CC onnaissant la teneur des ordonnances de la Torah, dont dépendent le bonheur et la réussite éter-onnaissant la teneur des ordonnances de la Torah, dont dépendent le bonheur et la réussite éter-nels, tout juif doit s’efforcer d’éviter tous les pièges freinant ses pas dans son chemin. Une des prin-nels, tout juif doit s’efforcer d’éviter tous les pièges freinant ses pas dans son chemin. Une des prin-

cipales causes qui conduisent { s’écarter des voies de la Torah est l’installation dans des pays ou dans des cipales causes qui conduisent { s’écarter des voies de la Torah est l’installation dans des pays ou dans des villes éloignés où ne trouvent pas de communauté juive. Par la force de l’habitude et l’enracinement dans villes éloignés où ne trouvent pas de communauté juive. Par la force de l’habitude et l’enracinement dans ces endroits, on relâche progressivement la pratique des Mitsvots, et par la suite, tout semble normal ces endroits, on relâche progressivement la pratique des Mitsvots, et par la suite, tout semble normal (manger non casher, pas de Mikvé, pas de Torah, mariage avec des goyim…).(manger non casher, pas de Mikvé, pas de Torah, mariage avec des goyim…).

Lorsque l’on vit parmi des Juifs, me me si l’attirance vers le mal est forte, on e vite la faute, car on a honte. Rabbi Yo’hanan Ben Zakaı recommandait a ses e leves : « Que la crainte du Ciel soit sur vous comme l’est la crainte des hommes ». Quand un homme commet une faute, il a le reflexe de penser : « Pourvu que personne ne me voit ! ». Tandis qu’un homme qui vit parmi les goyims n’aura personne de-vant qui rougir. Mais bien au contraire, lorsqu’il suivra les voies de la Torah, il sera se sentira « honteux ». Dans ces conditions, il est e vident que le Yetser Ara l’entraine peu a peu jusqu'a ce que la Torah devienne ne gligeable a ses yeux, et c’est pourquoi nos Sages disaient : « N’aies pas confiance en toi-même jusqu’au jour de ta mort ». Me me si le Yetser Ara insinue, qu’ayant grandi dans la pratique des Mitsvots depuis sa tendre enfance, on ne sera pas entraine a abandonner la Torah, il ne fait pas de doute que l’on parviendra a e duquer ses enfants dans les chemins d’Hashem s’ils ont ve cu toute leur vie dans un environnement juif. Leurs pense es et leurs actes seront semblables a ceux des enfants non-juifs qu’ils fre quenteront et lorsqu’ils grandiront, ils transgresseront les interdictions les plus se veres de la Torah. Lorsque l’on se sera moque d’eux plusieurs fois parce qu’ils sont Juifs, ils en viendront a renier totalement la Torah, ’has veshalom. Tout personne consciente e vitera donc de re sider a tout prix dans une ville de pourvue de communau-te juive. Aujourd’hui que nous sommes tous disperse s parmi les peuples, ce n’est qu’en nous rassem-blant et en formant une communaute pieuse que nous aurons la force de re sister et que nos enfants ne se me leront pas aux autres. Nos Sages de clarent a l’e gard de toute personne qui se dit : « de toute les façons, Hashem est indulgent… » : que si elle ne fait pas Teshouva, elle sera finalement punie car Has-hem ne laisse passer aucune faute. Il est d’ailleurs e tonnant de voir des parents se montrer si « cruels » envers leurs enfants en les conduisant dans ces pays ou ces villes de pourvus de Torah. En effet, si un pere voyait son fils frappe , il en voudrait certainement a l’auteur de cet acte. Si cet homme avait volon-tairement rendu infirme, il ferait connaitre a tous la me chancete de cet individu et lui en voudrait toute sa vie. Dans ce cas, quand un pere prend ses enfants dans certains pays pour s’enrichir, tout en sachant qu’au fil du tems ils se de tourneraient de la voie de la Torah, il est sans doute victime du Yet-ser Ara qui l’aveugle et transforme « des abimes en pleines vallées ».

Ainsi, il faut que chacun considère le danger encouru s’il va s’établir dans ces pays, ainsi que l’importance Ainsi, il faut que chacun considère le danger encouru s’il va s’établir dans ces pays, ainsi que l’importance de retourner vivre parmi les Juifs observant la Torah. Qu’on évite d’y faire venir sa famille si l’on s’y est de retourner vivre parmi les Juifs observant la Torah. Qu’on évite d’y faire venir sa famille si l’on s’y est

installé pour des raisons de force majeure. Même si l’on n’habite pas parmi des goyims, on doit cependant installé pour des raisons de force majeure. Même si l’on n’habite pas parmi des goyims, on doit cependant s’efforcer de choisir, pour sa famille, une communaute convenable, car si l’on vit parmi des Juifs qui ont s’efforcer de choisir, pour sa famille, une communaute convenable, car si l’on vit parmi des Juifs qui ont

rejete la Torah, on court également un grand danger. rejete la Torah, on court également un grand danger.

