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HORAIRES DE CHABAT ב״הChabat Vayehi 12 Tevet 5775 / 3 Janvier 2015 N.295 Entrée: Sortie: New-York: 4:21pm 5:26pm Paris: 16:46 18:01 Tel-Aviv: 16:29 17:29 Le Rabbi dit au Rav Groner, son secrétaire : " J'ai constaté que des jeunes gens, durant la première année qui suit leur mariage, portaient un vêtement long, pendant chabat et les fêtes (le sertouk) et après, ils l'ont remplacé par un vêtement court (la veste). " Le Rav Groner répondit que la raison en était peut-être un manque d'argent .... Le Rabbi lui dit : " Je me souviens qu'à Yekatrinoslav, la ville de mon enfance, certains portaient un vêtement RAPIECE, le Chabat. L'un portait une pièce sur la manche droite, l'autre, sur la manche gauche et le troisième, sur l'avant du vêtement, mais en tout état de cause, il ne serait venu à l'idée de personne de l'ECHANGER contre un vêtement COURT, afin de le porter Chabat ! " Le Rav Groner dit alors : " En Amérique, un vêtement rapiécé ne peut pas être un vêtement de Chabat. " Le Rabbi lui répondit : " Et un demi-vêtement ? Peut-il être un vêtement de Chabat ? Je vous charge d'expliquer à ces jeunes gens qu'il est possible de porter également, un vêtement rapiécé ! ..... " Le jeûne du 10 Tevet *Jeudi 1 er Janvier, ce sera le jeûne du 10 Teveth. * Bien que ce soit un jeune qualifié de petit, il est néanmoins directement lié à la destruction du temple puisque ce jour, Yerouchalaïm fut assiégé par Nabuchodonosor, ce qui conduisit à la brèche dans la muraille du 17 Tamouz, 30 mois plus tard, puis, à la destruction du temple le 9 Av et enfin à un exil de 70 ans. * Ce jour fut choisi par nos sages afin de commémorer le décès de tous ceux pour qui nous ne connaissons pas la date ou le lieu du décès, c’est le jour du KADICH collectif. * Bien entendu on ne mange pas et ne boit pas, mais le principal reste de faire Techouva car ce sont nos actions qui ont amené à la situation citée plus haut. 1 A la mémoire de : Claude Moshé ben Mimoun Azoulay et du Rav HaHassid Barouh Chalom ben Moshé Ouaki

Vayehi 5775/2015 !

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Page 1: Vayehi 5775/2015 !

HORAIRES DE CHABAT

ב״ה

Chabat Vayehi 12 Tevet 5775 / 3 Janvier 2015 N.295

Entrée: Sortie:New-York: 4:21pm 5:26pmParis: 16:46 18:01Tel-Aviv: 16:29 17:29

Le Rabbi dit au Rav Groner, son secrétaire :" J'ai constaté que des jeunes gens, durant la première année qui suit leur mariage, portaient un vêtement long, pendant chabat et les fêtes (le sertouk) et après, ils l'ont remplacé par un vêtement court (la veste). "Le Rav Groner répondit que la raison en était peut-être un manque d'argent ....Le Rabbi lui dit :" Je me souviens qu'à Yekatrinoslav, la ville de mon enfance, certains portaient un vêtement RAPIECE, le Chabat. L'un portait une pièce sur la manche droite, l'autre, sur la manche gauche et le troisième, sur l'avant du vêtement, mais en tout état de cause, il ne serait venu à l'idée de personne de l'ECHANGER contre un vêtement COURT, afin de le porter Chabat ! "Le Rav Groner dit alors :" En Amérique, un vêtement rapiécé ne peut pas être un vêtement de Chabat. "Le Rabbi lui répondit :" Et un demi-vêtement ? Peut-il être un vêtement de Chabat ? Je vous charge d'expliquer à ces jeunes gens qu'il est possible de

porter également, un vêtement rapiécé ! ..... "

Le jeûne du 10 Tevet

*Jeudi 1er Janvier, ce sera le jeûne du 10 Teveth.

