enchériaseur et le* item C et 1) seront vendus au plu* haut et dernier enchérisseur.

L’inventaire, la liste des crédits. I«»s titre* et certificat» peuvent être «xaminé, en tout tepms « n s adressant aux bureaux dusvmiic soussigné et la manufacture sera ouverte avant la vente pour inspection.

('ette vente e*t faite «'onformement aux articles s,-pt cent s, !/«• et sept cent dix- s,pt 7 Irt et 717' du C Pc et u**i ft ! article quarante-cinq 46 «le la Loi de Faillite*, cette vente équivaut à la vente au shérif

Conditions «Je paiement argentcomptant.

«juébec le 6 novembre 1928R.-ERNEST LEFAIVRE

SyndicBureaux147 coi® «le la Montagne Québec. Que

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Parrain et marrain. M ,t \ir,( \■êne Fl-iet « .*0(1* . * : •. . nfamPorteuse, Mme V\e grand mère de l'enfant

PICMETTf / **«•;>•.-l’I. ppe Pi Parsnt* «t aml% «ont prisrs d’y essistsr.Rrtte et Miu« I’l^flet»©, née M an»-Anna I *n* aotrs invitationOtffUère, de C aL’* «. Ki. .>•(, fuut u^r i

Euft'ne Lc-clert

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••■.«.n uimi «me .romeijt toutes le* '••nn»** *1 ii leur oui leuioignf d»- U

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f.» « a'j\ fnnêraille» A tous uu cordial ' ' l»Rf IEMFNTSttceptlon pour une gr<iode gra»-»* oU

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, _ ^ ---------------- , font L)leurs Parents et am;» de .a naissance dun fis baptisé le a ;é»vml»re . -prénoms de Jowph-L.. n»-PhUii.i*^ < • a

Parrain et marralue. M. et Mme 1 «.m* fllmarrl, oncle et tante <ie i enfant 1’ • leuae. Mm© Philippe Pichet t» *• rancimire de l'enfant.

ROCHETTE^ -M. Maurice ]. • nette Mme Km-hette, r»e« i.auretf h

ont part ft leurs parents et hju > i. naissance d ’;n rib né le > df• • ji t »• baptisé le même Jour, sous le- pi.! v de Joseph-Maurtre-Edmon i c i

Parrain et marraine, M et Mme J Edmond Poliras oncle et tante «le 1 faut Porteuse, Mlle \ Rocbeit. • de l'enfant.

COULOMatH heure» en

(UI

Ai|>h«<u»w- (Ilia lltMTtX

DUMASin.’s »era «

REMERCIEMENTSREMERCIEMENTS. La fam..:»> M

P.-Xav*«r Oaran remercio bien smc.'re- j ment tou* U»* parent* et ami* qui leur | ont témoigné d»** mar ; .e» de sympathie \ I occasion de l.» mort de leur j>ér»» M j K-Xavier Garant, nuit par offrande* de messes, bouquet* Rplrituels. visite ou h-- ! dstanre aux funérailles. A tous un cordial 1 merci. -b j

REMERCIEMENTS. M. Françoi» Ijaberge de Ht-Sauveur r.imenn»* bien i slnt^éreanenf tou* l<*i parent* et ami* ou! I lui on témoigné de* marques de ayni i uaShte 11 .'occasion <1. la mort d»' *»■* mér*- \ Mme Y\e l'rançol» Lahery** soit par ..f-j frande* de ni*'**e», txiuque * “piritu*

13 décembre.♦ f i •iglise St-Ji an Baptiste

»• »♦-« \ ue unniv* r-aire de fou jIoiiiU- époux de dame Km-•rs. 7dé*'-tf«bVendredi le M décembre uulé » u I église «le ■S' K «eh

^ ' ’• ■ ' l»'e .i uni ver-air** «le feuNajxiléon Dumas aix-ieu marchand sell- lier «le Quéf».*. » poux de daine Phll«>- nièue blouln -b

EILLION I nn.ll i. lu décembre à , ^rlt4d»' aprr- i arrivée du train. ser# | Alphonse XI II

• iidii’ê en 1 égiise «Je <'hftteau-Kiclier [p M‘"'ice «unlversaire de feu Olivier Kllllon époux de dame Lucienne Julien. .b

PLANTE. Lundi le 10 décembre 3 s heures h N otre-Dame-de-Jacques-<'ar- fler sera charité le service anniversaire

épouse de -b

Im plus réuni Sautami* mais les «iu palhi roi FundDeux uutre* monarque» monde ont Iniseé la gla»Frigidaire.

!>«» esclave» d«-> preiuiern Piiaraons onvehjppaieut dans de* linges humi- d«*s le* vases de terre, et hâtaient l'évapora* ion avec des éventail-, pour tenir au Iroid le» v ms et les viande» du souverain Le maître a»'tuel de l'Egypte » deux chambres ironies d'entrepÂt dan» Aon nouveau palais On v abaissera la temi*éra- ture aux environ- du jx'int de glace au moyen d'un iort appareil élec-

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Le chef du parti libérai, l'honorable Mackenzie King, est l'objet d’un

1 \ if éloge de la part de l'honorableanniversaire fcera «iian

Ai-Koiuuahl k U heure*

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il a équipé une chambre de refroidissement, assez grande jatur recevoir tout uu b«pul. de compresseurs américains pour la glace

L’émir d’Algbnutan. monarque | ('■nnlin qui déclare qu'on ne saurait absolu d'un pays impénétrable du 1 trouver au Canada homme politique

plus enraciné dan* le*, trfulitions de son pays, plus désireux de développer l e»prit traditionnel le Canada ni race.»

nui- <»u\ déboire* inhérent - a .a vie politique I** député de Champlain remercie particulièrement le.- honorable I*-J A Cardin, ministre de ia inarm»* *-t -îaeques Bureau, sénateur }*ui- il énumère quelque--un* de- travaux publics qu’il h obtenus JH>ur son comté 11 profite de cette tète dit-ll, pour n-menuer i** ministre de la Marine de l’appui qu’il lui accorda et ipii lui

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Dlone. vicaire ft l’le**li>v1l]el.o* funéraillea auront lieu k Saint-

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K lie était la Allé de NI le docteur i.éonj par les présente» donné , ,e l . < ■ t;- L... élai. ta »'»*ur «le Mme J -K -A

Company. Limited | Koitln. de s-rur ’-ttvThêrf.w de Jé*uh de êge l H res- et

CAtdre < t* • i.- irlclen llelie-*.i*ur du Dr J 4 New-York J -K A Fort in de Cabano. i-éon i/agnoncomptable «lu <’ N K. Edmomton

torique d** Kh\b r F*»»- au n«»rd d» -m castes Indes et de là par Caravane jusqu'à Canadiens.Kaboul. Ce souverain peut donc j^, ministre d© la marin** > attaque maintenant jouir de tous le.- bien-i maintenant à l’honorable Bennett. Il faits du confort moderne j déclare que ce dernier admet la pros-

Mussolim. Lloyd George et l©!* j |>érité actuelle du pays “Or cette présidents de France et. de Suisse i prospérité actuelle est l’oeuvre des

t d'obtenir un beau quai |x»ur I» fMa-Madeleine. Aux applau- .eilts de tous le député de < hatii- dédare qu'avant quelques mois i\ principales villes de **«>11 »,«iin- aud'M» re et le Cap-d«*-!a-Mad©- a .roui de beaux bureaux de

