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Posters / Transfusion Clinique
ionnement au sein de notre service et celui de la pédiatrie.
oi:10.1016/j.tracli.2010.09.086
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onnées relatives aux effets indésirables receveurs (EIR) à’EFS Auvergne-Loire en 2009. Odent-Malaure a,∗, H. Benamara b, R. Conductier c, P. Dumontier d,. Mompeyssin e, P. Paulin f, P. Chavarin g, O. Garraud g
EFS Auvergne-Loire, Clermont-Ferrand, FranceEFS Auvergne-Loire, Saint-Priest-en-Jarez, FranceEFS Auvergne-Loire, Le-Puy-en-Velay, FranceEFS Auvergne-Loire, Moulins, FranceEFS Auvergne-Loire, Aurillac, FranceEFS Auvergne-Loire, Roanne, FranceEFS Auvergne-Loire, Saint-Étienne, France
Auteur correspondant.ontexte.– Depuis 1994, à l’EFS Auvergne-Loire, le nombre d’EIR (après unehase d’amélioration du système déclaratif) s’est stabilisé entre 1998 et 2002 ànviron 4 EIR pour 1000 produits sanguins labiles (PSL). Depuis 2002 ce ratio aendance à diminuer (3,51 pour 1000 PSL en 2009) en raison de l’augmentationégulière de la consommation de PSL et d’un nombre relativement stable desIR déclarés.ilan de l’année 2009.– Pour l’année 2009, 407 EIR ont été notifiés dont 152
soit 37 %) de forte imputabilité transfusionnelle :réparation des EIR selon leur moment de survenue et par catégorie deiagnostique : les EIR immédiats représentent 82 % des EIR parmi lesquels2 notifications de grade 0. Les EIR retardés représentent 18 % (soit 73 EIR).omme les années précédentes la quasi-totalité des EIR retardés correspond àes découvertes d’apparition d’anticorps anti érythrocytaire ;infection bactérienne transmise par transfusion IBTT : 15 suspicions en 2009 se
évélant toute d’imputabilité exclue. En 2008, un IBTT d’imputabilité certaineu cours de la transfusion d’un MCP dont l’origine a pu être retrouvée à posterioriprélèvement de gorge du donneur) ;incompatibilité immunologique : 9 cas. Aucune incompatibilité ABO sur CGR’est à déplorer en 2009, tandis qu’une est intervenue en 2010 ;syndrome de détresse respiratoire aiguë transfusionnel (trali) : surexplorations effectuées en 2009, 3 étaient d’imputabilité douteuse (2 dyspnée,OAP), 1 d’imputabilité possible, 2 d’imputabilité forte dont 1 avec origine
mmunologique prouvée ;allergie : 63 cas ;réaction fébrile non hémolytique (RFNH) : 153 cas. Le pourcentage est en netteugmentation, ce diagnostic d’exclusion étant mieux appréhendé aujourd’hui.onclusion.– La répartition des EIR reste très superposable aux données natio-ales. À noter que les EIR de type allergique sont moindres tandis que lesotifications de RFNH sont proportionnellement plus importantes.