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FEUILLET HEBDOMADAIRE 100% TORAHFEUILLET HEBDOMADAIRE 100% TORAH

Feuillet dédié à la Refoua Shelema Feuillet dédié à la Refoua Shelema

Nina Hanna Bat MyriamNina Hanna Bat Myriam

Moshé Ben IdaMoshé Ben Ida

Avraham Ben MyriamAvraham Ben Myriam

Yaakov Ben Ra’helYaakov Ben Ra’hel

les.lumieres.de.shabbat@gmail.comles.lumieres.de.shabbat@gmail.comles.lumieres.de.shabbat@gmail.com

Par le Par le Par le ‘Hafets ‘Hayim‘Hafets ‘Hayim‘Hafets ‘Hayim

TT out ce que les Bnei Israël ont obtenu, c’est grâce au mérite des ancêtresout ce que les Bnei Israël ont obtenu, c’est grâce au mérite des ancêtres « Ce puits, des princes l’ont creusé » (21, 18). Ces princes, disent nos Sages (Tan’houma ‘Houkat 21), sont

une allusion au me rite des Patriarches, qui s’appelaient des « princes ». Cela nous enseigne que les Bnei Israe l savaient faire de pendre la « Shira » du me rite des peres. Mais il y a lieu ici de se poser la question : ce puits, est-ce donc un homme qui l’a creuse ? Il e tait en pierre et n’a pas e te creuse dans la terre, alors que signifie : « Ce puits, des princes l’ont creusé » ? Cela veut dire que dans ce chant, les Bnei Israe l font allusion au fait qu’ils n’avaient me rite la prophe tie que gra ce a Moshe , qui leur avait enseigne a travailler pour l’obtenir. Ce puits avait de ja e te creuse , et Moshe l’a pre pare au moyen de son ba ton, a savoir son aide et son soutien. Ou cela ? Au moment du premier « puits », c’est-a-dire de la mer, quand il leur a enseigne de chanter des remercie-ments pour le miracle a co te de l’eau. Nous devons aussi nous demander la raison pour laquelle Moshe n’a pas re pe te la « Shirat Hayam ». C’est parce qu’il avait dit : « Tu l’as amené, Tu l’as fixé sur ce mont, Ton domaine ». Comme un de cret avait e te pris qu’il n’entre pas en Erets Israe l, il craignait que les Bnei Israe l ne de sesperent et ne disent : « Si lui-même n’est pas entré, { plus forte raison nous ne rentrerons pas ! ». C’est pourquoi il n’a pas re pe te : « Tu l’as amené, Tu l’as fixé », pour ne pas cre er la confusion chez les Bnei Israe l. Il n’a certainement pas profe re un mensonge, mais il est dit dans la Guemara (Bava Batra 119b) : « Il a prophétisé sans savoir ce qu’il prophétisait ». Il n’a pas dit « tavie-no, Tu l’as amené » mais « taviemo », ce qui est une allusion au fait que lui-me me n’entrerait pas (il y a une dif-férence numérique d’un entre les deux mots). Quoi qu’il en soit, Moshe a e voque la Shira de façon allusive. Il a dit : « J’ai supplié Hachem { ce moment-l{ en disant... ». Nous ne trouvons en aucun endroit ou Moshe ait supplie Hashem a ce moment-la. Il voulait parler de ce qu’il avait dit dans la « Shirat Hayam » : « Tu l’as amené et Tu l’as fixé ». Comme il y avait un de cret qu’il ne rentre pas en Erets Israe l, Hashem lui a dit : « C’est assez, ne continue pas { Me parler ». C’est pourquoi il n’a pas re pe te la Shira, pour ne pas enfreindre Ses paroles. En fait, il ne l’a e voque e que par allusion : « Vaet’hanan » (j’ai supplié) a la me me valeur nume rique que « shira », parce que dans la « Shirat Hayam » il avait supplie de me riter d’entrer en Erets Israe l.