Mas-icot: e Manb

Philippe Henri

ni. Ar-

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\ Isite ou a**»!» ance aux ou» un cordial merci

CANADAProvince de QuébecAVIS DE DEMANDE A

TURE

Avis est' Manoir Kichelieu corps politiiiue et incorporé. a>ant le social d** m-- affalro* ft Montréal -'1 -era à la législature de Québec, ft a pr*>- chaine secision, pour «lemander 1 adoption l un»* loi autorisant le Connell Munl<*;pal lu Xilla*»' de la Polnte-au-Pic. comté de ’harlevolx, et !«** comrai s-alres «1 éii d«<»

pour ia municipalité »c«>r lair»> «lu \ ll!a«e ■ le la Pointe-au-Pic, comté de Charlevoix à lui accorder une oommutatioi de !at*- inuniclpale* et scolaires i»-ndant une rtode de dix ans pour le* propriété* nues par la compagnie p > ir le* be-«>!'.- de m>u entreprise, dans le* ilmite» ue ladite municipalité, et pour confirmer valider et ratifier ft toutes fin- le- r*--iluti'*ns a«t«»p rée* à ce hiijet par le» «leux u ’ «« corpo rationsQuébec. 3 décembre 192s

«8ignA BROWN. MONTGOMERYA M «MICHAEL

La* procureurs de I* pétitionnaire7 U-21-28d6c.

ont leur nom dans lu longue list»* de» célébrités qui emploient la Frigidaire.

Les produits de la Frigidaire se trouvent en usage dans l’édifice du Parlement de < an be ira la nouvelle «•apitale de l’Australie. Les ingénieur* de la compagnie travaillent dans le capitule de Cuba, éng»* à ia Havane, au c» û de Slô.UOU.UOO, et la Frigidaire est employée sur le

.Léviathan.t I.» plu- KranJr ...«.-on a »pp»rto-

la d!«x^»e >i«» (jcisp»', m d Aiexan j menU du monde est 1 udor t ityLa Frigidaire y a été

installée déjà dans S13 appartements

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LELIEVRE. \ Québec le *léc*»m hr- 19_‘- ft 1 ag** de 33 »n» est uécédé .« lentellemecit Emile 1^*lièvre, pompier, •‘•p- 'U <1«* dame Valéda Dion.

La dépouille moi telle sera transportée de la maison mortuaire. No 326 ru** Ara ,4,i jH>*te No 3 ru»i Dorchester, dtmanc' après-midi ft 3 heures **t les funérailles auront lieu lundi matin

1,0 service sera (’hanté en 1 église de N o t re-Dame-de-G râce.

MARTEL. A 1 hépital Lavai le ■> déiembre 192H ft l’ftge «le 22 nus est dé- cédé M Eugène Martel barbier employé «hex M Auclair, flia de M. Joseph Martel. barbier

i.e* funéraille* auront lieu lundi le 10 k 9 heures

Départ de la maison nnxtuaire. No 40 rue Latourelle. ft H n 43 pour 1 tunsti d»* St-.)ean-Baptlste et de là au cimetière Belmont

11 était congréganiste de la Ligue du Sacré-Cœur, et de limon de Prière» L'office dos congréganistes sera récité samedi et la Ligue dimanche

ttdfc-l’fsbMOIS AN. A Québec le *'• décembre

1928. à I age de 17 ans est décédé* Evelyne Moinait. fille bien-aimée d«* J \ MoiRan et dame Alice B«*s*«'rer Molsau

Le* nmérallles auront Leu en 1 église de St-Roch. lundi matin le 10 décembre & 9 he» re

Dépar «le U maison mortuaire \o 170 rue Richardson, à h h 45 et de là au oimetlên* St-Charle-

Elle était Enfant de Marie de la paroi****. 1/offlco aura imu duuauchc soir k 8 heures.

MULLER. A St-Sauveur, le 7 décembre 192S. ft I âge de fl moi* «lecéaéeMarie-Anna-Thérèse, enfant bleu-aimé*» «le M Alphonse Muller

I.e« funéralile* auront lieu lundi le 10 ft 4 heure*

I>éj.>art de la maison mortuaire. v> hi rue Kirouac ft 3 h 45 pour 1 église «le St-Sauvrur et de là au clmetw re St- Ohiries -f*

lundi le et d'autres suivront. I>«* train» del’intérieur en Angleterre, ei les chemins de fer de Chicago. Milwaukee. St-Faul and Pacific. < hicago and North-Western, aux Etats-I'ni* en ont sur leurs wagons-restaurunt-

l>»s hôpitaux Walter Reid et John Hupkin» viennent en tète d'une longue liste d’institutions similaires employant les appareils de refroidissement. Des centaine^ de nouveaux hôtels, tels le Lord Nelson, à Halifax. le Francis Drake à Minneapolis, le Biltmore à Providence **t le Barclay j» New-York les ont adoptée.

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(Suite de la page 23)"Je tien* à donner des explication*

parce que l’on nous demande parfois pourquoi nous ne faisons pas h même nos revenus ordinaire* des travaux mentionnés dan* le referendum.

"Quant à l’amélioration au système de télégraphe d'alarme, elle est impérieuse. Pour la justifier nous devons, malheureusement, alléguer des fait» qui ne sont pas à lTél<>- g« de notre ville. .Te crois qu’il suffira de signaler quelque* points, sans entrer dans les multiple* détail» des constatations et des résultats d'enquêtes minutieuse* faite» pour juger convenablement la gravité de la situation.

"Notre système de télégraphe d'alarme ne date pas d’hier, puisqu'il fonctionne depuis au-delà de 1*0 ans. Quand la ville l’a acheté, en lSt)7, il avait déjà 30 années d’usure. Voua pouvez imaginer combien il est moderne. surtout si vous songez aux progrès récents de la mécanique et de ré eotricité. Avant de vous indiquer les défectuosités de ce système, dont la ville souffre considérablement et qui ont eu de graves conséquences, en certaines occasions, laissez-moi vous rappeler ce qu’était alors Québec et ce qu'est notre ville, aujourd’hui.

“En 1867, la superficie do la vile était d’environ 1500 acres ; €*lle est maintenant do 6380. I21 population était de 55.000 ; au recensement municipal do 1027, elle était de 131,071; on l’estime à 133,000 cette année1 en tenant compte de l'augmentation

I moyenne annuelle, depuis six ans. j Aujourd'hui, un seul quartier a plus qua lu Moitié tie K population do

t toute la ville en 1867. Le nombre et | la valeur îles bâtisses a aussi quelque 1 peu changé, au cours de soixante 1 ans", ajouta le maire, en souriant:' "et quand on y réfléchit on se refuse I à croira que Québec attende une protection efficace d'un système aussi rudimentaire.

“En 1867, notre télégraphe d’a- ' larme desservait un territoire où I s'élevait une propriété évaluée à f>#027,000, imposable, exemptés et appartenant à la ville. Aujourd’hui.! évaluation totale de la propriété

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à Québec ♦*►1 de 8 lt»4.0tl7jMH). Cette comparaison n’ouvre pas facilement la voie aux commentaires, comme vous le voyez. Iês chiffres ont- une éloquence irréfutable, eu l'occurence.