* Bien que ce soit un jeune qualifié de petit, il est néanmoins directement lié à la destruction du temple puisque ce jour, Yerouchalaïm fut assiégé par Nabuchodonosor, ce qui conduisit à la brèche dans la muraille du 17 Tamouz, 30 mois plus tard, puis, à la destruction du temple le 9 Av et enfin à un exil de 70 ans.

* Ce jour fut choisi par nos sages afin de commémorer le décès de tous ceux pour qui nous ne connaissons pas la date ou le lieu du décès, c’est le jour du KADICH collectif.

* Bien entendu on ne mange pas et ne boit pas, mais le principal reste de faire Techouvacar ce sont nos actions qui ont amené à la situation citée plus haut.

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A la mémoire de :

Claude Moshé ben Mimoun Azoulay et du

Rav Ha‘Hassid Barou’h Chalom ben Moshé Ouaki

Page 2: Vayehi 5775/2015 !

« Yaacov n’est pas mort »

Du fait que le texte ne dit pas clairement que Yaacov est mort, Rachi en déduit qu’il n’est pas mort !

Mais pourtant on voit bien qu’il a été enterré, embaumé …

Sur ce, nos maitres répondent que seul son corps est mort !

Mais cette réponse ne peut être satisfaisante car tous les Tsadikim sont appelés vivants après leur mort, tous les Tsadikim sont vivants spirituellement et même encore plus que de leur vivant !

Dans ce cas, quelle différence avec Yaacov pour qu’on le dise explicitement ??

Yaacov possède une âme qui contient en elle toutes les âmes des personnes qui vivront jusqu’à la fin des temps.

Donc, même après son départ de ce monde, nos seulement il est vivant spirituellement comme tous les Tsadikim, mais il l’est aussi physiquement, à travers nous !

Puisque son âme contient nos âmes, tant que nous sommes vivants, il est lui aussi vivant !

« Yaacov inversa les mains »

Lorsque Yossef présente ses deux enfants, Ephraïm et Menaché afin que son père les bénisse, Yaacov croise les mains afin que sa main droite se trouve sur la tête du cadet, Ephraïm et non du premier né, Menaché.

Pourquoi Yaacov choisit-il de croiser les mains plutôt que de demander aux enfants d’inverser leur place ??

Le Rav Naftali Roth nous propose une réponse pleine de bon sens et une leçon d’éducation par la même occasion.

Le Rav explique que dans le domaine de l’éducation, nous avons trop l’habitude de mandater l’enfant à faire ou à ne pas faire telle ou telle chose, alors que le secret de la réussite réside dans le fait que l’éducateur (l’adulte) doit montrer l’exemple.

C’est ce que fait Yaacov, il ne demande pas aux enfant de changer de place, mais il fait lui, l’effort de croiser les mains !

Retrouvailles !!!

Résumé de la Parachat Vayehi

* Yaacov a maintenant 147 ans.* Il sent sa fin approcher et demande à voir ses enfants afin de leur dévoiler la date de la délivrance finale, mais Hachem lui ferme les sources de la prophétie.* Yaacov bénit les deux enfants de Yossef, Ephraïm et Menaché.* Il demande ensuite à être enterré avec ses pères à Hébron dans le tombeau des Patriarches au côté de sa femme Léa. * Un immense cortège funèbre l'y accompagne, formé de ses descendants mais aussi de tous les rois résidants dans la région.* De retour en Égypte, Yossef assure ses frères de l'absence de toute rancune à leur égard.* Yossef meurt à l’age de 110 ans et fait jurer les Bne-Israël d'emporter sa dépouille avec eux lorsqu'ils retourneront en Erets-Israel.

« Jure moi s’il te plait»

* Lorsque Yaacov sent sa fin approcher, il fait venir son fils Yossef et lui demande de l’enterrer en Erets-Israel.Mais même une fois que Yossef a accepté, Yaacov ne semble pas rassuré et il lui demande de jurer.