«« La communauté n’avait pas d’eau et ils se rassemblèrent autour de Moshé et La communauté n’avait pas d’eau et ils se rassemblèrent autour de Moshé et AaronAaron ». C’est surprenant : Après s’être rassemblé autour de Moshé et Aaron { ». C’est surprenant : Après s’être rassemblé autour de Moshé et Aaron {

propos de la pénurie d’eau, le peuple a commencé { protester auprès de Moshé, et propos de la pénurie d’eau, le peuple a commencé { protester auprès de Moshé, et non d’Aaron, ainsi qu’il est dit tout de suite après : « le peuple chercha querelle { non d’Aaron, ainsi qu’il est dit tout de suite après : « le peuple chercha querelle { Moshé ». Quelle en est la raison ?Moshé ». Quelle en est la raison ? Rabbi Eliahou ‘Haï Damri zatsal dit dans son livre « Peta’h HaSemadar » : Rashi a e crit que pendant quarante ans, ils ont eu le puits par le me rite de Myriam, parce qu’elle avait attendu Moshe au bord de l’eau pour voir ce qu’il allait devenir quand il avait e te place sur le fleuve, c’est pourquoi le puits e tait apparu par son me rite et avait donne de l’eau a la communaute dans le de sert. Par conse quent, comme tout le me rite de Myriam lui venait de l’honneur de Mos-he , me me quand Myriam a disparu et que le puits est parti avec elle, Moshe , qui e tait l’essentiel, se tenait encore devant eux, alors pourquoi ne leur donnait-il pas de l’eau en faisant revenir le puits par son me rite ? C’est donc cela la protestation du peuple : justement envers Moshe et non envers Aaron, car il estimait que Moshe par son me rite pouvait leur faire revenir le puits et l’eau, c’est pourquoi il a commence a contester Moshe et non Aaron.

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Ohel YaakovOhel YaakovOhel Yaakov Parasha : Parasha : Parasha : ‘Houkat‘Houkat‘Houkat

Rav David Pinto Rav David Pinto Rav David Pinto shlitashlitashlita MoraleMoraleMorale

L e ï l o u y N e s h a m o t

Meyer Ben Myriam

Myriam Bat Nina

Haima Bat Ida

Reouven Chiche Ben Esther

Avraham Ben Esther

Helene Bat Haïma

Raphael Ben Myriam Ra’hel Bat Rzala

Aaron Hai Ben Helene

Nedjma Bat Julie

Lalou Ben Julie

Hayim Ben Regina

Hanna Léa Bat Daniel

Audrey Bat Evelyne

Yaakov Ben Hendla Abou

Daisy Deïa Bat Georgette Zohara

Gérard Shimon Ben Viviane

Khalfa Ben Levana

Yoav Hattab

Yohan Cohen

Philippe Braham

François-Michel Saada

Réfoua Shélema à Meyer Ben ‘Haya, Baroukh Ben JulieRéfoua Shélema à Meyer Ben ‘Haya, Baroukh Ben Julie

Retrouvez-nous chaque semaine sur

Facebook : Lumieres de Shabbat

SHABBATSHABBATSHABBAT Il est interdit de mettre une minuterie pour que la te le vision s’allume pendant Shabbat afin de

voir les informations ou toute e mission de ce genre : que ce soit en Israe l, ou les employe s de te -le vision sont des juifs qui transgressent le Shabbat, ou en dehors d’Israe l ou la plupart des em-ploye s sont des goyims

TEFILINESTEFILINESTEFILINES Lorsqu'on range le Talith dans la pochette contenant les Te filines dans un me me sac, il faut

prendre soin de mettre les Te filines a co te du Talith et non au-dessus, sinon les Te filines se pre -senteraient a nous en premier lorsqu'on reprend le talith

Le Zohar dit qu’il est tres louable de sortir de chez soi reve tu du Talith, pare des Te filines, et de se rendre ainsi a la synagogue

RESPECTRESPECTRESPECT Nos Sages nous font savoir que c’est une obligation formelle de respecter son e pouse par tous

les moyens possibles. Ainsi, quand cette derniere s’achete un nouveau ve tement ou autre, l’homme lui fera des compliments car c’est ce qu’elle attend de lui. Il devra aussi lui faire des sur-prises en lui achetant des bijoux (ou autres), l’inviter au restaurant et se rappellera une regle : le plus important n’est pas la somme de pense e, mais l’intention que l’on y a apporte . Hashem est tres regardant sur le respect qu’un homme apporte a sa femme

C’est un grave interdit de maudire un autre juif, et en particulier son conjoint. Celui ou celle qui se permet de le faire, dans le Ciel on ouvre « son dossier » et on inspecte ses me rites : s’il s’avere qu’il n’en a pas assez, alors c’est lui qui est maudit, ‘halila

Lorsque l’on voyage dans un transport en commun, on fera tres attention de ne pas manger des choses qui auraient une forte odeur, de peut de de ranger les autres voyageurs

CC omment ressentir la sainteté de Shabbat ? omment ressentir la sainteté de Shabbat ?