“Nous avons fcit tenir tui** enquête minutieuse, pendant la période qui s’est écoulée du 20 juillet au 28 a< û dernier, afin' de constater les défectuosités du système. 11 y a eu durant ces quelques semaines. six erreur-; graves de transmission des «appels. Il est arrivé que deux alarmes aient été sonnée» « n même temps et qu’il fut impossible à l'opérateur de saisir la signification des appel». Vous concevez le*, conséquences d'un moindre retar»!, surtout au début d’un incendie. La rapidité avec laquelle les pompiers répondent à un appel prévient de* perte» de vie. des dommages trop considérable», même une conflagration. Or. nous avons vu des ca< où la confusion de» appels a retardé le fonctionnement de la cloche d’alarme, a forcé les fonctionnaires à communiquer par telephone; dan^ une circonstance, ♦ n particulier, les pompiers ont < fi monter sur la tour d’un poste afin de juger, par la fumée, où le feu pouvait bien se trouver.

“Qu’on se rapi»elle ce qui s’est passé au feu de la rue St-Louis, quanti une femme a perdu la vie. Le*- pompiers avaient été retardés par une e»>nfusi»>n d’appels au télégraphe d’alarme; dans l'intervalle le /eu se propagea; la situation fut aggravée par le manque d’eau. Si j l’alarme avait’ été sonné** régulière-! ment, il est probable que les pompiers seraient arrivés h temps pour éviter cette perte de vie.

“Je pourrai nous citer d’autres cas, c’est regrettable, mais c’est la triste vérité, où les défectuosités d** « notre système de télégraphe d'alar « me ont été la cause de pertes plii'| considérables qui auraient, autrement , été évitées

“Il faudra dolic une bâtisse à| l’épreuve du feu, pour nous per-j mettre d’installer un système moderne et j’ai confiance que le règlement qui comporte la construction d’une aile nouvelle à l’hôtel de ville sera approuveé. Autrement ce serait inutile de faire cette dépense. L’hôtel de ville n’est pas à l’épreuve du feu; un incendie consumerait cet édifice très rapidement et voyez-vous le désarroi qui en résulterait pour toute la ville et à* quels dangers nous serions exposés, j n’ayant pas de système d’alarme • pour un temps qu’il est impossible, de prévoir?

“Nous avons maintenant 6 circuits pour 2.58 boites d’alarme, t n seul circuit a 50 boîtes, quand le maximum devrait être de 2Q seulement. Si un circuit est en désordre* il faut aller chercher l’opérateur. \ à une distance 1a plus rapprochée. d’un demi-mille, et avant que la réparation soit faite tout un di»-! tnct de la ville, qui peut être 1**1 plus populeux et. le centre de» plus gros édifices, est pratiquement sans protection Quand nom aurons la nouvelle bâtisse, un opérateur sera en service jour p* nuit, afin de faire | promptement toute réparation.

“Ce serait encourir une lourde j responsabilité que de tolérer davantage un état de choses aus»i pré- juciciabl© aux intérêt* de Québec.’* .

Son Honneur le maire non» a dé- ; claré , hier soir, qu’il avait très con- | fiance dan* l’issue du referendum dont le» citoyens réaliseront la nécessité afin de jtermrttre l’exécution d’améliorations de nature A augmenter le progrès de la ville. Quant à l’exécution des travaux, M. le maire a exprimé son intention de faire en «orte que l’argent qui sera dépensé «oit réparti entre le» citoyens de Quél>ec . tout le travail devant être di«tnbué aux ouvriers de notre ni)# de préférence à ceux d ailleurs.

ubéraux. s'écrie l'honorable l'ardin. et le iârti libéral qui » su taire le présent saura bien pourvoir à l’avenir. Ne douton» pas de l’avenir de notre pays; nerejeton» pa* ceux qui ont fait «a prospérité a«,tuelle.

Revenant à lu situation économique du Canada , l'honorable Cardin n’hésite pas à déclarer qu'il ne craint

le la comparer à celle des Et»tail se demande pourquoi le«

Canadiens quitteraient leurs pays pour traverser la frontière "l-a terre du Canada, dit-il, est capable de faire vivre tous les enfants s’ils veulent demeurer sur le aol des ancêtres. Sans doute il y a des difficultés, mais nulle part l’on ne saurait trouver la perfection et ces difficultés ne doivent pas nous décourager. Si nous le voulons le Canada eut capable de nous faire vivre et nou aurions tort de l'abandonner pour aller nous perdre aux Etats-Unis. Malheureusement il y a encore trop des nôtres qui s’en vont aux Etats-Cnis sous la poussée d’un caprice. Je n’hésite pas «\ dire que beaucoup sont allés là-bas qui n'aurnient pa* eu à y aller h ils a- vaient au pay' natal travaillé comme ils travaillent aux Etats-Cnis. Nous devons nous efforcer continuellement de combattre ce goût de l’é- migration qui est un peu dans notre nature. N 'oublions pas que nous sommes les fils de ceux qui ont parcouru tout le continent nord et même une panic de l’Amérique du sud. Enseignons a nos fils à s'enraciner au aol, à s’attacher à la terre canadienne et à v d< meur*T fidèle».

I** Ministre de la manne termina par une défense de lu navigation sur le St-Laureut et des pilotes canadiens.

Iî santé de M Arthur-L Désaul- niers. hôte des libéraux du Cap-de-la- Madeleine. fut présentée par M. J -A. Chambray, a»«s*at au Cap-de-la-Ma- deleine, et M. le Dr Théo, (iervais. député de Berthier et M&skinongé. M. J-A < ’ambrav rapi>ela les onze ans de vie dcM. f >ésaulniers comme député de Champlain et combien fidèlement, activement et énergiquement il avait servi à Ottawa les intérêts de ce comté. Il évoqua aussi sa carrière municipale à Nte-Anne-de-la-Pérad© et souligna l’intérêt très vif que le député de Champlain a toujours manifesté à l'agriculture. Le Dr Théo, (iervais parla surtout du rôle actif joué par M. Désaulniers à Ottawa et comment il y défend lea intérêts de son comté.

D- député de Champlain fut l’objet d'une belle ovation quand il se leva pour répondre. Il remercia tout d’abord MM. ( 'ambray et Dr (iervais. dé< Rimât quR .< ur hommage de même que celui de tous les convives rassemblés pour le fêter montaient beaucoup plu« haut qu’à s« personne et allaient jusqu’au parti lil>éral dont il est fier d’être. 11 veut voir aussi dans ces hommages une coint>ensation aux en-

aujo..I la p | cela

meur*

Désaulniers trait iKihtique libéral notre politique

qui est tel que nous I hui notre mot à dire Pique international*-

du extë-

a\ on» dans T«>ut

ü 1 œuvre des libéraux de- fidele» à la politique de sir

• Wilfrid Laurier.I^h 'anîé du Canada

répondit l’honorabl* poaée par M Paul 8t-Henri Au cours particulier à M

laquelle 1 ar«i»n fut pro- Mercier. M P d'un hommag* Désaulniers. I*

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; fait 1 -incur ;» la région trifluvien- t ne. De l'o uvre du parti lil*éral.M. Mercier mit Burtout en relief sa politique économique depuis la guerre laquelle «*i contribué fortement. dit-il, «à réduire notre dette’

M l'êchevin Armand Lemire, j du < 'ap-de-la-Madeleine, proposa la santé «le Ia Pr«*vince de Québec’’,A laquelle répondit M W-P. Grant,! député «le Champlain à Québec M. RotncM Morisaette, ingénieur1 de la cité du Cap-de-la-Madeleine et U- principal organisateur de cette ma&iietfiaéion à M. A.-L. Désaul-, mer», répondit a la santé de cette ville, laquelle fut prop»>sé*- par M l’êchevin Massicotte. M Henri Gauthier. du l'ap-de-la-Madeleine, etM. J»»n Maris Bureau, avocat, pré-i indent de ia Jeunesse Libérale de • Trois-Rivi.res. proposèrent la santé de La Jeunesse Libérale' A1 laquelle l’honorable Jacques Bureau répondit par un vibrant appel «;t la lutte et à la fidélité de» idéaux du parti de sir Wilfrid Laurier et deMacken/.ie-hing.