* Pourquoi Yaacov demande-t-il à Yossef de jurer ??En quoi l’engagement de Yossef n’était-il pas suffisant ??

Lorsqu’on s’engage, cela signifie que l’on fera tout ce que l’on peut pour réaliser sa promesse; mais si cela est impossible, nous sommes libérés de notre promesse.Par contre, lorsque nous jurons, nous ferons le nécessaire même au-delà de nos possibilités afin d’accomplir notre vœu.

Mais en ce qui concerne Yossef, cela ne peut être envisagé car un engagement envers son père n’est certainement pas à prendre à la légère.

En réalité, Yaacov ne se méfiait pas d’un éventuel obstacle extérieur, mais plutôt d’une réflexion de Yossef lui-même.

En effet, nous voyons que, contrairement à Yaacov qui désira être enterré immédiatement en Erets-Israel, Yossef, lui, demande justement à être enterré en Egypte !

* Pourquoi ??

Yossef désirait apporter sa protection aux Bné-Israël durant toute la période de l’esclavage.

A partir de là, on peut craindre que Yossef suivant sa logique désire enterrer Yaacov en Egypte afin d’augmenter la protection des Bné-Israël !!!

C’est précisément pour cela que Yaacov ne se contente pas d’une promesse mais il exige de jurer.

* Pourquoi Yaacov ne voulut-il pas être enterré en Israel et apporter sa protection aux Bné-Israël ???

Car nos maitres enseignent qu’un prisonnier ne peut se libérer à lui-même; en d’autres termes, pour que Yaacov provoque la délivrance d’Egypte, il est indispensable qu’il se trouve en dehors de l’Egypte !

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Après ces révélations, je me rendis chez elle chaque semaine pour

étudier une demi-heure, une heure. Je lui ai enseigné énormément d’idées et de pratiques sur le judaïsme. Elle commença à manger cachère et progressait dans la compréhension et la pratique quand, soudain, la terrible maladie se déclara. Sa situation empira très rapidement et je me posai la question : comment lui expliquer l’importance d’envisager un enterrement dans un cimetière juif ? Je savais qu’elle avait déjà pris toutes les dispositions et avait acheté une place dans un cimetière chrétien, à côté de la tombe de son mari. Comment pouvais-je évoquer le sujet ? Le fait que j’étudiais avec elle le judaïsme – la religion de ses parents – était resté secret : non seulement elle n’avait pas voulu déclarer publiquement qu’elle étudiait le judaïsme mais elle m’avait instamment prié de ne pas le révéler aux pasteurs qui étaient sous sa tutelle : après tout, elle était encore leur responsable spirituelle !Mais la maladie empirait : elle dut interrompe ses prêches au centre protestant. Quand elle fut hospitalisée, j’ai compris qu’il fallait que je lui parle, en urgence. C’était très pénible car comment évoquer devant un malade le fait que sa mort approchait ?J’arrivai à l’hôpital, je m’arrêtai dans un couloir et écrivis une lettre au Rabbi – lettre que j’envoyais immédiatement – et dans laquelle je demandai la réussite pour cette démarche délicate.En entrant dans sa chambre, j’expliquai directement que je venais soulever un problème important et qu’il fallait en discuter ouvertement. Elle réagit sans émotion particulière et affirma qu’elle était tout à fait d’accord d’être enterrée dans un cimetière juif ; elle me demanda de remplir toutes les formalités nécessaires. Nous avons rédigé ensemble le texte à graver sur la pierre tombale. Durant plusieurs jours, elle pria, en pleurant, avec une ferveur remarquable. Elle rendait son âme à son Créateur avec une sincérité impressionnante.

