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ypoglycorrachie profonde. Les ponctions lombaires itérativesont un moyen peu invasif d’en faire le diagnostic.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2013.01.338

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liomes diffus de bas grade de l’adulte etctivités : à propos d’une étude cas-témoins. Darlix a,∗, S. Zouaoui b, V. Gros c, E. Mandonnet d,. Duffau c, L. Taillandier a, L. Bauchet c

Service de neurologie, unité de neuro-oncologie, CHU de Nancy, 29,venue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, 54035 Nancy, FranceInstitut des neurosciences, Inserm U1051 équipe 4, 34091ontpellier, France

Service de neurochirurgie, unité de neuro-oncologie, CHU deontpellier, 34295 Montpellier, FranceService de neurochirurgie, hôpital Lariboisière, 75010 Paris, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (A. Darlix)

ots clés : Gliomes diffus de bas grade ; Épidémiologie ;euro-oncologie

ntroduction.– Les gliomes diffus de bas grade (GDBG) sont desumeurs rares qui diffèrent des autres gliomes sur le plan cli-ique et radiologique. Hormis quelques rares cas, leur causeemeure inconnue.bjectifs.– À ce jour, les études spécifiques aux GDBG sont

ares. Il n’existe que peu de travaux concernant les activitésnotamment professionnelles) et les expositions environne-

entales dans les GDBG de l’adulte.atients.– Nous avons conduit une étude cas-témoins sures patients adultes suivis pour un GDBG histologiquementrouvé dans l’un des trois départements de neurochirurgieuivants : CHU de Montpellier, CHU de Nancy et hôpital Lari-oisière.n questionnaire spécifique créé pour cette étude a été remisux patients et aux sujets témoins, abordant les domainesuivants : données démographiques, niveau d’éducation, par-ours professionnel, activités sportives, artistiques et deoisirs, durée de sommeil et contact avec des animaux.ésultats.– Les questionnaires de 200 cas et 441 témoins ontté recueillis. L’analyse statistique est en cours. Nous pré-enterons les résultats concernant les différents domainesxplorés, en mettant l’accent sur les activités pratiquées avant’âge de 30 ans.iscussion.– À ce jour, la plupart des travaux épidémiologiquesporté sans distinction sur des gliomes de tout grade OMS et

es études épidémiologiques spécifiques aux GBDG sont rares.ous aurons probablement besoin de développer de nouveauxutils d’évaluation concernant les activités professionnelles

la classification INSEE est l’une des seules disponible à ce jourais semble peu adaptée) et de loisirs.

onclusion.– Ce travail est, à notre connaissance, un des raresétudier spécifiquement les activités professionnelles et de

oisirs chez des patients suivis pour un GDBG.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2013.01.339

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liomatose leptoméningée associée à desnfarctus cérébraux. Delpont a,∗, A. Cazorla b, E. Muzard a,. Medeiros De Bustos a, T. Moulin a

Service de neurologie, CHU de Besancon, 3, boulevard Fleming,5030 Besancon, France

( 2 0 1 3 ) A142–A151 A143

b Service d’anatomopathologie, CHU de Besancon, 25030 Besancon,France∗Auteur correspondant.Adresse e-mail : [email protected] (B. Delpont)

Mots clés : Biopsie cérébrale ; Gliomatose leptoméningée ;Tumeur cérébraleIntroduction.– La gliomatose leptoméningée (GLM) est uneforme rare de tumeur primitive envahissant l’ensemble del’espace méningé, de diagnostic anatomopathologique, dontl’origine reste inconnue.Observation.– Nous rapportons le cas d’un homme de 58 ans,hospitalisé pour des dorsalgies, associées à une paraparésierapidement progressive, suivis d’un syndrome confusion-nel. Un recueil du liquide cérébro-rachidien montrait unehyperlymphocytose sans caractère de malignité, une protéi-norachie très élevée et une hypoglycorrachie. Une imageriepar résonance magnétique montrait une prise de contrastede l’ensemble de la méninge à l’étage médullaire et encépha-lique, ainsi que des hypersignaux T2 en D8, D11 et temporaldroit rehaussés après injection, et une dilatation tétra-ventriculaire. Un second révélait des infarctus cérébrauxoccipitaux. Une première biopsie de la lésion temporalemontrait des signes d’inflammation non spécifiques, puisune seconde – au même site – mettait en évidence uneprolifération gliale de type astrocytaire (grade III, OMS)associés des zones d’infarctus. Le diagnostic retenu estcelui d’une GLM. Une antibiothérapie était d’abord conduite,puis relayée par une corticothérapie après l’exclusion descauses infectieuses. Une dérivation ventriculaire interne adu rapidement être mise en place. Une chimiothérapie étaitdiscutée mais récusée devant la dégradation clinique dupatient, qui décédera quatre mois après le début des symp-tômes.Discussion.– À ce jour, environ 70 cas de GLM sont décrits dansla littérature. L’âge de survenu est très étendu (un à 84 ans)sans prédominance de sexe. L’étude du LCR met rarement enévidence des cellules malignes mais l’hyperprotéinorachie estconstante et l’hypoglycorachie très fréquente. Une survie pluslongue est constatée chez les cas traités par Témozolomide.L’association de la GLM a des infarctus cérébraux a rarementété retrouvée (deux cas).Conclusion.– La GLM reste extrêmement rare et d’évolution sou-vent fatale. La biopsie est retardée par l’exploration d’autrescauses de pachyméningite et devrait être réitérée en cas denégativité pour mettre en place un traitement.

http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2013.01.340

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Traitement du glioblastome du sujet âgé,expérience monocentrique 2004–2011N. Desse a,∗, C. Joubert a, A. Dagain a, A. Faivre b, E. Sagui c,P. Alla b

a Service de neurochirurgie, Hia Sainte-Anne, BP 20545, 83041Toulon cedex 9, Franceb Service de neurologie, Hia Sainte-Anne, 83041 Toulon cedex 9,Francec Service de neurologie, Hia Laveran, 13384 Marseille cedex 13,France∗Auteur correspondant.Adresse e-mail : [email protected] (N. Desse)

Mots clés : Patient âgé ; Glioblastome ; Survie

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