Cette fête libérale se termina par le chant de “O Canada". Les «lis- cour» furent entrecoupé* d'un excellent pr«*gramme musical par l'Orchestre Goulet qui se fit aussi entendre pendant le banquet.

On remarquait à la table d honneur Son Honneur le Maire du Cap-dc*-!a-M&dcleinc. M Douât l’a-, quin. le lieutenant eolon**l Art.- I. Déseulnier*. député fédéral du ' comté de Champlain, hôte d’bon-1 neur de la soirée; 1 bon. J.-A. t ardin. ministr»- de la Manne et de- Pêcheries; l'hon sénateur Jacques Bureau. Dr T liervais, M P. Berthier. M. Paul Mercier, député de Kt-Henri; M Wellie (Irant. «lépute provincial de Champlain, KoWrt (irant. surintendant. Can International Paper Co . MM. -I H. Eré- geau, gérant de la N«>rth Shore P*»wer Co.. et <ie la Three-Rivers j4> Traction ('o . J .-A. Frigon. M P ,j P. Shaw inigan-Falls ; Alfr*-«1 < am-, «q brav. O.-W Ijivoie. surintendant ! dj au (\ P. R. Toni O'Reilly surin-, temlant Canada Power Co <'ap (lustav♦* Catellier, président Chambre de Commerce, du Cap l .-W . Rousseau, entrepreneur; Dr M Perreault, H Uermam. maire de ( hamplain; H. Bcrnuv. gérant Banque Rovale; Cap Médéri<* Boisvert, tienri Gauthier. Armand Lemire. Lucien Massicotte. EdmomI (*au- thier et Rrnest Arsenault, •■•s qua-

I tre derniers échevins du Cap. Oné- sim» Poliquin. Portmuif; (ie.,. Ro-1 «•heleau. notaire; Paul Boiu her, l*hil. Vcrrette, eommisaair** d'école

\ux autre' tablet on I ( irand’Mère MM Pierre .la «pie- | président de l’org»nisati«»n lil»érale I.I -A. Gagnon. J-O. Pelletier. é*che- I vin; J.-A. Desbien Elzéar Dallam-

T roi «-Rivières : MM Mfn-1 \ • I- ! eux J.-C. Boudreau Dr Auguste j Massiootte, George Ferron. J -P i l’agé, Stan, Momssctte, Nie !■ or- ! tunat Lord, C.R . notaire L-P.

Mercier, AH»ert Nlomssette, Norman Isabelle, prés 1 harnbre de

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Des lettres ou télégrammes d excuse furent lus de la j»art des personnes suivante» qui étaient dans l’impossibilité d'assister au banquet, l’hon, MacKonzic-King. premier ministre du Canada, l’hon. L.-A. Taschereau, premier ministre de la pr»»- vinc© de Québec, bon Philippe Paradis, sénateur, bon. P. DuTremblav C L . J-W. Gagn«»n. M.P P , I»uis- ville. W.-G. Aird. Th»)». War Claude Denis, vice-présulent de la wm-

gnie de aoieriert oui vien«ira s éta- SOU' peu au Cap. J.-B. Mou>-

»ette. N P.. St-Tite. Dr Bordeluau. Ste-Thècle, Auguste Baribeau, maire d* St-Onge. bon. Antonin Galipeault. ministre des Travaux Publies. J.-T. Jacob, E<1. Ouellette, C.-L We»t- mount, (MU. Whitehea-»!. bon. Lucien Cannon. M L. Déhsle, bon. J H. liegris, sénateur. J -L. Marchand, maire du Iâc-ù-la-T«»rtue. R. Colhn>

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BERNARD RHEAUME ECHAPPE A L’ECHAFAUDlA "A™Il devait être pendu le I 4 décembre La nouvelle-Zélande est

pour le meurtre d’Hervé Dupont, à sous gouvernementEmprisonnement pour^weetsburg—iLmt

la vie—Récit du drame—

EN OCTOBRE 1927ur-Crn ■hI en Conwu

commuer «*i la vie la M-li

trjs |>Hr W» ju|(e VN'aUh eontre ri K tu a u me, Mnlcnc»* r|ui n**-»

♦ rre execute**, U* il tlêcmbn-,i iii, à ,s»f»et«biirK. éaiilUH, qui «*«1 Agé fin Vingt M*rft oonuuit nu |>énitenci**r Ht- *nt-<ln-Bftul, où il pâi»^ ra le res-

jours 11 avait été trouvé iiMo le 1er décembre fiernier, e,jrtre <1 un autr** jeutu* iuunme. . Dupont, meurtre coiumin

la |*«iroiace <ie St-Armand- . nunté do MiiounquoJ, prè«* des

• arnéni aineH !>’ jury, en In déni coupable de meurtre, l'avait idant recommandé h la clémen-

ns une déciaratuin qu'il lit aux Uvea provineiaux qui l avai* nt ^.iih arr* t, Uhéaumn a raconté i'tn« !*• ' pénis'tien do c*o drame la cause fut nans dolito Tivren- II ræotita qu** le ‘JH octobre

... il a ;ot d4j& quatre jours qu'il taisait la n*»e. avee Dupont. Dana la aoiréo du JH octobre alors que Dupont- était seul avec lui. Rhéaume 1** frappa ft la tét«* ave#* une clef anglaiM* et |o tua aur le coup, l es jeux compagnons «c trou-

io* ; • alors ur la route qui conduit .e.\ !■ a's-t iiih et Khéaumo enterra ifnméiliatfMn* nt la victime.

Il continua sa routa vers les Etata- l'n» d’oti il revint quelques jours plus tard aveu une voiture. Il avait volé une somme de >tOO*(ir Dil|>ofit et avait fait l'acquisition d'un cheval f*t d'une voi un*. Il dét«*rra alors iij cadavre «le M»n compagnon et h* trariMixirta mit 1»’S bords de la l{i*ck lliver où il le jota.

Ce drame '••« i»ftssait en octobre et

LA LIGUE DES CITOYENS DE

ST-SACREMENTElle « fait récemment,

le choix de aes officier»la Ligue des dtorens de la pa-

r,,,*«**< ij*. .saint-Sacrement dont on • îin.iit le® activités dans le passé, a

> boit) récemment le* Officiers de , ,ri coriM’i! f’t martil dernier, les

membres de ee ronseil ont choisi »mtue président Monsieur J.-A.

\a«)eau. , avi*catt ronime viee- ■ »! é«ident. Momomir J.-A. Fugére. g»* mut du Sun Tru*t, comme s««<*ré- , ré taire. Monsieur le Docteur ( 'mir- cliesne.