Après son décès, alors que se répandait la nouvelle qu’elle serait

enterrée dans un cimetière juif – conformément à ses dernières volontés – le scandale fut énorme. Nul n’avait jamais su qu’elle était juive. Un pasteur me téléphona et demanda la permission de prononcer un discours funèbre au nom de l’église de Hollande. Je répondis que nous étions dans les jours intermédiaires (‘Hol Hamoed) de la fête de Pessah et que la loi juive interdisait ce genre de discours à cette période. Je lui demandai d’excuser mon refus et affirmai que moi-même, je ne prononcerai pas de sermon. Il raccrocha le téléphone brusquement, très en colère.Dix minutes plus tard, un autre pasteur me téléphona. Lui aussi aurait voulu parler à l’enterrement mais avait entendu mon premier interlocuteur affirmer que c’était interdit. «Vous pouvez m’expliquer la raison de cette loi ! Moi, je comprendrai car mon épouse aussi est juive !»

Bref, nous avons procédé à l’enterrement selon la stricte Halaha. Parmi

les nombreuses personnes présentes, j’ai repéré le second pasteur car sa femme se tenait à côté de lui et, comme l’exprime joliment le proverbe yiddish, on remarque le «Kougel» sur le visage…Après les obsèques, je l’ai saluée, je l’ai invitée chez nous et, petit à petit, vraiment très progressivement, elle retourna au judaïsme… elle aussi !

Une Néchama et encore une Néchama ?!?!

Je suis connu en Hollande, raconte Rav Binyamine Jacobs, grand

rabbin de Hollande et émissaire du Rabbi. Un jour, ma secrétaire m’informa que j’avais reçu un coup de téléphone d’une dame qui se présentait comme étant une femme pasteur protestante. Je n’ai pas voulu y répondre. Le lendemain aussi, elle téléphona mais je n’y prêtai pas attention. Ceci se reproduisit pendant plusieurs jours.A cette époque, j’étais présent dans mon bureau tous les matins jusqu’à midi. Un jour, j’en sortis un peu plus tôt et, le lendemain, ma secrétaire raconta que la femme pasteur était venue en personne à midi moins cinq et avait exigé avec détermination que j’accepte de lui parler au téléphone. Je l’ai donc appelée et elle m’invita à passer la voir chez elle. Elle parlait avec une telle autorité que je ne pouvais pas refuser.Quand je suis entré chez elle, j’ai vu qu’elle avait environ quatre-vingts ans ; elle était entourée de toutes sortes de «figurines» et autres souvenirs d’Indonésie. Nous avons fait connaissance et, petit à petit, j'ai compris qu’elle avait eu une vie incroyable.

De fait, elle était originaire de Vienne et ses parents étaient juifs.

Dans sa jeunesse, elle avait fait du théâtre et avait chanté à l’opéra et, comme elle le disait elle-même : «Tous ceux qui jouent au théâtre sont un peu fous et je l’étais aussi un peu…»Elle devint célèbre et, à l’âge de vingt ans, elle reçut une proposition de mariage d’un non-Juif âgé de soixante-quatre ans. Elle accepta. Il était immensément riche et elle vécut à ses côtés dans l’opulence. Quelques années plus tard, il décéda mais il avait légué toute sa fortune à ses enfants issus d’un premier mariage et elle resta sans un sou, vraiment sans rien, même plus un toit sur sa tête.Par un sursaut d’orgueil, elle ne voulait pas retourner à Vienne mais elle n’avait pas où aller. Elle resta donc en Indonésie, devint même SDF, dormant dans la rue.Quelqu’un qui possédait un petit lopin de terre lui suggéra d’y planter des fleurs, ce qu’elle fit et la réussite lui sourit. En l’espace de cinq ans, elle acquit de grands terrains et employa une vingtaine d’ouvriers.

A peu près à cette époque, des missionnaires lui parlèrent, tant

et si bien qu’elle se mit à croire dans ce qu’ils racontaient. Elle fit aussi la connaissance d’un baron hollandais, haut fonctionnaire dans le gouvernement local, directeur des télécommunications de toute l’Indonésie. Ils se marièrent et, arrivés à l’âge de la retraite, ils s’installèrent en Hollande. «Je n’avais pas encore trouvé mon identité, me raconta-t-elle, et c’est pourquoi je m’inscrivis à l’Université pour étudier la théologie».A la fin de ses études, elle poursuivit ses recherches et finit par devenir pasteur d’une communauté protestante. Dans ce domaine également, elle manifesta des dons certains et devint responsable spirituelle d’autres pasteurs. Dernièrement, son mari était décédé et elle reconnaissait: «J’ai déjà quatre-vingt ans mais je remarque que même la croyance protestante ne me convient pas. Ce n’est pas ce qu’il me faut. J’ai décidé de changer de direction: peut-être trouverai-je la vérité justement dans mes origines. « Je vous ai tout raconté, maintenant vous devez m’enseigner le judaïsme !»