A chaque fe te, il y a une Mitsva bien spe cifique. Quelle est celle de Shabbat ? Celle de pre parer des bons petits plats. Le jour de Shabbat est un cadeau d’Hashem. Alors, si nous faisons des bonnes choses en l’honneur de ce grand jour, nous montrons ainsi que nous de sirons plus que tout be ne ficier de ce pre sent que le Maitre du monde veut nous remettre. Tout ce que l’homme doit faire est « vou-loir Shabbat », tout simplement. Comment le peuple d’Israe l est sorti d’Egypte ? En « criant » a Has-hem qu'il voulait sortir. Mais les Bnei Israe l qui ne voulurent pas sortir et qui, au contraire, se sen-taient bien en Egypte, moururent pendant la plaie des te nebres.

Ainsi, gra ce au Shabbat, on se rapprochera encore plus d’Hakadosh Baroukh Hou. Comme le disent nos Sages, « la sainteté du Shabbat continuera tout au long de la semaine » et on sentira Hashem en-core plus proche de nous. Celui qui LE fait « entrer » dans son foyer (Torah, mitsvots, Tsniout, pureté familiale, Casheroute…) be ne ficiera d’une ve ritable vie de lumiere, d’une aide divine profonde. Il n’y a aucune limite a ce que le Cre ateur peut donner a une personne par Sa bonte . IL peut ve ritablement transformer l’obscurite en lumiere.

Nous sommes dans la génération qui est aux portes du Mashia'h. Nous entendons déj{ le son du Grand Nous sommes dans la génération qui est aux portes du Mashia'h. Nous entendons déj{ le son du Grand Shofar... Tout est déj{ en place mais tout est entre nos mains.. Grâce { l’étude de la Torah et au respect Shofar... Tout est déj{ en place mais tout est entre nos mains.. Grâce { l’étude de la Torah et au respect des Mitsvots, nous pouvons accélérer le processus et terminer le tikoun du monde.des Mitsvots, nous pouvons accélérer le processus et terminer le tikoun du monde.

Rav Pinkous Rav Pinkous Rav Pinkous zatsalzatsalzatsal

Yalkout YossefYalkout YossefYalkout Yossef

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Questions Questions Questions --- RéponsesRéponsesRéponses

HalakhotsHalakhotsHalakhots

Réfoua Shélema à Esther Bat Rehaïma, Sarah Bat Messaouda, Lisa Bat Fre’ha Réfoua Shélema à Esther Bat Rehaïma, Sarah Bat Messaouda, Lisa Bat Fre’ha ‘Haya ‘Haya ‘Hava Bat Sarah‘Hava Bat Sarah

DD urant la Seconde Guerre Mondiale, les Alle-urant la Seconde Guerre Mondiale, les Alle-mands envahirent la ville de Gabès, et, mands envahirent la ville de Gabès, et,

comme { leur habitude, dépouillèrent les juifs de comme { leur habitude, dépouillèrent les juifs de leur or. Ils mirent en place un camp militaire et leur or. Ils mirent en place un camp militaire et ordonnèrent au Rav de la ville, le Gaon Rabbi ordonnèrent au Rav de la ville, le Gaon Rabbi ‘Haïm ‘Houri ‘Haïm ‘Houri zatsalzatsal , ainsi qu’à la communauté, de , ainsi qu’à la communauté, de payer une forte amende (en prenant l’or de tous payer une forte amende (en prenant l’or de tous les membres de la communauté et les bijoux des les membres de la communauté et les bijoux des femmes).femmes). De temps en temps, ils demandaient a Rabbi ‘Haï m et aux juifs de leur procurer de la nourri-ture (farine, viande, poisson etc.), des couver-tures et des ve tements, et le Rav s’empressait de satisfaire leurs demandes. Un jour, les offi-ciers Allemands entrerent dans la maison de Rabbi ‘Haï m ‘Houri en faisant une terrible re -clamation : ils de siraient que le Rav leur donne deux jeunes filles juives. Rabbi ‘Haï m trembla du fin fond de son a me. Il se leva de sa place et leur fit savoir avec de termination qu’il en e tait hors de question. La colere s’empara des officiers allemands. Ils observerent le Tsadik avec un regard froid, et menacerent d’une voix seche que si leur de-mande n’e tait pas exe cute e d’ici deux jours, ils sortiraient dans la rue et captureraient d’eux-me mes deux jeunes filles et leurs feraient subir les pires supplices. A partir du moment ou les soldats sortirent de sa maison, la peur ne quitta pas le Rav, qui crai-gnait e norme ment que ces derniers appliquent leurs paroles. Il ne trouva pas le sommeil, et allait de chambre en chambre, tandis que ses levres murmuraient sans cesse des supplica-tions a Hashem.