E# s Autres membre* du conseil . et Monsieur Martial f^été, Mon- uur Dentiste Houle. Monsieur

i lie ('anfin, M. I/s>p*>ld ('antin et M J -Arthur Uagnori, syndic.

A cette réunion de mardi dernier . - membres du comité ont ai*pns ;

:i\ is‘ plaisir le don généreux fait par j M W itfrid lAen»ix. éehevin du nuar- tht d'une Homme de $100 (K) ft I opu-

re de jeunc'Se de la ivaniisse du âlnt-'otcrement.

I n«' r»'s*j|ution île mmercienients a •, pnv,éo it transmise ft Monsieur!

Dtrroiv.\s-*ist.ait aussi ft eefte dernière le !

révérend i»èr© lAhreoqua , curé de , ia T>aroias*<.

f.*s aciivités de la ligtie des oi- ;o\#»ns de Saint,-sacrement n’en seront pas moins aetives cette Année et les lecteur* de notre journal *11 seront tiiui- »u courant.

TEMPERATUREProbabilité* !

Temps couvert avec neige. Samedi tempspartiellement couvert et neigeux, un peu plus froid.

novembre 19JT , h Il avril IPJh, !«• ciMlavri* «l«* Dupont /tait retrouvé sur les bord* de la rivière. I ne enquête f it ordonné»* par le Département «lu lYocunur (lénéral **t l’ar- r»-tii’i<*ii de lUiéAume suivit, ( «•ite • nquête m* termina le 1er et mai et Khéaume fut eon iamné a **ui*ir son pr«*c* « Ia- l**r octobre. #lerni« r il était tn . ■ • ipabU • ■*• nwiurtn

I '.* r i ri I ( 11 * . i u r.. • u f • é t * . . r «lamné .i être pendu U» I 1 décembre et déjft les prépara ifs fl»* I exécution étaient avancé- Hier -<*ir, il a appris la déeirmui du gouvern»*- ment féfli'ral et en pleurunl de joie il reçut c»*lte nouvelle #

l«i reeomniAn«iati<«n à la clémence de la part «lu jury, certains point* faible* de la preuve faite eontre le condamné ont Mtn • doute imité le gouviTtiement ft commuer cotte sentence.

M. L. BEAULIEU EST REELU A

LA PRESIDENCERéunion de jeunes pro

fessionnel» hier soir. Un cercle d’études

1 ne vingtaine de jeun»*-1 profex- M«mn«d-, a v iH-att et. notaire*, se sont réuni*, hier soir, au restaurant Kerhulu smj- la présidene»* de Me .Man»--l>oi; i - ib«auli»«u |M»ur y fair»* l’éU'ction des offici»-r* du e« rclo lift»'*- rair»* d«>nt «•♦•lui-cl est le fondateur. 1'«* gi<»upem*'iit intelh»ctiiel de jeunes légiste e t d»* fondation anses ré- iM*nte et Me H«*aulieu «*n a rapf>elé I‘obj»>t, hier soir, **n un l»ref discours au cour* «iuquel il nouhaita la plus coffliAle bien venue ft s» s camarades. Fondée dan* un but d’étu«le*. le cercle a vite convaincu se* membre* d«> l’intérêt pratique de ce» réunion* hebdomadair»** oil chacun, à tour de r M»*. «-st Rj)|M*lé ft traiter un sujet o loisi par !e comité || résulte né- o»»MMairement de ce* discussion* une connaiwanoe plu* apftrofoudie d*** grand* problème» inf»r»*s‘Hnt la pn>- tesston h'galo et le dévelopfN*ment intelU»ctuel qui est l’objet même du cercle.

Avant que l’on proeédftt ft IV*h»c- tion du nouveau bur«*au de direction. Me (iuy Hudon pr*>|>osa un vote il» remerciement ft l’adresse de Me Ib'Aulicu dont l’eaprit d’initiative a Assuré la v i»« de cette i*«*tit«» n<»oiété. Son tal»«nt » t sa bonne eamaraiione sont un gag«« du succès futur ii<* cette amicale dont on espère l'extension.

14!*l convive*, au ileKiK*rt, choisirent un président d'él»*ctiun *-t M»* l'aul Fontaine tut l<* choix unanime, de même que l'unanimité présida uu choix do tous le* officiers du cercle Voici ceux qui occup«,ront l«*s char- g»»H nu cour» d«* la pr» -» rit»* Année

Président, Me Mari»* Dhii* Ii«,aulieu, réélu ; vue-préMilent M. Paul tirenn r. notaire ; ‘•«*crétairi-trésorier, Mo l{«'tié Chaloult 1 >»* tirets «iiMMura fu ent prononcé* par h»

aensuite »ur le programme littérair»- «le la société dont nous noua pro- po*i>n* de HUivre les activités.

Assistaient au diner M Marie- i»ui* H««aulieut avocat, M Paut Fontaine. a\*ocat, NI Dmi* Dmiay, avocat \|. (iuy Huiion. avocat, M Paul (inumvr. notaire. M Fmiîo Hoiteau. notair»*. M. Louis de <bm- /ague ( liainjHiux. avocat, M Paul, lisage, avocat. M Laurent D*<ag»', avisât, M P. Noel, avi>cat M.<’harles-hTxafèn»» Kov, avocat. M. (' \ ( lamache, avocat, M. RenéOialoult, avocat. M Jos. Itilo- «leau. avocat, M. (L Kuel, notaire, M. N'ih»! Dorion, avocat.

V\«*lingdon. N.-Z., 7. P. C. l e gouvernement (oate*. défait par I* vota d’un* motion <1* non-conbanee à la Chambre hier, a démissionné aujourd’hui.

A la rencontre du prince de Gallesfoudres, 7 P.C. Sir Godfrey Thomas, principal sé< rétaire

particulier du prince de Galles, a quitté Londres ce matin pour tàrindini. Italie, emportant avec lui toute une garde-robe pour le prince qui, dans sa hâte «i* quitter l'Afrique, partait avec fort peu de linge

COMEDIES MUS'CALES FRANÇAISES AU COMMENCEMENT DE JANVIER

Une troupe extraordinaire nous viendra pour une »emaine. Avec Georges Foix, Servatius, Jane Lacoste, Ginia Berty et autre» vedettes parisiennes. Jolie musique, ballet, etc.

1j« deuxième rnaim* de janvier. cY*t-à-dir»* la semaine commençant lundi noir, 7 janvu r, non* aurons ft l'Auditorium. »*t [noir la nretnière fois à Québec une troupe il»* comédies musicales franiaiM** Jusqu'ici nous n'avions »u à Qu»4»»c »n fait «le Comédie muMCgle que #1» «« tir>ii|>e* arnéru-ami*- nous donnant d**s traductions ou “version* " plu* ou moins intér» -►antes des Indies e«»niédie- rnu- sK'ah's Irançair* - ou vu-nnois#*». ('elle saison nous allons avoir ce» Icelle* comédie* musicales pur une troup»* d»1 Paris aw*#* «le tain* artisi«*s c«» médiens et «•hanteurs, de jolies dnn- h«*uh»*s, un fwin orchestre sous la dire«'tion d'un maître d’exp<*nenc«*

“Au cours de c#*!!»* tourné#* d’Amérique du Nord la premiêr»* jamais fait»- par un** compagnie française d»» c«»mé«jie musicale t l»-s artistes vont offrir le plu* l»«*aii et le plus inté- re-ant r**|>ertoire «I»* M*‘s-»v**r. «I*» Maurice > vain, «le Raoul ft!«iretti.

de Frank l>*jai et «i«* Straus-Parmi I««s artiste» qui f«»nt parte

d»* o« tt«* tournis» quelques-uns sorr «léjft fa. orablemenf connu» au < na«la, entn* autres, ( bH>rg«*s Foix l'énunfmt t*‘ii«»r et excell«.*nt oomédu l

; de l'opéra comiqtl»* «*t M. Servaliu' incomparable comi(|Ue.