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* Cette bénédiction fait suite à celle où nous demandons de faire Techouva.

* Dans cette bénédiction, il semble qu’il y ait répétition; Pardonne nous car nous avons fauté (HATANOU) et ensuite la même chose mais avec le mot (PACHANOU)!

Dans le premier, il s’agit de fautes involontaires, alors que dans le deuxième, ce sont les fautes faites intentionnellement.

C’est pour cela que dans la première partie nous parlons à notre père (AVINOU) car il est possible de fauter sans faire exprès envers son père, par contre, lorsqu’il s’agit de fautes intentionnelles, il n’est plus possible de mettre en avant notre lien avec notre père car le lien qui nous unit à notre père est un lien d’amour qui ne va pas avec une faute intentionnelle, c’est pourquoi nous parlons ici de notre roi (MALKENOU).

De même, dans le début on utilise le verbe pardonner (SELAH LANOU) qui est beaucoup moins fort, justement parce qu'il s’agit de fautes involontaires alors que dans la suite, puisque la faute est volontaire, il ne suffit plus de « SELAH » , il est nécessaire d’utiliser le « MEHOL LANOU » qui est plus fort.

* David Hameleh écrit dans Tehilim: « KI IMEHA ASELIHA LEMAANE TIVARE » car le pardon est avec toi afin que nous te craignions.

Le Rabbi Rayats (Rabbi Yossef-Ytshak) s’interroge sur le rapport entre le pardon et la crainte ressentie.

Il semblerait au contraire que trop de pardon encourage à la faute ou tout au moins affaiblisse la force de se retenir de fauter !

Que l’on dise que le pardon amène à l’amour, cela aurait été logique mais à la crainte ???!!!

En réalité, après un long développement, le Rabbi Rayats explique que le VRAI pardon ne se trouve que chez Hachem, et donc, en pardonnant il fait preuve de sa grandeur, et c’est précisément cela qui suscite la crainte d’Hachem !

Iguerot Kodesh N. 15

Lettre rédigée en 1940

Vous m'interrogez sur l'affirmation du Choulhan Arouh selon laquelle un Cohen qui est atteint d'une malformation au visage ou aux mains ne doit pas prononcer la bénédiction des Cohanim. Vous vous demandez ce qu'il en est pour celui qui ne peut disjoindre les doigts(...).

Il me semble que celui qui ne peut séparer ses doigts doit néanmoins prononcer cette bénédiction, d'autant qu'à notre époque, tous les présents ont coutume de se couvrir la tête du Talith(2), lorsque l'on récite cette bénédiction(...).

Vous vous demandez s'il peut séparer ses doigts avec ses Tistsit(...). Rien n'indique qu'une telle pratique soit interdite.

Il est aussi possible de maintenir les doigts séparés uniquement lorsque l'on prononce les mots de la bénédiction, ce qui demande peu de temps et doit donc pouvoir être fait aisément. On peut, du reste, se demander laquelle de ces deux méthodes est la meilleure(...).

Par ailleurs, vous me dites que, selon le Choulhan Arouh, le Cohen maintient ses mains hors du Talith, pendant la bénédiction. Néanmoins, telle n'est pas la coutume en Pologne(3) et vous me demandez donc ce qu'il faut faire.

Il y a sans doute une coutume établie, à ce propos et il faut donc observer ce que font les Cohanim qui sont des 'Hassidim 'Habad.Ce feuillet est dédié

à l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

La Tefila

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