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aludisme post-transfusionnel en zone d’endémie palustre.O. Rakoto Alson a,∗, F.R. Herisoa b, V. Andriambelo b,. Rasamindrakotroka a
Faculté de médecine, Antananarivo, MadagascarCNTS, Antananarivo, Madagascar
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (A.O.R. Alson).a qualification biologique du don de sang à Madagascar ne comporte pas la
echerche d’hématozoaires. Madagascar est une zone d’endémie palustre avecoutefois plusieurs zones de prévalences différentes. Nous rapportons le cas’un accès palustre post transfusionnel chez un jeune garcon de 14 ans traité parorticothérapie au long cours. Son hémogramme est suivi régulièrement depuis
ne semaine au laboratoire d’hématologie avec examen cytologique du frottisanguin. Ce jeune a présenté une anémie sévère avec un taux d’hémoglobine àg/dL. La transfusion de culot globulaire a été prescrite en urgence. Le frottisanguin montrait des hématies de morphologie normale sans aucune inclusion
ORcri
ologique 17 (2010) 404–434 417
uspecte avant la transfusion. Quelques heures après la transfusion, le jeunearcon présente une hyperthermie à 39,9 ◦C. L’examen de son frottis sanguine lendemain montre des hématies fortement parasitées par des trophozoïtes delasmodium falciparum. Le diagnostic d’accès palustre aigu post transfusionnelst posé. Le traitement est institué en urgence et poursuivi pendant 5 jours. Lesignes cliniques ont cédé dès le premier jour. Ce cas évoque le problème deualification du don en matière de paludisme dans un pays où cette maladiexiste à l’état endémique. Il faut rechercher systématiquement l’existence d’unenfection éventuelle à Plasmodium sur les poches de sang prélevées en particulierelles destinées aux receveurs immunodéprimés en zone d’endémie palustre.
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xploration d’une réaction allergique transfusionnellerave : la solution du « kit allergie ». Leo-Kodeli a,∗, J.-Y. Py b, G. Cami a, S. Moreau a, M. Maffre a
Unité de sécurité transfusionnelle et d’hémovigilance CHR d’Orléans,rléans, FranceEFS Centre-Atlantique, site d’Orléans, Orléans, France
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (S. Leo-Kodeli).n application de la fiche technique de l’Afssaps, concernant l’exploration des
éactions allergiques graves lors d’une transfusion, nous avons été confrontés à laultiplicité des symptômes pouvant évoquer ce type de réaction. En effet, toute
éaction transfusionnelle définie comme grave, grades 3 ou 4, peut entraîner desanifestations cliniques communes, qu’elle soit d’origine allergique, immuno-
ogique ou infectieuse. Une mauvaise orientation initiale pourrait empêcher unenquête d’étiologie allergique. Nous nous sommes donc orientés vers une ana-yse, d’emblée globale, de tous les effets indésirables receveurs (EIR) graves.ans ce but, nous avons rédigé une fiche technique d’exploration immédiatee ces EIR, en précisant la conduite à tenir et les prélèvements correspondantchaque type de bilan. Ce bilan comporte l’exploration d’une étiologie aller-
ique, immunohématologique et infectieuse. Du fait du délai très court imposéour l’exploration de l’allergie, soit inférieur à 30 min, nous avons rassembléette fiche technique avec les tubes nécessaires et le bon de demande d’analysesorrespondantes pour créer un « kit allergie ». Le chariot d’urgences de chaqueervice de soins nous a semblé le plus adapté pour y placer le kit. Cette démarcheété validée par le comité de sécurité transfusionnelle et d’hémovigilance et
e comité de coordination des vigilances et gestion des risques. En collabora-ion avec le pharmacien responsable de la gestion des chariots d’urgence et lairection des soins infirmiers, nous avons entrepris une distribution des kits,ccompagnée d’informations correspondantes, lors des réunions des cadres dehaque pôle de l’établissement.
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hème 09 : immuno-hématologie
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llo-immunisation anti-RH1 après transfusion deoncentrés plaquettaires. Duboeuf a,∗, F. Flourié a, R. Courbil a, P. Oriol b, A. Benamara a, E. Rigal a,. Garraud a
Établissement francais du sang, Saint-Priest-en-Jarez, FranceService d’hémovigilance, CHU de Saint-Étienne, Saint-Priest-en-Jarez,rance
Auteur correspondant.-mail: [email protected] (S. Duboeuf).bjectifs de l’étude.– Les plaquettes n’expriment pas les antigènes du système
H. Cependant, une allo-immunisation peut être induite par transfusion deoncentrés plaquettaires (MCPS ou CPA), du fait de la présence d’hématiesésiduelles. Le but de notre travail était d’évaluer la fréquence des allo-mmunisations anti-RH1 après transfusion de concentrés plaquettaires et de