Dan- h- nouv»«aux nom» nuntiori nous MIN* Jane Ijicomc. Mil** Jan« <l«* Poumeyra**. Mlle Ginia Hart jolie- jeun«‘-* arti>U*.s et exeellonte- «.•hanteii*#—.

Il y aura au»M un ballet par «b joins dan*eUM»«s fraru;ai-««s et anglai s*'s «*f les r«'pr«M*nfatioiiH seront di ngé*‘s |Mmr la s«*«Nne par M Pu/./ Preval, pou r la musique par M. Ju-

j l!* ri (Temandh. premier chef «Por- | ch«*stre de la (iaiét*'* Ly rique d«* Pa ' ns.

("«‘Ht le gram! événement «le lu saison «d aussi la plus belle nouveau té musicale et théâtrale jamais offerte ft n«>* amateur*.

Mgr FAROUCHE VICAIRE GENERAL

La nomination vient d’être faite par l’évêque de Chicoutimi

DES NOTES

REFERENDUM

Y.OULIN INCENDIENew-Port Point, Qué . 7 déc.

‘pé-iai l*' moulin «h- M Charles Helzilc a été complètement détruit par le feu, e© matin

Ij©* |M*rte* sont évalué*** ft plue «le fu.ouom

* Chicoutimi. 7. (D. N. ( >aGrand«Mir Mgr lAinarehe, évêque «le (’hit'outimi, vumt d** nommer Mgr liarouebe, curé «le la (’ai h«^«iral»‘. vicain*-gén«>rul Mgr Itronche «'on- tinuera de résilier au pr»*hbytèr*

Mgr liéon Maurice. P. A . vicaire général, ne «•<‘Hs«>ra pas de remplir *«•» inêm«‘* fonctions a\«s* résid«*nc«* ft l'évêehé.

Mgr J.-A Larouch** e»t né It* lô nmcmbr»* lH7(i a JonqunTt*. Il fit h«*s étud«‘s au séminaire «le (Tu- coutimi *'t fut on ion né prêtre, ft Chicoutimi, le b octobre I88fb par .-sa Grandeur Mgr Ix»ui.s-Nazaire Bégin, al«»rs évêque de Chicoutimi.:

Il fut pn>fe**our au séminaire «]«• Chicoutimi d»* iH-Sb à inpi, curé, d«> Ht-Bruno, La»’ St-Jean. |s'H-Bsh*. cure «le St-Félicien. lÜ0ft-PX)7. I>«»- puis 1907 il «*st curé «le la cathédrale de Chic«»utimi.

G* O avril 1921. M l’abbé lî- ro edie «Mau créé par Na Sainteté B rioit \V, itrélat «lomesiique av***

- iitr«* «!«' NioiiS«'ign«*ur.Fl 11 octobre PJJJ. s. G. Mgr i. ibr«s'<jue le nomma vicaire F*>-! ram. l>»rs «le la formation du chapitre <f«» Chicoutimi, h* 19 mai 19Jd, Mgr lâmuche en était nommé h* |h n *« nci*‘r.

EN VUE DU REFERENDUMNoua r*s'«*vi»ns aujourd'hui «le l'h«V

t«*l de ville l'avis suivant <,on«*<»riiaiit la manière «le voter «les compagmeft ft fonds Htanal. «l«*s «‘«j-ln'nlu'rs etc., au c«»urs «lu referendum «1«* la semaine prc»chaine.

“Lors «le la tenue du pn^chain ref»*- rendum. I*v* «'ompagnu's ft fonds social votenmt par un r«'pré*«*ntant désigné par réHolulioti «lu bureau «ie di- reetêm, et Copi«* «H'rtiÜé** d«* «*«‘tt»* r«*s»H lutkui «levra «‘tre «lé j» »*«•«* «*ntre Uv- main» du greffier «le la cit»'* l«»r- «h* la

( mq a-s« rnb|é«*- senmt tenue» « n liu «h semaim- «ui «lifférents quarti«*i- relntmunent au refen ndum pnediam

M le Main* u ét«» invité à prendre la paroi»* dimanclm à iSt-K«»«di. par la Ligu«* des ( ’itoyen» d»* <•« «juarficr AIM le* é«,h«*Mn« Fm«»n«l

I^épme .-«ront préwmtg a c*‘tte réunion, qui wra tenu** à 1 heure* <!•« l'après-midi «lans 1«* nouba».-*--»n« nt «1* l'église St-K«»ch.

Dimanche soir, p«>ur répomlre a une invitation «b* la Ligue Par«»i-- ►inl*» «I»* la parois*# St-Sacremenl. M le Maire «■' M l'éch*1 vm Iôt’ ir«*nt donner «les explications sur 1# referendum ft la sall«* j»aroissiAlo «I* St-Sa«Teraeiit à H heures.

Ih's cit*»yen» d« St-Jean-Baptist»*, chez qui NI !«• Maire s'est r«*n«lu hier -«ur, so réuniront «le rt«*uv«aii «limanche a J h«*ures «le l’apn — midi A la Salle Pageau afin «le discuter entre «mi\ toutes les question- <|ii«‘ le pnndiain referendutn s«»u- mettra ft leur appn>bation

Kniin. deux assemblées s»*ront tenu»*- par le* ad ver-aires des projet» «h* M l<* Maire. La premiêr# -»*ra tenue d«*main soir à la salle paroissiale «le Limoilou MM. h*- «s lu*vin* Bouchard, Tremblay. Drolet et Dinan y |»«»rter«»rit la parole t Yth* réunion aura li*'!! à 8 heurt- Dimanche, ft la même heure, l«*s «»rateurs «|«*nt nous venons «it* donner 1«“« noms porter««nt la parole a la salle St-Pierre M l«* maire «*t tv»us l«»s autres «k* he vin* s«»nt invités à l»ren<ire part à «’«‘s a-semblée». mai-, ♦•n raison d»*s noTnbn‘Us«'s réuni«m* auxquelles doit parl(*r M. I»* Maire et aussi parc** qu’il n’enu*nd pas faire d'assemblée* c.iutradictoin^s, il lai-s«* l«*s «‘«intribuable» juger d’eux- mêmes de la valeur «U*.- projets s«»u- mis et ne particita>ru pa- aux as- s*«mbl*'*es «l**s «»p|M»sants.

votatu'ii et |»«»urvu que ces compagne'* ou «*«>r|K»nitions apparai.ss**!it au rôle i d’évaluation «b* 19JH-J9.

