Mesures de prevention contre le paludisme

• Un enfant meurs chaque 30 secondes• 300 à 500 millions de personnes sont affectés• 80% des cas de paludisme se trouve en

Afrique sub- saharien

• En Afrique, au moins 24 millions de grossesses sont menacés par le paludisme chaque année.• Moins de 5% des femmes enceintes ont accès

a des interventions efficaces

• En 1998 par l'OMS, le PNUD, l'UNICEF et la Banque mondiale établissent un partenariat mondial pour faire reculer le paludisme.

• Encollaboration avec les gouvernements, d'autres organismes de développement et des entreprises privées, il s'efforce de réduire le coût humain et socioéconomique du paludisme

• Quelles sont les mesures pour la prevention du Paludisme que vous connaissez?

• ?? Lutte antivectorielle

Quelle sont les environments favorable au moustiques ????

Comment se proteger??

• Le paludisme réduit la productivité, la• maladie frappe généralement lorsque la• charge des travaux agricoles est élévée

la pulvérisation à l'intérieur deshabitations allait de nouveau jouer un rôle important pour lutter contre le paludisme.

REDUIRE LES ENDROITS POUR LA REPRODUCTIOBN DES MOUSTIQUES

• 3 mesures de protection anti-vectorielle ont fait la preuve

• de leur efficacité chez l’enfant et l’adulte :

• - la protection vestimentaire avec le port de vêtements

• imprégnés d’insecticides (perméthrine)• - les répulsifs cutanés (insectifuges)• - la moustiquaire imprégnée de pyréthrinoïdes• (deltaméthrine ou perméthrine)

• l’utilisation de moustiquaires imprégnées d'insecticides à base de pyréthrinoïdes, notamment celles ayant une longue durée d'action

– l’utilisation d’insecticides domestiques (sous forme de bombes aérosols, de tortillons de résines imprégnés de pyréthrinoïdes se consumant lentement, de tablettes d’insecticides diffusant sous l’effet de la chaleur électrique)

– l’utilisation de grillages à mailles fines aux ouvertures des

habitations (fenêtres et portes par exemple)

– la climatisation ????

– l’utilisation de répulsifs (sous forme de lotion, d’aérosol ou de crème) ; ces répulsifs sont généralement bien tolérés, même après 12 mois d’utilisation, mais ils doivent être limités aux parties du corps exposées aux piqûres du moustique.

• La promotion de l’utilisation des moustiquairesimprégnées d’insecticide• Moustiquaires imprégnées d’insecticides sont distribuées

gratuitement:• femmes enceintes au cours de la Consultation Prénatale(1er contact)• enfants de moins de 5 ans après la vaccination complète

ou au cours de la consultation des enfants sains.

• Des campagnes d’imprégnation/reimprégnation sont organisées au niveau communautaire le plus périphérique

• Processus de la prise de décision• • Surveillance de la résistance dans les sites

sentinelles• et dans les zones à risque

• L'un des principaux problèmes que pose la lutte antipaludique à

l'Afrique est la pharmacorésistance.

• Autres strategies de sensibilisation???

• EDUCATION ??• ??Propagandes??

http://www.malarianomore.org

• http://www.youtube.com/watch?v=7aMtR453m5E&feature=channel_page

• http://www.dailymotion.com/video/x25zxz_prevention-du-paludisme_politics

Évenement important

• L’unité de recherche clinique de Nanoro, à 85 km de Ouagadougou, destiné principalement à expérimenter le candidat vaccin contre le paludisme, RTS,S, a été officiellement inauguré le mardi 21 avril 2009 par le ministre de la Santé, Seydou Bouda, sous le parrainage de Mme Priscille Zongo, épouse du Premier ministre burkinabè.

Vaccin• Nommé RTS, vaccin mis au point par GlaxoSmithKline

(GSK) .• RTS,S/AS02A utilise une protéine recombinante qui

fusionne une partie de la protéine du circumsporozoïte Plasmodium falciparum avec l'antigène de surface de l'hépatite B et cible les réponses immunitaires contre le stade injecté par les moustiques.

• Une étude conduite en Tanzanie auprès de 340 enfants âgés de moins d'un an.

• Le RTS,S s'est révélé capable de réduire de 65% le nombre d'infections par paludisme.

RTS,S centres de recherche cliniques•First-ever Phase 3•Institute of Research•Network of 10 trial sites (11 facilities) in 7 countries

Burkina Faso(IRSS - Centre Muraz), Gabon(HAS, Lambarene ) , Ghana (2) KHRC, Kintampo

KCCR, Kumasi, Kenya (2/3), Malawi, Mozambique, and Tanzania (2)].

DDT???

• Le DDT de nouveau utilisé contre le paludisme

Pour vaincre la maladie, l’OMS conseille le retour à l’ancienne méthode

• l’OMS affirme que le DDT vaporisé sur les murs, les plafonds et sous les meubles peut réduire la transmission du paludisme de 90%.

• Source:WHO's Global Malaria Programme.(2006)

DDT

• Il existe des marais, ruisseaux et mares d'eau partout.

• Dans les bidonvilles ,les maisons de toutes sortes de matériaux, il ya beaucoup d'endroits où les moustiques peuvent pénétrer et se cacher.

•Unicef's Melanie Renshaw

Les mesures de contrôle du vecteur

• Il s’agit avant tout de l’assainissement de l’environnement et du cadre de vie, qui permet entre autres de supprimer certains gîtes larvaires potentiels (pots de conserve vides, pneus de véhicules, ustensiles usagés, fûts non couverts….

• Des méthodes chimiques et biologiques sont aussi utilisées pour limiter la population anophélienne. En effet, les larves du moustique vecteur peuvent êtres détruites par des larvicides (Téméphos) et grâce à la lutte biologique en introduisant dans les gîtes larvaires des poissons larvivores (tels que Aphanius dispar) ou des bactéries (telles que Bacillus thurengiensis).

• Quant à la lutte contre les moustiques adultes (les imagos), elle fait surtout appel aux pulvérisations d’insecticides, soit dans les habitations (pulvérisations intra domiciliaires), soit dans des aires géographiques données.

• Chimioprophylaxie• Traitement Préventif Intermittent à la

Sulfadoxine Pyrimethamine• à tous les niveaux du système de santé au

cours des• consultations prénatales (CPN).

Conclusion• l’utilisation de moustiquaires imprégnées

d’insecticides de longue• Pulverisation des gites?• le traitement préventif intermittent (TPI) chez

la femme enceinte et la prise en charge des cas simples de paludisme avec les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (CTA) qui vont progressivement remplacer la chloroquine dans les formations sanitaires