LL e Beth Hamikdash a été détruit { cause de la haine gratuite, { laquelle mène directement le Lashon e Beth Hamikdash a été détruit { cause de la haine gratuite, { laquelle mène directement le Lashon Ara. Ara.

Si cette faute a eu le pouvoir de de truire le Temple, a plus forte raison peut-elle empe cher qu'il ne soit reconstruit. Celui qui fait des efforts pour garder sa langue et encourage les autres a l’imiter acquiert un tres grand me rite. La venue du Mashia’h est entre nos mains. Le Zohar ’Hadash affirme qu'une simple communaute peut le me riter en accordant a la paix l’importance qui lui revient. Or, il est impossible de faire la paix sans se de barrasser d’abord de la haine gratuite et du Lashon Ara. Tous ceux qui s’efforcent de combattre ces de fauts ont une part dans la reconstruction du Troisieme Temple. Ainsi, ce qu'il faut c’est arracher la haine gratuite de nos cœurs, apprendre a garder sa langue et chercher la paix. Quelle joie quand il sera reconstruit et que chacun connaitra le ro le qu'il aura joue a sa construction.

Qu’Hashem dans Sa Miséricorde aide ses enfants Mévora’h Hervé Ben Esther et Nessim Ben Louisa et Moshé Yéhoshoua Ben Louisa eQu’Hashem dans Sa Miséricorde aide ses enfants Mévora’h Hervé Ben Esther et Nessim Ben Louisa et Moshé Yéhoshoua Ben Louisa e t Ht Haï Ben aï Ben Louisa à revenir vers Lui et faire TeshouvaLouisa à revenir vers Lui et faire Teshouva

Deux jours plus tard, les officiers se rendirent chez le Rav. « Où sont les filles ? », demanderent-ils. Empli d’Emouna, le Rav leur re pondit cou-rageusement qu’il ne remplirait jamais cette demande ! Les allemands, tres en colere, pri-rent conge du Rav. Rabbi ‘Haï m se plongea dans des Tefilot au Maï tre du monde afin qu’IL ait pitie et qu’IL annule le de cret. Sur le che-min, les officiers rencontrerent deux filles juives qu’ils firent monter de force dans leur Jeep... Lorsqu’il apprit que les Allemands avaient kid-nappe des filles juives, le Rav augmenta ses cris et ses pleurs, et ne de sespe ra pas de la bonte Divine. Et le miracle ne tarda pas { se produire. Apres une demi-heure, les gens de la maison furent surpris de voir les deux filles sur le seuil de la porte du Rav. En entendant leur histoire, ils devinrent d’autant plus euphoriques. Ainsi racontèrentAinsi racontèrent--elles : « Après qu’ils nous aient elles : « Après qu’ils nous aient fait monter de force dans la Jeep, les Allemands fait monter de force dans la Jeep, les Allemands roulèrent jusqu’{ ce qu’ils arrivent { la grande roulèrent jusqu’{ ce qu’ils arrivent { la grande synagogue. Tout { coup, deux lions de feu des-synagogue. Tout { coup, deux lions de feu des-cendirent du ciel, et se tinrent menaçants face { cendirent du ciel, et se tinrent menaçants face { la voiture ! Derrière eux, un vieil homme avec la voiture ! Derrière eux, un vieil homme avec une longue barbe blanche apparut, réprimanda une longue barbe blanche apparut, réprimanda les Allemands, nous délivra de leurs mains et les Allemands, nous délivra de leurs mains et nous conduit jusqu’{ l’entrée de la maison du nous conduit jusqu’{ l’entrée de la maison du Rav. Lorsque nous sommes arrivées ici, l’homme Rav. Lorsque nous sommes arrivées ici, l’homme a immédiatement disparu, et nous ne l’avons a immédiatement disparu, et nous ne l’avons plus revu... ». plus revu... ». Rabbi ‘Haim remercie le Ciel d’avoir exauce ses prieres.

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