Dau- les cas «!«• successions, les «vo-hérit iers, 1«hi oo-propnétaire- «*t usu- fruitiers devront tenir une ass«*mblée .spécial© et choisir leur représentant pour voter, de façon ft fournir une déclaration ft «*ot effet, a*.H«<rm«'ntée «levant un juge «le paix ou un ( 'otnmis- KAir© «b* la Cour Supéri«‘ure. et «•**tt«* «léclaratum sera ensuite remiM* au gr«»ffi«*r «1«* la cité lors de la votation.

"Des f«>rmules «le prtMMiraiion IMMirroiit «*tre obtenues au bur»«au «lu greffier de la cité.”

ET LA FERMIERELe gouvernement de la

province s’en occupe activement.

I>* 'serv i« e «le l'Economie D««mes-• qu»* «lu Minitère proviu<*ial de r Agriculture est chargé d'aider laolu’ion «les problèm**- «jui intér©»-

-#*«i? la ménagère et la fermière.Tn i- groupe» d’institu'nce» di-

< n.é»*», dont la ©onipét ne»* e»*î »u <#urH Mi»|>ré<*iée du publâ*. fu*bè-

.«•n» présentement <1« «‘ouvrir un in* n ir« «le tnm* mois «vu elles

h iront «l>nn - leur* enseignements• «l«r»»*ti»ns «Lirant trois «m qua-

♦ j » i ur- dan» chaque endroit « isi-G* travail «-t ainsi «Rétribué.

'Pi* D-Blanc »*t. Méthot préco- -* nt !* - f'u'îho«l« s ratitmnelh's «l’hy-

publique et. privée, «le j>uéri- il’ure, d’habillement «*t d’ainéna-

genient ;Mlh-s Paré et ('arlxmneau ensei-

. ui»t l'alimentation, la «liétctique «rforni»- aux «iivenM«» ladivités hü-

■ iî«in« s. la mé<i««cine «l’urgem'e. 1* un aux vieillard», aux malades

• t aux convalescent» ;Mil#- Durand et (TiamfMiux din-

'«•n le mouvement «1«* retour aux ' du'tries domestiques, enseignent et •unorPretP le irritement «le la laine

• f du lin. I«*s modèle» couleur» et tii- tension» en demande par 1*' eom- i# r« « . elles (l«>nneiit aussi ft chaque inlndt la théorie «lu soin «i*-* yeux t <|»-s dents.

Depui- l«* «lébut d’ocUibre. vil- g#‘- • » centres ruraux «»nt reçu n«»s

istitutric««s; «lies y ont «loom* 2JÔ u*- th«'*»ri<4ues et 142 déinon»tra

tions pratiques devant 11.ÔM fer- iêr«*s * t ménag« r« s EU» s sont re-

I email déc» à chaque eudr< it par MM l**s curé*s. les agronome», les mal-1 t r# —• *s d 'écoles et le» mère» de famille.

CONGRES MARIALi e -««r, à PiHK'asion «le l’heure

d n«h»ratio!i des ouvri«»rH. «lans l’é- « «le la paroisse de St-Sauveur,

1 labl»é Vandry. professeur «le I >'ol«>gi© au Grand Séminaire «le

(,) j. I#«*<*, et se<*rétnir«* du comité u (’ongrès Marial, parl«-ra du Con

fiés Marial «jui aura !i«*u «lu 12 u 16 juin 1929.

Gw P. R PP. (fblais «le Marie Immaculée invitent t«ius les hommes

* t jeunes gens de la par«»isse à a»-t« r h cette cérémonie atin de jm»u-

<»ir s»* mettre au courant des grands événement* qui m dénuderont l«»r*

• ce (’ongrès, étant donné que le* î>Ar«#i*«»i»*ns de M-Sau veur s«*r«»nt api*lés à être largem«*nt représen-

ft ces grande- »«>l»»i»nités. hu- Médiatement après l« ser m«ui «le M. l abU* \'andr« . il y aura -a’ut solennel du Très-Samt-Hacr** lient.

I n pnigramme musical s^'ra ex«'- **uté par Tes enfants «le l'orphelinat• le St-Sauveur.

LA VENTE DE CHARITE DE ST-FIüELE

( ontrairement i« «*e que nous an- n«*ncions. la clôture «!•• la v»*nte «le charité «le la paroi-s»» de Saint-Fidèle aura lieu mercredi soir au lieu de mardi.

\ c«*tte occasion, il y aura une -oir< ruusical** donnée par la troupe «le M K.-H. St-Fran«,‘oi*. “soirée clu bon vi# ux bnnps" et le dé|w»uilleinent ‘ d**s bulletins du c<»iioour* de j»opu- larité se fera en presence de I audi- toire.

L’admission pour ce’te soiré#* sera de 35 sou* et les carte» seront vendue- n la porte.

RETRAITE AU SEMINAIRELundi et mardi. 10 et 11 décembre '

-era préchée au Séminaire de Québec,, la retrait#* annuelle des vocation» pour les élèv* s «le Rhétorique et <l<* : Pbvsique.

Cette retraite s«'ra prêché#* par un | prêt re du Séminaire

IES DELEGUES N’ONI PU S'ENTENDRE SUR LE PROJET DE CONVENTION TOUCHANT LE CONTROLE DE LA FABRICATION D’ARMESL’HOPITAL DU Un rapport sera fait au conseil de la S.

ST SACREMENT —Les expeits devront se réunir

Le Quebec Power a souscrit une somme de $2,500 à cette oeuvre

Le Comité «le l'Aide h l’hôpital, du Saint-Sacrement organi-é -ur l’initiative «le» Chevalier» d© Colomb, nous communique le rapport suivant d© ses encourageant»** activité»

M. J.-B. Tanguay, gérant du Qu* bec Pou«*r C«> . a fait parvenir au nom de sa compagnie, un© bell»' *ou*cripti(m d** $2,500

l.a parusse «1»' St«*-F«»> est complètement organisée Diuimchi d«r- nier après la grand’m©.--#*, M. « docteur GingloL. préeident du <•«*- mité général «u M lf Commamleur G .-J .-K. Côté, «mt rencontré M. I«« chanoine S«*«»tt, curé de la pareis- H**, M. N. Tremblay, triair»* MM. le* c<m8*‘iller* et marguilli«*rs. pour former un comité.

Le» délégué» furent très bien reçus et aprè* av«)ir «lonné quelque- explication», 1«* « ««mité *e forma c«»m- me »uit MM. N. Tremblay, maire. président, Orner (iingre-. s«*cré- taire. J.-B. Iâberge, tré-ornr, Loui- Laberge, O. Hamel. J. Vé/.ina, P Giroux. Nafadéon Belleau. A. La- b«*rge. J Routi«r, P. Bélanger, P R«)bitaiile, M. Moreau, Joseph Pépin. J.-l. Bédard.

I>a semaine dernière aussi. M. le dœteiT lânglt»)* «*t M. h* commandeur G.-J.-K Côté, rencontraient M le curé Monsset et un gr«»ut»' de* principaux citoyen» «le Dirett©ville. Il* furent aussi très bien reçu* ©t après un échang»# très cordial «le vue* le comité suivant fut form** MM. \N Savard, maire. pr«V*ident. \. L’Heureux, notaire. J.-R. Simard, trésorier, le Dr lêclerc. le Dr Boucher. O. Auclftir, F. la voie, A Pa- r# nt, l Paquat v Martel, J - x Savard. mam*. NT Kelley

G*- Chevalier* d© f'olomb attendent lu aneoup de G»reUev ill** et de Ste-Foy et il* n»1 senmt certainement nas déçu», si l’on .*♦* hase sur la \ a- leur des membre» qui forment l«*s eomités.

de nouveau.

DERNIERE TENTATIVE

ON A PLAIDESIR LE BREF

lx* bref de prohibition requi* par M. Arthur Dnqx'Au. propriétaire de théâtres, afin «Lemp^Vher la Cour de» Session* de la Paix d’entendre le* plainte» portées contre lui p«»ur infraction à la loi défen- dant l’av’mi-sion des enfant» d#* moins de lt» ans dans les salles de vues animée*, a été plaidé. r*o matin. devant Thon, juge Bhise !>•- teliier. de la Cour Supérieure

Me Antoine Rivanl. |s»ur le requérant. a soutenu que le bref «levait être accordé parce qu'un pouvoir judiciaire (la Cour des Sessions <1© la Paix avait excédé «a juridi *- tion en recevant une telle plrinte basée «ur une loi inconstitutionnelle et que le seul moyen utile. eff\ca«*e et avantrgrux était le bref de prohibition.

Nie Valmore Bwnvemie. C. R . sV»t ohje«.*té ft cette requête au nom de la Couronne.

FITZPATRICK, DUPRE, GAGNON & PARENTAVOCATS-PROCUREURS

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S'edreeser :

Bureau du SOLEILCOIN

de la Couronne et St-VallierTEL t 7131

Genève. 7. A*» d Pra»* • E*«lemière tentative |*»ur - # ritindr«*sur l«* contrôle de la fxhncai lo.'i d'armes a «ohoué. I<es dé Té gué s à la <•< un mission »pé#-iîile «pii «'■oin- men«;a *♦* travaux mardi ont quitté Genève hier s«»ir. disant qu'il* ne p«>uvai(‘!it t«»niber d'accord *ur un projet <1«* convenlion. et f»*rai«*nt rapport au <H)iis«il de ia S. D. N . ft s»*s-ion de Lugano, que la situation actuelle ne justi Tait pala convocation d’une conf#T«*nce internationale du dé»arm«*meni.

On a progressé, mai» il fhu«lra que la commission d#— «‘xport» siège d«* nouveau.

Des difficultés inattendue» surgirent hier «piand la délégat nui belge prepona une nouvelle «-lassitica- tion d'armemi'nts aff«s*tatit tou» les autres arti«des du projet de c«mven- ti«m Cette proposition va réquéri»- une nouvell»- étude d<** teohnichui'

\u surplus le problème que i>o»«» la publicité à donner aux fabrication.* «l’armes, tant par les partmu- liers (]u«* par les états, n’a pas été résolu I-« France «*1 l’Italie s’en tinrent à une publicité partielle »eul«*ment. Ix*urs délégués dwdarè rent que c#*tte <û«*stion ne -aurait « tre résolue «iu à une conférenc « générale du désarmement.

LA VEUVERECLAME

$18,000Echos d’une tragédie qui

s’est déroulée au mois de juillet à Lévis

LES FAITS

LE DUC DE GEOUCESTER

EN ROUTEIl s’est embarqué pour

l'Angleterre ce matin à bord du “Balmoral Castle”

UNE ENTREVUE

l m* action en dommages de $18.000. 00 a été prise au greffe «Te la ( 'our Supérieure. <•«* matin, par le ministère «lu bureau légal Fitzpatrick. Dupré. Gagnon «*t Parent. Dam© Kva (î**n«M't réclame cett© somme d© M Philéas Paquet.

La eau*«* «lu litige #*st la tragédie qui s© d«'roula dans la «‘ôte Shaw, ft liévi-. I« 21 juillet dernier et au cour* duquel l«* mari de la demanderesse, fut tué instantanéimnt

( c dernier conduisait un camion c h a rgé <l« glae»* et d«‘s<»endait la *-«V.e Shaw. quan», soudain, la machine nrtit à Unite v it«-ss«î et alla écraser la victime sou- sa <‘harg«*. Gi (l»*- mainleres»»* t»rélend que la camion nllait trop vit»*, qu’il était mal chargé et que freins et transmission étaient ♦*n mauvais ordre.

I,a |*»ursuit«* e*t prise en vertu du «Ireit commun, la demanderesse réclamant $9000 p«ni elle-même et $9000 p«jur son entant mineur

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VOYEZ NOS VITRINES 375 rue St-Jean

-i2-i.'>-in--’2

( af>e Town, 7 P.C.'—Ix duc «i»»I Glout*#*st#*r. J»* fils du roi. «*st parti

{Kuir rAngleterr© aujourd'hui sur l«> i t>a«iiiel>ot Poste Balmoral Caslte

Bien que le temp- fût couvert, et (ju© la pluie tombât par intervalle*. un«* foule énorme assista au «lépart «lu duc.

Celui-ci dans un«* interview donné»' au moment du «lépart. montra la nlaisir «pie lui causaient le* nouvelles meilleures du roi et exprima le contentement «le tout <•© qu'on avait l'ait p«»ur lui faciliter le voyage. Il «-t enthousiasme «h* -a «diasse. I! a tut» un lion à robe nuire.

saull-M#»-Mari«v Ont .7. P ( Vingt ea* de diphtérie ont été si

gnalés ici et dan* Us townships voisin* ces jours «lernuTs, et le* aut«>- rités sanitaires eherchent à d«V<»i- vnr les cas encore cachés. V n© école de la ville et une autre du township de Korah ont été formé©*, chacune ix»ur un jour, pare»* qu'on y avait «lécouvert un cas de la malad'c*.

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AVISIMPORTANT

Aux ménage* sans enfant

VOICI L'HIVER !La Crèche St-Vincent-de-

Paul, 680, Chemin Ste-Foy, Québec,

L’Hôpital du Sacré-Coeur, Avenue du Sacré-Coeur, Québec,• ont encombré* d'enfants a - bandonnés.

ON DEMANDE DES PARENTS

ADOPTIFS ïEt on invite chaleureuse

ment ceux qui songent à faire ce grand acte de charité à faire une visite à l’une ou l’autre des institutions.

Le jeudi et le dimanche a- près-midi de 2 ft 3 hres.

Se munir au préalable d'une recommandation de son curé, document indispensable pour obtenir un nupille.

| -.Vh~ 12-1 .ft-19-22- 2b- 1 )é<,

CE QUI S’EST PASSE UN PEU PARTOUT DANS LA SEMAINE

Mv vrM'-fyïtr 300 Af0#rs , +00 3l£SS£S £7

S/Z ooe ooo. or dommaocs Tei$ so y r irs oo TTfCMsie*

fifinr rr tcrriRi/ Ch tu.

l Ouest esr Hi/A RR/SES RVEC LE EROtO

mai**™'#'u'0UESTÎV\\ »!

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I rtc HR r CHEZ HOC/S ” H ETE rORT O/SCUTE.

Ia ÔRtPPE R ER/r son RPPAR/T/OH^.. suivons les CQRS EUS DES

ME DEC! HS,

L HKOAAWOH Sr/ï TOS -DuMOH TPi OH or OA H S l A R A ft Of fi/O OEJRHE/RO. *r * OoSl <71

_ . PAS DAC*CrCR/O PERSOHHES PE R OEHT LA V/E OU COUP. râPts

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